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ZD Tech : tout comprendre en moins de 3 minutes avec ZDNet

3 conseils pour fuir VMware le plus proprement possible

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02min |06/11/2024
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3 conseils pour fuir VMware le plus proprement possible

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Description

Aujourd'hui abordons un sujet brûlant désormais pour les entreprises et les professionnels de l'informatique. Il s'agit de la question de la stratégie de sortie de VMware. En effet, depuis que VMware a été racheté par Broadcom, les prix des services et de licences ont explosé. Et cela inquiète sérieusement les entreprises qui s’appuient sur ces technologies de virtualisation pour leurs infrastructures informatiques.

Alors comment fuir sans y laisser des plumes ? Voyons ensemble trois points essentiels.

Ne partez pas comme un voleur

Premièrement, ne partez pas comme un voleur. Il vous faut absolument une stratégie de sortie.

Certes, de nombreuses entreprises se demandent s’il ne serait pas plus avantageux de quitter rapidement VMware pour des solutions alternatives. Mais une stratégie de sortie ne doit pas être une simple réaction face aux hausses de prix. Cela permet de planifier en amont les étapes de migration vers une autre plateforme en évitant les risques majeurs.

Parmi les points clés, il est essentiel de prendre en compte la complexité de la transition, le temps nécessaire et l'adaptation aux nouvelles technologies.

Quelles sont les alternatives ?

Deuxièmement, comment préparer concrètement une telle stratégie ?

Pour sortir proprement de VMware, il est important de réaliser un audit complet des infrastructures actuelles. Il faut identifier les faiblesses, les forces, surtout prendre en compte les besoins futurs de l’entreprise.

Ensuite, je vous conseille évidemment de rechercher des alternatives adaptées. Cela peut inclure des plateformes comme celles de Microsoft Azure, AWS, ou Google Cloud, qui proposent des solutions robustes de virtualisation et de sécurité.

Envisager le chantier de migration des données en amont

Enfin, un élément crucial de la sortie de VMware est la migration des données.

Des solutions proposent des services de migration dans le cloud avec un temps d’arrêt minimal. Avec des technologies comme la réplication en ligne au niveau des blocs par exemple, cela permet d'assurer la continuité de la production informatique, sans interruption majeure.

Cela est particulièrement utile pour les configurations hybrides où certaines données sont stockées sur site et d'autres dans le cloud.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Aujourd'hui abordons un sujet brûlant désormais pour les entreprises et les professionnels de l'informatique. Il s'agit de la question de la stratégie de sortie de VMware. En effet, depuis que VMware a été racheté par Broadcom, les prix des services et de licences ont explosé. Et cela inquiète sérieusement les entreprises qui s’appuient sur ces technologies de virtualisation pour leurs infrastructures informatiques.

Alors comment fuir sans y laisser des plumes ? Voyons ensemble trois points essentiels.

Ne partez pas comme un voleur

Premièrement, ne partez pas comme un voleur. Il vous faut absolument une stratégie de sortie.

Certes, de nombreuses entreprises se demandent s’il ne serait pas plus avantageux de quitter rapidement VMware pour des solutions alternatives. Mais une stratégie de sortie ne doit pas être une simple réaction face aux hausses de prix. Cela permet de planifier en amont les étapes de migration vers une autre plateforme en évitant les risques majeurs.

Parmi les points clés, il est essentiel de prendre en compte la complexité de la transition, le temps nécessaire et l'adaptation aux nouvelles technologies.

Quelles sont les alternatives ?

Deuxièmement, comment préparer concrètement une telle stratégie ?

Pour sortir proprement de VMware, il est important de réaliser un audit complet des infrastructures actuelles. Il faut identifier les faiblesses, les forces, surtout prendre en compte les besoins futurs de l’entreprise.

Ensuite, je vous conseille évidemment de rechercher des alternatives adaptées. Cela peut inclure des plateformes comme celles de Microsoft Azure, AWS, ou Google Cloud, qui proposent des solutions robustes de virtualisation et de sécurité.

Envisager le chantier de migration des données en amont

Enfin, un élément crucial de la sortie de VMware est la migration des données.

Des solutions proposent des services de migration dans le cloud avec un temps d’arrêt minimal. Avec des technologies comme la réplication en ligne au niveau des blocs par exemple, cela permet d'assurer la continuité de la production informatique, sans interruption majeure.

Cela est particulièrement utile pour les configurations hybrides où certaines données sont stockées sur site et d'autres dans le cloud.


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Aujourd'hui abordons un sujet brûlant désormais pour les entreprises et les professionnels de l'informatique. Il s'agit de la question de la stratégie de sortie de VMware. En effet, depuis que VMware a été racheté par Broadcom, les prix des services et de licences ont explosé. Et cela inquiète sérieusement les entreprises qui s’appuient sur ces technologies de virtualisation pour leurs infrastructures informatiques.

Alors comment fuir sans y laisser des plumes ? Voyons ensemble trois points essentiels.

Ne partez pas comme un voleur

Premièrement, ne partez pas comme un voleur. Il vous faut absolument une stratégie de sortie.

Certes, de nombreuses entreprises se demandent s’il ne serait pas plus avantageux de quitter rapidement VMware pour des solutions alternatives. Mais une stratégie de sortie ne doit pas être une simple réaction face aux hausses de prix. Cela permet de planifier en amont les étapes de migration vers une autre plateforme en évitant les risques majeurs.

Parmi les points clés, il est essentiel de prendre en compte la complexité de la transition, le temps nécessaire et l'adaptation aux nouvelles technologies.

Quelles sont les alternatives ?

Deuxièmement, comment préparer concrètement une telle stratégie ?

Pour sortir proprement de VMware, il est important de réaliser un audit complet des infrastructures actuelles. Il faut identifier les faiblesses, les forces, surtout prendre en compte les besoins futurs de l’entreprise.

Ensuite, je vous conseille évidemment de rechercher des alternatives adaptées. Cela peut inclure des plateformes comme celles de Microsoft Azure, AWS, ou Google Cloud, qui proposent des solutions robustes de virtualisation et de sécurité.

Envisager le chantier de migration des données en amont

Enfin, un élément crucial de la sortie de VMware est la migration des données.

Des solutions proposent des services de migration dans le cloud avec un temps d’arrêt minimal. Avec des technologies comme la réplication en ligne au niveau des blocs par exemple, cela permet d'assurer la continuité de la production informatique, sans interruption majeure.

Cela est particulièrement utile pour les configurations hybrides où certaines données sont stockées sur site et d'autres dans le cloud.


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Aujourd'hui abordons un sujet brûlant désormais pour les entreprises et les professionnels de l'informatique. Il s'agit de la question de la stratégie de sortie de VMware. En effet, depuis que VMware a été racheté par Broadcom, les prix des services et de licences ont explosé. Et cela inquiète sérieusement les entreprises qui s’appuient sur ces technologies de virtualisation pour leurs infrastructures informatiques.

Alors comment fuir sans y laisser des plumes ? Voyons ensemble trois points essentiels.

Ne partez pas comme un voleur

Premièrement, ne partez pas comme un voleur. Il vous faut absolument une stratégie de sortie.

Certes, de nombreuses entreprises se demandent s’il ne serait pas plus avantageux de quitter rapidement VMware pour des solutions alternatives. Mais une stratégie de sortie ne doit pas être une simple réaction face aux hausses de prix. Cela permet de planifier en amont les étapes de migration vers une autre plateforme en évitant les risques majeurs.

Parmi les points clés, il est essentiel de prendre en compte la complexité de la transition, le temps nécessaire et l'adaptation aux nouvelles technologies.

Quelles sont les alternatives ?

Deuxièmement, comment préparer concrètement une telle stratégie ?

Pour sortir proprement de VMware, il est important de réaliser un audit complet des infrastructures actuelles. Il faut identifier les faiblesses, les forces, surtout prendre en compte les besoins futurs de l’entreprise.

Ensuite, je vous conseille évidemment de rechercher des alternatives adaptées. Cela peut inclure des plateformes comme celles de Microsoft Azure, AWS, ou Google Cloud, qui proposent des solutions robustes de virtualisation et de sécurité.

Envisager le chantier de migration des données en amont

Enfin, un élément crucial de la sortie de VMware est la migration des données.

Des solutions proposent des services de migration dans le cloud avec un temps d’arrêt minimal. Avec des technologies comme la réplication en ligne au niveau des blocs par exemple, cela permet d'assurer la continuité de la production informatique, sans interruption majeure.

Cela est particulièrement utile pour les configurations hybrides où certaines données sont stockées sur site et d'autres dans le cloud.


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