Speaker #0Et si devenir propriétaire en Suisse redevenait accessible ? Et si pour nous, les jeunes générations, c'était à nouveau possible d'acheter ou de penser à acheter un bien immobilier ? Pensez que ça se passerait comment ? Dans cet épisode un peu particulier, je touche à un sujet que je ne connais pas, l'immobilier en Suisse. C'est pas un épisode qui va vous apprendre à investir dans votre bien immobilier, c'est pas un épisode qui va vous expliquer comment faire. C'est un épisode où, en toute humilité, je vais revenir sur ma propre capacité à devenir propriétaire en Suisse et le chemin que j'ai fait pour y arriver. Si vous souhaitez évidemment devenir propriétaire, si c'est un sujet qui vous intéresse, ce n'est pas moi la bonne personne, évidemment. Je vous encourage à aller voir des contenus comme ceux d'Edouard Clerc, surtout que lui, il a toute une formation là-dedans, ou vous rapprocher de sociétés qui sont spécialisées là-dedans. Alors, je crois que lui, il le fait, mais il y a aussi des autres organismes comme Résolve qui vont vous aider à trouver les financements pour investir dans votre premier immobilier. En fait, moi, j'aimerais plutôt partir sur la... la partie mindset. Le mindset, pour y arriver, il est vachement important et ça va beaucoup faire écho à mon dernier épisode. Donc si vous ne l'avez pas écouté, allez l'écouter. J'ai pas exactement une structure travaillée pour cet épisode, mais vous allez voir, il va être intéressant quand même. Tout d'abord, bienvenue sur Coach ton budget et business, les podcasts dédiés à la thune, à l'ambition, à la réalisation de ses rêves, mais aussi au marketing et à l'entrepreneuriat en Suisse particulièrement. Je suis Janice, formatrice en marketing et business, mais aussi créatrice de contenu dans la finance personnelle. Dans ce podcast, on parle d'argent pour s'éduquer, apprendre à gérer, comment réaliser nos projets de vie avec. Si tu as une nouvelle ou nouveau, abonne-toi pour ne manquer aucun épisode. Ils sont pépites et très importants. Mets une note à ce podcast si tu l'aimes et puis si tu l'aimes encore plus, tu peux t'abonner à l'anusateur et tu l'auras dans ta boîte mail directement toutes les semaines. Le podcast est disponible sur YouTube, sur Spotify, sur Apple Music, vraiment partout. Alors n'hésite pas à suivre Coach Ton Budget et Business. Allez, c'est parti pour le sujet de la semaine. Avant de démarrer l'épisode propre en ordre, j'aimerais juste revenir sur un prix que j'ai obtenu la semaine passée, qui est tout simplement le prix du meilleur du podcast dans la catégorie business, qui m'a été décerné de l'association Le Meilleur Du, qui est une association romande qui décerne des prix, ou qui décernait des prix jusqu'à maintenant dans tout ce qui était web et publicité. Ils viennent de démarrer avec le meilleur du podcast et j'ai gagné la catégorie business. Alors honnêtement, qu'est-ce que je pourrais vous dire à part que je suis tellement heureuse en fait. c'est tout le travail que j'ai mis dans le podcast c'est un an et demi de travail acharné pour être validé par un jury qui estime effectivement que mon podcast est intéressant et a de la valeur évidemment j'avais pas besoin de ça pour que je sache que c'est bien ce que je fais j'ai vos retours tout le temps j'ai vos messages sur Instagram j'ai vos emails, je reçois tout le temps plein plein plein de beaux retours Mais là, clairement, d'avoir ça, c'est fabuleux, c'est génial. Et ça va me pousser à encore plus le développer. D'ailleurs, je vais vous spoiler un petit peu. De un, il va y avoir de super guests qui vont arriver dans les prochains mois. Là, j'ai l'agenda qui est rempli jusqu'à juin à peu près de personnalités, toujours des Suisses évidemment, qui sont hyper intéressantes, toujours dans l'entrepreneuriat. Avec un petit pied dans l'entrepreneuriat, mais peut-être un petit peu d'autres choses aussi pour varier les sujets. Toujours parler de thunes. Et surtout, en fait, je n'ai pas envie de partir dans un... dans un truc très classique, ton parcours, vous allez voir, j'ai prévu des trucs assez différents qui, j'espère, vous plairont. Ça m'a demandé un petit peu beaucoup de réflexion. Ça m'a demandé aussi de l'organisation parce que vous allez voir, c'est un peu particulier. Mais je vous promets que vous allez avoir vraiment des épisodes qui sont incroyables. Alors, grosso modo, on va alterner entre des contenus un petit peu comme ça qui vous inspirent, qui vous permettent de passer à l'action et qui vous donnent vraiment des clés pour avancer dans votre vie tant au niveau financier qu'entrepreneuriat si vous êtes entrepreneur. Et surtout aussi des interviews, d'autres personnes qui sont dans le milieu de l'entrepreneuriat, du digital, des femmes, des hommes, qui vont vous permettre aussi de vous inspirer et de voir qu'en Suisse, on a vraiment un terreau très fertile à tous ces projets, à toutes ces personnes qui, tous les jours, développent leurs rêves et que vous connaissez peut-être. Parce que je suis sûre qu'il y a des profils qui vont passer ici, que vous connaissez à tous les coups. Sans plus attendre. Alors en vrai, quand j'ai dit qu'il n'y avait pas de structure, il y en a quand même... Il y a quand même une petite trame. J'ai quand même préparé une petite trame parce que je ne voulais pas vous laisser dans le flou total. Alors pour vous expliquer un petit peu plus le contexte de l'épisode, c'est que ma maman est propriétaire. Elle a toujours été propriétaire avec mon papa. Donc c'est quelque chose qui fait partie de ma vie dans le sens où les parents nous ont transmis le fait qu'il fallait devenir propriétaire. Et arrivé en Suisse, je me suis heurtée à un marché qui est complètement différent, où en fait, devenir propriétaire, ça ne fait pas du tout partie de la jeune génération. En fait, certains, oui. Mais finalement, devenir propriétaire, c'est soit recevoir beaucoup d'argent, donc bien gagner sa vie, avoir des méga bonus, etc. Soit avoir un héritage qui fait qu'on peut devenir propriétaire. Et moi, en fait, je n'ai ni l'un ni l'autre. Alors vous allez me dire, mais ta maman, elle est propriétaire. Elle est propriétaire en France, ça n'a rien à voir. Et puis, voilà. Je ne fais pas partie de la catégorie de personnes qui va pouvoir hériter d'un bien et qui va permettre de m'enrichir avec ça. Et de toute façon, en fait, vous me connaissez, ce n'est pas du tout comme ça que moi j'ai une philosophie vis-à-vis de la vie. Je n'attends rien de mes parents, je n'attends rien de ça, je me suis construite toute seule. Et en fait, c'est de ça que j'ai envie de parler dans l'épisode, c'est de vous expliquer qu'on peut changer sa manière de voir les choses et d'aller vers ses rêves. Évidemment, il va y avoir une petite partie où je vais vous parler du passage de solopreneur à chef d'entreprise, parce que ça, c'est un truc que je meurs d'envie de vous... vous parler depuis des siècles, ce qui m'a aussi aidé à shifter vraiment ma mentalité et puis de me dire « Ok, il y a d'autres choses » . Et puis après, je vais vous parler de mon propre rêve de devenir propriétaire en Suisse. Et puis ensuite, on va essayer de voir qu'est-ce qu'on peut mettre en place justement pour atteindre cet objectif. Je pense qu'avant tout, c'est intéressant de juste remettre les choses dans le contexte. Il y a un truc qui est très intéressant et je vous invite à débattre parce que je n'ai pas de statistiques, je n'ai pas un avis tranché là-dessus. Nos parents nous ont transmis le fait qu'il faut être propriétaire. Et ça, c'est un truc très très très ancré en France qui ne l'est pas en Suisse. Moi, je suis d'avis que chacun dans sa vie doit faire comme il l'entend. C'est-à-dire que si vous n'avez pas le rêve d'être ancré quelque part avec une maison, fine, il n'y a pas de souci. Si par contre, c'est votre rêve d'être propriétaire, d'avoir votre jardin, d'avoir vos murs, etc., et allez vers vos rêves. Donc, dans cet épisode, je ne suis pas là en train de dire « devenez propriétaire, c'est génial, c'est le but ultime de la vie, etc. » Pas du tout, en fait. Je veux juste vous expliquer que ça, c'est un exemple. Donc, devenir propriétaire, c'est un exemple. Mais en fait, ça pourrait être plein d'autres choses. Ça pourrait être acheter votre bateau. Ça pourrait être faire un tour du monde. Ça pourrait être avoir un enfant, parce qu'avoir un enfant, ça demande aussi de l'argent. Ça pourrait être tellement, tellement d'objectifs financiers qu'aujourd'hui, j'ai pris l'immobilier parce que je voulais vous parler un petit peu plus de moi et de ce que je... Pourquoi, en fait ? Pourquoi je veux devenir propriétaire en Suisse ? Et puis, quelle est ma stratégie ? Ce qui est intéressant, c'est que, comme vous le savez, moi, je ne suis des marres de rien. j'ai démarré de rien, je ne suis plus à rien j'ai démarré de rien et effectivement il s'est passé beaucoup de choses dans ma vie qui font que aujourd'hui je sais ce que j'ai envie d'avoir dans ma vie et que vous sachiez d'un truc très personnel à mon sujet moi j'adore habiter dans un bel endroit, alors vous allez me dire ouais mais Janice là, enfin en fait vous connaissez pas mon appartement mon appartement est pas ouf, c'est à dire que il est tout petit, on est à deux dedans, j'en ai parlé dans l'épisode précédent on est à deux dedans alors j'ai plus mon bureau à la maison maintenant donc c'est Là, c'est plus à la maison, donc ça va, ça détache. Mais en fait, il est tout petit. Cela dit, je suis dans une optique de frugalité, c'est-à-dire que je veux qu'il me coûte le moins possible pour que je puisse dépenser de l'argent dans d'autres choses. Ou en tout cas, ne pas en dépenser, finalement. C'est ça, la frugalité, c'est ça, la définition. Donc, je me base sur un appart qui est tout petit. Par contre, à l'intérieur, je fais toujours attention d'avoir des jolis meubles, mais des meubles de qualité qui vont me permettre d'avoir une durée de vie plus longue ou alors d'être revendable. Ma philosophie, ça a toujours été ça. Et d'ailleurs, avec les fringues aussi. J'achète toujours des vêtements que je peux revendre à un moment donné. Ça vous a aimé, ma petite tasse ? Attendez, je vous la montre, ceux qui regardent la vidéo. Elle est trop stylée, non ? C'est hyper gadget, mais je trouve que c'est trop cool. Et en fait, si vous savez, j'habite en Valais, du côté de Savièse, Grémisua, etc. Et pour ceux qui sont dans la région, j'en discutais hier avec une copine. À Grémisua, et même à Savièse, il y a des villas. Il y a des villas, mes pauvres amis. incroyable. Il y a vraiment des trucs incroyables. Et à chaque fois qu'on passe en voiture, mon copain me dit « Ah, regarde la maison-là, regarde la maison-là, regarde la maison-là. » Et moi, je ne prends jamais le temps de regarder les maisons qu'il y a. Et en fait, j'ai commencé à le faire et je me suis rendue compte de la dinguerie des villas autour de nous. Et je me suis dit « Ok, ouais, c'est clair que nous, on ne vit clairement pas au paradis, mais on est content dans ce qu'on a. » Donc, pour revenir un petit peu à ce rêve de devenir propriétaire, actuellement, je sais que dans ma vie, un jour, j'ai envie d'avoir une villa comme ça. J'ai envie d'avoir un bel espace. où je suis bien. Dans cette villa-là, là je manifeste juste devant vous si jamais, dans cette villa-là, j'attends pas un truc de 400 m². J'aimerais une villa qui est petite, qui suffit à ma famille, à mes enfants, à être assez grande parce que là on a vraiment pas de place. Une villa qui est assez grande pour accueillir ce qu'il faut. Mais par contre, je rêve pas de ces villas immenses avec 4 piscines, etc. Genre, si vous avez regardé le White Lotus, la villa du mec qui a tué la nana dans les saisons précédentes, c'est pas mon game, voilà, c'est trop grand. Donc, ce qui fait qu'une villa comme ça, potentiellement, on est à entre 1 million et 2 millions de francs. Donc, toute seule, c'est ultra chaud. Sans apport, c'est ultra chaud. Sans un énorme salaire, c'est ultra chaud. Bref, vous allez me dire, c'est un rêve inaccessible. Et en fait, dans cet épisode, j'aimerais vous expliquer comment on peut transformer un rêve inaccessible dans un rêve accessible. Qu'est-ce qu'on met comme plan d'action en place pour y arriver ? Ok ? Vous êtes prêts ? On va y aller avec la première partie. De nouveau, je vous invite à visualiser aussi, si vous ne voulez pas devenir propriétaire en Suisse, à visualiser... le projet qui vous anime, peut-être démarrer une entreprise, avoir des fonds ou juste prendre une retraite anticipée, je vous invite à utiliser ce que je vais vous donner, donc le plan d'action, pour votre propre projet. Comme ça, cet épisode n'est pas que fermé aux gens qui veulent devenir propriétaire. Partie 1, mon propre passage de solopreneur à chef d'entreprise. Il y a tellement de choses à dire sur cet aspect-là. Vraiment, je vous dis, j'aurais tellement de choses à vous dire. Mais voilà ce qui se passe. Ça fait un an maintenant à peu près que je suis officiellement lancée, on va dire, et ça fait une année que je génère mes revenus toute seule. Et en fait, l'année dernière, quand j'ai commencé, j'avais absolument pas les mêmes ambitions que maintenant. Alors, on vous dit tout le temps, il faut avoir une vision, machin, machin, même moi je vous le dis, l'année dernière, j'avais pas cette vision-là. En fait, je pense que ma vision, elle s'est amplifiée avec le temps parce que j'ai vu les possibilités s'ouvrir à moi. Et d'ailleurs, c'est aussi pour ça que je fais cet épisode, parce que je veux vraiment vous montrer que les possibilités, elles s'ouvrent à vous et que ça, c'est fa... vu le à vivre. En fait, l'année dernière, j'étais toute seule. J'avais une vingtaine de clients, je gérais toute seule l'opérationnel, j'avais tout... Tout était faisable par moi-même parce que je suis aussi une très très grosse bosseuse donc j'hésite pas à mettre la main à la pâte et à bosser dur pour arriver à mes fins. Et au fur et à mesure du temps, j'ai commencé à déléguer certaines choses, pas parce que j'avais pas le temps mais parce que je les voulais mieux faites. Et au fur et à mesure de la délégation, j'ai aussi constaté que ça me faisait gagner vraisemblablement plus d'argent. mais aussi plus de temps. Voilà, c'est un peu le cheminement qui s'est fait. Et en fait, ces trois derniers mois, comme vous le savez si vous écoutez régulièrement le podcast, il s'est passé beaucoup, beaucoup de changements pour moi. Alors en décembre, je l'avais déjà annoncé, je me faisais accompagner, je faisais grossir la boîte. En fait, je vous racontais tout ça dans le podcast, mais je n'en avais aucune idée exactement de ce qui allait se passer. Et en fait, à partir du moment où j'ai vraiment commencé à retravailler ma vision et à vraiment voir ce que j'avais envie de faire, là, les changements se sont vraiment... vraiment passer très très vite. Ce qui s'est passé, c'est que j'ai très vite employé, j'ai très vite posé l'annonce pour ma première employée. Alors ça pareil, j'avais dit que l'équipe allait se grandir, etc. La première employée, je l'ai embauchée. D'ailleurs, j'ai hâte de vous la présenter. Elle a commencé cette semaine, donc elle est là, elle est avec moi. Et je suis très contente, ça se passe vraiment très bien pour un début. Je suis vraiment ravie de la voir. D'ailleurs, Eva, si tu passes par là, coucou ! Il y a aussi des membres de l'équipe que j'ai recrutés en prestataires de services. Mais ça, c'est pas que je ne veux pas les mettre au fond, c'est juste qu'ils sont encore prestataires de services. Pour moi, ce n'est pas encore l'équipe employée, etc. Même si ça fait partie des gens que je dois gérer, avec qui je dois collaborer, etc. Et donc, dans l'équipe, il y a médiabayer, monteur, il y a assistante administrative. Et dans les prochains temps, je vais recruter aussi, il va y avoir un consultant en plus, il va y avoir un petit peu du monde en plus. Et d'ici la fin de l'année, j'aimerais encore continuer de grossir l'équipe. Et en fait, je vais vous dire une chose que je pense qu'on vous dit peut-être pas assez dans les podcasts ou je sais pas les autres podcasts que vous écoutez. Moi, je l'ai pas entendu dans les autres podcasts. De passer de solo à chef d'entreprise, parce que je dis pas que quand vous êtes solo, vous êtes pas chef d'entreprise quelque part, vous êtes chef d'entreprise. Mais chef d'entreprise, vraiment. SARL avec les charges à payer, toute la paperasse, la TVA, les impôts, machin, tout ça. Tout ce qu'il faut gérer avec et la gestion d'équipe, la vision, la stratégie, tout ça. De prendre ce Ausha et de le prendre vraiment, ça a été une grosse claque dans ma gueule. En fait... Je le dis positivement parce que c'est ce que je voulais et je l'ai cherché. Mais vraiment de vivre le cap ces trois derniers mois. Donc janvier, c'était encore cool. Vous voyez, vous vous rappelez, j'avais fait l'épisode là où j'étais là, ouais, bosser 5h45 par jour et tout. Janvier, j'étais encore chill. Mais parce que j'avais pris aussi une claque en décembre par rapport à la charge. Mais février et mars, je me suis repris une claque en fait. Donc j'avais énormément de boulot. Et c'est pour ça que je me réjouissais que l'équipe démarre vraiment pour pouvoir déléguer encore plus de choses. Bref, tout ça pour dire qu'en fait, à partir de fin mars, même là, début avril, l'équipe était vraiment opérationnelle et là, et ça a été pour moi la grosse claque, parce qu'il a fallu aussi faire en sorte que tous les process soient clairs, faire en sorte que ce soit pédagogique au début, que ce soit agréable, qu'on ait envie de bosser dans cette boîte, parce que l'onboarding est bien fait, parce que les choses sont correctement mises en place, etc. Et ça, je vous cache pas, pour moi, c'était sport, quoi. Vous savez, quand vous démarrez un sport, et que vous allez courir, vous avez pas couru depuis super longtemps, et vous êtes là, oh putain, c'est dur. Mais en fait, moi, c'était comme ça, c'était vraiment genre... À bout de souffle, c'était vraiment compliqué. Et en fait, du coup, le business continue. Le business continue à plein régime. Il faut continuer de livrer les clients. Il faut continuer de faire le travail avec les collaborateurs, les collaboratrices. Il faut continuer de faire un peu tout ça. Et les merdes aussi continuent d'arriver. Donc en fait, dès qu'il y a une merde, on est beaucoup plus sensible. C'est beaucoup plus difficile à gérer. Mais je trouve que j'ai bien géré. Franchement, je suis assez fière de moi. C'est juste que je sens que ça m'a coûté quand même des points de vie. Et je sens que j'ai été très fatiguée. Voilà. Ça c'est... Je voulais juste vous raconter un peu tout ça parce que... En fait, c'est aussi ça qui fait que le business grossit, les revenus augmentent, et c'est ce qui va me permettre de vous parler de l'objectif que j'aimerais atteindre l'année prochaine. Donc, l'entreprise grandit, moi je grandis avec, je passe réellement d'une identité à l'autre, c'est-à-dire avant de la petite miss qui faisait des vidéos sur Instagram et qui parlait un petit peu de marketing et d'entrepreneuriat, là, on peut vraiment le dire, j'ai une vraie entreprise, je crée des emplois, j'ai prévu d'en créer plus d'ici la fin de l'année, j'ai une stratégie à... à faire et tout. Et si vous me suivez, parce que je sais qu'il y en a beaucoup d'entre vous qui m'écoutent depuis le début, vous vous dites « Putain, Janice, c'est un truc de fou comme elle a grandi ! » Et c'est vrai, c'est exactement ça en fait. Donc, il s'est passé tellement de choses en une année que la progression, elle est malade, c'est hyper épanouissant, c'est vraiment magnifique et c'est pour ça aussi que je vous encourage toujours, toujours à développer vos propres projets et aller de l'avant dans ce que vous avez envie de faire. Maintenant, c'est très très simple. Pourquoi est-ce que j'ai décidé de passer de solopreneur à chef d'entreprise, c'était pas pour l'ego, pour dire ouais je suis entrepreneuse, nanana, c'était tout simplement parce que mes ambitions continuent de grandir, et là on va me dire mais Janice tu t'arrêtes où ? Où j'ai envie non ? Tant que ça va, tant que je suis bien, je continue non ? Donc les ambitions continuent de grandir, et il y a ce truc où en fait on voit qu'on progresse et je pense que c'est comme les bodybuilders, ceux qui font du sport et qui comprennent qu'on peut toujours aller un peu plus loin, à quel prix je sais, vous allez me dire machin, ben moi je suis arrivée dans ce truc là où je me disais « Waouh, mais à chaque fois, je peux progresser. Et à chaque fois, je m'entoure de personnes qui vont me faire progresser. » Et c'est hyper stimulant, en fait. Et c'est vraiment hyper, hyper gratifiant. Mais pour ça, vraiment, il a fallu que je développe à la fois mon état d'esprit, ma posture, etc. Et aujourd'hui, je vais vous confier un petit truc, c'est que peut-être que c'est moi qui l'ai cherché, peut-être que c'est moi qui veux ça, parce que je suis comme ça sur les réseaux, etc. My bad. Moi, je pense qu'il faut que je reste authentique et naturelle comme je suis. Et vous n'allez pas me voir différente sur mon compte Instagram, ça c'est sûr. Mais c'est vrai qu'on ne me voit pas forcément comme la chef d'entreprise. Vous voyez ce que je veux dire ? Je suis une femme, je suis jeune, je suis plutôt jolie, je ne m'habille pas forcément dans mes vidéos comme une chef d'entreprise, alors que je suis toujours corporate quand je suis dehors. Je ne parle pas forcément comme quelqu'un qui est ultra carré, un avocat ou je ne sais pas quoi. Mais par contre, j'avance et je construis quelque chose qui est digne d'une entreprise, qui va générer un chiffre d'affaires, qui va payer des impôts, qui va faire tout ça, tout ça. C'est vrai que c'est un petit peu compliqué de naviguer avec ce que les gens voient de moi et ce que j'ai envie. ce que j'ai envie de montrer et ce que je suis réellement. Et moi, j'essaie de configurer tout ça pour que vous voyez vraiment la Janice la plus authentique que vous puissiez voir. Bon, c'est pas tout, assez parlé de moi, je sais, ça fait 10 minutes quand même que je parle que de moi. J'aimerais passer à la partie 2. Donc, vous avez compris là la partie 1, pour juste vous résumer ce que j'ai essayé de vous raconter, c'est qu'il y a eu un shift en fait entre la partie solopreneur et la partie chef d'entreprise. Et ce shift, il m'aide à augmenter mes revenus, il m'aide à faire grossir l'entreprise, à générer de la valeur. Et du coup, il va m'aider à accéder à mon rêve de devenir propriétaire en Suisse. Alors, partie 2, du coup. Allons dans la partie 2. Mon rêve de devenir propriétaire en Suisse. Pourquoi est-ce que ce rêve, à la base, il était impossible ? Alors, tout simplement, pour les raisons que je vous ai données au début. C'est qu'aucun apport, pas d'héritage, et puis un salaire qui ne me permettait pas de le faire. Et surtout, à l'époque, quand j'étais en couple avec mes précédents compagnons, je n'avais pas des personnes qui avaient les revenus ou qui étaient dans un mindset comme ça. Donc, en fait, moi toute seule, avec quelqu'un qui ne suit pas forcément, ce n'était pas possible. Aujourd'hui, les choses, elles ont bien changé. Alors certes, je suis avec quelqu'un qui a aussi envie de ça, mais qui est dans la même situation que moi. C'est-à-dire qu'il a une entreprise qui grossit et il ne peut pas maintenant lâcher des pions dans un truc immobilier. Donc, on sait très bien que c'est un projet qui va arriver, mais qui va très probablement arriver en 2026, voire 2027, donc dans deux ans. Et cet épisode-là, en fait, je voulais vraiment parler de ça avec vous pour vous dire, suivez-moi, on va y arriver ensemble si vous êtes au même stade que moi. ou si vous êtes même un peu plus derrière, suivez-moi, on va y arriver ensemble. On va devenir propriétaire ensemble, ok ? Ça prendra le temps qu'il faut que ça prenne, mais on va y arriver. On va atteindre nos rêves, on va atteindre nos objectifs et c'est vraiment ça que je veux vous montrer dans cet épisode-là. Alors qu'on soit juste très clair. Actuellement, je n'ai pas de stratégie claire. Je ne sais pas encore si ça va être ma résidence principale. Je ne sais pas si je vais acheter pour faire du rendement. Je ne sais rien de tout ça. Pourquoi ? Parce que je ne suis absolument pas informée. Je ne me suis pas rapprochée de quelqu'un, je n'ai pas commencé à regarder autour de moi, je n'ai pas posé de questions. J'ai quand même parlé avec mon comptable parce que je lui ai dit « on fait comment là ? » Parce que vous savez, il y a toujours un truc à savoir, c'est qu'on vous a peut-être parlé des revenus très très bas, avec « oui, je me paye le strict minimum et je me paye un dividende » . Oui ! Mais, il y a un grand mais à savoir à propos de tout ça, c'est que vous ne pouvez pas vous verser, je ne sais pas moi, 2-3 000 balles de salaire et à la fin de l'année, vous versez 150 000 balles de dividende. Parce qu'au niveau de la loi, c'est du salaire déguisé, finalement. C'est comme ça que ça se passe. Et moi, en fait, je suis un peu dans ce cas-là. C'est-à-dire que je vous ai parlé de mon salaire l'épisode précédent. Je suis à 3 500 francs par mois. Donc effectivement, je ne peux pas venir avec un dividende en fin d'année énorme et dire, mais avec ça, je vais acheter ma maison tranquille. Je ne peux pas faire ça. Parce que c'est pas légal en fait, ils vont prendre l'AVS, je vais payer des impôts là-dessus, c'est plus du tout un dividende. Donc ça veut dire que dans cette complexité de situation-là, il faut que je réfléchisse à une stratégie où potentiellement je dois augmenter mon salaire, et je dois coupler ça avec effectivement un dividende. Mais combien de temps est-ce que ça va me prendre ? Combien est-ce que je vais payer d'impôts ? Combien est-ce qu'il va me rester en net pour justement investir ? Qu'est-ce que je fais de tout ce qui est deuxième pilier, troisième pilier ? Est-ce que je peux faire du rachat ? Toutes ces questions-là en fait, c'est des questions. que je vais me poser dans les prochains mois et que je vais venir vous apporter en réponse dans les prochaines vidéos. Donc, ce que je vous invite à faire, si vous êtes en train d'écouter l'épisode et que vous n'êtes pas en voiture, naturellement, c'est venir dans les commentaires Spotify ou même dans les commentaires YouTube, si vous regardez cette vidéo sur YouTube, de venir poser vos questions. Des questions qui sont en lien avec ce que je vais faire et qui, peut-être, vous touchent vous parce que vous êtes dans la même situation. Donc, par exemple, les rachats, l'investissement, toutes ces choses-là. Et... Moi, je vous promets que dans les prochains mois, alors il n'y aura pas un épisode par mois là-dessus, on est très clair, mais dans les prochains mois, je vais venir éclaircir cette question de comment est-ce qu'on devient propriétaire en Suisse avec une situation comme la mienne, c'est-à-dire qu'on part de rien, on a une entreprise qui fait du cash ou on a un salaire qui nous permet de nous rémunérer bien. Avec quoi on part, en fait ? Comment est-ce qu'on fait pour acheter un bien immobilier en Suisse de la sorte ? Est-ce que c'est encore le bon moment ? Il y a tellement de questions à se poser et c'est ce genre de questions-là que j'aimerais répondre dans les prochains épisodes. Maintenant, vous savez, c'est que oui, il n'y a pas de ressources financières d'apport à la base, il n'y avait pas forcément de stabilité financière au début du business, peut-être que vous vous démarrez, vous n'avez pas de stabilité financière avec votre business. En fait, c'est toutes ces choses-là qu'il faut venir voir. Et en fait, il y a déjà des petits trucs qui me permettront de vous aider à répondre à la question concernant justement ma situation. Parce que comme je vous ai dit, je pars de rien, je suis quand même arrivé à un certain chemin et je ne suis toujours pas à mon objectif, mais on va y arriver, ok ? Une des questions que j'ai à vous poser et à laquelle je peux déjà commencer à répondre, c'est « Janice, comment est-ce qu'on fait quand on part de rien pour arriver au moins à ta situation ? » Et du coup, commencer à pouvoir se dire « je peux devenir propriétaire en Suisse » . Là, je vais vous répondre mon cheminement. Évidemment, on n'est pas sur une masterclass sur comment devenir propriétaire. Je vous raconte juste mon chemin et comment je suis arrivée au stade où je me dis « l'année prochaine, c'est peut-être possible » ou même en 2027, si on veut vraiment un joli bien, quelque chose de confortable avec mon compagnon. C'est très simple. L'année dernière, j'ai lancé mon business pour me faire un peu plus de pépettes. Une fois que j'avais lancé mon business, je me suis rendu compte que c'était facile en fait, d'avoir des clients, de commencer à générer du chiffre, d'avoir un business qui tourne, et puis surtout que j'avais vraiment une valeur à ajouter sur le marché. Ça je vous le dis, si vous n'avez pas regardé la vidéo YouTube de la semaine dernière où j'explique comment démarrer un business en 30 jours, allez-y. Parce que là-dedans je vous explique vraiment comment est-ce qu'on démarre un business en 30 jours et comment est-ce qu'on peut se faire un peu plus de revenus. Moi ça a démarré comme ça, donc je me suis fait quelques pépettes en plus. En fait, c'est pépette, j'ai tout réinvesti dans le business. Et à force que je réinvestissais, le business a grossi. Aujourd'hui, effectivement, on est sur un business qui grossit. Et l'argent que j'ai, je ne vais pas tout réinvestir dedans. Donc ça veut dire qu'il faut que je trouve une stratégie de soit, je continue de lancer des boîtes ou j'investis dans des boîtes. Ça veut dire que je m'enrichis d'une autre manière, mais je continue comme ça. Ou soit, je me verse des dividendes ou je me verse un plus gros salaire. Donc là, vous voyez qu'il y a déjà plusieurs stratégies qu'on peut opérer. Maintenant, quelle est la meilleure ? Je le saurai avec le temps et je le saurai en naviguant à travers les possibilités. Moi, ce que j'ai à vous dire, c'est que si vous êtes dans un cas où, pour l'instant, financièrement, c'est pas ouf, et puis c'est très très très très loin de votre game de vous dire « je veux devenir propriétaire en Suisse » , commencez par vous dégager des revenus. Et ça, je le répète, « coach ton budget » est fait pour ça. Et si c'est pas « coach ton budget » , si vous êtes déjà passé là-dedans, c'est très important de comprendre que d'abord, il faut dégager du revenu, ensuite, il faut apprendre à le gérer, et ensuite, il faut apprendre à en faire plus, c'est-à-dire le faire fructifier. très très très important à comprendre et moi je suis à la partie fructification en fait entre les deux premières étapes, il y a un monde et ce monde là j'y ai passé beaucoup beaucoup beaucoup beaucoup de temps et quand je suis passée la première fois à la partie fructification en fait j'ai fait de l'investissement en bourse j'ai investi dans des ETF j'ai investi dans des actions récemment d'ailleurs j'ai investi encore en crypto-monnaie je vous parlerai de ce petit partenariat qui est vraiment chouette avec SwissBorg d'ailleurs Mais en fait, ce n'est pas ça qui va me faire devenir propriétaire. Alors c'est sûr que sur 30 ans, ça va faire la donne par rapport à l'argent que j'ai à disposition. Mais par contre, pour m'enrichir plus rapidement, pour justement devenir propriétaire, ce n'est pas ça qui va faire la différence. Et c'est pour ça que je m'étais lancée dans l'entrepreneuriat à la base. Voilà. Alors, chance est que j'ai fait des études là-dedans, je suis économiste d'entreprise, je sais beaucoup de choses sur l'entreprise en général. J'ai appris énormément de choses sur le terrain. Donc on va rester humble par rapport à ce que je sais, mais c'est vrai que j'ai appris et j'ai une expérience qui s'est construite sur le terrain. C'est irrévocable. Et aujourd'hui, je peux... permettre aux gens de faire gagner beaucoup plus de temps dans leur entreprise parce que j'ai toutes ces connaissances-là et je les mets à leur disposition avec Coach Ton Business. Pour résumer ce que j'essaie de vous dire. Lancez-vous, essayez de vous faire ce petit business à condition que vous soyez au clair sur votre manière de gérer l'argent, à condition que vous soyez au clair sur votre gestion, ok ? Très très très important parce que sinon ce que vous allez générer dans l'entrepreneuriat, vous allez le perdre de toute façon, ok ? Pour revenir un petit peu à ma stratégie dans les prochains mois parce que je me suis fait quand même un petit plan au cas où des choses que je dois faire et que je dois demander parce qu'on débarque pas comme ça en mode je vais devenir propriétaire les gars. Je l'ai mis sur mon petit iPad. Maintenant, j'ai enlevé le Mac sur la vidéo. On est sur un petit iPad. Alors, de nouveau, je vais juste résumer les choses. Donc, pour moi, ce rêve devient de plus en plus accessible parce que je me rends compte que je mets les choses en place pour y arriver. C'est-à-dire que j'ai tant mis en place une stratégie qui va me permettre d'avoir, à titre privé, une petite fortune pour investir. Et quand je dis une petite fortune, ça peut être des investissements en bourse, ça peut être... Un troisième pilier est aujourd'hui le deuxième pilier dans lequel j'investis avec la boîte. Vous allez me dire, c'est pas avec 3500 balles que je vais avoir un deuxième pilier, mais c'est déjà ça. Parce que quand je veux augmenter le salaire, le deuxième pilier va aussi augmenter. OK ? D'accord. Voilà. On est clair. Mais moi, ce qui a vraiment changé la donne, c'est qu'au cours des derniers mois, j'ai réussi à faire une stratégie qui m'a permis d'avoir des revenus ultra stables et croissants dans mon entreprise. Et d'ailleurs, je le répète pour ceux qui m'écoutent, toutes ces stratégies-là, je ne les garde. pas pour moi, je vous les donne dans mon accompagnement avec Coach ton business. Donc si vraiment vous êtes dans un cas comme ça et vous avez besoin de stabiliser vos revenus et d'avoir une vision plus long terme dans votre entreprise, venez, travaillons ensemble. C'est juste que si vous écoutez ce podcast, on est en avril, je suis pleine jusqu'en juillet. Donc prenez-vous à l'avance pour qu'on travaille ensemble, c'est vachement important. La suite, c'est que j'ai structuré mes finances personnelles et professionnelles pour générer un apport. C'est pas compliqué. Et la dernière des choses, c'est qu'il faut vraiment que vous adoptiez ... une gestion financière qui est intelligente et qui est adaptée aux besoins de cet achat. Et là, j'ai aussi, c'est un peu une grande question que je me pose, c'est est-ce que je dois ouvrir une société et faire du rendement avec l'immobilier ou est-ce qu'en fait, j'arrête mes conneries ? Et je me base juste sur une propriété, une résidence principale. Vous voyez, c'est des questions auxquelles je n'ai pas répondu, mais que je me pose. Alors concrètement, là, qu'est-ce que je vais faire ? Qu'est-ce qui est déjà en mon pouvoir pour atteindre mon objectif ? Qu'est-ce qui est déjà là pour que je puisse aller vers ce que je veux faire ? La première chose, c'est d'épargner pour mon apport. Donc ce que je peux faire, c'est continuer d'investir dans mon troisième pilier. Parce que ça, ça va faire la base qui fait que j'ai aussi quelque chose à proposer à la banque. Même si actuellement, tout s'est cassé la gueule à cause de Mr Trump et que... C'est un peu incertain ce qui va se passer dans l'avenir. Ça aussi, l'actualité, l'économie. À chaque fois qu'il se passe un truc, on vous dit « Non, mais l'immobilier, c'est plus intéressant là, c'était intéressant il y a 20 ans, machin. » Honnêtement, moi, je pense qu'il n'y a pas de meilleur moment. Il y a un moment où si vous générez du cash et que vous avez besoin de mettre votre cash quelque part, il va falloir diversifier. Et l'immobilier, c'est un moyen de diversifier. Donc au bout d'un moment, je pense qu'il faut arrêter de se mettre dans des cases et de regarder un petit peu ce qui est bon par rapport à notre situation. C'est pour ça que je vous dis toujours de ne pas écouter certains gourous et de vous fier par rapport à votre propre situation. je vais mettre en place des objectifs d'épargne. C'est-à-dire que là, ça fait un an dans ma finance personnelle qu'en fait, j'ai plus rien fait. Dans le sens où je me suis plus mis des trucs à mettre de côté, je me suis plus mis tout ça. Parce que j'étais focalisée sur l'entreprise et j'étais en mode je ne dépense rien, je fais que pour l'entreprise. Et ça, je vais remettre en place. Ensuite, au niveau de l'entreprise elle-même, là maintenant, j'ai un tableau de prévision sur les 12 prochains mois. Et j'ai aussi un résultat par rapport aux quatre premiers mois d'activité sur 2025 qui vont me permettre aussi de jauger où j'en suis par rapport à mon objectif. Et là, je vais me rapprocher d'un expert, c'est-à-dire que je vais demander... Alors déjà, mon comptable est fabuleux pour ça. Bisous, Jonathan, si tu écoutes, tu es génial. Je vais lui demander à lui conseil, comptable fiduciaire qui est spécialisé aussi dans tout ce qui est fiscalité. Et je pense que je vais me rapprocher à nouveau de Resolve parce que j'avais eu un partenariat avec eux il y a deux ans et j'avais trouvé assez incroyable. leur manière d'accompagner les gens pour trouver une hypothèque. Et je vais tout simplement les recontacter. Je vais aller voir avec eux comment ça se passe. Ensuite, je pense effectivement me rapprocher de spécialistes dans tout ce qui est agents immobiliers, pour voir un petit peu quoi comment. Parce que je vous dis vraiment en toute transparence, moi je ne sais pas par où démarrer. Je n'en ai aucune idée. Et c'est ça qui est aussi intéressant avec cet épisode, c'est que vous constatez qu'en fait, on peut tous démarrer de zéro et aller vers cet objectif-là. Et puis, qui sait, peut-être que je n'y arriverai pas. Je ne sais pas. Mais on va partir du principe que je vais y arriver. Et soyez prêts, on va y arriver ensemble si c'est aussi votre objectif. Et même, je vous ai dit au début de cet épisode, si tu n'étais pas acheté un bien immobilier, ce sera autre chose. Ce sera peut-être partir en retraite anticipée, je ne sais pas. Mais on est ensemble dans cet objectif-là. Donc voilà, je vais me rapprocher d'experts. Et ce que je vais faire aussi, c'est maintenir la stratégie de l'entreprise pour continuer d'avoir à la fois une stratégie de croissance dans cette entreprise, mais aussi toujours avoir la trésorerie suffisante Parce que je ne veux pas, moi, avoir à faire du flux tendu en permanence et qui va devoir me pénaliser, moi, pénaliser l'entreprise, nous mettre dans des situations un peu compliquées par rapport à tout ça. Et surtout, que ça pégeore aussi l'entreprise dans sa croissance. Pour moi, ça, c'est vraiment important de comprendre. Donc, on peut voir qu'il y a trois choses différentes. Il y a mon apport perso, c'est-à-dire ma stratégie personnelle pour mettre de l'argent de côté en séparant mes finances perso et mes finances de... pro, enfin les finances de la société quoi, mettre en place des objectifs du coup. Il y a la collaboration avec des experts, c'est-à-dire que je vais aller chercher l'information pour voir de quoi il en est et ensuite il va y avoir la stabilité de l'activité à maintenir avec la trésorerie et aussi tout ce qui est stratégie d'acquisition et stratégie de croissance. Voilà. Est-ce que ça vous parle jusqu'à maintenant ? Est-ce que vous m'avez mis en commentaire ce que vous aimeriez faire avec votre pognon ? Je l'attends dans les commentaires mes chers amis. Alors, la partie 3, On est sur un truc, vous savez dans l'épisode précédent... Je vous mets toujours des plans d'action, en fait. Je vous mets toujours un petit peu quoi, comment. Et en fait, ce que j'aimerais faire avec la partie 3, c'est vous mettre en place quelque chose qui va vous permettre de vous visualiser et de vous faire avancer vers cet objectif-là. Et je sais, je vous en parle en long, en large, mais en travers, de tout ce qui est visualisation, de tout ce qui est manifestation, machin. Je sais, il y a d'autres personnes qui le font. Mais honnêtement, à ce stade-là, et en vocal comme ça, enfin en podcast ou en vidéo, en fait, je n'ai pas trouvé mieux. pour vous faire passer à l'action. Et vu les messages que vous m'envoyez, ça fonctionne. Donc on va le faire. Vous êtes prêts ? Les étapes clés, ou les clés plutôt, pour que vous franchissiez ce cap, de se dire, je vais le faire. Je vais devenir propriétaire, je vais voyager, machin, machin. On est sur un truc qui est immobilier, donc je vais devenir propriétaire. D'accord ? La première clé que j'ai à vous donner, c'est de vous focaliser sur votre vision. D'accord ? Donc votre vision, c'est qu'est-ce que vous attendez de ce bien immobilier ? Est-ce que c'est parce que vous voulez ? développer un parc immobilier et du coup avoir plein d'immeubles locatifs je sais pas, enfin bref, vous voulez vraiment partir en Suisse et avoir un énorme parc, ou est-ce que c'est comme moi, ou vous rêvez de cette petite villa à Grimisua, qui est hyper belle qui est vraiment canon, qui est d'un petit cocon d'amour, où on a envie d'aller regarder des films le soir avec son mec, est-ce que vous rêvez de ça, ou est-ce que vous rêvez justement de devenir le prochain Constantin je vais pas renseigner cet épisode, je vous le jure, mais je suis tellement contente en fait de pouvoir aussi vous parler de ... de ce qui m'anime et ce qui me permet d'avancer. Donc, c'est un plaisir de le partager. Donc, la première chose, c'est définissez ce que vous voulez accomplir à long terme, que ce soit personnel ou professionnel. Je vous le dis tout le temps, dans l'entreprenariat ou dans votre vie perso, c'est vachement important d'avoir en tête ce que vous voulez accomplir. Et si vous ne savez pas, vous prenez une putain de vidéo YouTube, un truc méditation quantique, vous le foutez dans les oreilles, vous écoutez, vous fermez les yeux et puis vous suivez la méditation. Je vous jure, c'est magique. La deuxième clé que j'ai à vous donner, c'est de vous structurer. De structurer, alors là c'est plutôt pour les entrepreneurs, de structurer votre activité. Là, moi je peux vous aider à faire ça, très concrètement, donc au toucher en business, on fait ça. Mais ce que j'ai à vous dire, c'est que si vous n'avez pas bossé avec moi, et c'est tout à fait ok, je ne vous en veux pas, il faut que vous puissiez construire une base solide, qui a des revenus stables, avec une bonne gestion. C'est-à-dire que vous n'êtes pas en train de vous tuer à la tâche, vous avez une entreprise qui croît, et une entreprise qui génère suffisamment de revenus pour être confortable, et puis pour arriver à vos objectifs, ok ? Ça, c'est la clé numéro 2 que vous vous restiez. En fait, ça se couple avec la clé numéro 3. Mais en fait, disons que c'est un peu les deux. Ça va un peu ensemble. La troisième clé, c'est de gérer vos finances intelligemment. Quand je dis finances, ça peut être tant pro que perso. Mais c'est vraiment la base. En fait, si vous ne gérez pas vos thunes, je ne sais pas ce que j'ai à vous dire, mais vous allez toujours galérer. En fait, vous n'allez toujours pas comprendre comment ça fonctionne. Et là, je vous renvoie à l'épisode précédent où je vous explique comment est-ce qu'on fait pour générer ou comment est-ce qu'on fait pour bien... débloquer son mental avec l'argent, il va falloir que vous compreniez comment ça fonctionne. Si vous êtes entrepreneur, moi, je vous conseille vraiment de séparer vos finances pro et perso. Parce que pareil, en fait, moi, je vois tout le temps mes clients qui ne séparent pas du tout les comptes ensemble. Ils ont le compte privé, le compte perso, machin. Bon, ils sont en réseau individuel, c'est pas la mort, c'est aussi comme ça que c'est fait. Mais franchement, c'est galère, c'est hyper chiant, en fait. Vous savez pas ce que votre entreprise, elle... Enfin, vous avez pas de gestion, rien du tout. Donc, il faut que vous puissiez prendre le contrôle. sur vos finances pro et perso de manière différente. Sinon, ça ne va pas aller. Et puis, je me répète, mais mettez en place une stratégie d'épargne pour que ce soit régulier et investissez dans des choses qui vont vous permettre d'avancer. Donc, des outils de gestion, un bon Google Sheet, un bon logiciel comptable ou des choses comme ça. Ensuite, la clé numéro 4, le mindset. On ne vous le dit pas assez souvent et c'est très honnêtement un aspect que moi, je trouvais gnangnang au début. Je me disais, mais faites-moi pas. je suis déterminée. J'étais un peu comme ça au début. Et je me rends compte qu'en fait, l'énergie dans laquelle vous êtes dans votre vie va être cruciale pour tout ce que vous voulez entreprendre. L'énergie que vous avez, cette chose que vous transpirez, si vous ne la mettez pas correctement, c'est très dur d'aller au bout des choses. C'est très, très dur. Et je vais vous donner un petit exemple parce que j'en vois souvent avec mes clients. Ça va être, par exemple, la comparaison. L'attente de validation. On dit, ah, mais tu t'en penses quoi ? En fait, de ne pas passer à la suite parce qu'on ne vous a pas validé, par exemple. De juste ne pas savoir quoi faire et de rester là, voilà. Mais c'est aussi l'énergie du... On a appelé ça les limaces avec une copine l'autre jour. C'est cette énergie un peu... Voilà. En fait, si vous n'avez pas un peu ce truc où... Il faut y aller. Il faut aller envers et contre tout. Ça va être dur. Ça va vraiment être dur. Ça va être difficile. Et je vous dis ça parce que moi, je ne suis pas une féministe, je ne suis pas une pro-woman, machin, machin. Mais quand même, il y a une vérité que j'ai à vous dire, c'est qu'en tant que femme, quand on entreprend, il faut se faire des coudes. Il faut un peu faire des coudes parce que les hommes ne nous donnent pas forcément la crédibilité pour y arriver. Et contrairement à ce qu'ils peuvent penser, on a beaucoup de choses là-dedans, dans le... Dans le ventre, on a beaucoup dans le ventre et on peut accueillir des belles choses dans l'entreprenariat. Si vous ne prenez pas conscience de la force que vous avez dans ce que vous faites, dans vos projets, entrepreneurie ou pas, ça ne va pas le faire. Il faut que vous alliez chercher au fond de vous ce feu, ce truc qui dit « je suis la personne pour le faire et je vais y arriver » . La clé numéro 5, ça c'est plutôt pour les entrepreneurs. Pour moi, c'est apprendre à déléguer et automatiser. C'était Game Changer. Alors l'année dernière, j'ai passé mon année à vraiment automatiser, automatiser, automatiser, automatiser, automatiser, parce que j'étais solo et puis parce que ça me faisait kiffer. Mais en fait, en fin d'année, automatiser, c'était bien, mais ça suffisait plus. Donc j'ai dû déléguer. Et déléguer, c'était un autre game parce que j'ai dû créer des processus. J'ai dû faire beaucoup de choses qui m'ont permis d'avoir maintenant des employés qui savent quoi faire dans la boîte. Mais c'était un méga taf. Par contre, je dois le dire, c'est assez fou de se libérer du temps et d'avoir des gens qui bossent sur des choses et à qui on a transmis la vision de l'entreprise et qui sont bien. C'est vraiment... puissants. Concluons cet épisode que je vais faire un petit peu plus court que les précédents. Si je résume un petit peu, toujours avec mon petit iPad, on a parlé de mon passage du coup vraiment de solopreneur à chef d'entreprise et c'était cette étape qui était vraiment essentielle pour arriver à mes objectifs, cet objectif de devenir un jour propriétaire en Suisse. Je suis d'avis que pour moi, l'entrepreneuriat peut vraiment transformer des rêves en réalité. Je vous l'explique en long et large en travail dans cet épisode, donc si vous n'avez pas compris, je ne sais pas ce que vous avez fait pendant 40 minutes. Et puis, je vous ai montré un petit peu les étapes clés pour y arriver. Donc il y avait effectivement ce côté vision, il y avait le côté structure, il y avait le côté finance, il y avait le côté état d'esprit et il y avait le côté délégation. Les cinq étapes que je vous ai données dans la troisième partie. Alors je vais vous dire un truc vraiment important, ok ? Et ce n'est pas un épisode pour vous stresser, vous dire « Allez, allez, on fait, on fait, on fait ! » Vous allez à votre rythme, vous faites ce que vous voulez, d'accord ? C'est super important que vous respectiez votre rythme. Par contre, si j'ai un truc à vous dire, c'est que si moi, je suis arrivée en Suisse avec rien, si j'ai pu transformer ma vie grâce à l'entreprenariat, alors vous pouvez le faire aussi. Si vous en avez vraiment envie, vous pouvez le faire aussi. Et tout commence par un engagement de votre part dans votre parcours. Il n'y a que vous qui êtes maître de ça. Voilà. Maintenant, ce que je vous invite à faire, si cet épisode vous a plu, je remets ça là. Élu meilleur podcast dans la catégorie business. Merci Thierry et merci Victoria d'ailleurs si vous passez par là. C'est un réel... plaisir. Partagez cet épisode à une personne qui a besoin de ce coup de pouce et de se dire mes rêves sont accessibles, partagez-le à quelqu'un. Oubliez pas de mettre en commentaire justement les questions ou votre projet, c'est super important pour moi parce que ça va m'aider à construire du coup les prochains épisodes. Et même si vous, vous avez envie de participer à tout ça et dire Janice en fait moi je m'y connais, viens je t'aide, contactez-moi, contactez-moi par email, il y a tout dans la barre d'infos, contactez-moi. Je vous mens pas, j'ai beaucoup beaucoup de contacts donc il faut que je trie de temps en temps, c'est normal. Mais par contre, je suis toujours intéressée à voir qui a envie de rentrer dans l'aventure et de se dire, on y va tous ensemble. Donc, si vous avez envie, écrivez-moi. En attendant, n'oubliez pas de mettre un pouce sur cette vidéo si vous avez aimé, si vous êtes sur YouTube. Si vous êtes sur Spotify, vous pouvez mettre une note à ce podcast qui m'aidera à le faire connaître. Et d'ailleurs, c'est ce qui m'aide aussi à faire en sorte que ce soit un podcast qui soit reconnu comme le meilleur dans la catégorie business. C'est génial. Et n'oubliez pas... de vous abonner à la newsletter. Vous l'avez toutes les semaines dans votre boîte mail avec mes vidéos YouTube, mon podcast, tous mes plans d'action parce que vous voyez très bien que je vous ai tout le temps à passer à l'action dans Coach Ton Business, dans le podcast en général et je suis comme ça en fait. Moi, je veux que vous y arrivez, je veux vous aider à faire ça et c'est pour ça que je suis là. Je vous remercie beaucoup pour votre écoute. Une fois de plus, de manière très chaleureuse, merci pour votre fidélité, merci pour tout en fait, pour les messages que je reçois. peut-être que parfois je réponds peut-être un petit peu rapidement à un message, je suis là genre merci machin, mais si vous saviez comme ça me touche, à chaque fois que je reçois un message, et que ce message il me dit, Janice t'as changé ci, t'as changé ça, non mais c'est le plus beau des cadeaux que vous me faites en fait. Donc moi qu'est-ce que je peux faire ? Je peux que continuer de faire des podcasts comme ça, qui vont vous aider à passer à l'action, et vous faire atteindre vos objectifs de vie, qui j'espère un jour ce sera d'abord une villa Grimizua, avec des baies vitrées, et puis un joli petit cocon pour regarder des films et dimanche soir ensemble en famille. Voilà. Je vous souhaite une bonne fin de journée. bonne fin de soirée si vous écoutez ça le soir. Je vous remercie et je vous dis à tout bientôt.