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Simplifie

40. Bilan de janvier : défis, leçons, et victoires

40. Bilan de janvier : défis, leçons, et victoires

34min |11/02/2025
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Description

Après un mois de janvier chargé de défis, d’apprentissages, de succès… et de quelques critiques piquantes, je te retrouve pour un échange authentique et sans filtre. Je te partage les coulisses de ce début d’année intense : leçons tirées de mon challenge avec 1400 participantes, gestion des critiques, astuces pour préserver son énergie, et surtout, comment je transforme les coups durs en moteur. Si tu cherches à rester ancrée malgré la tempête, cet épisode est fait pour toi.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue à toi dans Simplifie, le podcast qui est là pour t'aider à simplifier ta vie. C'est le grand retour du podcast. Ça fait, je crois, à peu près un mois. Oui, ça doit être ça à peu près. Un mois que je n'ai pas sorti de nouvel épisode sur cet espace-là. Et j'avais envie de commencer en te remerciant de ta patience, en te disant que tu m'as manqué, que l'enregistrement de ces épisodes m'a beaucoup manqué. Et puis en te disant que je suis super heureuse de te retrouver pour un nouvel épisode chaque semaine, chaque lundi matin, tu vas pouvoir découvrir un nouvel épisode de Simplifi en mode totalement informel. C'est-à-dire que chaque lundi matin, on va partir en balade ensemble. J'essaie d'enregistrer ces épisodes le plus possible en balade, au calme, à la campagne. Et en te disant ça, bien sûr, bien sûr, qu'est-ce qui arrive ? Un énorme camion face à moi, on va le laisser passer. Voilà. Alors ça, si t'es habitué aux épisodes de Simplifi, tu connais le truc. Il se passe toujours des choses dans l'enregistrement de mes épisodes. Si tu débarques avec tes nouvelles, bienvenue dans mon univers. Et puis je vais en profiter pour me présenter. Donc si tu ne me connais pas, je m'appelle Géraldine et je suis la créatrice des Paulettes Imperfaites. Aujourd'hui j'accompagne les femmes qui sont débordées, fatiguées, épuisées à sortir de la pression, à retrouver leur respiration en faisant de la place dans leur vie, de la place chez toi, de la place en toi, à te retrouver toi pour pouvoir profiter de ta vie. Ça c'est mon travail, aujourd'hui on accompagne à peu près, en nombre de clientes, on en a à peu près une cinquantaine actuellement, cinquantaine qui, mois après mois, apprend à retrouver le goût de la vie. Le goût de la simplicité qui petit à petit arrive à sortir du mode survie pour arriver enfin à vivre et à profiter de la vie. C'est un travail qui me passionne et puis aujourd'hui on est une belle communauté, la communauté des Paulettes. Notre objectif c'est vraiment d'être focus sur l'essentiel, apprendre à vivre en étant focus sur l'essentiel et en apprenant à se simplifier la vie chaque jour au quotidien pour te permettre notamment aussi d'équilibrer, de concilier ta vie pro et ta vie perso. Voilà un peu le programme. Alors du coup les Paulettes ça existe depuis maintenant cinq ans. Cette année on va fêter les cinq ans des Paulettes. Et vraiment c'est une belle aventure. Je me réjouis trop de tout ce qu'on va encore vivre cette année ensemble. Il y a des belles choses en perspective, des beaux projets en perspective. Et je suis trop heureuse du coup de pouvoir reprendre l'enregistrement de ces épisodes. Alors pourquoi il y avait cet arrêt ? Tout simplement parce qu'au mois de décembre, pour celle qui était là, Du coup, j'ai diffusé chaque jour un épisode avec le calendrier de l'Avent. Et au bout de ces 24 jours, j'avoue que ça a été bien défiant pour moi. J'ai ressenti vraiment le besoin de faire une pause, vraiment le besoin de pouvoir déposer ça pour retrouver de l'énergie, retrouver de l'inspiration, retrouver du plaisir à enregistrer ces épisodes. Le mois de janvier a été un mois très intense, puisque nous avons eu l'ouverture de nouvelles promos pour notre parcours de coaching Simplify. On a organisé un week-end en présentiel pour nos clientes qui s'appelle le week-end des Paulettes, qui est un week-end de coaching. Et puis, ça y est, le mois de janvier est fini et j'atterris, j'atterris. Et quand j'atterris, je retrouve de l'espace. Et quand je retrouve de l'espace, je retrouve de l'espace pour créer, pour être inspirée, pour tchatcher avec toi tout simplement. Donc voilà, on reprend chaque semaine un épisode de Simplify. Alors de quoi est-ce que je vais te parler aujourd'hui ? Mystère et boule de gomme. Moi-même, je ne le sais pas. Voilà, ça, c'est ma petite touche à moi. En fait, tous les lundis matins, on va partir en balade ensemble. J'aime bien enregistrer ces épisodes en marchant. Je déteste être derrière un micro et puis te dérouler mon texte. Je n'aime pas ce format-là. Moi, ce que j'aime, c'est vraiment pouvoir être en mode... J'appelle ça le marché parlé. C'est-à-dire que je crois que quand tu marches, en fait... Ça crée des connexions spécifiques dans ton cerveau que t'as pas quand t'es assis derrière un bureau. Moi, ça m'aide à réfléchir, ça m'aide à prendre du recul sur la vie. Et du coup, j'aime beaucoup enregistrer ces épisodes en marchant. Et puis, mon encouragement, c'est que toi, lorsque tu écoutes ces épisodes, je t'invite à aller marcher, en fait. Je t'invite à te mettre en mouvement. Parce que le mouvement, je crois que c'est le meilleur des antidépresseurs. Et que quand tu vois flou, quand tu manques de clarté, quand tu manques de discernement, quand t'as le moral dans les chaussettes, quand ça va pas, va marcher. Sors, mets tes chaussures, mets tes baskets, va marcher ou va courir, peu importe, mais mets-toi en mouvement et très rapidement tu vas voir combien le brouillard va s'éclaircir, combien la dopamine de l'effort va te faire du bien. va te permettre de voir ce que tu n'avais peut-être pas vu jusqu'à présent, va te permettre de voir des angles différents. Et c'est extrêmement précieux. Donc du coup, je t'invite à aller marcher en écoutant ces épisodes, à prendre un petit temps pour toi, allez, une vingtaine de minutes, et puis de mettre ce moment à part dans ton quotidien, cette petite bulle juste pour toi de début de semaine. Et donc, ce qui se passe, c'est que souvent, il y a un sujet sur lequel j'ai envie d'aller avec toi et puis il y a des fois où comme aujourd'hui j'ai plus envie d'être en mode allez viens au tchatch et puis on se raconte nos vies ok ? Donc aujourd'hui c'est un peu ce mode là, on se raconte nos vies ou je te raconte ma vie du moins et bien sûr en fait moi ce que j'adore c'est quand vous réagissez à mes épisodes soit par exemple en messagerie sur Instagram, soit par email que vous m'envoyez vos retours, ça c'est le côté un peu frustrant du podcast où il n'y a pas d'échange possible derrière, mais n'hésite pas à rebondir, à réagir, à me dire ce que tu aimes dans ces podcasts, à noter ce podcast. Si tu es sur Apple Podcasts, à le noter, à mettre 5 étoiles, à mettre un petit commentaire, parce que moi, ça m'encourage trop, ça m'encourage à continuer. Et ça donne aussi de la visibilité au podcast. Ça permet que d'autres puissent découvrir ce petit espace qui est là vraiment pour te faire du bien. Vraiment pour te faire du bien, pour t'inspirer, pour te rebooster, pour te partager mon énergie. Aussi pour partager mes galères, les moments pas simples par lesquels je peux passer. Le podcast c'est un moyen pour moi que j'aime bien utiliser pour ça aussi, qui me permet d'être très authentique. Parce que l'idée c'est surtout pas de te faire croire qu'une vie parfaite ça existe. L'idée c'est pas de te faire croire que la vie, une fois que tu as réglé tous tes problèmes avec une méthode XY, ta vie elle aura changé du jour au lendemain. Non ! Non, aujourd'hui, les Paulettes, on est dans la vérité, on est dans l'authenticité, on est dans l'imperfection la plus parfaite, j'allais dire. On est vraiment dans la vulnérabilité plus, plus, plus. Donc ici, tu vas entendre mes coups de cœur, tu vas entendre mes coups de gueule aussi, des fois, ça m'arrive. Tu vas entendre mes victoires, tu vas entendre mes galères, tu vas entendre beaucoup de choses. Et l'idée, c'est de pouvoir t'inspirer et puis de te donner un... Un maximum d'éléments, de choses, de réflexions, de prises de conscience. Tu verras que j'utilise beaucoup ce mot-là. Mon objectif, c'est de te permettre d'avoir des prises de conscience pour toi, pour ta propre vie, pour t'aider à sortir de l'épuisement, pour t'aider à sortir de la pression, pour t'aider à sortir du trop et retrouver la simplicité, le goût de vivre, de profiter de la vie. Voilà, tout simplement. Alors, où est-ce que je me trouve ce matin pour t'enregistrer cet épisode ? Je me trouve en pleine campagne. Donc moi, j'habite dans le nord Béarn. Depuis peu, on a déménagé il y a quelques mois avant que j'habitais à Toulouse. On est dans le Nord Béarn et on habite à la campagne maintenant. Et du coup, je suis allée déposer les enfants à l'école. Et je me suis arrêtée en cours de route pour trouver une petite route, un petit chemin. Ma foi, plutôt sympathique, avec un soleil incroyable, une vue sur les montagnes magnifiques, qui sont pleines de neige, elles sont toutes blanches. Les champs qui sont encore blancs de la gelée du matin. Alors j'ai froid, mais je suis bien couverte et c'est un pur régal de passer ce moment avec toi ici. Alors l'idée c'est que je te donne un petit peu des news. Je t'ai dit aujourd'hui ce podcast il n'y aura peut-être ni queue ni tête. C'est vraiment un mode totalement informel aujourd'hui, reprise de contact, on va se dire ça comme ça. Partage de nouvelles, où j'en suis de mon côté, qu'est-ce qui se passe chez les Paulettes, comment se passe ce début d'année, je vais un petit peu te raconter les coulisses de ce démarrage de début d'année si ça te va. Alors, j'ai terminé l'année avec le calendrier de l'Avent d'Epaulette, où chaque jour, je te déposais un petit audio sur ton podcast préféré, j'espère, mais lui, nettoie, si ce n'est pas le cas, pour t'encourager et te partager aussi un peu plus de ma vie, te partager un peu les différentes étapes par lesquelles je suis passée et comment je suis passée d'une maman totalement épuisée à une entrepreneur épanouie, à une entrepreneur qui kiffe sa vie, qui profite de la vie, malgré... Les challenges parce que qui dit entrepreneur qui dit challenge ok je t'ai raconté tout ça et puis ben à la suite de ça il y a eu un temps de vacances de pause qui m'a fait vraiment beaucoup de bien on a passé des chouettes chouettes vacances en fait on n'est pas parti de chez nous on est resté pendant quinze jours chez nous tranquille et ces quinze jours là ils ont été trop précieux aujourd'hui on a appris un truc c'est que partir au moment des fêtes c'est la cata avec les enfants franchement à chaque fois qu'on a fait ça Ça a été trop galère parce que les enfants sont tombés malades. La plupart du temps c'est la gastro ou la grippe. Et choper la gastro ou la grippe quand t'es pas chez toi. Ah la galère ! Donc en fait on sait que c'est une période où les enfants sont très fatigués, ils sont plus faibles au niveau immunitaire, nous aussi. C'est une période où on a besoin de repos, parce qu'il y a aussi tout le démarrage de l'année, on a vraiment besoin de se reposer de vacances, et puis on a aussi envie de profiter, de vivre des bons moments de partage, des cours de vitalité, et pas envie de perdre de l'énergie dans des déplacements, dans des rencontres. des repas qui s'enchaînent, on aspire à beaucoup de simplicité dans cette période-là. Donc on est resté très tranquille et puis on a fêté ça ici. C'était vraiment une chouette période et j'ai réussi à prendre une semaine totalement off, sans travail, ça c'était vraiment très très agréable. Comment j'ai réussi à faire ça ? Tout simplement parce que j'ai anticipé pas mal de choses avant de partir, avant de couper. Et ça, ça m'a permis vraiment de vivre des vacances plutôt sereines. Et puis, la deuxième semaine des vacances, j'ai quand même repris quelques heures de travail. Pourquoi ? Parce qu'à partir du 6 janvier, on a lancé le challenge Simplicité. Le challenge Simplicité, c'est un challenge de cinq jours, où l'idée de chaque jour, c'était de pouvoir te donner des tips, des astuces, des conseils, te donner des clés pour t'aider à sortir de la pression, en t'apprenant à simplifier ta vie. Et franchement, ça a été juste incroyable cette semaine de challenge. Moi, j'étais super contente de pouvoir démarrer l'année comme ça, de manière très intentionnelle, très focus. Dès le 6 janvier, ça m'a donné un élan. Il y avait de l'excitation de me dire, allez, c'est le début d'année, on y va, go, c'est parti, on n'attend pas. Voilà, ça m'a mis en énergie. C'était une semaine très particulière parce que pour te donner les coulisses, en fait, on a eu un nombre énorme d'inscrits, vraiment. On a rarement eu, jamais, on n'a jamais eu autant d'inscrits, nous étions à peu près 1400, c'était vraiment incroyable de vivre ça. Et puis, alors ça c'était incroyable, donc du coup il y a eu aussi beaucoup d'échanges, beaucoup de monde présent lors des lives, beaucoup de personnes qui ont regardé aussi les replays des lives, etc. Et il y a eu une contrepartie de ça, à côté du côté très exaltant, palpitant, de vivre ça ensemble. La contrepartie, ça a été que pour la première fois, j'ai dû faire face à des critiques sur mon travail assez... Comment on dit ? Acerbe ? Je ne sais pas si c'est le mot. Assez vive ! Et encore, je pense que c'était vraiment gentil comparé à ce que d'autres entrepreneurs peuvent vivre, au travers de ce que je découvre petit à petit. Mais moi, c'était la première fois. Et j'avoue que lorsque... Pour ton premier jour de défi, premier live, t'es tout chaud, tout patate, il y a le stress, il y a la pression, parce que c'est un exercice extrêmement difficile. C'est vraiment un exercice difficile de faire des challenges. Maintenant je commence un petit peu plus à avoir un peu plus d'expérience donc je le vis de mieux. Mais quoi qu'il en soit, quand tu démarres un challenge, 5 jours de live, où t'as envie, t'as à coeur de pouvoir vraiment aider et servir les personnes qui sont connectées, et que dès le premier live, Tu te prends des commentaires. Ok, vraiment des commentaires en mode ok, ça sert à rien, c'est que du blabla, ciao, des critiques super acerbes sur ma façon de faire. Je... Franchement, c'était nouveau. Je n'ai jamais eu à vivre ça. Alors ce qui était intéressant, c'est après, qu'est-ce que j'en ai fait de ça ? Qu'est-ce que j'ai fait de ce qui s'est passé ? Bon, sur le coup, il faut le gérer. Sur le coup, il faut le gérer. Rester ancrée dans ce qu'on fait, dans ce qu'on croit, dans pourquoi on est là, voilà, et pas se laisser démonter. Et puis après, il y a l'après-coup. L'après-coup, il y a beaucoup de colère, en fait. Il y a beaucoup de colère qui arrive. Moi, ça a été le cas. J'étais extrêmement en colère par rapport à ce qui s'est passé. Et puis, une fois que la colère, j'ai pu l'exprimer de façon légitime, j'ai réussi à prendre du recul en me disant, OK, en fait, c'est qui ces personnes ? En fait, quel est le poids et le crédit que je veux donner à leur vie dans ma vie ? Est-ce que ces personnes, en fait, elles ont fait ce que je fais ? Est-ce qu'elles ont fait mieux que ce que je fais ? Est-ce que du coup, elles ont quelque chose à m'apprendre ? Ou est-ce qu'en fait, j'ai juste... En fait, j'en ai juste rien à faire. J'en ai juste rien à faire, parce que si ça ne te rejoint pas ce que je fais, si ça ne te parle pas et si ça ne t'intéresse pas, tu peux y aller, il n'y a pas de souci. Et ça, je pense que c'est vraiment le... Je suis contente d'avoir réussi à... à faire ce pas de côté, et puis à vraiment me rappeler en fait, de qui est-ce que je prends la critique ? Et en fait, plus tu t'exposes sur la place publique, comme on dit, plus forcément tes sujets à être jugés, tes sujets à être regardés, tes sujets à être critiqués. Jusque-là, je ne m'en étais pas trop bien sortie, puis je pense que quelque part, il y a une partie de moi qui s'arrange pour que ça ne se produise pas. Il y a une partie de moi qui évite d'être trop clivante, il y a une partie de moi qui fait attention à ne pas être jugeante. Il y a une part de moi qui arrondit beaucoup les bords, et encore j'ai quand même pas mal cheminé, il me semble, depuis une année encore. Mais voilà, il y a toujours une partie de moi qui essaie d'être la plus consignante possible parce que j'aime pas les conflits, j'aime pas les critiques, etc. Donc il y a une partie de moi qui l'évite franchement. Et là, le fait de m'y être confrontée, ça m'a vraiment, vraiment permis de me ré-ancrer sur « Mais qui a le droit de parler sur ma vie et sur mon travail ? » À qui est-ce que je laisse du poids dans ces paroles ? Je ne peux pas interdire les gens de parler, mais par contre, en fait, je peux... En fait, de qui est-ce que je prends et de qui est-ce que je ne prends pas ? Voilà, tout simplement. Et vraiment, ça m'a permis de reposer le fait que les personnes dont je prends les avis, les personnes dont je prends les conseils, les personnes dont je prends le regard, déjà, à la base, c'est parce qu'il est bienveillant. Si tu n'es pas bienveillant, au revoir, ciao ! Ciao ! Secondo, je prends ça de mes proches qui me connaissent bien, de mes amis qui connaissent l'enjeu, les responsabilités que j'ai sur les épaules, qui sont là pour me soutenir et m'encourager dans une certaine redevabilité avec eux. Je prends aussi l'avis, les conseils de mes clientes, de celles qui sont engagées dans nos parcours, qui vivent, qui expérimentent au quotidien ce qu'on vit ensemble et je prends aussi les avis et les critiques. et les conseils des personnes qui font ce que je fais ou qui l'ont déjà fait et qui sont allées plus loin que moi. Ça, c'est le champ des personnes qui ont le droit de parler sur mon travail ou sur ma vie. Les autres. C'est à partir du moment où ta posture n'est pas bienveillante, où tu n'es pas là juste parce que tu as envie de servir, tu as envie de contribuer, parce qu'en fait tu es juste là pour juger, critiquer, parce qu'en fait... Peut-être que ce que ça te renvoie, c'est beaucoup de frustration ou beaucoup de jalousie, ou ça te fait un miroir sur toi, sur tous les endroits où toi t'es freinée, où tu te sens bloquée. Et du coup, la façon dont tu l'exprimes, c'est avec la critique et le jugement. Je suis désolée pour toi. Il y a une part de moi qui compatit même, en fait. Il y a vraiment une part de moi qui compatit. Mais c'est juste que par contre, ça, ben non, je ne vais pas prendre. Désolée. Moi, je vais le laisser sur le bord de la route, puis je vais continuer à avancer. Et franchement... C'était dur à vivre cette épreuve-là, mais franchement j'ai appris, j'ai vachement appris. Ça ne veut pas dire que je me suis blindée, et je pense que je vais continuer à devoir apprendre à gérer ça, mais ça m'encourage encore un peu plus à être profondément moi-même, à être profondément qui je suis. Et je sais que si je suis profondément moi-même et profondément qui je suis, je vais écliver en fait. Il y a des personnes que ça va gêner, il y a des personnes qu'elles ne vont pas aimer. Et ça, j'ai besoin vraiment de continuer à apprendre à faire ça. Et à être profondément qui je suis, sans vouloir tout le temps arrondir les angles pour être appréciée, pour être aimée, pour ne pas être rejetée. On a tous ces failles-là, mais je crois que là, je les ai vécues de plein fouet lors de ce challenge. Donc pour boucler la boucle, gros apprentissage. Sama, j'avoue qu'il y a aussi une part où forcément, tu te fais un retour sur toi en mode, OK, est-ce qu'il y a des trucs, en fait, que j'aurais pu faire autrement ? et tout en ne changeant pas le fond de ce que je veux faire ou qui je suis mais en le faisant en m'améliorant en fait et ça forcément oui j'ai vu des endroits où je me dis ok là en fait j'étais pas prête là j'avais mal préparé mon truc là c'était pas calé etc donc moi c'est génial parce que du coup ça m'a permis d'affiner aussi les choses derrière mais en soi le fond de ce que j'amène ça reste le même et ça ne changera pas voilà donc Vraiment une semaine riche, extrêmement riche. A l'issue de ça, on a ouvert les portes du programme du parcours Simplifi pour toutes celles qui avaient envie de se lancer dans ce parcours de coaching avec nous, qui avaient envie de trouver les moyens vraiment de sortir de l'épuisement et puis de se retrouver elles, de retrouver leur vie, de retrouver le kiff, le fait de profiter de leur vie. Et puis on va démarrer avec toutes les nouvelles inscrites cette semaine. On a deux nouvelles promos qui démarrent, on est super content. Avec encore une fois, et à chaque fois, des femmes incroyables, des femmes avec des parcours de vie incroyables, avec des souffrances, des difficultés, des challenges et aussi des envies, des désirs, des rêves. Et du coup, à partir de tout ce que... Tous les échanges que j'ai eu lors des appels, etc. Il y a tellement de belles choses qui sont ressorties. On va vivre vraiment, encore une fois, une aventure incroyable avec ces deux promos-là. Et on est hyper fiers, hyper nourris de leur confiance. Et si tu en fais partie, encore un grand merci de nous avoir rejoints. Et on est très honorés de pouvoir t'accompagner, moi et mon équipe, sur ce chemin. D'être à tes côtés pendant six mois. Investir du temps, de l'énergie avec toi pour t'aider à te retrouver. pour t'aider à simplifier ta vie, pour t'aider à retrouver cette respiration dont tu as tant besoin. Ça va être vraiment un parcours excitant. Et puis, juste après ce challenge, qu'est-ce qui s'est passé ? Alors là, c'est là où j'ai mis les bouches, comment on dit ? Bouchées doubles, c'est ça, bouchées doubles. Moi, j'avais très envie de pouvoir démarrer aussi de manière très intentionnelle avec l'organisation de notre week-end d'épaulettes. Le week-end d'épaulettes, c'est notre week-end de coaching qu'on organise pour... toutes les clientes qui sont dans nos parcours de coaching, dans les parcours Simplify et dans les parcours au-delà, parce qu'il y a les coulisses des Paulettes aussi, dont je parle rarement. Mais après Simplify, il existe d'autres choses. Et donc, du coup, on s'est toutes retrouvées à Toulouse pendant un superbe week-end, dans un lieu trop beau, trop classe, que j'adore, un super hôtel. Et puis, on a vécu un jour et demi, ou deux jours, mais... Oh my god ! Je pense que c'est le plus fort, le plus impactant, le plus intense, je crois, des week-ends qu'on ait fait. Donc les week-ends d'épaulettes, le principe, c'est qu'en fait, à chaque fois que tu fais le parcours simplifié qui dure six mois, au moins une fois dans ton parcours, tu vas pouvoir vivre un week-end de coaching en présentiel. Et ce week-end, il est vraiment conçu pour t'aider à prendre du temps pour toi, déconnecter du quotidien. Ça fait partie du coaching. On t'accompagne pour créer de l'espace pour toi dans ta vie. Et donc, oser prendre un week-end pour toi, pour certaines, ça fait très longtemps qu'elles ne l'avaient pas fait. Et certaines, ça ne s'est même jamais arrivé. Donc du coup, c'est l'occasion de t'aider. On t'aide à organiser ça. On t'aide à avancer petit pas après petit pas pour réaliser ce projet pour toi. Et puis, on te fait vivre un week-end. de déconnexion, de détente, de cocooning, voilà. Et en même temps, l'idée, c'est de vivre des temps de coaching ensemble où on va aller vraiment travailler en profondeur sur des sujets sur lesquels le distanciel s'y prête moins. Et puis, je reste assez large, vague peut-être, parce qu'en fait, j'adore ne pas divulguer le programme. J'adore qu'en fait, elle puisse découvrir, avoir la surprise et puis être en mode lâcher prise. Je ne sais pas ce que je vais vivre, mais j'accepte. Ça fait partie du travail de coaching d'apprendre à lâcher prise. Et je viens et je vais vivre le truc pleinement. Et à chaque fois, la sauce, elle prend. La sauce, elle prend. Elles ne repartent pas comme elles sont arrivées. Il y a des transformations incroyables. Moi, je vais même utiliser le mot libération, vraiment. Il y a un avant et un après. Elles repartent libérées de fardeaux, libérées de poids, libérées de croyances qu'elles ont sur leur vie. elles repartent renouvelées, elles repartent inspirées, elles repartent rechargées et vraiment c'est des week-ends, je pense qu'il y a un avant et un après je ne sais pas comment l'expliquer en tout cas c'était vraiment un super week-end, on était vraiment nombreuses on était une trentaine, vous étiez et puis ça c'est chouette parce qu'il y a une très belle dynamique et en même temps ça garde un côté aussi très très convivial ça permet que les unes et les autres puissent se rencontrer parce que Le coeur du coeur de nos parcours de coaching c'est qu'on vit tout ça en groupe en fait. Et du coup ça permet aussi au groupe de se retrouver, d'approfondir les amitiés. Parce qu'il y a des amitiés qui se créent dans ces parcours, c'est un truc de fou ! Et je sais que vous gardez le contact souvent très longtemps après, donc c'est juste trop beau de voir ça. Donc voilà, on a vécu un week-end très intense avec... Avec notre équipe qui était là, la deuxième coach de notre parcours qui s'appelle Magali, avec du coup aussi notre nouvelle assistante qui s'appelle Judith, avec Mathias mon associé, et puis avec nos enfants qui étaient là aussi et qui ont participé dans le service et qui ont contribué. C'était vraiment un super week-end. Voilà, donc du coup franchement, un mois de janvier extrêmement rempli. Vraiment extrêmement remplie, c'était super intense. J'avoue qu'à la fin du mois de janvier, j'ai un peu, j'ai traîné un peu la patte là, en bas d'un. Bon, va falloir ralentir un petit peu là maintenant, parce que j'ai besoin d'un peu respirer. Mais c'était choisi, c'était voulu, c'était assumé. Et j'ai fait attention dans tout ça à énormément préserver mon énergie. Je pense que c'est aussi la première fois que je suis aussi intentionnelle quand je vis des périodes extrêmement intenses. Parce que je pense qu'il n'y a que quand tu es entrepreneur que tu peux comprendre ce que ça peut représenter en termes d'intensité en lancement. Des périodes comme ça de réouverture de promo, de recherche de nouvelles clientes, d'organisation d'événements potentiels, enfin tout ça c'est vraiment... ça occupe tout ton espace mental en fait. Ça occupe tout ton espace mental ! Donc c'est bien qu'en fait après il y ait des périodes aussi où ça ralentisse. Et puis là ça y est j'en sors, donc le mois de février va être un mois... Il y a les vacances, il y a déjà une semaine de vacances que je vais pouvoir prendre de pause. Et puis ça va être l'occasion par contre de démarrer tous nos nouvelles promos, de démarrer l'accompagnement et puis moi de ré-atterrir un petit peu. D'où ma présence ici. Donc voilà pour le bilan de ce premier mois. Alors voilà, ça y est j'ai le titre de mon épisode, ça y est. Alors ça va faire souvent comme ça, si tu me connais pas tu vas découvrir le titre, on va le découvrir qu'à la fin, qu'à la fin. Donc voilà, bilan de ce mois de janvier, de ce démarrage d'année. Un démarrage très fort. Ah oui, je n'ai pas fini la boucle, pardon. Donc je te disais que du coup, j'avais fait attention à préserver mon énergie. Qu'est-ce que j'ai fait pour préserver mon énergie ? Alors, j'ai vraiment mis un focus sur mon hygiène de vie. Voilà. C'est vraiment à cet endroit-là, pour préserver mon énergie, que j'ai mis la priorité. Donc, j'ai vraiment fait de l'espace pour faire du sport de manière très intentionnelle. J'avais prévu d'avoir le crossfit deux fois. Par semaine, ça a été intermittent. Je n'ai pas réussi à le faire régulièrement parce qu'il y a des journées de travail où en fait je n'avais pas... J'avais trop de travail en fait, vraiment trop de travail à faire dans la journée. Et du coup, impossible pour moi en fait de partir faire du sport à l'heure de la séance prévue. En fait, c'était ça le truc contraignant. Donc du coup, je me suis adaptée. Je n'ai pas réussi à aller au sport deux fois par semaine, mais par contre, enfin au crossfit deux fois par semaine. Mais en fait, j'ai réussi à contrebalancer. Si je n'arrivais pas à aller à une séance de CrossFit, du coup, je partais courir. Et puis, du coup, j'ai réussi à garder un rythme comme ça, régulier, où chaque semaine, j'avais vraiment deux à trois séances de sport, vraiment. Le sport, j'ai découvert vraiment cette dernière année que c'est un moyen pour moi de préserver ma santé mentale, en fait, vraiment. C'est un moyen d'évacuer mon stress. C'est un moyen de gagner en clarté. C'est un moyen de... De prendre soin de moi qui est très fort, très puissant. Aujourd'hui, je reprends vraiment du goût à ça, je vois vraiment les fruits dans ma vie. J'ai beaucoup de grâces et de bienveillance par rapport à ça, donc je n'ai pas envie de me... Je ne sais pas, de toute façon, tomber dans des disciplines extrêmement fortes. Je ne sais pas m'imposer des choses très violentes. Mais en fait, ce que j'aime, c'est être à l'écoute de mes besoins. Être à l'écoute de mes envies, ça j'ai appris à le faire et du coup quand je suis à l'écoute de ça, naturellement j'ai envie de faire du sport. Et même si je ne suis pas très motivée pour courir, je regarde à quel est mon besoin, c'est quoi ? Est-ce que j'ai vraiment besoin de me reposer ? Parce que physiquement, je suis vraiment trop crevée et que ce n'est pas du sport dont j'ai besoin, c'est vraiment de repos. Et là c'est ok, je lâche. Ou alors est-ce que je ne me sens pas bien, mais c'est une fatigue cognitive, c'est une fatigue émotionnelle et là ça veut dire que j'ai besoin d'aller bouger. Et à chaque fois que je me pose cette question, généralement derrière j'arrive à enclencher en me disant « Allez, je vais juste aller sortir 5 minutes, je mets mes baskets, je vais courir 5 minutes. » Puis au final, j'ai toujours envie de faire plus. Donc ça c'est vraiment top, j'ai fait attention particulièrement aussi à mon sommeil, avoir un nombre suffisant d'heures de sommeil. J'ai fait attention à mon alimentation aussi, à vraiment les excès des vacances de Noël, etc. C'était génial ! Je me suis fait plaisir, mais alors si je continue au mois de janvier comme ça, c'était vraiment la cata, parce que je sens qu'en fait mon alimentation a un impact direct sur mon niveau d'énergie, donc du coup j'ai fait attention à ça. Ce qui fait que vraiment, malgré comme je t'ai dit une baisse de régime à la fin du mois, je ne me suis pas, en vrai je ne me suis pas écroulée comme j'ai déjà pu m'écrouler. Je sais que des paris de lancement, j'en ai vécu plusieurs comme ça, où vraiment j'ai terminé, je pense même pas déprimée. pas dépressive, loin de là, mais déprimée, en mode plus de jus, il n'y a plus, il n'y a plus. Voilà, je ne me demandais plus rien, je suis aux abonnés absents, je n'arrive plus à rien faire, et en fait là, vraiment, malgré l'intensité de tout ce que j'ai vécu, j'étais bien en fait, je suis bien. Et ça, ça fait plaisir. Et là, je me dis, c'est bon, là, t'as appris, ça y est. Ça y est, t'es en train d'apprendre de toutes les fois où t'as galéré, de tous les échecs que t'as eus, t'es en train d'apprendre à vraiment prendre soin de toi, à te garder au centre de ton business, sans te mettre de côté, sans t'oublier. Et ça, vraiment, c'est une belle victoire pour moi. Donc, je suis trop contente de pouvoir partager ça avec toi. J'ai eu un coup de mou quand même à la fin du mois. Je pense que c'était la semaine dernière. Vraiment un petit passage à vide en mode ah ça y est c'est bon je crois qu'en fait c'était vraiment parce que j'arrivais à la fin à la fin de la période d'inscription et je pense qu'il y a eu un petit côté où j'avais juste besoin de relâcher de relâcher la pression en mode hop ça y est c'est fini c'est bon on va pouvoir souffler et du coup je pense que le fait de me relâcher ça a eu un petit down au niveau même hormonal tu vois où en fait c'est l'adrénaline qui a chuté Et aujourd'hui, j'observe vraiment les variations hormonales qu'on peut avoir, comment elles impactent nos états d'âme, nos émotions, nos humeurs. Et du coup, j'ai eu ce relâchement qui est arrivé. C'était vraiment pas agréable à vivre. Mais je me suis rappelée d'une chose, et ça, je te la laisse peut-être en conclusion de cet épisode. C'est que, en fait, c'est si tu te mets à écouter tes états d'âme. Si tu te mets à écouter tout ce que tu penses quand ça va pas, tu risques pas d'aller très loin. Mais ce que j'ai appris à faire, c'est même quand ça va pas, quand je suis démotivée, à ne pas écouter mes états d'âme, mais à rester focus sur mon ambition, à rester focus sur mon objectif. C'est pas mes états d'âme qui doivent parler dans ma vie, mais c'est mes objectifs, c'est mon ambition que je veux continuer à écouter, c'est mon objectif, mes ambitions qui me guident, et c'est pas mes états d'âme qui me guident. Mais par contre, ces états d'âme sont ok. Et ça, pour moi, c'est une petite révolution. Je pense que pendant des années, j'ai passé mon temps à surtout refuser de les écouter, refuser d'accepter qu'ils soient là, en fait, d'avoir des états d'âme, de regarder. Pendant des années, je ne voulais surtout pas accepter le fait que je n'allais pas bien. Tu vois ? J'ai fonctionné comme ça pendant des années. Aujourd'hui, j'apprends à le voir, à l'accepter. « Ouais, mais là, ça ne va pas, en fait. Là, ça ne va pas, Géraldine. » Ok, mais qu'est-ce qui se passe ? Mais qu'est-ce qui se passe ? Et d'avoir de la compassion, de la grâce envers moi, du coup d'écouter le message que ces états d'âme m'envoient derrière, mais c'est quoi en fait mon besoin ? Derrière toutes ces pensées là qui m'accapent, devant ces émotions qui m'entraînent dans le down et tout ça, c'est quoi le message ? Et par contre, je ne les laisse pas prendre les décisions, je ne les laisse pas me déterminer, je ne les laisse pas déterminer la situation. Je sais qu'en fait ils sont là parce qu'il y a un besoin en particulier, un besoin de repos. Il y a peut-être un besoin de retrouver de l'énergie, il y a un besoin de prendre soin de moi, etc. Et non, ce n'est pas la vérité tout ce que je pense. Non, ce n'est pas la vérité, loin de là. Par contre, ce qui me drive, ce qui me guide, c'est mes ambitions, c'est mon ambition, c'est mes objectifs, c'est le sens de ce que je fais. Et continuellement revenir à ça, c'est ça qui me permet de tenir le cap. Donc on va continuer à tenir le cap pour cette nouvelle année 2025 avec... plein de beaux projets en perspective donc reste bien connecté et puis je pense qu'on va s'arrêter là cette reprise de début d'année voilà je pense que on a fait un long je sais pas combien de temps en fait ça fait que je parle ouais peut-être une demi heure un truc comme ça voilà je pourrais peut-être continuer mais par contre j'ai la journée qui a besoin de j'ai besoin de continuer sur le reste de la journée je vais retourner à mon bureau cette fois ci et puis continuer à à faire le travail qui me passionne, autrement dit, accompagner toutes nos clientes à changer leur vie et puis t'inspirer toi au quotidien. Voilà, prends soin de toi. J'espère que cette balade a été bonne. Voilà, et puis je te dis à lundi prochain. Allez, ciao, ciao.

Description

Après un mois de janvier chargé de défis, d’apprentissages, de succès… et de quelques critiques piquantes, je te retrouve pour un échange authentique et sans filtre. Je te partage les coulisses de ce début d’année intense : leçons tirées de mon challenge avec 1400 participantes, gestion des critiques, astuces pour préserver son énergie, et surtout, comment je transforme les coups durs en moteur. Si tu cherches à rester ancrée malgré la tempête, cet épisode est fait pour toi.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue à toi dans Simplifie, le podcast qui est là pour t'aider à simplifier ta vie. C'est le grand retour du podcast. Ça fait, je crois, à peu près un mois. Oui, ça doit être ça à peu près. Un mois que je n'ai pas sorti de nouvel épisode sur cet espace-là. Et j'avais envie de commencer en te remerciant de ta patience, en te disant que tu m'as manqué, que l'enregistrement de ces épisodes m'a beaucoup manqué. Et puis en te disant que je suis super heureuse de te retrouver pour un nouvel épisode chaque semaine, chaque lundi matin, tu vas pouvoir découvrir un nouvel épisode de Simplifi en mode totalement informel. C'est-à-dire que chaque lundi matin, on va partir en balade ensemble. J'essaie d'enregistrer ces épisodes le plus possible en balade, au calme, à la campagne. Et en te disant ça, bien sûr, bien sûr, qu'est-ce qui arrive ? Un énorme camion face à moi, on va le laisser passer. Voilà. Alors ça, si t'es habitué aux épisodes de Simplifi, tu connais le truc. Il se passe toujours des choses dans l'enregistrement de mes épisodes. Si tu débarques avec tes nouvelles, bienvenue dans mon univers. Et puis je vais en profiter pour me présenter. Donc si tu ne me connais pas, je m'appelle Géraldine et je suis la créatrice des Paulettes Imperfaites. Aujourd'hui j'accompagne les femmes qui sont débordées, fatiguées, épuisées à sortir de la pression, à retrouver leur respiration en faisant de la place dans leur vie, de la place chez toi, de la place en toi, à te retrouver toi pour pouvoir profiter de ta vie. Ça c'est mon travail, aujourd'hui on accompagne à peu près, en nombre de clientes, on en a à peu près une cinquantaine actuellement, cinquantaine qui, mois après mois, apprend à retrouver le goût de la vie. Le goût de la simplicité qui petit à petit arrive à sortir du mode survie pour arriver enfin à vivre et à profiter de la vie. C'est un travail qui me passionne et puis aujourd'hui on est une belle communauté, la communauté des Paulettes. Notre objectif c'est vraiment d'être focus sur l'essentiel, apprendre à vivre en étant focus sur l'essentiel et en apprenant à se simplifier la vie chaque jour au quotidien pour te permettre notamment aussi d'équilibrer, de concilier ta vie pro et ta vie perso. Voilà un peu le programme. Alors du coup les Paulettes ça existe depuis maintenant cinq ans. Cette année on va fêter les cinq ans des Paulettes. Et vraiment c'est une belle aventure. Je me réjouis trop de tout ce qu'on va encore vivre cette année ensemble. Il y a des belles choses en perspective, des beaux projets en perspective. Et je suis trop heureuse du coup de pouvoir reprendre l'enregistrement de ces épisodes. Alors pourquoi il y avait cet arrêt ? Tout simplement parce qu'au mois de décembre, pour celle qui était là, Du coup, j'ai diffusé chaque jour un épisode avec le calendrier de l'Avent. Et au bout de ces 24 jours, j'avoue que ça a été bien défiant pour moi. J'ai ressenti vraiment le besoin de faire une pause, vraiment le besoin de pouvoir déposer ça pour retrouver de l'énergie, retrouver de l'inspiration, retrouver du plaisir à enregistrer ces épisodes. Le mois de janvier a été un mois très intense, puisque nous avons eu l'ouverture de nouvelles promos pour notre parcours de coaching Simplify. On a organisé un week-end en présentiel pour nos clientes qui s'appelle le week-end des Paulettes, qui est un week-end de coaching. Et puis, ça y est, le mois de janvier est fini et j'atterris, j'atterris. Et quand j'atterris, je retrouve de l'espace. Et quand je retrouve de l'espace, je retrouve de l'espace pour créer, pour être inspirée, pour tchatcher avec toi tout simplement. Donc voilà, on reprend chaque semaine un épisode de Simplify. Alors de quoi est-ce que je vais te parler aujourd'hui ? Mystère et boule de gomme. Moi-même, je ne le sais pas. Voilà, ça, c'est ma petite touche à moi. En fait, tous les lundis matins, on va partir en balade ensemble. J'aime bien enregistrer ces épisodes en marchant. Je déteste être derrière un micro et puis te dérouler mon texte. Je n'aime pas ce format-là. Moi, ce que j'aime, c'est vraiment pouvoir être en mode... J'appelle ça le marché parlé. C'est-à-dire que je crois que quand tu marches, en fait... Ça crée des connexions spécifiques dans ton cerveau que t'as pas quand t'es assis derrière un bureau. Moi, ça m'aide à réfléchir, ça m'aide à prendre du recul sur la vie. Et du coup, j'aime beaucoup enregistrer ces épisodes en marchant. Et puis, mon encouragement, c'est que toi, lorsque tu écoutes ces épisodes, je t'invite à aller marcher, en fait. Je t'invite à te mettre en mouvement. Parce que le mouvement, je crois que c'est le meilleur des antidépresseurs. Et que quand tu vois flou, quand tu manques de clarté, quand tu manques de discernement, quand t'as le moral dans les chaussettes, quand ça va pas, va marcher. Sors, mets tes chaussures, mets tes baskets, va marcher ou va courir, peu importe, mais mets-toi en mouvement et très rapidement tu vas voir combien le brouillard va s'éclaircir, combien la dopamine de l'effort va te faire du bien. va te permettre de voir ce que tu n'avais peut-être pas vu jusqu'à présent, va te permettre de voir des angles différents. Et c'est extrêmement précieux. Donc du coup, je t'invite à aller marcher en écoutant ces épisodes, à prendre un petit temps pour toi, allez, une vingtaine de minutes, et puis de mettre ce moment à part dans ton quotidien, cette petite bulle juste pour toi de début de semaine. Et donc, ce qui se passe, c'est que souvent, il y a un sujet sur lequel j'ai envie d'aller avec toi et puis il y a des fois où comme aujourd'hui j'ai plus envie d'être en mode allez viens au tchatch et puis on se raconte nos vies ok ? Donc aujourd'hui c'est un peu ce mode là, on se raconte nos vies ou je te raconte ma vie du moins et bien sûr en fait moi ce que j'adore c'est quand vous réagissez à mes épisodes soit par exemple en messagerie sur Instagram, soit par email que vous m'envoyez vos retours, ça c'est le côté un peu frustrant du podcast où il n'y a pas d'échange possible derrière, mais n'hésite pas à rebondir, à réagir, à me dire ce que tu aimes dans ces podcasts, à noter ce podcast. Si tu es sur Apple Podcasts, à le noter, à mettre 5 étoiles, à mettre un petit commentaire, parce que moi, ça m'encourage trop, ça m'encourage à continuer. Et ça donne aussi de la visibilité au podcast. Ça permet que d'autres puissent découvrir ce petit espace qui est là vraiment pour te faire du bien. Vraiment pour te faire du bien, pour t'inspirer, pour te rebooster, pour te partager mon énergie. Aussi pour partager mes galères, les moments pas simples par lesquels je peux passer. Le podcast c'est un moyen pour moi que j'aime bien utiliser pour ça aussi, qui me permet d'être très authentique. Parce que l'idée c'est surtout pas de te faire croire qu'une vie parfaite ça existe. L'idée c'est pas de te faire croire que la vie, une fois que tu as réglé tous tes problèmes avec une méthode XY, ta vie elle aura changé du jour au lendemain. Non ! Non, aujourd'hui, les Paulettes, on est dans la vérité, on est dans l'authenticité, on est dans l'imperfection la plus parfaite, j'allais dire. On est vraiment dans la vulnérabilité plus, plus, plus. Donc ici, tu vas entendre mes coups de cœur, tu vas entendre mes coups de gueule aussi, des fois, ça m'arrive. Tu vas entendre mes victoires, tu vas entendre mes galères, tu vas entendre beaucoup de choses. Et l'idée, c'est de pouvoir t'inspirer et puis de te donner un... Un maximum d'éléments, de choses, de réflexions, de prises de conscience. Tu verras que j'utilise beaucoup ce mot-là. Mon objectif, c'est de te permettre d'avoir des prises de conscience pour toi, pour ta propre vie, pour t'aider à sortir de l'épuisement, pour t'aider à sortir de la pression, pour t'aider à sortir du trop et retrouver la simplicité, le goût de vivre, de profiter de la vie. Voilà, tout simplement. Alors, où est-ce que je me trouve ce matin pour t'enregistrer cet épisode ? Je me trouve en pleine campagne. Donc moi, j'habite dans le nord Béarn. Depuis peu, on a déménagé il y a quelques mois avant que j'habitais à Toulouse. On est dans le Nord Béarn et on habite à la campagne maintenant. Et du coup, je suis allée déposer les enfants à l'école. Et je me suis arrêtée en cours de route pour trouver une petite route, un petit chemin. Ma foi, plutôt sympathique, avec un soleil incroyable, une vue sur les montagnes magnifiques, qui sont pleines de neige, elles sont toutes blanches. Les champs qui sont encore blancs de la gelée du matin. Alors j'ai froid, mais je suis bien couverte et c'est un pur régal de passer ce moment avec toi ici. Alors l'idée c'est que je te donne un petit peu des news. Je t'ai dit aujourd'hui ce podcast il n'y aura peut-être ni queue ni tête. C'est vraiment un mode totalement informel aujourd'hui, reprise de contact, on va se dire ça comme ça. Partage de nouvelles, où j'en suis de mon côté, qu'est-ce qui se passe chez les Paulettes, comment se passe ce début d'année, je vais un petit peu te raconter les coulisses de ce démarrage de début d'année si ça te va. Alors, j'ai terminé l'année avec le calendrier de l'Avent d'Epaulette, où chaque jour, je te déposais un petit audio sur ton podcast préféré, j'espère, mais lui, nettoie, si ce n'est pas le cas, pour t'encourager et te partager aussi un peu plus de ma vie, te partager un peu les différentes étapes par lesquelles je suis passée et comment je suis passée d'une maman totalement épuisée à une entrepreneur épanouie, à une entrepreneur qui kiffe sa vie, qui profite de la vie, malgré... Les challenges parce que qui dit entrepreneur qui dit challenge ok je t'ai raconté tout ça et puis ben à la suite de ça il y a eu un temps de vacances de pause qui m'a fait vraiment beaucoup de bien on a passé des chouettes chouettes vacances en fait on n'est pas parti de chez nous on est resté pendant quinze jours chez nous tranquille et ces quinze jours là ils ont été trop précieux aujourd'hui on a appris un truc c'est que partir au moment des fêtes c'est la cata avec les enfants franchement à chaque fois qu'on a fait ça Ça a été trop galère parce que les enfants sont tombés malades. La plupart du temps c'est la gastro ou la grippe. Et choper la gastro ou la grippe quand t'es pas chez toi. Ah la galère ! Donc en fait on sait que c'est une période où les enfants sont très fatigués, ils sont plus faibles au niveau immunitaire, nous aussi. C'est une période où on a besoin de repos, parce qu'il y a aussi tout le démarrage de l'année, on a vraiment besoin de se reposer de vacances, et puis on a aussi envie de profiter, de vivre des bons moments de partage, des cours de vitalité, et pas envie de perdre de l'énergie dans des déplacements, dans des rencontres. des repas qui s'enchaînent, on aspire à beaucoup de simplicité dans cette période-là. Donc on est resté très tranquille et puis on a fêté ça ici. C'était vraiment une chouette période et j'ai réussi à prendre une semaine totalement off, sans travail, ça c'était vraiment très très agréable. Comment j'ai réussi à faire ça ? Tout simplement parce que j'ai anticipé pas mal de choses avant de partir, avant de couper. Et ça, ça m'a permis vraiment de vivre des vacances plutôt sereines. Et puis, la deuxième semaine des vacances, j'ai quand même repris quelques heures de travail. Pourquoi ? Parce qu'à partir du 6 janvier, on a lancé le challenge Simplicité. Le challenge Simplicité, c'est un challenge de cinq jours, où l'idée de chaque jour, c'était de pouvoir te donner des tips, des astuces, des conseils, te donner des clés pour t'aider à sortir de la pression, en t'apprenant à simplifier ta vie. Et franchement, ça a été juste incroyable cette semaine de challenge. Moi, j'étais super contente de pouvoir démarrer l'année comme ça, de manière très intentionnelle, très focus. Dès le 6 janvier, ça m'a donné un élan. Il y avait de l'excitation de me dire, allez, c'est le début d'année, on y va, go, c'est parti, on n'attend pas. Voilà, ça m'a mis en énergie. C'était une semaine très particulière parce que pour te donner les coulisses, en fait, on a eu un nombre énorme d'inscrits, vraiment. On a rarement eu, jamais, on n'a jamais eu autant d'inscrits, nous étions à peu près 1400, c'était vraiment incroyable de vivre ça. Et puis, alors ça c'était incroyable, donc du coup il y a eu aussi beaucoup d'échanges, beaucoup de monde présent lors des lives, beaucoup de personnes qui ont regardé aussi les replays des lives, etc. Et il y a eu une contrepartie de ça, à côté du côté très exaltant, palpitant, de vivre ça ensemble. La contrepartie, ça a été que pour la première fois, j'ai dû faire face à des critiques sur mon travail assez... Comment on dit ? Acerbe ? Je ne sais pas si c'est le mot. Assez vive ! Et encore, je pense que c'était vraiment gentil comparé à ce que d'autres entrepreneurs peuvent vivre, au travers de ce que je découvre petit à petit. Mais moi, c'était la première fois. Et j'avoue que lorsque... Pour ton premier jour de défi, premier live, t'es tout chaud, tout patate, il y a le stress, il y a la pression, parce que c'est un exercice extrêmement difficile. C'est vraiment un exercice difficile de faire des challenges. Maintenant je commence un petit peu plus à avoir un peu plus d'expérience donc je le vis de mieux. Mais quoi qu'il en soit, quand tu démarres un challenge, 5 jours de live, où t'as envie, t'as à coeur de pouvoir vraiment aider et servir les personnes qui sont connectées, et que dès le premier live, Tu te prends des commentaires. Ok, vraiment des commentaires en mode ok, ça sert à rien, c'est que du blabla, ciao, des critiques super acerbes sur ma façon de faire. Je... Franchement, c'était nouveau. Je n'ai jamais eu à vivre ça. Alors ce qui était intéressant, c'est après, qu'est-ce que j'en ai fait de ça ? Qu'est-ce que j'ai fait de ce qui s'est passé ? Bon, sur le coup, il faut le gérer. Sur le coup, il faut le gérer. Rester ancrée dans ce qu'on fait, dans ce qu'on croit, dans pourquoi on est là, voilà, et pas se laisser démonter. Et puis après, il y a l'après-coup. L'après-coup, il y a beaucoup de colère, en fait. Il y a beaucoup de colère qui arrive. Moi, ça a été le cas. J'étais extrêmement en colère par rapport à ce qui s'est passé. Et puis, une fois que la colère, j'ai pu l'exprimer de façon légitime, j'ai réussi à prendre du recul en me disant, OK, en fait, c'est qui ces personnes ? En fait, quel est le poids et le crédit que je veux donner à leur vie dans ma vie ? Est-ce que ces personnes, en fait, elles ont fait ce que je fais ? Est-ce qu'elles ont fait mieux que ce que je fais ? Est-ce que du coup, elles ont quelque chose à m'apprendre ? Ou est-ce qu'en fait, j'ai juste... En fait, j'en ai juste rien à faire. J'en ai juste rien à faire, parce que si ça ne te rejoint pas ce que je fais, si ça ne te parle pas et si ça ne t'intéresse pas, tu peux y aller, il n'y a pas de souci. Et ça, je pense que c'est vraiment le... Je suis contente d'avoir réussi à... à faire ce pas de côté, et puis à vraiment me rappeler en fait, de qui est-ce que je prends la critique ? Et en fait, plus tu t'exposes sur la place publique, comme on dit, plus forcément tes sujets à être jugés, tes sujets à être regardés, tes sujets à être critiqués. Jusque-là, je ne m'en étais pas trop bien sortie, puis je pense que quelque part, il y a une partie de moi qui s'arrange pour que ça ne se produise pas. Il y a une partie de moi qui évite d'être trop clivante, il y a une partie de moi qui fait attention à ne pas être jugeante. Il y a une part de moi qui arrondit beaucoup les bords, et encore j'ai quand même pas mal cheminé, il me semble, depuis une année encore. Mais voilà, il y a toujours une partie de moi qui essaie d'être la plus consignante possible parce que j'aime pas les conflits, j'aime pas les critiques, etc. Donc il y a une partie de moi qui l'évite franchement. Et là, le fait de m'y être confrontée, ça m'a vraiment, vraiment permis de me ré-ancrer sur « Mais qui a le droit de parler sur ma vie et sur mon travail ? » À qui est-ce que je laisse du poids dans ces paroles ? Je ne peux pas interdire les gens de parler, mais par contre, en fait, je peux... En fait, de qui est-ce que je prends et de qui est-ce que je ne prends pas ? Voilà, tout simplement. Et vraiment, ça m'a permis de reposer le fait que les personnes dont je prends les avis, les personnes dont je prends les conseils, les personnes dont je prends le regard, déjà, à la base, c'est parce qu'il est bienveillant. Si tu n'es pas bienveillant, au revoir, ciao ! Ciao ! Secondo, je prends ça de mes proches qui me connaissent bien, de mes amis qui connaissent l'enjeu, les responsabilités que j'ai sur les épaules, qui sont là pour me soutenir et m'encourager dans une certaine redevabilité avec eux. Je prends aussi l'avis, les conseils de mes clientes, de celles qui sont engagées dans nos parcours, qui vivent, qui expérimentent au quotidien ce qu'on vit ensemble et je prends aussi les avis et les critiques. et les conseils des personnes qui font ce que je fais ou qui l'ont déjà fait et qui sont allées plus loin que moi. Ça, c'est le champ des personnes qui ont le droit de parler sur mon travail ou sur ma vie. Les autres. C'est à partir du moment où ta posture n'est pas bienveillante, où tu n'es pas là juste parce que tu as envie de servir, tu as envie de contribuer, parce qu'en fait tu es juste là pour juger, critiquer, parce qu'en fait... Peut-être que ce que ça te renvoie, c'est beaucoup de frustration ou beaucoup de jalousie, ou ça te fait un miroir sur toi, sur tous les endroits où toi t'es freinée, où tu te sens bloquée. Et du coup, la façon dont tu l'exprimes, c'est avec la critique et le jugement. Je suis désolée pour toi. Il y a une part de moi qui compatit même, en fait. Il y a vraiment une part de moi qui compatit. Mais c'est juste que par contre, ça, ben non, je ne vais pas prendre. Désolée. Moi, je vais le laisser sur le bord de la route, puis je vais continuer à avancer. Et franchement... C'était dur à vivre cette épreuve-là, mais franchement j'ai appris, j'ai vachement appris. Ça ne veut pas dire que je me suis blindée, et je pense que je vais continuer à devoir apprendre à gérer ça, mais ça m'encourage encore un peu plus à être profondément moi-même, à être profondément qui je suis. Et je sais que si je suis profondément moi-même et profondément qui je suis, je vais écliver en fait. Il y a des personnes que ça va gêner, il y a des personnes qu'elles ne vont pas aimer. Et ça, j'ai besoin vraiment de continuer à apprendre à faire ça. Et à être profondément qui je suis, sans vouloir tout le temps arrondir les angles pour être appréciée, pour être aimée, pour ne pas être rejetée. On a tous ces failles-là, mais je crois que là, je les ai vécues de plein fouet lors de ce challenge. Donc pour boucler la boucle, gros apprentissage. Sama, j'avoue qu'il y a aussi une part où forcément, tu te fais un retour sur toi en mode, OK, est-ce qu'il y a des trucs, en fait, que j'aurais pu faire autrement ? et tout en ne changeant pas le fond de ce que je veux faire ou qui je suis mais en le faisant en m'améliorant en fait et ça forcément oui j'ai vu des endroits où je me dis ok là en fait j'étais pas prête là j'avais mal préparé mon truc là c'était pas calé etc donc moi c'est génial parce que du coup ça m'a permis d'affiner aussi les choses derrière mais en soi le fond de ce que j'amène ça reste le même et ça ne changera pas voilà donc Vraiment une semaine riche, extrêmement riche. A l'issue de ça, on a ouvert les portes du programme du parcours Simplifi pour toutes celles qui avaient envie de se lancer dans ce parcours de coaching avec nous, qui avaient envie de trouver les moyens vraiment de sortir de l'épuisement et puis de se retrouver elles, de retrouver leur vie, de retrouver le kiff, le fait de profiter de leur vie. Et puis on va démarrer avec toutes les nouvelles inscrites cette semaine. On a deux nouvelles promos qui démarrent, on est super content. Avec encore une fois, et à chaque fois, des femmes incroyables, des femmes avec des parcours de vie incroyables, avec des souffrances, des difficultés, des challenges et aussi des envies, des désirs, des rêves. Et du coup, à partir de tout ce que... Tous les échanges que j'ai eu lors des appels, etc. Il y a tellement de belles choses qui sont ressorties. On va vivre vraiment, encore une fois, une aventure incroyable avec ces deux promos-là. Et on est hyper fiers, hyper nourris de leur confiance. Et si tu en fais partie, encore un grand merci de nous avoir rejoints. Et on est très honorés de pouvoir t'accompagner, moi et mon équipe, sur ce chemin. D'être à tes côtés pendant six mois. Investir du temps, de l'énergie avec toi pour t'aider à te retrouver. pour t'aider à simplifier ta vie, pour t'aider à retrouver cette respiration dont tu as tant besoin. Ça va être vraiment un parcours excitant. Et puis, juste après ce challenge, qu'est-ce qui s'est passé ? Alors là, c'est là où j'ai mis les bouches, comment on dit ? Bouchées doubles, c'est ça, bouchées doubles. Moi, j'avais très envie de pouvoir démarrer aussi de manière très intentionnelle avec l'organisation de notre week-end d'épaulettes. Le week-end d'épaulettes, c'est notre week-end de coaching qu'on organise pour... toutes les clientes qui sont dans nos parcours de coaching, dans les parcours Simplify et dans les parcours au-delà, parce qu'il y a les coulisses des Paulettes aussi, dont je parle rarement. Mais après Simplify, il existe d'autres choses. Et donc, du coup, on s'est toutes retrouvées à Toulouse pendant un superbe week-end, dans un lieu trop beau, trop classe, que j'adore, un super hôtel. Et puis, on a vécu un jour et demi, ou deux jours, mais... Oh my god ! Je pense que c'est le plus fort, le plus impactant, le plus intense, je crois, des week-ends qu'on ait fait. Donc les week-ends d'épaulettes, le principe, c'est qu'en fait, à chaque fois que tu fais le parcours simplifié qui dure six mois, au moins une fois dans ton parcours, tu vas pouvoir vivre un week-end de coaching en présentiel. Et ce week-end, il est vraiment conçu pour t'aider à prendre du temps pour toi, déconnecter du quotidien. Ça fait partie du coaching. On t'accompagne pour créer de l'espace pour toi dans ta vie. Et donc, oser prendre un week-end pour toi, pour certaines, ça fait très longtemps qu'elles ne l'avaient pas fait. Et certaines, ça ne s'est même jamais arrivé. Donc du coup, c'est l'occasion de t'aider. On t'aide à organiser ça. On t'aide à avancer petit pas après petit pas pour réaliser ce projet pour toi. Et puis, on te fait vivre un week-end. de déconnexion, de détente, de cocooning, voilà. Et en même temps, l'idée, c'est de vivre des temps de coaching ensemble où on va aller vraiment travailler en profondeur sur des sujets sur lesquels le distanciel s'y prête moins. Et puis, je reste assez large, vague peut-être, parce qu'en fait, j'adore ne pas divulguer le programme. J'adore qu'en fait, elle puisse découvrir, avoir la surprise et puis être en mode lâcher prise. Je ne sais pas ce que je vais vivre, mais j'accepte. Ça fait partie du travail de coaching d'apprendre à lâcher prise. Et je viens et je vais vivre le truc pleinement. Et à chaque fois, la sauce, elle prend. La sauce, elle prend. Elles ne repartent pas comme elles sont arrivées. Il y a des transformations incroyables. Moi, je vais même utiliser le mot libération, vraiment. Il y a un avant et un après. Elles repartent libérées de fardeaux, libérées de poids, libérées de croyances qu'elles ont sur leur vie. elles repartent renouvelées, elles repartent inspirées, elles repartent rechargées et vraiment c'est des week-ends, je pense qu'il y a un avant et un après je ne sais pas comment l'expliquer en tout cas c'était vraiment un super week-end, on était vraiment nombreuses on était une trentaine, vous étiez et puis ça c'est chouette parce qu'il y a une très belle dynamique et en même temps ça garde un côté aussi très très convivial ça permet que les unes et les autres puissent se rencontrer parce que Le coeur du coeur de nos parcours de coaching c'est qu'on vit tout ça en groupe en fait. Et du coup ça permet aussi au groupe de se retrouver, d'approfondir les amitiés. Parce qu'il y a des amitiés qui se créent dans ces parcours, c'est un truc de fou ! Et je sais que vous gardez le contact souvent très longtemps après, donc c'est juste trop beau de voir ça. Donc voilà, on a vécu un week-end très intense avec... Avec notre équipe qui était là, la deuxième coach de notre parcours qui s'appelle Magali, avec du coup aussi notre nouvelle assistante qui s'appelle Judith, avec Mathias mon associé, et puis avec nos enfants qui étaient là aussi et qui ont participé dans le service et qui ont contribué. C'était vraiment un super week-end. Voilà, donc du coup franchement, un mois de janvier extrêmement rempli. Vraiment extrêmement remplie, c'était super intense. J'avoue qu'à la fin du mois de janvier, j'ai un peu, j'ai traîné un peu la patte là, en bas d'un. Bon, va falloir ralentir un petit peu là maintenant, parce que j'ai besoin d'un peu respirer. Mais c'était choisi, c'était voulu, c'était assumé. Et j'ai fait attention dans tout ça à énormément préserver mon énergie. Je pense que c'est aussi la première fois que je suis aussi intentionnelle quand je vis des périodes extrêmement intenses. Parce que je pense qu'il n'y a que quand tu es entrepreneur que tu peux comprendre ce que ça peut représenter en termes d'intensité en lancement. Des périodes comme ça de réouverture de promo, de recherche de nouvelles clientes, d'organisation d'événements potentiels, enfin tout ça c'est vraiment... ça occupe tout ton espace mental en fait. Ça occupe tout ton espace mental ! Donc c'est bien qu'en fait après il y ait des périodes aussi où ça ralentisse. Et puis là ça y est j'en sors, donc le mois de février va être un mois... Il y a les vacances, il y a déjà une semaine de vacances que je vais pouvoir prendre de pause. Et puis ça va être l'occasion par contre de démarrer tous nos nouvelles promos, de démarrer l'accompagnement et puis moi de ré-atterrir un petit peu. D'où ma présence ici. Donc voilà pour le bilan de ce premier mois. Alors voilà, ça y est j'ai le titre de mon épisode, ça y est. Alors ça va faire souvent comme ça, si tu me connais pas tu vas découvrir le titre, on va le découvrir qu'à la fin, qu'à la fin. Donc voilà, bilan de ce mois de janvier, de ce démarrage d'année. Un démarrage très fort. Ah oui, je n'ai pas fini la boucle, pardon. Donc je te disais que du coup, j'avais fait attention à préserver mon énergie. Qu'est-ce que j'ai fait pour préserver mon énergie ? Alors, j'ai vraiment mis un focus sur mon hygiène de vie. Voilà. C'est vraiment à cet endroit-là, pour préserver mon énergie, que j'ai mis la priorité. Donc, j'ai vraiment fait de l'espace pour faire du sport de manière très intentionnelle. J'avais prévu d'avoir le crossfit deux fois. Par semaine, ça a été intermittent. Je n'ai pas réussi à le faire régulièrement parce qu'il y a des journées de travail où en fait je n'avais pas... J'avais trop de travail en fait, vraiment trop de travail à faire dans la journée. Et du coup, impossible pour moi en fait de partir faire du sport à l'heure de la séance prévue. En fait, c'était ça le truc contraignant. Donc du coup, je me suis adaptée. Je n'ai pas réussi à aller au sport deux fois par semaine, mais par contre, enfin au crossfit deux fois par semaine. Mais en fait, j'ai réussi à contrebalancer. Si je n'arrivais pas à aller à une séance de CrossFit, du coup, je partais courir. Et puis, du coup, j'ai réussi à garder un rythme comme ça, régulier, où chaque semaine, j'avais vraiment deux à trois séances de sport, vraiment. Le sport, j'ai découvert vraiment cette dernière année que c'est un moyen pour moi de préserver ma santé mentale, en fait, vraiment. C'est un moyen d'évacuer mon stress. C'est un moyen de gagner en clarté. C'est un moyen de... De prendre soin de moi qui est très fort, très puissant. Aujourd'hui, je reprends vraiment du goût à ça, je vois vraiment les fruits dans ma vie. J'ai beaucoup de grâces et de bienveillance par rapport à ça, donc je n'ai pas envie de me... Je ne sais pas, de toute façon, tomber dans des disciplines extrêmement fortes. Je ne sais pas m'imposer des choses très violentes. Mais en fait, ce que j'aime, c'est être à l'écoute de mes besoins. Être à l'écoute de mes envies, ça j'ai appris à le faire et du coup quand je suis à l'écoute de ça, naturellement j'ai envie de faire du sport. Et même si je ne suis pas très motivée pour courir, je regarde à quel est mon besoin, c'est quoi ? Est-ce que j'ai vraiment besoin de me reposer ? Parce que physiquement, je suis vraiment trop crevée et que ce n'est pas du sport dont j'ai besoin, c'est vraiment de repos. Et là c'est ok, je lâche. Ou alors est-ce que je ne me sens pas bien, mais c'est une fatigue cognitive, c'est une fatigue émotionnelle et là ça veut dire que j'ai besoin d'aller bouger. Et à chaque fois que je me pose cette question, généralement derrière j'arrive à enclencher en me disant « Allez, je vais juste aller sortir 5 minutes, je mets mes baskets, je vais courir 5 minutes. » Puis au final, j'ai toujours envie de faire plus. Donc ça c'est vraiment top, j'ai fait attention particulièrement aussi à mon sommeil, avoir un nombre suffisant d'heures de sommeil. J'ai fait attention à mon alimentation aussi, à vraiment les excès des vacances de Noël, etc. C'était génial ! Je me suis fait plaisir, mais alors si je continue au mois de janvier comme ça, c'était vraiment la cata, parce que je sens qu'en fait mon alimentation a un impact direct sur mon niveau d'énergie, donc du coup j'ai fait attention à ça. Ce qui fait que vraiment, malgré comme je t'ai dit une baisse de régime à la fin du mois, je ne me suis pas, en vrai je ne me suis pas écroulée comme j'ai déjà pu m'écrouler. Je sais que des paris de lancement, j'en ai vécu plusieurs comme ça, où vraiment j'ai terminé, je pense même pas déprimée. pas dépressive, loin de là, mais déprimée, en mode plus de jus, il n'y a plus, il n'y a plus. Voilà, je ne me demandais plus rien, je suis aux abonnés absents, je n'arrive plus à rien faire, et en fait là, vraiment, malgré l'intensité de tout ce que j'ai vécu, j'étais bien en fait, je suis bien. Et ça, ça fait plaisir. Et là, je me dis, c'est bon, là, t'as appris, ça y est. Ça y est, t'es en train d'apprendre de toutes les fois où t'as galéré, de tous les échecs que t'as eus, t'es en train d'apprendre à vraiment prendre soin de toi, à te garder au centre de ton business, sans te mettre de côté, sans t'oublier. Et ça, vraiment, c'est une belle victoire pour moi. Donc, je suis trop contente de pouvoir partager ça avec toi. J'ai eu un coup de mou quand même à la fin du mois. Je pense que c'était la semaine dernière. Vraiment un petit passage à vide en mode ah ça y est c'est bon je crois qu'en fait c'était vraiment parce que j'arrivais à la fin à la fin de la période d'inscription et je pense qu'il y a eu un petit côté où j'avais juste besoin de relâcher de relâcher la pression en mode hop ça y est c'est fini c'est bon on va pouvoir souffler et du coup je pense que le fait de me relâcher ça a eu un petit down au niveau même hormonal tu vois où en fait c'est l'adrénaline qui a chuté Et aujourd'hui, j'observe vraiment les variations hormonales qu'on peut avoir, comment elles impactent nos états d'âme, nos émotions, nos humeurs. Et du coup, j'ai eu ce relâchement qui est arrivé. C'était vraiment pas agréable à vivre. Mais je me suis rappelée d'une chose, et ça, je te la laisse peut-être en conclusion de cet épisode. C'est que, en fait, c'est si tu te mets à écouter tes états d'âme. Si tu te mets à écouter tout ce que tu penses quand ça va pas, tu risques pas d'aller très loin. Mais ce que j'ai appris à faire, c'est même quand ça va pas, quand je suis démotivée, à ne pas écouter mes états d'âme, mais à rester focus sur mon ambition, à rester focus sur mon objectif. C'est pas mes états d'âme qui doivent parler dans ma vie, mais c'est mes objectifs, c'est mon ambition que je veux continuer à écouter, c'est mon objectif, mes ambitions qui me guident, et c'est pas mes états d'âme qui me guident. Mais par contre, ces états d'âme sont ok. Et ça, pour moi, c'est une petite révolution. Je pense que pendant des années, j'ai passé mon temps à surtout refuser de les écouter, refuser d'accepter qu'ils soient là, en fait, d'avoir des états d'âme, de regarder. Pendant des années, je ne voulais surtout pas accepter le fait que je n'allais pas bien. Tu vois ? J'ai fonctionné comme ça pendant des années. Aujourd'hui, j'apprends à le voir, à l'accepter. « Ouais, mais là, ça ne va pas, en fait. Là, ça ne va pas, Géraldine. » Ok, mais qu'est-ce qui se passe ? Mais qu'est-ce qui se passe ? Et d'avoir de la compassion, de la grâce envers moi, du coup d'écouter le message que ces états d'âme m'envoient derrière, mais c'est quoi en fait mon besoin ? Derrière toutes ces pensées là qui m'accapent, devant ces émotions qui m'entraînent dans le down et tout ça, c'est quoi le message ? Et par contre, je ne les laisse pas prendre les décisions, je ne les laisse pas me déterminer, je ne les laisse pas déterminer la situation. Je sais qu'en fait ils sont là parce qu'il y a un besoin en particulier, un besoin de repos. Il y a peut-être un besoin de retrouver de l'énergie, il y a un besoin de prendre soin de moi, etc. Et non, ce n'est pas la vérité tout ce que je pense. Non, ce n'est pas la vérité, loin de là. Par contre, ce qui me drive, ce qui me guide, c'est mes ambitions, c'est mon ambition, c'est mes objectifs, c'est le sens de ce que je fais. Et continuellement revenir à ça, c'est ça qui me permet de tenir le cap. Donc on va continuer à tenir le cap pour cette nouvelle année 2025 avec... plein de beaux projets en perspective donc reste bien connecté et puis je pense qu'on va s'arrêter là cette reprise de début d'année voilà je pense que on a fait un long je sais pas combien de temps en fait ça fait que je parle ouais peut-être une demi heure un truc comme ça voilà je pourrais peut-être continuer mais par contre j'ai la journée qui a besoin de j'ai besoin de continuer sur le reste de la journée je vais retourner à mon bureau cette fois ci et puis continuer à à faire le travail qui me passionne, autrement dit, accompagner toutes nos clientes à changer leur vie et puis t'inspirer toi au quotidien. Voilà, prends soin de toi. J'espère que cette balade a été bonne. Voilà, et puis je te dis à lundi prochain. Allez, ciao, ciao.

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Description

Après un mois de janvier chargé de défis, d’apprentissages, de succès… et de quelques critiques piquantes, je te retrouve pour un échange authentique et sans filtre. Je te partage les coulisses de ce début d’année intense : leçons tirées de mon challenge avec 1400 participantes, gestion des critiques, astuces pour préserver son énergie, et surtout, comment je transforme les coups durs en moteur. Si tu cherches à rester ancrée malgré la tempête, cet épisode est fait pour toi.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue à toi dans Simplifie, le podcast qui est là pour t'aider à simplifier ta vie. C'est le grand retour du podcast. Ça fait, je crois, à peu près un mois. Oui, ça doit être ça à peu près. Un mois que je n'ai pas sorti de nouvel épisode sur cet espace-là. Et j'avais envie de commencer en te remerciant de ta patience, en te disant que tu m'as manqué, que l'enregistrement de ces épisodes m'a beaucoup manqué. Et puis en te disant que je suis super heureuse de te retrouver pour un nouvel épisode chaque semaine, chaque lundi matin, tu vas pouvoir découvrir un nouvel épisode de Simplifi en mode totalement informel. C'est-à-dire que chaque lundi matin, on va partir en balade ensemble. J'essaie d'enregistrer ces épisodes le plus possible en balade, au calme, à la campagne. Et en te disant ça, bien sûr, bien sûr, qu'est-ce qui arrive ? Un énorme camion face à moi, on va le laisser passer. Voilà. Alors ça, si t'es habitué aux épisodes de Simplifi, tu connais le truc. Il se passe toujours des choses dans l'enregistrement de mes épisodes. Si tu débarques avec tes nouvelles, bienvenue dans mon univers. Et puis je vais en profiter pour me présenter. Donc si tu ne me connais pas, je m'appelle Géraldine et je suis la créatrice des Paulettes Imperfaites. Aujourd'hui j'accompagne les femmes qui sont débordées, fatiguées, épuisées à sortir de la pression, à retrouver leur respiration en faisant de la place dans leur vie, de la place chez toi, de la place en toi, à te retrouver toi pour pouvoir profiter de ta vie. Ça c'est mon travail, aujourd'hui on accompagne à peu près, en nombre de clientes, on en a à peu près une cinquantaine actuellement, cinquantaine qui, mois après mois, apprend à retrouver le goût de la vie. Le goût de la simplicité qui petit à petit arrive à sortir du mode survie pour arriver enfin à vivre et à profiter de la vie. C'est un travail qui me passionne et puis aujourd'hui on est une belle communauté, la communauté des Paulettes. Notre objectif c'est vraiment d'être focus sur l'essentiel, apprendre à vivre en étant focus sur l'essentiel et en apprenant à se simplifier la vie chaque jour au quotidien pour te permettre notamment aussi d'équilibrer, de concilier ta vie pro et ta vie perso. Voilà un peu le programme. Alors du coup les Paulettes ça existe depuis maintenant cinq ans. Cette année on va fêter les cinq ans des Paulettes. Et vraiment c'est une belle aventure. Je me réjouis trop de tout ce qu'on va encore vivre cette année ensemble. Il y a des belles choses en perspective, des beaux projets en perspective. Et je suis trop heureuse du coup de pouvoir reprendre l'enregistrement de ces épisodes. Alors pourquoi il y avait cet arrêt ? Tout simplement parce qu'au mois de décembre, pour celle qui était là, Du coup, j'ai diffusé chaque jour un épisode avec le calendrier de l'Avent. Et au bout de ces 24 jours, j'avoue que ça a été bien défiant pour moi. J'ai ressenti vraiment le besoin de faire une pause, vraiment le besoin de pouvoir déposer ça pour retrouver de l'énergie, retrouver de l'inspiration, retrouver du plaisir à enregistrer ces épisodes. Le mois de janvier a été un mois très intense, puisque nous avons eu l'ouverture de nouvelles promos pour notre parcours de coaching Simplify. On a organisé un week-end en présentiel pour nos clientes qui s'appelle le week-end des Paulettes, qui est un week-end de coaching. Et puis, ça y est, le mois de janvier est fini et j'atterris, j'atterris. Et quand j'atterris, je retrouve de l'espace. Et quand je retrouve de l'espace, je retrouve de l'espace pour créer, pour être inspirée, pour tchatcher avec toi tout simplement. Donc voilà, on reprend chaque semaine un épisode de Simplify. Alors de quoi est-ce que je vais te parler aujourd'hui ? Mystère et boule de gomme. Moi-même, je ne le sais pas. Voilà, ça, c'est ma petite touche à moi. En fait, tous les lundis matins, on va partir en balade ensemble. J'aime bien enregistrer ces épisodes en marchant. Je déteste être derrière un micro et puis te dérouler mon texte. Je n'aime pas ce format-là. Moi, ce que j'aime, c'est vraiment pouvoir être en mode... J'appelle ça le marché parlé. C'est-à-dire que je crois que quand tu marches, en fait... Ça crée des connexions spécifiques dans ton cerveau que t'as pas quand t'es assis derrière un bureau. Moi, ça m'aide à réfléchir, ça m'aide à prendre du recul sur la vie. Et du coup, j'aime beaucoup enregistrer ces épisodes en marchant. Et puis, mon encouragement, c'est que toi, lorsque tu écoutes ces épisodes, je t'invite à aller marcher, en fait. Je t'invite à te mettre en mouvement. Parce que le mouvement, je crois que c'est le meilleur des antidépresseurs. Et que quand tu vois flou, quand tu manques de clarté, quand tu manques de discernement, quand t'as le moral dans les chaussettes, quand ça va pas, va marcher. Sors, mets tes chaussures, mets tes baskets, va marcher ou va courir, peu importe, mais mets-toi en mouvement et très rapidement tu vas voir combien le brouillard va s'éclaircir, combien la dopamine de l'effort va te faire du bien. va te permettre de voir ce que tu n'avais peut-être pas vu jusqu'à présent, va te permettre de voir des angles différents. Et c'est extrêmement précieux. Donc du coup, je t'invite à aller marcher en écoutant ces épisodes, à prendre un petit temps pour toi, allez, une vingtaine de minutes, et puis de mettre ce moment à part dans ton quotidien, cette petite bulle juste pour toi de début de semaine. Et donc, ce qui se passe, c'est que souvent, il y a un sujet sur lequel j'ai envie d'aller avec toi et puis il y a des fois où comme aujourd'hui j'ai plus envie d'être en mode allez viens au tchatch et puis on se raconte nos vies ok ? Donc aujourd'hui c'est un peu ce mode là, on se raconte nos vies ou je te raconte ma vie du moins et bien sûr en fait moi ce que j'adore c'est quand vous réagissez à mes épisodes soit par exemple en messagerie sur Instagram, soit par email que vous m'envoyez vos retours, ça c'est le côté un peu frustrant du podcast où il n'y a pas d'échange possible derrière, mais n'hésite pas à rebondir, à réagir, à me dire ce que tu aimes dans ces podcasts, à noter ce podcast. Si tu es sur Apple Podcasts, à le noter, à mettre 5 étoiles, à mettre un petit commentaire, parce que moi, ça m'encourage trop, ça m'encourage à continuer. Et ça donne aussi de la visibilité au podcast. Ça permet que d'autres puissent découvrir ce petit espace qui est là vraiment pour te faire du bien. Vraiment pour te faire du bien, pour t'inspirer, pour te rebooster, pour te partager mon énergie. Aussi pour partager mes galères, les moments pas simples par lesquels je peux passer. Le podcast c'est un moyen pour moi que j'aime bien utiliser pour ça aussi, qui me permet d'être très authentique. Parce que l'idée c'est surtout pas de te faire croire qu'une vie parfaite ça existe. L'idée c'est pas de te faire croire que la vie, une fois que tu as réglé tous tes problèmes avec une méthode XY, ta vie elle aura changé du jour au lendemain. Non ! Non, aujourd'hui, les Paulettes, on est dans la vérité, on est dans l'authenticité, on est dans l'imperfection la plus parfaite, j'allais dire. On est vraiment dans la vulnérabilité plus, plus, plus. Donc ici, tu vas entendre mes coups de cœur, tu vas entendre mes coups de gueule aussi, des fois, ça m'arrive. Tu vas entendre mes victoires, tu vas entendre mes galères, tu vas entendre beaucoup de choses. Et l'idée, c'est de pouvoir t'inspirer et puis de te donner un... Un maximum d'éléments, de choses, de réflexions, de prises de conscience. Tu verras que j'utilise beaucoup ce mot-là. Mon objectif, c'est de te permettre d'avoir des prises de conscience pour toi, pour ta propre vie, pour t'aider à sortir de l'épuisement, pour t'aider à sortir de la pression, pour t'aider à sortir du trop et retrouver la simplicité, le goût de vivre, de profiter de la vie. Voilà, tout simplement. Alors, où est-ce que je me trouve ce matin pour t'enregistrer cet épisode ? Je me trouve en pleine campagne. Donc moi, j'habite dans le nord Béarn. Depuis peu, on a déménagé il y a quelques mois avant que j'habitais à Toulouse. On est dans le Nord Béarn et on habite à la campagne maintenant. Et du coup, je suis allée déposer les enfants à l'école. Et je me suis arrêtée en cours de route pour trouver une petite route, un petit chemin. Ma foi, plutôt sympathique, avec un soleil incroyable, une vue sur les montagnes magnifiques, qui sont pleines de neige, elles sont toutes blanches. Les champs qui sont encore blancs de la gelée du matin. Alors j'ai froid, mais je suis bien couverte et c'est un pur régal de passer ce moment avec toi ici. Alors l'idée c'est que je te donne un petit peu des news. Je t'ai dit aujourd'hui ce podcast il n'y aura peut-être ni queue ni tête. C'est vraiment un mode totalement informel aujourd'hui, reprise de contact, on va se dire ça comme ça. Partage de nouvelles, où j'en suis de mon côté, qu'est-ce qui se passe chez les Paulettes, comment se passe ce début d'année, je vais un petit peu te raconter les coulisses de ce démarrage de début d'année si ça te va. Alors, j'ai terminé l'année avec le calendrier de l'Avent d'Epaulette, où chaque jour, je te déposais un petit audio sur ton podcast préféré, j'espère, mais lui, nettoie, si ce n'est pas le cas, pour t'encourager et te partager aussi un peu plus de ma vie, te partager un peu les différentes étapes par lesquelles je suis passée et comment je suis passée d'une maman totalement épuisée à une entrepreneur épanouie, à une entrepreneur qui kiffe sa vie, qui profite de la vie, malgré... Les challenges parce que qui dit entrepreneur qui dit challenge ok je t'ai raconté tout ça et puis ben à la suite de ça il y a eu un temps de vacances de pause qui m'a fait vraiment beaucoup de bien on a passé des chouettes chouettes vacances en fait on n'est pas parti de chez nous on est resté pendant quinze jours chez nous tranquille et ces quinze jours là ils ont été trop précieux aujourd'hui on a appris un truc c'est que partir au moment des fêtes c'est la cata avec les enfants franchement à chaque fois qu'on a fait ça Ça a été trop galère parce que les enfants sont tombés malades. La plupart du temps c'est la gastro ou la grippe. Et choper la gastro ou la grippe quand t'es pas chez toi. Ah la galère ! Donc en fait on sait que c'est une période où les enfants sont très fatigués, ils sont plus faibles au niveau immunitaire, nous aussi. C'est une période où on a besoin de repos, parce qu'il y a aussi tout le démarrage de l'année, on a vraiment besoin de se reposer de vacances, et puis on a aussi envie de profiter, de vivre des bons moments de partage, des cours de vitalité, et pas envie de perdre de l'énergie dans des déplacements, dans des rencontres. des repas qui s'enchaînent, on aspire à beaucoup de simplicité dans cette période-là. Donc on est resté très tranquille et puis on a fêté ça ici. C'était vraiment une chouette période et j'ai réussi à prendre une semaine totalement off, sans travail, ça c'était vraiment très très agréable. Comment j'ai réussi à faire ça ? Tout simplement parce que j'ai anticipé pas mal de choses avant de partir, avant de couper. Et ça, ça m'a permis vraiment de vivre des vacances plutôt sereines. Et puis, la deuxième semaine des vacances, j'ai quand même repris quelques heures de travail. Pourquoi ? Parce qu'à partir du 6 janvier, on a lancé le challenge Simplicité. Le challenge Simplicité, c'est un challenge de cinq jours, où l'idée de chaque jour, c'était de pouvoir te donner des tips, des astuces, des conseils, te donner des clés pour t'aider à sortir de la pression, en t'apprenant à simplifier ta vie. Et franchement, ça a été juste incroyable cette semaine de challenge. Moi, j'étais super contente de pouvoir démarrer l'année comme ça, de manière très intentionnelle, très focus. Dès le 6 janvier, ça m'a donné un élan. Il y avait de l'excitation de me dire, allez, c'est le début d'année, on y va, go, c'est parti, on n'attend pas. Voilà, ça m'a mis en énergie. C'était une semaine très particulière parce que pour te donner les coulisses, en fait, on a eu un nombre énorme d'inscrits, vraiment. On a rarement eu, jamais, on n'a jamais eu autant d'inscrits, nous étions à peu près 1400, c'était vraiment incroyable de vivre ça. Et puis, alors ça c'était incroyable, donc du coup il y a eu aussi beaucoup d'échanges, beaucoup de monde présent lors des lives, beaucoup de personnes qui ont regardé aussi les replays des lives, etc. Et il y a eu une contrepartie de ça, à côté du côté très exaltant, palpitant, de vivre ça ensemble. La contrepartie, ça a été que pour la première fois, j'ai dû faire face à des critiques sur mon travail assez... Comment on dit ? Acerbe ? Je ne sais pas si c'est le mot. Assez vive ! Et encore, je pense que c'était vraiment gentil comparé à ce que d'autres entrepreneurs peuvent vivre, au travers de ce que je découvre petit à petit. Mais moi, c'était la première fois. Et j'avoue que lorsque... Pour ton premier jour de défi, premier live, t'es tout chaud, tout patate, il y a le stress, il y a la pression, parce que c'est un exercice extrêmement difficile. C'est vraiment un exercice difficile de faire des challenges. Maintenant je commence un petit peu plus à avoir un peu plus d'expérience donc je le vis de mieux. Mais quoi qu'il en soit, quand tu démarres un challenge, 5 jours de live, où t'as envie, t'as à coeur de pouvoir vraiment aider et servir les personnes qui sont connectées, et que dès le premier live, Tu te prends des commentaires. Ok, vraiment des commentaires en mode ok, ça sert à rien, c'est que du blabla, ciao, des critiques super acerbes sur ma façon de faire. Je... Franchement, c'était nouveau. Je n'ai jamais eu à vivre ça. Alors ce qui était intéressant, c'est après, qu'est-ce que j'en ai fait de ça ? Qu'est-ce que j'ai fait de ce qui s'est passé ? Bon, sur le coup, il faut le gérer. Sur le coup, il faut le gérer. Rester ancrée dans ce qu'on fait, dans ce qu'on croit, dans pourquoi on est là, voilà, et pas se laisser démonter. Et puis après, il y a l'après-coup. L'après-coup, il y a beaucoup de colère, en fait. Il y a beaucoup de colère qui arrive. Moi, ça a été le cas. J'étais extrêmement en colère par rapport à ce qui s'est passé. Et puis, une fois que la colère, j'ai pu l'exprimer de façon légitime, j'ai réussi à prendre du recul en me disant, OK, en fait, c'est qui ces personnes ? En fait, quel est le poids et le crédit que je veux donner à leur vie dans ma vie ? Est-ce que ces personnes, en fait, elles ont fait ce que je fais ? Est-ce qu'elles ont fait mieux que ce que je fais ? Est-ce que du coup, elles ont quelque chose à m'apprendre ? Ou est-ce qu'en fait, j'ai juste... En fait, j'en ai juste rien à faire. J'en ai juste rien à faire, parce que si ça ne te rejoint pas ce que je fais, si ça ne te parle pas et si ça ne t'intéresse pas, tu peux y aller, il n'y a pas de souci. Et ça, je pense que c'est vraiment le... Je suis contente d'avoir réussi à... à faire ce pas de côté, et puis à vraiment me rappeler en fait, de qui est-ce que je prends la critique ? Et en fait, plus tu t'exposes sur la place publique, comme on dit, plus forcément tes sujets à être jugés, tes sujets à être regardés, tes sujets à être critiqués. Jusque-là, je ne m'en étais pas trop bien sortie, puis je pense que quelque part, il y a une partie de moi qui s'arrange pour que ça ne se produise pas. Il y a une partie de moi qui évite d'être trop clivante, il y a une partie de moi qui fait attention à ne pas être jugeante. Il y a une part de moi qui arrondit beaucoup les bords, et encore j'ai quand même pas mal cheminé, il me semble, depuis une année encore. Mais voilà, il y a toujours une partie de moi qui essaie d'être la plus consignante possible parce que j'aime pas les conflits, j'aime pas les critiques, etc. Donc il y a une partie de moi qui l'évite franchement. Et là, le fait de m'y être confrontée, ça m'a vraiment, vraiment permis de me ré-ancrer sur « Mais qui a le droit de parler sur ma vie et sur mon travail ? » À qui est-ce que je laisse du poids dans ces paroles ? Je ne peux pas interdire les gens de parler, mais par contre, en fait, je peux... En fait, de qui est-ce que je prends et de qui est-ce que je ne prends pas ? Voilà, tout simplement. Et vraiment, ça m'a permis de reposer le fait que les personnes dont je prends les avis, les personnes dont je prends les conseils, les personnes dont je prends le regard, déjà, à la base, c'est parce qu'il est bienveillant. Si tu n'es pas bienveillant, au revoir, ciao ! Ciao ! Secondo, je prends ça de mes proches qui me connaissent bien, de mes amis qui connaissent l'enjeu, les responsabilités que j'ai sur les épaules, qui sont là pour me soutenir et m'encourager dans une certaine redevabilité avec eux. Je prends aussi l'avis, les conseils de mes clientes, de celles qui sont engagées dans nos parcours, qui vivent, qui expérimentent au quotidien ce qu'on vit ensemble et je prends aussi les avis et les critiques. et les conseils des personnes qui font ce que je fais ou qui l'ont déjà fait et qui sont allées plus loin que moi. Ça, c'est le champ des personnes qui ont le droit de parler sur mon travail ou sur ma vie. Les autres. C'est à partir du moment où ta posture n'est pas bienveillante, où tu n'es pas là juste parce que tu as envie de servir, tu as envie de contribuer, parce qu'en fait tu es juste là pour juger, critiquer, parce qu'en fait... Peut-être que ce que ça te renvoie, c'est beaucoup de frustration ou beaucoup de jalousie, ou ça te fait un miroir sur toi, sur tous les endroits où toi t'es freinée, où tu te sens bloquée. Et du coup, la façon dont tu l'exprimes, c'est avec la critique et le jugement. Je suis désolée pour toi. Il y a une part de moi qui compatit même, en fait. Il y a vraiment une part de moi qui compatit. Mais c'est juste que par contre, ça, ben non, je ne vais pas prendre. Désolée. Moi, je vais le laisser sur le bord de la route, puis je vais continuer à avancer. Et franchement... C'était dur à vivre cette épreuve-là, mais franchement j'ai appris, j'ai vachement appris. Ça ne veut pas dire que je me suis blindée, et je pense que je vais continuer à devoir apprendre à gérer ça, mais ça m'encourage encore un peu plus à être profondément moi-même, à être profondément qui je suis. Et je sais que si je suis profondément moi-même et profondément qui je suis, je vais écliver en fait. Il y a des personnes que ça va gêner, il y a des personnes qu'elles ne vont pas aimer. Et ça, j'ai besoin vraiment de continuer à apprendre à faire ça. Et à être profondément qui je suis, sans vouloir tout le temps arrondir les angles pour être appréciée, pour être aimée, pour ne pas être rejetée. On a tous ces failles-là, mais je crois que là, je les ai vécues de plein fouet lors de ce challenge. Donc pour boucler la boucle, gros apprentissage. Sama, j'avoue qu'il y a aussi une part où forcément, tu te fais un retour sur toi en mode, OK, est-ce qu'il y a des trucs, en fait, que j'aurais pu faire autrement ? et tout en ne changeant pas le fond de ce que je veux faire ou qui je suis mais en le faisant en m'améliorant en fait et ça forcément oui j'ai vu des endroits où je me dis ok là en fait j'étais pas prête là j'avais mal préparé mon truc là c'était pas calé etc donc moi c'est génial parce que du coup ça m'a permis d'affiner aussi les choses derrière mais en soi le fond de ce que j'amène ça reste le même et ça ne changera pas voilà donc Vraiment une semaine riche, extrêmement riche. A l'issue de ça, on a ouvert les portes du programme du parcours Simplifi pour toutes celles qui avaient envie de se lancer dans ce parcours de coaching avec nous, qui avaient envie de trouver les moyens vraiment de sortir de l'épuisement et puis de se retrouver elles, de retrouver leur vie, de retrouver le kiff, le fait de profiter de leur vie. Et puis on va démarrer avec toutes les nouvelles inscrites cette semaine. On a deux nouvelles promos qui démarrent, on est super content. Avec encore une fois, et à chaque fois, des femmes incroyables, des femmes avec des parcours de vie incroyables, avec des souffrances, des difficultés, des challenges et aussi des envies, des désirs, des rêves. Et du coup, à partir de tout ce que... Tous les échanges que j'ai eu lors des appels, etc. Il y a tellement de belles choses qui sont ressorties. On va vivre vraiment, encore une fois, une aventure incroyable avec ces deux promos-là. Et on est hyper fiers, hyper nourris de leur confiance. Et si tu en fais partie, encore un grand merci de nous avoir rejoints. Et on est très honorés de pouvoir t'accompagner, moi et mon équipe, sur ce chemin. D'être à tes côtés pendant six mois. Investir du temps, de l'énergie avec toi pour t'aider à te retrouver. pour t'aider à simplifier ta vie, pour t'aider à retrouver cette respiration dont tu as tant besoin. Ça va être vraiment un parcours excitant. Et puis, juste après ce challenge, qu'est-ce qui s'est passé ? Alors là, c'est là où j'ai mis les bouches, comment on dit ? Bouchées doubles, c'est ça, bouchées doubles. Moi, j'avais très envie de pouvoir démarrer aussi de manière très intentionnelle avec l'organisation de notre week-end d'épaulettes. Le week-end d'épaulettes, c'est notre week-end de coaching qu'on organise pour... toutes les clientes qui sont dans nos parcours de coaching, dans les parcours Simplify et dans les parcours au-delà, parce qu'il y a les coulisses des Paulettes aussi, dont je parle rarement. Mais après Simplify, il existe d'autres choses. Et donc, du coup, on s'est toutes retrouvées à Toulouse pendant un superbe week-end, dans un lieu trop beau, trop classe, que j'adore, un super hôtel. Et puis, on a vécu un jour et demi, ou deux jours, mais... Oh my god ! Je pense que c'est le plus fort, le plus impactant, le plus intense, je crois, des week-ends qu'on ait fait. Donc les week-ends d'épaulettes, le principe, c'est qu'en fait, à chaque fois que tu fais le parcours simplifié qui dure six mois, au moins une fois dans ton parcours, tu vas pouvoir vivre un week-end de coaching en présentiel. Et ce week-end, il est vraiment conçu pour t'aider à prendre du temps pour toi, déconnecter du quotidien. Ça fait partie du coaching. On t'accompagne pour créer de l'espace pour toi dans ta vie. Et donc, oser prendre un week-end pour toi, pour certaines, ça fait très longtemps qu'elles ne l'avaient pas fait. Et certaines, ça ne s'est même jamais arrivé. Donc du coup, c'est l'occasion de t'aider. On t'aide à organiser ça. On t'aide à avancer petit pas après petit pas pour réaliser ce projet pour toi. Et puis, on te fait vivre un week-end. de déconnexion, de détente, de cocooning, voilà. Et en même temps, l'idée, c'est de vivre des temps de coaching ensemble où on va aller vraiment travailler en profondeur sur des sujets sur lesquels le distanciel s'y prête moins. Et puis, je reste assez large, vague peut-être, parce qu'en fait, j'adore ne pas divulguer le programme. J'adore qu'en fait, elle puisse découvrir, avoir la surprise et puis être en mode lâcher prise. Je ne sais pas ce que je vais vivre, mais j'accepte. Ça fait partie du travail de coaching d'apprendre à lâcher prise. Et je viens et je vais vivre le truc pleinement. Et à chaque fois, la sauce, elle prend. La sauce, elle prend. Elles ne repartent pas comme elles sont arrivées. Il y a des transformations incroyables. Moi, je vais même utiliser le mot libération, vraiment. Il y a un avant et un après. Elles repartent libérées de fardeaux, libérées de poids, libérées de croyances qu'elles ont sur leur vie. elles repartent renouvelées, elles repartent inspirées, elles repartent rechargées et vraiment c'est des week-ends, je pense qu'il y a un avant et un après je ne sais pas comment l'expliquer en tout cas c'était vraiment un super week-end, on était vraiment nombreuses on était une trentaine, vous étiez et puis ça c'est chouette parce qu'il y a une très belle dynamique et en même temps ça garde un côté aussi très très convivial ça permet que les unes et les autres puissent se rencontrer parce que Le coeur du coeur de nos parcours de coaching c'est qu'on vit tout ça en groupe en fait. Et du coup ça permet aussi au groupe de se retrouver, d'approfondir les amitiés. Parce qu'il y a des amitiés qui se créent dans ces parcours, c'est un truc de fou ! Et je sais que vous gardez le contact souvent très longtemps après, donc c'est juste trop beau de voir ça. Donc voilà, on a vécu un week-end très intense avec... Avec notre équipe qui était là, la deuxième coach de notre parcours qui s'appelle Magali, avec du coup aussi notre nouvelle assistante qui s'appelle Judith, avec Mathias mon associé, et puis avec nos enfants qui étaient là aussi et qui ont participé dans le service et qui ont contribué. C'était vraiment un super week-end. Voilà, donc du coup franchement, un mois de janvier extrêmement rempli. Vraiment extrêmement remplie, c'était super intense. J'avoue qu'à la fin du mois de janvier, j'ai un peu, j'ai traîné un peu la patte là, en bas d'un. Bon, va falloir ralentir un petit peu là maintenant, parce que j'ai besoin d'un peu respirer. Mais c'était choisi, c'était voulu, c'était assumé. Et j'ai fait attention dans tout ça à énormément préserver mon énergie. Je pense que c'est aussi la première fois que je suis aussi intentionnelle quand je vis des périodes extrêmement intenses. Parce que je pense qu'il n'y a que quand tu es entrepreneur que tu peux comprendre ce que ça peut représenter en termes d'intensité en lancement. Des périodes comme ça de réouverture de promo, de recherche de nouvelles clientes, d'organisation d'événements potentiels, enfin tout ça c'est vraiment... ça occupe tout ton espace mental en fait. Ça occupe tout ton espace mental ! Donc c'est bien qu'en fait après il y ait des périodes aussi où ça ralentisse. Et puis là ça y est j'en sors, donc le mois de février va être un mois... Il y a les vacances, il y a déjà une semaine de vacances que je vais pouvoir prendre de pause. Et puis ça va être l'occasion par contre de démarrer tous nos nouvelles promos, de démarrer l'accompagnement et puis moi de ré-atterrir un petit peu. D'où ma présence ici. Donc voilà pour le bilan de ce premier mois. Alors voilà, ça y est j'ai le titre de mon épisode, ça y est. Alors ça va faire souvent comme ça, si tu me connais pas tu vas découvrir le titre, on va le découvrir qu'à la fin, qu'à la fin. Donc voilà, bilan de ce mois de janvier, de ce démarrage d'année. Un démarrage très fort. Ah oui, je n'ai pas fini la boucle, pardon. Donc je te disais que du coup, j'avais fait attention à préserver mon énergie. Qu'est-ce que j'ai fait pour préserver mon énergie ? Alors, j'ai vraiment mis un focus sur mon hygiène de vie. Voilà. C'est vraiment à cet endroit-là, pour préserver mon énergie, que j'ai mis la priorité. Donc, j'ai vraiment fait de l'espace pour faire du sport de manière très intentionnelle. J'avais prévu d'avoir le crossfit deux fois. Par semaine, ça a été intermittent. Je n'ai pas réussi à le faire régulièrement parce qu'il y a des journées de travail où en fait je n'avais pas... J'avais trop de travail en fait, vraiment trop de travail à faire dans la journée. Et du coup, impossible pour moi en fait de partir faire du sport à l'heure de la séance prévue. En fait, c'était ça le truc contraignant. Donc du coup, je me suis adaptée. Je n'ai pas réussi à aller au sport deux fois par semaine, mais par contre, enfin au crossfit deux fois par semaine. Mais en fait, j'ai réussi à contrebalancer. Si je n'arrivais pas à aller à une séance de CrossFit, du coup, je partais courir. Et puis, du coup, j'ai réussi à garder un rythme comme ça, régulier, où chaque semaine, j'avais vraiment deux à trois séances de sport, vraiment. Le sport, j'ai découvert vraiment cette dernière année que c'est un moyen pour moi de préserver ma santé mentale, en fait, vraiment. C'est un moyen d'évacuer mon stress. C'est un moyen de gagner en clarté. C'est un moyen de... De prendre soin de moi qui est très fort, très puissant. Aujourd'hui, je reprends vraiment du goût à ça, je vois vraiment les fruits dans ma vie. J'ai beaucoup de grâces et de bienveillance par rapport à ça, donc je n'ai pas envie de me... Je ne sais pas, de toute façon, tomber dans des disciplines extrêmement fortes. Je ne sais pas m'imposer des choses très violentes. Mais en fait, ce que j'aime, c'est être à l'écoute de mes besoins. Être à l'écoute de mes envies, ça j'ai appris à le faire et du coup quand je suis à l'écoute de ça, naturellement j'ai envie de faire du sport. Et même si je ne suis pas très motivée pour courir, je regarde à quel est mon besoin, c'est quoi ? Est-ce que j'ai vraiment besoin de me reposer ? Parce que physiquement, je suis vraiment trop crevée et que ce n'est pas du sport dont j'ai besoin, c'est vraiment de repos. Et là c'est ok, je lâche. Ou alors est-ce que je ne me sens pas bien, mais c'est une fatigue cognitive, c'est une fatigue émotionnelle et là ça veut dire que j'ai besoin d'aller bouger. Et à chaque fois que je me pose cette question, généralement derrière j'arrive à enclencher en me disant « Allez, je vais juste aller sortir 5 minutes, je mets mes baskets, je vais courir 5 minutes. » Puis au final, j'ai toujours envie de faire plus. Donc ça c'est vraiment top, j'ai fait attention particulièrement aussi à mon sommeil, avoir un nombre suffisant d'heures de sommeil. J'ai fait attention à mon alimentation aussi, à vraiment les excès des vacances de Noël, etc. C'était génial ! Je me suis fait plaisir, mais alors si je continue au mois de janvier comme ça, c'était vraiment la cata, parce que je sens qu'en fait mon alimentation a un impact direct sur mon niveau d'énergie, donc du coup j'ai fait attention à ça. Ce qui fait que vraiment, malgré comme je t'ai dit une baisse de régime à la fin du mois, je ne me suis pas, en vrai je ne me suis pas écroulée comme j'ai déjà pu m'écrouler. Je sais que des paris de lancement, j'en ai vécu plusieurs comme ça, où vraiment j'ai terminé, je pense même pas déprimée. pas dépressive, loin de là, mais déprimée, en mode plus de jus, il n'y a plus, il n'y a plus. Voilà, je ne me demandais plus rien, je suis aux abonnés absents, je n'arrive plus à rien faire, et en fait là, vraiment, malgré l'intensité de tout ce que j'ai vécu, j'étais bien en fait, je suis bien. Et ça, ça fait plaisir. Et là, je me dis, c'est bon, là, t'as appris, ça y est. Ça y est, t'es en train d'apprendre de toutes les fois où t'as galéré, de tous les échecs que t'as eus, t'es en train d'apprendre à vraiment prendre soin de toi, à te garder au centre de ton business, sans te mettre de côté, sans t'oublier. Et ça, vraiment, c'est une belle victoire pour moi. Donc, je suis trop contente de pouvoir partager ça avec toi. J'ai eu un coup de mou quand même à la fin du mois. Je pense que c'était la semaine dernière. Vraiment un petit passage à vide en mode ah ça y est c'est bon je crois qu'en fait c'était vraiment parce que j'arrivais à la fin à la fin de la période d'inscription et je pense qu'il y a eu un petit côté où j'avais juste besoin de relâcher de relâcher la pression en mode hop ça y est c'est fini c'est bon on va pouvoir souffler et du coup je pense que le fait de me relâcher ça a eu un petit down au niveau même hormonal tu vois où en fait c'est l'adrénaline qui a chuté Et aujourd'hui, j'observe vraiment les variations hormonales qu'on peut avoir, comment elles impactent nos états d'âme, nos émotions, nos humeurs. Et du coup, j'ai eu ce relâchement qui est arrivé. C'était vraiment pas agréable à vivre. Mais je me suis rappelée d'une chose, et ça, je te la laisse peut-être en conclusion de cet épisode. C'est que, en fait, c'est si tu te mets à écouter tes états d'âme. Si tu te mets à écouter tout ce que tu penses quand ça va pas, tu risques pas d'aller très loin. Mais ce que j'ai appris à faire, c'est même quand ça va pas, quand je suis démotivée, à ne pas écouter mes états d'âme, mais à rester focus sur mon ambition, à rester focus sur mon objectif. C'est pas mes états d'âme qui doivent parler dans ma vie, mais c'est mes objectifs, c'est mon ambition que je veux continuer à écouter, c'est mon objectif, mes ambitions qui me guident, et c'est pas mes états d'âme qui me guident. Mais par contre, ces états d'âme sont ok. Et ça, pour moi, c'est une petite révolution. Je pense que pendant des années, j'ai passé mon temps à surtout refuser de les écouter, refuser d'accepter qu'ils soient là, en fait, d'avoir des états d'âme, de regarder. Pendant des années, je ne voulais surtout pas accepter le fait que je n'allais pas bien. Tu vois ? J'ai fonctionné comme ça pendant des années. Aujourd'hui, j'apprends à le voir, à l'accepter. « Ouais, mais là, ça ne va pas, en fait. Là, ça ne va pas, Géraldine. » Ok, mais qu'est-ce qui se passe ? Mais qu'est-ce qui se passe ? Et d'avoir de la compassion, de la grâce envers moi, du coup d'écouter le message que ces états d'âme m'envoient derrière, mais c'est quoi en fait mon besoin ? Derrière toutes ces pensées là qui m'accapent, devant ces émotions qui m'entraînent dans le down et tout ça, c'est quoi le message ? Et par contre, je ne les laisse pas prendre les décisions, je ne les laisse pas me déterminer, je ne les laisse pas déterminer la situation. Je sais qu'en fait ils sont là parce qu'il y a un besoin en particulier, un besoin de repos. Il y a peut-être un besoin de retrouver de l'énergie, il y a un besoin de prendre soin de moi, etc. Et non, ce n'est pas la vérité tout ce que je pense. Non, ce n'est pas la vérité, loin de là. Par contre, ce qui me drive, ce qui me guide, c'est mes ambitions, c'est mon ambition, c'est mes objectifs, c'est le sens de ce que je fais. Et continuellement revenir à ça, c'est ça qui me permet de tenir le cap. Donc on va continuer à tenir le cap pour cette nouvelle année 2025 avec... plein de beaux projets en perspective donc reste bien connecté et puis je pense qu'on va s'arrêter là cette reprise de début d'année voilà je pense que on a fait un long je sais pas combien de temps en fait ça fait que je parle ouais peut-être une demi heure un truc comme ça voilà je pourrais peut-être continuer mais par contre j'ai la journée qui a besoin de j'ai besoin de continuer sur le reste de la journée je vais retourner à mon bureau cette fois ci et puis continuer à à faire le travail qui me passionne, autrement dit, accompagner toutes nos clientes à changer leur vie et puis t'inspirer toi au quotidien. Voilà, prends soin de toi. J'espère que cette balade a été bonne. Voilà, et puis je te dis à lundi prochain. Allez, ciao, ciao.

Description

Après un mois de janvier chargé de défis, d’apprentissages, de succès… et de quelques critiques piquantes, je te retrouve pour un échange authentique et sans filtre. Je te partage les coulisses de ce début d’année intense : leçons tirées de mon challenge avec 1400 participantes, gestion des critiques, astuces pour préserver son énergie, et surtout, comment je transforme les coups durs en moteur. Si tu cherches à rester ancrée malgré la tempête, cet épisode est fait pour toi.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue à toi dans Simplifie, le podcast qui est là pour t'aider à simplifier ta vie. C'est le grand retour du podcast. Ça fait, je crois, à peu près un mois. Oui, ça doit être ça à peu près. Un mois que je n'ai pas sorti de nouvel épisode sur cet espace-là. Et j'avais envie de commencer en te remerciant de ta patience, en te disant que tu m'as manqué, que l'enregistrement de ces épisodes m'a beaucoup manqué. Et puis en te disant que je suis super heureuse de te retrouver pour un nouvel épisode chaque semaine, chaque lundi matin, tu vas pouvoir découvrir un nouvel épisode de Simplifi en mode totalement informel. C'est-à-dire que chaque lundi matin, on va partir en balade ensemble. J'essaie d'enregistrer ces épisodes le plus possible en balade, au calme, à la campagne. Et en te disant ça, bien sûr, bien sûr, qu'est-ce qui arrive ? Un énorme camion face à moi, on va le laisser passer. Voilà. Alors ça, si t'es habitué aux épisodes de Simplifi, tu connais le truc. Il se passe toujours des choses dans l'enregistrement de mes épisodes. Si tu débarques avec tes nouvelles, bienvenue dans mon univers. Et puis je vais en profiter pour me présenter. Donc si tu ne me connais pas, je m'appelle Géraldine et je suis la créatrice des Paulettes Imperfaites. Aujourd'hui j'accompagne les femmes qui sont débordées, fatiguées, épuisées à sortir de la pression, à retrouver leur respiration en faisant de la place dans leur vie, de la place chez toi, de la place en toi, à te retrouver toi pour pouvoir profiter de ta vie. Ça c'est mon travail, aujourd'hui on accompagne à peu près, en nombre de clientes, on en a à peu près une cinquantaine actuellement, cinquantaine qui, mois après mois, apprend à retrouver le goût de la vie. Le goût de la simplicité qui petit à petit arrive à sortir du mode survie pour arriver enfin à vivre et à profiter de la vie. C'est un travail qui me passionne et puis aujourd'hui on est une belle communauté, la communauté des Paulettes. Notre objectif c'est vraiment d'être focus sur l'essentiel, apprendre à vivre en étant focus sur l'essentiel et en apprenant à se simplifier la vie chaque jour au quotidien pour te permettre notamment aussi d'équilibrer, de concilier ta vie pro et ta vie perso. Voilà un peu le programme. Alors du coup les Paulettes ça existe depuis maintenant cinq ans. Cette année on va fêter les cinq ans des Paulettes. Et vraiment c'est une belle aventure. Je me réjouis trop de tout ce qu'on va encore vivre cette année ensemble. Il y a des belles choses en perspective, des beaux projets en perspective. Et je suis trop heureuse du coup de pouvoir reprendre l'enregistrement de ces épisodes. Alors pourquoi il y avait cet arrêt ? Tout simplement parce qu'au mois de décembre, pour celle qui était là, Du coup, j'ai diffusé chaque jour un épisode avec le calendrier de l'Avent. Et au bout de ces 24 jours, j'avoue que ça a été bien défiant pour moi. J'ai ressenti vraiment le besoin de faire une pause, vraiment le besoin de pouvoir déposer ça pour retrouver de l'énergie, retrouver de l'inspiration, retrouver du plaisir à enregistrer ces épisodes. Le mois de janvier a été un mois très intense, puisque nous avons eu l'ouverture de nouvelles promos pour notre parcours de coaching Simplify. On a organisé un week-end en présentiel pour nos clientes qui s'appelle le week-end des Paulettes, qui est un week-end de coaching. Et puis, ça y est, le mois de janvier est fini et j'atterris, j'atterris. Et quand j'atterris, je retrouve de l'espace. Et quand je retrouve de l'espace, je retrouve de l'espace pour créer, pour être inspirée, pour tchatcher avec toi tout simplement. Donc voilà, on reprend chaque semaine un épisode de Simplify. Alors de quoi est-ce que je vais te parler aujourd'hui ? Mystère et boule de gomme. Moi-même, je ne le sais pas. Voilà, ça, c'est ma petite touche à moi. En fait, tous les lundis matins, on va partir en balade ensemble. J'aime bien enregistrer ces épisodes en marchant. Je déteste être derrière un micro et puis te dérouler mon texte. Je n'aime pas ce format-là. Moi, ce que j'aime, c'est vraiment pouvoir être en mode... J'appelle ça le marché parlé. C'est-à-dire que je crois que quand tu marches, en fait... Ça crée des connexions spécifiques dans ton cerveau que t'as pas quand t'es assis derrière un bureau. Moi, ça m'aide à réfléchir, ça m'aide à prendre du recul sur la vie. Et du coup, j'aime beaucoup enregistrer ces épisodes en marchant. Et puis, mon encouragement, c'est que toi, lorsque tu écoutes ces épisodes, je t'invite à aller marcher, en fait. Je t'invite à te mettre en mouvement. Parce que le mouvement, je crois que c'est le meilleur des antidépresseurs. Et que quand tu vois flou, quand tu manques de clarté, quand tu manques de discernement, quand t'as le moral dans les chaussettes, quand ça va pas, va marcher. Sors, mets tes chaussures, mets tes baskets, va marcher ou va courir, peu importe, mais mets-toi en mouvement et très rapidement tu vas voir combien le brouillard va s'éclaircir, combien la dopamine de l'effort va te faire du bien. va te permettre de voir ce que tu n'avais peut-être pas vu jusqu'à présent, va te permettre de voir des angles différents. Et c'est extrêmement précieux. Donc du coup, je t'invite à aller marcher en écoutant ces épisodes, à prendre un petit temps pour toi, allez, une vingtaine de minutes, et puis de mettre ce moment à part dans ton quotidien, cette petite bulle juste pour toi de début de semaine. Et donc, ce qui se passe, c'est que souvent, il y a un sujet sur lequel j'ai envie d'aller avec toi et puis il y a des fois où comme aujourd'hui j'ai plus envie d'être en mode allez viens au tchatch et puis on se raconte nos vies ok ? Donc aujourd'hui c'est un peu ce mode là, on se raconte nos vies ou je te raconte ma vie du moins et bien sûr en fait moi ce que j'adore c'est quand vous réagissez à mes épisodes soit par exemple en messagerie sur Instagram, soit par email que vous m'envoyez vos retours, ça c'est le côté un peu frustrant du podcast où il n'y a pas d'échange possible derrière, mais n'hésite pas à rebondir, à réagir, à me dire ce que tu aimes dans ces podcasts, à noter ce podcast. Si tu es sur Apple Podcasts, à le noter, à mettre 5 étoiles, à mettre un petit commentaire, parce que moi, ça m'encourage trop, ça m'encourage à continuer. Et ça donne aussi de la visibilité au podcast. Ça permet que d'autres puissent découvrir ce petit espace qui est là vraiment pour te faire du bien. Vraiment pour te faire du bien, pour t'inspirer, pour te rebooster, pour te partager mon énergie. Aussi pour partager mes galères, les moments pas simples par lesquels je peux passer. Le podcast c'est un moyen pour moi que j'aime bien utiliser pour ça aussi, qui me permet d'être très authentique. Parce que l'idée c'est surtout pas de te faire croire qu'une vie parfaite ça existe. L'idée c'est pas de te faire croire que la vie, une fois que tu as réglé tous tes problèmes avec une méthode XY, ta vie elle aura changé du jour au lendemain. Non ! Non, aujourd'hui, les Paulettes, on est dans la vérité, on est dans l'authenticité, on est dans l'imperfection la plus parfaite, j'allais dire. On est vraiment dans la vulnérabilité plus, plus, plus. Donc ici, tu vas entendre mes coups de cœur, tu vas entendre mes coups de gueule aussi, des fois, ça m'arrive. Tu vas entendre mes victoires, tu vas entendre mes galères, tu vas entendre beaucoup de choses. Et l'idée, c'est de pouvoir t'inspirer et puis de te donner un... Un maximum d'éléments, de choses, de réflexions, de prises de conscience. Tu verras que j'utilise beaucoup ce mot-là. Mon objectif, c'est de te permettre d'avoir des prises de conscience pour toi, pour ta propre vie, pour t'aider à sortir de l'épuisement, pour t'aider à sortir de la pression, pour t'aider à sortir du trop et retrouver la simplicité, le goût de vivre, de profiter de la vie. Voilà, tout simplement. Alors, où est-ce que je me trouve ce matin pour t'enregistrer cet épisode ? Je me trouve en pleine campagne. Donc moi, j'habite dans le nord Béarn. Depuis peu, on a déménagé il y a quelques mois avant que j'habitais à Toulouse. On est dans le Nord Béarn et on habite à la campagne maintenant. Et du coup, je suis allée déposer les enfants à l'école. Et je me suis arrêtée en cours de route pour trouver une petite route, un petit chemin. Ma foi, plutôt sympathique, avec un soleil incroyable, une vue sur les montagnes magnifiques, qui sont pleines de neige, elles sont toutes blanches. Les champs qui sont encore blancs de la gelée du matin. Alors j'ai froid, mais je suis bien couverte et c'est un pur régal de passer ce moment avec toi ici. Alors l'idée c'est que je te donne un petit peu des news. Je t'ai dit aujourd'hui ce podcast il n'y aura peut-être ni queue ni tête. C'est vraiment un mode totalement informel aujourd'hui, reprise de contact, on va se dire ça comme ça. Partage de nouvelles, où j'en suis de mon côté, qu'est-ce qui se passe chez les Paulettes, comment se passe ce début d'année, je vais un petit peu te raconter les coulisses de ce démarrage de début d'année si ça te va. Alors, j'ai terminé l'année avec le calendrier de l'Avent d'Epaulette, où chaque jour, je te déposais un petit audio sur ton podcast préféré, j'espère, mais lui, nettoie, si ce n'est pas le cas, pour t'encourager et te partager aussi un peu plus de ma vie, te partager un peu les différentes étapes par lesquelles je suis passée et comment je suis passée d'une maman totalement épuisée à une entrepreneur épanouie, à une entrepreneur qui kiffe sa vie, qui profite de la vie, malgré... Les challenges parce que qui dit entrepreneur qui dit challenge ok je t'ai raconté tout ça et puis ben à la suite de ça il y a eu un temps de vacances de pause qui m'a fait vraiment beaucoup de bien on a passé des chouettes chouettes vacances en fait on n'est pas parti de chez nous on est resté pendant quinze jours chez nous tranquille et ces quinze jours là ils ont été trop précieux aujourd'hui on a appris un truc c'est que partir au moment des fêtes c'est la cata avec les enfants franchement à chaque fois qu'on a fait ça Ça a été trop galère parce que les enfants sont tombés malades. La plupart du temps c'est la gastro ou la grippe. Et choper la gastro ou la grippe quand t'es pas chez toi. Ah la galère ! Donc en fait on sait que c'est une période où les enfants sont très fatigués, ils sont plus faibles au niveau immunitaire, nous aussi. C'est une période où on a besoin de repos, parce qu'il y a aussi tout le démarrage de l'année, on a vraiment besoin de se reposer de vacances, et puis on a aussi envie de profiter, de vivre des bons moments de partage, des cours de vitalité, et pas envie de perdre de l'énergie dans des déplacements, dans des rencontres. des repas qui s'enchaînent, on aspire à beaucoup de simplicité dans cette période-là. Donc on est resté très tranquille et puis on a fêté ça ici. C'était vraiment une chouette période et j'ai réussi à prendre une semaine totalement off, sans travail, ça c'était vraiment très très agréable. Comment j'ai réussi à faire ça ? Tout simplement parce que j'ai anticipé pas mal de choses avant de partir, avant de couper. Et ça, ça m'a permis vraiment de vivre des vacances plutôt sereines. Et puis, la deuxième semaine des vacances, j'ai quand même repris quelques heures de travail. Pourquoi ? Parce qu'à partir du 6 janvier, on a lancé le challenge Simplicité. Le challenge Simplicité, c'est un challenge de cinq jours, où l'idée de chaque jour, c'était de pouvoir te donner des tips, des astuces, des conseils, te donner des clés pour t'aider à sortir de la pression, en t'apprenant à simplifier ta vie. Et franchement, ça a été juste incroyable cette semaine de challenge. Moi, j'étais super contente de pouvoir démarrer l'année comme ça, de manière très intentionnelle, très focus. Dès le 6 janvier, ça m'a donné un élan. Il y avait de l'excitation de me dire, allez, c'est le début d'année, on y va, go, c'est parti, on n'attend pas. Voilà, ça m'a mis en énergie. C'était une semaine très particulière parce que pour te donner les coulisses, en fait, on a eu un nombre énorme d'inscrits, vraiment. On a rarement eu, jamais, on n'a jamais eu autant d'inscrits, nous étions à peu près 1400, c'était vraiment incroyable de vivre ça. Et puis, alors ça c'était incroyable, donc du coup il y a eu aussi beaucoup d'échanges, beaucoup de monde présent lors des lives, beaucoup de personnes qui ont regardé aussi les replays des lives, etc. Et il y a eu une contrepartie de ça, à côté du côté très exaltant, palpitant, de vivre ça ensemble. La contrepartie, ça a été que pour la première fois, j'ai dû faire face à des critiques sur mon travail assez... Comment on dit ? Acerbe ? Je ne sais pas si c'est le mot. Assez vive ! Et encore, je pense que c'était vraiment gentil comparé à ce que d'autres entrepreneurs peuvent vivre, au travers de ce que je découvre petit à petit. Mais moi, c'était la première fois. Et j'avoue que lorsque... Pour ton premier jour de défi, premier live, t'es tout chaud, tout patate, il y a le stress, il y a la pression, parce que c'est un exercice extrêmement difficile. C'est vraiment un exercice difficile de faire des challenges. Maintenant je commence un petit peu plus à avoir un peu plus d'expérience donc je le vis de mieux. Mais quoi qu'il en soit, quand tu démarres un challenge, 5 jours de live, où t'as envie, t'as à coeur de pouvoir vraiment aider et servir les personnes qui sont connectées, et que dès le premier live, Tu te prends des commentaires. Ok, vraiment des commentaires en mode ok, ça sert à rien, c'est que du blabla, ciao, des critiques super acerbes sur ma façon de faire. Je... Franchement, c'était nouveau. Je n'ai jamais eu à vivre ça. Alors ce qui était intéressant, c'est après, qu'est-ce que j'en ai fait de ça ? Qu'est-ce que j'ai fait de ce qui s'est passé ? Bon, sur le coup, il faut le gérer. Sur le coup, il faut le gérer. Rester ancrée dans ce qu'on fait, dans ce qu'on croit, dans pourquoi on est là, voilà, et pas se laisser démonter. Et puis après, il y a l'après-coup. L'après-coup, il y a beaucoup de colère, en fait. Il y a beaucoup de colère qui arrive. Moi, ça a été le cas. J'étais extrêmement en colère par rapport à ce qui s'est passé. Et puis, une fois que la colère, j'ai pu l'exprimer de façon légitime, j'ai réussi à prendre du recul en me disant, OK, en fait, c'est qui ces personnes ? En fait, quel est le poids et le crédit que je veux donner à leur vie dans ma vie ? Est-ce que ces personnes, en fait, elles ont fait ce que je fais ? Est-ce qu'elles ont fait mieux que ce que je fais ? Est-ce que du coup, elles ont quelque chose à m'apprendre ? Ou est-ce qu'en fait, j'ai juste... En fait, j'en ai juste rien à faire. J'en ai juste rien à faire, parce que si ça ne te rejoint pas ce que je fais, si ça ne te parle pas et si ça ne t'intéresse pas, tu peux y aller, il n'y a pas de souci. Et ça, je pense que c'est vraiment le... Je suis contente d'avoir réussi à... à faire ce pas de côté, et puis à vraiment me rappeler en fait, de qui est-ce que je prends la critique ? Et en fait, plus tu t'exposes sur la place publique, comme on dit, plus forcément tes sujets à être jugés, tes sujets à être regardés, tes sujets à être critiqués. Jusque-là, je ne m'en étais pas trop bien sortie, puis je pense que quelque part, il y a une partie de moi qui s'arrange pour que ça ne se produise pas. Il y a une partie de moi qui évite d'être trop clivante, il y a une partie de moi qui fait attention à ne pas être jugeante. Il y a une part de moi qui arrondit beaucoup les bords, et encore j'ai quand même pas mal cheminé, il me semble, depuis une année encore. Mais voilà, il y a toujours une partie de moi qui essaie d'être la plus consignante possible parce que j'aime pas les conflits, j'aime pas les critiques, etc. Donc il y a une partie de moi qui l'évite franchement. Et là, le fait de m'y être confrontée, ça m'a vraiment, vraiment permis de me ré-ancrer sur « Mais qui a le droit de parler sur ma vie et sur mon travail ? » À qui est-ce que je laisse du poids dans ces paroles ? Je ne peux pas interdire les gens de parler, mais par contre, en fait, je peux... En fait, de qui est-ce que je prends et de qui est-ce que je ne prends pas ? Voilà, tout simplement. Et vraiment, ça m'a permis de reposer le fait que les personnes dont je prends les avis, les personnes dont je prends les conseils, les personnes dont je prends le regard, déjà, à la base, c'est parce qu'il est bienveillant. Si tu n'es pas bienveillant, au revoir, ciao ! Ciao ! Secondo, je prends ça de mes proches qui me connaissent bien, de mes amis qui connaissent l'enjeu, les responsabilités que j'ai sur les épaules, qui sont là pour me soutenir et m'encourager dans une certaine redevabilité avec eux. Je prends aussi l'avis, les conseils de mes clientes, de celles qui sont engagées dans nos parcours, qui vivent, qui expérimentent au quotidien ce qu'on vit ensemble et je prends aussi les avis et les critiques. et les conseils des personnes qui font ce que je fais ou qui l'ont déjà fait et qui sont allées plus loin que moi. Ça, c'est le champ des personnes qui ont le droit de parler sur mon travail ou sur ma vie. Les autres. C'est à partir du moment où ta posture n'est pas bienveillante, où tu n'es pas là juste parce que tu as envie de servir, tu as envie de contribuer, parce qu'en fait tu es juste là pour juger, critiquer, parce qu'en fait... Peut-être que ce que ça te renvoie, c'est beaucoup de frustration ou beaucoup de jalousie, ou ça te fait un miroir sur toi, sur tous les endroits où toi t'es freinée, où tu te sens bloquée. Et du coup, la façon dont tu l'exprimes, c'est avec la critique et le jugement. Je suis désolée pour toi. Il y a une part de moi qui compatit même, en fait. Il y a vraiment une part de moi qui compatit. Mais c'est juste que par contre, ça, ben non, je ne vais pas prendre. Désolée. Moi, je vais le laisser sur le bord de la route, puis je vais continuer à avancer. Et franchement... C'était dur à vivre cette épreuve-là, mais franchement j'ai appris, j'ai vachement appris. Ça ne veut pas dire que je me suis blindée, et je pense que je vais continuer à devoir apprendre à gérer ça, mais ça m'encourage encore un peu plus à être profondément moi-même, à être profondément qui je suis. Et je sais que si je suis profondément moi-même et profondément qui je suis, je vais écliver en fait. Il y a des personnes que ça va gêner, il y a des personnes qu'elles ne vont pas aimer. Et ça, j'ai besoin vraiment de continuer à apprendre à faire ça. Et à être profondément qui je suis, sans vouloir tout le temps arrondir les angles pour être appréciée, pour être aimée, pour ne pas être rejetée. On a tous ces failles-là, mais je crois que là, je les ai vécues de plein fouet lors de ce challenge. Donc pour boucler la boucle, gros apprentissage. Sama, j'avoue qu'il y a aussi une part où forcément, tu te fais un retour sur toi en mode, OK, est-ce qu'il y a des trucs, en fait, que j'aurais pu faire autrement ? et tout en ne changeant pas le fond de ce que je veux faire ou qui je suis mais en le faisant en m'améliorant en fait et ça forcément oui j'ai vu des endroits où je me dis ok là en fait j'étais pas prête là j'avais mal préparé mon truc là c'était pas calé etc donc moi c'est génial parce que du coup ça m'a permis d'affiner aussi les choses derrière mais en soi le fond de ce que j'amène ça reste le même et ça ne changera pas voilà donc Vraiment une semaine riche, extrêmement riche. A l'issue de ça, on a ouvert les portes du programme du parcours Simplifi pour toutes celles qui avaient envie de se lancer dans ce parcours de coaching avec nous, qui avaient envie de trouver les moyens vraiment de sortir de l'épuisement et puis de se retrouver elles, de retrouver leur vie, de retrouver le kiff, le fait de profiter de leur vie. Et puis on va démarrer avec toutes les nouvelles inscrites cette semaine. On a deux nouvelles promos qui démarrent, on est super content. Avec encore une fois, et à chaque fois, des femmes incroyables, des femmes avec des parcours de vie incroyables, avec des souffrances, des difficultés, des challenges et aussi des envies, des désirs, des rêves. Et du coup, à partir de tout ce que... Tous les échanges que j'ai eu lors des appels, etc. Il y a tellement de belles choses qui sont ressorties. On va vivre vraiment, encore une fois, une aventure incroyable avec ces deux promos-là. Et on est hyper fiers, hyper nourris de leur confiance. Et si tu en fais partie, encore un grand merci de nous avoir rejoints. Et on est très honorés de pouvoir t'accompagner, moi et mon équipe, sur ce chemin. D'être à tes côtés pendant six mois. Investir du temps, de l'énergie avec toi pour t'aider à te retrouver. pour t'aider à simplifier ta vie, pour t'aider à retrouver cette respiration dont tu as tant besoin. Ça va être vraiment un parcours excitant. Et puis, juste après ce challenge, qu'est-ce qui s'est passé ? Alors là, c'est là où j'ai mis les bouches, comment on dit ? Bouchées doubles, c'est ça, bouchées doubles. Moi, j'avais très envie de pouvoir démarrer aussi de manière très intentionnelle avec l'organisation de notre week-end d'épaulettes. Le week-end d'épaulettes, c'est notre week-end de coaching qu'on organise pour... toutes les clientes qui sont dans nos parcours de coaching, dans les parcours Simplify et dans les parcours au-delà, parce qu'il y a les coulisses des Paulettes aussi, dont je parle rarement. Mais après Simplify, il existe d'autres choses. Et donc, du coup, on s'est toutes retrouvées à Toulouse pendant un superbe week-end, dans un lieu trop beau, trop classe, que j'adore, un super hôtel. Et puis, on a vécu un jour et demi, ou deux jours, mais... Oh my god ! Je pense que c'est le plus fort, le plus impactant, le plus intense, je crois, des week-ends qu'on ait fait. Donc les week-ends d'épaulettes, le principe, c'est qu'en fait, à chaque fois que tu fais le parcours simplifié qui dure six mois, au moins une fois dans ton parcours, tu vas pouvoir vivre un week-end de coaching en présentiel. Et ce week-end, il est vraiment conçu pour t'aider à prendre du temps pour toi, déconnecter du quotidien. Ça fait partie du coaching. On t'accompagne pour créer de l'espace pour toi dans ta vie. Et donc, oser prendre un week-end pour toi, pour certaines, ça fait très longtemps qu'elles ne l'avaient pas fait. Et certaines, ça ne s'est même jamais arrivé. Donc du coup, c'est l'occasion de t'aider. On t'aide à organiser ça. On t'aide à avancer petit pas après petit pas pour réaliser ce projet pour toi. Et puis, on te fait vivre un week-end. de déconnexion, de détente, de cocooning, voilà. Et en même temps, l'idée, c'est de vivre des temps de coaching ensemble où on va aller vraiment travailler en profondeur sur des sujets sur lesquels le distanciel s'y prête moins. Et puis, je reste assez large, vague peut-être, parce qu'en fait, j'adore ne pas divulguer le programme. J'adore qu'en fait, elle puisse découvrir, avoir la surprise et puis être en mode lâcher prise. Je ne sais pas ce que je vais vivre, mais j'accepte. Ça fait partie du travail de coaching d'apprendre à lâcher prise. Et je viens et je vais vivre le truc pleinement. Et à chaque fois, la sauce, elle prend. La sauce, elle prend. Elles ne repartent pas comme elles sont arrivées. Il y a des transformations incroyables. Moi, je vais même utiliser le mot libération, vraiment. Il y a un avant et un après. Elles repartent libérées de fardeaux, libérées de poids, libérées de croyances qu'elles ont sur leur vie. elles repartent renouvelées, elles repartent inspirées, elles repartent rechargées et vraiment c'est des week-ends, je pense qu'il y a un avant et un après je ne sais pas comment l'expliquer en tout cas c'était vraiment un super week-end, on était vraiment nombreuses on était une trentaine, vous étiez et puis ça c'est chouette parce qu'il y a une très belle dynamique et en même temps ça garde un côté aussi très très convivial ça permet que les unes et les autres puissent se rencontrer parce que Le coeur du coeur de nos parcours de coaching c'est qu'on vit tout ça en groupe en fait. Et du coup ça permet aussi au groupe de se retrouver, d'approfondir les amitiés. Parce qu'il y a des amitiés qui se créent dans ces parcours, c'est un truc de fou ! Et je sais que vous gardez le contact souvent très longtemps après, donc c'est juste trop beau de voir ça. Donc voilà, on a vécu un week-end très intense avec... Avec notre équipe qui était là, la deuxième coach de notre parcours qui s'appelle Magali, avec du coup aussi notre nouvelle assistante qui s'appelle Judith, avec Mathias mon associé, et puis avec nos enfants qui étaient là aussi et qui ont participé dans le service et qui ont contribué. C'était vraiment un super week-end. Voilà, donc du coup franchement, un mois de janvier extrêmement rempli. Vraiment extrêmement remplie, c'était super intense. J'avoue qu'à la fin du mois de janvier, j'ai un peu, j'ai traîné un peu la patte là, en bas d'un. Bon, va falloir ralentir un petit peu là maintenant, parce que j'ai besoin d'un peu respirer. Mais c'était choisi, c'était voulu, c'était assumé. Et j'ai fait attention dans tout ça à énormément préserver mon énergie. Je pense que c'est aussi la première fois que je suis aussi intentionnelle quand je vis des périodes extrêmement intenses. Parce que je pense qu'il n'y a que quand tu es entrepreneur que tu peux comprendre ce que ça peut représenter en termes d'intensité en lancement. Des périodes comme ça de réouverture de promo, de recherche de nouvelles clientes, d'organisation d'événements potentiels, enfin tout ça c'est vraiment... ça occupe tout ton espace mental en fait. Ça occupe tout ton espace mental ! Donc c'est bien qu'en fait après il y ait des périodes aussi où ça ralentisse. Et puis là ça y est j'en sors, donc le mois de février va être un mois... Il y a les vacances, il y a déjà une semaine de vacances que je vais pouvoir prendre de pause. Et puis ça va être l'occasion par contre de démarrer tous nos nouvelles promos, de démarrer l'accompagnement et puis moi de ré-atterrir un petit peu. D'où ma présence ici. Donc voilà pour le bilan de ce premier mois. Alors voilà, ça y est j'ai le titre de mon épisode, ça y est. Alors ça va faire souvent comme ça, si tu me connais pas tu vas découvrir le titre, on va le découvrir qu'à la fin, qu'à la fin. Donc voilà, bilan de ce mois de janvier, de ce démarrage d'année. Un démarrage très fort. Ah oui, je n'ai pas fini la boucle, pardon. Donc je te disais que du coup, j'avais fait attention à préserver mon énergie. Qu'est-ce que j'ai fait pour préserver mon énergie ? Alors, j'ai vraiment mis un focus sur mon hygiène de vie. Voilà. C'est vraiment à cet endroit-là, pour préserver mon énergie, que j'ai mis la priorité. Donc, j'ai vraiment fait de l'espace pour faire du sport de manière très intentionnelle. J'avais prévu d'avoir le crossfit deux fois. Par semaine, ça a été intermittent. Je n'ai pas réussi à le faire régulièrement parce qu'il y a des journées de travail où en fait je n'avais pas... J'avais trop de travail en fait, vraiment trop de travail à faire dans la journée. Et du coup, impossible pour moi en fait de partir faire du sport à l'heure de la séance prévue. En fait, c'était ça le truc contraignant. Donc du coup, je me suis adaptée. Je n'ai pas réussi à aller au sport deux fois par semaine, mais par contre, enfin au crossfit deux fois par semaine. Mais en fait, j'ai réussi à contrebalancer. Si je n'arrivais pas à aller à une séance de CrossFit, du coup, je partais courir. Et puis, du coup, j'ai réussi à garder un rythme comme ça, régulier, où chaque semaine, j'avais vraiment deux à trois séances de sport, vraiment. Le sport, j'ai découvert vraiment cette dernière année que c'est un moyen pour moi de préserver ma santé mentale, en fait, vraiment. C'est un moyen d'évacuer mon stress. C'est un moyen de gagner en clarté. C'est un moyen de... De prendre soin de moi qui est très fort, très puissant. Aujourd'hui, je reprends vraiment du goût à ça, je vois vraiment les fruits dans ma vie. J'ai beaucoup de grâces et de bienveillance par rapport à ça, donc je n'ai pas envie de me... Je ne sais pas, de toute façon, tomber dans des disciplines extrêmement fortes. Je ne sais pas m'imposer des choses très violentes. Mais en fait, ce que j'aime, c'est être à l'écoute de mes besoins. Être à l'écoute de mes envies, ça j'ai appris à le faire et du coup quand je suis à l'écoute de ça, naturellement j'ai envie de faire du sport. Et même si je ne suis pas très motivée pour courir, je regarde à quel est mon besoin, c'est quoi ? Est-ce que j'ai vraiment besoin de me reposer ? Parce que physiquement, je suis vraiment trop crevée et que ce n'est pas du sport dont j'ai besoin, c'est vraiment de repos. Et là c'est ok, je lâche. Ou alors est-ce que je ne me sens pas bien, mais c'est une fatigue cognitive, c'est une fatigue émotionnelle et là ça veut dire que j'ai besoin d'aller bouger. Et à chaque fois que je me pose cette question, généralement derrière j'arrive à enclencher en me disant « Allez, je vais juste aller sortir 5 minutes, je mets mes baskets, je vais courir 5 minutes. » Puis au final, j'ai toujours envie de faire plus. Donc ça c'est vraiment top, j'ai fait attention particulièrement aussi à mon sommeil, avoir un nombre suffisant d'heures de sommeil. J'ai fait attention à mon alimentation aussi, à vraiment les excès des vacances de Noël, etc. C'était génial ! Je me suis fait plaisir, mais alors si je continue au mois de janvier comme ça, c'était vraiment la cata, parce que je sens qu'en fait mon alimentation a un impact direct sur mon niveau d'énergie, donc du coup j'ai fait attention à ça. Ce qui fait que vraiment, malgré comme je t'ai dit une baisse de régime à la fin du mois, je ne me suis pas, en vrai je ne me suis pas écroulée comme j'ai déjà pu m'écrouler. Je sais que des paris de lancement, j'en ai vécu plusieurs comme ça, où vraiment j'ai terminé, je pense même pas déprimée. pas dépressive, loin de là, mais déprimée, en mode plus de jus, il n'y a plus, il n'y a plus. Voilà, je ne me demandais plus rien, je suis aux abonnés absents, je n'arrive plus à rien faire, et en fait là, vraiment, malgré l'intensité de tout ce que j'ai vécu, j'étais bien en fait, je suis bien. Et ça, ça fait plaisir. Et là, je me dis, c'est bon, là, t'as appris, ça y est. Ça y est, t'es en train d'apprendre de toutes les fois où t'as galéré, de tous les échecs que t'as eus, t'es en train d'apprendre à vraiment prendre soin de toi, à te garder au centre de ton business, sans te mettre de côté, sans t'oublier. Et ça, vraiment, c'est une belle victoire pour moi. Donc, je suis trop contente de pouvoir partager ça avec toi. J'ai eu un coup de mou quand même à la fin du mois. Je pense que c'était la semaine dernière. Vraiment un petit passage à vide en mode ah ça y est c'est bon je crois qu'en fait c'était vraiment parce que j'arrivais à la fin à la fin de la période d'inscription et je pense qu'il y a eu un petit côté où j'avais juste besoin de relâcher de relâcher la pression en mode hop ça y est c'est fini c'est bon on va pouvoir souffler et du coup je pense que le fait de me relâcher ça a eu un petit down au niveau même hormonal tu vois où en fait c'est l'adrénaline qui a chuté Et aujourd'hui, j'observe vraiment les variations hormonales qu'on peut avoir, comment elles impactent nos états d'âme, nos émotions, nos humeurs. Et du coup, j'ai eu ce relâchement qui est arrivé. C'était vraiment pas agréable à vivre. Mais je me suis rappelée d'une chose, et ça, je te la laisse peut-être en conclusion de cet épisode. C'est que, en fait, c'est si tu te mets à écouter tes états d'âme. Si tu te mets à écouter tout ce que tu penses quand ça va pas, tu risques pas d'aller très loin. Mais ce que j'ai appris à faire, c'est même quand ça va pas, quand je suis démotivée, à ne pas écouter mes états d'âme, mais à rester focus sur mon ambition, à rester focus sur mon objectif. C'est pas mes états d'âme qui doivent parler dans ma vie, mais c'est mes objectifs, c'est mon ambition que je veux continuer à écouter, c'est mon objectif, mes ambitions qui me guident, et c'est pas mes états d'âme qui me guident. Mais par contre, ces états d'âme sont ok. Et ça, pour moi, c'est une petite révolution. Je pense que pendant des années, j'ai passé mon temps à surtout refuser de les écouter, refuser d'accepter qu'ils soient là, en fait, d'avoir des états d'âme, de regarder. Pendant des années, je ne voulais surtout pas accepter le fait que je n'allais pas bien. Tu vois ? J'ai fonctionné comme ça pendant des années. Aujourd'hui, j'apprends à le voir, à l'accepter. « Ouais, mais là, ça ne va pas, en fait. Là, ça ne va pas, Géraldine. » Ok, mais qu'est-ce qui se passe ? Mais qu'est-ce qui se passe ? Et d'avoir de la compassion, de la grâce envers moi, du coup d'écouter le message que ces états d'âme m'envoient derrière, mais c'est quoi en fait mon besoin ? Derrière toutes ces pensées là qui m'accapent, devant ces émotions qui m'entraînent dans le down et tout ça, c'est quoi le message ? Et par contre, je ne les laisse pas prendre les décisions, je ne les laisse pas me déterminer, je ne les laisse pas déterminer la situation. Je sais qu'en fait ils sont là parce qu'il y a un besoin en particulier, un besoin de repos. Il y a peut-être un besoin de retrouver de l'énergie, il y a un besoin de prendre soin de moi, etc. Et non, ce n'est pas la vérité tout ce que je pense. Non, ce n'est pas la vérité, loin de là. Par contre, ce qui me drive, ce qui me guide, c'est mes ambitions, c'est mon ambition, c'est mes objectifs, c'est le sens de ce que je fais. Et continuellement revenir à ça, c'est ça qui me permet de tenir le cap. Donc on va continuer à tenir le cap pour cette nouvelle année 2025 avec... plein de beaux projets en perspective donc reste bien connecté et puis je pense qu'on va s'arrêter là cette reprise de début d'année voilà je pense que on a fait un long je sais pas combien de temps en fait ça fait que je parle ouais peut-être une demi heure un truc comme ça voilà je pourrais peut-être continuer mais par contre j'ai la journée qui a besoin de j'ai besoin de continuer sur le reste de la journée je vais retourner à mon bureau cette fois ci et puis continuer à à faire le travail qui me passionne, autrement dit, accompagner toutes nos clientes à changer leur vie et puis t'inspirer toi au quotidien. Voilà, prends soin de toi. J'espère que cette balade a été bonne. Voilà, et puis je te dis à lundi prochain. Allez, ciao, ciao.

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