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Clem et Sereine

Ma cuisine zéro déchet (2/4) : Cuisiner sans jeter (et sans s’intoxiquer)

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31min |21/10/2025
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Description

Dans ce 2ème épisode de la série « Ma cuisine zéro déchet », je te raconte comment j'ai remplacé le jetable par des alternatives durables — verre, inox, tissu, silicone — et comment je réduis mes déchets sans me compliquer le quotidien.



Mentionnés dans l'épisode :

• L'épisode : Un mariage minimaliste & intime — les détails d'un magnifique week-end

• L'épisode : Un mariage minimaliste & intime — nos choix hors des sentiers battus

Panier Pique-Nique Nature & Découvertes

• L'épisode : S'engager, réduire ses déchets, protéger la planète — avec Morgane de @lehavrezerodechet

• L'épisode : PODCASTHON | Le mouvement « Zéro Déchet France » : des gestes simples pour un impact durable 🌱

• L'épisode : Désencombrer par où commencer ? + différentes méthodes de désencombrement

• L'épisode : « Qu'est ce qu'on mange ce soir ? » : Astuces pour organiser ses repas

• Qu'est ce que le freeganisme ?


Tous les produits mentionnés dans cet épisode ont été achetés par mes soins. Il ne s’agit d’aucun partenariat ni contenu sponsorisé — simplement de mes choix personnels, testés et approuvés au fil du temps.


🦋💜


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🎵 Musique d’Intro & Outro :
©️ Clem & Sereine - créée par Hallo Von Studio 


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    J'espère que vous allez bien, j'espère que je vous retrouve en forme depuis la semaine dernière. Je ne sais pas si vous avez eu le temps, peut-être que vous êtes au taquet et que vous avez eu le temps d'écouter l'épisode de la semaine dernière, le tout premier épisode de cette série de réduction des déchets dans la cuisine. Peut-être que vous êtes déjà au taquet et que vous avez déjà pris la décision de mettre des astuces en place pour réduire vos déchets, en tout cas en ce qui concerne Tout ce qui est acheté et conservé sans plastique. Parce que c'est ce qu'on a vu la semaine dernière. Pour ceux qui ne le savent pas et qui arrivent sur ce nouvel épisode. Même si honnêtement j'ai mis 2 sur 4 dans le titre. Donc normalement je pense qu'on commence dans l'ordre. Mais on sait jamais. Parce que chacun fait bien comme il veut. Et cette semaine, donc on reste toujours dans la cuisine. Mais cette fois on va voir comment cuisiner sans jeter. Je vais vous partager ce que j'ai mis en place pour limiter les déchets pendant la préparation des repas. Donc encore une fois, remplacer le jeu de table par des alternatives réutilisables, cuisiner maison autant que possible, adopter des gestes simples qui permettent de réduire le gaspillage au quotidien. Et encore une fois, tout ça, ça se veut sans contraintes, avec le moins de contraintes possibles. juste des astuces concrètes que j'utilise moi personnellement, parce qu'évidemment, comme d'habitude, je pars de ma propre expérience personnelle, pour aussi vous montrer que rien n'est parfait, que chacun a son chemin, et que peut-être que vous faites des choses que moi je ne fais pas, et vice-versa. Mais en tout cas, j'espère que tout ça, ça pourra vous inspirer. Donc on y va, sans plus attendre. Déjà, de manière totalement générale du truc, Je fais un maximum la chasse au plastique. Donc je la faisais. La semaine dernière, je vous racontais que je la faisais par rapport à tout ce qui était dans les magasins, dans les supermarchés et compagnie. Mais alors j'essaye aussi de la faire un maximum dans tous les accessoires de cuisine. Tout ce qui me sert à cuisiner ou à manger, etc. Je privilégie un maximum le verre, l'inox, le bois. En tout cas, toutes les matières plus nobles. Je crois qu'il y a aussi la fonte, la céramique, enfin voilà. Le plastique, ça dégage. Ça fait longtemps, même en plus, avec le côté minimalisme que j'ai, la quantité... Euh, la quantité, ça y est, je commence à fatiguer. La qualité au lieu de la quantité et tout ça, blablabla. Bien évidemment que j'aime m'entourer de belles choses, de belles matières. Et donc du coup, le plastique, c'est bye bye. Bien évidemment qu'il y a quand même des choses qui sont en plastique dans notre cuisine. Mais c'est, allez, 10%, on va dire. On va essayer de mettre un petit pourcentage. 10% de ce que notre cuisine, enfin de ce qui compose notre cuisine, et les 90% restants, c'est les belles matières que je viens de vous citer. Le plastique, en tout cas, quasiment 99% du temps, il n'est pas en contact direct avec les aliments. Est-ce que j'ai des exemples comme ça ? La semaine dernière, je vous parlais des couvercles en plastique qui commençaient à se péter, là, de mes boîtes de conservation. Je ne mets jamais à ras bord, donc les aliments touchent. le verre, mais ne touche pas le plastique du couvercle. Après, le plastique, il peut être présent, par exemple, sur certains de mes produits, certains de mes petits électroménagers ou des choses comme ça. Mais par contre, il ne touche pas les aliments. Quand ça touche les aliments, généralement, c'est de l'inox, c'est du verre. Je ne crois pas, franchement, le seul plastique qui touche mes aliments. C'est mes moules à muffins en silicone, il me semble, de mémoire. C'est la Maryse, Marquise. La Maryse, vous savez, là, ce qu'il faut racler dans les saladiers quand on fait de la pâtisserie, ce qui racle bien, là, qui est en silicone aussi. Qu'est-ce que j'ai d'autre encore en plastique qui touche ? Je crois que c'est tout, parce qu'après, vraiment... Peut-être mon presse-agrume de chez Moulinex, là, le presse-agrume électrique. Du coup, l'orange est en contact avec du plastique. Mais sinon, non. Sinon, c'est vraiment... Si j'ai un électroménager qui est composé de plastique, ben voilà. Mais voilà. Franchement, majoritairement, c'est inox, verre et bois chez nous. Je fais hyper attention à ça. Et puis, de toute façon, le plastique, non, c'est stop. Déjà, c'est moche. C'est pas bon pour la santé. Enfin, voilà. En tout cas, nous, pour notre part, ça dégage un maximum. Ça, c'est clair. La vaisselle jetable, c'est pareil, ça fait tellement longtemps qu'on n'a plus ça à la maison. Franchement, dans notre démarche, c'est vite dégagé. Je ne dis pas qu'on n'en a plus jamais, parce qu'encore une fois, on est tous humains, et parfois, franchement, alors quand je vous dis parfois, chez nous, c'est peut-être une à deux fois par an, et encore, c'est vraiment un parfois très rare, mais en tout cas, c'est vrai que ça existe. Assiette en carton, verre en carton, mais vraiment... ultra rare quand vraiment on a la méga grosse flemme mais c'est tellement rare parce que récemment dans les événements récents de ma vie on va dire où il ya vraiment eu beaucoup de personnes qui pourraient nécessiter d'avoir de la vaisselle jetable et tout ça on a eu notre mariage on s'est marié en petit com en petit comité d'ailleurs j'ai tout un épisode de podcast ou même deux ou trois épisodes de podcast sur le sujet du mariage ça vous intéresse vous remettrait tout ça en description de l'épisode encore une fois comme d'habitude tout ce qui tout ce que je mentionne est en description de l'épisode. Mais on a eu un petit peu moins de 20 personnes à la maison parce que notre repas de mariage, on l'a fait à la maison. Et on a utilisé de la vaisselle normale. On n'a pas utilisé de la vaisselle jetable. On avait un très beau buffet. Et c'était parfait. Et d'ailleurs, n'hésitez pas quand vous êtes plusieurs chez vous, que vous n'avez pas forcément un million de vaisselle comme nous parce que vous êtes minimaliste et que vous n'avez pas un million d'assiettes ou vous avez la flemme ou peu importe, à faire des buffets, des choses où les gens se serrent un peu du... de l'apéro-dinatoire et tout ça. Nous, c'est ce qu'on fait et ça marche très bien. Mais en tout cas, plus de vaisselle jetable. Et notamment, par exemple, on pourrait dire les pique-niques en extérieur ou des choses comme ça. Moi, j'ai un très joli panier à pique-nique qui m'avait été offert par mon papa. Il l'avait acheté à Nature et Découverte. Il est increvable parce que c'est de la bonne qualité. Parce qu'à l'intérieur, ce n'est pas des assiettes en plastique. Alors, vous savez, il y a aussi beaucoup, même chez Action, même dans tout ce style de magasin, on voit beaucoup passer de la vaisselle, on va dire un peu... Ce n'est pas du plastique jetable, mais ça reste du plastique quand même. Parce que voilà, c'est léger aussi le plastique. Et bien moi, dans mon super beau panier pique-nique offert par mon père, j'ai de la vaisselle en... en belles matières. J'ai des verres en verre. En plus, c'est des jolis verres à pied. J'ai des couverts en inox. Et tout ça, c'est très beau. C'est bien adapté dans le panier pour que tout soit attaché. C'est génial. Franchement, nous, le panier en tissu, ça claque franchement au-delà de ça. Dans tout ce qui est romantiser son quotidien, pareil, je vous ferai un épisode de podcast sur le sujet, mais dans tout ce qui est romantiser son quotidien, avoir des belles choses, aller faire un pique-nique avec un beau panier en pique-nique, qu'on a une nappe de pique nique qu'on utilise tellement souvent la nappe de pique nique qu'on lave en machine et tout ça et bah ça claque en fait c'est hyper joli à faire donc voilà nous on est team panier de pique nique team glaciaire et et c'est très bien pour aller faire des pique nique donc pas de vaisselle jetable ou pas de vaisselle en plastique dégueulasse chez nous ça c'est sûr je suis un peu virulente enfin c'est même pas que je suis virulente parce que pas du tout et parce que je fais plein de disclaimers en expliquant que c'est aucun jugement de ma part et tout ça franchement je vous le redis c'est aucun jugement De ma part, quand je dis plastique dégueulasse et tout, c'est juste ma façon de voir les choses. Mais c'est en aucun cas pour être la police, comme je disais la semaine dernière, la police du zéro déchet, non. Moi, je ne vais pas aller voir chez vous si vous faites ce que moi je fais ou si vous faites autre chose que moi je ne fais pas. Ou peu importe, chacun est dans son chemin, les amis. Je le répète, je le redis, je le persiste et je le signe. Voilà. Mais ensuite... Il y a tout ce qui est papier cuisson. Alors, je vous disais déjà la semaine dernière que je n'avais plus de papier aluminium et de film étirable en plastique. D'ailleurs, je ne vous ai pas dit la semaine dernière, mais le film étirable, pour les gens qui utilisent ça, au-delà du fait que ça produit du déchet, on laisse ça de côté deux secondes. Le film étirable. Mon mari avait ça. J'ai aussi encore des rouleaux que mon mari avait, parce que la semaine dernière, je vous parlais de mes grands-parents. Mais même mon mari achetait ça. Parce que lui, film étirable, c'était son truc, quoi. Mais c'est une galère, ce truc. Mais moi, je déteste ça. Ne serait-ce que d'utiliser ce machin-là. Là, on ne parle même pas des déchets. C'est ne serait-ce que d'utiliser ce truc sans se galérer. à l'utiliser, parce que moi, je trouve ça chiant. Le film, même si vous craquez avec les dents du carton, soi-disant que c'est là pour t'aider et tout ça, c'est une galère. Des fois, ça tient mal en fonction de la qualité du film alimentaire. C'est une galère à arracher. Franchement, c'est une galère sans nom. Bref, on parlait de ça, mais du coup, moi, je n'ai plus de papier cuisson. A la place, j'ai des tapis de cuisson lavables en silicone. Alors, les miens, je les avais achetés chez Maton. A l'époque, moi, je m'étais juste dit, je ne veux plus acheter de tapis de cuisson. Je veux des tapis de cuisson réutilisables. Après, je vous avoue qu'à l'époque, j'étais encore moins, on va dire, au point. Et d'ailleurs, je ne suis encore pas trop au point sur certaines choses sur le sujet. De savoir si les tapis de cuisson que j'ai pris, qui sont lavables chez Maton, en silicone là, si c'est de la qualité, si c'est du plastique de qualité, si c'est du silicone de qualité et que je ne risque pas de m'intoxiquer à chaque fois que je fais des trucs sur mon tapis de cuisson. Mais ce que je peux vous dire vis-à-vis de ça, en tout cas en connaissance de cause, c'est que j'ai des tapis de cuisson qui commencent à rendre l'âme. Parce que voilà, moi j'utilise jusqu'à la moelle, donc il va falloir que j'en rachète. Donc au moment où je vais racheter, maintenant que je suis un peu plus sensibilisée maintenant à cette histoire de qualité dans les matériaux que j'achète, même si c'est du plastique, du silicone et tout ça, je me renseignerai sur le sujet et surtout un truc que je fais de manière générale et que je vous invite à faire. Si chez vous, vous avez des ustensiles en plastique, des trucs en plastique, des poils téfales à la con là, ce genre de choses, quand je dis poils téfales à la con, non mais il faut que j'arrête parce que vous allez vraiment croire. que je suis une mauvaise, mais c'est pas du tout ça. Mais en fait, dans le sens que quand vous avez des choses en plastique qui commencent à s'abîmer, genre votre fond de poêle, il est rayé, genre votre ustensile, il est fondu, ou il est abîmé, genre mon tapis de cuisson qui commence à être un peu rand de lame, débarrassez-vous de ça, à la déchetterie, parce que à partir de ce moment-là où il y a des fissures dans le truc, on est en train de s'intoxiquer. Alors, je me dis « on » parce qu'en fait, j'ai un tapis de cuisson que je continue à utiliser, alors que je ne devrais pas. Et d'ailleurs, je pense qu'après cet épisode, je m'en séparerai. Parce que voilà, mais il faut s'en séparer les amis, parce que vous êtes en train de vous intoxiquer la santé. Donc voilà pour cette parenthèse de tout ce qui était plastique et tout ça. Mais soit j'utilise tapis de cuisson en silicone, ou je ne sais pas c'est quoi la matière, je ne suis même pas sûre que ce soit du silicone, mais vous voyez ce que je veux dire. Ou alors parfois, je pousse carrément le vis, c'est que... j'utilise la pâte feuilletée, le papier cuisson, vous savez, qui enroule la pâte feuilletée. En fait, j'utilise ça, que je laisse dans mon plat, quand je déroule la pâte feuilletée. Et du coup, voilà. Comme ça, je l'utilise avant que ça finisse de toute façon de paraître un déchet. Mais ça, les amis, bientôt je ne pourrai plus le faire. Parce que la semaine dernière, je ne sais pas si vous vous rappelez, je vous disais dans l'épisode de la semaine dernière que j'ai investi... J'ai craqué mon slip dans un truc qui m'a coûté un rein. C'est pour ça que je ne pouvais pas tout de suite investir dans le Be Save pour la mise en conservation sous vide de chez Guy Demarle. Parce que j'ai investi dans autre chose, dont je ne vous parlerai pas encore dans cet épisode. Parce que je suis très coquine et que je garde encore la surprise le temps que je n'ai pas reçu cet investissement. Mais bientôt, je serai peut-être en capacité de faire ma pâte feuilletée maison. Parce que je fais déjà ma pâte brisée maison, mais la pâte feuilletée, trop compliqué la pâte feuilletée. Et moi, tout ce qui est compliqué, ça dégage. D'accord ? Mais peut-être qu'un jour, je pourrais faire ma propre pâte feuilletée. Donc, si je fais ma propre pâte feuilletée, je n'achèterai plus de pâte feuilletée du commerce. Donc, je n'aurai plus de papier de cuisson pour la pâte feuilletée. Voilà. C'était la petite parenthèse. Ensuite, qu'est-ce qu'on a d'autre encore dont je voulais vous parler ? Il y a les cure-dents, les petits cure-dents en bois. Alors déjà, les petits cure-dents, si vous avez les petits cure-dents en bois, je crois que c'est du bois, si je ne me trompe pas, ça, vous pouvez les composter. Donc, ça ne fait pas trop de déchets proprement dit, parce que ça retourne à la terre. D'accord ? Composter, ça fait partie des 5 R du mouvement zéro déchet. On se remet un petit peu dans tout ce qu'on avait dit, et avec Morgane sur l'épisode... concernant le zéro déchet, et quand j'avais fait l'épisode du podcaston concernant le zéro déchet. Donc, les 5 R sur le podcast, ce n'est pas la première fois que je vous en parle. Donc les petits pics, les petits cure-dents en bois, ça peut retourner au compost si vous avez un compost. Mais on évite quand même de faire un maximum de déchets, d'acheter. On essaie aussi de faire attention à son porte-monnaie et tout ça. Donc moi, ça fait longtemps que j'ai investi dans des pics apéro en inox. J'avais trouvé ça, je ne sais plus où d'ailleurs, mais vous tapez pics apéro en inox. Et puis j'ai aussi, parce que je suis transparente avec vous comme d'habitude, des pics apéro en plastique. qu'on m'avait offert en cadeau, que j'ai toujours à la maison. Voilà, mais encore une fois, je vous conseille l'inox, et ça existe en inox. Dans la même veine, j'ai les piques à brochettes. Alors, il faut quand même savoir que nous, les piques à brochettes à la maison, on les utilise quasiment pas. Franchement, si je les ai utilisées une fois depuis que je les ai achetées, c'était pour remplacer les piques à brochettes pareilles que vous pouvez acheter en bois, un peu comme... Comme les cure-dents, mais encore une fois, ok, vous pouvez les composter, mais ça reste un déchet. Et ça reste un budget. On investit dans des choses réutilisables, ça fait aussi du bien à son porte-monnaie, vraiment. Mais alors les piques à brochettes en inox, qu'est-ce que j'avais fait avec ça ? Peut-être des brochettes une fois, peut-être des brochettes de viande une fois, peut-être des brochettes de fruits une fois. Mais peut-être que ça sera quelque chose, soit que je désencombrerai, ou soit qu'avec mon petit truc mystère que je ne veux pas vous dire que j'ai acheté, que j'ai investi. Peut-être je serai amenée à faire plus de marinade ou pas, j'en sais rien, je verrai. Et à ce moment-là, je serai peut-être amenée à plus les utiliser. Mais encore une fois, à voir. Mais si vous êtes le genre de personne qui utilisait souvent des pics à brochettes en inox ou des pics à brochettes en bois, je vais y arriver, ou des cure-dents en bois, vous pouvez avoir ces solutions-là. Encore une fois, tout ce que je vous dis depuis le début et ce que je vous dirai dans les deux prochains épisodes, ne vous inventez pas une vie. Ne vous créez pas une vie, ne vous créez pas des besoins. remplacer ce dont vous avez besoin. Parce que c'est aussi le piège. De toute façon, tous les trucs de consommation, de manière générale, c'est le piège d'aller dans l'extrême et de se dire, « Waouh, mais c'est génial, toutes ces solutions zéro déchet et tout ça, je vais acheter ci, je vais acheter ça, et patati et patata. » Si, et vous verrez notamment dans le quatrième épisode, parce que j'en parlerai plus profondément dans cet épisode-là, qui va clôturer, l'épisode qui clôturera la réduction des déchets dans la cuisine. Mais si vous n'avez pas besoin de piques à brochettes, par exemple, parce que comme moi, vous faites très peu de brochettes ou pas du tout, ne vous inventez pas une vie, n'achetez pas de piques à brochettes en inox. Vous voyez ce que je veux dire un petit peu ? On essaye de garder une certaine cohérence dans ce qu'on fait. Donc tous les conseils que je vous donne, et que je vous donnerai dans le futur, faites en fonction de vous. N'allez pas tout claquer votre fric pour des choses qui ne vont pas vous servir, et que vous serez obligés d'écouter. l'épisode 3 du podcast parce que il faudra que vous désencombriez. Vous désencombriez. Parce que vos placards seront trop pleins de choses que vous n'utiliserez pas. Et après, vous allez me dire, non mais Clément, ça nous dit qu'elle remplace par ça, elle nous crée des besoins, puis après elle nous dit de désencombrer. Enfin, c'est le serpent qui se mord la queue, donc on ne fait pas ça. D'accord ? Donc, voilà. Ensuite, quand je cuisine, je cuisine maison un maximum. Ça déjà, ne serait-ce que ça en tant que tel. Ça permet de limiter les emballages, les sur-emballages et tout ce qu'on veut là, de mieux manger. Je fais un maximum à partir d'aliments bruts. Alors encore une fois, attention, ça c'est ce que je fais majoritairement. Mais on n'est pas parfait et parfois on achète encore des aliments qui sont transformés. Non, parce que ça vraiment, la majeure partie, c'est un peu comme ce que je vous expliquais la dernière fois. Sur le ratio 90-10 chez nous, c'est un peu pareil pour les aliments transformés. Chez nous, c'est 90% d'aliments bruts et 10% d'aliments transformés en gros. Mais surtout, ce que je voulais vous dire par rapport aux déchets, c'est qu'on n'est pas à l'abri parfois, de temps en temps, parce que c'est comme ça. C'est la vraie vie d'avoir des aliments qui sont ultra emballés. Voilà, moi je ne suis pas parfaite, moi je n'ai pas envie de vous vendre du rêve. Je n'ai pas envie de vous vendre du rêve en vous faisant croire que je n'ai jamais de déchets, que tout ce que j'ai fait qui est majoritairement acquis, parfois il n'y a pas des entorses à la règle, vous voyez. Donc je préfère vous le rappeler et vous le rappeler et vous le rappeler encore. Et si vous voulez en savoir plus sur comment on cuisine, notre processus pour cuisiner, chercher les recettes, qu'est-ce qu'on va faire à manger, etc. J'ai justement un épisode de podcast qui s'appelle « Qu'est-ce qu'on mange ce soir ? » Voilà. Mais ce que je vous disais dans l'épisode de rentrée... du podcast du mois de septembre. Je vous disais que ces épisodes-là, qu'est-ce qu'on mange ce soir, et tout ce qui est organisation en cuisine, organisation des courses et tout ça, je vous ferai un épisode mis à jour sur le suivi parce qu'il y a des choses qui ont changé depuis que j'ai enregistré ces épisodes. Et il y a des choses qui sont toujours d'actualité, donc vous pouvez quand même aller les écouter si ce n'est pas encore fait. Ensuite, qu'est-ce qu'on fait aussi ? Eh bien, bien évidemment, on va accommoder un maximum les restes. Pour éviter justement le gaspillage, parce que ça, le gaspillage chez nous, c'est hors de question. Et c'est, en gros, ça, ça n'arrive quasiment jamais. 99, j'aime bien les pourcentages en ce moment, 99,99% du temps, on ne gaspille aucun reste. Aucun reste. Ce n'est pas possible. On décale. Parce qu'en fait, tu prévois les menus à la semaine, et bien on décale. S'il y a des restes, on décale. Les menus, ça permet même des fois, parfois, jusqu'à la semaine suivante, d'avoir encore des repas sans nécessairement avoir besoin de retourner aux courses. Mais le gaspillage chez nous, il y a no way. Il n'y a pas moyen qu'on gaspille, ce n'est pas possible. Au-delà du fait de créer des déchets, c'est aussi le fait des gens qui n'ont pas assez à manger, des gens qui meurent de faim et tout ça. Ce n'est pas possible. Moi, je sensibilise mon fils à ça. Je suis sensibilisée à ça, ce n'est pas possible le gaspillage alimentaire. Moi, vous me voyez souvent traîner dans les rayons anti-gaspi. Alors ok, les rayons anti-gaspi, c'est un petit peu contradictoire avec ce que je suis en train de vous dire, parce que ça crée des déchets. Parce que le plus souvent dans les rayons anti-gaspi, ce sont des produits emballés ou suremballés. C'est pas, majoritairement, c'est du plastique et c'est pas ce qu'on veut, mais voilà. Aucune démarche est parfaite. et pour faire... Par rapport à toutes nos convictions, c'est compliqué. Il n'y a pas de solution parfaite, il n'y a pas de solution miracle. Mais par contre, moi, vous me voyez très souvent dans les rayons anti-gaspi parce qu'il est hors de question. Moi, je trouve ça aberrant, le gaspillage alimentaire qui est encore, et pas seulement dans les foyers de gens comme vous et moi, dans les foyers de manière générale, aussi dans les magasins, tout ce qui est encore jeté à la poubelle. J'adore écouter aussi du contenu par rapport aux gens qui récupèrent dans les poubelles des choses, ils ont raison de faire ça. Moi, je n'ose pas parce que, encore une fois, je respecte tout, je suis trop timide et ce genre de choses. Mais le glanage, je crois que ça s'appelle le friganisme ou quelque chose comme ça, j'essaierai de vous trouver une petite définition ou une petite ressource à vous mettre sur le sujet dans la description de l'épisode. Mais voilà, il y a trop de gaspillage. Il y a tellement trop encore de fins dans le monde, de gens qui sont aussi des gens qui sont démunis. pas assez de ressources pour pouvoir manger à leur faim et tout ça, qu'il est hors de question pour nous de gaspiller. Il n'y a même pas moyen. Il n'y a même pas moyen. Qu'est-ce qu'on fait d'autre aussi ? Bien évidemment, comme je disais tout à l'heure, rendre à la terre le compostage. Donc, des déchets organiques. Donc, nous, on a un seau à compost dans la cuisine et on a aussi, bien évidemment, du coup, notre compost dans le jardin parce qu'après, on vient mettre, vider le seau. de la cuisine dans notre compost de jardin. Alors nous, on est carrément encore pire. Enfin, encore pire. On est carrément encore hyper avancé dans notre histoire de compost parce qu'on a deux composts dans le jardin qu'on alterne d'année en année. C'est-à-dire qu'actuellement, on a un compost où l'on met les déchets organiques de l'année et on a le compost de l'année dernière qui, lui, est prêt à l'emploi. pour notre potager, pour préparer notre potager l'hiver, pour nos jardinières, pour tout ce qu'on veut bien, pour utiliser dans notre jardin et dans notre potager. Donc nous, on a même deux composts. Et n'hésitez pas aussi, par rapport au compost, si vous avez un jardin, de demander à votre commune s'il y a des aides. Enfin, si vous pouvez avoir un compost. Par exemple, moi, je sais que nous, on peut avoir un compost. moyennant une participation financière, mais qui est moins chère que si on achète le compost par nous-mêmes parce que la commune prend en charge une partie. En tout cas, notre communauté de communes prend en charge une partie. Et des fois, il y a directement des communes et des communes ou des communes qui offrent gratuitement un compost par foyer, en fait. Donc, voilà. Et si j'ai bien fait mon travail, quand cet épisode sortira, vous aurez un article complet sur le blog Merci. pour tout ce qui concerne le compost. Je vais commencer par un article de blog, et peut-être que je le ferai en format podcast aussi, je verrai, ou peut-être pas, peu importe. Mais ce qui est sûr, c'est que j'aimerais bien, donc j'espère que ce sera le cas quand vous écouterez cet épisode, même si je vous avoue que je suis débordée en ce moment, mais j'espère que j'aurai eu le temps, en collaboration avec mon mari, qui s'y connaît beaucoup plus que moi, sur tout ce qui est compostage, compost, et sur toutes les ressources que je farfouillerai pour vous donner des informations plus justes. pour vous faire un article de blog complet sur le sujet, pour les personnes que ça intéresse, savoir ce qu'on met dans un compost, ce qu'on évite de mettre dans un compost, comment s'organiser avec son compost, même si on est en maison ou si on est en appartement, les solutions, etc. J'essaierai de vous faire un article complet sur le sujet. D'ailleurs, je pense qu'en article de blog, c'est pas mal, parce que vous pouvez y avoir accès facilement et avoir le détail facilement. Ça se prête plus qu'à un épisode de podcast. Et ce qu'on fait, bien évidemment, mais ça coule de source parce que j'en ai déjà parlé dans l'épisode du podcaston, j'en ai déjà parlé dans l'épisode avec Morgane, évidemment il y a le tri des déchets. Alors il faut savoir que recycler, je repars avec mes 5 R, je rabâche avec mes 5 R. En fait je vais rajouter un sixième R qui va être le R rabâcher. C'est-à-dire en gros, alors je ne sais pas si rabâcher c'est un mot normand. ou si c'est utilisé à l'échelle nationale, mais en gros, rabâcher, c'est répéter, répéter, répéter encore. Parce que si jamais c'est du patois de ma région, je m'en excuse. C'est répéter encore la même chose, mais trier les déchets, c'est le dernier R des 5 R du mouvement zéro déchet. C'est-à-dire qu'on essaye avant de refuser le déchet, après on essaye de réduire le déchet, je crois. Oh punaise, ça y est, je ne sais plus mes 5 R. refuser, réutiliser, réduire, rendre à la terre, recycler. Ou recycler, rendre à la terre, je ne sais plus l'ordre. Bref, on s'en fout. Ça fait partie des 5 R. Et recycler, on essaye de le faire vraiment en dernier recours, quand on ne peut pas faire tous les autres d'avant. Parce que moi, je suis encore plus en ce moment, en plus, dans une démarche où je veux diminuer aussi mes déchets dans le sens... où je veux m'éviter d'aller tout le temps au bac de tri porter mes bacs de déchets recyclables. Même si la bonne nouvelle qui vient de tomber dans, en tout cas nous, notre communauté de communes, à partir de février 2026, on va avoir les bacs jaunes directement collectés en porte-à-porte, mais ce n'est pas une raison en fait, je me dis, ce n'est pas une raison en fait pour ne pas... diminuer nos déchets recyclables, parce que ça fait partie de la démarche zéro déchet dans laquelle on est, et surtout que d'ici février 2026, on en a marre d'aller porter les bacs de déchets recyclables, parce que même si on fait super attention, même si on est avancé dans notre démarche, on a toujours des bacs à aller porter, et c'est chiant, et on oublie, et on râle, et c'est chiant. Voilà. Donc, le tri des déchets, en dernier recours, et on essaye d'éviter un maximum les déchets. même s'ils sont recyclables. Voilà les amis pour ce deuxième épisode de cette série consacrée à la cuisine et à la façon de cuisiner sans jeter. Comme toujours, je le répète, ce n'est pas pour vous juger sur ce que vous faites ou non, mais c'est vraiment pour vous inspirer, partager des idées auxquelles peut-être vous n'avez pas pensé, montrer que même des petits changements, ça peut avoir un vrai impact. Même pour vous, en fait, même personnellement, avant l'impact collectif, ça démarre, comme on disait avec Morgane, par vous. C'est bon pour votre porte-monnaie, c'est bon pour votre santé, c'est bon pour la planète, donc c'est tout bénef, ça n'a que des avantages. L'inconvénient, franchement, ce serait de vous rajouter de la charge mentale, mais moi qui veux alléger ma charge mentale à maximum, une fois que les habitudes sont prises, franchement, il n'y a rien de plus à faire. Vous voyez, c'est pas... Enfin, en tout cas, il n'y a rien d'insurmontable. Moi, de toute façon, quand c'est insurmontable, j'abandonne. Pour un temps peut-être définitif ou un temps, voilà, comment on dit, je ne sais plus, j'ai perdu le mot, qu'on ne sait pas. Un temps indéterminé, voilà, je retrouve mon mot. Mais en tout cas, voilà, faites à votre rythme, progressivement, selon ce qui vous semble faisable, ce qui vous facilite la vie. Chaque geste compte, n'oubliez pas que chaque geste compte, chacun avance à son propre rythme, ok ? dans le prochain épisode donc dans l'épisode numéro 3 de cette série On continuera, encore une fois, dans la cuisine, mais cette fois, ce sera pour aborder tout ce qui a un rapport avec nettoyer, entretenir autrement, avec, encore une fois, des alternatives simples et durables. Je vous mets tout ce qu'il faut dans la description de cet épisode. N'hésitez pas à partager autour de vous, à vous abonner, à échanger avec moi sur le sujet, à venir me dire sur Instagram, sur Youtube, par tous les moyens que vous pouvez me contacter, à venir me dire ce que vous faites, vous, si vous avez des difficultés sur certaines choses, si vous voulez que je réponde. à vos questions sur le sujet ou sur d'autres sujets. Comme d'habitude, je me fais toujours un plaisir. J'essaye vraiment, vraiment, vraiment. Enfin, c'est pas que j'essaye, c'est que je réponds à tout le monde. J'aime bien partager avec vous. Ça me permet aussi de me dire que je ne suis pas toute seule derrière le micro parce que, ok, je vois vos vues, je vois vos j'aime, je vois tout ça, mais des fois, on peut se sentir seule derrière un podcast. Même si je vous avoue aussi que je commence les interviews et que ça, ça me fait trop plaisir, mais voilà. Venez parler avec moi, venez échanger avec moi, c'est toujours un plaisir. Et puis, on se retrouve très vite pour un prochain épisode sur ce sujet et sur d'autres. Donc, je vous dis à très bientôt pour un nouvel épisode. Ciao !

Description

Dans ce 2ème épisode de la série « Ma cuisine zéro déchet », je te raconte comment j'ai remplacé le jetable par des alternatives durables — verre, inox, tissu, silicone — et comment je réduis mes déchets sans me compliquer le quotidien.



Mentionnés dans l'épisode :

• L'épisode : Un mariage minimaliste & intime — les détails d'un magnifique week-end

• L'épisode : Un mariage minimaliste & intime — nos choix hors des sentiers battus

Panier Pique-Nique Nature & Découvertes

• L'épisode : S'engager, réduire ses déchets, protéger la planète — avec Morgane de @lehavrezerodechet

• L'épisode : PODCASTHON | Le mouvement « Zéro Déchet France » : des gestes simples pour un impact durable 🌱

• L'épisode : Désencombrer par où commencer ? + différentes méthodes de désencombrement

• L'épisode : « Qu'est ce qu'on mange ce soir ? » : Astuces pour organiser ses repas

• Qu'est ce que le freeganisme ?


Tous les produits mentionnés dans cet épisode ont été achetés par mes soins. Il ne s’agit d’aucun partenariat ni contenu sponsorisé — simplement de mes choix personnels, testés et approuvés au fil du temps.


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Transcription

  • Speaker #0

    J'espère que vous allez bien, j'espère que je vous retrouve en forme depuis la semaine dernière. Je ne sais pas si vous avez eu le temps, peut-être que vous êtes au taquet et que vous avez eu le temps d'écouter l'épisode de la semaine dernière, le tout premier épisode de cette série de réduction des déchets dans la cuisine. Peut-être que vous êtes déjà au taquet et que vous avez déjà pris la décision de mettre des astuces en place pour réduire vos déchets, en tout cas en ce qui concerne Tout ce qui est acheté et conservé sans plastique. Parce que c'est ce qu'on a vu la semaine dernière. Pour ceux qui ne le savent pas et qui arrivent sur ce nouvel épisode. Même si honnêtement j'ai mis 2 sur 4 dans le titre. Donc normalement je pense qu'on commence dans l'ordre. Mais on sait jamais. Parce que chacun fait bien comme il veut. Et cette semaine, donc on reste toujours dans la cuisine. Mais cette fois on va voir comment cuisiner sans jeter. Je vais vous partager ce que j'ai mis en place pour limiter les déchets pendant la préparation des repas. Donc encore une fois, remplacer le jeu de table par des alternatives réutilisables, cuisiner maison autant que possible, adopter des gestes simples qui permettent de réduire le gaspillage au quotidien. Et encore une fois, tout ça, ça se veut sans contraintes, avec le moins de contraintes possibles. juste des astuces concrètes que j'utilise moi personnellement, parce qu'évidemment, comme d'habitude, je pars de ma propre expérience personnelle, pour aussi vous montrer que rien n'est parfait, que chacun a son chemin, et que peut-être que vous faites des choses que moi je ne fais pas, et vice-versa. Mais en tout cas, j'espère que tout ça, ça pourra vous inspirer. Donc on y va, sans plus attendre. Déjà, de manière totalement générale du truc, Je fais un maximum la chasse au plastique. Donc je la faisais. La semaine dernière, je vous racontais que je la faisais par rapport à tout ce qui était dans les magasins, dans les supermarchés et compagnie. Mais alors j'essaye aussi de la faire un maximum dans tous les accessoires de cuisine. Tout ce qui me sert à cuisiner ou à manger, etc. Je privilégie un maximum le verre, l'inox, le bois. En tout cas, toutes les matières plus nobles. Je crois qu'il y a aussi la fonte, la céramique, enfin voilà. Le plastique, ça dégage. Ça fait longtemps, même en plus, avec le côté minimalisme que j'ai, la quantité... Euh, la quantité, ça y est, je commence à fatiguer. La qualité au lieu de la quantité et tout ça, blablabla. Bien évidemment que j'aime m'entourer de belles choses, de belles matières. Et donc du coup, le plastique, c'est bye bye. Bien évidemment qu'il y a quand même des choses qui sont en plastique dans notre cuisine. Mais c'est, allez, 10%, on va dire. On va essayer de mettre un petit pourcentage. 10% de ce que notre cuisine, enfin de ce qui compose notre cuisine, et les 90% restants, c'est les belles matières que je viens de vous citer. Le plastique, en tout cas, quasiment 99% du temps, il n'est pas en contact direct avec les aliments. Est-ce que j'ai des exemples comme ça ? La semaine dernière, je vous parlais des couvercles en plastique qui commençaient à se péter, là, de mes boîtes de conservation. Je ne mets jamais à ras bord, donc les aliments touchent. le verre, mais ne touche pas le plastique du couvercle. Après, le plastique, il peut être présent, par exemple, sur certains de mes produits, certains de mes petits électroménagers ou des choses comme ça. Mais par contre, il ne touche pas les aliments. Quand ça touche les aliments, généralement, c'est de l'inox, c'est du verre. Je ne crois pas, franchement, le seul plastique qui touche mes aliments. C'est mes moules à muffins en silicone, il me semble, de mémoire. C'est la Maryse, Marquise. La Maryse, vous savez, là, ce qu'il faut racler dans les saladiers quand on fait de la pâtisserie, ce qui racle bien, là, qui est en silicone aussi. Qu'est-ce que j'ai d'autre encore en plastique qui touche ? Je crois que c'est tout, parce qu'après, vraiment... Peut-être mon presse-agrume de chez Moulinex, là, le presse-agrume électrique. Du coup, l'orange est en contact avec du plastique. Mais sinon, non. Sinon, c'est vraiment... Si j'ai un électroménager qui est composé de plastique, ben voilà. Mais voilà. Franchement, majoritairement, c'est inox, verre et bois chez nous. Je fais hyper attention à ça. Et puis, de toute façon, le plastique, non, c'est stop. Déjà, c'est moche. C'est pas bon pour la santé. Enfin, voilà. En tout cas, nous, pour notre part, ça dégage un maximum. Ça, c'est clair. La vaisselle jetable, c'est pareil, ça fait tellement longtemps qu'on n'a plus ça à la maison. Franchement, dans notre démarche, c'est vite dégagé. Je ne dis pas qu'on n'en a plus jamais, parce qu'encore une fois, on est tous humains, et parfois, franchement, alors quand je vous dis parfois, chez nous, c'est peut-être une à deux fois par an, et encore, c'est vraiment un parfois très rare, mais en tout cas, c'est vrai que ça existe. Assiette en carton, verre en carton, mais vraiment... ultra rare quand vraiment on a la méga grosse flemme mais c'est tellement rare parce que récemment dans les événements récents de ma vie on va dire où il ya vraiment eu beaucoup de personnes qui pourraient nécessiter d'avoir de la vaisselle jetable et tout ça on a eu notre mariage on s'est marié en petit com en petit comité d'ailleurs j'ai tout un épisode de podcast ou même deux ou trois épisodes de podcast sur le sujet du mariage ça vous intéresse vous remettrait tout ça en description de l'épisode encore une fois comme d'habitude tout ce qui tout ce que je mentionne est en description de l'épisode. Mais on a eu un petit peu moins de 20 personnes à la maison parce que notre repas de mariage, on l'a fait à la maison. Et on a utilisé de la vaisselle normale. On n'a pas utilisé de la vaisselle jetable. On avait un très beau buffet. Et c'était parfait. Et d'ailleurs, n'hésitez pas quand vous êtes plusieurs chez vous, que vous n'avez pas forcément un million de vaisselle comme nous parce que vous êtes minimaliste et que vous n'avez pas un million d'assiettes ou vous avez la flemme ou peu importe, à faire des buffets, des choses où les gens se serrent un peu du... de l'apéro-dinatoire et tout ça. Nous, c'est ce qu'on fait et ça marche très bien. Mais en tout cas, plus de vaisselle jetable. Et notamment, par exemple, on pourrait dire les pique-niques en extérieur ou des choses comme ça. Moi, j'ai un très joli panier à pique-nique qui m'avait été offert par mon papa. Il l'avait acheté à Nature et Découverte. Il est increvable parce que c'est de la bonne qualité. Parce qu'à l'intérieur, ce n'est pas des assiettes en plastique. Alors, vous savez, il y a aussi beaucoup, même chez Action, même dans tout ce style de magasin, on voit beaucoup passer de la vaisselle, on va dire un peu... Ce n'est pas du plastique jetable, mais ça reste du plastique quand même. Parce que voilà, c'est léger aussi le plastique. Et bien moi, dans mon super beau panier pique-nique offert par mon père, j'ai de la vaisselle en... en belles matières. J'ai des verres en verre. En plus, c'est des jolis verres à pied. J'ai des couverts en inox. Et tout ça, c'est très beau. C'est bien adapté dans le panier pour que tout soit attaché. C'est génial. Franchement, nous, le panier en tissu, ça claque franchement au-delà de ça. Dans tout ce qui est romantiser son quotidien, pareil, je vous ferai un épisode de podcast sur le sujet, mais dans tout ce qui est romantiser son quotidien, avoir des belles choses, aller faire un pique-nique avec un beau panier en pique-nique, qu'on a une nappe de pique nique qu'on utilise tellement souvent la nappe de pique nique qu'on lave en machine et tout ça et bah ça claque en fait c'est hyper joli à faire donc voilà nous on est team panier de pique nique team glaciaire et et c'est très bien pour aller faire des pique nique donc pas de vaisselle jetable ou pas de vaisselle en plastique dégueulasse chez nous ça c'est sûr je suis un peu virulente enfin c'est même pas que je suis virulente parce que pas du tout et parce que je fais plein de disclaimers en expliquant que c'est aucun jugement de ma part et tout ça franchement je vous le redis c'est aucun jugement De ma part, quand je dis plastique dégueulasse et tout, c'est juste ma façon de voir les choses. Mais c'est en aucun cas pour être la police, comme je disais la semaine dernière, la police du zéro déchet, non. Moi, je ne vais pas aller voir chez vous si vous faites ce que moi je fais ou si vous faites autre chose que moi je ne fais pas. Ou peu importe, chacun est dans son chemin, les amis. Je le répète, je le redis, je le persiste et je le signe. Voilà. Mais ensuite... Il y a tout ce qui est papier cuisson. Alors, je vous disais déjà la semaine dernière que je n'avais plus de papier aluminium et de film étirable en plastique. D'ailleurs, je ne vous ai pas dit la semaine dernière, mais le film étirable, pour les gens qui utilisent ça, au-delà du fait que ça produit du déchet, on laisse ça de côté deux secondes. Le film étirable. Mon mari avait ça. J'ai aussi encore des rouleaux que mon mari avait, parce que la semaine dernière, je vous parlais de mes grands-parents. Mais même mon mari achetait ça. Parce que lui, film étirable, c'était son truc, quoi. Mais c'est une galère, ce truc. Mais moi, je déteste ça. Ne serait-ce que d'utiliser ce machin-là. Là, on ne parle même pas des déchets. C'est ne serait-ce que d'utiliser ce truc sans se galérer. à l'utiliser, parce que moi, je trouve ça chiant. Le film, même si vous craquez avec les dents du carton, soi-disant que c'est là pour t'aider et tout ça, c'est une galère. Des fois, ça tient mal en fonction de la qualité du film alimentaire. C'est une galère à arracher. Franchement, c'est une galère sans nom. Bref, on parlait de ça, mais du coup, moi, je n'ai plus de papier cuisson. A la place, j'ai des tapis de cuisson lavables en silicone. Alors, les miens, je les avais achetés chez Maton. A l'époque, moi, je m'étais juste dit, je ne veux plus acheter de tapis de cuisson. Je veux des tapis de cuisson réutilisables. Après, je vous avoue qu'à l'époque, j'étais encore moins, on va dire, au point. Et d'ailleurs, je ne suis encore pas trop au point sur certaines choses sur le sujet. De savoir si les tapis de cuisson que j'ai pris, qui sont lavables chez Maton, en silicone là, si c'est de la qualité, si c'est du plastique de qualité, si c'est du silicone de qualité et que je ne risque pas de m'intoxiquer à chaque fois que je fais des trucs sur mon tapis de cuisson. Mais ce que je peux vous dire vis-à-vis de ça, en tout cas en connaissance de cause, c'est que j'ai des tapis de cuisson qui commencent à rendre l'âme. Parce que voilà, moi j'utilise jusqu'à la moelle, donc il va falloir que j'en rachète. Donc au moment où je vais racheter, maintenant que je suis un peu plus sensibilisée maintenant à cette histoire de qualité dans les matériaux que j'achète, même si c'est du plastique, du silicone et tout ça, je me renseignerai sur le sujet et surtout un truc que je fais de manière générale et que je vous invite à faire. Si chez vous, vous avez des ustensiles en plastique, des trucs en plastique, des poils téfales à la con là, ce genre de choses, quand je dis poils téfales à la con, non mais il faut que j'arrête parce que vous allez vraiment croire. que je suis une mauvaise, mais c'est pas du tout ça. Mais en fait, dans le sens que quand vous avez des choses en plastique qui commencent à s'abîmer, genre votre fond de poêle, il est rayé, genre votre ustensile, il est fondu, ou il est abîmé, genre mon tapis de cuisson qui commence à être un peu rand de lame, débarrassez-vous de ça, à la déchetterie, parce que à partir de ce moment-là où il y a des fissures dans le truc, on est en train de s'intoxiquer. Alors, je me dis « on » parce qu'en fait, j'ai un tapis de cuisson que je continue à utiliser, alors que je ne devrais pas. Et d'ailleurs, je pense qu'après cet épisode, je m'en séparerai. Parce que voilà, mais il faut s'en séparer les amis, parce que vous êtes en train de vous intoxiquer la santé. Donc voilà pour cette parenthèse de tout ce qui était plastique et tout ça. Mais soit j'utilise tapis de cuisson en silicone, ou je ne sais pas c'est quoi la matière, je ne suis même pas sûre que ce soit du silicone, mais vous voyez ce que je veux dire. Ou alors parfois, je pousse carrément le vis, c'est que... j'utilise la pâte feuilletée, le papier cuisson, vous savez, qui enroule la pâte feuilletée. En fait, j'utilise ça, que je laisse dans mon plat, quand je déroule la pâte feuilletée. Et du coup, voilà. Comme ça, je l'utilise avant que ça finisse de toute façon de paraître un déchet. Mais ça, les amis, bientôt je ne pourrai plus le faire. Parce que la semaine dernière, je ne sais pas si vous vous rappelez, je vous disais dans l'épisode de la semaine dernière que j'ai investi... J'ai craqué mon slip dans un truc qui m'a coûté un rein. C'est pour ça que je ne pouvais pas tout de suite investir dans le Be Save pour la mise en conservation sous vide de chez Guy Demarle. Parce que j'ai investi dans autre chose, dont je ne vous parlerai pas encore dans cet épisode. Parce que je suis très coquine et que je garde encore la surprise le temps que je n'ai pas reçu cet investissement. Mais bientôt, je serai peut-être en capacité de faire ma pâte feuilletée maison. Parce que je fais déjà ma pâte brisée maison, mais la pâte feuilletée, trop compliqué la pâte feuilletée. Et moi, tout ce qui est compliqué, ça dégage. D'accord ? Mais peut-être qu'un jour, je pourrais faire ma propre pâte feuilletée. Donc, si je fais ma propre pâte feuilletée, je n'achèterai plus de pâte feuilletée du commerce. Donc, je n'aurai plus de papier de cuisson pour la pâte feuilletée. Voilà. C'était la petite parenthèse. Ensuite, qu'est-ce qu'on a d'autre encore dont je voulais vous parler ? Il y a les cure-dents, les petits cure-dents en bois. Alors déjà, les petits cure-dents, si vous avez les petits cure-dents en bois, je crois que c'est du bois, si je ne me trompe pas, ça, vous pouvez les composter. Donc, ça ne fait pas trop de déchets proprement dit, parce que ça retourne à la terre. D'accord ? Composter, ça fait partie des 5 R du mouvement zéro déchet. On se remet un petit peu dans tout ce qu'on avait dit, et avec Morgane sur l'épisode... concernant le zéro déchet, et quand j'avais fait l'épisode du podcaston concernant le zéro déchet. Donc, les 5 R sur le podcast, ce n'est pas la première fois que je vous en parle. Donc les petits pics, les petits cure-dents en bois, ça peut retourner au compost si vous avez un compost. Mais on évite quand même de faire un maximum de déchets, d'acheter. On essaie aussi de faire attention à son porte-monnaie et tout ça. Donc moi, ça fait longtemps que j'ai investi dans des pics apéro en inox. J'avais trouvé ça, je ne sais plus où d'ailleurs, mais vous tapez pics apéro en inox. Et puis j'ai aussi, parce que je suis transparente avec vous comme d'habitude, des pics apéro en plastique. qu'on m'avait offert en cadeau, que j'ai toujours à la maison. Voilà, mais encore une fois, je vous conseille l'inox, et ça existe en inox. Dans la même veine, j'ai les piques à brochettes. Alors, il faut quand même savoir que nous, les piques à brochettes à la maison, on les utilise quasiment pas. Franchement, si je les ai utilisées une fois depuis que je les ai achetées, c'était pour remplacer les piques à brochettes pareilles que vous pouvez acheter en bois, un peu comme... Comme les cure-dents, mais encore une fois, ok, vous pouvez les composter, mais ça reste un déchet. Et ça reste un budget. On investit dans des choses réutilisables, ça fait aussi du bien à son porte-monnaie, vraiment. Mais alors les piques à brochettes en inox, qu'est-ce que j'avais fait avec ça ? Peut-être des brochettes une fois, peut-être des brochettes de viande une fois, peut-être des brochettes de fruits une fois. Mais peut-être que ça sera quelque chose, soit que je désencombrerai, ou soit qu'avec mon petit truc mystère que je ne veux pas vous dire que j'ai acheté, que j'ai investi. Peut-être je serai amenée à faire plus de marinade ou pas, j'en sais rien, je verrai. Et à ce moment-là, je serai peut-être amenée à plus les utiliser. Mais encore une fois, à voir. Mais si vous êtes le genre de personne qui utilisait souvent des pics à brochettes en inox ou des pics à brochettes en bois, je vais y arriver, ou des cure-dents en bois, vous pouvez avoir ces solutions-là. Encore une fois, tout ce que je vous dis depuis le début et ce que je vous dirai dans les deux prochains épisodes, ne vous inventez pas une vie. Ne vous créez pas une vie, ne vous créez pas des besoins. remplacer ce dont vous avez besoin. Parce que c'est aussi le piège. De toute façon, tous les trucs de consommation, de manière générale, c'est le piège d'aller dans l'extrême et de se dire, « Waouh, mais c'est génial, toutes ces solutions zéro déchet et tout ça, je vais acheter ci, je vais acheter ça, et patati et patata. » Si, et vous verrez notamment dans le quatrième épisode, parce que j'en parlerai plus profondément dans cet épisode-là, qui va clôturer, l'épisode qui clôturera la réduction des déchets dans la cuisine. Mais si vous n'avez pas besoin de piques à brochettes, par exemple, parce que comme moi, vous faites très peu de brochettes ou pas du tout, ne vous inventez pas une vie, n'achetez pas de piques à brochettes en inox. Vous voyez ce que je veux dire un petit peu ? On essaye de garder une certaine cohérence dans ce qu'on fait. Donc tous les conseils que je vous donne, et que je vous donnerai dans le futur, faites en fonction de vous. N'allez pas tout claquer votre fric pour des choses qui ne vont pas vous servir, et que vous serez obligés d'écouter. l'épisode 3 du podcast parce que il faudra que vous désencombriez. Vous désencombriez. Parce que vos placards seront trop pleins de choses que vous n'utiliserez pas. Et après, vous allez me dire, non mais Clément, ça nous dit qu'elle remplace par ça, elle nous crée des besoins, puis après elle nous dit de désencombrer. Enfin, c'est le serpent qui se mord la queue, donc on ne fait pas ça. D'accord ? Donc, voilà. Ensuite, quand je cuisine, je cuisine maison un maximum. Ça déjà, ne serait-ce que ça en tant que tel. Ça permet de limiter les emballages, les sur-emballages et tout ce qu'on veut là, de mieux manger. Je fais un maximum à partir d'aliments bruts. Alors encore une fois, attention, ça c'est ce que je fais majoritairement. Mais on n'est pas parfait et parfois on achète encore des aliments qui sont transformés. Non, parce que ça vraiment, la majeure partie, c'est un peu comme ce que je vous expliquais la dernière fois. Sur le ratio 90-10 chez nous, c'est un peu pareil pour les aliments transformés. Chez nous, c'est 90% d'aliments bruts et 10% d'aliments transformés en gros. Mais surtout, ce que je voulais vous dire par rapport aux déchets, c'est qu'on n'est pas à l'abri parfois, de temps en temps, parce que c'est comme ça. C'est la vraie vie d'avoir des aliments qui sont ultra emballés. Voilà, moi je ne suis pas parfaite, moi je n'ai pas envie de vous vendre du rêve. Je n'ai pas envie de vous vendre du rêve en vous faisant croire que je n'ai jamais de déchets, que tout ce que j'ai fait qui est majoritairement acquis, parfois il n'y a pas des entorses à la règle, vous voyez. Donc je préfère vous le rappeler et vous le rappeler et vous le rappeler encore. Et si vous voulez en savoir plus sur comment on cuisine, notre processus pour cuisiner, chercher les recettes, qu'est-ce qu'on va faire à manger, etc. J'ai justement un épisode de podcast qui s'appelle « Qu'est-ce qu'on mange ce soir ? » Voilà. Mais ce que je vous disais dans l'épisode de rentrée... du podcast du mois de septembre. Je vous disais que ces épisodes-là, qu'est-ce qu'on mange ce soir, et tout ce qui est organisation en cuisine, organisation des courses et tout ça, je vous ferai un épisode mis à jour sur le suivi parce qu'il y a des choses qui ont changé depuis que j'ai enregistré ces épisodes. Et il y a des choses qui sont toujours d'actualité, donc vous pouvez quand même aller les écouter si ce n'est pas encore fait. Ensuite, qu'est-ce qu'on fait aussi ? Eh bien, bien évidemment, on va accommoder un maximum les restes. Pour éviter justement le gaspillage, parce que ça, le gaspillage chez nous, c'est hors de question. Et c'est, en gros, ça, ça n'arrive quasiment jamais. 99, j'aime bien les pourcentages en ce moment, 99,99% du temps, on ne gaspille aucun reste. Aucun reste. Ce n'est pas possible. On décale. Parce qu'en fait, tu prévois les menus à la semaine, et bien on décale. S'il y a des restes, on décale. Les menus, ça permet même des fois, parfois, jusqu'à la semaine suivante, d'avoir encore des repas sans nécessairement avoir besoin de retourner aux courses. Mais le gaspillage chez nous, il y a no way. Il n'y a pas moyen qu'on gaspille, ce n'est pas possible. Au-delà du fait de créer des déchets, c'est aussi le fait des gens qui n'ont pas assez à manger, des gens qui meurent de faim et tout ça. Ce n'est pas possible. Moi, je sensibilise mon fils à ça. Je suis sensibilisée à ça, ce n'est pas possible le gaspillage alimentaire. Moi, vous me voyez souvent traîner dans les rayons anti-gaspi. Alors ok, les rayons anti-gaspi, c'est un petit peu contradictoire avec ce que je suis en train de vous dire, parce que ça crée des déchets. Parce que le plus souvent dans les rayons anti-gaspi, ce sont des produits emballés ou suremballés. C'est pas, majoritairement, c'est du plastique et c'est pas ce qu'on veut, mais voilà. Aucune démarche est parfaite. et pour faire... Par rapport à toutes nos convictions, c'est compliqué. Il n'y a pas de solution parfaite, il n'y a pas de solution miracle. Mais par contre, moi, vous me voyez très souvent dans les rayons anti-gaspi parce qu'il est hors de question. Moi, je trouve ça aberrant, le gaspillage alimentaire qui est encore, et pas seulement dans les foyers de gens comme vous et moi, dans les foyers de manière générale, aussi dans les magasins, tout ce qui est encore jeté à la poubelle. J'adore écouter aussi du contenu par rapport aux gens qui récupèrent dans les poubelles des choses, ils ont raison de faire ça. Moi, je n'ose pas parce que, encore une fois, je respecte tout, je suis trop timide et ce genre de choses. Mais le glanage, je crois que ça s'appelle le friganisme ou quelque chose comme ça, j'essaierai de vous trouver une petite définition ou une petite ressource à vous mettre sur le sujet dans la description de l'épisode. Mais voilà, il y a trop de gaspillage. Il y a tellement trop encore de fins dans le monde, de gens qui sont aussi des gens qui sont démunis. pas assez de ressources pour pouvoir manger à leur faim et tout ça, qu'il est hors de question pour nous de gaspiller. Il n'y a même pas moyen. Il n'y a même pas moyen. Qu'est-ce qu'on fait d'autre aussi ? Bien évidemment, comme je disais tout à l'heure, rendre à la terre le compostage. Donc, des déchets organiques. Donc, nous, on a un seau à compost dans la cuisine et on a aussi, bien évidemment, du coup, notre compost dans le jardin parce qu'après, on vient mettre, vider le seau. de la cuisine dans notre compost de jardin. Alors nous, on est carrément encore pire. Enfin, encore pire. On est carrément encore hyper avancé dans notre histoire de compost parce qu'on a deux composts dans le jardin qu'on alterne d'année en année. C'est-à-dire qu'actuellement, on a un compost où l'on met les déchets organiques de l'année et on a le compost de l'année dernière qui, lui, est prêt à l'emploi. pour notre potager, pour préparer notre potager l'hiver, pour nos jardinières, pour tout ce qu'on veut bien, pour utiliser dans notre jardin et dans notre potager. Donc nous, on a même deux composts. Et n'hésitez pas aussi, par rapport au compost, si vous avez un jardin, de demander à votre commune s'il y a des aides. Enfin, si vous pouvez avoir un compost. Par exemple, moi, je sais que nous, on peut avoir un compost. moyennant une participation financière, mais qui est moins chère que si on achète le compost par nous-mêmes parce que la commune prend en charge une partie. En tout cas, notre communauté de communes prend en charge une partie. Et des fois, il y a directement des communes et des communes ou des communes qui offrent gratuitement un compost par foyer, en fait. Donc, voilà. Et si j'ai bien fait mon travail, quand cet épisode sortira, vous aurez un article complet sur le blog Merci. pour tout ce qui concerne le compost. Je vais commencer par un article de blog, et peut-être que je le ferai en format podcast aussi, je verrai, ou peut-être pas, peu importe. Mais ce qui est sûr, c'est que j'aimerais bien, donc j'espère que ce sera le cas quand vous écouterez cet épisode, même si je vous avoue que je suis débordée en ce moment, mais j'espère que j'aurai eu le temps, en collaboration avec mon mari, qui s'y connaît beaucoup plus que moi, sur tout ce qui est compostage, compost, et sur toutes les ressources que je farfouillerai pour vous donner des informations plus justes. pour vous faire un article de blog complet sur le sujet, pour les personnes que ça intéresse, savoir ce qu'on met dans un compost, ce qu'on évite de mettre dans un compost, comment s'organiser avec son compost, même si on est en maison ou si on est en appartement, les solutions, etc. J'essaierai de vous faire un article complet sur le sujet. D'ailleurs, je pense qu'en article de blog, c'est pas mal, parce que vous pouvez y avoir accès facilement et avoir le détail facilement. Ça se prête plus qu'à un épisode de podcast. Et ce qu'on fait, bien évidemment, mais ça coule de source parce que j'en ai déjà parlé dans l'épisode du podcaston, j'en ai déjà parlé dans l'épisode avec Morgane, évidemment il y a le tri des déchets. Alors il faut savoir que recycler, je repars avec mes 5 R, je rabâche avec mes 5 R. En fait je vais rajouter un sixième R qui va être le R rabâcher. C'est-à-dire en gros, alors je ne sais pas si rabâcher c'est un mot normand. ou si c'est utilisé à l'échelle nationale, mais en gros, rabâcher, c'est répéter, répéter, répéter encore. Parce que si jamais c'est du patois de ma région, je m'en excuse. C'est répéter encore la même chose, mais trier les déchets, c'est le dernier R des 5 R du mouvement zéro déchet. C'est-à-dire qu'on essaye avant de refuser le déchet, après on essaye de réduire le déchet, je crois. Oh punaise, ça y est, je ne sais plus mes 5 R. refuser, réutiliser, réduire, rendre à la terre, recycler. Ou recycler, rendre à la terre, je ne sais plus l'ordre. Bref, on s'en fout. Ça fait partie des 5 R. Et recycler, on essaye de le faire vraiment en dernier recours, quand on ne peut pas faire tous les autres d'avant. Parce que moi, je suis encore plus en ce moment, en plus, dans une démarche où je veux diminuer aussi mes déchets dans le sens... où je veux m'éviter d'aller tout le temps au bac de tri porter mes bacs de déchets recyclables. Même si la bonne nouvelle qui vient de tomber dans, en tout cas nous, notre communauté de communes, à partir de février 2026, on va avoir les bacs jaunes directement collectés en porte-à-porte, mais ce n'est pas une raison en fait, je me dis, ce n'est pas une raison en fait pour ne pas... diminuer nos déchets recyclables, parce que ça fait partie de la démarche zéro déchet dans laquelle on est, et surtout que d'ici février 2026, on en a marre d'aller porter les bacs de déchets recyclables, parce que même si on fait super attention, même si on est avancé dans notre démarche, on a toujours des bacs à aller porter, et c'est chiant, et on oublie, et on râle, et c'est chiant. Voilà. Donc, le tri des déchets, en dernier recours, et on essaye d'éviter un maximum les déchets. même s'ils sont recyclables. Voilà les amis pour ce deuxième épisode de cette série consacrée à la cuisine et à la façon de cuisiner sans jeter. Comme toujours, je le répète, ce n'est pas pour vous juger sur ce que vous faites ou non, mais c'est vraiment pour vous inspirer, partager des idées auxquelles peut-être vous n'avez pas pensé, montrer que même des petits changements, ça peut avoir un vrai impact. Même pour vous, en fait, même personnellement, avant l'impact collectif, ça démarre, comme on disait avec Morgane, par vous. C'est bon pour votre porte-monnaie, c'est bon pour votre santé, c'est bon pour la planète, donc c'est tout bénef, ça n'a que des avantages. L'inconvénient, franchement, ce serait de vous rajouter de la charge mentale, mais moi qui veux alléger ma charge mentale à maximum, une fois que les habitudes sont prises, franchement, il n'y a rien de plus à faire. Vous voyez, c'est pas... Enfin, en tout cas, il n'y a rien d'insurmontable. Moi, de toute façon, quand c'est insurmontable, j'abandonne. Pour un temps peut-être définitif ou un temps, voilà, comment on dit, je ne sais plus, j'ai perdu le mot, qu'on ne sait pas. Un temps indéterminé, voilà, je retrouve mon mot. Mais en tout cas, voilà, faites à votre rythme, progressivement, selon ce qui vous semble faisable, ce qui vous facilite la vie. Chaque geste compte, n'oubliez pas que chaque geste compte, chacun avance à son propre rythme, ok ? dans le prochain épisode donc dans l'épisode numéro 3 de cette série On continuera, encore une fois, dans la cuisine, mais cette fois, ce sera pour aborder tout ce qui a un rapport avec nettoyer, entretenir autrement, avec, encore une fois, des alternatives simples et durables. Je vous mets tout ce qu'il faut dans la description de cet épisode. N'hésitez pas à partager autour de vous, à vous abonner, à échanger avec moi sur le sujet, à venir me dire sur Instagram, sur Youtube, par tous les moyens que vous pouvez me contacter, à venir me dire ce que vous faites, vous, si vous avez des difficultés sur certaines choses, si vous voulez que je réponde. à vos questions sur le sujet ou sur d'autres sujets. Comme d'habitude, je me fais toujours un plaisir. J'essaye vraiment, vraiment, vraiment. Enfin, c'est pas que j'essaye, c'est que je réponds à tout le monde. J'aime bien partager avec vous. Ça me permet aussi de me dire que je ne suis pas toute seule derrière le micro parce que, ok, je vois vos vues, je vois vos j'aime, je vois tout ça, mais des fois, on peut se sentir seule derrière un podcast. Même si je vous avoue aussi que je commence les interviews et que ça, ça me fait trop plaisir, mais voilà. Venez parler avec moi, venez échanger avec moi, c'est toujours un plaisir. Et puis, on se retrouve très vite pour un prochain épisode sur ce sujet et sur d'autres. Donc, je vous dis à très bientôt pour un nouvel épisode. Ciao !

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Description

Dans ce 2ème épisode de la série « Ma cuisine zéro déchet », je te raconte comment j'ai remplacé le jetable par des alternatives durables — verre, inox, tissu, silicone — et comment je réduis mes déchets sans me compliquer le quotidien.



Mentionnés dans l'épisode :

• L'épisode : Un mariage minimaliste & intime — les détails d'un magnifique week-end

• L'épisode : Un mariage minimaliste & intime — nos choix hors des sentiers battus

Panier Pique-Nique Nature & Découvertes

• L'épisode : S'engager, réduire ses déchets, protéger la planète — avec Morgane de @lehavrezerodechet

• L'épisode : PODCASTHON | Le mouvement « Zéro Déchet France » : des gestes simples pour un impact durable 🌱

• L'épisode : Désencombrer par où commencer ? + différentes méthodes de désencombrement

• L'épisode : « Qu'est ce qu'on mange ce soir ? » : Astuces pour organiser ses repas

• Qu'est ce que le freeganisme ?


Tous les produits mentionnés dans cet épisode ont été achetés par mes soins. Il ne s’agit d’aucun partenariat ni contenu sponsorisé — simplement de mes choix personnels, testés et approuvés au fil du temps.


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Transcription

  • Speaker #0

    J'espère que vous allez bien, j'espère que je vous retrouve en forme depuis la semaine dernière. Je ne sais pas si vous avez eu le temps, peut-être que vous êtes au taquet et que vous avez eu le temps d'écouter l'épisode de la semaine dernière, le tout premier épisode de cette série de réduction des déchets dans la cuisine. Peut-être que vous êtes déjà au taquet et que vous avez déjà pris la décision de mettre des astuces en place pour réduire vos déchets, en tout cas en ce qui concerne Tout ce qui est acheté et conservé sans plastique. Parce que c'est ce qu'on a vu la semaine dernière. Pour ceux qui ne le savent pas et qui arrivent sur ce nouvel épisode. Même si honnêtement j'ai mis 2 sur 4 dans le titre. Donc normalement je pense qu'on commence dans l'ordre. Mais on sait jamais. Parce que chacun fait bien comme il veut. Et cette semaine, donc on reste toujours dans la cuisine. Mais cette fois on va voir comment cuisiner sans jeter. Je vais vous partager ce que j'ai mis en place pour limiter les déchets pendant la préparation des repas. Donc encore une fois, remplacer le jeu de table par des alternatives réutilisables, cuisiner maison autant que possible, adopter des gestes simples qui permettent de réduire le gaspillage au quotidien. Et encore une fois, tout ça, ça se veut sans contraintes, avec le moins de contraintes possibles. juste des astuces concrètes que j'utilise moi personnellement, parce qu'évidemment, comme d'habitude, je pars de ma propre expérience personnelle, pour aussi vous montrer que rien n'est parfait, que chacun a son chemin, et que peut-être que vous faites des choses que moi je ne fais pas, et vice-versa. Mais en tout cas, j'espère que tout ça, ça pourra vous inspirer. Donc on y va, sans plus attendre. Déjà, de manière totalement générale du truc, Je fais un maximum la chasse au plastique. Donc je la faisais. La semaine dernière, je vous racontais que je la faisais par rapport à tout ce qui était dans les magasins, dans les supermarchés et compagnie. Mais alors j'essaye aussi de la faire un maximum dans tous les accessoires de cuisine. Tout ce qui me sert à cuisiner ou à manger, etc. Je privilégie un maximum le verre, l'inox, le bois. En tout cas, toutes les matières plus nobles. Je crois qu'il y a aussi la fonte, la céramique, enfin voilà. Le plastique, ça dégage. Ça fait longtemps, même en plus, avec le côté minimalisme que j'ai, la quantité... Euh, la quantité, ça y est, je commence à fatiguer. La qualité au lieu de la quantité et tout ça, blablabla. Bien évidemment que j'aime m'entourer de belles choses, de belles matières. Et donc du coup, le plastique, c'est bye bye. Bien évidemment qu'il y a quand même des choses qui sont en plastique dans notre cuisine. Mais c'est, allez, 10%, on va dire. On va essayer de mettre un petit pourcentage. 10% de ce que notre cuisine, enfin de ce qui compose notre cuisine, et les 90% restants, c'est les belles matières que je viens de vous citer. Le plastique, en tout cas, quasiment 99% du temps, il n'est pas en contact direct avec les aliments. Est-ce que j'ai des exemples comme ça ? La semaine dernière, je vous parlais des couvercles en plastique qui commençaient à se péter, là, de mes boîtes de conservation. Je ne mets jamais à ras bord, donc les aliments touchent. le verre, mais ne touche pas le plastique du couvercle. Après, le plastique, il peut être présent, par exemple, sur certains de mes produits, certains de mes petits électroménagers ou des choses comme ça. Mais par contre, il ne touche pas les aliments. Quand ça touche les aliments, généralement, c'est de l'inox, c'est du verre. Je ne crois pas, franchement, le seul plastique qui touche mes aliments. C'est mes moules à muffins en silicone, il me semble, de mémoire. C'est la Maryse, Marquise. La Maryse, vous savez, là, ce qu'il faut racler dans les saladiers quand on fait de la pâtisserie, ce qui racle bien, là, qui est en silicone aussi. Qu'est-ce que j'ai d'autre encore en plastique qui touche ? Je crois que c'est tout, parce qu'après, vraiment... Peut-être mon presse-agrume de chez Moulinex, là, le presse-agrume électrique. Du coup, l'orange est en contact avec du plastique. Mais sinon, non. Sinon, c'est vraiment... Si j'ai un électroménager qui est composé de plastique, ben voilà. Mais voilà. Franchement, majoritairement, c'est inox, verre et bois chez nous. Je fais hyper attention à ça. Et puis, de toute façon, le plastique, non, c'est stop. Déjà, c'est moche. C'est pas bon pour la santé. Enfin, voilà. En tout cas, nous, pour notre part, ça dégage un maximum. Ça, c'est clair. La vaisselle jetable, c'est pareil, ça fait tellement longtemps qu'on n'a plus ça à la maison. Franchement, dans notre démarche, c'est vite dégagé. Je ne dis pas qu'on n'en a plus jamais, parce qu'encore une fois, on est tous humains, et parfois, franchement, alors quand je vous dis parfois, chez nous, c'est peut-être une à deux fois par an, et encore, c'est vraiment un parfois très rare, mais en tout cas, c'est vrai que ça existe. Assiette en carton, verre en carton, mais vraiment... ultra rare quand vraiment on a la méga grosse flemme mais c'est tellement rare parce que récemment dans les événements récents de ma vie on va dire où il ya vraiment eu beaucoup de personnes qui pourraient nécessiter d'avoir de la vaisselle jetable et tout ça on a eu notre mariage on s'est marié en petit com en petit comité d'ailleurs j'ai tout un épisode de podcast ou même deux ou trois épisodes de podcast sur le sujet du mariage ça vous intéresse vous remettrait tout ça en description de l'épisode encore une fois comme d'habitude tout ce qui tout ce que je mentionne est en description de l'épisode. Mais on a eu un petit peu moins de 20 personnes à la maison parce que notre repas de mariage, on l'a fait à la maison. Et on a utilisé de la vaisselle normale. On n'a pas utilisé de la vaisselle jetable. On avait un très beau buffet. Et c'était parfait. Et d'ailleurs, n'hésitez pas quand vous êtes plusieurs chez vous, que vous n'avez pas forcément un million de vaisselle comme nous parce que vous êtes minimaliste et que vous n'avez pas un million d'assiettes ou vous avez la flemme ou peu importe, à faire des buffets, des choses où les gens se serrent un peu du... de l'apéro-dinatoire et tout ça. Nous, c'est ce qu'on fait et ça marche très bien. Mais en tout cas, plus de vaisselle jetable. Et notamment, par exemple, on pourrait dire les pique-niques en extérieur ou des choses comme ça. Moi, j'ai un très joli panier à pique-nique qui m'avait été offert par mon papa. Il l'avait acheté à Nature et Découverte. Il est increvable parce que c'est de la bonne qualité. Parce qu'à l'intérieur, ce n'est pas des assiettes en plastique. Alors, vous savez, il y a aussi beaucoup, même chez Action, même dans tout ce style de magasin, on voit beaucoup passer de la vaisselle, on va dire un peu... Ce n'est pas du plastique jetable, mais ça reste du plastique quand même. Parce que voilà, c'est léger aussi le plastique. Et bien moi, dans mon super beau panier pique-nique offert par mon père, j'ai de la vaisselle en... en belles matières. J'ai des verres en verre. En plus, c'est des jolis verres à pied. J'ai des couverts en inox. Et tout ça, c'est très beau. C'est bien adapté dans le panier pour que tout soit attaché. C'est génial. Franchement, nous, le panier en tissu, ça claque franchement au-delà de ça. Dans tout ce qui est romantiser son quotidien, pareil, je vous ferai un épisode de podcast sur le sujet, mais dans tout ce qui est romantiser son quotidien, avoir des belles choses, aller faire un pique-nique avec un beau panier en pique-nique, qu'on a une nappe de pique nique qu'on utilise tellement souvent la nappe de pique nique qu'on lave en machine et tout ça et bah ça claque en fait c'est hyper joli à faire donc voilà nous on est team panier de pique nique team glaciaire et et c'est très bien pour aller faire des pique nique donc pas de vaisselle jetable ou pas de vaisselle en plastique dégueulasse chez nous ça c'est sûr je suis un peu virulente enfin c'est même pas que je suis virulente parce que pas du tout et parce que je fais plein de disclaimers en expliquant que c'est aucun jugement de ma part et tout ça franchement je vous le redis c'est aucun jugement De ma part, quand je dis plastique dégueulasse et tout, c'est juste ma façon de voir les choses. Mais c'est en aucun cas pour être la police, comme je disais la semaine dernière, la police du zéro déchet, non. Moi, je ne vais pas aller voir chez vous si vous faites ce que moi je fais ou si vous faites autre chose que moi je ne fais pas. Ou peu importe, chacun est dans son chemin, les amis. Je le répète, je le redis, je le persiste et je le signe. Voilà. Mais ensuite... Il y a tout ce qui est papier cuisson. Alors, je vous disais déjà la semaine dernière que je n'avais plus de papier aluminium et de film étirable en plastique. D'ailleurs, je ne vous ai pas dit la semaine dernière, mais le film étirable, pour les gens qui utilisent ça, au-delà du fait que ça produit du déchet, on laisse ça de côté deux secondes. Le film étirable. Mon mari avait ça. J'ai aussi encore des rouleaux que mon mari avait, parce que la semaine dernière, je vous parlais de mes grands-parents. Mais même mon mari achetait ça. Parce que lui, film étirable, c'était son truc, quoi. Mais c'est une galère, ce truc. Mais moi, je déteste ça. Ne serait-ce que d'utiliser ce machin-là. Là, on ne parle même pas des déchets. C'est ne serait-ce que d'utiliser ce truc sans se galérer. à l'utiliser, parce que moi, je trouve ça chiant. Le film, même si vous craquez avec les dents du carton, soi-disant que c'est là pour t'aider et tout ça, c'est une galère. Des fois, ça tient mal en fonction de la qualité du film alimentaire. C'est une galère à arracher. Franchement, c'est une galère sans nom. Bref, on parlait de ça, mais du coup, moi, je n'ai plus de papier cuisson. A la place, j'ai des tapis de cuisson lavables en silicone. Alors, les miens, je les avais achetés chez Maton. A l'époque, moi, je m'étais juste dit, je ne veux plus acheter de tapis de cuisson. Je veux des tapis de cuisson réutilisables. Après, je vous avoue qu'à l'époque, j'étais encore moins, on va dire, au point. Et d'ailleurs, je ne suis encore pas trop au point sur certaines choses sur le sujet. De savoir si les tapis de cuisson que j'ai pris, qui sont lavables chez Maton, en silicone là, si c'est de la qualité, si c'est du plastique de qualité, si c'est du silicone de qualité et que je ne risque pas de m'intoxiquer à chaque fois que je fais des trucs sur mon tapis de cuisson. Mais ce que je peux vous dire vis-à-vis de ça, en tout cas en connaissance de cause, c'est que j'ai des tapis de cuisson qui commencent à rendre l'âme. Parce que voilà, moi j'utilise jusqu'à la moelle, donc il va falloir que j'en rachète. Donc au moment où je vais racheter, maintenant que je suis un peu plus sensibilisée maintenant à cette histoire de qualité dans les matériaux que j'achète, même si c'est du plastique, du silicone et tout ça, je me renseignerai sur le sujet et surtout un truc que je fais de manière générale et que je vous invite à faire. Si chez vous, vous avez des ustensiles en plastique, des trucs en plastique, des poils téfales à la con là, ce genre de choses, quand je dis poils téfales à la con, non mais il faut que j'arrête parce que vous allez vraiment croire. que je suis une mauvaise, mais c'est pas du tout ça. Mais en fait, dans le sens que quand vous avez des choses en plastique qui commencent à s'abîmer, genre votre fond de poêle, il est rayé, genre votre ustensile, il est fondu, ou il est abîmé, genre mon tapis de cuisson qui commence à être un peu rand de lame, débarrassez-vous de ça, à la déchetterie, parce que à partir de ce moment-là où il y a des fissures dans le truc, on est en train de s'intoxiquer. Alors, je me dis « on » parce qu'en fait, j'ai un tapis de cuisson que je continue à utiliser, alors que je ne devrais pas. Et d'ailleurs, je pense qu'après cet épisode, je m'en séparerai. Parce que voilà, mais il faut s'en séparer les amis, parce que vous êtes en train de vous intoxiquer la santé. Donc voilà pour cette parenthèse de tout ce qui était plastique et tout ça. Mais soit j'utilise tapis de cuisson en silicone, ou je ne sais pas c'est quoi la matière, je ne suis même pas sûre que ce soit du silicone, mais vous voyez ce que je veux dire. Ou alors parfois, je pousse carrément le vis, c'est que... j'utilise la pâte feuilletée, le papier cuisson, vous savez, qui enroule la pâte feuilletée. En fait, j'utilise ça, que je laisse dans mon plat, quand je déroule la pâte feuilletée. Et du coup, voilà. Comme ça, je l'utilise avant que ça finisse de toute façon de paraître un déchet. Mais ça, les amis, bientôt je ne pourrai plus le faire. Parce que la semaine dernière, je ne sais pas si vous vous rappelez, je vous disais dans l'épisode de la semaine dernière que j'ai investi... J'ai craqué mon slip dans un truc qui m'a coûté un rein. C'est pour ça que je ne pouvais pas tout de suite investir dans le Be Save pour la mise en conservation sous vide de chez Guy Demarle. Parce que j'ai investi dans autre chose, dont je ne vous parlerai pas encore dans cet épisode. Parce que je suis très coquine et que je garde encore la surprise le temps que je n'ai pas reçu cet investissement. Mais bientôt, je serai peut-être en capacité de faire ma pâte feuilletée maison. Parce que je fais déjà ma pâte brisée maison, mais la pâte feuilletée, trop compliqué la pâte feuilletée. Et moi, tout ce qui est compliqué, ça dégage. D'accord ? Mais peut-être qu'un jour, je pourrais faire ma propre pâte feuilletée. Donc, si je fais ma propre pâte feuilletée, je n'achèterai plus de pâte feuilletée du commerce. Donc, je n'aurai plus de papier de cuisson pour la pâte feuilletée. Voilà. C'était la petite parenthèse. Ensuite, qu'est-ce qu'on a d'autre encore dont je voulais vous parler ? Il y a les cure-dents, les petits cure-dents en bois. Alors déjà, les petits cure-dents, si vous avez les petits cure-dents en bois, je crois que c'est du bois, si je ne me trompe pas, ça, vous pouvez les composter. Donc, ça ne fait pas trop de déchets proprement dit, parce que ça retourne à la terre. D'accord ? Composter, ça fait partie des 5 R du mouvement zéro déchet. On se remet un petit peu dans tout ce qu'on avait dit, et avec Morgane sur l'épisode... concernant le zéro déchet, et quand j'avais fait l'épisode du podcaston concernant le zéro déchet. Donc, les 5 R sur le podcast, ce n'est pas la première fois que je vous en parle. Donc les petits pics, les petits cure-dents en bois, ça peut retourner au compost si vous avez un compost. Mais on évite quand même de faire un maximum de déchets, d'acheter. On essaie aussi de faire attention à son porte-monnaie et tout ça. Donc moi, ça fait longtemps que j'ai investi dans des pics apéro en inox. J'avais trouvé ça, je ne sais plus où d'ailleurs, mais vous tapez pics apéro en inox. Et puis j'ai aussi, parce que je suis transparente avec vous comme d'habitude, des pics apéro en plastique. qu'on m'avait offert en cadeau, que j'ai toujours à la maison. Voilà, mais encore une fois, je vous conseille l'inox, et ça existe en inox. Dans la même veine, j'ai les piques à brochettes. Alors, il faut quand même savoir que nous, les piques à brochettes à la maison, on les utilise quasiment pas. Franchement, si je les ai utilisées une fois depuis que je les ai achetées, c'était pour remplacer les piques à brochettes pareilles que vous pouvez acheter en bois, un peu comme... Comme les cure-dents, mais encore une fois, ok, vous pouvez les composter, mais ça reste un déchet. Et ça reste un budget. On investit dans des choses réutilisables, ça fait aussi du bien à son porte-monnaie, vraiment. Mais alors les piques à brochettes en inox, qu'est-ce que j'avais fait avec ça ? Peut-être des brochettes une fois, peut-être des brochettes de viande une fois, peut-être des brochettes de fruits une fois. Mais peut-être que ça sera quelque chose, soit que je désencombrerai, ou soit qu'avec mon petit truc mystère que je ne veux pas vous dire que j'ai acheté, que j'ai investi. Peut-être je serai amenée à faire plus de marinade ou pas, j'en sais rien, je verrai. Et à ce moment-là, je serai peut-être amenée à plus les utiliser. Mais encore une fois, à voir. Mais si vous êtes le genre de personne qui utilisait souvent des pics à brochettes en inox ou des pics à brochettes en bois, je vais y arriver, ou des cure-dents en bois, vous pouvez avoir ces solutions-là. Encore une fois, tout ce que je vous dis depuis le début et ce que je vous dirai dans les deux prochains épisodes, ne vous inventez pas une vie. Ne vous créez pas une vie, ne vous créez pas des besoins. remplacer ce dont vous avez besoin. Parce que c'est aussi le piège. De toute façon, tous les trucs de consommation, de manière générale, c'est le piège d'aller dans l'extrême et de se dire, « Waouh, mais c'est génial, toutes ces solutions zéro déchet et tout ça, je vais acheter ci, je vais acheter ça, et patati et patata. » Si, et vous verrez notamment dans le quatrième épisode, parce que j'en parlerai plus profondément dans cet épisode-là, qui va clôturer, l'épisode qui clôturera la réduction des déchets dans la cuisine. Mais si vous n'avez pas besoin de piques à brochettes, par exemple, parce que comme moi, vous faites très peu de brochettes ou pas du tout, ne vous inventez pas une vie, n'achetez pas de piques à brochettes en inox. Vous voyez ce que je veux dire un petit peu ? On essaye de garder une certaine cohérence dans ce qu'on fait. Donc tous les conseils que je vous donne, et que je vous donnerai dans le futur, faites en fonction de vous. N'allez pas tout claquer votre fric pour des choses qui ne vont pas vous servir, et que vous serez obligés d'écouter. l'épisode 3 du podcast parce que il faudra que vous désencombriez. Vous désencombriez. Parce que vos placards seront trop pleins de choses que vous n'utiliserez pas. Et après, vous allez me dire, non mais Clément, ça nous dit qu'elle remplace par ça, elle nous crée des besoins, puis après elle nous dit de désencombrer. Enfin, c'est le serpent qui se mord la queue, donc on ne fait pas ça. D'accord ? Donc, voilà. Ensuite, quand je cuisine, je cuisine maison un maximum. Ça déjà, ne serait-ce que ça en tant que tel. Ça permet de limiter les emballages, les sur-emballages et tout ce qu'on veut là, de mieux manger. Je fais un maximum à partir d'aliments bruts. Alors encore une fois, attention, ça c'est ce que je fais majoritairement. Mais on n'est pas parfait et parfois on achète encore des aliments qui sont transformés. Non, parce que ça vraiment, la majeure partie, c'est un peu comme ce que je vous expliquais la dernière fois. Sur le ratio 90-10 chez nous, c'est un peu pareil pour les aliments transformés. Chez nous, c'est 90% d'aliments bruts et 10% d'aliments transformés en gros. Mais surtout, ce que je voulais vous dire par rapport aux déchets, c'est qu'on n'est pas à l'abri parfois, de temps en temps, parce que c'est comme ça. C'est la vraie vie d'avoir des aliments qui sont ultra emballés. Voilà, moi je ne suis pas parfaite, moi je n'ai pas envie de vous vendre du rêve. Je n'ai pas envie de vous vendre du rêve en vous faisant croire que je n'ai jamais de déchets, que tout ce que j'ai fait qui est majoritairement acquis, parfois il n'y a pas des entorses à la règle, vous voyez. Donc je préfère vous le rappeler et vous le rappeler et vous le rappeler encore. Et si vous voulez en savoir plus sur comment on cuisine, notre processus pour cuisiner, chercher les recettes, qu'est-ce qu'on va faire à manger, etc. J'ai justement un épisode de podcast qui s'appelle « Qu'est-ce qu'on mange ce soir ? » Voilà. Mais ce que je vous disais dans l'épisode de rentrée... du podcast du mois de septembre. Je vous disais que ces épisodes-là, qu'est-ce qu'on mange ce soir, et tout ce qui est organisation en cuisine, organisation des courses et tout ça, je vous ferai un épisode mis à jour sur le suivi parce qu'il y a des choses qui ont changé depuis que j'ai enregistré ces épisodes. Et il y a des choses qui sont toujours d'actualité, donc vous pouvez quand même aller les écouter si ce n'est pas encore fait. Ensuite, qu'est-ce qu'on fait aussi ? Eh bien, bien évidemment, on va accommoder un maximum les restes. Pour éviter justement le gaspillage, parce que ça, le gaspillage chez nous, c'est hors de question. Et c'est, en gros, ça, ça n'arrive quasiment jamais. 99, j'aime bien les pourcentages en ce moment, 99,99% du temps, on ne gaspille aucun reste. Aucun reste. Ce n'est pas possible. On décale. Parce qu'en fait, tu prévois les menus à la semaine, et bien on décale. S'il y a des restes, on décale. Les menus, ça permet même des fois, parfois, jusqu'à la semaine suivante, d'avoir encore des repas sans nécessairement avoir besoin de retourner aux courses. Mais le gaspillage chez nous, il y a no way. Il n'y a pas moyen qu'on gaspille, ce n'est pas possible. Au-delà du fait de créer des déchets, c'est aussi le fait des gens qui n'ont pas assez à manger, des gens qui meurent de faim et tout ça. Ce n'est pas possible. Moi, je sensibilise mon fils à ça. Je suis sensibilisée à ça, ce n'est pas possible le gaspillage alimentaire. Moi, vous me voyez souvent traîner dans les rayons anti-gaspi. Alors ok, les rayons anti-gaspi, c'est un petit peu contradictoire avec ce que je suis en train de vous dire, parce que ça crée des déchets. Parce que le plus souvent dans les rayons anti-gaspi, ce sont des produits emballés ou suremballés. C'est pas, majoritairement, c'est du plastique et c'est pas ce qu'on veut, mais voilà. Aucune démarche est parfaite. et pour faire... Par rapport à toutes nos convictions, c'est compliqué. Il n'y a pas de solution parfaite, il n'y a pas de solution miracle. Mais par contre, moi, vous me voyez très souvent dans les rayons anti-gaspi parce qu'il est hors de question. Moi, je trouve ça aberrant, le gaspillage alimentaire qui est encore, et pas seulement dans les foyers de gens comme vous et moi, dans les foyers de manière générale, aussi dans les magasins, tout ce qui est encore jeté à la poubelle. J'adore écouter aussi du contenu par rapport aux gens qui récupèrent dans les poubelles des choses, ils ont raison de faire ça. Moi, je n'ose pas parce que, encore une fois, je respecte tout, je suis trop timide et ce genre de choses. Mais le glanage, je crois que ça s'appelle le friganisme ou quelque chose comme ça, j'essaierai de vous trouver une petite définition ou une petite ressource à vous mettre sur le sujet dans la description de l'épisode. Mais voilà, il y a trop de gaspillage. Il y a tellement trop encore de fins dans le monde, de gens qui sont aussi des gens qui sont démunis. pas assez de ressources pour pouvoir manger à leur faim et tout ça, qu'il est hors de question pour nous de gaspiller. Il n'y a même pas moyen. Il n'y a même pas moyen. Qu'est-ce qu'on fait d'autre aussi ? Bien évidemment, comme je disais tout à l'heure, rendre à la terre le compostage. Donc, des déchets organiques. Donc, nous, on a un seau à compost dans la cuisine et on a aussi, bien évidemment, du coup, notre compost dans le jardin parce qu'après, on vient mettre, vider le seau. de la cuisine dans notre compost de jardin. Alors nous, on est carrément encore pire. Enfin, encore pire. On est carrément encore hyper avancé dans notre histoire de compost parce qu'on a deux composts dans le jardin qu'on alterne d'année en année. C'est-à-dire qu'actuellement, on a un compost où l'on met les déchets organiques de l'année et on a le compost de l'année dernière qui, lui, est prêt à l'emploi. pour notre potager, pour préparer notre potager l'hiver, pour nos jardinières, pour tout ce qu'on veut bien, pour utiliser dans notre jardin et dans notre potager. Donc nous, on a même deux composts. Et n'hésitez pas aussi, par rapport au compost, si vous avez un jardin, de demander à votre commune s'il y a des aides. Enfin, si vous pouvez avoir un compost. Par exemple, moi, je sais que nous, on peut avoir un compost. moyennant une participation financière, mais qui est moins chère que si on achète le compost par nous-mêmes parce que la commune prend en charge une partie. En tout cas, notre communauté de communes prend en charge une partie. Et des fois, il y a directement des communes et des communes ou des communes qui offrent gratuitement un compost par foyer, en fait. Donc, voilà. Et si j'ai bien fait mon travail, quand cet épisode sortira, vous aurez un article complet sur le blog Merci. pour tout ce qui concerne le compost. Je vais commencer par un article de blog, et peut-être que je le ferai en format podcast aussi, je verrai, ou peut-être pas, peu importe. Mais ce qui est sûr, c'est que j'aimerais bien, donc j'espère que ce sera le cas quand vous écouterez cet épisode, même si je vous avoue que je suis débordée en ce moment, mais j'espère que j'aurai eu le temps, en collaboration avec mon mari, qui s'y connaît beaucoup plus que moi, sur tout ce qui est compostage, compost, et sur toutes les ressources que je farfouillerai pour vous donner des informations plus justes. pour vous faire un article de blog complet sur le sujet, pour les personnes que ça intéresse, savoir ce qu'on met dans un compost, ce qu'on évite de mettre dans un compost, comment s'organiser avec son compost, même si on est en maison ou si on est en appartement, les solutions, etc. J'essaierai de vous faire un article complet sur le sujet. D'ailleurs, je pense qu'en article de blog, c'est pas mal, parce que vous pouvez y avoir accès facilement et avoir le détail facilement. Ça se prête plus qu'à un épisode de podcast. Et ce qu'on fait, bien évidemment, mais ça coule de source parce que j'en ai déjà parlé dans l'épisode du podcaston, j'en ai déjà parlé dans l'épisode avec Morgane, évidemment il y a le tri des déchets. Alors il faut savoir que recycler, je repars avec mes 5 R, je rabâche avec mes 5 R. En fait je vais rajouter un sixième R qui va être le R rabâcher. C'est-à-dire en gros, alors je ne sais pas si rabâcher c'est un mot normand. ou si c'est utilisé à l'échelle nationale, mais en gros, rabâcher, c'est répéter, répéter, répéter encore. Parce que si jamais c'est du patois de ma région, je m'en excuse. C'est répéter encore la même chose, mais trier les déchets, c'est le dernier R des 5 R du mouvement zéro déchet. C'est-à-dire qu'on essaye avant de refuser le déchet, après on essaye de réduire le déchet, je crois. Oh punaise, ça y est, je ne sais plus mes 5 R. refuser, réutiliser, réduire, rendre à la terre, recycler. Ou recycler, rendre à la terre, je ne sais plus l'ordre. Bref, on s'en fout. Ça fait partie des 5 R. Et recycler, on essaye de le faire vraiment en dernier recours, quand on ne peut pas faire tous les autres d'avant. Parce que moi, je suis encore plus en ce moment, en plus, dans une démarche où je veux diminuer aussi mes déchets dans le sens... où je veux m'éviter d'aller tout le temps au bac de tri porter mes bacs de déchets recyclables. Même si la bonne nouvelle qui vient de tomber dans, en tout cas nous, notre communauté de communes, à partir de février 2026, on va avoir les bacs jaunes directement collectés en porte-à-porte, mais ce n'est pas une raison en fait, je me dis, ce n'est pas une raison en fait pour ne pas... diminuer nos déchets recyclables, parce que ça fait partie de la démarche zéro déchet dans laquelle on est, et surtout que d'ici février 2026, on en a marre d'aller porter les bacs de déchets recyclables, parce que même si on fait super attention, même si on est avancé dans notre démarche, on a toujours des bacs à aller porter, et c'est chiant, et on oublie, et on râle, et c'est chiant. Voilà. Donc, le tri des déchets, en dernier recours, et on essaye d'éviter un maximum les déchets. même s'ils sont recyclables. Voilà les amis pour ce deuxième épisode de cette série consacrée à la cuisine et à la façon de cuisiner sans jeter. Comme toujours, je le répète, ce n'est pas pour vous juger sur ce que vous faites ou non, mais c'est vraiment pour vous inspirer, partager des idées auxquelles peut-être vous n'avez pas pensé, montrer que même des petits changements, ça peut avoir un vrai impact. Même pour vous, en fait, même personnellement, avant l'impact collectif, ça démarre, comme on disait avec Morgane, par vous. C'est bon pour votre porte-monnaie, c'est bon pour votre santé, c'est bon pour la planète, donc c'est tout bénef, ça n'a que des avantages. L'inconvénient, franchement, ce serait de vous rajouter de la charge mentale, mais moi qui veux alléger ma charge mentale à maximum, une fois que les habitudes sont prises, franchement, il n'y a rien de plus à faire. Vous voyez, c'est pas... Enfin, en tout cas, il n'y a rien d'insurmontable. Moi, de toute façon, quand c'est insurmontable, j'abandonne. Pour un temps peut-être définitif ou un temps, voilà, comment on dit, je ne sais plus, j'ai perdu le mot, qu'on ne sait pas. Un temps indéterminé, voilà, je retrouve mon mot. Mais en tout cas, voilà, faites à votre rythme, progressivement, selon ce qui vous semble faisable, ce qui vous facilite la vie. Chaque geste compte, n'oubliez pas que chaque geste compte, chacun avance à son propre rythme, ok ? dans le prochain épisode donc dans l'épisode numéro 3 de cette série On continuera, encore une fois, dans la cuisine, mais cette fois, ce sera pour aborder tout ce qui a un rapport avec nettoyer, entretenir autrement, avec, encore une fois, des alternatives simples et durables. Je vous mets tout ce qu'il faut dans la description de cet épisode. N'hésitez pas à partager autour de vous, à vous abonner, à échanger avec moi sur le sujet, à venir me dire sur Instagram, sur Youtube, par tous les moyens que vous pouvez me contacter, à venir me dire ce que vous faites, vous, si vous avez des difficultés sur certaines choses, si vous voulez que je réponde. à vos questions sur le sujet ou sur d'autres sujets. Comme d'habitude, je me fais toujours un plaisir. J'essaye vraiment, vraiment, vraiment. Enfin, c'est pas que j'essaye, c'est que je réponds à tout le monde. J'aime bien partager avec vous. Ça me permet aussi de me dire que je ne suis pas toute seule derrière le micro parce que, ok, je vois vos vues, je vois vos j'aime, je vois tout ça, mais des fois, on peut se sentir seule derrière un podcast. Même si je vous avoue aussi que je commence les interviews et que ça, ça me fait trop plaisir, mais voilà. Venez parler avec moi, venez échanger avec moi, c'est toujours un plaisir. Et puis, on se retrouve très vite pour un prochain épisode sur ce sujet et sur d'autres. Donc, je vous dis à très bientôt pour un nouvel épisode. Ciao !

Description

Dans ce 2ème épisode de la série « Ma cuisine zéro déchet », je te raconte comment j'ai remplacé le jetable par des alternatives durables — verre, inox, tissu, silicone — et comment je réduis mes déchets sans me compliquer le quotidien.



Mentionnés dans l'épisode :

• L'épisode : Un mariage minimaliste & intime — les détails d'un magnifique week-end

• L'épisode : Un mariage minimaliste & intime — nos choix hors des sentiers battus

Panier Pique-Nique Nature & Découvertes

• L'épisode : S'engager, réduire ses déchets, protéger la planète — avec Morgane de @lehavrezerodechet

• L'épisode : PODCASTHON | Le mouvement « Zéro Déchet France » : des gestes simples pour un impact durable 🌱

• L'épisode : Désencombrer par où commencer ? + différentes méthodes de désencombrement

• L'épisode : « Qu'est ce qu'on mange ce soir ? » : Astuces pour organiser ses repas

• Qu'est ce que le freeganisme ?


Tous les produits mentionnés dans cet épisode ont été achetés par mes soins. Il ne s’agit d’aucun partenariat ni contenu sponsorisé — simplement de mes choix personnels, testés et approuvés au fil du temps.


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Transcription

  • Speaker #0

    J'espère que vous allez bien, j'espère que je vous retrouve en forme depuis la semaine dernière. Je ne sais pas si vous avez eu le temps, peut-être que vous êtes au taquet et que vous avez eu le temps d'écouter l'épisode de la semaine dernière, le tout premier épisode de cette série de réduction des déchets dans la cuisine. Peut-être que vous êtes déjà au taquet et que vous avez déjà pris la décision de mettre des astuces en place pour réduire vos déchets, en tout cas en ce qui concerne Tout ce qui est acheté et conservé sans plastique. Parce que c'est ce qu'on a vu la semaine dernière. Pour ceux qui ne le savent pas et qui arrivent sur ce nouvel épisode. Même si honnêtement j'ai mis 2 sur 4 dans le titre. Donc normalement je pense qu'on commence dans l'ordre. Mais on sait jamais. Parce que chacun fait bien comme il veut. Et cette semaine, donc on reste toujours dans la cuisine. Mais cette fois on va voir comment cuisiner sans jeter. Je vais vous partager ce que j'ai mis en place pour limiter les déchets pendant la préparation des repas. Donc encore une fois, remplacer le jeu de table par des alternatives réutilisables, cuisiner maison autant que possible, adopter des gestes simples qui permettent de réduire le gaspillage au quotidien. Et encore une fois, tout ça, ça se veut sans contraintes, avec le moins de contraintes possibles. juste des astuces concrètes que j'utilise moi personnellement, parce qu'évidemment, comme d'habitude, je pars de ma propre expérience personnelle, pour aussi vous montrer que rien n'est parfait, que chacun a son chemin, et que peut-être que vous faites des choses que moi je ne fais pas, et vice-versa. Mais en tout cas, j'espère que tout ça, ça pourra vous inspirer. Donc on y va, sans plus attendre. Déjà, de manière totalement générale du truc, Je fais un maximum la chasse au plastique. Donc je la faisais. La semaine dernière, je vous racontais que je la faisais par rapport à tout ce qui était dans les magasins, dans les supermarchés et compagnie. Mais alors j'essaye aussi de la faire un maximum dans tous les accessoires de cuisine. Tout ce qui me sert à cuisiner ou à manger, etc. Je privilégie un maximum le verre, l'inox, le bois. En tout cas, toutes les matières plus nobles. Je crois qu'il y a aussi la fonte, la céramique, enfin voilà. Le plastique, ça dégage. Ça fait longtemps, même en plus, avec le côté minimalisme que j'ai, la quantité... Euh, la quantité, ça y est, je commence à fatiguer. La qualité au lieu de la quantité et tout ça, blablabla. Bien évidemment que j'aime m'entourer de belles choses, de belles matières. Et donc du coup, le plastique, c'est bye bye. Bien évidemment qu'il y a quand même des choses qui sont en plastique dans notre cuisine. Mais c'est, allez, 10%, on va dire. On va essayer de mettre un petit pourcentage. 10% de ce que notre cuisine, enfin de ce qui compose notre cuisine, et les 90% restants, c'est les belles matières que je viens de vous citer. Le plastique, en tout cas, quasiment 99% du temps, il n'est pas en contact direct avec les aliments. Est-ce que j'ai des exemples comme ça ? La semaine dernière, je vous parlais des couvercles en plastique qui commençaient à se péter, là, de mes boîtes de conservation. Je ne mets jamais à ras bord, donc les aliments touchent. le verre, mais ne touche pas le plastique du couvercle. Après, le plastique, il peut être présent, par exemple, sur certains de mes produits, certains de mes petits électroménagers ou des choses comme ça. Mais par contre, il ne touche pas les aliments. Quand ça touche les aliments, généralement, c'est de l'inox, c'est du verre. Je ne crois pas, franchement, le seul plastique qui touche mes aliments. C'est mes moules à muffins en silicone, il me semble, de mémoire. C'est la Maryse, Marquise. La Maryse, vous savez, là, ce qu'il faut racler dans les saladiers quand on fait de la pâtisserie, ce qui racle bien, là, qui est en silicone aussi. Qu'est-ce que j'ai d'autre encore en plastique qui touche ? Je crois que c'est tout, parce qu'après, vraiment... Peut-être mon presse-agrume de chez Moulinex, là, le presse-agrume électrique. Du coup, l'orange est en contact avec du plastique. Mais sinon, non. Sinon, c'est vraiment... Si j'ai un électroménager qui est composé de plastique, ben voilà. Mais voilà. Franchement, majoritairement, c'est inox, verre et bois chez nous. Je fais hyper attention à ça. Et puis, de toute façon, le plastique, non, c'est stop. Déjà, c'est moche. C'est pas bon pour la santé. Enfin, voilà. En tout cas, nous, pour notre part, ça dégage un maximum. Ça, c'est clair. La vaisselle jetable, c'est pareil, ça fait tellement longtemps qu'on n'a plus ça à la maison. Franchement, dans notre démarche, c'est vite dégagé. Je ne dis pas qu'on n'en a plus jamais, parce qu'encore une fois, on est tous humains, et parfois, franchement, alors quand je vous dis parfois, chez nous, c'est peut-être une à deux fois par an, et encore, c'est vraiment un parfois très rare, mais en tout cas, c'est vrai que ça existe. Assiette en carton, verre en carton, mais vraiment... ultra rare quand vraiment on a la méga grosse flemme mais c'est tellement rare parce que récemment dans les événements récents de ma vie on va dire où il ya vraiment eu beaucoup de personnes qui pourraient nécessiter d'avoir de la vaisselle jetable et tout ça on a eu notre mariage on s'est marié en petit com en petit comité d'ailleurs j'ai tout un épisode de podcast ou même deux ou trois épisodes de podcast sur le sujet du mariage ça vous intéresse vous remettrait tout ça en description de l'épisode encore une fois comme d'habitude tout ce qui tout ce que je mentionne est en description de l'épisode. Mais on a eu un petit peu moins de 20 personnes à la maison parce que notre repas de mariage, on l'a fait à la maison. Et on a utilisé de la vaisselle normale. On n'a pas utilisé de la vaisselle jetable. On avait un très beau buffet. Et c'était parfait. Et d'ailleurs, n'hésitez pas quand vous êtes plusieurs chez vous, que vous n'avez pas forcément un million de vaisselle comme nous parce que vous êtes minimaliste et que vous n'avez pas un million d'assiettes ou vous avez la flemme ou peu importe, à faire des buffets, des choses où les gens se serrent un peu du... de l'apéro-dinatoire et tout ça. Nous, c'est ce qu'on fait et ça marche très bien. Mais en tout cas, plus de vaisselle jetable. Et notamment, par exemple, on pourrait dire les pique-niques en extérieur ou des choses comme ça. Moi, j'ai un très joli panier à pique-nique qui m'avait été offert par mon papa. Il l'avait acheté à Nature et Découverte. Il est increvable parce que c'est de la bonne qualité. Parce qu'à l'intérieur, ce n'est pas des assiettes en plastique. Alors, vous savez, il y a aussi beaucoup, même chez Action, même dans tout ce style de magasin, on voit beaucoup passer de la vaisselle, on va dire un peu... Ce n'est pas du plastique jetable, mais ça reste du plastique quand même. Parce que voilà, c'est léger aussi le plastique. Et bien moi, dans mon super beau panier pique-nique offert par mon père, j'ai de la vaisselle en... en belles matières. J'ai des verres en verre. En plus, c'est des jolis verres à pied. J'ai des couverts en inox. Et tout ça, c'est très beau. C'est bien adapté dans le panier pour que tout soit attaché. C'est génial. Franchement, nous, le panier en tissu, ça claque franchement au-delà de ça. Dans tout ce qui est romantiser son quotidien, pareil, je vous ferai un épisode de podcast sur le sujet, mais dans tout ce qui est romantiser son quotidien, avoir des belles choses, aller faire un pique-nique avec un beau panier en pique-nique, qu'on a une nappe de pique nique qu'on utilise tellement souvent la nappe de pique nique qu'on lave en machine et tout ça et bah ça claque en fait c'est hyper joli à faire donc voilà nous on est team panier de pique nique team glaciaire et et c'est très bien pour aller faire des pique nique donc pas de vaisselle jetable ou pas de vaisselle en plastique dégueulasse chez nous ça c'est sûr je suis un peu virulente enfin c'est même pas que je suis virulente parce que pas du tout et parce que je fais plein de disclaimers en expliquant que c'est aucun jugement de ma part et tout ça franchement je vous le redis c'est aucun jugement De ma part, quand je dis plastique dégueulasse et tout, c'est juste ma façon de voir les choses. Mais c'est en aucun cas pour être la police, comme je disais la semaine dernière, la police du zéro déchet, non. Moi, je ne vais pas aller voir chez vous si vous faites ce que moi je fais ou si vous faites autre chose que moi je ne fais pas. Ou peu importe, chacun est dans son chemin, les amis. Je le répète, je le redis, je le persiste et je le signe. Voilà. Mais ensuite... Il y a tout ce qui est papier cuisson. Alors, je vous disais déjà la semaine dernière que je n'avais plus de papier aluminium et de film étirable en plastique. D'ailleurs, je ne vous ai pas dit la semaine dernière, mais le film étirable, pour les gens qui utilisent ça, au-delà du fait que ça produit du déchet, on laisse ça de côté deux secondes. Le film étirable. Mon mari avait ça. J'ai aussi encore des rouleaux que mon mari avait, parce que la semaine dernière, je vous parlais de mes grands-parents. Mais même mon mari achetait ça. Parce que lui, film étirable, c'était son truc, quoi. Mais c'est une galère, ce truc. Mais moi, je déteste ça. Ne serait-ce que d'utiliser ce machin-là. Là, on ne parle même pas des déchets. C'est ne serait-ce que d'utiliser ce truc sans se galérer. à l'utiliser, parce que moi, je trouve ça chiant. Le film, même si vous craquez avec les dents du carton, soi-disant que c'est là pour t'aider et tout ça, c'est une galère. Des fois, ça tient mal en fonction de la qualité du film alimentaire. C'est une galère à arracher. Franchement, c'est une galère sans nom. Bref, on parlait de ça, mais du coup, moi, je n'ai plus de papier cuisson. A la place, j'ai des tapis de cuisson lavables en silicone. Alors, les miens, je les avais achetés chez Maton. A l'époque, moi, je m'étais juste dit, je ne veux plus acheter de tapis de cuisson. Je veux des tapis de cuisson réutilisables. Après, je vous avoue qu'à l'époque, j'étais encore moins, on va dire, au point. Et d'ailleurs, je ne suis encore pas trop au point sur certaines choses sur le sujet. De savoir si les tapis de cuisson que j'ai pris, qui sont lavables chez Maton, en silicone là, si c'est de la qualité, si c'est du plastique de qualité, si c'est du silicone de qualité et que je ne risque pas de m'intoxiquer à chaque fois que je fais des trucs sur mon tapis de cuisson. Mais ce que je peux vous dire vis-à-vis de ça, en tout cas en connaissance de cause, c'est que j'ai des tapis de cuisson qui commencent à rendre l'âme. Parce que voilà, moi j'utilise jusqu'à la moelle, donc il va falloir que j'en rachète. Donc au moment où je vais racheter, maintenant que je suis un peu plus sensibilisée maintenant à cette histoire de qualité dans les matériaux que j'achète, même si c'est du plastique, du silicone et tout ça, je me renseignerai sur le sujet et surtout un truc que je fais de manière générale et que je vous invite à faire. Si chez vous, vous avez des ustensiles en plastique, des trucs en plastique, des poils téfales à la con là, ce genre de choses, quand je dis poils téfales à la con, non mais il faut que j'arrête parce que vous allez vraiment croire. que je suis une mauvaise, mais c'est pas du tout ça. Mais en fait, dans le sens que quand vous avez des choses en plastique qui commencent à s'abîmer, genre votre fond de poêle, il est rayé, genre votre ustensile, il est fondu, ou il est abîmé, genre mon tapis de cuisson qui commence à être un peu rand de lame, débarrassez-vous de ça, à la déchetterie, parce que à partir de ce moment-là où il y a des fissures dans le truc, on est en train de s'intoxiquer. Alors, je me dis « on » parce qu'en fait, j'ai un tapis de cuisson que je continue à utiliser, alors que je ne devrais pas. Et d'ailleurs, je pense qu'après cet épisode, je m'en séparerai. Parce que voilà, mais il faut s'en séparer les amis, parce que vous êtes en train de vous intoxiquer la santé. Donc voilà pour cette parenthèse de tout ce qui était plastique et tout ça. Mais soit j'utilise tapis de cuisson en silicone, ou je ne sais pas c'est quoi la matière, je ne suis même pas sûre que ce soit du silicone, mais vous voyez ce que je veux dire. Ou alors parfois, je pousse carrément le vis, c'est que... j'utilise la pâte feuilletée, le papier cuisson, vous savez, qui enroule la pâte feuilletée. En fait, j'utilise ça, que je laisse dans mon plat, quand je déroule la pâte feuilletée. Et du coup, voilà. Comme ça, je l'utilise avant que ça finisse de toute façon de paraître un déchet. Mais ça, les amis, bientôt je ne pourrai plus le faire. Parce que la semaine dernière, je ne sais pas si vous vous rappelez, je vous disais dans l'épisode de la semaine dernière que j'ai investi... J'ai craqué mon slip dans un truc qui m'a coûté un rein. C'est pour ça que je ne pouvais pas tout de suite investir dans le Be Save pour la mise en conservation sous vide de chez Guy Demarle. Parce que j'ai investi dans autre chose, dont je ne vous parlerai pas encore dans cet épisode. Parce que je suis très coquine et que je garde encore la surprise le temps que je n'ai pas reçu cet investissement. Mais bientôt, je serai peut-être en capacité de faire ma pâte feuilletée maison. Parce que je fais déjà ma pâte brisée maison, mais la pâte feuilletée, trop compliqué la pâte feuilletée. Et moi, tout ce qui est compliqué, ça dégage. D'accord ? Mais peut-être qu'un jour, je pourrais faire ma propre pâte feuilletée. Donc, si je fais ma propre pâte feuilletée, je n'achèterai plus de pâte feuilletée du commerce. Donc, je n'aurai plus de papier de cuisson pour la pâte feuilletée. Voilà. C'était la petite parenthèse. Ensuite, qu'est-ce qu'on a d'autre encore dont je voulais vous parler ? Il y a les cure-dents, les petits cure-dents en bois. Alors déjà, les petits cure-dents, si vous avez les petits cure-dents en bois, je crois que c'est du bois, si je ne me trompe pas, ça, vous pouvez les composter. Donc, ça ne fait pas trop de déchets proprement dit, parce que ça retourne à la terre. D'accord ? Composter, ça fait partie des 5 R du mouvement zéro déchet. On se remet un petit peu dans tout ce qu'on avait dit, et avec Morgane sur l'épisode... concernant le zéro déchet, et quand j'avais fait l'épisode du podcaston concernant le zéro déchet. Donc, les 5 R sur le podcast, ce n'est pas la première fois que je vous en parle. Donc les petits pics, les petits cure-dents en bois, ça peut retourner au compost si vous avez un compost. Mais on évite quand même de faire un maximum de déchets, d'acheter. On essaie aussi de faire attention à son porte-monnaie et tout ça. Donc moi, ça fait longtemps que j'ai investi dans des pics apéro en inox. J'avais trouvé ça, je ne sais plus où d'ailleurs, mais vous tapez pics apéro en inox. Et puis j'ai aussi, parce que je suis transparente avec vous comme d'habitude, des pics apéro en plastique. qu'on m'avait offert en cadeau, que j'ai toujours à la maison. Voilà, mais encore une fois, je vous conseille l'inox, et ça existe en inox. Dans la même veine, j'ai les piques à brochettes. Alors, il faut quand même savoir que nous, les piques à brochettes à la maison, on les utilise quasiment pas. Franchement, si je les ai utilisées une fois depuis que je les ai achetées, c'était pour remplacer les piques à brochettes pareilles que vous pouvez acheter en bois, un peu comme... Comme les cure-dents, mais encore une fois, ok, vous pouvez les composter, mais ça reste un déchet. Et ça reste un budget. On investit dans des choses réutilisables, ça fait aussi du bien à son porte-monnaie, vraiment. Mais alors les piques à brochettes en inox, qu'est-ce que j'avais fait avec ça ? Peut-être des brochettes une fois, peut-être des brochettes de viande une fois, peut-être des brochettes de fruits une fois. Mais peut-être que ça sera quelque chose, soit que je désencombrerai, ou soit qu'avec mon petit truc mystère que je ne veux pas vous dire que j'ai acheté, que j'ai investi. Peut-être je serai amenée à faire plus de marinade ou pas, j'en sais rien, je verrai. Et à ce moment-là, je serai peut-être amenée à plus les utiliser. Mais encore une fois, à voir. Mais si vous êtes le genre de personne qui utilisait souvent des pics à brochettes en inox ou des pics à brochettes en bois, je vais y arriver, ou des cure-dents en bois, vous pouvez avoir ces solutions-là. Encore une fois, tout ce que je vous dis depuis le début et ce que je vous dirai dans les deux prochains épisodes, ne vous inventez pas une vie. Ne vous créez pas une vie, ne vous créez pas des besoins. remplacer ce dont vous avez besoin. Parce que c'est aussi le piège. De toute façon, tous les trucs de consommation, de manière générale, c'est le piège d'aller dans l'extrême et de se dire, « Waouh, mais c'est génial, toutes ces solutions zéro déchet et tout ça, je vais acheter ci, je vais acheter ça, et patati et patata. » Si, et vous verrez notamment dans le quatrième épisode, parce que j'en parlerai plus profondément dans cet épisode-là, qui va clôturer, l'épisode qui clôturera la réduction des déchets dans la cuisine. Mais si vous n'avez pas besoin de piques à brochettes, par exemple, parce que comme moi, vous faites très peu de brochettes ou pas du tout, ne vous inventez pas une vie, n'achetez pas de piques à brochettes en inox. Vous voyez ce que je veux dire un petit peu ? On essaye de garder une certaine cohérence dans ce qu'on fait. Donc tous les conseils que je vous donne, et que je vous donnerai dans le futur, faites en fonction de vous. N'allez pas tout claquer votre fric pour des choses qui ne vont pas vous servir, et que vous serez obligés d'écouter. l'épisode 3 du podcast parce que il faudra que vous désencombriez. Vous désencombriez. Parce que vos placards seront trop pleins de choses que vous n'utiliserez pas. Et après, vous allez me dire, non mais Clément, ça nous dit qu'elle remplace par ça, elle nous crée des besoins, puis après elle nous dit de désencombrer. Enfin, c'est le serpent qui se mord la queue, donc on ne fait pas ça. D'accord ? Donc, voilà. Ensuite, quand je cuisine, je cuisine maison un maximum. Ça déjà, ne serait-ce que ça en tant que tel. Ça permet de limiter les emballages, les sur-emballages et tout ce qu'on veut là, de mieux manger. Je fais un maximum à partir d'aliments bruts. Alors encore une fois, attention, ça c'est ce que je fais majoritairement. Mais on n'est pas parfait et parfois on achète encore des aliments qui sont transformés. Non, parce que ça vraiment, la majeure partie, c'est un peu comme ce que je vous expliquais la dernière fois. Sur le ratio 90-10 chez nous, c'est un peu pareil pour les aliments transformés. Chez nous, c'est 90% d'aliments bruts et 10% d'aliments transformés en gros. Mais surtout, ce que je voulais vous dire par rapport aux déchets, c'est qu'on n'est pas à l'abri parfois, de temps en temps, parce que c'est comme ça. C'est la vraie vie d'avoir des aliments qui sont ultra emballés. Voilà, moi je ne suis pas parfaite, moi je n'ai pas envie de vous vendre du rêve. Je n'ai pas envie de vous vendre du rêve en vous faisant croire que je n'ai jamais de déchets, que tout ce que j'ai fait qui est majoritairement acquis, parfois il n'y a pas des entorses à la règle, vous voyez. Donc je préfère vous le rappeler et vous le rappeler et vous le rappeler encore. Et si vous voulez en savoir plus sur comment on cuisine, notre processus pour cuisiner, chercher les recettes, qu'est-ce qu'on va faire à manger, etc. J'ai justement un épisode de podcast qui s'appelle « Qu'est-ce qu'on mange ce soir ? » Voilà. Mais ce que je vous disais dans l'épisode de rentrée... du podcast du mois de septembre. Je vous disais que ces épisodes-là, qu'est-ce qu'on mange ce soir, et tout ce qui est organisation en cuisine, organisation des courses et tout ça, je vous ferai un épisode mis à jour sur le suivi parce qu'il y a des choses qui ont changé depuis que j'ai enregistré ces épisodes. Et il y a des choses qui sont toujours d'actualité, donc vous pouvez quand même aller les écouter si ce n'est pas encore fait. Ensuite, qu'est-ce qu'on fait aussi ? Eh bien, bien évidemment, on va accommoder un maximum les restes. Pour éviter justement le gaspillage, parce que ça, le gaspillage chez nous, c'est hors de question. Et c'est, en gros, ça, ça n'arrive quasiment jamais. 99, j'aime bien les pourcentages en ce moment, 99,99% du temps, on ne gaspille aucun reste. Aucun reste. Ce n'est pas possible. On décale. Parce qu'en fait, tu prévois les menus à la semaine, et bien on décale. S'il y a des restes, on décale. Les menus, ça permet même des fois, parfois, jusqu'à la semaine suivante, d'avoir encore des repas sans nécessairement avoir besoin de retourner aux courses. Mais le gaspillage chez nous, il y a no way. Il n'y a pas moyen qu'on gaspille, ce n'est pas possible. Au-delà du fait de créer des déchets, c'est aussi le fait des gens qui n'ont pas assez à manger, des gens qui meurent de faim et tout ça. Ce n'est pas possible. Moi, je sensibilise mon fils à ça. Je suis sensibilisée à ça, ce n'est pas possible le gaspillage alimentaire. Moi, vous me voyez souvent traîner dans les rayons anti-gaspi. Alors ok, les rayons anti-gaspi, c'est un petit peu contradictoire avec ce que je suis en train de vous dire, parce que ça crée des déchets. Parce que le plus souvent dans les rayons anti-gaspi, ce sont des produits emballés ou suremballés. C'est pas, majoritairement, c'est du plastique et c'est pas ce qu'on veut, mais voilà. Aucune démarche est parfaite. et pour faire... Par rapport à toutes nos convictions, c'est compliqué. Il n'y a pas de solution parfaite, il n'y a pas de solution miracle. Mais par contre, moi, vous me voyez très souvent dans les rayons anti-gaspi parce qu'il est hors de question. Moi, je trouve ça aberrant, le gaspillage alimentaire qui est encore, et pas seulement dans les foyers de gens comme vous et moi, dans les foyers de manière générale, aussi dans les magasins, tout ce qui est encore jeté à la poubelle. J'adore écouter aussi du contenu par rapport aux gens qui récupèrent dans les poubelles des choses, ils ont raison de faire ça. Moi, je n'ose pas parce que, encore une fois, je respecte tout, je suis trop timide et ce genre de choses. Mais le glanage, je crois que ça s'appelle le friganisme ou quelque chose comme ça, j'essaierai de vous trouver une petite définition ou une petite ressource à vous mettre sur le sujet dans la description de l'épisode. Mais voilà, il y a trop de gaspillage. Il y a tellement trop encore de fins dans le monde, de gens qui sont aussi des gens qui sont démunis. pas assez de ressources pour pouvoir manger à leur faim et tout ça, qu'il est hors de question pour nous de gaspiller. Il n'y a même pas moyen. Il n'y a même pas moyen. Qu'est-ce qu'on fait d'autre aussi ? Bien évidemment, comme je disais tout à l'heure, rendre à la terre le compostage. Donc, des déchets organiques. Donc, nous, on a un seau à compost dans la cuisine et on a aussi, bien évidemment, du coup, notre compost dans le jardin parce qu'après, on vient mettre, vider le seau. de la cuisine dans notre compost de jardin. Alors nous, on est carrément encore pire. Enfin, encore pire. On est carrément encore hyper avancé dans notre histoire de compost parce qu'on a deux composts dans le jardin qu'on alterne d'année en année. C'est-à-dire qu'actuellement, on a un compost où l'on met les déchets organiques de l'année et on a le compost de l'année dernière qui, lui, est prêt à l'emploi. pour notre potager, pour préparer notre potager l'hiver, pour nos jardinières, pour tout ce qu'on veut bien, pour utiliser dans notre jardin et dans notre potager. Donc nous, on a même deux composts. Et n'hésitez pas aussi, par rapport au compost, si vous avez un jardin, de demander à votre commune s'il y a des aides. Enfin, si vous pouvez avoir un compost. Par exemple, moi, je sais que nous, on peut avoir un compost. moyennant une participation financière, mais qui est moins chère que si on achète le compost par nous-mêmes parce que la commune prend en charge une partie. En tout cas, notre communauté de communes prend en charge une partie. Et des fois, il y a directement des communes et des communes ou des communes qui offrent gratuitement un compost par foyer, en fait. Donc, voilà. Et si j'ai bien fait mon travail, quand cet épisode sortira, vous aurez un article complet sur le blog Merci. pour tout ce qui concerne le compost. Je vais commencer par un article de blog, et peut-être que je le ferai en format podcast aussi, je verrai, ou peut-être pas, peu importe. Mais ce qui est sûr, c'est que j'aimerais bien, donc j'espère que ce sera le cas quand vous écouterez cet épisode, même si je vous avoue que je suis débordée en ce moment, mais j'espère que j'aurai eu le temps, en collaboration avec mon mari, qui s'y connaît beaucoup plus que moi, sur tout ce qui est compostage, compost, et sur toutes les ressources que je farfouillerai pour vous donner des informations plus justes. pour vous faire un article de blog complet sur le sujet, pour les personnes que ça intéresse, savoir ce qu'on met dans un compost, ce qu'on évite de mettre dans un compost, comment s'organiser avec son compost, même si on est en maison ou si on est en appartement, les solutions, etc. J'essaierai de vous faire un article complet sur le sujet. D'ailleurs, je pense qu'en article de blog, c'est pas mal, parce que vous pouvez y avoir accès facilement et avoir le détail facilement. Ça se prête plus qu'à un épisode de podcast. Et ce qu'on fait, bien évidemment, mais ça coule de source parce que j'en ai déjà parlé dans l'épisode du podcaston, j'en ai déjà parlé dans l'épisode avec Morgane, évidemment il y a le tri des déchets. Alors il faut savoir que recycler, je repars avec mes 5 R, je rabâche avec mes 5 R. En fait je vais rajouter un sixième R qui va être le R rabâcher. C'est-à-dire en gros, alors je ne sais pas si rabâcher c'est un mot normand. ou si c'est utilisé à l'échelle nationale, mais en gros, rabâcher, c'est répéter, répéter, répéter encore. Parce que si jamais c'est du patois de ma région, je m'en excuse. C'est répéter encore la même chose, mais trier les déchets, c'est le dernier R des 5 R du mouvement zéro déchet. C'est-à-dire qu'on essaye avant de refuser le déchet, après on essaye de réduire le déchet, je crois. Oh punaise, ça y est, je ne sais plus mes 5 R. refuser, réutiliser, réduire, rendre à la terre, recycler. Ou recycler, rendre à la terre, je ne sais plus l'ordre. Bref, on s'en fout. Ça fait partie des 5 R. Et recycler, on essaye de le faire vraiment en dernier recours, quand on ne peut pas faire tous les autres d'avant. Parce que moi, je suis encore plus en ce moment, en plus, dans une démarche où je veux diminuer aussi mes déchets dans le sens... où je veux m'éviter d'aller tout le temps au bac de tri porter mes bacs de déchets recyclables. Même si la bonne nouvelle qui vient de tomber dans, en tout cas nous, notre communauté de communes, à partir de février 2026, on va avoir les bacs jaunes directement collectés en porte-à-porte, mais ce n'est pas une raison en fait, je me dis, ce n'est pas une raison en fait pour ne pas... diminuer nos déchets recyclables, parce que ça fait partie de la démarche zéro déchet dans laquelle on est, et surtout que d'ici février 2026, on en a marre d'aller porter les bacs de déchets recyclables, parce que même si on fait super attention, même si on est avancé dans notre démarche, on a toujours des bacs à aller porter, et c'est chiant, et on oublie, et on râle, et c'est chiant. Voilà. Donc, le tri des déchets, en dernier recours, et on essaye d'éviter un maximum les déchets. même s'ils sont recyclables. Voilà les amis pour ce deuxième épisode de cette série consacrée à la cuisine et à la façon de cuisiner sans jeter. Comme toujours, je le répète, ce n'est pas pour vous juger sur ce que vous faites ou non, mais c'est vraiment pour vous inspirer, partager des idées auxquelles peut-être vous n'avez pas pensé, montrer que même des petits changements, ça peut avoir un vrai impact. Même pour vous, en fait, même personnellement, avant l'impact collectif, ça démarre, comme on disait avec Morgane, par vous. C'est bon pour votre porte-monnaie, c'est bon pour votre santé, c'est bon pour la planète, donc c'est tout bénef, ça n'a que des avantages. L'inconvénient, franchement, ce serait de vous rajouter de la charge mentale, mais moi qui veux alléger ma charge mentale à maximum, une fois que les habitudes sont prises, franchement, il n'y a rien de plus à faire. Vous voyez, c'est pas... Enfin, en tout cas, il n'y a rien d'insurmontable. Moi, de toute façon, quand c'est insurmontable, j'abandonne. Pour un temps peut-être définitif ou un temps, voilà, comment on dit, je ne sais plus, j'ai perdu le mot, qu'on ne sait pas. Un temps indéterminé, voilà, je retrouve mon mot. Mais en tout cas, voilà, faites à votre rythme, progressivement, selon ce qui vous semble faisable, ce qui vous facilite la vie. Chaque geste compte, n'oubliez pas que chaque geste compte, chacun avance à son propre rythme, ok ? dans le prochain épisode donc dans l'épisode numéro 3 de cette série On continuera, encore une fois, dans la cuisine, mais cette fois, ce sera pour aborder tout ce qui a un rapport avec nettoyer, entretenir autrement, avec, encore une fois, des alternatives simples et durables. Je vous mets tout ce qu'il faut dans la description de cet épisode. N'hésitez pas à partager autour de vous, à vous abonner, à échanger avec moi sur le sujet, à venir me dire sur Instagram, sur Youtube, par tous les moyens que vous pouvez me contacter, à venir me dire ce que vous faites, vous, si vous avez des difficultés sur certaines choses, si vous voulez que je réponde. à vos questions sur le sujet ou sur d'autres sujets. Comme d'habitude, je me fais toujours un plaisir. J'essaye vraiment, vraiment, vraiment. Enfin, c'est pas que j'essaye, c'est que je réponds à tout le monde. J'aime bien partager avec vous. Ça me permet aussi de me dire que je ne suis pas toute seule derrière le micro parce que, ok, je vois vos vues, je vois vos j'aime, je vois tout ça, mais des fois, on peut se sentir seule derrière un podcast. Même si je vous avoue aussi que je commence les interviews et que ça, ça me fait trop plaisir, mais voilà. Venez parler avec moi, venez échanger avec moi, c'est toujours un plaisir. Et puis, on se retrouve très vite pour un prochain épisode sur ce sujet et sur d'autres. Donc, je vous dis à très bientôt pour un nouvel épisode. Ciao !

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