Speaker #0Lorsque je parle de ma vision jumelle, j'ai déjà eu le retour que celle-ci était utopique. Le hic, c'est que cette vision est simplement le reflet de ma propre perception du monde. Utopie, c'est pour moi le mot qu'on donne à la muraille qu'on construit entre soi et le monde. Je m'appelle Garance et à travers ce podcast, je t'invite à te questionner sur ta propre perception de notre monde. Je te souhaite une bonne écoute. Je suis très contente de vous retrouver dans un nouvel épisode de podcast. Ça faisait un moment que j'en avais pas fait. Et il y a quelques temps, j'ai envoyé un épisode à une amie à moi. Il m'a dit que ça lui avait fait énormément de bien, que ça l'avait apaisée, que ça l'avait fait réfléchir et ça m'a donné envie de refaire un épisode. Et puis il s'en est passé depuis la dernière fois que j'ai fait un épisode de podcast. Entre celle que je suis aujourd'hui et celle que j'étais lors de mon dernier épisode, j'ai l'impression qu'un monde s'est passé. Et du coup, ça m'a donné envie, pour ce nouvel épisode, de faire une espèce de lettre spontanée à la moi que j'étais et vers celle que je deviens. J'ai rien préparé, c'est vraiment un discours du cœur. Je suis avec ma petite infusion, là, ce matin. Et j'espère que ce que je vais vous partager va pouvoir aussi vous aider, vous apaiser, vous rassurer, peut-être vous inspirer. Là, on est, au moment où je vous parle, on est début décembre. Dans dix jours, je vais avoir mes trente ans. Et c'est pas rien, ça fait des années que je sais que les années de ma trentaine vont être les plus belles années de ma vie. Et ça a particulièrement de sens parce que les années de ma vingtaine, là où la plupart des gens profitent, se découvrent, expérimentent, moi j'étais auprès de mon père qui était malade, qui perdait en autonomie, j'étais dans la maladie, dans la mort, jusqu'à ce qu'il parte et que là je vive le deuil et qu'en fait je passe littéralement des années à essayer de m'en remettre, à essayer de me sentir en sécurité quelque part. Et là, en novembre, c'était les sept ans du décès de mon père. Et c'est la première fois que j'arrive à passer ce mois de novembre sans avoir besoin de penser à autre chose, de faire passer le mois à tout prix. Alors, le jour même de ces sept ans-là, j'ai senti l'après-midi, j'ai senti comme mon corps... était chargé, un poids sur la poitrine et beaucoup de tristesse. Et ça, je sais que c'est aussi la mémoire de mon corps, de ce qui s'est passé à ce moment-là et tout ce qu'il a enduré. Mais je vois vraiment qu'il y a un changement parce que c'est la première année où j'arrive à être présente, à être moi. Et à pas besoin de fuir le torrent de ressentis, de choses que je vis. Et c'est vraiment un beau combat, une belle victoire pour moi parce que c'est... J'y croyais pas, j'y croyais pas qu'un jour, le mois de novembre, pourrait redevenir un mois comme les autres. Et un mois où je peux faire des projets qui me font chaud au cœur, de faire des choses qui ont du sens, et pas juste avoir besoin de me dire, allez, on passe à l'année prochaine, et puis basta. D'autant que là, du coup, c'est mes 30 ans qui arrivent, que je vais fêter mon anniversaire, qu'en 2025, je me marie, donc là, je sais déjà que 2025 va être... extraordinaire et j'ai très très hâte parce que je sens que je suis à un espèce de moment de transition un moment très important dans ma vie où je suis en train de bâtir tout ce qui va arriver et autant j'ai déjà entrepris plein de choses autant là je suis jamais allé autant au bout de deux projets tel que je le fais aujourd'hui, avec la conviction du pourquoi je le fais, avec le sens que j'y mets et avec le cœur que j'y mets. Là, j'ai commencé un tournage pour une vidéo que j'ai imaginée il y a quelques mois, que j'ai eue dans une espèce de vision. À l'époque, je ne savais pas exactement qu'est-ce que j'en ferais. Et en fait, entre-temps, j'ai créé l'accompagnement dont j'aurais pu rêver. Ce qui est assez fou qu'un accompagnement de six mois, ce que j'aurais pensé être incapable de faire. Et ça fait tellement de sens pour moi, ça va tellement toucher à des choses dont j'ai toujours rêvé. A cette notion d'être audacieux et surtout de changer le monde, qui est vraiment un aspect que j'ai toujours eu en moi mais que j'ai jamais pu assumer. Parce que dire qu'on veut changer le monde, ça peut paraître prétentieux. Et moi souvent quand on me dit non mais tu veux... contribuer à changer le monde. Et quand je le dis comme ça, ça fait pas de sens. Il y a vraiment ce mot changer le monde qui est là depuis que je suis toute petite. Et là, j'arrive à y donner forme, à y donner sens. Et c'est vraiment ça que j'ai le sentiment de vivre en ce moment. C'est de me découvrir complètement, de m'assumer complètement et en plus de tout ça, d'aimer qui je suis, d'aimer ce que je fais. D'aimer à quel point j'arrive à l'assumer et dont j'en ai plus honte et dont j'ai plus peur de ce que les gens pourraient en dire. Parce qu'en fait j'ai réussi à voir en face que, bah oui, j'avais pas la même façon de faire que la plupart des gens. Qu'avec moi tout pouvait paraître excessif alors qu'en réalité la façon dont j'exprime l'enthousiasme ou l'intensité que j'ai des choses n'est qu'un dixième de ce que je veux. Je ressens réellement, et avec les mots j'essaie toujours de laisser transparaître, mais c'est rien comparé à comment je le vis, que oui j'ai des projets qui semblent ne faire aucun sens, si on est rationnel, si on réfléchit, mais qui sont tellement une sorte d'appel du cœur, qui font tellement de sens, qui résonnent tellement en moi, qui me font tellement plaisir à entreprendre, qu'en fait c'est comme ça que je fonctionne, j'ai toujours suivi ces espèces d'instincts, j'ai toujours su là où il fallait que j'aille. et j'ai toujours suivi cette intuition. Alors, pas toujours, parce qu'effectivement, il y a des fois où je me disais Mais non, ça fait aucun sens et je laissais de côté. Mais en tout cas, j'ai toujours eu ces moments où je me disais Tu pourrais faire ça Et après, est-ce que je le faisais ou est-ce que je me disais Mais non, mais qu'est-ce que les autres vont en penser ? Est-ce que tu vas réussir à assumer, dire que tu as fait ça, machin, bitume ? Et maintenant, je m'en fiche. En fait, maintenant, j'ai envie de m'amuser, j'ai envie de profiter, j'ai envie de m'épanouir. J'ai envie de me montrer aussi telle que je suis, j'ai plus envie de me minimiser, j'ai plus envie de minimiser mes projets. Je sens que je suis prête à comme m'afficher au monde. Ce qui clairement n'était pas gagné parce que quand je vois celle que j'étais, l'adolescente que j'ai pu être, qui était complètement guidée par ce que les autres pensaient, à se minimiser, à se calibrer en fonction de la personne que j'avais en face, surtout pour être exactement ce qu'elle voulait que je sois et rien d'autre. Après, quand je vois celle que j'ai été dans ma vingtaine à terrifier par l'avenir, terrifier par ce qui pourrait se passer, qui avait plus confiance en rien, qui se disait que sa vie, ce serait de vivre le deuil, de traverser des épreuves, de perdre tout ce que j'aimais. Je pensais vraiment qu'à un moment, ce serait ça ma vie. Et c'est marrant parce qu'en en parlant, je sens que je suis émue, vous l'entendez peut-être dans ma voix. Parce qu'en fait, je suis... Je suis très touchée quand je pense à celle que j'étais il y a 7 ans, 10 ans. Et quand je vois celle que je suis aujourd'hui, j'ai envie vraiment de me serrer dans les bras et de me dire Tout est parfait comme c'est. T'as toujours fait ton mieux et c'était parfait à ce moment-là et t'inquiète pas. Tous les rêves que t'avais en toi, que tu pensais même plus qu'il serait possible d'arriver un jour, d'avoir... D'avoir une vie extraordinaire, d'avoir plus que ce que certaines personnes se contentent, d'avoir une relation extraordinaire qui, au bout de dix ans, est encore surprenante, qui te nourrit. De changer tes relations familiales, celles qui ne t'allaient pas, qui te blessaient, qui te minimisaient. Construire une entreprise, une activité où tu crées complètement ton métier. C'est toi qui décide ce que tu veux faire, ce que tu veux contribuer. Tout ça, j'aurais pensé que c'était complètement impossible il y a quelques années, et pourtant c'est ce que j'ai déjà commencé à accomplir et ce que je suis encore en train d'accomplir. Et ça me touche parce que je sais que celle que j'étais il y a dix ans, c'était grâce à elle que j'en suis là. C'est grâce à sa résilience, à sa volonté toujours de rester vers la vie, vers la joie, vers le rire. a toujours s'accroché à quelque chose qui m'a permis d'en arriver là, d'avoir cette si belle résilience qui m'aide énormément aujourd'hui. Et aujourd'hui, avec tout ce que j'ai traversé, avec toutes ces expériences, je sais que je suis prête à affronter n'importe quelle épreuve et j'ai plus peur en fait. J'ai compris que ce ne sont pas les événements que je traverserai qui vont déterminer si je vais réussir à accomplir mes rêves ou pas, c'est moi. Et ça, ce sera le cas. peu importe ce qui peut arriver. Je sais que la maladie, le deuil, les remises en question, les doutes, ne viennent plus prendre de décision pour moi. Quand je suis en train de le vivre, je suis capable de le voir, de me dire là c'est compliqué, là il y a ça, là il y a tes peurs. Mais ce n'est plus elle qui guide ma vie. Je suis capable de me dire ça c'est une part de ta réalité, oui, mais il y a tout le reste. Et de m'autoriser aussi à à être heureuse dans des moments de ma vie où Ou avant, je ne m'autorisais pas parce que quand je vivais dans le deuil, dans la maladie, c'était impensable pour moi à ce moment-là de me dire que j'avais le droit d'être heureuse, que j'avais le droit de m'épanouir. Ce n'était pas possible. J'avais perdu mon père, je devais être auprès de lui. Et c'était à ce moment-là, je croyais vraiment que ma place, c'était ça et que je n'avais pas le droit d'en avoir plus. Et aujourd'hui, j'ai pu comprendre ces croyances, j'ai pu les transformer, j'ai pu en créer de nouvelles. qui m'autorisent, qui sont des permissions pour moi, en m'inspirant aussi de personnes qui vivent la vie que j'ai envie de vivre et de voir que c'est possible, et d'apprendre à mon cerveau que c'est possible, et que ce que j'ai toujours connu, il n'y a pas que ça comme réalité, rien n'est impossible en fait. Et quand je vois là, au cours des dernières années, et rien que les six derniers mois, l'évolution que j'ai eue, Je ne peux pas m'empêcher de penser à ce qui m'attend et à celle que je vais devenir. Je suis déjà tellement fière de celle que je suis là aujourd'hui au moment où je vous parle que je n'arrive même pas à imaginer plus. Parce que j'ai l'impression que quand je compare de là où je pars, je me dis que c'est tellement exceptionnel, c'est déjà tellement énorme le chemin que j'ai parcouru. Et en même temps, je le sais, je le sais au fond de moi, que tout ce qui m'attend, tout ce qui va être exceptionnel. Et je sais que là, en tout cas, particulièrement pour l'année 2025, ça va être vraiment une année d'expansion pour moi. Une année de visibilité où je pense que je vais pouvoir me montrer au monde tel que je ne me suis jamais montré en m'assumant encore plus, en clamant encore plus fort quelles sont mes vérités, qu'est-ce que je veux offrir au monde, qui je suis. Sans me minimiser, sans chercher à me cacher, à me dissimuler, à trouver une sorte de diplomatie pour ne pas offusquer tout ça, parce qu'en réalité tout ça, ça ne m'apporte plus rien. J'ai envie d'être qui je suis pleinement, de m'assumer, et que ça puisse inspirer ceux qui ont besoin d'entendre ça, ceux qui ont envie de ce changement-là, ceux qui sont appelés par ce message-là. Et c'est rigolo parce que vraiment, je n'arrive pas encore complètement à imaginer. Je sais que ma vie va changer, que je sais que cette année, je vais déménager dans une maison extraordinaire, que plein de belles choses m'attendent, que mon mariage va être exceptionnel, qu'il va pouvoir célébrer l'amour avec mon fiancé, que ça va remplir mon cœur de joie. Et que vraiment, 2025, c'est ce que je vous dis. C'est comme si je ressentais à quel point ça allait être une année extraordinaire et qu'en fait mon cerveau n'était pas encore capable d'imaginer tout ce qui allait m'arriver. Et ce qui est très bien aussi comme ça, parce que ça me laisse de la surprise. Mais je savoure d'autant plus tout ce que je continue d'accomplir aujourd'hui, parce qu'en fait c'est toutes les actions que je continue de faire là, maintenant, en étant reliée à ces sensations-là, à cet appel-là au niveau de mon cœur, qui font que j'avance pas à... pas après pas vers cette réalité-là. Et ouais, je suis vraiment émue parce que cette fin d'année est comme la transition nécessaire avant plein de belles choses qui m'attendent. Et j'ai envie d'en savourer chaque instant. J'ai pas déjà envie d'être en 2025 en me disant Oh là là, j'ai à diète ! Non, je suis tellement heureuse d'être là, de chaque action que je suis déjà en train de mettre en place. Et je veux savourer chaque étape. J'ai tellement longtemps vécu dans le passé pour le futur, où on oubliait le présent, qu'aujourd'hui j'ai envie de savourer le présent, savourer le présent pour déjà l'avancée énorme que c'est par rapport à mon passé, et pour tout ce que ça me permet de construire pour mon futur. Mais en regardant là, là maintenant, aujourd'hui, dans ce que je ressens chaque jour, dans ce qui m'appelle chaque jour. Et... Et c'est vraiment ça qui fait sens en ce moment. Et du coup, je t'ai parlé un petit peu de cet accompagnement que j'ai créé, mais j'ai envie de t'en parler un petit peu plus parce que c'est comme mon bébé. Et qu'en janvier, ça va être la rentrée officielle de cet accompagnement qui s'appelle l'Académie des Audacieux, avec cieux en majuscule, qui est en fait un accompagnement pour les rêveurs audacieux. qui depuis toujours ont tous ces rêves pour leur vie, pour le monde, ces changements qu'ils imaginent, qu'ils laissent peut-être dans un carnet, qu'ils s'autorisent peut-être à travers des livres, dans leur imagination, mais qu'ils n'arrivent pas à le créer dans leur réalité parce qu'ils se sentent seuls, parce qu'ils se sentent en décalage, pas à leur place. Et qu'en fait, cet accompagnement, je l'ai vraiment créé pour créer cet espace, pour qu'à la fois tu ailles chercher dans tes peurs et croyances que tu... qu'ensemble dans des coachings en one-on-one, on puisse aller regarder d'où viennent ces peurs, d'où viennent ces croyances, qu'on aille démêler, qu'on te libère de tes peurs et qu'on aille transformer ces croyances par d'autres. Et tu verras en six mois, sachant que tu as deux coachings par mois, on va pouvoir aller de plus en plus en profondeur pour vraiment, au fur et à mesure, enlever des strates, enlever des strates pour qu'à la fin de ces six mois, Sois complètement libéré de tout ça. À côté de ça, il y a des coachings de groupe pour qu'en fait, grâce à la dynamique de groupe, on puisse apprendre tous ensemble, parce que je sais que moi aussi, ça va m'être très bénéfique, à voir différemment, à ouvrir notre façon de penser, à s'imprégner des rêves des autres, à apprendre à voir plus grand tous ensemble et à s'autoriser, surtout à que ce soit une permission pour nous tous, à mener des actions alignées avec nos rêves, tout simplement. Et en plus de ça, ce qui me tenait très très à cœur dans cet accompagnement, c'est vraiment de créer une communauté d'audacieux, de rêveurs, d'idéalistes, peu importe comment tu as envie de les appeler, où en fait, plus jamais tu ne te sentes seule et pas à ta place, et que vraiment, tu sois dans un environnement où tu te sens tellement à ta place que tu peux t'assumer complètement. Tu peux dire les choses telles que tu les penses, telles que tu les as toujours rêvées, sans avoir peur d'être jugée pour ça. Et qu'en fait, rien qu'avec cet aspect communautaire, tu te transformes parce qu'à partir du moment où tu comprends que tu n'es plus seule et que tu peux commencer devant d'autres personnes à partager ce qui est enfoui en toi, je crois que c'est vraiment une étape importante parce que c'est une chose de reconnaître qu'on a ses rêves au fond de nous et c'en est une autre de pouvoir le partager à d'autres personnes. Et je crois que déjà, ce premier pas de le partager, de l'assumer, c'est un pas énorme pour après aller à la réalisation de ses rêves. Et si tu veux, cet accompagnement, ce n'est pas du tout un accompagnement qui va être sur la méthodologie de projet, sur comment créer des projets, tout ça. Parce que de un, moi je suis convaincue que quand on a des aspirations comme ça, des rêves de changement, que ce soit dans le monde, dans sa vie, on a déjà en soi tous les outils, toutes les étapes pour y arriver. C'est juste qu'en général, on n'a pas suffisamment confiance en soi et ses idées pour aller au bout. Et moi, si tu veux, là où je vais être particulièrement présente sur cet accompagnement, c'est surtout te permettre de devenir celui ou celle qui va permettre d'accomplir tout ça. Donc t'accompagner à te libérer de tes peurs, de changer tes croyances, de te montrer tel que tu es, de t'assumer tel que tu es, de retrouver cette confiance absolue, de pouvoir t'écouter, et en fait de ne plus laisser des... des jugements extérieurs et des jugements que tu te fais aussi à toi-même pour qui viennent dire que t'es pas légitime alors qu'en fait tu l'es déjà t'as déjà tout et tout ce que t'as besoin c'est de te relier avec ça et je te parle déjà de cet accompagnement dont la rentrée sera en janvier parce que pour cette fin d'année à l'image de ce que j'ai de ce que j'ai déjà moi vécu, j'ai envie pour les étudiants qui sont déjà inscrits à l'académie de proposer des... Enfin, c'est même pas de proposer, c'est d'offrir un coaching de fin d'année pour faire un petit peu le point sur l'année qui s'est passée, te libérer des choses dont tu n'as plus besoin et faire de l'espace pour ce qui va arriver en janvier. C'est vraiment un appel du cœur que j'ai eu d'offrir ces coachings-là. Et je pense que ça va être d'autant plus exceptionnel que ce qui nous attend en 2025. Alors si jamais tout ce que je t'ai partagé te parle, déjà tu peux venir réagir dans les commentaires du podcast comme d'habitude. Et si jamais tu veux en savoir plus sur l'accompagnement, je propose des appels découvertes complètement gratuits pour voir si en fait l'accompagnement est fait pour toi, pour voir un petit peu ton parcours, voir ce que ça peut t'apporter, te donner un petit peu plus de détails de comment ça va se passer. Tu peux. Alors le plus simple, ça reste de me contacter sur Instagram, Garance Gavarie, de m'envoyer un message privé directement pour qu'on en discute. Et si jamais tu n'as pas Instagram, ce qu'on peut faire, c'est que dans les commentaires, tu me mets que tu es intéressée et je trouverai un moyen d'échanger avec toi pour qu'on en discute. Voilà, c'était ce que j'avais envie de te partager dans ce nouvel épisode. Je suis vraiment très très contente de reprendre les podcasts parce que j'aimais bien vous parler comme ça et je suis très contente que cette amie m'ait partagé tout ce que ça lui a apporté et qu'elle m'a encouragée à reprendre les enregistrements. Je sais pas quand sera le prochain épisode parce que là pour mon anniversaire j'ai plein de choses qui se trament, mon chéri m'emmène à Disneyland pendant la période de Noël pour mon cadeau. Je suis surexcitée et ensuite je sais qu'avec les copains j'ai une petite surprise qui m'attend, je ne sais pas encore quoi. Mais du coup, je vais être très occupée à kiffer, tout simplement. Donc je ne sais pas quand est-ce que sera le prochain épisode, mais en tout cas, tu peux être sûre qu'il sera fait avec le cœur. Et que je te souhaite vraiment de profiter de cette fin d'année, à ton rythme, pour accueillir tout ce qui est là. Et faire de la place pour toutes les choses extraordinaires qui t'attendent par la suite. A très vite.