Description
L'actualité de la RDC en direct et en continu.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
349 episodes
2 playlists
Season 1


« Vous avez déposé votre memo. Vous avez lu le contenu. Je vais transmettre aux Chefs religieux. On va se réunir aujourd’hui et je vais remettre ce document entre leurs mains », a dit l’abbé Donatien Nshole Babula, aux jeunes de Lamuka qui avait envahit le siège de la Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO) où les chefs religieux doivent se réunir pour désigner leurs délégués à la Commission électorale nationale indépendante (CENI). L'ECiDé de Martin Fayulu a adhérer à l’appel lancé par la Lucha et invite le peuple congolais à se mobiliser dans le cadre d’un AGENDA CITOYEN pour le respect de la constitution, la dépolitisation de la CENI et l’organisation dans le délai des élections. Pour Martin Fayulu, les huit confessions religieuses doivent rejeter cette nouvelle loi et s’abstenir de transmettre leurs dossiers. C’est ce que les jeunes de Lamuka sont allés dire ce mardi aux chefs religieux. Vous pouvez suivre leur mémo ici. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
6min | Published on July 27, 2021


Lamuka en sit-in à la CENCO: « la politisation de la CENI est du genre à préparer le lit de la fraude et tuer la démocratie dans notre pays » Les jeunes de Lamuka/Fayulu-Muzito sont en sit-in ce mardi au siège de la Conférence Épiscopale Nationale du Congo (CENCO). Ils viennent demander aux confessions religieuses de ne pas envoyer leurs délégués à la CENI. Les chefs religieux se sont donnés rendez-vous pour examiner toutes les candidatures reçues. Le programme prévoir un travail préalable par les membres du secrétariat technique. Une liste restreinte sera ensuite soumise à la plénière composée des chefs religieux. Ces derniers passeront au vote si le consensus n’est pas trouvé. Les jeunes de Lamuka ne l’entendent pas de cette oreille. « Ils marchent sur le cadavre de la loi. La constitution est claire: la CENI doit être indépendante. Elle ne doit pas souffrir des influences politiques. Tout ce qui doit être fait à la CENI doit l’être par les personnes neutres et apolitiques. Aujourd’hui, les membres de l’union sacrée et l’opposition qu’ils se sont fabriquées, c’est la continuité de Kabila », dit un militant à ACTUALITE.CD Serge Welo, cadre de Lamuka ajoute: « Nous demandons à la CENCO de ne pas envoyer ses membres à la CENI. Il y a la fraude là-bas. On pensait qu’avec le départ de Kabila les crimes vont s’arrêter. Nous sommes mobilisés pour demander à la CENCO ne cautionne pas la forfaiture ». Vous pouvez écouter l’entièreté de cet entretien ici. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
6min | Published on July 27, 2021


La tension est toujours perceptible sur le site de l’Université de Kinshasa (UNIKIN) et ses alentours. Des étudiants ont quitté le campus. Certains sont arrivés jusque’à la Place appelée Intendance. Des jeunes considérés « des kulunas » sont au milieu des policiers et des étudiants. La situation se corse. « Les policiers sont derrière les kulunas, c’est anormal. Notre pays ne tolère pas les kulunas. On les voit soutenus par les policiers pour combattre les étudiants. C’est anormal », se plaint un étudiant. Et d’ajouter: « Nous avons vu des machettes, des lames, des armes blanches, et autres choses ». Les jets de projectiles se poursuivent. Eddy Mukuna, Commissaire Adjoint de la ville de Kinshasa chargé des opérations, est arrivé aux alentours du campus de l’UNIKIN. Il explique que les policiers ne travaillent pas avec les kulunas. « Ce sont des curieux qui sont venus ce qui va se passer. Dans tous les cas, la situation est sous contrôle. La Police est là » Par ailleurs, les étudiants négocient pour obtenir la libération de leurs camarades interpellés. Tout est parti de la mort d’un étudiant samedi. Le jeune Honoré Shama Kwete a été tué par balle par un policier suite à une embrouille née de l’intervention disproportionnée de la Police pour non port de masque et frais d’autorisation de tournage d’une vidéo dans le cadre d’un travail pratique. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
33sec | Published on July 26, 2021


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
1min | Published on July 26, 2021


Le député Ados Ndombasi déposera ce lundi sa question orale avec débat au bureau de l’Assemblée nationale. Elle est adressée à Daniel Asselo Okito Wankoy, vice-premier ministre de l'Intérieur, de la Sécurité, de la Décentralisation et des Affaires coutumières, au sujet et du meurtre par balle d’un étudiant de l’Université de Kinshasa (Unikin). Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
2min | Published on July 26, 2021


La communauté estudiantine de l’Université de Kinshasa (Unikin) est consternée par la mort de l’étudiant Honoré Shama Kwete, de G2 faculté des lettres. Il a été tué par balle par un policier samedi 24 juillet dans la commune de Selembao, à Kinshasa. L’évènement s’est déroulé au quartier Libération pendant l’enregistrement vidéo d’une scène dans le cadre du travail pratique du cours de Cinéma de la la Promotion G2 de la Faculté des lettres à l’Unikin. Il était reproché aux étudiants de ne pas porter de masque pendant l’enregistrement. Arsène Mulumba coordonateur des étudiants de l’Unikin appelle ses camarades au calme. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
3min | Published on July 26, 2021


Selon le récit rapporté par le N°1 de la PNC à Kinshasa, la scène s’est déroulée vers 17heures au quartier Libération. D’après les renseignements en sa possession et les témoignages des proches de la victime, « le groupe d'étudiants de deuxième année de graduat information et communication de la faculté des lettres était en tournage d'une pièce de théâtre dans le cadre d'un travail pratique quand les éléments de la police ont exigé du groupe de brandir un document légal autorisant ce tournage ». Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
1min | Published on July 26, 2021


Les médecins des hôpitaux publics n’ont pas encore décidé de la levée ou pas de la grève radicalisée depuis mardi. Leurs représentants ont été reçus le même mardi par les membres du gouvernement dont le Premier ministre. Des propositions ont été faites sur des revendications qui semblent s’éterniser. « Nous grevons pour que l’Etat congolais puisse prendre en considération les revendications des médecins. Nous voulons monter en grade régulièrement selon le statut relatif à la fonction publique. Nous voulons être rémunérés normalement et nous voulons travailler dans de bonnes conditions », a dit à ACTUALITE.CD Plus de 400 médecins de l’Hôpital Général de Kinshasa sont concernés par cette situation. « Tous sont concernés par cette grève. Il y a des médecins qui travaillent ni prime ni salaire ». Les médecins veulent maintenant du concret, disent-ils. « On est habitués aux promesses qui ne sont jamais réalisées, nous voulons du concret. Nous voulons trouver gain de cause. Il faut que le gouvernement soit concret. Qu’on nous dise x et qu’on palpe x ». Vous pouvez le suivre ici. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
3min | Published on July 21, 2021


« Nous avons débuté vers 14 heures. Nous avons rencontré le 1er ministre. Nous avons exposé nos revendications. Nous allons restituer à la base pour prendre des décisions. Le gouvernement a donné ses réponses. Tout ne sera pas aujourd’hui ou demain. Certaines revendications prendront du temps pour être satisfaites par exemple, il faudra attendre des ordonnances, des listes que certains soient admis sous statut. Nous allons suivre tout cela avec la fonction publique pour que cela soit insérer dans le budget de l’Etat. Sur la question de la prime de risque des médecins, il y a des avancées. J’espère que nous allons arriver à un compromis », a déclaré le secrétaire général du Syndicat national des médecins de la RDC (Synamed), docteur Mankoy Badjoki. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
39sec | Published on July 21, 2021


Tous les malades qui se présentaient mardi à l’Hôpital Général de Kinshasa étaient éconduits. Dès l’entrée du complexe hospitalier, ils étaient priés de rebrousser chemin. Le plus grand hôpital public de la capitale n’était pas sur la liste des exceptions admises par les syndicats pour accepter le service minimum lié aux urgences. La grève est totale et radicale. Cependant, deux hôpitaux par jour sont désignés pour répondre à la pression des urgences pour la journée de mardi, c’était le tour de l’Hôpital de Kinkole et celui de Ngaliema. « Dans la radicalisation de la grève, il y a des hôpitaux qui ont été choisis pour recevoir les urgences. Aujourd’hui, l’hôpital général ne reçoit pas. Les hôpitaux concernés sont l’hôpital de Kinkole et celui de Ngaliema », a dit à ACTUALITE.CD Dr Kati Ngoboka, secrétaire sectionnaire principal du SYNAMED à l’hôpital Général de Kinshasa. Des instructions claires ont été données aux gardiens. « Nous étions obligés de dire à nos frères qui sont à la porte que dès que les malades arrivent, il faut qu’ils soient dirigés vers Kinkole et Ngaliema ». Les syndicalistes ont été reçus mardi par le Premier ministre. Des assurances leur ont été données. Ils doivent restituer à leurs collègues avant de décider de la levée ou pas de la grève. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
39sec | Published on July 21, 2021
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« Vous avez déposé votre memo. Vous avez lu le contenu. Je vais transmettre aux Chefs religieux. On va se réunir aujourd’hui et je vais remettre ce document entre leurs mains », a dit l’abbé Donatien Nshole Babula, aux jeunes de Lamuka qui avait envahit le siège de la Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO) où les chefs religieux doivent se réunir pour désigner leurs délégués à la Commission électorale nationale indépendante (CENI). L'ECiDé de Martin Fayulu a adhérer à l’appel lancé par la Lucha et invite le peuple congolais à se mobiliser dans le cadre d’un AGENDA CITOYEN pour le respect de la constitution, la dépolitisation de la CENI et l’organisation dans le délai des élections. Pour Martin Fayulu, les huit confessions religieuses doivent rejeter cette nouvelle loi et s’abstenir de transmettre leurs dossiers. C’est ce que les jeunes de Lamuka sont allés dire ce mardi aux chefs religieux. Vous pouvez suivre leur mémo ici. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Lamuka en sit-in à la CENCO: « la politisation de la CENI est du genre à préparer le lit de la fraude et tuer la démocratie dans notre pays » Les jeunes de Lamuka/Fayulu-Muzito sont en sit-in ce mardi au siège de la Conférence Épiscopale Nationale du Congo (CENCO). Ils viennent demander aux confessions religieuses de ne pas envoyer leurs délégués à la CENI. Les chefs religieux se sont donnés rendez-vous pour examiner toutes les candidatures reçues. Le programme prévoir un travail préalable par les membres du secrétariat technique. Une liste restreinte sera ensuite soumise à la plénière composée des chefs religieux. Ces derniers passeront au vote si le consensus n’est pas trouvé. Les jeunes de Lamuka ne l’entendent pas de cette oreille. « Ils marchent sur le cadavre de la loi. La constitution est claire: la CENI doit être indépendante. Elle ne doit pas souffrir des influences politiques. Tout ce qui doit être fait à la CENI doit l’être par les personnes neutres et apolitiques. Aujourd’hui, les membres de l’union sacrée et l’opposition qu’ils se sont fabriquées, c’est la continuité de Kabila », dit un militant à ACTUALITE.CD Serge Welo, cadre de Lamuka ajoute: « Nous demandons à la CENCO de ne pas envoyer ses membres à la CENI. Il y a la fraude là-bas. On pensait qu’avec le départ de Kabila les crimes vont s’arrêter. Nous sommes mobilisés pour demander à la CENCO ne cautionne pas la forfaiture ». Vous pouvez écouter l’entièreté de cet entretien ici. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
6min | Published on July 27, 2021


La tension est toujours perceptible sur le site de l’Université de Kinshasa (UNIKIN) et ses alentours. Des étudiants ont quitté le campus. Certains sont arrivés jusque’à la Place appelée Intendance. Des jeunes considérés « des kulunas » sont au milieu des policiers et des étudiants. La situation se corse. « Les policiers sont derrière les kulunas, c’est anormal. Notre pays ne tolère pas les kulunas. On les voit soutenus par les policiers pour combattre les étudiants. C’est anormal », se plaint un étudiant. Et d’ajouter: « Nous avons vu des machettes, des lames, des armes blanches, et autres choses ». Les jets de projectiles se poursuivent. Eddy Mukuna, Commissaire Adjoint de la ville de Kinshasa chargé des opérations, est arrivé aux alentours du campus de l’UNIKIN. Il explique que les policiers ne travaillent pas avec les kulunas. « Ce sont des curieux qui sont venus ce qui va se passer. Dans tous les cas, la situation est sous contrôle. La Police est là » Par ailleurs, les étudiants négocient pour obtenir la libération de leurs camarades interpellés. Tout est parti de la mort d’un étudiant samedi. Le jeune Honoré Shama Kwete a été tué par balle par un policier suite à une embrouille née de l’intervention disproportionnée de la Police pour non port de masque et frais d’autorisation de tournage d’une vidéo dans le cadre d’un travail pratique. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Le député Ados Ndombasi déposera ce lundi sa question orale avec débat au bureau de l’Assemblée nationale. Elle est adressée à Daniel Asselo Okito Wankoy, vice-premier ministre de l'Intérieur, de la Sécurité, de la Décentralisation et des Affaires coutumières, au sujet et du meurtre par balle d’un étudiant de l’Université de Kinshasa (Unikin). Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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La communauté estudiantine de l’Université de Kinshasa (Unikin) est consternée par la mort de l’étudiant Honoré Shama Kwete, de G2 faculté des lettres. Il a été tué par balle par un policier samedi 24 juillet dans la commune de Selembao, à Kinshasa. L’évènement s’est déroulé au quartier Libération pendant l’enregistrement vidéo d’une scène dans le cadre du travail pratique du cours de Cinéma de la la Promotion G2 de la Faculté des lettres à l’Unikin. Il était reproché aux étudiants de ne pas porter de masque pendant l’enregistrement. Arsène Mulumba coordonateur des étudiants de l’Unikin appelle ses camarades au calme. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Selon le récit rapporté par le N°1 de la PNC à Kinshasa, la scène s’est déroulée vers 17heures au quartier Libération. D’après les renseignements en sa possession et les témoignages des proches de la victime, « le groupe d'étudiants de deuxième année de graduat information et communication de la faculté des lettres était en tournage d'une pièce de théâtre dans le cadre d'un travail pratique quand les éléments de la police ont exigé du groupe de brandir un document légal autorisant ce tournage ». Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Les médecins des hôpitaux publics n’ont pas encore décidé de la levée ou pas de la grève radicalisée depuis mardi. Leurs représentants ont été reçus le même mardi par les membres du gouvernement dont le Premier ministre. Des propositions ont été faites sur des revendications qui semblent s’éterniser. « Nous grevons pour que l’Etat congolais puisse prendre en considération les revendications des médecins. Nous voulons monter en grade régulièrement selon le statut relatif à la fonction publique. Nous voulons être rémunérés normalement et nous voulons travailler dans de bonnes conditions », a dit à ACTUALITE.CD Plus de 400 médecins de l’Hôpital Général de Kinshasa sont concernés par cette situation. « Tous sont concernés par cette grève. Il y a des médecins qui travaillent ni prime ni salaire ». Les médecins veulent maintenant du concret, disent-ils. « On est habitués aux promesses qui ne sont jamais réalisées, nous voulons du concret. Nous voulons trouver gain de cause. Il faut que le gouvernement soit concret. Qu’on nous dise x et qu’on palpe x ». Vous pouvez le suivre ici. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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« Nous avons débuté vers 14 heures. Nous avons rencontré le 1er ministre. Nous avons exposé nos revendications. Nous allons restituer à la base pour prendre des décisions. Le gouvernement a donné ses réponses. Tout ne sera pas aujourd’hui ou demain. Certaines revendications prendront du temps pour être satisfaites par exemple, il faudra attendre des ordonnances, des listes que certains soient admis sous statut. Nous allons suivre tout cela avec la fonction publique pour que cela soit insérer dans le budget de l’Etat. Sur la question de la prime de risque des médecins, il y a des avancées. J’espère que nous allons arriver à un compromis », a déclaré le secrétaire général du Syndicat national des médecins de la RDC (Synamed), docteur Mankoy Badjoki. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Tous les malades qui se présentaient mardi à l’Hôpital Général de Kinshasa étaient éconduits. Dès l’entrée du complexe hospitalier, ils étaient priés de rebrousser chemin. Le plus grand hôpital public de la capitale n’était pas sur la liste des exceptions admises par les syndicats pour accepter le service minimum lié aux urgences. La grève est totale et radicale. Cependant, deux hôpitaux par jour sont désignés pour répondre à la pression des urgences pour la journée de mardi, c’était le tour de l’Hôpital de Kinkole et celui de Ngaliema. « Dans la radicalisation de la grève, il y a des hôpitaux qui ont été choisis pour recevoir les urgences. Aujourd’hui, l’hôpital général ne reçoit pas. Les hôpitaux concernés sont l’hôpital de Kinkole et celui de Ngaliema », a dit à ACTUALITE.CD Dr Kati Ngoboka, secrétaire sectionnaire principal du SYNAMED à l’hôpital Général de Kinshasa. Des instructions claires ont été données aux gardiens. « Nous étions obligés de dire à nos frères qui sont à la porte que dès que les malades arrivent, il faut qu’ils soient dirigés vers Kinkole et Ngaliema ». Les syndicalistes ont été reçus mardi par le Premier ministre. Des assurances leur ont été données. Ils doivent restituer à leurs collègues avant de décider de la levée ou pas de la grève. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
39sec | Published on July 21, 2021