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VÉRITÉ

#43 De la fatigue à l’envergure : l’envers du décor de L.I.B.R.E.S.

#43 De la fatigue à l’envergure : l’envers du décor de L.I.B.R.E.S.

48min |31/07/2025
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48min |31/07/2025
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Description

Et si derrière chaque méthode, il y avait une traversée silencieuse ?


Dans cet épisode solo, Ombeline Becker nous ouvre les coulisses de L.I.B.R.E.S., sa méthode signature née bien loin des stratégies marketing.

Elle y raconte non pas une construction, mais une réconciliation : entre sa mission d’âme et la structure de son entreprise, entre ses dons et ses peurs, entre ce qu’elle savait porter… et ce qu’elle osait réellement incarner.


Coach depuis 2012, fondatrice de NOŪS, de L.I.B.R.E.S. et du podcast Vérité, Ombeline partage ici l’envers du décor d’une fondatrice qui a tenu des dizaines d’espaces de transformation, tout en affrontant ses propres seuils : épuisement, repli, résistances à l’envergure.


Un récit intime, sans détours, sur ce que signifie accompagner sans se trahir, créer sans s’épuiser, et transmettre sans se réduire.


Un épisode pour celles et ceux qui savent qu’ils ne peuvent plus faire comme avant.


🎧 À écouter si vous êtes à un seuil.

Et que vous cherchez un espace pour rester debout — sans compromis sur votre vérité.



✋ Pour découvrir L.I.B.R.E.S. ou faire partie du prochain collectif dès septembre, c'est ici : https://www.nous.ceo/collectif-entrepreneurs-libres/



🎙️ VÉRITÉ — à la croisée du business, de l’âme et du vivant.

Un podcast d’Ombeline Becker pour les entrepreneur·es qui refusent de choisir entre expansion et intégrité.


Vous avez aimé l'épisode ? Pensez à ajouter 5⭐️ et un avis positif sur ApplePodcast et Spotify pour soutenir le podcast 🙏🏼


📩 Contact & collaborations : contact@nous.ceo


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Vous aspirez à plus, plus de liberté, plus d'espace, plus de fluidité dans votre expansion, plus de prospérité, mais autrement. Ici, on ne cherche pas à faire plus, on cherche à créer mieux, à trouver un mouvement qui nourrit au lieu d'épuiser, un chemin où l'ambition ne s'oppose plus à la conscience. Bienvenue dans un nouvel épisode de Vérité. Ce que vous allez entendre aujourd'hui n'est pas un bilan, ce n'est pas une méthode ni une leçon. C'est une parole vraie posée depuis un seuil que je connais bien. Je suis Ombeline Becker, coach depuis 2012. J'accompagne des entrepreneurs, des dirigeants sensibles, lucides, dans ces passages où l'on ne peut plus avancer sans se réaligner, où l'on sent que ce qu'on porte est juste mais plus soutenable dans ce cadre-là. Libre n'est pas le début de mon chemin, c'est ce que ce chemin a révélé. Pendant sept ans, j'ai été traversée par quelque chose que je ne comprenais pas encore, et au fil du temps j'ai créé et tenu des dizaines d'espaces de transformation, en ligne, en présence, pour celles et ceux qui ne veulent plus choisir entre expansion et intégrité. À partir de 2020, j'ai initié un format plus profond, plus structurant. Trois collectifs annuels, hybrides, entre digital et présentiel, trois traversées intenses, qui ont éprouvé libre et qui m'ont transformée. Mais entre le premier collectif et le deuxième, il y a eu un repli, un refus intérieur de mon envergure. J'ai mis à distance mes dons, mon intuition, parce que c'était trop, trop, trop, trop fort, trop inconfortable à assumer seul. Alors j'ai laissé le temps de faire son œuvre et aujourd'hui je reviens avec une vision plus mature, plus enracinée. Dans cet épisode, je vous partage ce que ces années m'ont appris, ce qui a muté, ce qui a résisté, ce qui s'est révélé dans l'espace et en moi. Je vous parle de fatigue, de puissance, de ces seuils invisibles que l'on ne traverse pas avec une stratégie. mais avec foi, soutien et vérité. Libre n'a jamais été un programme. C'est une méthode vivante, un cadre d'alignement, un espace où l'on arrête de se vendre pour enfin se retrouver. Je ne vous donne pas la méthode ici, mais si vous sentez que vous êtes vous aussi à ce seuil, vous saurez. Bienvenue dans cette rétrospective, et peut-être dans ce qui vient. Chers auditeurs, si vous saviez les résistances, les sabotages, les complications que je vis pour enregistrer cet épisode, donc je sais déjà que ça va être puissant, ok ? Et qu'en fait, pour vous donner le mot de cet épisode, cette vibe du collectif libre et de toute l'énergie dans laquelle je rentre et vous rentrez et nous rentrons actuellement, C'est vraiment cette notion d'envergure. Et donc je sais que toutes les complications que je vis et que je manifeste là pour enregistrer cet épisode viennent me parler de là où je ne suis pas encore prête à oser ma propre envergure. Donc je rentre en enregistrement de cet épisode en toute vérité, en toute vulnérabilité. Mais je sais aussi, je fais confiance au process et je sais aussi que je laisse agir plus grand que moi quand je parle et que ça viendra vous... toucher là où vous en avez besoin. Donc cet épisode, comme je l'avais annoncé à la fin de l'épisode avec Axelle, cet épisode est une rétrospective du collectif libre. Alors pourquoi faire cette rétrospective ? Eh bien parce que en parlant avec les membres du collectif de cette année et certaines personnes avec qui je travaille, les personnes ressources avec qui je travaille, je me suis rendue compte que chaque collectif avait été une œuvre, avait eu sa singularité. que le mot collectif libre est récent puisque je l'exprime de cette façon-là depuis seulement 2024, mais que c'est loin d'être le premier collectif, c'est loin d'être le premier espace que je crée et que j'ai une vraie singularité dans ces espaces que je crée. Chaque membre me dit chaque année que j'ai cette capacité à tenir le groupe, à tenir l'espace et à tenir aussi leur individualité. Alors même si certaines... ont la possibilité de choisir aussi d'avoir, en plus du collectif, un accompagnement en coaching privé. Mais même celles qui ne choisissent pas le coaching privé ont cette impression que je les soutiens personnellement aussi. Et donc, ces derniers mois, à plusieurs reprises, j'ai eu l'opportunité de me rappeler d'où venait ce collectif et à quel point le parcours avait été riche, à quel point j'avais pris des risques, j'avais fait des erreurs, j'avais douté, j'avais perdu mes moyens, j'avais eu... peur aussi de ma puissance, de mes dons, notamment énergétiques, voire ésotériques. Et toute cette réconciliation que j'ai dû moi-même vivre pour arriver à préparer la vibration du collectif Libre 2025-2026 qui va encore être d'un autre niveau de ce qui a été vécu jusqu'à présent. Je ne connais pas encore les membres de ce nouveau collectif au moment où j'enregistre cet épisode, et je sais que cet épisode est un passage, une ouverture de l'énergie, du vortex, de l'espace de ce collectif Libre 2025-2026. Je me suis demandé quand ça avait commencé. C'est la date 2018 qui m'est apparue. Et ce n'est pas anodin, puisque 2018-2025, c'est un cycle de 7 ans. Alors pourquoi 2018 ? Pour différents points. Premièrement, parce qu'en 2018, je vis pour la première fois l'expérience et la conscientisation de ma capacité à tenir l'espace, à tenir l'énergie d'un groupe. Deuxième raison pour laquelle c'est 2018 qui pour moi est le début du collectif, c'est aussi parce que c'est notre première séparation avec Clément qui est aujourd'hui mon mari. si vous me suivez déjà vous savez qu'on a été Après cela, séparée vraiment pendant trois ans, que ça a été une période où j'ai été maman solo, ça a été... Et 2018, c'est aussi l'année où je décide de m'écouter vraiment, de me poser vraiment la question de où je veux vivre et ne plus répondre aux contraintes d'une famille recomposée, aux contraintes professionnelles de mon conjoint, etc. Mais si je m'écoute vraiment moi, je veux aller vivre sur la presqu'île du Cap-Ferret. Je ne sais pas pourquoi, mais il n'y a que ce lieu-là qui m'appelle. Et donc, je pars vivre là-bas. Je décide d'y passer un hiver. Entre-temps, on se remet ensemble avec Clément. Et je décide d'aller passer un hiver là-bas pour expérimenter le lieu l'hiver et avec l'intention de m'y installer à l'année. À cette époque, Clément travaillait encore en Suisse. Donc voilà, une organisation personnelle pas si simple, mais tout est fluide. Et c'est une période très prospère, très faste pour mon activité. C'est à ce moment-là aussi... Donc quand je suis au Cap Ferret, que je crée, alors à cette époque c'était une SASU, c'est une période où j'étais en transition aussi entre la Suisse et la France. Donc je reviens en France et donc c'est à ce moment-là que je décide de créer une société. NUS, telle que vous la connaissez aujourd'hui, finalement administrativement est créée fin 2018 alors que je suis au Cap Ferret. Et c'est un cycle qui démarre, qui est assez fort à ce moment-là. Et pour revenir à cette expérience de prendre conscience de ma capacité à tenir l'espace d'un groupe et l'énergie d'un groupe, c'est parce qu'à cette époque, Laurent Marchand, qui est un coach, qui est un mentor, qui a créé le scan thérapeutique, me demande de l'aider avec la première cohorte de sa formation de scan thérapeutique. Il me demande en fait d'être facilitatrice et donc d'être présente pendant tous les week-ends de formation. On est deux à prendre ce rôle-là et je me retrouve à Lyon. avec un groupe de 40 personnes aux côtés de Laurent et de Kate qui étaient aussi facilitatrices avec moi. Et je me dis, mais qu'est-ce que je fais là ? Et honnêtement, je ne sais pas pourquoi je suis là. Je ne suis pas formée moi-même au scan thérapeutique puisque c'est la première cohorte, donc la première vraie formation. Je n'ai pas vocation à me former au scan thérapeutique. Je comprends pendant ces quatre mois que mon rôle est de tenir l'énergie. Je me surprends moi-même à certains moments à me lever à me mettre debout dans une position d'ancrage avec les bras écartés et je sens que mes mains tiennent quelque chose. Et c'est comme s'il y avait une espèce de sphère, de bulle qui contenait le groupe et moi je suis de l'autre côté de cette bulle et je tiens, c'est comme si c'était moi qui tenais cette bulle. Je ne comprends pas ce que c'est, ce que ça veut dire, ce qui se passe, etc. Mais je sais que c'est indispensable. Et puis, j'expérimente ça à chaque week-end, et même ça prend de l'ampleur. Je commence même à faire des gestes, etc. Je sens qu'en fait, je nettoie quelque chose, je fluidifie, je facilite, mais sans avoir besoin de parler. Et puis, il y a aussi différents échanges que j'ai avec les participants, puisque je suis là aussi pour répondre à leurs questions, pour... les aider à dépasser leur résistance, parce qu'évidemment, quand on développe des nouvelles compétences, on a forcément des résistances dans le processus de changement. Et je me rends compte aussi que dans ces conversations one-to-one que je peux avoir avec certains ou certaines, il se passe aussi des choses, des transmutations, des nettoyages, des libérations, sans que je ne force quoi que ce soit. Vraiment, cette expérience, et je remercie d'ailleurs, je profite pour remercier Laurent, je ne sais pas s'il l'écoutera cet épisode, mais je profite pour le remercier encore de m'avoir donné cette opportunité. Parce que lui non plus ne savait pas pourquoi il me proposait ça. Mais voilà, ça a été extrêmement puissant pour moi de me rendre compte de ces capacités, de ces dons que j'avais. Et donc de tenir l'énergie du groupe, de tenir l'espace, de créer des transmutations et des transformations de par ma présence et de par des simples conversations en one-to-one. Au fur et à mesure qu'on avançait dans la formation, je me rends compte que mon rôle est aussi de tenir l'énergie et la montée en puissance de Laurent. qui lui, évidemment à chaque week-end, il montait aussi en puissance, dans sa posture, dans ce qu'il était capable de transmettre, d'enseigner, voire même de canaliser. Et donc je suis là aussi pour tenir cette montée en fréquence, cette montée vibratoire. Donc ça c'est 2018. Les années passent, je fais avance rapide jusqu'en 2020, où nous sommes au premier confinement du Covid, et je ressens très fort cette insécurité, cette incertitude évidemment, et surtout ce paradigme de... peur et de pénurie dans laquelle on nous met et on nous enferme. Et donc dans ma communauté d'entrepreneurs, je fais une petite parenthèse pour expliquer que j'ai démarré en fait ma pratique de coaching en 2012. Je me suis formée en 2011-2012. Après j'ai évidemment suivi d'autres formations dans différents domaines pour compléter. Mais ma pratique de coaching commence en 2012. Et à ce moment-là, le coaching n'était pas ce qu'il est aujourd'hui. J'ai une pratique seulement individuelle. J'ai aussi bien des hommes que des femmes. j'ai beaucoup de personnes en transition professionnelle surtout ma place est plutôt en entreprise et puis après j'ai basculé vers le milieu plutôt du coaching de vie puisque je prends le positionnement d'accompagner et de soutenir les personnes en famille recomposée jusqu'à ce qu'en fait je me rende compte qu'il y avait une incohérence totale entre ma communication auprès de cette cible là et ma pratique de coaching puisqu'en fait je n'abordais pas du tout ces sujets là dans ma pratique de coaching mais donc c'est à cette époque Merci. que finalement, peu à peu, ma pratique change et je me rends compte que les clients qui viennent à moi naturellement sont des entrepreneurs ou des entrepreneurs en devenir. Ce sont les entrepreneurs qui m'ont élu coach pour entrepreneur. Ce n'est pas moi qui un jour ai décidé je vais accompagner les entrepreneurs. Et c'est important que je vous le précise parce que ça fait partie un peu de mes points faibles dans l'évolution du collectif libre qui fait que j'ai mis du temps, j'ai mis plusieurs années à prendre confiance Malgré la puissance des retours que je peux avoir, j'ai mis du temps à me sentir légitime d'accompagner des entrepreneurs et d'autant plus des entrepreneurs expérimentés, avancés et avec des entreprises déjà bien implantées. Quand on parle de coach, on parle aussi souvent de mentor business. Et qui dit mentor dit avoir l'expérience nécessaire pour transmettre à son tour. Et moi, en fait, je ne suis pas une mentor business. Je ne suis pas une mentor d'entrepreneur. Toujours a été difficile pour moi d'assumer ma place, d'assumer mes dons et mes compétences pour les entrepreneurs et les dirigeants, ne me qualifiant moi-même pas comme une entrepreneur accomplie avec une entreprise établie, installée, une équipe, un gros chiffre d'affaires, etc. Et donc ça m'a fait du bien de me rappeler que c'était les entrepreneurs qui m'avaient choisi et que ce n'était pas moi qui m'étais décrété coach pour entrepreneur. Donc effectivement, en 2020, je décide d'offrir à ma communauté constituée d'entrepreneurs surtout de femmes entrepreneurs sensibles, je décide de lancer un défi gratuit. Et donc, je crée un groupe Facebook pour sept jours. Et pendant sept jours, une fois par jour, je viens faire une transmission pour transformer leur relation à l'argent. Et ce défi financier est un véritable succès. Les résultats sont incroyables. Les retours que j'ai sont juste dingues. Et donc, à l'issue de ces sept jours, forcément, on n'a pas envie d'en rester là. Je crée mon premier groupe en ligne, mon premier coaching de groupe qui s'appelle à l'époque le Programme Puissance. Le Programme Puissance, on est en 2020, au printemps 2020, et c'est donc ma première expérience de coaching de groupe digital. Et je prends aussi conscience à ce moment-là, effectivement, que dans ma pratique de coaching, depuis mes débuts, il y a beaucoup de points communs entre les personnes que j'accompagne, aussi bien hommes que femmes. Ces points communs sont vraiment cette sensibilité, ce besoin de profondeur. ce besoin de conscience. Ces personnes vivent vraiment des dissonances envers la société, envers la norme. Ils et elles ont des difficultés à trouver leur place. Ce ne sont pas forcément des marginaux. Pour la plupart, ce sont des personnes qui ont un gros bagage professionnel, qui ont fait des études, qui ont une légitimité, une personnalité forte, une intelligence reconnue, qui ne sont pas en marge de la société. Il y a des ingénieurs, des managers. des enseignants, des cadres de grandes entreprises. Ce sont vraiment des profils plutôt Bac plus 5, niveau social CSP+. Mais avec ce point commun de ne pas trouver sa place ou alors de devoir s'éloigner de leur vérité pour s'intégrer. Et ça crée un malaise, ça crée un épuisement, ça crée un vide, ça crée une insatisfaction. Toutes ces personnes sont un peu des vieilles âmes, mais qui ont perdu leur intégrité, qui ont dû sacrifier leur intégrité. Et dans cette expérience de 2020 du programme Puissance, mon premier coaching de groupe en ligne, c'est la première fois que je l'ai réuni. Qu'elle me dise, on a l'impression de retrouver une famille d'âmes. Qu'il y a quelque chose aussi de spirituel qui est là, qui est évident, sans avoir besoin de le nommer, sans avoir besoin d'aller dans quelque chose de perché ou d'ésotérique. Il y a une présence qui est là, qui est évidente et qui se reconnaît. Ce coaching de groupe est un succès, mais ça dure trois mois. Et c'est trop court, ça me semble restreint. Et en fait, il ne s'agit pas uniquement de puissance ni d'empowerment, ça va bien au-delà de ça. Et c'est de là que je crée Créateur du Changement. J'ai même déposé la marque Créateur du Changement à l'époque, où je crée en fait ma première pédagogie autour de ces termes Créateur du Changement, mais qui est à ce moment-là, pareil, un accompagnement individuel. Et puis en parallèle, je me rends compte qui dit Créateur du Changement dit avoir besoin de se réunir. Et donc en parallèle du coaching privé, je propose un groupe. Donc Créateur du Changement devient pour la première fois un format hybride avec le coaching privé, individuel, le groupe et le séminaire. Mais on est encore dans les années Covid puisqu'on est fin 2020 et donc notre séminaire n'aura lieu qu'en mai 2021. Ce premier collectif en fait est un succès aussi mais un peu à tâtonnement. Ce qui vient compléter cette première expérience aussi bien pour moi que pour le groupe, c'est vraiment le séminaire. Ce séminaire devient ... un séminaire de clôture, un séminaire de célébration. Et c'est ce séminaire qui crée un véritable avant-après pour Créateurs du Changement. Dans ce séminaire, je vis une autre initiation, puisque nous sommes à La Source, qui est le lieu d'une des membres du groupe Créateurs du Changement à ce moment-là. Sandrine et Nick, d'ailleurs, sont mariés, qui nous accueillent, qui nous fait tous les repas végétariens, et que j'embrasse. Je les embrasse tous les deux s'ils écoutent cet épisode. Donc Sandrine et Nick sont les premiers à recevoir un de mes séminaires. C'est la première fois que je crée mon propre séminaire avec mon propre groupe. Et là, je vis une expérience aussi assez transcendante pour moi. Je choisis de faire confiance, de m'ouvrir à ce qui est présent. C'est aussi ma façon de fonctionner. Je ne crée pas de cadre rigide pour mes séminaires. Je ne crée pas de programme figé. Je crée avec le vivant dans l'instant présent. Donc, dans tous mes séminaires, même aujourd'hui, il y a une intention. Mais je ne connais pas le comment on va y aller. le comment se crée au fur et à mesure. C'est pas si simple pour moi ni pour les participants, mais en fait, c'est extrêmement puissant. C'est aussi ce qui permet d'allier aussi bien le collectif, la transformation collective que la transformation individuelle, parce que j'ai aussi cette capacité aussi bien de tenir le groupe, le collectif, la transformation du groupe, que d'aller dans la transformation individuelle. Et là, c'est ce qui se passe dans ce premier séminaire que je vis à la Source en 2021. Je suis en fait complètement dépassée par ce qui se passe et j'ai peur. J'ai peur de ce qui se passe parce qu'en fait, j'ai une très forte activation de mes dons spirituels, énergétiques. Je ne pourrais pas vous raconter ce qui se passe parce que ça vous paraîtrait trop perché peut-être. Et voilà, je pense que c'est une expérience qui ne se raconte pas, mais qui se vit. Mais moi, j'ai peur. J'ai peur de perdre le contrôle. J'ai peur de faire du mal au groupe ou de faire de l'ingérence ou d'aller au-delà de mes... propres compétences. Je sens que quelque chose me dépasse. Et donc, pendant ce séminaire, je me laisse traverser par ce qui est là. Elles ont toutes vécu un avant-après. Elles ont toutes vécu une transformation puissante, même des profondes guérisons. J'ai aussi expérimenté ma capacité à tenir des trans, des guérisons, des transformations profondes. Mais c'est allé trop loin pour moi. Et j'ai eu peur. et j'ai dit je veux trouver une façon d'avoir le même impact, de faire vivre les mêmes transformations, mais sans aller aussi loin dans la spiritualité. Et c'est un petit peu ce qui s'est passé au fur et à mesure les années suivantes. Déjà j'ai vécu aussi un deuxième séminaire un mois après, où là c'était très court, c'était seulement sur deux nuits sur place, un peu moins de 48 heures, on était en Normandie. J'étais avec trois femmes entrepreneurs seulement, avec lesquelles je n'avais jamais travaillé avant, donc je ne les connaissais pas, et c'était un format ponctuel. Et en fait, pendant ce séminaire-là, j'ai de nouveau vécu une connexion à mes dons spirituels de façon très puissante. Il s'est passé des choses très fortes et pareil, j'ai senti des énergies très fortes qui étaient là. Je n'ai pas voulu aller là. Je n'ai pas voulu aller là. Je n'ai pas voulu aller dans cette spiritualité-là. Les mois qui ont suivi, les années qui ont suivi, j'ai refermé cette porte. Donc, créateur du changement, les groupes d'après, j'ai décidé qu'il n'y avait plus de séminaire. Le format n'était plus sur un an, mais sur six mois. et donc je reviens à quelque chose de moins profond, de moins puissant spirituellement. Je mets de côté mes dons énergétiques et ésotériques. Sauf que tout ça me rattrape, forcément, puisque ça fait partie de moi. Tout ça me rattrape en 2022. J'ai déjà parlé de ce point de bascule de 2022 dans le podcast puisque c'est l'année où je retrouve... Clément, après trois ans de séparation, c'est une année de guérison profonde pour moi. C'est une année de véritable réconciliation de mon féminin et de mon masculin. Je vis aussi un amour avec une femme avant de retrouver Clément. Et c'est l'année où se révèle mon livre, Leadership Spirituel, et c'est l'année où je fais aussi la rencontre avec un personnage qui va m'accompagner pendant deux ans. C'est aussi la période qui va donner naissance au podcast Vérité. Personnellement, dans ma propre transformation, je reconnecte à mes dons spirituels et ésotériques. Et de nouveau, je me confronte aux ombres, à la lumière noire, là où je n'avais pas voulu aller. Je me réconcilie avec ça, j'apprends aussi à maîtriser mes dons. Et je trouve cet équilibre dans ma pratique. Et peu à peu, je réintègre mes dons énergétiques dans ma pratique de coaching. Alors d'abord dans ma pratique de coaching privée. Certains clients que j'ai en présentiel, les rituels que je fais pour moi ou les processus de libération ou de protection que je fais pour moi, je commence à les faire pour certains clients, notamment des clients qui ont baigné dans certains réseaux, dans certains milieux, qui ont touché à une forme de spiritualité, qui en sont sortis et qui sentent qu'ils ont des formes d'attaque ou qu'il se passe des choses sur le plan énergétique, il y a des choses qui ne leur appartiennent pas. Puis au fur et à mesure, je me rends compte de l'impact de mes dons, l'impact sur mes clients. Ça les ramène à une intégrité au niveau énergétique et spirituel qui est tellement puissante dans leur leadership et dans leur posture. Et donc, au fur et à mesure, je m'ouvre à la possibilité d'utiliser aussi ça avec les groupes. Je me réconcilie avec ma capacité à tenir l'énergie d'un groupe. Et je me redonne cette autorisation de prendre soin de l'énergie du groupe. de créer mes propres façons de nettoyer l'énergie du groupe, de préserver l'intégrité du groupe. Ce qui est drôle, c'est qu'entre-temps, alors que j'enregistrais, j'ai dû mettre sur pause parce que j'ai été interrompue par une livraison. Et figurez-vous qu'il n'y a pas de hasard. Cette livraison, ce sont les 100 premiers exemplaires du stock que je reprends de mon éditeur pour le livre Leadership Spirituel. Si vous avez suivi la campagne Ulule, et d'ailleurs, vous pouvez y aller si vous ne l'avez pas encore vue si vous voulez... continuer vos contributions parce que c'est encore possible et les contreparties ont toutes été mises à jour récemment. Allez-y, allez-y, allez-y. Je suis ravie de recevoir ces 100 exemplaires alors que j'enregistre ce podcast. Je referme la parenthèse. Pour reprendre un petit peu ce récit, voilà un petit peu les détours que j'ai vécus jusqu'à reprendre pleinement ma légitimité en tant que leader de groupe, mais pas seulement leader de groupe dans le sens j'anime des groupes, mais avec un leadership au niveau subtile au niveau énergétique, un leadership d'espace énergétique et vibratoire. Et je pense que c'est ça qui change tout dans les expériences et les espaces que je crée et c'est ça qui change tout dans le collectif libre. Je vous raconte tout ça, pas pour vous perdre, mais simplement pour vous dire à quel point il y a eu des allers-retours, il y a eu des doutes, il y a eu des peurs, il y a eu des tests. des expériences diverses, des formats divers. Et finalement, ça fait trois ans d'affilée que j'accompagne un collectif pendant un an avec ce format d'un an. Ces deux dernières années, j'ai gardé le même format. Je suis revenue au format sur un an parce que le format un an avec un début, une fin, en système de cohorte et ce qu'il y a de plus puissant, ça me permet de recruter les profils, de choisir les complémentarités. en termes de personnalité, en termes de secteur d'activité, en termes de compétences, d'expertise, etc. Donc ça me permet de créer la richesse aussi du collectif. Le format un an permet aussi d'allier aussi bien du digital que du présentiel et je suis convaincue que c'est indispensable d'allier les deux. Le format d'un an permet... Alors c'est pas tout à fait un an, à vrai dire, c'est de septembre à juillet. Et en fait, ce format sur 11 mois permet d'accueillir plusieurs cycles. Plusieurs cycles intérieurs. Parce que c'est vrai que quand on vit un séminaire ponctuel, c'est un boost d'énergie, mais après tout retombe. Pareil quand on fait un programme ou quand on fait un coaching individuel, c'est toujours très porteur, soudain on est content, etc. Mais il manque un contenant, il manque un soutien durable. Et surtout, on a toujours l'impression qu'une partie de nous reste en dehors de la formation, du programme, du séminaire. ou du réseau, du groupe, ou je ne sais quoi, ou même des mastermind d'entrepreneurs. Mais ce format d'un an, en tout cas, permet vraiment d'avoir le temps de vivre plusieurs cycles intérieurs, de se révéler dans son entièreté. C'est vraiment un espace de soutien de votre entièreté. Alors oui, on vient parce qu'on a une casquette entrepreneuriale, on a une casquette de dirigeant, on cherche une nouvelle posture au sein de notre entreprise, dans notre leadership, auprès de nos communautés, on veut incarner peut-être un autre message, etc. Mais surtout, on a besoin d'aller trouver, d'aller créer ce prochain niveau à partir d'une juste posture intérieure. on a besoin. de rebâtir et de remettre à jour cette posture à partir d'une vérité intérieure et de notre propre vérité. Pas quelque chose qui nous est imposé, pas quelque chose de figé, mais vraiment ce qui est déjà là en soi. C'est un petit peu comme les poupées russes, je facilite ça, je facilite que ce qui est déjà en vous se révèle et puisse émerger, que vous soyez suffisamment en sécurité, suffisamment soutenu, suffisamment entouré. Alors, ce n'est pas du tout maternant ce que je vous dis. Mais c'est un espace dans lequel vous allez vous sentir accueilli et que ça dure un an, ça va vous permettre de dépasser chacun des blocages, chacune des résistances et d'oser vous montrer de plus en plus dans votre authenticité et dans votre entièreté. Et ça, c'est très puissant parce que quand vous êtes soutenu dans votre vérité, c'est là que vous déployez votre envergure, c'est là que vous bâtissez votre œuvre, c'est là que vous déployez votre expansion. Parce que vous prenez toutes vos décisions à partir. de cet espace intérieur. Et en fait, ce qui s'est passé, c'est pourquoi il y a eu autant d'allers-retours ces sept années. C'est parce qu'en fait, j'ai dilué ma propre envergure, ma propre singularité et la singularité des espaces que je crée. Alors, je vous ai expliqué certaines raisons. Il y a aussi eu, évidemment, la période de Covid. J'ai eu des contraintes personnelles. J'ai déménagé plusieurs fois en sept ans. J'ai eu ces années de maman solo. J'ai vécu aussi six mois avec l'instruction en famille pour mon fils. Et puis, cette histoire de lieu aussi. parce que je n'ai jamais fait deux séminaires au même endroit. Les lieux ont toujours été différents. Les lieux ont toujours été parfaits pour le séminaire pour lequel on venait, mais je n'ai jamais eu envie d'y revenir. C'est aussi une des spécificités du collectif libre, c'est un collectif vivant. Mon rôle, c'est d'en être la gardienne et de créer une structure pour permettre justement à ce vivant de continuer à se déployer à l'intérieur. Ce qui a dilué mon envergure, c'est aussi ces histoires de lancement sur le web. Parce qu'au départ, je suivais un peu les stratégies de tout le monde pour remplir mes programmes. Il y a sept ans, il suffisait d'un webinaire pour remplir un programme. Aujourd'hui, ça ne suffit plus. Il faut offrir trois, quatre, cinq jours gratuits. Et ça demande des gros investissements en temps, en argent, en process, etc. C'était un épuisement pour moi systématiquement et vraiment pas un plaisir. Donc il y avait pas mal de prises de tête aussi en termes de lancement. J'ai aussi fait des erreurs de recrutement, de personnes freelance, de personnes pour mon équipe. J'ai parfois trop délégué mon pouvoir. Ça faisait partie de mes sabotages. Je suis aussi restée un peu trop solopreneur, j'étais un peu trop artisane. J'avais beaucoup de résistance à élever mon leadership, à élever ma propre posture. J'ai vécu aussi beaucoup de changements personnels, puisqu'il y a eu ces retrouvailles avec Clément en 2022, qui forcément a chamboulé beaucoup de choses dans ma vie. Un nouveau déménagement, réapprendre à vivre ensemble, notre mariage, voilà. Il y a eu évidemment le livre. Vous connaissez un petit peu l'histoire du livre. Et pour en savoir un peu plus, participez à la campagne Ulule s'il est encore temps, parce que... Je vous préparerai un audio exclusif aussi pour vous raconter les coulisses du livre et de la campagne Ulule. Bref, je me suis éparpillée. Et en vérité, ces 7 ans, ce cycle de 7 ans, ça m'a permis de bâtir le socle de ma propre envergure. J'ai cru devoir aller dans l'excès pour justifier, pour convaincre, pour valoriser ce que je propose. Alors que libre, c'est notamment la valeur de simplicité. C'est le retour à la vérité, à l'essentiel. donc ça crée forcément ça crée Dans le subtil, ça crée des incohérences qui bloquent le processus d'évolution et d'expansion. Et puis, comme je vous le disais aussi tout à l'heure, je n'osais pas encore m'adresser à mon vrai persona. Je croyais aussi que mon vrai persona, on va dire mon vrai client idéal pour ce collectif libre. Et puis, toutes les pièces du puzzle se sont rassemblées, là, ces deux derniers mois, par trois événements. Le premier, c'est ce qui s'est passé pour le livre. En gros, quand mon éditeur m'annonce, il y a quelques mois, qu'ils vont solder mon livre Leadership Spirituel, alors que c'est eux qui sont venus me chercher il y a deux ans. pour écrire un livre. C'est eux qui ont choisi le titre du livre. Enfin, voilà. Donc, ils ont pris des décisions un petit peu à ma place que j'ai laissé faire aussi parce que j'avais confiance dans leur expertise, etc. Mais donc, quand l'éditeur me dit « En fait, on a décidé de solder ton livre. » En gros, ça veut dire quoi ? Ça veut dire qu'on ne va pas le réimprimer. Ça veut dire qu'il n'a pas rencontré son public, que les volumes de vente sont insuffisants et qu'en gros, le stock restant, on va l'envoyer chez des grossistes. Donc, il va sortir du circuit traditionnel. Ça, c'est un gros coup de massue pour moi parce que je ne m'y attendais pas du tout. Je n'avais aucune visibilité sur les ventes du livre. Ça fait quasiment un an, là, il a été diffusé fin août 2024, ça fait quasiment un an. Je n'avais aucune idée de ce que les ventes du livre donnaient, donc je ne savais pas. Ce que je voyais, c'est que j'ai eu un seul retour presse, j'ai eu quelques interviews sur des chaînes YouTube. Mais rien de plus que ça. Donc je me rendais bien compte qu'il y avait un blocage sur ce livre et que ce n'était pas normal parce que les retours de lecteurs que j'ai sont très forts, sont précieux, sont vraiment valides pleinement. L'utilité et les bienfaits de ce livre. Donc c'est un vrai coup de massue. Quelques semaines après, j'anime le dernier séminaire du Collectif Actuel sur un nouveau lieu que je ne connais pas. Et là, honnêtement, c'est un peu la douche froide aussi parce que le lieu me déçoit. Parce que le lieu n'est pas ce que je pensais. Parce que le niveau de standard, qui était quand même un niveau de standard minimum, mais ça n'est pas ce que j'attendais. Pour moi, les lieux ne doivent être ni perchés, ni trop business, ni luxe, ni camping. Ce n'est pas si facile de trouver un juste milieu de tout ça. Et donc là, je pensais que j'avais trouvé un écolieu en plus. Il y avait très peu de chambres individuelles et des espaces plus collectifs où elles pouvaient être deux par chambre. Je pensais que c'était vraiment le bon lieu. J'avais même prévu que le prochain séminaire du futur collectif se passe là-bas. Et en fait, ça n'a pas convenu. Et on s'est même posé la question, est-ce qu'on reste là ? Je ne voulais pas qu'elles se sentent enfermées. Donc, je leur ai même dit, si ça ne convient pas, on s'en va. Ça a été tout un processus initiatique aussi, parce que je me suis rendu compte qu'en fait, ce séminaire avait été une véritable leçon de leadership. J'ai tenu l'espace, j'ai tenu l'envergure, j'ai tenu la leurre, j'ai tenu la mienne. en acceptant pleinement l'instant présent, les déceptions, les émotions que ça pouvait générer. Et en même temps, je les ai ramenées à leur propre responsabilité. Quelque part, ça les a forcées à revenir dans leur leadership aussi. Sauf qu'il y a une des deux nuits du séminaire où moi, je me suis effondrée. Je me suis effondrée parce que c'était un peu le contre-coup de la décision de l'éditeur. J'avais reçu la veille, juste au moment de me coucher, j'avais aperçu dans mes mails la lettre officielle de mise en solde de leadership spirituel. Et je me suis effondrée dans la nuit. À 4h42 du matin, je me suis réveillée en pleurs. Et j'ai fait un message à mon amie Isabelle Colkins, que j'embrasse aussi, qui est la personne que j'ai choisie pour m'aider à écrire et à bâtir ma conférence signature. Je lui fais ce message à 4h42 du matin parce que c'était la seule qui, à ce moment-là, serait en mesure de tenir cet espace avec moi. Parce que le titre de ma conférence à ce jour, c'est vraiment « Oser son envergure » . J'explique à Isabelle dans mon message en pleurs que ce que je suis en train de vivre, que je suis en plein breakdown et que j'ai l'impression d'être complètement prise dans cette dualité entre excellence et me sentir minable. Et ça a été un processus d'alchimisation pendant cette nuit parce que le lendemain, je me suis présentée dans une autre posture, un autre leadership où j'étais pleinement dans ma vérité, dans ma vulnérabilité. Mais c'était OK pour moi et c'est aussi ça le collectif, c'est-à-dire que je m'autorise moi à être dans ma vérité et je partage aussi ce que je vis pendant cette année du collectif. Je n'ai pas une posture hors sol, je n'ai pas une posture de supériorité ou quoi que ce soit, je vis le collectif avec le groupe. Je partage aussi certaines étapes de mes expériences, de ma propre transformation, de mes décisions entrepreneuriales aussi. Et donc j'arrive le matin dans cet état de vulnérabilité. Et là, il se passe aussi un moment très puissant, puisque je leur avais proposé, pour celles qui voulaient, de nous faire un pitch pour nous présenter leur entreprise telle qu'elle était devenue à la fin de ce collectif. Ce n'est pas un pitch à la BNI, c'est vraiment plus une présentation et pour certaines, ça devient une performance artistique. Elles sont libres de parler de qui elles sont devenues et de leur vision et de leur projet comme elles veulent. Il n'y a pas besoin de présentation PowerPoint. Et en fait, c'est des exercices qui sont très puissants parce qu'elles incarnent entièrement leur message et leur vision. Les retours du groupe sont des feedbacks précieux aussi parce que c'est à ce moment-là qu'elles comprennent ou qu'ils comprennent que la transformation est intégrée et que la vision est manifestée. Bref, je referme la parenthèse. Donc, l'une d'entre elles, Gaëlle, que j'embrasse aussi très fort, nous fait une performance artistique. Et j'ai une émotion qui me monte, qui est énorme, au moment où elle dit « en fait, j'ai passé 20 ans à créer rien » . Et d'un coup, tout prend son sens pour moi, parce que ce rien, c'est un peu ce que je vous disais au début, c'est cette capacité que j'ai à tenir l'énergie, à tenir l'espace, à tenir votre envergure. C'est rien dans le sens où c'est invisible. Et dans notre société, ça n'a pas de valeur. Ce qui est invisible n'a pas de valeur. Et je comprends, à ce moment-là, je comprends tellement. la puissance de ce que j'offre, la puissance de ce collectif, et pourquoi c'est si difficile de le valoriser stratégiquement, marketingement parlant, etc. Parce qu'en fait, notre société ne valorise pas ce qui est invisible, alors que ce qui est invisible fait 90% de qui nous sommes. Ce jour-là, ce deuxième jour du séminaire libre, j'ai pris plusieurs décisions. J'ai pris la décision de racheter l'intégralité du stock de mon livre. Dans les jours qui ont suivi, j'ai pris la décision de lancer une campagne Ulule pour le faire, parce que je me disais, c'est bien beau de racheter 660 livres, mais qu'est-ce que je vais en faire après ? Et je me rends compte, en fait, peu à peu, de l'opportunité extraordinaire qui m'est offerte, de reprendre mon leadership, de reprendre mon pouvoir, de reprendre ce qui m'appartient, de reprendre mon œuvre, et de créer aussi un mouvement grâce à cette décision de l'éditeur. depuis la campagne Ulule a atteint son premier palier, ce qui fait qu'elle a été validée et qu'elle est financée par Ulule et par tous les contributeurs. Il y a eu plus de 100, je crois qu'on est à 114 contributions, c'est énorme, c'est immense. Je crée la suite à partir de ça et avec vous. La deuxième décision que j'ai prise dans ce séminaire, c'est d'ouvrir le collectif aux hommes. C'est devenu vraiment évident pendant ces deux jours avec elles et elles ont toutes senti la même chose que moi. Je sens aujourd'hui que les hommes sont prêts à porter le monde. Alors peut-être pas tous, toutes les femmes ne le font pas non plus. Je n'ai pas un discours genré, mais de plus en plus d'hommes sensibles, conscients, sont prêts à assumer leur envergure. Et cette envergure, elle passe aussi par cette capacité à porter le monde. Voilà, et c'est pour ça que les portes s'ouvrent dans le collectif. À vous, messieurs. J'en suis très heureuse et j'ai hâte. de vivre ce prochain collectif avec un groupe mixte. La troisième décision, ça a été d'arrêter de chercher des lieux et de recevoir sur mon lieu. Quelque chose d'extraordinaire qui se manifeste aussi là, ces deux derniers mois. Je l'avais évoqué dans l'épisode avec Yumna. J'avais dit à Yumna qu'aujourd'hui, le vivant, le divin, avait besoin de beaucoup plus que notre propre présence. Notre propre présence ne suffit plus pour tenir l'envergure. de nos clients, des personnes pour lesquelles on est qualifié. On a besoin des lieux. On a besoin de revenir à des temples. Yuna partageait en fait dans l'épisode qu'elle avait son temple et qu'elle avait son lieu, qu'elle habitait sur son lieu et qu'elle allait pour la première fois à la fin de l'année accueillir ses premiers groupes, donc sur son lieu. Et moi je lui avais dit, j'ai pas encore moi manifesté mon temple. Et depuis cet épisode, eh bien... Ce temple s'est manifesté, ce temple est en train de se manifester, puisqu'on est entre deux signatures au moment où j'enregistre cet épisode. Donc voilà, je tiens cette vision, cette prière que j'ai au plus profond de moi depuis 2018. D'où encore une raison, vous voyez, de ce cycle depuis 2018. Je vous ai parlé du Cap Ferret dans cette année 2018, qui était ma terre. Et en fait, c'est ça, c'est que ma terre se manifeste de nouveau, avec la manifestation de ce lieu. Mais pour la manifestation de ce lieu, il a fallu une transformation immense et surtout une réconciliation intérieure. Et dans mes polarités masculines, féminines, et cette réconciliation avec Clément, mon mari, puisqu'évidemment c'est un temple qu'on porte à deux aujourd'hui et qu'on manifeste ensemble pour nous, pour notre famille. Et j'ai donc décidé d'arrêter de chercher des lieux et surtout d'arrêter de m'occuper de l'hébergement. parce que c'est beaucoup de complexité administrative puisque en tant que société qui vend des services d'accompagnement, de coaching, je n'ai pas le droit de vendre des prestations d'hébergement. Donc administrativement, c'est un vrai casse-tête. C'est des frais de débours que j'avance. Bref, c'est compliqué. Et ça n'est pas du tout dans l'énergie de nous, ni dans mes valeurs, ni dans celle de libre. Donc j'ai décidé d'arrêter de m'occuper des hébergements et de recevoir sur mon lieu. Donc les prochains séminaires auront lieu sur la presqu'île du Cap Ferret, dans notre maison, toute la journée, du matin au soir. Ceux qui veulent resteront dîner s'ils veulent, et simplement la nuit, que chacun choisira là où il et elle veut, selon vos standards, vos budgets, vos goûts, etc. Et cette décision me fait tellement de bien et tellement vibrante. Et cette énergie de ce lieu, de ce temple sur la presqu'île du Cap Ferret est tellement puissante et tellement remplie d'amour, d'unité. C'est déjà extraordinaire. Et ce qui me fait moi beaucoup de bien, c'est que je sais que le lieu va vraiment soutenir le collectif et que ça va m'apporter un soutien que je n'avais pas jusqu'à maintenant, puisque jusqu'à maintenant, c'est moi qui tenais tout le groupe pendant un an. Donc ce cycle 2018-2025, 7 ans. Je n'ai pas compté le nombre de clientes que j'ai eues dans mes différents espaces groupes. Plusieurs groupes, plusieurs tentatives, plusieurs formats. Il y a eu en sept ans un livre, le podcast avec cette troisième saison. Un mariage, plusieurs déménagements, la manifestation de mon lieu, de ce lieu rêvé depuis sept ans. Et l'ouverture à vous messieurs aussi dans ce collectif. Je pense en toute honnêteté... que j'avais besoin de ce mariage, à cet homme dirigeant, à ce leader international aussi, pour passer un autre cap dans mon leadership et pouvoir encore plus tenir votre envergure en tant qu'homme, en tant que masculin. Une chose aussi qui est importante, c'est que LIBRE, au-delà d'un acronyme, est devenu une méthode. J'ai une pédagogie, j'ai une singularité dans mes espaces, dans mes accompagnements, dans les transformations que je facilite. Et donc j'ai enfin posé des mots et un cadre à cette singularité. Et libre, ce sont aussi six piliers. Le L pour le pourquoi incarné, alors vous trouverez tous les détails dans la description de l'épisode. Le I pour l'intégrité énergétique. Le B pour prendre la responsabilité de nos besoins, nos besoins comme boussole. Le R de la réussite régénérative. Le E d'envergure et d'expansion. et le S de sacré et de souveraineté. Allez dans la description de l'épisode pour en savoir plus sur chacun des piliers. Donc Libre 2025-2026, ça va être un groupe seulement de 8 dirigeants, hommes, femmes, des âmes libres, engagées, qui agissent avec foi, qui sont reliées aux vivants ou aux divins, qui sont en quête permanente de vérité, de contribution, de complétude. Libre 2025-2026, à partir de mon envergure, de ma propre envergure, avec la transformation que j'amène, la qualité des espaces que je crée, ma capacité à tenir votre envergure, votre leadership, à vous amener à votre vérité, sans rien vous imposer, sans rien figer. Ma capacité, ou ces espaces que je crée qui vous donnent confiance en vos réelles ambitions, en vos réelles... aspirations. Le collectif tient votre énergie, votre vision, votre ambition, votre envergure. Ce sont aussi des espaces qui permettent d'aller au-delà de la culpabilité. Parce que, en 2025, on est encore dans un monde de souffrance, de pénurie, de précarité. Et c'est d'autant plus difficile d'assumer son envergure, d'assumer notre liberté, notre bonheur, notre engagement. et notre prospérité. Au sein de notre espace, on va au-delà, on dépasse cette culpabilité parce que ce qui est important, c'est l'impact. Ce qui est important, c'est l'œuvre qu'on est là pour bâtir. Ce qui est important, c'est ce qu'on incarne. On est des pionniers, on avance, on crée le nouveau. Et il est tout à fait normal que l'ancien continue d'exister et de coexister en même temps que le nouveau. Le collectif libre n'est ni perché, ni ésotérique, ni illusoire. C'est un espace brut, vrai, profond, conscient, simple. Moi-même, je n'ai pas une posture de supériorité, de toute puissance, ni d'unique sachante. Je suis là pour faciliter chacun des espaces. Votre transformation, évidemment. Je suis gardienne de l'intégrité du groupe, de l'énergie du groupe. Je suis coach quand il y a besoin de l'être aussi. J'anime les échanges, les conversations. Je prends les décisions pour le bien du groupe, du collectif. D'ailleurs, à propos de décision, je me rends compte que je ne vous ai pas raconté toutes les décisions que j'avais dû prendre dans différents groupes, les difficultés qu'on avait vécues aussi au démarrage du groupe de cette année, qui m'a amenée à cette décision d'ailleurs de mettre le séminaire au démarrage du collectif et non 4-5 mois plus tard, parce qu'on a besoin de vivre cet espace dans la matière, de se rencontrer en vrai avant d'être trop en distanciel. Donc on a besoin de créer vraiment ces liens ensemble. de se rencontrer dans notre entièreté. Parce qu'au début du collectif, il y a eu trois départs dans le collectif de cette année pour différentes raisons, plus ou moins justifiées d'ailleurs. Mais voilà, c'est venu beaucoup challenger ma valeur d'engagement, qui pour moi est une valeur phare et une valeur forte au sein du collectif. Quand on s'engage dans un collectif qui dure un an, on va jusqu'au bout en fait et on a foi en le processus, en la personne qu'on a choisie. Ça me permet de marquer encore plus cette valeur-là pour le collectif Lippe 2025-2026. Ce sont des profils expérimentés que j'accueille au sein du collectif, qui ont entre 10 et 20 ans d'expérience entrepreneuriale. Des profils qui sont hommes-femmes, qui ont déjà un leadership. Ce sont des âmes libres et engagées, comme je vous le disais tout à l'heure, et qui ont évidemment une entreprise. Donc j'ai hâte de vivre ce nouveau collectif avec vous. Les pré-inscriptions sont officiellement ouvertes avec cet épisode. Vous avez évidemment le lien en dessous de l'épisode, dans la description de l'épisode. On procède par entretien. C'est important pour moi qu'on se rencontre, qu'on se parle, que je vous connaisse, que je valide le match énergétique entre nous et avec le collectif, que je réponde à toutes vos questions, aussi bien pratico-pratiques que logistiques, émotionnelles, que mentales, que quoi que ce soit d'autre. Nous avons les trois séminaires dans l'année. donc le premier séminaire Ce sera mi-octobre sur la presqu'île du Cap-Ferret. C'est notre deadline pour que la maison soit prête pour vous recevoir. Et après, on aura des appels de suivi en groupe sur Zoom. Ce sont des appels qui sont un peu en format, ce qu'on appelle mastermind, c'est-à-dire que les personnes qui sont là, qui sont présentes, qui ont besoin, qui ont des questionnements, des problématiques, quelles qu'elles soient. Ça peut être business, ça peut être stratégique, ça peut être relationnel, ça peut être émotionnel. On aborde tout, puisque vous êtes là dans votre entièreté. Et au sein du collectif, les compétences, les expertises, les expériences de chacun vont venir vous apporter ce dont vous avez besoin. Donc on est sur un format comme ça, mastermind. Moi, je suis là pour tenir et pour lider les espaces, les appels, animer les espaces, recadrer quand c'est nécessaire, amener aussi ma posture de coach, les transformations et quand c'est nécessaire aussi. Donc la prochaine étape, si vous sentez l'appel, c'est qu'on prenne rendez-vous ensemble. Vous avez toutes les informations dans la description de cet épisode. D'ici notre démarrage en septembre, je vais continuer à m'aligner à mon envergure pour tenir l'énergie de ce nouveau groupe, pour tenir votre envergure, pour tenir l'envergure de vos entreprises aussi. Parce qu'on accueille aussi l'énergie de vos entreprises au sein du collectif. Ça n'est pas juste vous en tant que dirigeants, c'est aussi l'envergure de vos projets, de vos entreprises, quel que soit là où vous en êtes. Certains redémarrent quelque chose, certains veulent poursuivre l'œuvre existante. Peu importe. Ce qui est important pour moi, c'est qu'il y ait de la matière, c'est-à-dire qu'il y ait l'expérience, il y ait déjà la notion de succès et de réussite qui a été remise en doute, remise en question, qui est la relation à l'argent aussi qui a été remise en cause, remise en question. Et donc, il y a de la matière qui est là pour pouvoir créer de nouveau ensemble. Je vous remercie infiniment d'avoir été jusqu'au bout de cet épisode et la suite dans la description. Je vous retrouve très très vite avec Lucie Navarro. qui est membre du collectif de cette année et qui viendra partager à son tour son chemin, son parcours et sa transformation dans sa posture de dirigeante et les effets du collectif libre. À très vite.

Chapters

  • Introduction à la quête de liberté et d'intégrité

    00:01

  • Rétrospective des collectifs et transformations personnelles

    00:30

  • Les défis de la puissance et de la fatigue

    01:44

  • L'importance de tenir l'espace et de soutenir le groupe

    03:30

  • Réflexions sur le cycle 2018-2025 et l'émergence d'un nouveau collectif

    05:13

  • Annonces pour le collectif L.I.B.R.E.S. 2025-2026

    40:09

Description

Et si derrière chaque méthode, il y avait une traversée silencieuse ?


Dans cet épisode solo, Ombeline Becker nous ouvre les coulisses de L.I.B.R.E.S., sa méthode signature née bien loin des stratégies marketing.

Elle y raconte non pas une construction, mais une réconciliation : entre sa mission d’âme et la structure de son entreprise, entre ses dons et ses peurs, entre ce qu’elle savait porter… et ce qu’elle osait réellement incarner.


Coach depuis 2012, fondatrice de NOŪS, de L.I.B.R.E.S. et du podcast Vérité, Ombeline partage ici l’envers du décor d’une fondatrice qui a tenu des dizaines d’espaces de transformation, tout en affrontant ses propres seuils : épuisement, repli, résistances à l’envergure.


Un récit intime, sans détours, sur ce que signifie accompagner sans se trahir, créer sans s’épuiser, et transmettre sans se réduire.


Un épisode pour celles et ceux qui savent qu’ils ne peuvent plus faire comme avant.


🎧 À écouter si vous êtes à un seuil.

Et que vous cherchez un espace pour rester debout — sans compromis sur votre vérité.



✋ Pour découvrir L.I.B.R.E.S. ou faire partie du prochain collectif dès septembre, c'est ici : https://www.nous.ceo/collectif-entrepreneurs-libres/



🎙️ VÉRITÉ — à la croisée du business, de l’âme et du vivant.

Un podcast d’Ombeline Becker pour les entrepreneur·es qui refusent de choisir entre expansion et intégrité.


Vous avez aimé l'épisode ? Pensez à ajouter 5⭐️ et un avis positif sur ApplePodcast et Spotify pour soutenir le podcast 🙏🏼


📩 Contact & collaborations : contact@nous.ceo


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Vous aspirez à plus, plus de liberté, plus d'espace, plus de fluidité dans votre expansion, plus de prospérité, mais autrement. Ici, on ne cherche pas à faire plus, on cherche à créer mieux, à trouver un mouvement qui nourrit au lieu d'épuiser, un chemin où l'ambition ne s'oppose plus à la conscience. Bienvenue dans un nouvel épisode de Vérité. Ce que vous allez entendre aujourd'hui n'est pas un bilan, ce n'est pas une méthode ni une leçon. C'est une parole vraie posée depuis un seuil que je connais bien. Je suis Ombeline Becker, coach depuis 2012. J'accompagne des entrepreneurs, des dirigeants sensibles, lucides, dans ces passages où l'on ne peut plus avancer sans se réaligner, où l'on sent que ce qu'on porte est juste mais plus soutenable dans ce cadre-là. Libre n'est pas le début de mon chemin, c'est ce que ce chemin a révélé. Pendant sept ans, j'ai été traversée par quelque chose que je ne comprenais pas encore, et au fil du temps j'ai créé et tenu des dizaines d'espaces de transformation, en ligne, en présence, pour celles et ceux qui ne veulent plus choisir entre expansion et intégrité. À partir de 2020, j'ai initié un format plus profond, plus structurant. Trois collectifs annuels, hybrides, entre digital et présentiel, trois traversées intenses, qui ont éprouvé libre et qui m'ont transformée. Mais entre le premier collectif et le deuxième, il y a eu un repli, un refus intérieur de mon envergure. J'ai mis à distance mes dons, mon intuition, parce que c'était trop, trop, trop, trop fort, trop inconfortable à assumer seul. Alors j'ai laissé le temps de faire son œuvre et aujourd'hui je reviens avec une vision plus mature, plus enracinée. Dans cet épisode, je vous partage ce que ces années m'ont appris, ce qui a muté, ce qui a résisté, ce qui s'est révélé dans l'espace et en moi. Je vous parle de fatigue, de puissance, de ces seuils invisibles que l'on ne traverse pas avec une stratégie. mais avec foi, soutien et vérité. Libre n'a jamais été un programme. C'est une méthode vivante, un cadre d'alignement, un espace où l'on arrête de se vendre pour enfin se retrouver. Je ne vous donne pas la méthode ici, mais si vous sentez que vous êtes vous aussi à ce seuil, vous saurez. Bienvenue dans cette rétrospective, et peut-être dans ce qui vient. Chers auditeurs, si vous saviez les résistances, les sabotages, les complications que je vis pour enregistrer cet épisode, donc je sais déjà que ça va être puissant, ok ? Et qu'en fait, pour vous donner le mot de cet épisode, cette vibe du collectif libre et de toute l'énergie dans laquelle je rentre et vous rentrez et nous rentrons actuellement, C'est vraiment cette notion d'envergure. Et donc je sais que toutes les complications que je vis et que je manifeste là pour enregistrer cet épisode viennent me parler de là où je ne suis pas encore prête à oser ma propre envergure. Donc je rentre en enregistrement de cet épisode en toute vérité, en toute vulnérabilité. Mais je sais aussi, je fais confiance au process et je sais aussi que je laisse agir plus grand que moi quand je parle et que ça viendra vous... toucher là où vous en avez besoin. Donc cet épisode, comme je l'avais annoncé à la fin de l'épisode avec Axelle, cet épisode est une rétrospective du collectif libre. Alors pourquoi faire cette rétrospective ? Eh bien parce que en parlant avec les membres du collectif de cette année et certaines personnes avec qui je travaille, les personnes ressources avec qui je travaille, je me suis rendue compte que chaque collectif avait été une œuvre, avait eu sa singularité. que le mot collectif libre est récent puisque je l'exprime de cette façon-là depuis seulement 2024, mais que c'est loin d'être le premier collectif, c'est loin d'être le premier espace que je crée et que j'ai une vraie singularité dans ces espaces que je crée. Chaque membre me dit chaque année que j'ai cette capacité à tenir le groupe, à tenir l'espace et à tenir aussi leur individualité. Alors même si certaines... ont la possibilité de choisir aussi d'avoir, en plus du collectif, un accompagnement en coaching privé. Mais même celles qui ne choisissent pas le coaching privé ont cette impression que je les soutiens personnellement aussi. Et donc, ces derniers mois, à plusieurs reprises, j'ai eu l'opportunité de me rappeler d'où venait ce collectif et à quel point le parcours avait été riche, à quel point j'avais pris des risques, j'avais fait des erreurs, j'avais douté, j'avais perdu mes moyens, j'avais eu... peur aussi de ma puissance, de mes dons, notamment énergétiques, voire ésotériques. Et toute cette réconciliation que j'ai dû moi-même vivre pour arriver à préparer la vibration du collectif Libre 2025-2026 qui va encore être d'un autre niveau de ce qui a été vécu jusqu'à présent. Je ne connais pas encore les membres de ce nouveau collectif au moment où j'enregistre cet épisode, et je sais que cet épisode est un passage, une ouverture de l'énergie, du vortex, de l'espace de ce collectif Libre 2025-2026. Je me suis demandé quand ça avait commencé. C'est la date 2018 qui m'est apparue. Et ce n'est pas anodin, puisque 2018-2025, c'est un cycle de 7 ans. Alors pourquoi 2018 ? Pour différents points. Premièrement, parce qu'en 2018, je vis pour la première fois l'expérience et la conscientisation de ma capacité à tenir l'espace, à tenir l'énergie d'un groupe. Deuxième raison pour laquelle c'est 2018 qui pour moi est le début du collectif, c'est aussi parce que c'est notre première séparation avec Clément qui est aujourd'hui mon mari. si vous me suivez déjà vous savez qu'on a été Après cela, séparée vraiment pendant trois ans, que ça a été une période où j'ai été maman solo, ça a été... Et 2018, c'est aussi l'année où je décide de m'écouter vraiment, de me poser vraiment la question de où je veux vivre et ne plus répondre aux contraintes d'une famille recomposée, aux contraintes professionnelles de mon conjoint, etc. Mais si je m'écoute vraiment moi, je veux aller vivre sur la presqu'île du Cap-Ferret. Je ne sais pas pourquoi, mais il n'y a que ce lieu-là qui m'appelle. Et donc, je pars vivre là-bas. Je décide d'y passer un hiver. Entre-temps, on se remet ensemble avec Clément. Et je décide d'aller passer un hiver là-bas pour expérimenter le lieu l'hiver et avec l'intention de m'y installer à l'année. À cette époque, Clément travaillait encore en Suisse. Donc voilà, une organisation personnelle pas si simple, mais tout est fluide. Et c'est une période très prospère, très faste pour mon activité. C'est à ce moment-là aussi... Donc quand je suis au Cap Ferret, que je crée, alors à cette époque c'était une SASU, c'est une période où j'étais en transition aussi entre la Suisse et la France. Donc je reviens en France et donc c'est à ce moment-là que je décide de créer une société. NUS, telle que vous la connaissez aujourd'hui, finalement administrativement est créée fin 2018 alors que je suis au Cap Ferret. Et c'est un cycle qui démarre, qui est assez fort à ce moment-là. Et pour revenir à cette expérience de prendre conscience de ma capacité à tenir l'espace d'un groupe et l'énergie d'un groupe, c'est parce qu'à cette époque, Laurent Marchand, qui est un coach, qui est un mentor, qui a créé le scan thérapeutique, me demande de l'aider avec la première cohorte de sa formation de scan thérapeutique. Il me demande en fait d'être facilitatrice et donc d'être présente pendant tous les week-ends de formation. On est deux à prendre ce rôle-là et je me retrouve à Lyon. avec un groupe de 40 personnes aux côtés de Laurent et de Kate qui étaient aussi facilitatrices avec moi. Et je me dis, mais qu'est-ce que je fais là ? Et honnêtement, je ne sais pas pourquoi je suis là. Je ne suis pas formée moi-même au scan thérapeutique puisque c'est la première cohorte, donc la première vraie formation. Je n'ai pas vocation à me former au scan thérapeutique. Je comprends pendant ces quatre mois que mon rôle est de tenir l'énergie. Je me surprends moi-même à certains moments à me lever à me mettre debout dans une position d'ancrage avec les bras écartés et je sens que mes mains tiennent quelque chose. Et c'est comme s'il y avait une espèce de sphère, de bulle qui contenait le groupe et moi je suis de l'autre côté de cette bulle et je tiens, c'est comme si c'était moi qui tenais cette bulle. Je ne comprends pas ce que c'est, ce que ça veut dire, ce qui se passe, etc. Mais je sais que c'est indispensable. Et puis, j'expérimente ça à chaque week-end, et même ça prend de l'ampleur. Je commence même à faire des gestes, etc. Je sens qu'en fait, je nettoie quelque chose, je fluidifie, je facilite, mais sans avoir besoin de parler. Et puis, il y a aussi différents échanges que j'ai avec les participants, puisque je suis là aussi pour répondre à leurs questions, pour... les aider à dépasser leur résistance, parce qu'évidemment, quand on développe des nouvelles compétences, on a forcément des résistances dans le processus de changement. Et je me rends compte aussi que dans ces conversations one-to-one que je peux avoir avec certains ou certaines, il se passe aussi des choses, des transmutations, des nettoyages, des libérations, sans que je ne force quoi que ce soit. Vraiment, cette expérience, et je remercie d'ailleurs, je profite pour remercier Laurent, je ne sais pas s'il l'écoutera cet épisode, mais je profite pour le remercier encore de m'avoir donné cette opportunité. Parce que lui non plus ne savait pas pourquoi il me proposait ça. Mais voilà, ça a été extrêmement puissant pour moi de me rendre compte de ces capacités, de ces dons que j'avais. Et donc de tenir l'énergie du groupe, de tenir l'espace, de créer des transmutations et des transformations de par ma présence et de par des simples conversations en one-to-one. Au fur et à mesure qu'on avançait dans la formation, je me rends compte que mon rôle est aussi de tenir l'énergie et la montée en puissance de Laurent. qui lui, évidemment à chaque week-end, il montait aussi en puissance, dans sa posture, dans ce qu'il était capable de transmettre, d'enseigner, voire même de canaliser. Et donc je suis là aussi pour tenir cette montée en fréquence, cette montée vibratoire. Donc ça c'est 2018. Les années passent, je fais avance rapide jusqu'en 2020, où nous sommes au premier confinement du Covid, et je ressens très fort cette insécurité, cette incertitude évidemment, et surtout ce paradigme de... peur et de pénurie dans laquelle on nous met et on nous enferme. Et donc dans ma communauté d'entrepreneurs, je fais une petite parenthèse pour expliquer que j'ai démarré en fait ma pratique de coaching en 2012. Je me suis formée en 2011-2012. Après j'ai évidemment suivi d'autres formations dans différents domaines pour compléter. Mais ma pratique de coaching commence en 2012. Et à ce moment-là, le coaching n'était pas ce qu'il est aujourd'hui. J'ai une pratique seulement individuelle. J'ai aussi bien des hommes que des femmes. j'ai beaucoup de personnes en transition professionnelle surtout ma place est plutôt en entreprise et puis après j'ai basculé vers le milieu plutôt du coaching de vie puisque je prends le positionnement d'accompagner et de soutenir les personnes en famille recomposée jusqu'à ce qu'en fait je me rende compte qu'il y avait une incohérence totale entre ma communication auprès de cette cible là et ma pratique de coaching puisqu'en fait je n'abordais pas du tout ces sujets là dans ma pratique de coaching mais donc c'est à cette époque Merci. que finalement, peu à peu, ma pratique change et je me rends compte que les clients qui viennent à moi naturellement sont des entrepreneurs ou des entrepreneurs en devenir. Ce sont les entrepreneurs qui m'ont élu coach pour entrepreneur. Ce n'est pas moi qui un jour ai décidé je vais accompagner les entrepreneurs. Et c'est important que je vous le précise parce que ça fait partie un peu de mes points faibles dans l'évolution du collectif libre qui fait que j'ai mis du temps, j'ai mis plusieurs années à prendre confiance Malgré la puissance des retours que je peux avoir, j'ai mis du temps à me sentir légitime d'accompagner des entrepreneurs et d'autant plus des entrepreneurs expérimentés, avancés et avec des entreprises déjà bien implantées. Quand on parle de coach, on parle aussi souvent de mentor business. Et qui dit mentor dit avoir l'expérience nécessaire pour transmettre à son tour. Et moi, en fait, je ne suis pas une mentor business. Je ne suis pas une mentor d'entrepreneur. Toujours a été difficile pour moi d'assumer ma place, d'assumer mes dons et mes compétences pour les entrepreneurs et les dirigeants, ne me qualifiant moi-même pas comme une entrepreneur accomplie avec une entreprise établie, installée, une équipe, un gros chiffre d'affaires, etc. Et donc ça m'a fait du bien de me rappeler que c'était les entrepreneurs qui m'avaient choisi et que ce n'était pas moi qui m'étais décrété coach pour entrepreneur. Donc effectivement, en 2020, je décide d'offrir à ma communauté constituée d'entrepreneurs surtout de femmes entrepreneurs sensibles, je décide de lancer un défi gratuit. Et donc, je crée un groupe Facebook pour sept jours. Et pendant sept jours, une fois par jour, je viens faire une transmission pour transformer leur relation à l'argent. Et ce défi financier est un véritable succès. Les résultats sont incroyables. Les retours que j'ai sont juste dingues. Et donc, à l'issue de ces sept jours, forcément, on n'a pas envie d'en rester là. Je crée mon premier groupe en ligne, mon premier coaching de groupe qui s'appelle à l'époque le Programme Puissance. Le Programme Puissance, on est en 2020, au printemps 2020, et c'est donc ma première expérience de coaching de groupe digital. Et je prends aussi conscience à ce moment-là, effectivement, que dans ma pratique de coaching, depuis mes débuts, il y a beaucoup de points communs entre les personnes que j'accompagne, aussi bien hommes que femmes. Ces points communs sont vraiment cette sensibilité, ce besoin de profondeur. ce besoin de conscience. Ces personnes vivent vraiment des dissonances envers la société, envers la norme. Ils et elles ont des difficultés à trouver leur place. Ce ne sont pas forcément des marginaux. Pour la plupart, ce sont des personnes qui ont un gros bagage professionnel, qui ont fait des études, qui ont une légitimité, une personnalité forte, une intelligence reconnue, qui ne sont pas en marge de la société. Il y a des ingénieurs, des managers. des enseignants, des cadres de grandes entreprises. Ce sont vraiment des profils plutôt Bac plus 5, niveau social CSP+. Mais avec ce point commun de ne pas trouver sa place ou alors de devoir s'éloigner de leur vérité pour s'intégrer. Et ça crée un malaise, ça crée un épuisement, ça crée un vide, ça crée une insatisfaction. Toutes ces personnes sont un peu des vieilles âmes, mais qui ont perdu leur intégrité, qui ont dû sacrifier leur intégrité. Et dans cette expérience de 2020 du programme Puissance, mon premier coaching de groupe en ligne, c'est la première fois que je l'ai réuni. Qu'elle me dise, on a l'impression de retrouver une famille d'âmes. Qu'il y a quelque chose aussi de spirituel qui est là, qui est évident, sans avoir besoin de le nommer, sans avoir besoin d'aller dans quelque chose de perché ou d'ésotérique. Il y a une présence qui est là, qui est évidente et qui se reconnaît. Ce coaching de groupe est un succès, mais ça dure trois mois. Et c'est trop court, ça me semble restreint. Et en fait, il ne s'agit pas uniquement de puissance ni d'empowerment, ça va bien au-delà de ça. Et c'est de là que je crée Créateur du Changement. J'ai même déposé la marque Créateur du Changement à l'époque, où je crée en fait ma première pédagogie autour de ces termes Créateur du Changement, mais qui est à ce moment-là, pareil, un accompagnement individuel. Et puis en parallèle, je me rends compte qui dit Créateur du Changement dit avoir besoin de se réunir. Et donc en parallèle du coaching privé, je propose un groupe. Donc Créateur du Changement devient pour la première fois un format hybride avec le coaching privé, individuel, le groupe et le séminaire. Mais on est encore dans les années Covid puisqu'on est fin 2020 et donc notre séminaire n'aura lieu qu'en mai 2021. Ce premier collectif en fait est un succès aussi mais un peu à tâtonnement. Ce qui vient compléter cette première expérience aussi bien pour moi que pour le groupe, c'est vraiment le séminaire. Ce séminaire devient ... un séminaire de clôture, un séminaire de célébration. Et c'est ce séminaire qui crée un véritable avant-après pour Créateurs du Changement. Dans ce séminaire, je vis une autre initiation, puisque nous sommes à La Source, qui est le lieu d'une des membres du groupe Créateurs du Changement à ce moment-là. Sandrine et Nick, d'ailleurs, sont mariés, qui nous accueillent, qui nous fait tous les repas végétariens, et que j'embrasse. Je les embrasse tous les deux s'ils écoutent cet épisode. Donc Sandrine et Nick sont les premiers à recevoir un de mes séminaires. C'est la première fois que je crée mon propre séminaire avec mon propre groupe. Et là, je vis une expérience aussi assez transcendante pour moi. Je choisis de faire confiance, de m'ouvrir à ce qui est présent. C'est aussi ma façon de fonctionner. Je ne crée pas de cadre rigide pour mes séminaires. Je ne crée pas de programme figé. Je crée avec le vivant dans l'instant présent. Donc, dans tous mes séminaires, même aujourd'hui, il y a une intention. Mais je ne connais pas le comment on va y aller. le comment se crée au fur et à mesure. C'est pas si simple pour moi ni pour les participants, mais en fait, c'est extrêmement puissant. C'est aussi ce qui permet d'allier aussi bien le collectif, la transformation collective que la transformation individuelle, parce que j'ai aussi cette capacité aussi bien de tenir le groupe, le collectif, la transformation du groupe, que d'aller dans la transformation individuelle. Et là, c'est ce qui se passe dans ce premier séminaire que je vis à la Source en 2021. Je suis en fait complètement dépassée par ce qui se passe et j'ai peur. J'ai peur de ce qui se passe parce qu'en fait, j'ai une très forte activation de mes dons spirituels, énergétiques. Je ne pourrais pas vous raconter ce qui se passe parce que ça vous paraîtrait trop perché peut-être. Et voilà, je pense que c'est une expérience qui ne se raconte pas, mais qui se vit. Mais moi, j'ai peur. J'ai peur de perdre le contrôle. J'ai peur de faire du mal au groupe ou de faire de l'ingérence ou d'aller au-delà de mes... propres compétences. Je sens que quelque chose me dépasse. Et donc, pendant ce séminaire, je me laisse traverser par ce qui est là. Elles ont toutes vécu un avant-après. Elles ont toutes vécu une transformation puissante, même des profondes guérisons. J'ai aussi expérimenté ma capacité à tenir des trans, des guérisons, des transformations profondes. Mais c'est allé trop loin pour moi. Et j'ai eu peur. et j'ai dit je veux trouver une façon d'avoir le même impact, de faire vivre les mêmes transformations, mais sans aller aussi loin dans la spiritualité. Et c'est un petit peu ce qui s'est passé au fur et à mesure les années suivantes. Déjà j'ai vécu aussi un deuxième séminaire un mois après, où là c'était très court, c'était seulement sur deux nuits sur place, un peu moins de 48 heures, on était en Normandie. J'étais avec trois femmes entrepreneurs seulement, avec lesquelles je n'avais jamais travaillé avant, donc je ne les connaissais pas, et c'était un format ponctuel. Et en fait, pendant ce séminaire-là, j'ai de nouveau vécu une connexion à mes dons spirituels de façon très puissante. Il s'est passé des choses très fortes et pareil, j'ai senti des énergies très fortes qui étaient là. Je n'ai pas voulu aller là. Je n'ai pas voulu aller là. Je n'ai pas voulu aller dans cette spiritualité-là. Les mois qui ont suivi, les années qui ont suivi, j'ai refermé cette porte. Donc, créateur du changement, les groupes d'après, j'ai décidé qu'il n'y avait plus de séminaire. Le format n'était plus sur un an, mais sur six mois. et donc je reviens à quelque chose de moins profond, de moins puissant spirituellement. Je mets de côté mes dons énergétiques et ésotériques. Sauf que tout ça me rattrape, forcément, puisque ça fait partie de moi. Tout ça me rattrape en 2022. J'ai déjà parlé de ce point de bascule de 2022 dans le podcast puisque c'est l'année où je retrouve... Clément, après trois ans de séparation, c'est une année de guérison profonde pour moi. C'est une année de véritable réconciliation de mon féminin et de mon masculin. Je vis aussi un amour avec une femme avant de retrouver Clément. Et c'est l'année où se révèle mon livre, Leadership Spirituel, et c'est l'année où je fais aussi la rencontre avec un personnage qui va m'accompagner pendant deux ans. C'est aussi la période qui va donner naissance au podcast Vérité. Personnellement, dans ma propre transformation, je reconnecte à mes dons spirituels et ésotériques. Et de nouveau, je me confronte aux ombres, à la lumière noire, là où je n'avais pas voulu aller. Je me réconcilie avec ça, j'apprends aussi à maîtriser mes dons. Et je trouve cet équilibre dans ma pratique. Et peu à peu, je réintègre mes dons énergétiques dans ma pratique de coaching. Alors d'abord dans ma pratique de coaching privée. Certains clients que j'ai en présentiel, les rituels que je fais pour moi ou les processus de libération ou de protection que je fais pour moi, je commence à les faire pour certains clients, notamment des clients qui ont baigné dans certains réseaux, dans certains milieux, qui ont touché à une forme de spiritualité, qui en sont sortis et qui sentent qu'ils ont des formes d'attaque ou qu'il se passe des choses sur le plan énergétique, il y a des choses qui ne leur appartiennent pas. Puis au fur et à mesure, je me rends compte de l'impact de mes dons, l'impact sur mes clients. Ça les ramène à une intégrité au niveau énergétique et spirituel qui est tellement puissante dans leur leadership et dans leur posture. Et donc, au fur et à mesure, je m'ouvre à la possibilité d'utiliser aussi ça avec les groupes. Je me réconcilie avec ma capacité à tenir l'énergie d'un groupe. Et je me redonne cette autorisation de prendre soin de l'énergie du groupe. de créer mes propres façons de nettoyer l'énergie du groupe, de préserver l'intégrité du groupe. Ce qui est drôle, c'est qu'entre-temps, alors que j'enregistrais, j'ai dû mettre sur pause parce que j'ai été interrompue par une livraison. Et figurez-vous qu'il n'y a pas de hasard. Cette livraison, ce sont les 100 premiers exemplaires du stock que je reprends de mon éditeur pour le livre Leadership Spirituel. Si vous avez suivi la campagne Ulule, et d'ailleurs, vous pouvez y aller si vous ne l'avez pas encore vue si vous voulez... continuer vos contributions parce que c'est encore possible et les contreparties ont toutes été mises à jour récemment. Allez-y, allez-y, allez-y. Je suis ravie de recevoir ces 100 exemplaires alors que j'enregistre ce podcast. Je referme la parenthèse. Pour reprendre un petit peu ce récit, voilà un petit peu les détours que j'ai vécus jusqu'à reprendre pleinement ma légitimité en tant que leader de groupe, mais pas seulement leader de groupe dans le sens j'anime des groupes, mais avec un leadership au niveau subtile au niveau énergétique, un leadership d'espace énergétique et vibratoire. Et je pense que c'est ça qui change tout dans les expériences et les espaces que je crée et c'est ça qui change tout dans le collectif libre. Je vous raconte tout ça, pas pour vous perdre, mais simplement pour vous dire à quel point il y a eu des allers-retours, il y a eu des doutes, il y a eu des peurs, il y a eu des tests. des expériences diverses, des formats divers. Et finalement, ça fait trois ans d'affilée que j'accompagne un collectif pendant un an avec ce format d'un an. Ces deux dernières années, j'ai gardé le même format. Je suis revenue au format sur un an parce que le format un an avec un début, une fin, en système de cohorte et ce qu'il y a de plus puissant, ça me permet de recruter les profils, de choisir les complémentarités. en termes de personnalité, en termes de secteur d'activité, en termes de compétences, d'expertise, etc. Donc ça me permet de créer la richesse aussi du collectif. Le format un an permet aussi d'allier aussi bien du digital que du présentiel et je suis convaincue que c'est indispensable d'allier les deux. Le format d'un an permet... Alors c'est pas tout à fait un an, à vrai dire, c'est de septembre à juillet. Et en fait, ce format sur 11 mois permet d'accueillir plusieurs cycles. Plusieurs cycles intérieurs. Parce que c'est vrai que quand on vit un séminaire ponctuel, c'est un boost d'énergie, mais après tout retombe. Pareil quand on fait un programme ou quand on fait un coaching individuel, c'est toujours très porteur, soudain on est content, etc. Mais il manque un contenant, il manque un soutien durable. Et surtout, on a toujours l'impression qu'une partie de nous reste en dehors de la formation, du programme, du séminaire. ou du réseau, du groupe, ou je ne sais quoi, ou même des mastermind d'entrepreneurs. Mais ce format d'un an, en tout cas, permet vraiment d'avoir le temps de vivre plusieurs cycles intérieurs, de se révéler dans son entièreté. C'est vraiment un espace de soutien de votre entièreté. Alors oui, on vient parce qu'on a une casquette entrepreneuriale, on a une casquette de dirigeant, on cherche une nouvelle posture au sein de notre entreprise, dans notre leadership, auprès de nos communautés, on veut incarner peut-être un autre message, etc. Mais surtout, on a besoin d'aller trouver, d'aller créer ce prochain niveau à partir d'une juste posture intérieure. on a besoin. de rebâtir et de remettre à jour cette posture à partir d'une vérité intérieure et de notre propre vérité. Pas quelque chose qui nous est imposé, pas quelque chose de figé, mais vraiment ce qui est déjà là en soi. C'est un petit peu comme les poupées russes, je facilite ça, je facilite que ce qui est déjà en vous se révèle et puisse émerger, que vous soyez suffisamment en sécurité, suffisamment soutenu, suffisamment entouré. Alors, ce n'est pas du tout maternant ce que je vous dis. Mais c'est un espace dans lequel vous allez vous sentir accueilli et que ça dure un an, ça va vous permettre de dépasser chacun des blocages, chacune des résistances et d'oser vous montrer de plus en plus dans votre authenticité et dans votre entièreté. Et ça, c'est très puissant parce que quand vous êtes soutenu dans votre vérité, c'est là que vous déployez votre envergure, c'est là que vous bâtissez votre œuvre, c'est là que vous déployez votre expansion. Parce que vous prenez toutes vos décisions à partir. de cet espace intérieur. Et en fait, ce qui s'est passé, c'est pourquoi il y a eu autant d'allers-retours ces sept années. C'est parce qu'en fait, j'ai dilué ma propre envergure, ma propre singularité et la singularité des espaces que je crée. Alors, je vous ai expliqué certaines raisons. Il y a aussi eu, évidemment, la période de Covid. J'ai eu des contraintes personnelles. J'ai déménagé plusieurs fois en sept ans. J'ai eu ces années de maman solo. J'ai vécu aussi six mois avec l'instruction en famille pour mon fils. Et puis, cette histoire de lieu aussi. parce que je n'ai jamais fait deux séminaires au même endroit. Les lieux ont toujours été différents. Les lieux ont toujours été parfaits pour le séminaire pour lequel on venait, mais je n'ai jamais eu envie d'y revenir. C'est aussi une des spécificités du collectif libre, c'est un collectif vivant. Mon rôle, c'est d'en être la gardienne et de créer une structure pour permettre justement à ce vivant de continuer à se déployer à l'intérieur. Ce qui a dilué mon envergure, c'est aussi ces histoires de lancement sur le web. Parce qu'au départ, je suivais un peu les stratégies de tout le monde pour remplir mes programmes. Il y a sept ans, il suffisait d'un webinaire pour remplir un programme. Aujourd'hui, ça ne suffit plus. Il faut offrir trois, quatre, cinq jours gratuits. Et ça demande des gros investissements en temps, en argent, en process, etc. C'était un épuisement pour moi systématiquement et vraiment pas un plaisir. Donc il y avait pas mal de prises de tête aussi en termes de lancement. J'ai aussi fait des erreurs de recrutement, de personnes freelance, de personnes pour mon équipe. J'ai parfois trop délégué mon pouvoir. Ça faisait partie de mes sabotages. Je suis aussi restée un peu trop solopreneur, j'étais un peu trop artisane. J'avais beaucoup de résistance à élever mon leadership, à élever ma propre posture. J'ai vécu aussi beaucoup de changements personnels, puisqu'il y a eu ces retrouvailles avec Clément en 2022, qui forcément a chamboulé beaucoup de choses dans ma vie. Un nouveau déménagement, réapprendre à vivre ensemble, notre mariage, voilà. Il y a eu évidemment le livre. Vous connaissez un petit peu l'histoire du livre. Et pour en savoir un peu plus, participez à la campagne Ulule s'il est encore temps, parce que... Je vous préparerai un audio exclusif aussi pour vous raconter les coulisses du livre et de la campagne Ulule. Bref, je me suis éparpillée. Et en vérité, ces 7 ans, ce cycle de 7 ans, ça m'a permis de bâtir le socle de ma propre envergure. J'ai cru devoir aller dans l'excès pour justifier, pour convaincre, pour valoriser ce que je propose. Alors que libre, c'est notamment la valeur de simplicité. C'est le retour à la vérité, à l'essentiel. donc ça crée forcément ça crée Dans le subtil, ça crée des incohérences qui bloquent le processus d'évolution et d'expansion. Et puis, comme je vous le disais aussi tout à l'heure, je n'osais pas encore m'adresser à mon vrai persona. Je croyais aussi que mon vrai persona, on va dire mon vrai client idéal pour ce collectif libre. Et puis, toutes les pièces du puzzle se sont rassemblées, là, ces deux derniers mois, par trois événements. Le premier, c'est ce qui s'est passé pour le livre. En gros, quand mon éditeur m'annonce, il y a quelques mois, qu'ils vont solder mon livre Leadership Spirituel, alors que c'est eux qui sont venus me chercher il y a deux ans. pour écrire un livre. C'est eux qui ont choisi le titre du livre. Enfin, voilà. Donc, ils ont pris des décisions un petit peu à ma place que j'ai laissé faire aussi parce que j'avais confiance dans leur expertise, etc. Mais donc, quand l'éditeur me dit « En fait, on a décidé de solder ton livre. » En gros, ça veut dire quoi ? Ça veut dire qu'on ne va pas le réimprimer. Ça veut dire qu'il n'a pas rencontré son public, que les volumes de vente sont insuffisants et qu'en gros, le stock restant, on va l'envoyer chez des grossistes. Donc, il va sortir du circuit traditionnel. Ça, c'est un gros coup de massue pour moi parce que je ne m'y attendais pas du tout. Je n'avais aucune visibilité sur les ventes du livre. Ça fait quasiment un an, là, il a été diffusé fin août 2024, ça fait quasiment un an. Je n'avais aucune idée de ce que les ventes du livre donnaient, donc je ne savais pas. Ce que je voyais, c'est que j'ai eu un seul retour presse, j'ai eu quelques interviews sur des chaînes YouTube. Mais rien de plus que ça. Donc je me rendais bien compte qu'il y avait un blocage sur ce livre et que ce n'était pas normal parce que les retours de lecteurs que j'ai sont très forts, sont précieux, sont vraiment valides pleinement. L'utilité et les bienfaits de ce livre. Donc c'est un vrai coup de massue. Quelques semaines après, j'anime le dernier séminaire du Collectif Actuel sur un nouveau lieu que je ne connais pas. Et là, honnêtement, c'est un peu la douche froide aussi parce que le lieu me déçoit. Parce que le lieu n'est pas ce que je pensais. Parce que le niveau de standard, qui était quand même un niveau de standard minimum, mais ça n'est pas ce que j'attendais. Pour moi, les lieux ne doivent être ni perchés, ni trop business, ni luxe, ni camping. Ce n'est pas si facile de trouver un juste milieu de tout ça. Et donc là, je pensais que j'avais trouvé un écolieu en plus. Il y avait très peu de chambres individuelles et des espaces plus collectifs où elles pouvaient être deux par chambre. Je pensais que c'était vraiment le bon lieu. J'avais même prévu que le prochain séminaire du futur collectif se passe là-bas. Et en fait, ça n'a pas convenu. Et on s'est même posé la question, est-ce qu'on reste là ? Je ne voulais pas qu'elles se sentent enfermées. Donc, je leur ai même dit, si ça ne convient pas, on s'en va. Ça a été tout un processus initiatique aussi, parce que je me suis rendu compte qu'en fait, ce séminaire avait été une véritable leçon de leadership. J'ai tenu l'espace, j'ai tenu l'envergure, j'ai tenu la leurre, j'ai tenu la mienne. en acceptant pleinement l'instant présent, les déceptions, les émotions que ça pouvait générer. Et en même temps, je les ai ramenées à leur propre responsabilité. Quelque part, ça les a forcées à revenir dans leur leadership aussi. Sauf qu'il y a une des deux nuits du séminaire où moi, je me suis effondrée. Je me suis effondrée parce que c'était un peu le contre-coup de la décision de l'éditeur. J'avais reçu la veille, juste au moment de me coucher, j'avais aperçu dans mes mails la lettre officielle de mise en solde de leadership spirituel. Et je me suis effondrée dans la nuit. À 4h42 du matin, je me suis réveillée en pleurs. Et j'ai fait un message à mon amie Isabelle Colkins, que j'embrasse aussi, qui est la personne que j'ai choisie pour m'aider à écrire et à bâtir ma conférence signature. Je lui fais ce message à 4h42 du matin parce que c'était la seule qui, à ce moment-là, serait en mesure de tenir cet espace avec moi. Parce que le titre de ma conférence à ce jour, c'est vraiment « Oser son envergure » . J'explique à Isabelle dans mon message en pleurs que ce que je suis en train de vivre, que je suis en plein breakdown et que j'ai l'impression d'être complètement prise dans cette dualité entre excellence et me sentir minable. Et ça a été un processus d'alchimisation pendant cette nuit parce que le lendemain, je me suis présentée dans une autre posture, un autre leadership où j'étais pleinement dans ma vérité, dans ma vulnérabilité. Mais c'était OK pour moi et c'est aussi ça le collectif, c'est-à-dire que je m'autorise moi à être dans ma vérité et je partage aussi ce que je vis pendant cette année du collectif. Je n'ai pas une posture hors sol, je n'ai pas une posture de supériorité ou quoi que ce soit, je vis le collectif avec le groupe. Je partage aussi certaines étapes de mes expériences, de ma propre transformation, de mes décisions entrepreneuriales aussi. Et donc j'arrive le matin dans cet état de vulnérabilité. Et là, il se passe aussi un moment très puissant, puisque je leur avais proposé, pour celles qui voulaient, de nous faire un pitch pour nous présenter leur entreprise telle qu'elle était devenue à la fin de ce collectif. Ce n'est pas un pitch à la BNI, c'est vraiment plus une présentation et pour certaines, ça devient une performance artistique. Elles sont libres de parler de qui elles sont devenues et de leur vision et de leur projet comme elles veulent. Il n'y a pas besoin de présentation PowerPoint. Et en fait, c'est des exercices qui sont très puissants parce qu'elles incarnent entièrement leur message et leur vision. Les retours du groupe sont des feedbacks précieux aussi parce que c'est à ce moment-là qu'elles comprennent ou qu'ils comprennent que la transformation est intégrée et que la vision est manifestée. Bref, je referme la parenthèse. Donc, l'une d'entre elles, Gaëlle, que j'embrasse aussi très fort, nous fait une performance artistique. Et j'ai une émotion qui me monte, qui est énorme, au moment où elle dit « en fait, j'ai passé 20 ans à créer rien » . Et d'un coup, tout prend son sens pour moi, parce que ce rien, c'est un peu ce que je vous disais au début, c'est cette capacité que j'ai à tenir l'énergie, à tenir l'espace, à tenir votre envergure. C'est rien dans le sens où c'est invisible. Et dans notre société, ça n'a pas de valeur. Ce qui est invisible n'a pas de valeur. Et je comprends, à ce moment-là, je comprends tellement. la puissance de ce que j'offre, la puissance de ce collectif, et pourquoi c'est si difficile de le valoriser stratégiquement, marketingement parlant, etc. Parce qu'en fait, notre société ne valorise pas ce qui est invisible, alors que ce qui est invisible fait 90% de qui nous sommes. Ce jour-là, ce deuxième jour du séminaire libre, j'ai pris plusieurs décisions. J'ai pris la décision de racheter l'intégralité du stock de mon livre. Dans les jours qui ont suivi, j'ai pris la décision de lancer une campagne Ulule pour le faire, parce que je me disais, c'est bien beau de racheter 660 livres, mais qu'est-ce que je vais en faire après ? Et je me rends compte, en fait, peu à peu, de l'opportunité extraordinaire qui m'est offerte, de reprendre mon leadership, de reprendre mon pouvoir, de reprendre ce qui m'appartient, de reprendre mon œuvre, et de créer aussi un mouvement grâce à cette décision de l'éditeur. depuis la campagne Ulule a atteint son premier palier, ce qui fait qu'elle a été validée et qu'elle est financée par Ulule et par tous les contributeurs. Il y a eu plus de 100, je crois qu'on est à 114 contributions, c'est énorme, c'est immense. Je crée la suite à partir de ça et avec vous. La deuxième décision que j'ai prise dans ce séminaire, c'est d'ouvrir le collectif aux hommes. C'est devenu vraiment évident pendant ces deux jours avec elles et elles ont toutes senti la même chose que moi. Je sens aujourd'hui que les hommes sont prêts à porter le monde. Alors peut-être pas tous, toutes les femmes ne le font pas non plus. Je n'ai pas un discours genré, mais de plus en plus d'hommes sensibles, conscients, sont prêts à assumer leur envergure. Et cette envergure, elle passe aussi par cette capacité à porter le monde. Voilà, et c'est pour ça que les portes s'ouvrent dans le collectif. À vous, messieurs. J'en suis très heureuse et j'ai hâte. de vivre ce prochain collectif avec un groupe mixte. La troisième décision, ça a été d'arrêter de chercher des lieux et de recevoir sur mon lieu. Quelque chose d'extraordinaire qui se manifeste aussi là, ces deux derniers mois. Je l'avais évoqué dans l'épisode avec Yumna. J'avais dit à Yumna qu'aujourd'hui, le vivant, le divin, avait besoin de beaucoup plus que notre propre présence. Notre propre présence ne suffit plus pour tenir l'envergure. de nos clients, des personnes pour lesquelles on est qualifié. On a besoin des lieux. On a besoin de revenir à des temples. Yuna partageait en fait dans l'épisode qu'elle avait son temple et qu'elle avait son lieu, qu'elle habitait sur son lieu et qu'elle allait pour la première fois à la fin de l'année accueillir ses premiers groupes, donc sur son lieu. Et moi je lui avais dit, j'ai pas encore moi manifesté mon temple. Et depuis cet épisode, eh bien... Ce temple s'est manifesté, ce temple est en train de se manifester, puisqu'on est entre deux signatures au moment où j'enregistre cet épisode. Donc voilà, je tiens cette vision, cette prière que j'ai au plus profond de moi depuis 2018. D'où encore une raison, vous voyez, de ce cycle depuis 2018. Je vous ai parlé du Cap Ferret dans cette année 2018, qui était ma terre. Et en fait, c'est ça, c'est que ma terre se manifeste de nouveau, avec la manifestation de ce lieu. Mais pour la manifestation de ce lieu, il a fallu une transformation immense et surtout une réconciliation intérieure. Et dans mes polarités masculines, féminines, et cette réconciliation avec Clément, mon mari, puisqu'évidemment c'est un temple qu'on porte à deux aujourd'hui et qu'on manifeste ensemble pour nous, pour notre famille. Et j'ai donc décidé d'arrêter de chercher des lieux et surtout d'arrêter de m'occuper de l'hébergement. parce que c'est beaucoup de complexité administrative puisque en tant que société qui vend des services d'accompagnement, de coaching, je n'ai pas le droit de vendre des prestations d'hébergement. Donc administrativement, c'est un vrai casse-tête. C'est des frais de débours que j'avance. Bref, c'est compliqué. Et ça n'est pas du tout dans l'énergie de nous, ni dans mes valeurs, ni dans celle de libre. Donc j'ai décidé d'arrêter de m'occuper des hébergements et de recevoir sur mon lieu. Donc les prochains séminaires auront lieu sur la presqu'île du Cap Ferret, dans notre maison, toute la journée, du matin au soir. Ceux qui veulent resteront dîner s'ils veulent, et simplement la nuit, que chacun choisira là où il et elle veut, selon vos standards, vos budgets, vos goûts, etc. Et cette décision me fait tellement de bien et tellement vibrante. Et cette énergie de ce lieu, de ce temple sur la presqu'île du Cap Ferret est tellement puissante et tellement remplie d'amour, d'unité. C'est déjà extraordinaire. Et ce qui me fait moi beaucoup de bien, c'est que je sais que le lieu va vraiment soutenir le collectif et que ça va m'apporter un soutien que je n'avais pas jusqu'à maintenant, puisque jusqu'à maintenant, c'est moi qui tenais tout le groupe pendant un an. Donc ce cycle 2018-2025, 7 ans. Je n'ai pas compté le nombre de clientes que j'ai eues dans mes différents espaces groupes. Plusieurs groupes, plusieurs tentatives, plusieurs formats. Il y a eu en sept ans un livre, le podcast avec cette troisième saison. Un mariage, plusieurs déménagements, la manifestation de mon lieu, de ce lieu rêvé depuis sept ans. Et l'ouverture à vous messieurs aussi dans ce collectif. Je pense en toute honnêteté... que j'avais besoin de ce mariage, à cet homme dirigeant, à ce leader international aussi, pour passer un autre cap dans mon leadership et pouvoir encore plus tenir votre envergure en tant qu'homme, en tant que masculin. Une chose aussi qui est importante, c'est que LIBRE, au-delà d'un acronyme, est devenu une méthode. J'ai une pédagogie, j'ai une singularité dans mes espaces, dans mes accompagnements, dans les transformations que je facilite. Et donc j'ai enfin posé des mots et un cadre à cette singularité. Et libre, ce sont aussi six piliers. Le L pour le pourquoi incarné, alors vous trouverez tous les détails dans la description de l'épisode. Le I pour l'intégrité énergétique. Le B pour prendre la responsabilité de nos besoins, nos besoins comme boussole. Le R de la réussite régénérative. Le E d'envergure et d'expansion. et le S de sacré et de souveraineté. Allez dans la description de l'épisode pour en savoir plus sur chacun des piliers. Donc Libre 2025-2026, ça va être un groupe seulement de 8 dirigeants, hommes, femmes, des âmes libres, engagées, qui agissent avec foi, qui sont reliées aux vivants ou aux divins, qui sont en quête permanente de vérité, de contribution, de complétude. Libre 2025-2026, à partir de mon envergure, de ma propre envergure, avec la transformation que j'amène, la qualité des espaces que je crée, ma capacité à tenir votre envergure, votre leadership, à vous amener à votre vérité, sans rien vous imposer, sans rien figer. Ma capacité, ou ces espaces que je crée qui vous donnent confiance en vos réelles ambitions, en vos réelles... aspirations. Le collectif tient votre énergie, votre vision, votre ambition, votre envergure. Ce sont aussi des espaces qui permettent d'aller au-delà de la culpabilité. Parce que, en 2025, on est encore dans un monde de souffrance, de pénurie, de précarité. Et c'est d'autant plus difficile d'assumer son envergure, d'assumer notre liberté, notre bonheur, notre engagement. et notre prospérité. Au sein de notre espace, on va au-delà, on dépasse cette culpabilité parce que ce qui est important, c'est l'impact. Ce qui est important, c'est l'œuvre qu'on est là pour bâtir. Ce qui est important, c'est ce qu'on incarne. On est des pionniers, on avance, on crée le nouveau. Et il est tout à fait normal que l'ancien continue d'exister et de coexister en même temps que le nouveau. Le collectif libre n'est ni perché, ni ésotérique, ni illusoire. C'est un espace brut, vrai, profond, conscient, simple. Moi-même, je n'ai pas une posture de supériorité, de toute puissance, ni d'unique sachante. Je suis là pour faciliter chacun des espaces. Votre transformation, évidemment. Je suis gardienne de l'intégrité du groupe, de l'énergie du groupe. Je suis coach quand il y a besoin de l'être aussi. J'anime les échanges, les conversations. Je prends les décisions pour le bien du groupe, du collectif. D'ailleurs, à propos de décision, je me rends compte que je ne vous ai pas raconté toutes les décisions que j'avais dû prendre dans différents groupes, les difficultés qu'on avait vécues aussi au démarrage du groupe de cette année, qui m'a amenée à cette décision d'ailleurs de mettre le séminaire au démarrage du collectif et non 4-5 mois plus tard, parce qu'on a besoin de vivre cet espace dans la matière, de se rencontrer en vrai avant d'être trop en distanciel. Donc on a besoin de créer vraiment ces liens ensemble. de se rencontrer dans notre entièreté. Parce qu'au début du collectif, il y a eu trois départs dans le collectif de cette année pour différentes raisons, plus ou moins justifiées d'ailleurs. Mais voilà, c'est venu beaucoup challenger ma valeur d'engagement, qui pour moi est une valeur phare et une valeur forte au sein du collectif. Quand on s'engage dans un collectif qui dure un an, on va jusqu'au bout en fait et on a foi en le processus, en la personne qu'on a choisie. Ça me permet de marquer encore plus cette valeur-là pour le collectif Lippe 2025-2026. Ce sont des profils expérimentés que j'accueille au sein du collectif, qui ont entre 10 et 20 ans d'expérience entrepreneuriale. Des profils qui sont hommes-femmes, qui ont déjà un leadership. Ce sont des âmes libres et engagées, comme je vous le disais tout à l'heure, et qui ont évidemment une entreprise. Donc j'ai hâte de vivre ce nouveau collectif avec vous. Les pré-inscriptions sont officiellement ouvertes avec cet épisode. Vous avez évidemment le lien en dessous de l'épisode, dans la description de l'épisode. On procède par entretien. C'est important pour moi qu'on se rencontre, qu'on se parle, que je vous connaisse, que je valide le match énergétique entre nous et avec le collectif, que je réponde à toutes vos questions, aussi bien pratico-pratiques que logistiques, émotionnelles, que mentales, que quoi que ce soit d'autre. Nous avons les trois séminaires dans l'année. donc le premier séminaire Ce sera mi-octobre sur la presqu'île du Cap-Ferret. C'est notre deadline pour que la maison soit prête pour vous recevoir. Et après, on aura des appels de suivi en groupe sur Zoom. Ce sont des appels qui sont un peu en format, ce qu'on appelle mastermind, c'est-à-dire que les personnes qui sont là, qui sont présentes, qui ont besoin, qui ont des questionnements, des problématiques, quelles qu'elles soient. Ça peut être business, ça peut être stratégique, ça peut être relationnel, ça peut être émotionnel. On aborde tout, puisque vous êtes là dans votre entièreté. Et au sein du collectif, les compétences, les expertises, les expériences de chacun vont venir vous apporter ce dont vous avez besoin. Donc on est sur un format comme ça, mastermind. Moi, je suis là pour tenir et pour lider les espaces, les appels, animer les espaces, recadrer quand c'est nécessaire, amener aussi ma posture de coach, les transformations et quand c'est nécessaire aussi. Donc la prochaine étape, si vous sentez l'appel, c'est qu'on prenne rendez-vous ensemble. Vous avez toutes les informations dans la description de cet épisode. D'ici notre démarrage en septembre, je vais continuer à m'aligner à mon envergure pour tenir l'énergie de ce nouveau groupe, pour tenir votre envergure, pour tenir l'envergure de vos entreprises aussi. Parce qu'on accueille aussi l'énergie de vos entreprises au sein du collectif. Ça n'est pas juste vous en tant que dirigeants, c'est aussi l'envergure de vos projets, de vos entreprises, quel que soit là où vous en êtes. Certains redémarrent quelque chose, certains veulent poursuivre l'œuvre existante. Peu importe. Ce qui est important pour moi, c'est qu'il y ait de la matière, c'est-à-dire qu'il y ait l'expérience, il y ait déjà la notion de succès et de réussite qui a été remise en doute, remise en question, qui est la relation à l'argent aussi qui a été remise en cause, remise en question. Et donc, il y a de la matière qui est là pour pouvoir créer de nouveau ensemble. Je vous remercie infiniment d'avoir été jusqu'au bout de cet épisode et la suite dans la description. Je vous retrouve très très vite avec Lucie Navarro. qui est membre du collectif de cette année et qui viendra partager à son tour son chemin, son parcours et sa transformation dans sa posture de dirigeante et les effets du collectif libre. À très vite.

Chapters

  • Introduction à la quête de liberté et d'intégrité

    00:01

  • Rétrospective des collectifs et transformations personnelles

    00:30

  • Les défis de la puissance et de la fatigue

    01:44

  • L'importance de tenir l'espace et de soutenir le groupe

    03:30

  • Réflexions sur le cycle 2018-2025 et l'émergence d'un nouveau collectif

    05:13

  • Annonces pour le collectif L.I.B.R.E.S. 2025-2026

    40:09

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Description

Et si derrière chaque méthode, il y avait une traversée silencieuse ?


Dans cet épisode solo, Ombeline Becker nous ouvre les coulisses de L.I.B.R.E.S., sa méthode signature née bien loin des stratégies marketing.

Elle y raconte non pas une construction, mais une réconciliation : entre sa mission d’âme et la structure de son entreprise, entre ses dons et ses peurs, entre ce qu’elle savait porter… et ce qu’elle osait réellement incarner.


Coach depuis 2012, fondatrice de NOŪS, de L.I.B.R.E.S. et du podcast Vérité, Ombeline partage ici l’envers du décor d’une fondatrice qui a tenu des dizaines d’espaces de transformation, tout en affrontant ses propres seuils : épuisement, repli, résistances à l’envergure.


Un récit intime, sans détours, sur ce que signifie accompagner sans se trahir, créer sans s’épuiser, et transmettre sans se réduire.


Un épisode pour celles et ceux qui savent qu’ils ne peuvent plus faire comme avant.


🎧 À écouter si vous êtes à un seuil.

Et que vous cherchez un espace pour rester debout — sans compromis sur votre vérité.



✋ Pour découvrir L.I.B.R.E.S. ou faire partie du prochain collectif dès septembre, c'est ici : https://www.nous.ceo/collectif-entrepreneurs-libres/



🎙️ VÉRITÉ — à la croisée du business, de l’âme et du vivant.

Un podcast d’Ombeline Becker pour les entrepreneur·es qui refusent de choisir entre expansion et intégrité.


Vous avez aimé l'épisode ? Pensez à ajouter 5⭐️ et un avis positif sur ApplePodcast et Spotify pour soutenir le podcast 🙏🏼


📩 Contact & collaborations : contact@nous.ceo


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Vous aspirez à plus, plus de liberté, plus d'espace, plus de fluidité dans votre expansion, plus de prospérité, mais autrement. Ici, on ne cherche pas à faire plus, on cherche à créer mieux, à trouver un mouvement qui nourrit au lieu d'épuiser, un chemin où l'ambition ne s'oppose plus à la conscience. Bienvenue dans un nouvel épisode de Vérité. Ce que vous allez entendre aujourd'hui n'est pas un bilan, ce n'est pas une méthode ni une leçon. C'est une parole vraie posée depuis un seuil que je connais bien. Je suis Ombeline Becker, coach depuis 2012. J'accompagne des entrepreneurs, des dirigeants sensibles, lucides, dans ces passages où l'on ne peut plus avancer sans se réaligner, où l'on sent que ce qu'on porte est juste mais plus soutenable dans ce cadre-là. Libre n'est pas le début de mon chemin, c'est ce que ce chemin a révélé. Pendant sept ans, j'ai été traversée par quelque chose que je ne comprenais pas encore, et au fil du temps j'ai créé et tenu des dizaines d'espaces de transformation, en ligne, en présence, pour celles et ceux qui ne veulent plus choisir entre expansion et intégrité. À partir de 2020, j'ai initié un format plus profond, plus structurant. Trois collectifs annuels, hybrides, entre digital et présentiel, trois traversées intenses, qui ont éprouvé libre et qui m'ont transformée. Mais entre le premier collectif et le deuxième, il y a eu un repli, un refus intérieur de mon envergure. J'ai mis à distance mes dons, mon intuition, parce que c'était trop, trop, trop, trop fort, trop inconfortable à assumer seul. Alors j'ai laissé le temps de faire son œuvre et aujourd'hui je reviens avec une vision plus mature, plus enracinée. Dans cet épisode, je vous partage ce que ces années m'ont appris, ce qui a muté, ce qui a résisté, ce qui s'est révélé dans l'espace et en moi. Je vous parle de fatigue, de puissance, de ces seuils invisibles que l'on ne traverse pas avec une stratégie. mais avec foi, soutien et vérité. Libre n'a jamais été un programme. C'est une méthode vivante, un cadre d'alignement, un espace où l'on arrête de se vendre pour enfin se retrouver. Je ne vous donne pas la méthode ici, mais si vous sentez que vous êtes vous aussi à ce seuil, vous saurez. Bienvenue dans cette rétrospective, et peut-être dans ce qui vient. Chers auditeurs, si vous saviez les résistances, les sabotages, les complications que je vis pour enregistrer cet épisode, donc je sais déjà que ça va être puissant, ok ? Et qu'en fait, pour vous donner le mot de cet épisode, cette vibe du collectif libre et de toute l'énergie dans laquelle je rentre et vous rentrez et nous rentrons actuellement, C'est vraiment cette notion d'envergure. Et donc je sais que toutes les complications que je vis et que je manifeste là pour enregistrer cet épisode viennent me parler de là où je ne suis pas encore prête à oser ma propre envergure. Donc je rentre en enregistrement de cet épisode en toute vérité, en toute vulnérabilité. Mais je sais aussi, je fais confiance au process et je sais aussi que je laisse agir plus grand que moi quand je parle et que ça viendra vous... toucher là où vous en avez besoin. Donc cet épisode, comme je l'avais annoncé à la fin de l'épisode avec Axelle, cet épisode est une rétrospective du collectif libre. Alors pourquoi faire cette rétrospective ? Eh bien parce que en parlant avec les membres du collectif de cette année et certaines personnes avec qui je travaille, les personnes ressources avec qui je travaille, je me suis rendue compte que chaque collectif avait été une œuvre, avait eu sa singularité. que le mot collectif libre est récent puisque je l'exprime de cette façon-là depuis seulement 2024, mais que c'est loin d'être le premier collectif, c'est loin d'être le premier espace que je crée et que j'ai une vraie singularité dans ces espaces que je crée. Chaque membre me dit chaque année que j'ai cette capacité à tenir le groupe, à tenir l'espace et à tenir aussi leur individualité. Alors même si certaines... ont la possibilité de choisir aussi d'avoir, en plus du collectif, un accompagnement en coaching privé. Mais même celles qui ne choisissent pas le coaching privé ont cette impression que je les soutiens personnellement aussi. Et donc, ces derniers mois, à plusieurs reprises, j'ai eu l'opportunité de me rappeler d'où venait ce collectif et à quel point le parcours avait été riche, à quel point j'avais pris des risques, j'avais fait des erreurs, j'avais douté, j'avais perdu mes moyens, j'avais eu... peur aussi de ma puissance, de mes dons, notamment énergétiques, voire ésotériques. Et toute cette réconciliation que j'ai dû moi-même vivre pour arriver à préparer la vibration du collectif Libre 2025-2026 qui va encore être d'un autre niveau de ce qui a été vécu jusqu'à présent. Je ne connais pas encore les membres de ce nouveau collectif au moment où j'enregistre cet épisode, et je sais que cet épisode est un passage, une ouverture de l'énergie, du vortex, de l'espace de ce collectif Libre 2025-2026. Je me suis demandé quand ça avait commencé. C'est la date 2018 qui m'est apparue. Et ce n'est pas anodin, puisque 2018-2025, c'est un cycle de 7 ans. Alors pourquoi 2018 ? Pour différents points. Premièrement, parce qu'en 2018, je vis pour la première fois l'expérience et la conscientisation de ma capacité à tenir l'espace, à tenir l'énergie d'un groupe. Deuxième raison pour laquelle c'est 2018 qui pour moi est le début du collectif, c'est aussi parce que c'est notre première séparation avec Clément qui est aujourd'hui mon mari. si vous me suivez déjà vous savez qu'on a été Après cela, séparée vraiment pendant trois ans, que ça a été une période où j'ai été maman solo, ça a été... Et 2018, c'est aussi l'année où je décide de m'écouter vraiment, de me poser vraiment la question de où je veux vivre et ne plus répondre aux contraintes d'une famille recomposée, aux contraintes professionnelles de mon conjoint, etc. Mais si je m'écoute vraiment moi, je veux aller vivre sur la presqu'île du Cap-Ferret. Je ne sais pas pourquoi, mais il n'y a que ce lieu-là qui m'appelle. Et donc, je pars vivre là-bas. Je décide d'y passer un hiver. Entre-temps, on se remet ensemble avec Clément. Et je décide d'aller passer un hiver là-bas pour expérimenter le lieu l'hiver et avec l'intention de m'y installer à l'année. À cette époque, Clément travaillait encore en Suisse. Donc voilà, une organisation personnelle pas si simple, mais tout est fluide. Et c'est une période très prospère, très faste pour mon activité. C'est à ce moment-là aussi... Donc quand je suis au Cap Ferret, que je crée, alors à cette époque c'était une SASU, c'est une période où j'étais en transition aussi entre la Suisse et la France. Donc je reviens en France et donc c'est à ce moment-là que je décide de créer une société. NUS, telle que vous la connaissez aujourd'hui, finalement administrativement est créée fin 2018 alors que je suis au Cap Ferret. Et c'est un cycle qui démarre, qui est assez fort à ce moment-là. Et pour revenir à cette expérience de prendre conscience de ma capacité à tenir l'espace d'un groupe et l'énergie d'un groupe, c'est parce qu'à cette époque, Laurent Marchand, qui est un coach, qui est un mentor, qui a créé le scan thérapeutique, me demande de l'aider avec la première cohorte de sa formation de scan thérapeutique. Il me demande en fait d'être facilitatrice et donc d'être présente pendant tous les week-ends de formation. On est deux à prendre ce rôle-là et je me retrouve à Lyon. avec un groupe de 40 personnes aux côtés de Laurent et de Kate qui étaient aussi facilitatrices avec moi. Et je me dis, mais qu'est-ce que je fais là ? Et honnêtement, je ne sais pas pourquoi je suis là. Je ne suis pas formée moi-même au scan thérapeutique puisque c'est la première cohorte, donc la première vraie formation. Je n'ai pas vocation à me former au scan thérapeutique. Je comprends pendant ces quatre mois que mon rôle est de tenir l'énergie. Je me surprends moi-même à certains moments à me lever à me mettre debout dans une position d'ancrage avec les bras écartés et je sens que mes mains tiennent quelque chose. Et c'est comme s'il y avait une espèce de sphère, de bulle qui contenait le groupe et moi je suis de l'autre côté de cette bulle et je tiens, c'est comme si c'était moi qui tenais cette bulle. Je ne comprends pas ce que c'est, ce que ça veut dire, ce qui se passe, etc. Mais je sais que c'est indispensable. Et puis, j'expérimente ça à chaque week-end, et même ça prend de l'ampleur. Je commence même à faire des gestes, etc. Je sens qu'en fait, je nettoie quelque chose, je fluidifie, je facilite, mais sans avoir besoin de parler. Et puis, il y a aussi différents échanges que j'ai avec les participants, puisque je suis là aussi pour répondre à leurs questions, pour... les aider à dépasser leur résistance, parce qu'évidemment, quand on développe des nouvelles compétences, on a forcément des résistances dans le processus de changement. Et je me rends compte aussi que dans ces conversations one-to-one que je peux avoir avec certains ou certaines, il se passe aussi des choses, des transmutations, des nettoyages, des libérations, sans que je ne force quoi que ce soit. Vraiment, cette expérience, et je remercie d'ailleurs, je profite pour remercier Laurent, je ne sais pas s'il l'écoutera cet épisode, mais je profite pour le remercier encore de m'avoir donné cette opportunité. Parce que lui non plus ne savait pas pourquoi il me proposait ça. Mais voilà, ça a été extrêmement puissant pour moi de me rendre compte de ces capacités, de ces dons que j'avais. Et donc de tenir l'énergie du groupe, de tenir l'espace, de créer des transmutations et des transformations de par ma présence et de par des simples conversations en one-to-one. Au fur et à mesure qu'on avançait dans la formation, je me rends compte que mon rôle est aussi de tenir l'énergie et la montée en puissance de Laurent. qui lui, évidemment à chaque week-end, il montait aussi en puissance, dans sa posture, dans ce qu'il était capable de transmettre, d'enseigner, voire même de canaliser. Et donc je suis là aussi pour tenir cette montée en fréquence, cette montée vibratoire. Donc ça c'est 2018. Les années passent, je fais avance rapide jusqu'en 2020, où nous sommes au premier confinement du Covid, et je ressens très fort cette insécurité, cette incertitude évidemment, et surtout ce paradigme de... peur et de pénurie dans laquelle on nous met et on nous enferme. Et donc dans ma communauté d'entrepreneurs, je fais une petite parenthèse pour expliquer que j'ai démarré en fait ma pratique de coaching en 2012. Je me suis formée en 2011-2012. Après j'ai évidemment suivi d'autres formations dans différents domaines pour compléter. Mais ma pratique de coaching commence en 2012. Et à ce moment-là, le coaching n'était pas ce qu'il est aujourd'hui. J'ai une pratique seulement individuelle. J'ai aussi bien des hommes que des femmes. j'ai beaucoup de personnes en transition professionnelle surtout ma place est plutôt en entreprise et puis après j'ai basculé vers le milieu plutôt du coaching de vie puisque je prends le positionnement d'accompagner et de soutenir les personnes en famille recomposée jusqu'à ce qu'en fait je me rende compte qu'il y avait une incohérence totale entre ma communication auprès de cette cible là et ma pratique de coaching puisqu'en fait je n'abordais pas du tout ces sujets là dans ma pratique de coaching mais donc c'est à cette époque Merci. que finalement, peu à peu, ma pratique change et je me rends compte que les clients qui viennent à moi naturellement sont des entrepreneurs ou des entrepreneurs en devenir. Ce sont les entrepreneurs qui m'ont élu coach pour entrepreneur. Ce n'est pas moi qui un jour ai décidé je vais accompagner les entrepreneurs. Et c'est important que je vous le précise parce que ça fait partie un peu de mes points faibles dans l'évolution du collectif libre qui fait que j'ai mis du temps, j'ai mis plusieurs années à prendre confiance Malgré la puissance des retours que je peux avoir, j'ai mis du temps à me sentir légitime d'accompagner des entrepreneurs et d'autant plus des entrepreneurs expérimentés, avancés et avec des entreprises déjà bien implantées. Quand on parle de coach, on parle aussi souvent de mentor business. Et qui dit mentor dit avoir l'expérience nécessaire pour transmettre à son tour. Et moi, en fait, je ne suis pas une mentor business. Je ne suis pas une mentor d'entrepreneur. Toujours a été difficile pour moi d'assumer ma place, d'assumer mes dons et mes compétences pour les entrepreneurs et les dirigeants, ne me qualifiant moi-même pas comme une entrepreneur accomplie avec une entreprise établie, installée, une équipe, un gros chiffre d'affaires, etc. Et donc ça m'a fait du bien de me rappeler que c'était les entrepreneurs qui m'avaient choisi et que ce n'était pas moi qui m'étais décrété coach pour entrepreneur. Donc effectivement, en 2020, je décide d'offrir à ma communauté constituée d'entrepreneurs surtout de femmes entrepreneurs sensibles, je décide de lancer un défi gratuit. Et donc, je crée un groupe Facebook pour sept jours. Et pendant sept jours, une fois par jour, je viens faire une transmission pour transformer leur relation à l'argent. Et ce défi financier est un véritable succès. Les résultats sont incroyables. Les retours que j'ai sont juste dingues. Et donc, à l'issue de ces sept jours, forcément, on n'a pas envie d'en rester là. Je crée mon premier groupe en ligne, mon premier coaching de groupe qui s'appelle à l'époque le Programme Puissance. Le Programme Puissance, on est en 2020, au printemps 2020, et c'est donc ma première expérience de coaching de groupe digital. Et je prends aussi conscience à ce moment-là, effectivement, que dans ma pratique de coaching, depuis mes débuts, il y a beaucoup de points communs entre les personnes que j'accompagne, aussi bien hommes que femmes. Ces points communs sont vraiment cette sensibilité, ce besoin de profondeur. ce besoin de conscience. Ces personnes vivent vraiment des dissonances envers la société, envers la norme. Ils et elles ont des difficultés à trouver leur place. Ce ne sont pas forcément des marginaux. Pour la plupart, ce sont des personnes qui ont un gros bagage professionnel, qui ont fait des études, qui ont une légitimité, une personnalité forte, une intelligence reconnue, qui ne sont pas en marge de la société. Il y a des ingénieurs, des managers. des enseignants, des cadres de grandes entreprises. Ce sont vraiment des profils plutôt Bac plus 5, niveau social CSP+. Mais avec ce point commun de ne pas trouver sa place ou alors de devoir s'éloigner de leur vérité pour s'intégrer. Et ça crée un malaise, ça crée un épuisement, ça crée un vide, ça crée une insatisfaction. Toutes ces personnes sont un peu des vieilles âmes, mais qui ont perdu leur intégrité, qui ont dû sacrifier leur intégrité. Et dans cette expérience de 2020 du programme Puissance, mon premier coaching de groupe en ligne, c'est la première fois que je l'ai réuni. Qu'elle me dise, on a l'impression de retrouver une famille d'âmes. Qu'il y a quelque chose aussi de spirituel qui est là, qui est évident, sans avoir besoin de le nommer, sans avoir besoin d'aller dans quelque chose de perché ou d'ésotérique. Il y a une présence qui est là, qui est évidente et qui se reconnaît. Ce coaching de groupe est un succès, mais ça dure trois mois. Et c'est trop court, ça me semble restreint. Et en fait, il ne s'agit pas uniquement de puissance ni d'empowerment, ça va bien au-delà de ça. Et c'est de là que je crée Créateur du Changement. J'ai même déposé la marque Créateur du Changement à l'époque, où je crée en fait ma première pédagogie autour de ces termes Créateur du Changement, mais qui est à ce moment-là, pareil, un accompagnement individuel. Et puis en parallèle, je me rends compte qui dit Créateur du Changement dit avoir besoin de se réunir. Et donc en parallèle du coaching privé, je propose un groupe. Donc Créateur du Changement devient pour la première fois un format hybride avec le coaching privé, individuel, le groupe et le séminaire. Mais on est encore dans les années Covid puisqu'on est fin 2020 et donc notre séminaire n'aura lieu qu'en mai 2021. Ce premier collectif en fait est un succès aussi mais un peu à tâtonnement. Ce qui vient compléter cette première expérience aussi bien pour moi que pour le groupe, c'est vraiment le séminaire. Ce séminaire devient ... un séminaire de clôture, un séminaire de célébration. Et c'est ce séminaire qui crée un véritable avant-après pour Créateurs du Changement. Dans ce séminaire, je vis une autre initiation, puisque nous sommes à La Source, qui est le lieu d'une des membres du groupe Créateurs du Changement à ce moment-là. Sandrine et Nick, d'ailleurs, sont mariés, qui nous accueillent, qui nous fait tous les repas végétariens, et que j'embrasse. Je les embrasse tous les deux s'ils écoutent cet épisode. Donc Sandrine et Nick sont les premiers à recevoir un de mes séminaires. C'est la première fois que je crée mon propre séminaire avec mon propre groupe. Et là, je vis une expérience aussi assez transcendante pour moi. Je choisis de faire confiance, de m'ouvrir à ce qui est présent. C'est aussi ma façon de fonctionner. Je ne crée pas de cadre rigide pour mes séminaires. Je ne crée pas de programme figé. Je crée avec le vivant dans l'instant présent. Donc, dans tous mes séminaires, même aujourd'hui, il y a une intention. Mais je ne connais pas le comment on va y aller. le comment se crée au fur et à mesure. C'est pas si simple pour moi ni pour les participants, mais en fait, c'est extrêmement puissant. C'est aussi ce qui permet d'allier aussi bien le collectif, la transformation collective que la transformation individuelle, parce que j'ai aussi cette capacité aussi bien de tenir le groupe, le collectif, la transformation du groupe, que d'aller dans la transformation individuelle. Et là, c'est ce qui se passe dans ce premier séminaire que je vis à la Source en 2021. Je suis en fait complètement dépassée par ce qui se passe et j'ai peur. J'ai peur de ce qui se passe parce qu'en fait, j'ai une très forte activation de mes dons spirituels, énergétiques. Je ne pourrais pas vous raconter ce qui se passe parce que ça vous paraîtrait trop perché peut-être. Et voilà, je pense que c'est une expérience qui ne se raconte pas, mais qui se vit. Mais moi, j'ai peur. J'ai peur de perdre le contrôle. J'ai peur de faire du mal au groupe ou de faire de l'ingérence ou d'aller au-delà de mes... propres compétences. Je sens que quelque chose me dépasse. Et donc, pendant ce séminaire, je me laisse traverser par ce qui est là. Elles ont toutes vécu un avant-après. Elles ont toutes vécu une transformation puissante, même des profondes guérisons. J'ai aussi expérimenté ma capacité à tenir des trans, des guérisons, des transformations profondes. Mais c'est allé trop loin pour moi. Et j'ai eu peur. et j'ai dit je veux trouver une façon d'avoir le même impact, de faire vivre les mêmes transformations, mais sans aller aussi loin dans la spiritualité. Et c'est un petit peu ce qui s'est passé au fur et à mesure les années suivantes. Déjà j'ai vécu aussi un deuxième séminaire un mois après, où là c'était très court, c'était seulement sur deux nuits sur place, un peu moins de 48 heures, on était en Normandie. J'étais avec trois femmes entrepreneurs seulement, avec lesquelles je n'avais jamais travaillé avant, donc je ne les connaissais pas, et c'était un format ponctuel. Et en fait, pendant ce séminaire-là, j'ai de nouveau vécu une connexion à mes dons spirituels de façon très puissante. Il s'est passé des choses très fortes et pareil, j'ai senti des énergies très fortes qui étaient là. Je n'ai pas voulu aller là. Je n'ai pas voulu aller là. Je n'ai pas voulu aller dans cette spiritualité-là. Les mois qui ont suivi, les années qui ont suivi, j'ai refermé cette porte. Donc, créateur du changement, les groupes d'après, j'ai décidé qu'il n'y avait plus de séminaire. Le format n'était plus sur un an, mais sur six mois. et donc je reviens à quelque chose de moins profond, de moins puissant spirituellement. Je mets de côté mes dons énergétiques et ésotériques. Sauf que tout ça me rattrape, forcément, puisque ça fait partie de moi. Tout ça me rattrape en 2022. J'ai déjà parlé de ce point de bascule de 2022 dans le podcast puisque c'est l'année où je retrouve... Clément, après trois ans de séparation, c'est une année de guérison profonde pour moi. C'est une année de véritable réconciliation de mon féminin et de mon masculin. Je vis aussi un amour avec une femme avant de retrouver Clément. Et c'est l'année où se révèle mon livre, Leadership Spirituel, et c'est l'année où je fais aussi la rencontre avec un personnage qui va m'accompagner pendant deux ans. C'est aussi la période qui va donner naissance au podcast Vérité. Personnellement, dans ma propre transformation, je reconnecte à mes dons spirituels et ésotériques. Et de nouveau, je me confronte aux ombres, à la lumière noire, là où je n'avais pas voulu aller. Je me réconcilie avec ça, j'apprends aussi à maîtriser mes dons. Et je trouve cet équilibre dans ma pratique. Et peu à peu, je réintègre mes dons énergétiques dans ma pratique de coaching. Alors d'abord dans ma pratique de coaching privée. Certains clients que j'ai en présentiel, les rituels que je fais pour moi ou les processus de libération ou de protection que je fais pour moi, je commence à les faire pour certains clients, notamment des clients qui ont baigné dans certains réseaux, dans certains milieux, qui ont touché à une forme de spiritualité, qui en sont sortis et qui sentent qu'ils ont des formes d'attaque ou qu'il se passe des choses sur le plan énergétique, il y a des choses qui ne leur appartiennent pas. Puis au fur et à mesure, je me rends compte de l'impact de mes dons, l'impact sur mes clients. Ça les ramène à une intégrité au niveau énergétique et spirituel qui est tellement puissante dans leur leadership et dans leur posture. Et donc, au fur et à mesure, je m'ouvre à la possibilité d'utiliser aussi ça avec les groupes. Je me réconcilie avec ma capacité à tenir l'énergie d'un groupe. Et je me redonne cette autorisation de prendre soin de l'énergie du groupe. de créer mes propres façons de nettoyer l'énergie du groupe, de préserver l'intégrité du groupe. Ce qui est drôle, c'est qu'entre-temps, alors que j'enregistrais, j'ai dû mettre sur pause parce que j'ai été interrompue par une livraison. Et figurez-vous qu'il n'y a pas de hasard. Cette livraison, ce sont les 100 premiers exemplaires du stock que je reprends de mon éditeur pour le livre Leadership Spirituel. Si vous avez suivi la campagne Ulule, et d'ailleurs, vous pouvez y aller si vous ne l'avez pas encore vue si vous voulez... continuer vos contributions parce que c'est encore possible et les contreparties ont toutes été mises à jour récemment. Allez-y, allez-y, allez-y. Je suis ravie de recevoir ces 100 exemplaires alors que j'enregistre ce podcast. Je referme la parenthèse. Pour reprendre un petit peu ce récit, voilà un petit peu les détours que j'ai vécus jusqu'à reprendre pleinement ma légitimité en tant que leader de groupe, mais pas seulement leader de groupe dans le sens j'anime des groupes, mais avec un leadership au niveau subtile au niveau énergétique, un leadership d'espace énergétique et vibratoire. Et je pense que c'est ça qui change tout dans les expériences et les espaces que je crée et c'est ça qui change tout dans le collectif libre. Je vous raconte tout ça, pas pour vous perdre, mais simplement pour vous dire à quel point il y a eu des allers-retours, il y a eu des doutes, il y a eu des peurs, il y a eu des tests. des expériences diverses, des formats divers. Et finalement, ça fait trois ans d'affilée que j'accompagne un collectif pendant un an avec ce format d'un an. Ces deux dernières années, j'ai gardé le même format. Je suis revenue au format sur un an parce que le format un an avec un début, une fin, en système de cohorte et ce qu'il y a de plus puissant, ça me permet de recruter les profils, de choisir les complémentarités. en termes de personnalité, en termes de secteur d'activité, en termes de compétences, d'expertise, etc. Donc ça me permet de créer la richesse aussi du collectif. Le format un an permet aussi d'allier aussi bien du digital que du présentiel et je suis convaincue que c'est indispensable d'allier les deux. Le format d'un an permet... Alors c'est pas tout à fait un an, à vrai dire, c'est de septembre à juillet. Et en fait, ce format sur 11 mois permet d'accueillir plusieurs cycles. Plusieurs cycles intérieurs. Parce que c'est vrai que quand on vit un séminaire ponctuel, c'est un boost d'énergie, mais après tout retombe. Pareil quand on fait un programme ou quand on fait un coaching individuel, c'est toujours très porteur, soudain on est content, etc. Mais il manque un contenant, il manque un soutien durable. Et surtout, on a toujours l'impression qu'une partie de nous reste en dehors de la formation, du programme, du séminaire. ou du réseau, du groupe, ou je ne sais quoi, ou même des mastermind d'entrepreneurs. Mais ce format d'un an, en tout cas, permet vraiment d'avoir le temps de vivre plusieurs cycles intérieurs, de se révéler dans son entièreté. C'est vraiment un espace de soutien de votre entièreté. Alors oui, on vient parce qu'on a une casquette entrepreneuriale, on a une casquette de dirigeant, on cherche une nouvelle posture au sein de notre entreprise, dans notre leadership, auprès de nos communautés, on veut incarner peut-être un autre message, etc. Mais surtout, on a besoin d'aller trouver, d'aller créer ce prochain niveau à partir d'une juste posture intérieure. on a besoin. de rebâtir et de remettre à jour cette posture à partir d'une vérité intérieure et de notre propre vérité. Pas quelque chose qui nous est imposé, pas quelque chose de figé, mais vraiment ce qui est déjà là en soi. C'est un petit peu comme les poupées russes, je facilite ça, je facilite que ce qui est déjà en vous se révèle et puisse émerger, que vous soyez suffisamment en sécurité, suffisamment soutenu, suffisamment entouré. Alors, ce n'est pas du tout maternant ce que je vous dis. Mais c'est un espace dans lequel vous allez vous sentir accueilli et que ça dure un an, ça va vous permettre de dépasser chacun des blocages, chacune des résistances et d'oser vous montrer de plus en plus dans votre authenticité et dans votre entièreté. Et ça, c'est très puissant parce que quand vous êtes soutenu dans votre vérité, c'est là que vous déployez votre envergure, c'est là que vous bâtissez votre œuvre, c'est là que vous déployez votre expansion. Parce que vous prenez toutes vos décisions à partir. de cet espace intérieur. Et en fait, ce qui s'est passé, c'est pourquoi il y a eu autant d'allers-retours ces sept années. C'est parce qu'en fait, j'ai dilué ma propre envergure, ma propre singularité et la singularité des espaces que je crée. Alors, je vous ai expliqué certaines raisons. Il y a aussi eu, évidemment, la période de Covid. J'ai eu des contraintes personnelles. J'ai déménagé plusieurs fois en sept ans. J'ai eu ces années de maman solo. J'ai vécu aussi six mois avec l'instruction en famille pour mon fils. Et puis, cette histoire de lieu aussi. parce que je n'ai jamais fait deux séminaires au même endroit. Les lieux ont toujours été différents. Les lieux ont toujours été parfaits pour le séminaire pour lequel on venait, mais je n'ai jamais eu envie d'y revenir. C'est aussi une des spécificités du collectif libre, c'est un collectif vivant. Mon rôle, c'est d'en être la gardienne et de créer une structure pour permettre justement à ce vivant de continuer à se déployer à l'intérieur. Ce qui a dilué mon envergure, c'est aussi ces histoires de lancement sur le web. Parce qu'au départ, je suivais un peu les stratégies de tout le monde pour remplir mes programmes. Il y a sept ans, il suffisait d'un webinaire pour remplir un programme. Aujourd'hui, ça ne suffit plus. Il faut offrir trois, quatre, cinq jours gratuits. Et ça demande des gros investissements en temps, en argent, en process, etc. C'était un épuisement pour moi systématiquement et vraiment pas un plaisir. Donc il y avait pas mal de prises de tête aussi en termes de lancement. J'ai aussi fait des erreurs de recrutement, de personnes freelance, de personnes pour mon équipe. J'ai parfois trop délégué mon pouvoir. Ça faisait partie de mes sabotages. Je suis aussi restée un peu trop solopreneur, j'étais un peu trop artisane. J'avais beaucoup de résistance à élever mon leadership, à élever ma propre posture. J'ai vécu aussi beaucoup de changements personnels, puisqu'il y a eu ces retrouvailles avec Clément en 2022, qui forcément a chamboulé beaucoup de choses dans ma vie. Un nouveau déménagement, réapprendre à vivre ensemble, notre mariage, voilà. Il y a eu évidemment le livre. Vous connaissez un petit peu l'histoire du livre. Et pour en savoir un peu plus, participez à la campagne Ulule s'il est encore temps, parce que... Je vous préparerai un audio exclusif aussi pour vous raconter les coulisses du livre et de la campagne Ulule. Bref, je me suis éparpillée. Et en vérité, ces 7 ans, ce cycle de 7 ans, ça m'a permis de bâtir le socle de ma propre envergure. J'ai cru devoir aller dans l'excès pour justifier, pour convaincre, pour valoriser ce que je propose. Alors que libre, c'est notamment la valeur de simplicité. C'est le retour à la vérité, à l'essentiel. donc ça crée forcément ça crée Dans le subtil, ça crée des incohérences qui bloquent le processus d'évolution et d'expansion. Et puis, comme je vous le disais aussi tout à l'heure, je n'osais pas encore m'adresser à mon vrai persona. Je croyais aussi que mon vrai persona, on va dire mon vrai client idéal pour ce collectif libre. Et puis, toutes les pièces du puzzle se sont rassemblées, là, ces deux derniers mois, par trois événements. Le premier, c'est ce qui s'est passé pour le livre. En gros, quand mon éditeur m'annonce, il y a quelques mois, qu'ils vont solder mon livre Leadership Spirituel, alors que c'est eux qui sont venus me chercher il y a deux ans. pour écrire un livre. C'est eux qui ont choisi le titre du livre. Enfin, voilà. Donc, ils ont pris des décisions un petit peu à ma place que j'ai laissé faire aussi parce que j'avais confiance dans leur expertise, etc. Mais donc, quand l'éditeur me dit « En fait, on a décidé de solder ton livre. » En gros, ça veut dire quoi ? Ça veut dire qu'on ne va pas le réimprimer. Ça veut dire qu'il n'a pas rencontré son public, que les volumes de vente sont insuffisants et qu'en gros, le stock restant, on va l'envoyer chez des grossistes. Donc, il va sortir du circuit traditionnel. Ça, c'est un gros coup de massue pour moi parce que je ne m'y attendais pas du tout. Je n'avais aucune visibilité sur les ventes du livre. Ça fait quasiment un an, là, il a été diffusé fin août 2024, ça fait quasiment un an. Je n'avais aucune idée de ce que les ventes du livre donnaient, donc je ne savais pas. Ce que je voyais, c'est que j'ai eu un seul retour presse, j'ai eu quelques interviews sur des chaînes YouTube. Mais rien de plus que ça. Donc je me rendais bien compte qu'il y avait un blocage sur ce livre et que ce n'était pas normal parce que les retours de lecteurs que j'ai sont très forts, sont précieux, sont vraiment valides pleinement. L'utilité et les bienfaits de ce livre. Donc c'est un vrai coup de massue. Quelques semaines après, j'anime le dernier séminaire du Collectif Actuel sur un nouveau lieu que je ne connais pas. Et là, honnêtement, c'est un peu la douche froide aussi parce que le lieu me déçoit. Parce que le lieu n'est pas ce que je pensais. Parce que le niveau de standard, qui était quand même un niveau de standard minimum, mais ça n'est pas ce que j'attendais. Pour moi, les lieux ne doivent être ni perchés, ni trop business, ni luxe, ni camping. Ce n'est pas si facile de trouver un juste milieu de tout ça. Et donc là, je pensais que j'avais trouvé un écolieu en plus. Il y avait très peu de chambres individuelles et des espaces plus collectifs où elles pouvaient être deux par chambre. Je pensais que c'était vraiment le bon lieu. J'avais même prévu que le prochain séminaire du futur collectif se passe là-bas. Et en fait, ça n'a pas convenu. Et on s'est même posé la question, est-ce qu'on reste là ? Je ne voulais pas qu'elles se sentent enfermées. Donc, je leur ai même dit, si ça ne convient pas, on s'en va. Ça a été tout un processus initiatique aussi, parce que je me suis rendu compte qu'en fait, ce séminaire avait été une véritable leçon de leadership. J'ai tenu l'espace, j'ai tenu l'envergure, j'ai tenu la leurre, j'ai tenu la mienne. en acceptant pleinement l'instant présent, les déceptions, les émotions que ça pouvait générer. Et en même temps, je les ai ramenées à leur propre responsabilité. Quelque part, ça les a forcées à revenir dans leur leadership aussi. Sauf qu'il y a une des deux nuits du séminaire où moi, je me suis effondrée. Je me suis effondrée parce que c'était un peu le contre-coup de la décision de l'éditeur. J'avais reçu la veille, juste au moment de me coucher, j'avais aperçu dans mes mails la lettre officielle de mise en solde de leadership spirituel. Et je me suis effondrée dans la nuit. À 4h42 du matin, je me suis réveillée en pleurs. Et j'ai fait un message à mon amie Isabelle Colkins, que j'embrasse aussi, qui est la personne que j'ai choisie pour m'aider à écrire et à bâtir ma conférence signature. Je lui fais ce message à 4h42 du matin parce que c'était la seule qui, à ce moment-là, serait en mesure de tenir cet espace avec moi. Parce que le titre de ma conférence à ce jour, c'est vraiment « Oser son envergure » . J'explique à Isabelle dans mon message en pleurs que ce que je suis en train de vivre, que je suis en plein breakdown et que j'ai l'impression d'être complètement prise dans cette dualité entre excellence et me sentir minable. Et ça a été un processus d'alchimisation pendant cette nuit parce que le lendemain, je me suis présentée dans une autre posture, un autre leadership où j'étais pleinement dans ma vérité, dans ma vulnérabilité. Mais c'était OK pour moi et c'est aussi ça le collectif, c'est-à-dire que je m'autorise moi à être dans ma vérité et je partage aussi ce que je vis pendant cette année du collectif. Je n'ai pas une posture hors sol, je n'ai pas une posture de supériorité ou quoi que ce soit, je vis le collectif avec le groupe. Je partage aussi certaines étapes de mes expériences, de ma propre transformation, de mes décisions entrepreneuriales aussi. Et donc j'arrive le matin dans cet état de vulnérabilité. Et là, il se passe aussi un moment très puissant, puisque je leur avais proposé, pour celles qui voulaient, de nous faire un pitch pour nous présenter leur entreprise telle qu'elle était devenue à la fin de ce collectif. Ce n'est pas un pitch à la BNI, c'est vraiment plus une présentation et pour certaines, ça devient une performance artistique. Elles sont libres de parler de qui elles sont devenues et de leur vision et de leur projet comme elles veulent. Il n'y a pas besoin de présentation PowerPoint. Et en fait, c'est des exercices qui sont très puissants parce qu'elles incarnent entièrement leur message et leur vision. Les retours du groupe sont des feedbacks précieux aussi parce que c'est à ce moment-là qu'elles comprennent ou qu'ils comprennent que la transformation est intégrée et que la vision est manifestée. Bref, je referme la parenthèse. Donc, l'une d'entre elles, Gaëlle, que j'embrasse aussi très fort, nous fait une performance artistique. Et j'ai une émotion qui me monte, qui est énorme, au moment où elle dit « en fait, j'ai passé 20 ans à créer rien » . Et d'un coup, tout prend son sens pour moi, parce que ce rien, c'est un peu ce que je vous disais au début, c'est cette capacité que j'ai à tenir l'énergie, à tenir l'espace, à tenir votre envergure. C'est rien dans le sens où c'est invisible. Et dans notre société, ça n'a pas de valeur. Ce qui est invisible n'a pas de valeur. Et je comprends, à ce moment-là, je comprends tellement. la puissance de ce que j'offre, la puissance de ce collectif, et pourquoi c'est si difficile de le valoriser stratégiquement, marketingement parlant, etc. Parce qu'en fait, notre société ne valorise pas ce qui est invisible, alors que ce qui est invisible fait 90% de qui nous sommes. Ce jour-là, ce deuxième jour du séminaire libre, j'ai pris plusieurs décisions. J'ai pris la décision de racheter l'intégralité du stock de mon livre. Dans les jours qui ont suivi, j'ai pris la décision de lancer une campagne Ulule pour le faire, parce que je me disais, c'est bien beau de racheter 660 livres, mais qu'est-ce que je vais en faire après ? Et je me rends compte, en fait, peu à peu, de l'opportunité extraordinaire qui m'est offerte, de reprendre mon leadership, de reprendre mon pouvoir, de reprendre ce qui m'appartient, de reprendre mon œuvre, et de créer aussi un mouvement grâce à cette décision de l'éditeur. depuis la campagne Ulule a atteint son premier palier, ce qui fait qu'elle a été validée et qu'elle est financée par Ulule et par tous les contributeurs. Il y a eu plus de 100, je crois qu'on est à 114 contributions, c'est énorme, c'est immense. Je crée la suite à partir de ça et avec vous. La deuxième décision que j'ai prise dans ce séminaire, c'est d'ouvrir le collectif aux hommes. C'est devenu vraiment évident pendant ces deux jours avec elles et elles ont toutes senti la même chose que moi. Je sens aujourd'hui que les hommes sont prêts à porter le monde. Alors peut-être pas tous, toutes les femmes ne le font pas non plus. Je n'ai pas un discours genré, mais de plus en plus d'hommes sensibles, conscients, sont prêts à assumer leur envergure. Et cette envergure, elle passe aussi par cette capacité à porter le monde. Voilà, et c'est pour ça que les portes s'ouvrent dans le collectif. À vous, messieurs. J'en suis très heureuse et j'ai hâte. de vivre ce prochain collectif avec un groupe mixte. La troisième décision, ça a été d'arrêter de chercher des lieux et de recevoir sur mon lieu. Quelque chose d'extraordinaire qui se manifeste aussi là, ces deux derniers mois. Je l'avais évoqué dans l'épisode avec Yumna. J'avais dit à Yumna qu'aujourd'hui, le vivant, le divin, avait besoin de beaucoup plus que notre propre présence. Notre propre présence ne suffit plus pour tenir l'envergure. de nos clients, des personnes pour lesquelles on est qualifié. On a besoin des lieux. On a besoin de revenir à des temples. Yuna partageait en fait dans l'épisode qu'elle avait son temple et qu'elle avait son lieu, qu'elle habitait sur son lieu et qu'elle allait pour la première fois à la fin de l'année accueillir ses premiers groupes, donc sur son lieu. Et moi je lui avais dit, j'ai pas encore moi manifesté mon temple. Et depuis cet épisode, eh bien... Ce temple s'est manifesté, ce temple est en train de se manifester, puisqu'on est entre deux signatures au moment où j'enregistre cet épisode. Donc voilà, je tiens cette vision, cette prière que j'ai au plus profond de moi depuis 2018. D'où encore une raison, vous voyez, de ce cycle depuis 2018. Je vous ai parlé du Cap Ferret dans cette année 2018, qui était ma terre. Et en fait, c'est ça, c'est que ma terre se manifeste de nouveau, avec la manifestation de ce lieu. Mais pour la manifestation de ce lieu, il a fallu une transformation immense et surtout une réconciliation intérieure. Et dans mes polarités masculines, féminines, et cette réconciliation avec Clément, mon mari, puisqu'évidemment c'est un temple qu'on porte à deux aujourd'hui et qu'on manifeste ensemble pour nous, pour notre famille. Et j'ai donc décidé d'arrêter de chercher des lieux et surtout d'arrêter de m'occuper de l'hébergement. parce que c'est beaucoup de complexité administrative puisque en tant que société qui vend des services d'accompagnement, de coaching, je n'ai pas le droit de vendre des prestations d'hébergement. Donc administrativement, c'est un vrai casse-tête. C'est des frais de débours que j'avance. Bref, c'est compliqué. Et ça n'est pas du tout dans l'énergie de nous, ni dans mes valeurs, ni dans celle de libre. Donc j'ai décidé d'arrêter de m'occuper des hébergements et de recevoir sur mon lieu. Donc les prochains séminaires auront lieu sur la presqu'île du Cap Ferret, dans notre maison, toute la journée, du matin au soir. Ceux qui veulent resteront dîner s'ils veulent, et simplement la nuit, que chacun choisira là où il et elle veut, selon vos standards, vos budgets, vos goûts, etc. Et cette décision me fait tellement de bien et tellement vibrante. Et cette énergie de ce lieu, de ce temple sur la presqu'île du Cap Ferret est tellement puissante et tellement remplie d'amour, d'unité. C'est déjà extraordinaire. Et ce qui me fait moi beaucoup de bien, c'est que je sais que le lieu va vraiment soutenir le collectif et que ça va m'apporter un soutien que je n'avais pas jusqu'à maintenant, puisque jusqu'à maintenant, c'est moi qui tenais tout le groupe pendant un an. Donc ce cycle 2018-2025, 7 ans. Je n'ai pas compté le nombre de clientes que j'ai eues dans mes différents espaces groupes. Plusieurs groupes, plusieurs tentatives, plusieurs formats. Il y a eu en sept ans un livre, le podcast avec cette troisième saison. Un mariage, plusieurs déménagements, la manifestation de mon lieu, de ce lieu rêvé depuis sept ans. Et l'ouverture à vous messieurs aussi dans ce collectif. Je pense en toute honnêteté... que j'avais besoin de ce mariage, à cet homme dirigeant, à ce leader international aussi, pour passer un autre cap dans mon leadership et pouvoir encore plus tenir votre envergure en tant qu'homme, en tant que masculin. Une chose aussi qui est importante, c'est que LIBRE, au-delà d'un acronyme, est devenu une méthode. J'ai une pédagogie, j'ai une singularité dans mes espaces, dans mes accompagnements, dans les transformations que je facilite. Et donc j'ai enfin posé des mots et un cadre à cette singularité. Et libre, ce sont aussi six piliers. Le L pour le pourquoi incarné, alors vous trouverez tous les détails dans la description de l'épisode. Le I pour l'intégrité énergétique. Le B pour prendre la responsabilité de nos besoins, nos besoins comme boussole. Le R de la réussite régénérative. Le E d'envergure et d'expansion. et le S de sacré et de souveraineté. Allez dans la description de l'épisode pour en savoir plus sur chacun des piliers. Donc Libre 2025-2026, ça va être un groupe seulement de 8 dirigeants, hommes, femmes, des âmes libres, engagées, qui agissent avec foi, qui sont reliées aux vivants ou aux divins, qui sont en quête permanente de vérité, de contribution, de complétude. Libre 2025-2026, à partir de mon envergure, de ma propre envergure, avec la transformation que j'amène, la qualité des espaces que je crée, ma capacité à tenir votre envergure, votre leadership, à vous amener à votre vérité, sans rien vous imposer, sans rien figer. Ma capacité, ou ces espaces que je crée qui vous donnent confiance en vos réelles ambitions, en vos réelles... aspirations. Le collectif tient votre énergie, votre vision, votre ambition, votre envergure. Ce sont aussi des espaces qui permettent d'aller au-delà de la culpabilité. Parce que, en 2025, on est encore dans un monde de souffrance, de pénurie, de précarité. Et c'est d'autant plus difficile d'assumer son envergure, d'assumer notre liberté, notre bonheur, notre engagement. et notre prospérité. Au sein de notre espace, on va au-delà, on dépasse cette culpabilité parce que ce qui est important, c'est l'impact. Ce qui est important, c'est l'œuvre qu'on est là pour bâtir. Ce qui est important, c'est ce qu'on incarne. On est des pionniers, on avance, on crée le nouveau. Et il est tout à fait normal que l'ancien continue d'exister et de coexister en même temps que le nouveau. Le collectif libre n'est ni perché, ni ésotérique, ni illusoire. C'est un espace brut, vrai, profond, conscient, simple. Moi-même, je n'ai pas une posture de supériorité, de toute puissance, ni d'unique sachante. Je suis là pour faciliter chacun des espaces. Votre transformation, évidemment. Je suis gardienne de l'intégrité du groupe, de l'énergie du groupe. Je suis coach quand il y a besoin de l'être aussi. J'anime les échanges, les conversations. Je prends les décisions pour le bien du groupe, du collectif. D'ailleurs, à propos de décision, je me rends compte que je ne vous ai pas raconté toutes les décisions que j'avais dû prendre dans différents groupes, les difficultés qu'on avait vécues aussi au démarrage du groupe de cette année, qui m'a amenée à cette décision d'ailleurs de mettre le séminaire au démarrage du collectif et non 4-5 mois plus tard, parce qu'on a besoin de vivre cet espace dans la matière, de se rencontrer en vrai avant d'être trop en distanciel. Donc on a besoin de créer vraiment ces liens ensemble. de se rencontrer dans notre entièreté. Parce qu'au début du collectif, il y a eu trois départs dans le collectif de cette année pour différentes raisons, plus ou moins justifiées d'ailleurs. Mais voilà, c'est venu beaucoup challenger ma valeur d'engagement, qui pour moi est une valeur phare et une valeur forte au sein du collectif. Quand on s'engage dans un collectif qui dure un an, on va jusqu'au bout en fait et on a foi en le processus, en la personne qu'on a choisie. Ça me permet de marquer encore plus cette valeur-là pour le collectif Lippe 2025-2026. Ce sont des profils expérimentés que j'accueille au sein du collectif, qui ont entre 10 et 20 ans d'expérience entrepreneuriale. Des profils qui sont hommes-femmes, qui ont déjà un leadership. Ce sont des âmes libres et engagées, comme je vous le disais tout à l'heure, et qui ont évidemment une entreprise. Donc j'ai hâte de vivre ce nouveau collectif avec vous. Les pré-inscriptions sont officiellement ouvertes avec cet épisode. Vous avez évidemment le lien en dessous de l'épisode, dans la description de l'épisode. On procède par entretien. C'est important pour moi qu'on se rencontre, qu'on se parle, que je vous connaisse, que je valide le match énergétique entre nous et avec le collectif, que je réponde à toutes vos questions, aussi bien pratico-pratiques que logistiques, émotionnelles, que mentales, que quoi que ce soit d'autre. Nous avons les trois séminaires dans l'année. donc le premier séminaire Ce sera mi-octobre sur la presqu'île du Cap-Ferret. C'est notre deadline pour que la maison soit prête pour vous recevoir. Et après, on aura des appels de suivi en groupe sur Zoom. Ce sont des appels qui sont un peu en format, ce qu'on appelle mastermind, c'est-à-dire que les personnes qui sont là, qui sont présentes, qui ont besoin, qui ont des questionnements, des problématiques, quelles qu'elles soient. Ça peut être business, ça peut être stratégique, ça peut être relationnel, ça peut être émotionnel. On aborde tout, puisque vous êtes là dans votre entièreté. Et au sein du collectif, les compétences, les expertises, les expériences de chacun vont venir vous apporter ce dont vous avez besoin. Donc on est sur un format comme ça, mastermind. Moi, je suis là pour tenir et pour lider les espaces, les appels, animer les espaces, recadrer quand c'est nécessaire, amener aussi ma posture de coach, les transformations et quand c'est nécessaire aussi. Donc la prochaine étape, si vous sentez l'appel, c'est qu'on prenne rendez-vous ensemble. Vous avez toutes les informations dans la description de cet épisode. D'ici notre démarrage en septembre, je vais continuer à m'aligner à mon envergure pour tenir l'énergie de ce nouveau groupe, pour tenir votre envergure, pour tenir l'envergure de vos entreprises aussi. Parce qu'on accueille aussi l'énergie de vos entreprises au sein du collectif. Ça n'est pas juste vous en tant que dirigeants, c'est aussi l'envergure de vos projets, de vos entreprises, quel que soit là où vous en êtes. Certains redémarrent quelque chose, certains veulent poursuivre l'œuvre existante. Peu importe. Ce qui est important pour moi, c'est qu'il y ait de la matière, c'est-à-dire qu'il y ait l'expérience, il y ait déjà la notion de succès et de réussite qui a été remise en doute, remise en question, qui est la relation à l'argent aussi qui a été remise en cause, remise en question. Et donc, il y a de la matière qui est là pour pouvoir créer de nouveau ensemble. Je vous remercie infiniment d'avoir été jusqu'au bout de cet épisode et la suite dans la description. Je vous retrouve très très vite avec Lucie Navarro. qui est membre du collectif de cette année et qui viendra partager à son tour son chemin, son parcours et sa transformation dans sa posture de dirigeante et les effets du collectif libre. À très vite.

Chapters

  • Introduction à la quête de liberté et d'intégrité

    00:01

  • Rétrospective des collectifs et transformations personnelles

    00:30

  • Les défis de la puissance et de la fatigue

    01:44

  • L'importance de tenir l'espace et de soutenir le groupe

    03:30

  • Réflexions sur le cycle 2018-2025 et l'émergence d'un nouveau collectif

    05:13

  • Annonces pour le collectif L.I.B.R.E.S. 2025-2026

    40:09

Description

Et si derrière chaque méthode, il y avait une traversée silencieuse ?


Dans cet épisode solo, Ombeline Becker nous ouvre les coulisses de L.I.B.R.E.S., sa méthode signature née bien loin des stratégies marketing.

Elle y raconte non pas une construction, mais une réconciliation : entre sa mission d’âme et la structure de son entreprise, entre ses dons et ses peurs, entre ce qu’elle savait porter… et ce qu’elle osait réellement incarner.


Coach depuis 2012, fondatrice de NOŪS, de L.I.B.R.E.S. et du podcast Vérité, Ombeline partage ici l’envers du décor d’une fondatrice qui a tenu des dizaines d’espaces de transformation, tout en affrontant ses propres seuils : épuisement, repli, résistances à l’envergure.


Un récit intime, sans détours, sur ce que signifie accompagner sans se trahir, créer sans s’épuiser, et transmettre sans se réduire.


Un épisode pour celles et ceux qui savent qu’ils ne peuvent plus faire comme avant.


🎧 À écouter si vous êtes à un seuil.

Et que vous cherchez un espace pour rester debout — sans compromis sur votre vérité.



✋ Pour découvrir L.I.B.R.E.S. ou faire partie du prochain collectif dès septembre, c'est ici : https://www.nous.ceo/collectif-entrepreneurs-libres/



🎙️ VÉRITÉ — à la croisée du business, de l’âme et du vivant.

Un podcast d’Ombeline Becker pour les entrepreneur·es qui refusent de choisir entre expansion et intégrité.


Vous avez aimé l'épisode ? Pensez à ajouter 5⭐️ et un avis positif sur ApplePodcast et Spotify pour soutenir le podcast 🙏🏼


📩 Contact & collaborations : contact@nous.ceo


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Vous aspirez à plus, plus de liberté, plus d'espace, plus de fluidité dans votre expansion, plus de prospérité, mais autrement. Ici, on ne cherche pas à faire plus, on cherche à créer mieux, à trouver un mouvement qui nourrit au lieu d'épuiser, un chemin où l'ambition ne s'oppose plus à la conscience. Bienvenue dans un nouvel épisode de Vérité. Ce que vous allez entendre aujourd'hui n'est pas un bilan, ce n'est pas une méthode ni une leçon. C'est une parole vraie posée depuis un seuil que je connais bien. Je suis Ombeline Becker, coach depuis 2012. J'accompagne des entrepreneurs, des dirigeants sensibles, lucides, dans ces passages où l'on ne peut plus avancer sans se réaligner, où l'on sent que ce qu'on porte est juste mais plus soutenable dans ce cadre-là. Libre n'est pas le début de mon chemin, c'est ce que ce chemin a révélé. Pendant sept ans, j'ai été traversée par quelque chose que je ne comprenais pas encore, et au fil du temps j'ai créé et tenu des dizaines d'espaces de transformation, en ligne, en présence, pour celles et ceux qui ne veulent plus choisir entre expansion et intégrité. À partir de 2020, j'ai initié un format plus profond, plus structurant. Trois collectifs annuels, hybrides, entre digital et présentiel, trois traversées intenses, qui ont éprouvé libre et qui m'ont transformée. Mais entre le premier collectif et le deuxième, il y a eu un repli, un refus intérieur de mon envergure. J'ai mis à distance mes dons, mon intuition, parce que c'était trop, trop, trop, trop fort, trop inconfortable à assumer seul. Alors j'ai laissé le temps de faire son œuvre et aujourd'hui je reviens avec une vision plus mature, plus enracinée. Dans cet épisode, je vous partage ce que ces années m'ont appris, ce qui a muté, ce qui a résisté, ce qui s'est révélé dans l'espace et en moi. Je vous parle de fatigue, de puissance, de ces seuils invisibles que l'on ne traverse pas avec une stratégie. mais avec foi, soutien et vérité. Libre n'a jamais été un programme. C'est une méthode vivante, un cadre d'alignement, un espace où l'on arrête de se vendre pour enfin se retrouver. Je ne vous donne pas la méthode ici, mais si vous sentez que vous êtes vous aussi à ce seuil, vous saurez. Bienvenue dans cette rétrospective, et peut-être dans ce qui vient. Chers auditeurs, si vous saviez les résistances, les sabotages, les complications que je vis pour enregistrer cet épisode, donc je sais déjà que ça va être puissant, ok ? Et qu'en fait, pour vous donner le mot de cet épisode, cette vibe du collectif libre et de toute l'énergie dans laquelle je rentre et vous rentrez et nous rentrons actuellement, C'est vraiment cette notion d'envergure. Et donc je sais que toutes les complications que je vis et que je manifeste là pour enregistrer cet épisode viennent me parler de là où je ne suis pas encore prête à oser ma propre envergure. Donc je rentre en enregistrement de cet épisode en toute vérité, en toute vulnérabilité. Mais je sais aussi, je fais confiance au process et je sais aussi que je laisse agir plus grand que moi quand je parle et que ça viendra vous... toucher là où vous en avez besoin. Donc cet épisode, comme je l'avais annoncé à la fin de l'épisode avec Axelle, cet épisode est une rétrospective du collectif libre. Alors pourquoi faire cette rétrospective ? Eh bien parce que en parlant avec les membres du collectif de cette année et certaines personnes avec qui je travaille, les personnes ressources avec qui je travaille, je me suis rendue compte que chaque collectif avait été une œuvre, avait eu sa singularité. que le mot collectif libre est récent puisque je l'exprime de cette façon-là depuis seulement 2024, mais que c'est loin d'être le premier collectif, c'est loin d'être le premier espace que je crée et que j'ai une vraie singularité dans ces espaces que je crée. Chaque membre me dit chaque année que j'ai cette capacité à tenir le groupe, à tenir l'espace et à tenir aussi leur individualité. Alors même si certaines... ont la possibilité de choisir aussi d'avoir, en plus du collectif, un accompagnement en coaching privé. Mais même celles qui ne choisissent pas le coaching privé ont cette impression que je les soutiens personnellement aussi. Et donc, ces derniers mois, à plusieurs reprises, j'ai eu l'opportunité de me rappeler d'où venait ce collectif et à quel point le parcours avait été riche, à quel point j'avais pris des risques, j'avais fait des erreurs, j'avais douté, j'avais perdu mes moyens, j'avais eu... peur aussi de ma puissance, de mes dons, notamment énergétiques, voire ésotériques. Et toute cette réconciliation que j'ai dû moi-même vivre pour arriver à préparer la vibration du collectif Libre 2025-2026 qui va encore être d'un autre niveau de ce qui a été vécu jusqu'à présent. Je ne connais pas encore les membres de ce nouveau collectif au moment où j'enregistre cet épisode, et je sais que cet épisode est un passage, une ouverture de l'énergie, du vortex, de l'espace de ce collectif Libre 2025-2026. Je me suis demandé quand ça avait commencé. C'est la date 2018 qui m'est apparue. Et ce n'est pas anodin, puisque 2018-2025, c'est un cycle de 7 ans. Alors pourquoi 2018 ? Pour différents points. Premièrement, parce qu'en 2018, je vis pour la première fois l'expérience et la conscientisation de ma capacité à tenir l'espace, à tenir l'énergie d'un groupe. Deuxième raison pour laquelle c'est 2018 qui pour moi est le début du collectif, c'est aussi parce que c'est notre première séparation avec Clément qui est aujourd'hui mon mari. si vous me suivez déjà vous savez qu'on a été Après cela, séparée vraiment pendant trois ans, que ça a été une période où j'ai été maman solo, ça a été... Et 2018, c'est aussi l'année où je décide de m'écouter vraiment, de me poser vraiment la question de où je veux vivre et ne plus répondre aux contraintes d'une famille recomposée, aux contraintes professionnelles de mon conjoint, etc. Mais si je m'écoute vraiment moi, je veux aller vivre sur la presqu'île du Cap-Ferret. Je ne sais pas pourquoi, mais il n'y a que ce lieu-là qui m'appelle. Et donc, je pars vivre là-bas. Je décide d'y passer un hiver. Entre-temps, on se remet ensemble avec Clément. Et je décide d'aller passer un hiver là-bas pour expérimenter le lieu l'hiver et avec l'intention de m'y installer à l'année. À cette époque, Clément travaillait encore en Suisse. Donc voilà, une organisation personnelle pas si simple, mais tout est fluide. Et c'est une période très prospère, très faste pour mon activité. C'est à ce moment-là aussi... Donc quand je suis au Cap Ferret, que je crée, alors à cette époque c'était une SASU, c'est une période où j'étais en transition aussi entre la Suisse et la France. Donc je reviens en France et donc c'est à ce moment-là que je décide de créer une société. NUS, telle que vous la connaissez aujourd'hui, finalement administrativement est créée fin 2018 alors que je suis au Cap Ferret. Et c'est un cycle qui démarre, qui est assez fort à ce moment-là. Et pour revenir à cette expérience de prendre conscience de ma capacité à tenir l'espace d'un groupe et l'énergie d'un groupe, c'est parce qu'à cette époque, Laurent Marchand, qui est un coach, qui est un mentor, qui a créé le scan thérapeutique, me demande de l'aider avec la première cohorte de sa formation de scan thérapeutique. Il me demande en fait d'être facilitatrice et donc d'être présente pendant tous les week-ends de formation. On est deux à prendre ce rôle-là et je me retrouve à Lyon. avec un groupe de 40 personnes aux côtés de Laurent et de Kate qui étaient aussi facilitatrices avec moi. Et je me dis, mais qu'est-ce que je fais là ? Et honnêtement, je ne sais pas pourquoi je suis là. Je ne suis pas formée moi-même au scan thérapeutique puisque c'est la première cohorte, donc la première vraie formation. Je n'ai pas vocation à me former au scan thérapeutique. Je comprends pendant ces quatre mois que mon rôle est de tenir l'énergie. Je me surprends moi-même à certains moments à me lever à me mettre debout dans une position d'ancrage avec les bras écartés et je sens que mes mains tiennent quelque chose. Et c'est comme s'il y avait une espèce de sphère, de bulle qui contenait le groupe et moi je suis de l'autre côté de cette bulle et je tiens, c'est comme si c'était moi qui tenais cette bulle. Je ne comprends pas ce que c'est, ce que ça veut dire, ce qui se passe, etc. Mais je sais que c'est indispensable. Et puis, j'expérimente ça à chaque week-end, et même ça prend de l'ampleur. Je commence même à faire des gestes, etc. Je sens qu'en fait, je nettoie quelque chose, je fluidifie, je facilite, mais sans avoir besoin de parler. Et puis, il y a aussi différents échanges que j'ai avec les participants, puisque je suis là aussi pour répondre à leurs questions, pour... les aider à dépasser leur résistance, parce qu'évidemment, quand on développe des nouvelles compétences, on a forcément des résistances dans le processus de changement. Et je me rends compte aussi que dans ces conversations one-to-one que je peux avoir avec certains ou certaines, il se passe aussi des choses, des transmutations, des nettoyages, des libérations, sans que je ne force quoi que ce soit. Vraiment, cette expérience, et je remercie d'ailleurs, je profite pour remercier Laurent, je ne sais pas s'il l'écoutera cet épisode, mais je profite pour le remercier encore de m'avoir donné cette opportunité. Parce que lui non plus ne savait pas pourquoi il me proposait ça. Mais voilà, ça a été extrêmement puissant pour moi de me rendre compte de ces capacités, de ces dons que j'avais. Et donc de tenir l'énergie du groupe, de tenir l'espace, de créer des transmutations et des transformations de par ma présence et de par des simples conversations en one-to-one. Au fur et à mesure qu'on avançait dans la formation, je me rends compte que mon rôle est aussi de tenir l'énergie et la montée en puissance de Laurent. qui lui, évidemment à chaque week-end, il montait aussi en puissance, dans sa posture, dans ce qu'il était capable de transmettre, d'enseigner, voire même de canaliser. Et donc je suis là aussi pour tenir cette montée en fréquence, cette montée vibratoire. Donc ça c'est 2018. Les années passent, je fais avance rapide jusqu'en 2020, où nous sommes au premier confinement du Covid, et je ressens très fort cette insécurité, cette incertitude évidemment, et surtout ce paradigme de... peur et de pénurie dans laquelle on nous met et on nous enferme. Et donc dans ma communauté d'entrepreneurs, je fais une petite parenthèse pour expliquer que j'ai démarré en fait ma pratique de coaching en 2012. Je me suis formée en 2011-2012. Après j'ai évidemment suivi d'autres formations dans différents domaines pour compléter. Mais ma pratique de coaching commence en 2012. Et à ce moment-là, le coaching n'était pas ce qu'il est aujourd'hui. J'ai une pratique seulement individuelle. J'ai aussi bien des hommes que des femmes. j'ai beaucoup de personnes en transition professionnelle surtout ma place est plutôt en entreprise et puis après j'ai basculé vers le milieu plutôt du coaching de vie puisque je prends le positionnement d'accompagner et de soutenir les personnes en famille recomposée jusqu'à ce qu'en fait je me rende compte qu'il y avait une incohérence totale entre ma communication auprès de cette cible là et ma pratique de coaching puisqu'en fait je n'abordais pas du tout ces sujets là dans ma pratique de coaching mais donc c'est à cette époque Merci. que finalement, peu à peu, ma pratique change et je me rends compte que les clients qui viennent à moi naturellement sont des entrepreneurs ou des entrepreneurs en devenir. Ce sont les entrepreneurs qui m'ont élu coach pour entrepreneur. Ce n'est pas moi qui un jour ai décidé je vais accompagner les entrepreneurs. Et c'est important que je vous le précise parce que ça fait partie un peu de mes points faibles dans l'évolution du collectif libre qui fait que j'ai mis du temps, j'ai mis plusieurs années à prendre confiance Malgré la puissance des retours que je peux avoir, j'ai mis du temps à me sentir légitime d'accompagner des entrepreneurs et d'autant plus des entrepreneurs expérimentés, avancés et avec des entreprises déjà bien implantées. Quand on parle de coach, on parle aussi souvent de mentor business. Et qui dit mentor dit avoir l'expérience nécessaire pour transmettre à son tour. Et moi, en fait, je ne suis pas une mentor business. Je ne suis pas une mentor d'entrepreneur. Toujours a été difficile pour moi d'assumer ma place, d'assumer mes dons et mes compétences pour les entrepreneurs et les dirigeants, ne me qualifiant moi-même pas comme une entrepreneur accomplie avec une entreprise établie, installée, une équipe, un gros chiffre d'affaires, etc. Et donc ça m'a fait du bien de me rappeler que c'était les entrepreneurs qui m'avaient choisi et que ce n'était pas moi qui m'étais décrété coach pour entrepreneur. Donc effectivement, en 2020, je décide d'offrir à ma communauté constituée d'entrepreneurs surtout de femmes entrepreneurs sensibles, je décide de lancer un défi gratuit. Et donc, je crée un groupe Facebook pour sept jours. Et pendant sept jours, une fois par jour, je viens faire une transmission pour transformer leur relation à l'argent. Et ce défi financier est un véritable succès. Les résultats sont incroyables. Les retours que j'ai sont juste dingues. Et donc, à l'issue de ces sept jours, forcément, on n'a pas envie d'en rester là. Je crée mon premier groupe en ligne, mon premier coaching de groupe qui s'appelle à l'époque le Programme Puissance. Le Programme Puissance, on est en 2020, au printemps 2020, et c'est donc ma première expérience de coaching de groupe digital. Et je prends aussi conscience à ce moment-là, effectivement, que dans ma pratique de coaching, depuis mes débuts, il y a beaucoup de points communs entre les personnes que j'accompagne, aussi bien hommes que femmes. Ces points communs sont vraiment cette sensibilité, ce besoin de profondeur. ce besoin de conscience. Ces personnes vivent vraiment des dissonances envers la société, envers la norme. Ils et elles ont des difficultés à trouver leur place. Ce ne sont pas forcément des marginaux. Pour la plupart, ce sont des personnes qui ont un gros bagage professionnel, qui ont fait des études, qui ont une légitimité, une personnalité forte, une intelligence reconnue, qui ne sont pas en marge de la société. Il y a des ingénieurs, des managers. des enseignants, des cadres de grandes entreprises. Ce sont vraiment des profils plutôt Bac plus 5, niveau social CSP+. Mais avec ce point commun de ne pas trouver sa place ou alors de devoir s'éloigner de leur vérité pour s'intégrer. Et ça crée un malaise, ça crée un épuisement, ça crée un vide, ça crée une insatisfaction. Toutes ces personnes sont un peu des vieilles âmes, mais qui ont perdu leur intégrité, qui ont dû sacrifier leur intégrité. Et dans cette expérience de 2020 du programme Puissance, mon premier coaching de groupe en ligne, c'est la première fois que je l'ai réuni. Qu'elle me dise, on a l'impression de retrouver une famille d'âmes. Qu'il y a quelque chose aussi de spirituel qui est là, qui est évident, sans avoir besoin de le nommer, sans avoir besoin d'aller dans quelque chose de perché ou d'ésotérique. Il y a une présence qui est là, qui est évidente et qui se reconnaît. Ce coaching de groupe est un succès, mais ça dure trois mois. Et c'est trop court, ça me semble restreint. Et en fait, il ne s'agit pas uniquement de puissance ni d'empowerment, ça va bien au-delà de ça. Et c'est de là que je crée Créateur du Changement. J'ai même déposé la marque Créateur du Changement à l'époque, où je crée en fait ma première pédagogie autour de ces termes Créateur du Changement, mais qui est à ce moment-là, pareil, un accompagnement individuel. Et puis en parallèle, je me rends compte qui dit Créateur du Changement dit avoir besoin de se réunir. Et donc en parallèle du coaching privé, je propose un groupe. Donc Créateur du Changement devient pour la première fois un format hybride avec le coaching privé, individuel, le groupe et le séminaire. Mais on est encore dans les années Covid puisqu'on est fin 2020 et donc notre séminaire n'aura lieu qu'en mai 2021. Ce premier collectif en fait est un succès aussi mais un peu à tâtonnement. Ce qui vient compléter cette première expérience aussi bien pour moi que pour le groupe, c'est vraiment le séminaire. Ce séminaire devient ... un séminaire de clôture, un séminaire de célébration. Et c'est ce séminaire qui crée un véritable avant-après pour Créateurs du Changement. Dans ce séminaire, je vis une autre initiation, puisque nous sommes à La Source, qui est le lieu d'une des membres du groupe Créateurs du Changement à ce moment-là. Sandrine et Nick, d'ailleurs, sont mariés, qui nous accueillent, qui nous fait tous les repas végétariens, et que j'embrasse. Je les embrasse tous les deux s'ils écoutent cet épisode. Donc Sandrine et Nick sont les premiers à recevoir un de mes séminaires. C'est la première fois que je crée mon propre séminaire avec mon propre groupe. Et là, je vis une expérience aussi assez transcendante pour moi. Je choisis de faire confiance, de m'ouvrir à ce qui est présent. C'est aussi ma façon de fonctionner. Je ne crée pas de cadre rigide pour mes séminaires. Je ne crée pas de programme figé. Je crée avec le vivant dans l'instant présent. Donc, dans tous mes séminaires, même aujourd'hui, il y a une intention. Mais je ne connais pas le comment on va y aller. le comment se crée au fur et à mesure. C'est pas si simple pour moi ni pour les participants, mais en fait, c'est extrêmement puissant. C'est aussi ce qui permet d'allier aussi bien le collectif, la transformation collective que la transformation individuelle, parce que j'ai aussi cette capacité aussi bien de tenir le groupe, le collectif, la transformation du groupe, que d'aller dans la transformation individuelle. Et là, c'est ce qui se passe dans ce premier séminaire que je vis à la Source en 2021. Je suis en fait complètement dépassée par ce qui se passe et j'ai peur. J'ai peur de ce qui se passe parce qu'en fait, j'ai une très forte activation de mes dons spirituels, énergétiques. Je ne pourrais pas vous raconter ce qui se passe parce que ça vous paraîtrait trop perché peut-être. Et voilà, je pense que c'est une expérience qui ne se raconte pas, mais qui se vit. Mais moi, j'ai peur. J'ai peur de perdre le contrôle. J'ai peur de faire du mal au groupe ou de faire de l'ingérence ou d'aller au-delà de mes... propres compétences. Je sens que quelque chose me dépasse. Et donc, pendant ce séminaire, je me laisse traverser par ce qui est là. Elles ont toutes vécu un avant-après. Elles ont toutes vécu une transformation puissante, même des profondes guérisons. J'ai aussi expérimenté ma capacité à tenir des trans, des guérisons, des transformations profondes. Mais c'est allé trop loin pour moi. Et j'ai eu peur. et j'ai dit je veux trouver une façon d'avoir le même impact, de faire vivre les mêmes transformations, mais sans aller aussi loin dans la spiritualité. Et c'est un petit peu ce qui s'est passé au fur et à mesure les années suivantes. Déjà j'ai vécu aussi un deuxième séminaire un mois après, où là c'était très court, c'était seulement sur deux nuits sur place, un peu moins de 48 heures, on était en Normandie. J'étais avec trois femmes entrepreneurs seulement, avec lesquelles je n'avais jamais travaillé avant, donc je ne les connaissais pas, et c'était un format ponctuel. Et en fait, pendant ce séminaire-là, j'ai de nouveau vécu une connexion à mes dons spirituels de façon très puissante. Il s'est passé des choses très fortes et pareil, j'ai senti des énergies très fortes qui étaient là. Je n'ai pas voulu aller là. Je n'ai pas voulu aller là. Je n'ai pas voulu aller dans cette spiritualité-là. Les mois qui ont suivi, les années qui ont suivi, j'ai refermé cette porte. Donc, créateur du changement, les groupes d'après, j'ai décidé qu'il n'y avait plus de séminaire. Le format n'était plus sur un an, mais sur six mois. et donc je reviens à quelque chose de moins profond, de moins puissant spirituellement. Je mets de côté mes dons énergétiques et ésotériques. Sauf que tout ça me rattrape, forcément, puisque ça fait partie de moi. Tout ça me rattrape en 2022. J'ai déjà parlé de ce point de bascule de 2022 dans le podcast puisque c'est l'année où je retrouve... Clément, après trois ans de séparation, c'est une année de guérison profonde pour moi. C'est une année de véritable réconciliation de mon féminin et de mon masculin. Je vis aussi un amour avec une femme avant de retrouver Clément. Et c'est l'année où se révèle mon livre, Leadership Spirituel, et c'est l'année où je fais aussi la rencontre avec un personnage qui va m'accompagner pendant deux ans. C'est aussi la période qui va donner naissance au podcast Vérité. Personnellement, dans ma propre transformation, je reconnecte à mes dons spirituels et ésotériques. Et de nouveau, je me confronte aux ombres, à la lumière noire, là où je n'avais pas voulu aller. Je me réconcilie avec ça, j'apprends aussi à maîtriser mes dons. Et je trouve cet équilibre dans ma pratique. Et peu à peu, je réintègre mes dons énergétiques dans ma pratique de coaching. Alors d'abord dans ma pratique de coaching privée. Certains clients que j'ai en présentiel, les rituels que je fais pour moi ou les processus de libération ou de protection que je fais pour moi, je commence à les faire pour certains clients, notamment des clients qui ont baigné dans certains réseaux, dans certains milieux, qui ont touché à une forme de spiritualité, qui en sont sortis et qui sentent qu'ils ont des formes d'attaque ou qu'il se passe des choses sur le plan énergétique, il y a des choses qui ne leur appartiennent pas. Puis au fur et à mesure, je me rends compte de l'impact de mes dons, l'impact sur mes clients. Ça les ramène à une intégrité au niveau énergétique et spirituel qui est tellement puissante dans leur leadership et dans leur posture. Et donc, au fur et à mesure, je m'ouvre à la possibilité d'utiliser aussi ça avec les groupes. Je me réconcilie avec ma capacité à tenir l'énergie d'un groupe. Et je me redonne cette autorisation de prendre soin de l'énergie du groupe. de créer mes propres façons de nettoyer l'énergie du groupe, de préserver l'intégrité du groupe. Ce qui est drôle, c'est qu'entre-temps, alors que j'enregistrais, j'ai dû mettre sur pause parce que j'ai été interrompue par une livraison. Et figurez-vous qu'il n'y a pas de hasard. Cette livraison, ce sont les 100 premiers exemplaires du stock que je reprends de mon éditeur pour le livre Leadership Spirituel. Si vous avez suivi la campagne Ulule, et d'ailleurs, vous pouvez y aller si vous ne l'avez pas encore vue si vous voulez... continuer vos contributions parce que c'est encore possible et les contreparties ont toutes été mises à jour récemment. Allez-y, allez-y, allez-y. Je suis ravie de recevoir ces 100 exemplaires alors que j'enregistre ce podcast. Je referme la parenthèse. Pour reprendre un petit peu ce récit, voilà un petit peu les détours que j'ai vécus jusqu'à reprendre pleinement ma légitimité en tant que leader de groupe, mais pas seulement leader de groupe dans le sens j'anime des groupes, mais avec un leadership au niveau subtile au niveau énergétique, un leadership d'espace énergétique et vibratoire. Et je pense que c'est ça qui change tout dans les expériences et les espaces que je crée et c'est ça qui change tout dans le collectif libre. Je vous raconte tout ça, pas pour vous perdre, mais simplement pour vous dire à quel point il y a eu des allers-retours, il y a eu des doutes, il y a eu des peurs, il y a eu des tests. des expériences diverses, des formats divers. Et finalement, ça fait trois ans d'affilée que j'accompagne un collectif pendant un an avec ce format d'un an. Ces deux dernières années, j'ai gardé le même format. Je suis revenue au format sur un an parce que le format un an avec un début, une fin, en système de cohorte et ce qu'il y a de plus puissant, ça me permet de recruter les profils, de choisir les complémentarités. en termes de personnalité, en termes de secteur d'activité, en termes de compétences, d'expertise, etc. Donc ça me permet de créer la richesse aussi du collectif. Le format un an permet aussi d'allier aussi bien du digital que du présentiel et je suis convaincue que c'est indispensable d'allier les deux. Le format d'un an permet... Alors c'est pas tout à fait un an, à vrai dire, c'est de septembre à juillet. Et en fait, ce format sur 11 mois permet d'accueillir plusieurs cycles. Plusieurs cycles intérieurs. Parce que c'est vrai que quand on vit un séminaire ponctuel, c'est un boost d'énergie, mais après tout retombe. Pareil quand on fait un programme ou quand on fait un coaching individuel, c'est toujours très porteur, soudain on est content, etc. Mais il manque un contenant, il manque un soutien durable. Et surtout, on a toujours l'impression qu'une partie de nous reste en dehors de la formation, du programme, du séminaire. ou du réseau, du groupe, ou je ne sais quoi, ou même des mastermind d'entrepreneurs. Mais ce format d'un an, en tout cas, permet vraiment d'avoir le temps de vivre plusieurs cycles intérieurs, de se révéler dans son entièreté. C'est vraiment un espace de soutien de votre entièreté. Alors oui, on vient parce qu'on a une casquette entrepreneuriale, on a une casquette de dirigeant, on cherche une nouvelle posture au sein de notre entreprise, dans notre leadership, auprès de nos communautés, on veut incarner peut-être un autre message, etc. Mais surtout, on a besoin d'aller trouver, d'aller créer ce prochain niveau à partir d'une juste posture intérieure. on a besoin. de rebâtir et de remettre à jour cette posture à partir d'une vérité intérieure et de notre propre vérité. Pas quelque chose qui nous est imposé, pas quelque chose de figé, mais vraiment ce qui est déjà là en soi. C'est un petit peu comme les poupées russes, je facilite ça, je facilite que ce qui est déjà en vous se révèle et puisse émerger, que vous soyez suffisamment en sécurité, suffisamment soutenu, suffisamment entouré. Alors, ce n'est pas du tout maternant ce que je vous dis. Mais c'est un espace dans lequel vous allez vous sentir accueilli et que ça dure un an, ça va vous permettre de dépasser chacun des blocages, chacune des résistances et d'oser vous montrer de plus en plus dans votre authenticité et dans votre entièreté. Et ça, c'est très puissant parce que quand vous êtes soutenu dans votre vérité, c'est là que vous déployez votre envergure, c'est là que vous bâtissez votre œuvre, c'est là que vous déployez votre expansion. Parce que vous prenez toutes vos décisions à partir. de cet espace intérieur. Et en fait, ce qui s'est passé, c'est pourquoi il y a eu autant d'allers-retours ces sept années. C'est parce qu'en fait, j'ai dilué ma propre envergure, ma propre singularité et la singularité des espaces que je crée. Alors, je vous ai expliqué certaines raisons. Il y a aussi eu, évidemment, la période de Covid. J'ai eu des contraintes personnelles. J'ai déménagé plusieurs fois en sept ans. J'ai eu ces années de maman solo. J'ai vécu aussi six mois avec l'instruction en famille pour mon fils. Et puis, cette histoire de lieu aussi. parce que je n'ai jamais fait deux séminaires au même endroit. Les lieux ont toujours été différents. Les lieux ont toujours été parfaits pour le séminaire pour lequel on venait, mais je n'ai jamais eu envie d'y revenir. C'est aussi une des spécificités du collectif libre, c'est un collectif vivant. Mon rôle, c'est d'en être la gardienne et de créer une structure pour permettre justement à ce vivant de continuer à se déployer à l'intérieur. Ce qui a dilué mon envergure, c'est aussi ces histoires de lancement sur le web. Parce qu'au départ, je suivais un peu les stratégies de tout le monde pour remplir mes programmes. Il y a sept ans, il suffisait d'un webinaire pour remplir un programme. Aujourd'hui, ça ne suffit plus. Il faut offrir trois, quatre, cinq jours gratuits. Et ça demande des gros investissements en temps, en argent, en process, etc. C'était un épuisement pour moi systématiquement et vraiment pas un plaisir. Donc il y avait pas mal de prises de tête aussi en termes de lancement. J'ai aussi fait des erreurs de recrutement, de personnes freelance, de personnes pour mon équipe. J'ai parfois trop délégué mon pouvoir. Ça faisait partie de mes sabotages. Je suis aussi restée un peu trop solopreneur, j'étais un peu trop artisane. J'avais beaucoup de résistance à élever mon leadership, à élever ma propre posture. J'ai vécu aussi beaucoup de changements personnels, puisqu'il y a eu ces retrouvailles avec Clément en 2022, qui forcément a chamboulé beaucoup de choses dans ma vie. Un nouveau déménagement, réapprendre à vivre ensemble, notre mariage, voilà. Il y a eu évidemment le livre. Vous connaissez un petit peu l'histoire du livre. Et pour en savoir un peu plus, participez à la campagne Ulule s'il est encore temps, parce que... Je vous préparerai un audio exclusif aussi pour vous raconter les coulisses du livre et de la campagne Ulule. Bref, je me suis éparpillée. Et en vérité, ces 7 ans, ce cycle de 7 ans, ça m'a permis de bâtir le socle de ma propre envergure. J'ai cru devoir aller dans l'excès pour justifier, pour convaincre, pour valoriser ce que je propose. Alors que libre, c'est notamment la valeur de simplicité. C'est le retour à la vérité, à l'essentiel. donc ça crée forcément ça crée Dans le subtil, ça crée des incohérences qui bloquent le processus d'évolution et d'expansion. Et puis, comme je vous le disais aussi tout à l'heure, je n'osais pas encore m'adresser à mon vrai persona. Je croyais aussi que mon vrai persona, on va dire mon vrai client idéal pour ce collectif libre. Et puis, toutes les pièces du puzzle se sont rassemblées, là, ces deux derniers mois, par trois événements. Le premier, c'est ce qui s'est passé pour le livre. En gros, quand mon éditeur m'annonce, il y a quelques mois, qu'ils vont solder mon livre Leadership Spirituel, alors que c'est eux qui sont venus me chercher il y a deux ans. pour écrire un livre. C'est eux qui ont choisi le titre du livre. Enfin, voilà. Donc, ils ont pris des décisions un petit peu à ma place que j'ai laissé faire aussi parce que j'avais confiance dans leur expertise, etc. Mais donc, quand l'éditeur me dit « En fait, on a décidé de solder ton livre. » En gros, ça veut dire quoi ? Ça veut dire qu'on ne va pas le réimprimer. Ça veut dire qu'il n'a pas rencontré son public, que les volumes de vente sont insuffisants et qu'en gros, le stock restant, on va l'envoyer chez des grossistes. Donc, il va sortir du circuit traditionnel. Ça, c'est un gros coup de massue pour moi parce que je ne m'y attendais pas du tout. Je n'avais aucune visibilité sur les ventes du livre. Ça fait quasiment un an, là, il a été diffusé fin août 2024, ça fait quasiment un an. Je n'avais aucune idée de ce que les ventes du livre donnaient, donc je ne savais pas. Ce que je voyais, c'est que j'ai eu un seul retour presse, j'ai eu quelques interviews sur des chaînes YouTube. Mais rien de plus que ça. Donc je me rendais bien compte qu'il y avait un blocage sur ce livre et que ce n'était pas normal parce que les retours de lecteurs que j'ai sont très forts, sont précieux, sont vraiment valides pleinement. L'utilité et les bienfaits de ce livre. Donc c'est un vrai coup de massue. Quelques semaines après, j'anime le dernier séminaire du Collectif Actuel sur un nouveau lieu que je ne connais pas. Et là, honnêtement, c'est un peu la douche froide aussi parce que le lieu me déçoit. Parce que le lieu n'est pas ce que je pensais. Parce que le niveau de standard, qui était quand même un niveau de standard minimum, mais ça n'est pas ce que j'attendais. Pour moi, les lieux ne doivent être ni perchés, ni trop business, ni luxe, ni camping. Ce n'est pas si facile de trouver un juste milieu de tout ça. Et donc là, je pensais que j'avais trouvé un écolieu en plus. Il y avait très peu de chambres individuelles et des espaces plus collectifs où elles pouvaient être deux par chambre. Je pensais que c'était vraiment le bon lieu. J'avais même prévu que le prochain séminaire du futur collectif se passe là-bas. Et en fait, ça n'a pas convenu. Et on s'est même posé la question, est-ce qu'on reste là ? Je ne voulais pas qu'elles se sentent enfermées. Donc, je leur ai même dit, si ça ne convient pas, on s'en va. Ça a été tout un processus initiatique aussi, parce que je me suis rendu compte qu'en fait, ce séminaire avait été une véritable leçon de leadership. J'ai tenu l'espace, j'ai tenu l'envergure, j'ai tenu la leurre, j'ai tenu la mienne. en acceptant pleinement l'instant présent, les déceptions, les émotions que ça pouvait générer. Et en même temps, je les ai ramenées à leur propre responsabilité. Quelque part, ça les a forcées à revenir dans leur leadership aussi. Sauf qu'il y a une des deux nuits du séminaire où moi, je me suis effondrée. Je me suis effondrée parce que c'était un peu le contre-coup de la décision de l'éditeur. J'avais reçu la veille, juste au moment de me coucher, j'avais aperçu dans mes mails la lettre officielle de mise en solde de leadership spirituel. Et je me suis effondrée dans la nuit. À 4h42 du matin, je me suis réveillée en pleurs. Et j'ai fait un message à mon amie Isabelle Colkins, que j'embrasse aussi, qui est la personne que j'ai choisie pour m'aider à écrire et à bâtir ma conférence signature. Je lui fais ce message à 4h42 du matin parce que c'était la seule qui, à ce moment-là, serait en mesure de tenir cet espace avec moi. Parce que le titre de ma conférence à ce jour, c'est vraiment « Oser son envergure » . J'explique à Isabelle dans mon message en pleurs que ce que je suis en train de vivre, que je suis en plein breakdown et que j'ai l'impression d'être complètement prise dans cette dualité entre excellence et me sentir minable. Et ça a été un processus d'alchimisation pendant cette nuit parce que le lendemain, je me suis présentée dans une autre posture, un autre leadership où j'étais pleinement dans ma vérité, dans ma vulnérabilité. Mais c'était OK pour moi et c'est aussi ça le collectif, c'est-à-dire que je m'autorise moi à être dans ma vérité et je partage aussi ce que je vis pendant cette année du collectif. Je n'ai pas une posture hors sol, je n'ai pas une posture de supériorité ou quoi que ce soit, je vis le collectif avec le groupe. Je partage aussi certaines étapes de mes expériences, de ma propre transformation, de mes décisions entrepreneuriales aussi. Et donc j'arrive le matin dans cet état de vulnérabilité. Et là, il se passe aussi un moment très puissant, puisque je leur avais proposé, pour celles qui voulaient, de nous faire un pitch pour nous présenter leur entreprise telle qu'elle était devenue à la fin de ce collectif. Ce n'est pas un pitch à la BNI, c'est vraiment plus une présentation et pour certaines, ça devient une performance artistique. Elles sont libres de parler de qui elles sont devenues et de leur vision et de leur projet comme elles veulent. Il n'y a pas besoin de présentation PowerPoint. Et en fait, c'est des exercices qui sont très puissants parce qu'elles incarnent entièrement leur message et leur vision. Les retours du groupe sont des feedbacks précieux aussi parce que c'est à ce moment-là qu'elles comprennent ou qu'ils comprennent que la transformation est intégrée et que la vision est manifestée. Bref, je referme la parenthèse. Donc, l'une d'entre elles, Gaëlle, que j'embrasse aussi très fort, nous fait une performance artistique. Et j'ai une émotion qui me monte, qui est énorme, au moment où elle dit « en fait, j'ai passé 20 ans à créer rien » . Et d'un coup, tout prend son sens pour moi, parce que ce rien, c'est un peu ce que je vous disais au début, c'est cette capacité que j'ai à tenir l'énergie, à tenir l'espace, à tenir votre envergure. C'est rien dans le sens où c'est invisible. Et dans notre société, ça n'a pas de valeur. Ce qui est invisible n'a pas de valeur. Et je comprends, à ce moment-là, je comprends tellement. la puissance de ce que j'offre, la puissance de ce collectif, et pourquoi c'est si difficile de le valoriser stratégiquement, marketingement parlant, etc. Parce qu'en fait, notre société ne valorise pas ce qui est invisible, alors que ce qui est invisible fait 90% de qui nous sommes. Ce jour-là, ce deuxième jour du séminaire libre, j'ai pris plusieurs décisions. J'ai pris la décision de racheter l'intégralité du stock de mon livre. Dans les jours qui ont suivi, j'ai pris la décision de lancer une campagne Ulule pour le faire, parce que je me disais, c'est bien beau de racheter 660 livres, mais qu'est-ce que je vais en faire après ? Et je me rends compte, en fait, peu à peu, de l'opportunité extraordinaire qui m'est offerte, de reprendre mon leadership, de reprendre mon pouvoir, de reprendre ce qui m'appartient, de reprendre mon œuvre, et de créer aussi un mouvement grâce à cette décision de l'éditeur. depuis la campagne Ulule a atteint son premier palier, ce qui fait qu'elle a été validée et qu'elle est financée par Ulule et par tous les contributeurs. Il y a eu plus de 100, je crois qu'on est à 114 contributions, c'est énorme, c'est immense. Je crée la suite à partir de ça et avec vous. La deuxième décision que j'ai prise dans ce séminaire, c'est d'ouvrir le collectif aux hommes. C'est devenu vraiment évident pendant ces deux jours avec elles et elles ont toutes senti la même chose que moi. Je sens aujourd'hui que les hommes sont prêts à porter le monde. Alors peut-être pas tous, toutes les femmes ne le font pas non plus. Je n'ai pas un discours genré, mais de plus en plus d'hommes sensibles, conscients, sont prêts à assumer leur envergure. Et cette envergure, elle passe aussi par cette capacité à porter le monde. Voilà, et c'est pour ça que les portes s'ouvrent dans le collectif. À vous, messieurs. J'en suis très heureuse et j'ai hâte. de vivre ce prochain collectif avec un groupe mixte. La troisième décision, ça a été d'arrêter de chercher des lieux et de recevoir sur mon lieu. Quelque chose d'extraordinaire qui se manifeste aussi là, ces deux derniers mois. Je l'avais évoqué dans l'épisode avec Yumna. J'avais dit à Yumna qu'aujourd'hui, le vivant, le divin, avait besoin de beaucoup plus que notre propre présence. Notre propre présence ne suffit plus pour tenir l'envergure. de nos clients, des personnes pour lesquelles on est qualifié. On a besoin des lieux. On a besoin de revenir à des temples. Yuna partageait en fait dans l'épisode qu'elle avait son temple et qu'elle avait son lieu, qu'elle habitait sur son lieu et qu'elle allait pour la première fois à la fin de l'année accueillir ses premiers groupes, donc sur son lieu. Et moi je lui avais dit, j'ai pas encore moi manifesté mon temple. Et depuis cet épisode, eh bien... Ce temple s'est manifesté, ce temple est en train de se manifester, puisqu'on est entre deux signatures au moment où j'enregistre cet épisode. Donc voilà, je tiens cette vision, cette prière que j'ai au plus profond de moi depuis 2018. D'où encore une raison, vous voyez, de ce cycle depuis 2018. Je vous ai parlé du Cap Ferret dans cette année 2018, qui était ma terre. Et en fait, c'est ça, c'est que ma terre se manifeste de nouveau, avec la manifestation de ce lieu. Mais pour la manifestation de ce lieu, il a fallu une transformation immense et surtout une réconciliation intérieure. Et dans mes polarités masculines, féminines, et cette réconciliation avec Clément, mon mari, puisqu'évidemment c'est un temple qu'on porte à deux aujourd'hui et qu'on manifeste ensemble pour nous, pour notre famille. Et j'ai donc décidé d'arrêter de chercher des lieux et surtout d'arrêter de m'occuper de l'hébergement. parce que c'est beaucoup de complexité administrative puisque en tant que société qui vend des services d'accompagnement, de coaching, je n'ai pas le droit de vendre des prestations d'hébergement. Donc administrativement, c'est un vrai casse-tête. C'est des frais de débours que j'avance. Bref, c'est compliqué. Et ça n'est pas du tout dans l'énergie de nous, ni dans mes valeurs, ni dans celle de libre. Donc j'ai décidé d'arrêter de m'occuper des hébergements et de recevoir sur mon lieu. Donc les prochains séminaires auront lieu sur la presqu'île du Cap Ferret, dans notre maison, toute la journée, du matin au soir. Ceux qui veulent resteront dîner s'ils veulent, et simplement la nuit, que chacun choisira là où il et elle veut, selon vos standards, vos budgets, vos goûts, etc. Et cette décision me fait tellement de bien et tellement vibrante. Et cette énergie de ce lieu, de ce temple sur la presqu'île du Cap Ferret est tellement puissante et tellement remplie d'amour, d'unité. C'est déjà extraordinaire. Et ce qui me fait moi beaucoup de bien, c'est que je sais que le lieu va vraiment soutenir le collectif et que ça va m'apporter un soutien que je n'avais pas jusqu'à maintenant, puisque jusqu'à maintenant, c'est moi qui tenais tout le groupe pendant un an. Donc ce cycle 2018-2025, 7 ans. Je n'ai pas compté le nombre de clientes que j'ai eues dans mes différents espaces groupes. Plusieurs groupes, plusieurs tentatives, plusieurs formats. Il y a eu en sept ans un livre, le podcast avec cette troisième saison. Un mariage, plusieurs déménagements, la manifestation de mon lieu, de ce lieu rêvé depuis sept ans. Et l'ouverture à vous messieurs aussi dans ce collectif. Je pense en toute honnêteté... que j'avais besoin de ce mariage, à cet homme dirigeant, à ce leader international aussi, pour passer un autre cap dans mon leadership et pouvoir encore plus tenir votre envergure en tant qu'homme, en tant que masculin. Une chose aussi qui est importante, c'est que LIBRE, au-delà d'un acronyme, est devenu une méthode. J'ai une pédagogie, j'ai une singularité dans mes espaces, dans mes accompagnements, dans les transformations que je facilite. Et donc j'ai enfin posé des mots et un cadre à cette singularité. Et libre, ce sont aussi six piliers. Le L pour le pourquoi incarné, alors vous trouverez tous les détails dans la description de l'épisode. Le I pour l'intégrité énergétique. Le B pour prendre la responsabilité de nos besoins, nos besoins comme boussole. Le R de la réussite régénérative. Le E d'envergure et d'expansion. et le S de sacré et de souveraineté. Allez dans la description de l'épisode pour en savoir plus sur chacun des piliers. Donc Libre 2025-2026, ça va être un groupe seulement de 8 dirigeants, hommes, femmes, des âmes libres, engagées, qui agissent avec foi, qui sont reliées aux vivants ou aux divins, qui sont en quête permanente de vérité, de contribution, de complétude. Libre 2025-2026, à partir de mon envergure, de ma propre envergure, avec la transformation que j'amène, la qualité des espaces que je crée, ma capacité à tenir votre envergure, votre leadership, à vous amener à votre vérité, sans rien vous imposer, sans rien figer. Ma capacité, ou ces espaces que je crée qui vous donnent confiance en vos réelles ambitions, en vos réelles... aspirations. Le collectif tient votre énergie, votre vision, votre ambition, votre envergure. Ce sont aussi des espaces qui permettent d'aller au-delà de la culpabilité. Parce que, en 2025, on est encore dans un monde de souffrance, de pénurie, de précarité. Et c'est d'autant plus difficile d'assumer son envergure, d'assumer notre liberté, notre bonheur, notre engagement. et notre prospérité. Au sein de notre espace, on va au-delà, on dépasse cette culpabilité parce que ce qui est important, c'est l'impact. Ce qui est important, c'est l'œuvre qu'on est là pour bâtir. Ce qui est important, c'est ce qu'on incarne. On est des pionniers, on avance, on crée le nouveau. Et il est tout à fait normal que l'ancien continue d'exister et de coexister en même temps que le nouveau. Le collectif libre n'est ni perché, ni ésotérique, ni illusoire. C'est un espace brut, vrai, profond, conscient, simple. Moi-même, je n'ai pas une posture de supériorité, de toute puissance, ni d'unique sachante. Je suis là pour faciliter chacun des espaces. Votre transformation, évidemment. Je suis gardienne de l'intégrité du groupe, de l'énergie du groupe. Je suis coach quand il y a besoin de l'être aussi. J'anime les échanges, les conversations. Je prends les décisions pour le bien du groupe, du collectif. D'ailleurs, à propos de décision, je me rends compte que je ne vous ai pas raconté toutes les décisions que j'avais dû prendre dans différents groupes, les difficultés qu'on avait vécues aussi au démarrage du groupe de cette année, qui m'a amenée à cette décision d'ailleurs de mettre le séminaire au démarrage du collectif et non 4-5 mois plus tard, parce qu'on a besoin de vivre cet espace dans la matière, de se rencontrer en vrai avant d'être trop en distanciel. Donc on a besoin de créer vraiment ces liens ensemble. de se rencontrer dans notre entièreté. Parce qu'au début du collectif, il y a eu trois départs dans le collectif de cette année pour différentes raisons, plus ou moins justifiées d'ailleurs. Mais voilà, c'est venu beaucoup challenger ma valeur d'engagement, qui pour moi est une valeur phare et une valeur forte au sein du collectif. Quand on s'engage dans un collectif qui dure un an, on va jusqu'au bout en fait et on a foi en le processus, en la personne qu'on a choisie. Ça me permet de marquer encore plus cette valeur-là pour le collectif Lippe 2025-2026. Ce sont des profils expérimentés que j'accueille au sein du collectif, qui ont entre 10 et 20 ans d'expérience entrepreneuriale. Des profils qui sont hommes-femmes, qui ont déjà un leadership. Ce sont des âmes libres et engagées, comme je vous le disais tout à l'heure, et qui ont évidemment une entreprise. Donc j'ai hâte de vivre ce nouveau collectif avec vous. Les pré-inscriptions sont officiellement ouvertes avec cet épisode. Vous avez évidemment le lien en dessous de l'épisode, dans la description de l'épisode. On procède par entretien. C'est important pour moi qu'on se rencontre, qu'on se parle, que je vous connaisse, que je valide le match énergétique entre nous et avec le collectif, que je réponde à toutes vos questions, aussi bien pratico-pratiques que logistiques, émotionnelles, que mentales, que quoi que ce soit d'autre. Nous avons les trois séminaires dans l'année. donc le premier séminaire Ce sera mi-octobre sur la presqu'île du Cap-Ferret. C'est notre deadline pour que la maison soit prête pour vous recevoir. Et après, on aura des appels de suivi en groupe sur Zoom. Ce sont des appels qui sont un peu en format, ce qu'on appelle mastermind, c'est-à-dire que les personnes qui sont là, qui sont présentes, qui ont besoin, qui ont des questionnements, des problématiques, quelles qu'elles soient. Ça peut être business, ça peut être stratégique, ça peut être relationnel, ça peut être émotionnel. On aborde tout, puisque vous êtes là dans votre entièreté. Et au sein du collectif, les compétences, les expertises, les expériences de chacun vont venir vous apporter ce dont vous avez besoin. Donc on est sur un format comme ça, mastermind. Moi, je suis là pour tenir et pour lider les espaces, les appels, animer les espaces, recadrer quand c'est nécessaire, amener aussi ma posture de coach, les transformations et quand c'est nécessaire aussi. Donc la prochaine étape, si vous sentez l'appel, c'est qu'on prenne rendez-vous ensemble. Vous avez toutes les informations dans la description de cet épisode. D'ici notre démarrage en septembre, je vais continuer à m'aligner à mon envergure pour tenir l'énergie de ce nouveau groupe, pour tenir votre envergure, pour tenir l'envergure de vos entreprises aussi. Parce qu'on accueille aussi l'énergie de vos entreprises au sein du collectif. Ça n'est pas juste vous en tant que dirigeants, c'est aussi l'envergure de vos projets, de vos entreprises, quel que soit là où vous en êtes. Certains redémarrent quelque chose, certains veulent poursuivre l'œuvre existante. Peu importe. Ce qui est important pour moi, c'est qu'il y ait de la matière, c'est-à-dire qu'il y ait l'expérience, il y ait déjà la notion de succès et de réussite qui a été remise en doute, remise en question, qui est la relation à l'argent aussi qui a été remise en cause, remise en question. Et donc, il y a de la matière qui est là pour pouvoir créer de nouveau ensemble. Je vous remercie infiniment d'avoir été jusqu'au bout de cet épisode et la suite dans la description. Je vous retrouve très très vite avec Lucie Navarro. qui est membre du collectif de cette année et qui viendra partager à son tour son chemin, son parcours et sa transformation dans sa posture de dirigeante et les effets du collectif libre. À très vite.

Chapters

  • Introduction à la quête de liberté et d'intégrité

    00:01

  • Rétrospective des collectifs et transformations personnelles

    00:30

  • Les défis de la puissance et de la fatigue

    01:44

  • L'importance de tenir l'espace et de soutenir le groupe

    03:30

  • Réflexions sur le cycle 2018-2025 et l'émergence d'un nouveau collectif

    05:13

  • Annonces pour le collectif L.I.B.R.E.S. 2025-2026

    40:09

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