Speaker #0Londres, la ville des mystères, des légendes et du djinn. Imaginez un djinn qui a traversé les siècles, ancré dans l'histoire même de cette métropole vibrante. Aujourd'hui, je vous invite à voyager dans le temps pour découvrir l'histoire fascinante de Beefeater, ce djinn qui, depuis plus de 150 ans, continue de captiver les palais du monde entier. Alors pourquoi Beefeater ? Pourquoi ce nom ? Pourquoi ce goût si particulier ? Aujourd'hui, on va plonger ensemble dans l'univers de l'un des derniers djinns encore distillés au cœur de Londres, là où tout a commencé. Une histoire de passion, de tradition et surtout d'authenticité. Avant d'entrer dans le vif du sujet, il est essentiel de comprendre qu'à travers une simple bouteille de bifitteur, c'est tout un pan de l'histoire londonienne qui s'invite dans vos verres. Des rues pavées de Londres, au salon des aristocrates du XIXe siècle, chaque goutte de ce jean raconte une histoire. Laissez-moi vous montrer pourquoi ce jean est bien plus qu'un simple spiritueux. Nous sommes au milieu du XIXe siècle, à une époque où Londres est le centre du monde. La ville bouillonne de vie, de commerce et d'innovation. C'est dans ce contexte bouillonnant que James Burrow, un jeune pharmacien ambitieux, fait un pari risqué, acheter une distillerie à Chelsea en 1863. Ce qui est fascinant, c'est que Burrow n'avait pas prévu de devenir une légende du gin. A l'époque, il acheta la distillerie pour seulement 400 livres sterling, une somme modeste même à l'époque. On pourrait dire que c'était un coup de chance, mais c'est surtout son sens aigu des affaires et son talent pour la distillation qui l'ont propulsé dans l'histoire. Burrow, avant de devenir le créateur légendaire de Beefeater, n'était pas destiné à une carrière dans le monde des spiritueux. Né en 1835 à Devon, Burrow a d'abord étudié la pharmacie, un domaine où il développa une passion pour les plantes et les arômes. Au lieu de suivre le chemin tracé par sa famille, il décide de s'aventurer en Amérique du Nord. Là, au Canada, il ouvre une pharmacie à Toronto et commence à perfectionner son savoir-faire en matière de saveurs, d'huiles essentielles et d'extraits naturels. Pendant son séjour, Burrow devient fasciné par la diversité des plantes médicinales et les infusions botaniques, qui, pour lui, allaient bien au-delà de leur simple propriété curative. Chaque parfum, chaque herbe avait une histoire à raconter. Cette fascination pour les mélanges uniques va peu à peu le diriger vers une autre voie, celle de la distillation. Après plusieurs années en Amérique du Nord, Burrow ressent un besoin impérieux de retourner en Angleterre, le pays de ses racines. A son retour, animé par une vision claire, il commence à chercher une opportunité dans le monde du gin. un spiritueux qui commence à connaître une renaissance à Londres après des années de réputation douteuse. C'est alors en 1863 que Burroughs découvre une petite distillerie à Chelsea fondée par la famille Taylor en 1820. Elle était en déclin, mais James y voit une chance de faire quelque chose de grand. Avec ses économies et fort de ses compétences en pharmacologie, il rachète cette distillerie sans savoir que cette décision allait transformer à jamais l'histoire du gin. Il a commencé à expérimenter dans son petit atelier, mélangeant des botaniques rares et exotiques. Après plusieurs essais... il met enfin au point une recette qui incarne l'esprit de Londres, un djinn qu'il baptise Bifitter. Mais pourquoi ce nom ? Les Bifitter, ces gardiens en uniforme coloré que l'on peut encore voir aujourd'hui à la Tour de Londres, sont depuis des siècles les protecteurs des joyaux de la couronne britannique. Leur rôle est chargé de tradition et de prestige, tout comme le djinn que Burrow voulait créer. Un hommage à l'histoire de Londres, tout en marquant une empreinte indélébile dans le monde des spiritueux. Avec cette nouvelle recette en main, Burrow commence à vendre son djinn dans les bars, les tavernes, et les clubs de Londres. Très vite, la réputation de Beefeater dépasse les frontières de Chelsea et la demande explose. En quelques années seulement, ce jean londonien devient un incontournable des tables élégantes et des barres branchées de la ville. Un autre fait marquant dans les débuts de la distillerie, c'est que dès ses premières années, Beefeater a survécu à l'une des périodes les plus sombres de l'histoire du jean londonien, le jean acte. Une série de lois draconiennes mises en place pour restreindre la production et la consommation de jean, vues à l'époque comme un fléau social. Mais Bureau... avec sa distillerie artisanale, a su naviguer à travers ses restrictions en produisant un gin de qualité supérieure qui séduisait non seulement les buveurs occasionnels, mais aussi la haute société londonienne. Ainsi, en moins de 20 ans, James Burrow transforme une petite distillerie modeste en l'une des plus respectées de Londres. Mais l'histoire ne s'arrête pas là. Bifitter était sur le point de conquérir le monde. Le Londres de la fin du 19e siècle et au début du 20e siècle est un véritable carrefour de culture, un melting pot où tout semble possible. Les affaires prospèrent, la classe moyenne émerge et les habitudes de consommation évoluent rapidement. C'est dans ce contexte que Beefeater, avec ses racines profondément ancrées dans l'esprit de la ville, va connaître une expansion spectaculaire. Après ses premiers succès dans les bars londoniens, James Brown ne se contente pas de sa renommée locale. Il voit plus grand. Beaucoup plus grand. Il commence à expédier son jean à travers le Royaume-Uni, mais aussi en dehors de ses frontières. Dès les années 1900, Beefeater traverse l'Atlantique pour conquérir les Etats-Unis. Imaginez, à une époque où les communications et les transports étaient encore lents et compliqués, un jean artisanal londonien devient une star internationale. Le jean Beefeater, qui était au départ une production locale, est désormais sur les étagères des bars de New York, Boston et même Chicago. L'Amérique du XXe siècle est fascinée par tout ce qui vient d'Europe, et surtout d'Angleterre. Beefeaters, avec son image traditionnelle et son lien avec les Beefeaters de la Tour de Londres, incarnent ce chic anglais qui fait rêver les Américains. On raconte même que certains grands clubs privés de New York refusaient de servir d'autres jeans que Beefeater, tant la demande était forte et tant ils symbolisaient l'élégance à l'anglaise. Mais le jean Beefeater ne s'est pas seulement imposé en période faste. Pendant la prohibition, lorsque la production et la vente d'alcool étaient illégales aux Etats-Unis, Beefeater restait l'un des jeans les plus recherchés sur le marché noir. Les contrebandiers, cacher des caisses de gin dans des tonneaux de thé ou des marchandises exotiques pour échapper au contrôle des douanes. C'est dire à quel point ce gin est devenu un produit culte, même dans les moments les plus difficiles. Après la seconde guerre mondiale, la demande de gin explose à nouveau, surtout aux Etats-Unis et en Europe. Dans les années 1950, Beefeater est déjà l'un des gins les plus consommés dans le monde. C'est une époque d'expansion et de prospérité. On raconte qu'à cette époque, une bouteille de Beefeater se vendait toutes les quelques minutes aux Etats-Unis. Les bars, les clubs et les restaurants haut de gamme ne servaient que ce gin dans leurs cocktails emblématiques, tels que le Gin Tonic ou le Negroni. Beefeater n'était pas seulement un gin, il devenait une référence incontournable dans l'univers du cocktail. Les barmen du monde entier se tournaient vers Beefeater pour préparer leur mélange, assurés d'obtenir un équilibre parfait entre les botaniques et la force du gin. Au Saveuil Hotel à Londres, l'un des bars les plus prestigieux au monde, les cocktails à base de Beefeater devenaient des classiques, renforçant encore un peu plus son statut. En l'espace de quelques décennies, ce gin artisanal, né dans une petite distillerie de Chelsea, est devenu un phénomène mondial. Mais cette expansion ne s'est pas faite au détriment de la qualité ou de l'authenticité. Au contraire, Bifeater est resté fidèle à ses méthodes de distillation traditionnelles, tout en s'adaptant au goût changeant et à la demande croissante d'un public de plus en plus international. L'expansion rapide de Bifeater ne fait que prouver que les grandes histoires de spiritueux sont avant tout des histoires de passion et de persévérance. Maintenant, il est temps de plonger dans ce qui fait vraiment la magie de ce gin. Chaque bouteille de Bifitter est une véritable symphonie d'arômes soigneusement sélectionnés et équilibrés pour créer une expérience unique. Mais quels sont ces ingrédients qui rendent le gin si inoubliable ? Laissez-moi vous emmener au cœur de la recette. Commençons par l'ingrédient principal. Le cœur et l'âme de tout gin qui se respecte, la genièvre. Cueillie dans les forêts d'Italie et des Balkans, ces petites baies apportent cette saveur résineuse et légèrement poivrée qui définit le caractère même du gin. Le genièvre n'est pas seulement un arôme, il est le socle sur lequel repose tout l'équilibre de bifiteurs. On raconte même que James Burroughs sélectionnait chaque lot de baies de genièvre à la main, veillant à ce que chaque grain soit à la hauteur de ses exigences. Savez-vous que les baies de genièvre ont des propriétés médicinales ? Pendant des siècles, elles étaient utilisées dans des élixirs pour soigner diverses maladies. C'est d'ailleurs comme cela que le gin est né. Au départ comme un remède médicinal avant de devenir une boisson incontournable des bars et des salles. Ensuite vient la coriandre, mais attention, il ne s'agit pas de la coriandre que vous mettez dans vos plats. Les graines de coriandre utilisées pour Beefeater viennent principalement de Russie et de Roumanie et elles apportent cette note subtile d'agrumes qui vient contrebalancer le goût plus intense du genièvre. C'est là que réside la magie de Beefeater, dans cet équilibre délicat entre puissance et fraîcheur. Selon la légende, James Burrow a découvert la graine de coriandre lors d'un voyage en Russie. Fasciné par son arôme, il a décidé de l'ajouter à sa recette et depuis... il est devenu un ingrédient incontournable. Sans la coriandre, Bifitter ne serait pas Bifitter. Continuons notre voyage avec les zestes d'oranges de Séville et de citron. Ces agrumes apportent une luminosité, une fraîcheur éclatante qui éveille instantanément les sauces. Bifitter utilise des zestes séchés à la perfection, une tradition inchangée depuis la création du gin. Les oranges de Séville notamment sont choisies pour leur goût unique, plus amère que doux, donnant au gin cette petite amertume caractéristique. Contrairement à de nombreux jeans qui utilisent des arômes synthétiques ou des huiles essentielles, Beefeater persiste dans l'utilisation de zestes d'agrumes fraîchement séchés. Cette tradition remonte à l'époque où Burrow achetait directement ses oranges sur les marchés londoniens, les faisant sécher dans son atelier pour capturer toute la complexité des saveurs naturelles. Mais l'histoire ne s'arrête pas là. Bifilter n'est pas seulement une explosion d'agrumes et de genièvres, il repose aussi sur des racines. La racine d'angélique, venue des forêts de Norvège et des Pays-Bas, et la racine d'iris, souvent appelée racine de la violette, ajoutent une dimension terrienne presque boisée. Ces ingrédients agissent comme des fixateurs d'arômes, en liant toutes les autres saveurs ensemble pour créer une harmonie parfaite. Dans sa première distillerie, James Burrow utilisait ses racines non seulement pour leur propriété aromatique, aussi pour stabiliser les autres ingrédients dans le processus de distillation. C'est un savoir-faire artisanal qui s'est transmis de génération en génération chez Bifida. Enfin, un dernier ingrédient, et peut-être le plus surprenant, est l'amande douce. Elle ajoute une texture subtile, presque crémeuse, qui enveloppe le palais et adoucit nos seins. Et pour couronner le tout, une touche de réglisse. Pas celle des bonbons que vous connaissez, mais une racine délicatement sucrée qui prolonge le final du jean avec douceur. L'ajout de réglisse dans le jean Bifida date d'une époque où les distillateurs expérimentaient avec différentes épices venues des colonies britanniques. Il est dit que Burrow aurait trouvé cette racine dans une cargaison de marchandises venues d'Inde et fasciné par son potentiel, il l'aurait intégrée dans la recette. Chacun de ces ingrédients, du genièvre aux agrumes en passant par les racines d'angélique, n'est pas choisi au hasard. Ensemble, ils composent une symphonie de saveurs qui a traversé les âges, tout en restant fidèle à la recette d'origine de Burrow. Un hommage à la fois à la tradition et à l'innovation. Un gin qui ne se contente pas de flatter les papilles, mais qui raconte aussi une histoire à chaque orger. L'essence d'un grand gin ne réside pas seulement dans la qualité de ses ingrédients, mais dans l'art subtil et millénaire de la distillation. Chez Bifitter, chaque goutte de gin est le fruit d'un savoir-faire transmis de génération en génération. Dans une petite distillerie nichée au cœur de Londres, des alambics en cuivre datant de plus d'un siècle continuent de transformer de simples plantes en hectares précieux. Mais ce processus, aussi magique soit-il, repose sur des gestes méticuleux et une précision digne des plus grands artistes. Commençons par l'élément central de toute distillation, les alambics. Chez bifitteurs, ils ne sont pas simplement des outils de production. Ces majestueux appareils en cuivre, certains en service depuis la fin du XIXe siècle, sont les gardiens de la tradition. Leur forme particulière, leur taille et même leur usure avec le temps influencent le caractère final du jean. Le cuivre est essentiel car il purifie les vapeurs d'alcool en éliminant les impuretés et en apportant une texture. plus douce et un goût plus raffiné. Un de ces anciens alambics surnommé Big Ben par les distillateurs car il a survécu au bombardement de la seconde guerre mondiale qui a ravagé Londres. Tandis que tant d'autres distilleries étaient détruites, Big Ben continue aujourd'hui à jouer un rôle clé dans la production de chaque lot de Beefeater. Le secret du goût unique de Beefeater réside dans la première étape cruciale, la macération. Contrairement à d'autres jeans qui se contentent d'infuser les plantes rapidement, Beefeater laisse ses neufs botaniques à infusée dans de l'alcool neutre. Cette longue macération permet au saveur de s'extraire en profondeur et de se marier harmonieusement. Ce processus de macération n'a pas changé depuis le début de Beefeater. Burrow lui-même a insisté sur l'importance de cette étape. On raconte qu'un jour, un jeune apprenti voulut accélérer le processus en réduisant le temps d'infusion. Burrow, en goûtant le résultat, aurait immédiatement remarqué la différence et aurait imposé cette règle stricte. Pas moins de 24 heures. Jamais. C'est cette minutie qui fait encore aujourd'hui la renommée du gin Bifitter. Après la macération vient l'étape cruciale de la distillation. Et chez Bifitter, cette étape se fait tout en douceur, à un rythme lent et constant. Cette lenteur permet d'extraire les arômes les plus délicats, sans brusquer les ingrédients. Le gin est chauffé doucement dans les alambics en cuivre et ce sont les vapeurs d'alcool enrichies des arômes des botaniques qui vont se condenser pour former le précieux liquide. Chaque distillation dure environ 8 heures. Un processus méthodique où chaque minute compte pour affiner le goût. Mais tous les éléments de la distillation ne sont pas conservés. Seule la partie la plus pure, appelée le Hertz Cut, où le cœur de distillation est mis en bouteille. Ce cœur est la quintessence de Bifitter, un liquide clair, brillant, chargé de toutes les saveurs riches et équilibrées des plantes. Ce processus d'élimination des têtes et des queues, les parties les moins désirables de la distillation, garantit que seul le meilleur du gin soit préservé. On dit que la qualité d'un gin se mesure à la précision avec laquelle le distillateur peut identifier le moment exact où débute et où finit ce fameux earth's cut. L'histoire raconte qu'à l'époque, James Burrow, en l'absence de technologies modernes, obligeait les distillateurs à se fier enterrement à leur instinct et à leur odorat pour déterminer cette coupe essentielle. C'était un véritable art, presque mystique, que seuls les plus expérimentés pouvaient maîtriser. Ce qui est incroyable chez Beefeater, c'est que malgré l'évolution des techniques et des outils de production dans l'industrie des spiritueux, cette distillerie a choisi de rester fidèle à ses méthodes traditionnelles. Chaque lot de gin est encore distillé dans les mêmes alambics, selon les mêmes processus que ceux utilisés il y a 150 ans. Il n'y a aucun compromis sur la qualité ou sur l'authenticité. L'art de la distillation chez Bifitter est bien plus qu'un simple processus technique. C'est un héritage, un savoir-faire ancestral, où chaque geste, chaque étape a son importance. De la lente macération à la coupe précise du hard cut, chaque bouteille de Bifitter raconte une histoire de passion, de rigueur et de tradition. C'est cette fidélité aux méthodes artisanales qui a permis à Beefeater de traverser les âges, tout en gardant cette qualité exceptionnelle que l'on retrouve dans chaque verre. La distillation est un art vivant et comme tout chef-d'œuvre, elle évolue. Beefeater, avec ses racines profondément ancrées dans la tradition, a su embrasser le changement tout en préservant l'essence même de son gin. En passant d'un petit établissement à une icône mondiale, Beefeater a constamment cherché à innover, à s'adapter aux goûts changeants des consommateurs, tout en restant fidèle à son héritage. Nous sommes en 1958. Beefeater présente sa première bouteille emblématique, ornée d'un design audacieux et moderne qui reflète l'esprit dynamique de Londres. Cette bouteille n'est pas seulement un récipient, c'est une œuvre d'art en elle-même. Elle incarne l'énergie vibrante de la ville et évoque des images de l'iconique Beefeater, le garde royal anglais, symbolisant à la fois la tradition et l'innovation. L'histoire raconte qu'un artiste local a été engagé pour créer cette bouteille. Il s'est inspiré des coupes utilisées pour les spiritueux, mais a voulu y ajouter une touche résolument londonienne. Le résultat ? Une silhouette élancée et des étiquettes colorées qui ont immédiatement captivé l'attention des amateurs de gin. Le succès fut tel que la bouteille est devenue un symbole du gin londonien, reconnu dans le monde entier. L'un des tournants majeurs de Bifitter a été l'adoption et l'affirmation du style London Dry Gin. Alors que d'autres distilleries se laissaient tenter par des styles plus sucrés ou fruités, Bifitter a fait le choix. audacieux de rester fidèle aux racines du jean traditionnel. Ce style, sec et robuste, permet aux botaniques de s'exprimer pleinement, offrant une complexité aromatique inégalée. Cette décision stratégique a non seulement consolidé la réputation de Beefeater, mais a aussi établi de nouveaux standards dans l'industrie du jean. Cette audace lui a permis de conquérir les amateurs de jean à travers le monde. En plus de son produit phare, Beefeater a également lancé des éditions limitées qui explorent de nouvelles dimensions du jean. Par exemple, En 2016, Beefeater a introduit son Beefeater 24, un gin et un cagnum qui utilisent des ingrédients exotiques comme le thé Sencha et le thé d'Argeling, mariant tradition et influence mondiale. Alors que nous concluons notre voyage à travers l'histoire de Beefeater, il est important de rappeler à quel point cette distillerie emblématique a marqué le monde du gin et la culture populaire. Si vous aimez cette vidéo, n'hésitez pas à lui donner un petit pouce bleu et à vous abonner à ma chaîne pour ne rien manquer des prochaines explorations dans l'univers fascinant des spiritueux. Votre soutien est essentiel pour continuer cette aventure ensemble. Merci de m'avoir accompagné et à très bientôt dans de nouvelles découvertes.
