- Speaker #0
Sachez qu'il y a des types de campagnes qui sont dédiées spécialement à ça. C'est-à-dire qu'en fait, quand votre appli est disponible dans l'App Store ou dans l'Android Store, donc le Google Play Store, il y a la possibilité via Google Ads de faire des campagnes qui vont avoir en fait comme landing page directement la page de téléchargement.
- Speaker #1
Et bien le bonjour à tous, vous écoutez toujours Café Clatch, le seul podcast basé à Luxembourg qui parle de marketing digital sans prise de tête. Salut Naïm, salut Antoine.
- Speaker #0
Salut !
- Speaker #1
Alors, pour cette saison, nouvel épisode un peu particulier parce qu'on a notre premier invité, invité de mars, on a avec nous à nos côtés Eric, Geoffroy. Eric, bien le bonjour.
- Speaker #2
Eh bien, bonjour à tous.
- Speaker #0
Salut Eric !
- Speaker #1
Merci d'avoir accepté notre invitation. Tu es CMO à temps partiel.
- Speaker #2
Tout à fait.
- Speaker #1
Ça veut dire quoi CMO ?
- Speaker #2
Alors, Chief Marketing Officer et à temps partiel parce que je suis freelance. à mon compte et donc dispo pour bosser avec d'autres entreprises.
- Speaker #0
Les gens qui nous écoutent, si vous avez besoin d'un CMO.
- Speaker #1
En deux phrases rapidement, ça consiste en quoi si on vient te voir ?
- Speaker #2
Alors il y aura deux tendances, soit pour de l'accompagnement plutôt analytique, recherche, stratégie, et ce genre d'aspect du market et de la com, notamment pour toutes les personnes qui seraient en early stage sur leur boîte. Et sinon, un petit peu plus d'opérationnel, ça je fais tout ce qui est gestion de réseaux sociaux, campagne, emailing, newsletter et compagnie. Ce sont aussi des choses que je propose.
- Speaker #1
Ok, très bien. Écoute, pour cet épisode, j'ai préparé un petit jeu. J'espère que tu vas t'y retrouver. Est-ce que, avant de commencer, je peux te demander quel a été le pire projet qu'un client ait pu me proposer ? On commence tout de suite par les pires. Quelque chose qui t'a refait ?
- Speaker #0
Avec son nom, son adresse et son numéro de téléphone.
- Speaker #1
Un projet qui...
- Speaker #2
Qui vraiment ne me sentait pas très bon. Alors, effectivement, j'ai quelqu'un qui était venu me voir pour bosser avec lui sur des campagnes, on va dire, sur un site pour adultes.
- Speaker #0
OK.
- Speaker #2
Et voilà. Donc, ce n'était pas forcément un truc où je m'y retrouvais, où je me sentais à l'aise. Et puis c'était un truc très communautaire, enfin voilà, pas bonne vibe.
- Speaker #1
C'était réglementé.
- Speaker #2
La vibe était clairement pas bonne. Ça c'est une vraie question, comment est-ce qu'on met en avant un site où toutes les régies publicitaires te refusent ? Ça c'est compliqué parce que ça va demander quand même déjà du travail de recherche réglementaire, j'ai envie de dire. Rien que déjà pour comprendre les règles, surtout si on n'est pas dans le milieu. Et puis après je pense que voilà, c'est un milieu qui travaille beaucoup sur... Alors, ça fait un peu con de le dire comme ça, mais des hubs. Et donc, ce genre de hub, voilà, qu'Anali, je pense qu'ils ont en fait, ils ont une espèce de micro-écosystème sur lequel, une fois qu'on rentre dedans, on a les bonnes personnes de contact. Et puis, voilà, de toute façon, toutes les pubs qui sont là-dessus, c'est les mêmes, globalement. Donc, à mon avis, c'est un univers très, très fermé, au final.
- Speaker #1
Ouais, ok. Écoute, pour cet épisode, je te propose de jouer à un petit jeu avec nous. J'ai imaginé des startups. Toute ressemblance avec des projets que vous présentez serait purement aléatoire. Je vais te donner le nom d'une startup, son concept, et tu vas me dire en gros si je suis un client intéressant et quel genre de stratégie tu pourrais m'aider. En tout cas, je demande à Antoine et Naïm aussi de... Oui,
- Speaker #0
bien sûr.
- Speaker #1
Mais voilà, on va partir sur 7 ou 8 fake startups.
- Speaker #2
qui pourrait devenir quelque chose à l'époque alors je vais déposer tout de suite peut-être la bonne idée tout a été déposé au préalable allez
- Speaker #1
c'est parti donc première startup
- Speaker #0
Ça s'appelle Procrastinder. C'est une application de rencontre pour les procrastineurs. C'est très difficile à dire, je n'ai pas pris le plus simple pour commencer. Donc, application de rencontre, mais en gros, pour matcher, il te faut répondre dans les 10 minutes, sinon ton âme sœur, elle disparaît. Donc, qu'est-ce que tu peux me conseiller pour me lancer dans la startup ? Le dating, c'est une vraie concurrence.
- Speaker #1
Ah oui, oui, oui. Alors ça, on est sur un truc vraiment niche de niche. Mais ce qui est quand même une tendance dans, on va dire, le milieu de la rencontre, parce qu'au final, on avait du tout-va, si je puis dire, sur les applis de rencontre. De plus en plus, il y a eu des choses un petit peu plus élite. Donc, des gens qui se situent eux-mêmes élite veulent leur propre cadre. Des gens qui sont, je ne sais pas, dans l'associatif veulent leur propre cadre. Alors pourquoi pas des procrastineurs ? Maintenant, moi, j'ai un problème avec les procrastineurs. C'est que du coup, à un moment donné, viendra le date. Est-ce qu'ils ne vont pas remettre le date ?
- Speaker #0
Moi, j'avais pensé à mettre en place des micro-transactions pour récupérer un match raté. Tu vois, donc ça peut être intéressant d'avoir une cause quantée. Sinon, mettre, je ne sais pas, un mode boost payant pour rallonger la durée de réponse. Au lieu de passer à 10 minutes, passer à une heure avant l'expiration du message.
- Speaker #2
ou bien tout simplement la publicité ciblée je sais pas les apps de pour la caféine par exemple quelqu'un qui a envie de se réveiller donc ça c'était un peu mes conseils alors une vraie un vrai levier qui peut être utilisé par contre quand vous avez des applications si jamais vous faites partie d'une entreprise ou d'une marque ou d'un service qui a une application et qui veut la promouvoir sachez qu'il y a des types de campagnes qui sont dédiées spécialement à ça C'est-à-dire qu'en fait, quand votre appli est disponible dans l'App Store ou dans l'Android Store, donc le Google Play Store, il y a la possibilité, via Google Ads, de faire des campagnes qui vont avoir en fait comme landing page directement la page de téléchargement. Donc quelqu'un va ouvrir votre lien publicitaire sur l'appli et va se retrouver directement sur la page de téléchargement avec un prompt pour lui proposer de télécharger l'appli. Et ça, c'est un très bon moyen de faire sortir un peu votre appli, plutôt que de se reposer uniquement sur ce qu'on appelle l'App Engine Optimization. Donc en gros... Essayez de faire du SEO dans les app stores, ce qui est parfois un petit peu tricky, un peu compliqué. Une campagne de branding pour votre appli, c'est réalisable et c'est assez fonctionnel.
- Speaker #3
Et je suppose qu'on s'est récupéré l'OS du téléphone pour savoir s'il faut le renvoyer sur iOS. Oui, bien sûr. Ou le store Windows, si ça existe encore.
- Speaker #2
Je crois malheureusement qu'il existe encore le Windows Store.
- Speaker #1
Il est là.
- Speaker #0
Il est là.
- Speaker #3
Ça, c'est dingue. Il faut se dire qu'actuellement, il y a des gens dont c'est le métier de maintenir le Windows Store.
- Speaker #2
Et Windows Phone.
- Speaker #3
On veut bien vous inviter pour parler d'innovation.
- Speaker #0
Prochaine startup s'appelle Cryptost. C'est un grippin qui imprime les cours des cryptos. Donc, grippin connecté qui imprimerait les cours de la crypto. du jour sur Spotify.
- Speaker #3
C'est trop fun.
- Speaker #0
C'est un grippin connecté. Je suis dans la vente de hardware.
- Speaker #1
Alors, fun fact, Cryptost déposé, c'est un journal. C'est un site de news crypto. Mais après tout, pourquoi pas le lever ? Moi, je pense qu'il y a une collab à faire, Cryptost X Cryptost. Clairement, il y a quelque chose à faire.
- Speaker #2
Surtout que connaissant tous les gens. qu'on connaît qui ont des cryptos, on sait qu'ils passent leur journée à regarder les cours de leurs cryptos et surtout,
- Speaker #1
surtout dès le matin au café. Je pense que c'est une idée d'avenir.
- Speaker #2
En gros, on pourrait partir sur de la collaboration parce que tu as un produit qui est dédié vraiment à une typologie de client qui a déjà un autre intérêt, qui est très déclaré. Et donc là, ça peut être intéressant d'aller se brancher avec d'autres marques qui ont déjà une base de contacts, une base de clients qui est dans cette niche pour en fait si tu veux surfer leur vague pour proposer ton produit ça ça peut se faire avec des arrangements au préalable, des contrats cadres ou même avec de la rémunération sur les ventes, ça dépend
- Speaker #1
Ok, tout sachant que de toute façon on est dans un truc qui va être dans le on va dire dans la tribu parce que là ça va être vraiment des gens très à fond dans cet écosystème donc ça va leur parler tout de suite même si on est dans le cadre presque Je le dis pour l'exercice de la blague, il y a des blagues qui marchent très bien comme ça.
- Speaker #2
Les dogecoins.
- Speaker #1
Et on prend tous les mêmes coins, en fait, on n'adhère pas à l'objet en soi, on adhère à ce que ça véhicule comme idée et comme expérience derrière. Dire moi, je fais partie de ce club des gens qui sont assez déglingos pour aller acheter un petit toaster qui imprime le cours du bitcoin.
- Speaker #3
Non, mais si on part du principe que tu peux imprimer n'importe quoi sur un toast. si on élargit un peu le scope. Il y a énormément de restaurants qui aimeraient bien avoir un petit logo ou un petit dessin sur le petit mystère.
- Speaker #0
Tu as les machines à carrer où tu peux avoir le dessin de Mickey dessus. Donc à un moment donné, ça va venir. Il y a forcément quelqu'un qui va y penser.
- Speaker #3
On te volera ton idée.
- Speaker #0
Ah mince. Si je vois qu'il y a quelqu'un qui s'enrichit avec ça...
- Speaker #3
Allez,
- Speaker #0
avocat royal. Il faut vite publier cette épisode. Prochaine startup, ZZZoom. C'est une intelligence artificielle qui garde la webcam allumée et qui hoche la tête à votre place dans la réunion Zoom pendant qu'on dort.
- Speaker #2
Alors... Sages que ça existe déjà et c'est une feature de l'IA de Nvidia. Nvidia met en place des outils pour les streamers et en fait ils ont un truc qui fait en sorte que quand tu regardes par exemple un autre écran ou que tu es en train de jouer sur ton téléphone pendant une réunion, ils recalculent tes yeux pour faire en sorte que tu aies l'air de regarder pile en face de l'écran. Ah,
- Speaker #3
la caméra.
- Speaker #2
Et donc, en fait, ça cache ton regard.
- Speaker #0
C'est pas un truc qui est connecté à ta chaise ? Non, non. Tu décharges l'électrique, tu mets une sub-caméra,
- Speaker #2
tu couches en tête sur tes yeux et ça fait en sorte que tu es tout le temps en train de regarder en face ou en train de regarder ton interlocuteur alors que tu peux être en train de regarder tes pieds.
- Speaker #0
Ah,
- Speaker #3
mais quelle horreur.
- Speaker #2
Mais alors ça, bon courage pour marketer ça. Là,
- Speaker #1
c'est... C'est de l'app gadget.
- Speaker #2
Ouais, c'est de l'app gadget, quoi.
- Speaker #3
Mais du coup, ça veut dire que quand tu discutes sur Zoom, tu es tout le temps comme ça, en train de regarder droit dans ta caméra. Oui,
- Speaker #2
tu regardes devant toi, oui.
- Speaker #3
Il doit y avoir un côté naturel pas incroyable.
- Speaker #0
Ok. Moi, j'avais pensé, par exemple, à une personnalisation un peu premium, où tu pourrais vraiment, comme tu as dit, ajouter des faux mouvements réalistes, des réponses automatiques à des questions, des choses comme ça. Mais si j'ai bien compris, ce n'est pas si fake que ça. Oui. Très vite.
- Speaker #1
A vérifier, mais je me demande si dans Shark Tank, la version américaine qui veut être mon associé, je me demande même si je n'ai pas vu une de ces boîtes proposer le truc. Donc comme quoi, on est loin de l'idée pour l'exercice.
- Speaker #2
Je sais que c'était dédié à la base aux streamers. Ça fait partie des outils de stream de la suite NPR.
- Speaker #3
Comme les petites filles d'anime et puis après une seconde ça freeze et tu vois l'opposé d'une petite fille.
- Speaker #2
Le v-tube.
- Speaker #0
Notifcare, c'est un notificateur d'excuses automatiques. C'est un service qui envoie des fausses notifs pour donner une excuse de quitter une conversation ennuyeuse. On va avoir un abonnement mensuel. Tu personnalises ton excuse sur le contexte. J'ai du boulot ou j'ai un date Tinder.
- Speaker #1
Pareil, je pense qu'on est dans le modèle où il va y avoir la version de base gratuite avec, on va dire, le hook. pour accrocher les gens sur le « j'ai besoin de ça » parce que c'est vrai que ça m'aide quand même. J'aimerais bien que mon téléphone se mette à vibrer pour « bonjour, j'ai un appel » . Et derrière, oui, en fait, il faut essayer de mettre, comme sur du freemium, d'avoir une base en upsell un petit peu où on va aller chercher des fonctionnalités supplémentaires pour justement essayer de générer un petit peu de cash là-dessus.
- Speaker #0
C'est intéressant de mettre systématiquement des offres freemium, premium où est-ce qu'on veut... Dans certains contextes, je ne sais pas, tu as peut-être des exemples. Conserver uniquement l'aspect riche du produit en proposant uniquement un abonnement payant, très quali.
- Speaker #3
Tu me diras si je me trompe, mais aujourd'hui, le but collectif d'une startup qui est assez jeune, c'est d'avoir une communauté plus qu'à l'échelle de la rentabilité. Donc, le côté avoir un plan gratuit, ça permet d'avoir énormément d'adopteurs et après, seulement en réfléchissant à la rentabilité. C'est plus ou moins ça qu'on voit, non ?
- Speaker #1
Alors ça dépend, parce que moi je vais donner des cas par exemple où pour une startup qui va aller en phase de seed, donc qui va aller chercher des levées de fonds à un moment donné, la plupart des business angels ou ventures capitalistes vont demander c'est quoi votre recurring revenue. Et donc si déjà dans l'implémentation même de l'app pour l'exemple, ce n'est pas déjà prévu, ça peut freiner le modèle sur le moyen terme. dans le sens où on va dire oui, c'est très bien votre appli, vous avez tant d'utilisateurs, mais c'est quoi votre cash flow ? C'est quoi votre recurring ? C'est quoi les objectifs sur les années à venir qui vous permettent de demander 5, 10, 15, 20 millions ? Donc moi, je pense que le modèle, il peut être frustrant, le freemium. Il y a beaucoup de gens qui pestent sur le modèle freemium. Néanmoins, ça joue sur des mécaniques psychologiques sur lesquelles les êtres humains, on est un petit peu faiblards là-dessus. C'est difficile de résister. C'est un exemple nul, mais moi, j'aime bien jouer au tarot. Voilà. Je joue, j'ai une app de jeux de tarot, moi je veux juste jouer au tarot. Mais il y a toute une fonctionnalité, des rappels pour dire, nouvelle offre pour tant d'euros, vous avez tant de jetons.
- Speaker #0
Tu peux jouer gratuitement dessus.
- Speaker #1
En fait, il y a une économie gratuite, je peux jouer dessus. Tous les jours, le classique, récupérez vos tokens, vos jetons, vos machins. Par contre, quand vous jouez, si vous perdez, vous perdez ces tokens. Et donc, si à un moment donné, je suis limité, je veux jouer une partie de plus. Allez, c'est jamais qu'un euro 99. C'est quoi un euro 99 ?
- Speaker #0
Mais c'est pas du pay to win pour avoir un meilleur jeu, distribuer l'alcool.
- Speaker #1
On est vraiment sur le pay to play. C'est qu'à un moment donné, il y a une limitation de est-ce que vous êtes d'accord ? Parce qu'en fait, on revient encore aux notions de hook, de j'ai été accroché par ce truc-là. Et si je suis accroché, je ne vais pas accepter l'idée de m'arrêter là parce que j'ai envie de continuer de jouer. Et deuxième chose, il y a un côté, le fameux pied dans la porte. Si j'ai accepté mentalement de payer une fois, je suis 10 000 fois plus à même de payer une deuxième, une troisième, une quatrième. Et ça, une fois qu'on est dedans, dans ces espèces de loops... c'est difficile d'en sortir. Donc moi, pour moi, toutes les personnes qui ont ce genre d'app, premium, il faut penser ce modèle, ne serait ce que pour les futurs levées de fonds, d'expansion du modèle ou quoi. Et puis pour avoir du recurring revenu. Sinon, le one shot, au bout d'un moment, les gens s'enlacent et puis on passe à autre chose.
- Speaker #0
J'avais une autre startup, mais je pense qu'on va avoir les mêmes conseils. Elle s'appelle Déjà Vu. C'est une détection d'anecdotes répétitives. Donc, en gros, c'est une app qui enregistre absolument tout ce qu'on dit. Je pense que ça existe déjà. Ça vous prévient, si vous répétez la même anecdote,
- Speaker #1
c'est une anecdote.
- Speaker #0
On aurait dû l'appeler Radote. Mais effectivement, la partie freemium qui analyse les conversations récentes, version premium qui envoie un historique détaillé de toutes les discussions. Il y a matière à faire.
- Speaker #2
Compliqué au niveau... Il faudra signer des sacrés termes and conditions pour aller faire mon arbre.
- Speaker #0
Nouvelle startup, MoodCook. C'est la cuisine en fonction de votre humeur. C'est une intelligence artificielle qui analyse votre humeur et qui vous propose la recette parfaite pour votre état émotionnel du moment. Donc, pareil, abonnement freemium, premium, avec des suggestions avancées de suivi traditionnel. Est-ce qu'on peut faire des collaborations, par exemple, avec des marques ou des choses comme ça ?
- Speaker #2
Moi, de but en blanc, je pense à un truc qui serait super intéressant. C'est que, grosso modo, si tu as une appli comme ça, tu vas devoir demander des renseignements à tes utilisateurs sur quel est leur mood actuel pour leur proposer, toi, des plats. Mais du coup, tu pourrais aussi refiler toutes ces informations en tant que revendeur tiers de data. pour tout ce qui est entreprise de ciblage et ça les intéresse énormément.
- Speaker #3
Surtout que c'est extrêmement personnel. Est ce que tu vas mettre de plus en plus ton humeur ?
- Speaker #2
Et surtout, il y a des humeurs, si tu veux,
- Speaker #0
notamment dans notre société. Tu as deux doigts de dire tiens, je suis en colère, je suis en colère. Mais l'idée,
- Speaker #3
c'est que tu expliques tes humeurs.
- Speaker #2
Mais tu as des humeurs qui sont beaucoup plus, on va dire, promptes à acheter des choses. On sait que les gens qui sont tristes ou seuls, typiquement...
- Speaker #3
Le chlode de la dopamine d'acheter quelque chose.
- Speaker #2
Le chlode de la dopamine de s'acheter quelque chose. Il y a beaucoup plus de chances que tu passes à l'acte d'achat quand tu ne te sens pas trop bien ou que tu as envie de te remonter le moral. Et donc, si tu es là en train de dire à une appli, moi, je veux du comfort food, là, j'ai un petit coup de blues, machin, et là, boum, Timu va se jeter sur ça en te proposant 15 trucs.
- Speaker #3
C'est vrai que toutes ces apps-là, type journal intime, elles ont explosé ces dernières années. On les voit partout dans les classements de l'App Store. Même Apple a sorti son app native, Journal, qui permet de décrire ton humeur, jure. jour par jour, d'ajouter une petite description des images, etc.
- Speaker #0
Mais c'est un vrai business derrière. C'est très intrusif, mais quelque part, on ne peut pas le faire à moitié.
- Speaker #2
Après, ils ne vendent pas forcément, ils ne sont pas tous forcément revendeurs de données. Oui,
- Speaker #1
de données partenaires. C'est tout comme toujours. En fait, il y a une ligne à tirer sur le côté éthique de ce qui est fait. C'est jusqu'où on pousse le bouton. Parce qu'en soi, oui, on peut revendre, mais on peut faire le choix en tant qu'entreprise de ne pas revendre ces données, mais de les utiliser en interne. Et comme ça avait été proposé de faire sur de la collab. Moi, je prends un truc tout simple, j'ai envie de me faire un petit plaisir, mais j'essaierai de faire gaffe à ce que je mange. Pourquoi ne pas avoir en même temps une fonctionnalité qui me permet de calculer ce que je vais manger ? Je vais me faire plaisir, mais si je mange ça, en termes de calories, ça me fait ça. Ça veut dire que ce soir, il faut peut-être que je réduise. Et là, d'avoir des mécanismes, un petit peu de recommandations avec des apps interconnectées qui pourraient fonctionner.
- Speaker #3
Typiquement, toutes ces applis de sport, MyFitnessPal, je crois, qui était reconnue, que tu peux lier à ton app santé de Apple, qui a du coup, si tu as une Apple Watch, ton rythme cardiaque, etc. et centraliser toutes ces données. pour des gens qui font attention à leur santé ou qui ont potentiellement des maladies qu'ils doivent surveiller, c'est très intéressant.
- Speaker #0
Je ne connais pas l'application, mais est-ce que c'est le genre d'application qui permet aussi d'intégrer une marketplace pour acheter des produits à part, en plus ? C'est une application de sport, par exemple, tu pourrais...
- Speaker #3
Un expert de MyFitness pourrait agir... Oui,
- Speaker #0
ça se voit que tu fais le même truc.
- Speaker #1
Pas sûr qu'il s'aime, parce que moi je l'avais téléchargé, alors ça ne se voit pas, mais je l'ai téléchargé. Et en fait j'ai abandonné parce que je trouvais ça extrêmement complexe de devoir faire une recherche entière de tout ce que je mangeais, et tout peser, et à l'éventuel ça fonctionne avec une espèce de base de données. Je tape par exemple ribasmati, pour prendre un truc un peu sain, ribasmati, et je dois aller chercher dans une espèce de grande base de données, lequel je prépare.
- Speaker #2
Ah bah ils utilisent la base d'OpenFoodFact. Voilà,
- Speaker #1
t'as deux références en base de données. OpenFoodFact, c'est ce qu'il y a derrière UK, etc. Et donc, en fait, ça pose des problématiques d'effort. Ce qui pèse,
- Speaker #0
c'est de ne pas préparer ton profil. En fait,
- Speaker #1
au bout d'un moment, dans l'expérience utilisateur, ça devient pénible parce qu'il y a énormément de choses à faire pour pouvoir juste... Mais en fait, moi, je veux juste contrôler un peu ce que je mange.
- Speaker #2
Ça, c'est un bon point, même au-delà des entrepreneurs ou des marques qui disposent d'applis, mais simplement d'un produit ou d'un site. Faites toujours très attention à votre UX, à ne pas en demander trop. Parfois, on a envie de demander beaucoup pour avoir plein d'informations, etc. Mais des fois, dans la réalité, c'est bien aussi de demander simplement son adresse mail et je ne sais pas son moyen de paiement à un client pour ensuite valider l'achat, la tirer et par la suite, via des automation d'email, d'envoyer un petit email deux semaines après la commande pour lui demander de renseigner telles informations, de nous dire s'il a bien aimé ça, de lui demander si ça l'intéresse quand on lui parle de cet autre service ou de cette autre catégorie de produits, etc. Donc, en fait, requalifier au fur et à mesure, après coup, et pas demander tout de suite un dossier de six pages au sign-up. Ça, effectivement, c'est assez important. Et ça, ça se teste assez facilement avec ce qu'on appelle des usability checks. C'est-à-dire qu'en fait, vous contactez des clients ou des prospects, et même parfois contre un bon cadeau, admettons, contre un bon cadeau de 10 euros, vous leur dites, voilà, on a un petit scénario à vous faire remplir. Allez sur ce site, suivez cette trame. Votre objectif, c'est de faire un achat. et de nous dire quels ont été les points les plus chiants. Est-ce que vous avez bloqué un moment ? Est-ce que vous n'avez pas trouvé tel truc ? Ils vous renvoient les infos. Vous passez ça à une équipe marketing slash UX designer qui en font un peu leur réflexion et qui vont apporter des améliorations. Il y a aussi des outils comme Microsoft Clarity ou Hotjar qui permettent de visionner en live des sessions d'utilisateurs. C'est-à-dire que vous allez avoir vraiment l'écran de l'utilisateur filmé et voir un petit peu comment il se comporte sur le site, voir s'il ne trouve pas, s'il part tout de suite, s'il ouvre 12 pages.
- Speaker #3
Moi, je veux bien peut-être qu'on revienne sur le terme UX. Je crois qu'on en avait déjà parlé à l'épisode précédent, mais on ne l'a pas forcément défini. Est-ce que tu sais le définir rapidement, même si c'est très global ?
- Speaker #2
Je vais laisser Eric faire ça, puisqu'il est expert.
- Speaker #1
Alors, user experience. Donc, UX, en gros, c'est rarement considéré seul, on va dire, de son côté. Ça fait interagir quand même pas mal de choses, puisque derrière l'UX, il y a forcément l'interface qui va se coller avec. Mais en gros, c'est tous les mécanismes de chemin, si on peut appeler ça comme ça. Mettons que par exemple sur un site web, c'est un petit peu essayer de comprendre les mécaniques de clics. Il y a des règles qui en général sont établies. Pour trouver ce qu'on veut, il faut éviter tant de clics. Voilà, s'il y a 5 clics pour arriver à notre contenu, peu importe ce que c'est, c'est trop. Donc en termes de chemin UX, c'est trop long, il faut revoir la copie. Et donc l'expérience du utilisateur, c'est d'avoir quelque chose le plus fluide possible. À partir du moment où je cherche une info, en un minimum d'effort, en un minimum de données rentrées, je dois avoir à parvenir en fait à l'info que je cherche. Donc ça c'est un truc qui est... extrêmement important sur n'importe quel type de navigation.
- Speaker #0
C'est presque systématique ce que tu fais, enfin ce que tu... quand on vient de proposer un projet ou on fait appel à tes services, c'est systématiquement quelque chose qu'il faut faire, un audit UX de l'application que tu as ou du site internet Si le produit est déjà établi le site est déjà là,
- Speaker #1
etc. Pour moi il faut effectivement faire une review mais il faut déjà essayer de constater si on a une problématique ou pas Est-ce que la problématique c'est un problème de vente parce qu'on a établi que c'était via le site qu'on n'arrivait pas à vendre ? Mais en fait c'est ce que tu disais avec par exemple Odjar, il faut déjà confirmer qu'on a ce problème-là. Donc je n'irai pas de but en blanc dire bonjour, je vais retravailler votre UX tout de suite. Moi je ferai une audite mais vraiment élargie de tout en repartant de déjà c'est quoi votre produit, c'est quoi votre cible, vos ICP, etc. Et c'est de comprendre un petit peu déjà le parcours global du produit jusqu'au client. et après effectivement pour affiner et optimiser les choses on peut regarder au niveau de l'UX là je vois que le chemin là, c'est vrai que j'ai eu plusieurs retours clients on voit que ça colle pas donc ça c'est des choses qu'il faut implémenter mais je dirais pas de butin
- Speaker #0
Dernière startup.
- Speaker #2
Allez.
- Speaker #0
Ransomware.
- Speaker #2
Avec startup, c'est un crime.
- Speaker #1
C'est un délit.
- Speaker #0
J'ai demandé à Chad GPT de me simuler des noms par rapport aux idées que je lui donnais. En fait, bon, voilà, il n'y avait pas mieux.
- Speaker #2
Bon courage pour te faire valider sur la pire.
- Speaker #0
C'est un service qui bloquerait l'accès de son propre téléphone si on passe trop de temps dessus. Donc, ça existe un peu déjà. Mais ça oblige à faire... Une action productive, ça je ne suis pas sûr qu'il y ait des...
- Speaker #3
En fait, il y a déjà une application...
- Speaker #0
Oui, oui, mais c'était trop sur des sites...
- Speaker #3
J'ai...
- Speaker #2
Deux,
- Speaker #1
c'est un peu...
- Speaker #0
Deux, c'est un peu plus... Dans un terme. Voilà, Paris Sporty, par exemple.
- Speaker #3
T'as déjà l'application pour faire pousser un arbre. Tu définis le temps pendant lequel tu veux faire une pause de ton téléphone. Pendant ce temps-là, t'as une petite animation avec un arbre qui pousse. Et pour déverrouiller, t'as une action en plus pour déverrouiller ton téléphone, pour y avoir accès, je crois. Et comme ça, ça te permet de ne pas être déconcentré sur ton téléphone pendant un temps donné.
- Speaker #0
Ah, c'est pas un vrai arbre qui pousse parce que t'as donné de l'argent ? Non. Ok, ok. C'est l'animation. C'est l'animation. C'est virtuel, c'est l'animation.
- Speaker #1
Ça fera un peu long, quoi. Ça fait 5 ans qu'on t'a pas eu au téléphone. J'attends que mon arbre, il pousse.
- Speaker #2
Et du coup, comment tu fais pour le déverrouiller, alors ?
- Speaker #0
Je sais pas, en faisant des... Je sais pas. Ouais, peut-être en proposant un podcast à écouter, quelque chose de plus productif, on va dire, plutôt que de la pure consommation gratuite. Et là, ChatGPT m'a proposé un truc qu'on n'a pas vraiment abordé là. C'est tout l'aspect gamification. Donc, vraiment, possibilité de gagner des crédits. Tant qu'on est déconnecté, on chope des récompenses.
- Speaker #2
Moi, j'aime beaucoup les systèmes de gamification. Je sais que je suis... Je ne sais pas, ça m'amuse de gagner des badges. Je sais que, par exemple, ThemeForest, enfin, Envato, qui est un site où tu achètes beaucoup d'éléments graphiques, de thèmes WordPress, de plugins, etc. Ils ont pas mal de badges. Tu as des badges pour les vendeurs, pour les acheteurs, etc. Je trouve que ça peut être assez sympa.
- Speaker #0
Ça me donne une bonne idée pour le département support, pour la fermeture des tickets.
- Speaker #3
Mais tu sais qu'il y en a... Justement,
- Speaker #0
je crois que je vais le mettre en place. Ça va motiver un peu la prod.
- Speaker #3
Arrêtez de t'acclamer tout le temps Non non Ce que j'allais dire C'est que ça permet plus vite Les tirs Mais justement Tu sais que j'en ai plein Des badges sur Zoho Je l'en ai plein des badges sur Zoho Oui il y a des badges sur Zoho Le clôture plein Quand j'en clôture plein Vous avez débloqué le succès Ticket magicien
- Speaker #2
Voilà quelqu'un Qui ne clôture pas ses tickets Et qui ne sait pas Qu'il y a des badges sur Zoho
- Speaker #1
Mais ça ça marche très bien Ce genre d'appli Il y en a une En gros c'est Tu transformes ta vie En un genre de RPG Tu te crées, c'est une appli, tu te crées un petit avatar pixelisé 8 bits classique et en fait tu vas dire je voudrais avoir ça comme bonne habitude et je voudrais corriger ça comme mauvaise habitude. Et en fait ça te crée un petit personnage avec une barre de vie, une barre d'XP, des objets que tu peux attacher à ce personnage. Et par exemple, aujourd'hui j'ai bu 1,5 litre d'eau, c'est bien, ça me fait de l'XP, je monte en niveau, etc. Ah, je suis allé dans un fast-food peu recommandable, bon ben hop, je perds des points de vie. Si tu veux regagner tes points de vie, il faut faire soit des bonnes actions, soit acheter des petits objets, bien évidemment, en format premium. Et donc, ça permet de faire un petit peu un truc productivity versus, en gros, je me fais Isekai, je suis un personnage de RPG.
- Speaker #0
J'avais le sentiment que tu étais infantilisant, mais non, expliqué comme ça, j'ai le sentiment que c'était plus de motivation.
- Speaker #2
La gamification bien fait, au contraire, ce n'est pas infantilisant, c'est une façon de réussir. où justement, en général, tu n'aurais pas réussi de toi-même. Tu as un exemple qui ne monte pas exactement de la gamification, mais un site que moi j'adore, que je connais depuis très longtemps, ça s'appelle Stick. C'est S-T-I-2-K ou C-2-K, je ne sais plus. Et c'est un site où tu paries contre toi-même. Et c'est assez drôle. Ça a été fait à la base pour les gens qui voulaient arrêter de fumer. C'est basé sur des études d'économie comportementale. Donc tu vas sur Stick, tu ouvres ton compte et tu dis, moi je veux arrêter de fumer. Et du coup, je parie 50 euros contre moi. Et j'ai un témoin, donc quelqu'un qui est très proche de moi, qui est invité à mon compte et qui peut aller me déclarer en disant « bah non, il a fumé une clope, c'est un deal » . Et donc en fait, ce qui se passe, c'est que si le témoin me balance ou si je me balance moi-même, je perds mes 50 euros et les 50 euros partent à une cause que je déteste. Donc en fait, si tu veux, à la base, aux États-Unis, le pari classique sur Six, c'était « je veux arrêter de fumer, je parie 50 dollars, je suis démocrate, si je perds… » Ces 50 dollars-là, ils partent au fondement des Républicains. Mais c'est jugé ! Je crois qu'il y avait 80% de gens en plus qui arrivaient à tenir leur pari, parce qu'en fait, la dernière personne contre qui tu as envie de perdre, c'est toi-même. Tu ne supportes pas cette idée. Et ça, c'est de la gamification qui est trop trop bien faite.
- Speaker #0
Tant que c'est esthétique,
- Speaker #2
c'est... C'est vraiment génial comme concept. Je trouve que la gamification, dans la formation aussi des salariés, tu vois plutôt que de les faire passer des heures en salle de formation à 15 machin mets les devant un ordi, fais les jouer et tout, tu verras que là déjà ils retiennent mieux, ils font leur formation plus vite ils apprennent plus la gamification je trouve que c'est un des trucs les plus sous-utilisés aujourd'hui dans le marketing ou dans les RH bon pour la bonne et simple raison que c'est aussi une qui demande quand même beaucoup d'efforts et d'investissement à la base
- Speaker #0
Dernier, le bonus, Café Clatch. Un podcast qui met à l'honneur des invités fort de café et qui permet de savourer le digital une gorgée à la fois. Qu'est-ce que tu conseilles ?
- Speaker #2
Invendable.
- Speaker #0
C'est invendable ?
- Speaker #1
Alors moi, je ne dirais que du bien de cette vidéo.
- Speaker #0
Premier invité, déjà un paillot préservé.
- Speaker #1
Voilà, moi je suis honnête, tout simplement.
- Speaker #2
C'est une des yeux de frisson. Oh tiens,
- Speaker #0
ici, regarde.
- Speaker #1
Non mais effectivement, en off, on a pu en discuter en plus, donc c'est super cool. Mais voilà, très bonne idée. Aujourd'hui, ce qu'on disait, le podcast, c'est aussi un miroir qui reflète certains aspects de la crédibilité d'une entreprise, justement parce que c'est des gens qui produisent du conseil, de l'accompagnement, et c'est un moyen forcément de montrer justement ce dont on est capable. Et le podcast devient une sorte de produit en lui-même, interne, qui est entre guillemets vendable, soit par le nombre d'auditeurs, etc. Mais ça permet aussi de faire des collaborations. Donc je prends un truc simple, niveau 1, c'est vous faites venir des invités. Ces invités, ils ont un réseau, ce réseau, ils ont son propre réseau. Donc déjà, ça te fait des cadeaux de diffusion qui sont déjà, par essence, intéressants. Deuxièmement, ça permet aussi, à un moment donné, quand un podcast évolue, c'est de faire venir des gens qui sont dans la présentation peut-être d'une solution, qui est en lien avec ce que vous faites, des espèces d'interconnexions. Et puis après, on va dire que ça devient presque une émission à part entière, qui a ses propres mécaniques internes, qui permettent de pousser des choses auxquelles au début on n'a pas forcément pensé. Donc pour moi, il y a énormément de modèles qui peuvent intervenir, à partir du moment où ce podcast, on met vraiment suffisamment d'efforts, comme vous le faites, et ça peut devenir en fait un morceau entier de la planète. Oui, presque en identité. Ça devient ça, quoi. Donc là, tu as tous les marqueurs de crédibilité, d'autorité. et compagnie qui joue, et ça permet de débloquer énormément de choses par la suite.
- Speaker #0
Merci d'avoir beaucoup joué le jeu, en tout cas. J'espère que ça t'a plu. Comment on peut te contacter s'il y a des clients qui sont intéressés par tes services ?
- Speaker #1
Oui, alors il y a deux solutions. Soit ça va être sur ma page LinkedIn, donc avec mon nom simple, Eric Geoffroy, soit via, j'ai un bento, il suffit de, donc un bento, le bento.me, qui est en fait ce que je trouve une espèce d'évolution du Linktree actuel. où il y a tous mes liens.
- Speaker #0
On les mettra en description.
- Speaker #1
C'est via le nom Huddle que j'avais choisi pour cette espèce de micro-agence que je représente tout seul. Je serai disponible là.
- Speaker #0
Merci beaucoup. Café Clatch aussi, on a une page LinkedIn. Abonnez-vous, on est déjà à plus de 250.
- Speaker #2
On va sur les 300.
- Speaker #0
Merci et à bientôt.
- Speaker #1
Merci Eric.
- Speaker #2
Merci.