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1.10 / Say Say Say de Michael Jackson et Paul McCartney cover
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1.10, une musique

1.10 / Say Say Say de Michael Jackson et Paul McCartney

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01min |15/06/2025
Play
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Description

Saviez-vous que la collaboration entre Paul McCartney et Michael Jackson sur la chanson "Say, Say, Say" a non seulement marqué l'histoire de la musique pop, mais aussi révélé des dynamiques inattendues entre deux géants de l'industrie musicale ? Dans cet épisode captivant de 1. 10, une musique, Richard CASAZZA-FRANCOIS nous plonge dans les coulisses de cette rencontre emblématique qui a vu le jour en 1983. Bien que l'idée ait germé bien avant, c'est un simple coup de téléphone de Michael à Paul qui a donné le coup d'envoi à cette collaboration inédite. Imaginez le frisson de McCartney, son idole, acceptant de composer avec lui !



Richard nous invite à explorer les nuances de cette chanson accrocheuse, où des thèmes de chagrin d'amour se mêlent à un groove contagieux. Les paroles, riches en émotions, présentent l'amour comme un cri de désespoir, révélant la profondeur des sentiments entre les deux artistes. Les voix de McCartney et Jackson s'entrelacent comme des amants désaccordés, créant une harmonie unique qui résonne encore aujourd'hui.



Au fil de l'épisode, Richard met en lumière l'ironie de la situation : alors que McCartney prodigue des conseils à Jackson sur les droits d'auteur, ce dernier ne tarde pas à racheter le catalogue des Beatles deux ans plus tard. Cette anecdote illustre parfaitement que les relations, qu'elles soient amoureuses ou commerciales, sont rarement simples. La complexité des interactions entre ces deux icônes de la musique nous rappelle que même les plus grands artistes peuvent être pris dans un enchevêtrement d'émotions et d'intérêts.


Ne manquez pas cette exploration enrichissante des thèmes universels de l'amour et de la collaboration, qui transcendent les générations. Écoutez dès maintenant 1. 10, une musique, et laissez-vous emporter par la magie de la musique !



Tous les jours, je vous emmène, seul ou à plusieurs, dans une des musiques de ma playlist en 1min10. Un moment rapide, mais intense, pour découvrir une chanson et comprendre son histoire. Pas de grandes analyses, juste l’essentiel. Un podcast court, pour redécouvrir la musique et réfléchir à ce qui nous entoure.


CRÉDIT : PRODUCTION SON : SACHA FOURNOL


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Il y a des chansons qui sonnent comme des supplications. Say, say, say, le duo entre Paul McCartney et Michael Jackson en fait partie. En 1983, le titre sort, mais l'idée naît bien avant. Un simple coup de fil de Michael à Paul. L'un veut composer avec son idole, l'autre dit oui. Ensemble, ils écrivent une pop accrocheuse, entre chagrin d'amour et groove contagieux. Say, say, say, what you want, but don't play games with my affection. Dans ce dialogue chanté, l'amour n'est pas un jeu, c'est un cri. celui d'un homme blessé qui attend un signe, un appel qui ne vient jamais. Jackson supplie, McCartney relance. Les deux voix se répondent, s'entrelacent comme deux amants désaccordés. On danse, mais on sent le cœur qui vacille. Le groove vient de la basse souple de Nathan Watts, les synthés brillent, l'harmonica ajoute une note douce et amère. L'ironie de l'histoire, pendant ces sessions, McCartney glisse un conseil à Jackson sur les droits d'auteur. Deux ans plus tard, Michael rachète le catalogue des Beatles. Comme quoi, en amour comme en affaire, Rien n'est jamais tout blanc ou tout noir. En tout cas, une 10 c'est fini, mais pas de ciao tout de suite, parce que la production son, c'est Sacha Fournol. Ciao !

Description

Saviez-vous que la collaboration entre Paul McCartney et Michael Jackson sur la chanson "Say, Say, Say" a non seulement marqué l'histoire de la musique pop, mais aussi révélé des dynamiques inattendues entre deux géants de l'industrie musicale ? Dans cet épisode captivant de 1. 10, une musique, Richard CASAZZA-FRANCOIS nous plonge dans les coulisses de cette rencontre emblématique qui a vu le jour en 1983. Bien que l'idée ait germé bien avant, c'est un simple coup de téléphone de Michael à Paul qui a donné le coup d'envoi à cette collaboration inédite. Imaginez le frisson de McCartney, son idole, acceptant de composer avec lui !



Richard nous invite à explorer les nuances de cette chanson accrocheuse, où des thèmes de chagrin d'amour se mêlent à un groove contagieux. Les paroles, riches en émotions, présentent l'amour comme un cri de désespoir, révélant la profondeur des sentiments entre les deux artistes. Les voix de McCartney et Jackson s'entrelacent comme des amants désaccordés, créant une harmonie unique qui résonne encore aujourd'hui.



Au fil de l'épisode, Richard met en lumière l'ironie de la situation : alors que McCartney prodigue des conseils à Jackson sur les droits d'auteur, ce dernier ne tarde pas à racheter le catalogue des Beatles deux ans plus tard. Cette anecdote illustre parfaitement que les relations, qu'elles soient amoureuses ou commerciales, sont rarement simples. La complexité des interactions entre ces deux icônes de la musique nous rappelle que même les plus grands artistes peuvent être pris dans un enchevêtrement d'émotions et d'intérêts.


Ne manquez pas cette exploration enrichissante des thèmes universels de l'amour et de la collaboration, qui transcendent les générations. Écoutez dès maintenant 1. 10, une musique, et laissez-vous emporter par la magie de la musique !



Tous les jours, je vous emmène, seul ou à plusieurs, dans une des musiques de ma playlist en 1min10. Un moment rapide, mais intense, pour découvrir une chanson et comprendre son histoire. Pas de grandes analyses, juste l’essentiel. Un podcast court, pour redécouvrir la musique et réfléchir à ce qui nous entoure.


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  • Speaker #0

    Il y a des chansons qui sonnent comme des supplications. Say, say, say, le duo entre Paul McCartney et Michael Jackson en fait partie. En 1983, le titre sort, mais l'idée naît bien avant. Un simple coup de fil de Michael à Paul. L'un veut composer avec son idole, l'autre dit oui. Ensemble, ils écrivent une pop accrocheuse, entre chagrin d'amour et groove contagieux. Say, say, say, what you want, but don't play games with my affection. Dans ce dialogue chanté, l'amour n'est pas un jeu, c'est un cri. celui d'un homme blessé qui attend un signe, un appel qui ne vient jamais. Jackson supplie, McCartney relance. Les deux voix se répondent, s'entrelacent comme deux amants désaccordés. On danse, mais on sent le cœur qui vacille. Le groove vient de la basse souple de Nathan Watts, les synthés brillent, l'harmonica ajoute une note douce et amère. L'ironie de l'histoire, pendant ces sessions, McCartney glisse un conseil à Jackson sur les droits d'auteur. Deux ans plus tard, Michael rachète le catalogue des Beatles. Comme quoi, en amour comme en affaire, Rien n'est jamais tout blanc ou tout noir. En tout cas, une 10 c'est fini, mais pas de ciao tout de suite, parce que la production son, c'est Sacha Fournol. Ciao !

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Saviez-vous que la collaboration entre Paul McCartney et Michael Jackson sur la chanson "Say, Say, Say" a non seulement marqué l'histoire de la musique pop, mais aussi révélé des dynamiques inattendues entre deux géants de l'industrie musicale ? Dans cet épisode captivant de 1. 10, une musique, Richard CASAZZA-FRANCOIS nous plonge dans les coulisses de cette rencontre emblématique qui a vu le jour en 1983. Bien que l'idée ait germé bien avant, c'est un simple coup de téléphone de Michael à Paul qui a donné le coup d'envoi à cette collaboration inédite. Imaginez le frisson de McCartney, son idole, acceptant de composer avec lui !



Richard nous invite à explorer les nuances de cette chanson accrocheuse, où des thèmes de chagrin d'amour se mêlent à un groove contagieux. Les paroles, riches en émotions, présentent l'amour comme un cri de désespoir, révélant la profondeur des sentiments entre les deux artistes. Les voix de McCartney et Jackson s'entrelacent comme des amants désaccordés, créant une harmonie unique qui résonne encore aujourd'hui.



Au fil de l'épisode, Richard met en lumière l'ironie de la situation : alors que McCartney prodigue des conseils à Jackson sur les droits d'auteur, ce dernier ne tarde pas à racheter le catalogue des Beatles deux ans plus tard. Cette anecdote illustre parfaitement que les relations, qu'elles soient amoureuses ou commerciales, sont rarement simples. La complexité des interactions entre ces deux icônes de la musique nous rappelle que même les plus grands artistes peuvent être pris dans un enchevêtrement d'émotions et d'intérêts.


Ne manquez pas cette exploration enrichissante des thèmes universels de l'amour et de la collaboration, qui transcendent les générations. Écoutez dès maintenant 1. 10, une musique, et laissez-vous emporter par la magie de la musique !



Tous les jours, je vous emmène, seul ou à plusieurs, dans une des musiques de ma playlist en 1min10. Un moment rapide, mais intense, pour découvrir une chanson et comprendre son histoire. Pas de grandes analyses, juste l’essentiel. Un podcast court, pour redécouvrir la musique et réfléchir à ce qui nous entoure.


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    Il y a des chansons qui sonnent comme des supplications. Say, say, say, le duo entre Paul McCartney et Michael Jackson en fait partie. En 1983, le titre sort, mais l'idée naît bien avant. Un simple coup de fil de Michael à Paul. L'un veut composer avec son idole, l'autre dit oui. Ensemble, ils écrivent une pop accrocheuse, entre chagrin d'amour et groove contagieux. Say, say, say, what you want, but don't play games with my affection. Dans ce dialogue chanté, l'amour n'est pas un jeu, c'est un cri. celui d'un homme blessé qui attend un signe, un appel qui ne vient jamais. Jackson supplie, McCartney relance. Les deux voix se répondent, s'entrelacent comme deux amants désaccordés. On danse, mais on sent le cœur qui vacille. Le groove vient de la basse souple de Nathan Watts, les synthés brillent, l'harmonica ajoute une note douce et amère. L'ironie de l'histoire, pendant ces sessions, McCartney glisse un conseil à Jackson sur les droits d'auteur. Deux ans plus tard, Michael rachète le catalogue des Beatles. Comme quoi, en amour comme en affaire, Rien n'est jamais tout blanc ou tout noir. En tout cas, une 10 c'est fini, mais pas de ciao tout de suite, parce que la production son, c'est Sacha Fournol. Ciao !

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Saviez-vous que la collaboration entre Paul McCartney et Michael Jackson sur la chanson "Say, Say, Say" a non seulement marqué l'histoire de la musique pop, mais aussi révélé des dynamiques inattendues entre deux géants de l'industrie musicale ? Dans cet épisode captivant de 1. 10, une musique, Richard CASAZZA-FRANCOIS nous plonge dans les coulisses de cette rencontre emblématique qui a vu le jour en 1983. Bien que l'idée ait germé bien avant, c'est un simple coup de téléphone de Michael à Paul qui a donné le coup d'envoi à cette collaboration inédite. Imaginez le frisson de McCartney, son idole, acceptant de composer avec lui !



Richard nous invite à explorer les nuances de cette chanson accrocheuse, où des thèmes de chagrin d'amour se mêlent à un groove contagieux. Les paroles, riches en émotions, présentent l'amour comme un cri de désespoir, révélant la profondeur des sentiments entre les deux artistes. Les voix de McCartney et Jackson s'entrelacent comme des amants désaccordés, créant une harmonie unique qui résonne encore aujourd'hui.



Au fil de l'épisode, Richard met en lumière l'ironie de la situation : alors que McCartney prodigue des conseils à Jackson sur les droits d'auteur, ce dernier ne tarde pas à racheter le catalogue des Beatles deux ans plus tard. Cette anecdote illustre parfaitement que les relations, qu'elles soient amoureuses ou commerciales, sont rarement simples. La complexité des interactions entre ces deux icônes de la musique nous rappelle que même les plus grands artistes peuvent être pris dans un enchevêtrement d'émotions et d'intérêts.


Ne manquez pas cette exploration enrichissante des thèmes universels de l'amour et de la collaboration, qui transcendent les générations. Écoutez dès maintenant 1. 10, une musique, et laissez-vous emporter par la magie de la musique !



Tous les jours, je vous emmène, seul ou à plusieurs, dans une des musiques de ma playlist en 1min10. Un moment rapide, mais intense, pour découvrir une chanson et comprendre son histoire. Pas de grandes analyses, juste l’essentiel. Un podcast court, pour redécouvrir la musique et réfléchir à ce qui nous entoure.


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  • Speaker #0

    Il y a des chansons qui sonnent comme des supplications. Say, say, say, le duo entre Paul McCartney et Michael Jackson en fait partie. En 1983, le titre sort, mais l'idée naît bien avant. Un simple coup de fil de Michael à Paul. L'un veut composer avec son idole, l'autre dit oui. Ensemble, ils écrivent une pop accrocheuse, entre chagrin d'amour et groove contagieux. Say, say, say, what you want, but don't play games with my affection. Dans ce dialogue chanté, l'amour n'est pas un jeu, c'est un cri. celui d'un homme blessé qui attend un signe, un appel qui ne vient jamais. Jackson supplie, McCartney relance. Les deux voix se répondent, s'entrelacent comme deux amants désaccordés. On danse, mais on sent le cœur qui vacille. Le groove vient de la basse souple de Nathan Watts, les synthés brillent, l'harmonica ajoute une note douce et amère. L'ironie de l'histoire, pendant ces sessions, McCartney glisse un conseil à Jackson sur les droits d'auteur. Deux ans plus tard, Michael rachète le catalogue des Beatles. Comme quoi, en amour comme en affaire, Rien n'est jamais tout blanc ou tout noir. En tout cas, une 10 c'est fini, mais pas de ciao tout de suite, parce que la production son, c'est Sacha Fournol. Ciao !

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