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Avocats Génération Entrepreneurs

Comment monter son cabinet après avoir plaidé le procès du siècle ? Martin Vettes, l'un des deux avocats de Salah Abdelsam nous raconte

Comment monter son cabinet après avoir plaidé le procès du siècle ? Martin Vettes, l'un des deux avocats de Salah Abdelsam nous raconte

1h06 |27/07/2023
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Description

Pour notre génération, il n’y en aura pas beaucoup des procès du siècle.

 

Les chiffres sont vertigineux, au moins 330 avocats constitués, 1765 parties civiles et 14 accusés

 

Nous sommes la génération des attentats de Charlie et du Bataclan …O sait tous ce que l’on faisait lorsque l’on a appris, lorsque l’on a compris. 

 

Certains d’entre nous ont perdu des proches et nous avons tous vécus pendant 10 mois avec les brèves de ce que l’on a appelé "Le procès du siècle".

 

Pour nous, avocats, ce procès c’était peut-être autre chose . C’était la démonstration de ce que la défense peut faire de plus noble, de plus grand. Je ne plaide plus depuis bien longtemps, mais j’ai eu envie de donner un peu de ma force à ces confrères que je voyais sur mon poste de télévision épuisés, les traits tirés. 

 

Ont-ils tous été parfaits ? non certainement pas, toujours dignes ? non plus. 

 

Mais on s’en fou, ce que nous avons gardé en tête avec Charlotte, ce sont ces robes noires, nos confrères, qui ont assisté leurs clients comme ils ont pu, donnant le meilleur d’eux même probablement en se dépassant, laissant de coté leur vie et certainement leur cabinet. 

 

Il ont été pendant 10 mois, aussi, l’emblème de notre profession.

 

Dans cette armée de robes noires, il y avait notre consœur Olivia Ronen et notre confrère Martin Vettes qui défendaient celui qui a polarisé l’attention, Salah Abdeslam. Ils ont été, avec leur client, au centre du procès. 

 

Martin était collaborateur au moment où il a pris la décision de rejoindre Olivia, alors comment monter son cabinet après avoir plaider le procès du siècle ? C’est la question que l’on a eu envie de poser à Martin Vette que l’on est ravies d’accueillir dans ce nouvel épisode d’avocats génération entrepreneur.

 


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Pour notre génération, il n’y en aura pas beaucoup des procès du siècle.

 

Les chiffres sont vertigineux, au moins 330 avocats constitués, 1765 parties civiles et 14 accusés

 

Nous sommes la génération des attentats de Charlie et du Bataclan …O sait tous ce que l’on faisait lorsque l’on a appris, lorsque l’on a compris. 

 

Certains d’entre nous ont perdu des proches et nous avons tous vécus pendant 10 mois avec les brèves de ce que l’on a appelé "Le procès du siècle".

 

Pour nous, avocats, ce procès c’était peut-être autre chose . C’était la démonstration de ce que la défense peut faire de plus noble, de plus grand. Je ne plaide plus depuis bien longtemps, mais j’ai eu envie de donner un peu de ma force à ces confrères que je voyais sur mon poste de télévision épuisés, les traits tirés. 

 

Ont-ils tous été parfaits ? non certainement pas, toujours dignes ? non plus. 

 

Mais on s’en fou, ce que nous avons gardé en tête avec Charlotte, ce sont ces robes noires, nos confrères, qui ont assisté leurs clients comme ils ont pu, donnant le meilleur d’eux même probablement en se dépassant, laissant de coté leur vie et certainement leur cabinet. 

 

Il ont été pendant 10 mois, aussi, l’emblème de notre profession.

 

Dans cette armée de robes noires, il y avait notre consœur Olivia Ronen et notre confrère Martin Vettes qui défendaient celui qui a polarisé l’attention, Salah Abdeslam. Ils ont été, avec leur client, au centre du procès. 

 

Martin était collaborateur au moment où il a pris la décision de rejoindre Olivia, alors comment monter son cabinet après avoir plaider le procès du siècle ? C’est la question que l’on a eu envie de poser à Martin Vette que l’on est ravies d’accueillir dans ce nouvel épisode d’avocats génération entrepreneur.

 


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Pour notre génération, il n’y en aura pas beaucoup des procès du siècle.

 

Les chiffres sont vertigineux, au moins 330 avocats constitués, 1765 parties civiles et 14 accusés

 

Nous sommes la génération des attentats de Charlie et du Bataclan …O sait tous ce que l’on faisait lorsque l’on a appris, lorsque l’on a compris. 

 

Certains d’entre nous ont perdu des proches et nous avons tous vécus pendant 10 mois avec les brèves de ce que l’on a appelé "Le procès du siècle".

 

Pour nous, avocats, ce procès c’était peut-être autre chose . C’était la démonstration de ce que la défense peut faire de plus noble, de plus grand. Je ne plaide plus depuis bien longtemps, mais j’ai eu envie de donner un peu de ma force à ces confrères que je voyais sur mon poste de télévision épuisés, les traits tirés. 

 

Ont-ils tous été parfaits ? non certainement pas, toujours dignes ? non plus. 

 

Mais on s’en fou, ce que nous avons gardé en tête avec Charlotte, ce sont ces robes noires, nos confrères, qui ont assisté leurs clients comme ils ont pu, donnant le meilleur d’eux même probablement en se dépassant, laissant de coté leur vie et certainement leur cabinet. 

 

Il ont été pendant 10 mois, aussi, l’emblème de notre profession.

 

Dans cette armée de robes noires, il y avait notre consœur Olivia Ronen et notre confrère Martin Vettes qui défendaient celui qui a polarisé l’attention, Salah Abdeslam. Ils ont été, avec leur client, au centre du procès. 

 

Martin était collaborateur au moment où il a pris la décision de rejoindre Olivia, alors comment monter son cabinet après avoir plaider le procès du siècle ? C’est la question que l’on a eu envie de poser à Martin Vette que l’on est ravies d’accueillir dans ce nouvel épisode d’avocats génération entrepreneur.

 


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Pour notre génération, il n’y en aura pas beaucoup des procès du siècle.

 

Les chiffres sont vertigineux, au moins 330 avocats constitués, 1765 parties civiles et 14 accusés

 

Nous sommes la génération des attentats de Charlie et du Bataclan …O sait tous ce que l’on faisait lorsque l’on a appris, lorsque l’on a compris. 

 

Certains d’entre nous ont perdu des proches et nous avons tous vécus pendant 10 mois avec les brèves de ce que l’on a appelé "Le procès du siècle".

 

Pour nous, avocats, ce procès c’était peut-être autre chose . C’était la démonstration de ce que la défense peut faire de plus noble, de plus grand. Je ne plaide plus depuis bien longtemps, mais j’ai eu envie de donner un peu de ma force à ces confrères que je voyais sur mon poste de télévision épuisés, les traits tirés. 

 

Ont-ils tous été parfaits ? non certainement pas, toujours dignes ? non plus. 

 

Mais on s’en fou, ce que nous avons gardé en tête avec Charlotte, ce sont ces robes noires, nos confrères, qui ont assisté leurs clients comme ils ont pu, donnant le meilleur d’eux même probablement en se dépassant, laissant de coté leur vie et certainement leur cabinet. 

 

Il ont été pendant 10 mois, aussi, l’emblème de notre profession.

 

Dans cette armée de robes noires, il y avait notre consœur Olivia Ronen et notre confrère Martin Vettes qui défendaient celui qui a polarisé l’attention, Salah Abdeslam. Ils ont été, avec leur client, au centre du procès. 

 

Martin était collaborateur au moment où il a pris la décision de rejoindre Olivia, alors comment monter son cabinet après avoir plaider le procès du siècle ? C’est la question que l’on a eu envie de poser à Martin Vette que l’on est ravies d’accueillir dans ce nouvel épisode d’avocats génération entrepreneur.

 


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