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Coach Ton Budget & Business

Ce que personne ne te dit sur la liberté financière et mentale (et comment te sortir de là)

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30min |29/04/2025
Play
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Description

Tout le monde veut être libre… mais personne veut être inconfortable.


Tu veux bosser pour toi, mais t’as peur de perdre ton confort.

Tu veux dire non à ce qui t’éteint, mais tu flippes de décevoir.

Tu veux plus d’argent, mais t’oses pas t’exposer, vendre ou investir.


Beaucoup rêvent de liberté, mais évitent l’inconfort qu’elle exige : risques, incertitude, solitude. Dans cet épisode, découvre pourquoi ce refus t’empêche d’avancer.


À écouter, à partager, et à appliquer pour un impact réel sur ta vie et ton business!


On travaille ensemble? C'est par ici https://www.ctbconsulting.ch/

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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Tout le monde veut être libre, mais peu de personnes sont prêtes à payer le prix de la liberté. C'est une question que je me suis énormément posée parce que je l'ai voulu cette liberté, je l'ai cherchée. Et d'ailleurs, c'était la communication principale que je faisais au tout début, quand j'ai commencé sur les réseaux sociaux avec Coach Ton Business. Je parlais de liberté, je parlais de faire ce que tu veux, je parlais de ne plus avoir de patron, etc. Je parlais de toutes ces choses-là, donc je connais très très bien la question. Et aujourd'hui, je pense que je cherche toujours cette liberté, et je l'ai en partie. Je la cherche moi parce que je l'ai en fait. Je l'ai en grande partie. Ce que je vois par contre de mes clients, ou peut-être beaucoup beaucoup plus de mes prospects, et ceux qui rarement ne travaillent pas avec moi derrière, c'est cette incapacité à ne pas vouloir payer le prix de la liberté, ou en tout cas le prix temporaire à payer pour atteindre cette liberté. Dans cet épisode, mon intention, elle est très très simple. Je pense très sincèrement que la liberté, qu'elle soit financière, temporelle, géographique, mentale, elle vient pas sans inconfort. Il va y avoir de l'incertitude, il va y avoir de la solitude, il va y avoir... de l'exposition, il va y avoir des prises de décision, il va y avoir des risques à prendre. Et souvent, à partir du moment où il y a quelque chose d'inconfortable à faire, la plupart des gens restent attachés à la sécurité émotionnelle, à la sécurité sociale, et principalement, comme vous le savez, je parle de thunes, à la sécurité financière. Et tout ça, ça sabote la recherche de la liberté. Alors ma grande question, et c'est ce qu'on va essayer de répondre dans cet épisode, c'est est-ce que tu veux vraiment être libre, ou est-ce que tu veux de la liberté sans inconfort ? Tout d'abord, bienvenue sur... coach ton budget et business, les podcasts dédiés à la thune, à l'ambition, à la réalisation de ses rêves, mais aussi au marketing et à l'entrepreneuriat en Suisse particulièrement. Je suis Janice, formatrice en marketing et business, mais aussi créatrice de contenu dans la finance personnelle. Dans ce podcast, on parle d'argent pour s'éduquer, apprendre à gérer, comment réaliser nos projets de vie avec. Si tu as une nouvelle ou nouveau, abonne-toi pour ne manquer aucun épisode. Ils sont pépites et très importants. Mets une note à ce podcast si tu l'aimes et puis si tu l'aimes encore plus. Tu peux t'abonner à l'anusateur et tu l'auras dans ta boîte mail directement toutes les semaines. Le podcast est disponible sur YouTube, sur Spotify, sur Apple Music, vraiment partout. Alors n'hésite pas à suivre coach ton budget et business. Allez, c'est parti pour le sujet de la semaine. L'épisode, il va être un petit peu plus court que les précédents parce que je pense que c'est une question à laquelle on peut répondre assez vite. Et de nouveau, je cherche à faire des déclics, c'est-à-dire que je cherche vraiment à faire en sorte que vous repartiez de cet épisode avec un maximum d'envie et de se dire « Ok, Janice, elle a dit ça, moi ça résonne comme ça en moi et ça me permet de faire ça ou de prendre telle et telle décision. » Donc c'est vraiment à ça que cet épisode y sert. On n'est pas là pour se démonter, on n'est pas là pour se faire la morale, on n'est pas là pour dire quoi faire, on n'est pas là pour faire tout ça. On est là pour chercher en soi des réponses qui vont nous permettre de réaliser nos projets de vie. Donc comme vous le savez et vous l'avez vu dans l'introduction, ici on parle de thunes, donc je suis très cash. Ici on est un petit peu moins sur la thune, on va pas parler de chiffres, on va pas parler de ces choses-là. Par contre, c'est clairement pour moi une des bases sur lesquelles il faut travailler si vous cherchez justement un déblocage. Pour ça, je vous invite aussi à écouter l'épisode que j'ai sorti, trois épisodes en arrière, c'était débloquer votre mental pour gagner plus d'argent. C'est aussi un épisode un petit peu comme ça, mais là on était beaucoup plus sur les thunes. Et cet épisode, il est un peu plus là pour vous débloquer, pour vous faire faire avancer dans vos projets de vie. Donc ça peut être l'achat d'une maison, ça peut être devenir entrepreneur, lancer votre business ou sortir de votre salariat, etc. Toutes ces choses-là, vous savez que j'aide les gens à le faire avec Coach Ton Business. Et cet épisode, il va vraiment être là pour vous sortir les pouces du cul une fois de plus. Désolée, c'est un mot que j'ai beaucoup en bouche en ce moment. Mais je me dis, on est encore en début d'année, c'est encore le printemps, tout est là pour fleurir, tout est là pour vous faire avancer. Et en fait, on ne va pas attendre que 2025 soit terminé pour changer les choses et se dire « Non, mais c'est bon, ça, je ferai en 2026. » On va vraiment essayer de faire avancer les choses, ok ? Alors, cet épisode, comme d'hab', je l'ai divisé en quelques parties. Donc la première partie, c'est que j'aimerais parler de la liberté. En fait, qu'est-ce que c'est vraiment la liberté ? Alors, c'est une définition qui m'appartient, mais de nouveau, j'apporte aussi des éléments de contexte qui vous permettent de comprendre pourquoi je la vois comme ça. Ce n'est pas une définition immuable, en fait. De se dire la liberté, Janice elle a dit que c'était comme ça, donc c'est comme ça, non c'est pas du tout, je pense que la liberté c'est chacun qui la décide. Ensuite on va parler des formes de résistance, parce que évidemment c'est joli de vouloir la liberté, mais si on comprend pas pourquoi on n'y arrive pas, il faudrait peut-être un petit peu parler de ces blocages ou de ces choses qui font qu'on n'y arrive pas. Et ensuite on va parler du vrai prix de la liberté, en tout cas j'ai l'impression que c'est un peu moi ce que j'ai payé pour arriver là où j'en suis. Et en fait c'est pas du tout une chose négative, on va pas partir en guerre ou au combat ou des choses comme ça, c'est pas du tout ça. C'est juste vous expliquer que j'ai dû passer par certaines choses pour arriver là où j'en suis. Et aujourd'hui, je ne regrette absolument rien. C'est juste qu'il y a des choses où c'est un peu comme ça, en fait. Ça fait partie du jeu. Donc d'ores et déjà, si vous êtes sur YouTube, je vous invite à mettre un petit pouce si vous aimez cet épisode. Et si vous avez envie de le partager à quelqu'un à qui ça peut aider, faites-le. Parce que c'est comme ça aussi que je fais connaître mon podcast. Si vous avez écouté l'épisode précédent, vous savez que j'ai gagné un titre avec ce podcast. j'en suis très très fière parce que j'essaie du coup que J'instaure des déclics et puis que je vous aide à avancer dans vos projets de vie. Donc mon rôle, c'est vraiment ça, mon but, c'est vraiment ça, c'est de vous aider à avancer avec ce que vous voulez faire. J'en profite aussi pour faire une petite annonce parce que ça fait longtemps que je n'en ai pas parlé et que vous me posez très souvent la question, Janice, comment est-ce qu'on peut travailler avec toi ? Alors fondamentalement, pour tout ce qui est budget, vous avez Coach ton budget, c'est une formation evergreen qui vous permettra de vous remettre à jour au niveau des finances. On n'apprend pas juste à faire un budget, on parle aussi évidemment mindset et comment est-ce qu'on change sa mentalité par rapport à l'argent. Donc ça va en complément de l'épisode dont je vous ai parlé avant. Pour tout ce qui est business, en fait, j'ai deux manières de vous accompagner. La première, c'est objectif 100% dépendant et rentable. Ça, c'est réservé à des gens qui sont beaucoup plus débutants dans l'entrepreneuriat et qui ont besoin de comprendre les bases à mettre en place pour construire un business rentable. Alors, quand je dis débutant, je suis plutôt sur ceux qui sont en dessous d'une année dans l'entrepreneuriat. Donc, ils ont peut-être déjà lancé un projet, ils ont déjà l'idée, ils ont déjà ces choses-là. Ou alors, en fait, vous voulez juste comprendre ce qu'il faut mettre en place. Ça va aussi, si vous êtes débutant complet et que vous n'avez rien du tout mis en place, cette formation, elle est aussi top pour vous. Parce que du coup, j'ai pensé aux deux. J'ai pensé à ceux qui commençaient et à ceux qui avaient déjà quelque chose en place. Et en fait, le gros avantage, c'est que vous avez une communauté dedans. Donc un, vous pouvez me poser des questions, c'est moi qui réponds. Et deux, vous avez des animations au sein de la communauté. Donc à la fois les ateliers solutions où on peut discuter ensemble de vos problématiques business et aussi les ateliers en présentiel pour networker avec d'autres personnes qui sont un peu dans la même situation que vous. donc vous allez dire oui mais des événements networking il y en a plein c'est pas un événement networking, on fait un workshop on fait un atelier solution Et à la fin, on peut discuter. Donc, c'est un peu plus que ça. C'est vraiment pour vous aider à avancer. On est toujours dans une optique de pédagogie, de vous faire comprendre, de vous faire apprendre. Et dans Coach ton business, donc ça, c'est la deuxième solution. Coach ton business, c'est un mentorat consulting qui est réservé aux entrepreneurs qui sont déjà bien lancés, qui ont déjà un business qui fonctionne, mais qui ne comprennent pas comment craquer le truc du marketing, du business, de la finance pour avancer dans leur activité. En général, la typologie de client que j'ai dans Coach ton business, c'est des gens qui sont... déjà dedans dans l'entrepreneuriat depuis peut-être une année, trois ans. Parfois, j'ai des entrepreneurs qui sont dedans depuis 10, 15 ans et qui ne comprennent pas comment est-ce qu'on fait pour avoir la liberté, avoir plus de temps, avoir plus d'argent. Comment est-ce qu'on fait aussi pour attirer plus de clients ? Parce que souvent, ils ont des clients, mais ça ne vient que du bouche à oreille. Donc, ils aimeraient savoir un petit peu comment est-ce qu'on va chercher du client ailleurs. Et ça, c'est vraiment mentorat personnalisé. Donc, vous êtes sur du one-to-one coaching et je vous accompagne pendant six mois. à mettre en place des stratégies pour que votre business puisse vous rémunérer mieux, puisse être plus structuré, puisse être plus organisé, tant au niveau marketing qu'au niveau finance qu'au niveau business. Et ça par contre, j'ai trop de demandes. C'est un one-to-one et j'ai pour intention de le garder comme ça. C'est vraiment plus intéressant pour vous si vous n'avez pas envie d'investir autant d'argent et si vous n'êtes pas prêt d'aller dans 100% indépendant et rentable parce que vous allez avoir accès à moi et à tout ce que je peux vous donner pour débutant. Par contre, si vous avez vraiment envie de changer les choses au niveau entrepreneurial dans votre entreprise, c'est Coach Ton Business. Et Coach Ton Business a aussi des ateliers, on a aussi une animation de communauté à l'interne avec justement des entrepreneurs un poil plus poussés. On n'est pas sur des grosses PME ou des choses comme ça juste pour vous assurer. C'est vraiment plus solopreneur, on a des thérapeutes, on a des coachs sportifs, on a une typologie de personnes aussi, on a beaucoup d'artisans, de personnes qui fabriquent des pièces à la main et qui ont besoin de comprendre comment est-ce qu'on va chercher des clients. J'ai toute une ribambelle de clients différents et c'est pour vous dire que je vous accompagne, qu'importe votre business, tant que vous êtes à peu près dans cet état-là et que vous avez besoin du coup de pouce pour passer à la vitesse supérieure. Voilà, passons maintenant à l'épisode, j'ai assez parlé de Coach Ton Business, si vous avez des questions, n'hésitez pas à me contacter. Et puis si vous voulez rejoindre Coach Ton Business, sur la page Coach Ton Business, il y a un formulaire en fait qui va vous poser quelques questions sur votre business et qui va vous qualifier du coup à l'appel découverte avec moi, qui a lieu une fois par mois à la fin du mois. pour venir y rejoindre. Au moment où j'enregistre cet épisode, les prochaines places disponibles, c'est pour juillet. Ça veut dire que j'ai environ trois mois d'attente pour rejoindre le programme. J'ai un certain nombre de places, c'est très limité par mois. On a entre cinq et six places au grand maximum par mois. Et il y a aussi beaucoup de gens qui attendent en fait de rejoindre, mais qui n'ont juste pas validé leur inscription. Donc vraiment, si vous voulez travailler avec moi, remplissez le formulaire, envoyez-moi peut-être un message si vous êtes vraiment ultra motivé. Remplissez le formulaire, faites l'appel découverte et puis après, vous pourrez rejoindre Coach Ton Business si tout va bien si... Le fit est mutuel si on voit qu'on peut travailler ensemble, évidemment. Alors, la partie 1 dans laquelle j'aimerais vous expliquer que, pour moi, la liberté, pour y arriver, c'est pas le confort, en fait. Une fois qu'on l'a, on atteint un certain niveau de confort, mais je pense que c'est parce qu'on a été habitué à sortir de nos zones de confort, et que du coup, le confort est un peu plus vaste, parce qu'il est moins minimisé, parce qu'on a plus de proportions à prendre des risques et à être dans des situations inconfortables, si vous me suivez dans ce que je veux dire. En fait, je vais vous expliquer un truc. Sur les réseaux sociaux, on va vous vendre qu'être à votre compte, c'est génial, c'est chill, il y a la flexibilité, c'est le kiff total, machin. On va vous vendre toutes ces choses-là. Dans un sens, je suis d'accord, parce que depuis que je suis mon propre patron, et maintenant encore plus que j'ai des employés, etc. La liberté, elle serait très restreinte par rapport à l'année dernière, par exemple. Mais il y a quand même encore beaucoup, beaucoup de liberté que je peux me permettre parce que je prends, moi, des décisions. Mais ça va impliquer, pour vous, que vous vous mettiez dans des situations où c'est clairement inconfortable. Parce que vous allez devoir peut-être prendre des décisions seules, parce que vous allez devoir ne pas gagner l'argent que vous gagnez avant, parce que vous allez devoir être responsable de tout, parce que vous allez devoir dire non à certaines choses et pas savoir si c'est le bon non. Et puis parce que, parfois, si vous voulez faire des réseaux sociaux, par exemple, si vous voulez faire des choses un petit peu différentes, vous allez peut-être être exposé. Et ça, c'est ce qui vous expose aussi à une certaine vulnérabilité, à certaines opinions, etc. Donc, ce que j'essaie de vous expliquer, c'est que la liberté, pour moi, elle s'obtient après avoir pris un certain nombre de risques qui va vous emmener vers ça. Donc, je vais vous donner un petit exemple, parce que dans ce que je vous ai cité là, il y avait décider seul, donc le fait de devoir prendre des décisions sans avoir quelqu'un qui vous valide cette décision. Il va y avoir l'histoire de la thune, comme d'habitude. il va y avoir la responsabilité et il va y avoir le fait de dire non. Maintenant être exposé, je vais vous mettre ça de côté parce que je sais très bien que ceux qui m'écoutent ne sont pas forcément exposés sur les réseaux sociaux. Donc je peux peut-être vous en parler mais voilà. Alors la première chose c'est décider seul. En fait il y a beaucoup de gens qui sont incapables de décider seul. Je le vois aussi auprès de mes clients, c'est que quand ils font quelque chose, ils ont sans arrêt besoin de mon approuval, de dire est-ce que Janice a pensé que c'était bien pour que je puisse continuer. Je vais vous dire une chose, c'est que je pense que si vous n'êtes pas capable de décider seul, Vous ne serez pas capable de vous amener vers une forme de liberté parce que vous n'aurez jamais le culot de prendre une décision qui va peut-être vous faire prendre des risques. Et ça, c'est vraiment un truc à travailler. Mais la chose à laquelle j'aimerais le plus parler dans cette partie 2, c'est le fait de ne pas avoir de revenu garanti. Alors, comme vous savez, objectif 100% indépendant et rentable, on se dit, quand on sort, on est rentable, et puis on est 100% lancé, puis on a quitté notre salariat. Ce n'est pas la promesse de ma formation. La promesse de cette formation, c'est que vous sortiez de là avec tous les outils. pour comprendre comment ça fonctionne, un business rentable, et puis pour commencer à construire le vôtre. Dans Coach Ton Business, on peut complètement voir les choses différemment, parce que normalement, si vous avez appliqué tout ce que je vous ai dit dans la formation, je ne vois pas comment vous ne pouvez pas vous régénérer un revenu confortable. À part si vous faites de la merde, franchement, je ne vois pas comment vous devez encore garder votre salariat. Par contre, ce qu'on peut analyser par rapport à ça, c'est une chose très intéressante. J'ai encore des clients qui sont salariés, pour plusieurs raisons. La première des raisons, ça va être que... Ils ont envie de garder leur job à côté. Ils n'ont pas envie d'être 100% entrepreneurs. C'est un petit kiff, ils apprennent, ils aiment faire des petites séances à côté, mais en fait, ils ont une réelle passion pour leur métier de base et ils n'ont pas envie de quitter ça. La deuxième des raisons, c'est la peur de manquer de revenus garantis. C'est-à-dire que la plupart de mes clients, ils disent « Ouais, mais là, tu vois, j'ai ça comme revenu qui rentre, et puis voilà, c'est confortable, j'ai des enfants, j'ai une hypothèque, etc. » À un moment donné, quand votre activité, elle tourne, quand vous faites un certain chiffre d'affaires par mois, et que vous avez clairement dans votre agenda de la place pour prendre plus de clients, et que vous avez plus de clients qui arrivent parce que vous avez mis des stratégies à jour, mais que vous refusez de quitter votre salariat parce que c'est le vide, et que tout d'un coup vous allez vous retrouver sans revenus, alors qu'il y a des clients qui veulent potentiellement prendre ces places pour travailler avec vous, là vous manquez clairement de pragmatisme pour prendre le choix de quitter, prendre le risque de quitter, de partir, et de faire votre vie dans l'entrepreneuriat. Et ça je vois énormément de gens qui sont bloqués à ce stade-là. clairement, ils pourraient développer leur activité, ils pourraient passer à la vitesse supérieure et puis faire ça à 100%, mais non, il y a le revenu à côté, garanti, qui fait qu'ils ne bougent pas de leur situation. Alors je comprends, quand on a des enfants, quand on a une dette, etc., la situation, elle est beaucoup plus risquée, et ça, je remets pas ça en question. Je dis juste qu'à un moment donné, si vous voulez vraiment cette liberté-là, vous allez devoir réfléchir en termes de risques. Et très sincèrement, si votre agenda est déjà rempli là, si vous avez déjà assez de clients, Si votre activité, si vous faites bien votre job, si vous avez du talent dans ce que vous faites et que justement votre agenda il est plein, qu'est-ce qui vous retient sincèrement d'ouvrir le reste de votre agenda, de quitter le salariat et de commencer à étendre votre activité ? Et après justement, les gens comme moi, on vous aide à développer aussi un écosystème, c'est-à-dire que vous n'allez pas faire qu'une chose, vous allez avoir plusieurs activités, mais qui vont pouvoir vous permettre de vous rémunérer de manière passive, je mets passive entre guillemets. Et du coup, d'avoir une activité qui est plus confortable, c'est-à-dire de construire une entreprise qui vous rémunère. Et pas juste une petite activité de freelance, coucou, ah, yo, je fais un petit peu de massage et puis je me fais des thunes un peu par-ci et par-là. On construit une vraie entreprise qui vous rémunère, qui vous rend confortable et qui vous enlève de la tête cette idée de, il me faut un revenu garanti chaque mois. La raison aussi à ça, c'est souvent qu'on manque de compréhension par rapport aux finances de l'entreprise, de la trésorerie. On n'est pas capable de gérer son argent correctement. Et là, je vous envoie aux épisodes précédents parce que j'en ai parlé en large et en travers. Et du coup, on a toujours cette insécurité financière. On n'ose pas quitter son travail, on n'ose pas aller de l'avant. Et la liberté, du coup, on l'a qu'à moitié. Ensuite, je dirais que ça pose problème à certaines personnes. Moi, je l'ai un peu ressenti dans le sens où être responsable de tout. Dans votre boîte, vous allez être responsable de la moindre connerie que vous faites. Vous allez être responsable de vos clients, vous allez être responsable de ce que vous délivrez, vous allez être responsable de l'image que vous renvoyez. Et ça, c'est aussi une situation qui peut être inconfortable pour certaines personnes qui ont peur de prendre des responsabilités. Alors, ce que j'aurais à vous dire là-dessus, c'est qu'à partir du moment où vous faites du mieux que vous pouvez et que vous mettez en place les bonnes solutions, normalement, la responsabilité, elle est naturelle et elle va de soi. Et je parle pas d'avoir une assurance responsabilité civile parce que ça, vous êtes obligés, mais c'est au moins d'avoir compris que votre activité, elle est bien déroulée, vous accompagnez bien vos clients, vous faites bien votre tâche, vous livrez. les bons produits à la maison, etc. Et ça, ça va faire en sorte que normalement, votre responsabilité, vous la tenez, vous êtes quelqu'un de responsable. Donc c'est normal. Et ensuite, la dernière chose dans laquelle j'aimerais vous parler, de devoir dire non. Je vais vous donner l'exemple de ma cliente, du coup, qui n'a pas osé dire non à un client. Pourquoi ? Pour deux raisons. Parce que, un, elle avait peur de ne pas avoir assez d'argent. Et deux, parce qu'elle s'est dit, ça va me faire travailler, ça va m'apporter du travail à faire. Sur ces deux éléments-là, je suis d'accord à moitié sur ce qu'elle a fait. Dans le sens où, avoir de l'expérience et devoir travailler avec quelqu'un qui est peut-être un petit peu pénible, qui va peut-être pas être la meilleure des choses. Je pense que, sur certaines bases, c'est une bonne chose à faire parce que, justement, on va sortir de sa zone de confort, on va être avec quelqu'un qui n'est pas forcément le client le plus facile et je pense qu'on va en prendre vraiment de la graine pour savoir qui on ne veut plus à l'avenir. Dans un sens, je trouve ça bien. Et dans l'autre, si on parle de thunes, devoir souffrir pour gagner son argent, ça c'est pas l'entrepreneuriat en fait. Pour moi je vous parle d'inconfort, mais l'inconfort c'est pas forcément souffrir pour moi, devoir prendre un client à cause de l'argent, alors que ma cliente en l'occurrence, elle a un revenu à côté donc elle aurait même pas besoin de le faire je pense que c'est pas viable on ne doit pas faire ça, en fait on va avoir un client pénible qui va nous dégoûter de l'activité qui va nous dégoûter parce qu'il va vouloir on lui a donné la main, il va vouloir le bras et il va vouloir l'épaule après, ça va nous dégoûter de l'activité. Donc dans un sens, je ne pense pas que... Il y a de l'inconfort à prendre partout et il n'y a surtout pas d'inconfort à prendre à cause de l'argent. L'argent, si vous acceptez les choses à cause de lui, ça va vous rendre vulnérable, ça va vous rendre vraiment à fleur de peau, ça va vous dégoûter parce que vous ne vous sentirez peut-être pas rémunéré à votre juste valeur, parce que vous aurez quelqu'un qui n'est vraiment pas respectueux, qui ne va pas voir la valeur ajoutée que vous apportez en travaillant avec lui. Pour moi, c'est vraiment la mauvaise phase d'approche de l'inconfort, si vous voyez ce que je veux dire. Et enfin, Je vous ai parlé d'être exposé parce que ça, clairement, si vous voulez être sur les réseaux sociaux, si vous voulez déployer votre activité à grande échelle et que vous voulez vraiment être connu, etc. Effectivement, passer par un profil comme le mien où vous allez avoir une communauté des gens qui vous connaissent, qui vous reconnaissent dans la rue. Être exposé, ça fait partie de l'inconfort. C'est-à-dire que si vous aimez avoir votre petite tranquillité et que vous n'aimez pas qu'on vous reconnaisse, que vous aimez avoir rien, pas d'informations à votre sujet sur les réseaux sociaux ou sur Internet ou sur la barre de recherche, être entrepreneur, ce n'est pas ça. En fait, à part si vous faites une SA et que vous dirigez une compagnie dans l'ombre, c'est pas ça être entrepreneur. Vous allez devoir être un minimum exposé, c'est-à-dire que quand on cherche votre nom, prénom, il y a votre société qui apparaît, il y a peut-être vos activités, il y a peut-être des articles de presse, et ça c'est ce qui va faire en sorte que la confiance est obtenue auprès de vos clients en fait, parce qu'ils vont voir que vous êtes quelqu'un de vrai, que vous faites des choses, donc au bout d'un moment, vous allez devoir être exposé. Bon, on va passer à la partie 3, c'est les formes de résistance qu'on voit pas et qui vous empêchent en fait d'être libre sans que vous vous en rendez compte. Donc... Comme je vous le disais, beaucoup de gens veulent être libres, peut-être vous qui m'écoutez, mais il y en a beaucoup qui vivent encore comme s'il y avait un patron quelque part invisible. Et le patron, souvent, c'est eux. J'aimerais apporter peut-être deux manières de voir les choses. Il y a tout ce qui est autosabotage qui est plutôt discret, et il y a plutôt tout ce qui est attachement inconscient à des choses qui vous empêchent d'avancer, qui vous empêchent d'aller de l'avant. Alors, dans tout ce qui est autosabotage, évidemment, il y a la procrastination, le fait que vous ne bougez pas votre cul et que vous se dites là... mignon Il y a la recherche constante d'un cadre. Par exemple, moi, j'ai beaucoup de clients qui veulent bosser avec moi parce que je veux leur apporter un cadre. Moi, j'essaye aussi de les autonomiser, de leur dire « Ok, je te mets le plan d'action, on va faire le plan d'action, mais ça, c'est toi qui fais en fait. Moi, je ne vais pas derrière être là tout le temps à te dire quoi faire, à te dire c'est bien, continue, petite tape sur l'épaule, parce qu'en fait, ça ne va pas t'aider à développer ton activité indépendante derrière. Si tu ne sais pas faire les choses tout seul, si tu ne sais pas aller chercher de l'aide, si tu ne sais pas développer des choses, ça ne va pas le faire. Ensuite, le truc suivant, c'est l'attente de validation de la part d'un mentor, de la part de la communauté, de la part des clients. Ça aussi, en fait, si vous êtes tout le temps en train d'attendre la validation des gens, vous n'allez rien faire. Je vois souvent, Cindy, avec qui j'avais fait l'épisode, elle me raconte souvent que les clients attendent la validation avant, pour x ou y raison. Voilà, alors je ne pense pas qu'ils attendent sa validation à elle de poster, mais je pense que ça peut être le cas. En fait, parfois, on me poste un truc et on se dit est-ce qu'elle va me dire que c'est bien ou non ? Et on va attendre qu'elle me dise que c'est bien pour poster. Ça peut être un exemple. Très honnêtement, si vous attendez tout le temps la validation, vous n'allez pas avancer. Et je pense que c'est ça qui fait que je suis aussi rapide dans ce que je fais, J'attends pas qu'on me dise « Janice, c'est bien, bravo, bravo, félicitations » . J'attends pas. Je fais, j'avance. et c'est ça qui fait que je suis rapide. Et ensuite, ce qui se passe aussi, c'est qu'on va reproduire ce qui se passe dans le salariat dans son business. Donc comment est-ce qu'on peut imaginer ça ? Typiquement le fait que dans la première année, non mais moi à 17h j'arrête, j'ai terminé. À un moment donné, s'il faut donner un petit coup de boost et travailler un petit peu plus parce qu'il y a un lancement ou parce que si il y a ça, il va falloir le faire messieurs-dames. On ne va pas fermer son ordinateur à 17h. S'il y a une deadline à boucler parce qu'un client a demandé une requête très spéciale, à un moment donné, il faut le faire, point barre, c'est comme ça. Ensuite, il y a aussi tout ce qui est attachement inconscient, et ça je pense que c'est mon Le moment préféré de cet épisode, c'est tout ce à quoi vous vous attachez qui vous empêche d'aller de l'avant. Alors la première chose si on parle de thunes, c'est l'attachement à tout ce qui est fixe. Ouais mais là tu vois j'ai mes 5000 balles par mois puis je suis contente. Non en fait oui mon activité ça va super bien mais bon j'ai un peu peur que voilà j'arrive pas à ça. Moi j'entends ça, ça me tue en fait. Je vais vous dire un truc c'est que quand j'étais salariée, je gagnais moins de 10 000 francs par mois. Mais j'étais quasiment, j'ai déjà un très bon salaire. Aujourd'hui mon entreprise elle génère trois fois ça par mois. Trois fois ça. Ça veut dire que là maintenant j'ai une équipe, mais cette équipe ne travaille pas à 100%, donc on ne va pas dire que je lâche 100% des salaires dans une équipe. J'ai une très bonne marge en fait, ce qui fait que je gagne beaucoup plus d'argent qu'avant. Le temps que ça s'installe, le temps que ce revenu récurrent s'installe et me permettre de gagner trois fois ce que je gagnais avant, il a fallu du temps, de l'inconfort, de passer par des mois où j'ai gagné bien moins que ce que je gagnais avant. Il a fallu ça. Il a fallu passer aussi par des décisions à prendre. Est-ce que je prends ce gros mandat qui va m'apporter énormément d'argent, mais qui va aussi me prendre énormément de temps ? est-ce que je refuse, est-ce que j'arrête l'éparpillement et est-ce que je me focalise justement sur ça pour tout miser sur ce que je veux faire il y a eu des questions un petit peu comme ça ensuite un des gros freins je pense que c'est l'approbation familiale ou familiale ou l'entourage la peur de faire ça, de se montrer sur les réseaux d'avancer machin, putain ça ça me sort par les trous de nez, en fait bloquez-les bloquez-les et avancez tout seul faites votre truc dans l'ombre jusqu'à que vous sortiez de votre cabane et que vous soyez un papillon il a fait tout ça machin et là à ce moment là on vous dira putain bien joué ouais Merci. Voilà. Dans le même registre, il y a aussi la peur de déplaire. Moi, je l'ai beaucoup eu au début en mode « Ouais, mais là, si je dis ça de travers, ça va frustrer ces gens-là » . Aujourd'hui, on est à la foutre, en fait. Je veux dire, je parle comme ça. C'est aussi comme ça que vous aimez les choses, que je sois cash, que je sois précise dans ce que je dis parce que pour moi, ça, c'est de la merde à cause de ça et ça. Je vous explique aussi pourquoi je pense que c'est de la merde. Je dis pas que j'ai la solution à tout et que j'ai les bonnes pensées, mais je suis toujours ouverte à une remise en question. Là aujourd'hui en fait c'est ce qui me permet d'être assez clair sur pourquoi est-ce que je pense ça. Et très sincèrement, en Suisse, on a quand même la chance, c'est qu'on a des gens qui sont polis, qui vont être ouverts d'esprit, et qui vont nous permettre aussi d'étayer notre pensée, et de ne pas être forcément en train de se slasher à coups de sabre laser, parce qu'on a dit X ou Y. Donc ça, je pense très sincèrement que c'est la force de la Suisse. Ça ne veut pas dire qu'on va être d'accord avec vous et qu'on va vous donner raison à tout bout de champ, mais ça veut juste dire qu'en général, vous avez une idée tranchée, vous expliquez pourquoi, vous êtes pragmatique. Franchement, la personne, si elle n'est pas d'accord en face de vous, elle ne va pas vous démonter. Et ça, c'est ce que j'appelle l'intelligence. Ensuite, évidemment, je viens d'en parler, c'est le regard des autres, le regard de vos proches. Et peut-être aussi, il y a une part de vous qui va se demander, si je gagne plus qu'avant, qu'est-ce qui va se passer ? Rien. Vous allez plus avoir d'argent sur le compte. tant mieux, c'est ce que vous cherchez, vous allez pouvoir arriver à plus d'objectifs. Voilà, c'est ça ce qui va se passer si vous gagnez plus d'argent. Rien d'autre. Maintenant, s'il y a des gens qui commencent à être néfastes avec vous parce que vous gagnez plus d'argent, virez-les de votre vie. Qu'est-ce qu'ils foutaient dans votre vie avant quand vous n'avez pas d'argent ? Virez-les, tout simplement. Enfin, c'est pas compliqué. Il y a un moment donné où soit vous pensez à vous et vous pensez à ce qui est bien pour vous, soit vous pensez aux autres et puis vous jardinez le jardin des autres. Il faut prendre ce genre de décision à un moment donné si vous voulez sortir d'une inaction et puis vraiment aller vers quelque chose qui vous... plaît. Il faut prendre ce genre de décision à un moment donné. Et finalement, si je peux juste un peu résumer cette deuxième partie, vous pouvez pas vouloir être libre et continuer à fuir ce qui est tout le temps inconfortable, c'est-à-dire la gestion de vos finances, c'est-à-dire vos choix, c'est-à-dire vos émotions, votre ambition. Vous pouvez pas fuir ces choses-là et vous dire c'est bon, ça va venir tout seul. À ce moment-là, allez gratter un ticket de loto. Même ça, c'est une action, parce que vous êtes allé jusqu'au tabac et puis vous avez acheté un ticket de loto. Donc vraiment, réfléchissez à ce qui vous met dans l'inconfort, trouver un entre-deux. Pour vous dire, c'est inconfortable, je le comprends, mais c'est par ce par quoi il faut passer pour y arriver. Et inconfort veut pas dire souffrance, en fait. On n'est pas forcément dans la souffrance, on n'est pas forcément en train d'y mettre une partie de notre corps ou d'être démembré ou je sais pas quoi, on n'est pas là-dedans, en fait. La dernière partie, juste avant de conclure, c'est le vrai prix de la liberté, selon moi. En fait, pour moi, la liberté, elle vient avec de la discipline, de la régularité, de la confiance en soi, dans le sens où on a confiance et on a de la foi, en fait, dans ce qu'on fait. On est convaincu que ce qu'on fait, ça va nous aider. Et surtout, on a un certain inconfort assumé. C'est-à-dire qu'il y a une prise de risque, donc typiquement les finances, il y a une prise de risque qui est assumée. On sait qu'elle va nous emmener là où on a envie d'aller par rapport à notre objectif. Je pense très sincèrement qu'avoir la liberté... C'est vraiment... C'est une sorte de compétence, en fait. C'est-à-dire qu'on peut rêver de savoir faire du ski. Pour moi, on peut aussi rêver de savoir ce que c'est la liberté. Déjà parce que, un, on a tous notre propre définition de la liberté. Parce que pour certains, ça va être de voyager en van life et puis d'avoir une activité qui nous rémunère même depuis un bus. Alors que pour d'autres, la liberté, ça va juste être de ne pas avoir de patron, en fait. De peut-être avoir sa villa, je sais pas où, ou sa maison avec ses enfants, etc. Mais plus, de ne pas avoir de patron. Donc, je pense vraiment qu'on doit comprendre que... C'est une compétence à développer et qu'elle s'apprend déjà de un, en créant des systèmes qui vous émancipent, et ça c'est ce que je fais principalement avec mes clients, en osant dire non à des choses qui ne vont pas être dans notre intérêt parce que c'est une personne qui va être non respectueuse, parce que ça va être de l'éparpillement pour son business ou parce que tout simplement en fait ça va nous mettre dans la sauce de manière générale. Ça va être en se libérant du regard des autres parce qu'on a décidé qu'on faisait les choses pour nous et qu'on assumait être qui on est et qu'on fait quelque chose qui va... dans le sens de la mission qu'on s'est donnée. Et puis ça va être en choisissant d'avoir une certaine clarté, d'être assez clair sur ce qu'on veut parce qu'on décide de quitter la zone de flou, parce que la zone de flou ne nous aide en rien dans notre vie. Même quand c'est difficile. Pour clôturer cet épisode, parce que c'est vrai que la partie 4 est très courte parce que c'était un peu tout ce que j'avais à vous dire, j'avais prévu de faire un épisode un petit peu plus court là-dessus. J'aimerais faire des épisodes un petit peu moins longs mais plus passage à l'action. J'aimerais vous poser des questions qui sont un peu plus introspectives en fait. Qu'est-ce que vous refusez d'affronter aujourd'hui par peur de sortir de votre zone de confort ? Est-ce que c'est le fait de devoir être seul ? Est-ce que c'est le fait de ne pas avoir de revenus garantis ? Est-ce que c'est le fait d'être responsable de tout ? Ça franchement je ne pense pas. Moi je pense, parce que c'est l'étude, très honnêtement, je vais me spoiler moi-même. Est-ce que c'est le fait de ne pas avoir de clients, de ne pas pouvoir dire non à certains clients à cause des revenus ? En fait, allez chercher au fin fond de vous, qu'est-ce qui fait que pour vous c'est compliqué pour l'instant de vous lancer ? Et à partir de moi, vous allez identifier ça. Le but, c'est de mettre un plan d'action en place qui va vous permettre de passer au-dessus de ça, d'aller petit à petit. Et là, de nouveau, j'insiste, je l'ai dit dans plusieurs épisodes, c'est pas quelque chose qui se fait du jour au lendemain. C'est peut-être un pas après l'autre, c'est peut-être une petite chose, une mise en place, un peu d'une petite action qui va vous emmener là. Aujourd'hui, si je suis là où j'en suis, il y a une année, je n'en rêvais pas. C'est-à-dire que c'était pas que j'en rêvais pas dans le sens où je sais pas du tout ce que je voulais, c'était plutôt du fait que j'assumais pas peut-être d'aller aussi gros, aussi loin. Aujourd'hui, j'y suis arrivée comment ? En mettant en place des petites actions, petit à petit. La deuxième question que j'ai à vous poser, c'est est-ce que vous voulez vraiment la liberté ou est-ce que vous cherchez un certain confort sans passer par les phases compliquées ? Parce que dans ce cas-là, l'entrepreneuriat, je ne suis pas sûre que ce soit pour vous. Parce qu'il y a tellement de phases d'inconfort qu'à un moment donné, il va falloir choisir et se dire... Vous voyez ce que je veux dire ? Ce dans quoi j'essaie de vous pousser, c'est de vous poser les bonnes questions sur le fait... Pourquoi est-ce qu'en fait aujourd'hui, vous n'avez pas encore la liberté que vous voulez ? C'est vraiment ça, c'était la question que je voulais vous poser. Pourquoi est-ce qu'aujourd'hui, vous n'êtes pas encore sorti des choses ? Souvent, on va... Enfin, c'était un petit peu le persona classique que j'avais au début quand j'ai lancé mon business. C'était, ben voilà, ils savent pas comment trouver des clients, ils savent pas comment structurer, ils savent pas comment lancer un business. J'avais un petit peu ces choses-là. Mais derrière, en fait, tout ça, c'est que oui, certes, il y a une phase de flou sur je ne sais pas comment faire, j'ai besoin de me faire accompagner clairement et c'est là que j'entre en jeu Mais derrière, en fait, à force d'avoir accompagné des gens, j'ai clairement compris qu'il y avait énormément de blocage mental. Moi, je vous dis, je crois que j'ai déjà dit dans un épisode précédent, mais j'étais convaincue que le mindset, c'était des bullshits quand on était entrepreneur. Je me disais, mais c'est bon, moi, je suis hyper carré, je sais où je vais, j'ai pas besoin qu'on me motive, tout ça, tout ça. Et en fait, c'était pas ça, le mindset. C'était plutôt d'identifier ce qui nous bloque à nous développer davantage. Et c'est pour ça, vraiment, que j'ai fait cet épisode. Je me suis dit, vous rêvez de liberté, qu'est-ce qui vous bloque encore à y arriver ? Et je pense très sincèrement que 1. en mettant les choses petit à petit en place, en mettant un petit plan d'action par petit plan d'action, en avançant petit à petit, déjà, un, vous avancez à une vitesse de croisière qui est confortable et qui vous permet de comprendre ce que vous avez envie et ce que vous n'avez pas envie. Deux, vous ne prenez pas beaucoup de risques finalement, parce que c'est des petites choses petit à petit. Et trois, vous avancez avec beaucoup plus de certitude dans ce que vous voulez. C'est-à-dire que j'ai des clients, par exemple, qui sont là, ouais, mais de façon, il faut y aller all-in dès le début, il faut y aller à fond, parce que sinon, il n'y a pas de résultat, et puis il faut faire un max Très sincèrement, je pense que ça dépend le profil entrepreneurial que vous avez. Si vous n'êtes pas dans ce genre-là, vous pouvez avancer plus petit si vous avez envie, vous pouvez avancer plus sereinement. Mais si vous avez le profil all-in, allez-y all-in ! Je ne pense pas qu'il y a une manière de faire qui est mieux que les autres. Je pense très sincèrement que vous devez trouver la manière qui vous va à vous et qui respecte votre rythme et qui va dans ce sens-là. Moi, par exemple, si on me dit « Janice, ralentis » , non. Moi, c'est all-in. Je suis le type d'entrepreneur où c'est all-in. On y va, on avance, on défonce tout, on avance. Cela dit, je ne veux pas m'être... en... Je veux pas mettre au péril les activités de mon entreprise. Je veux pas mettre en péril l'équipe. Je veux pas mettre en péril les clients dans la livraison. Je veux pas mettre tout ça en péril parce que pour moi, c'est important d'avoir la qualité qui sort de ce que je fais. Et je terminerai par une petite phrase qu'un célèbre conseiller a dit. Aussi vite que possible, aussi lentement que nécessaire. Voilà. Si vous avez aimé cet épisode, n'hésitez pas à mettre une petite étoile, à mettre un pouce bleu si vous êtes sur YouTube, à me laisser un commentaire, à m'envoyer un message. Et autrement, moi, je Je vous dis à tout bientôt pour le prochain épisode.

Chapters

  • Introduction à la quête de liberté

    00:00

  • Définir la liberté et ses formes

    02:09

  • Les sacrifices nécessaires pour la liberté

    03:40

  • Les résistances invisibles à la liberté

    09:20

  • Le vrai prix de la liberté

    18:02

Description

Tout le monde veut être libre… mais personne veut être inconfortable.


Tu veux bosser pour toi, mais t’as peur de perdre ton confort.

Tu veux dire non à ce qui t’éteint, mais tu flippes de décevoir.

Tu veux plus d’argent, mais t’oses pas t’exposer, vendre ou investir.


Beaucoup rêvent de liberté, mais évitent l’inconfort qu’elle exige : risques, incertitude, solitude. Dans cet épisode, découvre pourquoi ce refus t’empêche d’avancer.


À écouter, à partager, et à appliquer pour un impact réel sur ta vie et ton business!


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Transcription

  • Speaker #0

    Tout le monde veut être libre, mais peu de personnes sont prêtes à payer le prix de la liberté. C'est une question que je me suis énormément posée parce que je l'ai voulu cette liberté, je l'ai cherchée. Et d'ailleurs, c'était la communication principale que je faisais au tout début, quand j'ai commencé sur les réseaux sociaux avec Coach Ton Business. Je parlais de liberté, je parlais de faire ce que tu veux, je parlais de ne plus avoir de patron, etc. Je parlais de toutes ces choses-là, donc je connais très très bien la question. Et aujourd'hui, je pense que je cherche toujours cette liberté, et je l'ai en partie. Je la cherche moi parce que je l'ai en fait. Je l'ai en grande partie. Ce que je vois par contre de mes clients, ou peut-être beaucoup beaucoup plus de mes prospects, et ceux qui rarement ne travaillent pas avec moi derrière, c'est cette incapacité à ne pas vouloir payer le prix de la liberté, ou en tout cas le prix temporaire à payer pour atteindre cette liberté. Dans cet épisode, mon intention, elle est très très simple. Je pense très sincèrement que la liberté, qu'elle soit financière, temporelle, géographique, mentale, elle vient pas sans inconfort. Il va y avoir de l'incertitude, il va y avoir de la solitude, il va y avoir... de l'exposition, il va y avoir des prises de décision, il va y avoir des risques à prendre. Et souvent, à partir du moment où il y a quelque chose d'inconfortable à faire, la plupart des gens restent attachés à la sécurité émotionnelle, à la sécurité sociale, et principalement, comme vous le savez, je parle de thunes, à la sécurité financière. Et tout ça, ça sabote la recherche de la liberté. Alors ma grande question, et c'est ce qu'on va essayer de répondre dans cet épisode, c'est est-ce que tu veux vraiment être libre, ou est-ce que tu veux de la liberté sans inconfort ? Tout d'abord, bienvenue sur... coach ton budget et business, les podcasts dédiés à la thune, à l'ambition, à la réalisation de ses rêves, mais aussi au marketing et à l'entrepreneuriat en Suisse particulièrement. Je suis Janice, formatrice en marketing et business, mais aussi créatrice de contenu dans la finance personnelle. Dans ce podcast, on parle d'argent pour s'éduquer, apprendre à gérer, comment réaliser nos projets de vie avec. Si tu as une nouvelle ou nouveau, abonne-toi pour ne manquer aucun épisode. Ils sont pépites et très importants. Mets une note à ce podcast si tu l'aimes et puis si tu l'aimes encore plus. Tu peux t'abonner à l'anusateur et tu l'auras dans ta boîte mail directement toutes les semaines. Le podcast est disponible sur YouTube, sur Spotify, sur Apple Music, vraiment partout. Alors n'hésite pas à suivre coach ton budget et business. Allez, c'est parti pour le sujet de la semaine. L'épisode, il va être un petit peu plus court que les précédents parce que je pense que c'est une question à laquelle on peut répondre assez vite. Et de nouveau, je cherche à faire des déclics, c'est-à-dire que je cherche vraiment à faire en sorte que vous repartiez de cet épisode avec un maximum d'envie et de se dire « Ok, Janice, elle a dit ça, moi ça résonne comme ça en moi et ça me permet de faire ça ou de prendre telle et telle décision. » Donc c'est vraiment à ça que cet épisode y sert. On n'est pas là pour se démonter, on n'est pas là pour se faire la morale, on n'est pas là pour dire quoi faire, on n'est pas là pour faire tout ça. On est là pour chercher en soi des réponses qui vont nous permettre de réaliser nos projets de vie. Donc comme vous le savez et vous l'avez vu dans l'introduction, ici on parle de thunes, donc je suis très cash. Ici on est un petit peu moins sur la thune, on va pas parler de chiffres, on va pas parler de ces choses-là. Par contre, c'est clairement pour moi une des bases sur lesquelles il faut travailler si vous cherchez justement un déblocage. Pour ça, je vous invite aussi à écouter l'épisode que j'ai sorti, trois épisodes en arrière, c'était débloquer votre mental pour gagner plus d'argent. C'est aussi un épisode un petit peu comme ça, mais là on était beaucoup plus sur les thunes. Et cet épisode, il est un peu plus là pour vous débloquer, pour vous faire faire avancer dans vos projets de vie. Donc ça peut être l'achat d'une maison, ça peut être devenir entrepreneur, lancer votre business ou sortir de votre salariat, etc. Toutes ces choses-là, vous savez que j'aide les gens à le faire avec Coach Ton Business. Et cet épisode, il va vraiment être là pour vous sortir les pouces du cul une fois de plus. Désolée, c'est un mot que j'ai beaucoup en bouche en ce moment. Mais je me dis, on est encore en début d'année, c'est encore le printemps, tout est là pour fleurir, tout est là pour vous faire avancer. Et en fait, on ne va pas attendre que 2025 soit terminé pour changer les choses et se dire « Non, mais c'est bon, ça, je ferai en 2026. » On va vraiment essayer de faire avancer les choses, ok ? Alors, cet épisode, comme d'hab', je l'ai divisé en quelques parties. Donc la première partie, c'est que j'aimerais parler de la liberté. En fait, qu'est-ce que c'est vraiment la liberté ? Alors, c'est une définition qui m'appartient, mais de nouveau, j'apporte aussi des éléments de contexte qui vous permettent de comprendre pourquoi je la vois comme ça. Ce n'est pas une définition immuable, en fait. De se dire la liberté, Janice elle a dit que c'était comme ça, donc c'est comme ça, non c'est pas du tout, je pense que la liberté c'est chacun qui la décide. Ensuite on va parler des formes de résistance, parce que évidemment c'est joli de vouloir la liberté, mais si on comprend pas pourquoi on n'y arrive pas, il faudrait peut-être un petit peu parler de ces blocages ou de ces choses qui font qu'on n'y arrive pas. Et ensuite on va parler du vrai prix de la liberté, en tout cas j'ai l'impression que c'est un peu moi ce que j'ai payé pour arriver là où j'en suis. Et en fait c'est pas du tout une chose négative, on va pas partir en guerre ou au combat ou des choses comme ça, c'est pas du tout ça. C'est juste vous expliquer que j'ai dû passer par certaines choses pour arriver là où j'en suis. Et aujourd'hui, je ne regrette absolument rien. C'est juste qu'il y a des choses où c'est un peu comme ça, en fait. Ça fait partie du jeu. Donc d'ores et déjà, si vous êtes sur YouTube, je vous invite à mettre un petit pouce si vous aimez cet épisode. Et si vous avez envie de le partager à quelqu'un à qui ça peut aider, faites-le. Parce que c'est comme ça aussi que je fais connaître mon podcast. Si vous avez écouté l'épisode précédent, vous savez que j'ai gagné un titre avec ce podcast. j'en suis très très fière parce que j'essaie du coup que J'instaure des déclics et puis que je vous aide à avancer dans vos projets de vie. Donc mon rôle, c'est vraiment ça, mon but, c'est vraiment ça, c'est de vous aider à avancer avec ce que vous voulez faire. J'en profite aussi pour faire une petite annonce parce que ça fait longtemps que je n'en ai pas parlé et que vous me posez très souvent la question, Janice, comment est-ce qu'on peut travailler avec toi ? Alors fondamentalement, pour tout ce qui est budget, vous avez Coach ton budget, c'est une formation evergreen qui vous permettra de vous remettre à jour au niveau des finances. On n'apprend pas juste à faire un budget, on parle aussi évidemment mindset et comment est-ce qu'on change sa mentalité par rapport à l'argent. Donc ça va en complément de l'épisode dont je vous ai parlé avant. Pour tout ce qui est business, en fait, j'ai deux manières de vous accompagner. La première, c'est objectif 100% dépendant et rentable. Ça, c'est réservé à des gens qui sont beaucoup plus débutants dans l'entrepreneuriat et qui ont besoin de comprendre les bases à mettre en place pour construire un business rentable. Alors, quand je dis débutant, je suis plutôt sur ceux qui sont en dessous d'une année dans l'entrepreneuriat. Donc, ils ont peut-être déjà lancé un projet, ils ont déjà l'idée, ils ont déjà ces choses-là. Ou alors, en fait, vous voulez juste comprendre ce qu'il faut mettre en place. Ça va aussi, si vous êtes débutant complet et que vous n'avez rien du tout mis en place, cette formation, elle est aussi top pour vous. Parce que du coup, j'ai pensé aux deux. J'ai pensé à ceux qui commençaient et à ceux qui avaient déjà quelque chose en place. Et en fait, le gros avantage, c'est que vous avez une communauté dedans. Donc un, vous pouvez me poser des questions, c'est moi qui réponds. Et deux, vous avez des animations au sein de la communauté. Donc à la fois les ateliers solutions où on peut discuter ensemble de vos problématiques business et aussi les ateliers en présentiel pour networker avec d'autres personnes qui sont un peu dans la même situation que vous. donc vous allez dire oui mais des événements networking il y en a plein c'est pas un événement networking, on fait un workshop on fait un atelier solution Et à la fin, on peut discuter. Donc, c'est un peu plus que ça. C'est vraiment pour vous aider à avancer. On est toujours dans une optique de pédagogie, de vous faire comprendre, de vous faire apprendre. Et dans Coach ton business, donc ça, c'est la deuxième solution. Coach ton business, c'est un mentorat consulting qui est réservé aux entrepreneurs qui sont déjà bien lancés, qui ont déjà un business qui fonctionne, mais qui ne comprennent pas comment craquer le truc du marketing, du business, de la finance pour avancer dans leur activité. En général, la typologie de client que j'ai dans Coach ton business, c'est des gens qui sont... déjà dedans dans l'entrepreneuriat depuis peut-être une année, trois ans. Parfois, j'ai des entrepreneurs qui sont dedans depuis 10, 15 ans et qui ne comprennent pas comment est-ce qu'on fait pour avoir la liberté, avoir plus de temps, avoir plus d'argent. Comment est-ce qu'on fait aussi pour attirer plus de clients ? Parce que souvent, ils ont des clients, mais ça ne vient que du bouche à oreille. Donc, ils aimeraient savoir un petit peu comment est-ce qu'on va chercher du client ailleurs. Et ça, c'est vraiment mentorat personnalisé. Donc, vous êtes sur du one-to-one coaching et je vous accompagne pendant six mois. à mettre en place des stratégies pour que votre business puisse vous rémunérer mieux, puisse être plus structuré, puisse être plus organisé, tant au niveau marketing qu'au niveau finance qu'au niveau business. Et ça par contre, j'ai trop de demandes. C'est un one-to-one et j'ai pour intention de le garder comme ça. C'est vraiment plus intéressant pour vous si vous n'avez pas envie d'investir autant d'argent et si vous n'êtes pas prêt d'aller dans 100% indépendant et rentable parce que vous allez avoir accès à moi et à tout ce que je peux vous donner pour débutant. Par contre, si vous avez vraiment envie de changer les choses au niveau entrepreneurial dans votre entreprise, c'est Coach Ton Business. Et Coach Ton Business a aussi des ateliers, on a aussi une animation de communauté à l'interne avec justement des entrepreneurs un poil plus poussés. On n'est pas sur des grosses PME ou des choses comme ça juste pour vous assurer. C'est vraiment plus solopreneur, on a des thérapeutes, on a des coachs sportifs, on a une typologie de personnes aussi, on a beaucoup d'artisans, de personnes qui fabriquent des pièces à la main et qui ont besoin de comprendre comment est-ce qu'on va chercher des clients. J'ai toute une ribambelle de clients différents et c'est pour vous dire que je vous accompagne, qu'importe votre business, tant que vous êtes à peu près dans cet état-là et que vous avez besoin du coup de pouce pour passer à la vitesse supérieure. Voilà, passons maintenant à l'épisode, j'ai assez parlé de Coach Ton Business, si vous avez des questions, n'hésitez pas à me contacter. Et puis si vous voulez rejoindre Coach Ton Business, sur la page Coach Ton Business, il y a un formulaire en fait qui va vous poser quelques questions sur votre business et qui va vous qualifier du coup à l'appel découverte avec moi, qui a lieu une fois par mois à la fin du mois. pour venir y rejoindre. Au moment où j'enregistre cet épisode, les prochaines places disponibles, c'est pour juillet. Ça veut dire que j'ai environ trois mois d'attente pour rejoindre le programme. J'ai un certain nombre de places, c'est très limité par mois. On a entre cinq et six places au grand maximum par mois. Et il y a aussi beaucoup de gens qui attendent en fait de rejoindre, mais qui n'ont juste pas validé leur inscription. Donc vraiment, si vous voulez travailler avec moi, remplissez le formulaire, envoyez-moi peut-être un message si vous êtes vraiment ultra motivé. Remplissez le formulaire, faites l'appel découverte et puis après, vous pourrez rejoindre Coach Ton Business si tout va bien si... Le fit est mutuel si on voit qu'on peut travailler ensemble, évidemment. Alors, la partie 1 dans laquelle j'aimerais vous expliquer que, pour moi, la liberté, pour y arriver, c'est pas le confort, en fait. Une fois qu'on l'a, on atteint un certain niveau de confort, mais je pense que c'est parce qu'on a été habitué à sortir de nos zones de confort, et que du coup, le confort est un peu plus vaste, parce qu'il est moins minimisé, parce qu'on a plus de proportions à prendre des risques et à être dans des situations inconfortables, si vous me suivez dans ce que je veux dire. En fait, je vais vous expliquer un truc. Sur les réseaux sociaux, on va vous vendre qu'être à votre compte, c'est génial, c'est chill, il y a la flexibilité, c'est le kiff total, machin. On va vous vendre toutes ces choses-là. Dans un sens, je suis d'accord, parce que depuis que je suis mon propre patron, et maintenant encore plus que j'ai des employés, etc. La liberté, elle serait très restreinte par rapport à l'année dernière, par exemple. Mais il y a quand même encore beaucoup, beaucoup de liberté que je peux me permettre parce que je prends, moi, des décisions. Mais ça va impliquer, pour vous, que vous vous mettiez dans des situations où c'est clairement inconfortable. Parce que vous allez devoir peut-être prendre des décisions seules, parce que vous allez devoir ne pas gagner l'argent que vous gagnez avant, parce que vous allez devoir être responsable de tout, parce que vous allez devoir dire non à certaines choses et pas savoir si c'est le bon non. Et puis parce que, parfois, si vous voulez faire des réseaux sociaux, par exemple, si vous voulez faire des choses un petit peu différentes, vous allez peut-être être exposé. Et ça, c'est ce qui vous expose aussi à une certaine vulnérabilité, à certaines opinions, etc. Donc, ce que j'essaie de vous expliquer, c'est que la liberté, pour moi, elle s'obtient après avoir pris un certain nombre de risques qui va vous emmener vers ça. Donc, je vais vous donner un petit exemple, parce que dans ce que je vous ai cité là, il y avait décider seul, donc le fait de devoir prendre des décisions sans avoir quelqu'un qui vous valide cette décision. Il va y avoir l'histoire de la thune, comme d'habitude. il va y avoir la responsabilité et il va y avoir le fait de dire non. Maintenant être exposé, je vais vous mettre ça de côté parce que je sais très bien que ceux qui m'écoutent ne sont pas forcément exposés sur les réseaux sociaux. Donc je peux peut-être vous en parler mais voilà. Alors la première chose c'est décider seul. En fait il y a beaucoup de gens qui sont incapables de décider seul. Je le vois aussi auprès de mes clients, c'est que quand ils font quelque chose, ils ont sans arrêt besoin de mon approuval, de dire est-ce que Janice a pensé que c'était bien pour que je puisse continuer. Je vais vous dire une chose, c'est que je pense que si vous n'êtes pas capable de décider seul, Vous ne serez pas capable de vous amener vers une forme de liberté parce que vous n'aurez jamais le culot de prendre une décision qui va peut-être vous faire prendre des risques. Et ça, c'est vraiment un truc à travailler. Mais la chose à laquelle j'aimerais le plus parler dans cette partie 2, c'est le fait de ne pas avoir de revenu garanti. Alors, comme vous savez, objectif 100% indépendant et rentable, on se dit, quand on sort, on est rentable, et puis on est 100% lancé, puis on a quitté notre salariat. Ce n'est pas la promesse de ma formation. La promesse de cette formation, c'est que vous sortiez de là avec tous les outils. pour comprendre comment ça fonctionne, un business rentable, et puis pour commencer à construire le vôtre. Dans Coach Ton Business, on peut complètement voir les choses différemment, parce que normalement, si vous avez appliqué tout ce que je vous ai dit dans la formation, je ne vois pas comment vous ne pouvez pas vous régénérer un revenu confortable. À part si vous faites de la merde, franchement, je ne vois pas comment vous devez encore garder votre salariat. Par contre, ce qu'on peut analyser par rapport à ça, c'est une chose très intéressante. J'ai encore des clients qui sont salariés, pour plusieurs raisons. La première des raisons, ça va être que... Ils ont envie de garder leur job à côté. Ils n'ont pas envie d'être 100% entrepreneurs. C'est un petit kiff, ils apprennent, ils aiment faire des petites séances à côté, mais en fait, ils ont une réelle passion pour leur métier de base et ils n'ont pas envie de quitter ça. La deuxième des raisons, c'est la peur de manquer de revenus garantis. C'est-à-dire que la plupart de mes clients, ils disent « Ouais, mais là, tu vois, j'ai ça comme revenu qui rentre, et puis voilà, c'est confortable, j'ai des enfants, j'ai une hypothèque, etc. » À un moment donné, quand votre activité, elle tourne, quand vous faites un certain chiffre d'affaires par mois, et que vous avez clairement dans votre agenda de la place pour prendre plus de clients, et que vous avez plus de clients qui arrivent parce que vous avez mis des stratégies à jour, mais que vous refusez de quitter votre salariat parce que c'est le vide, et que tout d'un coup vous allez vous retrouver sans revenus, alors qu'il y a des clients qui veulent potentiellement prendre ces places pour travailler avec vous, là vous manquez clairement de pragmatisme pour prendre le choix de quitter, prendre le risque de quitter, de partir, et de faire votre vie dans l'entrepreneuriat. Et ça je vois énormément de gens qui sont bloqués à ce stade-là. clairement, ils pourraient développer leur activité, ils pourraient passer à la vitesse supérieure et puis faire ça à 100%, mais non, il y a le revenu à côté, garanti, qui fait qu'ils ne bougent pas de leur situation. Alors je comprends, quand on a des enfants, quand on a une dette, etc., la situation, elle est beaucoup plus risquée, et ça, je remets pas ça en question. Je dis juste qu'à un moment donné, si vous voulez vraiment cette liberté-là, vous allez devoir réfléchir en termes de risques. Et très sincèrement, si votre agenda est déjà rempli là, si vous avez déjà assez de clients, Si votre activité, si vous faites bien votre job, si vous avez du talent dans ce que vous faites et que justement votre agenda il est plein, qu'est-ce qui vous retient sincèrement d'ouvrir le reste de votre agenda, de quitter le salariat et de commencer à étendre votre activité ? Et après justement, les gens comme moi, on vous aide à développer aussi un écosystème, c'est-à-dire que vous n'allez pas faire qu'une chose, vous allez avoir plusieurs activités, mais qui vont pouvoir vous permettre de vous rémunérer de manière passive, je mets passive entre guillemets. Et du coup, d'avoir une activité qui est plus confortable, c'est-à-dire de construire une entreprise qui vous rémunère. Et pas juste une petite activité de freelance, coucou, ah, yo, je fais un petit peu de massage et puis je me fais des thunes un peu par-ci et par-là. On construit une vraie entreprise qui vous rémunère, qui vous rend confortable et qui vous enlève de la tête cette idée de, il me faut un revenu garanti chaque mois. La raison aussi à ça, c'est souvent qu'on manque de compréhension par rapport aux finances de l'entreprise, de la trésorerie. On n'est pas capable de gérer son argent correctement. Et là, je vous envoie aux épisodes précédents parce que j'en ai parlé en large et en travers. Et du coup, on a toujours cette insécurité financière. On n'ose pas quitter son travail, on n'ose pas aller de l'avant. Et la liberté, du coup, on l'a qu'à moitié. Ensuite, je dirais que ça pose problème à certaines personnes. Moi, je l'ai un peu ressenti dans le sens où être responsable de tout. Dans votre boîte, vous allez être responsable de la moindre connerie que vous faites. Vous allez être responsable de vos clients, vous allez être responsable de ce que vous délivrez, vous allez être responsable de l'image que vous renvoyez. Et ça, c'est aussi une situation qui peut être inconfortable pour certaines personnes qui ont peur de prendre des responsabilités. Alors, ce que j'aurais à vous dire là-dessus, c'est qu'à partir du moment où vous faites du mieux que vous pouvez et que vous mettez en place les bonnes solutions, normalement, la responsabilité, elle est naturelle et elle va de soi. Et je parle pas d'avoir une assurance responsabilité civile parce que ça, vous êtes obligés, mais c'est au moins d'avoir compris que votre activité, elle est bien déroulée, vous accompagnez bien vos clients, vous faites bien votre tâche, vous livrez. les bons produits à la maison, etc. Et ça, ça va faire en sorte que normalement, votre responsabilité, vous la tenez, vous êtes quelqu'un de responsable. Donc c'est normal. Et ensuite, la dernière chose dans laquelle j'aimerais vous parler, de devoir dire non. Je vais vous donner l'exemple de ma cliente, du coup, qui n'a pas osé dire non à un client. Pourquoi ? Pour deux raisons. Parce que, un, elle avait peur de ne pas avoir assez d'argent. Et deux, parce qu'elle s'est dit, ça va me faire travailler, ça va m'apporter du travail à faire. Sur ces deux éléments-là, je suis d'accord à moitié sur ce qu'elle a fait. Dans le sens où, avoir de l'expérience et devoir travailler avec quelqu'un qui est peut-être un petit peu pénible, qui va peut-être pas être la meilleure des choses. Je pense que, sur certaines bases, c'est une bonne chose à faire parce que, justement, on va sortir de sa zone de confort, on va être avec quelqu'un qui n'est pas forcément le client le plus facile et je pense qu'on va en prendre vraiment de la graine pour savoir qui on ne veut plus à l'avenir. Dans un sens, je trouve ça bien. Et dans l'autre, si on parle de thunes, devoir souffrir pour gagner son argent, ça c'est pas l'entrepreneuriat en fait. Pour moi je vous parle d'inconfort, mais l'inconfort c'est pas forcément souffrir pour moi, devoir prendre un client à cause de l'argent, alors que ma cliente en l'occurrence, elle a un revenu à côté donc elle aurait même pas besoin de le faire je pense que c'est pas viable on ne doit pas faire ça, en fait on va avoir un client pénible qui va nous dégoûter de l'activité qui va nous dégoûter parce qu'il va vouloir on lui a donné la main, il va vouloir le bras et il va vouloir l'épaule après, ça va nous dégoûter de l'activité. Donc dans un sens, je ne pense pas que... Il y a de l'inconfort à prendre partout et il n'y a surtout pas d'inconfort à prendre à cause de l'argent. L'argent, si vous acceptez les choses à cause de lui, ça va vous rendre vulnérable, ça va vous rendre vraiment à fleur de peau, ça va vous dégoûter parce que vous ne vous sentirez peut-être pas rémunéré à votre juste valeur, parce que vous aurez quelqu'un qui n'est vraiment pas respectueux, qui ne va pas voir la valeur ajoutée que vous apportez en travaillant avec lui. Pour moi, c'est vraiment la mauvaise phase d'approche de l'inconfort, si vous voyez ce que je veux dire. Et enfin, Je vous ai parlé d'être exposé parce que ça, clairement, si vous voulez être sur les réseaux sociaux, si vous voulez déployer votre activité à grande échelle et que vous voulez vraiment être connu, etc. Effectivement, passer par un profil comme le mien où vous allez avoir une communauté des gens qui vous connaissent, qui vous reconnaissent dans la rue. Être exposé, ça fait partie de l'inconfort. C'est-à-dire que si vous aimez avoir votre petite tranquillité et que vous n'aimez pas qu'on vous reconnaisse, que vous aimez avoir rien, pas d'informations à votre sujet sur les réseaux sociaux ou sur Internet ou sur la barre de recherche, être entrepreneur, ce n'est pas ça. En fait, à part si vous faites une SA et que vous dirigez une compagnie dans l'ombre, c'est pas ça être entrepreneur. Vous allez devoir être un minimum exposé, c'est-à-dire que quand on cherche votre nom, prénom, il y a votre société qui apparaît, il y a peut-être vos activités, il y a peut-être des articles de presse, et ça c'est ce qui va faire en sorte que la confiance est obtenue auprès de vos clients en fait, parce qu'ils vont voir que vous êtes quelqu'un de vrai, que vous faites des choses, donc au bout d'un moment, vous allez devoir être exposé. Bon, on va passer à la partie 3, c'est les formes de résistance qu'on voit pas et qui vous empêchent en fait d'être libre sans que vous vous en rendez compte. Donc... Comme je vous le disais, beaucoup de gens veulent être libres, peut-être vous qui m'écoutez, mais il y en a beaucoup qui vivent encore comme s'il y avait un patron quelque part invisible. Et le patron, souvent, c'est eux. J'aimerais apporter peut-être deux manières de voir les choses. Il y a tout ce qui est autosabotage qui est plutôt discret, et il y a plutôt tout ce qui est attachement inconscient à des choses qui vous empêchent d'avancer, qui vous empêchent d'aller de l'avant. Alors, dans tout ce qui est autosabotage, évidemment, il y a la procrastination, le fait que vous ne bougez pas votre cul et que vous se dites là... mignon Il y a la recherche constante d'un cadre. Par exemple, moi, j'ai beaucoup de clients qui veulent bosser avec moi parce que je veux leur apporter un cadre. Moi, j'essaye aussi de les autonomiser, de leur dire « Ok, je te mets le plan d'action, on va faire le plan d'action, mais ça, c'est toi qui fais en fait. Moi, je ne vais pas derrière être là tout le temps à te dire quoi faire, à te dire c'est bien, continue, petite tape sur l'épaule, parce qu'en fait, ça ne va pas t'aider à développer ton activité indépendante derrière. Si tu ne sais pas faire les choses tout seul, si tu ne sais pas aller chercher de l'aide, si tu ne sais pas développer des choses, ça ne va pas le faire. Ensuite, le truc suivant, c'est l'attente de validation de la part d'un mentor, de la part de la communauté, de la part des clients. Ça aussi, en fait, si vous êtes tout le temps en train d'attendre la validation des gens, vous n'allez rien faire. Je vois souvent, Cindy, avec qui j'avais fait l'épisode, elle me raconte souvent que les clients attendent la validation avant, pour x ou y raison. Voilà, alors je ne pense pas qu'ils attendent sa validation à elle de poster, mais je pense que ça peut être le cas. En fait, parfois, on me poste un truc et on se dit est-ce qu'elle va me dire que c'est bien ou non ? Et on va attendre qu'elle me dise que c'est bien pour poster. Ça peut être un exemple. Très honnêtement, si vous attendez tout le temps la validation, vous n'allez pas avancer. Et je pense que c'est ça qui fait que je suis aussi rapide dans ce que je fais, J'attends pas qu'on me dise « Janice, c'est bien, bravo, bravo, félicitations » . J'attends pas. Je fais, j'avance. et c'est ça qui fait que je suis rapide. Et ensuite, ce qui se passe aussi, c'est qu'on va reproduire ce qui se passe dans le salariat dans son business. Donc comment est-ce qu'on peut imaginer ça ? Typiquement le fait que dans la première année, non mais moi à 17h j'arrête, j'ai terminé. À un moment donné, s'il faut donner un petit coup de boost et travailler un petit peu plus parce qu'il y a un lancement ou parce que si il y a ça, il va falloir le faire messieurs-dames. On ne va pas fermer son ordinateur à 17h. S'il y a une deadline à boucler parce qu'un client a demandé une requête très spéciale, à un moment donné, il faut le faire, point barre, c'est comme ça. Ensuite, il y a aussi tout ce qui est attachement inconscient, et ça je pense que c'est mon Le moment préféré de cet épisode, c'est tout ce à quoi vous vous attachez qui vous empêche d'aller de l'avant. Alors la première chose si on parle de thunes, c'est l'attachement à tout ce qui est fixe. Ouais mais là tu vois j'ai mes 5000 balles par mois puis je suis contente. Non en fait oui mon activité ça va super bien mais bon j'ai un peu peur que voilà j'arrive pas à ça. Moi j'entends ça, ça me tue en fait. Je vais vous dire un truc c'est que quand j'étais salariée, je gagnais moins de 10 000 francs par mois. Mais j'étais quasiment, j'ai déjà un très bon salaire. Aujourd'hui mon entreprise elle génère trois fois ça par mois. Trois fois ça. Ça veut dire que là maintenant j'ai une équipe, mais cette équipe ne travaille pas à 100%, donc on ne va pas dire que je lâche 100% des salaires dans une équipe. J'ai une très bonne marge en fait, ce qui fait que je gagne beaucoup plus d'argent qu'avant. Le temps que ça s'installe, le temps que ce revenu récurrent s'installe et me permettre de gagner trois fois ce que je gagnais avant, il a fallu du temps, de l'inconfort, de passer par des mois où j'ai gagné bien moins que ce que je gagnais avant. Il a fallu ça. Il a fallu passer aussi par des décisions à prendre. Est-ce que je prends ce gros mandat qui va m'apporter énormément d'argent, mais qui va aussi me prendre énormément de temps ? est-ce que je refuse, est-ce que j'arrête l'éparpillement et est-ce que je me focalise justement sur ça pour tout miser sur ce que je veux faire il y a eu des questions un petit peu comme ça ensuite un des gros freins je pense que c'est l'approbation familiale ou familiale ou l'entourage la peur de faire ça, de se montrer sur les réseaux d'avancer machin, putain ça ça me sort par les trous de nez, en fait bloquez-les bloquez-les et avancez tout seul faites votre truc dans l'ombre jusqu'à que vous sortiez de votre cabane et que vous soyez un papillon il a fait tout ça machin et là à ce moment là on vous dira putain bien joué ouais Merci. Voilà. Dans le même registre, il y a aussi la peur de déplaire. Moi, je l'ai beaucoup eu au début en mode « Ouais, mais là, si je dis ça de travers, ça va frustrer ces gens-là » . Aujourd'hui, on est à la foutre, en fait. Je veux dire, je parle comme ça. C'est aussi comme ça que vous aimez les choses, que je sois cash, que je sois précise dans ce que je dis parce que pour moi, ça, c'est de la merde à cause de ça et ça. Je vous explique aussi pourquoi je pense que c'est de la merde. Je dis pas que j'ai la solution à tout et que j'ai les bonnes pensées, mais je suis toujours ouverte à une remise en question. Là aujourd'hui en fait c'est ce qui me permet d'être assez clair sur pourquoi est-ce que je pense ça. Et très sincèrement, en Suisse, on a quand même la chance, c'est qu'on a des gens qui sont polis, qui vont être ouverts d'esprit, et qui vont nous permettre aussi d'étayer notre pensée, et de ne pas être forcément en train de se slasher à coups de sabre laser, parce qu'on a dit X ou Y. Donc ça, je pense très sincèrement que c'est la force de la Suisse. Ça ne veut pas dire qu'on va être d'accord avec vous et qu'on va vous donner raison à tout bout de champ, mais ça veut juste dire qu'en général, vous avez une idée tranchée, vous expliquez pourquoi, vous êtes pragmatique. Franchement, la personne, si elle n'est pas d'accord en face de vous, elle ne va pas vous démonter. Et ça, c'est ce que j'appelle l'intelligence. Ensuite, évidemment, je viens d'en parler, c'est le regard des autres, le regard de vos proches. Et peut-être aussi, il y a une part de vous qui va se demander, si je gagne plus qu'avant, qu'est-ce qui va se passer ? Rien. Vous allez plus avoir d'argent sur le compte. tant mieux, c'est ce que vous cherchez, vous allez pouvoir arriver à plus d'objectifs. Voilà, c'est ça ce qui va se passer si vous gagnez plus d'argent. Rien d'autre. Maintenant, s'il y a des gens qui commencent à être néfastes avec vous parce que vous gagnez plus d'argent, virez-les de votre vie. Qu'est-ce qu'ils foutaient dans votre vie avant quand vous n'avez pas d'argent ? Virez-les, tout simplement. Enfin, c'est pas compliqué. Il y a un moment donné où soit vous pensez à vous et vous pensez à ce qui est bien pour vous, soit vous pensez aux autres et puis vous jardinez le jardin des autres. Il faut prendre ce genre de décision à un moment donné si vous voulez sortir d'une inaction et puis vraiment aller vers quelque chose qui vous... plaît. Il faut prendre ce genre de décision à un moment donné. Et finalement, si je peux juste un peu résumer cette deuxième partie, vous pouvez pas vouloir être libre et continuer à fuir ce qui est tout le temps inconfortable, c'est-à-dire la gestion de vos finances, c'est-à-dire vos choix, c'est-à-dire vos émotions, votre ambition. Vous pouvez pas fuir ces choses-là et vous dire c'est bon, ça va venir tout seul. À ce moment-là, allez gratter un ticket de loto. Même ça, c'est une action, parce que vous êtes allé jusqu'au tabac et puis vous avez acheté un ticket de loto. Donc vraiment, réfléchissez à ce qui vous met dans l'inconfort, trouver un entre-deux. Pour vous dire, c'est inconfortable, je le comprends, mais c'est par ce par quoi il faut passer pour y arriver. Et inconfort veut pas dire souffrance, en fait. On n'est pas forcément dans la souffrance, on n'est pas forcément en train d'y mettre une partie de notre corps ou d'être démembré ou je sais pas quoi, on n'est pas là-dedans, en fait. La dernière partie, juste avant de conclure, c'est le vrai prix de la liberté, selon moi. En fait, pour moi, la liberté, elle vient avec de la discipline, de la régularité, de la confiance en soi, dans le sens où on a confiance et on a de la foi, en fait, dans ce qu'on fait. On est convaincu que ce qu'on fait, ça va nous aider. Et surtout, on a un certain inconfort assumé. C'est-à-dire qu'il y a une prise de risque, donc typiquement les finances, il y a une prise de risque qui est assumée. On sait qu'elle va nous emmener là où on a envie d'aller par rapport à notre objectif. Je pense très sincèrement qu'avoir la liberté... C'est vraiment... C'est une sorte de compétence, en fait. C'est-à-dire qu'on peut rêver de savoir faire du ski. Pour moi, on peut aussi rêver de savoir ce que c'est la liberté. Déjà parce que, un, on a tous notre propre définition de la liberté. Parce que pour certains, ça va être de voyager en van life et puis d'avoir une activité qui nous rémunère même depuis un bus. Alors que pour d'autres, la liberté, ça va juste être de ne pas avoir de patron, en fait. De peut-être avoir sa villa, je sais pas où, ou sa maison avec ses enfants, etc. Mais plus, de ne pas avoir de patron. Donc, je pense vraiment qu'on doit comprendre que... C'est une compétence à développer et qu'elle s'apprend déjà de un, en créant des systèmes qui vous émancipent, et ça c'est ce que je fais principalement avec mes clients, en osant dire non à des choses qui ne vont pas être dans notre intérêt parce que c'est une personne qui va être non respectueuse, parce que ça va être de l'éparpillement pour son business ou parce que tout simplement en fait ça va nous mettre dans la sauce de manière générale. Ça va être en se libérant du regard des autres parce qu'on a décidé qu'on faisait les choses pour nous et qu'on assumait être qui on est et qu'on fait quelque chose qui va... dans le sens de la mission qu'on s'est donnée. Et puis ça va être en choisissant d'avoir une certaine clarté, d'être assez clair sur ce qu'on veut parce qu'on décide de quitter la zone de flou, parce que la zone de flou ne nous aide en rien dans notre vie. Même quand c'est difficile. Pour clôturer cet épisode, parce que c'est vrai que la partie 4 est très courte parce que c'était un peu tout ce que j'avais à vous dire, j'avais prévu de faire un épisode un petit peu plus court là-dessus. J'aimerais faire des épisodes un petit peu moins longs mais plus passage à l'action. J'aimerais vous poser des questions qui sont un peu plus introspectives en fait. Qu'est-ce que vous refusez d'affronter aujourd'hui par peur de sortir de votre zone de confort ? Est-ce que c'est le fait de devoir être seul ? Est-ce que c'est le fait de ne pas avoir de revenus garantis ? Est-ce que c'est le fait d'être responsable de tout ? Ça franchement je ne pense pas. Moi je pense, parce que c'est l'étude, très honnêtement, je vais me spoiler moi-même. Est-ce que c'est le fait de ne pas avoir de clients, de ne pas pouvoir dire non à certains clients à cause des revenus ? En fait, allez chercher au fin fond de vous, qu'est-ce qui fait que pour vous c'est compliqué pour l'instant de vous lancer ? Et à partir de moi, vous allez identifier ça. Le but, c'est de mettre un plan d'action en place qui va vous permettre de passer au-dessus de ça, d'aller petit à petit. Et là, de nouveau, j'insiste, je l'ai dit dans plusieurs épisodes, c'est pas quelque chose qui se fait du jour au lendemain. C'est peut-être un pas après l'autre, c'est peut-être une petite chose, une mise en place, un peu d'une petite action qui va vous emmener là. Aujourd'hui, si je suis là où j'en suis, il y a une année, je n'en rêvais pas. C'est-à-dire que c'était pas que j'en rêvais pas dans le sens où je sais pas du tout ce que je voulais, c'était plutôt du fait que j'assumais pas peut-être d'aller aussi gros, aussi loin. Aujourd'hui, j'y suis arrivée comment ? En mettant en place des petites actions, petit à petit. La deuxième question que j'ai à vous poser, c'est est-ce que vous voulez vraiment la liberté ou est-ce que vous cherchez un certain confort sans passer par les phases compliquées ? Parce que dans ce cas-là, l'entrepreneuriat, je ne suis pas sûre que ce soit pour vous. Parce qu'il y a tellement de phases d'inconfort qu'à un moment donné, il va falloir choisir et se dire... Vous voyez ce que je veux dire ? Ce dans quoi j'essaie de vous pousser, c'est de vous poser les bonnes questions sur le fait... Pourquoi est-ce qu'en fait aujourd'hui, vous n'avez pas encore la liberté que vous voulez ? C'est vraiment ça, c'était la question que je voulais vous poser. Pourquoi est-ce qu'aujourd'hui, vous n'êtes pas encore sorti des choses ? Souvent, on va... Enfin, c'était un petit peu le persona classique que j'avais au début quand j'ai lancé mon business. C'était, ben voilà, ils savent pas comment trouver des clients, ils savent pas comment structurer, ils savent pas comment lancer un business. J'avais un petit peu ces choses-là. Mais derrière, en fait, tout ça, c'est que oui, certes, il y a une phase de flou sur je ne sais pas comment faire, j'ai besoin de me faire accompagner clairement et c'est là que j'entre en jeu Mais derrière, en fait, à force d'avoir accompagné des gens, j'ai clairement compris qu'il y avait énormément de blocage mental. Moi, je vous dis, je crois que j'ai déjà dit dans un épisode précédent, mais j'étais convaincue que le mindset, c'était des bullshits quand on était entrepreneur. Je me disais, mais c'est bon, moi, je suis hyper carré, je sais où je vais, j'ai pas besoin qu'on me motive, tout ça, tout ça. Et en fait, c'était pas ça, le mindset. C'était plutôt d'identifier ce qui nous bloque à nous développer davantage. Et c'est pour ça, vraiment, que j'ai fait cet épisode. Je me suis dit, vous rêvez de liberté, qu'est-ce qui vous bloque encore à y arriver ? Et je pense très sincèrement que 1. en mettant les choses petit à petit en place, en mettant un petit plan d'action par petit plan d'action, en avançant petit à petit, déjà, un, vous avancez à une vitesse de croisière qui est confortable et qui vous permet de comprendre ce que vous avez envie et ce que vous n'avez pas envie. Deux, vous ne prenez pas beaucoup de risques finalement, parce que c'est des petites choses petit à petit. Et trois, vous avancez avec beaucoup plus de certitude dans ce que vous voulez. C'est-à-dire que j'ai des clients, par exemple, qui sont là, ouais, mais de façon, il faut y aller all-in dès le début, il faut y aller à fond, parce que sinon, il n'y a pas de résultat, et puis il faut faire un max Très sincèrement, je pense que ça dépend le profil entrepreneurial que vous avez. Si vous n'êtes pas dans ce genre-là, vous pouvez avancer plus petit si vous avez envie, vous pouvez avancer plus sereinement. Mais si vous avez le profil all-in, allez-y all-in ! Je ne pense pas qu'il y a une manière de faire qui est mieux que les autres. Je pense très sincèrement que vous devez trouver la manière qui vous va à vous et qui respecte votre rythme et qui va dans ce sens-là. Moi, par exemple, si on me dit « Janice, ralentis » , non. Moi, c'est all-in. Je suis le type d'entrepreneur où c'est all-in. On y va, on avance, on défonce tout, on avance. Cela dit, je ne veux pas m'être... en... Je veux pas mettre au péril les activités de mon entreprise. Je veux pas mettre en péril l'équipe. Je veux pas mettre en péril les clients dans la livraison. Je veux pas mettre tout ça en péril parce que pour moi, c'est important d'avoir la qualité qui sort de ce que je fais. Et je terminerai par une petite phrase qu'un célèbre conseiller a dit. Aussi vite que possible, aussi lentement que nécessaire. Voilà. Si vous avez aimé cet épisode, n'hésitez pas à mettre une petite étoile, à mettre un pouce bleu si vous êtes sur YouTube, à me laisser un commentaire, à m'envoyer un message. Et autrement, moi, je Je vous dis à tout bientôt pour le prochain épisode.

Chapters

  • Introduction à la quête de liberté

    00:00

  • Définir la liberté et ses formes

    02:09

  • Les sacrifices nécessaires pour la liberté

    03:40

  • Les résistances invisibles à la liberté

    09:20

  • Le vrai prix de la liberté

    18:02

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Description

Tout le monde veut être libre… mais personne veut être inconfortable.


Tu veux bosser pour toi, mais t’as peur de perdre ton confort.

Tu veux dire non à ce qui t’éteint, mais tu flippes de décevoir.

Tu veux plus d’argent, mais t’oses pas t’exposer, vendre ou investir.


Beaucoup rêvent de liberté, mais évitent l’inconfort qu’elle exige : risques, incertitude, solitude. Dans cet épisode, découvre pourquoi ce refus t’empêche d’avancer.


À écouter, à partager, et à appliquer pour un impact réel sur ta vie et ton business!


On travaille ensemble? C'est par ici https://www.ctbconsulting.ch/

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Transcription

  • Speaker #0

    Tout le monde veut être libre, mais peu de personnes sont prêtes à payer le prix de la liberté. C'est une question que je me suis énormément posée parce que je l'ai voulu cette liberté, je l'ai cherchée. Et d'ailleurs, c'était la communication principale que je faisais au tout début, quand j'ai commencé sur les réseaux sociaux avec Coach Ton Business. Je parlais de liberté, je parlais de faire ce que tu veux, je parlais de ne plus avoir de patron, etc. Je parlais de toutes ces choses-là, donc je connais très très bien la question. Et aujourd'hui, je pense que je cherche toujours cette liberté, et je l'ai en partie. Je la cherche moi parce que je l'ai en fait. Je l'ai en grande partie. Ce que je vois par contre de mes clients, ou peut-être beaucoup beaucoup plus de mes prospects, et ceux qui rarement ne travaillent pas avec moi derrière, c'est cette incapacité à ne pas vouloir payer le prix de la liberté, ou en tout cas le prix temporaire à payer pour atteindre cette liberté. Dans cet épisode, mon intention, elle est très très simple. Je pense très sincèrement que la liberté, qu'elle soit financière, temporelle, géographique, mentale, elle vient pas sans inconfort. Il va y avoir de l'incertitude, il va y avoir de la solitude, il va y avoir... de l'exposition, il va y avoir des prises de décision, il va y avoir des risques à prendre. Et souvent, à partir du moment où il y a quelque chose d'inconfortable à faire, la plupart des gens restent attachés à la sécurité émotionnelle, à la sécurité sociale, et principalement, comme vous le savez, je parle de thunes, à la sécurité financière. Et tout ça, ça sabote la recherche de la liberté. Alors ma grande question, et c'est ce qu'on va essayer de répondre dans cet épisode, c'est est-ce que tu veux vraiment être libre, ou est-ce que tu veux de la liberté sans inconfort ? Tout d'abord, bienvenue sur... coach ton budget et business, les podcasts dédiés à la thune, à l'ambition, à la réalisation de ses rêves, mais aussi au marketing et à l'entrepreneuriat en Suisse particulièrement. Je suis Janice, formatrice en marketing et business, mais aussi créatrice de contenu dans la finance personnelle. Dans ce podcast, on parle d'argent pour s'éduquer, apprendre à gérer, comment réaliser nos projets de vie avec. Si tu as une nouvelle ou nouveau, abonne-toi pour ne manquer aucun épisode. Ils sont pépites et très importants. Mets une note à ce podcast si tu l'aimes et puis si tu l'aimes encore plus. Tu peux t'abonner à l'anusateur et tu l'auras dans ta boîte mail directement toutes les semaines. Le podcast est disponible sur YouTube, sur Spotify, sur Apple Music, vraiment partout. Alors n'hésite pas à suivre coach ton budget et business. Allez, c'est parti pour le sujet de la semaine. L'épisode, il va être un petit peu plus court que les précédents parce que je pense que c'est une question à laquelle on peut répondre assez vite. Et de nouveau, je cherche à faire des déclics, c'est-à-dire que je cherche vraiment à faire en sorte que vous repartiez de cet épisode avec un maximum d'envie et de se dire « Ok, Janice, elle a dit ça, moi ça résonne comme ça en moi et ça me permet de faire ça ou de prendre telle et telle décision. » Donc c'est vraiment à ça que cet épisode y sert. On n'est pas là pour se démonter, on n'est pas là pour se faire la morale, on n'est pas là pour dire quoi faire, on n'est pas là pour faire tout ça. On est là pour chercher en soi des réponses qui vont nous permettre de réaliser nos projets de vie. Donc comme vous le savez et vous l'avez vu dans l'introduction, ici on parle de thunes, donc je suis très cash. Ici on est un petit peu moins sur la thune, on va pas parler de chiffres, on va pas parler de ces choses-là. Par contre, c'est clairement pour moi une des bases sur lesquelles il faut travailler si vous cherchez justement un déblocage. Pour ça, je vous invite aussi à écouter l'épisode que j'ai sorti, trois épisodes en arrière, c'était débloquer votre mental pour gagner plus d'argent. C'est aussi un épisode un petit peu comme ça, mais là on était beaucoup plus sur les thunes. Et cet épisode, il est un peu plus là pour vous débloquer, pour vous faire faire avancer dans vos projets de vie. Donc ça peut être l'achat d'une maison, ça peut être devenir entrepreneur, lancer votre business ou sortir de votre salariat, etc. Toutes ces choses-là, vous savez que j'aide les gens à le faire avec Coach Ton Business. Et cet épisode, il va vraiment être là pour vous sortir les pouces du cul une fois de plus. Désolée, c'est un mot que j'ai beaucoup en bouche en ce moment. Mais je me dis, on est encore en début d'année, c'est encore le printemps, tout est là pour fleurir, tout est là pour vous faire avancer. Et en fait, on ne va pas attendre que 2025 soit terminé pour changer les choses et se dire « Non, mais c'est bon, ça, je ferai en 2026. » On va vraiment essayer de faire avancer les choses, ok ? Alors, cet épisode, comme d'hab', je l'ai divisé en quelques parties. Donc la première partie, c'est que j'aimerais parler de la liberté. En fait, qu'est-ce que c'est vraiment la liberté ? Alors, c'est une définition qui m'appartient, mais de nouveau, j'apporte aussi des éléments de contexte qui vous permettent de comprendre pourquoi je la vois comme ça. Ce n'est pas une définition immuable, en fait. De se dire la liberté, Janice elle a dit que c'était comme ça, donc c'est comme ça, non c'est pas du tout, je pense que la liberté c'est chacun qui la décide. Ensuite on va parler des formes de résistance, parce que évidemment c'est joli de vouloir la liberté, mais si on comprend pas pourquoi on n'y arrive pas, il faudrait peut-être un petit peu parler de ces blocages ou de ces choses qui font qu'on n'y arrive pas. Et ensuite on va parler du vrai prix de la liberté, en tout cas j'ai l'impression que c'est un peu moi ce que j'ai payé pour arriver là où j'en suis. Et en fait c'est pas du tout une chose négative, on va pas partir en guerre ou au combat ou des choses comme ça, c'est pas du tout ça. C'est juste vous expliquer que j'ai dû passer par certaines choses pour arriver là où j'en suis. Et aujourd'hui, je ne regrette absolument rien. C'est juste qu'il y a des choses où c'est un peu comme ça, en fait. Ça fait partie du jeu. Donc d'ores et déjà, si vous êtes sur YouTube, je vous invite à mettre un petit pouce si vous aimez cet épisode. Et si vous avez envie de le partager à quelqu'un à qui ça peut aider, faites-le. Parce que c'est comme ça aussi que je fais connaître mon podcast. Si vous avez écouté l'épisode précédent, vous savez que j'ai gagné un titre avec ce podcast. j'en suis très très fière parce que j'essaie du coup que J'instaure des déclics et puis que je vous aide à avancer dans vos projets de vie. Donc mon rôle, c'est vraiment ça, mon but, c'est vraiment ça, c'est de vous aider à avancer avec ce que vous voulez faire. J'en profite aussi pour faire une petite annonce parce que ça fait longtemps que je n'en ai pas parlé et que vous me posez très souvent la question, Janice, comment est-ce qu'on peut travailler avec toi ? Alors fondamentalement, pour tout ce qui est budget, vous avez Coach ton budget, c'est une formation evergreen qui vous permettra de vous remettre à jour au niveau des finances. On n'apprend pas juste à faire un budget, on parle aussi évidemment mindset et comment est-ce qu'on change sa mentalité par rapport à l'argent. Donc ça va en complément de l'épisode dont je vous ai parlé avant. Pour tout ce qui est business, en fait, j'ai deux manières de vous accompagner. La première, c'est objectif 100% dépendant et rentable. Ça, c'est réservé à des gens qui sont beaucoup plus débutants dans l'entrepreneuriat et qui ont besoin de comprendre les bases à mettre en place pour construire un business rentable. Alors, quand je dis débutant, je suis plutôt sur ceux qui sont en dessous d'une année dans l'entrepreneuriat. Donc, ils ont peut-être déjà lancé un projet, ils ont déjà l'idée, ils ont déjà ces choses-là. Ou alors, en fait, vous voulez juste comprendre ce qu'il faut mettre en place. Ça va aussi, si vous êtes débutant complet et que vous n'avez rien du tout mis en place, cette formation, elle est aussi top pour vous. Parce que du coup, j'ai pensé aux deux. J'ai pensé à ceux qui commençaient et à ceux qui avaient déjà quelque chose en place. Et en fait, le gros avantage, c'est que vous avez une communauté dedans. Donc un, vous pouvez me poser des questions, c'est moi qui réponds. Et deux, vous avez des animations au sein de la communauté. Donc à la fois les ateliers solutions où on peut discuter ensemble de vos problématiques business et aussi les ateliers en présentiel pour networker avec d'autres personnes qui sont un peu dans la même situation que vous. donc vous allez dire oui mais des événements networking il y en a plein c'est pas un événement networking, on fait un workshop on fait un atelier solution Et à la fin, on peut discuter. Donc, c'est un peu plus que ça. C'est vraiment pour vous aider à avancer. On est toujours dans une optique de pédagogie, de vous faire comprendre, de vous faire apprendre. Et dans Coach ton business, donc ça, c'est la deuxième solution. Coach ton business, c'est un mentorat consulting qui est réservé aux entrepreneurs qui sont déjà bien lancés, qui ont déjà un business qui fonctionne, mais qui ne comprennent pas comment craquer le truc du marketing, du business, de la finance pour avancer dans leur activité. En général, la typologie de client que j'ai dans Coach ton business, c'est des gens qui sont... déjà dedans dans l'entrepreneuriat depuis peut-être une année, trois ans. Parfois, j'ai des entrepreneurs qui sont dedans depuis 10, 15 ans et qui ne comprennent pas comment est-ce qu'on fait pour avoir la liberté, avoir plus de temps, avoir plus d'argent. Comment est-ce qu'on fait aussi pour attirer plus de clients ? Parce que souvent, ils ont des clients, mais ça ne vient que du bouche à oreille. Donc, ils aimeraient savoir un petit peu comment est-ce qu'on va chercher du client ailleurs. Et ça, c'est vraiment mentorat personnalisé. Donc, vous êtes sur du one-to-one coaching et je vous accompagne pendant six mois. à mettre en place des stratégies pour que votre business puisse vous rémunérer mieux, puisse être plus structuré, puisse être plus organisé, tant au niveau marketing qu'au niveau finance qu'au niveau business. Et ça par contre, j'ai trop de demandes. C'est un one-to-one et j'ai pour intention de le garder comme ça. C'est vraiment plus intéressant pour vous si vous n'avez pas envie d'investir autant d'argent et si vous n'êtes pas prêt d'aller dans 100% indépendant et rentable parce que vous allez avoir accès à moi et à tout ce que je peux vous donner pour débutant. Par contre, si vous avez vraiment envie de changer les choses au niveau entrepreneurial dans votre entreprise, c'est Coach Ton Business. Et Coach Ton Business a aussi des ateliers, on a aussi une animation de communauté à l'interne avec justement des entrepreneurs un poil plus poussés. On n'est pas sur des grosses PME ou des choses comme ça juste pour vous assurer. C'est vraiment plus solopreneur, on a des thérapeutes, on a des coachs sportifs, on a une typologie de personnes aussi, on a beaucoup d'artisans, de personnes qui fabriquent des pièces à la main et qui ont besoin de comprendre comment est-ce qu'on va chercher des clients. J'ai toute une ribambelle de clients différents et c'est pour vous dire que je vous accompagne, qu'importe votre business, tant que vous êtes à peu près dans cet état-là et que vous avez besoin du coup de pouce pour passer à la vitesse supérieure. Voilà, passons maintenant à l'épisode, j'ai assez parlé de Coach Ton Business, si vous avez des questions, n'hésitez pas à me contacter. Et puis si vous voulez rejoindre Coach Ton Business, sur la page Coach Ton Business, il y a un formulaire en fait qui va vous poser quelques questions sur votre business et qui va vous qualifier du coup à l'appel découverte avec moi, qui a lieu une fois par mois à la fin du mois. pour venir y rejoindre. Au moment où j'enregistre cet épisode, les prochaines places disponibles, c'est pour juillet. Ça veut dire que j'ai environ trois mois d'attente pour rejoindre le programme. J'ai un certain nombre de places, c'est très limité par mois. On a entre cinq et six places au grand maximum par mois. Et il y a aussi beaucoup de gens qui attendent en fait de rejoindre, mais qui n'ont juste pas validé leur inscription. Donc vraiment, si vous voulez travailler avec moi, remplissez le formulaire, envoyez-moi peut-être un message si vous êtes vraiment ultra motivé. Remplissez le formulaire, faites l'appel découverte et puis après, vous pourrez rejoindre Coach Ton Business si tout va bien si... Le fit est mutuel si on voit qu'on peut travailler ensemble, évidemment. Alors, la partie 1 dans laquelle j'aimerais vous expliquer que, pour moi, la liberté, pour y arriver, c'est pas le confort, en fait. Une fois qu'on l'a, on atteint un certain niveau de confort, mais je pense que c'est parce qu'on a été habitué à sortir de nos zones de confort, et que du coup, le confort est un peu plus vaste, parce qu'il est moins minimisé, parce qu'on a plus de proportions à prendre des risques et à être dans des situations inconfortables, si vous me suivez dans ce que je veux dire. En fait, je vais vous expliquer un truc. Sur les réseaux sociaux, on va vous vendre qu'être à votre compte, c'est génial, c'est chill, il y a la flexibilité, c'est le kiff total, machin. On va vous vendre toutes ces choses-là. Dans un sens, je suis d'accord, parce que depuis que je suis mon propre patron, et maintenant encore plus que j'ai des employés, etc. La liberté, elle serait très restreinte par rapport à l'année dernière, par exemple. Mais il y a quand même encore beaucoup, beaucoup de liberté que je peux me permettre parce que je prends, moi, des décisions. Mais ça va impliquer, pour vous, que vous vous mettiez dans des situations où c'est clairement inconfortable. Parce que vous allez devoir peut-être prendre des décisions seules, parce que vous allez devoir ne pas gagner l'argent que vous gagnez avant, parce que vous allez devoir être responsable de tout, parce que vous allez devoir dire non à certaines choses et pas savoir si c'est le bon non. Et puis parce que, parfois, si vous voulez faire des réseaux sociaux, par exemple, si vous voulez faire des choses un petit peu différentes, vous allez peut-être être exposé. Et ça, c'est ce qui vous expose aussi à une certaine vulnérabilité, à certaines opinions, etc. Donc, ce que j'essaie de vous expliquer, c'est que la liberté, pour moi, elle s'obtient après avoir pris un certain nombre de risques qui va vous emmener vers ça. Donc, je vais vous donner un petit exemple, parce que dans ce que je vous ai cité là, il y avait décider seul, donc le fait de devoir prendre des décisions sans avoir quelqu'un qui vous valide cette décision. Il va y avoir l'histoire de la thune, comme d'habitude. il va y avoir la responsabilité et il va y avoir le fait de dire non. Maintenant être exposé, je vais vous mettre ça de côté parce que je sais très bien que ceux qui m'écoutent ne sont pas forcément exposés sur les réseaux sociaux. Donc je peux peut-être vous en parler mais voilà. Alors la première chose c'est décider seul. En fait il y a beaucoup de gens qui sont incapables de décider seul. Je le vois aussi auprès de mes clients, c'est que quand ils font quelque chose, ils ont sans arrêt besoin de mon approuval, de dire est-ce que Janice a pensé que c'était bien pour que je puisse continuer. Je vais vous dire une chose, c'est que je pense que si vous n'êtes pas capable de décider seul, Vous ne serez pas capable de vous amener vers une forme de liberté parce que vous n'aurez jamais le culot de prendre une décision qui va peut-être vous faire prendre des risques. Et ça, c'est vraiment un truc à travailler. Mais la chose à laquelle j'aimerais le plus parler dans cette partie 2, c'est le fait de ne pas avoir de revenu garanti. Alors, comme vous savez, objectif 100% indépendant et rentable, on se dit, quand on sort, on est rentable, et puis on est 100% lancé, puis on a quitté notre salariat. Ce n'est pas la promesse de ma formation. La promesse de cette formation, c'est que vous sortiez de là avec tous les outils. pour comprendre comment ça fonctionne, un business rentable, et puis pour commencer à construire le vôtre. Dans Coach Ton Business, on peut complètement voir les choses différemment, parce que normalement, si vous avez appliqué tout ce que je vous ai dit dans la formation, je ne vois pas comment vous ne pouvez pas vous régénérer un revenu confortable. À part si vous faites de la merde, franchement, je ne vois pas comment vous devez encore garder votre salariat. Par contre, ce qu'on peut analyser par rapport à ça, c'est une chose très intéressante. J'ai encore des clients qui sont salariés, pour plusieurs raisons. La première des raisons, ça va être que... Ils ont envie de garder leur job à côté. Ils n'ont pas envie d'être 100% entrepreneurs. C'est un petit kiff, ils apprennent, ils aiment faire des petites séances à côté, mais en fait, ils ont une réelle passion pour leur métier de base et ils n'ont pas envie de quitter ça. La deuxième des raisons, c'est la peur de manquer de revenus garantis. C'est-à-dire que la plupart de mes clients, ils disent « Ouais, mais là, tu vois, j'ai ça comme revenu qui rentre, et puis voilà, c'est confortable, j'ai des enfants, j'ai une hypothèque, etc. » À un moment donné, quand votre activité, elle tourne, quand vous faites un certain chiffre d'affaires par mois, et que vous avez clairement dans votre agenda de la place pour prendre plus de clients, et que vous avez plus de clients qui arrivent parce que vous avez mis des stratégies à jour, mais que vous refusez de quitter votre salariat parce que c'est le vide, et que tout d'un coup vous allez vous retrouver sans revenus, alors qu'il y a des clients qui veulent potentiellement prendre ces places pour travailler avec vous, là vous manquez clairement de pragmatisme pour prendre le choix de quitter, prendre le risque de quitter, de partir, et de faire votre vie dans l'entrepreneuriat. Et ça je vois énormément de gens qui sont bloqués à ce stade-là. clairement, ils pourraient développer leur activité, ils pourraient passer à la vitesse supérieure et puis faire ça à 100%, mais non, il y a le revenu à côté, garanti, qui fait qu'ils ne bougent pas de leur situation. Alors je comprends, quand on a des enfants, quand on a une dette, etc., la situation, elle est beaucoup plus risquée, et ça, je remets pas ça en question. Je dis juste qu'à un moment donné, si vous voulez vraiment cette liberté-là, vous allez devoir réfléchir en termes de risques. Et très sincèrement, si votre agenda est déjà rempli là, si vous avez déjà assez de clients, Si votre activité, si vous faites bien votre job, si vous avez du talent dans ce que vous faites et que justement votre agenda il est plein, qu'est-ce qui vous retient sincèrement d'ouvrir le reste de votre agenda, de quitter le salariat et de commencer à étendre votre activité ? Et après justement, les gens comme moi, on vous aide à développer aussi un écosystème, c'est-à-dire que vous n'allez pas faire qu'une chose, vous allez avoir plusieurs activités, mais qui vont pouvoir vous permettre de vous rémunérer de manière passive, je mets passive entre guillemets. Et du coup, d'avoir une activité qui est plus confortable, c'est-à-dire de construire une entreprise qui vous rémunère. Et pas juste une petite activité de freelance, coucou, ah, yo, je fais un petit peu de massage et puis je me fais des thunes un peu par-ci et par-là. On construit une vraie entreprise qui vous rémunère, qui vous rend confortable et qui vous enlève de la tête cette idée de, il me faut un revenu garanti chaque mois. La raison aussi à ça, c'est souvent qu'on manque de compréhension par rapport aux finances de l'entreprise, de la trésorerie. On n'est pas capable de gérer son argent correctement. Et là, je vous envoie aux épisodes précédents parce que j'en ai parlé en large et en travers. Et du coup, on a toujours cette insécurité financière. On n'ose pas quitter son travail, on n'ose pas aller de l'avant. Et la liberté, du coup, on l'a qu'à moitié. Ensuite, je dirais que ça pose problème à certaines personnes. Moi, je l'ai un peu ressenti dans le sens où être responsable de tout. Dans votre boîte, vous allez être responsable de la moindre connerie que vous faites. Vous allez être responsable de vos clients, vous allez être responsable de ce que vous délivrez, vous allez être responsable de l'image que vous renvoyez. Et ça, c'est aussi une situation qui peut être inconfortable pour certaines personnes qui ont peur de prendre des responsabilités. Alors, ce que j'aurais à vous dire là-dessus, c'est qu'à partir du moment où vous faites du mieux que vous pouvez et que vous mettez en place les bonnes solutions, normalement, la responsabilité, elle est naturelle et elle va de soi. Et je parle pas d'avoir une assurance responsabilité civile parce que ça, vous êtes obligés, mais c'est au moins d'avoir compris que votre activité, elle est bien déroulée, vous accompagnez bien vos clients, vous faites bien votre tâche, vous livrez. les bons produits à la maison, etc. Et ça, ça va faire en sorte que normalement, votre responsabilité, vous la tenez, vous êtes quelqu'un de responsable. Donc c'est normal. Et ensuite, la dernière chose dans laquelle j'aimerais vous parler, de devoir dire non. Je vais vous donner l'exemple de ma cliente, du coup, qui n'a pas osé dire non à un client. Pourquoi ? Pour deux raisons. Parce que, un, elle avait peur de ne pas avoir assez d'argent. Et deux, parce qu'elle s'est dit, ça va me faire travailler, ça va m'apporter du travail à faire. Sur ces deux éléments-là, je suis d'accord à moitié sur ce qu'elle a fait. Dans le sens où, avoir de l'expérience et devoir travailler avec quelqu'un qui est peut-être un petit peu pénible, qui va peut-être pas être la meilleure des choses. Je pense que, sur certaines bases, c'est une bonne chose à faire parce que, justement, on va sortir de sa zone de confort, on va être avec quelqu'un qui n'est pas forcément le client le plus facile et je pense qu'on va en prendre vraiment de la graine pour savoir qui on ne veut plus à l'avenir. Dans un sens, je trouve ça bien. Et dans l'autre, si on parle de thunes, devoir souffrir pour gagner son argent, ça c'est pas l'entrepreneuriat en fait. Pour moi je vous parle d'inconfort, mais l'inconfort c'est pas forcément souffrir pour moi, devoir prendre un client à cause de l'argent, alors que ma cliente en l'occurrence, elle a un revenu à côté donc elle aurait même pas besoin de le faire je pense que c'est pas viable on ne doit pas faire ça, en fait on va avoir un client pénible qui va nous dégoûter de l'activité qui va nous dégoûter parce qu'il va vouloir on lui a donné la main, il va vouloir le bras et il va vouloir l'épaule après, ça va nous dégoûter de l'activité. Donc dans un sens, je ne pense pas que... Il y a de l'inconfort à prendre partout et il n'y a surtout pas d'inconfort à prendre à cause de l'argent. L'argent, si vous acceptez les choses à cause de lui, ça va vous rendre vulnérable, ça va vous rendre vraiment à fleur de peau, ça va vous dégoûter parce que vous ne vous sentirez peut-être pas rémunéré à votre juste valeur, parce que vous aurez quelqu'un qui n'est vraiment pas respectueux, qui ne va pas voir la valeur ajoutée que vous apportez en travaillant avec lui. Pour moi, c'est vraiment la mauvaise phase d'approche de l'inconfort, si vous voyez ce que je veux dire. Et enfin, Je vous ai parlé d'être exposé parce que ça, clairement, si vous voulez être sur les réseaux sociaux, si vous voulez déployer votre activité à grande échelle et que vous voulez vraiment être connu, etc. Effectivement, passer par un profil comme le mien où vous allez avoir une communauté des gens qui vous connaissent, qui vous reconnaissent dans la rue. Être exposé, ça fait partie de l'inconfort. C'est-à-dire que si vous aimez avoir votre petite tranquillité et que vous n'aimez pas qu'on vous reconnaisse, que vous aimez avoir rien, pas d'informations à votre sujet sur les réseaux sociaux ou sur Internet ou sur la barre de recherche, être entrepreneur, ce n'est pas ça. En fait, à part si vous faites une SA et que vous dirigez une compagnie dans l'ombre, c'est pas ça être entrepreneur. Vous allez devoir être un minimum exposé, c'est-à-dire que quand on cherche votre nom, prénom, il y a votre société qui apparaît, il y a peut-être vos activités, il y a peut-être des articles de presse, et ça c'est ce qui va faire en sorte que la confiance est obtenue auprès de vos clients en fait, parce qu'ils vont voir que vous êtes quelqu'un de vrai, que vous faites des choses, donc au bout d'un moment, vous allez devoir être exposé. Bon, on va passer à la partie 3, c'est les formes de résistance qu'on voit pas et qui vous empêchent en fait d'être libre sans que vous vous en rendez compte. Donc... Comme je vous le disais, beaucoup de gens veulent être libres, peut-être vous qui m'écoutez, mais il y en a beaucoup qui vivent encore comme s'il y avait un patron quelque part invisible. Et le patron, souvent, c'est eux. J'aimerais apporter peut-être deux manières de voir les choses. Il y a tout ce qui est autosabotage qui est plutôt discret, et il y a plutôt tout ce qui est attachement inconscient à des choses qui vous empêchent d'avancer, qui vous empêchent d'aller de l'avant. Alors, dans tout ce qui est autosabotage, évidemment, il y a la procrastination, le fait que vous ne bougez pas votre cul et que vous se dites là... mignon Il y a la recherche constante d'un cadre. Par exemple, moi, j'ai beaucoup de clients qui veulent bosser avec moi parce que je veux leur apporter un cadre. Moi, j'essaye aussi de les autonomiser, de leur dire « Ok, je te mets le plan d'action, on va faire le plan d'action, mais ça, c'est toi qui fais en fait. Moi, je ne vais pas derrière être là tout le temps à te dire quoi faire, à te dire c'est bien, continue, petite tape sur l'épaule, parce qu'en fait, ça ne va pas t'aider à développer ton activité indépendante derrière. Si tu ne sais pas faire les choses tout seul, si tu ne sais pas aller chercher de l'aide, si tu ne sais pas développer des choses, ça ne va pas le faire. Ensuite, le truc suivant, c'est l'attente de validation de la part d'un mentor, de la part de la communauté, de la part des clients. Ça aussi, en fait, si vous êtes tout le temps en train d'attendre la validation des gens, vous n'allez rien faire. Je vois souvent, Cindy, avec qui j'avais fait l'épisode, elle me raconte souvent que les clients attendent la validation avant, pour x ou y raison. Voilà, alors je ne pense pas qu'ils attendent sa validation à elle de poster, mais je pense que ça peut être le cas. En fait, parfois, on me poste un truc et on se dit est-ce qu'elle va me dire que c'est bien ou non ? Et on va attendre qu'elle me dise que c'est bien pour poster. Ça peut être un exemple. Très honnêtement, si vous attendez tout le temps la validation, vous n'allez pas avancer. Et je pense que c'est ça qui fait que je suis aussi rapide dans ce que je fais, J'attends pas qu'on me dise « Janice, c'est bien, bravo, bravo, félicitations » . J'attends pas. Je fais, j'avance. et c'est ça qui fait que je suis rapide. Et ensuite, ce qui se passe aussi, c'est qu'on va reproduire ce qui se passe dans le salariat dans son business. Donc comment est-ce qu'on peut imaginer ça ? Typiquement le fait que dans la première année, non mais moi à 17h j'arrête, j'ai terminé. À un moment donné, s'il faut donner un petit coup de boost et travailler un petit peu plus parce qu'il y a un lancement ou parce que si il y a ça, il va falloir le faire messieurs-dames. On ne va pas fermer son ordinateur à 17h. S'il y a une deadline à boucler parce qu'un client a demandé une requête très spéciale, à un moment donné, il faut le faire, point barre, c'est comme ça. Ensuite, il y a aussi tout ce qui est attachement inconscient, et ça je pense que c'est mon Le moment préféré de cet épisode, c'est tout ce à quoi vous vous attachez qui vous empêche d'aller de l'avant. Alors la première chose si on parle de thunes, c'est l'attachement à tout ce qui est fixe. Ouais mais là tu vois j'ai mes 5000 balles par mois puis je suis contente. Non en fait oui mon activité ça va super bien mais bon j'ai un peu peur que voilà j'arrive pas à ça. Moi j'entends ça, ça me tue en fait. Je vais vous dire un truc c'est que quand j'étais salariée, je gagnais moins de 10 000 francs par mois. Mais j'étais quasiment, j'ai déjà un très bon salaire. Aujourd'hui mon entreprise elle génère trois fois ça par mois. Trois fois ça. Ça veut dire que là maintenant j'ai une équipe, mais cette équipe ne travaille pas à 100%, donc on ne va pas dire que je lâche 100% des salaires dans une équipe. J'ai une très bonne marge en fait, ce qui fait que je gagne beaucoup plus d'argent qu'avant. Le temps que ça s'installe, le temps que ce revenu récurrent s'installe et me permettre de gagner trois fois ce que je gagnais avant, il a fallu du temps, de l'inconfort, de passer par des mois où j'ai gagné bien moins que ce que je gagnais avant. Il a fallu ça. Il a fallu passer aussi par des décisions à prendre. Est-ce que je prends ce gros mandat qui va m'apporter énormément d'argent, mais qui va aussi me prendre énormément de temps ? est-ce que je refuse, est-ce que j'arrête l'éparpillement et est-ce que je me focalise justement sur ça pour tout miser sur ce que je veux faire il y a eu des questions un petit peu comme ça ensuite un des gros freins je pense que c'est l'approbation familiale ou familiale ou l'entourage la peur de faire ça, de se montrer sur les réseaux d'avancer machin, putain ça ça me sort par les trous de nez, en fait bloquez-les bloquez-les et avancez tout seul faites votre truc dans l'ombre jusqu'à que vous sortiez de votre cabane et que vous soyez un papillon il a fait tout ça machin et là à ce moment là on vous dira putain bien joué ouais Merci. Voilà. Dans le même registre, il y a aussi la peur de déplaire. Moi, je l'ai beaucoup eu au début en mode « Ouais, mais là, si je dis ça de travers, ça va frustrer ces gens-là » . Aujourd'hui, on est à la foutre, en fait. Je veux dire, je parle comme ça. C'est aussi comme ça que vous aimez les choses, que je sois cash, que je sois précise dans ce que je dis parce que pour moi, ça, c'est de la merde à cause de ça et ça. Je vous explique aussi pourquoi je pense que c'est de la merde. Je dis pas que j'ai la solution à tout et que j'ai les bonnes pensées, mais je suis toujours ouverte à une remise en question. Là aujourd'hui en fait c'est ce qui me permet d'être assez clair sur pourquoi est-ce que je pense ça. Et très sincèrement, en Suisse, on a quand même la chance, c'est qu'on a des gens qui sont polis, qui vont être ouverts d'esprit, et qui vont nous permettre aussi d'étayer notre pensée, et de ne pas être forcément en train de se slasher à coups de sabre laser, parce qu'on a dit X ou Y. Donc ça, je pense très sincèrement que c'est la force de la Suisse. Ça ne veut pas dire qu'on va être d'accord avec vous et qu'on va vous donner raison à tout bout de champ, mais ça veut juste dire qu'en général, vous avez une idée tranchée, vous expliquez pourquoi, vous êtes pragmatique. Franchement, la personne, si elle n'est pas d'accord en face de vous, elle ne va pas vous démonter. Et ça, c'est ce que j'appelle l'intelligence. Ensuite, évidemment, je viens d'en parler, c'est le regard des autres, le regard de vos proches. Et peut-être aussi, il y a une part de vous qui va se demander, si je gagne plus qu'avant, qu'est-ce qui va se passer ? Rien. Vous allez plus avoir d'argent sur le compte. tant mieux, c'est ce que vous cherchez, vous allez pouvoir arriver à plus d'objectifs. Voilà, c'est ça ce qui va se passer si vous gagnez plus d'argent. Rien d'autre. Maintenant, s'il y a des gens qui commencent à être néfastes avec vous parce que vous gagnez plus d'argent, virez-les de votre vie. Qu'est-ce qu'ils foutaient dans votre vie avant quand vous n'avez pas d'argent ? Virez-les, tout simplement. Enfin, c'est pas compliqué. Il y a un moment donné où soit vous pensez à vous et vous pensez à ce qui est bien pour vous, soit vous pensez aux autres et puis vous jardinez le jardin des autres. Il faut prendre ce genre de décision à un moment donné si vous voulez sortir d'une inaction et puis vraiment aller vers quelque chose qui vous... plaît. Il faut prendre ce genre de décision à un moment donné. Et finalement, si je peux juste un peu résumer cette deuxième partie, vous pouvez pas vouloir être libre et continuer à fuir ce qui est tout le temps inconfortable, c'est-à-dire la gestion de vos finances, c'est-à-dire vos choix, c'est-à-dire vos émotions, votre ambition. Vous pouvez pas fuir ces choses-là et vous dire c'est bon, ça va venir tout seul. À ce moment-là, allez gratter un ticket de loto. Même ça, c'est une action, parce que vous êtes allé jusqu'au tabac et puis vous avez acheté un ticket de loto. Donc vraiment, réfléchissez à ce qui vous met dans l'inconfort, trouver un entre-deux. Pour vous dire, c'est inconfortable, je le comprends, mais c'est par ce par quoi il faut passer pour y arriver. Et inconfort veut pas dire souffrance, en fait. On n'est pas forcément dans la souffrance, on n'est pas forcément en train d'y mettre une partie de notre corps ou d'être démembré ou je sais pas quoi, on n'est pas là-dedans, en fait. La dernière partie, juste avant de conclure, c'est le vrai prix de la liberté, selon moi. En fait, pour moi, la liberté, elle vient avec de la discipline, de la régularité, de la confiance en soi, dans le sens où on a confiance et on a de la foi, en fait, dans ce qu'on fait. On est convaincu que ce qu'on fait, ça va nous aider. Et surtout, on a un certain inconfort assumé. C'est-à-dire qu'il y a une prise de risque, donc typiquement les finances, il y a une prise de risque qui est assumée. On sait qu'elle va nous emmener là où on a envie d'aller par rapport à notre objectif. Je pense très sincèrement qu'avoir la liberté... C'est vraiment... C'est une sorte de compétence, en fait. C'est-à-dire qu'on peut rêver de savoir faire du ski. Pour moi, on peut aussi rêver de savoir ce que c'est la liberté. Déjà parce que, un, on a tous notre propre définition de la liberté. Parce que pour certains, ça va être de voyager en van life et puis d'avoir une activité qui nous rémunère même depuis un bus. Alors que pour d'autres, la liberté, ça va juste être de ne pas avoir de patron, en fait. De peut-être avoir sa villa, je sais pas où, ou sa maison avec ses enfants, etc. Mais plus, de ne pas avoir de patron. Donc, je pense vraiment qu'on doit comprendre que... C'est une compétence à développer et qu'elle s'apprend déjà de un, en créant des systèmes qui vous émancipent, et ça c'est ce que je fais principalement avec mes clients, en osant dire non à des choses qui ne vont pas être dans notre intérêt parce que c'est une personne qui va être non respectueuse, parce que ça va être de l'éparpillement pour son business ou parce que tout simplement en fait ça va nous mettre dans la sauce de manière générale. Ça va être en se libérant du regard des autres parce qu'on a décidé qu'on faisait les choses pour nous et qu'on assumait être qui on est et qu'on fait quelque chose qui va... dans le sens de la mission qu'on s'est donnée. Et puis ça va être en choisissant d'avoir une certaine clarté, d'être assez clair sur ce qu'on veut parce qu'on décide de quitter la zone de flou, parce que la zone de flou ne nous aide en rien dans notre vie. Même quand c'est difficile. Pour clôturer cet épisode, parce que c'est vrai que la partie 4 est très courte parce que c'était un peu tout ce que j'avais à vous dire, j'avais prévu de faire un épisode un petit peu plus court là-dessus. J'aimerais faire des épisodes un petit peu moins longs mais plus passage à l'action. J'aimerais vous poser des questions qui sont un peu plus introspectives en fait. Qu'est-ce que vous refusez d'affronter aujourd'hui par peur de sortir de votre zone de confort ? Est-ce que c'est le fait de devoir être seul ? Est-ce que c'est le fait de ne pas avoir de revenus garantis ? Est-ce que c'est le fait d'être responsable de tout ? Ça franchement je ne pense pas. Moi je pense, parce que c'est l'étude, très honnêtement, je vais me spoiler moi-même. Est-ce que c'est le fait de ne pas avoir de clients, de ne pas pouvoir dire non à certains clients à cause des revenus ? En fait, allez chercher au fin fond de vous, qu'est-ce qui fait que pour vous c'est compliqué pour l'instant de vous lancer ? Et à partir de moi, vous allez identifier ça. Le but, c'est de mettre un plan d'action en place qui va vous permettre de passer au-dessus de ça, d'aller petit à petit. Et là, de nouveau, j'insiste, je l'ai dit dans plusieurs épisodes, c'est pas quelque chose qui se fait du jour au lendemain. C'est peut-être un pas après l'autre, c'est peut-être une petite chose, une mise en place, un peu d'une petite action qui va vous emmener là. Aujourd'hui, si je suis là où j'en suis, il y a une année, je n'en rêvais pas. C'est-à-dire que c'était pas que j'en rêvais pas dans le sens où je sais pas du tout ce que je voulais, c'était plutôt du fait que j'assumais pas peut-être d'aller aussi gros, aussi loin. Aujourd'hui, j'y suis arrivée comment ? En mettant en place des petites actions, petit à petit. La deuxième question que j'ai à vous poser, c'est est-ce que vous voulez vraiment la liberté ou est-ce que vous cherchez un certain confort sans passer par les phases compliquées ? Parce que dans ce cas-là, l'entrepreneuriat, je ne suis pas sûre que ce soit pour vous. Parce qu'il y a tellement de phases d'inconfort qu'à un moment donné, il va falloir choisir et se dire... Vous voyez ce que je veux dire ? Ce dans quoi j'essaie de vous pousser, c'est de vous poser les bonnes questions sur le fait... Pourquoi est-ce qu'en fait aujourd'hui, vous n'avez pas encore la liberté que vous voulez ? C'est vraiment ça, c'était la question que je voulais vous poser. Pourquoi est-ce qu'aujourd'hui, vous n'êtes pas encore sorti des choses ? Souvent, on va... Enfin, c'était un petit peu le persona classique que j'avais au début quand j'ai lancé mon business. C'était, ben voilà, ils savent pas comment trouver des clients, ils savent pas comment structurer, ils savent pas comment lancer un business. J'avais un petit peu ces choses-là. Mais derrière, en fait, tout ça, c'est que oui, certes, il y a une phase de flou sur je ne sais pas comment faire, j'ai besoin de me faire accompagner clairement et c'est là que j'entre en jeu Mais derrière, en fait, à force d'avoir accompagné des gens, j'ai clairement compris qu'il y avait énormément de blocage mental. Moi, je vous dis, je crois que j'ai déjà dit dans un épisode précédent, mais j'étais convaincue que le mindset, c'était des bullshits quand on était entrepreneur. Je me disais, mais c'est bon, moi, je suis hyper carré, je sais où je vais, j'ai pas besoin qu'on me motive, tout ça, tout ça. Et en fait, c'était pas ça, le mindset. C'était plutôt d'identifier ce qui nous bloque à nous développer davantage. Et c'est pour ça, vraiment, que j'ai fait cet épisode. Je me suis dit, vous rêvez de liberté, qu'est-ce qui vous bloque encore à y arriver ? Et je pense très sincèrement que 1. en mettant les choses petit à petit en place, en mettant un petit plan d'action par petit plan d'action, en avançant petit à petit, déjà, un, vous avancez à une vitesse de croisière qui est confortable et qui vous permet de comprendre ce que vous avez envie et ce que vous n'avez pas envie. Deux, vous ne prenez pas beaucoup de risques finalement, parce que c'est des petites choses petit à petit. Et trois, vous avancez avec beaucoup plus de certitude dans ce que vous voulez. C'est-à-dire que j'ai des clients, par exemple, qui sont là, ouais, mais de façon, il faut y aller all-in dès le début, il faut y aller à fond, parce que sinon, il n'y a pas de résultat, et puis il faut faire un max Très sincèrement, je pense que ça dépend le profil entrepreneurial que vous avez. Si vous n'êtes pas dans ce genre-là, vous pouvez avancer plus petit si vous avez envie, vous pouvez avancer plus sereinement. Mais si vous avez le profil all-in, allez-y all-in ! Je ne pense pas qu'il y a une manière de faire qui est mieux que les autres. Je pense très sincèrement que vous devez trouver la manière qui vous va à vous et qui respecte votre rythme et qui va dans ce sens-là. Moi, par exemple, si on me dit « Janice, ralentis » , non. Moi, c'est all-in. Je suis le type d'entrepreneur où c'est all-in. On y va, on avance, on défonce tout, on avance. Cela dit, je ne veux pas m'être... en... Je veux pas mettre au péril les activités de mon entreprise. Je veux pas mettre en péril l'équipe. Je veux pas mettre en péril les clients dans la livraison. Je veux pas mettre tout ça en péril parce que pour moi, c'est important d'avoir la qualité qui sort de ce que je fais. Et je terminerai par une petite phrase qu'un célèbre conseiller a dit. Aussi vite que possible, aussi lentement que nécessaire. Voilà. Si vous avez aimé cet épisode, n'hésitez pas à mettre une petite étoile, à mettre un pouce bleu si vous êtes sur YouTube, à me laisser un commentaire, à m'envoyer un message. Et autrement, moi, je Je vous dis à tout bientôt pour le prochain épisode.

Chapters

  • Introduction à la quête de liberté

    00:00

  • Définir la liberté et ses formes

    02:09

  • Les sacrifices nécessaires pour la liberté

    03:40

  • Les résistances invisibles à la liberté

    09:20

  • Le vrai prix de la liberté

    18:02

Description

Tout le monde veut être libre… mais personne veut être inconfortable.


Tu veux bosser pour toi, mais t’as peur de perdre ton confort.

Tu veux dire non à ce qui t’éteint, mais tu flippes de décevoir.

Tu veux plus d’argent, mais t’oses pas t’exposer, vendre ou investir.


Beaucoup rêvent de liberté, mais évitent l’inconfort qu’elle exige : risques, incertitude, solitude. Dans cet épisode, découvre pourquoi ce refus t’empêche d’avancer.


À écouter, à partager, et à appliquer pour un impact réel sur ta vie et ton business!


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Transcription

  • Speaker #0

    Tout le monde veut être libre, mais peu de personnes sont prêtes à payer le prix de la liberté. C'est une question que je me suis énormément posée parce que je l'ai voulu cette liberté, je l'ai cherchée. Et d'ailleurs, c'était la communication principale que je faisais au tout début, quand j'ai commencé sur les réseaux sociaux avec Coach Ton Business. Je parlais de liberté, je parlais de faire ce que tu veux, je parlais de ne plus avoir de patron, etc. Je parlais de toutes ces choses-là, donc je connais très très bien la question. Et aujourd'hui, je pense que je cherche toujours cette liberté, et je l'ai en partie. Je la cherche moi parce que je l'ai en fait. Je l'ai en grande partie. Ce que je vois par contre de mes clients, ou peut-être beaucoup beaucoup plus de mes prospects, et ceux qui rarement ne travaillent pas avec moi derrière, c'est cette incapacité à ne pas vouloir payer le prix de la liberté, ou en tout cas le prix temporaire à payer pour atteindre cette liberté. Dans cet épisode, mon intention, elle est très très simple. Je pense très sincèrement que la liberté, qu'elle soit financière, temporelle, géographique, mentale, elle vient pas sans inconfort. Il va y avoir de l'incertitude, il va y avoir de la solitude, il va y avoir... de l'exposition, il va y avoir des prises de décision, il va y avoir des risques à prendre. Et souvent, à partir du moment où il y a quelque chose d'inconfortable à faire, la plupart des gens restent attachés à la sécurité émotionnelle, à la sécurité sociale, et principalement, comme vous le savez, je parle de thunes, à la sécurité financière. Et tout ça, ça sabote la recherche de la liberté. Alors ma grande question, et c'est ce qu'on va essayer de répondre dans cet épisode, c'est est-ce que tu veux vraiment être libre, ou est-ce que tu veux de la liberté sans inconfort ? Tout d'abord, bienvenue sur... coach ton budget et business, les podcasts dédiés à la thune, à l'ambition, à la réalisation de ses rêves, mais aussi au marketing et à l'entrepreneuriat en Suisse particulièrement. Je suis Janice, formatrice en marketing et business, mais aussi créatrice de contenu dans la finance personnelle. Dans ce podcast, on parle d'argent pour s'éduquer, apprendre à gérer, comment réaliser nos projets de vie avec. Si tu as une nouvelle ou nouveau, abonne-toi pour ne manquer aucun épisode. Ils sont pépites et très importants. Mets une note à ce podcast si tu l'aimes et puis si tu l'aimes encore plus. Tu peux t'abonner à l'anusateur et tu l'auras dans ta boîte mail directement toutes les semaines. Le podcast est disponible sur YouTube, sur Spotify, sur Apple Music, vraiment partout. Alors n'hésite pas à suivre coach ton budget et business. Allez, c'est parti pour le sujet de la semaine. L'épisode, il va être un petit peu plus court que les précédents parce que je pense que c'est une question à laquelle on peut répondre assez vite. Et de nouveau, je cherche à faire des déclics, c'est-à-dire que je cherche vraiment à faire en sorte que vous repartiez de cet épisode avec un maximum d'envie et de se dire « Ok, Janice, elle a dit ça, moi ça résonne comme ça en moi et ça me permet de faire ça ou de prendre telle et telle décision. » Donc c'est vraiment à ça que cet épisode y sert. On n'est pas là pour se démonter, on n'est pas là pour se faire la morale, on n'est pas là pour dire quoi faire, on n'est pas là pour faire tout ça. On est là pour chercher en soi des réponses qui vont nous permettre de réaliser nos projets de vie. Donc comme vous le savez et vous l'avez vu dans l'introduction, ici on parle de thunes, donc je suis très cash. Ici on est un petit peu moins sur la thune, on va pas parler de chiffres, on va pas parler de ces choses-là. Par contre, c'est clairement pour moi une des bases sur lesquelles il faut travailler si vous cherchez justement un déblocage. Pour ça, je vous invite aussi à écouter l'épisode que j'ai sorti, trois épisodes en arrière, c'était débloquer votre mental pour gagner plus d'argent. C'est aussi un épisode un petit peu comme ça, mais là on était beaucoup plus sur les thunes. Et cet épisode, il est un peu plus là pour vous débloquer, pour vous faire faire avancer dans vos projets de vie. Donc ça peut être l'achat d'une maison, ça peut être devenir entrepreneur, lancer votre business ou sortir de votre salariat, etc. Toutes ces choses-là, vous savez que j'aide les gens à le faire avec Coach Ton Business. Et cet épisode, il va vraiment être là pour vous sortir les pouces du cul une fois de plus. Désolée, c'est un mot que j'ai beaucoup en bouche en ce moment. Mais je me dis, on est encore en début d'année, c'est encore le printemps, tout est là pour fleurir, tout est là pour vous faire avancer. Et en fait, on ne va pas attendre que 2025 soit terminé pour changer les choses et se dire « Non, mais c'est bon, ça, je ferai en 2026. » On va vraiment essayer de faire avancer les choses, ok ? Alors, cet épisode, comme d'hab', je l'ai divisé en quelques parties. Donc la première partie, c'est que j'aimerais parler de la liberté. En fait, qu'est-ce que c'est vraiment la liberté ? Alors, c'est une définition qui m'appartient, mais de nouveau, j'apporte aussi des éléments de contexte qui vous permettent de comprendre pourquoi je la vois comme ça. Ce n'est pas une définition immuable, en fait. De se dire la liberté, Janice elle a dit que c'était comme ça, donc c'est comme ça, non c'est pas du tout, je pense que la liberté c'est chacun qui la décide. Ensuite on va parler des formes de résistance, parce que évidemment c'est joli de vouloir la liberté, mais si on comprend pas pourquoi on n'y arrive pas, il faudrait peut-être un petit peu parler de ces blocages ou de ces choses qui font qu'on n'y arrive pas. Et ensuite on va parler du vrai prix de la liberté, en tout cas j'ai l'impression que c'est un peu moi ce que j'ai payé pour arriver là où j'en suis. Et en fait c'est pas du tout une chose négative, on va pas partir en guerre ou au combat ou des choses comme ça, c'est pas du tout ça. C'est juste vous expliquer que j'ai dû passer par certaines choses pour arriver là où j'en suis. Et aujourd'hui, je ne regrette absolument rien. C'est juste qu'il y a des choses où c'est un peu comme ça, en fait. Ça fait partie du jeu. Donc d'ores et déjà, si vous êtes sur YouTube, je vous invite à mettre un petit pouce si vous aimez cet épisode. Et si vous avez envie de le partager à quelqu'un à qui ça peut aider, faites-le. Parce que c'est comme ça aussi que je fais connaître mon podcast. Si vous avez écouté l'épisode précédent, vous savez que j'ai gagné un titre avec ce podcast. j'en suis très très fière parce que j'essaie du coup que J'instaure des déclics et puis que je vous aide à avancer dans vos projets de vie. Donc mon rôle, c'est vraiment ça, mon but, c'est vraiment ça, c'est de vous aider à avancer avec ce que vous voulez faire. J'en profite aussi pour faire une petite annonce parce que ça fait longtemps que je n'en ai pas parlé et que vous me posez très souvent la question, Janice, comment est-ce qu'on peut travailler avec toi ? Alors fondamentalement, pour tout ce qui est budget, vous avez Coach ton budget, c'est une formation evergreen qui vous permettra de vous remettre à jour au niveau des finances. On n'apprend pas juste à faire un budget, on parle aussi évidemment mindset et comment est-ce qu'on change sa mentalité par rapport à l'argent. Donc ça va en complément de l'épisode dont je vous ai parlé avant. Pour tout ce qui est business, en fait, j'ai deux manières de vous accompagner. La première, c'est objectif 100% dépendant et rentable. Ça, c'est réservé à des gens qui sont beaucoup plus débutants dans l'entrepreneuriat et qui ont besoin de comprendre les bases à mettre en place pour construire un business rentable. Alors, quand je dis débutant, je suis plutôt sur ceux qui sont en dessous d'une année dans l'entrepreneuriat. Donc, ils ont peut-être déjà lancé un projet, ils ont déjà l'idée, ils ont déjà ces choses-là. Ou alors, en fait, vous voulez juste comprendre ce qu'il faut mettre en place. Ça va aussi, si vous êtes débutant complet et que vous n'avez rien du tout mis en place, cette formation, elle est aussi top pour vous. Parce que du coup, j'ai pensé aux deux. J'ai pensé à ceux qui commençaient et à ceux qui avaient déjà quelque chose en place. Et en fait, le gros avantage, c'est que vous avez une communauté dedans. Donc un, vous pouvez me poser des questions, c'est moi qui réponds. Et deux, vous avez des animations au sein de la communauté. Donc à la fois les ateliers solutions où on peut discuter ensemble de vos problématiques business et aussi les ateliers en présentiel pour networker avec d'autres personnes qui sont un peu dans la même situation que vous. donc vous allez dire oui mais des événements networking il y en a plein c'est pas un événement networking, on fait un workshop on fait un atelier solution Et à la fin, on peut discuter. Donc, c'est un peu plus que ça. C'est vraiment pour vous aider à avancer. On est toujours dans une optique de pédagogie, de vous faire comprendre, de vous faire apprendre. Et dans Coach ton business, donc ça, c'est la deuxième solution. Coach ton business, c'est un mentorat consulting qui est réservé aux entrepreneurs qui sont déjà bien lancés, qui ont déjà un business qui fonctionne, mais qui ne comprennent pas comment craquer le truc du marketing, du business, de la finance pour avancer dans leur activité. En général, la typologie de client que j'ai dans Coach ton business, c'est des gens qui sont... déjà dedans dans l'entrepreneuriat depuis peut-être une année, trois ans. Parfois, j'ai des entrepreneurs qui sont dedans depuis 10, 15 ans et qui ne comprennent pas comment est-ce qu'on fait pour avoir la liberté, avoir plus de temps, avoir plus d'argent. Comment est-ce qu'on fait aussi pour attirer plus de clients ? Parce que souvent, ils ont des clients, mais ça ne vient que du bouche à oreille. Donc, ils aimeraient savoir un petit peu comment est-ce qu'on va chercher du client ailleurs. Et ça, c'est vraiment mentorat personnalisé. Donc, vous êtes sur du one-to-one coaching et je vous accompagne pendant six mois. à mettre en place des stratégies pour que votre business puisse vous rémunérer mieux, puisse être plus structuré, puisse être plus organisé, tant au niveau marketing qu'au niveau finance qu'au niveau business. Et ça par contre, j'ai trop de demandes. C'est un one-to-one et j'ai pour intention de le garder comme ça. C'est vraiment plus intéressant pour vous si vous n'avez pas envie d'investir autant d'argent et si vous n'êtes pas prêt d'aller dans 100% indépendant et rentable parce que vous allez avoir accès à moi et à tout ce que je peux vous donner pour débutant. Par contre, si vous avez vraiment envie de changer les choses au niveau entrepreneurial dans votre entreprise, c'est Coach Ton Business. Et Coach Ton Business a aussi des ateliers, on a aussi une animation de communauté à l'interne avec justement des entrepreneurs un poil plus poussés. On n'est pas sur des grosses PME ou des choses comme ça juste pour vous assurer. C'est vraiment plus solopreneur, on a des thérapeutes, on a des coachs sportifs, on a une typologie de personnes aussi, on a beaucoup d'artisans, de personnes qui fabriquent des pièces à la main et qui ont besoin de comprendre comment est-ce qu'on va chercher des clients. J'ai toute une ribambelle de clients différents et c'est pour vous dire que je vous accompagne, qu'importe votre business, tant que vous êtes à peu près dans cet état-là et que vous avez besoin du coup de pouce pour passer à la vitesse supérieure. Voilà, passons maintenant à l'épisode, j'ai assez parlé de Coach Ton Business, si vous avez des questions, n'hésitez pas à me contacter. Et puis si vous voulez rejoindre Coach Ton Business, sur la page Coach Ton Business, il y a un formulaire en fait qui va vous poser quelques questions sur votre business et qui va vous qualifier du coup à l'appel découverte avec moi, qui a lieu une fois par mois à la fin du mois. pour venir y rejoindre. Au moment où j'enregistre cet épisode, les prochaines places disponibles, c'est pour juillet. Ça veut dire que j'ai environ trois mois d'attente pour rejoindre le programme. J'ai un certain nombre de places, c'est très limité par mois. On a entre cinq et six places au grand maximum par mois. Et il y a aussi beaucoup de gens qui attendent en fait de rejoindre, mais qui n'ont juste pas validé leur inscription. Donc vraiment, si vous voulez travailler avec moi, remplissez le formulaire, envoyez-moi peut-être un message si vous êtes vraiment ultra motivé. Remplissez le formulaire, faites l'appel découverte et puis après, vous pourrez rejoindre Coach Ton Business si tout va bien si... Le fit est mutuel si on voit qu'on peut travailler ensemble, évidemment. Alors, la partie 1 dans laquelle j'aimerais vous expliquer que, pour moi, la liberté, pour y arriver, c'est pas le confort, en fait. Une fois qu'on l'a, on atteint un certain niveau de confort, mais je pense que c'est parce qu'on a été habitué à sortir de nos zones de confort, et que du coup, le confort est un peu plus vaste, parce qu'il est moins minimisé, parce qu'on a plus de proportions à prendre des risques et à être dans des situations inconfortables, si vous me suivez dans ce que je veux dire. En fait, je vais vous expliquer un truc. Sur les réseaux sociaux, on va vous vendre qu'être à votre compte, c'est génial, c'est chill, il y a la flexibilité, c'est le kiff total, machin. On va vous vendre toutes ces choses-là. Dans un sens, je suis d'accord, parce que depuis que je suis mon propre patron, et maintenant encore plus que j'ai des employés, etc. La liberté, elle serait très restreinte par rapport à l'année dernière, par exemple. Mais il y a quand même encore beaucoup, beaucoup de liberté que je peux me permettre parce que je prends, moi, des décisions. Mais ça va impliquer, pour vous, que vous vous mettiez dans des situations où c'est clairement inconfortable. Parce que vous allez devoir peut-être prendre des décisions seules, parce que vous allez devoir ne pas gagner l'argent que vous gagnez avant, parce que vous allez devoir être responsable de tout, parce que vous allez devoir dire non à certaines choses et pas savoir si c'est le bon non. Et puis parce que, parfois, si vous voulez faire des réseaux sociaux, par exemple, si vous voulez faire des choses un petit peu différentes, vous allez peut-être être exposé. Et ça, c'est ce qui vous expose aussi à une certaine vulnérabilité, à certaines opinions, etc. Donc, ce que j'essaie de vous expliquer, c'est que la liberté, pour moi, elle s'obtient après avoir pris un certain nombre de risques qui va vous emmener vers ça. Donc, je vais vous donner un petit exemple, parce que dans ce que je vous ai cité là, il y avait décider seul, donc le fait de devoir prendre des décisions sans avoir quelqu'un qui vous valide cette décision. Il va y avoir l'histoire de la thune, comme d'habitude. il va y avoir la responsabilité et il va y avoir le fait de dire non. Maintenant être exposé, je vais vous mettre ça de côté parce que je sais très bien que ceux qui m'écoutent ne sont pas forcément exposés sur les réseaux sociaux. Donc je peux peut-être vous en parler mais voilà. Alors la première chose c'est décider seul. En fait il y a beaucoup de gens qui sont incapables de décider seul. Je le vois aussi auprès de mes clients, c'est que quand ils font quelque chose, ils ont sans arrêt besoin de mon approuval, de dire est-ce que Janice a pensé que c'était bien pour que je puisse continuer. Je vais vous dire une chose, c'est que je pense que si vous n'êtes pas capable de décider seul, Vous ne serez pas capable de vous amener vers une forme de liberté parce que vous n'aurez jamais le culot de prendre une décision qui va peut-être vous faire prendre des risques. Et ça, c'est vraiment un truc à travailler. Mais la chose à laquelle j'aimerais le plus parler dans cette partie 2, c'est le fait de ne pas avoir de revenu garanti. Alors, comme vous savez, objectif 100% indépendant et rentable, on se dit, quand on sort, on est rentable, et puis on est 100% lancé, puis on a quitté notre salariat. Ce n'est pas la promesse de ma formation. La promesse de cette formation, c'est que vous sortiez de là avec tous les outils. pour comprendre comment ça fonctionne, un business rentable, et puis pour commencer à construire le vôtre. Dans Coach Ton Business, on peut complètement voir les choses différemment, parce que normalement, si vous avez appliqué tout ce que je vous ai dit dans la formation, je ne vois pas comment vous ne pouvez pas vous régénérer un revenu confortable. À part si vous faites de la merde, franchement, je ne vois pas comment vous devez encore garder votre salariat. Par contre, ce qu'on peut analyser par rapport à ça, c'est une chose très intéressante. J'ai encore des clients qui sont salariés, pour plusieurs raisons. La première des raisons, ça va être que... Ils ont envie de garder leur job à côté. Ils n'ont pas envie d'être 100% entrepreneurs. C'est un petit kiff, ils apprennent, ils aiment faire des petites séances à côté, mais en fait, ils ont une réelle passion pour leur métier de base et ils n'ont pas envie de quitter ça. La deuxième des raisons, c'est la peur de manquer de revenus garantis. C'est-à-dire que la plupart de mes clients, ils disent « Ouais, mais là, tu vois, j'ai ça comme revenu qui rentre, et puis voilà, c'est confortable, j'ai des enfants, j'ai une hypothèque, etc. » À un moment donné, quand votre activité, elle tourne, quand vous faites un certain chiffre d'affaires par mois, et que vous avez clairement dans votre agenda de la place pour prendre plus de clients, et que vous avez plus de clients qui arrivent parce que vous avez mis des stratégies à jour, mais que vous refusez de quitter votre salariat parce que c'est le vide, et que tout d'un coup vous allez vous retrouver sans revenus, alors qu'il y a des clients qui veulent potentiellement prendre ces places pour travailler avec vous, là vous manquez clairement de pragmatisme pour prendre le choix de quitter, prendre le risque de quitter, de partir, et de faire votre vie dans l'entrepreneuriat. Et ça je vois énormément de gens qui sont bloqués à ce stade-là. clairement, ils pourraient développer leur activité, ils pourraient passer à la vitesse supérieure et puis faire ça à 100%, mais non, il y a le revenu à côté, garanti, qui fait qu'ils ne bougent pas de leur situation. Alors je comprends, quand on a des enfants, quand on a une dette, etc., la situation, elle est beaucoup plus risquée, et ça, je remets pas ça en question. Je dis juste qu'à un moment donné, si vous voulez vraiment cette liberté-là, vous allez devoir réfléchir en termes de risques. Et très sincèrement, si votre agenda est déjà rempli là, si vous avez déjà assez de clients, Si votre activité, si vous faites bien votre job, si vous avez du talent dans ce que vous faites et que justement votre agenda il est plein, qu'est-ce qui vous retient sincèrement d'ouvrir le reste de votre agenda, de quitter le salariat et de commencer à étendre votre activité ? Et après justement, les gens comme moi, on vous aide à développer aussi un écosystème, c'est-à-dire que vous n'allez pas faire qu'une chose, vous allez avoir plusieurs activités, mais qui vont pouvoir vous permettre de vous rémunérer de manière passive, je mets passive entre guillemets. Et du coup, d'avoir une activité qui est plus confortable, c'est-à-dire de construire une entreprise qui vous rémunère. Et pas juste une petite activité de freelance, coucou, ah, yo, je fais un petit peu de massage et puis je me fais des thunes un peu par-ci et par-là. On construit une vraie entreprise qui vous rémunère, qui vous rend confortable et qui vous enlève de la tête cette idée de, il me faut un revenu garanti chaque mois. La raison aussi à ça, c'est souvent qu'on manque de compréhension par rapport aux finances de l'entreprise, de la trésorerie. On n'est pas capable de gérer son argent correctement. Et là, je vous envoie aux épisodes précédents parce que j'en ai parlé en large et en travers. Et du coup, on a toujours cette insécurité financière. On n'ose pas quitter son travail, on n'ose pas aller de l'avant. Et la liberté, du coup, on l'a qu'à moitié. Ensuite, je dirais que ça pose problème à certaines personnes. Moi, je l'ai un peu ressenti dans le sens où être responsable de tout. Dans votre boîte, vous allez être responsable de la moindre connerie que vous faites. Vous allez être responsable de vos clients, vous allez être responsable de ce que vous délivrez, vous allez être responsable de l'image que vous renvoyez. Et ça, c'est aussi une situation qui peut être inconfortable pour certaines personnes qui ont peur de prendre des responsabilités. Alors, ce que j'aurais à vous dire là-dessus, c'est qu'à partir du moment où vous faites du mieux que vous pouvez et que vous mettez en place les bonnes solutions, normalement, la responsabilité, elle est naturelle et elle va de soi. Et je parle pas d'avoir une assurance responsabilité civile parce que ça, vous êtes obligés, mais c'est au moins d'avoir compris que votre activité, elle est bien déroulée, vous accompagnez bien vos clients, vous faites bien votre tâche, vous livrez. les bons produits à la maison, etc. Et ça, ça va faire en sorte que normalement, votre responsabilité, vous la tenez, vous êtes quelqu'un de responsable. Donc c'est normal. Et ensuite, la dernière chose dans laquelle j'aimerais vous parler, de devoir dire non. Je vais vous donner l'exemple de ma cliente, du coup, qui n'a pas osé dire non à un client. Pourquoi ? Pour deux raisons. Parce que, un, elle avait peur de ne pas avoir assez d'argent. Et deux, parce qu'elle s'est dit, ça va me faire travailler, ça va m'apporter du travail à faire. Sur ces deux éléments-là, je suis d'accord à moitié sur ce qu'elle a fait. Dans le sens où, avoir de l'expérience et devoir travailler avec quelqu'un qui est peut-être un petit peu pénible, qui va peut-être pas être la meilleure des choses. Je pense que, sur certaines bases, c'est une bonne chose à faire parce que, justement, on va sortir de sa zone de confort, on va être avec quelqu'un qui n'est pas forcément le client le plus facile et je pense qu'on va en prendre vraiment de la graine pour savoir qui on ne veut plus à l'avenir. Dans un sens, je trouve ça bien. Et dans l'autre, si on parle de thunes, devoir souffrir pour gagner son argent, ça c'est pas l'entrepreneuriat en fait. Pour moi je vous parle d'inconfort, mais l'inconfort c'est pas forcément souffrir pour moi, devoir prendre un client à cause de l'argent, alors que ma cliente en l'occurrence, elle a un revenu à côté donc elle aurait même pas besoin de le faire je pense que c'est pas viable on ne doit pas faire ça, en fait on va avoir un client pénible qui va nous dégoûter de l'activité qui va nous dégoûter parce qu'il va vouloir on lui a donné la main, il va vouloir le bras et il va vouloir l'épaule après, ça va nous dégoûter de l'activité. Donc dans un sens, je ne pense pas que... Il y a de l'inconfort à prendre partout et il n'y a surtout pas d'inconfort à prendre à cause de l'argent. L'argent, si vous acceptez les choses à cause de lui, ça va vous rendre vulnérable, ça va vous rendre vraiment à fleur de peau, ça va vous dégoûter parce que vous ne vous sentirez peut-être pas rémunéré à votre juste valeur, parce que vous aurez quelqu'un qui n'est vraiment pas respectueux, qui ne va pas voir la valeur ajoutée que vous apportez en travaillant avec lui. Pour moi, c'est vraiment la mauvaise phase d'approche de l'inconfort, si vous voyez ce que je veux dire. Et enfin, Je vous ai parlé d'être exposé parce que ça, clairement, si vous voulez être sur les réseaux sociaux, si vous voulez déployer votre activité à grande échelle et que vous voulez vraiment être connu, etc. Effectivement, passer par un profil comme le mien où vous allez avoir une communauté des gens qui vous connaissent, qui vous reconnaissent dans la rue. Être exposé, ça fait partie de l'inconfort. C'est-à-dire que si vous aimez avoir votre petite tranquillité et que vous n'aimez pas qu'on vous reconnaisse, que vous aimez avoir rien, pas d'informations à votre sujet sur les réseaux sociaux ou sur Internet ou sur la barre de recherche, être entrepreneur, ce n'est pas ça. En fait, à part si vous faites une SA et que vous dirigez une compagnie dans l'ombre, c'est pas ça être entrepreneur. Vous allez devoir être un minimum exposé, c'est-à-dire que quand on cherche votre nom, prénom, il y a votre société qui apparaît, il y a peut-être vos activités, il y a peut-être des articles de presse, et ça c'est ce qui va faire en sorte que la confiance est obtenue auprès de vos clients en fait, parce qu'ils vont voir que vous êtes quelqu'un de vrai, que vous faites des choses, donc au bout d'un moment, vous allez devoir être exposé. Bon, on va passer à la partie 3, c'est les formes de résistance qu'on voit pas et qui vous empêchent en fait d'être libre sans que vous vous en rendez compte. Donc... Comme je vous le disais, beaucoup de gens veulent être libres, peut-être vous qui m'écoutez, mais il y en a beaucoup qui vivent encore comme s'il y avait un patron quelque part invisible. Et le patron, souvent, c'est eux. J'aimerais apporter peut-être deux manières de voir les choses. Il y a tout ce qui est autosabotage qui est plutôt discret, et il y a plutôt tout ce qui est attachement inconscient à des choses qui vous empêchent d'avancer, qui vous empêchent d'aller de l'avant. Alors, dans tout ce qui est autosabotage, évidemment, il y a la procrastination, le fait que vous ne bougez pas votre cul et que vous se dites là... mignon Il y a la recherche constante d'un cadre. Par exemple, moi, j'ai beaucoup de clients qui veulent bosser avec moi parce que je veux leur apporter un cadre. Moi, j'essaye aussi de les autonomiser, de leur dire « Ok, je te mets le plan d'action, on va faire le plan d'action, mais ça, c'est toi qui fais en fait. Moi, je ne vais pas derrière être là tout le temps à te dire quoi faire, à te dire c'est bien, continue, petite tape sur l'épaule, parce qu'en fait, ça ne va pas t'aider à développer ton activité indépendante derrière. Si tu ne sais pas faire les choses tout seul, si tu ne sais pas aller chercher de l'aide, si tu ne sais pas développer des choses, ça ne va pas le faire. Ensuite, le truc suivant, c'est l'attente de validation de la part d'un mentor, de la part de la communauté, de la part des clients. Ça aussi, en fait, si vous êtes tout le temps en train d'attendre la validation des gens, vous n'allez rien faire. Je vois souvent, Cindy, avec qui j'avais fait l'épisode, elle me raconte souvent que les clients attendent la validation avant, pour x ou y raison. Voilà, alors je ne pense pas qu'ils attendent sa validation à elle de poster, mais je pense que ça peut être le cas. En fait, parfois, on me poste un truc et on se dit est-ce qu'elle va me dire que c'est bien ou non ? Et on va attendre qu'elle me dise que c'est bien pour poster. Ça peut être un exemple. Très honnêtement, si vous attendez tout le temps la validation, vous n'allez pas avancer. Et je pense que c'est ça qui fait que je suis aussi rapide dans ce que je fais, J'attends pas qu'on me dise « Janice, c'est bien, bravo, bravo, félicitations » . J'attends pas. Je fais, j'avance. et c'est ça qui fait que je suis rapide. Et ensuite, ce qui se passe aussi, c'est qu'on va reproduire ce qui se passe dans le salariat dans son business. Donc comment est-ce qu'on peut imaginer ça ? Typiquement le fait que dans la première année, non mais moi à 17h j'arrête, j'ai terminé. À un moment donné, s'il faut donner un petit coup de boost et travailler un petit peu plus parce qu'il y a un lancement ou parce que si il y a ça, il va falloir le faire messieurs-dames. On ne va pas fermer son ordinateur à 17h. S'il y a une deadline à boucler parce qu'un client a demandé une requête très spéciale, à un moment donné, il faut le faire, point barre, c'est comme ça. Ensuite, il y a aussi tout ce qui est attachement inconscient, et ça je pense que c'est mon Le moment préféré de cet épisode, c'est tout ce à quoi vous vous attachez qui vous empêche d'aller de l'avant. Alors la première chose si on parle de thunes, c'est l'attachement à tout ce qui est fixe. Ouais mais là tu vois j'ai mes 5000 balles par mois puis je suis contente. Non en fait oui mon activité ça va super bien mais bon j'ai un peu peur que voilà j'arrive pas à ça. Moi j'entends ça, ça me tue en fait. Je vais vous dire un truc c'est que quand j'étais salariée, je gagnais moins de 10 000 francs par mois. Mais j'étais quasiment, j'ai déjà un très bon salaire. Aujourd'hui mon entreprise elle génère trois fois ça par mois. Trois fois ça. Ça veut dire que là maintenant j'ai une équipe, mais cette équipe ne travaille pas à 100%, donc on ne va pas dire que je lâche 100% des salaires dans une équipe. J'ai une très bonne marge en fait, ce qui fait que je gagne beaucoup plus d'argent qu'avant. Le temps que ça s'installe, le temps que ce revenu récurrent s'installe et me permettre de gagner trois fois ce que je gagnais avant, il a fallu du temps, de l'inconfort, de passer par des mois où j'ai gagné bien moins que ce que je gagnais avant. Il a fallu ça. Il a fallu passer aussi par des décisions à prendre. Est-ce que je prends ce gros mandat qui va m'apporter énormément d'argent, mais qui va aussi me prendre énormément de temps ? est-ce que je refuse, est-ce que j'arrête l'éparpillement et est-ce que je me focalise justement sur ça pour tout miser sur ce que je veux faire il y a eu des questions un petit peu comme ça ensuite un des gros freins je pense que c'est l'approbation familiale ou familiale ou l'entourage la peur de faire ça, de se montrer sur les réseaux d'avancer machin, putain ça ça me sort par les trous de nez, en fait bloquez-les bloquez-les et avancez tout seul faites votre truc dans l'ombre jusqu'à que vous sortiez de votre cabane et que vous soyez un papillon il a fait tout ça machin et là à ce moment là on vous dira putain bien joué ouais Merci. Voilà. Dans le même registre, il y a aussi la peur de déplaire. Moi, je l'ai beaucoup eu au début en mode « Ouais, mais là, si je dis ça de travers, ça va frustrer ces gens-là » . Aujourd'hui, on est à la foutre, en fait. Je veux dire, je parle comme ça. C'est aussi comme ça que vous aimez les choses, que je sois cash, que je sois précise dans ce que je dis parce que pour moi, ça, c'est de la merde à cause de ça et ça. Je vous explique aussi pourquoi je pense que c'est de la merde. Je dis pas que j'ai la solution à tout et que j'ai les bonnes pensées, mais je suis toujours ouverte à une remise en question. Là aujourd'hui en fait c'est ce qui me permet d'être assez clair sur pourquoi est-ce que je pense ça. Et très sincèrement, en Suisse, on a quand même la chance, c'est qu'on a des gens qui sont polis, qui vont être ouverts d'esprit, et qui vont nous permettre aussi d'étayer notre pensée, et de ne pas être forcément en train de se slasher à coups de sabre laser, parce qu'on a dit X ou Y. Donc ça, je pense très sincèrement que c'est la force de la Suisse. Ça ne veut pas dire qu'on va être d'accord avec vous et qu'on va vous donner raison à tout bout de champ, mais ça veut juste dire qu'en général, vous avez une idée tranchée, vous expliquez pourquoi, vous êtes pragmatique. Franchement, la personne, si elle n'est pas d'accord en face de vous, elle ne va pas vous démonter. Et ça, c'est ce que j'appelle l'intelligence. Ensuite, évidemment, je viens d'en parler, c'est le regard des autres, le regard de vos proches. Et peut-être aussi, il y a une part de vous qui va se demander, si je gagne plus qu'avant, qu'est-ce qui va se passer ? Rien. Vous allez plus avoir d'argent sur le compte. tant mieux, c'est ce que vous cherchez, vous allez pouvoir arriver à plus d'objectifs. Voilà, c'est ça ce qui va se passer si vous gagnez plus d'argent. Rien d'autre. Maintenant, s'il y a des gens qui commencent à être néfastes avec vous parce que vous gagnez plus d'argent, virez-les de votre vie. Qu'est-ce qu'ils foutaient dans votre vie avant quand vous n'avez pas d'argent ? Virez-les, tout simplement. Enfin, c'est pas compliqué. Il y a un moment donné où soit vous pensez à vous et vous pensez à ce qui est bien pour vous, soit vous pensez aux autres et puis vous jardinez le jardin des autres. Il faut prendre ce genre de décision à un moment donné si vous voulez sortir d'une inaction et puis vraiment aller vers quelque chose qui vous... plaît. Il faut prendre ce genre de décision à un moment donné. Et finalement, si je peux juste un peu résumer cette deuxième partie, vous pouvez pas vouloir être libre et continuer à fuir ce qui est tout le temps inconfortable, c'est-à-dire la gestion de vos finances, c'est-à-dire vos choix, c'est-à-dire vos émotions, votre ambition. Vous pouvez pas fuir ces choses-là et vous dire c'est bon, ça va venir tout seul. À ce moment-là, allez gratter un ticket de loto. Même ça, c'est une action, parce que vous êtes allé jusqu'au tabac et puis vous avez acheté un ticket de loto. Donc vraiment, réfléchissez à ce qui vous met dans l'inconfort, trouver un entre-deux. Pour vous dire, c'est inconfortable, je le comprends, mais c'est par ce par quoi il faut passer pour y arriver. Et inconfort veut pas dire souffrance, en fait. On n'est pas forcément dans la souffrance, on n'est pas forcément en train d'y mettre une partie de notre corps ou d'être démembré ou je sais pas quoi, on n'est pas là-dedans, en fait. La dernière partie, juste avant de conclure, c'est le vrai prix de la liberté, selon moi. En fait, pour moi, la liberté, elle vient avec de la discipline, de la régularité, de la confiance en soi, dans le sens où on a confiance et on a de la foi, en fait, dans ce qu'on fait. On est convaincu que ce qu'on fait, ça va nous aider. Et surtout, on a un certain inconfort assumé. C'est-à-dire qu'il y a une prise de risque, donc typiquement les finances, il y a une prise de risque qui est assumée. On sait qu'elle va nous emmener là où on a envie d'aller par rapport à notre objectif. Je pense très sincèrement qu'avoir la liberté... C'est vraiment... C'est une sorte de compétence, en fait. C'est-à-dire qu'on peut rêver de savoir faire du ski. Pour moi, on peut aussi rêver de savoir ce que c'est la liberté. Déjà parce que, un, on a tous notre propre définition de la liberté. Parce que pour certains, ça va être de voyager en van life et puis d'avoir une activité qui nous rémunère même depuis un bus. Alors que pour d'autres, la liberté, ça va juste être de ne pas avoir de patron, en fait. De peut-être avoir sa villa, je sais pas où, ou sa maison avec ses enfants, etc. Mais plus, de ne pas avoir de patron. Donc, je pense vraiment qu'on doit comprendre que... C'est une compétence à développer et qu'elle s'apprend déjà de un, en créant des systèmes qui vous émancipent, et ça c'est ce que je fais principalement avec mes clients, en osant dire non à des choses qui ne vont pas être dans notre intérêt parce que c'est une personne qui va être non respectueuse, parce que ça va être de l'éparpillement pour son business ou parce que tout simplement en fait ça va nous mettre dans la sauce de manière générale. Ça va être en se libérant du regard des autres parce qu'on a décidé qu'on faisait les choses pour nous et qu'on assumait être qui on est et qu'on fait quelque chose qui va... dans le sens de la mission qu'on s'est donnée. Et puis ça va être en choisissant d'avoir une certaine clarté, d'être assez clair sur ce qu'on veut parce qu'on décide de quitter la zone de flou, parce que la zone de flou ne nous aide en rien dans notre vie. Même quand c'est difficile. Pour clôturer cet épisode, parce que c'est vrai que la partie 4 est très courte parce que c'était un peu tout ce que j'avais à vous dire, j'avais prévu de faire un épisode un petit peu plus court là-dessus. J'aimerais faire des épisodes un petit peu moins longs mais plus passage à l'action. J'aimerais vous poser des questions qui sont un peu plus introspectives en fait. Qu'est-ce que vous refusez d'affronter aujourd'hui par peur de sortir de votre zone de confort ? Est-ce que c'est le fait de devoir être seul ? Est-ce que c'est le fait de ne pas avoir de revenus garantis ? Est-ce que c'est le fait d'être responsable de tout ? Ça franchement je ne pense pas. Moi je pense, parce que c'est l'étude, très honnêtement, je vais me spoiler moi-même. Est-ce que c'est le fait de ne pas avoir de clients, de ne pas pouvoir dire non à certains clients à cause des revenus ? En fait, allez chercher au fin fond de vous, qu'est-ce qui fait que pour vous c'est compliqué pour l'instant de vous lancer ? Et à partir de moi, vous allez identifier ça. Le but, c'est de mettre un plan d'action en place qui va vous permettre de passer au-dessus de ça, d'aller petit à petit. Et là, de nouveau, j'insiste, je l'ai dit dans plusieurs épisodes, c'est pas quelque chose qui se fait du jour au lendemain. C'est peut-être un pas après l'autre, c'est peut-être une petite chose, une mise en place, un peu d'une petite action qui va vous emmener là. Aujourd'hui, si je suis là où j'en suis, il y a une année, je n'en rêvais pas. C'est-à-dire que c'était pas que j'en rêvais pas dans le sens où je sais pas du tout ce que je voulais, c'était plutôt du fait que j'assumais pas peut-être d'aller aussi gros, aussi loin. Aujourd'hui, j'y suis arrivée comment ? En mettant en place des petites actions, petit à petit. La deuxième question que j'ai à vous poser, c'est est-ce que vous voulez vraiment la liberté ou est-ce que vous cherchez un certain confort sans passer par les phases compliquées ? Parce que dans ce cas-là, l'entrepreneuriat, je ne suis pas sûre que ce soit pour vous. Parce qu'il y a tellement de phases d'inconfort qu'à un moment donné, il va falloir choisir et se dire... Vous voyez ce que je veux dire ? Ce dans quoi j'essaie de vous pousser, c'est de vous poser les bonnes questions sur le fait... Pourquoi est-ce qu'en fait aujourd'hui, vous n'avez pas encore la liberté que vous voulez ? C'est vraiment ça, c'était la question que je voulais vous poser. Pourquoi est-ce qu'aujourd'hui, vous n'êtes pas encore sorti des choses ? Souvent, on va... Enfin, c'était un petit peu le persona classique que j'avais au début quand j'ai lancé mon business. C'était, ben voilà, ils savent pas comment trouver des clients, ils savent pas comment structurer, ils savent pas comment lancer un business. J'avais un petit peu ces choses-là. Mais derrière, en fait, tout ça, c'est que oui, certes, il y a une phase de flou sur je ne sais pas comment faire, j'ai besoin de me faire accompagner clairement et c'est là que j'entre en jeu Mais derrière, en fait, à force d'avoir accompagné des gens, j'ai clairement compris qu'il y avait énormément de blocage mental. Moi, je vous dis, je crois que j'ai déjà dit dans un épisode précédent, mais j'étais convaincue que le mindset, c'était des bullshits quand on était entrepreneur. Je me disais, mais c'est bon, moi, je suis hyper carré, je sais où je vais, j'ai pas besoin qu'on me motive, tout ça, tout ça. Et en fait, c'était pas ça, le mindset. C'était plutôt d'identifier ce qui nous bloque à nous développer davantage. Et c'est pour ça, vraiment, que j'ai fait cet épisode. Je me suis dit, vous rêvez de liberté, qu'est-ce qui vous bloque encore à y arriver ? Et je pense très sincèrement que 1. en mettant les choses petit à petit en place, en mettant un petit plan d'action par petit plan d'action, en avançant petit à petit, déjà, un, vous avancez à une vitesse de croisière qui est confortable et qui vous permet de comprendre ce que vous avez envie et ce que vous n'avez pas envie. Deux, vous ne prenez pas beaucoup de risques finalement, parce que c'est des petites choses petit à petit. Et trois, vous avancez avec beaucoup plus de certitude dans ce que vous voulez. C'est-à-dire que j'ai des clients, par exemple, qui sont là, ouais, mais de façon, il faut y aller all-in dès le début, il faut y aller à fond, parce que sinon, il n'y a pas de résultat, et puis il faut faire un max Très sincèrement, je pense que ça dépend le profil entrepreneurial que vous avez. Si vous n'êtes pas dans ce genre-là, vous pouvez avancer plus petit si vous avez envie, vous pouvez avancer plus sereinement. Mais si vous avez le profil all-in, allez-y all-in ! Je ne pense pas qu'il y a une manière de faire qui est mieux que les autres. Je pense très sincèrement que vous devez trouver la manière qui vous va à vous et qui respecte votre rythme et qui va dans ce sens-là. Moi, par exemple, si on me dit « Janice, ralentis » , non. Moi, c'est all-in. Je suis le type d'entrepreneur où c'est all-in. On y va, on avance, on défonce tout, on avance. Cela dit, je ne veux pas m'être... en... Je veux pas mettre au péril les activités de mon entreprise. Je veux pas mettre en péril l'équipe. Je veux pas mettre en péril les clients dans la livraison. Je veux pas mettre tout ça en péril parce que pour moi, c'est important d'avoir la qualité qui sort de ce que je fais. Et je terminerai par une petite phrase qu'un célèbre conseiller a dit. Aussi vite que possible, aussi lentement que nécessaire. Voilà. Si vous avez aimé cet épisode, n'hésitez pas à mettre une petite étoile, à mettre un pouce bleu si vous êtes sur YouTube, à me laisser un commentaire, à m'envoyer un message. Et autrement, moi, je Je vous dis à tout bientôt pour le prochain épisode.

Chapters

  • Introduction à la quête de liberté

    00:00

  • Définir la liberté et ses formes

    02:09

  • Les sacrifices nécessaires pour la liberté

    03:40

  • Les résistances invisibles à la liberté

    09:20

  • Le vrai prix de la liberté

    18:02

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