Description
Notre objectif est de sensibiliser les hommes de 50 ans et plus des changements qu’ils peuvent rencontrer dans divers domaines de leur vie, comme la santé, les relations, la carrière et bien d’autres encore.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Transcription
Salut à tous et bienvenue dans la cinquantaine Expliquer pour nous, l'émission où on parle de tout ce que vous, monsieur de 45 à 60 ans, avez toujours voulu savoir mais n'avez jamais osé demander. Installez-vous confortablement, prenez un café ou un verre de vin, on ne vous juge pas, et laissez-nous vous guider à travers des discussions sincères, des conseils pratiques et des ressources utiles. N'oubliez pas de cliquer sur j'aime, de vous abonner à notre chaîne et d'activer la cloche pour ne rien manquer de tous nos nouveaux contenus que nous préparons pour vous. Et maintenant, c'est parti ! Aujourd'hui, le mentorat. Nous verrons comment cette pratique peut aider à naviguer les défis professionnels, personnels et de santé. Et nous allons nous appuyer sur les données canadiennes et québécoises pour illustrer notre propos. Le contexte démographique. Commençons par un peu le contexte au Québec. Comme tout le reste du Canada, la population vieillit. Et oui, ce n'est pas une mythe, c'est une réalité. Selon l'Institut de la statistique du Québec. Les personnes âgées de 50 ans et plus représentent environ 30 % de la population et cette proportion ne cesse d'augmenter. En 2021, on estimait que près de 4 millions de Québécois avaient 50 ans et plus. Cette évolution démographique soulève des questions importantes sur la manière dont nous pouvons soutenir les hommes dans la cinquantaine et qu'ils maintiennent une qualité de vie élevée tant sur le plan professionnel que personnel. Le vieillissement de la population est un phénomène majeur. Les hommes de la cinquantaine font face à des défis spécifiques, notamment en ce qui concerne leur carrière, leur santé et les relations personnelles. Le mental-ra peut jouer un rôle crucial pour les aider à naviguer à travers cette transition. Une priorité grandissante. Le défi sur la santé. Le vieillissement apporte son loup de changements psychologiques et aussi physiques. Parmi les problèmes de santé les plus courants, on retrouve les maladies cardiovasculaires, le diabète et les douleurs articulaires. Le plus lent repos, ce qui correspond à une diminution progressive du taux de testérone, peut avoir des répercussions sur le bien-être physique et émotionnel des hommes. La santé mentale est aussi un enjeu crucial. L'anxiété, la dépression, le sentiment d'isolement peuvent être exacerbés à cette étape de la vie. Malheureusement, beaucoup d'hommes hésitent à demander de l'aide, souvent en raison des préjugés sociaux ou personnels. Le mental-ra peut offrir un espace de dialogue, de soutien et encourage les hommes à aborder les préoccupations en toute confiance à voir les autres. Les relations personnelles, naviguer entre les changements et les nouveaux défis. En fait, les relations interpersonnelles évoluent inévitablement avec l'âge. Les enfants quittent le foyer, ce qui peut provoquer un sentiment de vide. Parallèlement, les parents âgés ont besoin de plus en plus d'attention. Enfin, les relations conjugales peuvent être mises à l'épreuve par ces nouveaux changements. Le mentorat permet aux hommes d'aborder ces transitions avec plus de sérénité et en échangeant avec des mentors ayant vécu des situations similaires. Ils peuvent trouver des conseils pratiques et un soutien émotionnel pour mieux évoluer et gérer ces situations. Tout d'abord, il faut définir ses priorités post-carrière. Donc, explorer ses nouvelles passions, maintenir un réseau social actif. Exemple concret. Prenons le cas de Jean, 55 ans, qui envisageait de prendre sa retraite, mais se sentant perdu face à de nombreuses options, il rejoint un programme de mentorat et a bénéficié des conseils d'un mentor qui l'a aidé à définir sa priorité post-carrière, explorer ses nouvelles passions, qui va l'aider aussi à maintenir ses réseaux sociaux et rester actif, tout ça en étant confiant et avec plein d'enthousiasme. L'égalité pour être un bon mentor, parce qu'il n'y a pas juste le fait d'être, avoir besoin d'un mentor, on peut devenir un mentor. L'égalité d'un bon mentor, c'est de l'écoute active, donc c'est comprendre... avant de conseiller. Un bon mentor doit savoir écouter sans imposer ses propres solutions. Par exemple, dans un cadre professionnel, un mentor pourrait aider un collègue plus jeune en posant des questions ouvertes plutôt que directement une marche à suivre. La patience. Acceptez le temps d'apprentissage. Le mentorat est un processus d'accompagnement. Il faut laisser le mentoré avancer à son propre rythme. Un mentor aidant un jeune entrepreneur au Québec, par exemple, peut lui donner Il a permis de construire son réseau et de développer ses compétences en tirant lui-même des leçons de ses erreurs. Donc, on apprend toujours de nos erreurs. Humilité. Apprendre de son mentoré. Un bon mentor sait qu'il n'a pas toutes les réponses aux questions. L'échange doit être mutuel. Par exemple, un mentor en technologie pourrait découvrir un nouvel outil numérique grâce à son mentoré tout en partageant son expérience de gestion de projet. La cinquantaine est une période de transition qui est remplie de défis, mais aussi d'opportunités. Le mentorat donc... peut jouer un rôle clé pour accompagner les hommes dans leur questionnement professionnel de santé et leurs relations interpersonnelles. En trouvant un bon mentor qui partage son expérience et son savoir, il devient plus facile de naviguer dans cette étape de la vie avec confiance et sérénité. Dans la vie quotidienne, le mentorat ne se limite pas au monde professionnel. Il peut prendre de nombreuses formes. Par exemple, un parent peut devenir un mentor pour ses enfants en leur transmettant des valeurs et des compétences pratiques. Nos grands-parents, par exemple, sont une sorte de mentor. Au Québec, de nombreux programmes communautaires encouragent des mentorats intergénérationnels. comme le programme Grands Frères, Grandes Sœurs, qui met en relation des jeunes avec des mentors adultes pour les aider à naviguer dans les défis de la vie. Un autre exemple concret est celui des transitions du savoir-faire. Un mentor pourrait enseigner à un jeune comment réparer une bicyclette, cuisiner un plat traditionnel québécois, comme la poutine, ou même gérer un budget familial. Ces compétences, bien que simples, sont essentielles à la vie quotidienne et peuvent avoir un impact significatif sur la confiance et l'autonomie des jeunes. Le mentorat professionnel. Dans le cadre professionnel, le mentorat est un outil puissant pour le développement des carrières. Au Canada, de nombreuses entreprises ont mis en place des programmes de mentorat pour favoriser la croissance des employés. Par exemple, chez Desjardins, l'un des plus grands groupes financiers au Québec, le programme de mentorat interne a permis à des jeunes employés de progresser plus rapidement dans leur carrière tout en permettant aux mentors de rester connectés aux nouvelles tendances du marché. Autre exemple, chez moi où je travaille présentement, on a un programme de mentor et mentoré et c'est extraordinaire parce que c'est des gens qui sont dans le métier. qui sont dans l'entreprise depuis près de 15 ans minimum qui aident les gens qui viennent d'arriver à comprendre l'entreprise et savoir quoi faire. Le mentorat professionnel peut également aider à éviter des pièges courants au début de sa carrière. Par exemple, un mentor pourrait guider un jeune professionnel à la négociation de son premier salaire, une gestion de conflit au travail. Selon l'Université de Montréal, les employés qui ont bénéficié d'un mentorat ont déclaré une augmentation de 30 % de leur satisfaction au travail et une meilleure compréhension des attentes de leur employeur. C'est très bien ça. Pour devenir un bon mentor, il faut d'abord cultiver une attitude bienveillante et ouverte. Cela signifie être disponible pour son mentoré, mais aussi savoir respecter son espace et son autonomie. Ensuite, il est important d'être curieux et de s'intéresser réellement à la personne que l'on mentor. Poser des questions, écouter actif et montrer de l'empathie sont des compétences clés. Être un bon mentor doit être prêt à apprendre. Donc, le mentorat est un échange à double sens. Par exemple, un mentor dans le domaine de la santé pourrait apprendre de son mentoré les dernières avancées technologiques en médecine, tout en partageant son expérience sur la gestion des relations avec les patients. Selon les données québécoises et canadiennes, au Québec, le réseau M pour la santé des hommes propose des services de mentorat axés sur la santé et le bien-être. Selon une enquête menée dans ce réseau, 70 % des participants ont rapporté une amélioration significative de leur qualité de vie après avoir participé à un des programmes de mentorat. Le gouvernement du Canada a également reconnu l'importance du mentorat pour les travailleurs âgés. Le programme du Patronariat pour le développement social, personnes handicapées, inclut des initiatives de mentorat pour aider les Canadiens âgés à rester actifs sur le marché du travail. Comment choisir son bon programme de mentorat ? Donc, tout d'abord, il faut identifier nos besoins. Transition de carrière, santé mentale, bien-être, etc. Vérifier les critères d'admissibilité. Certains programmes sont réservés à des groupes spécifiques. Explorez les options en ligne. Beaucoup de programmes offrent des services virtuels maintenant. Contactez les organisations. N'hésitez pas à poser des questions, à les contacter par courriel ou par téléphone si vous avez à parler à quelqu'un. Le mentorat peut être un outil puissant, peut nous servir à nous épanouir et à être productif pour la cinquantaine. En conclusion, le mentorat pour les hommes de la cinquantaine est un outil pratique qui permet de naviguer dans les défis complexes de cette phase de la vie. Au Québec et au Canada, où la population vieillit rapidement, Il est essentiel de promouvoir et de soutenir ces programmes. Que ce soit par des transitions professionnelles, des préoccupations de la santé ou des questions d'identité, le mentorat offre un soutien précieux qui peut améliorer la qualité de la vie et le bien-être de l'homme dans la cinquantaine. Je serais trop insisté sur l'importance de chercher de l'aide et de participer à des programmes de mentorat. C'est un investissement pour l'avenir et notre bien-être. Alors, si vous êtes un homme de la cinquantaine et aussi vous connaissez quelqu'un qui pourrait bénéficier du mentorat, N'hésitez pas à explorer les ressources disponibles au Québec et au Canada. Prenez soin de vous et on se voit la semaine prochaine.
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Notre objectif est de sensibiliser les hommes de 50 ans et plus des changements qu’ils peuvent rencontrer dans divers domaines de leur vie, comme la santé, les relations, la carrière et bien d’autres encore.
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Salut à tous et bienvenue dans la cinquantaine Expliquer pour nous, l'émission où on parle de tout ce que vous, monsieur de 45 à 60 ans, avez toujours voulu savoir mais n'avez jamais osé demander. Installez-vous confortablement, prenez un café ou un verre de vin, on ne vous juge pas, et laissez-nous vous guider à travers des discussions sincères, des conseils pratiques et des ressources utiles. N'oubliez pas de cliquer sur j'aime, de vous abonner à notre chaîne et d'activer la cloche pour ne rien manquer de tous nos nouveaux contenus que nous préparons pour vous. Et maintenant, c'est parti ! Aujourd'hui, le mentorat. Nous verrons comment cette pratique peut aider à naviguer les défis professionnels, personnels et de santé. Et nous allons nous appuyer sur les données canadiennes et québécoises pour illustrer notre propos. Le contexte démographique. Commençons par un peu le contexte au Québec. Comme tout le reste du Canada, la population vieillit. Et oui, ce n'est pas une mythe, c'est une réalité. Selon l'Institut de la statistique du Québec. Les personnes âgées de 50 ans et plus représentent environ 30 % de la population et cette proportion ne cesse d'augmenter. En 2021, on estimait que près de 4 millions de Québécois avaient 50 ans et plus. Cette évolution démographique soulève des questions importantes sur la manière dont nous pouvons soutenir les hommes dans la cinquantaine et qu'ils maintiennent une qualité de vie élevée tant sur le plan professionnel que personnel. Le vieillissement de la population est un phénomène majeur. Les hommes de la cinquantaine font face à des défis spécifiques, notamment en ce qui concerne leur carrière, leur santé et les relations personnelles. Le mental-ra peut jouer un rôle crucial pour les aider à naviguer à travers cette transition. Une priorité grandissante. Le défi sur la santé. Le vieillissement apporte son loup de changements psychologiques et aussi physiques. Parmi les problèmes de santé les plus courants, on retrouve les maladies cardiovasculaires, le diabète et les douleurs articulaires. Le plus lent repos, ce qui correspond à une diminution progressive du taux de testérone, peut avoir des répercussions sur le bien-être physique et émotionnel des hommes. La santé mentale est aussi un enjeu crucial. L'anxiété, la dépression, le sentiment d'isolement peuvent être exacerbés à cette étape de la vie. Malheureusement, beaucoup d'hommes hésitent à demander de l'aide, souvent en raison des préjugés sociaux ou personnels. Le mental-ra peut offrir un espace de dialogue, de soutien et encourage les hommes à aborder les préoccupations en toute confiance à voir les autres. Les relations personnelles, naviguer entre les changements et les nouveaux défis. En fait, les relations interpersonnelles évoluent inévitablement avec l'âge. Les enfants quittent le foyer, ce qui peut provoquer un sentiment de vide. Parallèlement, les parents âgés ont besoin de plus en plus d'attention. Enfin, les relations conjugales peuvent être mises à l'épreuve par ces nouveaux changements. Le mentorat permet aux hommes d'aborder ces transitions avec plus de sérénité et en échangeant avec des mentors ayant vécu des situations similaires. Ils peuvent trouver des conseils pratiques et un soutien émotionnel pour mieux évoluer et gérer ces situations. Tout d'abord, il faut définir ses priorités post-carrière. Donc, explorer ses nouvelles passions, maintenir un réseau social actif. Exemple concret. Prenons le cas de Jean, 55 ans, qui envisageait de prendre sa retraite, mais se sentant perdu face à de nombreuses options, il rejoint un programme de mentorat et a bénéficié des conseils d'un mentor qui l'a aidé à définir sa priorité post-carrière, explorer ses nouvelles passions, qui va l'aider aussi à maintenir ses réseaux sociaux et rester actif, tout ça en étant confiant et avec plein d'enthousiasme. L'égalité pour être un bon mentor, parce qu'il n'y a pas juste le fait d'être, avoir besoin d'un mentor, on peut devenir un mentor. L'égalité d'un bon mentor, c'est de l'écoute active, donc c'est comprendre... avant de conseiller. Un bon mentor doit savoir écouter sans imposer ses propres solutions. Par exemple, dans un cadre professionnel, un mentor pourrait aider un collègue plus jeune en posant des questions ouvertes plutôt que directement une marche à suivre. La patience. Acceptez le temps d'apprentissage. Le mentorat est un processus d'accompagnement. Il faut laisser le mentoré avancer à son propre rythme. Un mentor aidant un jeune entrepreneur au Québec, par exemple, peut lui donner Il a permis de construire son réseau et de développer ses compétences en tirant lui-même des leçons de ses erreurs. Donc, on apprend toujours de nos erreurs. Humilité. Apprendre de son mentoré. Un bon mentor sait qu'il n'a pas toutes les réponses aux questions. L'échange doit être mutuel. Par exemple, un mentor en technologie pourrait découvrir un nouvel outil numérique grâce à son mentoré tout en partageant son expérience de gestion de projet. La cinquantaine est une période de transition qui est remplie de défis, mais aussi d'opportunités. Le mentorat donc... peut jouer un rôle clé pour accompagner les hommes dans leur questionnement professionnel de santé et leurs relations interpersonnelles. En trouvant un bon mentor qui partage son expérience et son savoir, il devient plus facile de naviguer dans cette étape de la vie avec confiance et sérénité. Dans la vie quotidienne, le mentorat ne se limite pas au monde professionnel. Il peut prendre de nombreuses formes. Par exemple, un parent peut devenir un mentor pour ses enfants en leur transmettant des valeurs et des compétences pratiques. Nos grands-parents, par exemple, sont une sorte de mentor. Au Québec, de nombreux programmes communautaires encouragent des mentorats intergénérationnels. comme le programme Grands Frères, Grandes Sœurs, qui met en relation des jeunes avec des mentors adultes pour les aider à naviguer dans les défis de la vie. Un autre exemple concret est celui des transitions du savoir-faire. Un mentor pourrait enseigner à un jeune comment réparer une bicyclette, cuisiner un plat traditionnel québécois, comme la poutine, ou même gérer un budget familial. Ces compétences, bien que simples, sont essentielles à la vie quotidienne et peuvent avoir un impact significatif sur la confiance et l'autonomie des jeunes. Le mentorat professionnel. Dans le cadre professionnel, le mentorat est un outil puissant pour le développement des carrières. Au Canada, de nombreuses entreprises ont mis en place des programmes de mentorat pour favoriser la croissance des employés. Par exemple, chez Desjardins, l'un des plus grands groupes financiers au Québec, le programme de mentorat interne a permis à des jeunes employés de progresser plus rapidement dans leur carrière tout en permettant aux mentors de rester connectés aux nouvelles tendances du marché. Autre exemple, chez moi où je travaille présentement, on a un programme de mentor et mentoré et c'est extraordinaire parce que c'est des gens qui sont dans le métier. qui sont dans l'entreprise depuis près de 15 ans minimum qui aident les gens qui viennent d'arriver à comprendre l'entreprise et savoir quoi faire. Le mentorat professionnel peut également aider à éviter des pièges courants au début de sa carrière. Par exemple, un mentor pourrait guider un jeune professionnel à la négociation de son premier salaire, une gestion de conflit au travail. Selon l'Université de Montréal, les employés qui ont bénéficié d'un mentorat ont déclaré une augmentation de 30 % de leur satisfaction au travail et une meilleure compréhension des attentes de leur employeur. C'est très bien ça. Pour devenir un bon mentor, il faut d'abord cultiver une attitude bienveillante et ouverte. Cela signifie être disponible pour son mentoré, mais aussi savoir respecter son espace et son autonomie. Ensuite, il est important d'être curieux et de s'intéresser réellement à la personne que l'on mentor. Poser des questions, écouter actif et montrer de l'empathie sont des compétences clés. Être un bon mentor doit être prêt à apprendre. Donc, le mentorat est un échange à double sens. Par exemple, un mentor dans le domaine de la santé pourrait apprendre de son mentoré les dernières avancées technologiques en médecine, tout en partageant son expérience sur la gestion des relations avec les patients. Selon les données québécoises et canadiennes, au Québec, le réseau M pour la santé des hommes propose des services de mentorat axés sur la santé et le bien-être. Selon une enquête menée dans ce réseau, 70 % des participants ont rapporté une amélioration significative de leur qualité de vie après avoir participé à un des programmes de mentorat. Le gouvernement du Canada a également reconnu l'importance du mentorat pour les travailleurs âgés. Le programme du Patronariat pour le développement social, personnes handicapées, inclut des initiatives de mentorat pour aider les Canadiens âgés à rester actifs sur le marché du travail. Comment choisir son bon programme de mentorat ? Donc, tout d'abord, il faut identifier nos besoins. Transition de carrière, santé mentale, bien-être, etc. Vérifier les critères d'admissibilité. Certains programmes sont réservés à des groupes spécifiques. Explorez les options en ligne. Beaucoup de programmes offrent des services virtuels maintenant. Contactez les organisations. N'hésitez pas à poser des questions, à les contacter par courriel ou par téléphone si vous avez à parler à quelqu'un. Le mentorat peut être un outil puissant, peut nous servir à nous épanouir et à être productif pour la cinquantaine. En conclusion, le mentorat pour les hommes de la cinquantaine est un outil pratique qui permet de naviguer dans les défis complexes de cette phase de la vie. Au Québec et au Canada, où la population vieillit rapidement, Il est essentiel de promouvoir et de soutenir ces programmes. Que ce soit par des transitions professionnelles, des préoccupations de la santé ou des questions d'identité, le mentorat offre un soutien précieux qui peut améliorer la qualité de la vie et le bien-être de l'homme dans la cinquantaine. Je serais trop insisté sur l'importance de chercher de l'aide et de participer à des programmes de mentorat. C'est un investissement pour l'avenir et notre bien-être. Alors, si vous êtes un homme de la cinquantaine et aussi vous connaissez quelqu'un qui pourrait bénéficier du mentorat, N'hésitez pas à explorer les ressources disponibles au Québec et au Canada. Prenez soin de vous et on se voit la semaine prochaine.
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Notre objectif est de sensibiliser les hommes de 50 ans et plus des changements qu’ils peuvent rencontrer dans divers domaines de leur vie, comme la santé, les relations, la carrière et bien d’autres encore.
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Salut à tous et bienvenue dans la cinquantaine Expliquer pour nous, l'émission où on parle de tout ce que vous, monsieur de 45 à 60 ans, avez toujours voulu savoir mais n'avez jamais osé demander. Installez-vous confortablement, prenez un café ou un verre de vin, on ne vous juge pas, et laissez-nous vous guider à travers des discussions sincères, des conseils pratiques et des ressources utiles. N'oubliez pas de cliquer sur j'aime, de vous abonner à notre chaîne et d'activer la cloche pour ne rien manquer de tous nos nouveaux contenus que nous préparons pour vous. Et maintenant, c'est parti ! Aujourd'hui, le mentorat. Nous verrons comment cette pratique peut aider à naviguer les défis professionnels, personnels et de santé. Et nous allons nous appuyer sur les données canadiennes et québécoises pour illustrer notre propos. Le contexte démographique. Commençons par un peu le contexte au Québec. Comme tout le reste du Canada, la population vieillit. Et oui, ce n'est pas une mythe, c'est une réalité. Selon l'Institut de la statistique du Québec. Les personnes âgées de 50 ans et plus représentent environ 30 % de la population et cette proportion ne cesse d'augmenter. En 2021, on estimait que près de 4 millions de Québécois avaient 50 ans et plus. Cette évolution démographique soulève des questions importantes sur la manière dont nous pouvons soutenir les hommes dans la cinquantaine et qu'ils maintiennent une qualité de vie élevée tant sur le plan professionnel que personnel. Le vieillissement de la population est un phénomène majeur. Les hommes de la cinquantaine font face à des défis spécifiques, notamment en ce qui concerne leur carrière, leur santé et les relations personnelles. Le mental-ra peut jouer un rôle crucial pour les aider à naviguer à travers cette transition. Une priorité grandissante. Le défi sur la santé. Le vieillissement apporte son loup de changements psychologiques et aussi physiques. Parmi les problèmes de santé les plus courants, on retrouve les maladies cardiovasculaires, le diabète et les douleurs articulaires. Le plus lent repos, ce qui correspond à une diminution progressive du taux de testérone, peut avoir des répercussions sur le bien-être physique et émotionnel des hommes. La santé mentale est aussi un enjeu crucial. L'anxiété, la dépression, le sentiment d'isolement peuvent être exacerbés à cette étape de la vie. Malheureusement, beaucoup d'hommes hésitent à demander de l'aide, souvent en raison des préjugés sociaux ou personnels. Le mental-ra peut offrir un espace de dialogue, de soutien et encourage les hommes à aborder les préoccupations en toute confiance à voir les autres. Les relations personnelles, naviguer entre les changements et les nouveaux défis. En fait, les relations interpersonnelles évoluent inévitablement avec l'âge. Les enfants quittent le foyer, ce qui peut provoquer un sentiment de vide. Parallèlement, les parents âgés ont besoin de plus en plus d'attention. Enfin, les relations conjugales peuvent être mises à l'épreuve par ces nouveaux changements. Le mentorat permet aux hommes d'aborder ces transitions avec plus de sérénité et en échangeant avec des mentors ayant vécu des situations similaires. Ils peuvent trouver des conseils pratiques et un soutien émotionnel pour mieux évoluer et gérer ces situations. Tout d'abord, il faut définir ses priorités post-carrière. Donc, explorer ses nouvelles passions, maintenir un réseau social actif. Exemple concret. Prenons le cas de Jean, 55 ans, qui envisageait de prendre sa retraite, mais se sentant perdu face à de nombreuses options, il rejoint un programme de mentorat et a bénéficié des conseils d'un mentor qui l'a aidé à définir sa priorité post-carrière, explorer ses nouvelles passions, qui va l'aider aussi à maintenir ses réseaux sociaux et rester actif, tout ça en étant confiant et avec plein d'enthousiasme. L'égalité pour être un bon mentor, parce qu'il n'y a pas juste le fait d'être, avoir besoin d'un mentor, on peut devenir un mentor. L'égalité d'un bon mentor, c'est de l'écoute active, donc c'est comprendre... avant de conseiller. Un bon mentor doit savoir écouter sans imposer ses propres solutions. Par exemple, dans un cadre professionnel, un mentor pourrait aider un collègue plus jeune en posant des questions ouvertes plutôt que directement une marche à suivre. La patience. Acceptez le temps d'apprentissage. Le mentorat est un processus d'accompagnement. Il faut laisser le mentoré avancer à son propre rythme. Un mentor aidant un jeune entrepreneur au Québec, par exemple, peut lui donner Il a permis de construire son réseau et de développer ses compétences en tirant lui-même des leçons de ses erreurs. Donc, on apprend toujours de nos erreurs. Humilité. Apprendre de son mentoré. Un bon mentor sait qu'il n'a pas toutes les réponses aux questions. L'échange doit être mutuel. Par exemple, un mentor en technologie pourrait découvrir un nouvel outil numérique grâce à son mentoré tout en partageant son expérience de gestion de projet. La cinquantaine est une période de transition qui est remplie de défis, mais aussi d'opportunités. Le mentorat donc... peut jouer un rôle clé pour accompagner les hommes dans leur questionnement professionnel de santé et leurs relations interpersonnelles. En trouvant un bon mentor qui partage son expérience et son savoir, il devient plus facile de naviguer dans cette étape de la vie avec confiance et sérénité. Dans la vie quotidienne, le mentorat ne se limite pas au monde professionnel. Il peut prendre de nombreuses formes. Par exemple, un parent peut devenir un mentor pour ses enfants en leur transmettant des valeurs et des compétences pratiques. Nos grands-parents, par exemple, sont une sorte de mentor. Au Québec, de nombreux programmes communautaires encouragent des mentorats intergénérationnels. comme le programme Grands Frères, Grandes Sœurs, qui met en relation des jeunes avec des mentors adultes pour les aider à naviguer dans les défis de la vie. Un autre exemple concret est celui des transitions du savoir-faire. Un mentor pourrait enseigner à un jeune comment réparer une bicyclette, cuisiner un plat traditionnel québécois, comme la poutine, ou même gérer un budget familial. Ces compétences, bien que simples, sont essentielles à la vie quotidienne et peuvent avoir un impact significatif sur la confiance et l'autonomie des jeunes. Le mentorat professionnel. Dans le cadre professionnel, le mentorat est un outil puissant pour le développement des carrières. Au Canada, de nombreuses entreprises ont mis en place des programmes de mentorat pour favoriser la croissance des employés. Par exemple, chez Desjardins, l'un des plus grands groupes financiers au Québec, le programme de mentorat interne a permis à des jeunes employés de progresser plus rapidement dans leur carrière tout en permettant aux mentors de rester connectés aux nouvelles tendances du marché. Autre exemple, chez moi où je travaille présentement, on a un programme de mentor et mentoré et c'est extraordinaire parce que c'est des gens qui sont dans le métier. qui sont dans l'entreprise depuis près de 15 ans minimum qui aident les gens qui viennent d'arriver à comprendre l'entreprise et savoir quoi faire. Le mentorat professionnel peut également aider à éviter des pièges courants au début de sa carrière. Par exemple, un mentor pourrait guider un jeune professionnel à la négociation de son premier salaire, une gestion de conflit au travail. Selon l'Université de Montréal, les employés qui ont bénéficié d'un mentorat ont déclaré une augmentation de 30 % de leur satisfaction au travail et une meilleure compréhension des attentes de leur employeur. C'est très bien ça. Pour devenir un bon mentor, il faut d'abord cultiver une attitude bienveillante et ouverte. Cela signifie être disponible pour son mentoré, mais aussi savoir respecter son espace et son autonomie. Ensuite, il est important d'être curieux et de s'intéresser réellement à la personne que l'on mentor. Poser des questions, écouter actif et montrer de l'empathie sont des compétences clés. Être un bon mentor doit être prêt à apprendre. Donc, le mentorat est un échange à double sens. Par exemple, un mentor dans le domaine de la santé pourrait apprendre de son mentoré les dernières avancées technologiques en médecine, tout en partageant son expérience sur la gestion des relations avec les patients. Selon les données québécoises et canadiennes, au Québec, le réseau M pour la santé des hommes propose des services de mentorat axés sur la santé et le bien-être. Selon une enquête menée dans ce réseau, 70 % des participants ont rapporté une amélioration significative de leur qualité de vie après avoir participé à un des programmes de mentorat. Le gouvernement du Canada a également reconnu l'importance du mentorat pour les travailleurs âgés. Le programme du Patronariat pour le développement social, personnes handicapées, inclut des initiatives de mentorat pour aider les Canadiens âgés à rester actifs sur le marché du travail. Comment choisir son bon programme de mentorat ? Donc, tout d'abord, il faut identifier nos besoins. Transition de carrière, santé mentale, bien-être, etc. Vérifier les critères d'admissibilité. Certains programmes sont réservés à des groupes spécifiques. Explorez les options en ligne. Beaucoup de programmes offrent des services virtuels maintenant. Contactez les organisations. N'hésitez pas à poser des questions, à les contacter par courriel ou par téléphone si vous avez à parler à quelqu'un. Le mentorat peut être un outil puissant, peut nous servir à nous épanouir et à être productif pour la cinquantaine. En conclusion, le mentorat pour les hommes de la cinquantaine est un outil pratique qui permet de naviguer dans les défis complexes de cette phase de la vie. Au Québec et au Canada, où la population vieillit rapidement, Il est essentiel de promouvoir et de soutenir ces programmes. Que ce soit par des transitions professionnelles, des préoccupations de la santé ou des questions d'identité, le mentorat offre un soutien précieux qui peut améliorer la qualité de la vie et le bien-être de l'homme dans la cinquantaine. Je serais trop insisté sur l'importance de chercher de l'aide et de participer à des programmes de mentorat. C'est un investissement pour l'avenir et notre bien-être. Alors, si vous êtes un homme de la cinquantaine et aussi vous connaissez quelqu'un qui pourrait bénéficier du mentorat, N'hésitez pas à explorer les ressources disponibles au Québec et au Canada. Prenez soin de vous et on se voit la semaine prochaine.
Description
Notre objectif est de sensibiliser les hommes de 50 ans et plus des changements qu’ils peuvent rencontrer dans divers domaines de leur vie, comme la santé, les relations, la carrière et bien d’autres encore.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Transcription
Salut à tous et bienvenue dans la cinquantaine Expliquer pour nous, l'émission où on parle de tout ce que vous, monsieur de 45 à 60 ans, avez toujours voulu savoir mais n'avez jamais osé demander. Installez-vous confortablement, prenez un café ou un verre de vin, on ne vous juge pas, et laissez-nous vous guider à travers des discussions sincères, des conseils pratiques et des ressources utiles. N'oubliez pas de cliquer sur j'aime, de vous abonner à notre chaîne et d'activer la cloche pour ne rien manquer de tous nos nouveaux contenus que nous préparons pour vous. Et maintenant, c'est parti ! Aujourd'hui, le mentorat. Nous verrons comment cette pratique peut aider à naviguer les défis professionnels, personnels et de santé. Et nous allons nous appuyer sur les données canadiennes et québécoises pour illustrer notre propos. Le contexte démographique. Commençons par un peu le contexte au Québec. Comme tout le reste du Canada, la population vieillit. Et oui, ce n'est pas une mythe, c'est une réalité. Selon l'Institut de la statistique du Québec. Les personnes âgées de 50 ans et plus représentent environ 30 % de la population et cette proportion ne cesse d'augmenter. En 2021, on estimait que près de 4 millions de Québécois avaient 50 ans et plus. Cette évolution démographique soulève des questions importantes sur la manière dont nous pouvons soutenir les hommes dans la cinquantaine et qu'ils maintiennent une qualité de vie élevée tant sur le plan professionnel que personnel. Le vieillissement de la population est un phénomène majeur. Les hommes de la cinquantaine font face à des défis spécifiques, notamment en ce qui concerne leur carrière, leur santé et les relations personnelles. Le mental-ra peut jouer un rôle crucial pour les aider à naviguer à travers cette transition. Une priorité grandissante. Le défi sur la santé. Le vieillissement apporte son loup de changements psychologiques et aussi physiques. Parmi les problèmes de santé les plus courants, on retrouve les maladies cardiovasculaires, le diabète et les douleurs articulaires. Le plus lent repos, ce qui correspond à une diminution progressive du taux de testérone, peut avoir des répercussions sur le bien-être physique et émotionnel des hommes. La santé mentale est aussi un enjeu crucial. L'anxiété, la dépression, le sentiment d'isolement peuvent être exacerbés à cette étape de la vie. Malheureusement, beaucoup d'hommes hésitent à demander de l'aide, souvent en raison des préjugés sociaux ou personnels. Le mental-ra peut offrir un espace de dialogue, de soutien et encourage les hommes à aborder les préoccupations en toute confiance à voir les autres. Les relations personnelles, naviguer entre les changements et les nouveaux défis. En fait, les relations interpersonnelles évoluent inévitablement avec l'âge. Les enfants quittent le foyer, ce qui peut provoquer un sentiment de vide. Parallèlement, les parents âgés ont besoin de plus en plus d'attention. Enfin, les relations conjugales peuvent être mises à l'épreuve par ces nouveaux changements. Le mentorat permet aux hommes d'aborder ces transitions avec plus de sérénité et en échangeant avec des mentors ayant vécu des situations similaires. Ils peuvent trouver des conseils pratiques et un soutien émotionnel pour mieux évoluer et gérer ces situations. Tout d'abord, il faut définir ses priorités post-carrière. Donc, explorer ses nouvelles passions, maintenir un réseau social actif. Exemple concret. Prenons le cas de Jean, 55 ans, qui envisageait de prendre sa retraite, mais se sentant perdu face à de nombreuses options, il rejoint un programme de mentorat et a bénéficié des conseils d'un mentor qui l'a aidé à définir sa priorité post-carrière, explorer ses nouvelles passions, qui va l'aider aussi à maintenir ses réseaux sociaux et rester actif, tout ça en étant confiant et avec plein d'enthousiasme. L'égalité pour être un bon mentor, parce qu'il n'y a pas juste le fait d'être, avoir besoin d'un mentor, on peut devenir un mentor. L'égalité d'un bon mentor, c'est de l'écoute active, donc c'est comprendre... avant de conseiller. Un bon mentor doit savoir écouter sans imposer ses propres solutions. Par exemple, dans un cadre professionnel, un mentor pourrait aider un collègue plus jeune en posant des questions ouvertes plutôt que directement une marche à suivre. La patience. Acceptez le temps d'apprentissage. Le mentorat est un processus d'accompagnement. Il faut laisser le mentoré avancer à son propre rythme. Un mentor aidant un jeune entrepreneur au Québec, par exemple, peut lui donner Il a permis de construire son réseau et de développer ses compétences en tirant lui-même des leçons de ses erreurs. Donc, on apprend toujours de nos erreurs. Humilité. Apprendre de son mentoré. Un bon mentor sait qu'il n'a pas toutes les réponses aux questions. L'échange doit être mutuel. Par exemple, un mentor en technologie pourrait découvrir un nouvel outil numérique grâce à son mentoré tout en partageant son expérience de gestion de projet. La cinquantaine est une période de transition qui est remplie de défis, mais aussi d'opportunités. Le mentorat donc... peut jouer un rôle clé pour accompagner les hommes dans leur questionnement professionnel de santé et leurs relations interpersonnelles. En trouvant un bon mentor qui partage son expérience et son savoir, il devient plus facile de naviguer dans cette étape de la vie avec confiance et sérénité. Dans la vie quotidienne, le mentorat ne se limite pas au monde professionnel. Il peut prendre de nombreuses formes. Par exemple, un parent peut devenir un mentor pour ses enfants en leur transmettant des valeurs et des compétences pratiques. Nos grands-parents, par exemple, sont une sorte de mentor. Au Québec, de nombreux programmes communautaires encouragent des mentorats intergénérationnels. comme le programme Grands Frères, Grandes Sœurs, qui met en relation des jeunes avec des mentors adultes pour les aider à naviguer dans les défis de la vie. Un autre exemple concret est celui des transitions du savoir-faire. Un mentor pourrait enseigner à un jeune comment réparer une bicyclette, cuisiner un plat traditionnel québécois, comme la poutine, ou même gérer un budget familial. Ces compétences, bien que simples, sont essentielles à la vie quotidienne et peuvent avoir un impact significatif sur la confiance et l'autonomie des jeunes. Le mentorat professionnel. Dans le cadre professionnel, le mentorat est un outil puissant pour le développement des carrières. Au Canada, de nombreuses entreprises ont mis en place des programmes de mentorat pour favoriser la croissance des employés. Par exemple, chez Desjardins, l'un des plus grands groupes financiers au Québec, le programme de mentorat interne a permis à des jeunes employés de progresser plus rapidement dans leur carrière tout en permettant aux mentors de rester connectés aux nouvelles tendances du marché. Autre exemple, chez moi où je travaille présentement, on a un programme de mentor et mentoré et c'est extraordinaire parce que c'est des gens qui sont dans le métier. qui sont dans l'entreprise depuis près de 15 ans minimum qui aident les gens qui viennent d'arriver à comprendre l'entreprise et savoir quoi faire. Le mentorat professionnel peut également aider à éviter des pièges courants au début de sa carrière. Par exemple, un mentor pourrait guider un jeune professionnel à la négociation de son premier salaire, une gestion de conflit au travail. Selon l'Université de Montréal, les employés qui ont bénéficié d'un mentorat ont déclaré une augmentation de 30 % de leur satisfaction au travail et une meilleure compréhension des attentes de leur employeur. C'est très bien ça. Pour devenir un bon mentor, il faut d'abord cultiver une attitude bienveillante et ouverte. Cela signifie être disponible pour son mentoré, mais aussi savoir respecter son espace et son autonomie. Ensuite, il est important d'être curieux et de s'intéresser réellement à la personne que l'on mentor. Poser des questions, écouter actif et montrer de l'empathie sont des compétences clés. Être un bon mentor doit être prêt à apprendre. Donc, le mentorat est un échange à double sens. Par exemple, un mentor dans le domaine de la santé pourrait apprendre de son mentoré les dernières avancées technologiques en médecine, tout en partageant son expérience sur la gestion des relations avec les patients. Selon les données québécoises et canadiennes, au Québec, le réseau M pour la santé des hommes propose des services de mentorat axés sur la santé et le bien-être. Selon une enquête menée dans ce réseau, 70 % des participants ont rapporté une amélioration significative de leur qualité de vie après avoir participé à un des programmes de mentorat. Le gouvernement du Canada a également reconnu l'importance du mentorat pour les travailleurs âgés. Le programme du Patronariat pour le développement social, personnes handicapées, inclut des initiatives de mentorat pour aider les Canadiens âgés à rester actifs sur le marché du travail. Comment choisir son bon programme de mentorat ? Donc, tout d'abord, il faut identifier nos besoins. Transition de carrière, santé mentale, bien-être, etc. Vérifier les critères d'admissibilité. Certains programmes sont réservés à des groupes spécifiques. Explorez les options en ligne. Beaucoup de programmes offrent des services virtuels maintenant. Contactez les organisations. N'hésitez pas à poser des questions, à les contacter par courriel ou par téléphone si vous avez à parler à quelqu'un. Le mentorat peut être un outil puissant, peut nous servir à nous épanouir et à être productif pour la cinquantaine. En conclusion, le mentorat pour les hommes de la cinquantaine est un outil pratique qui permet de naviguer dans les défis complexes de cette phase de la vie. Au Québec et au Canada, où la population vieillit rapidement, Il est essentiel de promouvoir et de soutenir ces programmes. Que ce soit par des transitions professionnelles, des préoccupations de la santé ou des questions d'identité, le mentorat offre un soutien précieux qui peut améliorer la qualité de la vie et le bien-être de l'homme dans la cinquantaine. Je serais trop insisté sur l'importance de chercher de l'aide et de participer à des programmes de mentorat. C'est un investissement pour l'avenir et notre bien-être. Alors, si vous êtes un homme de la cinquantaine et aussi vous connaissez quelqu'un qui pourrait bénéficier du mentorat, N'hésitez pas à explorer les ressources disponibles au Québec et au Canada. Prenez soin de vous et on se voit la semaine prochaine.
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