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Je sers à rien (et c'est génial)

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04min |30/03/2025
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Description

Et si le véritable succès en entrepreneuriat était d’être… remplaçable ? 🤯


Dans cet épisode, je vous partage une réflexion puissante que j’ai eue en mastermind : "Je ne sers à rien dans mon activité… et c’est une excellente nouvelle !" 🚀


On va voir ensemble :
✅ Pourquoi créer une entreprise qui ne repose pas uniquement sur vous est une force.
✅ Comment passer d’indispensable à remplaçable sans perdre en impact.
✅ Les étapes pour structurer un business qui continue de croître même quand vous n’êtes pas là.
✅ Les croyances qui vous empêchent de déléguer et de scaler.


Que vous soyez solopreneur ou à la tête d’une équipe, cette approche peut vous libérer du temps, maximiser votre impact et transformer votre business en véritable machine de croissance.


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Suivez-moi sur Instagram pour plus de conseils et d’inspiration : @mathis.puppo



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Je ne sers à rien dans mon activité et je trouve que c'est une super nouvelle. Et ça, c'est une réflexion que j'ai eue parce que j'étais dans un genre de mastermind, c'est-à-dire c'est un groupe d'entrepreneurs et on se réunit tous les trois mois avec des entrepreneurs plus ou moins avancés. Et en fait, on devait annoncer nos déclics, c'est quoi qui avait changé le plus notre vie et notre activité ces trois derniers mois parce qu'on se réunit tous les trois mois. Et ce que j'ai dit, c'est qu'un des déclics que j'avais eus, c'est que je ne servais pas à grand-chose dans mon activité, en tout cas que j'étais remplaçable et que personne n'était irremplaçable. Parce que... Je vois plein d'entrepreneurs qui se disent « Ok, mais ça, il n'y a que moi qui le fais. Personne ne peut me remplacer sur ça, etc. » Et c'est bien si vous aimez faire ce truc-là et que vous voyez faire ça toute votre vie. Mais la problématique, c'est que moi, j'ai une activité dans laquelle j'ai envie d'aller chercher des très gros trucs. J'ai une super ambition par rapport à cette activité. Et je ne peux pas me permettre de rester figé comme je le suis aujourd'hui parce que sinon, ça veut dire que rien ne pourrait évoluer. Ça pourrait être très bien, je pourrais être très confortable financièrement, mais pour moi, ça ne me convient pas et j'ai toujours envie d'avancer et d'évoluer. Et du coup, j'ai forcément besoin de passer au niveau supérieur et de réfléchir non pas comme quelqu'un qui a une boîte qui fait 1 million à l'année, mais comme quelqu'un qui a une boîte qui fait 10, 15, 20 millions à l'année. Et du coup, d'aller chercher ce truc-là en plus, de changer d'identité pour aller changer mes résultats. Et un des trucs que j'ai pris conscience, c'est qu'au final, dans mon activité, personne n'est irremplaçable, mais surtout moi. En fait, je pourrais me remplacer sur tous les postes et sur tous les sujets. Et c'est une belle prise de conscience. Et pour certains, ça peut leur faire peur parce qu'ils se disent « Ok, mais ça veut dire que je n'ai rien qui me rend unique. » Et il y en a qui vont pouvoir se dire « Ouais, mais ça, ce n'est pas valable dans mon activité, etc. » Mais moi, je crois que c'est faux. Je pense qu'on peut se remplacer même si on fait de l'art. C'est-à-dire qu'on pourrait, entre guillemets, se remplacer. Alors, est-ce que c'est le cœur de l'activité ? Non, si vous faites de l'art, je pense que c'est bien quand même que vous restiez dessus. Mais théoriquement... Vous pourriez apprendre votre méthodologie, vous pourriez passer 10 ans à apprendre ça à un apprenti, et du coup déléguer pour faire en sorte que votre art se perpétue même une fois que vous n'êtes plus là. Et c'est un truc auquel je me suis rendu compte, et qui aussi enlève une énorme charge, parce que ça veut dire que même le jour où je suis plus là, moins là, mon activité continue à tourner, elle continue à tourner sans moi, et du coup la mission, tout ce que j'essaye de construire, le jour où je suis plus là ça veut pas forcément dire le jour où je suis mort, c'est le jour où je suis en vacances ou peu importe, mais du coup tout ce que j'ai... continuer à construire, tout ce que j'ai construit, ça continue à tourner, ça continue à avancer. Et ça, c'est super parce qu'au début, moi, je ne pensais pas. Je pensais que quand on était entrepreneur, on devait travailler très dur. Et c'est un peu l'image qu'on nous inculque, notamment des entrepreneurs qui réussissent beaucoup. Et je suis quand même dans cette optique, c'est-à-dire que mes journées, je les passe à travailler. J'arrive au bureau à 9h, je pars à 20h et après, je suis chez moi, je travaille un peu et je dors. Et en fait, je ne fais rien d'autre que travailler ou en tout cas, je fais peu de choses, mis à part travailler et c'est quelque chose qui me convient totalement. La seule chose, c'est de me dire... Est-ce que ça continue à croître ? Est-ce que ça continue à évoluer même si je suis moins là ? Pas dans une optique à ce que je sois moins là dans mon activité, en tout cas, ce n'est pas ma vision aujourd'hui, mais dans une optique à ce que même si je me concentre sur d'autres projets, d'autres tâches, d'autres choses qui, selon moi, ont plus de valeur pour faire avancer l'activité, que ce que j'ai construit actuellement, ça ne s'effondre pas, mais que ça continue à croître et que ça continue à évoluer. Et ça, je trouve ça génial. Et on a eu le bilan comptable et le comptable, il nous a dit, ce qui est génial avec votre activité, c'est qu'aujourd'hui, il y a... très peu d'entrepreneurs qui arrivent à faire ça, c'est de créer une activité dans laquelle ils ne sont pas forcément, dans laquelle ils peuvent s'extirper, dans laquelle l'activité continue à tourner et dans laquelle l'activité ne dépend plus uniquement des fondateurs. Et je pense que c'est une vision que vous pouvez avoir pour ceux qui ont envie de structurer une activité un petit peu plus grande, peut-être de ne pas rester indépendant, c'est de faire en sorte que l'activité et ce que vous créez ne dépendent plus de vous. Et je sais que pour certains... Peut-être qu'ils sont au début de leur activité, ça pourrait être un fantasme. Et ça pourrait être un truc en se disant, « Ouais, non, mais ça, ça n'arrivera jamais. » Ou « C'est trop compliqué. » Ou « Les clients, ils viennent pour moi aujourd'hui. » Mais en fait, tous ces trucs-là, c'est des croyances que vous avez dans votre tête. Et ça dépend aussi de quelle est votre vision, quelle est la mission que vous avez envie de construire et ce à quoi vous avez envie de contribuer. Mais je pense que s'extirper de ces choses-là, en fait, faire en sorte que l'activité ne dépende plus uniquement de nous. Si vous avez envie de construire quelque chose de grand, ce qui est génial, c'est que ça... continue à avancer, peu importe que vous soyez là ou pas, et ça, c'est quand même quelque chose de super. Après, si votre but, c'est juste d'avoir une activité et d'être plus libre, vous pouvez très bien être seul dans la boîte, mais je pense que ça a été un gros déclic et se dire, OK, je ne suis pas indispensable. Quand on commence à avancer, c'est super parce que du coup, ça nous enlève une charge, mais à la fois, ça nous donne une énergie et quelque chose pour avancer, et ça, c'est juste génial. Donc, j'espère que ça a pu vous ouvrir peut-être l'esprit sur certaines choses et que ça peut vous aider à avancer. En tout cas, moi, je vous souhaite une très belle journée et je vous dis à très très vite. Ciao !

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On va voir ensemble :
✅ Pourquoi créer une entreprise qui ne repose pas uniquement sur vous est une force.
✅ Comment passer d’indispensable à remplaçable sans perdre en impact.
✅ Les étapes pour structurer un business qui continue de croître même quand vous n’êtes pas là.
✅ Les croyances qui vous empêchent de déléguer et de scaler.


Que vous soyez solopreneur ou à la tête d’une équipe, cette approche peut vous libérer du temps, maximiser votre impact et transformer votre business en véritable machine de croissance.


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  • Speaker #0

    Je ne sers à rien dans mon activité et je trouve que c'est une super nouvelle. Et ça, c'est une réflexion que j'ai eue parce que j'étais dans un genre de mastermind, c'est-à-dire c'est un groupe d'entrepreneurs et on se réunit tous les trois mois avec des entrepreneurs plus ou moins avancés. Et en fait, on devait annoncer nos déclics, c'est quoi qui avait changé le plus notre vie et notre activité ces trois derniers mois parce qu'on se réunit tous les trois mois. Et ce que j'ai dit, c'est qu'un des déclics que j'avais eus, c'est que je ne servais pas à grand-chose dans mon activité, en tout cas que j'étais remplaçable et que personne n'était irremplaçable. Parce que... Je vois plein d'entrepreneurs qui se disent « Ok, mais ça, il n'y a que moi qui le fais. Personne ne peut me remplacer sur ça, etc. » Et c'est bien si vous aimez faire ce truc-là et que vous voyez faire ça toute votre vie. Mais la problématique, c'est que moi, j'ai une activité dans laquelle j'ai envie d'aller chercher des très gros trucs. J'ai une super ambition par rapport à cette activité. Et je ne peux pas me permettre de rester figé comme je le suis aujourd'hui parce que sinon, ça veut dire que rien ne pourrait évoluer. Ça pourrait être très bien, je pourrais être très confortable financièrement, mais pour moi, ça ne me convient pas et j'ai toujours envie d'avancer et d'évoluer. Et du coup, j'ai forcément besoin de passer au niveau supérieur et de réfléchir non pas comme quelqu'un qui a une boîte qui fait 1 million à l'année, mais comme quelqu'un qui a une boîte qui fait 10, 15, 20 millions à l'année. Et du coup, d'aller chercher ce truc-là en plus, de changer d'identité pour aller changer mes résultats. Et un des trucs que j'ai pris conscience, c'est qu'au final, dans mon activité, personne n'est irremplaçable, mais surtout moi. En fait, je pourrais me remplacer sur tous les postes et sur tous les sujets. Et c'est une belle prise de conscience. Et pour certains, ça peut leur faire peur parce qu'ils se disent « Ok, mais ça veut dire que je n'ai rien qui me rend unique. » Et il y en a qui vont pouvoir se dire « Ouais, mais ça, ce n'est pas valable dans mon activité, etc. » Mais moi, je crois que c'est faux. Je pense qu'on peut se remplacer même si on fait de l'art. C'est-à-dire qu'on pourrait, entre guillemets, se remplacer. Alors, est-ce que c'est le cœur de l'activité ? Non, si vous faites de l'art, je pense que c'est bien quand même que vous restiez dessus. Mais théoriquement... Vous pourriez apprendre votre méthodologie, vous pourriez passer 10 ans à apprendre ça à un apprenti, et du coup déléguer pour faire en sorte que votre art se perpétue même une fois que vous n'êtes plus là. Et c'est un truc auquel je me suis rendu compte, et qui aussi enlève une énorme charge, parce que ça veut dire que même le jour où je suis plus là, moins là, mon activité continue à tourner, elle continue à tourner sans moi, et du coup la mission, tout ce que j'essaye de construire, le jour où je suis plus là ça veut pas forcément dire le jour où je suis mort, c'est le jour où je suis en vacances ou peu importe, mais du coup tout ce que j'ai... continuer à construire, tout ce que j'ai construit, ça continue à tourner, ça continue à avancer. Et ça, c'est super parce qu'au début, moi, je ne pensais pas. Je pensais que quand on était entrepreneur, on devait travailler très dur. Et c'est un peu l'image qu'on nous inculque, notamment des entrepreneurs qui réussissent beaucoup. Et je suis quand même dans cette optique, c'est-à-dire que mes journées, je les passe à travailler. J'arrive au bureau à 9h, je pars à 20h et après, je suis chez moi, je travaille un peu et je dors. Et en fait, je ne fais rien d'autre que travailler ou en tout cas, je fais peu de choses, mis à part travailler et c'est quelque chose qui me convient totalement. La seule chose, c'est de me dire... Est-ce que ça continue à croître ? Est-ce que ça continue à évoluer même si je suis moins là ? Pas dans une optique à ce que je sois moins là dans mon activité, en tout cas, ce n'est pas ma vision aujourd'hui, mais dans une optique à ce que même si je me concentre sur d'autres projets, d'autres tâches, d'autres choses qui, selon moi, ont plus de valeur pour faire avancer l'activité, que ce que j'ai construit actuellement, ça ne s'effondre pas, mais que ça continue à croître et que ça continue à évoluer. Et ça, je trouve ça génial. Et on a eu le bilan comptable et le comptable, il nous a dit, ce qui est génial avec votre activité, c'est qu'aujourd'hui, il y a... très peu d'entrepreneurs qui arrivent à faire ça, c'est de créer une activité dans laquelle ils ne sont pas forcément, dans laquelle ils peuvent s'extirper, dans laquelle l'activité continue à tourner et dans laquelle l'activité ne dépend plus uniquement des fondateurs. Et je pense que c'est une vision que vous pouvez avoir pour ceux qui ont envie de structurer une activité un petit peu plus grande, peut-être de ne pas rester indépendant, c'est de faire en sorte que l'activité et ce que vous créez ne dépendent plus de vous. Et je sais que pour certains... Peut-être qu'ils sont au début de leur activité, ça pourrait être un fantasme. Et ça pourrait être un truc en se disant, « Ouais, non, mais ça, ça n'arrivera jamais. » Ou « C'est trop compliqué. » Ou « Les clients, ils viennent pour moi aujourd'hui. » Mais en fait, tous ces trucs-là, c'est des croyances que vous avez dans votre tête. Et ça dépend aussi de quelle est votre vision, quelle est la mission que vous avez envie de construire et ce à quoi vous avez envie de contribuer. Mais je pense que s'extirper de ces choses-là, en fait, faire en sorte que l'activité ne dépende plus uniquement de nous. Si vous avez envie de construire quelque chose de grand, ce qui est génial, c'est que ça... continue à avancer, peu importe que vous soyez là ou pas, et ça, c'est quand même quelque chose de super. Après, si votre but, c'est juste d'avoir une activité et d'être plus libre, vous pouvez très bien être seul dans la boîte, mais je pense que ça a été un gros déclic et se dire, OK, je ne suis pas indispensable. Quand on commence à avancer, c'est super parce que du coup, ça nous enlève une charge, mais à la fois, ça nous donne une énergie et quelque chose pour avancer, et ça, c'est juste génial. Donc, j'espère que ça a pu vous ouvrir peut-être l'esprit sur certaines choses et que ça peut vous aider à avancer. En tout cas, moi, je vous souhaite une très belle journée et je vous dis à très très vite. Ciao !

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✅ Pourquoi créer une entreprise qui ne repose pas uniquement sur vous est une force.
✅ Comment passer d’indispensable à remplaçable sans perdre en impact.
✅ Les étapes pour structurer un business qui continue de croître même quand vous n’êtes pas là.
✅ Les croyances qui vous empêchent de déléguer et de scaler.


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    Je ne sers à rien dans mon activité et je trouve que c'est une super nouvelle. Et ça, c'est une réflexion que j'ai eue parce que j'étais dans un genre de mastermind, c'est-à-dire c'est un groupe d'entrepreneurs et on se réunit tous les trois mois avec des entrepreneurs plus ou moins avancés. Et en fait, on devait annoncer nos déclics, c'est quoi qui avait changé le plus notre vie et notre activité ces trois derniers mois parce qu'on se réunit tous les trois mois. Et ce que j'ai dit, c'est qu'un des déclics que j'avais eus, c'est que je ne servais pas à grand-chose dans mon activité, en tout cas que j'étais remplaçable et que personne n'était irremplaçable. Parce que... Je vois plein d'entrepreneurs qui se disent « Ok, mais ça, il n'y a que moi qui le fais. Personne ne peut me remplacer sur ça, etc. » Et c'est bien si vous aimez faire ce truc-là et que vous voyez faire ça toute votre vie. Mais la problématique, c'est que moi, j'ai une activité dans laquelle j'ai envie d'aller chercher des très gros trucs. J'ai une super ambition par rapport à cette activité. Et je ne peux pas me permettre de rester figé comme je le suis aujourd'hui parce que sinon, ça veut dire que rien ne pourrait évoluer. Ça pourrait être très bien, je pourrais être très confortable financièrement, mais pour moi, ça ne me convient pas et j'ai toujours envie d'avancer et d'évoluer. Et du coup, j'ai forcément besoin de passer au niveau supérieur et de réfléchir non pas comme quelqu'un qui a une boîte qui fait 1 million à l'année, mais comme quelqu'un qui a une boîte qui fait 10, 15, 20 millions à l'année. Et du coup, d'aller chercher ce truc-là en plus, de changer d'identité pour aller changer mes résultats. Et un des trucs que j'ai pris conscience, c'est qu'au final, dans mon activité, personne n'est irremplaçable, mais surtout moi. En fait, je pourrais me remplacer sur tous les postes et sur tous les sujets. Et c'est une belle prise de conscience. Et pour certains, ça peut leur faire peur parce qu'ils se disent « Ok, mais ça veut dire que je n'ai rien qui me rend unique. » Et il y en a qui vont pouvoir se dire « Ouais, mais ça, ce n'est pas valable dans mon activité, etc. » Mais moi, je crois que c'est faux. Je pense qu'on peut se remplacer même si on fait de l'art. C'est-à-dire qu'on pourrait, entre guillemets, se remplacer. Alors, est-ce que c'est le cœur de l'activité ? Non, si vous faites de l'art, je pense que c'est bien quand même que vous restiez dessus. Mais théoriquement... Vous pourriez apprendre votre méthodologie, vous pourriez passer 10 ans à apprendre ça à un apprenti, et du coup déléguer pour faire en sorte que votre art se perpétue même une fois que vous n'êtes plus là. Et c'est un truc auquel je me suis rendu compte, et qui aussi enlève une énorme charge, parce que ça veut dire que même le jour où je suis plus là, moins là, mon activité continue à tourner, elle continue à tourner sans moi, et du coup la mission, tout ce que j'essaye de construire, le jour où je suis plus là ça veut pas forcément dire le jour où je suis mort, c'est le jour où je suis en vacances ou peu importe, mais du coup tout ce que j'ai... continuer à construire, tout ce que j'ai construit, ça continue à tourner, ça continue à avancer. Et ça, c'est super parce qu'au début, moi, je ne pensais pas. Je pensais que quand on était entrepreneur, on devait travailler très dur. Et c'est un peu l'image qu'on nous inculque, notamment des entrepreneurs qui réussissent beaucoup. Et je suis quand même dans cette optique, c'est-à-dire que mes journées, je les passe à travailler. J'arrive au bureau à 9h, je pars à 20h et après, je suis chez moi, je travaille un peu et je dors. Et en fait, je ne fais rien d'autre que travailler ou en tout cas, je fais peu de choses, mis à part travailler et c'est quelque chose qui me convient totalement. La seule chose, c'est de me dire... Est-ce que ça continue à croître ? Est-ce que ça continue à évoluer même si je suis moins là ? Pas dans une optique à ce que je sois moins là dans mon activité, en tout cas, ce n'est pas ma vision aujourd'hui, mais dans une optique à ce que même si je me concentre sur d'autres projets, d'autres tâches, d'autres choses qui, selon moi, ont plus de valeur pour faire avancer l'activité, que ce que j'ai construit actuellement, ça ne s'effondre pas, mais que ça continue à croître et que ça continue à évoluer. Et ça, je trouve ça génial. Et on a eu le bilan comptable et le comptable, il nous a dit, ce qui est génial avec votre activité, c'est qu'aujourd'hui, il y a... très peu d'entrepreneurs qui arrivent à faire ça, c'est de créer une activité dans laquelle ils ne sont pas forcément, dans laquelle ils peuvent s'extirper, dans laquelle l'activité continue à tourner et dans laquelle l'activité ne dépend plus uniquement des fondateurs. Et je pense que c'est une vision que vous pouvez avoir pour ceux qui ont envie de structurer une activité un petit peu plus grande, peut-être de ne pas rester indépendant, c'est de faire en sorte que l'activité et ce que vous créez ne dépendent plus de vous. Et je sais que pour certains... Peut-être qu'ils sont au début de leur activité, ça pourrait être un fantasme. Et ça pourrait être un truc en se disant, « Ouais, non, mais ça, ça n'arrivera jamais. » Ou « C'est trop compliqué. » Ou « Les clients, ils viennent pour moi aujourd'hui. » Mais en fait, tous ces trucs-là, c'est des croyances que vous avez dans votre tête. Et ça dépend aussi de quelle est votre vision, quelle est la mission que vous avez envie de construire et ce à quoi vous avez envie de contribuer. Mais je pense que s'extirper de ces choses-là, en fait, faire en sorte que l'activité ne dépende plus uniquement de nous. Si vous avez envie de construire quelque chose de grand, ce qui est génial, c'est que ça... continue à avancer, peu importe que vous soyez là ou pas, et ça, c'est quand même quelque chose de super. Après, si votre but, c'est juste d'avoir une activité et d'être plus libre, vous pouvez très bien être seul dans la boîte, mais je pense que ça a été un gros déclic et se dire, OK, je ne suis pas indispensable. Quand on commence à avancer, c'est super parce que du coup, ça nous enlève une charge, mais à la fois, ça nous donne une énergie et quelque chose pour avancer, et ça, c'est juste génial. Donc, j'espère que ça a pu vous ouvrir peut-être l'esprit sur certaines choses et que ça peut vous aider à avancer. En tout cas, moi, je vous souhaite une très belle journée et je vous dis à très très vite. Ciao !

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Et si le véritable succès en entrepreneuriat était d’être… remplaçable ? 🤯


Dans cet épisode, je vous partage une réflexion puissante que j’ai eue en mastermind : "Je ne sers à rien dans mon activité… et c’est une excellente nouvelle !" 🚀


On va voir ensemble :
✅ Pourquoi créer une entreprise qui ne repose pas uniquement sur vous est une force.
✅ Comment passer d’indispensable à remplaçable sans perdre en impact.
✅ Les étapes pour structurer un business qui continue de croître même quand vous n’êtes pas là.
✅ Les croyances qui vous empêchent de déléguer et de scaler.


Que vous soyez solopreneur ou à la tête d’une équipe, cette approche peut vous libérer du temps, maximiser votre impact et transformer votre business en véritable machine de croissance.


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Transcription

  • Speaker #0

    Je ne sers à rien dans mon activité et je trouve que c'est une super nouvelle. Et ça, c'est une réflexion que j'ai eue parce que j'étais dans un genre de mastermind, c'est-à-dire c'est un groupe d'entrepreneurs et on se réunit tous les trois mois avec des entrepreneurs plus ou moins avancés. Et en fait, on devait annoncer nos déclics, c'est quoi qui avait changé le plus notre vie et notre activité ces trois derniers mois parce qu'on se réunit tous les trois mois. Et ce que j'ai dit, c'est qu'un des déclics que j'avais eus, c'est que je ne servais pas à grand-chose dans mon activité, en tout cas que j'étais remplaçable et que personne n'était irremplaçable. Parce que... Je vois plein d'entrepreneurs qui se disent « Ok, mais ça, il n'y a que moi qui le fais. Personne ne peut me remplacer sur ça, etc. » Et c'est bien si vous aimez faire ce truc-là et que vous voyez faire ça toute votre vie. Mais la problématique, c'est que moi, j'ai une activité dans laquelle j'ai envie d'aller chercher des très gros trucs. J'ai une super ambition par rapport à cette activité. Et je ne peux pas me permettre de rester figé comme je le suis aujourd'hui parce que sinon, ça veut dire que rien ne pourrait évoluer. Ça pourrait être très bien, je pourrais être très confortable financièrement, mais pour moi, ça ne me convient pas et j'ai toujours envie d'avancer et d'évoluer. Et du coup, j'ai forcément besoin de passer au niveau supérieur et de réfléchir non pas comme quelqu'un qui a une boîte qui fait 1 million à l'année, mais comme quelqu'un qui a une boîte qui fait 10, 15, 20 millions à l'année. Et du coup, d'aller chercher ce truc-là en plus, de changer d'identité pour aller changer mes résultats. Et un des trucs que j'ai pris conscience, c'est qu'au final, dans mon activité, personne n'est irremplaçable, mais surtout moi. En fait, je pourrais me remplacer sur tous les postes et sur tous les sujets. Et c'est une belle prise de conscience. Et pour certains, ça peut leur faire peur parce qu'ils se disent « Ok, mais ça veut dire que je n'ai rien qui me rend unique. » Et il y en a qui vont pouvoir se dire « Ouais, mais ça, ce n'est pas valable dans mon activité, etc. » Mais moi, je crois que c'est faux. Je pense qu'on peut se remplacer même si on fait de l'art. C'est-à-dire qu'on pourrait, entre guillemets, se remplacer. Alors, est-ce que c'est le cœur de l'activité ? Non, si vous faites de l'art, je pense que c'est bien quand même que vous restiez dessus. Mais théoriquement... Vous pourriez apprendre votre méthodologie, vous pourriez passer 10 ans à apprendre ça à un apprenti, et du coup déléguer pour faire en sorte que votre art se perpétue même une fois que vous n'êtes plus là. Et c'est un truc auquel je me suis rendu compte, et qui aussi enlève une énorme charge, parce que ça veut dire que même le jour où je suis plus là, moins là, mon activité continue à tourner, elle continue à tourner sans moi, et du coup la mission, tout ce que j'essaye de construire, le jour où je suis plus là ça veut pas forcément dire le jour où je suis mort, c'est le jour où je suis en vacances ou peu importe, mais du coup tout ce que j'ai... continuer à construire, tout ce que j'ai construit, ça continue à tourner, ça continue à avancer. Et ça, c'est super parce qu'au début, moi, je ne pensais pas. Je pensais que quand on était entrepreneur, on devait travailler très dur. Et c'est un peu l'image qu'on nous inculque, notamment des entrepreneurs qui réussissent beaucoup. Et je suis quand même dans cette optique, c'est-à-dire que mes journées, je les passe à travailler. J'arrive au bureau à 9h, je pars à 20h et après, je suis chez moi, je travaille un peu et je dors. Et en fait, je ne fais rien d'autre que travailler ou en tout cas, je fais peu de choses, mis à part travailler et c'est quelque chose qui me convient totalement. La seule chose, c'est de me dire... Est-ce que ça continue à croître ? Est-ce que ça continue à évoluer même si je suis moins là ? Pas dans une optique à ce que je sois moins là dans mon activité, en tout cas, ce n'est pas ma vision aujourd'hui, mais dans une optique à ce que même si je me concentre sur d'autres projets, d'autres tâches, d'autres choses qui, selon moi, ont plus de valeur pour faire avancer l'activité, que ce que j'ai construit actuellement, ça ne s'effondre pas, mais que ça continue à croître et que ça continue à évoluer. Et ça, je trouve ça génial. Et on a eu le bilan comptable et le comptable, il nous a dit, ce qui est génial avec votre activité, c'est qu'aujourd'hui, il y a... très peu d'entrepreneurs qui arrivent à faire ça, c'est de créer une activité dans laquelle ils ne sont pas forcément, dans laquelle ils peuvent s'extirper, dans laquelle l'activité continue à tourner et dans laquelle l'activité ne dépend plus uniquement des fondateurs. Et je pense que c'est une vision que vous pouvez avoir pour ceux qui ont envie de structurer une activité un petit peu plus grande, peut-être de ne pas rester indépendant, c'est de faire en sorte que l'activité et ce que vous créez ne dépendent plus de vous. Et je sais que pour certains... Peut-être qu'ils sont au début de leur activité, ça pourrait être un fantasme. Et ça pourrait être un truc en se disant, « Ouais, non, mais ça, ça n'arrivera jamais. » Ou « C'est trop compliqué. » Ou « Les clients, ils viennent pour moi aujourd'hui. » Mais en fait, tous ces trucs-là, c'est des croyances que vous avez dans votre tête. Et ça dépend aussi de quelle est votre vision, quelle est la mission que vous avez envie de construire et ce à quoi vous avez envie de contribuer. Mais je pense que s'extirper de ces choses-là, en fait, faire en sorte que l'activité ne dépende plus uniquement de nous. Si vous avez envie de construire quelque chose de grand, ce qui est génial, c'est que ça... continue à avancer, peu importe que vous soyez là ou pas, et ça, c'est quand même quelque chose de super. Après, si votre but, c'est juste d'avoir une activité et d'être plus libre, vous pouvez très bien être seul dans la boîte, mais je pense que ça a été un gros déclic et se dire, OK, je ne suis pas indispensable. Quand on commence à avancer, c'est super parce que du coup, ça nous enlève une charge, mais à la fois, ça nous donne une énergie et quelque chose pour avancer, et ça, c'est juste génial. Donc, j'espère que ça a pu vous ouvrir peut-être l'esprit sur certaines choses et que ça peut vous aider à avancer. En tout cas, moi, je vous souhaite une très belle journée et je vous dis à très très vite. Ciao !

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