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131. Arrête de penser que tu redémarres de zéro en devenant décoratrice cover
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Bonjour ma nouvelle vie de décoratrice

131. Arrête de penser que tu redémarres de zéro en devenant décoratrice

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12min |24/02/2025
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Description

Je viens dégommer ta croyance limitante qui te fait penser que quand tu te reconvertis comme décoratrice d'intérieur, tu démarres de zéro !


C'est archi faux et je viens te dire pourquoi !! Promis, après tu arrêteras de croire ça et tu te sentiras beaucoup plus légitime !


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Hello, je suis Caroline, fondatrice de Bonjour ma nouvelle vie. Après plus de 12 ans en tant que décoratrice d'intérieur, coloriste et avançable prof d'anglais, j'accompagne aujourd'hui les femmes passionnées de déco à lancer leur business de décoratrice d'intérieur pour qu'elles vivent pleinement de leur passion, qu'elles se sentent libres et épanouies et osent rêver grand. Située à la recherche de davantage de compétences sur le métier de décoratrice, de retour d'expérience, de conseil business, Si tu veux booster ton mindset pour révéler ton plein potentiel, alors tu es au bon endroit. Si en plus tu as besoin d'une bonne dose d'énergie, de motivation, de bienveillance, si tu as envie de passer à l'action, alors définitivement ce podcast est fait pour toi. Tu retrouveras mes formations et mes accompagnements business sur mon site www.bonjourmanouvellevie.com Allez, on est parti pour l'épisode du jour. Bonne écoute ! J'entends tout le temps cette croyance que vous avez toute ou presque, ouvrez les guillemets, je me reconvertis comme décoratrice d'intérieur, donc je redémarre de zéro. Alors bien sûr, derrière cette phrase, il y a un syndrome de l'imposteur qui est là, il y a eu un sentiment d'illégitimité très très forte. Bien sûr, vous vous dites, en fait je ne vaux pas grand chose, parce que je n'ai pas d'expérience, donc je ne suis pas légitime à m'afficher comme décoratrice d'intérieur, et que globalement... Tu penses que tu es une grosse impostrice qui ose proposer ses services alors qu'elle ne le mérite pas. Alors on va stopper ici le tableau catastrophe et je vais essayer de venir déconstruire cette croyance dans cet épisode. Je dis bien essayer parce que je sais très bien que ce n'est pas un épisode de podcast qui va forcément tout résoudre. Mais si je peux juste un tout petit peu t'apporter un peu d'optimisme. et surtout une meilleure considération de toi-même, je me dis que j'aurais quand même réussi quelque chose de chouette. Alors, on va revenir en arrière pour démarrer à ton premier job, le premier jour de ton premier job. Reviens dans ce moment-là et je vais me reprendre moi à cette époque-là aussi. Donc, je te refais un petit tableau de ce qui se passait à l'époque. Je viens d'avoir mon concours de prof, j'ai 23 ans. Je sors de l'université, donc bien sûr je suis super forte en traduction, je sais analyser Shakespeare dans tous les sens, je suis hyper calée en littérature, histoire américaine, etc. Au passage, j'ai tout oublié, comme quoi c'était sûrement pas très très utile dans mon métier de prof. Mais il faut bien être honnête que me retrouver devant une classe de 30 élèves... qui était en BEP chaudronnier métallier, en zone sensible en plus, je n'avais pas du tout, du tout appris ça. Par contre, ce qui m'interpelle quand je me revois moi, du haut de mes 23 ans et de mon mètre 54, face à des ados de 17 ans qui faisaient tous deux têtes de plus que moi, parce qu'effectivement, à ce moment-là, le fait que je ne sois pas très grande a plutôt toute son importance, je me dis que la moi de l'époque a... aucun moment ne s'est dit que j'étais un imposteur. Pas du tout. Alors oui, j'en ai bavé. Oui, c'était pas du tout facile. Mais à aucun moment, je me suis dit que je mentais à qui que ce soit et que je n'avais pas ma place où j'étais, que c'était pas normal. En fait, je me suis juste dit que j'allais apprendre, que j'avais juste pas le choix que d'y aller. Du coup, ma question pour toi là maintenant, c'est comment toi ? Tu t'es sentie dans ce premier jour de ton premier job. Qu'est-ce que tu t'es dit à l'époque ? Et je suis prête à parier que t'étais à peu près comme moi, que oui, c'était pas simple et probablement inconfortable, comme chaque nouvelle situation, mais que globalement, cette situation, tu l'acceptais comme un passage obligé, comme quelque chose de tout à fait normal après des études, comme une nécessité, et qu'à aucun moment, tu t'es dit que tu ne valais rien pour autant. Et du coup, je voudrais que tu m'expliques pourquoi ça serait différent aujourd'hui, au moment d'une reconversion. Parce que t'es dans cette même posture de premier jour sur un nouveau job, mais que c'est ok, c'est exactement la même situation. Et pourtant, moi aussi, je l'ai ressenti quand je suis devenue décoratrice il y a 13 ans, ce syndrome de l'imposteur, en me disant que j'avais pas ma place. Parce que j'avais été bonne dans mon ancien job, est-ce que je pouvais être bonne dans le nouveau, etc. ? Mais on est bien d'accord que ça n'a aucun sens cette affaire. Pourquoi il y aurait deux poids deux mesures pour une situation complètement identique ? Je sors des études, je prends en charge un poste. C'est exactement pareil quand on devient décoratrice d'intérieur. Et encore, là nous de l'époque, on était globalement un peu des gamines. Je pense que moi, du haut de mes 23 ans, j'avais... J'avais pas accompli grand grand chose, oui j'avais vécu à l'étranger pas mal, donc quand même je m'étais challengée sur quelques trucs et que j'avais une certaine confiance en moi à la lumière de ces expériences, mais globalement j'avais pas accompli grand grand chose. Alors qu'aujourd'hui, quand tu te lances, tu ne repars pas de zéro parce que tu as déjà cette richesse. En fait tu es riche et tu es forte de tout. tout ton parcours précédent, qu'il soit personnel ou professionnel. Donc là où je veux vraiment t'amener aujourd'hui avec cet épisode de podcast, c'est que si tu crois que tu pars de zéro, c'est une énorme bêtise, c'est une énorme croyance limitante que tu as. Non, tu ne repars pas de zéro. J'en parlais à l'une d'entre vous la semaine dernière en appel découverte. Et elle me disait qu'elle pensait qu'elle n'était pas forte, qu'elle n'était pas courageuse, etc. Et en même temps, elle me racontait qu'elle était partie toute seule à l'autre bout du monde à deux reprises, en plus, pas une seule fois, et que du coup, elle était partie sans aucun bagage, toute seule, sans aucun... Je crois que même elle n'avait pas de job la deuxième fois. Donc je suis désolée. Quand on est capable de faire une telle sortie de zone de confort, On est forcément courageuse, on est forcément très forte, on a forcément une confiance en soi et en la vie qui est énorme. Et en fait, la prise de conscience, c'est que cette croyance limitante de croire qu'on part de zéro, elle est archi fausse. Tu pars de zéro en tant que décoratrice d'intérieur, mais en fait tu es riche de tout cet accomplissement que tu as déjà fait avant. Et le problème, c'est qu'on est tellement dur avec nous-mêmes qu'on n'est plus capable de voir tout ce qu'on a déjà accompli. Et ça, je pense que c'est vraiment le plus gros des problèmes. Qu'on a des croyances limitantes, mais qui ne reposent sur rien de concret. Et qu'au contraire, quand on vient explorer vos parcours et vos expériences, Tout nous donne, tous les indices sont sur exactement l'opposé de ce que vous croyez. Donc, il y a aussi la conviction. Il y a tout ce parcours plus personnel. Mais professionnellement, tu as une expérience professionnelle qui t'a forcément permis de développer des talents, des forces et des compétences. Je me suis amusée à lister cinq exemples. de métiers dans lesquels tu étais peut-être, pour te prouver à quel point chaque métier vient développer des talents, des forces, des compétences qui sont complètement transférables aux métiers de décoratrice d'intérieur. Et ce que je veux faire, c'est te prouver que non, personne ne redémarre de zéro, c'est archi faux. Premier exemple, tu as peut-être été infirmière. ostéo, kiné, éducatrice, assistante sociale, quelque chose comme ça. Dans un cas comme ça, forcément, tu as développé une grande empathie. Tu as forcément une sensibilité au bien-être des gens qui est très forte. Tu as forcément développé une écoute pour comprendre en profondeur le mal-être des personnes, leurs mots, M-A-U-X, leurs besoins essentiels et comment y répondre. Ça tombe bien ! C'est exactement ce qu'on fait en tant que décoratrice intérieure. On vient analyser pourquoi les gens ne se sentent pas bien chez eux ou sur leur lieu professionnel, mais on vient analyser cette absence de bien-être et on cherche à y apporter des réponses. En déco, certes, c'est différent d'une infirmière, mais c'est exactement la même chose. C'est exactement la même démarche et les mêmes qualités humaines dans les deux cas de figure. Deuxième exemple, peut-être que tu travaillais comme ingénieur. Radicalement différent. ou dans les assurances, en comptabilité, ce genre de métier, où tu as forcément dû développer beaucoup de rigueur. Ton esprit s'est forcément développé de façon très structurée. Tu es forcément quelqu'un d'assez carré, d'assez organisé, quand tu as eu des métiers comme ça. Tu sais aller droit au but, probablement aussi. C'est pareil, ça tombe sacrément bien. Parce qu'on a besoin de tout ça en tant que décoratrice d'intérieur. On a besoin d'être hyper carré en tant qu'entrepreneur. Donc forcément, tu as cette force en toi grâce au métier, à ton métier précédent. Troisième exemple, peut-être que tu bossais en marketing, en communication. Là pareil, ça tombe sacrément bien parce qu'en tant que décoratrice intérieure, tu vas avoir besoin de te vendre, tu vas avoir besoin de te rendre visible, tu vas avoir besoin de développer ta communication à toi, développer des réseaux sociaux. Donc pour le coup, ton expérience précédente est sacrément essentielle à ton futur métier de décoratrice intérieure. Quatrième exemple qui me vient, tu avais peut-être un job de gestion de projet, tu étais peut-être chef de projet. Donc forcément tu sais gérer un projet de A jusqu'à Z. Et là encore une fois, ça tombe bien dis donc, parce que c'est exactement ce qu'on fait comme décoratrice d'intérieur. On mène un projet de A à Z pour que le client soit 100% satisfait. Donc on a cette casquette un petit peu, cette multi casquette, cette vision à 360 degrés pour que le projet... se passe bien dans toutes ces étapes. Donc forcément, tu es déjà prête à mener un projet. Et puis, dernier exemple qui me vient de façon plutôt émotionnelle, tu es peut-être juste maman. Et si tu es maman, le multitasking, c'est ton quotidien. Tu sais gérer des crises, tu sais gérer... Des déceptions, des états d'âme, des doutes, des jours où ça ne va pas, tu sais gérer plein de choses en même temps. Donc ça veut dire que tu es juste parfaite pour le métier de décoratrice d'intérieur, parce que c'est à peu près ça aussi, on gère plein de choses différentes. Donc je vais évidemment m'arrêter là, parce que je pense que je pourrais continuer à l'infini cette liste de métiers dont les compétences sont complètement réutilisables et transférables. au métier de décoratrice intérieure. J'ai parlé à des dizaines et des dizaines de personnes qui veulent se reconvertir. Et à chaque fois, j'ai toujours, toujours réussi à détecter les forces, les talents et les compétences transférables au métier de décoratrice intérieure. Si tu en doutes, si tu te demandes si c'est vrai pour toi aussi, si le métier de décoratrice est fait pour toi, je te propose de réserver un collègue avec moi et je suis prête à te parier qu'en 30 minutes top chrono, je vais être capable de te prouver que non, tu ne redémarres pas de zéro, que tu as ces forces en toi, que tu seras une décoratrice unique, riche de tous tes précédents talents, de tout ton parcours pro et perso précédent. Et donc, c'est archi faux, encore une fois, que tu démarres de zéro. Si tu entends ce message, c'est que tu as écouté l'épisode jusqu'au bout, et donc je me dis que ça a dû te plaire. Alors, si tu veux me soutenir, laisse-moi un petit commentaire et des étoiles. Ça va vraiment m'aider à faire connaître ce podcast au plus grand nombre. Un énorme merci d'avance.

Description

Je viens dégommer ta croyance limitante qui te fait penser que quand tu te reconvertis comme décoratrice d'intérieur, tu démarres de zéro !


C'est archi faux et je viens te dire pourquoi !! Promis, après tu arrêteras de croire ça et tu te sentiras beaucoup plus légitime !


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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  • Speaker #0

    Hello, je suis Caroline, fondatrice de Bonjour ma nouvelle vie. Après plus de 12 ans en tant que décoratrice d'intérieur, coloriste et avançable prof d'anglais, j'accompagne aujourd'hui les femmes passionnées de déco à lancer leur business de décoratrice d'intérieur pour qu'elles vivent pleinement de leur passion, qu'elles se sentent libres et épanouies et osent rêver grand. Située à la recherche de davantage de compétences sur le métier de décoratrice, de retour d'expérience, de conseil business, Si tu veux booster ton mindset pour révéler ton plein potentiel, alors tu es au bon endroit. Si en plus tu as besoin d'une bonne dose d'énergie, de motivation, de bienveillance, si tu as envie de passer à l'action, alors définitivement ce podcast est fait pour toi. Tu retrouveras mes formations et mes accompagnements business sur mon site www.bonjourmanouvellevie.com Allez, on est parti pour l'épisode du jour. Bonne écoute ! J'entends tout le temps cette croyance que vous avez toute ou presque, ouvrez les guillemets, je me reconvertis comme décoratrice d'intérieur, donc je redémarre de zéro. Alors bien sûr, derrière cette phrase, il y a un syndrome de l'imposteur qui est là, il y a eu un sentiment d'illégitimité très très forte. Bien sûr, vous vous dites, en fait je ne vaux pas grand chose, parce que je n'ai pas d'expérience, donc je ne suis pas légitime à m'afficher comme décoratrice d'intérieur, et que globalement... Tu penses que tu es une grosse impostrice qui ose proposer ses services alors qu'elle ne le mérite pas. Alors on va stopper ici le tableau catastrophe et je vais essayer de venir déconstruire cette croyance dans cet épisode. Je dis bien essayer parce que je sais très bien que ce n'est pas un épisode de podcast qui va forcément tout résoudre. Mais si je peux juste un tout petit peu t'apporter un peu d'optimisme. et surtout une meilleure considération de toi-même, je me dis que j'aurais quand même réussi quelque chose de chouette. Alors, on va revenir en arrière pour démarrer à ton premier job, le premier jour de ton premier job. Reviens dans ce moment-là et je vais me reprendre moi à cette époque-là aussi. Donc, je te refais un petit tableau de ce qui se passait à l'époque. Je viens d'avoir mon concours de prof, j'ai 23 ans. Je sors de l'université, donc bien sûr je suis super forte en traduction, je sais analyser Shakespeare dans tous les sens, je suis hyper calée en littérature, histoire américaine, etc. Au passage, j'ai tout oublié, comme quoi c'était sûrement pas très très utile dans mon métier de prof. Mais il faut bien être honnête que me retrouver devant une classe de 30 élèves... qui était en BEP chaudronnier métallier, en zone sensible en plus, je n'avais pas du tout, du tout appris ça. Par contre, ce qui m'interpelle quand je me revois moi, du haut de mes 23 ans et de mon mètre 54, face à des ados de 17 ans qui faisaient tous deux têtes de plus que moi, parce qu'effectivement, à ce moment-là, le fait que je ne sois pas très grande a plutôt toute son importance, je me dis que la moi de l'époque a... aucun moment ne s'est dit que j'étais un imposteur. Pas du tout. Alors oui, j'en ai bavé. Oui, c'était pas du tout facile. Mais à aucun moment, je me suis dit que je mentais à qui que ce soit et que je n'avais pas ma place où j'étais, que c'était pas normal. En fait, je me suis juste dit que j'allais apprendre, que j'avais juste pas le choix que d'y aller. Du coup, ma question pour toi là maintenant, c'est comment toi ? Tu t'es sentie dans ce premier jour de ton premier job. Qu'est-ce que tu t'es dit à l'époque ? Et je suis prête à parier que t'étais à peu près comme moi, que oui, c'était pas simple et probablement inconfortable, comme chaque nouvelle situation, mais que globalement, cette situation, tu l'acceptais comme un passage obligé, comme quelque chose de tout à fait normal après des études, comme une nécessité, et qu'à aucun moment, tu t'es dit que tu ne valais rien pour autant. Et du coup, je voudrais que tu m'expliques pourquoi ça serait différent aujourd'hui, au moment d'une reconversion. Parce que t'es dans cette même posture de premier jour sur un nouveau job, mais que c'est ok, c'est exactement la même situation. Et pourtant, moi aussi, je l'ai ressenti quand je suis devenue décoratrice il y a 13 ans, ce syndrome de l'imposteur, en me disant que j'avais pas ma place. Parce que j'avais été bonne dans mon ancien job, est-ce que je pouvais être bonne dans le nouveau, etc. ? Mais on est bien d'accord que ça n'a aucun sens cette affaire. Pourquoi il y aurait deux poids deux mesures pour une situation complètement identique ? Je sors des études, je prends en charge un poste. C'est exactement pareil quand on devient décoratrice d'intérieur. Et encore, là nous de l'époque, on était globalement un peu des gamines. Je pense que moi, du haut de mes 23 ans, j'avais... J'avais pas accompli grand grand chose, oui j'avais vécu à l'étranger pas mal, donc quand même je m'étais challengée sur quelques trucs et que j'avais une certaine confiance en moi à la lumière de ces expériences, mais globalement j'avais pas accompli grand grand chose. Alors qu'aujourd'hui, quand tu te lances, tu ne repars pas de zéro parce que tu as déjà cette richesse. En fait tu es riche et tu es forte de tout. tout ton parcours précédent, qu'il soit personnel ou professionnel. Donc là où je veux vraiment t'amener aujourd'hui avec cet épisode de podcast, c'est que si tu crois que tu pars de zéro, c'est une énorme bêtise, c'est une énorme croyance limitante que tu as. Non, tu ne repars pas de zéro. J'en parlais à l'une d'entre vous la semaine dernière en appel découverte. Et elle me disait qu'elle pensait qu'elle n'était pas forte, qu'elle n'était pas courageuse, etc. Et en même temps, elle me racontait qu'elle était partie toute seule à l'autre bout du monde à deux reprises, en plus, pas une seule fois, et que du coup, elle était partie sans aucun bagage, toute seule, sans aucun... Je crois que même elle n'avait pas de job la deuxième fois. Donc je suis désolée. Quand on est capable de faire une telle sortie de zone de confort, On est forcément courageuse, on est forcément très forte, on a forcément une confiance en soi et en la vie qui est énorme. Et en fait, la prise de conscience, c'est que cette croyance limitante de croire qu'on part de zéro, elle est archi fausse. Tu pars de zéro en tant que décoratrice d'intérieur, mais en fait tu es riche de tout cet accomplissement que tu as déjà fait avant. Et le problème, c'est qu'on est tellement dur avec nous-mêmes qu'on n'est plus capable de voir tout ce qu'on a déjà accompli. Et ça, je pense que c'est vraiment le plus gros des problèmes. Qu'on a des croyances limitantes, mais qui ne reposent sur rien de concret. Et qu'au contraire, quand on vient explorer vos parcours et vos expériences, Tout nous donne, tous les indices sont sur exactement l'opposé de ce que vous croyez. Donc, il y a aussi la conviction. Il y a tout ce parcours plus personnel. Mais professionnellement, tu as une expérience professionnelle qui t'a forcément permis de développer des talents, des forces et des compétences. Je me suis amusée à lister cinq exemples. de métiers dans lesquels tu étais peut-être, pour te prouver à quel point chaque métier vient développer des talents, des forces, des compétences qui sont complètement transférables aux métiers de décoratrice d'intérieur. Et ce que je veux faire, c'est te prouver que non, personne ne redémarre de zéro, c'est archi faux. Premier exemple, tu as peut-être été infirmière. ostéo, kiné, éducatrice, assistante sociale, quelque chose comme ça. Dans un cas comme ça, forcément, tu as développé une grande empathie. Tu as forcément une sensibilité au bien-être des gens qui est très forte. Tu as forcément développé une écoute pour comprendre en profondeur le mal-être des personnes, leurs mots, M-A-U-X, leurs besoins essentiels et comment y répondre. Ça tombe bien ! C'est exactement ce qu'on fait en tant que décoratrice intérieure. On vient analyser pourquoi les gens ne se sentent pas bien chez eux ou sur leur lieu professionnel, mais on vient analyser cette absence de bien-être et on cherche à y apporter des réponses. En déco, certes, c'est différent d'une infirmière, mais c'est exactement la même chose. C'est exactement la même démarche et les mêmes qualités humaines dans les deux cas de figure. Deuxième exemple, peut-être que tu travaillais comme ingénieur. Radicalement différent. ou dans les assurances, en comptabilité, ce genre de métier, où tu as forcément dû développer beaucoup de rigueur. Ton esprit s'est forcément développé de façon très structurée. Tu es forcément quelqu'un d'assez carré, d'assez organisé, quand tu as eu des métiers comme ça. Tu sais aller droit au but, probablement aussi. C'est pareil, ça tombe sacrément bien. Parce qu'on a besoin de tout ça en tant que décoratrice d'intérieur. On a besoin d'être hyper carré en tant qu'entrepreneur. Donc forcément, tu as cette force en toi grâce au métier, à ton métier précédent. Troisième exemple, peut-être que tu bossais en marketing, en communication. Là pareil, ça tombe sacrément bien parce qu'en tant que décoratrice intérieure, tu vas avoir besoin de te vendre, tu vas avoir besoin de te rendre visible, tu vas avoir besoin de développer ta communication à toi, développer des réseaux sociaux. Donc pour le coup, ton expérience précédente est sacrément essentielle à ton futur métier de décoratrice intérieure. Quatrième exemple qui me vient, tu avais peut-être un job de gestion de projet, tu étais peut-être chef de projet. Donc forcément tu sais gérer un projet de A jusqu'à Z. Et là encore une fois, ça tombe bien dis donc, parce que c'est exactement ce qu'on fait comme décoratrice d'intérieur. On mène un projet de A à Z pour que le client soit 100% satisfait. Donc on a cette casquette un petit peu, cette multi casquette, cette vision à 360 degrés pour que le projet... se passe bien dans toutes ces étapes. Donc forcément, tu es déjà prête à mener un projet. Et puis, dernier exemple qui me vient de façon plutôt émotionnelle, tu es peut-être juste maman. Et si tu es maman, le multitasking, c'est ton quotidien. Tu sais gérer des crises, tu sais gérer... Des déceptions, des états d'âme, des doutes, des jours où ça ne va pas, tu sais gérer plein de choses en même temps. Donc ça veut dire que tu es juste parfaite pour le métier de décoratrice d'intérieur, parce que c'est à peu près ça aussi, on gère plein de choses différentes. Donc je vais évidemment m'arrêter là, parce que je pense que je pourrais continuer à l'infini cette liste de métiers dont les compétences sont complètement réutilisables et transférables. au métier de décoratrice intérieure. J'ai parlé à des dizaines et des dizaines de personnes qui veulent se reconvertir. Et à chaque fois, j'ai toujours, toujours réussi à détecter les forces, les talents et les compétences transférables au métier de décoratrice intérieure. Si tu en doutes, si tu te demandes si c'est vrai pour toi aussi, si le métier de décoratrice est fait pour toi, je te propose de réserver un collègue avec moi et je suis prête à te parier qu'en 30 minutes top chrono, je vais être capable de te prouver que non, tu ne redémarres pas de zéro, que tu as ces forces en toi, que tu seras une décoratrice unique, riche de tous tes précédents talents, de tout ton parcours pro et perso précédent. Et donc, c'est archi faux, encore une fois, que tu démarres de zéro. Si tu entends ce message, c'est que tu as écouté l'épisode jusqu'au bout, et donc je me dis que ça a dû te plaire. Alors, si tu veux me soutenir, laisse-moi un petit commentaire et des étoiles. Ça va vraiment m'aider à faire connaître ce podcast au plus grand nombre. Un énorme merci d'avance.

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Je viens dégommer ta croyance limitante qui te fait penser que quand tu te reconvertis comme décoratrice d'intérieur, tu démarres de zéro !


C'est archi faux et je viens te dire pourquoi !! Promis, après tu arrêteras de croire ça et tu te sentiras beaucoup plus légitime !


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Hello, je suis Caroline, fondatrice de Bonjour ma nouvelle vie. Après plus de 12 ans en tant que décoratrice d'intérieur, coloriste et avançable prof d'anglais, j'accompagne aujourd'hui les femmes passionnées de déco à lancer leur business de décoratrice d'intérieur pour qu'elles vivent pleinement de leur passion, qu'elles se sentent libres et épanouies et osent rêver grand. Située à la recherche de davantage de compétences sur le métier de décoratrice, de retour d'expérience, de conseil business, Si tu veux booster ton mindset pour révéler ton plein potentiel, alors tu es au bon endroit. Si en plus tu as besoin d'une bonne dose d'énergie, de motivation, de bienveillance, si tu as envie de passer à l'action, alors définitivement ce podcast est fait pour toi. Tu retrouveras mes formations et mes accompagnements business sur mon site www.bonjourmanouvellevie.com Allez, on est parti pour l'épisode du jour. Bonne écoute ! J'entends tout le temps cette croyance que vous avez toute ou presque, ouvrez les guillemets, je me reconvertis comme décoratrice d'intérieur, donc je redémarre de zéro. Alors bien sûr, derrière cette phrase, il y a un syndrome de l'imposteur qui est là, il y a eu un sentiment d'illégitimité très très forte. Bien sûr, vous vous dites, en fait je ne vaux pas grand chose, parce que je n'ai pas d'expérience, donc je ne suis pas légitime à m'afficher comme décoratrice d'intérieur, et que globalement... Tu penses que tu es une grosse impostrice qui ose proposer ses services alors qu'elle ne le mérite pas. Alors on va stopper ici le tableau catastrophe et je vais essayer de venir déconstruire cette croyance dans cet épisode. Je dis bien essayer parce que je sais très bien que ce n'est pas un épisode de podcast qui va forcément tout résoudre. Mais si je peux juste un tout petit peu t'apporter un peu d'optimisme. et surtout une meilleure considération de toi-même, je me dis que j'aurais quand même réussi quelque chose de chouette. Alors, on va revenir en arrière pour démarrer à ton premier job, le premier jour de ton premier job. Reviens dans ce moment-là et je vais me reprendre moi à cette époque-là aussi. Donc, je te refais un petit tableau de ce qui se passait à l'époque. Je viens d'avoir mon concours de prof, j'ai 23 ans. Je sors de l'université, donc bien sûr je suis super forte en traduction, je sais analyser Shakespeare dans tous les sens, je suis hyper calée en littérature, histoire américaine, etc. Au passage, j'ai tout oublié, comme quoi c'était sûrement pas très très utile dans mon métier de prof. Mais il faut bien être honnête que me retrouver devant une classe de 30 élèves... qui était en BEP chaudronnier métallier, en zone sensible en plus, je n'avais pas du tout, du tout appris ça. Par contre, ce qui m'interpelle quand je me revois moi, du haut de mes 23 ans et de mon mètre 54, face à des ados de 17 ans qui faisaient tous deux têtes de plus que moi, parce qu'effectivement, à ce moment-là, le fait que je ne sois pas très grande a plutôt toute son importance, je me dis que la moi de l'époque a... aucun moment ne s'est dit que j'étais un imposteur. Pas du tout. Alors oui, j'en ai bavé. Oui, c'était pas du tout facile. Mais à aucun moment, je me suis dit que je mentais à qui que ce soit et que je n'avais pas ma place où j'étais, que c'était pas normal. En fait, je me suis juste dit que j'allais apprendre, que j'avais juste pas le choix que d'y aller. Du coup, ma question pour toi là maintenant, c'est comment toi ? Tu t'es sentie dans ce premier jour de ton premier job. Qu'est-ce que tu t'es dit à l'époque ? Et je suis prête à parier que t'étais à peu près comme moi, que oui, c'était pas simple et probablement inconfortable, comme chaque nouvelle situation, mais que globalement, cette situation, tu l'acceptais comme un passage obligé, comme quelque chose de tout à fait normal après des études, comme une nécessité, et qu'à aucun moment, tu t'es dit que tu ne valais rien pour autant. Et du coup, je voudrais que tu m'expliques pourquoi ça serait différent aujourd'hui, au moment d'une reconversion. Parce que t'es dans cette même posture de premier jour sur un nouveau job, mais que c'est ok, c'est exactement la même situation. Et pourtant, moi aussi, je l'ai ressenti quand je suis devenue décoratrice il y a 13 ans, ce syndrome de l'imposteur, en me disant que j'avais pas ma place. Parce que j'avais été bonne dans mon ancien job, est-ce que je pouvais être bonne dans le nouveau, etc. ? Mais on est bien d'accord que ça n'a aucun sens cette affaire. Pourquoi il y aurait deux poids deux mesures pour une situation complètement identique ? Je sors des études, je prends en charge un poste. C'est exactement pareil quand on devient décoratrice d'intérieur. Et encore, là nous de l'époque, on était globalement un peu des gamines. Je pense que moi, du haut de mes 23 ans, j'avais... J'avais pas accompli grand grand chose, oui j'avais vécu à l'étranger pas mal, donc quand même je m'étais challengée sur quelques trucs et que j'avais une certaine confiance en moi à la lumière de ces expériences, mais globalement j'avais pas accompli grand grand chose. Alors qu'aujourd'hui, quand tu te lances, tu ne repars pas de zéro parce que tu as déjà cette richesse. En fait tu es riche et tu es forte de tout. tout ton parcours précédent, qu'il soit personnel ou professionnel. Donc là où je veux vraiment t'amener aujourd'hui avec cet épisode de podcast, c'est que si tu crois que tu pars de zéro, c'est une énorme bêtise, c'est une énorme croyance limitante que tu as. Non, tu ne repars pas de zéro. J'en parlais à l'une d'entre vous la semaine dernière en appel découverte. Et elle me disait qu'elle pensait qu'elle n'était pas forte, qu'elle n'était pas courageuse, etc. Et en même temps, elle me racontait qu'elle était partie toute seule à l'autre bout du monde à deux reprises, en plus, pas une seule fois, et que du coup, elle était partie sans aucun bagage, toute seule, sans aucun... Je crois que même elle n'avait pas de job la deuxième fois. Donc je suis désolée. Quand on est capable de faire une telle sortie de zone de confort, On est forcément courageuse, on est forcément très forte, on a forcément une confiance en soi et en la vie qui est énorme. Et en fait, la prise de conscience, c'est que cette croyance limitante de croire qu'on part de zéro, elle est archi fausse. Tu pars de zéro en tant que décoratrice d'intérieur, mais en fait tu es riche de tout cet accomplissement que tu as déjà fait avant. Et le problème, c'est qu'on est tellement dur avec nous-mêmes qu'on n'est plus capable de voir tout ce qu'on a déjà accompli. Et ça, je pense que c'est vraiment le plus gros des problèmes. Qu'on a des croyances limitantes, mais qui ne reposent sur rien de concret. Et qu'au contraire, quand on vient explorer vos parcours et vos expériences, Tout nous donne, tous les indices sont sur exactement l'opposé de ce que vous croyez. Donc, il y a aussi la conviction. Il y a tout ce parcours plus personnel. Mais professionnellement, tu as une expérience professionnelle qui t'a forcément permis de développer des talents, des forces et des compétences. Je me suis amusée à lister cinq exemples. de métiers dans lesquels tu étais peut-être, pour te prouver à quel point chaque métier vient développer des talents, des forces, des compétences qui sont complètement transférables aux métiers de décoratrice d'intérieur. Et ce que je veux faire, c'est te prouver que non, personne ne redémarre de zéro, c'est archi faux. Premier exemple, tu as peut-être été infirmière. ostéo, kiné, éducatrice, assistante sociale, quelque chose comme ça. Dans un cas comme ça, forcément, tu as développé une grande empathie. Tu as forcément une sensibilité au bien-être des gens qui est très forte. Tu as forcément développé une écoute pour comprendre en profondeur le mal-être des personnes, leurs mots, M-A-U-X, leurs besoins essentiels et comment y répondre. Ça tombe bien ! C'est exactement ce qu'on fait en tant que décoratrice intérieure. On vient analyser pourquoi les gens ne se sentent pas bien chez eux ou sur leur lieu professionnel, mais on vient analyser cette absence de bien-être et on cherche à y apporter des réponses. En déco, certes, c'est différent d'une infirmière, mais c'est exactement la même chose. C'est exactement la même démarche et les mêmes qualités humaines dans les deux cas de figure. Deuxième exemple, peut-être que tu travaillais comme ingénieur. Radicalement différent. ou dans les assurances, en comptabilité, ce genre de métier, où tu as forcément dû développer beaucoup de rigueur. Ton esprit s'est forcément développé de façon très structurée. Tu es forcément quelqu'un d'assez carré, d'assez organisé, quand tu as eu des métiers comme ça. Tu sais aller droit au but, probablement aussi. C'est pareil, ça tombe sacrément bien. Parce qu'on a besoin de tout ça en tant que décoratrice d'intérieur. On a besoin d'être hyper carré en tant qu'entrepreneur. Donc forcément, tu as cette force en toi grâce au métier, à ton métier précédent. Troisième exemple, peut-être que tu bossais en marketing, en communication. Là pareil, ça tombe sacrément bien parce qu'en tant que décoratrice intérieure, tu vas avoir besoin de te vendre, tu vas avoir besoin de te rendre visible, tu vas avoir besoin de développer ta communication à toi, développer des réseaux sociaux. Donc pour le coup, ton expérience précédente est sacrément essentielle à ton futur métier de décoratrice intérieure. Quatrième exemple qui me vient, tu avais peut-être un job de gestion de projet, tu étais peut-être chef de projet. Donc forcément tu sais gérer un projet de A jusqu'à Z. Et là encore une fois, ça tombe bien dis donc, parce que c'est exactement ce qu'on fait comme décoratrice d'intérieur. On mène un projet de A à Z pour que le client soit 100% satisfait. Donc on a cette casquette un petit peu, cette multi casquette, cette vision à 360 degrés pour que le projet... se passe bien dans toutes ces étapes. Donc forcément, tu es déjà prête à mener un projet. Et puis, dernier exemple qui me vient de façon plutôt émotionnelle, tu es peut-être juste maman. Et si tu es maman, le multitasking, c'est ton quotidien. Tu sais gérer des crises, tu sais gérer... Des déceptions, des états d'âme, des doutes, des jours où ça ne va pas, tu sais gérer plein de choses en même temps. Donc ça veut dire que tu es juste parfaite pour le métier de décoratrice d'intérieur, parce que c'est à peu près ça aussi, on gère plein de choses différentes. Donc je vais évidemment m'arrêter là, parce que je pense que je pourrais continuer à l'infini cette liste de métiers dont les compétences sont complètement réutilisables et transférables. au métier de décoratrice intérieure. J'ai parlé à des dizaines et des dizaines de personnes qui veulent se reconvertir. Et à chaque fois, j'ai toujours, toujours réussi à détecter les forces, les talents et les compétences transférables au métier de décoratrice intérieure. Si tu en doutes, si tu te demandes si c'est vrai pour toi aussi, si le métier de décoratrice est fait pour toi, je te propose de réserver un collègue avec moi et je suis prête à te parier qu'en 30 minutes top chrono, je vais être capable de te prouver que non, tu ne redémarres pas de zéro, que tu as ces forces en toi, que tu seras une décoratrice unique, riche de tous tes précédents talents, de tout ton parcours pro et perso précédent. Et donc, c'est archi faux, encore une fois, que tu démarres de zéro. Si tu entends ce message, c'est que tu as écouté l'épisode jusqu'au bout, et donc je me dis que ça a dû te plaire. Alors, si tu veux me soutenir, laisse-moi un petit commentaire et des étoiles. Ça va vraiment m'aider à faire connaître ce podcast au plus grand nombre. Un énorme merci d'avance.

Description

Je viens dégommer ta croyance limitante qui te fait penser que quand tu te reconvertis comme décoratrice d'intérieur, tu démarres de zéro !


C'est archi faux et je viens te dire pourquoi !! Promis, après tu arrêteras de croire ça et tu te sentiras beaucoup plus légitime !


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Hello, je suis Caroline, fondatrice de Bonjour ma nouvelle vie. Après plus de 12 ans en tant que décoratrice d'intérieur, coloriste et avançable prof d'anglais, j'accompagne aujourd'hui les femmes passionnées de déco à lancer leur business de décoratrice d'intérieur pour qu'elles vivent pleinement de leur passion, qu'elles se sentent libres et épanouies et osent rêver grand. Située à la recherche de davantage de compétences sur le métier de décoratrice, de retour d'expérience, de conseil business, Si tu veux booster ton mindset pour révéler ton plein potentiel, alors tu es au bon endroit. Si en plus tu as besoin d'une bonne dose d'énergie, de motivation, de bienveillance, si tu as envie de passer à l'action, alors définitivement ce podcast est fait pour toi. Tu retrouveras mes formations et mes accompagnements business sur mon site www.bonjourmanouvellevie.com Allez, on est parti pour l'épisode du jour. Bonne écoute ! J'entends tout le temps cette croyance que vous avez toute ou presque, ouvrez les guillemets, je me reconvertis comme décoratrice d'intérieur, donc je redémarre de zéro. Alors bien sûr, derrière cette phrase, il y a un syndrome de l'imposteur qui est là, il y a eu un sentiment d'illégitimité très très forte. Bien sûr, vous vous dites, en fait je ne vaux pas grand chose, parce que je n'ai pas d'expérience, donc je ne suis pas légitime à m'afficher comme décoratrice d'intérieur, et que globalement... Tu penses que tu es une grosse impostrice qui ose proposer ses services alors qu'elle ne le mérite pas. Alors on va stopper ici le tableau catastrophe et je vais essayer de venir déconstruire cette croyance dans cet épisode. Je dis bien essayer parce que je sais très bien que ce n'est pas un épisode de podcast qui va forcément tout résoudre. Mais si je peux juste un tout petit peu t'apporter un peu d'optimisme. et surtout une meilleure considération de toi-même, je me dis que j'aurais quand même réussi quelque chose de chouette. Alors, on va revenir en arrière pour démarrer à ton premier job, le premier jour de ton premier job. Reviens dans ce moment-là et je vais me reprendre moi à cette époque-là aussi. Donc, je te refais un petit tableau de ce qui se passait à l'époque. Je viens d'avoir mon concours de prof, j'ai 23 ans. Je sors de l'université, donc bien sûr je suis super forte en traduction, je sais analyser Shakespeare dans tous les sens, je suis hyper calée en littérature, histoire américaine, etc. Au passage, j'ai tout oublié, comme quoi c'était sûrement pas très très utile dans mon métier de prof. Mais il faut bien être honnête que me retrouver devant une classe de 30 élèves... qui était en BEP chaudronnier métallier, en zone sensible en plus, je n'avais pas du tout, du tout appris ça. Par contre, ce qui m'interpelle quand je me revois moi, du haut de mes 23 ans et de mon mètre 54, face à des ados de 17 ans qui faisaient tous deux têtes de plus que moi, parce qu'effectivement, à ce moment-là, le fait que je ne sois pas très grande a plutôt toute son importance, je me dis que la moi de l'époque a... aucun moment ne s'est dit que j'étais un imposteur. Pas du tout. Alors oui, j'en ai bavé. Oui, c'était pas du tout facile. Mais à aucun moment, je me suis dit que je mentais à qui que ce soit et que je n'avais pas ma place où j'étais, que c'était pas normal. En fait, je me suis juste dit que j'allais apprendre, que j'avais juste pas le choix que d'y aller. Du coup, ma question pour toi là maintenant, c'est comment toi ? Tu t'es sentie dans ce premier jour de ton premier job. Qu'est-ce que tu t'es dit à l'époque ? Et je suis prête à parier que t'étais à peu près comme moi, que oui, c'était pas simple et probablement inconfortable, comme chaque nouvelle situation, mais que globalement, cette situation, tu l'acceptais comme un passage obligé, comme quelque chose de tout à fait normal après des études, comme une nécessité, et qu'à aucun moment, tu t'es dit que tu ne valais rien pour autant. Et du coup, je voudrais que tu m'expliques pourquoi ça serait différent aujourd'hui, au moment d'une reconversion. Parce que t'es dans cette même posture de premier jour sur un nouveau job, mais que c'est ok, c'est exactement la même situation. Et pourtant, moi aussi, je l'ai ressenti quand je suis devenue décoratrice il y a 13 ans, ce syndrome de l'imposteur, en me disant que j'avais pas ma place. Parce que j'avais été bonne dans mon ancien job, est-ce que je pouvais être bonne dans le nouveau, etc. ? Mais on est bien d'accord que ça n'a aucun sens cette affaire. Pourquoi il y aurait deux poids deux mesures pour une situation complètement identique ? Je sors des études, je prends en charge un poste. C'est exactement pareil quand on devient décoratrice d'intérieur. Et encore, là nous de l'époque, on était globalement un peu des gamines. Je pense que moi, du haut de mes 23 ans, j'avais... J'avais pas accompli grand grand chose, oui j'avais vécu à l'étranger pas mal, donc quand même je m'étais challengée sur quelques trucs et que j'avais une certaine confiance en moi à la lumière de ces expériences, mais globalement j'avais pas accompli grand grand chose. Alors qu'aujourd'hui, quand tu te lances, tu ne repars pas de zéro parce que tu as déjà cette richesse. En fait tu es riche et tu es forte de tout. tout ton parcours précédent, qu'il soit personnel ou professionnel. Donc là où je veux vraiment t'amener aujourd'hui avec cet épisode de podcast, c'est que si tu crois que tu pars de zéro, c'est une énorme bêtise, c'est une énorme croyance limitante que tu as. Non, tu ne repars pas de zéro. J'en parlais à l'une d'entre vous la semaine dernière en appel découverte. Et elle me disait qu'elle pensait qu'elle n'était pas forte, qu'elle n'était pas courageuse, etc. Et en même temps, elle me racontait qu'elle était partie toute seule à l'autre bout du monde à deux reprises, en plus, pas une seule fois, et que du coup, elle était partie sans aucun bagage, toute seule, sans aucun... Je crois que même elle n'avait pas de job la deuxième fois. Donc je suis désolée. Quand on est capable de faire une telle sortie de zone de confort, On est forcément courageuse, on est forcément très forte, on a forcément une confiance en soi et en la vie qui est énorme. Et en fait, la prise de conscience, c'est que cette croyance limitante de croire qu'on part de zéro, elle est archi fausse. Tu pars de zéro en tant que décoratrice d'intérieur, mais en fait tu es riche de tout cet accomplissement que tu as déjà fait avant. Et le problème, c'est qu'on est tellement dur avec nous-mêmes qu'on n'est plus capable de voir tout ce qu'on a déjà accompli. Et ça, je pense que c'est vraiment le plus gros des problèmes. Qu'on a des croyances limitantes, mais qui ne reposent sur rien de concret. Et qu'au contraire, quand on vient explorer vos parcours et vos expériences, Tout nous donne, tous les indices sont sur exactement l'opposé de ce que vous croyez. Donc, il y a aussi la conviction. Il y a tout ce parcours plus personnel. Mais professionnellement, tu as une expérience professionnelle qui t'a forcément permis de développer des talents, des forces et des compétences. Je me suis amusée à lister cinq exemples. de métiers dans lesquels tu étais peut-être, pour te prouver à quel point chaque métier vient développer des talents, des forces, des compétences qui sont complètement transférables aux métiers de décoratrice d'intérieur. Et ce que je veux faire, c'est te prouver que non, personne ne redémarre de zéro, c'est archi faux. Premier exemple, tu as peut-être été infirmière. ostéo, kiné, éducatrice, assistante sociale, quelque chose comme ça. Dans un cas comme ça, forcément, tu as développé une grande empathie. Tu as forcément une sensibilité au bien-être des gens qui est très forte. Tu as forcément développé une écoute pour comprendre en profondeur le mal-être des personnes, leurs mots, M-A-U-X, leurs besoins essentiels et comment y répondre. Ça tombe bien ! C'est exactement ce qu'on fait en tant que décoratrice intérieure. On vient analyser pourquoi les gens ne se sentent pas bien chez eux ou sur leur lieu professionnel, mais on vient analyser cette absence de bien-être et on cherche à y apporter des réponses. En déco, certes, c'est différent d'une infirmière, mais c'est exactement la même chose. C'est exactement la même démarche et les mêmes qualités humaines dans les deux cas de figure. Deuxième exemple, peut-être que tu travaillais comme ingénieur. Radicalement différent. ou dans les assurances, en comptabilité, ce genre de métier, où tu as forcément dû développer beaucoup de rigueur. Ton esprit s'est forcément développé de façon très structurée. Tu es forcément quelqu'un d'assez carré, d'assez organisé, quand tu as eu des métiers comme ça. Tu sais aller droit au but, probablement aussi. C'est pareil, ça tombe sacrément bien. Parce qu'on a besoin de tout ça en tant que décoratrice d'intérieur. On a besoin d'être hyper carré en tant qu'entrepreneur. Donc forcément, tu as cette force en toi grâce au métier, à ton métier précédent. Troisième exemple, peut-être que tu bossais en marketing, en communication. Là pareil, ça tombe sacrément bien parce qu'en tant que décoratrice intérieure, tu vas avoir besoin de te vendre, tu vas avoir besoin de te rendre visible, tu vas avoir besoin de développer ta communication à toi, développer des réseaux sociaux. Donc pour le coup, ton expérience précédente est sacrément essentielle à ton futur métier de décoratrice intérieure. Quatrième exemple qui me vient, tu avais peut-être un job de gestion de projet, tu étais peut-être chef de projet. Donc forcément tu sais gérer un projet de A jusqu'à Z. Et là encore une fois, ça tombe bien dis donc, parce que c'est exactement ce qu'on fait comme décoratrice d'intérieur. On mène un projet de A à Z pour que le client soit 100% satisfait. Donc on a cette casquette un petit peu, cette multi casquette, cette vision à 360 degrés pour que le projet... se passe bien dans toutes ces étapes. Donc forcément, tu es déjà prête à mener un projet. Et puis, dernier exemple qui me vient de façon plutôt émotionnelle, tu es peut-être juste maman. Et si tu es maman, le multitasking, c'est ton quotidien. Tu sais gérer des crises, tu sais gérer... Des déceptions, des états d'âme, des doutes, des jours où ça ne va pas, tu sais gérer plein de choses en même temps. Donc ça veut dire que tu es juste parfaite pour le métier de décoratrice d'intérieur, parce que c'est à peu près ça aussi, on gère plein de choses différentes. Donc je vais évidemment m'arrêter là, parce que je pense que je pourrais continuer à l'infini cette liste de métiers dont les compétences sont complètement réutilisables et transférables. au métier de décoratrice intérieure. J'ai parlé à des dizaines et des dizaines de personnes qui veulent se reconvertir. Et à chaque fois, j'ai toujours, toujours réussi à détecter les forces, les talents et les compétences transférables au métier de décoratrice intérieure. Si tu en doutes, si tu te demandes si c'est vrai pour toi aussi, si le métier de décoratrice est fait pour toi, je te propose de réserver un collègue avec moi et je suis prête à te parier qu'en 30 minutes top chrono, je vais être capable de te prouver que non, tu ne redémarres pas de zéro, que tu as ces forces en toi, que tu seras une décoratrice unique, riche de tous tes précédents talents, de tout ton parcours pro et perso précédent. Et donc, c'est archi faux, encore une fois, que tu démarres de zéro. Si tu entends ce message, c'est que tu as écouté l'épisode jusqu'au bout, et donc je me dis que ça a dû te plaire. Alors, si tu veux me soutenir, laisse-moi un petit commentaire et des étoiles. Ça va vraiment m'aider à faire connaître ce podcast au plus grand nombre. Un énorme merci d'avance.

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