Speaker #0Bienvenue à toi. Tu écoutes ton experte conseil, le podcast qui va te faire aimer la comptabilité. Je suis Marion Coste et dans la vie, j'aime les défis. J'accompagne aussi les entrepreneuses et particuliers en allégeant leur charge mentale grâce à mon expertise, ma proximité et surtout, surtout, mon authenticité. Tu l'as compris, je suis une experte comptable pas comme les autres, mais ici. Et pour toi, je serai ton expert conseil pour vulgariser l'entrepreneuriat et enfin le rendre accessible pour tous. Alors, installe-toi et profite de ce moment de légèreté. Hello toi ! Aujourd'hui, c'est un épisode un peu spécial pour moi. Donc, pas de vulgarisation, pas de storytelling, pas de blabla sur l'entrepreneuriat. Enfin, si, mais un peu spécial. Juillet est un mois majeur pour moi. Déjà, ça fait un an que le podcast Ton Experte Conseil est né. Et ça va bientôt faire deux ans que mon cabinet, Ton Experte Conseil, est né. Donc tu vois, juillet, c'est un mois majeur pour moi. Et aujourd'hui, c'est le moment de faire un bilan de fierté, des conneries réalisées. Et je pense pas mal de vulnérabilité me connaissant un peu. Ça fait deux ans que je suis indépendante. Ça fait deux ans que je doute, que je me revisite. Ça fait deux ans que je fais des manèges inappropriés, des visios avec Sam, mon chien qui ronfle dans le fond. Ça fait deux ans que beaucoup de personnes me font confiance. Et ça fait un an que j'ai décidé de m'assumer sur les réseaux sociaux de manière réelle. que j'ai lancé ce podcast au début pour gagner en visibilité, puis clairement après, plus pour un moment de blabla pour moi, presque une thérapie. Donc aujourd'hui, j'ai envie de te partager mon expérience, pour ne pas dire mes galères de 1 et 2 ans, et ce qui a vraiment changé dans mon business et dans ma vie. Ce qui a changé dans mon business. Tu ne le sais peut-être pas, mais avant de me lancer à mon compte, comme je suis une femme et que je n'avais pas forcément confiance en moi lorsque j'ai eu mon diplôme d'expertise comptable, je me suis lancée dans le salariat en tant qu'expert comptable, salariée pendant trois ans. Et le cabinet était chouette, l'équipe était fun, j'aimais beaucoup. J'ai découvert le management et le fait d'encadrer les gens et aussi le fait... d'être un peu différente parce que j'étais amenée à encadrer une équipe de personnes qui étaient beaucoup plus âgées que moi, qui devaient au moins avoir le double de mon âge. Donc j'étais très jeune, même si tout le monde me donnait plein de conseils, moi je suis un peu du style à arrêter de faire comme on me dit de faire. Et c'est assez rigolo et c'est pour ça que je t'en parle aujourd'hui, parce que quand je me suis lancée, au début j'ai fait tout ce que j'ai toujours vu. Donc du cabinet classico-classique, du blabla, du pitch de je te fais tes comptes annuels, tes déclarations fiscales et youpla. Pas de client cible, pas de cible, pas d'offre réellement déterminée parce que je ne savais pas faire et j'ai appris. J'ai appris et j'ai assumé ce que je voulais et ce que je ne voulais pas. Je ne voulais pas que mon cabinet soit un cabinet classique. Je ne voulais pas que mes prestations soient des prestations classiques. Je fais la même chose que fait n'importe quel expert comptable. C'est juste le prisme, l'angle d'approche qui a changé. Parce que mon leitmotiv, c'est d'alléger la charge mentale des gens, d'arrêter de parler avec des jargons incompréhensibles par le commun des mortels. Et surtout, je ne suis pas une notable, je suis Marion Coste, une personne complètement normale, un entrepreneur complètement normal, qui galère comme les autres entrepreneurs. qui a des doutes tous les jours, qui se revisite tous les jours, je suis quelqu'un de normal. Et c'est ce que j'ai fait. J'ai essayé de faire, j'ai construit mon cabinet à mon image, donc engagé, humain, stratégique si on peut dire, dans le sens accès, conseil et accompagnement, et décalé. Lorsque j'ai pris mes locaux, parce que c'était important pour moi d'avoir un espace pour moi au quotidien, et pas seulement... un espace où je travaillais et quand mon fils arrivait, je fermais rapidement l'écran. Je l'ai pensé comme ça. Dans mon cabinet, il y a des plantes, il y a un énorme néon, il y a des pop, bon, il y a la cage de Sam, évidemment, avec tout ce qui va avec. Il y a plein de plaques au mur avec des phrases qui me font beaucoup de bien au quotidien. Parce que, spoiler, ce cabinet, je l'ai aussi pensé pour moi, parce que c'est moi qui y suis au quotidien. Et quand ça ne va pas, je me rappelle, par exemple, que la qualité, c'est le meilleur des business plans. C'est des phrases peut-être un peu bullshit pour certains. Mais je l'ai créé comme ça. Ce qui a aussi changé, et c'est le fait de déterminer ce que je voulais vraiment dans la vie et de m'assumer, certes avec une belle thérapie, mais avec le fait que j'en avais un peu marre d'être l'image même du le cordonnier le plus mal chaussé. Donc moi qui dis à tout le monde de faire un prévisionnel, un business plan, de déterminer son offre. de voir son client cible, etc., figure-toi que je me le suis appliqué à moi-même. Et ça m'a fait un bien fou, parce que ça m'a permis d'attirer des personnes qui me ressemblent et que j'ai plaisir à accompagner. Et ce qui est assez rigolo, c'est que depuis que j'ai vraiment assumé mon côté féministe, que j'ai assumé le fait que je veuille accompagner les femmes pour être libre et indépendante, dans leur quotidien, je n'ai jamais autant attiré d'hommes. Mais des hommes différents, qui ont un mindset différent, et j'adore ça. Car, en fait, que ce soit un homme ou une femme, c'est des entrepreneurs qui sont clairement paumés avec les chiffres, avec les termes, que personne ne veut vulgariser, parce que c'est tellement plus simple de faire en sorte que les personnes ne comprennent pas pour se donner de l'ampleur. Je ne dis pas qu'ils le font tous, je pense que c'est très inconscient, et ça me fait beaucoup de peine, parce que pour moi, en fait, on montre qu'on est vraiment un technicien qu'on maîtrise son sujet, qu'on est capable de le vulgariser, de l'expliquer simplement aux gens pour moi c'est important que les gens comprennent les choses pour prendre des décisions en connaissance de cause et pour moi vulgariser c'était pas simplifier, enfin c'est pas simple déjà vulgariser les choses expliquer les choses simplement c'est très compliqué et c'est terriblement puissant et je vulgarise beaucoup Merci. Quand j'accompagne les personnes, j'emploie souvent beaucoup d'images, parce que je pars du principe que les images, c'est plus simple à se représenter les choses. Et c'est comme ça que l'idée du podcast m'est venue, parce que je me suis dit que si ça pouvait aider d'autres personnes qui ont une confiance aveugle dans leur prestataire, leur expert comptable, et que le seul truc qui couac, c'est que l'expert comptable... n'arrivaient pas assez bien à leur faire comprendre les choses, je me suis dit que c'était trop dommage, pour être franche, et que si je pouvais aider, et aussi me faire gagner du temps, parce que j'avais pour projet au début d'envoyer les épisodes, je pouvais aider mes clients, par exemple, quand on me dit Marion, je ne sais pas, entre SRL ou SAS, je ne sais pas quel est le mieux entre les deux, je suis complètement paumée, on a notre rendez-vous, je dis n'importe quoi dans dix jours. Ok, j'aimerais bien voir ça avant. Et en fait, j'avais pour plan d'envoyer l'épisode avant pour qu'ils l'écoutent et que ça les aide à avancer dans leurs réflexions et que notre échange, dix jours plus tard, soit vraiment constructeur. En fait, tu vois, mon business est né il y a deux ans, il s'est passé plein de trucs et le podcast est arrivé comme suite logique parce que j'ai décidé de m'assumer, d'assumer le fait que je sois féministe et mon passé. J'ai beaucoup travaillé dessus. Je me souviens que mes premières publications LinkedIn, c'était de la documentation très technique. Et ça me fait mourir de rire parce que c'est tout ce que je ne fais plus et ce que je ne veux plus. Mais en même temps, à l'époque, j'avais tellement peur du regard des autres. J'avais tellement peur qu'on croit que je suis une mauvaise professionnelle, que je me cachais derrière des articles hyper techniques de conseils, de directives juridiques. cours de cassation, etc. Et j'étais contente. Je me disais, ah, c'est chouette, au moins je publie. Déjà, si les gens ne comprennent rien, ce n'est pas grave. L'important, c'est que je publie. Et en fait, non. Pas du tout. L'important, c'est que les gens comprennent. Aujourd'hui, je dis ce que je pense, j'assume mes valeurs, je parle vraiment en français, même dans mes publications LinkedIn. Et j'ai compris ce que c'était que... créer une vraie connexion. Créer une vraie connexion, ce n'est pas de montrer ses beaux diplômes et que ça changerait tout. C'est de s'assumer soi-même. Déjà, ça fait du bien. Et puis, entre deux professionnels, les gens préfèrent... préfèreront toujours travailler avec quelqu'un en qui ils se voient, pour être exacte. Et c'est ce que j'ai essayé de faire durant ces deux années. J'ai l'impression que c'était il y a dix ans. Et c'est assez rigolo pour ça. Mais c'est mon vécu. Et en le disant à haut doigt, j'ai l'impression que c'est ultra positif. Alors qu'en vrai, j'ai l'impression aussi de galérer au quotidien. Et encore aujourd'hui, quand je vois mon agenda, j'ai juste envie de pleurer. J'avais clairement oublié d'enregistrer mes trois petits épisodes. Et pourtant, ça me fait un bien fou. Donc voilà aussi pourquoi je fais ce podcast. Pour prendre la parole et parce que ça me fait du bien de prendre la parole. Et quel que soit le nombre d'écoutes, parce que clairement, je le fais pour moi. Navré. Pour le coup, je suis égoïste. Parce que ça a tellement changé de choses dans ma vie que ça me fait un bien fou. Et ça fait aussi partie du business. On a tous le petit truc qui n'a pas vraiment beaucoup de valeur, enfin en termes de chiffres, qui ne rapporte pas beaucoup d'argent, de chiffre d'affaires, mais qu'on aime bien faire. Et le podcast, c'est ça pour moi, simplement. Maintenant, qu'est-ce qui a changé dans ma vie ? Je dirais beaucoup de choses. J'ai retrouvé du sens de galérer. Je comprends pourquoi je galère au quotidien, pourquoi j'aime ça. Je me sens beaucoup plus libre et j'ajuste mon quotidien en fonction de ce que je dois faire. Par exemple, ce soir, je vais partir en week-end avec mon Gremlins. Tout est dans le coffre, tout est prêt. Après mes rendez-vous, on s'en va. Ça fait du bien aussi. Évidemment, il y a le côté aider les femmes à reprendre le pouvoir sur leur business et leur vie qui est important pour moi. Mais je ne sais pas, je me sens pleine, tout simplement. L'un des points pour lesquels je me suis mise à mon compte, c'est que je voulais plus voir mon fils. Pour être claire, je ne voulais pas le voir uniquement en train de dormir parce que je me suis lancée quand il avait un an. J'essaye au quotidien de faire en sorte de plus le voir, etc. Mais en même temps, je suis passionnée par ce que je fais, donc c'est aussi pas forcément évident. Et je pense que ça, c'est le propre de chaque femme et chaque parent, quel que soit son genre. D'un côté, je suis hyper contente parce que j'ai trop envie que mon fils comprenne que c'est important de trouver un job dans la vie qui nous fasse vibrer et pour lequel on n'a presque pas l'impression de travailler. Mais d'un autre côté... Quand il prend son casque pour les oreilles, voire une espèce de fausse tablette ou une vieille calculatrice et qu'il dit « je travaille maman, je travaille » , ça me fait terriblement mal au cœur. Parce que j'ai quand même l'impression de passer à côté de ça, à côté de sa vie et de son enfance. Mais d'un autre côté, je fais mon maximum. Donc parfois, je culpabilise énormément. mais Mais je fais en sorte d'être là. Au moins pour faire du vélo et le coucher. C'est hyper important. L'autre point qui est aussi que j'ai réussi à me créer mon espace, un espace de parole avec ce podcast, un espace de travail et un espace où j'espère avoir fait en sorte que les personnes que j'accompagne, que ce soit mes clients ou stagiaires, apprentis, etc., se sentent bien. Il s'est aussi évidemment passé plein de choses qui m'ont déçue dans ces deux ans. J'avais une apprentie où ça s'est mal passé, je n'ai pas compris. Enfin maintenant je comprends que j'aurais dû mettre un cadre beaucoup plus important parce que je suis quelqu'un d'hyper... Ça me tient à cœur que les gens se sentent bien là où ils travaillent et là où ils se sentent écoutés, etc. Sauf que j'ai fait... l'erreur, parce que c'était une erreur de ne pas mettre un cadre et du coup, ça a mal tourné. J'étais hyper déçue. Surtout que moi, je préfère toujours qu'un contrat, quand il se termine, ce soit un peu pour des raisons techniques et pas uniquement pour des raisons d'ordre de valeur ou de management. C'est du gâchis. Et j'en parle dans le côté ce qui a changé dans ma vie parce que Ça m'a fait beaucoup douter, j'ai beaucoup réfléchi déjà à est-ce que je voulais vraiment reprendre le risque de retomber sur une... une collaboration qui tourne mal et est-ce que forcément ma prochaine collaboration tournerait mal ? Bah pas forcément. En fait, toutes les actions, tout ce qui s'est passé dans ces deux ans vont me permettre, puisque c'est toujours au présent, de réfléchir à ce que je veux vraiment. Apprenti ou CDI ? Bah CDI, au moins je peux le laisser travailler dans mon... enfin, entre guillemets... sans être tout le temps là, et ça me permet, moi, de faire d'autres missions, d'aller voir d'autres personnes. Ça ne veut pas dire que je ne suis jamais là, évidemment, mais c'est des contraintes en moins, même si plus coûteuses, etc. Mais est-ce que, finalement, le coût dans cette affaire-là, c'est vraiment le plus important ? Eh bien non, parce que, du coup, spoiler, j'ai recruté une nouvelle personne qui va arriver en septembre, et j'ai tellement hâte pour cette personne et pour le fait qu'elle vienne. parce que ce qu'on dit évidemment jamais sur LinkedIn et les réseaux sociaux, c'est que quand on a une personne qui s'en va, quand une collaboration se termine, même si ce n'est qu'une apprentie, ça peut mettre à mal les business. Et typiquement, depuis mars, je ne dors pas trop. Pas assez. Je travaille beaucoup. Du coup, mon fils me travaille aussi beaucoup. Et c'est quelque chose qui... que je voudrais réduire. Et pourquoi j'en parle là, et tu vas me dire que tu t'en fiches pas mal de comment je gère mon business, et tu aurais complètement raison, c'est qu'en fait, quand on se met à son compte, personne ne nous dit tout ça, en vrai. Personne, tout le monde parle de ce qui est bien, voire exagère, voire tout le monde parle de ce qui ne va pas, et exagère beaucoup trop aussi. Mais ce qui me manque... Je pense sur le réseau, c'est des personnes qui parlent honnêtement de leur business. Et là, j'avais une trame que j'ai plus ou moins suivie, plutôt moins que plus. Parce qu'en fait, j'ai dit beaucoup de choses positives, beaucoup de choses négatives avec ce qui s'est passé avec mon apprenti. Quand on se met à son compte, on bosse beaucoup plus qu'avant. On doute tous les jours et on est hyper fatigué. Qu'on ait les côtés négatifs qui soient hyper down, qu'on ait des côtés positifs qui soient hyper élevés, l'important, c'est le chemin. Et oui, ça paraît hyper bullshit, mais en fait, en deux ans, j'ai fait tellement de choses sur moi, je me suis tellement remise en question que j'ai l'impression d'être un peu à ma place. Je ne sais pas si tu vois ce que je veux dire. Dans le sens où, comme je me questionne au quotidien, je suis obligée de me poser la question, clairement, de si la situation est OK pour moi. Et ça, ça n'a pas de prix. Finalement, qu'est-ce qui s'est passé durant ces quelques années ? Déjà, évidemment, on ne crée pas un business qui fonctionne en copiant les autres. Ça ne sert à rien. Enfin, non, il y a des business qui fonctionnent très bien comme ça. Mais peut-être que toi, ça ne te correspondra pas. Moi, personnellement... J'étais lasse de faire comme les autres et de ne pas m'assumer, de ne pas assumer qui j'étais, d'être hyper lisse. Là, je suis clairement beaucoup moins lisse. J'ai mon chien avec une cage énorme dans mon cabinet. J'ai aussi les magnifiques œuvres d'art de mon fils et plein d'autres trucs qui changent un peu. Et ça me plaît bien. Ensuite, qu'est-ce que j'ai appris ? Que la liberté n'est pas un objectif, c'est un process. et qui se met à jour constamment et chaque jour. Évidemment, le vrai luxe, ce n'est pas le chiffre d'affaires, mais c'est le fait de dire que tu choisis, que c'est toi qui as décidé, que c'est tes clients, les personnes que tu accompagnes. Parce que, spoiler, mes clients, c'est mes nouveaux boss. Et ça me tient tellement au cœur d'accompagner des gens en qui je crois. C'est important pour moi. L'important, c'est que tu choisisses tes clients. Tes horaires, le ton et ta vie finalement. Alors comme tu as pu le voir, le mois de juillet c'est un mois anniversaire pour moi. T'as nez, je ne vais pas fêter un chiffre. Je fêterai le fait que je ne touche plus le chômage depuis quelques mois et que je suis encore en vie. Il y a quelques mois je n'aurais pas dit ça. Je me voyais évidemment sous les ponts avec mon fils sous le bras. Je fête mon choix. Je fête le fait de briser les codes. Le fait de montrer que même en expert comptable... On peut être libre, accessible, féministe, engagé. Et même si je doute beaucoup et que je me remets en question tous les jours, Le plus important, c'est de voir le chemin. Alors si tu es là, tout court, que ce soit depuis le début ou pas, peu importe, merci. Merci si tu viens d'arriver, bienvenue dans l'aventure. Et j'espère que ma vision de l'entrepreneuriat, de la fiscalité, du blabla, te montreront simplement que le plus important dans l'histoire, c'est de comprendre et de prendre des décisions en connaissance de cause. Car, comme toujours, Souviens-toi, c'est ton business, tes règles et moi, je suis là pour t'aider à les écrire. Salut ! Un grand merci pour ton écoute. Tu l'as compris, avec ton expert conseil dans tes oreilles, l'entrepreneuriat devient enfin accessible pour tous. Alors, si tu as un projet ou une idée qui dort depuis bien trop longtemps sur ton carnet ou dans ta tête, contacte-moi sur Facebook, Instagram ou LinkedIn pour... enfin le rendre réel. Fais-toi ce cadeau. Et si tu aimes ma créativité, dis-le-moi en me laissant un bon avis et un gentil commentaire. Nous, on se retrouve mardi prochain pour ensemble libérer ta charge mentale entrepreneuriale. À bientôt !