- Speaker #0
Hello, je suis Caroline, fondatrice de Bonjour ma nouvelle vie. Après plus de 12 ans en tant que décoratrice d'intérieur, coloriste et avançable prof d'anglais, j'accompagne aujourd'hui les femmes passionnées de déco à lancer leur business de décoratrice d'intérieur pour qu'elles vivent pleinement de leur passion, qu'elles se sentent libres et épanouies et osent rêver grand. Située à la recherche de davantage de compétences sur le métier de décoratrice, de retour d'expérience, de conseil business, Si tu veux booster ton mindset pour révéler ton plein potentiel, alors tu es au bon endroit. Si en plus tu as besoin d'une bonne dose d'énergie, de motivation, de bienveillance, si tu as envie de passer à l'action, alors définitivement ce podcast est fait pour toi. Tu retrouveras mes formations et mes accompagnements business sur mon site www.bonjourmanouvellevie.com Allez, on est parti pour l'épisode du jour. Bonne écoute ! On est bien d'accord qu'apprendre le métier de décoratrice d'intérieur, c'est une aventure pas si lente. Mais au-delà de la compétence métier, il y a un business à développer. Et en fait, tout mon programme de décoration d'intérieur, formé au métier de décoratrice d'intérieur, est basé justement là-dessus. Ça veut dire que je ne veux pas être comme toutes ces formations qui s'arrêtent aux compétences métier déco. J'ajoute aussi une spécialisation très forte sur les couleurs. Mais surtout, surtout, surtout, je t'accompagne pendant six mois minimum. dans le lancement de ton activité. Et c'est ça dont on va parler aujourd'hui, encore plus précisément. Et pour ça, j'accueille Frédérique. Ensemble, on a imaginé une solution pour soutenir les décoratrices intérieures dans le lancement de leur activité. Et c'est ce qu'on veut vous raconter aujourd'hui. On va vous raconter la genèse de ce projet. Salut Fred !
- Speaker #1
Salut !
- Speaker #0
Bon, tu n'es pas à ta première fois sur ce podcast, mais je vais quand même te laisser te représenter rapidement pour celles qui t'auraient... oubliée en cours de route.
- Speaker #1
Mais oui, je me représente. Donc moi, c'est Fred. Je suis décoratrice d'intérieur à Montréal. J'ai lancé mon activité il y a un an et demi environ. Et j'ai suivi la formation signature de Bonjour la Nouvelle Vie juste avec toi. Voilà.
- Speaker #0
Normalement, on devrait s'être quitté parce que ça fait longtemps que tu as fini la formation. Mais visiblement, on a quand même un petit peu de mal à se quitter. Pourquoi tu ne pars pas ?
- Speaker #1
C'est vrai que j'ai vraiment... entraîner et étirer ça longtemps, aussi en créant des modules justement sur la planification 2D et 3D pour la formation signature, et puis voilà, en aidant sur les coachings de groupe, les corrections, je me suis rendue compte quand même assez rapidement que j'étirais ça surtout parce que j'avais peur de quitter le NIP. En fait, je me sentais bien, je me sentais entourée et il s'agissait de lancer vraiment mon activité d'être seule et j'étais finalement pas tellement prête. J'avais besoin d'être soutenue et même si la formation, effectivement, elle contient des modules pour définir ton client idéal, ton positionnement, tes valeurs et t'aider vraiment à te lancer en business, ça reste un saut dans le vide et c'est hyper intimidant en fait.
- Speaker #0
Et je pense qu'en plus, c'est un saut dans le vide, d'autant plus que ces 100% des élèves de la formation et des décoratrices qui se lancent en général, elles le font suite à une reconversion. avec l'objectif d'aller vers un métier qui font beaucoup plus de sens pour elles, qui est beaucoup plus aligné avec leurs envies et leurs valeurs. Avant, en général, les filles ont été soit des enseignantes, il y a des profits très variés en fait, soit enseignantes, soit infirmières, soit ingénieurs, soit banquières, soit dans les ressources humaines, juste maman au foyer d'ailleurs, ce qui est un métier à part entière, on est bien d'accord. Elles savent qu'elles ont eu des compétences dans leurs anciens métiers. et qu'il va falloir transposer dans le nouveau. Mais en fait, il faut surtout devenir chef d'entreprise. Et ça, il y a beaucoup, beaucoup de compétences à développer pour devenir entrepreneur.
- Speaker #1
C'est exactement ça. Moi, j'ai toujours été salariée dans mes métiers avant ma reconversion. Et il y avait quelque chose de très excitant, effectivement, à devenir son propre patron, à finalement gérer ses objectifs soi-même, être responsable vis-à-vis de soi. Mais en même temps, c'est paralysant et on n'a pas les bons réflexes quand on a été salarié toute sa vie. Ça ne vient pas, ce n'est pas inné, ça s'apprend. On manque vraiment de confiance en soi, je dirais au départ, et puis de toutes ces compétences entrepreneuriales. Même si on a appris plein de choses avec nos différents métiers, être entrepreneur, c'est encore autre chose.
- Speaker #0
Je suis mille fois d'accord avec toi. D'ailleurs, moi, tu vois, c'est aussi un peu l'histoire de la gélèse. c'est que moi j'ai Je sentais aussi que je manquais de compétences, notamment en marketing. Et c'est pour ça que j'ai rejoint un mastermind d'entrepreneur.
- Speaker #1
Ok, stop ! Donc, il va falloir nous expliquer ce que c'est un mastermind, s'il te plaît.
- Speaker #0
Un mastermind, en fait, c'est un groupe de travail avec des... Des entrepreneurs, c'est un groupe de travail plutôt restreint, mais pas hyper nombreuse. Des entrepreneurs qui sont très engagés dans leur business et qui ont comme objectif de se retrouver régulièrement pour partager leurs connaissances, leurs avancées, leurs questions, leurs blocages, leurs problématiques. Et le but, c'est vraiment de s'entraider pour progresser et pour vraiment vivre de mieux en mieux dans nos métiers.
- Speaker #1
Moi, ce que j'ai aimé quand tu m'as raconté ça, c'est vraiment le côté donner et recevoir. C'est-à-dire que chacun vient partager ses compétences, ses connaissances, ses idées. Et en échange, ils reçoivent aussi du soutien, des conseils des autres personnes qui participent à ce groupe. Donc, voilà, moi, vraiment, ça m'a plu dans le sens où c'est un endroit où on va trouver de l'énergie, de la motivation, en fait, une certaine structure aussi des échanges et du soutien.
- Speaker #0
Je pense qu'effectivement, pour le résumer un petit peu comme ça, c'est un espace vraiment de réflexion collective. Et en plus, toutes les deux, on adore ce côté cerveau collectif, intelligence collective. Ça permet de prendre du recul sur nos activités. Ça permet d'avoir des feedbacks. C'est hyper puissant. Et c'est hyper puissant parce que ça nous situe un levier derrière pour nous aider à passer à l'action. en fait grâce à tous ces échanges. L'effet miroir aussi, les uns sur les autres, parce qu'on passe toutes par les mêmes problématiques. Je trouve que vraiment ça aide à gagner en confiance et à passer à l'action. Et puis voilà, comme on gagne en confiance, on se sent moins seul, on se sent rassuré, porté. Il y a tout ça qui se joue.
- Speaker #1
Oui, il y a plein de bénéfices effectivement. Et alors si on remonte le fil, on revient en arrière. En rembobine, toi, tu participes effectivement à Mastermind pour justement gagner encore en compétences. C'était vraiment monter en excellence même. Je me souviens, c'était ça ta visée. Oui, la visée.
- Speaker #0
Exactement. Je suis toujours dans Mastermind.
- Speaker #1
C'est exactement ça. Et puis, on s'en parle. Et moi, me trouvant finalement dans cette situation de jeune décoratrice en lancement, pas trop sûre d'elle, tout d'un coup, je commence à phosphorer moi-même, à y réfléchir et à me demander tout ce que j'aimerais avoir en fait comme soutien comme jeune décoratrice qui se lance et évidemment quand tu m'en parles ça vient toucher vraiment tous les besoins que j'ai donc j'y réfléchis et j'y réfléchis et je reviens évidemment avec un plan bien
- Speaker #0
structuré de mes besoins je me souviens c'est un petit partage rigolo où moi je t'avais balancé tout ça avec tout mon ... Tu avais vidé mon cerveau en mode hyper spontané. Tu reviens avec un programme sur 12 mois, un truc hyper structuré, de ce que chaque décoratrice aurait besoin d'apprendre pour devenir une super entrepreneur. Et en fait, c'est comme ça que le projet est né, où je t'ai dit, hop, hop, hop, stop, stop, stop. Tu as envie d'embarquer dans une aventure avec moi ? Et voilà, en fait, c'est comme ça que c'est né. Et puis, on avait quand même aussi toutes les deux ce partage en amont. On avait fait du co-développement toutes les deux.
- Speaker #1
Oui, alors là aussi, on va t'arrêter et puis tu vas nous expliquer c'est quoi le co-développement.
- Speaker #0
Alors souvent, on dit co-dev, d'ailleurs, parce que co-développement, il y a un côté un petit peu longué. Donc, on va l'appeler co-dev de son petit nom familier. En fait, le co-développement, c'est vraiment une méthode d'intelligence collective où là, encore une fois, c'est un petit groupe de personnes. Donc, en fait, on est toutes les deux très sensibles à ce côté petit groupe de personnes qui se réunit pour travailler. travaillant ensemble sur des problématiques très concrètes. Et ça, c'est toujours en lien avec nos activités professionnelles. Donc, on n'est pas sur du perso,
- Speaker #1
même s'il y a des enjeux personnels.
- Speaker #0
Un geste du perso, inévitablement. Mais c'est vraiment, encore une fois, le but de monter en compétence et de venir traiter des problématiques professionnelles.
- Speaker #1
Mais c'est sûr que moi, quand j'ai découvert le CODEF, ce que j'ai adoré, c'est... Tu commences à me connaître, c'est le côté très codifié. Il y a des règles, c'est structuré et c'est hyper efficace. Le principe, c'est qu'une personne vient exposer finalement une problématique, une situation ou un blocage qu'elle rencontre vraiment dans son activité professionnelle. Et le reste du groupe l'aide à y voir plus clair, à explorer des pistes, parfois à trouver une problématique même sous-jacente qu'on n'aurait pas vue tout de suite. Et puis surtout, l'aide à trouver ses propres solutions. Parce qu'on peut proposer des solutions, ça sera la bonne pour nous, ce n'est pas forcément la bonne pour quelqu'un d'autre. Donc c'est aussi arriver à prendre et à laisser. Il y a des choses qui vont nous parler, puis d'autres moins. Mais c'est vraiment ce partage d'expériences, ce regard croisé. c'est pas une formation assentante ou descendante, il y a vraiment quelque chose où on se regroupe, il y a vraiment cette notion d'entraide et où chacun à son tour va être soit le client, donc celui qui expose sa problématique, soit le consultant, donc celui qui donne des conseils.
- Speaker #0
Effectivement, tu as raison, il y a un côté très horizontal dans le sens où il n'y en a pas une qui est la sachante, parce que moi je viens un peu dans mes formations, c'est moi qui transmets mais les connaissances, là, en codev, on est très... très à égalité. Et je trouve que du coup, c'est un outil hyper puissant pour venir gagner en confiance, parce qu'on conseille autant qu'on reçoit. Ça permet de débloquer ce qui nous freine, on apprend des autres. Et là, encore une fois, comme on a eu tous des métiers avant, on est très riches, on a toutes des choses à partager, même si on est très jeune décoratrice. Et ça permet d'avancer beaucoup plus vite. Tout évidemment, se s'en soutenir, je pense que ça, ça aide. Et je pense que c'est un peu... Mon expérience du mastermind, quand je t'en parle, et notre expérience du codev, on s'est dit, en fait, tu sais quoi, il faut qu'on lance notre propre mastermind. C'est comme ça que l'idée est née. On s'est dit, on va créer un mastermind ensemble. On va créer un programme qui s'adresse 100% aux décoratrices intérieures. Donc, soit les décoratrices qui sont en fin de formation, qui n'ont même pas du tout encore réfléchi à leur business, soit les décoratrices qui sont encore sur le lancement, qui ont... qui sont encore en train de chercher à développer leur business où il n'y a pas encore forcément de stabilité financière. Donc, c'est vraiment ça l'idée initiale, le tout début de notre envie de mastermind. C'est vraiment l'objectif de venir soutenir ces décoratrices d'intérieur qui se lancent pendant toute cette phase où on tâtonne. Et ça ne dure pas six mois, cette phase. En plus, elle est quand même beaucoup plus longue, malheureusement. Donc, voilà.
- Speaker #1
Ben oui ! Et puis comme tu n'es pas du genre à ne pas passer à l'action, assez rapidement, une fois que l'idée était plantée, que la petite graine était plantée, on s'est mis en action. Donc on a réuni une quinzaine de décoratrices qui étaient intéressées par cette aventure. C'était au mois de mars dernier. Voilà nos bêta-testeuses. Et on a testé ce concept vraiment grandeur nature pour voir à quel point nous, on était assez persuadés. Mais à un moment, il faut être sûr que ça rencontre aussi les besoins des autres. Donc c'était vraiment le but de ce test et on les remercie d'ailleurs, ça nous écoute, d'avoir participé parce qu'elles y ont mis beaucoup d'enthousiasme, du temps, beaucoup d'énergie. Et comme c'est vraiment la force du groupe qui fait la différence, c'est hyper important d'avoir des gens très motivés et très super enthousiastes. Donc en fait, on se réunissait en virtuel sur Zoom tous les mardis pour notre petite séance hebdomadaire et on s'est vus comme ça pendant cinq mois.
- Speaker #0
Ouais, t'as raison. Ce qui a été très très cool, c'est que tout le monde a joué le jeu, en fait. Parce qu'en fait, je pense que quand elles ont embarqué dans l'aventure, ouais, elles savaient pas trop trop bien à quoi s'attendre. Il y avait tout ce qu'on avait en tête, mais on savait très bien que ça allait énormément évoluer. Et les filles se connaissaient pas entre elles, initialement, donc c'était ça aussi un petit peu le pari. Et en fait, il y a eu comme une évidence... Vous avez été sélectionnés sur des qualités incontestables, ce qui sera toujours le cas. Bien sûr,
- Speaker #1
et puis des qualités effectivement de bienveillance, de partage, de générosité.
- Speaker #0
Et je crois que c'est vraiment ce qu'on a vécu, qu'il y a eu vraiment tout ce partage d'expérience. Il y a eu d'expérience et puis aussi de coups de mouf. Je trouve qu'il fallait vraiment faire confiance aux autres pour être capable de partager ses inquiétudes. des soucis sur des projets, des clients, c'est aussi ça la vraie vie, ce n'est pas le monde des bisounours où tout va bien. Donc il y a eu vraiment cette confiance.
- Speaker #1
Exactement, puis la confiance, c'est quelque part, je trouve, à ce stade de développement d'activité, c'est vraiment la clé, c'est-à-dire on est passé finalement par développer la confiance en soi, en tant qu'entrepreneur, au travers de développer la confiance au sein d'un groupe. Voilà, avec des filles effectivement qui... sont capables de partager hyper généreusement et de se donner, de ne pas rentrer en compétition, de s'aider en fait.
- Speaker #0
Et c'est ça que je trouve génial, c'est qu'en fait aussi de comprendre, et là les filles l'ont toutes ressenti hyper intuitivement, sur le papier elles sont concurrentes, on est toutes des concurrentes les unes vis-à-vis des autres, mais il n'y a pas ça en fait. Et en plus des villes, géographiquement il n'y en a pas deux qui sont l'une à côté de l'autre, ça c'est sûr, mais même si c'était le cas, il y a vraiment d'abord cette entraide. Et on ne s'inquiète pas de la concurrence, on est vraiment là pour se tirer vers le haut. Et ça, je trouve que ça change vraiment la donne.
- Speaker #1
C'est ça, et puis il faut être des fois pour ça aussi capable de lâcher prise, de se faire confiance, de faire confiance à l'autre. Et puis ça demande vraiment des qualités personnelles, des petits déblocages, lever les freins qui nous empêchent d'avancer. Puis là aussi, c'est Nadège. la super coach mindset qui est venue régulièrement pour parler plus coaching et esprit entrepreneurial.
- Speaker #0
Je vais peut-être refaire une pause, tu ne me l'as pas encore dit. Je me dis aussi qu'il va peut-être falloir que vraiment concrètement, qu'est-ce qui s'est passé dans ces coaching mindset avec Nadege ? Il y a eu un épisode de podcast aussi, je mettrai la référence dans les notes de l'épisode pour que vous puissiez tout réécouter. Nadege va revenir de toute façon. Donc en fait, pendant ces coaching mindset, l'objectif c'était que Nadege puisse accompagner en individuel, mais aussi en collectif, pour venir travailler l'état d'esprit de chacune, pour venir travailler la posture, toutes nos croyances limitantes. C'est vraiment, je trouve, vraiment oser toucher du doigt tout ce qui pourrait nous bloquer. Tout ce qu'on n'ose pas. Donc c'était vraiment cette aide qu'elle a apportée à chacune individuellement, de prendre conscience de ce qui bloque. Par exemple, ça peut être la peur de ne pas se sentir à la hauteur. Évidemment, le syndrome de l'imposteur.
- Speaker #1
Ah oui.
- Speaker #0
On connaît tout hyper bien. Mais je pense aussi à une question de perfectionnisme, de toujours chercher l'excellence et qu'à un moment, ça devient contre-productif. On a eu... On a abordé plein de croyances limitantes. On a parlé d'argent. On a parlé de savoir aussi de cultiver un petit peu cette confiance en nous, d'aller chercher notre motivation quand ce n'était pas toujours à l'ordre du jour.
- Speaker #1
Il y a des hauts et il y a des bas.
- Speaker #0
Il y a des hauts et des bas, c'est inévitable. Donc, c'est vraiment tout ça que Nadege, ça permet de dégommer pas mal de blocages.
- Speaker #1
Oui, c'était vraiment hyper précieux parce que finalement, il faut se connaître un peu. C'est pareil pour le monde de l'entreprise, comme pour sa propre vie personnelle. À un moment, c'est important de se connaître, de se recentrer, d'être capable d'être vraiment aligné avec soi-même, avec ses valeurs, pour être capable de se mettre en action, que ce soit puissant et qu'on puisse avancer. Donc, c'est sûr que ces séances, elles m'ont beaucoup marquée. Des fois, c'est déstabilisant, ça bouscule un peu.
- Speaker #0
Il y a eu deux, trois pleurs. Il y a eu deux,
- Speaker #1
trois pleurs. Il y a eu deux, trois pleurs.
- Speaker #0
Il y a eu deux, trois pleurs.
- Speaker #1
Exactement, il faut gratter. on creuse, c'est pas toujours facile, mais en vrai sur le long terme ça permet quand même d'avancer, de gagner en lucidité, de mieux se comprendre et d'être capable de dépasser ses freins, le regard des autres, d'imposer sa posture, de ne pas se sentir comme un imposteur même si on a changé récemment de métier, voilà c'est vraiment puissant.
- Speaker #0
Oui et puis c'est le feedback qu'ont fait les filles en fait c'est même pas surtout Plus elles ont été dans l'inconfort et l'impression d'être malmenées pendant la séance, plus derrière la transformation était dingue. Et en fait, moi en plus je suis convaincue qu'il y a à peu près 70-80% de nos succès business qui se jouent au niveau du mindset. Donc plus on vient tacler en fait ces petites croyances, ces blocages, meilleur on est entrepreneur et plus bas. plus on s'éclate aussi. L'épanouissement, il est derrière tout ça. Oui,
- Speaker #1
exactement. Et puis, ce qui était important aussi, c'est justement de... C'est bien, l'intelligence collective partagée, etc. Mais c'est important aussi, des fois, d'avoir des experts qui interviennent. Donc, finalement, Nadège, c'est ça. Nadège, c'est sa spécialité. Elle est, en plus d'être hyper bienveillante, hyper pro. Donc, voilà, c'est important. C'était important pour nous, en tout cas, dans ce programme-là. d'ajouter des gens, de faire venir des gens qui sont hyper pros. C'est quand même ça qu'on veut. Et du coup,
- Speaker #0
ça me fait une transition sur d'autres experts, parce qu'effectivement, Nadège, c'est l'experte vraiment mindset, même si toi et moi, on est hyper sensibles à tout ça. Donc, il y a plein de choses qu'on saurait toucher du doigt, mais on n'est pas expert, ce n'est pas notre métier initial. Et puis, les experts, on a aussi envie d'aller les chercher encore dans d'autres domaines. On a abordé, par exemple, tous les statuts d'entreprise. on a abordé tout ce qui était communication avec notamment une experte sur Instagram. On a été chercher comme ça des gens qui avaient des domaines de compétences bien au-delà de ce que nous, on peut avoir. On a parlé par exemple d'éco-écoresponsables. Moi, évidemment, je suis hyper sensible au quotidien. Cette éco-responsabilité, je la fais vivre autant que possible.
- Speaker #1
D'ailleurs, il y aura un podcast aussi prochain sur ce sujet. Oui,
- Speaker #0
avec quelqu'un que je connais bien.
- Speaker #1
Il me semble.
- Speaker #0
On en parlera plus tard. Mais effectivement, ça va être salidé. Mais vraiment d'aller chercher des... Et puis de toucher à plein de sujets. Donc d'aller ouvrir un peu nos chakras sur des choses qu'on ne saurait pas. Je pense que je dis chakra en blaguant parce qu'on a...
- Speaker #1
Je pense au vastu.
- Speaker #0
Je pense au vastu qui est le... une forme de feng shui indien. On a eu un expert, effectivement. Donc, effectivement, là, c'était plus compliqué de transposer sur nos métiers, vraiment, parce que ce n'était pas applicable facilement, tellement le niveau de compétence était élevé. Mais je trouve qu'il y a eu quelque chose d'ouverture d'esprit qui nous fait du bien aussi pour se tenir au courant, d'ouvrir nos sensibilités. Moi, j'ai adoré.
- Speaker #1
Oui, il y a vraiment ce côté inspirant, en fait. C'est ça,
- Speaker #0
exactement.
- Speaker #1
Et ça fait du bien, ça donne aussi un peu de respiration. Puis à côté de ça, on a eu aussi, par exemple, sur la bonne utilisation finalement d'Instagram, des choses très techniques où il faut avoir ces compétences-là aussi. Et puis avoir une experte qui vient nous expliquer super clairement, mettre pendant deux heures les bonnes pratiques, c'est hyper important.
- Speaker #0
Donc ça, on est convaincus qu'à un moment, ça ne peut pas être que toi et moi. On n'est pas trop mauvaise.
- Speaker #1
On n'est pas bonne en tout. On n'est pas expert en tout.
- Speaker #0
On n'est pas expert en tout. Et justement, on est toujours dans cette vibe de l'intelligence collective, de dire qu'on a vraiment besoin d'aller chercher des intelligences encore supérieures.
- Speaker #1
C'est ça, et c'est un peu ce qu'on essaie de faire aussi dans ce Mastermind. C'est vraiment créer finalement une bibliothèque de ressources inspirantes ou techniques. professionnalisantes, mais où effectivement, quand les jeunes décoratrices s'embarquent, elles peuvent avoir accès à toutes ces ressources comme elles veulent.
- Speaker #0
Comme source, on va rajouter typiquement ton module, le module que tu as créé sur Procreate. C'est vrai que c'est important. On se rend compte que ça fait des ressources. Les ressources, c'est aussi des outils.
- Speaker #1
C'est des outils.
- Speaker #0
Là, on parle plus de compétences, mais c'est parfois aussi juste des outils pour...
- Speaker #1
Pour être plus performante, pour gagner du temps, pour être mieux organisée, exactement. Tout à fait.
- Speaker #0
Donc voilà, et puis je pense qu'il y avait un côté communauté qui était aussi hyper important pour nous. On l'a dit un petit peu quand on parlait de solitude, mais là je suis en train de penser que ce qu'on a mis en place aussi, c'est vraiment cette plateforme, cet espace de communauté pour que les filles, au quotidien, parce qu'il y a nos rendez-vous tous les mardis, mais il y a aussi au quotidien tout ce qu'on peut faire. Et ça, c'était hyper puissant, je trouve aussi.
- Speaker #1
Mais oui, et puis on se rend compte en fait que très rapidement, on s'affronte à cette solitude finalement propre à l'auto-entrepreneur. Je suis seule, j'ai toutes les casquettes, j'ai personne avec qui échanger pour être sûre que je prends la bonne décision. J'ai personne qui vient me challenger, j'ai personne qui vient me remonter quand j'ai un petit coup de mou. Et finalement, effectivement, l'aspect communautaire, le fait d'être ensemble, de développer ce lien, de pouvoir compter les unes sur les autres. au travers des coachings de groupe, mais finalement quotidiennement au travers de cette plateforme sur laquelle chacun pouvait échanger sur divers sujets.
- Speaker #0
C'était aussi pour célébrer, j'ai un souvenir aussi d'avoir de messages où « Ah là là, je viens de décrocher un projet, je viens de décrocher un client » où on avait justement parlé de tarification sur certaines prestations avant. Donc quand la personne dit « Ah ça y est, j'ai eu mon projet, ça y est, c'est signé » il y a ce côté aussi, on célèbre ensemble, on est heureuse pour les autres, tout le monde.
- Speaker #1
Avance et progresse. C'est ça.
- Speaker #0
Je trouve que c'est là qu'on voit qu'il y a un bon état d'esprit aussi. On n'est pas dans la concurrence. On se célèbre, on se soutient et on célèbre tout ensemble. Donc effectivement, puis ça permet aussi, j'ai des souvenirs de, vous n'avez pas un conseil de fournisseur pour des luminaires, pour des trucs ? Je trouve qu'on ne peut pas nous tout savoir dans nos pratiques, surtout quand on démarre. Et de savoir qu'il y a 15 autres décoratrices qui viennent compléter nos connaissances et les enrichir. Il y a quand même quelque chose de plutôt chouette là-dedans.
- Speaker #1
Il y a eu des beaux échanges. Oui, oui. Bon à voir.
- Speaker #0
Je pense que beaucoup aussi témoignent souvent d'un problème d'isolement et que travailler seule, ce n'est pas toujours cool. Ce n'est pas évident. Et qu'on a la force de mouliner toute seule dans son coin, il y a quand même... Quelque chose d'énergivore aussi, je trouve, qui ne participe pas à la construction de sa confiance. C'était ça, l'ambition. J'ai l'impression qu'il y a un petit objectif qui est atteint quand même. Un truc pas mal. Est-ce qu'on oublie des choses dans toute cette création ? Il y a un petit peu, je pense qu'on a raconté un peu tous les pôles qu'on avait mis en place.
- Speaker #1
Oui, mais ça commence quand ?
- Speaker #0
Comme si tu ne le savais pas.
- Speaker #1
Non, je ne sais pas.
- Speaker #0
Alors on va se faire une petite pause d'été quand même. En plus, toute la leçon de bêta-thèse s'est arrêtée plutôt début juillet. Donc là, on est quand même en pause estivale, bien sûr. C'est pour ça que maintenant, on commence à vous en parler. On démarrera officiellement le 16 septembre. qu'on garde notre jour du mardi, très précisément 14h30 heure française, c'est déjà débloqué, ça fait 8h30 du matin pour nous à Montréal. Oui c'est tôt. Donc on ne pouvait pas beaucoup plus tôt, mais effectivement on va démarrer le 16 septembre avec un nouveau groupe, il y aura des personnes similaires, il y a déjà des personnes qui sont inscrites en plus parce qu'on n'est que mi-août mais il y a déjà des personnes.
- Speaker #1
Il y a des personnes qui prévoient leur rentrée en fait.
- Speaker #0
C'est ça ! Donc du coup, si toi aussi, tout ça te parle, si tu te dis que ça peut être un schéma qui est vraiment un fonctionnement, une communauté qui répondra à tous tes besoins, en fait, déjà, il y a une page sur mon site internet, bonjourmanouveavie.com, tu verras, il y a le Mastermind qui a son petit onglet rien que pour lui, donc tu peux aller découvrir. Et puis surtout, n'hésite pas à prendre rendez-vous en appel découverte. On peut vraiment discuter, voir si ce mastermind est fait pour toi, si ça répond à tes besoins, si ça permet de construire encore mieux ton projet. Et puis aussi, si le groupe va bien te correspondre, s'il y a un fit, un bon match entre toi et le groupe, et toi et nous. Donc voilà,
- Speaker #1
il faut appeler.
- Speaker #0
Sur mon site internet, il y a toutes les infos. J'ai hâte en tout cas de démarrer ce mastermind. Après tout ce qu'on a mis en place les mois précédents, j'ai juste envie que… Et en plus, on ne dit pas tout, mais il y a encore quelques surprises qui se rajoutent. On l'a peaufiné aux petits oignons. J'ai hâte, j'ai très hâte. Merci Fred.
- Speaker #1
Avec plaisir, à bientôt.
- Speaker #0
Si tu entends ce message, c'est que tu as écouté l'épisode jusqu'au bout et donc je me dis que ça a dû te plaire. Alors si tu veux me soutenir, laisse-moi un petit commentaire et des étoiles. Ça va vraiment m'aider à faire connaître ce podcast au plus grand nombre. Un énorme merci d'avance.