Début de grossesse : se projeter ou se protéger ? cover
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Un Temps pour Naître

Début de grossesse : se projeter ou se protéger ?

Début de grossesse : se projeter ou se protéger ?

19min |28/10/2025
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[rediffusion]


Souvent, on imagine qu’une femme qui vient d’apprendre sa grossesse baigne dans une bulle de joie et d’épanouissement. On visualise un sourire paisible, des mains posées sur le ventre, et une douce certitude que tout ira bien.

Mais la réalité intérieure est souvent bien plus nuancée. Derrière cette grande nouvelle peut se cacher une autre émotion, tout aussi légitime : la peur.


La peur de la fausse couche.

La peur que tout s’arrête avant même d’avoir commencé.

La peur de trop s’attacher, de trop y croire, de déjà aimer — et d’être blessée.


Alors, un véritable tiraillement s’installe :

💫 d’un côté, le besoin de se protéger, de rester prudente, de ne pas encore imaginer l’avenir ;

🌱 de l’autre, l’élan du cœur, cette envie viscérale de tisser du lien, de parler à ce petit être, de laisser la joie éclore.


Un deal épuisant, entre se contenir et s’abandonner, entre contrôler et lâcher prise.

Et souvent, le mental essaie de trouver un équilibre impossible, dans un corps qui, lui, vit déjà pleinement la grossesse.


Ce manque de contrôle sur la suite — sur ce que la vie décidera — peut être source de grande souffrance.

Alors comment traverser ces premières semaines sans s’y perdre ?

Comment accueillir l’incertitude sans s’y enfermer ?


Dans cet épisode, je vous invite à explorer ces émotions contradictoires, à reconnaître leur légitimité, et à comprendre qu’elles font partie du chemin.



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Pour prendre rendez-vous

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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Souvent, on imagine qu’une femme qui vient d’apprendre sa grossesse baigne dans une bulle de joie et d’épanouissement. On visualise un sourire paisible, des mains posées sur le ventre, et une douce certitude que tout ira bien.

Mais la réalité intérieure est souvent bien plus nuancée. Derrière cette grande nouvelle peut se cacher une autre émotion, tout aussi légitime : la peur.


La peur de la fausse couche.

La peur que tout s’arrête avant même d’avoir commencé.

La peur de trop s’attacher, de trop y croire, de déjà aimer — et d’être blessée.


Alors, un véritable tiraillement s’installe :

💫 d’un côté, le besoin de se protéger, de rester prudente, de ne pas encore imaginer l’avenir ;

🌱 de l’autre, l’élan du cœur, cette envie viscérale de tisser du lien, de parler à ce petit être, de laisser la joie éclore.


Un deal épuisant, entre se contenir et s’abandonner, entre contrôler et lâcher prise.

Et souvent, le mental essaie de trouver un équilibre impossible, dans un corps qui, lui, vit déjà pleinement la grossesse.


Ce manque de contrôle sur la suite — sur ce que la vie décidera — peut être source de grande souffrance.

Alors comment traverser ces premières semaines sans s’y perdre ?

Comment accueillir l’incertitude sans s’y enfermer ?


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Mais la réalité intérieure est souvent bien plus nuancée. Derrière cette grande nouvelle peut se cacher une autre émotion, tout aussi légitime : la peur.


La peur de la fausse couche.

La peur que tout s’arrête avant même d’avoir commencé.

La peur de trop s’attacher, de trop y croire, de déjà aimer — et d’être blessée.


Alors, un véritable tiraillement s’installe :

💫 d’un côté, le besoin de se protéger, de rester prudente, de ne pas encore imaginer l’avenir ;

🌱 de l’autre, l’élan du cœur, cette envie viscérale de tisser du lien, de parler à ce petit être, de laisser la joie éclore.


Un deal épuisant, entre se contenir et s’abandonner, entre contrôler et lâcher prise.

Et souvent, le mental essaie de trouver un équilibre impossible, dans un corps qui, lui, vit déjà pleinement la grossesse.


Ce manque de contrôle sur la suite — sur ce que la vie décidera — peut être source de grande souffrance.

Alors comment traverser ces premières semaines sans s’y perdre ?

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Mais la réalité intérieure est souvent bien plus nuancée. Derrière cette grande nouvelle peut se cacher une autre émotion, tout aussi légitime : la peur.


La peur de la fausse couche.

La peur que tout s’arrête avant même d’avoir commencé.

La peur de trop s’attacher, de trop y croire, de déjà aimer — et d’être blessée.


Alors, un véritable tiraillement s’installe :

💫 d’un côté, le besoin de se protéger, de rester prudente, de ne pas encore imaginer l’avenir ;

🌱 de l’autre, l’élan du cœur, cette envie viscérale de tisser du lien, de parler à ce petit être, de laisser la joie éclore.


Un deal épuisant, entre se contenir et s’abandonner, entre contrôler et lâcher prise.

Et souvent, le mental essaie de trouver un équilibre impossible, dans un corps qui, lui, vit déjà pleinement la grossesse.


Ce manque de contrôle sur la suite — sur ce que la vie décidera — peut être source de grande souffrance.

Alors comment traverser ces premières semaines sans s’y perdre ?

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