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Coach Ton Budget & Business

Assurer son avenir financier et kiffer sa vie MAINTENANT, c'est possible !

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39min |13/11/2024
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Description

Liste d'attente Objectif 100% Indépendant et Rentable : https://www.ctbconsulting.ch/objectifindependant


Avec mes deux années de présence sur les réseaux sociaux dans le domaine de la finance personnelle, j'ai vu passer de nombreux commentaires sur l'épargne et le fait de "profiter de la vie". Mais une vision court-termiste de la vie sans épargne pourrait nous coûter cher, surtout face aux incertitudes sur les retraites et notre avenir financier.

Dans cet épisode, je partage mes réflexions sur l'importance d'épargner dès maintenant, en abordant :

  • Les situations difficiles que rencontrent certains de nos aînés à la retraite

  • Les étapes pour sécuriser votre avenir financier dès aujourd'hui

  • Les éléments clés à maîtriser pour mieux gérer vos finances

  • Différentes façons de voir l'épargne et les finances pour allier plaisir et sécurité


Bonus : pour les entrepreneurs, découvrez comment intégrer votre business dans votre plan de prévoyance.


Rejoignez-moi pour comprendre pourquoi économiser sans sacrifier le plaisir est possible et essentiel pour assurer un futur financièrement stable.


À écouter, à partager, et à appliquer pour un impact réel sur ta vie et ton business!


Tous mes programmes : https://www.ctbconsulting.ch/


Pour Yuh : 

Code YUHCTB

Bonus : 50 CHF Trading Credit.

Conditions : 500 CHF de dépôt

Pour Néon :

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Bonus : 10 CHF sur ton compte + free mastercard (valeur totale de 20 CHF)



📌 Pour t'inscrire au podcast, visite : Coach Ton Budget Podcast

📌 Suis-moi sur Instagram pour des astuces quotidiennes : Instagram @coachtonbusiness 

📌 Découvre des conseils en vidéo sur TikTok : TikTok @coachtonbudget 

👉 Découvre mon programme complet pour propulser tes finances et ton business : Programme Coach Ton Budget


Pour toute question ou suggestion, contacte-moi à : janice@ctbconsulting.ch


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Avec ma présence sur les réseaux sociaux depuis presque deux ans dans le milieu de la finance perso, j'en ai vu passer des commentaires. Et s'il y en a un, un type de commentaire, qui me fait vraiment peur, c'est celui qui dit qu'il faut profiter de sa vie et pas se faire chier à épargner. Sous-entendu également, je l'ai vu passer, il faut profiter de l'argent qu'on gagne. Mais bien sûr que je suis pas contre profiter de la vie avec son argent. En fait, ma peur, elle est plutôt ailleurs. Quand on va voir les reportages qu'on trouve sur les réseaux sociaux, sur YouTube notamment, les reportages de la RTS, qui parlent de nos aînés, qui galèrent avec la retraite, moi, je me dis qu'il y a un truc qui cloche, déjà maintenant. Donc nous, les jeunes, j'ai pas 30 ans encore, on ne sait pas comment le système sera, à quel âge on y aura droit, à combien on aura le droit. Ça vous met pas la puce à l'oreille, vous ? Moi, ma puce, elle me dit, Janice, t'as intérêt à sauver ton cul et commencer à changer les choses maintenant. Dans cet épisode, on va parler des cas de figure, donc pourquoi certains de nos aînés galèrent financièrement une fois qu'ils arrivent à la retraite, comment s'y prendre maintenant pour commencer à changer les choses, On va parler des éléments à contrôler financièrement dans votre vie. On va aborder plusieurs façons de voir les choses, parce que je sais qu'il y a des anti-troisième pilier et il y a plein de gens qui sont contre le système, etc. Donc on va un petit peu parler de tout ça. Avec un objectif commun, économiser de l'argent et profiter de la vie. Petit bonus à la fin pour les entrepreneurs ou ceux qui ont des side business, je vais parler de comment j'utilise mon business dans ma prévoyance. Mais d'abord, bienvenue sur Coach ton budget, le podcast dédié à l'aptitude mais aussi parfois au marketing et à l'entrepreneuriat en Suisse particulièrement. Je suis Janice, formatrice en marketing et business digital mais aussi créatrice de contenu dans la finance personnelle. Dans ce podcast, on parle argent pour s'éduquer, apprendre à le gérer et comment réaliser nos projets de vie avec. Si tu es le nouvel ou le nouveau, bienvenue et pour les auditeurs fidèles, merci de continuer à me soutenir depuis plus d'une année sur le podcast. Important, mettez une note à ce podcast si vous l'aimez et si vous l'aimez encore plus, vous pouvez vous abonner à la newsletter et vous aurez dans votre boîte mail toutes les deux semaines, le sujet de la semaine. Avant de rentrer dans le vif du sujet, je voulais juste vous annoncer encore quelque chose parce que je reçois beaucoup beaucoup de questions au sujet de mon accompagnement Coach Ton Business. Oui, il a le vent en poupe. La première chose c'est oui, j'accompagne des entrepreneurs dans la visibilité, l'acquisition client, la rentabilité. Seulement, je suis complète jusqu'en janvier. et il y a du coup une liste d'attente dispo dans la section de cet épisode. Maintenant, il va y avoir un petit changement pour 2025 parce que là, j'ai fait trois lancements cette année, donc il y avait trois périodes de lancement où les gens pouvaient rejoindre Coach Ton Business. Ça va être un petit peu différent parce qu'il y a beaucoup de demandes. Je vais vous garder un petit peu la surprise pour ne pas vous spoiler. J'ai prévu une façon de faire une partie de Coach Ton Business, d'onboard une partie de Coach Ton Business de manière plus facile et plus rapide pour après rejoindre l'accompagnement plus complet. Donc ça permettra d'assouvir une demande plus importante. de mes services et de prendre vraiment les plus motivés à bosser avec moi dans le but de skyrocket leur présence en ligne en Suisse. Et pour ça, je vous invite à vous enregistrer dans le lien qu'il y a dans cet épisode si ça vous intéresse. Il y a eu Objectif 100% indépendant et rentable en Suisse, ça revient. Voilà, c'est un petit teasing, ça va être un poil différent, mais on est à peu près sur la même thématique. Donc se rémunérer, se rendre visible, s'organiser pour skyrocket, pour tout déglinguer avec son business en 2025. Il y avait... presque 100 personnes qui ont participé en septembre. Et oui, j'arrive pas à prendre tout le monde, donc en janvier, vous aurez une nouvelle version et je pourrais prendre plus de monde. Donc voilà, il y aura peut-être une pré-vente, mais je dis pas plus que ça. Alors, on va pas se mentir, je vous avais promis un sujet sur les finances dont le couple est le succès. Et je vous promets, je l'ai tourné. Mais il y a eu un virement de situation ce matin en regardant ce reportage assez triste de la RTS sur nos aînés. Avant de vous parler du sujet, j'aimerais qu'on revienne d'abord sur le système des piliers en Suisse parce que je milite pour une bonne compréhension. Une meilleure compréhension, c'est une meilleure éducation, c'est une meilleure prise de décision, c'est une meilleure vie mes chers amis, y'a pas plus compliqué que ça. En fait, le système de retraite en Suisse, il repose sur ce qu'on appelle le système des trois piliers. Ce système, il a été mis en place pour garantir aux gens qui vivent en Suisse une sécurité financière à la retraite. Pas compliqué. Et pour cela, il y a trois piliers. Le premier pilier, c'est celui qu'on appelle l'AVS, l'assurance vieillesse et survivant. Ça, c'est un peu la base de la base. Il va fournir une rente de base pour couvrir les besoins vitaux des retraités. Ce truc, il ne représente pas grand-chose, c'est-à-dire qu'on ne peut pas vivre de ça avec ça en Suisse. C'est une assurance obligatoire pour toutes les personnes qui résident et qui travaillent en Suisse. Et ce pilier, il est financé par les cotisations des salariés et des employeurs, ainsi que par des contributions de l'État. En fait, comment ça fonctionne ? Les cotisations, elles sont prélevées directement sur les salaires. Donc en général, c'est 4,35% du salaire brut de l'employé avec une part équivalente de l'employeur. C'est un système de répartition, donc les cotisations des actifs financent les rentes des retraités actuels. Et la rente AVS, elle est clairement insuffisante pour maintenir le même niveau de vie qu'avant la retraite. C'est pour ça qu'il y a les deux autres piliers. Le deuxième pilier, c'est ce qu'on appelle la prévoyance professionnelle LPP. La prévoyance professionnelle, elle va venir compléter l'AVS pour permettre aux retraités de maintenir leur niveau de vie antérieur. Elle est obligatoire pour tous les salariés qui ont un... revenu annuel supérieur à un certain seuil, c'est-à-dire, je crois que c'est 22 000 francs, un truc comme ça. Et les indépendants, ils peuvent y adhérer de manière volontaire. C'est un système de capitalisation, où chaque employé et employeur cotise sur un compte de prévoyance personnelle. Les cotisations sont investies pour générer un rendement, et le montant final accumulé sera utilisé pour financer la retraite. Il est privé, c'est-à-dire que votre LPP, enfin, elle est privée, votre LPP, c'est à vous. C'est-à-dire que ce que vous cotisez dans le deuxième pilier, ça va pas chez Hugo le voisin, ok ? C'est chez vous. Au moment de la retraite, vous pouvez choisir de recevoir vos économies en capital, donc en montant unique, ou sous forme de rente mensuelle. On va parler plus tard dans cet épisode des petits trucs à savoir qui sont importants tant que vous êtes salarié à propos du deuxième pilier. Le troisième pilier, du coup, c'est un complément volontaire. C'est ce qu'on appelle la prévoyance individuelle. Il y a eu la prévoyance professionnelle et c'est la prévoyance individuelle. C'est pour les personnes qui souhaitent épargner davantage et bénéficier des avantages fiscaux. Parce que s'il n'y avait pas les avantages fiscaux... Les gens ne mettraient pas forcément ça dans un troisième pilier, ils feraient à leur sauce. Et d'ailleurs, c'est ce que beaucoup de gens font parce qu'ils ne croivent pas au système. Bon, en fait, ce pilier, il est facultatif et il permet aux gens qui habitent en Suisse de se constituer une épargne supplémentaire pour leur retraite. Et là, il y en a deux, des sortes de piliers. Il y a le troisième pilier A, il s'appelle lié. C'est un plan qui permet d'avoir des avantages fiscaux. Et en général, il est lié à une banque. Donc ce n'est pas une assurance, c'est une banque. Et quant au 3B, donc le libre, lui il est plus flexible, il n'a pas de plafond de cotisation, parce que j'ai oublié de dire mais le 3A il est limité à 7 056 francs pour un salarié, je sais plus combien c'est pour un indépendant mais c'est genre 33-35 000 francs, un truc comme ça. Forcément, bah lui il n'a pas la même chose qu'un salarié, donc il peut mettre beaucoup plus et du coup déduire beaucoup plus de ses revenus. Mais le troisième pilier libre, il est plus flexible et il n'a pas de déduction fiscale, par contre il va souvent avoir des assurances liées à ça. Donc si vous avez compris, le système des trois piliers, il vise à combiner... des ressources publiques, professionnelles et privées. Il y a trois choses qui rentrent dedans pour fournir une sécurité financière stable et équilibrée pendant la retraite. Donc, vous avez compris que si vous avez qu'un, c'est la dèche. Si vous en avez deux, ça va, c'est ok, mais c'est pas non plus ouf. Si vous avez les trois, vous arrivez à combler et à avoir une bonne retraite. Et normalement, l'idée, c'est que les deux premiers piliers, ils couvrent environ 60% du revenu antérieur. Et le troisième, il vient combler le reste si besoin. Sauf que je sais, tout le monde n'est pas capable d'épargner pour un troisième pilier. On va en parler dans cet épisode, c'est tout là le nerf de la guerre. Maintenant, on a parlé de 60%. Donc imaginez qu'aujourd'hui, là je vais parler à, on va dire, la masse. C'est-à-dire la plupart des gens, la plupart des gens qui m'écoutent peuvent, sont en capacité de mettre un petit peu d'argent de côté tous les mois pour aller faire un troisième pilier. Je le sais très bien, je vous connais, je connais mes clients, je connais ma base, je cote mes followers, je le sais. Vous êtes capable de mettre entre 100 et 500 francs de côté. 500 francs, c'est une belle somme, on s'entend. Vous êtes capable de le faire. Donc, on va parler à des gens qui peuvent le faire, d'accord ? Mais on va en reparler plus tard. Imaginez que, du coup, vous n'ayez pas fait de troisième pilier. Quand vous arrivez à la retraite, si tout va bien, les deux premiers piliers couvrent 60% du revenu antérieur. Imaginez que quand vous paniquez, parce que vous allez au chômage, donc en général, le chômage, quand vous n'avez pas d'enfant, c'est 70%. Vous paniquez d'aller au chômage parce que vous allez avoir 30% de revenu en moins. La retraite, c'est du coup... 40% de revenus en moins mais là c'est pas dans une optique de retrouver du travail c'est dans une optique d'être à la retraite donc de kiffer sa vie et puis de finir ses beaux jours donc c'est là tout l'intérêt de se dire faudrait peut-être que je mette de Gwande Bourblitor parce que c'est quand même important vous voyez ? C'est ça maintenant je sais très bien et je l'ai vu dans les commentaires qu'il y a beaucoup de gens qui sont contre ça parce qu'ils utilisent des excuses à la con du genre Ouais, mais bon, avec le système qu'on a, on ne pourra plus vieillir. Oui, mais bon, avec le réchauffement climatique, etc. Mais c'est justement parce qu'on ne sait pas de quoi sera fait demain qu'il faut peut-être un petit peu anticiper pour qu'on ne soit pas trop dans la merde personnellement. Et c'est pour ça que je pense qu'il faut vraiment être conscient de ce qu'on veut dans sa vie et de poser toutes les ressources qu'il faut pour le faire. Et là, je sais, on ne vient pas tous du même endroit pour le faire. On va en parler plus tard. Bref. Dans le reportage que je regardais, en fait, il y avait plusieurs cas de figure. Alors là, je vais vous citer d'autres cas de figure qui n'ont pas fait partie du reportage, mais c'est des cas de figure qui me viennent en tête parce que j'ai eu connaissance de ça. Petite aparté, je vais vous raconter une histoire. Cette année, pour l'anniversaire de Coach ton budget, en février, en mars, j'ai offert à toute personne qui m'écrivait un message sur ma boîte mail en m'expliquant sa situation, j'ai offert Coach ton budget à toutes les personnes qui étaient dans des situations compliquées. Et vous savez quoi ? J'ai été extrêmement déçue des stats. Alors, il y a eu une trentaine de personnes en tout. Donc il y a eu 30 emails. J'ai vraiment donné accès à tout le monde qui m'écrivait. Il y a eu 30 emails. J'ai eu plein de cas de figure, toutes différentes. Des cas de divorce, des cas de job qui sont perdus, des cas de gens qui arrivent à l'assurance invalidité. J'ai plein, plein, plein. J'ai eu plein de cas. J'ai eu des cas vraiment tous différents, des cas qui m'ont beaucoup touchée. Des moments où j'ai versé une larme parce que je lisais des emails très tristes. Et j'ai donné accès à Coach ton budget. à toutes ces personnes-là. Le constat est tel que sur 30 personnes, j'ai eu 11 mails de remerciements. 11 emails m'ont remercié de tout cœur en me disant merci beaucoup, etc. Sur ces 30 personnes qui ont eu accès, parce que bien sûr je les ai taguées sur la plateforme, je voulais voir si elles faisaient le programme, il y en a 16 qui l'ont fait. Donc il y a 30 personnes qui ont reçu un programme d'une valeur de 100 francs que la vaste majorité des gens payent pour rejoindre parce qu'ils ont envie de changer financièrement leur vie. 30 personnes n'ayant eu accès gratuitement dans l'espoir que je puisse les aider tout en sachant que l'aide financière, il y en a dans beaucoup d'associations suisses. Caritas aide les gens, il y a aussi des associations dans chaque canton qui aident les gens financièrement, qui ont des cours d'éducation financière, etc. C'est juste qu'il faut aller chercher l'information. Donc c'est pas un petit programme sympa à faire à la maison comme moi, avec tous les trucs simplifiés. Donc vraiment, ma méthode, c'est des gens qui vous coachent financièrement. C'est vraiment différent. C'est pour des gens qui sont dans des situations de difficultés financières. Moi, j'ai plutôt des gens qui sont pas dans des situations de difficultés financières, mais qui ont besoin de se faire un peu taper les fesses pour les remettre en place. Donc voilà, je vais pas interpréter ça, je pense que vous comprenez ce que je veux dire, c'est qu'en donnant l'accès gratuitement, je ne les ai pas vraiment aidés. Parce que la volonté elle vient de soi, la volonté de changer les choses elle est toujours interne. Et parfois c'est pas le bon moment, parfois on est pas au bon endroit, au bon moment pour le faire, parfois on a tout en main, mais c'est pas le bon moment. Et c'est pour ça que je critique pas ces gens là, je me dis, chacun sa vie, chacun son chemin etc. Moi j'ai donné une... petites cordes pour qu'ils cèdent, pour qu'ils s'attrapent, pour peut-être que je les sorte d'une situation comme ça. Certains l'ont pas prise, certains n'ont pas réussi à l'attraper, peut-être, je sais pas, mais ils ont accès à vie, donc ils peuvent encore le faire maintenant. Bref, dans tous les cas, j'ai été très très déçue de voir qu'une action que j'avais pensée bien et utile n'avait pas eu l'effet escompté. Mais bon, voilà. En tout cas, si vous avez envie de partager votre avis, sur ça, si vous avez une réflexion, une critique à me faire à moi, allez-y, je suis ouverte. Mais voilà, j'ai vraiment pensé faire du bien et j'ai vraiment pensé aider. Il y avait des gens à la retraite dans ces personnes-là. J'ai des retours vraiment tout le temps positifs du programme. J'ai vraiment tout le temps des gens qui me disent Ouais, c'est bien, c'est cool Je n'ai pas eu beaucoup de retours de la nouvelle version. J'espère qu'elle est toute aussi cool parce que fondamentalement, c'est les mêmes choses. Je crois que j'étais juste un peu moins drôle, j'ai fait moins de blagues, je pense, dans la formation que la précédente. Voilà, fondamentalement. Voilà. J'avais fait ça et bon, bref. Pour revenir au reportage, ils parlent d'un monsieur qui a eu une belle carrière, qui a eu un divorce et qui a eu des soucis de santé, et qui se retrouve à Genève avec des grosses difficultés financières. Il n'arrive pas vraiment à boucler ses fins de mois, il est sous curatel, donc quelqu'un l'aide à faire. Et il explique les cas dans sa vie qui ont fait qu'il a dû donner 50% de sa LPP à sa femme au moment du divorce, il a eu des dettes, il a eu des problèmes de santé, etc. Il y a un autre cas de revenus très faibles, donc souvent des gens qui gagnent un tout petit salaire toute leur vie, qui en plus de ça ont un employé qui ne verse pas des masses ou qui ne fait pas d'efforts par rapport aux deux empilés. Ces gens-là aussi se retrouvent à la retraite avec toute leur vie l'impossibilité d'avoir... pu ouvrir un troisième pilier. Et en plus de ça, des cotisations moindres, donc en fait, ils se retrouvent à la retraite avec vraiment quelque chose de minable qui est très compliqué. Ensuite, du coup, je pense qu'il y a beaucoup de gens qui n'ont jamais pris la peine d'ouvrir un troisième pilier, parce que c'est de la paperasse, parce qu'il faut se pencher sur les chiffres, machin, machin, c'est compliqué, c'est chiant, c'est des assureurs, c'est de l'arnaque, là, là, là, là, là. Ben, du coup, on arrive proche de la retraite, et souvent, c'est un peu trop tard aussi pour faire son troisième pilier, quand on approche. Et du coup, pareil, ils n'ont pas grand-chose, en fait, parce qu'ils n'ont pas anticipé la chose. Et un autre truc dont je voulais vous parler, mais je vais en reparler plus tard quand on va parler des actions à mettre en place ou des choses à faire pour que vous améliorez votre situation actuelle pour plus tard, c'est des deuxièmes piliers très faibles, c'est-à-dire qu'aujourd'hui en fait, si votre employeur n'est pas à l'État ou si vous ne travaillez pas chez un employeur qui a des très belles conditions au niveau de la LPP, il se peut, dans le pire des cas, que votre employeur... paye le strict minimum. Donc c'est pour ça que certains salaires qui sont très très beaux, des gens qui gagnent 120 000 francs à l'année, etc., en fait, il y a une part minimum que l'employeur doit cotiser et un montant, il y a un plafond, je sais pas comment vous expliquer pour que ce soit le plus simple possible pour pas m'embrouiller et vous embrouiller. Et en fait, ces gens-là se retrouvent avec des cotisations vraiment pas ouf, en fait, qui font que au bout de 3, 4, 5 ans, ils pensent qu'ils ont bien cotisé pour le deuxième pilier. Souvent, ça se réveille quand ils veulent acheter un bien immobilier, ils se disent Ouais, bah là, j'ai bien gagné ma vie avec mon copain, avec mon mec, on aimerait acheter un bien immobilier. une baraque. Et en fait, avec le conseiller financier, ils se posent et puis ils se voient, ils se disent Ah, mais en fait, votre deuxième pilier, il est pas ouf, quoi. En fait, c'est souvent ça, c'est qu'ils n'ont jamais fait attention à leurs conditions salariales. On va en revenir plus tard. Pour quelqu'un, comme vous, qui souhaitait commencer à s'occuper de votre prévoyance en Suisse, c'est essentiel de bien comprendre ces options et de prendre des mesures adaptées à vos besoins futurs. Et pour cela, oui, je réponds à la question illico presto, je suis pas con, le montant de vos revenus joue un grand rôle, c'est inévitable. et je sais très bien qu'on part pas tous du même endroit, je suis la première. à le savoir, puisque j'ai eu été dans ces revenus très faibles où c'était impossible de mettre de côté. Et c'est aussi pour ça que j'ai eu cette volonté de développer des side business, de continuer à me former, d'avoir accès à des meilleurs postes, plus de revenus, etc. Parce que je ne me voyais pas rester dans une situation où je n'arrivais pas à payer mes factures. Et je le sais aussi, on ne peut pas tous faire ça. Chaque situation devient différente, je le sais. Je vous dis, j'ai eu vraiment beaucoup d'emails, j'ai eu vraiment beaucoup d'histoires. On m'a vraiment raconté des choses très touchantes. Et je pense que je fais de mon mieux pour... pour aider, après au bout d'un moment, j'ai vu cette année, quand j'ai offert l'accès, mais je me suis dit que je ne pouvais pas être mère Teresa non plus, donc je veux bien aider, et je l'ai fait, j'ai fait cette action, mais au bout d'un moment, voilà. Bon, si on revient un petit peu, je vais parler d'un truc d'où on peut débattre. On m'a dit l'autre jour, Jeannie, t'es quand même tranchée dans ce que tu dis. Mais je sais pas, parce que moi j'aime bien avoir un petit peu toute l'échelle, et comprendre un petit peu les positions de chacun, de varier, nuancer, etc. Mais il y a une chose, je vous avoue, avec laquelle je suis dans le désespoir total, c'est comment, nous les jeunes, on dépense notre fric. Moi y compris en tout cas plus à l'époque, maintenant c'est différent si vous écoutez mes podcasts vous savez que j'ai vraiment changé les choses mais avec le marketing digital avec la dose de conneries qu'on vend en ligne avec les vidéos qu'on vous vend, les produits les machins, en fait il y a une manière de dépenser son argent qui est infinie. On peut acheter du maquillage des fringues, des gadgets, des trucs sur Temu, des trucs sur AliExpress du Shein, du Zalando, du... On va racheter ses meubles Ikea parce qu'on a envie de nouvelles fournitures. Il y a vraiment mille et une manières de dépenser son argent. Et si on va encore dans les cas encore plus grands, on peut dépenser son argent dans des très très belles voitures, dans des fringues de marque. Et en fait, je pense que beaucoup de personnes sont un peu dans une espèce de frustration où ils travaillent dur. ils gagnent leur pain et veulent se dire bah moi je profite de ma vie, je voyage etc. Et franchement c'est très bien, kiffez votre vie, tant que les gens ils sont heureux, moi ça me va, tant qu'ils sont pas en train de déglinguer les autres sur les réseaux sociaux, moi ça me va. Mais il y a quand même un truc dont j'aimerais être, enfin porter un message en fait. C'est qu'aujourd'hui, vous dépensez peut-être cet argent d'une certaine manière, alors j'espère pour vous c'est conscient, mais plus tard, quand vous allez revenir sur vos dépenses, peut-être que vous allez regretter certains de vos achats et vous dire punaise si j'avais mis cet argent de côté ça aurait peut-être été mieux. Et c'est pour ça que j'ai appelé cet épisode Économiser de l'argent et profiter de la vie parce qu'on peut faire les deux. On peut vraiment, vraiment faire les deux. Et c'est pour ça que j'aimerais maintenant vous introduire à la partie où on va regarder comment est-ce qu'on peut évaluer sa situation actuelle pour faire en sorte que ce ne soit pas des nuages tout gris à l'artrête ou qu'on ne commence pas à se poser des questions à 50 ans et se dire, oh, ça va être un peu critique. Nous, les jeunes, on a ce pouvoir-là. On peut se dire, on peut changer des choses, on peut se dire, OK, comment est-ce que moi, je peux mettre en place des choses pour être confortable financièrement aujourd'hui et plus tard et demain ? La première étape, ça va être d'évaluer sa situation actuelle. Et pour ça... je vous recommande de comprendre votre couverture de base. Ça commence par vérifier vos cotisations au premier pilier. Il faut que vous vous assuriez qu'elles sont un jour, parce qu'on appelle ça des lacunes, donc des années où vous n'avez pas cotisé. Si vous avez des lacunes, il faut envisager de les combler si possible, parce que ça aura un impact direct sur le montant de votre rente à baisse. On parle de lacunes quand vous êtes parti, vous avez fait une année sabbatique, vous étiez aux études, bref, il peut y avoir mille et une raisons de cas de lacunes. Regardez ça. La deuxième chose, c'est analyser. votre deuxième pilier actuel. Ce que je vous conseille, c'est regarder votre fiche de salaire. Regardez à combien est-ce que vous êtes rémunéré, en tout cas, à combien vous payez cette deuxième pilier. Regardez le montant de votre employeur, regardez un petit peu où vous en êtes. Et si vous arrivez à retrouver vos fiches qui, vos certificats, pour voir le montant accumulé et les prestations prévues, ça vous donnera une idée de montant à disposition et peut-être, si vous arrivez à faire les calculs au moment de la retraite, de combiner en fait si vous combinez votre premier et votre deuxième pilier vous aurez peut-être un peu une idée de combien ça peut vous faire la retraite d'ailleurs souvent quand on reçoit les papiers ils vous font les calculs directement sur la feuille donc si vous n'avez même pas besoin de le faire si vous faites déjà ça vous avez fait je pense que ce que 90 personnes des gens font pas c'est vraiment comprendre où est ce que vous en êtes aujourd'hui juste ça juste se dire ok mon employeur c'est un chien de la casse il cotise pas pour moi ou ok en fait mes petites années à délirer machin c'est bien mais j'ai maintenant j'ai des lacunes rien que ça vous allez vous sauver beaucoup beaucoup de temps, enfin beaucoup de choses dans la vie. Et d'ailleurs pour ça j'en profite c'est, alors pour le coup c'est un petit placement de marque qui n'est pas du tout rémunéré c'est juste pour vous expliquer, j'ai fait un partenariat avec Cala qui retrouve vos avoirs de deuxième pilier je sais on peut le faire avec le site de la confédération là je sais pas quoi mais Cala ce qui est pratique c'est que vous remplissez le formulaire en deux secondes, vous retrouvez ça c'est tout fait, ils s'occupent pour vous de les chercher pendant je sais pas c'est entre un et quatre mois les recherches et ils vous contactent quand c'est retrouvé. C'est pour des gens qui ont plus de 25 ans qui du coup travaillent aussi et donc qui ont peut-être changé de travail et qui ont perdu leurs avoirs de deuxième pilier un peu partout dans différents comptes. Parce que ce qui se passe, c'est que quand vous changez d'emploi, si votre employeur a mal fait son taf et qu'il ne vous informe pas de vos avoirs, et bien en fait, ils sont envoyés sur, je ne sais plus comment ça s'appelle, le compte spécial machin, et ils ne font pas de bébés. Et ça, ce n'est pas ce qu'on veut. On veut de l'argent qu'il fasse des bébés quand il est sur un compte. Donc en fait, l'idée, c'est d'aller et récupérer tous vos avoirs et de les mettre sur un compte de libre passage ou sur le compte de votre entreprise actuelle, etc. En l'occurrence, on peut aller sauver beaucoup d'argent grâce à ça, surtout si vous avez un certain âge, je ne sais pas, 35-40 ans, que vous avez déjà fait pas mal de jobs à côté. Allez chercher les deuxièmes piliers. Et là, la question que vous allez me poser, oui mais bon, c'est quoi la différence d'aller avec le site de la conf là et puis Kala ? Ben Kala en fait, c'est gratuit, déjà de base, mais eux, ils vont vous proposer de le placer. Donc c'est à vous de décider si vous voulez aller avec Kala pour le... pour le placer ou si vous voulez le placer vous-même. Moi, en l'occurrence, j'avais décidé de le placer moi-même, mais c'est parce que j'avais déjà tout anticipé, j'avais déjà mon compte de libre passage, j'avais déjà tout fait, puis parce que si j'avais la situation, voilà, où je créais ma boîte, etc. Donc, voilà. La deuxième chose que je vous recommande de faire, donc l'étape numéro 2, c'est de calculer vos besoins de revenus à la retraite. Et ça, si vous suivez Coach Ton Budget, vous êtes armés pour ça. Moi, je vous donne toutes mes astuces pour savoir comment vous dépensez votre argent. Et en fait, ça, c'est très simple. C'est que... Quand vous arrivez à la retraite, toute votre vie, vous avez eu l'habitude d'avoir un salaire. Mais quand vous recevez votre deuxième pilier sous forme de capital, ou votre troisième pilier, quand vous le retirez, tout à coup, vous avez la masse d'attune sur votre compte en banque. Je raconte ça comme si j'avais vécu l'expérience alors que pas du tout, mais je vous explique un peu comment ça se passe. En fait, c'est très intéressant de connaître comment vous dépensez votre argent. Parce qu'à la retraite, ça va vous permettre d'être beaucoup plus consciencieux et de beaucoup mieux dépenser votre argent. Donc, je vous donne le cas de figure, le mien, admettons. J'arrive à la retraite et toute ma vie, je sais que pour vivre, j'ai eu besoin de 3500 francs net par mois. L'histoire, c'est que si j'ai bien calculé les choses, je vais avoir, je sais pas moi, 1800 francs de l'AVS. Donc je vais déjà avoir quasiment plus de la moitié qui est financée par l'AVS. Mon deuxième pilier, j'ai... Je ne sais pas les calculs dans la tête, mais on est à l'oral, donc on simplifie toujours. Imaginez que mon deuxième pilier garantit, je ne sais pas, 2000 francs. Ça veut dire que j'ai 3800 francs. Ah, voilà, je suis déjà assez rentable pour vivre ma retraite et pour vivre confortablement. Et en plus de ça, j'ai mon troisième pilier qui tombe. Donc admettons, mon troisième pilier me rajoute, je ne sais pas, 1500 francs par mois, brut, comme ça. Donc ça va me faire un revenu à la retraite, j'arrondis à 5500 francs. Maintenant, d'ailleurs, si vous voulez avoir des calculs précis, Moi, je vous conseille de vous orienter vers un conseiller financier qui va vous aider à faire ces calculs-là, à se poser avec vous. Parce que ce sont quand même des calculs où si ce n'est pas votre truc les maths, moi, je comprends que ce soit un peu compliqué à faire. Donc, ça vaut peut-être le coup d'aller vers quelqu'un de confiance. Allez, s'il vous plaît, allez vers un conseiller financier de confiance. Comme ça, vous pouvez calculer ces choses-là et vous rendre compte si vous avez vraiment besoin ou pas d'un troisième pilier ou si vous avez besoin de mettre en place les choses, en tout cas les choses que je raconte dans cet épisode-là. Le but de cette deuxième étape, c'est d'identifier le manque éventuel. Une fois que vous avez évalué vos besoins, vous les comparez avec les prestations que vous allez recevoir avec les premiers, deuxièmes et troisième piliers, et vous regardez si vous avez un écart à combler. Et l'écart, du coup, ça peut être plus économisé, ça peut être... Ah bah en fait, la troisième étape, j'ai oublié que j'avais écrit ça, c'est envisager le troisième pilier pour combler les écarts. Donc là, vous avez deux options dans les troisième piliers que j'ai déjà dit plus loin. Et là, la question qui se pose tout le temps, c'est mais on choisit quoi entre un troisième pilier en banque et en assurance ? Mais ça dépend de votre situation. Moi je peux pas vous dire non mais d'aller surtout pas vers les assurances. En soi, par exemple, dans mon cas, les assurances elles sont pas intéressantes parce que je n'ai pas une situation qui fait que j'en ai besoin. Mais ça peut peut-être convenir à un indépendant qui a besoin de faire attention à ses assurances. Vous voyez ce que je veux dire ? Et du coup, peut-être qu'on peut même avoir les deux. Peut-être que vous pouvez commencer par un troisième pilier en banque et plus tard, quand je sais pas, vous avez un enfant, un projet immobilier, j'en sais rien, bah là vous ouvrez un deuxième troisième pilier. Parce qu'il faut aussi savoir que tout le monde vous dira Ouais mais bon, à la retraite tu te fais imposer sur ton troisième pilier. Il y a des astuces pour se faire moins imposer et notamment ouvrir plusieurs troisième pilier. Donc vous pouvez en ouvrir plusieurs sans problème. Le nombre de troisième pilier que vous pouvez ouvrir, il est défini par le canton où vous habitez. Donc il me semble que le plus strict, c'est Neuchâtel. Mais je ne veux pas dire de bêtises, il n'y a qu'un troisième pilier d'autorisé. Alors que sur Vaud, il y en a 4, 5 et puis il y a des cantons, je crois, où ce n'est pas limité. Donc voilà. Maintenant, il y a une quatrième étape, c'est d'évaluer les options de placement. Donc dans le cadre du troisième pilier, en fait, vous pouvez choisir entre un compte épargne classique. Donc là, en général, en Suisse, les taux d'intérêt, c'est de la merde, on s'entend. Mais bon, c'est toujours mieux que rien. Et des solutions plus dynamiques avec des fonds d'investissement. Et les fonds, en fait, ils offrent souvent des rendements plus élevés, mais ils comportent aussi des risques. Et c'est ça ce que je vous disais. Donc il y a moyen de perdre ses thunes dans un troisième pilier. Oui. On va pas se le mentir, il y a des risques associés. Et je vais pas vous vendre du rêve en mode, allez-y, faites un troisième pilier, etc. Mais c'est les mêmes risques que vous trouverez si vous décidez de faire de la crypto, de faire de l'investissement en bourse, etc. Simplement, c'est vous qui faites la démarche. Et évidemment, this is all business, my friends, on va pas se le cacher, on n'est pas dans un état Providence. Donc, au bout d'un moment, oui, il y a toujours des gens qui vont se faire de l'argent sur ce que vous placez, machin. Oui, il y a toujours ça. Mais soyez smart et regardez. Et. Évaluez les choses, regardez les frais que vous avez, regardez les potentiels rendements. Si vous êtes intéressé à où va votre argent, posez des questions. Où est-ce que mon argent est investi, etc. Orientez-vous vers des solutions qui vous conviennent en fait. Vous allez chez un courtier et là vous le challengez le mec. Vous lui dites moi je veux ça, je veux que ce soit posé dans du green, je veux que ça me rapporte ça. Enfin bref, je sais pas, j'abuse peut-être mais... En fait, challengez un petit peu les choses pour que ça vous convienne. Vous laissez pas avoir par un système qui peut être charqui-charque, parce que les courtiers qui signent des 3e piliers, ils se font beaucoup d'argent sur vous. Donc soyez chiants, en fait. Soyez... Tiens, ils vont me défoncer les courtiers qui écoutent ça. Soyez un peu compliqués, quoi. Posez des questions, renseignez-vous, etc. D'ailleurs, je pense que mes podcasts, vous êtes beaucoup déjà à vous décider, mais évaluez les choses. Et du coup, on a parlé... Enfin, évaluez les options. Je vous disais, il y a quoi en dehors du 3e pilier ? en tant qu'investissement. Alors là, il y a mille et une façons d'investir. Il y a l'immobilier, il y a la bourse, il y a les cryptos. Il y a tellement de choses. Et d'ailleurs, je vais faire un épisode dans pas longtemps sur l'investissement en bourse. Il est prévu. Je ne sais pas si je le ferai avant ou après le truc sur les couples. J'ai plein d'idées. J'ai commencé aussi à rédiger les prochains podcasts et tout. Il y aura un sur la bourse que je vais vous parler de comment est-ce que j'ai appris moi-même à investir. Je vais parler de coach ta bourse, etc. Donc, on va aborder ce sujet-là, toujours dans une optique de vous aider à gérer vos finances. Mais si vous choisissez d'investir en bourse, moi ce que je vous conseille là comme ça, naturellement tout est détaillé dans Coach la Bourse, je vous conseille de diversifier vos placements pour limiter les risques. Donc soit vous investissez des montants minimes tant que vous vous formez et que vous apprenez, comme ça vous n'avez pas trop de risques. Mais au fur et à mesure, vous diversifiez vos placements, vous utilisez des ETF pour ça. Moi c'est ce que j'utilise en fait, donc je prêche ce que je dis. Ensuite la cinquième étape. Quand vous avez un peu fait tout ça, c'est de vous dire, ok, là maintenant je suis on top point, j'ai regardé ce que j'avais en année AVS, j'ai regardé mon deuxième pilier où j'en suis, d'ailleurs je vais buter mon employeur, non je rigole, j'ai souscrit à mon troisième pilier, j'ai commencé à cotiser dessus, maintenant c'est quoi la suite ? Et bien la cinquième étape, c'est de planifier les grandes étapes de la vie. Pour ça, il peut y avoir par exemple un projet immobilier, par exemple un départ à l'étranger, l'ouverture de votre... business, des choses comme ça. Et pour ça, effectivement, le troisième pilier, il peut servir à financer ce genre de choses. On va pas rentrer dans les détails de ça parce que c'est complexe et c'est pas le titre de cet épisode. Mais voilà, vous pouvez envisager en fait d'utiliser vos ressources que vous faites pour financer vos propres projets. Donc votre réseau individuel, votre maison, votre départ à l'étranger pour aller vivre votre best life au Mexique, vous pouvez utiliser tout ça. Donc au final, c'est quoi le manque à gagner d'économiser un peu d'argent ? C'est que Imaginez, je sais pas s'il y a des gens, oui bien sûr qu'il y a des gens qui ont moins de 25 ans qui m'écoutent, vous avez moins de 25 ans, aujourd'hui vous savez pas quoi faire de votre vie, et vous voulez kiffer. Mais vous savez pas comment kiffer en fait, vous savez pas où aller, quoi, comment, où, nous les adultes on va vous dire, nous les adultes, c'est tellement étonnant, nous les grands on va vous dire, mais t'as le temps de venir voir, tu verras, gna gna gna, bien sûr, et je dis ça j'ai 30 ans. C'est vraiment ça. Donc moi ce que je dirais c'est que même avec un tout petit revenu, commencez avec des petits montants, genre 100-150 balles par mois si c'est possible bien sûr, les étudiants ou les apprentis je sais que c'est plus compliqué mais ceux qui gagnent déjà un petit peu d'argent, ceux qui sont déjà salariés, ceux qui ont déjà un petit salaire, mettez de côté faites-le parce que le jour où vous en avez besoin, parce que vous avez eu l'illumination du siècle et puis vous savez ce que vous voulez faire dans votre vie ou même que vous avez besoin d'aller vous chercher et d'aller faire des trucs, d'aller expérimenter cet argent il est là pour ça. Allez pas dépenser des conneries sur des sites en ligne ou dans des vacances trop chères ou ou dans des trucs de marque. Ça, c'est pas utile pour vous découvrir. Aller voyager, ou faire des expériences, ou ouvrir votre entreprise, ou je sais pas. Tout ça, c'est des projets qui vont beaucoup plus vous nourrir de l'intérieur plutôt qu'acheter des conneries, en fait. Donc, vous regardez un petit peu comment est-ce que vous voyez le futur et comment est-ce que vous planifiez les grandes étapes de la vie. Imaginez que tout peut arriver, mes amis. Ensuite, la sixième étape, moi, je dirais que c'est de suivre un peu tout ça. Mais finalement, vous n'avez pas besoin de suivre ça tous les jours. Vous regardez ça une fois par année, vous recevez des comptes, vous mettez à jour votre... Dans le coach temps budget, il y a tous ces fichiers-là. Vous mettez à jour votre petit fichier, machin, et voilà. Et puis, vous vous faites appel, comme je dis tout le temps, à une fiduciaire ou un conseil financier qui peut vous aider à optimiser tout ça fiscalement. Donc comme ça, si vous avez maintenant des très très bons salaires, quelqu'un peut vous aider à payer moins d'impôts. Si vous avez un salaire lambda, comme tout le monde, médian, on va dire, Quand même, on peut vous aider à optimiser tout ça fiscalement parce que personne n'aime payer trop d'impôts, non ? Donc on veut optimiser ça pour avoir the best of our money, le meilleur de notre argent. Et je l'ai plusieurs fois dit dans cet épisode, mais si vous avez besoin d'aide, le meilleur truc c'est de faire appel à un conseiller financier. Et je vous dis, ne vous faites pas avoir avec des produits, renseignez-vous, posez vos questions, parce que eux, ils vont avoir, certaines personnes sont rémunérées sur des... C'est dans le sens de l'affiliation. Ils sont rémunérés sur des produits qu'ils vont vous vendre. Donc forcément, il y a des rémunérations plus élevées sur certains produits. Donc certains, des malintentionnés, ils vont vous faire signer certains produits qui vont leur faire plus d'argent que d'autres. Donc c'est à vous vraiment d'avoir la puce à l'oreille et de se dire Ok, ça c'est un produit qui me va, ça c'est plutôt un produit qui me va, etc. Et d'ailleurs, un truc qu'on me dit tout le temps, c'est Parfois, je vais collaborer avec une marque, que ce soit une banque, une assurance, et on va me dire... Ouais mais bon, ça, pas ouf, franchement le rendement... Non mais attendez, c'est pas que ça la question, c'est pas qu'une question de rendement en fait. L'histoire c'est que quand vous voulez une prestation, donc imaginez un troisième pilier. Il y a des gens qui ont besoin d'être pris par la main de A à Z. Il y a des gens qui ont besoin, et l'inverse également, il y a des gens qui ont besoin de savoir où va leur argent. Il y a des gens qui s'en foutent, ils veulent juste que ce soit fait. Il y a des gens qui veulent un maximum de risque pour un maximum de rendement. Il y a des gens qui ne veulent pas du tout rire. de risque et qui vont accepter un rendement faible. Et en fait, tout ça fait que il y a... une multitude de personas dans la nature, de gens, qui veulent gérer leur argent à leur façon. Et c'est exactement pour ça qu'il y a beaucoup, beaucoup de produits de finances sur le marché. Je ne dis pas qu'ils sont tous bien, je ne dis pas qu'ils sont tous cool, clean, etc. Ce n'est pas ce que j'ai dit. Je dis juste que quand vous avez des frais, ou certains frais, ou certains produits où on ne trouve pas trop le sens, etc. C'est potentiellement... parce que vous, ils ne vous conviennent pas à vous. Mais ils vont convenir à d'autres personnes. Il faut bien se rendre compte de ça. Mais voilà, je ne fais pas le... Il y a vraiment des produits de merde. Et honnêtement, je n'ai pas travaillé avec des marques qui ont des produits de merde dans lesquels je ne crois pas. Je pose toujours mes questions. Je demande toujours à avoir une petite intro pour qu'on comprenne de quoi il s'agit, etc. Donc voilà. Maintenant, je vous avais parlé d'un petit bonus qui vous aidera, qui sera utile à toute personne qui soit indépendante ou propriétaire de sa SIRL. Bon, en général, ceux qui sont à SIRL, ils sont déjà un petit peu au courant. Donc je ne veux pas... Euh... d'ergiverser là-dessus. En fait, c'est intéressant, même si vous, vous n'êtes pas dans le monde entrepreneurial, que vous sachiez que la Suisse, c'est un pays fabuleux pour les entrepreneurs. En fait, j'aime trop dire ça, parce que quand on a sa société, donc moi, c'est tout frais là, maintenant, c'est bon. Quand on a sa société, on fait appel à un conseiller, fiscaliste, machin. Moi, je le savais déjà, parce que vraiment, c'est des choses qui m'intéressent fondamentalement. Donc, c'est des choses que j'avais déjà appris avant. Mais en fait, quand on voit les chiffres, quand on se fait aider, t'es là genre, bam. C'est vraiment intéressant quand on est indépendant, enfin quand on est entrepreneur, et du coup, bien sûr, il faut avoir une entreprise qui fonctionne et tout. Moi, c'est mon cas. Mais t'es là genre, waouh, en fait, ça change ma vie, quoi. Avant, je me faisais défoncer par les impôts, et là, il y a tellement de manières de changer les choses, de réinvestir dans la société, d'aller plus loin, de continuer de croître, etc., que je pense que je peux le dire, vous me direz si vous êtes d'accord avec moi, mais la Suisse est un pays fait pour les entrepreneurs. Donc, la question c'est comment est-ce qu'on utilise sa propre entreprise pour améliorer sa prévoyance en Suisse ? Parce que c'est une excellente idée de se poser cette question-là. En fait, en tant qu'entrepreneur, vous avez la possibilité de structurer vos revenus et d'organiser votre épargne de manière stratégique. Et je vais vous donner quelques pistes. De nouveau, on n'est pas là pour aller dans les détails, je vais vous mettre la puce à l'oreille. Si vous voulez qu'on aborde des sujets plus en profondeur, n'hésitez pas à les mettre dans les commentaires de cet épisode. Et au passage, partagez cet épisode à quelqu'un qui a besoin d'avoir ce genre de conseil ou qui a besoin d'être mis à zéro au niveau de ses finances. Merci. Parce que je sais très bien que ce podcast, il éveille les consciences au niveau finance, donc partagez, partagez, partagez, partagez, partagez. Alors, si vous êtes entrepreneur ou non, sachez qu'il y a l'adhésion au deuxième pilier pour les indépendants. Il y a une inscription volontaire qui est possible, vous n'êtes pas obligé de vous inscrire à la LPP, mais si vous avez la possibilité de vous y affilier volontairement, ça peut être intéressant, parce que vous pouvez accumuler un capital retraite avec des cotisations déductibles des impôts. Le fait que ce soit déductible de votre revenu, that's what we want, c'est ce qu'on veut en tant qu'indépendant parce que ça va aussi réduire le montant imposable sur ce qu'on a gagné en revenu. Et surtout, ça va vous protéger en cas d'incapacité en fait. En cotisant au deuxième pilier, vous allez bénéficier d'une couverture en cas d'essai d'incapacité et vraiment, nous qui sommes quand même, voilà, on n'a pas le chômage, c'est pas négligeable comme petite protection. Ce qui est intéressant, c'est que votre société du coup, donc vous êtes votre propre patron, surtout en SRL, vous pouvez augmenter la part. de votre côté, et ça va vous donner une part sur-obligatoire, qu'on appelle la part sur-publicatoire, de côté pour votre retraite. Vous savez, comme j'en vis, mes amis qui travaillent par exemple à la Souva ou à l'État, ils ont des deuxièmes piliers de ouf, parce que du coup, l'État, ils cotisent plus pour eux. Oh là là, mais quand tu vois leur deuxième pilier et tout, ils sont là, un jour, un pote, il me montre sa fiche, et j'étais là genre, mais mec, ça fait combien de temps que tu travailles ? Ouais, ben je sais pas, ça fait 7 ans que je suis là. Je suis là, mais mec, t'es un deuxième pilier digne d'un mec de 40 ans. Mais parce qu'il cotise à double quoi ! Et même pendant ses... Il était aux études et puis il travaillait déjà pas. Déjà pendant ses études, il cotisait un max quoi. C'est cool ça. Ensuite, la deuxième solution, c'est que si vous êtes indépendant, vous pouvez utiliser le troisième pilier pour également renflouer votre sécurité. J'en ai parlé tout à l'heure. En fait, vous pouvez cotiser jusqu'à 20% de votre revenu net dans le troisième pilier avec un plafond annuel qui est fixé à 35 280 francs en 2023. Je ne sais pas s'il n'a pas augmenté en 2024, je ne suis pas sûre. Et ça vous permet également de déduire une somme significative de vos revenus imposables tout en renforçant votre épargne retraite. Donc si vous êtes en réseau individuel, c'est pas mal. Ensuite, il y a toute la stratégie liée aux dividendes ou salaires selon les avantages fiscaux. Je ne sais pas si vous saviez, mais les dividendes, c'est très intéressant d'être payé en dividendes en Suisse parce que l'imposition est faible. Donc admettons, si toute l'année, vous vous êtes payé votre strict minimum, en fin d'année, vous avez un joli profit, vous... vous pouvez vous verser des dividendes et là vous gagnerez aussi par rapport à si vous aviez versé ça sur votre salaire toute l'année. Alors il faut savoir que par rapport à tout ce que j'ai dit, c'est que les dividendes ne sont pas soumis aux cotisations sociales. Donc effectivement faire comme ça c'est peut-être bien la première année. Si vous vous lancez, que vous voulez être safe par rapport à votre salaire, vous payez le strict minimum, avoir le minimum d'impôt aussi par rapport à ça, c'est une certaine stratégie. Mais du coup vous ne cotisez pas aux cotisations sociales. Donc c'est tout des calculs à faire. Mais sachez que ça existe. En fait l'optimisation ce serait de Si vous combinez une part de salaire pour vos droits à la prévoyance et des dividendes pour des avantages fiscaux, vous pouvez vraiment maximiser votre épargne en fait, sans trop allonger votre charge fiscale. Donc c'est une approche qu'il faut trouver, équilibrer en fonction de votre situation et de vos objectifs du coup de retraite, puisqu'on parle de la retraite dans cet épisode là, mais ça pourrait être d'autres choses. Et voilà, moi c'est à peu près les choses que j'ai notées par rapport à mon activité et ce que je voulais faire, et pour moi c'est clairement un objectif, c'est de... de m'enrichir effectivement, parce que j'ai des objectifs personnels qu'un jour je vais partager. J'ai partagé beaucoup mes objectifs professionnels dans ce podcast, mais pas forcément mes objectifs perso-perso. Un jour je vais faire un épisode à ce sujet-là. Mais en l'occurrence, si vous voulez vous lancer, que vous êtes sur le point d'ouvrir votre side business, que vous êtes sur le point d'ouvrir votre activité indépendante, ou si vous êtes en activité indépendante déjà maintenant, il y a plein de choses à faire pour optimiser fiscalement votre situation. Je ne suis pas conseillère financière, pardon, je ne suis pas... fiscaliste, etc. Donc naturellement, ce que je vous dis là, ça reste à titre informatif. Je ne remplacerai jamais les conseils d'un fiscaliste, d'un financier par rapport à tout ça, et c'est pour ça que je vous conseille de prendre contact avec quelqu'un que peut-être vous connaissez, je sais pas, qui pourra vous aider à faire vos calculs à vous. Donc voilà, Janice de Coach Ton Budget, elle vous aide à prendre conscience et puis à peut-être faire un petit peu les choses par vous-même, mais par la suite, si vous voulez vraiment aller deep down dans les choses, moi je vous conseille de passer par quelqu'un de qui c'est le métier. Je ne remplacerai jamais ces gens-là, c'est sûr et certain, et c'est pas ce que j'ai envie de faire. Bon, j'espère que cet épisode vous aura aidé. J'espère que mes petits conseils, mes petites trouvailles, elles vous donnent des idées pour aborder vos finances, en tout cas pour la retraite. De nouveau, on a parlé retraite, parce que c'était vraiment ce reportage de la RTS qui m'a un peu chamboulée. Mais en fait, c'est pour tous vos projets de vie. C'est que vous pouvez mettre en place plein de petites choses comme ça. Vous n'êtes pas obligés d'aller vers du troisième pilier si ça vous pète. peur que ce soit bloqué, vous pouvez aller faire un compte épargne. Toutes ces petites choses que vous mettez en place quand vous n'êtes pas sûr de ce que vous voulez faire de votre vie. Des projets que vous voulez avoir, que ce soit d'acheter, que ce soit avoir un enfant, partir, voyager, ouvrir sa boîte. Tous les petits projets. Enfin là, c'est des gros projets. Tous les gros projets que vous ne savez pas si vous allez les faire un jour dans votre vie. Qu'importe. Quand vous avez le petit coussin de sécurité, c'est plus facile. Voilà, c'est tout. Et vous pouvez dès aujourd'hui commencer à mettre des sommes d'argent de côté pour construire cette épargne, pour construire ce projet-là. Et je vous jure que quand on a l'argent, les idées, elles viennent toutes seules. Parce que quand on a de l'argent, money is power. Bref. Du coup, merci d'avoir écouté cet épisode. Merci du coup aussi pour vos notations. N'oubliez pas de noter l'épisode si c'est la première fois que vous l'écoutez, si vous l'avez aimé. Les liens sont dans la barre d'infos pour s'abonner à l'analyseur et pour avoir du coup toutes les ressources avec Couches ton budget, avec CTB en général. Moi, je vous donne rendez-vous dans deux semaines pour le prochain épisode. Je ne vous dis pas sur le... Sur le sujet, parce que ça pourrait être les coupes, ça pourrait être la bourse, ça pourrait être plein de choses. Mais en fait, je n'ai pas décidé. On verra le mood quand j'enregistre le prochain. Mais voilà, je vous remercie énormément pour votre écoute. Je vous remercie pour les chaleureux messages que je reçois tout le temps. C'est très, très, très gentil. Ça me booste en fait à faire de ce podcast quelque chose de qualitatif. D'ailleurs, je vous prépare pour les entrepreneurs quelque chose de très spécifique pour la rentrée 2025. Donc janvier, vous verrez, c'est cool. Je suis en train de préparer ça avec un partenaire. Donc j'ai hâte de vous expliquer tout ça. Je vous retrouve dans le prochain épisode. En attendant, n'hésitez pas à le partager, à m'écrire aussi, à écrire en commentaire, à me proposer des suggestions, etc. Je vous embrasse et je vous dis à tout bientôt.

Description

Liste d'attente Objectif 100% Indépendant et Rentable : https://www.ctbconsulting.ch/objectifindependant


Avec mes deux années de présence sur les réseaux sociaux dans le domaine de la finance personnelle, j'ai vu passer de nombreux commentaires sur l'épargne et le fait de "profiter de la vie". Mais une vision court-termiste de la vie sans épargne pourrait nous coûter cher, surtout face aux incertitudes sur les retraites et notre avenir financier.

Dans cet épisode, je partage mes réflexions sur l'importance d'épargner dès maintenant, en abordant :

  • Les situations difficiles que rencontrent certains de nos aînés à la retraite

  • Les étapes pour sécuriser votre avenir financier dès aujourd'hui

  • Les éléments clés à maîtriser pour mieux gérer vos finances

  • Différentes façons de voir l'épargne et les finances pour allier plaisir et sécurité


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Rejoignez-moi pour comprendre pourquoi économiser sans sacrifier le plaisir est possible et essentiel pour assurer un futur financièrement stable.


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Transcription

  • Speaker #0

    Avec ma présence sur les réseaux sociaux depuis presque deux ans dans le milieu de la finance perso, j'en ai vu passer des commentaires. Et s'il y en a un, un type de commentaire, qui me fait vraiment peur, c'est celui qui dit qu'il faut profiter de sa vie et pas se faire chier à épargner. Sous-entendu également, je l'ai vu passer, il faut profiter de l'argent qu'on gagne. Mais bien sûr que je suis pas contre profiter de la vie avec son argent. En fait, ma peur, elle est plutôt ailleurs. Quand on va voir les reportages qu'on trouve sur les réseaux sociaux, sur YouTube notamment, les reportages de la RTS, qui parlent de nos aînés, qui galèrent avec la retraite, moi, je me dis qu'il y a un truc qui cloche, déjà maintenant. Donc nous, les jeunes, j'ai pas 30 ans encore, on ne sait pas comment le système sera, à quel âge on y aura droit, à combien on aura le droit. Ça vous met pas la puce à l'oreille, vous ? Moi, ma puce, elle me dit, Janice, t'as intérêt à sauver ton cul et commencer à changer les choses maintenant. Dans cet épisode, on va parler des cas de figure, donc pourquoi certains de nos aînés galèrent financièrement une fois qu'ils arrivent à la retraite, comment s'y prendre maintenant pour commencer à changer les choses, On va parler des éléments à contrôler financièrement dans votre vie. On va aborder plusieurs façons de voir les choses, parce que je sais qu'il y a des anti-troisième pilier et il y a plein de gens qui sont contre le système, etc. Donc on va un petit peu parler de tout ça. Avec un objectif commun, économiser de l'argent et profiter de la vie. Petit bonus à la fin pour les entrepreneurs ou ceux qui ont des side business, je vais parler de comment j'utilise mon business dans ma prévoyance. Mais d'abord, bienvenue sur Coach ton budget, le podcast dédié à l'aptitude mais aussi parfois au marketing et à l'entrepreneuriat en Suisse particulièrement. Je suis Janice, formatrice en marketing et business digital mais aussi créatrice de contenu dans la finance personnelle. Dans ce podcast, on parle argent pour s'éduquer, apprendre à le gérer et comment réaliser nos projets de vie avec. Si tu es le nouvel ou le nouveau, bienvenue et pour les auditeurs fidèles, merci de continuer à me soutenir depuis plus d'une année sur le podcast. Important, mettez une note à ce podcast si vous l'aimez et si vous l'aimez encore plus, vous pouvez vous abonner à la newsletter et vous aurez dans votre boîte mail toutes les deux semaines, le sujet de la semaine. Avant de rentrer dans le vif du sujet, je voulais juste vous annoncer encore quelque chose parce que je reçois beaucoup beaucoup de questions au sujet de mon accompagnement Coach Ton Business. Oui, il a le vent en poupe. La première chose c'est oui, j'accompagne des entrepreneurs dans la visibilité, l'acquisition client, la rentabilité. Seulement, je suis complète jusqu'en janvier. et il y a du coup une liste d'attente dispo dans la section de cet épisode. Maintenant, il va y avoir un petit changement pour 2025 parce que là, j'ai fait trois lancements cette année, donc il y avait trois périodes de lancement où les gens pouvaient rejoindre Coach Ton Business. Ça va être un petit peu différent parce qu'il y a beaucoup de demandes. Je vais vous garder un petit peu la surprise pour ne pas vous spoiler. J'ai prévu une façon de faire une partie de Coach Ton Business, d'onboard une partie de Coach Ton Business de manière plus facile et plus rapide pour après rejoindre l'accompagnement plus complet. Donc ça permettra d'assouvir une demande plus importante. de mes services et de prendre vraiment les plus motivés à bosser avec moi dans le but de skyrocket leur présence en ligne en Suisse. Et pour ça, je vous invite à vous enregistrer dans le lien qu'il y a dans cet épisode si ça vous intéresse. Il y a eu Objectif 100% indépendant et rentable en Suisse, ça revient. Voilà, c'est un petit teasing, ça va être un poil différent, mais on est à peu près sur la même thématique. Donc se rémunérer, se rendre visible, s'organiser pour skyrocket, pour tout déglinguer avec son business en 2025. Il y avait... presque 100 personnes qui ont participé en septembre. Et oui, j'arrive pas à prendre tout le monde, donc en janvier, vous aurez une nouvelle version et je pourrais prendre plus de monde. Donc voilà, il y aura peut-être une pré-vente, mais je dis pas plus que ça. Alors, on va pas se mentir, je vous avais promis un sujet sur les finances dont le couple est le succès. Et je vous promets, je l'ai tourné. Mais il y a eu un virement de situation ce matin en regardant ce reportage assez triste de la RTS sur nos aînés. Avant de vous parler du sujet, j'aimerais qu'on revienne d'abord sur le système des piliers en Suisse parce que je milite pour une bonne compréhension. Une meilleure compréhension, c'est une meilleure éducation, c'est une meilleure prise de décision, c'est une meilleure vie mes chers amis, y'a pas plus compliqué que ça. En fait, le système de retraite en Suisse, il repose sur ce qu'on appelle le système des trois piliers. Ce système, il a été mis en place pour garantir aux gens qui vivent en Suisse une sécurité financière à la retraite. Pas compliqué. Et pour cela, il y a trois piliers. Le premier pilier, c'est celui qu'on appelle l'AVS, l'assurance vieillesse et survivant. Ça, c'est un peu la base de la base. Il va fournir une rente de base pour couvrir les besoins vitaux des retraités. Ce truc, il ne représente pas grand-chose, c'est-à-dire qu'on ne peut pas vivre de ça avec ça en Suisse. C'est une assurance obligatoire pour toutes les personnes qui résident et qui travaillent en Suisse. Et ce pilier, il est financé par les cotisations des salariés et des employeurs, ainsi que par des contributions de l'État. En fait, comment ça fonctionne ? Les cotisations, elles sont prélevées directement sur les salaires. Donc en général, c'est 4,35% du salaire brut de l'employé avec une part équivalente de l'employeur. C'est un système de répartition, donc les cotisations des actifs financent les rentes des retraités actuels. Et la rente AVS, elle est clairement insuffisante pour maintenir le même niveau de vie qu'avant la retraite. C'est pour ça qu'il y a les deux autres piliers. Le deuxième pilier, c'est ce qu'on appelle la prévoyance professionnelle LPP. La prévoyance professionnelle, elle va venir compléter l'AVS pour permettre aux retraités de maintenir leur niveau de vie antérieur. Elle est obligatoire pour tous les salariés qui ont un... revenu annuel supérieur à un certain seuil, c'est-à-dire, je crois que c'est 22 000 francs, un truc comme ça. Et les indépendants, ils peuvent y adhérer de manière volontaire. C'est un système de capitalisation, où chaque employé et employeur cotise sur un compte de prévoyance personnelle. Les cotisations sont investies pour générer un rendement, et le montant final accumulé sera utilisé pour financer la retraite. Il est privé, c'est-à-dire que votre LPP, enfin, elle est privée, votre LPP, c'est à vous. C'est-à-dire que ce que vous cotisez dans le deuxième pilier, ça va pas chez Hugo le voisin, ok ? C'est chez vous. Au moment de la retraite, vous pouvez choisir de recevoir vos économies en capital, donc en montant unique, ou sous forme de rente mensuelle. On va parler plus tard dans cet épisode des petits trucs à savoir qui sont importants tant que vous êtes salarié à propos du deuxième pilier. Le troisième pilier, du coup, c'est un complément volontaire. C'est ce qu'on appelle la prévoyance individuelle. Il y a eu la prévoyance professionnelle et c'est la prévoyance individuelle. C'est pour les personnes qui souhaitent épargner davantage et bénéficier des avantages fiscaux. Parce que s'il n'y avait pas les avantages fiscaux... Les gens ne mettraient pas forcément ça dans un troisième pilier, ils feraient à leur sauce. Et d'ailleurs, c'est ce que beaucoup de gens font parce qu'ils ne croivent pas au système. Bon, en fait, ce pilier, il est facultatif et il permet aux gens qui habitent en Suisse de se constituer une épargne supplémentaire pour leur retraite. Et là, il y en a deux, des sortes de piliers. Il y a le troisième pilier A, il s'appelle lié. C'est un plan qui permet d'avoir des avantages fiscaux. Et en général, il est lié à une banque. Donc ce n'est pas une assurance, c'est une banque. Et quant au 3B, donc le libre, lui il est plus flexible, il n'a pas de plafond de cotisation, parce que j'ai oublié de dire mais le 3A il est limité à 7 056 francs pour un salarié, je sais plus combien c'est pour un indépendant mais c'est genre 33-35 000 francs, un truc comme ça. Forcément, bah lui il n'a pas la même chose qu'un salarié, donc il peut mettre beaucoup plus et du coup déduire beaucoup plus de ses revenus. Mais le troisième pilier libre, il est plus flexible et il n'a pas de déduction fiscale, par contre il va souvent avoir des assurances liées à ça. Donc si vous avez compris, le système des trois piliers, il vise à combiner... des ressources publiques, professionnelles et privées. Il y a trois choses qui rentrent dedans pour fournir une sécurité financière stable et équilibrée pendant la retraite. Donc, vous avez compris que si vous avez qu'un, c'est la dèche. Si vous en avez deux, ça va, c'est ok, mais c'est pas non plus ouf. Si vous avez les trois, vous arrivez à combler et à avoir une bonne retraite. Et normalement, l'idée, c'est que les deux premiers piliers, ils couvrent environ 60% du revenu antérieur. Et le troisième, il vient combler le reste si besoin. Sauf que je sais, tout le monde n'est pas capable d'épargner pour un troisième pilier. On va en parler dans cet épisode, c'est tout là le nerf de la guerre. Maintenant, on a parlé de 60%. Donc imaginez qu'aujourd'hui, là je vais parler à, on va dire, la masse. C'est-à-dire la plupart des gens, la plupart des gens qui m'écoutent peuvent, sont en capacité de mettre un petit peu d'argent de côté tous les mois pour aller faire un troisième pilier. Je le sais très bien, je vous connais, je connais mes clients, je connais ma base, je cote mes followers, je le sais. Vous êtes capable de mettre entre 100 et 500 francs de côté. 500 francs, c'est une belle somme, on s'entend. Vous êtes capable de le faire. Donc, on va parler à des gens qui peuvent le faire, d'accord ? Mais on va en reparler plus tard. Imaginez que, du coup, vous n'ayez pas fait de troisième pilier. Quand vous arrivez à la retraite, si tout va bien, les deux premiers piliers couvrent 60% du revenu antérieur. Imaginez que quand vous paniquez, parce que vous allez au chômage, donc en général, le chômage, quand vous n'avez pas d'enfant, c'est 70%. Vous paniquez d'aller au chômage parce que vous allez avoir 30% de revenu en moins. La retraite, c'est du coup... 40% de revenus en moins mais là c'est pas dans une optique de retrouver du travail c'est dans une optique d'être à la retraite donc de kiffer sa vie et puis de finir ses beaux jours donc c'est là tout l'intérêt de se dire faudrait peut-être que je mette de Gwande Bourblitor parce que c'est quand même important vous voyez ? C'est ça maintenant je sais très bien et je l'ai vu dans les commentaires qu'il y a beaucoup de gens qui sont contre ça parce qu'ils utilisent des excuses à la con du genre Ouais, mais bon, avec le système qu'on a, on ne pourra plus vieillir. Oui, mais bon, avec le réchauffement climatique, etc. Mais c'est justement parce qu'on ne sait pas de quoi sera fait demain qu'il faut peut-être un petit peu anticiper pour qu'on ne soit pas trop dans la merde personnellement. Et c'est pour ça que je pense qu'il faut vraiment être conscient de ce qu'on veut dans sa vie et de poser toutes les ressources qu'il faut pour le faire. Et là, je sais, on ne vient pas tous du même endroit pour le faire. On va en parler plus tard. Bref. Dans le reportage que je regardais, en fait, il y avait plusieurs cas de figure. Alors là, je vais vous citer d'autres cas de figure qui n'ont pas fait partie du reportage, mais c'est des cas de figure qui me viennent en tête parce que j'ai eu connaissance de ça. Petite aparté, je vais vous raconter une histoire. Cette année, pour l'anniversaire de Coach ton budget, en février, en mars, j'ai offert à toute personne qui m'écrivait un message sur ma boîte mail en m'expliquant sa situation, j'ai offert Coach ton budget à toutes les personnes qui étaient dans des situations compliquées. Et vous savez quoi ? J'ai été extrêmement déçue des stats. Alors, il y a eu une trentaine de personnes en tout. Donc il y a eu 30 emails. J'ai vraiment donné accès à tout le monde qui m'écrivait. Il y a eu 30 emails. J'ai eu plein de cas de figure, toutes différentes. Des cas de divorce, des cas de job qui sont perdus, des cas de gens qui arrivent à l'assurance invalidité. J'ai plein, plein, plein. J'ai eu plein de cas. J'ai eu des cas vraiment tous différents, des cas qui m'ont beaucoup touchée. Des moments où j'ai versé une larme parce que je lisais des emails très tristes. Et j'ai donné accès à Coach ton budget. à toutes ces personnes-là. Le constat est tel que sur 30 personnes, j'ai eu 11 mails de remerciements. 11 emails m'ont remercié de tout cœur en me disant merci beaucoup, etc. Sur ces 30 personnes qui ont eu accès, parce que bien sûr je les ai taguées sur la plateforme, je voulais voir si elles faisaient le programme, il y en a 16 qui l'ont fait. Donc il y a 30 personnes qui ont reçu un programme d'une valeur de 100 francs que la vaste majorité des gens payent pour rejoindre parce qu'ils ont envie de changer financièrement leur vie. 30 personnes n'ayant eu accès gratuitement dans l'espoir que je puisse les aider tout en sachant que l'aide financière, il y en a dans beaucoup d'associations suisses. Caritas aide les gens, il y a aussi des associations dans chaque canton qui aident les gens financièrement, qui ont des cours d'éducation financière, etc. C'est juste qu'il faut aller chercher l'information. Donc c'est pas un petit programme sympa à faire à la maison comme moi, avec tous les trucs simplifiés. Donc vraiment, ma méthode, c'est des gens qui vous coachent financièrement. C'est vraiment différent. C'est pour des gens qui sont dans des situations de difficultés financières. Moi, j'ai plutôt des gens qui sont pas dans des situations de difficultés financières, mais qui ont besoin de se faire un peu taper les fesses pour les remettre en place. Donc voilà, je vais pas interpréter ça, je pense que vous comprenez ce que je veux dire, c'est qu'en donnant l'accès gratuitement, je ne les ai pas vraiment aidés. Parce que la volonté elle vient de soi, la volonté de changer les choses elle est toujours interne. Et parfois c'est pas le bon moment, parfois on est pas au bon endroit, au bon moment pour le faire, parfois on a tout en main, mais c'est pas le bon moment. Et c'est pour ça que je critique pas ces gens là, je me dis, chacun sa vie, chacun son chemin etc. Moi j'ai donné une... petites cordes pour qu'ils cèdent, pour qu'ils s'attrapent, pour peut-être que je les sorte d'une situation comme ça. Certains l'ont pas prise, certains n'ont pas réussi à l'attraper, peut-être, je sais pas, mais ils ont accès à vie, donc ils peuvent encore le faire maintenant. Bref, dans tous les cas, j'ai été très très déçue de voir qu'une action que j'avais pensée bien et utile n'avait pas eu l'effet escompté. Mais bon, voilà. En tout cas, si vous avez envie de partager votre avis, sur ça, si vous avez une réflexion, une critique à me faire à moi, allez-y, je suis ouverte. Mais voilà, j'ai vraiment pensé faire du bien et j'ai vraiment pensé aider. Il y avait des gens à la retraite dans ces personnes-là. J'ai des retours vraiment tout le temps positifs du programme. J'ai vraiment tout le temps des gens qui me disent Ouais, c'est bien, c'est cool Je n'ai pas eu beaucoup de retours de la nouvelle version. J'espère qu'elle est toute aussi cool parce que fondamentalement, c'est les mêmes choses. Je crois que j'étais juste un peu moins drôle, j'ai fait moins de blagues, je pense, dans la formation que la précédente. Voilà, fondamentalement. Voilà. J'avais fait ça et bon, bref. Pour revenir au reportage, ils parlent d'un monsieur qui a eu une belle carrière, qui a eu un divorce et qui a eu des soucis de santé, et qui se retrouve à Genève avec des grosses difficultés financières. Il n'arrive pas vraiment à boucler ses fins de mois, il est sous curatel, donc quelqu'un l'aide à faire. Et il explique les cas dans sa vie qui ont fait qu'il a dû donner 50% de sa LPP à sa femme au moment du divorce, il a eu des dettes, il a eu des problèmes de santé, etc. Il y a un autre cas de revenus très faibles, donc souvent des gens qui gagnent un tout petit salaire toute leur vie, qui en plus de ça ont un employé qui ne verse pas des masses ou qui ne fait pas d'efforts par rapport aux deux empilés. Ces gens-là aussi se retrouvent à la retraite avec toute leur vie l'impossibilité d'avoir... pu ouvrir un troisième pilier. Et en plus de ça, des cotisations moindres, donc en fait, ils se retrouvent à la retraite avec vraiment quelque chose de minable qui est très compliqué. Ensuite, du coup, je pense qu'il y a beaucoup de gens qui n'ont jamais pris la peine d'ouvrir un troisième pilier, parce que c'est de la paperasse, parce qu'il faut se pencher sur les chiffres, machin, machin, c'est compliqué, c'est chiant, c'est des assureurs, c'est de l'arnaque, là, là, là, là, là. Ben, du coup, on arrive proche de la retraite, et souvent, c'est un peu trop tard aussi pour faire son troisième pilier, quand on approche. Et du coup, pareil, ils n'ont pas grand-chose, en fait, parce qu'ils n'ont pas anticipé la chose. Et un autre truc dont je voulais vous parler, mais je vais en reparler plus tard quand on va parler des actions à mettre en place ou des choses à faire pour que vous améliorez votre situation actuelle pour plus tard, c'est des deuxièmes piliers très faibles, c'est-à-dire qu'aujourd'hui en fait, si votre employeur n'est pas à l'État ou si vous ne travaillez pas chez un employeur qui a des très belles conditions au niveau de la LPP, il se peut, dans le pire des cas, que votre employeur... paye le strict minimum. Donc c'est pour ça que certains salaires qui sont très très beaux, des gens qui gagnent 120 000 francs à l'année, etc., en fait, il y a une part minimum que l'employeur doit cotiser et un montant, il y a un plafond, je sais pas comment vous expliquer pour que ce soit le plus simple possible pour pas m'embrouiller et vous embrouiller. Et en fait, ces gens-là se retrouvent avec des cotisations vraiment pas ouf, en fait, qui font que au bout de 3, 4, 5 ans, ils pensent qu'ils ont bien cotisé pour le deuxième pilier. Souvent, ça se réveille quand ils veulent acheter un bien immobilier, ils se disent Ouais, bah là, j'ai bien gagné ma vie avec mon copain, avec mon mec, on aimerait acheter un bien immobilier. une baraque. Et en fait, avec le conseiller financier, ils se posent et puis ils se voient, ils se disent Ah, mais en fait, votre deuxième pilier, il est pas ouf, quoi. En fait, c'est souvent ça, c'est qu'ils n'ont jamais fait attention à leurs conditions salariales. On va en revenir plus tard. Pour quelqu'un, comme vous, qui souhaitait commencer à s'occuper de votre prévoyance en Suisse, c'est essentiel de bien comprendre ces options et de prendre des mesures adaptées à vos besoins futurs. Et pour cela, oui, je réponds à la question illico presto, je suis pas con, le montant de vos revenus joue un grand rôle, c'est inévitable. et je sais très bien qu'on part pas tous du même endroit, je suis la première. à le savoir, puisque j'ai eu été dans ces revenus très faibles où c'était impossible de mettre de côté. Et c'est aussi pour ça que j'ai eu cette volonté de développer des side business, de continuer à me former, d'avoir accès à des meilleurs postes, plus de revenus, etc. Parce que je ne me voyais pas rester dans une situation où je n'arrivais pas à payer mes factures. Et je le sais aussi, on ne peut pas tous faire ça. Chaque situation devient différente, je le sais. Je vous dis, j'ai eu vraiment beaucoup d'emails, j'ai eu vraiment beaucoup d'histoires. On m'a vraiment raconté des choses très touchantes. Et je pense que je fais de mon mieux pour... pour aider, après au bout d'un moment, j'ai vu cette année, quand j'ai offert l'accès, mais je me suis dit que je ne pouvais pas être mère Teresa non plus, donc je veux bien aider, et je l'ai fait, j'ai fait cette action, mais au bout d'un moment, voilà. Bon, si on revient un petit peu, je vais parler d'un truc d'où on peut débattre. On m'a dit l'autre jour, Jeannie, t'es quand même tranchée dans ce que tu dis. Mais je sais pas, parce que moi j'aime bien avoir un petit peu toute l'échelle, et comprendre un petit peu les positions de chacun, de varier, nuancer, etc. Mais il y a une chose, je vous avoue, avec laquelle je suis dans le désespoir total, c'est comment, nous les jeunes, on dépense notre fric. Moi y compris en tout cas plus à l'époque, maintenant c'est différent si vous écoutez mes podcasts vous savez que j'ai vraiment changé les choses mais avec le marketing digital avec la dose de conneries qu'on vend en ligne avec les vidéos qu'on vous vend, les produits les machins, en fait il y a une manière de dépenser son argent qui est infinie. On peut acheter du maquillage des fringues, des gadgets, des trucs sur Temu, des trucs sur AliExpress du Shein, du Zalando, du... On va racheter ses meubles Ikea parce qu'on a envie de nouvelles fournitures. Il y a vraiment mille et une manières de dépenser son argent. Et si on va encore dans les cas encore plus grands, on peut dépenser son argent dans des très très belles voitures, dans des fringues de marque. Et en fait, je pense que beaucoup de personnes sont un peu dans une espèce de frustration où ils travaillent dur. ils gagnent leur pain et veulent se dire bah moi je profite de ma vie, je voyage etc. Et franchement c'est très bien, kiffez votre vie, tant que les gens ils sont heureux, moi ça me va, tant qu'ils sont pas en train de déglinguer les autres sur les réseaux sociaux, moi ça me va. Mais il y a quand même un truc dont j'aimerais être, enfin porter un message en fait. C'est qu'aujourd'hui, vous dépensez peut-être cet argent d'une certaine manière, alors j'espère pour vous c'est conscient, mais plus tard, quand vous allez revenir sur vos dépenses, peut-être que vous allez regretter certains de vos achats et vous dire punaise si j'avais mis cet argent de côté ça aurait peut-être été mieux. Et c'est pour ça que j'ai appelé cet épisode Économiser de l'argent et profiter de la vie parce qu'on peut faire les deux. On peut vraiment, vraiment faire les deux. Et c'est pour ça que j'aimerais maintenant vous introduire à la partie où on va regarder comment est-ce qu'on peut évaluer sa situation actuelle pour faire en sorte que ce ne soit pas des nuages tout gris à l'artrête ou qu'on ne commence pas à se poser des questions à 50 ans et se dire, oh, ça va être un peu critique. Nous, les jeunes, on a ce pouvoir-là. On peut se dire, on peut changer des choses, on peut se dire, OK, comment est-ce que moi, je peux mettre en place des choses pour être confortable financièrement aujourd'hui et plus tard et demain ? La première étape, ça va être d'évaluer sa situation actuelle. Et pour ça... je vous recommande de comprendre votre couverture de base. Ça commence par vérifier vos cotisations au premier pilier. Il faut que vous vous assuriez qu'elles sont un jour, parce qu'on appelle ça des lacunes, donc des années où vous n'avez pas cotisé. Si vous avez des lacunes, il faut envisager de les combler si possible, parce que ça aura un impact direct sur le montant de votre rente à baisse. On parle de lacunes quand vous êtes parti, vous avez fait une année sabbatique, vous étiez aux études, bref, il peut y avoir mille et une raisons de cas de lacunes. Regardez ça. La deuxième chose, c'est analyser. votre deuxième pilier actuel. Ce que je vous conseille, c'est regarder votre fiche de salaire. Regardez à combien est-ce que vous êtes rémunéré, en tout cas, à combien vous payez cette deuxième pilier. Regardez le montant de votre employeur, regardez un petit peu où vous en êtes. Et si vous arrivez à retrouver vos fiches qui, vos certificats, pour voir le montant accumulé et les prestations prévues, ça vous donnera une idée de montant à disposition et peut-être, si vous arrivez à faire les calculs au moment de la retraite, de combiner en fait si vous combinez votre premier et votre deuxième pilier vous aurez peut-être un peu une idée de combien ça peut vous faire la retraite d'ailleurs souvent quand on reçoit les papiers ils vous font les calculs directement sur la feuille donc si vous n'avez même pas besoin de le faire si vous faites déjà ça vous avez fait je pense que ce que 90 personnes des gens font pas c'est vraiment comprendre où est ce que vous en êtes aujourd'hui juste ça juste se dire ok mon employeur c'est un chien de la casse il cotise pas pour moi ou ok en fait mes petites années à délirer machin c'est bien mais j'ai maintenant j'ai des lacunes rien que ça vous allez vous sauver beaucoup beaucoup de temps, enfin beaucoup de choses dans la vie. Et d'ailleurs pour ça j'en profite c'est, alors pour le coup c'est un petit placement de marque qui n'est pas du tout rémunéré c'est juste pour vous expliquer, j'ai fait un partenariat avec Cala qui retrouve vos avoirs de deuxième pilier je sais on peut le faire avec le site de la confédération là je sais pas quoi mais Cala ce qui est pratique c'est que vous remplissez le formulaire en deux secondes, vous retrouvez ça c'est tout fait, ils s'occupent pour vous de les chercher pendant je sais pas c'est entre un et quatre mois les recherches et ils vous contactent quand c'est retrouvé. C'est pour des gens qui ont plus de 25 ans qui du coup travaillent aussi et donc qui ont peut-être changé de travail et qui ont perdu leurs avoirs de deuxième pilier un peu partout dans différents comptes. Parce que ce qui se passe, c'est que quand vous changez d'emploi, si votre employeur a mal fait son taf et qu'il ne vous informe pas de vos avoirs, et bien en fait, ils sont envoyés sur, je ne sais plus comment ça s'appelle, le compte spécial machin, et ils ne font pas de bébés. Et ça, ce n'est pas ce qu'on veut. On veut de l'argent qu'il fasse des bébés quand il est sur un compte. Donc en fait, l'idée, c'est d'aller et récupérer tous vos avoirs et de les mettre sur un compte de libre passage ou sur le compte de votre entreprise actuelle, etc. En l'occurrence, on peut aller sauver beaucoup d'argent grâce à ça, surtout si vous avez un certain âge, je ne sais pas, 35-40 ans, que vous avez déjà fait pas mal de jobs à côté. Allez chercher les deuxièmes piliers. Et là, la question que vous allez me poser, oui mais bon, c'est quoi la différence d'aller avec le site de la conf là et puis Kala ? Ben Kala en fait, c'est gratuit, déjà de base, mais eux, ils vont vous proposer de le placer. Donc c'est à vous de décider si vous voulez aller avec Kala pour le... pour le placer ou si vous voulez le placer vous-même. Moi, en l'occurrence, j'avais décidé de le placer moi-même, mais c'est parce que j'avais déjà tout anticipé, j'avais déjà mon compte de libre passage, j'avais déjà tout fait, puis parce que si j'avais la situation, voilà, où je créais ma boîte, etc. Donc, voilà. La deuxième chose que je vous recommande de faire, donc l'étape numéro 2, c'est de calculer vos besoins de revenus à la retraite. Et ça, si vous suivez Coach Ton Budget, vous êtes armés pour ça. Moi, je vous donne toutes mes astuces pour savoir comment vous dépensez votre argent. Et en fait, ça, c'est très simple. C'est que... Quand vous arrivez à la retraite, toute votre vie, vous avez eu l'habitude d'avoir un salaire. Mais quand vous recevez votre deuxième pilier sous forme de capital, ou votre troisième pilier, quand vous le retirez, tout à coup, vous avez la masse d'attune sur votre compte en banque. Je raconte ça comme si j'avais vécu l'expérience alors que pas du tout, mais je vous explique un peu comment ça se passe. En fait, c'est très intéressant de connaître comment vous dépensez votre argent. Parce qu'à la retraite, ça va vous permettre d'être beaucoup plus consciencieux et de beaucoup mieux dépenser votre argent. Donc, je vous donne le cas de figure, le mien, admettons. J'arrive à la retraite et toute ma vie, je sais que pour vivre, j'ai eu besoin de 3500 francs net par mois. L'histoire, c'est que si j'ai bien calculé les choses, je vais avoir, je sais pas moi, 1800 francs de l'AVS. Donc je vais déjà avoir quasiment plus de la moitié qui est financée par l'AVS. Mon deuxième pilier, j'ai... Je ne sais pas les calculs dans la tête, mais on est à l'oral, donc on simplifie toujours. Imaginez que mon deuxième pilier garantit, je ne sais pas, 2000 francs. Ça veut dire que j'ai 3800 francs. Ah, voilà, je suis déjà assez rentable pour vivre ma retraite et pour vivre confortablement. Et en plus de ça, j'ai mon troisième pilier qui tombe. Donc admettons, mon troisième pilier me rajoute, je ne sais pas, 1500 francs par mois, brut, comme ça. Donc ça va me faire un revenu à la retraite, j'arrondis à 5500 francs. Maintenant, d'ailleurs, si vous voulez avoir des calculs précis, Moi, je vous conseille de vous orienter vers un conseiller financier qui va vous aider à faire ces calculs-là, à se poser avec vous. Parce que ce sont quand même des calculs où si ce n'est pas votre truc les maths, moi, je comprends que ce soit un peu compliqué à faire. Donc, ça vaut peut-être le coup d'aller vers quelqu'un de confiance. Allez, s'il vous plaît, allez vers un conseiller financier de confiance. Comme ça, vous pouvez calculer ces choses-là et vous rendre compte si vous avez vraiment besoin ou pas d'un troisième pilier ou si vous avez besoin de mettre en place les choses, en tout cas les choses que je raconte dans cet épisode-là. Le but de cette deuxième étape, c'est d'identifier le manque éventuel. Une fois que vous avez évalué vos besoins, vous les comparez avec les prestations que vous allez recevoir avec les premiers, deuxièmes et troisième piliers, et vous regardez si vous avez un écart à combler. Et l'écart, du coup, ça peut être plus économisé, ça peut être... Ah bah en fait, la troisième étape, j'ai oublié que j'avais écrit ça, c'est envisager le troisième pilier pour combler les écarts. Donc là, vous avez deux options dans les troisième piliers que j'ai déjà dit plus loin. Et là, la question qui se pose tout le temps, c'est mais on choisit quoi entre un troisième pilier en banque et en assurance ? Mais ça dépend de votre situation. Moi je peux pas vous dire non mais d'aller surtout pas vers les assurances. En soi, par exemple, dans mon cas, les assurances elles sont pas intéressantes parce que je n'ai pas une situation qui fait que j'en ai besoin. Mais ça peut peut-être convenir à un indépendant qui a besoin de faire attention à ses assurances. Vous voyez ce que je veux dire ? Et du coup, peut-être qu'on peut même avoir les deux. Peut-être que vous pouvez commencer par un troisième pilier en banque et plus tard, quand je sais pas, vous avez un enfant, un projet immobilier, j'en sais rien, bah là vous ouvrez un deuxième troisième pilier. Parce qu'il faut aussi savoir que tout le monde vous dira Ouais mais bon, à la retraite tu te fais imposer sur ton troisième pilier. Il y a des astuces pour se faire moins imposer et notamment ouvrir plusieurs troisième pilier. Donc vous pouvez en ouvrir plusieurs sans problème. Le nombre de troisième pilier que vous pouvez ouvrir, il est défini par le canton où vous habitez. Donc il me semble que le plus strict, c'est Neuchâtel. Mais je ne veux pas dire de bêtises, il n'y a qu'un troisième pilier d'autorisé. Alors que sur Vaud, il y en a 4, 5 et puis il y a des cantons, je crois, où ce n'est pas limité. Donc voilà. Maintenant, il y a une quatrième étape, c'est d'évaluer les options de placement. Donc dans le cadre du troisième pilier, en fait, vous pouvez choisir entre un compte épargne classique. Donc là, en général, en Suisse, les taux d'intérêt, c'est de la merde, on s'entend. Mais bon, c'est toujours mieux que rien. Et des solutions plus dynamiques avec des fonds d'investissement. Et les fonds, en fait, ils offrent souvent des rendements plus élevés, mais ils comportent aussi des risques. Et c'est ça ce que je vous disais. Donc il y a moyen de perdre ses thunes dans un troisième pilier. Oui. On va pas se le mentir, il y a des risques associés. Et je vais pas vous vendre du rêve en mode, allez-y, faites un troisième pilier, etc. Mais c'est les mêmes risques que vous trouverez si vous décidez de faire de la crypto, de faire de l'investissement en bourse, etc. Simplement, c'est vous qui faites la démarche. Et évidemment, this is all business, my friends, on va pas se le cacher, on n'est pas dans un état Providence. Donc, au bout d'un moment, oui, il y a toujours des gens qui vont se faire de l'argent sur ce que vous placez, machin. Oui, il y a toujours ça. Mais soyez smart et regardez. Et. Évaluez les choses, regardez les frais que vous avez, regardez les potentiels rendements. Si vous êtes intéressé à où va votre argent, posez des questions. Où est-ce que mon argent est investi, etc. Orientez-vous vers des solutions qui vous conviennent en fait. Vous allez chez un courtier et là vous le challengez le mec. Vous lui dites moi je veux ça, je veux que ce soit posé dans du green, je veux que ça me rapporte ça. Enfin bref, je sais pas, j'abuse peut-être mais... En fait, challengez un petit peu les choses pour que ça vous convienne. Vous laissez pas avoir par un système qui peut être charqui-charque, parce que les courtiers qui signent des 3e piliers, ils se font beaucoup d'argent sur vous. Donc soyez chiants, en fait. Soyez... Tiens, ils vont me défoncer les courtiers qui écoutent ça. Soyez un peu compliqués, quoi. Posez des questions, renseignez-vous, etc. D'ailleurs, je pense que mes podcasts, vous êtes beaucoup déjà à vous décider, mais évaluez les choses. Et du coup, on a parlé... Enfin, évaluez les options. Je vous disais, il y a quoi en dehors du 3e pilier ? en tant qu'investissement. Alors là, il y a mille et une façons d'investir. Il y a l'immobilier, il y a la bourse, il y a les cryptos. Il y a tellement de choses. Et d'ailleurs, je vais faire un épisode dans pas longtemps sur l'investissement en bourse. Il est prévu. Je ne sais pas si je le ferai avant ou après le truc sur les couples. J'ai plein d'idées. J'ai commencé aussi à rédiger les prochains podcasts et tout. Il y aura un sur la bourse que je vais vous parler de comment est-ce que j'ai appris moi-même à investir. Je vais parler de coach ta bourse, etc. Donc, on va aborder ce sujet-là, toujours dans une optique de vous aider à gérer vos finances. Mais si vous choisissez d'investir en bourse, moi ce que je vous conseille là comme ça, naturellement tout est détaillé dans Coach la Bourse, je vous conseille de diversifier vos placements pour limiter les risques. Donc soit vous investissez des montants minimes tant que vous vous formez et que vous apprenez, comme ça vous n'avez pas trop de risques. Mais au fur et à mesure, vous diversifiez vos placements, vous utilisez des ETF pour ça. Moi c'est ce que j'utilise en fait, donc je prêche ce que je dis. Ensuite la cinquième étape. Quand vous avez un peu fait tout ça, c'est de vous dire, ok, là maintenant je suis on top point, j'ai regardé ce que j'avais en année AVS, j'ai regardé mon deuxième pilier où j'en suis, d'ailleurs je vais buter mon employeur, non je rigole, j'ai souscrit à mon troisième pilier, j'ai commencé à cotiser dessus, maintenant c'est quoi la suite ? Et bien la cinquième étape, c'est de planifier les grandes étapes de la vie. Pour ça, il peut y avoir par exemple un projet immobilier, par exemple un départ à l'étranger, l'ouverture de votre... business, des choses comme ça. Et pour ça, effectivement, le troisième pilier, il peut servir à financer ce genre de choses. On va pas rentrer dans les détails de ça parce que c'est complexe et c'est pas le titre de cet épisode. Mais voilà, vous pouvez envisager en fait d'utiliser vos ressources que vous faites pour financer vos propres projets. Donc votre réseau individuel, votre maison, votre départ à l'étranger pour aller vivre votre best life au Mexique, vous pouvez utiliser tout ça. Donc au final, c'est quoi le manque à gagner d'économiser un peu d'argent ? C'est que Imaginez, je sais pas s'il y a des gens, oui bien sûr qu'il y a des gens qui ont moins de 25 ans qui m'écoutent, vous avez moins de 25 ans, aujourd'hui vous savez pas quoi faire de votre vie, et vous voulez kiffer. Mais vous savez pas comment kiffer en fait, vous savez pas où aller, quoi, comment, où, nous les adultes on va vous dire, nous les adultes, c'est tellement étonnant, nous les grands on va vous dire, mais t'as le temps de venir voir, tu verras, gna gna gna, bien sûr, et je dis ça j'ai 30 ans. C'est vraiment ça. Donc moi ce que je dirais c'est que même avec un tout petit revenu, commencez avec des petits montants, genre 100-150 balles par mois si c'est possible bien sûr, les étudiants ou les apprentis je sais que c'est plus compliqué mais ceux qui gagnent déjà un petit peu d'argent, ceux qui sont déjà salariés, ceux qui ont déjà un petit salaire, mettez de côté faites-le parce que le jour où vous en avez besoin, parce que vous avez eu l'illumination du siècle et puis vous savez ce que vous voulez faire dans votre vie ou même que vous avez besoin d'aller vous chercher et d'aller faire des trucs, d'aller expérimenter cet argent il est là pour ça. Allez pas dépenser des conneries sur des sites en ligne ou dans des vacances trop chères ou ou dans des trucs de marque. Ça, c'est pas utile pour vous découvrir. Aller voyager, ou faire des expériences, ou ouvrir votre entreprise, ou je sais pas. Tout ça, c'est des projets qui vont beaucoup plus vous nourrir de l'intérieur plutôt qu'acheter des conneries, en fait. Donc, vous regardez un petit peu comment est-ce que vous voyez le futur et comment est-ce que vous planifiez les grandes étapes de la vie. Imaginez que tout peut arriver, mes amis. Ensuite, la sixième étape, moi, je dirais que c'est de suivre un peu tout ça. Mais finalement, vous n'avez pas besoin de suivre ça tous les jours. Vous regardez ça une fois par année, vous recevez des comptes, vous mettez à jour votre... Dans le coach temps budget, il y a tous ces fichiers-là. Vous mettez à jour votre petit fichier, machin, et voilà. Et puis, vous vous faites appel, comme je dis tout le temps, à une fiduciaire ou un conseil financier qui peut vous aider à optimiser tout ça fiscalement. Donc comme ça, si vous avez maintenant des très très bons salaires, quelqu'un peut vous aider à payer moins d'impôts. Si vous avez un salaire lambda, comme tout le monde, médian, on va dire, Quand même, on peut vous aider à optimiser tout ça fiscalement parce que personne n'aime payer trop d'impôts, non ? Donc on veut optimiser ça pour avoir the best of our money, le meilleur de notre argent. Et je l'ai plusieurs fois dit dans cet épisode, mais si vous avez besoin d'aide, le meilleur truc c'est de faire appel à un conseiller financier. Et je vous dis, ne vous faites pas avoir avec des produits, renseignez-vous, posez vos questions, parce que eux, ils vont avoir, certaines personnes sont rémunérées sur des... C'est dans le sens de l'affiliation. Ils sont rémunérés sur des produits qu'ils vont vous vendre. Donc forcément, il y a des rémunérations plus élevées sur certains produits. Donc certains, des malintentionnés, ils vont vous faire signer certains produits qui vont leur faire plus d'argent que d'autres. Donc c'est à vous vraiment d'avoir la puce à l'oreille et de se dire Ok, ça c'est un produit qui me va, ça c'est plutôt un produit qui me va, etc. Et d'ailleurs, un truc qu'on me dit tout le temps, c'est Parfois, je vais collaborer avec une marque, que ce soit une banque, une assurance, et on va me dire... Ouais mais bon, ça, pas ouf, franchement le rendement... Non mais attendez, c'est pas que ça la question, c'est pas qu'une question de rendement en fait. L'histoire c'est que quand vous voulez une prestation, donc imaginez un troisième pilier. Il y a des gens qui ont besoin d'être pris par la main de A à Z. Il y a des gens qui ont besoin, et l'inverse également, il y a des gens qui ont besoin de savoir où va leur argent. Il y a des gens qui s'en foutent, ils veulent juste que ce soit fait. Il y a des gens qui veulent un maximum de risque pour un maximum de rendement. Il y a des gens qui ne veulent pas du tout rire. de risque et qui vont accepter un rendement faible. Et en fait, tout ça fait que il y a... une multitude de personas dans la nature, de gens, qui veulent gérer leur argent à leur façon. Et c'est exactement pour ça qu'il y a beaucoup, beaucoup de produits de finances sur le marché. Je ne dis pas qu'ils sont tous bien, je ne dis pas qu'ils sont tous cool, clean, etc. Ce n'est pas ce que j'ai dit. Je dis juste que quand vous avez des frais, ou certains frais, ou certains produits où on ne trouve pas trop le sens, etc. C'est potentiellement... parce que vous, ils ne vous conviennent pas à vous. Mais ils vont convenir à d'autres personnes. Il faut bien se rendre compte de ça. Mais voilà, je ne fais pas le... Il y a vraiment des produits de merde. Et honnêtement, je n'ai pas travaillé avec des marques qui ont des produits de merde dans lesquels je ne crois pas. Je pose toujours mes questions. Je demande toujours à avoir une petite intro pour qu'on comprenne de quoi il s'agit, etc. Donc voilà. Maintenant, je vous avais parlé d'un petit bonus qui vous aidera, qui sera utile à toute personne qui soit indépendante ou propriétaire de sa SIRL. Bon, en général, ceux qui sont à SIRL, ils sont déjà un petit peu au courant. Donc je ne veux pas... Euh... d'ergiverser là-dessus. En fait, c'est intéressant, même si vous, vous n'êtes pas dans le monde entrepreneurial, que vous sachiez que la Suisse, c'est un pays fabuleux pour les entrepreneurs. En fait, j'aime trop dire ça, parce que quand on a sa société, donc moi, c'est tout frais là, maintenant, c'est bon. Quand on a sa société, on fait appel à un conseiller, fiscaliste, machin. Moi, je le savais déjà, parce que vraiment, c'est des choses qui m'intéressent fondamentalement. Donc, c'est des choses que j'avais déjà appris avant. Mais en fait, quand on voit les chiffres, quand on se fait aider, t'es là genre, bam. C'est vraiment intéressant quand on est indépendant, enfin quand on est entrepreneur, et du coup, bien sûr, il faut avoir une entreprise qui fonctionne et tout. Moi, c'est mon cas. Mais t'es là genre, waouh, en fait, ça change ma vie, quoi. Avant, je me faisais défoncer par les impôts, et là, il y a tellement de manières de changer les choses, de réinvestir dans la société, d'aller plus loin, de continuer de croître, etc., que je pense que je peux le dire, vous me direz si vous êtes d'accord avec moi, mais la Suisse est un pays fait pour les entrepreneurs. Donc, la question c'est comment est-ce qu'on utilise sa propre entreprise pour améliorer sa prévoyance en Suisse ? Parce que c'est une excellente idée de se poser cette question-là. En fait, en tant qu'entrepreneur, vous avez la possibilité de structurer vos revenus et d'organiser votre épargne de manière stratégique. Et je vais vous donner quelques pistes. De nouveau, on n'est pas là pour aller dans les détails, je vais vous mettre la puce à l'oreille. Si vous voulez qu'on aborde des sujets plus en profondeur, n'hésitez pas à les mettre dans les commentaires de cet épisode. Et au passage, partagez cet épisode à quelqu'un qui a besoin d'avoir ce genre de conseil ou qui a besoin d'être mis à zéro au niveau de ses finances. Merci. Parce que je sais très bien que ce podcast, il éveille les consciences au niveau finance, donc partagez, partagez, partagez, partagez, partagez. Alors, si vous êtes entrepreneur ou non, sachez qu'il y a l'adhésion au deuxième pilier pour les indépendants. Il y a une inscription volontaire qui est possible, vous n'êtes pas obligé de vous inscrire à la LPP, mais si vous avez la possibilité de vous y affilier volontairement, ça peut être intéressant, parce que vous pouvez accumuler un capital retraite avec des cotisations déductibles des impôts. Le fait que ce soit déductible de votre revenu, that's what we want, c'est ce qu'on veut en tant qu'indépendant parce que ça va aussi réduire le montant imposable sur ce qu'on a gagné en revenu. Et surtout, ça va vous protéger en cas d'incapacité en fait. En cotisant au deuxième pilier, vous allez bénéficier d'une couverture en cas d'essai d'incapacité et vraiment, nous qui sommes quand même, voilà, on n'a pas le chômage, c'est pas négligeable comme petite protection. Ce qui est intéressant, c'est que votre société du coup, donc vous êtes votre propre patron, surtout en SRL, vous pouvez augmenter la part. de votre côté, et ça va vous donner une part sur-obligatoire, qu'on appelle la part sur-publicatoire, de côté pour votre retraite. Vous savez, comme j'en vis, mes amis qui travaillent par exemple à la Souva ou à l'État, ils ont des deuxièmes piliers de ouf, parce que du coup, l'État, ils cotisent plus pour eux. Oh là là, mais quand tu vois leur deuxième pilier et tout, ils sont là, un jour, un pote, il me montre sa fiche, et j'étais là genre, mais mec, ça fait combien de temps que tu travailles ? Ouais, ben je sais pas, ça fait 7 ans que je suis là. Je suis là, mais mec, t'es un deuxième pilier digne d'un mec de 40 ans. Mais parce qu'il cotise à double quoi ! Et même pendant ses... Il était aux études et puis il travaillait déjà pas. Déjà pendant ses études, il cotisait un max quoi. C'est cool ça. Ensuite, la deuxième solution, c'est que si vous êtes indépendant, vous pouvez utiliser le troisième pilier pour également renflouer votre sécurité. J'en ai parlé tout à l'heure. En fait, vous pouvez cotiser jusqu'à 20% de votre revenu net dans le troisième pilier avec un plafond annuel qui est fixé à 35 280 francs en 2023. Je ne sais pas s'il n'a pas augmenté en 2024, je ne suis pas sûre. Et ça vous permet également de déduire une somme significative de vos revenus imposables tout en renforçant votre épargne retraite. Donc si vous êtes en réseau individuel, c'est pas mal. Ensuite, il y a toute la stratégie liée aux dividendes ou salaires selon les avantages fiscaux. Je ne sais pas si vous saviez, mais les dividendes, c'est très intéressant d'être payé en dividendes en Suisse parce que l'imposition est faible. Donc admettons, si toute l'année, vous vous êtes payé votre strict minimum, en fin d'année, vous avez un joli profit, vous... vous pouvez vous verser des dividendes et là vous gagnerez aussi par rapport à si vous aviez versé ça sur votre salaire toute l'année. Alors il faut savoir que par rapport à tout ce que j'ai dit, c'est que les dividendes ne sont pas soumis aux cotisations sociales. Donc effectivement faire comme ça c'est peut-être bien la première année. Si vous vous lancez, que vous voulez être safe par rapport à votre salaire, vous payez le strict minimum, avoir le minimum d'impôt aussi par rapport à ça, c'est une certaine stratégie. Mais du coup vous ne cotisez pas aux cotisations sociales. Donc c'est tout des calculs à faire. Mais sachez que ça existe. En fait l'optimisation ce serait de Si vous combinez une part de salaire pour vos droits à la prévoyance et des dividendes pour des avantages fiscaux, vous pouvez vraiment maximiser votre épargne en fait, sans trop allonger votre charge fiscale. Donc c'est une approche qu'il faut trouver, équilibrer en fonction de votre situation et de vos objectifs du coup de retraite, puisqu'on parle de la retraite dans cet épisode là, mais ça pourrait être d'autres choses. Et voilà, moi c'est à peu près les choses que j'ai notées par rapport à mon activité et ce que je voulais faire, et pour moi c'est clairement un objectif, c'est de... de m'enrichir effectivement, parce que j'ai des objectifs personnels qu'un jour je vais partager. J'ai partagé beaucoup mes objectifs professionnels dans ce podcast, mais pas forcément mes objectifs perso-perso. Un jour je vais faire un épisode à ce sujet-là. Mais en l'occurrence, si vous voulez vous lancer, que vous êtes sur le point d'ouvrir votre side business, que vous êtes sur le point d'ouvrir votre activité indépendante, ou si vous êtes en activité indépendante déjà maintenant, il y a plein de choses à faire pour optimiser fiscalement votre situation. Je ne suis pas conseillère financière, pardon, je ne suis pas... fiscaliste, etc. Donc naturellement, ce que je vous dis là, ça reste à titre informatif. Je ne remplacerai jamais les conseils d'un fiscaliste, d'un financier par rapport à tout ça, et c'est pour ça que je vous conseille de prendre contact avec quelqu'un que peut-être vous connaissez, je sais pas, qui pourra vous aider à faire vos calculs à vous. Donc voilà, Janice de Coach Ton Budget, elle vous aide à prendre conscience et puis à peut-être faire un petit peu les choses par vous-même, mais par la suite, si vous voulez vraiment aller deep down dans les choses, moi je vous conseille de passer par quelqu'un de qui c'est le métier. Je ne remplacerai jamais ces gens-là, c'est sûr et certain, et c'est pas ce que j'ai envie de faire. Bon, j'espère que cet épisode vous aura aidé. J'espère que mes petits conseils, mes petites trouvailles, elles vous donnent des idées pour aborder vos finances, en tout cas pour la retraite. De nouveau, on a parlé retraite, parce que c'était vraiment ce reportage de la RTS qui m'a un peu chamboulée. Mais en fait, c'est pour tous vos projets de vie. C'est que vous pouvez mettre en place plein de petites choses comme ça. Vous n'êtes pas obligés d'aller vers du troisième pilier si ça vous pète. peur que ce soit bloqué, vous pouvez aller faire un compte épargne. Toutes ces petites choses que vous mettez en place quand vous n'êtes pas sûr de ce que vous voulez faire de votre vie. Des projets que vous voulez avoir, que ce soit d'acheter, que ce soit avoir un enfant, partir, voyager, ouvrir sa boîte. Tous les petits projets. Enfin là, c'est des gros projets. Tous les gros projets que vous ne savez pas si vous allez les faire un jour dans votre vie. Qu'importe. Quand vous avez le petit coussin de sécurité, c'est plus facile. Voilà, c'est tout. Et vous pouvez dès aujourd'hui commencer à mettre des sommes d'argent de côté pour construire cette épargne, pour construire ce projet-là. Et je vous jure que quand on a l'argent, les idées, elles viennent toutes seules. Parce que quand on a de l'argent, money is power. Bref. Du coup, merci d'avoir écouté cet épisode. Merci du coup aussi pour vos notations. N'oubliez pas de noter l'épisode si c'est la première fois que vous l'écoutez, si vous l'avez aimé. Les liens sont dans la barre d'infos pour s'abonner à l'analyseur et pour avoir du coup toutes les ressources avec Couches ton budget, avec CTB en général. Moi, je vous donne rendez-vous dans deux semaines pour le prochain épisode. Je ne vous dis pas sur le... Sur le sujet, parce que ça pourrait être les coupes, ça pourrait être la bourse, ça pourrait être plein de choses. Mais en fait, je n'ai pas décidé. On verra le mood quand j'enregistre le prochain. Mais voilà, je vous remercie énormément pour votre écoute. Je vous remercie pour les chaleureux messages que je reçois tout le temps. C'est très, très, très gentil. Ça me booste en fait à faire de ce podcast quelque chose de qualitatif. D'ailleurs, je vous prépare pour les entrepreneurs quelque chose de très spécifique pour la rentrée 2025. Donc janvier, vous verrez, c'est cool. Je suis en train de préparer ça avec un partenaire. Donc j'ai hâte de vous expliquer tout ça. Je vous retrouve dans le prochain épisode. En attendant, n'hésitez pas à le partager, à m'écrire aussi, à écrire en commentaire, à me proposer des suggestions, etc. Je vous embrasse et je vous dis à tout bientôt.

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Avec mes deux années de présence sur les réseaux sociaux dans le domaine de la finance personnelle, j'ai vu passer de nombreux commentaires sur l'épargne et le fait de "profiter de la vie". Mais une vision court-termiste de la vie sans épargne pourrait nous coûter cher, surtout face aux incertitudes sur les retraites et notre avenir financier.

Dans cet épisode, je partage mes réflexions sur l'importance d'épargner dès maintenant, en abordant :

  • Les situations difficiles que rencontrent certains de nos aînés à la retraite

  • Les étapes pour sécuriser votre avenir financier dès aujourd'hui

  • Les éléments clés à maîtriser pour mieux gérer vos finances

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Transcription

  • Speaker #0

    Avec ma présence sur les réseaux sociaux depuis presque deux ans dans le milieu de la finance perso, j'en ai vu passer des commentaires. Et s'il y en a un, un type de commentaire, qui me fait vraiment peur, c'est celui qui dit qu'il faut profiter de sa vie et pas se faire chier à épargner. Sous-entendu également, je l'ai vu passer, il faut profiter de l'argent qu'on gagne. Mais bien sûr que je suis pas contre profiter de la vie avec son argent. En fait, ma peur, elle est plutôt ailleurs. Quand on va voir les reportages qu'on trouve sur les réseaux sociaux, sur YouTube notamment, les reportages de la RTS, qui parlent de nos aînés, qui galèrent avec la retraite, moi, je me dis qu'il y a un truc qui cloche, déjà maintenant. Donc nous, les jeunes, j'ai pas 30 ans encore, on ne sait pas comment le système sera, à quel âge on y aura droit, à combien on aura le droit. Ça vous met pas la puce à l'oreille, vous ? Moi, ma puce, elle me dit, Janice, t'as intérêt à sauver ton cul et commencer à changer les choses maintenant. Dans cet épisode, on va parler des cas de figure, donc pourquoi certains de nos aînés galèrent financièrement une fois qu'ils arrivent à la retraite, comment s'y prendre maintenant pour commencer à changer les choses, On va parler des éléments à contrôler financièrement dans votre vie. On va aborder plusieurs façons de voir les choses, parce que je sais qu'il y a des anti-troisième pilier et il y a plein de gens qui sont contre le système, etc. Donc on va un petit peu parler de tout ça. Avec un objectif commun, économiser de l'argent et profiter de la vie. Petit bonus à la fin pour les entrepreneurs ou ceux qui ont des side business, je vais parler de comment j'utilise mon business dans ma prévoyance. Mais d'abord, bienvenue sur Coach ton budget, le podcast dédié à l'aptitude mais aussi parfois au marketing et à l'entrepreneuriat en Suisse particulièrement. Je suis Janice, formatrice en marketing et business digital mais aussi créatrice de contenu dans la finance personnelle. Dans ce podcast, on parle argent pour s'éduquer, apprendre à le gérer et comment réaliser nos projets de vie avec. Si tu es le nouvel ou le nouveau, bienvenue et pour les auditeurs fidèles, merci de continuer à me soutenir depuis plus d'une année sur le podcast. Important, mettez une note à ce podcast si vous l'aimez et si vous l'aimez encore plus, vous pouvez vous abonner à la newsletter et vous aurez dans votre boîte mail toutes les deux semaines, le sujet de la semaine. Avant de rentrer dans le vif du sujet, je voulais juste vous annoncer encore quelque chose parce que je reçois beaucoup beaucoup de questions au sujet de mon accompagnement Coach Ton Business. Oui, il a le vent en poupe. La première chose c'est oui, j'accompagne des entrepreneurs dans la visibilité, l'acquisition client, la rentabilité. Seulement, je suis complète jusqu'en janvier. et il y a du coup une liste d'attente dispo dans la section de cet épisode. Maintenant, il va y avoir un petit changement pour 2025 parce que là, j'ai fait trois lancements cette année, donc il y avait trois périodes de lancement où les gens pouvaient rejoindre Coach Ton Business. Ça va être un petit peu différent parce qu'il y a beaucoup de demandes. Je vais vous garder un petit peu la surprise pour ne pas vous spoiler. J'ai prévu une façon de faire une partie de Coach Ton Business, d'onboard une partie de Coach Ton Business de manière plus facile et plus rapide pour après rejoindre l'accompagnement plus complet. Donc ça permettra d'assouvir une demande plus importante. de mes services et de prendre vraiment les plus motivés à bosser avec moi dans le but de skyrocket leur présence en ligne en Suisse. Et pour ça, je vous invite à vous enregistrer dans le lien qu'il y a dans cet épisode si ça vous intéresse. Il y a eu Objectif 100% indépendant et rentable en Suisse, ça revient. Voilà, c'est un petit teasing, ça va être un poil différent, mais on est à peu près sur la même thématique. Donc se rémunérer, se rendre visible, s'organiser pour skyrocket, pour tout déglinguer avec son business en 2025. Il y avait... presque 100 personnes qui ont participé en septembre. Et oui, j'arrive pas à prendre tout le monde, donc en janvier, vous aurez une nouvelle version et je pourrais prendre plus de monde. Donc voilà, il y aura peut-être une pré-vente, mais je dis pas plus que ça. Alors, on va pas se mentir, je vous avais promis un sujet sur les finances dont le couple est le succès. Et je vous promets, je l'ai tourné. Mais il y a eu un virement de situation ce matin en regardant ce reportage assez triste de la RTS sur nos aînés. Avant de vous parler du sujet, j'aimerais qu'on revienne d'abord sur le système des piliers en Suisse parce que je milite pour une bonne compréhension. Une meilleure compréhension, c'est une meilleure éducation, c'est une meilleure prise de décision, c'est une meilleure vie mes chers amis, y'a pas plus compliqué que ça. En fait, le système de retraite en Suisse, il repose sur ce qu'on appelle le système des trois piliers. Ce système, il a été mis en place pour garantir aux gens qui vivent en Suisse une sécurité financière à la retraite. Pas compliqué. Et pour cela, il y a trois piliers. Le premier pilier, c'est celui qu'on appelle l'AVS, l'assurance vieillesse et survivant. Ça, c'est un peu la base de la base. Il va fournir une rente de base pour couvrir les besoins vitaux des retraités. Ce truc, il ne représente pas grand-chose, c'est-à-dire qu'on ne peut pas vivre de ça avec ça en Suisse. C'est une assurance obligatoire pour toutes les personnes qui résident et qui travaillent en Suisse. Et ce pilier, il est financé par les cotisations des salariés et des employeurs, ainsi que par des contributions de l'État. En fait, comment ça fonctionne ? Les cotisations, elles sont prélevées directement sur les salaires. Donc en général, c'est 4,35% du salaire brut de l'employé avec une part équivalente de l'employeur. C'est un système de répartition, donc les cotisations des actifs financent les rentes des retraités actuels. Et la rente AVS, elle est clairement insuffisante pour maintenir le même niveau de vie qu'avant la retraite. C'est pour ça qu'il y a les deux autres piliers. Le deuxième pilier, c'est ce qu'on appelle la prévoyance professionnelle LPP. La prévoyance professionnelle, elle va venir compléter l'AVS pour permettre aux retraités de maintenir leur niveau de vie antérieur. Elle est obligatoire pour tous les salariés qui ont un... revenu annuel supérieur à un certain seuil, c'est-à-dire, je crois que c'est 22 000 francs, un truc comme ça. Et les indépendants, ils peuvent y adhérer de manière volontaire. C'est un système de capitalisation, où chaque employé et employeur cotise sur un compte de prévoyance personnelle. Les cotisations sont investies pour générer un rendement, et le montant final accumulé sera utilisé pour financer la retraite. Il est privé, c'est-à-dire que votre LPP, enfin, elle est privée, votre LPP, c'est à vous. C'est-à-dire que ce que vous cotisez dans le deuxième pilier, ça va pas chez Hugo le voisin, ok ? C'est chez vous. Au moment de la retraite, vous pouvez choisir de recevoir vos économies en capital, donc en montant unique, ou sous forme de rente mensuelle. On va parler plus tard dans cet épisode des petits trucs à savoir qui sont importants tant que vous êtes salarié à propos du deuxième pilier. Le troisième pilier, du coup, c'est un complément volontaire. C'est ce qu'on appelle la prévoyance individuelle. Il y a eu la prévoyance professionnelle et c'est la prévoyance individuelle. C'est pour les personnes qui souhaitent épargner davantage et bénéficier des avantages fiscaux. Parce que s'il n'y avait pas les avantages fiscaux... Les gens ne mettraient pas forcément ça dans un troisième pilier, ils feraient à leur sauce. Et d'ailleurs, c'est ce que beaucoup de gens font parce qu'ils ne croivent pas au système. Bon, en fait, ce pilier, il est facultatif et il permet aux gens qui habitent en Suisse de se constituer une épargne supplémentaire pour leur retraite. Et là, il y en a deux, des sortes de piliers. Il y a le troisième pilier A, il s'appelle lié. C'est un plan qui permet d'avoir des avantages fiscaux. Et en général, il est lié à une banque. Donc ce n'est pas une assurance, c'est une banque. Et quant au 3B, donc le libre, lui il est plus flexible, il n'a pas de plafond de cotisation, parce que j'ai oublié de dire mais le 3A il est limité à 7 056 francs pour un salarié, je sais plus combien c'est pour un indépendant mais c'est genre 33-35 000 francs, un truc comme ça. Forcément, bah lui il n'a pas la même chose qu'un salarié, donc il peut mettre beaucoup plus et du coup déduire beaucoup plus de ses revenus. Mais le troisième pilier libre, il est plus flexible et il n'a pas de déduction fiscale, par contre il va souvent avoir des assurances liées à ça. Donc si vous avez compris, le système des trois piliers, il vise à combiner... des ressources publiques, professionnelles et privées. Il y a trois choses qui rentrent dedans pour fournir une sécurité financière stable et équilibrée pendant la retraite. Donc, vous avez compris que si vous avez qu'un, c'est la dèche. Si vous en avez deux, ça va, c'est ok, mais c'est pas non plus ouf. Si vous avez les trois, vous arrivez à combler et à avoir une bonne retraite. Et normalement, l'idée, c'est que les deux premiers piliers, ils couvrent environ 60% du revenu antérieur. Et le troisième, il vient combler le reste si besoin. Sauf que je sais, tout le monde n'est pas capable d'épargner pour un troisième pilier. On va en parler dans cet épisode, c'est tout là le nerf de la guerre. Maintenant, on a parlé de 60%. Donc imaginez qu'aujourd'hui, là je vais parler à, on va dire, la masse. C'est-à-dire la plupart des gens, la plupart des gens qui m'écoutent peuvent, sont en capacité de mettre un petit peu d'argent de côté tous les mois pour aller faire un troisième pilier. Je le sais très bien, je vous connais, je connais mes clients, je connais ma base, je cote mes followers, je le sais. Vous êtes capable de mettre entre 100 et 500 francs de côté. 500 francs, c'est une belle somme, on s'entend. Vous êtes capable de le faire. Donc, on va parler à des gens qui peuvent le faire, d'accord ? Mais on va en reparler plus tard. Imaginez que, du coup, vous n'ayez pas fait de troisième pilier. Quand vous arrivez à la retraite, si tout va bien, les deux premiers piliers couvrent 60% du revenu antérieur. Imaginez que quand vous paniquez, parce que vous allez au chômage, donc en général, le chômage, quand vous n'avez pas d'enfant, c'est 70%. Vous paniquez d'aller au chômage parce que vous allez avoir 30% de revenu en moins. La retraite, c'est du coup... 40% de revenus en moins mais là c'est pas dans une optique de retrouver du travail c'est dans une optique d'être à la retraite donc de kiffer sa vie et puis de finir ses beaux jours donc c'est là tout l'intérêt de se dire faudrait peut-être que je mette de Gwande Bourblitor parce que c'est quand même important vous voyez ? C'est ça maintenant je sais très bien et je l'ai vu dans les commentaires qu'il y a beaucoup de gens qui sont contre ça parce qu'ils utilisent des excuses à la con du genre Ouais, mais bon, avec le système qu'on a, on ne pourra plus vieillir. Oui, mais bon, avec le réchauffement climatique, etc. Mais c'est justement parce qu'on ne sait pas de quoi sera fait demain qu'il faut peut-être un petit peu anticiper pour qu'on ne soit pas trop dans la merde personnellement. Et c'est pour ça que je pense qu'il faut vraiment être conscient de ce qu'on veut dans sa vie et de poser toutes les ressources qu'il faut pour le faire. Et là, je sais, on ne vient pas tous du même endroit pour le faire. On va en parler plus tard. Bref. Dans le reportage que je regardais, en fait, il y avait plusieurs cas de figure. Alors là, je vais vous citer d'autres cas de figure qui n'ont pas fait partie du reportage, mais c'est des cas de figure qui me viennent en tête parce que j'ai eu connaissance de ça. Petite aparté, je vais vous raconter une histoire. Cette année, pour l'anniversaire de Coach ton budget, en février, en mars, j'ai offert à toute personne qui m'écrivait un message sur ma boîte mail en m'expliquant sa situation, j'ai offert Coach ton budget à toutes les personnes qui étaient dans des situations compliquées. Et vous savez quoi ? J'ai été extrêmement déçue des stats. Alors, il y a eu une trentaine de personnes en tout. Donc il y a eu 30 emails. J'ai vraiment donné accès à tout le monde qui m'écrivait. Il y a eu 30 emails. J'ai eu plein de cas de figure, toutes différentes. Des cas de divorce, des cas de job qui sont perdus, des cas de gens qui arrivent à l'assurance invalidité. J'ai plein, plein, plein. J'ai eu plein de cas. J'ai eu des cas vraiment tous différents, des cas qui m'ont beaucoup touchée. Des moments où j'ai versé une larme parce que je lisais des emails très tristes. Et j'ai donné accès à Coach ton budget. à toutes ces personnes-là. Le constat est tel que sur 30 personnes, j'ai eu 11 mails de remerciements. 11 emails m'ont remercié de tout cœur en me disant merci beaucoup, etc. Sur ces 30 personnes qui ont eu accès, parce que bien sûr je les ai taguées sur la plateforme, je voulais voir si elles faisaient le programme, il y en a 16 qui l'ont fait. Donc il y a 30 personnes qui ont reçu un programme d'une valeur de 100 francs que la vaste majorité des gens payent pour rejoindre parce qu'ils ont envie de changer financièrement leur vie. 30 personnes n'ayant eu accès gratuitement dans l'espoir que je puisse les aider tout en sachant que l'aide financière, il y en a dans beaucoup d'associations suisses. Caritas aide les gens, il y a aussi des associations dans chaque canton qui aident les gens financièrement, qui ont des cours d'éducation financière, etc. C'est juste qu'il faut aller chercher l'information. Donc c'est pas un petit programme sympa à faire à la maison comme moi, avec tous les trucs simplifiés. Donc vraiment, ma méthode, c'est des gens qui vous coachent financièrement. C'est vraiment différent. C'est pour des gens qui sont dans des situations de difficultés financières. Moi, j'ai plutôt des gens qui sont pas dans des situations de difficultés financières, mais qui ont besoin de se faire un peu taper les fesses pour les remettre en place. Donc voilà, je vais pas interpréter ça, je pense que vous comprenez ce que je veux dire, c'est qu'en donnant l'accès gratuitement, je ne les ai pas vraiment aidés. Parce que la volonté elle vient de soi, la volonté de changer les choses elle est toujours interne. Et parfois c'est pas le bon moment, parfois on est pas au bon endroit, au bon moment pour le faire, parfois on a tout en main, mais c'est pas le bon moment. Et c'est pour ça que je critique pas ces gens là, je me dis, chacun sa vie, chacun son chemin etc. Moi j'ai donné une... petites cordes pour qu'ils cèdent, pour qu'ils s'attrapent, pour peut-être que je les sorte d'une situation comme ça. Certains l'ont pas prise, certains n'ont pas réussi à l'attraper, peut-être, je sais pas, mais ils ont accès à vie, donc ils peuvent encore le faire maintenant. Bref, dans tous les cas, j'ai été très très déçue de voir qu'une action que j'avais pensée bien et utile n'avait pas eu l'effet escompté. Mais bon, voilà. En tout cas, si vous avez envie de partager votre avis, sur ça, si vous avez une réflexion, une critique à me faire à moi, allez-y, je suis ouverte. Mais voilà, j'ai vraiment pensé faire du bien et j'ai vraiment pensé aider. Il y avait des gens à la retraite dans ces personnes-là. J'ai des retours vraiment tout le temps positifs du programme. J'ai vraiment tout le temps des gens qui me disent Ouais, c'est bien, c'est cool Je n'ai pas eu beaucoup de retours de la nouvelle version. J'espère qu'elle est toute aussi cool parce que fondamentalement, c'est les mêmes choses. Je crois que j'étais juste un peu moins drôle, j'ai fait moins de blagues, je pense, dans la formation que la précédente. Voilà, fondamentalement. Voilà. J'avais fait ça et bon, bref. Pour revenir au reportage, ils parlent d'un monsieur qui a eu une belle carrière, qui a eu un divorce et qui a eu des soucis de santé, et qui se retrouve à Genève avec des grosses difficultés financières. Il n'arrive pas vraiment à boucler ses fins de mois, il est sous curatel, donc quelqu'un l'aide à faire. Et il explique les cas dans sa vie qui ont fait qu'il a dû donner 50% de sa LPP à sa femme au moment du divorce, il a eu des dettes, il a eu des problèmes de santé, etc. Il y a un autre cas de revenus très faibles, donc souvent des gens qui gagnent un tout petit salaire toute leur vie, qui en plus de ça ont un employé qui ne verse pas des masses ou qui ne fait pas d'efforts par rapport aux deux empilés. Ces gens-là aussi se retrouvent à la retraite avec toute leur vie l'impossibilité d'avoir... pu ouvrir un troisième pilier. Et en plus de ça, des cotisations moindres, donc en fait, ils se retrouvent à la retraite avec vraiment quelque chose de minable qui est très compliqué. Ensuite, du coup, je pense qu'il y a beaucoup de gens qui n'ont jamais pris la peine d'ouvrir un troisième pilier, parce que c'est de la paperasse, parce qu'il faut se pencher sur les chiffres, machin, machin, c'est compliqué, c'est chiant, c'est des assureurs, c'est de l'arnaque, là, là, là, là, là. Ben, du coup, on arrive proche de la retraite, et souvent, c'est un peu trop tard aussi pour faire son troisième pilier, quand on approche. Et du coup, pareil, ils n'ont pas grand-chose, en fait, parce qu'ils n'ont pas anticipé la chose. Et un autre truc dont je voulais vous parler, mais je vais en reparler plus tard quand on va parler des actions à mettre en place ou des choses à faire pour que vous améliorez votre situation actuelle pour plus tard, c'est des deuxièmes piliers très faibles, c'est-à-dire qu'aujourd'hui en fait, si votre employeur n'est pas à l'État ou si vous ne travaillez pas chez un employeur qui a des très belles conditions au niveau de la LPP, il se peut, dans le pire des cas, que votre employeur... paye le strict minimum. Donc c'est pour ça que certains salaires qui sont très très beaux, des gens qui gagnent 120 000 francs à l'année, etc., en fait, il y a une part minimum que l'employeur doit cotiser et un montant, il y a un plafond, je sais pas comment vous expliquer pour que ce soit le plus simple possible pour pas m'embrouiller et vous embrouiller. Et en fait, ces gens-là se retrouvent avec des cotisations vraiment pas ouf, en fait, qui font que au bout de 3, 4, 5 ans, ils pensent qu'ils ont bien cotisé pour le deuxième pilier. Souvent, ça se réveille quand ils veulent acheter un bien immobilier, ils se disent Ouais, bah là, j'ai bien gagné ma vie avec mon copain, avec mon mec, on aimerait acheter un bien immobilier. une baraque. Et en fait, avec le conseiller financier, ils se posent et puis ils se voient, ils se disent Ah, mais en fait, votre deuxième pilier, il est pas ouf, quoi. En fait, c'est souvent ça, c'est qu'ils n'ont jamais fait attention à leurs conditions salariales. On va en revenir plus tard. Pour quelqu'un, comme vous, qui souhaitait commencer à s'occuper de votre prévoyance en Suisse, c'est essentiel de bien comprendre ces options et de prendre des mesures adaptées à vos besoins futurs. Et pour cela, oui, je réponds à la question illico presto, je suis pas con, le montant de vos revenus joue un grand rôle, c'est inévitable. et je sais très bien qu'on part pas tous du même endroit, je suis la première. à le savoir, puisque j'ai eu été dans ces revenus très faibles où c'était impossible de mettre de côté. Et c'est aussi pour ça que j'ai eu cette volonté de développer des side business, de continuer à me former, d'avoir accès à des meilleurs postes, plus de revenus, etc. Parce que je ne me voyais pas rester dans une situation où je n'arrivais pas à payer mes factures. Et je le sais aussi, on ne peut pas tous faire ça. Chaque situation devient différente, je le sais. Je vous dis, j'ai eu vraiment beaucoup d'emails, j'ai eu vraiment beaucoup d'histoires. On m'a vraiment raconté des choses très touchantes. Et je pense que je fais de mon mieux pour... pour aider, après au bout d'un moment, j'ai vu cette année, quand j'ai offert l'accès, mais je me suis dit que je ne pouvais pas être mère Teresa non plus, donc je veux bien aider, et je l'ai fait, j'ai fait cette action, mais au bout d'un moment, voilà. Bon, si on revient un petit peu, je vais parler d'un truc d'où on peut débattre. On m'a dit l'autre jour, Jeannie, t'es quand même tranchée dans ce que tu dis. Mais je sais pas, parce que moi j'aime bien avoir un petit peu toute l'échelle, et comprendre un petit peu les positions de chacun, de varier, nuancer, etc. Mais il y a une chose, je vous avoue, avec laquelle je suis dans le désespoir total, c'est comment, nous les jeunes, on dépense notre fric. Moi y compris en tout cas plus à l'époque, maintenant c'est différent si vous écoutez mes podcasts vous savez que j'ai vraiment changé les choses mais avec le marketing digital avec la dose de conneries qu'on vend en ligne avec les vidéos qu'on vous vend, les produits les machins, en fait il y a une manière de dépenser son argent qui est infinie. On peut acheter du maquillage des fringues, des gadgets, des trucs sur Temu, des trucs sur AliExpress du Shein, du Zalando, du... On va racheter ses meubles Ikea parce qu'on a envie de nouvelles fournitures. Il y a vraiment mille et une manières de dépenser son argent. Et si on va encore dans les cas encore plus grands, on peut dépenser son argent dans des très très belles voitures, dans des fringues de marque. Et en fait, je pense que beaucoup de personnes sont un peu dans une espèce de frustration où ils travaillent dur. ils gagnent leur pain et veulent se dire bah moi je profite de ma vie, je voyage etc. Et franchement c'est très bien, kiffez votre vie, tant que les gens ils sont heureux, moi ça me va, tant qu'ils sont pas en train de déglinguer les autres sur les réseaux sociaux, moi ça me va. Mais il y a quand même un truc dont j'aimerais être, enfin porter un message en fait. C'est qu'aujourd'hui, vous dépensez peut-être cet argent d'une certaine manière, alors j'espère pour vous c'est conscient, mais plus tard, quand vous allez revenir sur vos dépenses, peut-être que vous allez regretter certains de vos achats et vous dire punaise si j'avais mis cet argent de côté ça aurait peut-être été mieux. Et c'est pour ça que j'ai appelé cet épisode Économiser de l'argent et profiter de la vie parce qu'on peut faire les deux. On peut vraiment, vraiment faire les deux. Et c'est pour ça que j'aimerais maintenant vous introduire à la partie où on va regarder comment est-ce qu'on peut évaluer sa situation actuelle pour faire en sorte que ce ne soit pas des nuages tout gris à l'artrête ou qu'on ne commence pas à se poser des questions à 50 ans et se dire, oh, ça va être un peu critique. Nous, les jeunes, on a ce pouvoir-là. On peut se dire, on peut changer des choses, on peut se dire, OK, comment est-ce que moi, je peux mettre en place des choses pour être confortable financièrement aujourd'hui et plus tard et demain ? La première étape, ça va être d'évaluer sa situation actuelle. Et pour ça... je vous recommande de comprendre votre couverture de base. Ça commence par vérifier vos cotisations au premier pilier. Il faut que vous vous assuriez qu'elles sont un jour, parce qu'on appelle ça des lacunes, donc des années où vous n'avez pas cotisé. Si vous avez des lacunes, il faut envisager de les combler si possible, parce que ça aura un impact direct sur le montant de votre rente à baisse. On parle de lacunes quand vous êtes parti, vous avez fait une année sabbatique, vous étiez aux études, bref, il peut y avoir mille et une raisons de cas de lacunes. Regardez ça. La deuxième chose, c'est analyser. votre deuxième pilier actuel. Ce que je vous conseille, c'est regarder votre fiche de salaire. Regardez à combien est-ce que vous êtes rémunéré, en tout cas, à combien vous payez cette deuxième pilier. Regardez le montant de votre employeur, regardez un petit peu où vous en êtes. Et si vous arrivez à retrouver vos fiches qui, vos certificats, pour voir le montant accumulé et les prestations prévues, ça vous donnera une idée de montant à disposition et peut-être, si vous arrivez à faire les calculs au moment de la retraite, de combiner en fait si vous combinez votre premier et votre deuxième pilier vous aurez peut-être un peu une idée de combien ça peut vous faire la retraite d'ailleurs souvent quand on reçoit les papiers ils vous font les calculs directement sur la feuille donc si vous n'avez même pas besoin de le faire si vous faites déjà ça vous avez fait je pense que ce que 90 personnes des gens font pas c'est vraiment comprendre où est ce que vous en êtes aujourd'hui juste ça juste se dire ok mon employeur c'est un chien de la casse il cotise pas pour moi ou ok en fait mes petites années à délirer machin c'est bien mais j'ai maintenant j'ai des lacunes rien que ça vous allez vous sauver beaucoup beaucoup de temps, enfin beaucoup de choses dans la vie. Et d'ailleurs pour ça j'en profite c'est, alors pour le coup c'est un petit placement de marque qui n'est pas du tout rémunéré c'est juste pour vous expliquer, j'ai fait un partenariat avec Cala qui retrouve vos avoirs de deuxième pilier je sais on peut le faire avec le site de la confédération là je sais pas quoi mais Cala ce qui est pratique c'est que vous remplissez le formulaire en deux secondes, vous retrouvez ça c'est tout fait, ils s'occupent pour vous de les chercher pendant je sais pas c'est entre un et quatre mois les recherches et ils vous contactent quand c'est retrouvé. C'est pour des gens qui ont plus de 25 ans qui du coup travaillent aussi et donc qui ont peut-être changé de travail et qui ont perdu leurs avoirs de deuxième pilier un peu partout dans différents comptes. Parce que ce qui se passe, c'est que quand vous changez d'emploi, si votre employeur a mal fait son taf et qu'il ne vous informe pas de vos avoirs, et bien en fait, ils sont envoyés sur, je ne sais plus comment ça s'appelle, le compte spécial machin, et ils ne font pas de bébés. Et ça, ce n'est pas ce qu'on veut. On veut de l'argent qu'il fasse des bébés quand il est sur un compte. Donc en fait, l'idée, c'est d'aller et récupérer tous vos avoirs et de les mettre sur un compte de libre passage ou sur le compte de votre entreprise actuelle, etc. En l'occurrence, on peut aller sauver beaucoup d'argent grâce à ça, surtout si vous avez un certain âge, je ne sais pas, 35-40 ans, que vous avez déjà fait pas mal de jobs à côté. Allez chercher les deuxièmes piliers. Et là, la question que vous allez me poser, oui mais bon, c'est quoi la différence d'aller avec le site de la conf là et puis Kala ? Ben Kala en fait, c'est gratuit, déjà de base, mais eux, ils vont vous proposer de le placer. Donc c'est à vous de décider si vous voulez aller avec Kala pour le... pour le placer ou si vous voulez le placer vous-même. Moi, en l'occurrence, j'avais décidé de le placer moi-même, mais c'est parce que j'avais déjà tout anticipé, j'avais déjà mon compte de libre passage, j'avais déjà tout fait, puis parce que si j'avais la situation, voilà, où je créais ma boîte, etc. Donc, voilà. La deuxième chose que je vous recommande de faire, donc l'étape numéro 2, c'est de calculer vos besoins de revenus à la retraite. Et ça, si vous suivez Coach Ton Budget, vous êtes armés pour ça. Moi, je vous donne toutes mes astuces pour savoir comment vous dépensez votre argent. Et en fait, ça, c'est très simple. C'est que... Quand vous arrivez à la retraite, toute votre vie, vous avez eu l'habitude d'avoir un salaire. Mais quand vous recevez votre deuxième pilier sous forme de capital, ou votre troisième pilier, quand vous le retirez, tout à coup, vous avez la masse d'attune sur votre compte en banque. Je raconte ça comme si j'avais vécu l'expérience alors que pas du tout, mais je vous explique un peu comment ça se passe. En fait, c'est très intéressant de connaître comment vous dépensez votre argent. Parce qu'à la retraite, ça va vous permettre d'être beaucoup plus consciencieux et de beaucoup mieux dépenser votre argent. Donc, je vous donne le cas de figure, le mien, admettons. J'arrive à la retraite et toute ma vie, je sais que pour vivre, j'ai eu besoin de 3500 francs net par mois. L'histoire, c'est que si j'ai bien calculé les choses, je vais avoir, je sais pas moi, 1800 francs de l'AVS. Donc je vais déjà avoir quasiment plus de la moitié qui est financée par l'AVS. Mon deuxième pilier, j'ai... Je ne sais pas les calculs dans la tête, mais on est à l'oral, donc on simplifie toujours. Imaginez que mon deuxième pilier garantit, je ne sais pas, 2000 francs. Ça veut dire que j'ai 3800 francs. Ah, voilà, je suis déjà assez rentable pour vivre ma retraite et pour vivre confortablement. Et en plus de ça, j'ai mon troisième pilier qui tombe. Donc admettons, mon troisième pilier me rajoute, je ne sais pas, 1500 francs par mois, brut, comme ça. Donc ça va me faire un revenu à la retraite, j'arrondis à 5500 francs. Maintenant, d'ailleurs, si vous voulez avoir des calculs précis, Moi, je vous conseille de vous orienter vers un conseiller financier qui va vous aider à faire ces calculs-là, à se poser avec vous. Parce que ce sont quand même des calculs où si ce n'est pas votre truc les maths, moi, je comprends que ce soit un peu compliqué à faire. Donc, ça vaut peut-être le coup d'aller vers quelqu'un de confiance. Allez, s'il vous plaît, allez vers un conseiller financier de confiance. Comme ça, vous pouvez calculer ces choses-là et vous rendre compte si vous avez vraiment besoin ou pas d'un troisième pilier ou si vous avez besoin de mettre en place les choses, en tout cas les choses que je raconte dans cet épisode-là. Le but de cette deuxième étape, c'est d'identifier le manque éventuel. Une fois que vous avez évalué vos besoins, vous les comparez avec les prestations que vous allez recevoir avec les premiers, deuxièmes et troisième piliers, et vous regardez si vous avez un écart à combler. Et l'écart, du coup, ça peut être plus économisé, ça peut être... Ah bah en fait, la troisième étape, j'ai oublié que j'avais écrit ça, c'est envisager le troisième pilier pour combler les écarts. Donc là, vous avez deux options dans les troisième piliers que j'ai déjà dit plus loin. Et là, la question qui se pose tout le temps, c'est mais on choisit quoi entre un troisième pilier en banque et en assurance ? Mais ça dépend de votre situation. Moi je peux pas vous dire non mais d'aller surtout pas vers les assurances. En soi, par exemple, dans mon cas, les assurances elles sont pas intéressantes parce que je n'ai pas une situation qui fait que j'en ai besoin. Mais ça peut peut-être convenir à un indépendant qui a besoin de faire attention à ses assurances. Vous voyez ce que je veux dire ? Et du coup, peut-être qu'on peut même avoir les deux. Peut-être que vous pouvez commencer par un troisième pilier en banque et plus tard, quand je sais pas, vous avez un enfant, un projet immobilier, j'en sais rien, bah là vous ouvrez un deuxième troisième pilier. Parce qu'il faut aussi savoir que tout le monde vous dira Ouais mais bon, à la retraite tu te fais imposer sur ton troisième pilier. Il y a des astuces pour se faire moins imposer et notamment ouvrir plusieurs troisième pilier. Donc vous pouvez en ouvrir plusieurs sans problème. Le nombre de troisième pilier que vous pouvez ouvrir, il est défini par le canton où vous habitez. Donc il me semble que le plus strict, c'est Neuchâtel. Mais je ne veux pas dire de bêtises, il n'y a qu'un troisième pilier d'autorisé. Alors que sur Vaud, il y en a 4, 5 et puis il y a des cantons, je crois, où ce n'est pas limité. Donc voilà. Maintenant, il y a une quatrième étape, c'est d'évaluer les options de placement. Donc dans le cadre du troisième pilier, en fait, vous pouvez choisir entre un compte épargne classique. Donc là, en général, en Suisse, les taux d'intérêt, c'est de la merde, on s'entend. Mais bon, c'est toujours mieux que rien. Et des solutions plus dynamiques avec des fonds d'investissement. Et les fonds, en fait, ils offrent souvent des rendements plus élevés, mais ils comportent aussi des risques. Et c'est ça ce que je vous disais. Donc il y a moyen de perdre ses thunes dans un troisième pilier. Oui. On va pas se le mentir, il y a des risques associés. Et je vais pas vous vendre du rêve en mode, allez-y, faites un troisième pilier, etc. Mais c'est les mêmes risques que vous trouverez si vous décidez de faire de la crypto, de faire de l'investissement en bourse, etc. Simplement, c'est vous qui faites la démarche. Et évidemment, this is all business, my friends, on va pas se le cacher, on n'est pas dans un état Providence. Donc, au bout d'un moment, oui, il y a toujours des gens qui vont se faire de l'argent sur ce que vous placez, machin. Oui, il y a toujours ça. Mais soyez smart et regardez. Et. Évaluez les choses, regardez les frais que vous avez, regardez les potentiels rendements. Si vous êtes intéressé à où va votre argent, posez des questions. Où est-ce que mon argent est investi, etc. Orientez-vous vers des solutions qui vous conviennent en fait. Vous allez chez un courtier et là vous le challengez le mec. Vous lui dites moi je veux ça, je veux que ce soit posé dans du green, je veux que ça me rapporte ça. Enfin bref, je sais pas, j'abuse peut-être mais... En fait, challengez un petit peu les choses pour que ça vous convienne. Vous laissez pas avoir par un système qui peut être charqui-charque, parce que les courtiers qui signent des 3e piliers, ils se font beaucoup d'argent sur vous. Donc soyez chiants, en fait. Soyez... Tiens, ils vont me défoncer les courtiers qui écoutent ça. Soyez un peu compliqués, quoi. Posez des questions, renseignez-vous, etc. D'ailleurs, je pense que mes podcasts, vous êtes beaucoup déjà à vous décider, mais évaluez les choses. Et du coup, on a parlé... Enfin, évaluez les options. Je vous disais, il y a quoi en dehors du 3e pilier ? en tant qu'investissement. Alors là, il y a mille et une façons d'investir. Il y a l'immobilier, il y a la bourse, il y a les cryptos. Il y a tellement de choses. Et d'ailleurs, je vais faire un épisode dans pas longtemps sur l'investissement en bourse. Il est prévu. Je ne sais pas si je le ferai avant ou après le truc sur les couples. J'ai plein d'idées. J'ai commencé aussi à rédiger les prochains podcasts et tout. Il y aura un sur la bourse que je vais vous parler de comment est-ce que j'ai appris moi-même à investir. Je vais parler de coach ta bourse, etc. Donc, on va aborder ce sujet-là, toujours dans une optique de vous aider à gérer vos finances. Mais si vous choisissez d'investir en bourse, moi ce que je vous conseille là comme ça, naturellement tout est détaillé dans Coach la Bourse, je vous conseille de diversifier vos placements pour limiter les risques. Donc soit vous investissez des montants minimes tant que vous vous formez et que vous apprenez, comme ça vous n'avez pas trop de risques. Mais au fur et à mesure, vous diversifiez vos placements, vous utilisez des ETF pour ça. Moi c'est ce que j'utilise en fait, donc je prêche ce que je dis. Ensuite la cinquième étape. Quand vous avez un peu fait tout ça, c'est de vous dire, ok, là maintenant je suis on top point, j'ai regardé ce que j'avais en année AVS, j'ai regardé mon deuxième pilier où j'en suis, d'ailleurs je vais buter mon employeur, non je rigole, j'ai souscrit à mon troisième pilier, j'ai commencé à cotiser dessus, maintenant c'est quoi la suite ? Et bien la cinquième étape, c'est de planifier les grandes étapes de la vie. Pour ça, il peut y avoir par exemple un projet immobilier, par exemple un départ à l'étranger, l'ouverture de votre... business, des choses comme ça. Et pour ça, effectivement, le troisième pilier, il peut servir à financer ce genre de choses. On va pas rentrer dans les détails de ça parce que c'est complexe et c'est pas le titre de cet épisode. Mais voilà, vous pouvez envisager en fait d'utiliser vos ressources que vous faites pour financer vos propres projets. Donc votre réseau individuel, votre maison, votre départ à l'étranger pour aller vivre votre best life au Mexique, vous pouvez utiliser tout ça. Donc au final, c'est quoi le manque à gagner d'économiser un peu d'argent ? C'est que Imaginez, je sais pas s'il y a des gens, oui bien sûr qu'il y a des gens qui ont moins de 25 ans qui m'écoutent, vous avez moins de 25 ans, aujourd'hui vous savez pas quoi faire de votre vie, et vous voulez kiffer. Mais vous savez pas comment kiffer en fait, vous savez pas où aller, quoi, comment, où, nous les adultes on va vous dire, nous les adultes, c'est tellement étonnant, nous les grands on va vous dire, mais t'as le temps de venir voir, tu verras, gna gna gna, bien sûr, et je dis ça j'ai 30 ans. C'est vraiment ça. Donc moi ce que je dirais c'est que même avec un tout petit revenu, commencez avec des petits montants, genre 100-150 balles par mois si c'est possible bien sûr, les étudiants ou les apprentis je sais que c'est plus compliqué mais ceux qui gagnent déjà un petit peu d'argent, ceux qui sont déjà salariés, ceux qui ont déjà un petit salaire, mettez de côté faites-le parce que le jour où vous en avez besoin, parce que vous avez eu l'illumination du siècle et puis vous savez ce que vous voulez faire dans votre vie ou même que vous avez besoin d'aller vous chercher et d'aller faire des trucs, d'aller expérimenter cet argent il est là pour ça. Allez pas dépenser des conneries sur des sites en ligne ou dans des vacances trop chères ou ou dans des trucs de marque. Ça, c'est pas utile pour vous découvrir. Aller voyager, ou faire des expériences, ou ouvrir votre entreprise, ou je sais pas. Tout ça, c'est des projets qui vont beaucoup plus vous nourrir de l'intérieur plutôt qu'acheter des conneries, en fait. Donc, vous regardez un petit peu comment est-ce que vous voyez le futur et comment est-ce que vous planifiez les grandes étapes de la vie. Imaginez que tout peut arriver, mes amis. Ensuite, la sixième étape, moi, je dirais que c'est de suivre un peu tout ça. Mais finalement, vous n'avez pas besoin de suivre ça tous les jours. Vous regardez ça une fois par année, vous recevez des comptes, vous mettez à jour votre... Dans le coach temps budget, il y a tous ces fichiers-là. Vous mettez à jour votre petit fichier, machin, et voilà. Et puis, vous vous faites appel, comme je dis tout le temps, à une fiduciaire ou un conseil financier qui peut vous aider à optimiser tout ça fiscalement. Donc comme ça, si vous avez maintenant des très très bons salaires, quelqu'un peut vous aider à payer moins d'impôts. Si vous avez un salaire lambda, comme tout le monde, médian, on va dire, Quand même, on peut vous aider à optimiser tout ça fiscalement parce que personne n'aime payer trop d'impôts, non ? Donc on veut optimiser ça pour avoir the best of our money, le meilleur de notre argent. Et je l'ai plusieurs fois dit dans cet épisode, mais si vous avez besoin d'aide, le meilleur truc c'est de faire appel à un conseiller financier. Et je vous dis, ne vous faites pas avoir avec des produits, renseignez-vous, posez vos questions, parce que eux, ils vont avoir, certaines personnes sont rémunérées sur des... C'est dans le sens de l'affiliation. Ils sont rémunérés sur des produits qu'ils vont vous vendre. Donc forcément, il y a des rémunérations plus élevées sur certains produits. Donc certains, des malintentionnés, ils vont vous faire signer certains produits qui vont leur faire plus d'argent que d'autres. Donc c'est à vous vraiment d'avoir la puce à l'oreille et de se dire Ok, ça c'est un produit qui me va, ça c'est plutôt un produit qui me va, etc. Et d'ailleurs, un truc qu'on me dit tout le temps, c'est Parfois, je vais collaborer avec une marque, que ce soit une banque, une assurance, et on va me dire... Ouais mais bon, ça, pas ouf, franchement le rendement... Non mais attendez, c'est pas que ça la question, c'est pas qu'une question de rendement en fait. L'histoire c'est que quand vous voulez une prestation, donc imaginez un troisième pilier. Il y a des gens qui ont besoin d'être pris par la main de A à Z. Il y a des gens qui ont besoin, et l'inverse également, il y a des gens qui ont besoin de savoir où va leur argent. Il y a des gens qui s'en foutent, ils veulent juste que ce soit fait. Il y a des gens qui veulent un maximum de risque pour un maximum de rendement. Il y a des gens qui ne veulent pas du tout rire. de risque et qui vont accepter un rendement faible. Et en fait, tout ça fait que il y a... une multitude de personas dans la nature, de gens, qui veulent gérer leur argent à leur façon. Et c'est exactement pour ça qu'il y a beaucoup, beaucoup de produits de finances sur le marché. Je ne dis pas qu'ils sont tous bien, je ne dis pas qu'ils sont tous cool, clean, etc. Ce n'est pas ce que j'ai dit. Je dis juste que quand vous avez des frais, ou certains frais, ou certains produits où on ne trouve pas trop le sens, etc. C'est potentiellement... parce que vous, ils ne vous conviennent pas à vous. Mais ils vont convenir à d'autres personnes. Il faut bien se rendre compte de ça. Mais voilà, je ne fais pas le... Il y a vraiment des produits de merde. Et honnêtement, je n'ai pas travaillé avec des marques qui ont des produits de merde dans lesquels je ne crois pas. Je pose toujours mes questions. Je demande toujours à avoir une petite intro pour qu'on comprenne de quoi il s'agit, etc. Donc voilà. Maintenant, je vous avais parlé d'un petit bonus qui vous aidera, qui sera utile à toute personne qui soit indépendante ou propriétaire de sa SIRL. Bon, en général, ceux qui sont à SIRL, ils sont déjà un petit peu au courant. Donc je ne veux pas... Euh... d'ergiverser là-dessus. En fait, c'est intéressant, même si vous, vous n'êtes pas dans le monde entrepreneurial, que vous sachiez que la Suisse, c'est un pays fabuleux pour les entrepreneurs. En fait, j'aime trop dire ça, parce que quand on a sa société, donc moi, c'est tout frais là, maintenant, c'est bon. Quand on a sa société, on fait appel à un conseiller, fiscaliste, machin. Moi, je le savais déjà, parce que vraiment, c'est des choses qui m'intéressent fondamentalement. Donc, c'est des choses que j'avais déjà appris avant. Mais en fait, quand on voit les chiffres, quand on se fait aider, t'es là genre, bam. C'est vraiment intéressant quand on est indépendant, enfin quand on est entrepreneur, et du coup, bien sûr, il faut avoir une entreprise qui fonctionne et tout. Moi, c'est mon cas. Mais t'es là genre, waouh, en fait, ça change ma vie, quoi. Avant, je me faisais défoncer par les impôts, et là, il y a tellement de manières de changer les choses, de réinvestir dans la société, d'aller plus loin, de continuer de croître, etc., que je pense que je peux le dire, vous me direz si vous êtes d'accord avec moi, mais la Suisse est un pays fait pour les entrepreneurs. Donc, la question c'est comment est-ce qu'on utilise sa propre entreprise pour améliorer sa prévoyance en Suisse ? Parce que c'est une excellente idée de se poser cette question-là. En fait, en tant qu'entrepreneur, vous avez la possibilité de structurer vos revenus et d'organiser votre épargne de manière stratégique. Et je vais vous donner quelques pistes. De nouveau, on n'est pas là pour aller dans les détails, je vais vous mettre la puce à l'oreille. Si vous voulez qu'on aborde des sujets plus en profondeur, n'hésitez pas à les mettre dans les commentaires de cet épisode. Et au passage, partagez cet épisode à quelqu'un qui a besoin d'avoir ce genre de conseil ou qui a besoin d'être mis à zéro au niveau de ses finances. Merci. Parce que je sais très bien que ce podcast, il éveille les consciences au niveau finance, donc partagez, partagez, partagez, partagez, partagez. Alors, si vous êtes entrepreneur ou non, sachez qu'il y a l'adhésion au deuxième pilier pour les indépendants. Il y a une inscription volontaire qui est possible, vous n'êtes pas obligé de vous inscrire à la LPP, mais si vous avez la possibilité de vous y affilier volontairement, ça peut être intéressant, parce que vous pouvez accumuler un capital retraite avec des cotisations déductibles des impôts. Le fait que ce soit déductible de votre revenu, that's what we want, c'est ce qu'on veut en tant qu'indépendant parce que ça va aussi réduire le montant imposable sur ce qu'on a gagné en revenu. Et surtout, ça va vous protéger en cas d'incapacité en fait. En cotisant au deuxième pilier, vous allez bénéficier d'une couverture en cas d'essai d'incapacité et vraiment, nous qui sommes quand même, voilà, on n'a pas le chômage, c'est pas négligeable comme petite protection. Ce qui est intéressant, c'est que votre société du coup, donc vous êtes votre propre patron, surtout en SRL, vous pouvez augmenter la part. de votre côté, et ça va vous donner une part sur-obligatoire, qu'on appelle la part sur-publicatoire, de côté pour votre retraite. Vous savez, comme j'en vis, mes amis qui travaillent par exemple à la Souva ou à l'État, ils ont des deuxièmes piliers de ouf, parce que du coup, l'État, ils cotisent plus pour eux. Oh là là, mais quand tu vois leur deuxième pilier et tout, ils sont là, un jour, un pote, il me montre sa fiche, et j'étais là genre, mais mec, ça fait combien de temps que tu travailles ? Ouais, ben je sais pas, ça fait 7 ans que je suis là. Je suis là, mais mec, t'es un deuxième pilier digne d'un mec de 40 ans. Mais parce qu'il cotise à double quoi ! Et même pendant ses... Il était aux études et puis il travaillait déjà pas. Déjà pendant ses études, il cotisait un max quoi. C'est cool ça. Ensuite, la deuxième solution, c'est que si vous êtes indépendant, vous pouvez utiliser le troisième pilier pour également renflouer votre sécurité. J'en ai parlé tout à l'heure. En fait, vous pouvez cotiser jusqu'à 20% de votre revenu net dans le troisième pilier avec un plafond annuel qui est fixé à 35 280 francs en 2023. Je ne sais pas s'il n'a pas augmenté en 2024, je ne suis pas sûre. Et ça vous permet également de déduire une somme significative de vos revenus imposables tout en renforçant votre épargne retraite. Donc si vous êtes en réseau individuel, c'est pas mal. Ensuite, il y a toute la stratégie liée aux dividendes ou salaires selon les avantages fiscaux. Je ne sais pas si vous saviez, mais les dividendes, c'est très intéressant d'être payé en dividendes en Suisse parce que l'imposition est faible. Donc admettons, si toute l'année, vous vous êtes payé votre strict minimum, en fin d'année, vous avez un joli profit, vous... vous pouvez vous verser des dividendes et là vous gagnerez aussi par rapport à si vous aviez versé ça sur votre salaire toute l'année. Alors il faut savoir que par rapport à tout ce que j'ai dit, c'est que les dividendes ne sont pas soumis aux cotisations sociales. Donc effectivement faire comme ça c'est peut-être bien la première année. Si vous vous lancez, que vous voulez être safe par rapport à votre salaire, vous payez le strict minimum, avoir le minimum d'impôt aussi par rapport à ça, c'est une certaine stratégie. Mais du coup vous ne cotisez pas aux cotisations sociales. Donc c'est tout des calculs à faire. Mais sachez que ça existe. En fait l'optimisation ce serait de Si vous combinez une part de salaire pour vos droits à la prévoyance et des dividendes pour des avantages fiscaux, vous pouvez vraiment maximiser votre épargne en fait, sans trop allonger votre charge fiscale. Donc c'est une approche qu'il faut trouver, équilibrer en fonction de votre situation et de vos objectifs du coup de retraite, puisqu'on parle de la retraite dans cet épisode là, mais ça pourrait être d'autres choses. Et voilà, moi c'est à peu près les choses que j'ai notées par rapport à mon activité et ce que je voulais faire, et pour moi c'est clairement un objectif, c'est de... de m'enrichir effectivement, parce que j'ai des objectifs personnels qu'un jour je vais partager. J'ai partagé beaucoup mes objectifs professionnels dans ce podcast, mais pas forcément mes objectifs perso-perso. Un jour je vais faire un épisode à ce sujet-là. Mais en l'occurrence, si vous voulez vous lancer, que vous êtes sur le point d'ouvrir votre side business, que vous êtes sur le point d'ouvrir votre activité indépendante, ou si vous êtes en activité indépendante déjà maintenant, il y a plein de choses à faire pour optimiser fiscalement votre situation. Je ne suis pas conseillère financière, pardon, je ne suis pas... fiscaliste, etc. Donc naturellement, ce que je vous dis là, ça reste à titre informatif. Je ne remplacerai jamais les conseils d'un fiscaliste, d'un financier par rapport à tout ça, et c'est pour ça que je vous conseille de prendre contact avec quelqu'un que peut-être vous connaissez, je sais pas, qui pourra vous aider à faire vos calculs à vous. Donc voilà, Janice de Coach Ton Budget, elle vous aide à prendre conscience et puis à peut-être faire un petit peu les choses par vous-même, mais par la suite, si vous voulez vraiment aller deep down dans les choses, moi je vous conseille de passer par quelqu'un de qui c'est le métier. Je ne remplacerai jamais ces gens-là, c'est sûr et certain, et c'est pas ce que j'ai envie de faire. Bon, j'espère que cet épisode vous aura aidé. J'espère que mes petits conseils, mes petites trouvailles, elles vous donnent des idées pour aborder vos finances, en tout cas pour la retraite. De nouveau, on a parlé retraite, parce que c'était vraiment ce reportage de la RTS qui m'a un peu chamboulée. Mais en fait, c'est pour tous vos projets de vie. C'est que vous pouvez mettre en place plein de petites choses comme ça. Vous n'êtes pas obligés d'aller vers du troisième pilier si ça vous pète. peur que ce soit bloqué, vous pouvez aller faire un compte épargne. Toutes ces petites choses que vous mettez en place quand vous n'êtes pas sûr de ce que vous voulez faire de votre vie. Des projets que vous voulez avoir, que ce soit d'acheter, que ce soit avoir un enfant, partir, voyager, ouvrir sa boîte. Tous les petits projets. Enfin là, c'est des gros projets. Tous les gros projets que vous ne savez pas si vous allez les faire un jour dans votre vie. Qu'importe. Quand vous avez le petit coussin de sécurité, c'est plus facile. Voilà, c'est tout. Et vous pouvez dès aujourd'hui commencer à mettre des sommes d'argent de côté pour construire cette épargne, pour construire ce projet-là. Et je vous jure que quand on a l'argent, les idées, elles viennent toutes seules. Parce que quand on a de l'argent, money is power. Bref. Du coup, merci d'avoir écouté cet épisode. Merci du coup aussi pour vos notations. N'oubliez pas de noter l'épisode si c'est la première fois que vous l'écoutez, si vous l'avez aimé. Les liens sont dans la barre d'infos pour s'abonner à l'analyseur et pour avoir du coup toutes les ressources avec Couches ton budget, avec CTB en général. Moi, je vous donne rendez-vous dans deux semaines pour le prochain épisode. Je ne vous dis pas sur le... Sur le sujet, parce que ça pourrait être les coupes, ça pourrait être la bourse, ça pourrait être plein de choses. Mais en fait, je n'ai pas décidé. On verra le mood quand j'enregistre le prochain. Mais voilà, je vous remercie énormément pour votre écoute. Je vous remercie pour les chaleureux messages que je reçois tout le temps. C'est très, très, très gentil. Ça me booste en fait à faire de ce podcast quelque chose de qualitatif. D'ailleurs, je vous prépare pour les entrepreneurs quelque chose de très spécifique pour la rentrée 2025. Donc janvier, vous verrez, c'est cool. Je suis en train de préparer ça avec un partenaire. Donc j'ai hâte de vous expliquer tout ça. Je vous retrouve dans le prochain épisode. En attendant, n'hésitez pas à le partager, à m'écrire aussi, à écrire en commentaire, à me proposer des suggestions, etc. Je vous embrasse et je vous dis à tout bientôt.

Description

Liste d'attente Objectif 100% Indépendant et Rentable : https://www.ctbconsulting.ch/objectifindependant


Avec mes deux années de présence sur les réseaux sociaux dans le domaine de la finance personnelle, j'ai vu passer de nombreux commentaires sur l'épargne et le fait de "profiter de la vie". Mais une vision court-termiste de la vie sans épargne pourrait nous coûter cher, surtout face aux incertitudes sur les retraites et notre avenir financier.

Dans cet épisode, je partage mes réflexions sur l'importance d'épargner dès maintenant, en abordant :

  • Les situations difficiles que rencontrent certains de nos aînés à la retraite

  • Les étapes pour sécuriser votre avenir financier dès aujourd'hui

  • Les éléments clés à maîtriser pour mieux gérer vos finances

  • Différentes façons de voir l'épargne et les finances pour allier plaisir et sécurité


Bonus : pour les entrepreneurs, découvrez comment intégrer votre business dans votre plan de prévoyance.


Rejoignez-moi pour comprendre pourquoi économiser sans sacrifier le plaisir est possible et essentiel pour assurer un futur financièrement stable.


À écouter, à partager, et à appliquer pour un impact réel sur ta vie et ton business!


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Conditions : 500 CHF de dépôt

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Transcription

  • Speaker #0

    Avec ma présence sur les réseaux sociaux depuis presque deux ans dans le milieu de la finance perso, j'en ai vu passer des commentaires. Et s'il y en a un, un type de commentaire, qui me fait vraiment peur, c'est celui qui dit qu'il faut profiter de sa vie et pas se faire chier à épargner. Sous-entendu également, je l'ai vu passer, il faut profiter de l'argent qu'on gagne. Mais bien sûr que je suis pas contre profiter de la vie avec son argent. En fait, ma peur, elle est plutôt ailleurs. Quand on va voir les reportages qu'on trouve sur les réseaux sociaux, sur YouTube notamment, les reportages de la RTS, qui parlent de nos aînés, qui galèrent avec la retraite, moi, je me dis qu'il y a un truc qui cloche, déjà maintenant. Donc nous, les jeunes, j'ai pas 30 ans encore, on ne sait pas comment le système sera, à quel âge on y aura droit, à combien on aura le droit. Ça vous met pas la puce à l'oreille, vous ? Moi, ma puce, elle me dit, Janice, t'as intérêt à sauver ton cul et commencer à changer les choses maintenant. Dans cet épisode, on va parler des cas de figure, donc pourquoi certains de nos aînés galèrent financièrement une fois qu'ils arrivent à la retraite, comment s'y prendre maintenant pour commencer à changer les choses, On va parler des éléments à contrôler financièrement dans votre vie. On va aborder plusieurs façons de voir les choses, parce que je sais qu'il y a des anti-troisième pilier et il y a plein de gens qui sont contre le système, etc. Donc on va un petit peu parler de tout ça. Avec un objectif commun, économiser de l'argent et profiter de la vie. Petit bonus à la fin pour les entrepreneurs ou ceux qui ont des side business, je vais parler de comment j'utilise mon business dans ma prévoyance. Mais d'abord, bienvenue sur Coach ton budget, le podcast dédié à l'aptitude mais aussi parfois au marketing et à l'entrepreneuriat en Suisse particulièrement. Je suis Janice, formatrice en marketing et business digital mais aussi créatrice de contenu dans la finance personnelle. Dans ce podcast, on parle argent pour s'éduquer, apprendre à le gérer et comment réaliser nos projets de vie avec. Si tu es le nouvel ou le nouveau, bienvenue et pour les auditeurs fidèles, merci de continuer à me soutenir depuis plus d'une année sur le podcast. Important, mettez une note à ce podcast si vous l'aimez et si vous l'aimez encore plus, vous pouvez vous abonner à la newsletter et vous aurez dans votre boîte mail toutes les deux semaines, le sujet de la semaine. Avant de rentrer dans le vif du sujet, je voulais juste vous annoncer encore quelque chose parce que je reçois beaucoup beaucoup de questions au sujet de mon accompagnement Coach Ton Business. Oui, il a le vent en poupe. La première chose c'est oui, j'accompagne des entrepreneurs dans la visibilité, l'acquisition client, la rentabilité. Seulement, je suis complète jusqu'en janvier. et il y a du coup une liste d'attente dispo dans la section de cet épisode. Maintenant, il va y avoir un petit changement pour 2025 parce que là, j'ai fait trois lancements cette année, donc il y avait trois périodes de lancement où les gens pouvaient rejoindre Coach Ton Business. Ça va être un petit peu différent parce qu'il y a beaucoup de demandes. Je vais vous garder un petit peu la surprise pour ne pas vous spoiler. J'ai prévu une façon de faire une partie de Coach Ton Business, d'onboard une partie de Coach Ton Business de manière plus facile et plus rapide pour après rejoindre l'accompagnement plus complet. Donc ça permettra d'assouvir une demande plus importante. de mes services et de prendre vraiment les plus motivés à bosser avec moi dans le but de skyrocket leur présence en ligne en Suisse. Et pour ça, je vous invite à vous enregistrer dans le lien qu'il y a dans cet épisode si ça vous intéresse. Il y a eu Objectif 100% indépendant et rentable en Suisse, ça revient. Voilà, c'est un petit teasing, ça va être un poil différent, mais on est à peu près sur la même thématique. Donc se rémunérer, se rendre visible, s'organiser pour skyrocket, pour tout déglinguer avec son business en 2025. Il y avait... presque 100 personnes qui ont participé en septembre. Et oui, j'arrive pas à prendre tout le monde, donc en janvier, vous aurez une nouvelle version et je pourrais prendre plus de monde. Donc voilà, il y aura peut-être une pré-vente, mais je dis pas plus que ça. Alors, on va pas se mentir, je vous avais promis un sujet sur les finances dont le couple est le succès. Et je vous promets, je l'ai tourné. Mais il y a eu un virement de situation ce matin en regardant ce reportage assez triste de la RTS sur nos aînés. Avant de vous parler du sujet, j'aimerais qu'on revienne d'abord sur le système des piliers en Suisse parce que je milite pour une bonne compréhension. Une meilleure compréhension, c'est une meilleure éducation, c'est une meilleure prise de décision, c'est une meilleure vie mes chers amis, y'a pas plus compliqué que ça. En fait, le système de retraite en Suisse, il repose sur ce qu'on appelle le système des trois piliers. Ce système, il a été mis en place pour garantir aux gens qui vivent en Suisse une sécurité financière à la retraite. Pas compliqué. Et pour cela, il y a trois piliers. Le premier pilier, c'est celui qu'on appelle l'AVS, l'assurance vieillesse et survivant. Ça, c'est un peu la base de la base. Il va fournir une rente de base pour couvrir les besoins vitaux des retraités. Ce truc, il ne représente pas grand-chose, c'est-à-dire qu'on ne peut pas vivre de ça avec ça en Suisse. C'est une assurance obligatoire pour toutes les personnes qui résident et qui travaillent en Suisse. Et ce pilier, il est financé par les cotisations des salariés et des employeurs, ainsi que par des contributions de l'État. En fait, comment ça fonctionne ? Les cotisations, elles sont prélevées directement sur les salaires. Donc en général, c'est 4,35% du salaire brut de l'employé avec une part équivalente de l'employeur. C'est un système de répartition, donc les cotisations des actifs financent les rentes des retraités actuels. Et la rente AVS, elle est clairement insuffisante pour maintenir le même niveau de vie qu'avant la retraite. C'est pour ça qu'il y a les deux autres piliers. Le deuxième pilier, c'est ce qu'on appelle la prévoyance professionnelle LPP. La prévoyance professionnelle, elle va venir compléter l'AVS pour permettre aux retraités de maintenir leur niveau de vie antérieur. Elle est obligatoire pour tous les salariés qui ont un... revenu annuel supérieur à un certain seuil, c'est-à-dire, je crois que c'est 22 000 francs, un truc comme ça. Et les indépendants, ils peuvent y adhérer de manière volontaire. C'est un système de capitalisation, où chaque employé et employeur cotise sur un compte de prévoyance personnelle. Les cotisations sont investies pour générer un rendement, et le montant final accumulé sera utilisé pour financer la retraite. Il est privé, c'est-à-dire que votre LPP, enfin, elle est privée, votre LPP, c'est à vous. C'est-à-dire que ce que vous cotisez dans le deuxième pilier, ça va pas chez Hugo le voisin, ok ? C'est chez vous. Au moment de la retraite, vous pouvez choisir de recevoir vos économies en capital, donc en montant unique, ou sous forme de rente mensuelle. On va parler plus tard dans cet épisode des petits trucs à savoir qui sont importants tant que vous êtes salarié à propos du deuxième pilier. Le troisième pilier, du coup, c'est un complément volontaire. C'est ce qu'on appelle la prévoyance individuelle. Il y a eu la prévoyance professionnelle et c'est la prévoyance individuelle. C'est pour les personnes qui souhaitent épargner davantage et bénéficier des avantages fiscaux. Parce que s'il n'y avait pas les avantages fiscaux... Les gens ne mettraient pas forcément ça dans un troisième pilier, ils feraient à leur sauce. Et d'ailleurs, c'est ce que beaucoup de gens font parce qu'ils ne croivent pas au système. Bon, en fait, ce pilier, il est facultatif et il permet aux gens qui habitent en Suisse de se constituer une épargne supplémentaire pour leur retraite. Et là, il y en a deux, des sortes de piliers. Il y a le troisième pilier A, il s'appelle lié. C'est un plan qui permet d'avoir des avantages fiscaux. Et en général, il est lié à une banque. Donc ce n'est pas une assurance, c'est une banque. Et quant au 3B, donc le libre, lui il est plus flexible, il n'a pas de plafond de cotisation, parce que j'ai oublié de dire mais le 3A il est limité à 7 056 francs pour un salarié, je sais plus combien c'est pour un indépendant mais c'est genre 33-35 000 francs, un truc comme ça. Forcément, bah lui il n'a pas la même chose qu'un salarié, donc il peut mettre beaucoup plus et du coup déduire beaucoup plus de ses revenus. Mais le troisième pilier libre, il est plus flexible et il n'a pas de déduction fiscale, par contre il va souvent avoir des assurances liées à ça. Donc si vous avez compris, le système des trois piliers, il vise à combiner... des ressources publiques, professionnelles et privées. Il y a trois choses qui rentrent dedans pour fournir une sécurité financière stable et équilibrée pendant la retraite. Donc, vous avez compris que si vous avez qu'un, c'est la dèche. Si vous en avez deux, ça va, c'est ok, mais c'est pas non plus ouf. Si vous avez les trois, vous arrivez à combler et à avoir une bonne retraite. Et normalement, l'idée, c'est que les deux premiers piliers, ils couvrent environ 60% du revenu antérieur. Et le troisième, il vient combler le reste si besoin. Sauf que je sais, tout le monde n'est pas capable d'épargner pour un troisième pilier. On va en parler dans cet épisode, c'est tout là le nerf de la guerre. Maintenant, on a parlé de 60%. Donc imaginez qu'aujourd'hui, là je vais parler à, on va dire, la masse. C'est-à-dire la plupart des gens, la plupart des gens qui m'écoutent peuvent, sont en capacité de mettre un petit peu d'argent de côté tous les mois pour aller faire un troisième pilier. Je le sais très bien, je vous connais, je connais mes clients, je connais ma base, je cote mes followers, je le sais. Vous êtes capable de mettre entre 100 et 500 francs de côté. 500 francs, c'est une belle somme, on s'entend. Vous êtes capable de le faire. Donc, on va parler à des gens qui peuvent le faire, d'accord ? Mais on va en reparler plus tard. Imaginez que, du coup, vous n'ayez pas fait de troisième pilier. Quand vous arrivez à la retraite, si tout va bien, les deux premiers piliers couvrent 60% du revenu antérieur. Imaginez que quand vous paniquez, parce que vous allez au chômage, donc en général, le chômage, quand vous n'avez pas d'enfant, c'est 70%. Vous paniquez d'aller au chômage parce que vous allez avoir 30% de revenu en moins. La retraite, c'est du coup... 40% de revenus en moins mais là c'est pas dans une optique de retrouver du travail c'est dans une optique d'être à la retraite donc de kiffer sa vie et puis de finir ses beaux jours donc c'est là tout l'intérêt de se dire faudrait peut-être que je mette de Gwande Bourblitor parce que c'est quand même important vous voyez ? C'est ça maintenant je sais très bien et je l'ai vu dans les commentaires qu'il y a beaucoup de gens qui sont contre ça parce qu'ils utilisent des excuses à la con du genre Ouais, mais bon, avec le système qu'on a, on ne pourra plus vieillir. Oui, mais bon, avec le réchauffement climatique, etc. Mais c'est justement parce qu'on ne sait pas de quoi sera fait demain qu'il faut peut-être un petit peu anticiper pour qu'on ne soit pas trop dans la merde personnellement. Et c'est pour ça que je pense qu'il faut vraiment être conscient de ce qu'on veut dans sa vie et de poser toutes les ressources qu'il faut pour le faire. Et là, je sais, on ne vient pas tous du même endroit pour le faire. On va en parler plus tard. Bref. Dans le reportage que je regardais, en fait, il y avait plusieurs cas de figure. Alors là, je vais vous citer d'autres cas de figure qui n'ont pas fait partie du reportage, mais c'est des cas de figure qui me viennent en tête parce que j'ai eu connaissance de ça. Petite aparté, je vais vous raconter une histoire. Cette année, pour l'anniversaire de Coach ton budget, en février, en mars, j'ai offert à toute personne qui m'écrivait un message sur ma boîte mail en m'expliquant sa situation, j'ai offert Coach ton budget à toutes les personnes qui étaient dans des situations compliquées. Et vous savez quoi ? J'ai été extrêmement déçue des stats. Alors, il y a eu une trentaine de personnes en tout. Donc il y a eu 30 emails. J'ai vraiment donné accès à tout le monde qui m'écrivait. Il y a eu 30 emails. J'ai eu plein de cas de figure, toutes différentes. Des cas de divorce, des cas de job qui sont perdus, des cas de gens qui arrivent à l'assurance invalidité. J'ai plein, plein, plein. J'ai eu plein de cas. J'ai eu des cas vraiment tous différents, des cas qui m'ont beaucoup touchée. Des moments où j'ai versé une larme parce que je lisais des emails très tristes. Et j'ai donné accès à Coach ton budget. à toutes ces personnes-là. Le constat est tel que sur 30 personnes, j'ai eu 11 mails de remerciements. 11 emails m'ont remercié de tout cœur en me disant merci beaucoup, etc. Sur ces 30 personnes qui ont eu accès, parce que bien sûr je les ai taguées sur la plateforme, je voulais voir si elles faisaient le programme, il y en a 16 qui l'ont fait. Donc il y a 30 personnes qui ont reçu un programme d'une valeur de 100 francs que la vaste majorité des gens payent pour rejoindre parce qu'ils ont envie de changer financièrement leur vie. 30 personnes n'ayant eu accès gratuitement dans l'espoir que je puisse les aider tout en sachant que l'aide financière, il y en a dans beaucoup d'associations suisses. Caritas aide les gens, il y a aussi des associations dans chaque canton qui aident les gens financièrement, qui ont des cours d'éducation financière, etc. C'est juste qu'il faut aller chercher l'information. Donc c'est pas un petit programme sympa à faire à la maison comme moi, avec tous les trucs simplifiés. Donc vraiment, ma méthode, c'est des gens qui vous coachent financièrement. C'est vraiment différent. C'est pour des gens qui sont dans des situations de difficultés financières. Moi, j'ai plutôt des gens qui sont pas dans des situations de difficultés financières, mais qui ont besoin de se faire un peu taper les fesses pour les remettre en place. Donc voilà, je vais pas interpréter ça, je pense que vous comprenez ce que je veux dire, c'est qu'en donnant l'accès gratuitement, je ne les ai pas vraiment aidés. Parce que la volonté elle vient de soi, la volonté de changer les choses elle est toujours interne. Et parfois c'est pas le bon moment, parfois on est pas au bon endroit, au bon moment pour le faire, parfois on a tout en main, mais c'est pas le bon moment. Et c'est pour ça que je critique pas ces gens là, je me dis, chacun sa vie, chacun son chemin etc. Moi j'ai donné une... petites cordes pour qu'ils cèdent, pour qu'ils s'attrapent, pour peut-être que je les sorte d'une situation comme ça. Certains l'ont pas prise, certains n'ont pas réussi à l'attraper, peut-être, je sais pas, mais ils ont accès à vie, donc ils peuvent encore le faire maintenant. Bref, dans tous les cas, j'ai été très très déçue de voir qu'une action que j'avais pensée bien et utile n'avait pas eu l'effet escompté. Mais bon, voilà. En tout cas, si vous avez envie de partager votre avis, sur ça, si vous avez une réflexion, une critique à me faire à moi, allez-y, je suis ouverte. Mais voilà, j'ai vraiment pensé faire du bien et j'ai vraiment pensé aider. Il y avait des gens à la retraite dans ces personnes-là. J'ai des retours vraiment tout le temps positifs du programme. J'ai vraiment tout le temps des gens qui me disent Ouais, c'est bien, c'est cool Je n'ai pas eu beaucoup de retours de la nouvelle version. J'espère qu'elle est toute aussi cool parce que fondamentalement, c'est les mêmes choses. Je crois que j'étais juste un peu moins drôle, j'ai fait moins de blagues, je pense, dans la formation que la précédente. Voilà, fondamentalement. Voilà. J'avais fait ça et bon, bref. Pour revenir au reportage, ils parlent d'un monsieur qui a eu une belle carrière, qui a eu un divorce et qui a eu des soucis de santé, et qui se retrouve à Genève avec des grosses difficultés financières. Il n'arrive pas vraiment à boucler ses fins de mois, il est sous curatel, donc quelqu'un l'aide à faire. Et il explique les cas dans sa vie qui ont fait qu'il a dû donner 50% de sa LPP à sa femme au moment du divorce, il a eu des dettes, il a eu des problèmes de santé, etc. Il y a un autre cas de revenus très faibles, donc souvent des gens qui gagnent un tout petit salaire toute leur vie, qui en plus de ça ont un employé qui ne verse pas des masses ou qui ne fait pas d'efforts par rapport aux deux empilés. Ces gens-là aussi se retrouvent à la retraite avec toute leur vie l'impossibilité d'avoir... pu ouvrir un troisième pilier. Et en plus de ça, des cotisations moindres, donc en fait, ils se retrouvent à la retraite avec vraiment quelque chose de minable qui est très compliqué. Ensuite, du coup, je pense qu'il y a beaucoup de gens qui n'ont jamais pris la peine d'ouvrir un troisième pilier, parce que c'est de la paperasse, parce qu'il faut se pencher sur les chiffres, machin, machin, c'est compliqué, c'est chiant, c'est des assureurs, c'est de l'arnaque, là, là, là, là, là. Ben, du coup, on arrive proche de la retraite, et souvent, c'est un peu trop tard aussi pour faire son troisième pilier, quand on approche. Et du coup, pareil, ils n'ont pas grand-chose, en fait, parce qu'ils n'ont pas anticipé la chose. Et un autre truc dont je voulais vous parler, mais je vais en reparler plus tard quand on va parler des actions à mettre en place ou des choses à faire pour que vous améliorez votre situation actuelle pour plus tard, c'est des deuxièmes piliers très faibles, c'est-à-dire qu'aujourd'hui en fait, si votre employeur n'est pas à l'État ou si vous ne travaillez pas chez un employeur qui a des très belles conditions au niveau de la LPP, il se peut, dans le pire des cas, que votre employeur... paye le strict minimum. Donc c'est pour ça que certains salaires qui sont très très beaux, des gens qui gagnent 120 000 francs à l'année, etc., en fait, il y a une part minimum que l'employeur doit cotiser et un montant, il y a un plafond, je sais pas comment vous expliquer pour que ce soit le plus simple possible pour pas m'embrouiller et vous embrouiller. Et en fait, ces gens-là se retrouvent avec des cotisations vraiment pas ouf, en fait, qui font que au bout de 3, 4, 5 ans, ils pensent qu'ils ont bien cotisé pour le deuxième pilier. Souvent, ça se réveille quand ils veulent acheter un bien immobilier, ils se disent Ouais, bah là, j'ai bien gagné ma vie avec mon copain, avec mon mec, on aimerait acheter un bien immobilier. une baraque. Et en fait, avec le conseiller financier, ils se posent et puis ils se voient, ils se disent Ah, mais en fait, votre deuxième pilier, il est pas ouf, quoi. En fait, c'est souvent ça, c'est qu'ils n'ont jamais fait attention à leurs conditions salariales. On va en revenir plus tard. Pour quelqu'un, comme vous, qui souhaitait commencer à s'occuper de votre prévoyance en Suisse, c'est essentiel de bien comprendre ces options et de prendre des mesures adaptées à vos besoins futurs. Et pour cela, oui, je réponds à la question illico presto, je suis pas con, le montant de vos revenus joue un grand rôle, c'est inévitable. et je sais très bien qu'on part pas tous du même endroit, je suis la première. à le savoir, puisque j'ai eu été dans ces revenus très faibles où c'était impossible de mettre de côté. Et c'est aussi pour ça que j'ai eu cette volonté de développer des side business, de continuer à me former, d'avoir accès à des meilleurs postes, plus de revenus, etc. Parce que je ne me voyais pas rester dans une situation où je n'arrivais pas à payer mes factures. Et je le sais aussi, on ne peut pas tous faire ça. Chaque situation devient différente, je le sais. Je vous dis, j'ai eu vraiment beaucoup d'emails, j'ai eu vraiment beaucoup d'histoires. On m'a vraiment raconté des choses très touchantes. Et je pense que je fais de mon mieux pour... pour aider, après au bout d'un moment, j'ai vu cette année, quand j'ai offert l'accès, mais je me suis dit que je ne pouvais pas être mère Teresa non plus, donc je veux bien aider, et je l'ai fait, j'ai fait cette action, mais au bout d'un moment, voilà. Bon, si on revient un petit peu, je vais parler d'un truc d'où on peut débattre. On m'a dit l'autre jour, Jeannie, t'es quand même tranchée dans ce que tu dis. Mais je sais pas, parce que moi j'aime bien avoir un petit peu toute l'échelle, et comprendre un petit peu les positions de chacun, de varier, nuancer, etc. Mais il y a une chose, je vous avoue, avec laquelle je suis dans le désespoir total, c'est comment, nous les jeunes, on dépense notre fric. Moi y compris en tout cas plus à l'époque, maintenant c'est différent si vous écoutez mes podcasts vous savez que j'ai vraiment changé les choses mais avec le marketing digital avec la dose de conneries qu'on vend en ligne avec les vidéos qu'on vous vend, les produits les machins, en fait il y a une manière de dépenser son argent qui est infinie. On peut acheter du maquillage des fringues, des gadgets, des trucs sur Temu, des trucs sur AliExpress du Shein, du Zalando, du... On va racheter ses meubles Ikea parce qu'on a envie de nouvelles fournitures. Il y a vraiment mille et une manières de dépenser son argent. Et si on va encore dans les cas encore plus grands, on peut dépenser son argent dans des très très belles voitures, dans des fringues de marque. Et en fait, je pense que beaucoup de personnes sont un peu dans une espèce de frustration où ils travaillent dur. ils gagnent leur pain et veulent se dire bah moi je profite de ma vie, je voyage etc. Et franchement c'est très bien, kiffez votre vie, tant que les gens ils sont heureux, moi ça me va, tant qu'ils sont pas en train de déglinguer les autres sur les réseaux sociaux, moi ça me va. Mais il y a quand même un truc dont j'aimerais être, enfin porter un message en fait. C'est qu'aujourd'hui, vous dépensez peut-être cet argent d'une certaine manière, alors j'espère pour vous c'est conscient, mais plus tard, quand vous allez revenir sur vos dépenses, peut-être que vous allez regretter certains de vos achats et vous dire punaise si j'avais mis cet argent de côté ça aurait peut-être été mieux. Et c'est pour ça que j'ai appelé cet épisode Économiser de l'argent et profiter de la vie parce qu'on peut faire les deux. On peut vraiment, vraiment faire les deux. Et c'est pour ça que j'aimerais maintenant vous introduire à la partie où on va regarder comment est-ce qu'on peut évaluer sa situation actuelle pour faire en sorte que ce ne soit pas des nuages tout gris à l'artrête ou qu'on ne commence pas à se poser des questions à 50 ans et se dire, oh, ça va être un peu critique. Nous, les jeunes, on a ce pouvoir-là. On peut se dire, on peut changer des choses, on peut se dire, OK, comment est-ce que moi, je peux mettre en place des choses pour être confortable financièrement aujourd'hui et plus tard et demain ? La première étape, ça va être d'évaluer sa situation actuelle. Et pour ça... je vous recommande de comprendre votre couverture de base. Ça commence par vérifier vos cotisations au premier pilier. Il faut que vous vous assuriez qu'elles sont un jour, parce qu'on appelle ça des lacunes, donc des années où vous n'avez pas cotisé. Si vous avez des lacunes, il faut envisager de les combler si possible, parce que ça aura un impact direct sur le montant de votre rente à baisse. On parle de lacunes quand vous êtes parti, vous avez fait une année sabbatique, vous étiez aux études, bref, il peut y avoir mille et une raisons de cas de lacunes. Regardez ça. La deuxième chose, c'est analyser. votre deuxième pilier actuel. Ce que je vous conseille, c'est regarder votre fiche de salaire. Regardez à combien est-ce que vous êtes rémunéré, en tout cas, à combien vous payez cette deuxième pilier. Regardez le montant de votre employeur, regardez un petit peu où vous en êtes. Et si vous arrivez à retrouver vos fiches qui, vos certificats, pour voir le montant accumulé et les prestations prévues, ça vous donnera une idée de montant à disposition et peut-être, si vous arrivez à faire les calculs au moment de la retraite, de combiner en fait si vous combinez votre premier et votre deuxième pilier vous aurez peut-être un peu une idée de combien ça peut vous faire la retraite d'ailleurs souvent quand on reçoit les papiers ils vous font les calculs directement sur la feuille donc si vous n'avez même pas besoin de le faire si vous faites déjà ça vous avez fait je pense que ce que 90 personnes des gens font pas c'est vraiment comprendre où est ce que vous en êtes aujourd'hui juste ça juste se dire ok mon employeur c'est un chien de la casse il cotise pas pour moi ou ok en fait mes petites années à délirer machin c'est bien mais j'ai maintenant j'ai des lacunes rien que ça vous allez vous sauver beaucoup beaucoup de temps, enfin beaucoup de choses dans la vie. Et d'ailleurs pour ça j'en profite c'est, alors pour le coup c'est un petit placement de marque qui n'est pas du tout rémunéré c'est juste pour vous expliquer, j'ai fait un partenariat avec Cala qui retrouve vos avoirs de deuxième pilier je sais on peut le faire avec le site de la confédération là je sais pas quoi mais Cala ce qui est pratique c'est que vous remplissez le formulaire en deux secondes, vous retrouvez ça c'est tout fait, ils s'occupent pour vous de les chercher pendant je sais pas c'est entre un et quatre mois les recherches et ils vous contactent quand c'est retrouvé. C'est pour des gens qui ont plus de 25 ans qui du coup travaillent aussi et donc qui ont peut-être changé de travail et qui ont perdu leurs avoirs de deuxième pilier un peu partout dans différents comptes. Parce que ce qui se passe, c'est que quand vous changez d'emploi, si votre employeur a mal fait son taf et qu'il ne vous informe pas de vos avoirs, et bien en fait, ils sont envoyés sur, je ne sais plus comment ça s'appelle, le compte spécial machin, et ils ne font pas de bébés. Et ça, ce n'est pas ce qu'on veut. On veut de l'argent qu'il fasse des bébés quand il est sur un compte. Donc en fait, l'idée, c'est d'aller et récupérer tous vos avoirs et de les mettre sur un compte de libre passage ou sur le compte de votre entreprise actuelle, etc. En l'occurrence, on peut aller sauver beaucoup d'argent grâce à ça, surtout si vous avez un certain âge, je ne sais pas, 35-40 ans, que vous avez déjà fait pas mal de jobs à côté. Allez chercher les deuxièmes piliers. Et là, la question que vous allez me poser, oui mais bon, c'est quoi la différence d'aller avec le site de la conf là et puis Kala ? Ben Kala en fait, c'est gratuit, déjà de base, mais eux, ils vont vous proposer de le placer. Donc c'est à vous de décider si vous voulez aller avec Kala pour le... pour le placer ou si vous voulez le placer vous-même. Moi, en l'occurrence, j'avais décidé de le placer moi-même, mais c'est parce que j'avais déjà tout anticipé, j'avais déjà mon compte de libre passage, j'avais déjà tout fait, puis parce que si j'avais la situation, voilà, où je créais ma boîte, etc. Donc, voilà. La deuxième chose que je vous recommande de faire, donc l'étape numéro 2, c'est de calculer vos besoins de revenus à la retraite. Et ça, si vous suivez Coach Ton Budget, vous êtes armés pour ça. Moi, je vous donne toutes mes astuces pour savoir comment vous dépensez votre argent. Et en fait, ça, c'est très simple. C'est que... Quand vous arrivez à la retraite, toute votre vie, vous avez eu l'habitude d'avoir un salaire. Mais quand vous recevez votre deuxième pilier sous forme de capital, ou votre troisième pilier, quand vous le retirez, tout à coup, vous avez la masse d'attune sur votre compte en banque. Je raconte ça comme si j'avais vécu l'expérience alors que pas du tout, mais je vous explique un peu comment ça se passe. En fait, c'est très intéressant de connaître comment vous dépensez votre argent. Parce qu'à la retraite, ça va vous permettre d'être beaucoup plus consciencieux et de beaucoup mieux dépenser votre argent. Donc, je vous donne le cas de figure, le mien, admettons. J'arrive à la retraite et toute ma vie, je sais que pour vivre, j'ai eu besoin de 3500 francs net par mois. L'histoire, c'est que si j'ai bien calculé les choses, je vais avoir, je sais pas moi, 1800 francs de l'AVS. Donc je vais déjà avoir quasiment plus de la moitié qui est financée par l'AVS. Mon deuxième pilier, j'ai... Je ne sais pas les calculs dans la tête, mais on est à l'oral, donc on simplifie toujours. Imaginez que mon deuxième pilier garantit, je ne sais pas, 2000 francs. Ça veut dire que j'ai 3800 francs. Ah, voilà, je suis déjà assez rentable pour vivre ma retraite et pour vivre confortablement. Et en plus de ça, j'ai mon troisième pilier qui tombe. Donc admettons, mon troisième pilier me rajoute, je ne sais pas, 1500 francs par mois, brut, comme ça. Donc ça va me faire un revenu à la retraite, j'arrondis à 5500 francs. Maintenant, d'ailleurs, si vous voulez avoir des calculs précis, Moi, je vous conseille de vous orienter vers un conseiller financier qui va vous aider à faire ces calculs-là, à se poser avec vous. Parce que ce sont quand même des calculs où si ce n'est pas votre truc les maths, moi, je comprends que ce soit un peu compliqué à faire. Donc, ça vaut peut-être le coup d'aller vers quelqu'un de confiance. Allez, s'il vous plaît, allez vers un conseiller financier de confiance. Comme ça, vous pouvez calculer ces choses-là et vous rendre compte si vous avez vraiment besoin ou pas d'un troisième pilier ou si vous avez besoin de mettre en place les choses, en tout cas les choses que je raconte dans cet épisode-là. Le but de cette deuxième étape, c'est d'identifier le manque éventuel. Une fois que vous avez évalué vos besoins, vous les comparez avec les prestations que vous allez recevoir avec les premiers, deuxièmes et troisième piliers, et vous regardez si vous avez un écart à combler. Et l'écart, du coup, ça peut être plus économisé, ça peut être... Ah bah en fait, la troisième étape, j'ai oublié que j'avais écrit ça, c'est envisager le troisième pilier pour combler les écarts. Donc là, vous avez deux options dans les troisième piliers que j'ai déjà dit plus loin. Et là, la question qui se pose tout le temps, c'est mais on choisit quoi entre un troisième pilier en banque et en assurance ? Mais ça dépend de votre situation. Moi je peux pas vous dire non mais d'aller surtout pas vers les assurances. En soi, par exemple, dans mon cas, les assurances elles sont pas intéressantes parce que je n'ai pas une situation qui fait que j'en ai besoin. Mais ça peut peut-être convenir à un indépendant qui a besoin de faire attention à ses assurances. Vous voyez ce que je veux dire ? Et du coup, peut-être qu'on peut même avoir les deux. Peut-être que vous pouvez commencer par un troisième pilier en banque et plus tard, quand je sais pas, vous avez un enfant, un projet immobilier, j'en sais rien, bah là vous ouvrez un deuxième troisième pilier. Parce qu'il faut aussi savoir que tout le monde vous dira Ouais mais bon, à la retraite tu te fais imposer sur ton troisième pilier. Il y a des astuces pour se faire moins imposer et notamment ouvrir plusieurs troisième pilier. Donc vous pouvez en ouvrir plusieurs sans problème. Le nombre de troisième pilier que vous pouvez ouvrir, il est défini par le canton où vous habitez. Donc il me semble que le plus strict, c'est Neuchâtel. Mais je ne veux pas dire de bêtises, il n'y a qu'un troisième pilier d'autorisé. Alors que sur Vaud, il y en a 4, 5 et puis il y a des cantons, je crois, où ce n'est pas limité. Donc voilà. Maintenant, il y a une quatrième étape, c'est d'évaluer les options de placement. Donc dans le cadre du troisième pilier, en fait, vous pouvez choisir entre un compte épargne classique. Donc là, en général, en Suisse, les taux d'intérêt, c'est de la merde, on s'entend. Mais bon, c'est toujours mieux que rien. Et des solutions plus dynamiques avec des fonds d'investissement. Et les fonds, en fait, ils offrent souvent des rendements plus élevés, mais ils comportent aussi des risques. Et c'est ça ce que je vous disais. Donc il y a moyen de perdre ses thunes dans un troisième pilier. Oui. On va pas se le mentir, il y a des risques associés. Et je vais pas vous vendre du rêve en mode, allez-y, faites un troisième pilier, etc. Mais c'est les mêmes risques que vous trouverez si vous décidez de faire de la crypto, de faire de l'investissement en bourse, etc. Simplement, c'est vous qui faites la démarche. Et évidemment, this is all business, my friends, on va pas se le cacher, on n'est pas dans un état Providence. Donc, au bout d'un moment, oui, il y a toujours des gens qui vont se faire de l'argent sur ce que vous placez, machin. Oui, il y a toujours ça. Mais soyez smart et regardez. Et. Évaluez les choses, regardez les frais que vous avez, regardez les potentiels rendements. Si vous êtes intéressé à où va votre argent, posez des questions. Où est-ce que mon argent est investi, etc. Orientez-vous vers des solutions qui vous conviennent en fait. Vous allez chez un courtier et là vous le challengez le mec. Vous lui dites moi je veux ça, je veux que ce soit posé dans du green, je veux que ça me rapporte ça. Enfin bref, je sais pas, j'abuse peut-être mais... En fait, challengez un petit peu les choses pour que ça vous convienne. Vous laissez pas avoir par un système qui peut être charqui-charque, parce que les courtiers qui signent des 3e piliers, ils se font beaucoup d'argent sur vous. Donc soyez chiants, en fait. Soyez... Tiens, ils vont me défoncer les courtiers qui écoutent ça. Soyez un peu compliqués, quoi. Posez des questions, renseignez-vous, etc. D'ailleurs, je pense que mes podcasts, vous êtes beaucoup déjà à vous décider, mais évaluez les choses. Et du coup, on a parlé... Enfin, évaluez les options. Je vous disais, il y a quoi en dehors du 3e pilier ? en tant qu'investissement. Alors là, il y a mille et une façons d'investir. Il y a l'immobilier, il y a la bourse, il y a les cryptos. Il y a tellement de choses. Et d'ailleurs, je vais faire un épisode dans pas longtemps sur l'investissement en bourse. Il est prévu. Je ne sais pas si je le ferai avant ou après le truc sur les couples. J'ai plein d'idées. J'ai commencé aussi à rédiger les prochains podcasts et tout. Il y aura un sur la bourse que je vais vous parler de comment est-ce que j'ai appris moi-même à investir. Je vais parler de coach ta bourse, etc. Donc, on va aborder ce sujet-là, toujours dans une optique de vous aider à gérer vos finances. Mais si vous choisissez d'investir en bourse, moi ce que je vous conseille là comme ça, naturellement tout est détaillé dans Coach la Bourse, je vous conseille de diversifier vos placements pour limiter les risques. Donc soit vous investissez des montants minimes tant que vous vous formez et que vous apprenez, comme ça vous n'avez pas trop de risques. Mais au fur et à mesure, vous diversifiez vos placements, vous utilisez des ETF pour ça. Moi c'est ce que j'utilise en fait, donc je prêche ce que je dis. Ensuite la cinquième étape. Quand vous avez un peu fait tout ça, c'est de vous dire, ok, là maintenant je suis on top point, j'ai regardé ce que j'avais en année AVS, j'ai regardé mon deuxième pilier où j'en suis, d'ailleurs je vais buter mon employeur, non je rigole, j'ai souscrit à mon troisième pilier, j'ai commencé à cotiser dessus, maintenant c'est quoi la suite ? Et bien la cinquième étape, c'est de planifier les grandes étapes de la vie. Pour ça, il peut y avoir par exemple un projet immobilier, par exemple un départ à l'étranger, l'ouverture de votre... business, des choses comme ça. Et pour ça, effectivement, le troisième pilier, il peut servir à financer ce genre de choses. On va pas rentrer dans les détails de ça parce que c'est complexe et c'est pas le titre de cet épisode. Mais voilà, vous pouvez envisager en fait d'utiliser vos ressources que vous faites pour financer vos propres projets. Donc votre réseau individuel, votre maison, votre départ à l'étranger pour aller vivre votre best life au Mexique, vous pouvez utiliser tout ça. Donc au final, c'est quoi le manque à gagner d'économiser un peu d'argent ? C'est que Imaginez, je sais pas s'il y a des gens, oui bien sûr qu'il y a des gens qui ont moins de 25 ans qui m'écoutent, vous avez moins de 25 ans, aujourd'hui vous savez pas quoi faire de votre vie, et vous voulez kiffer. Mais vous savez pas comment kiffer en fait, vous savez pas où aller, quoi, comment, où, nous les adultes on va vous dire, nous les adultes, c'est tellement étonnant, nous les grands on va vous dire, mais t'as le temps de venir voir, tu verras, gna gna gna, bien sûr, et je dis ça j'ai 30 ans. C'est vraiment ça. Donc moi ce que je dirais c'est que même avec un tout petit revenu, commencez avec des petits montants, genre 100-150 balles par mois si c'est possible bien sûr, les étudiants ou les apprentis je sais que c'est plus compliqué mais ceux qui gagnent déjà un petit peu d'argent, ceux qui sont déjà salariés, ceux qui ont déjà un petit salaire, mettez de côté faites-le parce que le jour où vous en avez besoin, parce que vous avez eu l'illumination du siècle et puis vous savez ce que vous voulez faire dans votre vie ou même que vous avez besoin d'aller vous chercher et d'aller faire des trucs, d'aller expérimenter cet argent il est là pour ça. Allez pas dépenser des conneries sur des sites en ligne ou dans des vacances trop chères ou ou dans des trucs de marque. Ça, c'est pas utile pour vous découvrir. Aller voyager, ou faire des expériences, ou ouvrir votre entreprise, ou je sais pas. Tout ça, c'est des projets qui vont beaucoup plus vous nourrir de l'intérieur plutôt qu'acheter des conneries, en fait. Donc, vous regardez un petit peu comment est-ce que vous voyez le futur et comment est-ce que vous planifiez les grandes étapes de la vie. Imaginez que tout peut arriver, mes amis. Ensuite, la sixième étape, moi, je dirais que c'est de suivre un peu tout ça. Mais finalement, vous n'avez pas besoin de suivre ça tous les jours. Vous regardez ça une fois par année, vous recevez des comptes, vous mettez à jour votre... Dans le coach temps budget, il y a tous ces fichiers-là. Vous mettez à jour votre petit fichier, machin, et voilà. Et puis, vous vous faites appel, comme je dis tout le temps, à une fiduciaire ou un conseil financier qui peut vous aider à optimiser tout ça fiscalement. Donc comme ça, si vous avez maintenant des très très bons salaires, quelqu'un peut vous aider à payer moins d'impôts. Si vous avez un salaire lambda, comme tout le monde, médian, on va dire, Quand même, on peut vous aider à optimiser tout ça fiscalement parce que personne n'aime payer trop d'impôts, non ? Donc on veut optimiser ça pour avoir the best of our money, le meilleur de notre argent. Et je l'ai plusieurs fois dit dans cet épisode, mais si vous avez besoin d'aide, le meilleur truc c'est de faire appel à un conseiller financier. Et je vous dis, ne vous faites pas avoir avec des produits, renseignez-vous, posez vos questions, parce que eux, ils vont avoir, certaines personnes sont rémunérées sur des... C'est dans le sens de l'affiliation. Ils sont rémunérés sur des produits qu'ils vont vous vendre. Donc forcément, il y a des rémunérations plus élevées sur certains produits. Donc certains, des malintentionnés, ils vont vous faire signer certains produits qui vont leur faire plus d'argent que d'autres. Donc c'est à vous vraiment d'avoir la puce à l'oreille et de se dire Ok, ça c'est un produit qui me va, ça c'est plutôt un produit qui me va, etc. Et d'ailleurs, un truc qu'on me dit tout le temps, c'est Parfois, je vais collaborer avec une marque, que ce soit une banque, une assurance, et on va me dire... Ouais mais bon, ça, pas ouf, franchement le rendement... Non mais attendez, c'est pas que ça la question, c'est pas qu'une question de rendement en fait. L'histoire c'est que quand vous voulez une prestation, donc imaginez un troisième pilier. Il y a des gens qui ont besoin d'être pris par la main de A à Z. Il y a des gens qui ont besoin, et l'inverse également, il y a des gens qui ont besoin de savoir où va leur argent. Il y a des gens qui s'en foutent, ils veulent juste que ce soit fait. Il y a des gens qui veulent un maximum de risque pour un maximum de rendement. Il y a des gens qui ne veulent pas du tout rire. de risque et qui vont accepter un rendement faible. Et en fait, tout ça fait que il y a... une multitude de personas dans la nature, de gens, qui veulent gérer leur argent à leur façon. Et c'est exactement pour ça qu'il y a beaucoup, beaucoup de produits de finances sur le marché. Je ne dis pas qu'ils sont tous bien, je ne dis pas qu'ils sont tous cool, clean, etc. Ce n'est pas ce que j'ai dit. Je dis juste que quand vous avez des frais, ou certains frais, ou certains produits où on ne trouve pas trop le sens, etc. C'est potentiellement... parce que vous, ils ne vous conviennent pas à vous. Mais ils vont convenir à d'autres personnes. Il faut bien se rendre compte de ça. Mais voilà, je ne fais pas le... Il y a vraiment des produits de merde. Et honnêtement, je n'ai pas travaillé avec des marques qui ont des produits de merde dans lesquels je ne crois pas. Je pose toujours mes questions. Je demande toujours à avoir une petite intro pour qu'on comprenne de quoi il s'agit, etc. Donc voilà. Maintenant, je vous avais parlé d'un petit bonus qui vous aidera, qui sera utile à toute personne qui soit indépendante ou propriétaire de sa SIRL. Bon, en général, ceux qui sont à SIRL, ils sont déjà un petit peu au courant. Donc je ne veux pas... Euh... d'ergiverser là-dessus. En fait, c'est intéressant, même si vous, vous n'êtes pas dans le monde entrepreneurial, que vous sachiez que la Suisse, c'est un pays fabuleux pour les entrepreneurs. En fait, j'aime trop dire ça, parce que quand on a sa société, donc moi, c'est tout frais là, maintenant, c'est bon. Quand on a sa société, on fait appel à un conseiller, fiscaliste, machin. Moi, je le savais déjà, parce que vraiment, c'est des choses qui m'intéressent fondamentalement. Donc, c'est des choses que j'avais déjà appris avant. Mais en fait, quand on voit les chiffres, quand on se fait aider, t'es là genre, bam. C'est vraiment intéressant quand on est indépendant, enfin quand on est entrepreneur, et du coup, bien sûr, il faut avoir une entreprise qui fonctionne et tout. Moi, c'est mon cas. Mais t'es là genre, waouh, en fait, ça change ma vie, quoi. Avant, je me faisais défoncer par les impôts, et là, il y a tellement de manières de changer les choses, de réinvestir dans la société, d'aller plus loin, de continuer de croître, etc., que je pense que je peux le dire, vous me direz si vous êtes d'accord avec moi, mais la Suisse est un pays fait pour les entrepreneurs. Donc, la question c'est comment est-ce qu'on utilise sa propre entreprise pour améliorer sa prévoyance en Suisse ? Parce que c'est une excellente idée de se poser cette question-là. En fait, en tant qu'entrepreneur, vous avez la possibilité de structurer vos revenus et d'organiser votre épargne de manière stratégique. Et je vais vous donner quelques pistes. De nouveau, on n'est pas là pour aller dans les détails, je vais vous mettre la puce à l'oreille. Si vous voulez qu'on aborde des sujets plus en profondeur, n'hésitez pas à les mettre dans les commentaires de cet épisode. Et au passage, partagez cet épisode à quelqu'un qui a besoin d'avoir ce genre de conseil ou qui a besoin d'être mis à zéro au niveau de ses finances. Merci. Parce que je sais très bien que ce podcast, il éveille les consciences au niveau finance, donc partagez, partagez, partagez, partagez, partagez. Alors, si vous êtes entrepreneur ou non, sachez qu'il y a l'adhésion au deuxième pilier pour les indépendants. Il y a une inscription volontaire qui est possible, vous n'êtes pas obligé de vous inscrire à la LPP, mais si vous avez la possibilité de vous y affilier volontairement, ça peut être intéressant, parce que vous pouvez accumuler un capital retraite avec des cotisations déductibles des impôts. Le fait que ce soit déductible de votre revenu, that's what we want, c'est ce qu'on veut en tant qu'indépendant parce que ça va aussi réduire le montant imposable sur ce qu'on a gagné en revenu. Et surtout, ça va vous protéger en cas d'incapacité en fait. En cotisant au deuxième pilier, vous allez bénéficier d'une couverture en cas d'essai d'incapacité et vraiment, nous qui sommes quand même, voilà, on n'a pas le chômage, c'est pas négligeable comme petite protection. Ce qui est intéressant, c'est que votre société du coup, donc vous êtes votre propre patron, surtout en SRL, vous pouvez augmenter la part. de votre côté, et ça va vous donner une part sur-obligatoire, qu'on appelle la part sur-publicatoire, de côté pour votre retraite. Vous savez, comme j'en vis, mes amis qui travaillent par exemple à la Souva ou à l'État, ils ont des deuxièmes piliers de ouf, parce que du coup, l'État, ils cotisent plus pour eux. Oh là là, mais quand tu vois leur deuxième pilier et tout, ils sont là, un jour, un pote, il me montre sa fiche, et j'étais là genre, mais mec, ça fait combien de temps que tu travailles ? Ouais, ben je sais pas, ça fait 7 ans que je suis là. Je suis là, mais mec, t'es un deuxième pilier digne d'un mec de 40 ans. Mais parce qu'il cotise à double quoi ! Et même pendant ses... Il était aux études et puis il travaillait déjà pas. Déjà pendant ses études, il cotisait un max quoi. C'est cool ça. Ensuite, la deuxième solution, c'est que si vous êtes indépendant, vous pouvez utiliser le troisième pilier pour également renflouer votre sécurité. J'en ai parlé tout à l'heure. En fait, vous pouvez cotiser jusqu'à 20% de votre revenu net dans le troisième pilier avec un plafond annuel qui est fixé à 35 280 francs en 2023. Je ne sais pas s'il n'a pas augmenté en 2024, je ne suis pas sûre. Et ça vous permet également de déduire une somme significative de vos revenus imposables tout en renforçant votre épargne retraite. Donc si vous êtes en réseau individuel, c'est pas mal. Ensuite, il y a toute la stratégie liée aux dividendes ou salaires selon les avantages fiscaux. Je ne sais pas si vous saviez, mais les dividendes, c'est très intéressant d'être payé en dividendes en Suisse parce que l'imposition est faible. Donc admettons, si toute l'année, vous vous êtes payé votre strict minimum, en fin d'année, vous avez un joli profit, vous... vous pouvez vous verser des dividendes et là vous gagnerez aussi par rapport à si vous aviez versé ça sur votre salaire toute l'année. Alors il faut savoir que par rapport à tout ce que j'ai dit, c'est que les dividendes ne sont pas soumis aux cotisations sociales. Donc effectivement faire comme ça c'est peut-être bien la première année. Si vous vous lancez, que vous voulez être safe par rapport à votre salaire, vous payez le strict minimum, avoir le minimum d'impôt aussi par rapport à ça, c'est une certaine stratégie. Mais du coup vous ne cotisez pas aux cotisations sociales. Donc c'est tout des calculs à faire. Mais sachez que ça existe. En fait l'optimisation ce serait de Si vous combinez une part de salaire pour vos droits à la prévoyance et des dividendes pour des avantages fiscaux, vous pouvez vraiment maximiser votre épargne en fait, sans trop allonger votre charge fiscale. Donc c'est une approche qu'il faut trouver, équilibrer en fonction de votre situation et de vos objectifs du coup de retraite, puisqu'on parle de la retraite dans cet épisode là, mais ça pourrait être d'autres choses. Et voilà, moi c'est à peu près les choses que j'ai notées par rapport à mon activité et ce que je voulais faire, et pour moi c'est clairement un objectif, c'est de... de m'enrichir effectivement, parce que j'ai des objectifs personnels qu'un jour je vais partager. J'ai partagé beaucoup mes objectifs professionnels dans ce podcast, mais pas forcément mes objectifs perso-perso. Un jour je vais faire un épisode à ce sujet-là. Mais en l'occurrence, si vous voulez vous lancer, que vous êtes sur le point d'ouvrir votre side business, que vous êtes sur le point d'ouvrir votre activité indépendante, ou si vous êtes en activité indépendante déjà maintenant, il y a plein de choses à faire pour optimiser fiscalement votre situation. Je ne suis pas conseillère financière, pardon, je ne suis pas... fiscaliste, etc. Donc naturellement, ce que je vous dis là, ça reste à titre informatif. Je ne remplacerai jamais les conseils d'un fiscaliste, d'un financier par rapport à tout ça, et c'est pour ça que je vous conseille de prendre contact avec quelqu'un que peut-être vous connaissez, je sais pas, qui pourra vous aider à faire vos calculs à vous. Donc voilà, Janice de Coach Ton Budget, elle vous aide à prendre conscience et puis à peut-être faire un petit peu les choses par vous-même, mais par la suite, si vous voulez vraiment aller deep down dans les choses, moi je vous conseille de passer par quelqu'un de qui c'est le métier. Je ne remplacerai jamais ces gens-là, c'est sûr et certain, et c'est pas ce que j'ai envie de faire. Bon, j'espère que cet épisode vous aura aidé. J'espère que mes petits conseils, mes petites trouvailles, elles vous donnent des idées pour aborder vos finances, en tout cas pour la retraite. De nouveau, on a parlé retraite, parce que c'était vraiment ce reportage de la RTS qui m'a un peu chamboulée. Mais en fait, c'est pour tous vos projets de vie. C'est que vous pouvez mettre en place plein de petites choses comme ça. Vous n'êtes pas obligés d'aller vers du troisième pilier si ça vous pète. peur que ce soit bloqué, vous pouvez aller faire un compte épargne. Toutes ces petites choses que vous mettez en place quand vous n'êtes pas sûr de ce que vous voulez faire de votre vie. Des projets que vous voulez avoir, que ce soit d'acheter, que ce soit avoir un enfant, partir, voyager, ouvrir sa boîte. Tous les petits projets. Enfin là, c'est des gros projets. Tous les gros projets que vous ne savez pas si vous allez les faire un jour dans votre vie. Qu'importe. Quand vous avez le petit coussin de sécurité, c'est plus facile. Voilà, c'est tout. Et vous pouvez dès aujourd'hui commencer à mettre des sommes d'argent de côté pour construire cette épargne, pour construire ce projet-là. Et je vous jure que quand on a l'argent, les idées, elles viennent toutes seules. Parce que quand on a de l'argent, money is power. Bref. Du coup, merci d'avoir écouté cet épisode. Merci du coup aussi pour vos notations. N'oubliez pas de noter l'épisode si c'est la première fois que vous l'écoutez, si vous l'avez aimé. Les liens sont dans la barre d'infos pour s'abonner à l'analyseur et pour avoir du coup toutes les ressources avec Couches ton budget, avec CTB en général. Moi, je vous donne rendez-vous dans deux semaines pour le prochain épisode. Je ne vous dis pas sur le... Sur le sujet, parce que ça pourrait être les coupes, ça pourrait être la bourse, ça pourrait être plein de choses. Mais en fait, je n'ai pas décidé. On verra le mood quand j'enregistre le prochain. Mais voilà, je vous remercie énormément pour votre écoute. Je vous remercie pour les chaleureux messages que je reçois tout le temps. C'est très, très, très gentil. Ça me booste en fait à faire de ce podcast quelque chose de qualitatif. D'ailleurs, je vous prépare pour les entrepreneurs quelque chose de très spécifique pour la rentrée 2025. Donc janvier, vous verrez, c'est cool. Je suis en train de préparer ça avec un partenaire. Donc j'ai hâte de vous expliquer tout ça. Je vous retrouve dans le prochain épisode. En attendant, n'hésitez pas à le partager, à m'écrire aussi, à écrire en commentaire, à me proposer des suggestions, etc. Je vous embrasse et je vous dis à tout bientôt.

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