- Speaker #0
Bonjour et bienvenue au Cœur de la Femme, le podcast pour traverser la périménopause avec joie. Je m'appelle Pascaline, je suis naturopathe et praticienne de Shiatsu et ma mission est d'apporter un regard neuf et curieux sur notre nature cyclique afin de redonner aux femmes leur plein potentiel. J'espère que cet épisode vous plaira. et je vous invite à le partager autour de vous.
- Speaker #1
Ce que j'ai beaucoup aimé dans ton livre, j'ai enfin réussi à attaquer, c'est ce côté, cette approche très globale que tu as eue. Ça mêle à la fois une approche, surtout je trouve presque très philosophique, de la femme et de l'évolution de la femme. des exercices très pratiques, de respiration, des exercices physiques. On est dans tout ce que j'aime, c'est-à-dire arrêter de confondre la ménopause et la vieillesse et profiter de cette approche de la ménopause et finalement qui constitue une nouvelle phase de vie pour ne pas la confondre avec la fin de quelque chose, le vieillissement, et en profiter pour revoir son hygiène de vie, la préparer au mieux comme tu dis. et surtout mieux vivre sa féminité, mieux comprendre sa féminité au fond des choses. Peut-être que tu peux nous réexpliquer, te présenter un petit peu et nous réexpliquer la jeunesse ?
- Speaker #0
Très bien. Oui, tout d'abord, merci vraiment. Je suis ravie d'être là avec toi. Donc moi, je suis naturopathe, praticienne de Shiatsu depuis maintenant presque 15 ans. Et au début, j'accompagnais spécifiquement les femmes, j'accompagnais des hommes aussi, jusqu'à un moment où en fait je m'ennuyais. Je me suis dit, les hommes, ça me... ça ne me plaît pas de les accompagner, je m'ennuie. Moi, ce que j'aime, c'est la nature cyclique de la femme, savoir comment elle s'intègre dans sa nature cyclique. Donc, la nature cyclique, c'est les hauts et les bas avec le cycle menstruel. Et lorsque j'ai terminé mes études de naturopathie, il y a une phrase qui m'a vraiment marquée. Je l'écris dans le livre et puis je le dis assez souvent lorsque je fais des lives ou même des publications, c'est que… Une de mes enseignantes a dit « Mesdames, la ménopause ne vous tombe pas dessus comme ça, elle se prépare dix ans avant. » Et moi, j'avais 40 ans à l'époque. Et ça a vraiment résonné pour moi. D'abord parce qu'en vrai, je n'en pouvais plus de mon cycle menstruel. J'étais à une époque de ma vie où je le subissais plutôt que je coopérais avec. Et donc, ça m'a demandé de me mettre en mouvement vers moi-même, en réalité, vers ma nature cyclique pour apprendre à mieux comprendre comment je fonctionnais. au travers de ces différentes phases cycliques. Et c'est comme ça que naturellement, j'en suis venue à la ménopause. Parce que la ménopause, c'est la fin de cette période qui est entre 35 et 40 ans de notre vie, qui se surajoute à qui nous sommes à l'adolescence, avec les premières menstruations, et qui a une fin. Et nous savons que ça a une fin, qui est la ménopause, qui correspond au dernier jour des menstruations. Et donc pendant ces 10 ans,
- Speaker #1
C'est peu la période avant, parce que tu dis on sait que ça a une fin. On sait que ça a une fin. La période, parce que souvent, il y a ces deux périodes, il y a l'entrée en puberté, où il y a des cycles individuels au début, où c'est un petit peu long, donc ça on le sait, c'est acquis, que pendant 3-4 ans c'est compliqué. Mais la période de pré-ménopause, qui est 12 mois sans règle, il y a peu de femmes qui savent que ça peut être très compliqué, même d'un point de vue de la psychologie. beaucoup de choses qui peuvent être bouleversées dans l'équilibre de la femme et que ça commence souvent 10, 7 à 15 ans avant. Je vois des petits commentaires, j'ai mes règles à 10 ans, j'ai pas vu tous les commentaires, on verra après, on essaiera de rebondir. Mais en tout cas, sachez qu'il n'y a aucun rapport aussi entre l'âge de la ménopause et l'âge des premières. Il y a beaucoup de croyances là-dessus et la seule chose qu'on peut faire pour évaluer l'âge de la ménopause à peu près, c'est un état des stocks folliculaires et encore.
- Speaker #0
Oui, et puis peut-être... par loyauté familiale l'âge auquel notre mère a été ménopausée. Ça peut aussi donner une indication. Mais effectivement, il n'y a rien à voir entre l'âge auquel j'ai eu mes menstruations et l'âge auquel j'aurai ma ménopause. Mais en revanche, comme tu le dis, effectivement, on dit que la ménopause est passée à partir du moment où nous sommes pendant près d'un an sans menstruation. bien avant il y a des choses qui se passent et sur lesquelles nous pouvons avoir une action parce que en réalité il y a des piliers dans notre vie qui viennent soutenir l'équilibre hormonal et moi c'est ça que j'aime accompagner c'est comment je je fais au mieux dans ma vie de tous les jours dans mon quotidien pour me soutenir moi même et c'est comme reprendre la puissance sur son corps et comprendre que c'est pas à l'extérieur de nous que des réponses peuvent venir même si des réponses peuvent venir de l'extérieur Mais en tout cas, il y a vraiment tout ce cheminement à faire pour aller explorer, tiens, qu'est-ce que je peux faire par moi-même en peut-être me connaissant un peu mieux et puis en soutenant ces fameux piliers d'équilibre hormonal. Pour moi, il y en a trois qui sont hyper importants. C'est le système nerveux, l'alimentation et le mouvement. Et si ces trois-là sont équilibrés, déjà, ça nous donne une bonne vision de qu'est-ce qui se passe réellement au niveau hormonal. Tout à fait.
- Speaker #1
non non on en revient toujours sur ces trois piliers je le dis tout le temps, il y a des miracles on apprend à se connaître, on apprend à connaître les micronutriments qui lui conviennent mais sans ce pilier, comme tu dis, reconnexion à soi via un exercice physique tout dépend après des sensibilités des gens la nutrition en général et puis comme tu dis la gestion du stress finalement qui est hyper importante, à la respiration ou autre il ne se passera pas grand chose et je pense que c'est vraiment un exercice de reconquête de soi qui est hyper intéressant. Qu'est-ce que tu penses ?
- Speaker #0
J'aime ça !
- Speaker #1
Est-ce que toi, tu avais touché au shiatsu, tu as touché à la naturopathie, donc tu étais déjà très armée. Qu'est-ce qui t'a le plus marqué, qui changeait le plus vite dans la vie de ces femmes que tu accompagnais quand tu changeais un des curseurs ? Quels sont les premiers conseils qui reviennent en général ?
- Speaker #0
Le premier conseil, c'est l'alimentation. Parce que là, on a une action directe au quotidien. C'est un peu obligatoire, parce que l'alimentation, ça revient trois fois par jour. Donc, on s'y attèle assez facilement. Parce que finalement, le mouvement… Moi, je parle plus de mouvement que d'exercice physique, parce que comme tu le disais, selon les sensibilités, il y a des personnes qui n'aiment pas faire de l'exercice physique. Pour moi, le mouvement, c'est comment je réintègre des moments où je bouge mon corps dans mon quotidien, et qui sont relativement simples, sans forcément y passer une heure. Mais l'alimentation est donc, évidemment… Ça, on n'est pas obligé de le faire, c'est-à-dire que ça demande un peu d'y aller. Alors que l'alimentation, nous sommes toutes en charge de nous nourrir tous les jours. Et ça, ça a vraiment une influence directe sur comment je vais mieux me sentir. Tout simplement parce que déjà, au niveau du système digestif, ça va aller mieux. Et si ça va mieux au niveau du système digestif, il y a énormément de choses qui vont être mieux assimilées. Parce que finalement, on a beau mettre... des bons aliments dans notre assiette, si l'assimilation ne se fait pas bien, on peut ne pas voir de différence. Donc c'est tout un ensemble de choses qui sont à prendre en compte pour qu'au-delà de l'alimentation, il y ait l'assimilation qui se fasse.
- Speaker #1
Le système hormonal et le système microbiote, enfin toute la partie flore en général, de la peau et flore des selles, c'est très lié. Il y a même ce qu'on appelle l'ostrobiome, c'est-à-dire que la métabolisation même des oestrogènes va dépendre aussi. de l'état de notre microbiote. De toute façon, les circuits ne fonctionnent pas. On parle beaucoup des intestins et du foie, notamment, qui sont des grands organes de l'organisation du corps. Si cela ne fonctionne pas bien, c'est la base. Il faut vraiment la nettoyer, la tenir, parce que sinon, l'assimilation et ou les toxines et donc l'inflammation de l'organisme ne pourront pas être émulées. Oui.
- Speaker #0
Et ça, c'est déjà, j'ai envie de dire, un énorme pan. à prendre en considération. Et pour moi, le deuxième qui est hyper important, c'est le... Tu parlais de gestion du stress, moi je préfère parler de régulation du système nerveux parce que finalement, nous sommes dans une société où on est assez habitué à avoir beaucoup de stress et à pouvoir y faire face. Et ce n'est pas parce qu'on a l'impression d'y faire face, ou qu'on se dit que nous y faisons face, que le système nerveux va être régulé. Donc la régulation du système nerveux, c'est quels sont tous ces moments que je mets en place que je mets en face aussi de stress important que je peux vivre et dont je ne me rends pas forcément compte. Et donc, ça passe par la respiration, tu l'as dit, mais ça passe aussi par le mouvement. En tout cas, la régulation du système nerveux, elle passe vraiment par le corps. Ça ne va pas être dans la tête, parce que si je suis dérégulée au niveau de mon système nerveux, je ne vais pas avoir envie de faire de méditation ou de faire du journaling, ou bien ce que je vais écrire, ce ne sera pas forcément très productif. On peut toujours essayer. Passer par le mouvement, et c'est là où je relie finalement le système nerveux et le mouvement dans le quotidien, c'est qu'en faisant des mouvements comme de l'étirement, comme ce fameux shaking, donc c'est le fait de se secouer. Tout simplement, vous mettez une musique que vous aimez, vous dansez dessus, ça va participer à réguler le système nerveux. Et je trouve que là, on a un moyen assez ludique, finalement, de pouvoir se faire du bien sans que ce soit trop contraignant.
- Speaker #1
Et puis les automassages,
- Speaker #0
ça c'est vrai qu'il y a beaucoup d'automassages. Tu disais bien dans ton livre,
- Speaker #1
ce que j'aime bien, c'est cette approche, voilà, vraiment très douce et bienveillante, tu dis, porter un autre regard sur la féminité. On a eu beaucoup d'injonctions. notamment quand on a nos cycles et qu'on est en âge de procréer, on fait des enfants, on ne fait pas d'enfants, etc. Effectivement, je pense que c'est aussi le temps de préparer un peu une réconciliation, parfois pour certaines femmes avec notre corps, se libérer un peu de certaines choses. Et effectivement, il y a beaucoup de petites choses, on le voit, il y a des femmes qui se jettent à fond dans le sport, aussi à partir de 40 ans, voyant qu'elles commencent à changer un peu de silhouette, prendre du ventre. Attention, l'excès... Je vais vous montrer là-dessus aussi. Ça peut vraiment augmenter le stress oxydatif et créer une inflammation supplémentaire. Et même des petites techniques comme l'automassage, connaître ses points, se masser le visage, se masser les pieds, comme tu dis, rentrer en... En fait, c'est vraiment cette histoire de connexion. Pour moi, le mouvement, il est vraiment relié à se reconnecter à son corps. Et comme tu dis, il y a vraiment des études dessus qui montrent que de se reconnecter à son corps, c'est vraiment quelque chose qui apaise énormément le système parasympathique.
- Speaker #0
Carrément. Merci. Et d'ailleurs, les automassages, pour moi, c'est vraiment fondamental parce qu'effectivement, on peut être en prise avec beaucoup d'incohérences face à notre corps qui changent, qui évoluent, qui ne donnent pas ce qu'on aimerait qu'ils donnent. Et vraiment, l'automassage, ça vient nous redonner une sorte de bienveillance envers soi-même, une sorte d'amitié. C'est comment entrer en amitié avec soi. Et pour moi, il y a vraiment un automassage qui est hyper important. je pense que je peux en parler là, on est entre femmes, c'est l'automassage de la poitrine. Et ça, pour moi, c'est quelque chose d'extraordinaire parce que pour celles qui portent encore des soutiens-gorges et de plus des soutiens-gorges à baleines, tout est très comprimé, y compris les chaînes de ganglions lymphatiques qui permettent l'évacuation des déchets. Donc là, tout se trouve très comprimé par les baleines. Il faut savoir que les baleines sont aussi des zones où les ondes électromagnétiques viennent se mettre et ça augmente la température de la poitrine. Les seins, c'est comme les testicules, c'est à l'extérieur, c'est pour prendre le frais. Et donc, le soir, de pouvoir se masser la poitrine, déjà ça va relancer au niveau énergétique, ça fait énormément de bien. Et puis, ça permet de rendre les tissus plus doux, plus fluides. Il y aura moins d'enquistement. Et ça, c'est un éto-massage à faire le soir qui est magnifique.
- Speaker #1
Et puis, tu parlais de périnéscence, c'est vrai que moi je relis au point de vue hormonal à chaque fois que c'est mécanique. Il y a beaucoup de femmes autour de la ménopause ou même à d'autres moments qui ont cette espèce de douleur de congestion. C'est finalement les oestrogènes.
- Speaker #0
Vraiment.
- Speaker #1
On dit trop peu, mais la ménopause, quand ça commence, la progestérone va chuter avant les oestrogènes. Et souvent, ça va pouvoir exacerber des symptômes comme les seins un peu congestionnés, lourds et tendus, les jambes aussi, quand on s'agouffle, le ventre. Et finalement, il y a beaucoup de choses qui relèvent du drainage, comme tu dis, du drainage lymphatique. désengorger, décongestionner ces zones. Et c'est un petit peu la même chose qui se passe aussi au niveau intime. C'est-à-dire que l'importance aussi d'avoir un périnée souple, d'entretenir aussi l'élasticité à ce niveau-là. Des tissus qui sont massés, qui sont désengorgés vont aussi entretenir leur lubrification, leur vascularisation. C'est extrêmement important de se reconnecter dans ces cas-là.
- Speaker #0
Et alors, c'est très intéressant ce que tu dis parce que on peut commencer par le massage des seins. Et à force de se masser les seins et de rentrer en contact finalement avec cette intimité, on va ressentir très nettement un lien entre les seins et l'utérus. Il y a une légère contraction parce que dès lors qu'on prend un peu soin de son corps, c'est-à-dire qu'on se reconnecte à son corps, on va se mettre à ressentir plus de choses. Pour moi, c'est ça qui est important parce que finalement, en arrivant à la ménopause, si nous sommes habitués à ressentir plus de choses dans notre corps, nous allons comprendre aussi ce qui se passe un peu mieux. Donc, lorsqu'on se masse les seins, ça remet aussi en route au niveau du bassin, des ovaires, de l'utérus, une certaine circulation. Et puis, tu parlais du périnée. Donc, ça, on le sait maintenant, c'est vraiment un ensemble de muscles qui sont hyper importants puisqu'ils soutiennent toute notre base. Ils constituent notre base. Et moi, j'invite aussi d'aller se masser le périnée. Et pourquoi pas, si on a envie d'aller plus loin, d'aller se masser le vagin, le clitoris. Enfin, toutes les périnées. les parties du corps que peut-être nous avons délaissées ou nous n'avons pas été habitués à entrer en contact pour plein de raisons. C'est aussi un moment à la ménopause de découvrir cette, si ça n'a pas été encore fait bien sûr, mais il y a des femmes pour qui ça n'est pas le cas, cette intimité avec soi-même. Parce qu'il y a la sexualité partagée, mais il y a aussi cette sexualité avec soi et qui va permettre de pouvoir bénéficier de l'énergie sexuelle et de nous en servir comme une médecine. C'est-à-dire de demander à cette énergie sexuelle qui va être là de pouvoir circuler dans le corps et d'aller là où il y a besoin.
- Speaker #1
Il y a des liens mécaniques qui sont… prouvé, tu parlais des liens entre par exemple l'hélicoptrine et... il y a un lien direct avec l'utérus, on sait que par exemple quand on alète, ça stimule l'éthérose.
- Speaker #0
Exactement.
- Speaker #1
Les liens là sont très très établis et je rappelle à chaque fois que l'utérus c'est un petit peu le centre de notre corps et effectivement sans être du tout dans les otérus, en fait il y a des choses un peu absurdes, moi je vois beaucoup de femmes par exemple qui ont subi des hystéroctomies ou qui ont des fibromes, ça va complètement déstabiliser la zone intime. Même si on va dire à un certain stade, bon ben voilà, ça ne relève pas de la chirurgie ou de la pathologie, ça va venir déséquilibrer complètement la zone. Donc c'est extrêmement important dans ces cas-là d'aller voir aussi déjà des choses d'ostéopathie, tu parlais de chèque. Je sais qu'il y a des mutuelles qui réfléchissent aujourd'hui pour les femmes, et notamment dans cette périménopause, à justement améliorer ce confort-là à ce moment-là. Parce que c'est vraiment un moment où il faut se reconnecter à son centre de gravité, à soi, et chacun avec sa sensibilité. Il n'y a aucune injonction, mais il faut. Le corps, c'est amusant parce que c'est la même chose. On parlait tout à l'heure de lubrification, d'hydratation. Par exemple, de ne pas avoir de vie sexuelle, ce n'est pas très grave tant qu'on garde un peu cette partie excitation, rapport à soi-même, qu'on peut se masser, il n'y a pas d'injonction à ça. Mais si on perd le contact avec son corps, si on perd le contact avec son désir, si on ne se touche plus forcément, les zones du corps aussi, c'est très connu, les cellules de la peau ou les cellules de la muqueuse intime vont finalement... perdre en sensibilité, en densité nerveuse et donc on va perdre en lubrification naturelle. Donc le message, c'est vraiment garder le contact avec votre corps.
- Speaker #0
Oui, parce qu'en plus, énergétiquement, une zone que l'on délaisse, ça devient une zone morte quelque part. Et ça te crée des ruptures dans le corps, des ruptures énergétiques. Et effectivement, ça n'a rien d'ésotérique de parler de l'utérus, puisque nous en avons un, que effectivement, c'est un de nos... centre énergétique les plus importants pour la femme. Il est pratiquement situé au niveau de notre centre de gravité. Et même pour les femmes qui n'ont plus d'utérus, parce que ça arrive, énergétiquement, il y a encore une présence. Donc, on peut très bien sentir des choses qui se passent dans le corps, même sans avoir l'organe. Moi, c'est l'énergie chinoise qui me l'a appris au travers de l'apprentissage du shiatsu. Et d'ailleurs, tu me parlais de faire la genèse, je reviens un peu en arrière. Ce qui m'a mis aussi sur ce chemin de la ménopause plus positive et plus joyeuse, c'est parce qu'en énergétique chinoise, on parle de la ménopause comme le deuxième printemps de la femme. C'est-à-dire ce temps où la femme finalement devient complète, devient entière, et où elle va pouvoir développer tous ses potentiels, toute sa créativité. Et moi, c'est ça qu'en fait je cherchais. Je me suis dit comment je vais pouvoir passer ce moment-là le mieux possible. Je ne savais pas du tout comment ça allait se passer. Je faisais des choses, mais en réalité, tant que nous ne l'avons pas traversé, On ne peut pas prédire ce qui va se passer. Mais moi, ce qui m'intéressait plus, c'était derrière, qu'est-ce qui va se passer réellement ? C'est quoi ce deuxième printemps ? C'était ça que j'avais envie de voir. Et ce deuxième printemps, cette notion du deuxième printemps, m'a aussi énormément aidée à un peu tordre le cou à toutes ces injonctions sociétales qui sont que la femme ne serait plus ou pas désirée après la ménopause, qu'elle devient invisible, que d'un seul coup, elle devient vieille. Et... Comme si la ménopause, c'était le début du vieillissement, mais on commence à vieillir dès notre naissance. Donc non, la ménopause, ce n'est pas le début du vieillissement, c'est le début d'un nouveau cycle, ça c'est sûr. Et moi je dis, on a redonné un renouveau, un nouveau souffle à cette existence. Et ce que j'aime dire, c'est que nous ne sommes plus fécondes pour l'humanité, à la ménopause, mais nous devenons fécondes à nous-mêmes. Et c'est ça que nous avons à explorer. C'est-à-dire qu'au-delà de tout ce qui est dit de nous, nous avons vraiment apporté un regard. neutre et ne pas s'identifier à tout ce qui est dit. Et tu sais, tu ne peux pas savoir tout ce que j'entends que les femmes me partagent, qui leur sont dit par leur médecin, ou même par des sages-femmes, et qui sont extrêmement humiliantes.
- Speaker #1
Dans ton livre, quand il y a une gynécologue, une sage-femme, qui dit que son vagin, c'est le musée Grévin.
- Speaker #0
C'est horrible. Et la semaine dernière, j'étais à un déjeuner d'entrepreneurs, et une femme avait... Mon livre entre les mains, elle me disait qu'elle était allée voir son médecin et elle lui dit qu'elle est probablement proche de la ménopause. Et il lui a dit… « Ah, ma petite dame ! » C'est un peu vulgaire, je vais quand même le dire. « Ah, ma petite dame, votre mari ne va plus vouloir ou pouvoir vous baiser. Il va falloir vous mettre des patches partout. » Je suis toujours... Je suis sidérée parce que je me dis à quel point, un, c'est choquant et c'est violent. Et elle, elle est restée figée dans ce qui a été dit. Elle se dit « Mais ça y est, c'est la fin pour moi. En fait, mon mari ne va plus vouloir de moi.
- Speaker #1
Qu'est-ce que je fais ? »
- Speaker #0
Donc, c'est d'une violence. incroyable.
- Speaker #1
En questionnant beaucoup de gynécologues, on a eu des approches assez douces et on a quand même, je ne sais pas son nom par respect, mais un gynéco qui me dit non mais c'est très simple, il suffit de mettre toutes les femmes sous traitement hormonal et puis cette idée de traitement hormonal systématique, c'était vraiment déjà, il faut une béquille parce que vous êtes déficient, il vous manque quelque chose et pour diminuer ce risque de cancer, on fait une ablation de l'utérus et systématique et même peut-être des glands mammaires pour celles qui sont à risque. en fait on ampute deux parties essentielles connectées de la féminité puis on met tout le monde sous traitement je ne suis pas du tout anti-traitement moi non plus mais c'est penser systématiquement une béquille et en plus on va vous amputer deux parties de la féminité de ne raisonner que mécanique et de ne pas du tout penser comme tu dis à l'énergie globale du corps, ce que j'aime beaucoup dans ton livre c'est un manque de bon sens terrible
- Speaker #0
Et puis, quelle violence, encore une fois, pour la femme et pour le féminin. Et c'est là, d'ailleurs, où d'un seul coup, on se dit, mais on nous ampute de ce qu'il y a de plus féminin en nous, c'est-à-dire notre poitrine, l'utérus qui a porté ou pas des enfants, peu importe, mais qui est notre… L'endroit, en tout cas, où on peut se relier pour avoir cherché cette créativité, parce que c'est aussi de cet endroit-là que part une partie de notre puissance. Mais là, ce que tu dis, tu me dis, il y a vraiment du travail, parce que, ok, on peut dire que… Le monde médical est ainsi fait qu'ils n'ont pas forcément la formation. Je suis très à l'aise d'en parler puisque mon mari est médecin, que je suis entourée de beaucoup de médecins dans ma famille. Mais aujourd'hui, on est en 2024. Il y a quand même des livres qui existent pour se dire « Tiens, peut-être qu'une approche est différente » . Et encore une fois, moi, le traitement hormonal, je ne suis ni pour ni contre. Ce qu'il faut, c'est que la personne, la femme, puisse le choisir en toute connaissance de cause et avec tout un spectre qui ouvre l'esprit et non pas qui l'enferme. Il y a beaucoup de gynécologues qui disent aussi, si vous ne le prenez pas, vous aurez ça, ça, ça, ça, ça. Et donc, ça vaut d'être vraiment bien ancré pour ne pas le prendre pour soi et se dire, mon Dieu, mais si je ne le prends pas, c'est la fin pour moi. Et encore une fois, ça se saurait si toutes les femmes qui prennent le traitement hormonal allaient bien. Et de la même manière, ça se saurait si toutes les femmes qui ne le prennent pas allaient bien aussi. Donc, c'est vraiment…
- Speaker #1
Il y a des réajustements de santé liés à la métaphore. Il y a eu aussi… mais ça c'est des choses à regarder dès 40 ans c'est pas complètement idiot de faire un bilan osseux d'aller regarder un petit peu nos carences nos vitamines, j'ai toujours cette fameuse prise de sang qu'on peut faire chaque année pour voir de quel élément on a tendance à avoir besoin ça sert à rien de prendre plein de vitamine C et plein de fer si on n'a pas besoin ça peut même être contre-cognitive je suis totalement d'accord avec toi si on n'en a pas besoin et encore une fois je parle de l'assimilation je reviens souvent au système digestif parce qu'on peut prendre toute la vitamine C du monde si
- Speaker #0
notre microbiote n'est pas en forme ... ou bien que nous avons des parasites ou des champignons, je ne sais quoi, ils vont se servir en premier. Donc, c'est dépenser de l'argent. Et donc, la prise de sang est importante. Moi, il y a un autre test que je recommande, qui n'est pas très onéreux, qui est un test de cheveux, et qui nous montre notre statut micronutritionnel au niveau de la cellule. Et là, il est très intéressant, parce que c'est en amont de ce qu'il va y avoir dans la prise de sang, au niveau cellulaire, de voir ce qui se passe pour les quatre grands minéraux, qui sont le calcium, le magnésium, le sodium et le potassium. Ça s'appelle le HTMA. qui se fait auprès d'un laboratoire anglais qui coûte à peu près dans les 70 pounds, donc dans les 60 euros, je ne sais pas quelle est la conversion, et qui nous renseignent aussi sur notre vitalité, le statut, encore une fois, cellulaire au niveau thyroïdien, au niveau surrénalien, au niveau de la glycémie. Donc je trouve que ce test-là, qui est quand même finalement assez abordable en termes de prix, parce qu'il y a plein d'autres tests qui sont beaucoup plus onéreux, il nous renseigne. sur énormément de choses. Et tu parlais notamment de l'ostéoporose, de voir comment le calcium entre dans la cellule. Parce qu'on peut prendre des produits laitiers, mais si la cellule ne fait pas rentrer, ou qu'il n'y a pas les cofacteurs pour faire rentrer le calcium dans la cellule, il ne se passera rien. Donc c'est intéressant d'avoir, tu vois, la prise de sang, mais d'aller aussi plus loin dans ce qui peut être testé, pour bien avant d'arriver à la ménopause, se dire « qu'est-ce que je mets en place pour moi ? »
- Speaker #1
Moi, je recommande toujours, je ne sais pas si tu es d'accord, mais de soulager le foie. Parce que je trouve que c'est un organisme. De toute façon, c'est silencieux.
- Speaker #0
Je suis d'accord avec toi.
- Speaker #1
à tester et finalement je trouve que de se dire on se fait un peu plus on a l'habitude de surconsommer un peu des aliments détoxifiants à partir d'un certain âge de limiter la colle de mettre même des tisanes de romarin pissenlit mais de la détox il y a peu de risque d'être trop détoxifiée il y a de la cure forte de produits détoxifiants oui c'est ça parce que
- Speaker #0
Ça dépend de la vitalité de la personne. Il y a certaines personnes, tu vois. Donc, quand tu parles de détox, moi, j'aime bien parler plutôt de shots, de plantes amères pour le foie. C'est vraiment, il adore ça, le foie. Et puisque tu parles du foie, il y a aussi… Ce n'est pas valable pour tout le monde, mais moi, je me rends compte qu'il y a beaucoup de femmes dans ce cas-là qui ont une hypochloridrie. C'est-à-dire que souvent, on entend parler d'ulcère, de trop d'acidité dans l'estomac, mais il y a aussi le phénomène inverse qui est l'hypochloridrie. qui peut être en lien ou pas avec l'hélicobactère pylori, qui est cette bactérie qui pourrait empêcher qu'il y ait trop d'acidité gastrique. Et souvent, un des premiers éléments qui empêche l'assimilation, c'est l'hypochloridrie, c'est le manque d'acidité gastrique au niveau de l'estomac.
- Speaker #1
Et comment tu le vois justement ? Parce qu'en fait, quand on est trop acide, ça se voit, il y a des remontées acides, il y a des choses comme ça. Au niveau de l'hypochloridrie, comment ça se détecte ?
- Speaker #0
Il y a un test très simple à faire avec le bicarbonate de soude, trois jours de suite, de mettre une cuillère à café dans un tout petit peu d'eau, de boire ça le matin à jeun, et de voir au bout de combien de temps le premier eau arrive. Si c'est en moins de deux minutes, c'est OK. Entre deux et cinq minutes, on va commencer à s'y intéresser. Si c'est au-delà de cinq minutes, là, il y a un problème. Et puis, on le… Alors, moi, j'étais dans ce cas-là, et moi, le premier eau était arrivé, mais je ne sais pas à quelle heure de l'après-midi. Bon, OK. Et quand j'ai fait le test HTMA, le HTMA permet aussi de déterminer ça. Donc c'est venu confirmer ce que j'avais testé. Et ça, tout le monde peut le faire. C'est un test qui est très simple à faire sur trois jours.
- Speaker #1
Je l'avais dit sur l'acidité, c'est très intéressant pour corriger l'acidité quand on a trop, mais c'est aussi un détecteur dans l'autre sens.
- Speaker #0
Exactement. Et ça pour moi, c'est fondamental à faire parce que, encore une fois, je vois aussi des femmes qui font tout bien et pour lesquelles ça ne va pas mieux. Mais il y a une exploration plus profonde. Et au moment de la pré-ménopause, où il y a beaucoup plus d'oestrogènes, par déficience de progestérone, en tout cas à la pré-ménopause et à la ménopause, on n'est pas sur les mêmes problématiques, puisque à la pré-ménopause, c'est tous ces chamboulements hormonaux avec les ovaires qui répondent plus ou moins bien aux commandes du cerveau, alors qu'à la ménopause, c'est l'arrêt de tout ça.
- Speaker #1
Ça dure jusqu'à 5 ans après la ménopause. Il peut encore y avoir des symptômes périménopause, c'est aussi peu connu, mais nous, ça arrive beaucoup.
- Speaker #0
Oui. Pour moi, de ce que j'ai observé, c'est que entre 3 et 5 ans, on peut encore avoir des inconforts en lien avec la ménopause.
- Speaker #1
J'avais juste la petite question pour ne pas oublier, pour une fois que je l'ai vue sur l'élixir détox, la ménopause. Nous, on a fait un concentré de plantes avec du thym, de l'île méthane, de brocoli. C'est le seul qui a une bonne métabolisation. Il y a quelque chose de peu connu, donc pourquoi c'est intéressant la ménopause ? Parce qu'en fait, il y a une question, alors on ne détoxifie pas les hormones, ça, ça n'existe pas, il y a beaucoup d'abus là-dessus. Par contre, on peut aider à la bonne métabolisation des hormones. Il faut savoir que souvent, on disait que les progestérones tombaient avant les oestrogènes, or on regarde toujours les hormones l'une par rapport à l'autre. En ménopause, c'est très peu connu parce qu'on a tendance à diaboliser en disant « Mesdames, vous allez avoir beaucoup de maux parce que vous allez manquer d'oestrogène » . En fait, ce n'est pas tout à fait ça. Au début, on a trop d'oestrogène. On a énormément de femmes en périménopause qui sont en situation de dominance oestrogénique. La dominance oestrogénique, les symptômes les plus courants, c'est justement cette congestion. J'ai des symptômes tendus que d'habitude, le ventre qui a tendance à gonfler, plus ballonné. C'est l'hormone qui gonfle et de l'accélération, l'irritabilité. Et à ce moment-là, il y a souvent trop d'oestrogènes circulants, particulièrement si on a une digestion un peu constipée ou si on a des problèmes de ce niveau-là. Les oestrogènes qui sont dégradés par le foie ne vont pas réussir à être bien recyclés par l'oestrogène et donc vont circuler dans l'organisme. Donc ce n'est pas la détoxification d'oestrogènes, c'est assurer la bonne métabolisation naturelle par l'organisme des oestrogènes. Donc oui, c'est intéressant, surtout si vous avez des symptômes de dominance oestrogénique. Après, nous, c'est une détox très forte, très concentrée, donc elle perd son... courte période. Moi, j'aime bien faire des produits sur des durées où les gens se rendent compte tout de suite de l'effet. Ah tiens, j'ai une amélioration digestive, je me sens mieux, j'ai un regain d'énergie en 15 jours. Et en fait, il ne faut pas l'utiliser du tout en continu parce que c'est quand même pour l'organisme, comme on dit, ça s'encadre, une détox, et pour moi,
- Speaker #0
ça se fait complètement.
- Speaker #1
Bref, mais en revanche... Et intéressant, c'est de voir les effets. Tiens, est-ce que j'ai des boutons qui sont sortis ? Est-ce que j'ai une meilleure digestion ? Est-ce que j'ai une meilleure énergie ? Est-ce que mon teint est plus clair ? Ça, c'est des symptômes très clairs qui vont vous dire « Ah, le foie, les oestrogènes, il va falloir travailler ça dans la durée. » Et je trouve que c'est très intéressant.
- Speaker #0
et je rebondis sur ce que tu dis effectivement tu as tout à fait raison de le préciser parce que quand je vois dans les magazines l'arrivée du printemps ou après les fêtes détox détox détox pour moi ça fait pas de sens d'abord arrêtons de mettre des toxiques et puis tu parlais de la bonne métabolisation des oestrogènes c'est tout à fait ça et il y a aussi quand il y a trop d'oestrogènes c'est leur bonne évacuation et par exemple la constipation remet des oestrogènes en circulation le fait de ne pas évacuer donc Parce que les gens... Bon,
- Speaker #1
attendez, si je prends le dosage, est-ce que ça veut dire que j'aurai trop d'oestrogènes et que je prends le détox et que j'en ai plus ? En fait, c'est beaucoup plus compliqué que ça. On vous dit juste qu'il y a plusieurs types d'oestrogènes. Il y a des oestrogènes de haut grade qui sont dégradés en oestrogènes de bas grade par le froid et qui sont faits pour être éliminés. Et s'ils ne sont mal éliminés par les sels, en fait, il y a des oestrogènes de bas grade qui vont circuler dans l'organisme alors qu'ils n'ont rien à y faire. Et ça va plutôt perturber la symphonie hormonale qu'autre chose. Ça ne se reflètera pas forcément dans le taux d'oestrogènes directement et ça dépend du temps. type d'oestrogène. On simplifie les discours parce que tout ça est extrêmement compliqué. Mais ce qu'il faut comprendre, c'est juste aider le corps à donner un coup de pouce. La vie, l'état génital, le taux d'hormones. Les endocrines, c'est une science. Les docteurs des hormones, c'est vraiment une science de l'observation des symptômes. Avant tout, il y a deux femmes qui ont exactement le même taux d'oestrogène que le progestérone. Il y en a une qui va être au bout de sa vie, souffrir de bouffées de chaleur, et l'autre qui va se porter comme un charme. Il ne faut pas se fier trop à ça. Il faut vraiment se connecter, comme l'a dit Céline dans son livre, à son corps, ressentir, apprendre sur soi sa biochimie, son métabolisme.
- Speaker #0
Et alors, tu sais qu'il existe un test dont je n'ai plus le nom en tête, qui montre qu'on peut le voir au niveau génétique, comment une femme métabolise ses oestrogènes. Et qu'effectivement, nous ne sommes pas toutes égales devant cette métabolisation. Ce qui explique qu'à chaque femme, il y a une ménopause qui va être différente.
- Speaker #1
Tout à fait. Et c'est très intéressant parce que c'est des tests aussi qui peuvent expliquer aussi les niveaux de risque. On a beaucoup parlé avec Céline Ovette, qui est très spécialisée dans les oestrogènes, parce que vraiment, selon notre métabolisation des oestrogènes, on peut voir les choses très différemment. Des femmes qui ont tendance à avoir une dominance oestrogénique vont très mal supporter la bière ou des aliments très hyper oestrogéniques, comme le soja, la bière, etc. Et encore, ça dépend aussi du microbiome. Donc vraiment, il n'y a rien de mieux à faire que finalement... rentrer en connecteur avec soi, s'observer observer ses cycles, faire quelques tests éventuellement parler du test sanguin du test du TMA qu'est-ce que tu penses du test autour des métaux lourds moi je suis partagée là-dessus on a pas mal parlé je ne sais pas celui auquel tu penses mais par exemple le
- Speaker #0
HTMA qui est donc le test sur les cheveux il nous montre aussi notre quantité de métaux lourds hum De toute façon, on en a tous. Je crois que nous sommes tous exposés à ça. Maintenant, ça demande d'être, par exemple, si on a envie d'entreprendre une évacuation de ces métaux lourds, ça demande déjà d'avoir bien, être nickel à tous les endroits du système digestif dont je t'ai parlé et au niveau de tous nos systèmes d'évacuation. Parce que ça, c'est quelque chose qui peut être extrêmement épuisant. Donc, moi, je dis que ça, ça arrive dans un deuxième temps. Ça peut être intéressant, mais dans un deuxième temps. Il ne faut pas faire n'importe quoi. Parce qu'il ne faudrait pas que ça rentre en circulation, si on commence à les mobiliser. Ça, c'est vraiment quelque chose de plus délicat à manier. Et puis, je pense que nous sommes, en tant qu'êtres humains, on a eu à nous adapter beaucoup à notre environnement. Notre environnement a évolué beaucoup plus vite. que notre capacité à nous adapter. C'est pour ça que je pense qu'il y a beaucoup de personnes qui sont fatiguées, fatigables, avec des systèmes digestifs quand même... Il y a trois phénomènes,
- Speaker #1
j'ai envie de dire, qui sont clairement identifiés, qui pour moi sont majeurs. Il y a évidemment l'alimentation, déjà qui contient pas mal d'aliments. On ne sait pas très bien le chiffrer, mais on sait qu'une pomme aujourd'hui est moins nutritive en général.
- Speaker #0
C'est pareil.
- Speaker #1
C'est un nutriment moins large qu'une pomme il y a 100 ans. Il y a l'épuisement des sols, il y a les pesticides, il y a beaucoup de choses. On est soumis à beaucoup plus de pollution en général, on le sait,
- Speaker #0
au niveau perturbateur.
- Speaker #1
Et puis il y a aussi, au-delà du stress aussi, il y a aussi cette partie microbiote qui a beaucoup souffert. On a vu une perte de qualité du microbiote aussi sur plusieurs années. Et il y a un manque terrible de consommation de fibres. Ça veut dire qu'aujourd'hui, dans les dernières études qui sont parues sur l'alimentation, On ne consommerait même pas la moitié des fibres journalières, et c'est aussi lié à cette alimentation plus transformée. C'est assez simple de rajouter des fibres au menu, et c'est vraiment crucial. Les fibres, je rappelle, c'est des prébiotiques, donc ça sert à nourrir les bonnes bactéries. très importants en rajout.
- Speaker #0
Et puis ça permet un bon transit aussi, à condition de boire suffisamment d'eau. Et tu sais, tu parlais de la pomme. Moi j'ai été, je ne sais pas si tu l'as remarqué, mais les fruits aujourd'hui, ils sont surdimensionnés. C'est-à-dire que même en bio, il faut savoir que beaucoup de fruits que nous mangeons aujourd'hui sont issus d'une transformation. C'est-à-dire que c'est plus... Le fruit, en tout cas, moi, j'ai grandi à la campagne. La pomme, je n'ai jamais vu des pommes qui faisaient… Moi, j'exagère, mais qui étaient énormes. Elles sont dans les arbres, elles sont petites. On en mange trois, quatre bouchées, elle est terminée. Et là, quand je vais au marché, même quand c'est le marché bio, je ne dis pas des fruits plus petits. En fait, ils sont plus gorgés aussi de sucre. Donc, non seulement ils sont appauvris, comme tu le dis, parce que les sols sont appauvris, qu'il y a plus de pesticides, et puis on tire trop sur la terre de toute façon, ça c'est une certitude. Mais en plus, ils ont été croisés pour être plus gros, plus juteux et contenant plus de sucre. Donc moi, quand tu parles des fibres, je suis tout à fait d'accord avec toi, mais je privilégie vraiment les fibres qui viennent des légumes, plutôt que les fibres qui viennent des fruits. Et comme tu le dis, il faut en rajouter. De toute façon, il n'y a pas… L'assiette, quand on arrive à la ménopause, elle doit être constituée de fibres, de bons gras et de protéines. Et les… Mais oui, et les femmes, de manière générale, manquent de protéines. On ne mange pas assez de protéines. Parce que pour avoir une quantité de...
- Speaker #1
Je vous le dis, attention, les protéines, c'est vraiment... Il y a beaucoup de protéines végétales très intéressantes en assimilation.
- Speaker #0
Très intéressantes, si ce n'est que parfois, elles ont un index glycémique plus élevé. Donc c'est ça aussi, il faut jouer avec son assiette. de manière à lisser la glycémie, parce que c'est aussi un des phénomènes que l'on rencontre à l'arrivée de la ménopause, quand finalement il y a eu une alimentation un peu déséquilibrée pendant tant d'années, le métabolisme ne réagit plus de la même manière. Et c'est très intéressant et très important de tendre à lisser notre glycémie sur la journée. Donc les protéines végétales sont hyper intéressantes, mais à bien manger avec des légumes. Ça c'est hyper important de bien les mettre avec des fibres. Quand tu parles d'un truc,
- Speaker #1
ça va. Très attention aux édulcorants, parce que là, pour le coup, non seulement ça trompe l'organisme et les terres, et en plus, ça habite beaucoup le microbiote. Il y a beaucoup d'édulcorants qui habite le microbiote. Il est beaucoup plus possible.
- Speaker #0
Complètement. Puisque c'est de l'insuline dont on parle, en fait, ça l'amène à être sécrétée, parce qu'on reconnaît, mais elle ne reconnaît rien, en fait. Et donc, de se retrouver constamment avec, de remettre en route... cette insuline, c'est ce qui vient vraiment aussi perturber tout le métabolisme. Donc, il y a des choses vraiment très simples pour moi, c'est de commencer, parce que très souvent en France, on commence par le petit déjeuner avec le pain à la confiture. Je ne sais pas pour toi, moi plus du tout, ça fait longtemps. Mais en tout cas, de commencer par un petit déjeuner à base de protéines. Un œuf, une tranche de truite fumée, un avocat. Après, bon. pour les plus ambitieuses, pourquoi pas des anchois, des sardines, c'est tout à fait faisable. Et ça va venir, moi j'invite vraiment à le tester, parce qu'il faut le tester pour, encore une fois, je parle beaucoup d'expérimentation dans mon ouvrage, il faut vraiment le tester pour voir ce que ça fait. Mais c'est de commencer par des protéines et des fibres au petit déjeuner, et ça vient caler tout de suite la journée. Pas de coups. Parce que si on commence, il n'y a pas de coups de pompe, et si on commence par beaucoup de sucre, en fait, ça vient nous mettre notre niveau, notre... besoin au niveau de sucre pour la journée. Donc, commençons déjà par quelque chose qui va moins nous tenter par le sucre, quitte à en prendre un petit peu après. Mais, vraiment commencer par un petit déjeuner à base de protéines, c'est très intéressant quand on est dans cette période de périménopause et de ménopause et même après. Ça entretient la forme aussi, ça entretient l'énergie, ça redonne de l'énergie.
- Speaker #1
Alors que le sucre donne une énergie très artificielle. Et puis, attention aussi Je le dis souvent, mais attention aux excitants. On ne tolère plus du tout les excitants de la vie moyenne. Je suis en train de me témoigner, en me disant, finalement, maintenant, dès que je prends un verre de col, ça me donne une bouffée de chaleur, une sueur nocturne. Le café, que j'ai très bien toléré tous les jours de ma vie pendant 20 ans, en fait, je commence à ne plus le tolérer de la même manière. Oui, les choses changent. On passe à un nouvel état d'équilibre. C'est là où il faut s'observer et voir ce qui va mieux. Et le café... On peut passer mieux sous forme de chicorée, quand on rajoute des fibres. Enfin, il y a plein de solutions alternatives, mais il faut prendre le temps de s'observer.
- Speaker #0
Oui, surtout qu'en plus, ce qui est vrai à l'instant T, ne le sera peut-être plus un an ou deux ans plus tard. Et concernant l'alcool, moi, c'est très intéressant parce que j'aimais bien boire un bon verre de vin. Mais là, j'ai en fait arrêté complètement. Depuis maintenant presque deux ans, non quatre ans, c'était 2021, ma décision radicale d'arrêter. Donc, ça va faire trois ans. Parce que, d'abord, ça m'empêchait de dormir complètement. Et puis, je sentais que je m'empoisonnais en fait. J'aimerais bien en fait pouvoir boire un verre de temps en temps et que ça passe bien. Mais en fait, je sentais que ça m'empoisonnait. Et je sais que c'est une des choses pour beaucoup de femmes. Et là, on n'est pas du tout dans de l'alcoolisme. C'est difficile à lâcher parce que c'est vrai que c'est sympa. Un verre de vin de temps en temps, c'est très agréable.
- Speaker #1
Il y a même un système nerveux que ça peut être décontractant.
- Speaker #0
C'est carrément décontractant, bien sûr. Et moi, j'ai une cliente qui m'a apporté ce témoignage la semaine dernière qu'elle avait décidé là d'arrêter parce qu'elle avait continué de garder l'alcool et que ça avait changé sa vie. Elle dormait mieux, elle avait moins de bouffée de chaleur. Elle se sentait avec une meilleure énergie. Donc, l'alcool, de toute façon, même si ça apporte du plaisir, ça reste un toxique. Voilà, c'est parti des toxiques qu'on peut éviter. Mais c'est vraiment un choix, je vois, pour beaucoup de femmes. Ce n'est pas facile de l'arrêter.
- Speaker #1
Et puis, il y en a où ça continue à bien passer. Je dis que c'est vraiment propre.
- Speaker #0
Et puis, il y en a.
- Speaker #1
Bon, écoute, je ne sais pas si il y a quelque chose à rajouter. En tout cas, moi, je trouve ça... Voilà. Je vous recommande d'y penser. Je rappelle, on va gagner en commentaire. J'aime beaucoup parce qu'on sent que tu étais inspirée. Tu parlais de médecine chinoise tout à l'heure avec le shiatsu, mais tu as aussi fait un petit stage en Inde. Et résultat, je trouve que tu as vraiment une vision extrêmement complète. C'est plus une expérience de vie avec une sagesse sur plein de... plein de symboles, de connexions, de connexions à soi, en fait, que tu nous rappelles dedans. Donc, c'est une approche qui est vraiment très pragmatique.
- Speaker #0
Oui. Est-ce que je pourrais rajouter, moi, s'il y a un point que chaque femme peut déjà commencer à observer, c'est toutes ces injonctions et attentes qui sont sur elle. Et comment se dire, tiens, mais est-ce que ça, c'est vraiment moi qui en ai envie ou pas ? Est-ce que ce qui est dit là ou pas de moi, j'ai envie de le prendre pour moi ou pas ? Et ça, c'est des choses qu'on peut faire, à la limite, déjà, on commence par ça. D'abord, ça active notre curiosité et c'est juste hyper intéressant. Parce qu'après, on voit tous les travers de notre société sur les femmes. Et c'est très drôle. En fait, il faut en prendre… Au départ, ça m'a beaucoup énervée. Maintenant, je le prends sur le pont de l'humour et je me dis « mais vraiment ! » . Et je répète toujours que nous sommes la société, que nous avons nous aussi à montrer autre chose. et à montrer que nous pouvons exister avec notre préménopause, avec notre ménopause, et que ça va bien se passer.
- Speaker #1
Tu sais, tu parles des injonctions, ça m'a même été homme et femme aussi. Les hommes, on en parle peu, mais c'est beaucoup d'injonctions. Je pense qu'on gagne tout à nous, à se reconnecter à la fois à notre féminité et notre masculinité, et vice-versa pour les hommes. Il y a vraiment quelque chose d'assez marquant aujourd'hui sur cette... ce côté, cette approche patriarcale qui va autant nuire aux hommes qu'aux femmes.
- Speaker #0
Alors, je vais répondre à une question qui est très intéressante. On me demande ce que je prends quand je suis à un apéro. Ah oui ! Alors, ce que je prends quand je suis à un apéro, quand je n'ai pas trop le choix, en fait, souvent, parce que là, j'essaie de me remémorer les derniers apéros où je suis allée, je passe au large des jus de fruits. Il ne faut surtout pas les jus de fruits, ça, c'est pas bon du tout. plein de sucre et souvent ils ne sont pas de très bonne qualité. Mais moi, ce que j'aime bien prendre, il m'arrive encore de boire une gorgée de champagne. Mais quand je ne bois pas d'alcool, je prends souvent, maintenant, ce qu'on appelle le ginger, c'est-à-dire si on aime le gingembre, il y a du gingembre concentré avec de l'eau pétillante. Moi, je trouve ça délicieux. Ou je demande de rajouter de la menthe ou du citron. Et alors, quand je suis chez moi, j'ai acheté un flacon sans alcool. Je pourrais mettre le nom si ça vous intéresse. Il y a deux parfums. Il y en a un que j'adore, qui est un peu à base de gentiane. Et je rajoute, je fais un flacon de... Je vous mettrai en commentaire le nom, parce que c'est délicieux. Donc, un flacon de ça, un demi-flacon d'un vinaigre de cidre que j'ai fabriqué moi-même et un peu de limonade. Et alors là, ça, c'est délicieux. À la limite, je préfère ça de l'alcool. Sinon, ça peut être le kombucha, si vous êtes chez vous. Et alors, il existe un kombucha rosé que vous pouvez mettre. Moi, je bois toujours dans des super verts. Ce n'est pas parce que je ne bois pas d'alcool que je ne prends pas la magnifique coupe à champagne. Je prends des super verts. Donc, je peux mettre mon kombucha rosé dans une coupe à champagne. Moi, c'est beaucoup ça. Ça peut être le kéfir, le kombucha, ou bien alors ce fameux cocktail que je me prépare moi-même, ou alors l'eau pétillante avec du ginger. Et en fait, c'est vraiment une habitude. Parce que moi aussi, au début, je me suis dit, « Mince, surtout quand nous sommes dans une société où l'apéro, quand je dis que je ne prends pas d'alcool, on me dit « Ah, tu n'es pas drôle ! » Comme s'il fallait boire pour être drôle. Donc, il y a vraiment toute une éducation, une pédagogie à faire. ça peut être très drôle en beurrant aussi pas d'alcool. Et c'est là où toutes les attentes et les injonctions que la société nous renvoie, ça peut être aussi dans le cercle proche. Et tout simplement expliquer. Maintenant, je dis, moi, ça m'empêche de dormir. Je n'ai pas du tout envie de me retrouver avec le lendemain, ne pas pouvoir rien faire.
- Speaker #1
Des tels sans alcool. Moi, j'ai des super copines entrepreneurs qui développent ça. Il y a la vie, il y a l'alchimiste, les vins sans alcool, des Jimbers. comme tu notais,
- Speaker #0
JNPR, tu pourras les mettre en commentaire parce que ma chou c'est des excellentes alternatives, c'est délicieux et franchement je vois en fait on se sépare de l'alcool quand on a plus de désagréments que de plaisirs. Tant qu'on a plus de plaisirs à boire que de désagréments, c'est difficile d'arrêter. Mais quand il y a plus de désagréments que de plaisirs ça devient très facile. Et moi j'en étais là, c'est-à-dire que j'avais mis... tous les désagréments en lien avec l'alcool. Et puis, je ressentais même des débuts d'hypertension artérielle. C'est-à-dire que j'avais mal à la tête, je commençais à saigner du nez, des palpitations. Et ce jour-là, j'ai dit non, stop, ça ne passera pas par moi. Donc, c'est pour ça que j'ai eu une décision radicale. C'est que c'est venu impacter ma santé, en fait, directement. Et d'ailleurs, c'est comme pour tout. On commence à bouger quand ce qui nous faisait plaisir ou ce qui nous faisait du bien, et bien ça rentre dans la case plus d'inconfort que de plaisir. Je ne sais pas s'il y a d'autres questions.
- Speaker #1
En tout cas, n'hésitez pas à poser vos questions même après, puisque de toute façon, on va poster le replay sur nos comptes, donc vous pourrez tout à fait poser vos questions, puis on y répondra avec plaisir. Et puis voilà, je vous recommande une dernière fois ce livre. Je vous rappelle que si vous laissez des commentaires ou des questions, on tirera au sort dans une semaine à dix jours, quelqu'un qui gagnera. le livre de Pascaline, Ménopause Médamorphose, un livre super bienveillant pour les femmes en général et qui se trouve sur la ménopause. Et puis, voilà, nous, on vous offre avec plaisir un duo de compléments alimentaires à tester pour des femmes qui souffriraient potentiellement d'inconfort pendant cette période un peu challengeante pour l'organisme, même si ce n'est pas le lot de tout. On peut très bien la vivre sur le terrain. Voilà.
- Speaker #0
Merci beaucoup Caroline, merci infiniment et merci à toute la personne qui était là et à celles qui regarderont le replay,
- Speaker #1
merci beaucoup Une phrase d'inspiration pour la fin, pour ce début d'année une phrase qui t'a guidée Ah,
- Speaker #0
moi, une phrase qui m'a guidée attends, j'en ai plusieurs, j'aurais dû la préparer moi c'est vraiment, en fait ce qui me guide aujourd'hui c'est que je me dis que tout est possible et ce qui m'a, bon après tu as vraiment envie que je reparte sur quelque chose ? Moi, ce qui me guide, c'est que... Alors, ce qui m'a guidée, pourquoi ? Non, la raison pour laquelle j'en suis là aujourd'hui, parce que ça n'a pas toujours été le cas, c'est le jour où j'ai compris l'épigénétique. Tu vois, je t'avais dit. Et que donc, de comprendre que finalement, la vie, c'était 360 degrés et que j'avais une influence sur tout ce que je mettais en place dans ma vie. Donc, c'est qu'est-ce qui n'est pas possible ? Et tant que je ne sais pas si ce n'est pas possible, j'essaye.
- Speaker #1
Tout à fait d'accord. Mais tu sais, moi, j'ai mis beaucoup de temps à comprendre cette influence. que les hormones, pour moi, c'était un truc qui était médical, qui était complètement délégué de son corps. Quand on prend la pilule, on a un peu ce sentiment. Et quand je me suis rendue compte, en question des gens, que ça dépendait à plus de deux tiers de notre équilibre de vie, au-delà de la génétique et tout, je me suis dit, mais en fait, c'est dingue. On prend des sujets pour des choses extérieures à nous, médicales, alors qu'en fait, on a une action, une puissance dessus à redécouvrir qui est fantastique.
- Speaker #0
Et ça, pour moi, c'est hyper important. Parce que scientifiquement, c'est prouvé. qu'on a une action sur nous, sur notre corps et sur tout ce qu'on peut mettre en place. Et mon livre, il est vraiment le reflet de ça. C'est-à-dire que je ne propose que des choses qui peuvent être mises en place là tout de suite, maintenant, dès que vous l'avez entre les mains.
- Speaker #1
Bon, mesdames, vous savez ce qu'il vous reste à faire. Reprenez le pouvoir sur votre corps et votre vie. On est bien là.
- Speaker #0
Merci beaucoup, Caroline. Merci à toutes. J'espère que cet épisode vous a plu. Si oui, et si mon podcast vous permet des prises de conscience qui transforment votre vie, je compte sur vous pour le noter dans votre application préférée et pour le diffuser auprès de vos proches, car c'est la meilleure façon de soutenir mon travail. Si vous souhaitez aller plus loin, je vous invite à me retrouver sur mon site internet où vous retrouverez toutes mes activités. Belle continuation et portez-vous bien.