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[CE JOUR LA] On a volé la Joconde !

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01min |25/08/2024
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  • Speaker #0

    Mardi 22 août 1911. Une journée comme les autres commence au Musée du Louvre. Comme les autres ? En fait pas vraiment parce que on se rend vite compte que la Joconde, le tableau de Léonard de Vinci, a disparu. Disparu. Enfin pour dire les choses comme elles sont, Mona Lisa a été volée. Et là scandale dans l’opinion, branle-bas de combat dans la police. Le Quai des Orfèvres se lance à fond dans l’enquête. Des empreintes digitales sont relevées et analysées … sans succès – à l’époque cette technique était assez nouvelle. On offre des récompenses à celles et ceux qui pourraient aider à retrouver le voleur. Certains gardiens vont être rétrogradés, le directeur des Musées Nationaux lui-même sera révoqué. Et Guillaume Apollinaire, le poète, va même être soupçonné de complicité. Il passera pour ça une semaine à la Prison de la Santé. Et tout ça pour … rien. Chou blanc. Enfin au moins jusqu’en décembre 1913, quand un marchand d’art de Florence signale que quelqu’un a voulu lui revendre la Joconde. Le tableau va être authentifié et son revendeur vite arrêté. Un certain Vincenzo Perrugia. Il va vite avouer que c’est lui qui a volé la Joconde. En 1911, il travaillait au Louvre comme vitrier. Il a décidé de voler le tableau pour – d’après lui bien sûr – le rendre à l’Italie, son pays d’origine. Il a juste attendu d’être seul dans le Salon Carré pour décrocher le tableau, le débarasser de son cadre, de sa vitre, le cacher sous ses vêtements – oui, ce tableau est assez petit – et l’emmener chez lui. Tout simplement. Même Arsène Lupin et Fantomas n’y avaient pas pensé. Le comble de l’ironie, c’est que dans le cadre de l’enquête qui a suivi le vol, un inspecteur est allé chez Perrugia, à Paris, mais il n’a pas jugé nécessaire de fouiller son appartement. Ah ben oui quand même un simple vitrier, voler la Joconde. Vous n’y pensez pas. C’est après être rentré à Florence que Perrugia va essayer de revendre la Joconde. Et apparemment il croyait le plus sincèrement du monde qu’il aurait droit à une récompense pour avoir rendu le tableau à l’Italie. Tout ce qu’il va recevoir c’est 7 mois de prison. La Joconde a retrouvé le Louvre le 4 janvier 1914. Où elle est toujours. Enfin je crois. 22 août 1911 Une journée comme les autres commence au musée du louvre comme les autres en fait pas vraiment parce que ce matin là on se rend vite compte que la joconde le tableau de léonard de vinci a disparu disparu enfin pour dire les choses comme elles sont mona lisa a été volé et la scandale dans l'opinion branle-bas de combat dans la police le quai d'orfèvre selon sa fondée enquête des empreintes digitales sont relevés et analysés sans succès à l'époque cette technique était assez nouvelle On offre des récompenses à celles et ceux qui pourraient aider à retrouver le voleur. Certains gardiens vont être rétrogradés. Le directeur des musées nationaux lui-même sera révoqué. Et Guillaume Apollinaire, le poète, va même être soupçonné de complicité. Il passera pour ça une semaine à la prison de la santé. Et tout ça pour rien. Chou blanc. Enfin, au moins jusqu'en décembre 1913, quand un marchand d'art de Florence signale que quelqu'un a voulu lui revendre la Joconde. Le tableau va être authentifié et son revendeur vite arrêté. Un certain Vincenzo Perugia. Il va vite avouer que c'est lui qui a volé la Joconde. En 1911, il travaillait au Louvre comme vitrier. Il a décidé de voler le tableau pour, d'après lui bien sûr, le rendre à l'Italie, son pays d'origine. Il a juste attendu d'être seul dans le salon carré pour décrocher le tableau, le débarrasser de son cadre, de sa vitre, le cacher sous ses vêtements, oui ce tableau est assez petit, et l'emmener chez lui. Tout simplement. Même Arsène Le Pen et Fantoumas n'y avaient pas pensé. Le comble de l'ironie, c'est que dans le cadre de l'enquête qui a suivi le vol, un inspecteur est allé chez Perugia à Paris, mais il n'a pas jugé nécessaire de fouiller son appartement. Ah bah oui, quand même, un simple vitrier, voler la Joconde, vous n'y pensez pas. C'est après être rentré à Florence que Perugia va essayer de revendre la Joconde. Et apparemment, il croyait le plus sincèrement du monde qu'il aurait droit à une récompense pour avoir rendu le tableau à l'Italie. Tout ce qu'il va recevoir, c'est 7 mois de prison. La Joconde a retrouvé le Louvre le 4 janvier 1914, où elle est toujours, enfin je crois.

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    Mardi 22 août 1911. Une journée comme les autres commence au Musée du Louvre. Comme les autres ? En fait pas vraiment parce que on se rend vite compte que la Joconde, le tableau de Léonard de Vinci, a disparu. Disparu. Enfin pour dire les choses comme elles sont, Mona Lisa a été volée. Et là scandale dans l’opinion, branle-bas de combat dans la police. Le Quai des Orfèvres se lance à fond dans l’enquête. Des empreintes digitales sont relevées et analysées … sans succès – à l’époque cette technique était assez nouvelle. On offre des récompenses à celles et ceux qui pourraient aider à retrouver le voleur. Certains gardiens vont être rétrogradés, le directeur des Musées Nationaux lui-même sera révoqué. Et Guillaume Apollinaire, le poète, va même être soupçonné de complicité. Il passera pour ça une semaine à la Prison de la Santé. Et tout ça pour … rien. Chou blanc. Enfin au moins jusqu’en décembre 1913, quand un marchand d’art de Florence signale que quelqu’un a voulu lui revendre la Joconde. Le tableau va être authentifié et son revendeur vite arrêté. Un certain Vincenzo Perrugia. Il va vite avouer que c’est lui qui a volé la Joconde. En 1911, il travaillait au Louvre comme vitrier. Il a décidé de voler le tableau pour – d’après lui bien sûr – le rendre à l’Italie, son pays d’origine. Il a juste attendu d’être seul dans le Salon Carré pour décrocher le tableau, le débarasser de son cadre, de sa vitre, le cacher sous ses vêtements – oui, ce tableau est assez petit – et l’emmener chez lui. Tout simplement. Même Arsène Lupin et Fantomas n’y avaient pas pensé. Le comble de l’ironie, c’est que dans le cadre de l’enquête qui a suivi le vol, un inspecteur est allé chez Perrugia, à Paris, mais il n’a pas jugé nécessaire de fouiller son appartement. Ah ben oui quand même un simple vitrier, voler la Joconde. Vous n’y pensez pas. C’est après être rentré à Florence que Perrugia va essayer de revendre la Joconde. Et apparemment il croyait le plus sincèrement du monde qu’il aurait droit à une récompense pour avoir rendu le tableau à l’Italie. Tout ce qu’il va recevoir c’est 7 mois de prison. La Joconde a retrouvé le Louvre le 4 janvier 1914. Où elle est toujours. Enfin je crois. 22 août 1911 Une journée comme les autres commence au musée du louvre comme les autres en fait pas vraiment parce que ce matin là on se rend vite compte que la joconde le tableau de léonard de vinci a disparu disparu enfin pour dire les choses comme elles sont mona lisa a été volé et la scandale dans l'opinion branle-bas de combat dans la police le quai d'orfèvre selon sa fondée enquête des empreintes digitales sont relevés et analysés sans succès à l'époque cette technique était assez nouvelle On offre des récompenses à celles et ceux qui pourraient aider à retrouver le voleur. Certains gardiens vont être rétrogradés. Le directeur des musées nationaux lui-même sera révoqué. Et Guillaume Apollinaire, le poète, va même être soupçonné de complicité. Il passera pour ça une semaine à la prison de la santé. Et tout ça pour rien. Chou blanc. Enfin, au moins jusqu'en décembre 1913, quand un marchand d'art de Florence signale que quelqu'un a voulu lui revendre la Joconde. Le tableau va être authentifié et son revendeur vite arrêté. Un certain Vincenzo Perugia. Il va vite avouer que c'est lui qui a volé la Joconde. En 1911, il travaillait au Louvre comme vitrier. Il a décidé de voler le tableau pour, d'après lui bien sûr, le rendre à l'Italie, son pays d'origine. Il a juste attendu d'être seul dans le salon carré pour décrocher le tableau, le débarrasser de son cadre, de sa vitre, le cacher sous ses vêtements, oui ce tableau est assez petit, et l'emmener chez lui. Tout simplement. Même Arsène Le Pen et Fantoumas n'y avaient pas pensé. Le comble de l'ironie, c'est que dans le cadre de l'enquête qui a suivi le vol, un inspecteur est allé chez Perugia à Paris, mais il n'a pas jugé nécessaire de fouiller son appartement. Ah bah oui, quand même, un simple vitrier, voler la Joconde, vous n'y pensez pas. C'est après être rentré à Florence que Perugia va essayer de revendre la Joconde. Et apparemment, il croyait le plus sincèrement du monde qu'il aurait droit à une récompense pour avoir rendu le tableau à l'Italie. Tout ce qu'il va recevoir, c'est 7 mois de prison. La Joconde a retrouvé le Louvre le 4 janvier 1914, où elle est toujours, enfin je crois.

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    Mardi 22 août 1911. Une journée comme les autres commence au Musée du Louvre. Comme les autres ? En fait pas vraiment parce que on se rend vite compte que la Joconde, le tableau de Léonard de Vinci, a disparu. Disparu. Enfin pour dire les choses comme elles sont, Mona Lisa a été volée. Et là scandale dans l’opinion, branle-bas de combat dans la police. Le Quai des Orfèvres se lance à fond dans l’enquête. Des empreintes digitales sont relevées et analysées … sans succès – à l’époque cette technique était assez nouvelle. On offre des récompenses à celles et ceux qui pourraient aider à retrouver le voleur. Certains gardiens vont être rétrogradés, le directeur des Musées Nationaux lui-même sera révoqué. Et Guillaume Apollinaire, le poète, va même être soupçonné de complicité. Il passera pour ça une semaine à la Prison de la Santé. Et tout ça pour … rien. Chou blanc. Enfin au moins jusqu’en décembre 1913, quand un marchand d’art de Florence signale que quelqu’un a voulu lui revendre la Joconde. Le tableau va être authentifié et son revendeur vite arrêté. Un certain Vincenzo Perrugia. Il va vite avouer que c’est lui qui a volé la Joconde. En 1911, il travaillait au Louvre comme vitrier. Il a décidé de voler le tableau pour – d’après lui bien sûr – le rendre à l’Italie, son pays d’origine. Il a juste attendu d’être seul dans le Salon Carré pour décrocher le tableau, le débarasser de son cadre, de sa vitre, le cacher sous ses vêtements – oui, ce tableau est assez petit – et l’emmener chez lui. Tout simplement. Même Arsène Lupin et Fantomas n’y avaient pas pensé. Le comble de l’ironie, c’est que dans le cadre de l’enquête qui a suivi le vol, un inspecteur est allé chez Perrugia, à Paris, mais il n’a pas jugé nécessaire de fouiller son appartement. Ah ben oui quand même un simple vitrier, voler la Joconde. Vous n’y pensez pas. C’est après être rentré à Florence que Perrugia va essayer de revendre la Joconde. Et apparemment il croyait le plus sincèrement du monde qu’il aurait droit à une récompense pour avoir rendu le tableau à l’Italie. Tout ce qu’il va recevoir c’est 7 mois de prison. La Joconde a retrouvé le Louvre le 4 janvier 1914. Où elle est toujours. Enfin je crois. 22 août 1911 Une journée comme les autres commence au musée du louvre comme les autres en fait pas vraiment parce que ce matin là on se rend vite compte que la joconde le tableau de léonard de vinci a disparu disparu enfin pour dire les choses comme elles sont mona lisa a été volé et la scandale dans l'opinion branle-bas de combat dans la police le quai d'orfèvre selon sa fondée enquête des empreintes digitales sont relevés et analysés sans succès à l'époque cette technique était assez nouvelle On offre des récompenses à celles et ceux qui pourraient aider à retrouver le voleur. Certains gardiens vont être rétrogradés. Le directeur des musées nationaux lui-même sera révoqué. Et Guillaume Apollinaire, le poète, va même être soupçonné de complicité. Il passera pour ça une semaine à la prison de la santé. Et tout ça pour rien. Chou blanc. Enfin, au moins jusqu'en décembre 1913, quand un marchand d'art de Florence signale que quelqu'un a voulu lui revendre la Joconde. Le tableau va être authentifié et son revendeur vite arrêté. Un certain Vincenzo Perugia. Il va vite avouer que c'est lui qui a volé la Joconde. En 1911, il travaillait au Louvre comme vitrier. Il a décidé de voler le tableau pour, d'après lui bien sûr, le rendre à l'Italie, son pays d'origine. Il a juste attendu d'être seul dans le salon carré pour décrocher le tableau, le débarrasser de son cadre, de sa vitre, le cacher sous ses vêtements, oui ce tableau est assez petit, et l'emmener chez lui. Tout simplement. Même Arsène Le Pen et Fantoumas n'y avaient pas pensé. Le comble de l'ironie, c'est que dans le cadre de l'enquête qui a suivi le vol, un inspecteur est allé chez Perugia à Paris, mais il n'a pas jugé nécessaire de fouiller son appartement. Ah bah oui, quand même, un simple vitrier, voler la Joconde, vous n'y pensez pas. C'est après être rentré à Florence que Perugia va essayer de revendre la Joconde. Et apparemment, il croyait le plus sincèrement du monde qu'il aurait droit à une récompense pour avoir rendu le tableau à l'Italie. Tout ce qu'il va recevoir, c'est 7 mois de prison. La Joconde a retrouvé le Louvre le 4 janvier 1914, où elle est toujours, enfin je crois.

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    Mardi 22 août 1911. Une journée comme les autres commence au Musée du Louvre. Comme les autres ? En fait pas vraiment parce que on se rend vite compte que la Joconde, le tableau de Léonard de Vinci, a disparu. Disparu. Enfin pour dire les choses comme elles sont, Mona Lisa a été volée. Et là scandale dans l’opinion, branle-bas de combat dans la police. Le Quai des Orfèvres se lance à fond dans l’enquête. Des empreintes digitales sont relevées et analysées … sans succès – à l’époque cette technique était assez nouvelle. On offre des récompenses à celles et ceux qui pourraient aider à retrouver le voleur. Certains gardiens vont être rétrogradés, le directeur des Musées Nationaux lui-même sera révoqué. Et Guillaume Apollinaire, le poète, va même être soupçonné de complicité. Il passera pour ça une semaine à la Prison de la Santé. Et tout ça pour … rien. Chou blanc. Enfin au moins jusqu’en décembre 1913, quand un marchand d’art de Florence signale que quelqu’un a voulu lui revendre la Joconde. Le tableau va être authentifié et son revendeur vite arrêté. Un certain Vincenzo Perrugia. Il va vite avouer que c’est lui qui a volé la Joconde. En 1911, il travaillait au Louvre comme vitrier. Il a décidé de voler le tableau pour – d’après lui bien sûr – le rendre à l’Italie, son pays d’origine. Il a juste attendu d’être seul dans le Salon Carré pour décrocher le tableau, le débarasser de son cadre, de sa vitre, le cacher sous ses vêtements – oui, ce tableau est assez petit – et l’emmener chez lui. Tout simplement. Même Arsène Lupin et Fantomas n’y avaient pas pensé. Le comble de l’ironie, c’est que dans le cadre de l’enquête qui a suivi le vol, un inspecteur est allé chez Perrugia, à Paris, mais il n’a pas jugé nécessaire de fouiller son appartement. Ah ben oui quand même un simple vitrier, voler la Joconde. Vous n’y pensez pas. C’est après être rentré à Florence que Perrugia va essayer de revendre la Joconde. Et apparemment il croyait le plus sincèrement du monde qu’il aurait droit à une récompense pour avoir rendu le tableau à l’Italie. Tout ce qu’il va recevoir c’est 7 mois de prison. La Joconde a retrouvé le Louvre le 4 janvier 1914. Où elle est toujours. Enfin je crois. 22 août 1911 Une journée comme les autres commence au musée du louvre comme les autres en fait pas vraiment parce que ce matin là on se rend vite compte que la joconde le tableau de léonard de vinci a disparu disparu enfin pour dire les choses comme elles sont mona lisa a été volé et la scandale dans l'opinion branle-bas de combat dans la police le quai d'orfèvre selon sa fondée enquête des empreintes digitales sont relevés et analysés sans succès à l'époque cette technique était assez nouvelle On offre des récompenses à celles et ceux qui pourraient aider à retrouver le voleur. Certains gardiens vont être rétrogradés. Le directeur des musées nationaux lui-même sera révoqué. Et Guillaume Apollinaire, le poète, va même être soupçonné de complicité. Il passera pour ça une semaine à la prison de la santé. Et tout ça pour rien. Chou blanc. Enfin, au moins jusqu'en décembre 1913, quand un marchand d'art de Florence signale que quelqu'un a voulu lui revendre la Joconde. Le tableau va être authentifié et son revendeur vite arrêté. Un certain Vincenzo Perugia. Il va vite avouer que c'est lui qui a volé la Joconde. En 1911, il travaillait au Louvre comme vitrier. Il a décidé de voler le tableau pour, d'après lui bien sûr, le rendre à l'Italie, son pays d'origine. Il a juste attendu d'être seul dans le salon carré pour décrocher le tableau, le débarrasser de son cadre, de sa vitre, le cacher sous ses vêtements, oui ce tableau est assez petit, et l'emmener chez lui. Tout simplement. Même Arsène Le Pen et Fantoumas n'y avaient pas pensé. Le comble de l'ironie, c'est que dans le cadre de l'enquête qui a suivi le vol, un inspecteur est allé chez Perugia à Paris, mais il n'a pas jugé nécessaire de fouiller son appartement. Ah bah oui, quand même, un simple vitrier, voler la Joconde, vous n'y pensez pas. C'est après être rentré à Florence que Perugia va essayer de revendre la Joconde. Et apparemment, il croyait le plus sincèrement du monde qu'il aurait droit à une récompense pour avoir rendu le tableau à l'Italie. Tout ce qu'il va recevoir, c'est 7 mois de prison. La Joconde a retrouvé le Louvre le 4 janvier 1914, où elle est toujours, enfin je crois.

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