- Speaker #0
Bonjour Kathleen ! Bonjour Astrid ! Merci d'être là aujourd'hui dans ce nouveau numéro de... Nouveau numéro ? Deuxième numéro ?
- Speaker #1
C'est un nouveau !
- Speaker #0
De business de meufs. Alors, on va présenter assez rapidement ton parcours de chef d'entreprise, Kathleen. Donc, tu as créé une agence au nom de l'agence Mademoiselle Parfaite. C 'est une agence qui, initialement, faisait du développement en images. Et qui s'est développée en agence de développement personnel. C'est ça, je ne le sens pas. Alors si je présente correctement les choses, ton agence a pompé d'aider les hommes et les femmes de ce monde à dynamiser leur image et d'améliorer la confiance qu'ils peuvent avoir en eux. C'est bien ça.
- Speaker #1
C'est bien ça. J'aime dire que c'est une agence d'accompagnement en confiance en soi. Donc ça se manifeste par... Par différentes actions telles que le conseil en images, le développement personnel, mais après des petits ateliers type prise de parole en public, marketing de soi. Là, on parle plus côté entrepreneur, mais ça englobe beaucoup de choses.
- Speaker #0
Est-ce que tu peux nous expliquer en quelques mots comment a démarré l'aventure Mademoiselle Parfaite ? Du coup, nous expliquer un petit peu ton parcours d'entrepreneur. Qu'est-ce qui t'a amené à développer cette agence ?
- Speaker #1
Je dirais que c'est mon parcours personnel qui a fait que j'ai créé cette agence aujourd'hui. Le manque de confiance, la mésestime, la dépression même, c'est quelque chose que j'ai connu il y a quelques années maintenant. Et le travail sur moi, mon épanouissement. a permis à ce que je prenne cette décision d'aider à mon tour les femmes et les hommes aussi, parce qu'il y en a qui viennent me voir quand même. Mais cette vocation est vraiment née à la suite de mon épanouissement personnel.
- Speaker #0
D'accord. Donc en fait, tu as découvert des aspects de toi-même que tu ne connaissais pas. Exactement. Et finalement, tu as dit, pourquoi je n'en ferais pas profiter aux autres ?
- Speaker #1
C'est ça.
- Speaker #0
D'accord. Donc du coup,
- Speaker #1
c'est de là qu'est venue l'idée de créer une agence. Alors, je me suis longtemps cherchée, j'ai longtemps tourné un petit peu sur comment j'allais transmettre. Et puis, aujourd'hui, après un peu plus de quatre ans maintenant, je sais où je vais. Et j'ai même des nouvelles offres qui arrivent pour 2020.
- Speaker #0
D'accord. Aujourd'hui, avoir une posture de consultant, c'est assez difficile. C'est assez difficile de se mettre en tant que consultant, parce que du coup, le développement personnel, c'est une chose, mais de se placer comme étant quelqu'un qui va aider quelqu'un, c'est assez difficile à interpréter, à se mettre... à se développer. Donc, comment as-tu su un petit peu que c'était la direction que tu devais donner à ton entreprise et comment tu as su te placer en tant que consultante finalement ?
- Speaker #1
Je dirais que comment est-ce que j'ai su ? En fait, tout simplement, c'est mon pourquoi. Alors, on parle beaucoup de son pourquoi. Et à partir du moment où on le fait de manière authentique, on le fait en étant soi-même, on ne va pas plaire à tout le monde. Ça, c'est une certitude. Mais les gens que j'accompagne ont eu certainement cette sensibilité, ou en tout cas m'ont donné leur confiance. Et je tends à le leur rendre. Donc la posture de consultante, oui, c'est sûr que de nos jours, il y en a beaucoup. Ce n'est pas évident. Et puis, c'est une posture que l'on doit accepter, assumer, incarner. Et je dirais qu'à partir du moment où on met cette casquette, on y va. On y va. Je pense qu'il n'y a pas trop de questions à se poser. À partir du moment où on est soi-même et qu'on a aussi conscience qu'il faut tout le temps se remettre en question, qu'il faut toujours travailler sur soi pour s'améliorer, pour grandir, pour évoluer. c'est pas parce que j'ai une casquette de consultante que j'ai la science infuse pas du tout mais non non on met cette casquette et on y va on aide les gens qu'on peut aider et lorsqu'on peut pas les aider on leur dit Parce que ça arrive aussi.
- Speaker #0
Oui, qu'on n'ait pas les compétences pour.
- Speaker #1
Et il faut être à l'aise avec ça.
- Speaker #0
Oui, effectivement, parce que du coup, ce n'est pas un métier qui est facile. Parce qu'on voit qu'aujourd'hui, pas mal de personnes souhaitent se lancer en tant que consultant, faire du coaching, etc. Mais là, c'est des postes qui sont assez difficiles à incarner, à développer. En parlant de ça, est-ce que toi, tu as suivi un cursus spécifique pour le coaching, l'accompagnement, etc. ? Pour te sentir justement plus à l'aise dans cette activité-là ?
- Speaker #1
Alors, je dirais que mon parcours personnel, mon développement personnel, j'ai été accompagnée et par la suite formée.
- Speaker #0
Formée ?
- Speaker #1
Formée, à ce métier-là. Une formation quelque peu atypique, mais en tout cas, la personne qui m'a accompagnée m'a ensuite formée. Enfin, je dirais les personnes, parce qu'il y en a eu plusieurs.
- Speaker #0
D'accord, qui t'ont formé, qui t'ont donné les bonnes pistes. Exactement. D'accord. Et ce n'était pas difficile au départ de trouver des premiers clients ? Est-ce que tu en avais déjà une base ? Parce que oui, tout le monde peut devenir consultant. Si il a le casquet de pour et s'il peut l'incarner, s'il a les compétences, c'est toujours difficile aussi de trouver des clients. Les premiers,
- Speaker #1
c'est toujours difficile. Alors, c'est sûr que c'est difficile. Alors, mes premiers clients ont été beaucoup des clients en conseil en images. J'ai commencé avec le conseil en images et mes premières clientes ont été des anciennes collègues.
- Speaker #0
D'accord.
- Speaker #1
Donc, c'était plutôt cool de commencer à travailler avec des personnes que l'on connaissait déjà. Et puis, après, le bouche à oreille a fait un petit peu son chemin, je dirais. Et... Et je l'ai fait un petit peu à l'envers, c'est-à-dire qu'on m'a donné ma chance, j'ai fait une première conférence, puis une deuxième, et ma clientèle, je l'ai trouvée comme ça.
- Speaker #0
D'accord. Donc, en fait, au début, tu as commencé par le conseil en images, qui est déjà une partie,
- Speaker #1
une première partie du développement personnel,
- Speaker #0
parce que si on est mieux habillé, on travaille mieux. C'est ça. Voilà, on incarne mieux son personnage. Du coup, à ça, tu as rajouté quelques briques à tes activités.
- Speaker #1
Exactement. Notamment le développement personnel. Parce que lorsque l'on fait un conseil en images, comme on peut voir à la télé avec notre chère Christina Cordula, mais finalement, à la télé, il ne montre pas tout l'envers du décor. C'est que... Être bien habillée, se sentir bien, porter des tenues qui nous vont, c'est une chose. Mais pour moi, il était essentiel de travailler à l'intérieur. Parce que c'était une forme de façade. Et pour moi, travailler à l'intérieur, travailler sur le mindset, le mental, réellement aller bien. Pour ensuite finir avec cette cerise sur le gâteau qui est le conseil en images, pour moi, dans cet ordre, c'est beaucoup plus pertinent.
- Speaker #0
D'accord, donc c'est vraiment aider les personnes à se développer personnellement. Est-ce que tu crois que quand on décide d'entreprendre, est-ce que c'est essentiel d'abord de se trouver soi avant de commencer un processus en tant qu'entrepreneur ?
- Speaker #1
C'est essentiel, c'est évident, c'est la base, c'est nécessaire. Enfin, je pourrais sortir tous les adjectifs, mais c'est nécessaire parce que lorsqu'on devient entrepreneur, on incarne notre entreprise. Et l'incarnation, sans se connaître, n'a aucun sens, je dirais. Donc, savoir pourquoi on crée une entreprise, c'est un fait. Savoir qui on est pour pouvoir expliquer le pourquoi on crée cette entreprise. Et je pense que chaque entrepreneur doit faire un travail sur lui avant d'entreprendre quoi que ce soit.
- Speaker #0
Oui, je pense aussi que c'est vraiment un cheminement qu'on doit établir. Se connaître soi avant de pouvoir présenter quelque chose à des ventes chez le client.
- Speaker #1
C'est évident. Là, je suis entrepreneur depuis un peu plus de quatre ans. Il y a une dizaine d'années, avant d'avoir mes enfants, j'avais essayé l'aventure entrepreneuriale. Et en fait, j'étais dans ce mood où manque de confiance, mésestime. Et là, ça a été la catastrophe.
- Speaker #0
On parle souvent du syndrome de l'imposteur, c'est ça ?
- Speaker #1
Oui, c'est un peu ça. C'est pour ça que tu parlais tout à l'heure de mettre cette casquette. Oui, ce syndrome de l'imposteur, on se dit mais qui je suis pour faire ça ? Qui je suis pour dire ça ? Mais ce syndrome de l'imposteur revient tout le temps. Après, il permet de se remettre en question, il permet de se questionner et de prendre les bonnes décisions. Mais je dirais quand on a confiance en ses actions, en soi, jamais à 100% d'ailleurs, mais quand on a confiance en soi et en ses actions et en ses capacités à agir, à rebondir, on peut y aller sans problème.
- Speaker #0
Sans problème.
- Speaker #1
Et on peut assumer cette casquette.
- Speaker #0
Et si on revient au moment où tu as décidé de te lancer, la deuxième fois.
- Speaker #1
La deuxième fois.
- Speaker #0
La deuxième fois qui était la bonne d'ailleurs. Oui,
- Speaker #1
totalement.
- Speaker #0
Est-ce que tu as eu des freins ? Des freins peut-être dans la posture, mais au niveau de l'administratif, au niveau du positionnement, de l'image, etc. Est-ce qu'on est d'accord que Mademoiselle Parfaite, c'est un univers quand même ? C'est un univers qui est sorti de ta tête ?
- Speaker #1
que mademoiselle parfaite ça sortit de ma tête,
- Speaker #0
enfin parfaite c'est quand même mon nom de famille oui mais bon il y a quand même une histoire par rapport à ça et du coup est-ce que tu as eu des freins qui t'ont dit des choses qui t'ont limité un peu dans ton développement, dans ton lancement et comment tu as pu en gros faire face à tout ça c'est justement comme on disait tout à l'heure c'est que se connaître
- Speaker #1
permet d'arpenter, d'anticiper, d'appréhender ce genre de freins. Des freins, on en a tout le temps. On a tout le temps des obstacles, des freins. À chaque étape, là, je suis en transition de la fermeture de l'auto-entreprise et de la réouverture de la SASU. Donc, c'est en transition. Oui, là, je suis confrontée... là, aujourd'hui, ce mois-ci, à des freins, je les lève. Petit à petit. Et puis, en janvier 2020, ceux-là seront levés, mais je vais en avoir d'autres. Donc, c'est notre capacité à affronter tout ça. C'est notre... C'est notre capacité à se faire confiance et à affronter tout ça. Oui, quand on ouvre une entreprise, il y a plein d'obstacles. Mais je n'appellerais pas ça des freins, parce que des freins, ça nous freine et on n'avance plus. Je dirais plus des obstacles qu'il faut enjamber, contourner, traverser, affronter.
- Speaker #0
C'est pas une athlète,
- Speaker #1
quoi, en fait. Oui,
- Speaker #0
c'est ça. C'est ça, c'est les deux et
- Speaker #1
C'est ça, c'est ça. Non, moi, je ne parle pas de frein, je parle d'obstacle à franchir.
- Speaker #0
À franchir, à contourner pour arriver à son but final. C'est ça. Toi qui as une expérience de 4 ans, est-ce que tu as des conseils à donner quand on souhaite, par exemple, se lancer dans le conseil et proposer finalement une offre qui n'est pas... intangible quoi. Quand ce n'est pas un produit, un service, enfin, ou c'est plutôt, quand ce n'est pas un produit, je vais me répéter, quand ce n'est pas un produit, mais un service. Voilà, j'y suis arrivée au bout de la cinquième fois. Donc, quand c'est un service, est-ce que tu as des conseils à donner par rapport à comment se positionner ? Est-ce que ça passe par, comme tu disais, le marketing de soi ? On se markete soi-même ?
- Speaker #1
Évidemment.
- Speaker #0
Évidemment.
- Speaker #1
Le marketing de soi, c'est-à-dire qu'avant toute chose, travailler sur soi. Lorsqu'on crée une entreprise, on fait un business plan. C'est le parcours du combat. Le parcours standard. Le parcours standard, mais en dehors de ça, business plan où là, il y a la partie chiffres et tout ça. Il ne faut absolument pas négliger la partie rédactionnelle. On va présenter son entreprise, mais quelque part, on se présente soi. Donc, le marketing de soi, savoir qui on est, qu'est-ce que l'on veut, où on va, est essentiel. Après, se connaître pour mieux connaître les personnes à qui l'on va proposer ce service.
- Speaker #0
Oui.
- Speaker #1
Pareil. C'est essentiel.
- Speaker #0
Oui. De toute façon, quand on commence, on pense qu'on va vendre à X et finalement, on vend à Y. Ah ben,
- Speaker #1
totalement.
- Speaker #0
C'est un éternel changement par rapport à sa cible, son positionnement, son produit. Et puis,
- Speaker #1
ça change. Je veux dire, on idéalise quelque chose en commençant et puis, ça évolue. Je n'aime pas trop le terme changer, mais plutôt, ça évolue. Voilà, ça évolue. On affine. On affine la cible, on affine...
- Speaker #0
C'est comme un peu de fromage.
- Speaker #1
Tout seulement un petit comté affiné, la 18 ans, parfait ! Parfait, parfait !
- Speaker #0
On affine comme du fromage.
- Speaker #1
Ou un bon vin.
- Speaker #0
Un bon vin ? Oui. Oui, ça se tient dans une bonne petite cave.
- Speaker #1
Et voilà.
- Speaker #0
Oui, je pense que là, on est vraiment d'accord sur le vin et le fromage. Je vous montrerai la corée.
- Speaker #1
Le combo parfait.
- Speaker #0
Le combo parfait, exactement. Fin de semaine, plateau, fromage et vin. Voilà, vous savez. C'est ça, check. C'est bon. Il vous devait faire un peu. Tu peux nous dire en fait ce que tu retiens, ce que tu en retires en termes de développement personnel et de toute cette aventure entrepreneuriale au final. Je pense qu'il y a 4 ans, t'es pas la même femme qu'aujourd'hui, que t'es Wonder Woman, maintenant tu fais des pirouettes, des galipettes, voilà. Alors,
- Speaker #1
je ne fais ni de pirouettes, ni de galipettes, parce que mon corps ne me le permet pas. Non, il veut pas en fait. Maintenant, Wonder Woman, en fait, on est toutes des Wonder Woman, parce que j'en croise moi chaque jour, donc à partir de là, je ne suis pas plus une Wonder Woman qu'une autre. Je fais les choses qu'il y a à faire. Maintenant, quelle expérience en tirer ? Je pense que, quelle leçon plutôt en tirer ? C'est que rien n'est acquis. Et à partir du moment où on a conscience de ça, que rien n'est acquis, qu'il faut tout le temps travailler, qu'il faut tout le temps évoluer, il y a cette forme d'humilité entrepreneuriale qui fait qu'on avance sereinement. Et c'est très paradoxal, mais finalement, savoir se remettre en question, savoir peut-être faire un pas en arrière pour pouvoir en faire deux en avant, c'est parfois nécessaire. Et quand on a conscience de ça, on peut tout affronter. Ah bah oui, mais ça, c'est clair que savoir s'entourer, demander conseil, ne pas hésiter à demander conseil parce que c'est facile.
- Speaker #0
Best practice. Merci. Exactement.
- Speaker #1
et puis on peut être confronté à des personnes qui ne croient pas au projet il ne faut pas se démonter non, non, non, et ça on en a tout le temps et parfois des très proches mais quelque part non,
- Speaker #0
il ne faut pas se démonter il faut garder sa détermination c'est ça, rien n'est acquis et on lâche rien alors aujourd'hui tu fais du coaching personnel Tu fais des conférences, tu animes des ateliers, tu fais beaucoup, beaucoup de choses. Ça ne nous dérange pas, c'est très bien. Mais l'agence Parfait, demain, c'est quoi tes axes d'évolution ? Vers quoi nous emmènes-tu en 2020 ? Ou les années à venir ? 2020, c'est juste une étape.
- Speaker #1
Disons que là, l'agence était très axée sur le coaching personnel. Là, je remets ma casquette de jeune entrepreneur où j'étoffe mon business plan pour proposer des formations, des ateliers formation en entreprise.
- Speaker #0
D'accord.
- Speaker #1
Donc là, on est sur un coaching plus pro. On est sur tout un aspect bilan de compétences, formation au cœur de l'entreprise, c'est-à-dire que comment... amener le développement personnel en entreprise. D'accord. Donc... C'est un spectre...
- Speaker #0
C'est ça....spectre orienté. C'est aussi proposer du perso, du particulier, comme du professionnel.
- Speaker #1
Comme du professionnel. Et là, c'est clairement ces axes qui se dessinent. Et je travaille en ce moment-là comme une folle pour ça. Pour ça. Et pour qu'en 2020... tout soit mis en place. J'ai déjà des centres de formation qui veulent travailler avec moi, donc c'est plutôt cool.
- Speaker #0
C'est plutôt bon.
- Speaker #1
Donc voilà, maintenant, il y a des choses à faire et puis on y va. En fait, elles sont là, elles sont à faire et puis on avance et on lâche rien.
- Speaker #0
Oh, merci, Kathleen, d'avoir été avec nous aujourd'hui. Oh, ça fait un plaisir. Très chère,
- Speaker #1
très chère.
- Speaker #0
Merci beaucoup d'avoir été avec nous aujourd'hui. Merci d'avoir répondu à toutes nos questions. Merci d'avoir partagé ton expérience, ton témoignage, ton avis, tes positions sur l'entrepreneuriat. Ça a été un grand plaisir pour nous, chez Business de Meuf, de t'avoir enregistré avec nous. C'est un plaisir, toujours un plaisir.
- Speaker #1
C'est un plaisir partagé.
- Speaker #0
Maud. Finesse, c'est pas possible. Je le rechis. Merci beaucoup d'avoir été avec nous aujourd'hui. Si vous voulez retrouver Kathleen, n'hésitez pas à vous rendre sur son site internet. Elle aura aussi une présentation qui sera présentée sur notre compte Instagram, notre site internet. N'hésitez pas à rendre un mail si vous avez d'autres questions à lui poser. Nous, on est ouvert, on est open. À très bientôt. Merci. Merci.