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Adoption: Graines d'amour

Adoption: se libérer de la blessure de l'abandon

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08min |16/05/2025|

42

Play
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Description

Ce que tu as vécu ne dit pas qui tu es. Mais tu peux choisir ce que tu en fais.



Il y a cette phrase qu’on ne dit jamais, mais qu’on ressent souvent.
👉 “J’ai peur qu’on m’abandonne.”

Même quand on est aimé. Même quand tout va bien.

C’est une peur sourde, discrète, qui s’infiltre dans nos relations, nos silences, nos attentes.


Cette semaine, je t’emmène dans un épisode fort.

Un épisode que j’ai mis du temps à écrire, parce qu’il me touche profondément.
Il parle de cette blessure invisible que l’on porte parfois sans même s’en rendre compte : la blessure d’abandon.


Et surtout… de comment on peut en faire une force.


Tu peux avoir été adopté·e par une famille aimante, avoir entendu mille fois qu’on t’aimait “comme si tu avais toujours été là”...

Et pourtant ressentir un doute que rien ne vient apaiser.
👉 Ce doute-là n’est pas de l’ingratitude.
👉 Ce n’est pas un caprice.

C’est une mémoire ancienne, qui s’est logée dans le corps bien avant les mots.

Ce que la science nous dit, c’est que le cerveau d’un tout-petit, confronté à une rupture précoce, enregistre un message simple :

“Tu n’es pas en sécurité.”

Même si plus tard, l’amour est là.

Alors on apprend à se faire tout petit.
À deviner ce que l’autre attend.
À ne jamais être “trop”.
À mériter sa place, encore et encore.


Mais un jour, cette stratégie d’adaptation devient un poids.
Et on étouffe.
Parce qu’on veut être aimé·e pour ce qu’on est. Pas pour ce qu’on offre.
Pas pour ce qu’on réussit.
Pas pour ce qu’on camoufle.


Dans cet épisode, je t’invite à faire plusieurs pas concrets :

👁‍🗨 Identifier quand cette blessure d’abandon s’active (et à quoi elle te fait réagir plus fort que les autres).
💬 Oser dire ce que tu ressens, même si tu trembles (parce que la vérité, c’est que la sécurité naît de la vulnérabilité partagée).
🔍 Faire le tri dans tes relations : qui te fait du bien ? Avec qui tu t’adaptes encore trop ?
💛 Et surtout : te choisir. Te reconnaître toi-même, sans attendre l’approbation de qui que ce soit.


Cet épisode n’est pas une solution miracle.

Mais c’est une main tendue.
Un espace pour poser ce que tu n’as jamais osé dire.
Et peut-être… pour commencer à réécrire l’histoire.


Ce que tu as vécu ne dit pas qui tu es.
Mais tu peux décider, aujourd’hui, de ce que tu veux faire de cette douleur.

Et si tu faisais de cette blessure ta plus grande puissance ?
Je t’y accompagne, à ta façon. À ton rythme.


Avec toi,

Smitha 💛


PS : Si tu connais quelqu’un qui se sent “trop”, “pas assez”, ou “de trop”, transfère-lui cette lettre. Ça pourrait être exactement ce qu’il ou elle a besoin d’entendre.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Ce que tu as vécu ne dit pas qui tu es. Mais tu peux choisir ce que tu en fais.



Il y a cette phrase qu’on ne dit jamais, mais qu’on ressent souvent.
👉 “J’ai peur qu’on m’abandonne.”

Même quand on est aimé. Même quand tout va bien.

C’est une peur sourde, discrète, qui s’infiltre dans nos relations, nos silences, nos attentes.


Cette semaine, je t’emmène dans un épisode fort.

Un épisode que j’ai mis du temps à écrire, parce qu’il me touche profondément.
Il parle de cette blessure invisible que l’on porte parfois sans même s’en rendre compte : la blessure d’abandon.


Et surtout… de comment on peut en faire une force.


Tu peux avoir été adopté·e par une famille aimante, avoir entendu mille fois qu’on t’aimait “comme si tu avais toujours été là”...

Et pourtant ressentir un doute que rien ne vient apaiser.
👉 Ce doute-là n’est pas de l’ingratitude.
👉 Ce n’est pas un caprice.

C’est une mémoire ancienne, qui s’est logée dans le corps bien avant les mots.

Ce que la science nous dit, c’est que le cerveau d’un tout-petit, confronté à une rupture précoce, enregistre un message simple :

“Tu n’es pas en sécurité.”

Même si plus tard, l’amour est là.

Alors on apprend à se faire tout petit.
À deviner ce que l’autre attend.
À ne jamais être “trop”.
À mériter sa place, encore et encore.


Mais un jour, cette stratégie d’adaptation devient un poids.
Et on étouffe.
Parce qu’on veut être aimé·e pour ce qu’on est. Pas pour ce qu’on offre.
Pas pour ce qu’on réussit.
Pas pour ce qu’on camoufle.


Dans cet épisode, je t’invite à faire plusieurs pas concrets :

👁‍🗨 Identifier quand cette blessure d’abandon s’active (et à quoi elle te fait réagir plus fort que les autres).
💬 Oser dire ce que tu ressens, même si tu trembles (parce que la vérité, c’est que la sécurité naît de la vulnérabilité partagée).
🔍 Faire le tri dans tes relations : qui te fait du bien ? Avec qui tu t’adaptes encore trop ?
💛 Et surtout : te choisir. Te reconnaître toi-même, sans attendre l’approbation de qui que ce soit.


Cet épisode n’est pas une solution miracle.

Mais c’est une main tendue.
Un espace pour poser ce que tu n’as jamais osé dire.
Et peut-être… pour commencer à réécrire l’histoire.


Ce que tu as vécu ne dit pas qui tu es.
Mais tu peux décider, aujourd’hui, de ce que tu veux faire de cette douleur.

Et si tu faisais de cette blessure ta plus grande puissance ?
Je t’y accompagne, à ta façon. À ton rythme.


Avec toi,

Smitha 💛


PS : Si tu connais quelqu’un qui se sent “trop”, “pas assez”, ou “de trop”, transfère-lui cette lettre. Ça pourrait être exactement ce qu’il ou elle a besoin d’entendre.


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Ce que tu as vécu ne dit pas qui tu es. Mais tu peux choisir ce que tu en fais.



Il y a cette phrase qu’on ne dit jamais, mais qu’on ressent souvent.
👉 “J’ai peur qu’on m’abandonne.”

Même quand on est aimé. Même quand tout va bien.

C’est une peur sourde, discrète, qui s’infiltre dans nos relations, nos silences, nos attentes.


Cette semaine, je t’emmène dans un épisode fort.

Un épisode que j’ai mis du temps à écrire, parce qu’il me touche profondément.
Il parle de cette blessure invisible que l’on porte parfois sans même s’en rendre compte : la blessure d’abandon.


Et surtout… de comment on peut en faire une force.


Tu peux avoir été adopté·e par une famille aimante, avoir entendu mille fois qu’on t’aimait “comme si tu avais toujours été là”...

Et pourtant ressentir un doute que rien ne vient apaiser.
👉 Ce doute-là n’est pas de l’ingratitude.
👉 Ce n’est pas un caprice.

C’est une mémoire ancienne, qui s’est logée dans le corps bien avant les mots.

Ce que la science nous dit, c’est que le cerveau d’un tout-petit, confronté à une rupture précoce, enregistre un message simple :

“Tu n’es pas en sécurité.”

Même si plus tard, l’amour est là.

Alors on apprend à se faire tout petit.
À deviner ce que l’autre attend.
À ne jamais être “trop”.
À mériter sa place, encore et encore.


Mais un jour, cette stratégie d’adaptation devient un poids.
Et on étouffe.
Parce qu’on veut être aimé·e pour ce qu’on est. Pas pour ce qu’on offre.
Pas pour ce qu’on réussit.
Pas pour ce qu’on camoufle.


Dans cet épisode, je t’invite à faire plusieurs pas concrets :

👁‍🗨 Identifier quand cette blessure d’abandon s’active (et à quoi elle te fait réagir plus fort que les autres).
💬 Oser dire ce que tu ressens, même si tu trembles (parce que la vérité, c’est que la sécurité naît de la vulnérabilité partagée).
🔍 Faire le tri dans tes relations : qui te fait du bien ? Avec qui tu t’adaptes encore trop ?
💛 Et surtout : te choisir. Te reconnaître toi-même, sans attendre l’approbation de qui que ce soit.


Cet épisode n’est pas une solution miracle.

Mais c’est une main tendue.
Un espace pour poser ce que tu n’as jamais osé dire.
Et peut-être… pour commencer à réécrire l’histoire.


Ce que tu as vécu ne dit pas qui tu es.
Mais tu peux décider, aujourd’hui, de ce que tu veux faire de cette douleur.

Et si tu faisais de cette blessure ta plus grande puissance ?
Je t’y accompagne, à ta façon. À ton rythme.


Avec toi,

Smitha 💛


PS : Si tu connais quelqu’un qui se sent “trop”, “pas assez”, ou “de trop”, transfère-lui cette lettre. Ça pourrait être exactement ce qu’il ou elle a besoin d’entendre.


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Ce que tu as vécu ne dit pas qui tu es. Mais tu peux choisir ce que tu en fais.



Il y a cette phrase qu’on ne dit jamais, mais qu’on ressent souvent.
👉 “J’ai peur qu’on m’abandonne.”

Même quand on est aimé. Même quand tout va bien.

C’est une peur sourde, discrète, qui s’infiltre dans nos relations, nos silences, nos attentes.


Cette semaine, je t’emmène dans un épisode fort.

Un épisode que j’ai mis du temps à écrire, parce qu’il me touche profondément.
Il parle de cette blessure invisible que l’on porte parfois sans même s’en rendre compte : la blessure d’abandon.


Et surtout… de comment on peut en faire une force.


Tu peux avoir été adopté·e par une famille aimante, avoir entendu mille fois qu’on t’aimait “comme si tu avais toujours été là”...

Et pourtant ressentir un doute que rien ne vient apaiser.
👉 Ce doute-là n’est pas de l’ingratitude.
👉 Ce n’est pas un caprice.

C’est une mémoire ancienne, qui s’est logée dans le corps bien avant les mots.

Ce que la science nous dit, c’est que le cerveau d’un tout-petit, confronté à une rupture précoce, enregistre un message simple :

“Tu n’es pas en sécurité.”

Même si plus tard, l’amour est là.

Alors on apprend à se faire tout petit.
À deviner ce que l’autre attend.
À ne jamais être “trop”.
À mériter sa place, encore et encore.


Mais un jour, cette stratégie d’adaptation devient un poids.
Et on étouffe.
Parce qu’on veut être aimé·e pour ce qu’on est. Pas pour ce qu’on offre.
Pas pour ce qu’on réussit.
Pas pour ce qu’on camoufle.


Dans cet épisode, je t’invite à faire plusieurs pas concrets :

👁‍🗨 Identifier quand cette blessure d’abandon s’active (et à quoi elle te fait réagir plus fort que les autres).
💬 Oser dire ce que tu ressens, même si tu trembles (parce que la vérité, c’est que la sécurité naît de la vulnérabilité partagée).
🔍 Faire le tri dans tes relations : qui te fait du bien ? Avec qui tu t’adaptes encore trop ?
💛 Et surtout : te choisir. Te reconnaître toi-même, sans attendre l’approbation de qui que ce soit.


Cet épisode n’est pas une solution miracle.

Mais c’est une main tendue.
Un espace pour poser ce que tu n’as jamais osé dire.
Et peut-être… pour commencer à réécrire l’histoire.


Ce que tu as vécu ne dit pas qui tu es.
Mais tu peux décider, aujourd’hui, de ce que tu veux faire de cette douleur.

Et si tu faisais de cette blessure ta plus grande puissance ?
Je t’y accompagne, à ta façon. À ton rythme.


Avec toi,

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PS : Si tu connais quelqu’un qui se sent “trop”, “pas assez”, ou “de trop”, transfère-lui cette lettre. Ça pourrait être exactement ce qu’il ou elle a besoin d’entendre.


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