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Tutorah - Rav Bendrihem

Émor - Ne pas s’arracher les cheveux.m4a

Émor - Ne pas s’arracher les cheveux.m4a

10min |15/05/2024
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Description

Tutorah Paracha - Podcast sur la Paracha - Livre de Vayikra - Paracha Emor - année 5783 - 2023 Rav Mordéhaï Bendrihem - Jérusalem


Hosted on Ausha. See ausha.co/privacy-policy for more information.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour, une réflexion sur la paracha de Hémor. Cette paracha ouvre sur le sujet des règles de pureté des Kohanim. Comme on le sait, le peuple d'Israël est subdivisé en trois. Les Kohanim, les prêtres qui avaient mission d'approcher les sacrifices au Temple. qui avait aussi des rétributions de ses sacrifices pour pouvoir les consommer, et qui, de ce fait, devait aussi garder une hauteur et une pureté. D'ailleurs, on le sait, à la synagogue, le Kohen est le premier à monter au Sefer Torah. Le Lévi, c'est la deuxième catégorie, ils étaient chargés de tout ce qui était l'accompagnement qu'on pourrait qualifier de musical dans la dimension la plus spirituelle de la musicalité et de l'enseignement de la Torah pour le Ham Yisrael, le Shébet Lévi, la tribu de Lévi. Et enfin Israël, c'est-à-dire tout un chacun. Ceux qui sont nés sans avoir été Kohen ou Lévi sont des Israëls. Bien évidemment, le terme générique du peuple d'Israël englobe le Kohen, le Lévi et l'Israël. Et voilà que lorsque notre paracha décrit les règles propres au Kohen, une des règles particulières, c'est le deuil. Le Kohen n'a pas le droit de rentrer dans un cimetière, car le cimetière est impur, une des plus grandes impuretés étant la pureté du mort. C'est pourquoi d'ailleurs aussi dans les hôpitaux, dans les endroits où il y a susceptibilité que des personnes puissent y décéder, Dieu préserve, alors là-bas aussi, le colonne devra prendre les précautions et parfois ne pas pouvoir entrer. Et pourtant, il peut le faire quand il s'agit de ceux qui sont très proches de lui, ceux qui s'appellent She'er Comme le verset le dit, Kim lish eroha karo velav De qui parle-t-on ? De sa mère, de son père, de son fils, de sa fille, Dieu préserve, de son frère, de sa sœur qui n'aurait pas été mariée. Mais il ne pourrait pas se rendre impur pour quelqu'un d'autre. Et le verset de continuant en nous disant Il y a une interdiction de tonsure, de s'arracher les cheveux, lorsque le deuil touche un Kohen. Le commentaire du Keli Akar souligne que c'est interdit d'exagérer le deuil, comme on dit en français de s'arracher les cheveux, littéralement. est un interdit qui n'est pas propre uniquement au Kohanim. Dans la Torah, dans le livre de Devarim, au 14e chapitre, 1er verset, la Torah nous dit déjà Vous êtes les enfants de l'Éternel votre Dieu. Vous n'aurez pas le droit de faire de tonsure, ni d'entaillement ou de griffure lorsque vous êtes touchés. par le deuil d'avoir perdu un proche, même un proche parent. Et la question est tout à fait évidente. Pourquoi avoir besoin de le dire à deux fois ? Une fois pour les Kohanim et une fois pour les Israëls. Voilà que les Kohanim font partie du peuple d'Israël. Et qu'y a-t-il de particulier pour qu'on ait besoin de le dire une fois à propos des Kohanim, singulièrement, et de le répéter une autre fois à propos de tout un chacun ? Eh bien, nos maîtres nous expliquent que si ça avait été dit uniquement à propos des coanimes, on se serait dit, eh bien, les coanimes, on leur demande de ne pas s'endeuiller. Parce que, comme ils ont travaillé au temple, comme ils sont des personnes qui sont très ailées, très pieuses, très pures, on n'a pas à s'endeuiller outre mesure lorsque quelqu'un de très pur quitte ce monde. Parce qu'on est bel et bien convaincus. qu'il va être accueilli et qu'il va être reçu dans de bonnes conditions, dans le Gan Eden, dans le jardin d'Eden, dans le monde de la vérité. Mais par contre, on aurait pu penser que si ce n'était pas un Kohen, si ce n'était pas une grande personnalité, alors oui, on aurait le droit de se lamenter. Oui, on aurait le droit de porter un deuil exagéré. C'est pourquoi il fallait le dire aussi à propos d'Israël. Israël ici représenterait non seulement celui qui n'est pas Kohen, mais aussi celui qui n'a pas été injuste. Un juste, en deux mots, une personne sadique. On pourrait se dire, oh là là, lui, il n'a pas fait que des mitzvot, il n'a pas fait que des bonnes actions. Alors il y a de quoi se tirer les cheveux, il y a de quoi se lamenter, il y a de quoi exagérer le deuil. Et nos maîtres vont dire, c'est pour ça que la Torah a répété, pour dire non, qui qu'il soit, on n'a pas le droit de se lamenter. Même si c'était quelqu'un qui paraissait simple et qui paraissait être quelqu'un qui n'avait pas beaucoup de mitzvot. Quelle est la raison ? Eh bien c'est simple. Parce que Baniim, nous sommes les enfants d'Hachem. D'ailleurs, il y a une très belle parabole qui est rapportée. C'est l'image suivante. Quelqu'un qui est reçu chez son beau-père, et puis il habite là-bas pendant un bon moment. Et bien au prochain, il mange bien, il dort bien, tout se passe bien. Et à un moment, il reçoit une lettre de son père qui lui dit Maintenant, tu vas venir t'installer chez nous, à la maison. Alors lui est très triste. Il dit à son beau-père, à sa belle-mère, à ses beaux-frères et belles-sœurs, Oh là là, je suis vraiment triste de quitter. J'étais tellement bien installé chez vous, bien reçu, je mangeais bien, je dormais bien. J'étais vraiment bien entouré. Et une des personnes de lui dire, Mais tu n'as pas à être triste. Bien sûr, effectivement, on était tous attachés les uns aux autres. Mais si c'est ton père qui t'aime, qui connaît les conditions dans lesquelles tu vivais ici, qui t'appelle pour te convier à sa table, pour te dire de venir t'installer chez lui, plus proche de lui, c'est qu'il sait que le mieux pour toi, c'est d'être avec lui. Et que tu n'as rien à perdre, mais tout à gagner. Tu n'as pas à te dire que tu seras moins bien. là où tu vas être reçu chez ton père. Bien sûr que celui qui est en deuil, il a de la peine. Mais savoir que celui qui a quitté ce monde, il va aller bête au lameau, il va s'approcher d'Hachem, il va s'approcher de notre père, ça c'est quelque chose qui fait qu'on doit freiner l'exagération du deuil. Porter le deuil, ça veut dire l'accepter, le supporter. Alors si on avait dit uniquement à propos de tout un chacun, des B'nai Israël, si on s'était suffit que du verset qui parle dans des barils, qu'aurait-il manqué ? Eh bien, nous dit le Keliaka, si on avait dit qu'il était interdit de se faire ses tonsures et de se griffer, que pour Israël et pas en plus singulièrement pour le Kohen, eh bien on se serait trompé. Parce qu'on se serait dit, ben, Israël... comme c'est quelqu'un qui n'est pas très important, c'est normal qu'on nous dise, tu ne vas pas te lamenter trop, tu sais, c'était quelqu'un, voilà quoi, c'était une personne simple, ce n'était pas une personne très valeureuse. Mais par contre, on aurait pu imaginer que, si par contre, il s'agissait d'un grand maître, s'il s'agissait d'un homme pieux, s'il s'agissait d'un Kohen qui rentre au temple, alors là, oui, on aurait le droit. de se lamenter outre mesure et de se faire des griffures, des tonsures et s'arracher les cheveux. C'est pourquoi la Torah répète à nouveau que même si c'était quelqu'un d'important, on doit être capable d'accepter que le deuil a des règles. Les trois premiers jours sont des jours de pleurs. Les sept premiers jours, incluant ces trois premiers jours, sont des sept jours de deuil, des Shiva. Puis après, on a les trente jours pour le père et la mère, Dieu préserve. On a jusqu'à douze mois de deuil. Et après, il faut être capable de continuer à vivre. Mon rave avait l'habitude de dire que parfois, dans le deuil, on veut consoler quelqu'un, mais il y a des personnes qui ne veulent pas accepter d'être consolées. Ne pas accepter d'être consolé, c'est quelque part aussi contrarier la bénédiction qu'on dit le jour du décès d'un défunt. On dit Baruch Dayan Ha'emet Akadosh Baruch Hu, notre créateur, est le juge de vérité. C'est celui qui sait que quand quelqu'un a terminé sa mission, il n'y a pas à vouloir le retenir. S'il a fait tout ce qu'il devait, il est maintenant dans le monde de la vérité. Dans cette paracha, on nous apprend donc à réfléchir sur le fait que Mavet la mort, c'est les mêmes lettres que Mot et Ahar car Tihye Nos maîtres nous disent que c'est Meurs et après tu vivras De la même manière que toutes les grandes choses de ce monde. C'est Vaï'ire et Vaï'iboker et Yom-Ehad D'abord la nuit et ensuite le jour. D'abord d'être petit et ensuite d'être grand. C'est vrai qu'on a une haute estime de la vie parce que rien ne vaut la vie dans ce monde-ci. Mais comparé à la vie éternelle de l'âme, cette vie-là est presque une mort, une vie passagère. Et ensuite... On peut être consolé et rassuré de s'approcher d'Hachem pour avoir la vie éternelle. Shabbat shalom.

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  • Speaker #0

    Bonjour, une réflexion sur la paracha de Hémor. Cette paracha ouvre sur le sujet des règles de pureté des Kohanim. Comme on le sait, le peuple d'Israël est subdivisé en trois. Les Kohanim, les prêtres qui avaient mission d'approcher les sacrifices au Temple. qui avait aussi des rétributions de ses sacrifices pour pouvoir les consommer, et qui, de ce fait, devait aussi garder une hauteur et une pureté. D'ailleurs, on le sait, à la synagogue, le Kohen est le premier à monter au Sefer Torah. Le Lévi, c'est la deuxième catégorie, ils étaient chargés de tout ce qui était l'accompagnement qu'on pourrait qualifier de musical dans la dimension la plus spirituelle de la musicalité et de l'enseignement de la Torah pour le Ham Yisrael, le Shébet Lévi, la tribu de Lévi. Et enfin Israël, c'est-à-dire tout un chacun. Ceux qui sont nés sans avoir été Kohen ou Lévi sont des Israëls. Bien évidemment, le terme générique du peuple d'Israël englobe le Kohen, le Lévi et l'Israël. Et voilà que lorsque notre paracha décrit les règles propres au Kohen, une des règles particulières, c'est le deuil. Le Kohen n'a pas le droit de rentrer dans un cimetière, car le cimetière est impur, une des plus grandes impuretés étant la pureté du mort. C'est pourquoi d'ailleurs aussi dans les hôpitaux, dans les endroits où il y a susceptibilité que des personnes puissent y décéder, Dieu préserve, alors là-bas aussi, le colonne devra prendre les précautions et parfois ne pas pouvoir entrer. Et pourtant, il peut le faire quand il s'agit de ceux qui sont très proches de lui, ceux qui s'appellent She'er Comme le verset le dit, Kim lish eroha karo velav De qui parle-t-on ? De sa mère, de son père, de son fils, de sa fille, Dieu préserve, de son frère, de sa sœur qui n'aurait pas été mariée. Mais il ne pourrait pas se rendre impur pour quelqu'un d'autre. Et le verset de continuant en nous disant Il y a une interdiction de tonsure, de s'arracher les cheveux, lorsque le deuil touche un Kohen. Le commentaire du Keli Akar souligne que c'est interdit d'exagérer le deuil, comme on dit en français de s'arracher les cheveux, littéralement. est un interdit qui n'est pas propre uniquement au Kohanim. Dans la Torah, dans le livre de Devarim, au 14e chapitre, 1er verset, la Torah nous dit déjà Vous êtes les enfants de l'Éternel votre Dieu. Vous n'aurez pas le droit de faire de tonsure, ni d'entaillement ou de griffure lorsque vous êtes touchés. par le deuil d'avoir perdu un proche, même un proche parent. Et la question est tout à fait évidente. Pourquoi avoir besoin de le dire à deux fois ? Une fois pour les Kohanim et une fois pour les Israëls. Voilà que les Kohanim font partie du peuple d'Israël. Et qu'y a-t-il de particulier pour qu'on ait besoin de le dire une fois à propos des Kohanim, singulièrement, et de le répéter une autre fois à propos de tout un chacun ? Eh bien, nos maîtres nous expliquent que si ça avait été dit uniquement à propos des coanimes, on se serait dit, eh bien, les coanimes, on leur demande de ne pas s'endeuiller. Parce que, comme ils ont travaillé au temple, comme ils sont des personnes qui sont très ailées, très pieuses, très pures, on n'a pas à s'endeuiller outre mesure lorsque quelqu'un de très pur quitte ce monde. Parce qu'on est bel et bien convaincus. qu'il va être accueilli et qu'il va être reçu dans de bonnes conditions, dans le Gan Eden, dans le jardin d'Eden, dans le monde de la vérité. Mais par contre, on aurait pu penser que si ce n'était pas un Kohen, si ce n'était pas une grande personnalité, alors oui, on aurait le droit de se lamenter. Oui, on aurait le droit de porter un deuil exagéré. C'est pourquoi il fallait le dire aussi à propos d'Israël. Israël ici représenterait non seulement celui qui n'est pas Kohen, mais aussi celui qui n'a pas été injuste. Un juste, en deux mots, une personne sadique. On pourrait se dire, oh là là, lui, il n'a pas fait que des mitzvot, il n'a pas fait que des bonnes actions. Alors il y a de quoi se tirer les cheveux, il y a de quoi se lamenter, il y a de quoi exagérer le deuil. Et nos maîtres vont dire, c'est pour ça que la Torah a répété, pour dire non, qui qu'il soit, on n'a pas le droit de se lamenter. Même si c'était quelqu'un qui paraissait simple et qui paraissait être quelqu'un qui n'avait pas beaucoup de mitzvot. Quelle est la raison ? Eh bien c'est simple. Parce que Baniim, nous sommes les enfants d'Hachem. D'ailleurs, il y a une très belle parabole qui est rapportée. C'est l'image suivante. Quelqu'un qui est reçu chez son beau-père, et puis il habite là-bas pendant un bon moment. Et bien au prochain, il mange bien, il dort bien, tout se passe bien. Et à un moment, il reçoit une lettre de son père qui lui dit Maintenant, tu vas venir t'installer chez nous, à la maison. Alors lui est très triste. Il dit à son beau-père, à sa belle-mère, à ses beaux-frères et belles-sœurs, Oh là là, je suis vraiment triste de quitter. J'étais tellement bien installé chez vous, bien reçu, je mangeais bien, je dormais bien. J'étais vraiment bien entouré. Et une des personnes de lui dire, Mais tu n'as pas à être triste. Bien sûr, effectivement, on était tous attachés les uns aux autres. Mais si c'est ton père qui t'aime, qui connaît les conditions dans lesquelles tu vivais ici, qui t'appelle pour te convier à sa table, pour te dire de venir t'installer chez lui, plus proche de lui, c'est qu'il sait que le mieux pour toi, c'est d'être avec lui. Et que tu n'as rien à perdre, mais tout à gagner. Tu n'as pas à te dire que tu seras moins bien. là où tu vas être reçu chez ton père. Bien sûr que celui qui est en deuil, il a de la peine. Mais savoir que celui qui a quitté ce monde, il va aller bête au lameau, il va s'approcher d'Hachem, il va s'approcher de notre père, ça c'est quelque chose qui fait qu'on doit freiner l'exagération du deuil. Porter le deuil, ça veut dire l'accepter, le supporter. Alors si on avait dit uniquement à propos de tout un chacun, des B'nai Israël, si on s'était suffit que du verset qui parle dans des barils, qu'aurait-il manqué ? Eh bien, nous dit le Keliaka, si on avait dit qu'il était interdit de se faire ses tonsures et de se griffer, que pour Israël et pas en plus singulièrement pour le Kohen, eh bien on se serait trompé. Parce qu'on se serait dit, ben, Israël... comme c'est quelqu'un qui n'est pas très important, c'est normal qu'on nous dise, tu ne vas pas te lamenter trop, tu sais, c'était quelqu'un, voilà quoi, c'était une personne simple, ce n'était pas une personne très valeureuse. Mais par contre, on aurait pu imaginer que, si par contre, il s'agissait d'un grand maître, s'il s'agissait d'un homme pieux, s'il s'agissait d'un Kohen qui rentre au temple, alors là, oui, on aurait le droit. de se lamenter outre mesure et de se faire des griffures, des tonsures et s'arracher les cheveux. C'est pourquoi la Torah répète à nouveau que même si c'était quelqu'un d'important, on doit être capable d'accepter que le deuil a des règles. Les trois premiers jours sont des jours de pleurs. Les sept premiers jours, incluant ces trois premiers jours, sont des sept jours de deuil, des Shiva. Puis après, on a les trente jours pour le père et la mère, Dieu préserve. On a jusqu'à douze mois de deuil. Et après, il faut être capable de continuer à vivre. Mon rave avait l'habitude de dire que parfois, dans le deuil, on veut consoler quelqu'un, mais il y a des personnes qui ne veulent pas accepter d'être consolées. Ne pas accepter d'être consolé, c'est quelque part aussi contrarier la bénédiction qu'on dit le jour du décès d'un défunt. On dit Baruch Dayan Ha'emet Akadosh Baruch Hu, notre créateur, est le juge de vérité. C'est celui qui sait que quand quelqu'un a terminé sa mission, il n'y a pas à vouloir le retenir. S'il a fait tout ce qu'il devait, il est maintenant dans le monde de la vérité. Dans cette paracha, on nous apprend donc à réfléchir sur le fait que Mavet la mort, c'est les mêmes lettres que Mot et Ahar car Tihye Nos maîtres nous disent que c'est Meurs et après tu vivras De la même manière que toutes les grandes choses de ce monde. C'est Vaï'ire et Vaï'iboker et Yom-Ehad D'abord la nuit et ensuite le jour. D'abord d'être petit et ensuite d'être grand. C'est vrai qu'on a une haute estime de la vie parce que rien ne vaut la vie dans ce monde-ci. Mais comparé à la vie éternelle de l'âme, cette vie-là est presque une mort, une vie passagère. Et ensuite... On peut être consolé et rassuré de s'approcher d'Hachem pour avoir la vie éternelle. Shabbat shalom.

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  • Speaker #0

    Bonjour, une réflexion sur la paracha de Hémor. Cette paracha ouvre sur le sujet des règles de pureté des Kohanim. Comme on le sait, le peuple d'Israël est subdivisé en trois. Les Kohanim, les prêtres qui avaient mission d'approcher les sacrifices au Temple. qui avait aussi des rétributions de ses sacrifices pour pouvoir les consommer, et qui, de ce fait, devait aussi garder une hauteur et une pureté. D'ailleurs, on le sait, à la synagogue, le Kohen est le premier à monter au Sefer Torah. Le Lévi, c'est la deuxième catégorie, ils étaient chargés de tout ce qui était l'accompagnement qu'on pourrait qualifier de musical dans la dimension la plus spirituelle de la musicalité et de l'enseignement de la Torah pour le Ham Yisrael, le Shébet Lévi, la tribu de Lévi. Et enfin Israël, c'est-à-dire tout un chacun. Ceux qui sont nés sans avoir été Kohen ou Lévi sont des Israëls. Bien évidemment, le terme générique du peuple d'Israël englobe le Kohen, le Lévi et l'Israël. Et voilà que lorsque notre paracha décrit les règles propres au Kohen, une des règles particulières, c'est le deuil. Le Kohen n'a pas le droit de rentrer dans un cimetière, car le cimetière est impur, une des plus grandes impuretés étant la pureté du mort. C'est pourquoi d'ailleurs aussi dans les hôpitaux, dans les endroits où il y a susceptibilité que des personnes puissent y décéder, Dieu préserve, alors là-bas aussi, le colonne devra prendre les précautions et parfois ne pas pouvoir entrer. Et pourtant, il peut le faire quand il s'agit de ceux qui sont très proches de lui, ceux qui s'appellent She'er Comme le verset le dit, Kim lish eroha karo velav De qui parle-t-on ? De sa mère, de son père, de son fils, de sa fille, Dieu préserve, de son frère, de sa sœur qui n'aurait pas été mariée. Mais il ne pourrait pas se rendre impur pour quelqu'un d'autre. Et le verset de continuant en nous disant Il y a une interdiction de tonsure, de s'arracher les cheveux, lorsque le deuil touche un Kohen. Le commentaire du Keli Akar souligne que c'est interdit d'exagérer le deuil, comme on dit en français de s'arracher les cheveux, littéralement. est un interdit qui n'est pas propre uniquement au Kohanim. Dans la Torah, dans le livre de Devarim, au 14e chapitre, 1er verset, la Torah nous dit déjà Vous êtes les enfants de l'Éternel votre Dieu. Vous n'aurez pas le droit de faire de tonsure, ni d'entaillement ou de griffure lorsque vous êtes touchés. par le deuil d'avoir perdu un proche, même un proche parent. Et la question est tout à fait évidente. Pourquoi avoir besoin de le dire à deux fois ? Une fois pour les Kohanim et une fois pour les Israëls. Voilà que les Kohanim font partie du peuple d'Israël. Et qu'y a-t-il de particulier pour qu'on ait besoin de le dire une fois à propos des Kohanim, singulièrement, et de le répéter une autre fois à propos de tout un chacun ? Eh bien, nos maîtres nous expliquent que si ça avait été dit uniquement à propos des coanimes, on se serait dit, eh bien, les coanimes, on leur demande de ne pas s'endeuiller. Parce que, comme ils ont travaillé au temple, comme ils sont des personnes qui sont très ailées, très pieuses, très pures, on n'a pas à s'endeuiller outre mesure lorsque quelqu'un de très pur quitte ce monde. Parce qu'on est bel et bien convaincus. qu'il va être accueilli et qu'il va être reçu dans de bonnes conditions, dans le Gan Eden, dans le jardin d'Eden, dans le monde de la vérité. Mais par contre, on aurait pu penser que si ce n'était pas un Kohen, si ce n'était pas une grande personnalité, alors oui, on aurait le droit de se lamenter. Oui, on aurait le droit de porter un deuil exagéré. C'est pourquoi il fallait le dire aussi à propos d'Israël. Israël ici représenterait non seulement celui qui n'est pas Kohen, mais aussi celui qui n'a pas été injuste. Un juste, en deux mots, une personne sadique. On pourrait se dire, oh là là, lui, il n'a pas fait que des mitzvot, il n'a pas fait que des bonnes actions. Alors il y a de quoi se tirer les cheveux, il y a de quoi se lamenter, il y a de quoi exagérer le deuil. Et nos maîtres vont dire, c'est pour ça que la Torah a répété, pour dire non, qui qu'il soit, on n'a pas le droit de se lamenter. Même si c'était quelqu'un qui paraissait simple et qui paraissait être quelqu'un qui n'avait pas beaucoup de mitzvot. Quelle est la raison ? Eh bien c'est simple. Parce que Baniim, nous sommes les enfants d'Hachem. D'ailleurs, il y a une très belle parabole qui est rapportée. C'est l'image suivante. Quelqu'un qui est reçu chez son beau-père, et puis il habite là-bas pendant un bon moment. Et bien au prochain, il mange bien, il dort bien, tout se passe bien. Et à un moment, il reçoit une lettre de son père qui lui dit Maintenant, tu vas venir t'installer chez nous, à la maison. Alors lui est très triste. Il dit à son beau-père, à sa belle-mère, à ses beaux-frères et belles-sœurs, Oh là là, je suis vraiment triste de quitter. J'étais tellement bien installé chez vous, bien reçu, je mangeais bien, je dormais bien. J'étais vraiment bien entouré. Et une des personnes de lui dire, Mais tu n'as pas à être triste. Bien sûr, effectivement, on était tous attachés les uns aux autres. Mais si c'est ton père qui t'aime, qui connaît les conditions dans lesquelles tu vivais ici, qui t'appelle pour te convier à sa table, pour te dire de venir t'installer chez lui, plus proche de lui, c'est qu'il sait que le mieux pour toi, c'est d'être avec lui. Et que tu n'as rien à perdre, mais tout à gagner. Tu n'as pas à te dire que tu seras moins bien. là où tu vas être reçu chez ton père. Bien sûr que celui qui est en deuil, il a de la peine. Mais savoir que celui qui a quitté ce monde, il va aller bête au lameau, il va s'approcher d'Hachem, il va s'approcher de notre père, ça c'est quelque chose qui fait qu'on doit freiner l'exagération du deuil. Porter le deuil, ça veut dire l'accepter, le supporter. Alors si on avait dit uniquement à propos de tout un chacun, des B'nai Israël, si on s'était suffit que du verset qui parle dans des barils, qu'aurait-il manqué ? Eh bien, nous dit le Keliaka, si on avait dit qu'il était interdit de se faire ses tonsures et de se griffer, que pour Israël et pas en plus singulièrement pour le Kohen, eh bien on se serait trompé. Parce qu'on se serait dit, ben, Israël... comme c'est quelqu'un qui n'est pas très important, c'est normal qu'on nous dise, tu ne vas pas te lamenter trop, tu sais, c'était quelqu'un, voilà quoi, c'était une personne simple, ce n'était pas une personne très valeureuse. Mais par contre, on aurait pu imaginer que, si par contre, il s'agissait d'un grand maître, s'il s'agissait d'un homme pieux, s'il s'agissait d'un Kohen qui rentre au temple, alors là, oui, on aurait le droit. de se lamenter outre mesure et de se faire des griffures, des tonsures et s'arracher les cheveux. C'est pourquoi la Torah répète à nouveau que même si c'était quelqu'un d'important, on doit être capable d'accepter que le deuil a des règles. Les trois premiers jours sont des jours de pleurs. Les sept premiers jours, incluant ces trois premiers jours, sont des sept jours de deuil, des Shiva. Puis après, on a les trente jours pour le père et la mère, Dieu préserve. On a jusqu'à douze mois de deuil. Et après, il faut être capable de continuer à vivre. Mon rave avait l'habitude de dire que parfois, dans le deuil, on veut consoler quelqu'un, mais il y a des personnes qui ne veulent pas accepter d'être consolées. Ne pas accepter d'être consolé, c'est quelque part aussi contrarier la bénédiction qu'on dit le jour du décès d'un défunt. On dit Baruch Dayan Ha'emet Akadosh Baruch Hu, notre créateur, est le juge de vérité. C'est celui qui sait que quand quelqu'un a terminé sa mission, il n'y a pas à vouloir le retenir. S'il a fait tout ce qu'il devait, il est maintenant dans le monde de la vérité. Dans cette paracha, on nous apprend donc à réfléchir sur le fait que Mavet la mort, c'est les mêmes lettres que Mot et Ahar car Tihye Nos maîtres nous disent que c'est Meurs et après tu vivras De la même manière que toutes les grandes choses de ce monde. C'est Vaï'ire et Vaï'iboker et Yom-Ehad D'abord la nuit et ensuite le jour. D'abord d'être petit et ensuite d'être grand. C'est vrai qu'on a une haute estime de la vie parce que rien ne vaut la vie dans ce monde-ci. Mais comparé à la vie éternelle de l'âme, cette vie-là est presque une mort, une vie passagère. Et ensuite... On peut être consolé et rassuré de s'approcher d'Hachem pour avoir la vie éternelle. Shabbat shalom.

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  • Speaker #0

    Bonjour, une réflexion sur la paracha de Hémor. Cette paracha ouvre sur le sujet des règles de pureté des Kohanim. Comme on le sait, le peuple d'Israël est subdivisé en trois. Les Kohanim, les prêtres qui avaient mission d'approcher les sacrifices au Temple. qui avait aussi des rétributions de ses sacrifices pour pouvoir les consommer, et qui, de ce fait, devait aussi garder une hauteur et une pureté. D'ailleurs, on le sait, à la synagogue, le Kohen est le premier à monter au Sefer Torah. Le Lévi, c'est la deuxième catégorie, ils étaient chargés de tout ce qui était l'accompagnement qu'on pourrait qualifier de musical dans la dimension la plus spirituelle de la musicalité et de l'enseignement de la Torah pour le Ham Yisrael, le Shébet Lévi, la tribu de Lévi. Et enfin Israël, c'est-à-dire tout un chacun. Ceux qui sont nés sans avoir été Kohen ou Lévi sont des Israëls. Bien évidemment, le terme générique du peuple d'Israël englobe le Kohen, le Lévi et l'Israël. Et voilà que lorsque notre paracha décrit les règles propres au Kohen, une des règles particulières, c'est le deuil. Le Kohen n'a pas le droit de rentrer dans un cimetière, car le cimetière est impur, une des plus grandes impuretés étant la pureté du mort. C'est pourquoi d'ailleurs aussi dans les hôpitaux, dans les endroits où il y a susceptibilité que des personnes puissent y décéder, Dieu préserve, alors là-bas aussi, le colonne devra prendre les précautions et parfois ne pas pouvoir entrer. Et pourtant, il peut le faire quand il s'agit de ceux qui sont très proches de lui, ceux qui s'appellent She'er Comme le verset le dit, Kim lish eroha karo velav De qui parle-t-on ? De sa mère, de son père, de son fils, de sa fille, Dieu préserve, de son frère, de sa sœur qui n'aurait pas été mariée. Mais il ne pourrait pas se rendre impur pour quelqu'un d'autre. Et le verset de continuant en nous disant Il y a une interdiction de tonsure, de s'arracher les cheveux, lorsque le deuil touche un Kohen. Le commentaire du Keli Akar souligne que c'est interdit d'exagérer le deuil, comme on dit en français de s'arracher les cheveux, littéralement. est un interdit qui n'est pas propre uniquement au Kohanim. Dans la Torah, dans le livre de Devarim, au 14e chapitre, 1er verset, la Torah nous dit déjà Vous êtes les enfants de l'Éternel votre Dieu. Vous n'aurez pas le droit de faire de tonsure, ni d'entaillement ou de griffure lorsque vous êtes touchés. par le deuil d'avoir perdu un proche, même un proche parent. Et la question est tout à fait évidente. Pourquoi avoir besoin de le dire à deux fois ? Une fois pour les Kohanim et une fois pour les Israëls. Voilà que les Kohanim font partie du peuple d'Israël. Et qu'y a-t-il de particulier pour qu'on ait besoin de le dire une fois à propos des Kohanim, singulièrement, et de le répéter une autre fois à propos de tout un chacun ? Eh bien, nos maîtres nous expliquent que si ça avait été dit uniquement à propos des coanimes, on se serait dit, eh bien, les coanimes, on leur demande de ne pas s'endeuiller. Parce que, comme ils ont travaillé au temple, comme ils sont des personnes qui sont très ailées, très pieuses, très pures, on n'a pas à s'endeuiller outre mesure lorsque quelqu'un de très pur quitte ce monde. Parce qu'on est bel et bien convaincus. qu'il va être accueilli et qu'il va être reçu dans de bonnes conditions, dans le Gan Eden, dans le jardin d'Eden, dans le monde de la vérité. Mais par contre, on aurait pu penser que si ce n'était pas un Kohen, si ce n'était pas une grande personnalité, alors oui, on aurait le droit de se lamenter. Oui, on aurait le droit de porter un deuil exagéré. C'est pourquoi il fallait le dire aussi à propos d'Israël. Israël ici représenterait non seulement celui qui n'est pas Kohen, mais aussi celui qui n'a pas été injuste. Un juste, en deux mots, une personne sadique. On pourrait se dire, oh là là, lui, il n'a pas fait que des mitzvot, il n'a pas fait que des bonnes actions. Alors il y a de quoi se tirer les cheveux, il y a de quoi se lamenter, il y a de quoi exagérer le deuil. Et nos maîtres vont dire, c'est pour ça que la Torah a répété, pour dire non, qui qu'il soit, on n'a pas le droit de se lamenter. Même si c'était quelqu'un qui paraissait simple et qui paraissait être quelqu'un qui n'avait pas beaucoup de mitzvot. Quelle est la raison ? Eh bien c'est simple. Parce que Baniim, nous sommes les enfants d'Hachem. D'ailleurs, il y a une très belle parabole qui est rapportée. C'est l'image suivante. Quelqu'un qui est reçu chez son beau-père, et puis il habite là-bas pendant un bon moment. Et bien au prochain, il mange bien, il dort bien, tout se passe bien. Et à un moment, il reçoit une lettre de son père qui lui dit Maintenant, tu vas venir t'installer chez nous, à la maison. Alors lui est très triste. Il dit à son beau-père, à sa belle-mère, à ses beaux-frères et belles-sœurs, Oh là là, je suis vraiment triste de quitter. J'étais tellement bien installé chez vous, bien reçu, je mangeais bien, je dormais bien. J'étais vraiment bien entouré. Et une des personnes de lui dire, Mais tu n'as pas à être triste. Bien sûr, effectivement, on était tous attachés les uns aux autres. Mais si c'est ton père qui t'aime, qui connaît les conditions dans lesquelles tu vivais ici, qui t'appelle pour te convier à sa table, pour te dire de venir t'installer chez lui, plus proche de lui, c'est qu'il sait que le mieux pour toi, c'est d'être avec lui. Et que tu n'as rien à perdre, mais tout à gagner. Tu n'as pas à te dire que tu seras moins bien. là où tu vas être reçu chez ton père. Bien sûr que celui qui est en deuil, il a de la peine. Mais savoir que celui qui a quitté ce monde, il va aller bête au lameau, il va s'approcher d'Hachem, il va s'approcher de notre père, ça c'est quelque chose qui fait qu'on doit freiner l'exagération du deuil. Porter le deuil, ça veut dire l'accepter, le supporter. Alors si on avait dit uniquement à propos de tout un chacun, des B'nai Israël, si on s'était suffit que du verset qui parle dans des barils, qu'aurait-il manqué ? Eh bien, nous dit le Keliaka, si on avait dit qu'il était interdit de se faire ses tonsures et de se griffer, que pour Israël et pas en plus singulièrement pour le Kohen, eh bien on se serait trompé. Parce qu'on se serait dit, ben, Israël... comme c'est quelqu'un qui n'est pas très important, c'est normal qu'on nous dise, tu ne vas pas te lamenter trop, tu sais, c'était quelqu'un, voilà quoi, c'était une personne simple, ce n'était pas une personne très valeureuse. Mais par contre, on aurait pu imaginer que, si par contre, il s'agissait d'un grand maître, s'il s'agissait d'un homme pieux, s'il s'agissait d'un Kohen qui rentre au temple, alors là, oui, on aurait le droit. de se lamenter outre mesure et de se faire des griffures, des tonsures et s'arracher les cheveux. C'est pourquoi la Torah répète à nouveau que même si c'était quelqu'un d'important, on doit être capable d'accepter que le deuil a des règles. Les trois premiers jours sont des jours de pleurs. Les sept premiers jours, incluant ces trois premiers jours, sont des sept jours de deuil, des Shiva. Puis après, on a les trente jours pour le père et la mère, Dieu préserve. On a jusqu'à douze mois de deuil. Et après, il faut être capable de continuer à vivre. Mon rave avait l'habitude de dire que parfois, dans le deuil, on veut consoler quelqu'un, mais il y a des personnes qui ne veulent pas accepter d'être consolées. Ne pas accepter d'être consolé, c'est quelque part aussi contrarier la bénédiction qu'on dit le jour du décès d'un défunt. On dit Baruch Dayan Ha'emet Akadosh Baruch Hu, notre créateur, est le juge de vérité. C'est celui qui sait que quand quelqu'un a terminé sa mission, il n'y a pas à vouloir le retenir. S'il a fait tout ce qu'il devait, il est maintenant dans le monde de la vérité. Dans cette paracha, on nous apprend donc à réfléchir sur le fait que Mavet la mort, c'est les mêmes lettres que Mot et Ahar car Tihye Nos maîtres nous disent que c'est Meurs et après tu vivras De la même manière que toutes les grandes choses de ce monde. C'est Vaï'ire et Vaï'iboker et Yom-Ehad D'abord la nuit et ensuite le jour. D'abord d'être petit et ensuite d'être grand. C'est vrai qu'on a une haute estime de la vie parce que rien ne vaut la vie dans ce monde-ci. Mais comparé à la vie éternelle de l'âme, cette vie-là est presque une mort, une vie passagère. Et ensuite... On peut être consolé et rassuré de s'approcher d'Hachem pour avoir la vie éternelle. Shabbat shalom.

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