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Toutes Puissantes !

02. Gérer le sentiment d’injustice

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09min |15/05/2024
Play
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Description

Bienvenue dans ce nouvel épisode de Toutes Puissantes ! ✨


❓ Vous êtes vous déjà sentie frustrée, transparente, en manque de considération au travail ❓


❓ Avez-vous l'impression d'en faire toujours plus pour en recevoir moins


Ensemble, découvrons comment gérer concrètement ce sentiment d'injustice 🙏


Bonne écoute ! 🎧


-


Je suis Kaouthar Trojette, coach exécutive et experte en dynamiques de pouvoir, ensemble pulvérisons le plafond de verre, un épisode à la fois !


-

 

Si ce podcast t'a plu, tu peux :

  • Le noter 5 étoiles sur Apple Podcasts ⭐⭐⭐⭐⭐

  • Le Partager à quelqu'un qui en aurait besoin 💌


-

Pour m'envoyer vos questions de coaching, c'est ici : https://tally.so/r/woyzqx

 

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🌐 Retrouvez moi également :

 

 

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🎬 Agence de podcasts : Into The Wave studio

📷 Visuel : Astrid Amadieu


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour et bienvenue sur Toute Puissante, le podcast des femmes qui veulent tout et qui l'obtiennent. Je suis Kauthar Trojet, votre hôte, coach exécutif des femmes cadres dirigeantes et experte des dynamiques de pouvoir.

  • Speaker #1

    Ici,

  • Speaker #0

    nous pulvérisons le plafond de verre à un épisode à la fois.

  • Speaker #1

    Aujourd'hui, je vais vous parler de Maya. Maya, elle a 42 ans. Elle est cadre en entreprise. Sur le papier, elle a un parcours pro qui fait rêver. Elle a des super diplômes. Elle est très brillante. Mais Maya, elle est aussi très frustrée. Au travail, elle a beau être compétente et performante, elle a l'impression que c'est toujours plus compliqué pour elle. Par exemple, là récemment, elle s'est fait doubler sur une promotion pour devenir manager par quelqu'un de moins compétent et moins performant qu'elle. Elle a aussi l'impression d'être légèrement transparente. Par exemple, quand elle propose une idée en meeting, on ne l'entend pas. Puis, Quand son collègue répète exactement la même idée, là, tout de suite, c'est une super idée, c'est génial, wow, bravo. Et puis, quand elle réussit quelque chose, c'est comme si c'était normal qu'elle faisait juste son travail. Bref, elle a l'impression d'être moins reconnue pour ses accomplissements que ses pairs, qu'elle a toujours besoin d'en faire plus pour, au final, recevoir moins. Du coup, Maya, elle a le sentiment de nager à contre-courant. C'est pénible. Et c'est fatigant. Et elle ressent aussi un fort sentiment d'injustice. Et même si ce n'est pas une militante activiste, ça lui tombe dessus. Alors Maya, elle se dit Ok, en fait, quelles que soient mes compétences, quels que soient mes efforts, de toute façon, je suis toujours renvoyée à ma condition de femme non blanche dans mon entreprise. Et moi, je ne sais pas si j'ai la force de me battre, vu que ça me demande 15 fois plus d'efforts. Oui, c'est vrai statistiquement. Par exemple, pour 100 hommes promus managers, il y a 87 femmes promues managers et 54 femmes noires. Ça, ce sont les chiffres aux États-Unis selon le rapport Women in the Workplace de McKinsey de 2023. En France, il n'y a même pas de chiffres, il n'y a même pas de données. Parce que collecter des données sur l'ethnicité, c'est hyper compliqué et en partie interdit. Alors oui, comme on l'a vu dans le premier épisode du podcast, statistiquement, les femmes rencontrent plus d'obstacles pour accéder aux échelons du pouvoir au travail. Et encore plus quand elles sont issues d'autres minorités. Mais une fois qu'on a dit ça, qu'est-ce qu'on fait ? Parce que ça, c'est de la théorie, c'est de la politique, ça met des dizaines et des dizaines d'années à changer. Mais là maintenant... Maya, qu'est-ce qu'elle fait en vrai, dans sa situation ? Comment elle fait pour gérer concrètement ce sentiment d'injustice ? D'autant que ce sentiment, il est probablement légitime. C'est ce qu'on va voir aujourd'hui ensemble. Et c'est pour moi la plus grande clé. pour naviguer ces eaux troubles. En fait, ce que j'observe, c'est qu'il existe une fausse dichotomie entre l'aspect systémique et l'aspect individuel. Je m'explique. D'un côté, il y a les militants qui vont nous dire qu'on vit dans une société patriarcale et la seule manière de changer ça, c'est par le collectif, par l'action politique, par l'action publique. Et puis, de l'autre côté, Il y a les adeptes du développement personnel, parfois même à la sauce néolibérale, qui eux vont nous dire Oui, mais tout collectif n'est qu'une somme d'individus et il suffit de changer individuellement pour que le collectif change. Alors il faut oser, il faut passer à l'action, il faut se sortir les doigts. Bon, bien sûr, je grossis un peu le trait. Mais vous avez l'idée générale, il y a deux camps. Or, pour moi... la clé, c'est de réconcilier ces deux camps et ces deux aspects. Parce que la réalité, elle n'est ni blanche ni noire. La réalité, c'est un nuancier de gris entre ces deux extrêmes. Dans chaque situation que l'on vit, il y a une part de systémique et une part d'individuel. Même si le systémique nourrit l'individuel. Par exemple, si en réunion, mes collègues ignorent régulièrement mes prises de parole, oui, c'est probablement parce qu'on est tous influencés par notre société patriarcale qui efface la parole des femmes. Mais oui ! J'ai probablement aussi des leviers d'action immédiats. Je peux apprendre à porter davantage ma voix. Je peux m'allier avec d'autres personnes qui se feront mon porte-voix. Et ces actions peuvent améliorer ma situation individuelle, même si ça ne fera peut-être pas avancer la cause de toutes les femmes. Et quand on comprend ça, on comprend deux écueils classiques que rencontrent les femmes au travail et comment en sortir. Le premier écueil, c'est quand on oublie notre levier. individuelle. C'est là qu'on va ressentir un sentiment d'injustice, le même sentiment qui anime Maya. On va se dire c'est parce que je suis une femme Et attention, je ne dis pas que ce n'est pas vrai. Mais quand on fait ça, on oublie qu'individuellement, on a toujours un certain nombre de leviers d'action pour changer, pour améliorer notre situation. Et quand on l'oublie, on tombe dans ce qu'on appelle un triangle de Karpman, c'est-à-dire une situation où on enfile le costume de victime et on désigne un persécuteur et un sauveur. Et quand on fait ça, on donne une partie de notre pouvoir aux autres. Et la conséquence, c'est qu'on va se sentir impuissante et on va sentir que la situation nous échappe. Comment est-ce qu'on sort de cette écueille ? En s'aidant d'une grille de lecture individuelle, en se demandant quels sont mes leviers d'action là maintenant, qui sont mes alliés, qui peut m'aider, comment puis-je avancer ? L'autre écueil, c'est l'autre pendant du spectre, quand on oublie le systémique. Et là, on a l'impression de ne pas être à la hauteur, parfois on ressent le syndrome de l'imposteur, qu'on n'en fait pas assez, qu'on s'auto-sabote, puisque quoi que l'on fasse, ça ne suffit jamais. Là, on se dit, j'y arrive pas, et clairement, c'est épuisant. Sauf que là, le truc, c'est qu'on oublie que si c'est plus difficile pour nous, c'est pas forcément parce qu'on n'a pas le niveau, mais c'est aussi parce que le jeu auquel on joue n'est pas fait pour que les personnes qui nous ressemblent gagnent. et parce qu'on a des obstacles insidieux face à nous. Et quand on oublie, on s'attribue la responsabilité de ce qui nous arrive et ça ajoute une couche de culpabilité à ce sentiment d'échec, alors même qu'il y a des forces supérieures qui sont en jeu. Comment on sort de cet écueil ? En recontextualisant l'aspect systémique, en se posant les questions, qu'est-ce qui se joue vraiment ici ? Qu'est-ce qui fait que ce que je vis dépasse mon existence propre ? Si je résume ce qu'on a vu, dans chaque situation que l'on vit, il y a une part de systémique et une part d'individuel. Même si le systémique nourrit l'individuel et vice versa. De là, et pour chaque situation, il y a un équilibre à trouver entre le systémique et l'individuel. Et c'est essentiel de recalibrer chaque fois qu'on sent qu'on perd l'équilibre. Comment est-ce qu'on le repère ? Soit on a trop dézoomé et on est trop dans le systémique. Là, on va éprouver un sentiment d'injustice et une perte de pouvoir. Et la solution, ça va être de zoomer davantage sur soi. Au contraire, dans l'autre cas, soit on a trop zoomé et on est trop dans l'individuel, la tête dans le guidon. Là, on va ressentir une forme de culpabilité et qu'on n'est pas à la hauteur. La solution dans ce cas-là, c'est de dézoomer de soi et d'observer. à échelle plus macro. Voilà, c'est déjà la fin de cet épisode. J'espère qu'il vous a apporté des clés de compréhension de ce que vous vivez et des outils pour regagner votre pouvoir. À bientôt !

  • Speaker #0

    Et voilà, c'est déjà la fin de notre rendez-vous. J'espère que vous repartez plus armés, inspirés et prêts à affronter vos défis avec audace et intelligence. Je suis Kaotard Trojette et vous avez écouté Toute Puissante. Continuez de pulvériser tous les plafonds de verre. À très bientôt pour un nouvel épisode plein de puissance.

Description

Bienvenue dans ce nouvel épisode de Toutes Puissantes ! ✨


❓ Vous êtes vous déjà sentie frustrée, transparente, en manque de considération au travail ❓


❓ Avez-vous l'impression d'en faire toujours plus pour en recevoir moins


Ensemble, découvrons comment gérer concrètement ce sentiment d'injustice 🙏


Bonne écoute ! 🎧


-


Je suis Kaouthar Trojette, coach exécutive et experte en dynamiques de pouvoir, ensemble pulvérisons le plafond de verre, un épisode à la fois !


-

 

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📷 Visuel : Astrid Amadieu


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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  • Speaker #0

    Bonjour et bienvenue sur Toute Puissante, le podcast des femmes qui veulent tout et qui l'obtiennent. Je suis Kauthar Trojet, votre hôte, coach exécutif des femmes cadres dirigeantes et experte des dynamiques de pouvoir.

  • Speaker #1

    Ici,

  • Speaker #0

    nous pulvérisons le plafond de verre à un épisode à la fois.

  • Speaker #1

    Aujourd'hui, je vais vous parler de Maya. Maya, elle a 42 ans. Elle est cadre en entreprise. Sur le papier, elle a un parcours pro qui fait rêver. Elle a des super diplômes. Elle est très brillante. Mais Maya, elle est aussi très frustrée. Au travail, elle a beau être compétente et performante, elle a l'impression que c'est toujours plus compliqué pour elle. Par exemple, là récemment, elle s'est fait doubler sur une promotion pour devenir manager par quelqu'un de moins compétent et moins performant qu'elle. Elle a aussi l'impression d'être légèrement transparente. Par exemple, quand elle propose une idée en meeting, on ne l'entend pas. Puis, Quand son collègue répète exactement la même idée, là, tout de suite, c'est une super idée, c'est génial, wow, bravo. Et puis, quand elle réussit quelque chose, c'est comme si c'était normal qu'elle faisait juste son travail. Bref, elle a l'impression d'être moins reconnue pour ses accomplissements que ses pairs, qu'elle a toujours besoin d'en faire plus pour, au final, recevoir moins. Du coup, Maya, elle a le sentiment de nager à contre-courant. C'est pénible. Et c'est fatigant. Et elle ressent aussi un fort sentiment d'injustice. Et même si ce n'est pas une militante activiste, ça lui tombe dessus. Alors Maya, elle se dit Ok, en fait, quelles que soient mes compétences, quels que soient mes efforts, de toute façon, je suis toujours renvoyée à ma condition de femme non blanche dans mon entreprise. Et moi, je ne sais pas si j'ai la force de me battre, vu que ça me demande 15 fois plus d'efforts. Oui, c'est vrai statistiquement. Par exemple, pour 100 hommes promus managers, il y a 87 femmes promues managers et 54 femmes noires. Ça, ce sont les chiffres aux États-Unis selon le rapport Women in the Workplace de McKinsey de 2023. En France, il n'y a même pas de chiffres, il n'y a même pas de données. Parce que collecter des données sur l'ethnicité, c'est hyper compliqué et en partie interdit. Alors oui, comme on l'a vu dans le premier épisode du podcast, statistiquement, les femmes rencontrent plus d'obstacles pour accéder aux échelons du pouvoir au travail. Et encore plus quand elles sont issues d'autres minorités. Mais une fois qu'on a dit ça, qu'est-ce qu'on fait ? Parce que ça, c'est de la théorie, c'est de la politique, ça met des dizaines et des dizaines d'années à changer. Mais là maintenant... Maya, qu'est-ce qu'elle fait en vrai, dans sa situation ? Comment elle fait pour gérer concrètement ce sentiment d'injustice ? D'autant que ce sentiment, il est probablement légitime. C'est ce qu'on va voir aujourd'hui ensemble. Et c'est pour moi la plus grande clé. pour naviguer ces eaux troubles. En fait, ce que j'observe, c'est qu'il existe une fausse dichotomie entre l'aspect systémique et l'aspect individuel. Je m'explique. D'un côté, il y a les militants qui vont nous dire qu'on vit dans une société patriarcale et la seule manière de changer ça, c'est par le collectif, par l'action politique, par l'action publique. Et puis, de l'autre côté, Il y a les adeptes du développement personnel, parfois même à la sauce néolibérale, qui eux vont nous dire Oui, mais tout collectif n'est qu'une somme d'individus et il suffit de changer individuellement pour que le collectif change. Alors il faut oser, il faut passer à l'action, il faut se sortir les doigts. Bon, bien sûr, je grossis un peu le trait. Mais vous avez l'idée générale, il y a deux camps. Or, pour moi... la clé, c'est de réconcilier ces deux camps et ces deux aspects. Parce que la réalité, elle n'est ni blanche ni noire. La réalité, c'est un nuancier de gris entre ces deux extrêmes. Dans chaque situation que l'on vit, il y a une part de systémique et une part d'individuel. Même si le systémique nourrit l'individuel. Par exemple, si en réunion, mes collègues ignorent régulièrement mes prises de parole, oui, c'est probablement parce qu'on est tous influencés par notre société patriarcale qui efface la parole des femmes. Mais oui ! J'ai probablement aussi des leviers d'action immédiats. Je peux apprendre à porter davantage ma voix. Je peux m'allier avec d'autres personnes qui se feront mon porte-voix. Et ces actions peuvent améliorer ma situation individuelle, même si ça ne fera peut-être pas avancer la cause de toutes les femmes. Et quand on comprend ça, on comprend deux écueils classiques que rencontrent les femmes au travail et comment en sortir. Le premier écueil, c'est quand on oublie notre levier. individuelle. C'est là qu'on va ressentir un sentiment d'injustice, le même sentiment qui anime Maya. On va se dire c'est parce que je suis une femme Et attention, je ne dis pas que ce n'est pas vrai. Mais quand on fait ça, on oublie qu'individuellement, on a toujours un certain nombre de leviers d'action pour changer, pour améliorer notre situation. Et quand on l'oublie, on tombe dans ce qu'on appelle un triangle de Karpman, c'est-à-dire une situation où on enfile le costume de victime et on désigne un persécuteur et un sauveur. Et quand on fait ça, on donne une partie de notre pouvoir aux autres. Et la conséquence, c'est qu'on va se sentir impuissante et on va sentir que la situation nous échappe. Comment est-ce qu'on sort de cette écueille ? En s'aidant d'une grille de lecture individuelle, en se demandant quels sont mes leviers d'action là maintenant, qui sont mes alliés, qui peut m'aider, comment puis-je avancer ? L'autre écueil, c'est l'autre pendant du spectre, quand on oublie le systémique. Et là, on a l'impression de ne pas être à la hauteur, parfois on ressent le syndrome de l'imposteur, qu'on n'en fait pas assez, qu'on s'auto-sabote, puisque quoi que l'on fasse, ça ne suffit jamais. Là, on se dit, j'y arrive pas, et clairement, c'est épuisant. Sauf que là, le truc, c'est qu'on oublie que si c'est plus difficile pour nous, c'est pas forcément parce qu'on n'a pas le niveau, mais c'est aussi parce que le jeu auquel on joue n'est pas fait pour que les personnes qui nous ressemblent gagnent. et parce qu'on a des obstacles insidieux face à nous. Et quand on oublie, on s'attribue la responsabilité de ce qui nous arrive et ça ajoute une couche de culpabilité à ce sentiment d'échec, alors même qu'il y a des forces supérieures qui sont en jeu. Comment on sort de cet écueil ? En recontextualisant l'aspect systémique, en se posant les questions, qu'est-ce qui se joue vraiment ici ? Qu'est-ce qui fait que ce que je vis dépasse mon existence propre ? Si je résume ce qu'on a vu, dans chaque situation que l'on vit, il y a une part de systémique et une part d'individuel. Même si le systémique nourrit l'individuel et vice versa. De là, et pour chaque situation, il y a un équilibre à trouver entre le systémique et l'individuel. Et c'est essentiel de recalibrer chaque fois qu'on sent qu'on perd l'équilibre. Comment est-ce qu'on le repère ? Soit on a trop dézoomé et on est trop dans le systémique. Là, on va éprouver un sentiment d'injustice et une perte de pouvoir. Et la solution, ça va être de zoomer davantage sur soi. Au contraire, dans l'autre cas, soit on a trop zoomé et on est trop dans l'individuel, la tête dans le guidon. Là, on va ressentir une forme de culpabilité et qu'on n'est pas à la hauteur. La solution dans ce cas-là, c'est de dézoomer de soi et d'observer. à échelle plus macro. Voilà, c'est déjà la fin de cet épisode. J'espère qu'il vous a apporté des clés de compréhension de ce que vous vivez et des outils pour regagner votre pouvoir. À bientôt !

  • Speaker #0

    Et voilà, c'est déjà la fin de notre rendez-vous. J'espère que vous repartez plus armés, inspirés et prêts à affronter vos défis avec audace et intelligence. Je suis Kaotard Trojette et vous avez écouté Toute Puissante. Continuez de pulvériser tous les plafonds de verre. À très bientôt pour un nouvel épisode plein de puissance.

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❓ Vous êtes vous déjà sentie frustrée, transparente, en manque de considération au travail ❓


❓ Avez-vous l'impression d'en faire toujours plus pour en recevoir moins


Ensemble, découvrons comment gérer concrètement ce sentiment d'injustice 🙏


Bonne écoute ! 🎧


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Je suis Kaouthar Trojette, coach exécutive et experte en dynamiques de pouvoir, ensemble pulvérisons le plafond de verre, un épisode à la fois !


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  • Speaker #0

    Bonjour et bienvenue sur Toute Puissante, le podcast des femmes qui veulent tout et qui l'obtiennent. Je suis Kauthar Trojet, votre hôte, coach exécutif des femmes cadres dirigeantes et experte des dynamiques de pouvoir.

  • Speaker #1

    Ici,

  • Speaker #0

    nous pulvérisons le plafond de verre à un épisode à la fois.

  • Speaker #1

    Aujourd'hui, je vais vous parler de Maya. Maya, elle a 42 ans. Elle est cadre en entreprise. Sur le papier, elle a un parcours pro qui fait rêver. Elle a des super diplômes. Elle est très brillante. Mais Maya, elle est aussi très frustrée. Au travail, elle a beau être compétente et performante, elle a l'impression que c'est toujours plus compliqué pour elle. Par exemple, là récemment, elle s'est fait doubler sur une promotion pour devenir manager par quelqu'un de moins compétent et moins performant qu'elle. Elle a aussi l'impression d'être légèrement transparente. Par exemple, quand elle propose une idée en meeting, on ne l'entend pas. Puis, Quand son collègue répète exactement la même idée, là, tout de suite, c'est une super idée, c'est génial, wow, bravo. Et puis, quand elle réussit quelque chose, c'est comme si c'était normal qu'elle faisait juste son travail. Bref, elle a l'impression d'être moins reconnue pour ses accomplissements que ses pairs, qu'elle a toujours besoin d'en faire plus pour, au final, recevoir moins. Du coup, Maya, elle a le sentiment de nager à contre-courant. C'est pénible. Et c'est fatigant. Et elle ressent aussi un fort sentiment d'injustice. Et même si ce n'est pas une militante activiste, ça lui tombe dessus. Alors Maya, elle se dit Ok, en fait, quelles que soient mes compétences, quels que soient mes efforts, de toute façon, je suis toujours renvoyée à ma condition de femme non blanche dans mon entreprise. Et moi, je ne sais pas si j'ai la force de me battre, vu que ça me demande 15 fois plus d'efforts. Oui, c'est vrai statistiquement. Par exemple, pour 100 hommes promus managers, il y a 87 femmes promues managers et 54 femmes noires. Ça, ce sont les chiffres aux États-Unis selon le rapport Women in the Workplace de McKinsey de 2023. En France, il n'y a même pas de chiffres, il n'y a même pas de données. Parce que collecter des données sur l'ethnicité, c'est hyper compliqué et en partie interdit. Alors oui, comme on l'a vu dans le premier épisode du podcast, statistiquement, les femmes rencontrent plus d'obstacles pour accéder aux échelons du pouvoir au travail. Et encore plus quand elles sont issues d'autres minorités. Mais une fois qu'on a dit ça, qu'est-ce qu'on fait ? Parce que ça, c'est de la théorie, c'est de la politique, ça met des dizaines et des dizaines d'années à changer. Mais là maintenant... Maya, qu'est-ce qu'elle fait en vrai, dans sa situation ? Comment elle fait pour gérer concrètement ce sentiment d'injustice ? D'autant que ce sentiment, il est probablement légitime. C'est ce qu'on va voir aujourd'hui ensemble. Et c'est pour moi la plus grande clé. pour naviguer ces eaux troubles. En fait, ce que j'observe, c'est qu'il existe une fausse dichotomie entre l'aspect systémique et l'aspect individuel. Je m'explique. D'un côté, il y a les militants qui vont nous dire qu'on vit dans une société patriarcale et la seule manière de changer ça, c'est par le collectif, par l'action politique, par l'action publique. Et puis, de l'autre côté, Il y a les adeptes du développement personnel, parfois même à la sauce néolibérale, qui eux vont nous dire Oui, mais tout collectif n'est qu'une somme d'individus et il suffit de changer individuellement pour que le collectif change. Alors il faut oser, il faut passer à l'action, il faut se sortir les doigts. Bon, bien sûr, je grossis un peu le trait. Mais vous avez l'idée générale, il y a deux camps. Or, pour moi... la clé, c'est de réconcilier ces deux camps et ces deux aspects. Parce que la réalité, elle n'est ni blanche ni noire. La réalité, c'est un nuancier de gris entre ces deux extrêmes. Dans chaque situation que l'on vit, il y a une part de systémique et une part d'individuel. Même si le systémique nourrit l'individuel. Par exemple, si en réunion, mes collègues ignorent régulièrement mes prises de parole, oui, c'est probablement parce qu'on est tous influencés par notre société patriarcale qui efface la parole des femmes. Mais oui ! J'ai probablement aussi des leviers d'action immédiats. Je peux apprendre à porter davantage ma voix. Je peux m'allier avec d'autres personnes qui se feront mon porte-voix. Et ces actions peuvent améliorer ma situation individuelle, même si ça ne fera peut-être pas avancer la cause de toutes les femmes. Et quand on comprend ça, on comprend deux écueils classiques que rencontrent les femmes au travail et comment en sortir. Le premier écueil, c'est quand on oublie notre levier. individuelle. C'est là qu'on va ressentir un sentiment d'injustice, le même sentiment qui anime Maya. On va se dire c'est parce que je suis une femme Et attention, je ne dis pas que ce n'est pas vrai. Mais quand on fait ça, on oublie qu'individuellement, on a toujours un certain nombre de leviers d'action pour changer, pour améliorer notre situation. Et quand on l'oublie, on tombe dans ce qu'on appelle un triangle de Karpman, c'est-à-dire une situation où on enfile le costume de victime et on désigne un persécuteur et un sauveur. Et quand on fait ça, on donne une partie de notre pouvoir aux autres. Et la conséquence, c'est qu'on va se sentir impuissante et on va sentir que la situation nous échappe. Comment est-ce qu'on sort de cette écueille ? En s'aidant d'une grille de lecture individuelle, en se demandant quels sont mes leviers d'action là maintenant, qui sont mes alliés, qui peut m'aider, comment puis-je avancer ? L'autre écueil, c'est l'autre pendant du spectre, quand on oublie le systémique. Et là, on a l'impression de ne pas être à la hauteur, parfois on ressent le syndrome de l'imposteur, qu'on n'en fait pas assez, qu'on s'auto-sabote, puisque quoi que l'on fasse, ça ne suffit jamais. Là, on se dit, j'y arrive pas, et clairement, c'est épuisant. Sauf que là, le truc, c'est qu'on oublie que si c'est plus difficile pour nous, c'est pas forcément parce qu'on n'a pas le niveau, mais c'est aussi parce que le jeu auquel on joue n'est pas fait pour que les personnes qui nous ressemblent gagnent. et parce qu'on a des obstacles insidieux face à nous. Et quand on oublie, on s'attribue la responsabilité de ce qui nous arrive et ça ajoute une couche de culpabilité à ce sentiment d'échec, alors même qu'il y a des forces supérieures qui sont en jeu. Comment on sort de cet écueil ? En recontextualisant l'aspect systémique, en se posant les questions, qu'est-ce qui se joue vraiment ici ? Qu'est-ce qui fait que ce que je vis dépasse mon existence propre ? Si je résume ce qu'on a vu, dans chaque situation que l'on vit, il y a une part de systémique et une part d'individuel. Même si le systémique nourrit l'individuel et vice versa. De là, et pour chaque situation, il y a un équilibre à trouver entre le systémique et l'individuel. Et c'est essentiel de recalibrer chaque fois qu'on sent qu'on perd l'équilibre. Comment est-ce qu'on le repère ? Soit on a trop dézoomé et on est trop dans le systémique. Là, on va éprouver un sentiment d'injustice et une perte de pouvoir. Et la solution, ça va être de zoomer davantage sur soi. Au contraire, dans l'autre cas, soit on a trop zoomé et on est trop dans l'individuel, la tête dans le guidon. Là, on va ressentir une forme de culpabilité et qu'on n'est pas à la hauteur. La solution dans ce cas-là, c'est de dézoomer de soi et d'observer. à échelle plus macro. Voilà, c'est déjà la fin de cet épisode. J'espère qu'il vous a apporté des clés de compréhension de ce que vous vivez et des outils pour regagner votre pouvoir. À bientôt !

  • Speaker #0

    Et voilà, c'est déjà la fin de notre rendez-vous. J'espère que vous repartez plus armés, inspirés et prêts à affronter vos défis avec audace et intelligence. Je suis Kaotard Trojette et vous avez écouté Toute Puissante. Continuez de pulvériser tous les plafonds de verre. À très bientôt pour un nouvel épisode plein de puissance.

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❓ Vous êtes vous déjà sentie frustrée, transparente, en manque de considération au travail ❓


❓ Avez-vous l'impression d'en faire toujours plus pour en recevoir moins


Ensemble, découvrons comment gérer concrètement ce sentiment d'injustice 🙏


Bonne écoute ! 🎧


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Je suis Kaouthar Trojette, coach exécutive et experte en dynamiques de pouvoir, ensemble pulvérisons le plafond de verre, un épisode à la fois !


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    Bonjour et bienvenue sur Toute Puissante, le podcast des femmes qui veulent tout et qui l'obtiennent. Je suis Kauthar Trojet, votre hôte, coach exécutif des femmes cadres dirigeantes et experte des dynamiques de pouvoir.

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    nous pulvérisons le plafond de verre à un épisode à la fois.

  • Speaker #1

    Aujourd'hui, je vais vous parler de Maya. Maya, elle a 42 ans. Elle est cadre en entreprise. Sur le papier, elle a un parcours pro qui fait rêver. Elle a des super diplômes. Elle est très brillante. Mais Maya, elle est aussi très frustrée. Au travail, elle a beau être compétente et performante, elle a l'impression que c'est toujours plus compliqué pour elle. Par exemple, là récemment, elle s'est fait doubler sur une promotion pour devenir manager par quelqu'un de moins compétent et moins performant qu'elle. Elle a aussi l'impression d'être légèrement transparente. Par exemple, quand elle propose une idée en meeting, on ne l'entend pas. Puis, Quand son collègue répète exactement la même idée, là, tout de suite, c'est une super idée, c'est génial, wow, bravo. Et puis, quand elle réussit quelque chose, c'est comme si c'était normal qu'elle faisait juste son travail. Bref, elle a l'impression d'être moins reconnue pour ses accomplissements que ses pairs, qu'elle a toujours besoin d'en faire plus pour, au final, recevoir moins. Du coup, Maya, elle a le sentiment de nager à contre-courant. C'est pénible. Et c'est fatigant. Et elle ressent aussi un fort sentiment d'injustice. Et même si ce n'est pas une militante activiste, ça lui tombe dessus. Alors Maya, elle se dit Ok, en fait, quelles que soient mes compétences, quels que soient mes efforts, de toute façon, je suis toujours renvoyée à ma condition de femme non blanche dans mon entreprise. Et moi, je ne sais pas si j'ai la force de me battre, vu que ça me demande 15 fois plus d'efforts. Oui, c'est vrai statistiquement. Par exemple, pour 100 hommes promus managers, il y a 87 femmes promues managers et 54 femmes noires. Ça, ce sont les chiffres aux États-Unis selon le rapport Women in the Workplace de McKinsey de 2023. En France, il n'y a même pas de chiffres, il n'y a même pas de données. Parce que collecter des données sur l'ethnicité, c'est hyper compliqué et en partie interdit. Alors oui, comme on l'a vu dans le premier épisode du podcast, statistiquement, les femmes rencontrent plus d'obstacles pour accéder aux échelons du pouvoir au travail. Et encore plus quand elles sont issues d'autres minorités. Mais une fois qu'on a dit ça, qu'est-ce qu'on fait ? Parce que ça, c'est de la théorie, c'est de la politique, ça met des dizaines et des dizaines d'années à changer. Mais là maintenant... Maya, qu'est-ce qu'elle fait en vrai, dans sa situation ? Comment elle fait pour gérer concrètement ce sentiment d'injustice ? D'autant que ce sentiment, il est probablement légitime. C'est ce qu'on va voir aujourd'hui ensemble. Et c'est pour moi la plus grande clé. pour naviguer ces eaux troubles. En fait, ce que j'observe, c'est qu'il existe une fausse dichotomie entre l'aspect systémique et l'aspect individuel. Je m'explique. D'un côté, il y a les militants qui vont nous dire qu'on vit dans une société patriarcale et la seule manière de changer ça, c'est par le collectif, par l'action politique, par l'action publique. Et puis, de l'autre côté, Il y a les adeptes du développement personnel, parfois même à la sauce néolibérale, qui eux vont nous dire Oui, mais tout collectif n'est qu'une somme d'individus et il suffit de changer individuellement pour que le collectif change. Alors il faut oser, il faut passer à l'action, il faut se sortir les doigts. Bon, bien sûr, je grossis un peu le trait. Mais vous avez l'idée générale, il y a deux camps. Or, pour moi... la clé, c'est de réconcilier ces deux camps et ces deux aspects. Parce que la réalité, elle n'est ni blanche ni noire. La réalité, c'est un nuancier de gris entre ces deux extrêmes. Dans chaque situation que l'on vit, il y a une part de systémique et une part d'individuel. Même si le systémique nourrit l'individuel. Par exemple, si en réunion, mes collègues ignorent régulièrement mes prises de parole, oui, c'est probablement parce qu'on est tous influencés par notre société patriarcale qui efface la parole des femmes. Mais oui ! J'ai probablement aussi des leviers d'action immédiats. Je peux apprendre à porter davantage ma voix. Je peux m'allier avec d'autres personnes qui se feront mon porte-voix. Et ces actions peuvent améliorer ma situation individuelle, même si ça ne fera peut-être pas avancer la cause de toutes les femmes. Et quand on comprend ça, on comprend deux écueils classiques que rencontrent les femmes au travail et comment en sortir. Le premier écueil, c'est quand on oublie notre levier. individuelle. C'est là qu'on va ressentir un sentiment d'injustice, le même sentiment qui anime Maya. On va se dire c'est parce que je suis une femme Et attention, je ne dis pas que ce n'est pas vrai. Mais quand on fait ça, on oublie qu'individuellement, on a toujours un certain nombre de leviers d'action pour changer, pour améliorer notre situation. Et quand on l'oublie, on tombe dans ce qu'on appelle un triangle de Karpman, c'est-à-dire une situation où on enfile le costume de victime et on désigne un persécuteur et un sauveur. Et quand on fait ça, on donne une partie de notre pouvoir aux autres. Et la conséquence, c'est qu'on va se sentir impuissante et on va sentir que la situation nous échappe. Comment est-ce qu'on sort de cette écueille ? En s'aidant d'une grille de lecture individuelle, en se demandant quels sont mes leviers d'action là maintenant, qui sont mes alliés, qui peut m'aider, comment puis-je avancer ? L'autre écueil, c'est l'autre pendant du spectre, quand on oublie le systémique. Et là, on a l'impression de ne pas être à la hauteur, parfois on ressent le syndrome de l'imposteur, qu'on n'en fait pas assez, qu'on s'auto-sabote, puisque quoi que l'on fasse, ça ne suffit jamais. Là, on se dit, j'y arrive pas, et clairement, c'est épuisant. Sauf que là, le truc, c'est qu'on oublie que si c'est plus difficile pour nous, c'est pas forcément parce qu'on n'a pas le niveau, mais c'est aussi parce que le jeu auquel on joue n'est pas fait pour que les personnes qui nous ressemblent gagnent. et parce qu'on a des obstacles insidieux face à nous. Et quand on oublie, on s'attribue la responsabilité de ce qui nous arrive et ça ajoute une couche de culpabilité à ce sentiment d'échec, alors même qu'il y a des forces supérieures qui sont en jeu. Comment on sort de cet écueil ? En recontextualisant l'aspect systémique, en se posant les questions, qu'est-ce qui se joue vraiment ici ? Qu'est-ce qui fait que ce que je vis dépasse mon existence propre ? Si je résume ce qu'on a vu, dans chaque situation que l'on vit, il y a une part de systémique et une part d'individuel. Même si le systémique nourrit l'individuel et vice versa. De là, et pour chaque situation, il y a un équilibre à trouver entre le systémique et l'individuel. Et c'est essentiel de recalibrer chaque fois qu'on sent qu'on perd l'équilibre. Comment est-ce qu'on le repère ? Soit on a trop dézoomé et on est trop dans le systémique. Là, on va éprouver un sentiment d'injustice et une perte de pouvoir. Et la solution, ça va être de zoomer davantage sur soi. Au contraire, dans l'autre cas, soit on a trop zoomé et on est trop dans l'individuel, la tête dans le guidon. Là, on va ressentir une forme de culpabilité et qu'on n'est pas à la hauteur. La solution dans ce cas-là, c'est de dézoomer de soi et d'observer. à échelle plus macro. Voilà, c'est déjà la fin de cet épisode. J'espère qu'il vous a apporté des clés de compréhension de ce que vous vivez et des outils pour regagner votre pouvoir. À bientôt !

  • Speaker #0

    Et voilà, c'est déjà la fin de notre rendez-vous. J'espère que vous repartez plus armés, inspirés et prêts à affronter vos défis avec audace et intelligence. Je suis Kaotard Trojette et vous avez écouté Toute Puissante. Continuez de pulvériser tous les plafonds de verre. À très bientôt pour un nouvel épisode plein de puissance.

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