Pauline Leroux ArtEcoVertBonjour et bienvenue dans le podcast ArtEcoVert, le podcast qui vous parle d'art, d'écologie et de verdure. Je suis Pauline Leroux, ingénieure agronome passionnée de plantes et je vous emmène à la découverte de la couleur végétale et de toutes ses applications. Que ce soit dans le textile, l'ameublement, l'artisanat, la décoration et dans d'autres domaines, chaque jeudi et samedi à 7h30, je vous propose des épisodes riches avec des invités passionnants pour approfondir le sujet de la couleur végétale sur toute la chaîne de valeur. Mon but, fédérer et démocratiser la couleur végétale dans nos vies. Alors c'est parti, bonne écoute ! Bonjour à tous et toutes, je suis ravie de vous retrouver pour vous partager le programme de la rentrée qui est riche et passionnant. Alors on commence tout de suite pour votre rentrée, donc le jeudi 7 septembre, on part en Angleterre pour rencontrer Louise Becker d'une entreprise qui s'appelle Pinkcroft. En gros l'idée que je voulais vous faire c'était de vous amener de l'autre côté, du côté teinture plutôt traditionnelle. Là, on va rencontrer une entreprise qui fait de la teinture traditionnelle, mais qui s'est posé la question de la teinture végétale. On y parle textile technique et donc Louise nous parle un peu de l'arrière, de ce qu'on ne voit pas, de ce qu'on ne sait pas, de leur recherche, de comment ils essayent de s'améliorer, etc. C'est passionnant. Ensuite, la semaine d'après, on fait un grand écart. On part pour l'épisode 45 avec Chantal Guillon. Donc Chantal Guillon, un épisode que j'ai adoré. Chantal a travaillé dans les plus grandes maisons de mode de luxe de France. Donc avec Thierry Mugler, Dior, Chanel. Elle nous raconte ses différents postes en lien avec notre sujet, vu qu'elle était sur le choix des matières et la couleur. Vous verrez, cet épisode est passionnant. Donc elle nous parle de son parcours avec les différents métiers qu'elle a fait, les expériences qu'elle a vécues. Et ensuite, elle nous parle de son virage vers le jardin en Corse et la découverte de la teinture végétale. Cet épisode est génial. Ensuite, on revient au cœur du sujet avec la rencontre pour l'épisode 46 de Suzy Gallo. de l'association Colore ton monde que beaucoup d'entre vous connaissent. Ici, Suzy va nous parler des formatrices, du programme de formation qu'ils proposent, du travail de l'association, des sujets sur la couleur végétale, des techniques, de tout ce qui peut être appris. Donc, c'est une super opportunité aussi pour vous de faire un point et de vous interroger si vous avez envie de continuer vos formations et les sujets qui vous manqueraient ou si vous avez des envies de... Comment on va dire ? de nouvelles choses avec, justement, pourquoi pas des idées de formation qui pourraient vous plaire. Ensuite, pour l'épisode 47, on rencontre Martina Planty. Martina qui a travaillé dans des postes un peu identiques aux miens, chef de produit, acheteur, etc. dans le textile, et qui a lancé le projet Kermère, pour une mode vraiment durable, et avec comme cerise sur le gâteau de la teinture végétale. Elle nous explique tous les sujets que certains connaissent bien entre vous. dans tout ce qui est traçabilité, sourcing, comment trouver les meilleures matières, les meilleurs partenaires, et comment monter ce projet, proposer un label de qualité qui soit vraiment au top niveau. Donc épisode 47 avec Martina Planti. Ensuite, pour l'épisode 48, donc on arrivera début octobre, je vous propose de rencontrer Laurence Loiseau-David via un livre qu'elle a écrit où on va parler de tout ce qui est impression végétale avec notamment les techniques d'éco-print, les techniques d'impression florale, mais aussi... On va s'intéresser à un sujet qu'on n'a pas traité, mais qui est quand même en lien avec les plantes et la couleur. On va parler de tout ce qui est cyanotype. Donc elle nous expliquera comment elle le fait, les différentes techniques, le choix des plantes. Et c'est hyper intéressant parce qu'on y parle aussi de tatakisomée. Donc on verra ces trois techniques, écoprint, tatakisomée et cyanotype. Ensuite, on retourne sur le textile et les fibres. Pour l'épisode 49, on va rencontrer Mélusine Flamand. de l'ENAMAC. Donc l'ENAMAC qui est un centre de formation où à la base on parle de laine, mais en fait pas du tout que de la laine. Et vous allez voir dans cet épisode, mais l'usine nous raconte le cœur, la genèse de l'ENAMAC, la formation qu'il propose, tous les cursus, on va dire, les intervenants. C'est hyper intéressant encore une fois pour... Complétez vos parcours, ajoutez des cordes à vos arcs si vous avez envie. Et puis voilà, moi mon objectif c'était de vous présenter les différents centres de formation et les différents parcours d'apprentissage on va dire. Et donc vous allez voir, cet épisode avec les Namaks est hyper intéressant. Ensuite, on fait un nouveau grand écart. On repart dans la coloration capillaire. Vous savez que c'est une des applications de la couleur végétale que j'ai découvert récemment, mais qui est en fait très poussée. Pour l'épisode 50, on va rencontrer les couleurs de Jeanne. C'est de la coloration capillaire à domicile et 100% végétale. C'est hyper passionnant parce qu'il nous parle de leur sourcing en Inde. Et... et des plantes qu'ils choisissent, des plantes locales et des teintes qu'ils proposent. Donc je vous conseille, même si vous pratiquez la couleur végétale pour la teinture, d'écouter cet épisode qui est passionnant. Ensuite, un épisode un peu bonus, particulier, en lien avec une autre invitée qu'on a eue, c'est l'épisode 51 avec Bao. Bao, c'est une peinture biosourcée inspirée de l'harmonie des couleurs végétales. Je vous explique, il y a quelques temps, on a rencontré Pérégrine, qui a fait une exposition à Paris, au Jardin du Luxembourg, dont je vous ai beaucoup parlé. Et en fait, vous aviez des supports peints avec des couleurs inspirées par les couleurs obtenues par les plantes. C'est intéressant, ce n'est pas de la couleur issue des plantes, cette peinture n'est pas de la couleur issue des plantes, mais elle s'en inspire. Mais par contre, la base de cette peinture est issue des plantes. Cet épisode est original sur le podcast, on va dire, mais inspirant et on apprend beaucoup de choses. Ensuite, nous partons début novembre pour l'épisode 52 avec un de mes gros gros coups de cœur, on va dire et entrepreneurial et humain. Donc on va rencontrer Élodie Carpentier du Rouge Français. Le Rouge Français qui est une marque de cosmétiques qui a commencé par du rouge à lèvres mais qui fait plein d'autres cosmétiques. Et en fait, Élodie Carpentier, elle m'a juste subjuguée. Elle a une connaissance en botanique de dingue. Elle a un bagage... en biochimie, chimie, de fou. Elle a une rigueur et une exigence incroyables et elle a proposé une marque qui est vraiment complète en termes de communication, de valeur, de packaging. Franchement, c'est juste génial. Et je pense aussi aux entrepreneuses et entrepreneurs qui écoutent le podcast. Et je pense que ça va vraiment, vraiment, vraiment vous plaire. Ensuite, pour l'épisode 53, On fait un épisode en deux temps, c'est-à-dire qu'on va recevoir pour la couleur capillaire Christian Roche et Lilia Mamoudi de la marque Marcapar, donc en coloration capillaire, qui propose des produits 100% végétales. Ce qui est génial, c'est qu'on va avoir l'avis de Christian Roche, qui est le fondateur, qui était là au début et aux prémices de l'émergence de la couleur végétale en capillaire. qui a été un gros moteur dans ce sujet-là, avec sa passion pour les plantes, ses recherches sur ce sujet. Et d'un autre côté, Lilia, qui est sur la partie chimie, qui est sur la partie qualité, et qui est une nouvelle génération avec des nouvelles attentes. Et en fait, ce binôme se complète super bien. L'épisode était passionnant. Donc vraiment intéressant, toujours dans la couleur capillaire, mais vous allez voir qu'on parle énormément de plantes et des défis à relever dans l'industrie capillaire. Ensuite, pour la mi-novembre, le 16 novembre, avec l'épisode 54, on va rencontrer, j'en suis ravie parce que j'ai vraiment joué au chat et à la souris avec elle, on va rencontrer Sandrine Rosier. pour un épisode vraiment à savourer, à réécouter. Donc voilà, écoutez l'expertise de Sandrine. C'était un épisode, j'ai envie de dire, tout en douceur. J'ai trouvé ça hyper agréable. C'est une personne vraiment hyper agréable. Donc Sandrine nous racontera. Son parcours, ses expériences notamment au Japon, ses découvertes, le fait qu'elle ait été pionnière sur certains sujets. Elle va nous parler du costume, qu'on avait abordé tout au début du podcast pour ceux qui suivent avec l'épisode de Clément Bautier, qu'on a réabordé avec Néprin qui, elle, travaille toujours dans le costume. Voilà, c'est la boucle qui continue. Elle nous parlera donc de ses débuts dans le costume et de ce qu'elle fait aujourd'hui. Ensuite, un épisode qui est pareil, en deux temps, en binôme, le 23 novembre, pour l'épisode 54. On retrouve Dominique Cardon et Sandrine Rosier pour un épisode incroyable. Comme dirait Dominique, c'est de l'archéologie expérimentale. Pourquoi ? Parce qu'en fait, elles se sont réunies il y a quelques temps pour mettre en pratique le livre Les 157 couleurs de Paul Gou. pour lequel on avait reçu Dominique, pareil, au début du podcast. Et en fait, toutes les deux se sont attelées à reproduire, avec des matières similaires, ou en tout cas le plus proche possible, une sélection des 157 couleurs de Paul Gou. Je vous rappelle qu'il y a le livre qui est vraiment... Comment on va dire ? C'est vraiment... de la pratique moderne d'un teinturier ancien, on va dire. Et donc, elle s'applique à faire des ateliers sur la reproduction d'une trentaine de couleurs. Elle nous explique comment se déroulent les ateliers, les places qu'ils restent, etc. C'est juste incroyable. Vraiment, je vous recommande de vous bloquer dans vos agendas ou de vous inscrire à la newsletter du podcast pour ne pas louper ces épisodes. Et enfin, la semaine d'après, on fait un grand écart parce qu'on repart dans les fibres. Vous savez que ça m'intéresse vraiment beaucoup de faire les parallèles. on rencontre pour l'épisode 56 Elisabeth Berton qui nous parle de ses projets créatifs sur une matière qu'on n'a pas abordée sur le podcast qui est le feutre de laine et de la couleur végétale c'est passionnant Elisabeth nous raconte son parcours les gens qu'elle a croisés que vous allez connaître et reconnaître c'était un épisode hyper intéressant j'ai appris beaucoup de choses donc je vous le recommande également On continue début décembre avec un épisode pareil qui m'a vraiment touchée. On part en Belgique pour l'épisode 57. On rencontre l'UTA. C'était un épisode génial. On y parle culture de plantes tectoriales, on y parle transformation, pigments, toutes les applications dans les beaux-arts, etc. Tous les projets qu'a Anne-Sylvie, ce qu'elle a vécu, parcouru, les gens qu'elle a rencontrés autour, dont certains vont vous être étonnés. Très familier maintenant avec le podcast et c'est génial parce qu'on refait, on retisse la toile entre guillemets. C'est passionnant. Anne-Sylvie est une femme extraordinaire. J'ai vraiment adoré cet épisode. Pleine d'envie, pleine de volonté que ça bouge, que ça continue, qu'on démocratise davantage la couleur végétale. C'est vraiment génial. J'ai adoré cet épisode avec Luthéa. Ensuite, je vous propose un épisode... Comment on va dire aussi qu'il dénote ? Pour l'épisode 58 du 14 décembre, je vous propose de rencontrer Anaïs Chénaud de l'entreprise Babou les Baclips. qui va nous parler d'un projet initial qui était de la teinture végétale pour une gamme bébé. Donc on y verra les contraintes, que c'est d'utiliser de la teinture végétale pour des enfants, les critères qualité, etc., les parcours de l'entrepreneuriat. Mais surtout, on va assister à un virage. Et ça, j'adore, c'est un peu les aléas des parcours. On assiste à un virage. Anaïs part en Inde. découvre un village, découvre des savoir-faire, découvre des savoir-faire ancestraux, des freins à la tradition, c'est-à-dire la modernité versus la tradition, et en fait, elle va se battre. pour remettre tous ces savoir-faire en Inde, assembler les gens, mutualiser, fédérer autour d'un projet, sur le tissage, notamment de tapis, avec une nouvelle race, enfin une nouvelle race, non pas une nouvelle race, justement une ancienne race de moutons qui allait disparaître, et elle va permettre à des femmes de retrouver un travail dans le tissage, dans la teinture. Cet épisode, franchement, est magnifique. Vraiment, c'est le mot. ça vous fait voyager, ça vous inspire, il est complet, et Anaïs, c'est un petit bout de femme, jeune, alors je ne lui ai pas demandé son âge, mais toute jeune, pleine d'ambition, pleine de... plein d'espoir, j'ai vraiment trouvé cet épisode super génial, donc je vous le recommande, pareil, abonnez-vous à la newsletter pour ne pas le louper. Et enfin, pour finir l'année, on repart sur les matières. Vous savez, ça me tient à cœur qu'on fasse le tour. Là, on rencontre, donc on ne voyage pas, mais on rencontre un Italien. Donc pour l'épisode 59, on rencontre Adolfo Mandato de l'entreprise Safilin, donc dans le nord, vraiment à côté de chez moi. Et là, on va parler du dynamisme et de l'innovation sur le lin, qui est une fibre... hyper connue, on va dire, mais on va parler de tout ce qui arrive de nouveau. Cet épisode était hyper intéressant parce qu'Adolfo nous livre, sans langue de bois, ce qu'il en pense, ce qui se passe sur cette filière qui est dynamique, sur sa cousine, la filière du chambre. C'était vraiment génial. Donc, c'est un épisode qui sort le 21 décembre. Je vous invite vraiment, pareil, à ne pas le louper. Et enfin, pour le dernier épisode de l'année, on repart dans la coloration capillaire, donc avec l'épisode 60 du 28 décembre, où on rencontre Couleur Gaïa. Donc Couleur Gaïa et Marc Apar, qu'on a rencontré dans un épisode précédent, sont les deux leaders de la couleur végétale en France, et même au-delà. Et avec Couleur Gaïa, on... On part sur un autre aspect de la coloration capillaire, donc on va reparler des plantes, on va reparler des techniques, de l'histoire, etc. Mais on va également parler des certifications, de l'apport que les labels peuvent apporter à un produit, etc. Super épisode ! avec Hélène qui était vraiment passionnante. C'était vraiment un épisode pareil qui complète ce qu'on a vu sur la couleur capillaire. Donc je suis ravie parce que dans les gens que j'ai rencontrés sur la coloration capillaire, il n'y a pas de redondance. À chaque fois, on y découvre des nouvelles choses. Et franchement, même si vous pratiquez la couleur végétale pour la teinture, je vous invite vraiment, vraiment à écouter les épisodes sur la coloration capillaire. Voilà pour le programme de fin d'année. J'espère qu'il vous plaît, qu'il vous titille. C'est donc les épisodes, on va dire invités, donc les épisodes du jeudi 7h30. Vous savez qu'on garde un créneau pour le samedi dans lequel je vais développer des thèmes qui sont très en lien avec les semences, les plantes tinctoriales, la teinture végétale. Donc, s'il vous plaît, si ça n'est pas encore fait, abonnez-vous à la newsletter du podcast Aréco Vert. Voilà, je vous laisse. J'espère que ce programme vous plaît. Et n'hésitez pas, s'il vous plaît, à soutenir le podcast en allant sur ma page Tipeee. Donc la page Tipeee Pauline Areco Vert. Vous la retrouvez sur ma page Instagram, sur ma page LinkedIn. Vous la retrouvez partout. En gros, n'hésitez pas à faire un don si vous êtes satisfait du podcast, si vous apprenez des choses au cours de ces épisodes. J'ai vraiment besoin de soutien, donc je compte sur vous. Et je vous dis à très bientôt. Je vous invite à me rejoindre sur ma page Instagram ARTECOVERT pour y découvrir le nom des prochains invités. Je me permets de vous rappeler que la seule manière de soutenir ce podcast est de le noter et le commenter sur la plateforme d'écoute de votre choix. C'est ainsi qu'on arrivera à faire porter la voix de ces passionnés de la couleur végétale. Merci à tous ! Sous-titrage