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1.10 / La Maritza de Sylvie Vartan cover
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1.10, une musique

1.10 / La Maritza de Sylvie Vartan

1.10 / La Maritza de Sylvie Vartan

01min |23/03/2025
Play
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Avez-vous déjà ressenti la nostalgie d'un pays que vous avez dû quitter ? Dans cet épisode de 1.10, une musique, Richard CASAZZA-FRANCOIS nous plonge dans l'univers émotionnel de la chanson "Maritza" de Sylvie Vartan, une œuvre sortie en 1968 qui résonne encore aujourd'hui. Cette chanson emblématique évoque les racines bulgares de l'artiste et son lien indéfectible avec son pays natal, un thème universel qui touche tous ceux qui se sont un jour sentis déracinés.

Richard nous explique comment le fleuve Maritza devient une métaphore puissante de l'enfance et du déracinement, illustrant la nostalgie d'un pays quitté trop tôt. Les paroles, écrites par Pierre Delanoë, plongent l'auditeur dans les souvenirs d'une patrie chérie, évoquant des émotions profondes qui transcendent le temps et les frontières. À travers cette chanson, Sylvie Vartan nous offre un aperçu poignant de son parcours, ayant fui la Bulgarie en 1952 pour échapper à un régime stalinien oppressif.

Dans cet épisode captivant, Richard souligne l'importance de "Maritza" pour toutes les personnes déracinées, qu'elles aient quitté leur pays par choix ou par contrainte. La musique a ce pouvoir unique de rassembler les âmes et de faire résonner des histoires personnelles au sein d'un collectif plus large. En lien avec l'actualité, il mentionne le film "Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan", qui met en lumière l'impact émotionnel de la musique de Vartan sur plusieurs générations. Ce film rappelle à quel point la musique peut être un refuge, un moyen d'expression et un lien vers nos racines.

Tous les jours, je vous emmène, seul ou à plusieurs, dans une des musiques de ma playlist en 1min10. Un moment rapide, mais intense, pour découvrir une chanson et comprendre son histoire. Pas de grandes analyses, juste l’essentiel. Un podcast court, pour redécouvrir la musique et réfléchir à ce qui nous entoure.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Chaque jour, je vous invite à découvrir une musique de ma playlist en 1.10. Et aujourd'hui, c'est la Maritza. C'est une chanson emblématique de Sylvie Vartan, sortie en 68, qui évoque ses racines bulgardes et son lien indéfectible avec son pays natal. Le fleuve Maritza devient ici une métaphore assez puissante de l'enfance et du déracinement. Les paroles sont écrites par Pierre Delanoë, et nous plongent dans la nostalgie d'un pays quitté trop tôt, mais jamais oublié. Sylvie Vartan a dû fuir la Bulgarie en 1952 avec sa famille, pour échapper au régime stalinien. Aujourd'hui encore, la Maritza, ça résonne pour toutes les personnes déracinées. Celles qui ont dû quitter leur pays natal, mais restent profondément attachées à leurs origines. Que ce soit par choix ou par contrainte. Le déracinement, il laisse une empreinte indélébile. Et si on regarde l'actualité, le film Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan, il vient juste de sortir. Ce long métrage, il raconte l'histoire vraie de Roland Pérez, un enfant handicapé élevé par une mère courageuse. Ce film met en lumière l'impact émotionnel de sa musique, celle de Sylvie Vartan, sur plusieurs générations et montre comment des chansons comme la Maritza peuvent devenir des ponts entre la culture et les histoires personnelles. Alors écoutez la Maritza, laissez-vous porter par cette musique intemporelle. Une dix c'est fini pour moi, ciao !

Description


Avez-vous déjà ressenti la nostalgie d'un pays que vous avez dû quitter ? Dans cet épisode de 1.10, une musique, Richard CASAZZA-FRANCOIS nous plonge dans l'univers émotionnel de la chanson "Maritza" de Sylvie Vartan, une œuvre sortie en 1968 qui résonne encore aujourd'hui. Cette chanson emblématique évoque les racines bulgares de l'artiste et son lien indéfectible avec son pays natal, un thème universel qui touche tous ceux qui se sont un jour sentis déracinés.

Richard nous explique comment le fleuve Maritza devient une métaphore puissante de l'enfance et du déracinement, illustrant la nostalgie d'un pays quitté trop tôt. Les paroles, écrites par Pierre Delanoë, plongent l'auditeur dans les souvenirs d'une patrie chérie, évoquant des émotions profondes qui transcendent le temps et les frontières. À travers cette chanson, Sylvie Vartan nous offre un aperçu poignant de son parcours, ayant fui la Bulgarie en 1952 pour échapper à un régime stalinien oppressif.

Dans cet épisode captivant, Richard souligne l'importance de "Maritza" pour toutes les personnes déracinées, qu'elles aient quitté leur pays par choix ou par contrainte. La musique a ce pouvoir unique de rassembler les âmes et de faire résonner des histoires personnelles au sein d'un collectif plus large. En lien avec l'actualité, il mentionne le film "Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan", qui met en lumière l'impact émotionnel de la musique de Vartan sur plusieurs générations. Ce film rappelle à quel point la musique peut être un refuge, un moyen d'expression et un lien vers nos racines.

Tous les jours, je vous emmène, seul ou à plusieurs, dans une des musiques de ma playlist en 1min10. Un moment rapide, mais intense, pour découvrir une chanson et comprendre son histoire. Pas de grandes analyses, juste l’essentiel. Un podcast court, pour redécouvrir la musique et réfléchir à ce qui nous entoure.


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    Chaque jour, je vous invite à découvrir une musique de ma playlist en 1.10. Et aujourd'hui, c'est la Maritza. C'est une chanson emblématique de Sylvie Vartan, sortie en 68, qui évoque ses racines bulgardes et son lien indéfectible avec son pays natal. Le fleuve Maritza devient ici une métaphore assez puissante de l'enfance et du déracinement. Les paroles sont écrites par Pierre Delanoë, et nous plongent dans la nostalgie d'un pays quitté trop tôt, mais jamais oublié. Sylvie Vartan a dû fuir la Bulgarie en 1952 avec sa famille, pour échapper au régime stalinien. Aujourd'hui encore, la Maritza, ça résonne pour toutes les personnes déracinées. Celles qui ont dû quitter leur pays natal, mais restent profondément attachées à leurs origines. Que ce soit par choix ou par contrainte. Le déracinement, il laisse une empreinte indélébile. Et si on regarde l'actualité, le film Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan, il vient juste de sortir. Ce long métrage, il raconte l'histoire vraie de Roland Pérez, un enfant handicapé élevé par une mère courageuse. Ce film met en lumière l'impact émotionnel de sa musique, celle de Sylvie Vartan, sur plusieurs générations et montre comment des chansons comme la Maritza peuvent devenir des ponts entre la culture et les histoires personnelles. Alors écoutez la Maritza, laissez-vous porter par cette musique intemporelle. Une dix c'est fini pour moi, ciao !

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Avez-vous déjà ressenti la nostalgie d'un pays que vous avez dû quitter ? Dans cet épisode de 1.10, une musique, Richard CASAZZA-FRANCOIS nous plonge dans l'univers émotionnel de la chanson "Maritza" de Sylvie Vartan, une œuvre sortie en 1968 qui résonne encore aujourd'hui. Cette chanson emblématique évoque les racines bulgares de l'artiste et son lien indéfectible avec son pays natal, un thème universel qui touche tous ceux qui se sont un jour sentis déracinés.

Richard nous explique comment le fleuve Maritza devient une métaphore puissante de l'enfance et du déracinement, illustrant la nostalgie d'un pays quitté trop tôt. Les paroles, écrites par Pierre Delanoë, plongent l'auditeur dans les souvenirs d'une patrie chérie, évoquant des émotions profondes qui transcendent le temps et les frontières. À travers cette chanson, Sylvie Vartan nous offre un aperçu poignant de son parcours, ayant fui la Bulgarie en 1952 pour échapper à un régime stalinien oppressif.

Dans cet épisode captivant, Richard souligne l'importance de "Maritza" pour toutes les personnes déracinées, qu'elles aient quitté leur pays par choix ou par contrainte. La musique a ce pouvoir unique de rassembler les âmes et de faire résonner des histoires personnelles au sein d'un collectif plus large. En lien avec l'actualité, il mentionne le film "Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan", qui met en lumière l'impact émotionnel de la musique de Vartan sur plusieurs générations. Ce film rappelle à quel point la musique peut être un refuge, un moyen d'expression et un lien vers nos racines.

Tous les jours, je vous emmène, seul ou à plusieurs, dans une des musiques de ma playlist en 1min10. Un moment rapide, mais intense, pour découvrir une chanson et comprendre son histoire. Pas de grandes analyses, juste l’essentiel. Un podcast court, pour redécouvrir la musique et réfléchir à ce qui nous entoure.


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Avez-vous déjà ressenti la nostalgie d'un pays que vous avez dû quitter ? Dans cet épisode de 1.10, une musique, Richard CASAZZA-FRANCOIS nous plonge dans l'univers émotionnel de la chanson "Maritza" de Sylvie Vartan, une œuvre sortie en 1968 qui résonne encore aujourd'hui. Cette chanson emblématique évoque les racines bulgares de l'artiste et son lien indéfectible avec son pays natal, un thème universel qui touche tous ceux qui se sont un jour sentis déracinés.

Richard nous explique comment le fleuve Maritza devient une métaphore puissante de l'enfance et du déracinement, illustrant la nostalgie d'un pays quitté trop tôt. Les paroles, écrites par Pierre Delanoë, plongent l'auditeur dans les souvenirs d'une patrie chérie, évoquant des émotions profondes qui transcendent le temps et les frontières. À travers cette chanson, Sylvie Vartan nous offre un aperçu poignant de son parcours, ayant fui la Bulgarie en 1952 pour échapper à un régime stalinien oppressif.

Dans cet épisode captivant, Richard souligne l'importance de "Maritza" pour toutes les personnes déracinées, qu'elles aient quitté leur pays par choix ou par contrainte. La musique a ce pouvoir unique de rassembler les âmes et de faire résonner des histoires personnelles au sein d'un collectif plus large. En lien avec l'actualité, il mentionne le film "Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan", qui met en lumière l'impact émotionnel de la musique de Vartan sur plusieurs générations. Ce film rappelle à quel point la musique peut être un refuge, un moyen d'expression et un lien vers nos racines.

Tous les jours, je vous emmène, seul ou à plusieurs, dans une des musiques de ma playlist en 1min10. Un moment rapide, mais intense, pour découvrir une chanson et comprendre son histoire. Pas de grandes analyses, juste l’essentiel. Un podcast court, pour redécouvrir la musique et réfléchir à ce qui nous entoure.


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