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L'IA de Meta ne lui va vraiment pas, Mark Zuckerberg prend les choses en main à sa façon cover
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L'IA de Meta ne lui va vraiment pas, Mark Zuckerberg prend les choses en main à sa façon

L'IA de Meta ne lui va vraiment pas, Mark Zuckerberg prend les choses en main à sa façon

02min |12/06/2025
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Description

Caramba ! Encore raté ! Il a renommé son entreprise Meta il y a quelques années, pensant le temps du metaverse venu. Mais le metaverse n'est jamais venu. Puis il a tout misé sur l'intelligence artificielle, comme l'ensemble de ses petits copains des Gafam. Mais à ce jour, Mark Zuckerberg n'est toujours pas satisfait de la manière dont son entreprise oriente ses recherches dans ce domaine.

Et il prend les choses en main personnellement pour faire de Meta un champion de l’intelligence artificielle générale. Je vous explique tout cela en trois points.

Frustré par les performances de Llama 4

D'abord, Zuckerberg est surtout frustré par les performances qu'il juge décevantes de Llama 4, le dernier grand modèle de langage de Meta.

Il a donc décidé de créer une équipe secrète qui travaille sur le concept de « superintelligence ».

Son objectif est rien de moins que de développer une intelligence artificielle aussi performante que l’humain, tout au moins sur une large gamme de tâches. Pour cela, il recrute personnellement et à sa main une cinquantaine d’experts en IA.

Une flopée de dollars pour le financement

Reste que repose sur cette petite équipe une ambition industrielle colossale. Avec une flopée de dollars pour le financement.

Meta prévoit en effet de dépenser des dizaines de milliards de dollars pour cette initiative, avec l’appui d’un partenariat massif avec Scale AI. Cette entreprise fournit des données pour entraîner les modèles et crée des applications personnalisées pour le secteur public et privé.

Le fondateur de Scale AI, Alexandr Wang, devrait même intégrer la nouvelle équipe une fois l'accord finalisé.

Un repositionnement stratégique de la part de Zuckerberg

Enfin, il faut bien voir dans cette initiative un repositionnement stratégique de la part de Zuckerberg. Ce nouveau « groupe de superintelligence » pourrait en effet redéfinir la place de Meta dans la course à l’IA face à Google, OpenAI ou Anthropic.

L’ambition est claire. Il s'agit de dépasser la concurrence et intégrer ces avancées dans les produits maison, du chatbot Meta aux fameuses lunettes Ray-Ban connectées.

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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Caramba ! Encore raté ! Il a renommé son entreprise Meta il y a quelques années, pensant le temps du metaverse venu. Mais le metaverse n'est jamais venu. Puis il a tout misé sur l'intelligence artificielle, comme l'ensemble de ses petits copains des Gafam. Mais à ce jour, Mark Zuckerberg n'est toujours pas satisfait de la manière dont son entreprise oriente ses recherches dans ce domaine.

Et il prend les choses en main personnellement pour faire de Meta un champion de l’intelligence artificielle générale. Je vous explique tout cela en trois points.

Frustré par les performances de Llama 4

D'abord, Zuckerberg est surtout frustré par les performances qu'il juge décevantes de Llama 4, le dernier grand modèle de langage de Meta.

Il a donc décidé de créer une équipe secrète qui travaille sur le concept de « superintelligence ».

Son objectif est rien de moins que de développer une intelligence artificielle aussi performante que l’humain, tout au moins sur une large gamme de tâches. Pour cela, il recrute personnellement et à sa main une cinquantaine d’experts en IA.

Une flopée de dollars pour le financement

Reste que repose sur cette petite équipe une ambition industrielle colossale. Avec une flopée de dollars pour le financement.

Meta prévoit en effet de dépenser des dizaines de milliards de dollars pour cette initiative, avec l’appui d’un partenariat massif avec Scale AI. Cette entreprise fournit des données pour entraîner les modèles et crée des applications personnalisées pour le secteur public et privé.

Le fondateur de Scale AI, Alexandr Wang, devrait même intégrer la nouvelle équipe une fois l'accord finalisé.

Un repositionnement stratégique de la part de Zuckerberg

Enfin, il faut bien voir dans cette initiative un repositionnement stratégique de la part de Zuckerberg. Ce nouveau « groupe de superintelligence » pourrait en effet redéfinir la place de Meta dans la course à l’IA face à Google, OpenAI ou Anthropic.

L’ambition est claire. Il s'agit de dépasser la concurrence et intégrer ces avancées dans les produits maison, du chatbot Meta aux fameuses lunettes Ray-Ban connectées.

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Et il prend les choses en main personnellement pour faire de Meta un champion de l’intelligence artificielle générale. Je vous explique tout cela en trois points.

Frustré par les performances de Llama 4

D'abord, Zuckerberg est surtout frustré par les performances qu'il juge décevantes de Llama 4, le dernier grand modèle de langage de Meta.

Il a donc décidé de créer une équipe secrète qui travaille sur le concept de « superintelligence ».

Son objectif est rien de moins que de développer une intelligence artificielle aussi performante que l’humain, tout au moins sur une large gamme de tâches. Pour cela, il recrute personnellement et à sa main une cinquantaine d’experts en IA.

Une flopée de dollars pour le financement

Reste que repose sur cette petite équipe une ambition industrielle colossale. Avec une flopée de dollars pour le financement.

Meta prévoit en effet de dépenser des dizaines de milliards de dollars pour cette initiative, avec l’appui d’un partenariat massif avec Scale AI. Cette entreprise fournit des données pour entraîner les modèles et crée des applications personnalisées pour le secteur public et privé.

Le fondateur de Scale AI, Alexandr Wang, devrait même intégrer la nouvelle équipe une fois l'accord finalisé.

Un repositionnement stratégique de la part de Zuckerberg

Enfin, il faut bien voir dans cette initiative un repositionnement stratégique de la part de Zuckerberg. Ce nouveau « groupe de superintelligence » pourrait en effet redéfinir la place de Meta dans la course à l’IA face à Google, OpenAI ou Anthropic.

L’ambition est claire. Il s'agit de dépasser la concurrence et intégrer ces avancées dans les produits maison, du chatbot Meta aux fameuses lunettes Ray-Ban connectées.

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Caramba ! Encore raté ! Il a renommé son entreprise Meta il y a quelques années, pensant le temps du metaverse venu. Mais le metaverse n'est jamais venu. Puis il a tout misé sur l'intelligence artificielle, comme l'ensemble de ses petits copains des Gafam. Mais à ce jour, Mark Zuckerberg n'est toujours pas satisfait de la manière dont son entreprise oriente ses recherches dans ce domaine.

Et il prend les choses en main personnellement pour faire de Meta un champion de l’intelligence artificielle générale. Je vous explique tout cela en trois points.

Frustré par les performances de Llama 4

D'abord, Zuckerberg est surtout frustré par les performances qu'il juge décevantes de Llama 4, le dernier grand modèle de langage de Meta.

Il a donc décidé de créer une équipe secrète qui travaille sur le concept de « superintelligence ».

Son objectif est rien de moins que de développer une intelligence artificielle aussi performante que l’humain, tout au moins sur une large gamme de tâches. Pour cela, il recrute personnellement et à sa main une cinquantaine d’experts en IA.

Une flopée de dollars pour le financement

Reste que repose sur cette petite équipe une ambition industrielle colossale. Avec une flopée de dollars pour le financement.

Meta prévoit en effet de dépenser des dizaines de milliards de dollars pour cette initiative, avec l’appui d’un partenariat massif avec Scale AI. Cette entreprise fournit des données pour entraîner les modèles et crée des applications personnalisées pour le secteur public et privé.

Le fondateur de Scale AI, Alexandr Wang, devrait même intégrer la nouvelle équipe une fois l'accord finalisé.

Un repositionnement stratégique de la part de Zuckerberg

Enfin, il faut bien voir dans cette initiative un repositionnement stratégique de la part de Zuckerberg. Ce nouveau « groupe de superintelligence » pourrait en effet redéfinir la place de Meta dans la course à l’IA face à Google, OpenAI ou Anthropic.

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