Speaker #0Je rêvais d'avoir de l'argent parce que je connaissais absolument pas le sentiment que c'était d'en avoir. Pour moi, avoir de l'argent c'était surtout sortir de la précarité, c'était ne plus avoir peur de payer les factures ou de ne pas y arriver en fait, c'était pouvoir m'offrir ce que j'avais envie de m'offrir, c'était ne plus avoir à y penser. Et aujourd'hui c'est complètement différent parce que pour moi l'argent c'est un facteur de croissance et de liberté. Dans cet épisode, j'aimerais vous parler vraiment à cœur ouvert d'un sujet qui me tient très à cœur depuis maintenant plus de deux ans. C'est l'indépendance financière, c'est avoir de l'argent. Je sais que vous m'écoutez pour ça, je sais que vous voulez comprendre comment est-ce qu'on devient riche, comment est-ce qu'on a de l'argent. Et c'est pour ça que je suis là, parce que ce voyage, je le fais, je l'ai fait. Depuis le début, je ne vous ai pas menti, je n'avais pas d'argent, je n'avais rien. Aujourd'hui, je commence à accumuler une belle fortune qui va, comme vous l'avez vu il y a quelques épisodes en arrière, me permettre de devenir propriétaire. Et j'aimerais vraiment, dans cet épisode, vous donner en fait trois étapes que vous pouvez faire si vous voulez vous mettre en chemin, si vous voulez vous motiver pour vivre abondément avec de l'argent. Tout d'abord, bienvenue sur Coach ton budget et business, le podcast dédié à la thune, à l'ambition, à la réalisation de ses rêves, mais aussi au marketing et à l'entrepreneuriat en Suisse particulièrement. Je suis Janice, formatrice en marketing et business, mais aussi créatrice de contenu dans la finance personnelle. Dans ce podcast, on parle d'argent pour s'éduquer, apprendre à gérer, comment réaliser nos projets de vie avec. Si tu as de nouvelles ou de nouveaux, abonne-toi pour ne manquer aucun épisode. Ils sont pépites et très importants. Mets une note à ce podcast si tu l'aimes et puis si tu l'aimes encore plus. 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Le choix de quitter un emploi, le choix de faire quelque chose qu'on aime ou qu'on n'aime pas, c'est vraiment une question de choix. Et ça, je l'ai expérimenté assez rapidement parce que j'ai pu quitter mon job pour lancer mon entreprise. Et aujourd'hui, je dirais qu'avoir de l'argent, c'est un facteur pour moi. C'est toujours le choix. C'est toujours le choix de faire ce qu'on veut. Parce que même dans l'entreprise, quand on a de l'argent, on peut se dire j'ai investi dans ça et pas dans ça. On peut faire des choix aussi d'avoir des nouveaux collaborateurs, d'avoir des nouveaux prestataires, d'investir. C'est toujours une question de choix, en fait, d'avoir de l'argent. Donc c'est pas une question de pouvoir, c'est juste de se dire j'ai de l'argent, je peux me permettre de baisser les activités commerciales pour avancer ou pour reculer. Je peux me le permettre parce que j'ai la trésorerie. À un niveau personnel, pour moi c'est un petit peu la même chose. C'est le choix de pouvoir changer d'appartement, c'est le choix de pouvoir quitter une personne parce qu'on est indépendant financièrement d'elle, parce qu'on peut se le permettre. C'est tellement de choses que l'argent nous permet de faire que je ne comprends toujours pas à ce jour pourquoi on peut le voir du mauvais oeil quand on le comprend. Il peut nous aider à faire tellement de choses dans la vie en fait. C'est vraiment marrant parce qu'à partir du moment où j'ai commencé à m'intéresser à l'argent, et on va dire que c'était en 2021 parce que je commençais enfin à mieux gagner ma vie, je commençais à comprendre pourquoi j'avais des frustrations et que je faisais des achats compulsifs, etc. Entre le moment où j'ai commencé à m'intéresser à l'argent et aujourd'hui, au moment où j'en ai et j'en ai fabriqué, j'en ai vraiment, j'en ai fait de l'argent, ma manière de le voir est complètement différente. Les choses sont drastiquement différentes et je me rends compte que si je le voyais d'une certaine manière à l'époque, c'était juste parce que je ne savais pas, parce que je ne connaissais pas, parce que je n'en avais jamais eu. j'ai jamais baigné dans une famille qui a de l'argent. Toutes ces choses-là étaient complètement inconnues. Et maintenant que j'en ai, souvent on se dit, ouais, mais les gens, ils pètent un câble, ils achètent plein de trucs. En fait, moi, pas du tout. C'est pas du tout ce qui s'est passé. Pourquoi ? Parce que j'ai toujours eu une gestion saine. Et quand on est habitué à ne pas avoir eu d'argent et surtout à être aussi minutieux au niveau de la gestion, je vois pas comment on peut péter un câble parce qu'on sait très bien que c'est une ressource qui peut être rare à certains moments et qui peut être compliqué quand on n'en a pas. C'est compliqué quand on n'en a pas, tout simplement. Donc moi, je n'ai absolument pas changé, en fait, même en ayant de l'argent. C'est-à-dire qu'aujourd'hui, même avec une société qui génère pas mal d'argent mensuellement, j'ai toujours le même appart. J'ai un appart qui coûte le moins cher possible. C'est comme ça, c'est sur ça, en fait, que j'ai misé pour vraiment vivre une vie frugale et m'enrichir le plus possible. Donc, tant au niveau de la voiture qu'au niveau de l'appartement, qu'au niveau de ma vie en général, je ne fais pas d'excès. Je n'achète rien qui sort de mes moyens. Je ne fais rien, en fait, qui sort de l'ordinaire, qui me ferait perdre de l'argent ou en tout cas me ferait dépenser beaucoup d'argent. Ça m'arrive de me faire plaisir, comme je vous ai dit déjà dans plusieurs épisodes au préalable, quand j'ai besoin de nouveaux équipements pour aller skier, quand j'ai besoin vraiment de quelque chose. Là, j'investis, mais j'investis toujours dans quelque chose que je sais va m'aider à mieux travailler, mieux faire du sport, mieux faire quelque chose dans ma vie, me faire gagner du temps ou des choses comme ça. Si j'ai fait ça, c'est parce que j'ai réellement compris qu'en faisant comme ça, qu'en réfléchissant comme ça, ça m'a permis de mettre beaucoup plus d'argent de côté que si j'avais fait les choses n'importe comment. Et je vais vous donner un exemple parce que j'ai discuté avec une copine le jour où j Un jour, vous savez peut-être, il y a Action qui a ouvert à Martigny. Et Action, c'est un magasin que je connais bien parce que ma mère va tout le temps dans ce magasin. Elle achète plein de conneries. Elle va d'ailleurs dans plein d'autres magasins en France, des hard discounters. Donc c'est ces magasins qui achètent des stocks et puis qui les revendent pas cher. Donc elle dépense beaucoup son argent dans des magasins comme ça. Alors certes, c'est pas cher, c'est 1, 2, 3 euros. Mais en fait, cumulé, on arrive à la caisse, ça peut vite faire quand même 50, 70, 100 balles parce qu'on a acheté beaucoup de conneries parce que c'était pas cher. Et en fait, typiquement, ma copine me dit... T'as vu, il y a Action qui a ouvert à Martigny, est-ce que t'es allé, etc. Et je lui dis très sincèrement, non, j'ai pas envie d'y aller, j'ai pas l'intention d'y aller. En fait, si je peux fuir une zone commerciale, je la fuis. Je n'aime pas aller faire du shopping. Pourquoi ? Parce que je sais très bien que c'est le temple du diable pour dépenser de l'argent, et de l'argent qu'on n'a pas besoin de dépenser. C'est-à-dire qu'en général, dans sa garde-robe, on est à jour. En général, on a tout ce qu'il nous faut à la maison. et la seule raison pour laquelle on va faire du shopping, c'est parce qu'on a ce petit... truc de se dire je vais aller m'acheter un nouveau truc, j'ai envie de me faire un peu plaisir, on y va pour se faire plaisir. Et là-dedans il n'y a rien de mal, il ne faut pas me jeter des trucs sur la tête parce que je dis ça, il n'y a absolument aucun mal à ça, c'est juste que très souvent, très sincèrement, on n'en a pas besoin. Et ça c'est de l'argent qui ferait mieux de dormir sur un compte investissement en bourse, sur votre troisième pilier, ou que vous devriez peut-être plutôt investir dans une activité indépendante qui va vous permettre de générer beaucoup plus d'argent par la suite. Mais ça, c'est mon opinion et c'est comme ça que je pense parce que c'est aussi comme ça que je me suis construite et c'est comme ça qui m'a permis d'arriver au niveau où je suis maintenant. Il faut bien comprendre qu'il n'y a pas de miracle. Je vous dis tout ça parce que réellement, j'ai envie de vous dire que c'est la méthode que j'ai suivie, mais je ne vois pas d'autres méthodes qui ne soient pas de l'arnaque à vous expliquer. C'est de l'éducation financière, c'est de la gestion et c'est de l'investissement. C'est vraiment juste ça qui m'a permis d'arriver là où je suis. effectivement après j'ai pas mal de ressources par rapport à mon diplôme qui fait que je sais gérer une entreprise, je connais les fondements d'une entreprise, je connais la finance. Donc effectivement, ça m'a beaucoup beaucoup aidée dans mon activité entrepreneuriale. Mais quand même, j'ai dû creuser parce que je n'avais pas du tout d'éducation financière et j'ai dû quand même comprendre comment est-ce que ça marchait l'argent. Et c'est vraiment pas différent qu'une entreprise. En vrai de vrai, c'est vraiment pas différent. C'est juste que c'est beaucoup plus simplifié quand on est un individu. Je vais vous raconter une version de mon parcours qui est toujours la même, le parcours. Le parcours ne change pas évidemment, si vous écoutez les épisodes depuis longtemps, vous connaissez le parcours, je le raconte assez régulièrement. Mais je vais vous raconter une version de mon parcours qui va peut-être vous permettre de comprendre mon cheminement par rapport à l'indépendance financière. Au tout début, quand j'ai commencé à faire vraiment attention à mon argent, ça m'arrivait de craquer et d'aller faire des achats compulsifs. Donc que ce soit sur internet, moi je suis une très grosse acheteuse sur internet, enfin j'étais très grosse acheteuse sur internet. J'allais pas trop faire du shopping dans les magasins parce que ça a tendance à me frustrer parce que je trouve... pas des trucs qui me vont, j'essaye, en fait je me frustre toute seule. Je faisais encore régulièrement des achats compulsifs, mais j'avais déjà un petit peu adopté cette mentalité très frugale de il faut pas dépenser d'argent. Et à partir du moment où j'ai commencé à investir, donc au tout début, j'investissais peut-être 50 francs par mois, alors que j'avais un bon salaire, et pour moi ça me paraissait énorme de me dire que j'enlevais 50 francs à mon budget shopping ou à mon budget soins, etc. par mois. C'était énorme. Et de fil en aiguille, j'ai vu le compte se remplir, et puis il y a eu des très bons mois avec la bourse, donc le... Le portefeuille montait, il y a aussi eu des périodes de creux, mais en fait, ça remontait de nouveau tout de suite après. Donc, il y a eu vraiment des belles périodes qui font que le portefeuille continuait d'augmenter. Et en fait, avant que je me lance vraiment dans l'entrepreneuriat, moi, j'avais ce kiff à voir les chiffres augmenter sur le compte en banque, sur l'épargne, sur le troisième pilier, en investissement. En fait, c'est un peu ce jeu, ça m'a pris au jeu. Je me suis dit, mais plus je mets sur ce compte, plus ça va grossir et plus je vais arriver à mon objectif. En vrai, en fait, le seul truc, ça, je vais vous dire une chose. très importante, je pense que c'est un très gros message que j'allais vous faire passer. Le seul, je ne sais pas, il y en a peut-être d'autres, le défaut que j'ai eu à ce moment-là dans ma vie, par rapport à tout ce que j'ai fait, c'est de ne pas viser à ses grands. J'avais lu des livres où ils nous expliquaient comment calculer l'indépendance financière, comment est-ce qu'on arrive à notre revenu cible pour être libre financièrement, et ce montant en général est de l'ordre de 1 million, 2 millions de francs à peu près, parce que c'est ce qui va nous permettre de générer des dividendes à hauteur de 4% par année qui vont nous permettre de vivre tranquillement. vraiment je vous dis, le défaut que j'ai eu c'est de ne pas viser assez grand parce que je me suis dit mais j'ai même pas 5000 balles là comment est-ce que je vais viser 1 million c'était vraiment un truc pour moi où je me disais c'est impossible, je vais jamais y arriver et du coup je me disais ouais mais bon si j'ai déjà 100 000, 200 000 c'est déjà pas mal, et en fait de fil en aiguille j'ai commencé à remplir ce compte, j'ai commencé à faire vraiment attention, je vous expliquerai aussi dans les 3 étapes concrètes juste après dans l'épisode les 3 étapes concrètes vers l'autonomie que j'ai je vais tout vous raconter Avant d'en arriver là, je gardais, je gardais, je gardais cet argent, j'essayais de le faire grossir et c'est vrai qu'à un moment donné j'ai atteint un plafond de verre où je me disais mais en fait mon salaire actuel il va jamais jamais me permettre d'atteindre ce million, il faut que je trouve un moyen de gagner plus d'argent. C'est comme ça que j'ai lancé mon activité indépendante au début. Mais ça c'était au début, je vous raconterai ça après. Et à partir du moment où j'ai lancé la chaîne, J'ai pensé où j'ai eu quelques francs par-ci par-là par rapport aux extras que je faisais. Là, l'argent a commencé à monter beaucoup plus vite sur les comptes. Et c'est là où j'ai vu beaucoup plus de résultats. Du coup, le fait de me brider par rapport à l'objectif, clairement, ça faisait qu'au quotidien, mes actions, je ne faisais pas assez. Pourquoi ? Parce que je me disais, mais c'est bon, 100 000, ça va aller, c'est facile, etc. Et même 100 000, en fait, je me disais que je n'allais pas les atteindre. De fil en aiguille, je suis arrivée à la moitié de la somme. Et c'est le moment où vraiment là, j'ai utilisé cette somme pour investir dans mon business. Et aujourd'hui, quand on me demande le meilleur investissement que j'ai fait à ce jour d'un point de vue financier, c'est mon entreprise. Mon entreprise, par rapport à ce que j'ai mis à la base en argent, à ce jour, je suis à x5 ce niveau-là, ce revenu-là en fait. Donc quand on me dit, ouais, c'est quoi l'ETF qui gagne le plus d'argent, etc. Le problème, c'est que de tous ces investissements en bourse, c'est qu'il vous faudra significativement beaucoup d'argent pour faire... Beaucoup de revenus, beaucoup de profits, beaucoup de rentabilité, beaucoup de... comment on dit ? C'est pas du tout les mots qu'on utilise en bourse, je suis désolée, j'ai pas le vocabulaire aujourd'hui. Il vous faudra quand même beaucoup d'argent mis en bourse pour avoir un beau revenu. Et d'ailleurs, à ce jour, je pense que je dois avoir entre 40 et 45 000 investis dans différents portefeuilles et ça m'a peut-être rapporté entre 3 et 4 000 francs depuis 4 ans, un truc comme ça. Donc c'est bien, c'est joli, mais par rapport à ce que j'ai fait en un an et demi avec mon business, c'est rien. Maintenant, c'est différent parce que la bourse, effectivement, va vous aider à investir de manière passive. Donc, on est vraiment sur du revenu qui va être généré sans que vous ne fassiez rien du tout. Une entreprise, c'est différent. Vous devez bosser. Après, moi, j'ai toujours été très orientée digital, automatisation, etc. Donc, mon but, c'était de travailler le moins possible et de gagner le plus. J'arrive dans une activité où j'ai atteint le maximum au niveau automatisation. Donc, j'ai dû passer à la phase délégation. J'ai dû embaucher du monde. J'ai des prestataires de services. Maintenant, j'ai une collaboratrice qui fait qu'en fait, on peut générer encore plus de revenus, mais on a aussi des charges. qui sont liées au payroll et puis aux gens qui travaillent pour moi. Bref, tout ça pour dire que, clairement, à ce jour, cet investissement, ça a été mon entreprise, vraiment. J'ai travaillé dur, je travaille encore très dur pour y arriver. Vous voyez mon contenu, il est régulier, je poste toutes les semaines, je fais tout ce que je peux en mon pouvoir pour grossir et très sincèrement, mes stratégies fonctionnent parce que j'arrive, je grossis et à l'heure où je vous parle, on me sollicite pour des podcasts, des émissions télé, des articles, vous pouvez taper mon mon nom sur Google, vous allez voir que je suis régulièrement citée dans la presse où vous allez trouver tout mon contenu, etc. Donc vraiment, je me base sur du no bullshit, je me base sur la réalité et c'est vraiment ça que je veux vous expliquer. C'est qu'on n'a pas besoin de faire des techniques de margoulin pour y arriver. On peut tout simplement se baser sur des stratégies pragmatiques qui fonctionnent dans la vie réelle. Et pour ça, j'aimerais vous parler très concrètement, vous expliquer des trois étapes concrètes vers cette autonomie. Donc on arrive dans la deuxième partie de cet épisode qui sera un petit peu plus court que les précédents. Je vous le disais, c'est qu'à la base de la base, j'ai appris l'éducation financière, donc j'ai appris à gérer mon argent tout simplement. Une fois que j'avais compris comment gérer mon argent, je suis passée à de l'épargne. L'épargne m'a vite fait comprendre qu'en fait j'allais pas m'enrichir avec ça, donc que c'était plus un outil pour, disons, des... des petits problèmes au quotidien ou alors une épargne d'urgence, un voyage, ça servait plutôt à ça. Ensuite, j'ai commencé à investir et une fois que j'ai commencé à investir, je me suis rendu compte que je n'allais pas arriver très très vite à mon objectif. Donc, je me suis lancée dans une activité entrepreneuriale. Et là, qu'est-ce que j'ai fait ? En fait, tout simplement, j'ai testé plein de projets. C'est que, en fait, je vous parle de ce chemin-là. Il a l'air hyper logique et simple. Janice, elle a suivi une route, tout est linéaire, c'est droit, c'est normal, etc. Ça n'a pas été comme ça dans la vraie vie. Je vous le dis tout de suite. C'est que les différents projets entrepreneuriaux que j'ai eus, c'est que j'ai vendu mes fringues sur Vinted et sur V-Dressing à l'époque, sur Ricardo pendant très longtemps. On peut dire que c'est une activité entrepreneuriale parce que j'ai vendu et puis j'ai gagné de l'argent avec ça, ce qui m'a permis juste de payer mes habits, parce que c'était tout le revenu que j'arrivais à générer, donc j'arrivais pas à faire plus. J'ai eu une association de fans de plantes avec mon meilleur ami, association qui, on le voulait au fond de nous. nous faire de l'argent. Mais on avait mis ça sous forme d'association et puis tout simplement au niveau de la rentabilité ça y était pas du tout. En fait on était pile ric rac, on n'arrivait absolument pas à générer de l'argent avec cette association donc c'était nul. Et puis finalement j'ai aussi été dans un projet de start up où effectivement c'était pas ma boîte mais j'ai été au four et au moulin pour contribuer aux efforts commerciaux d'une boîte qui se développait, qui n'a pas fonctionné non plus. Et entre temps je pense que j'ai eu aussi beaucoup beaucoup de petits tests que je pourrais même pas vous citer je... J'ai testé le dropshipping à un moment donné, j'ai fait plein plein plein de petites choses qui n'ont jamais fonctionné. J'ai eu un bloc de voyage à un moment donné, ça n'a jamais jamais jamais fonctionné. Et là je vous parle de quelque chose, je vous parle des dix dernières années. Donc pendant longtemps j'ai creusé, pendant longtemps longtemps longtemps j'ai creusé. Et vraiment le déclic pour moi ça a été de comprendre quelle était ma passion. Et la passion c'était clairement les chiffres, la gestion des ressources au global, parce que j'adore, j'adore, j'adore tout ce qui est statistique, j'adore tout ce qui est... data, j'adore vraiment toutes ces choses-là. Et à un moment donné, ça m'a fait tilt dans ma tête, c'est que j'ai développé la méthode coach ton budget et je me suis dit, là, il faut que je la balance à un max de monde parce qu'il faut que les gens s'éduquent financièrement. Pour revenir à nos moutons, des trois étapes concrètes vers cette autonomie et ce que je vous conseille vraiment de faire si vous voulez sortir, si vous voulez vous bouger les fesses, en fait, vous sortir les pouces du cul, comme j'aime le dire dans chaque épisode, c'est qu'il va falloir vraiment comprendre trois choses. Un petit disclaimer avant de commencer. L'année dernière, quand j'ai vraiment lancé ma société, au début, je me disais, mais pourquoi tout le monde fait du mindset ? Pourquoi tout le monde me parle de développement personnel, d'état d'esprit, etc. J'ai lu les 4 accords Toltec, j'ai lu énormément de livres sur le développement personnel, mais je l'ai lu parce que ça m'intéressait et parce que ça me nourrissait. En fait, à aucun moment, je me suis lancée en mode, il faut que je sois coach mentale, il faut que je sois coach parce que j'ai envie de motiver les gens. Tout simplement parce que j'ai une motivation naturelle qui fait que pour moi, c'est un de mes défauts, je pense. J'ai vraiment de la peine à comprendre pourquoi on ne se bouge pas le cul. Voilà. Je me dis, en fait, quand on... Vous savez, quand on remue la boue dans un marais, il se passe des choses et puis l'eau devient... Elle est claire et puis elle devient trouble. Et en fait, pour moi, c'est exactement la même chose avec les opportunités. C'est qu'à partir du moment où vous faites des choses, ça remue la terre et il se passe des choses. L'eau se mélange, il se passe des choses. Vous voyez ? Et à partir du moment où vous arrêtez, ça se tasse, etc. Après, vous allez me dire, oui, mais on veut de l'eau claire, on veut que ça se tasse. c'était pas la meilleure t'es pas le meilleur exemple, mais je veux juste vous expliquer que quand on bouge, il se passe des choses. Et du coup, pour moi, la meilleure des choses pour vous aider, c'est de vous faire passer à l'action. Et comment est-ce qu'on fait pour passer des gens à l'action ? Par exemple, dans Coach ton business, avec mes clients, je leur fais des plans d'action. Donc clairement, on fait le premier rendez-vous ensemble, on fait une phase d'audit, à l'oral pendant l'heure, parce que je fais pas encore... Je vous parlerai peut-être à la fin de ce qu'on prépare pour la fin de l'été, mais seulement si vous êtes sages. du coup on va faire cette phase d'audit et puis je vais leur mettre un plan d'action en leur disant ok on va commencer par ça, ça, ça, ça là où je fais de l'ultra personnalisé et on me dira ouais c'est pas très bien Janice mais je vous explique à la fin c'est que finalement cette manière de faire les aide à cocher les cases et à se dire c'est fait, c'est fait c'est fait et c'est toujours toujours toujours en fonction de leur business de qui ils sont, de comment ils fonctionnent parce que jamais je n'irai avec une méthode préfète qui forcerait en fait mes clients à faire parce que Merci. C'est la méthode qu'il veut, c'est la seule manière de faire. En fait, c'est le meilleur moyen pour mes clients de ne pas le faire parce qu'ils vont se sentir stressés ou pas à l'aise, ou voilà, ça ne va pas aller, parce que tout le monde ne rêve pas de la même chose d'entrepreneur. D'ailleurs, petite parenthèse, un jour, on m'a demandé, « Janice, c'est quoi les résultats que tu as dans Coach ton business ? » Et là, j'étais là, en fait, c'est tellement personnalisé que les résultats vont être complètement différents. C'est-à-dire qu'il y a beaucoup de gens qui vont venir vers moi en me disant, ouais mais en fait moi j'ai pas très envie de quitter mon job j'ai juste envie que Mon site business fonctionne hyper bien et me fasse beaucoup d'argent pour être tranquille. On va venir vers moi en me disant, moi, je vais développer un gros truc. On va venir vers moi en disant, moi, je veux juste en fait faire joujou, je veux juste m'amuser, je veux juste comprendre. Et en fait, j'ai de l'argent pour ça. Donc, j'investis dans un truc comme Coach Ton Business et je me développe comme ça. Donc, c'est vraiment différent et c'est ça que j'aime le plus dans la personnalisation de mon service. C'est qu'on va vraiment faire en fonction de ce que vous voulez. parfois il y a de la difficulté avec ça parce qu'effectivement il y a des gens qui changent d'avis en cours de route et qu'il faut refaire le planning par rapport à ça. C'est pour ça aussi que je les accompagne aussi là-dedans en leur disant. En fait j'ai ce petit truc où je vois très bien quand je parle aux gens, parce que j'en ai vu aussi tellement maintenant, que je comprends assez rapidement qu'ils ont réellement envie d'avoir au fond d'eux. Et très souvent je vais poser la question à la personne en disant mais en vrai, tu te brides un petit peu. Et la personne elle va souvent me dire oui c'est vrai, j'ai peur. Donc le disclaimer que je voulais faire à ce sujet là c'est que Vraiment, je pense que 80% du temps, ce qui vous bloque en premier, c'est vraiment votre tête. C'est la manière dont vous pensez. Et je vous dis ça en disant que ces derniers temps, ces trois dernières semaines, voire ces quatre dernières semaines, j'ai beaucoup réalisé ça chez moi. C'est que je me rendais compte que je ne faisais pas certaines choses parce que dans ma tête, il ne fallait pas que je les fasse comme ça. Soit parce que je me disais, tu n'es pas assez grande, tu n'as pas assez un gros business, tu t'équipes pour dire ça, tu restes une vieille française. Enfin... des trucs un peu comme ça, genre hyper méchants par rapport à moi. Et en fait, en m'entourant de bonnes personnes, en m'entourant de personnes aussi qui vont justement ne pas voir ça chez moi, eh bien, c'est des déclics que j'ai eus en me disant « Mais Janice, faut pas du tout que tu penses comme ça, arrête ça ! » Et du coup, c'est pour ça aussi que j'aime aussi rappeler à beaucoup d'entre vous, la plupart du temps, si vous passez pas à l'action, c'est parce que vous-même, vous vous mettez des blocages et c'est vraiment pas la vie qui vous met des obstacles devant vous, en fait. C'est vraiment vous qui vous mettez des obstacles. Donc, pour revenir... aux trois étapes vers cette autonomie que j'ai aujourd'hui par rapport à mon business qui fonctionne très bien. Alors, on ne va pas dire qu'il fonctionne sans moi actuellement, mais tout doucement, on y arrive. On arrive à avoir une équipe qui roule, qui tourne et je ne suis pas encore au stade où j'ai envie de le laisser tourner sans moi parce que j'ai du gros kiff avec ce business. C'est mon bébé, ça reste mon bébé, j'adore ça. Je ne sais pas si ça va arriver. Par contre, en revanche, je suis passée par un état d'esprit où je me disais non, mais déléguée, je ne vais jamais trouver les bonnes personnes. Il vaut mieux que je fasse tout toute seule, que j'automatise à fond. Et à partir du moment où j'ai appris à recruter, c'était game changer. C'est que j'ai une équipe aujourd'hui où actuellement, on est six à travailler sur CTB. Alors, il y a des prestataires de services et il y a des réguliers du coup. Et il y a des full time. Et du coup, je me rends compte que c'est l'étape où pour moi, en toute transparence avec vous, c'est exceptionnel. D'avoir une équipe de personnes qui travaillent avec moi, cette équipe, elle accomplit des choses vraiment géniales et je trouve hyper, hyper riche de leur transmettre cette mission que c'était BA et de les voir travailler ensemble pour ça. C'est vraiment le truc qui a été game changer où je me suis dit « Waouh, c'est fou d'avoir des gens qui travaillent avec toi dans la même optique, dans la même mission. » Et c'était... Je ne sais pas, je n'arrive même pas à le dire avec les mots. Je pense que les entrepreneurs qui sont passés par là et qui m'écoutent comprennent le sentiment. Pour moi, ça a été vraiment une révélation de me dire En fait, on peut porter cette mission à plusieurs et le chemin est incroyable. Voilà, tout ça pour dire que la première étape qu'il va falloir faire, c'est être très honnête avec votre situation. Et pour ça, je vous invite toujours et encore à faire coach ton budget si vous ne l'avez pas encore fait. C'est ma formation qui va vous aider à apprendre tout ce que c'est l'éducation financière. Donc, c'est rien d'autre que ce que moi, j'ai développé pour faire la première étape, tout simplement. C'est vraiment de savoir où est-ce que vous en êtes. donc tant autant des revenus que des dépenses, les charges, tout ce que... qui se passe dans votre vie, en fait. Et là, vraiment, ne faites pas l'autruche. Ça ne vous servira pas de faire l'autruche. Ça ne vous servira pas de vous dire « Non, mais là, c'est mon petit budget plaisir. » Donc voilà, en fait, ça ne vous servira pas. Plus vous êtes authentique et honnête avec vos chiffres, plus ça va vous aider à vous sortir de cette situation-là, finalement. C'est ça qui est vachement important. C'est vraiment cette phase-là qui va peut-être vous provoquer... En fait, chez certaines personnes, soit vous faites l'autruche, mais vous le faites quand même, et puis vous allez à l'étape suivante, et puis ce n'est pas grave, au moins vous l'avez fait. on m'écrit des messages où on me dit « Waouh, mais en fait, c'est la cata ! » Ou « Ah, mais en fait, c'est pas si grave que ça ! » J'ai eu tout type de messages. Cette étape-là, si elle ne vous fait pas de déclic, c'est pas grave, le déclic viendra peut-être plus tard. Moi, par exemple, c'est pas cette étape-là qui m'a fait un déclic. Quand j'ai commencé à faire les premières clarifications, on va dire, sur ma situation, en fait, je n'étais pas choquée parce que je me disais « Oui, c'est la vie que je mène ! » Je n'étais pas en mode « C'est catastrophique, Janice ! » Au contraire. Par contre, j'ai eu des petits pincements où je me suis dit... Ah ouais, là tu dépenses quand même pas mal. Et c'est un peu les premiers endroits où j'ai commencé à faire attention. C'est pour ça que je vous le dis toujours aussi, ça sert à rien d'aller taper dans vos courses et de réduire le prix de vos courses. Il faut d'abord taper dans des centres de goût qui sont vraiment superficiels et qui ne sont pas nécessaires, essentiels. La deuxième étape que j'aurais à vous donner, c'est de trouver votre levier personnel de croissance. Et ça, il peut y avoir pas mal de choses à utiliser. Ça peut être un levier d'indépendance avec... justement une activité indépendante, ça peut être un levier par rapport à de l'investissement que ce soit en bourse, que ce soit en immobilier ou voilà, des revenus passifs finalement ça va être vraiment de comprendre comment est-ce que vous pouvez augmenter le revenu que vous avez par mois. Et là j'insiste c'est que moi par exemple le seul levier que j'avais c'était mes compétences, c'est la seule chose que je possédais j'avais pas d'argent, j'ai pas de biens immobiliers j'ai pas d'héritage, j'ai rien donc le seul truc que j'avais en ma position c'était ma tête mes mains, c'est tout ce que j'avais Merci. Donc c'est aussi pour ça que quand j'étais étudiante, j'ai fait beaucoup de jobs à côté parce que si je voulais plus d'argent, il fallait que je mette mon corps, mais c'est vraiment bizarre de dire ça, il fallait que je me mette à disposition des gens pour qu'on puisse m'utiliser, que je puisse avoir des revenus. Et souvent les jeunes, ils ont souvent ce truc un peu hyper négatif de la vie aujourd'hui en se disant « ouais mais moi je comprends pas comment on peut aller travailler de 9h à 5h, être utilisé pour quelqu'un d'autre et tout » . Mais en fait, il y a un moment donné où vous n'avez pas le choix. Si vous voulez grandir et que vous démarrez d'en bas, vous allez devoir faire ce genre de choses. Et ce n'est pas forcément ingrat, en fait, parce que vous allez apprendre beaucoup de choses. Je vous le dis, j'ai fait dix ans avant de lancer mon entreprise dans un monde professionnel salarié. Ces dix ans, ça m'a apporté énormément de structures, énormément de connaissances des mondes différents, c'est-à-dire la start-up, la PME, la multinationale. Ça m'a fait apprendre beaucoup, beaucoup de choses, parfois dans la douleur, parfois dans le plaisir. Et c'est ce qui fait qu'aujourd'hui, je sais ce que je veux, je sais comment je le veux, et j'ai beaucoup beaucoup d'outils dans ma palette pour y arriver. Et d'ailleurs, par exemple, les études, ça en fait partie également. Donc, quand on dit trouver un premier lever d'indépendance, par exemple, là je vais me focaliser sur tout ce qui est par rapport à l'entrepreneuriat, ça va être d'utiliser vos compétences pour transformer dans un service, peut-être ouvrir votre petite marque, vendre quelque chose avec une marque, ça peut être aussi des micro-projets que vous allez faire, ça peut être des petits services que vous allez faire. pour des gens, ça peut être beaucoup, beaucoup de choses comme ça. Et quand je parle de levier plutôt passif, ça va être effectivement d'investir en bourse, d'investir peut-être dans un futur projet immobilier. Aujourd'hui, vous avez aussi tout ce qui est crowdfunding immobilier, ce qui va vous permettre d'investir des petits montants dans de l'immobilier. Alors là, on parle plus de rendement, en fait, que vraiment un projet immobilier. Vous êtes propriétaire d'une maison, on s'entend. Et attention aussi à tout ce qui est immobilier, c'est que... On pense souvent qu'avoir son bien immobilier, c'est une forme d'investissement. C'est sûr, ça l'est, mais ce n'est pas ça qui va vous rapporter de l'argent. Donc en fait, devenir propriétaire, ça va augmenter votre patrimoine global, mais ça ne va pas fructifier pour vous faire gagner de l'argent. Donc c'est vraiment un truc à comprendre qui est important par rapport à l'investissement. Beaucoup de mes clientes ont commencé, je dis clientes parce que c'est toujours des femmes, c'est toujours les femmes qui ont ce truc en plus. Beaucoup de mes clientes ont commencé avec une activité indépendante à côté de leur job et sont devenues complètement indépendantes au bout d'un moment. Typiquement, je vais garder son animus parce que c'est quelqu'un qui ne veut pas forcément que je parle d'elle au grand public. Un peu de pudeur comme d'habitude avec les femmes. C'est quelqu'un qui avait commencé avec moi au début, qui était salariée, qui avait 40% un job et 60% son activité indépendante. A peu près en 6 mois de travail ensemble, alors ce n'est pas moi qui ai fait ça, c'est clairement elle, on a mis les étapes de bout en bout, elle a amélioré tous ses process à l'interne. par rapport à son solo business. Et au bout de six mois, elle a quitté son job et elle s'est lancée à 100%. Et en fait, évidemment, le moment où elle m'a dit je quitte, je me lance à 100%, j'ai très bien vu qu'elle avait hyper peur en fait. Elle était vraiment... Ça lui faisait peur parce qu'elle se rendait compte qu'elle avait réussi à générer 4000 francs par mois, mais que pour vraiment bien vivre, il lui fallait 6000. Sachant qu'elle bossait à 60% pour son activité indépendante. Et en fait, on a mis en place des choses supplémentaires qui ont fait que, non seulement elle a réussi à compenser avec beaucoup plus d'argent que son taf de salarié. Mais en plus de ça, elle a mis en place au bout d'un moment des leviers qui permettaient aussi de croître son activité indépendante dans le futur. Donc en fait, aujourd'hui, elle a beaucoup plus de revenus que quand elle avait les deux ensemble, et surtout quand elle avait seulement son job de salarié. Et ça, je trouve, c'est vraiment... Enfin, je vous raconte ça, c'est également ce que j'ai vécu, parce que la première année où j'étais à mon compte, enfin, à mon compte, la première année où j'ai généré des revenus par rapport à mon activité d'indépendante, c'était moins que ce que j'ai gagné en tant que salarié. La deuxième année, c'était plus. Et la troisième année, c'était beaucoup plus. C'était trois fois et demi ce que j'avais généré en tant que salarié. Donc voilà. Tout ça pour vous dire que avoir peur, c'est normal, mais quand vous mettez en place les bonnes choses, les bons conseils, les bonnes actions, en fait, ça s'appelle avoir craqué le truc et c'est pas très compliqué finalement. Je vais vous renvoyer aussi à l'épisode de la semaine précédente où on a parlé de l'écosystème suisse particulièrement parce que j'ai expliqué dans cet épisode que souvent on se compare au marché français. avec le fait qu'ils arrivent beaucoup plus facilement à quitter leur job de salarié. En Suisse, c'est complètement différent. On ne peut pas faire ça aussi facilement qu'en France parce qu'il nous faut quand même beaucoup plus de revenus. On est sur un marché plus petit, etc. Je vous passe les détails et je vous invite à aller voir cet épisode-là. La troisième partie, de nouveau, je vous le dis très sincèrement, moi, je ne veux pas être coach mentale. Je ne veux pas motiver. Ce n'est pas dans ma vague. Mais par contre, il y a un truc indéniable que je peux vous dire après avoir suivi plus de 50 entrepreneurs. Il faut que je vous le dise. C'est que si vous ne vous autorisez pas... à évoluer et si vous investissez pas en vous, vous n'y arriverez pas. Vraiment. Investir en soi, c'est prendre du temps pour soi, mais c'est aussi investir dans sa formation, c'est aussi investir dans son bien-être, dans son temps, dans toutes ces choses-là. Et même si quand on lance une activité indépendante au début, ça fait peur et on est très stressé, on a même, je dirais, au niveau du... On peut être moins bien qu'avant parce que c'est beaucoup de stress, etc. Quand vous mettez les choses correctement au bon endroit, je vous promets que ça va vous garantir, ça va être beaucoup mieux qu'avant. Vous allez avoir de la liberté, vous allez avoir du choix, vous allez avoir l'occasion de faire les choses comme vous voulez. Et ça, je crois que c'est le plus beau cadeau que l'indépendance peut vous offrir. Pour moi, en fait, il y a deux choses qui sont bangers. dans votre vie en général. Deux choses à maîtriser. La première, c'est tout ce qui est développement personnel. Ça, c'est vrai. Si vous aimez lire des livres de développement personnel, que ce soit américain, français, etc., que vous avez du plaisir à ça, c'est une très bonne chose parce que ça veut dire aussi que vous investissez en vous et que vous voulez comprendre les clés du lâcher prise, les clés pour être heureux, avoir du plaisir, du bonheur, etc. Et la deuxième chose qui, pour moi, va vraiment vous aider... dans votre vie, dans tous les aspects, que ce soit entrepreneurial, personnel ou quoi que ce soit, c'est les compétences financières. C'est vraiment de comprendre comment est-ce que l'argent fonctionne, comment est-ce qu'on en fait, comment est-ce qu'on en produit, pour en fait tout simplement lâcher le stress que l'argent peut vous procurer. Je vous le dis parce que je l'ai vécu, parce que j'ai été dans cette situation où l'argent me causait tellement de stress, c'était vraiment un enfer et aujourd'hui c'est plus trop un problème. Il faut que vous imaginez que j'ai comme un... un tableau de bord de pilotage, et que tout simplement, je pilote toute ma vie avec ce tableau de bord. Et ça va être le pilotage des finances personnelles avec le couple, ça va être le pilotage des finances de la boîte avec ce que j'investis. Et en fait, c'est vraiment un duo gagnant, c'est se développer soi-même pour comprendre aussi qui on est, comment est-ce qu'on fonctionne, comment est-ce qu'on cherche le bonheur, l'amour, où est-ce qu'on va le trouver, dans quoi est-ce qu'on se satisfait, comment est-ce qu'on est heureux suffisamment dans notre vie, et de comprendre comment... fonctionne l'argent, tout simplement. Alors, je vais en profiter, du coup, pour vous expliquer un petit peu ce qui nous attend, nous, à l'interne chez CTB d'ici. même la fin d'année. En parallèle, peut-être vous motiver aussi à prendre les devants pour vous former à ce genre de choses-là. Alors aujourd'hui, vous savez que peut-être que j'ai deux produits d'accompagnement. Même plus, enfin j'ai Coach ton budget, j'ai Coach ton business et j'ai Objectif 100% indépendant et rentable. Coach ton budget aujourd'hui, c'est un projet pour moi qui m'apporte beaucoup de notoriété. auprès des marques, auprès des institutions, des écoles, etc. Mais ce n'est pas un projet pour moi qui a un but extrêmement lucratif derrière, dans le sens où au début, oui, ça m'a fait gagner de l'argent. Et maintenant, aujourd'hui, ce n'est pas que ça ne m'en fait plus gagner, c'est que j'ai une mission d'éducation financière avant tout et que je ne souhaite pas que ce produit devienne, je n'ai pas envie que ce produit devienne la vache à lait de CTB. et de toute façon en fait c'est pas ma compétence principale c'est à dire que je vous apprends à gérer votre budget c'est sûr et certain et d'ailleurs les résultats sont bons en sortant de coach ton budget mais en fait c'est pas le truc qui me fait le plus vibrer dans toute mon activité moi ce qui me fait vraiment vibrer c'est d'accompagner les entrepreneurs à comprendre en fait comment est-ce qu'on fait fonctionner un business pour qu'on soit bien parce que c'est ça moi qui a vraiment changé les choses dans ma vie plusieurs étapes comme je vous ai dit dans cet épisode, mais c'est vraiment ça qui m'a aidée à changer les choses. Le problème c'est qu'aujourd'hui, c'est un peu qui tout double, c'est que soit on va dans objectif 100% indépendant et rentable, et on se retrouve avec une formation qui est assez minimaliste par rapport au... Alors je ne vais pas dire qu'elle est minimaliste, parce que ça veut dire que ce n'est pas bien ce que j'ai fait, et je pense qu'elle est très bien, elle a aidé beaucoup de gens. Mais en fait par rapport aux personnes qui sont dedans actuellement, je sens qu'il y a des lacunes parce qu'on n'arrive pas à aller au niveau supérieur. Et le problème, c'est qu'entre... Objectif 100% dépendant et rendable et coach ton business, il y a un trop grand gap parce que dans coach ton business, je fais du one-to-one, de la personnalisation à 100% et que du coup, j'ai un vrai bottleneck par rapport aux personnes que je peux prendre dedans. Donc, je suis pleine avec plusieurs mois à l'avance, j'ai du mal à prendre de nouvelles personnes et c'est compliqué de gérer les choses comme ça. Donc, on a fait une refonte complète et globale de tout l'écosystème qui va me permettre d'accompagner plus d'indépendants, plus d'entrepreneurs à l'avenir. Je ne vais pas tout vous dévoiler non plus là maintenant. Mais c'est juste que si vous aviez prévu d'investir, de venir travailler avec moi, cet été, on va vous annoncer quelque chose qui devrait pouvoir satisfaire votre porte-monnaie. Parce qu'évidemment, ce sera un budget qui sera complètement convenable par rapport à où vous en êtes dans votre activité. Et d'aller à l'étape supérieure. Parce que c'est ce qu'on veut au final. On veut aller à l'étape supérieure. Donc on vous prépare ça pour la fin de l'été. Il va y avoir vraiment cette énorme refonte sur laquelle on est actuellement en train de travailler. Et il va y avoir aussi un webinaire qui va pouvoir vous aider justement. craquer un petit peu certaines choses. Cette masterclass elle sera gratuite. On répondra à vos questions évidemment et puis ça va vous permettre de vous décider à est-ce que je vais travailler avec Janice ou pas ? Est-ce que je vais travailler avec Coach Ton Business ou pas ? Et j'ai très hâte de vous rejoindre parce que... on a déjà énormément de demandes, donc c'est chouette, je sais que ce produit, que ces produits, ces nouveaux produits vont avoir du succès, mais c'est toujours beaucoup plus gratifiant de vous voir dedans et de voir comment est-ce qu'on évolue ensemble. Et moi, c'est tout, le gros kiff de cette activité, c'est de voir la progression de tout un chacun dans mes programmes d'accompagnement, qui, je le répète, sont un mix entre de la formation et du consulting, donc moi, je n'interviens pas que en mode formation, et puis vous vous débrouillez, j'interviens aussi en tant que consultante qui va vous permettre de changer les choses dans votre business. Voilà. Ça, c'était la petite parenthèse pour vous expliquer ce qu'on vous prépare. Et j'ai très très très hâte. Vous n'avez pas idée, ça a été un travail, là, ces derniers mois, mais ça m'a fait du bien. On va terminer cet épisode avec un truc que j'aurais aimé qu'on me dise. Et en fait, en vrai, je ne suis même pas sûre que si on me l'avait dit, j'aurais capté parce que je suis quand même quelqu'un qui... Il faut que je le vive pour le croire. Il faut que je le vive pour le croire. Est-ce que c'est juste ? Oui, c'est juste. Il faut que je vive les choses pour le croire. Et du coup... Bah je vous avoue que je sais pas mais peut-être que ça va pas vous aider vous donc je vais quand même vous le dire. La première chose, je le dis tout le temps à mon copain, c'est qu'il vaut mieux avancer lentement mais avancer. Lui par exemple il veut tout de suite passer de 0 à 1. Et moi je suis plutôt en mode on va peut-être faire 0,1, 0,2, 0,3, 0,4. Moi je suis beaucoup plus comme ça et c'est aussi ce qui me permet d'avoir une croissance lente et sereine. Enfin lente, elle est pas très lente mais elle est sereine et c'est ce qui me permet de grossir comme ça. Et je pense vraiment que plus vous mettez un petit pas devant l'autre, même si c'est les 50 francs d'investissement que vous faites par mois, ça suffit au début, ça va vous permettre de vous mettre en selle. La deuxième chose que j'aurais à vous dire, et ce que j'aurais aussi aimé qu'on me dise au début, même si c'est pas trop un gros problème chez moi, c'est que je pense qu'il faut pas trop se comparer. Par exemple, j'ai un élève qui est arrivé très récemment dans Coach Ton Business qui a dit « Waouh, mais ça me stresse tout ce qu'elle a fait, Janine, c'est à l'intérieur, c'est dingue, il faut tout ça pour qu'un business fonctionne. » Non. Ne vous inquiétez pas, ça ne sert à rien de se comparer, ça ne sert à rien d'avoir des attentes qui sont complètement irréalistes par rapport à ce que vous voulez. L'important, c'est vraiment d'y aller de nouveau, step by step. C'est-à-dire qu'il faut aussi comprendre qui vous êtes. Et quand on vous dit un business aligné avec vous-même, c'est que tout le monde ne veut pas la taille d'entreprise que j'ai actuellement. Tout le monde ne veut pas même grossir au-delà de ça. Tout le monde ne veut pas avoir des collaborateurs, des prestataires. En fait, on ne veut pas tous la même chose. Et plus vous êtes aligné avec ce que vous voulez vraiment, plus ça va fonctionner pour vous. parce que vous n'allez pas aller chercher des choses que vous n'êtes pas capable de faire. Mais je ne dis pas capable parce que vous êtes nul. Je dis capable parce qu'en fait vous n'avez pas assez de temps. C'est de l'énergie pour y arriver parce que ce n'est pas ce qui vous motive au fond de vous-même. Donc c'est ça vraiment l'importance d'être aligné. Un conseil ultime que j'aurais à vous dire, dans ces étapes de vie de changement, où vous sentez que vous avez besoin de sortir, vous avez un lion en cage à l'intérieur de vous, qui ne demande qu'à être développé, qui ne demande qu'à faire les choses, choisissez-vous vous-même. Même si ça vous paraît égoïste, même si vous pensez que vous allez être le centre, ce n'est pas du tout ça en fait. C'est juste que vous allez pour une fois investir en vous-même, et investir en vous-même va vous aider grandement. à faire le pas et à vous construire la vie que vous voulez. Et ces derniers temps, j'ai énormément fait ça moi-même où j'ai vu très peu de mes amis. Je suis très peu sortie, j'ai fait très peu de choses parce que je développais ce business, parce que je me développais moi aussi. J'avais besoin de temps, de réfléchir, d'avancer. Et en fait, c'est le meilleur investissement que je fais actuellement. Et de toute façon, mes amis, parce que ce sont des vrais amis, ne m'en veulent pas pour ça. On est sur la fin de l'épisode. Du coup, si ça vous a parlé, n'hésitez pas à le partager ou mettre... une note s'il vous plaît. Mettez une note à cet épisode, à ce podcast en fait au global. Vous pouvez mettre un pouce aussi si vous écoutez sur Youtube ou mettre en commentaire les commentaires que vous avez envie de faire. Si vous voulez un petit peu creuser le sujet je vous invite à écouter les autres épisodes parce que évidemment moi c'est toujours ça, c'est comment est-ce qu'on vit d'abondance de thunes, de cash en Suisse spécifiquement ce qui est un marché quand même différent. Si ça vous intéresse de travailler avec moi, inscrivez-vous en fait tout simplement à la newsletter qui est dans la barre d'infos. parce qu'on va vous annoncer les prochaines dates pour commencer les accompagnements, et ce sera du coup d'ici cet été. Entre-temps, on va un petit peu ralentir la cadence, je ne vous mens pas, on ne va pas prendre de nouveaux clients, on va être... Voilà. Mais finalement, si vous avez vraiment envie qu'on fasse les choses ensemble et bien, ça vaut le coup d'attendre, parce que ça va vraiment être chouette ce qu'on va vous proposer. Et pour ceux qui savent et qui ont envie de rejoindre Coach for Business depuis un bout de temps, vous allez voir qu'on ne va pas vous décevoir, parce qu'on a prévu un truc de malade dans quelques mois. Voilà, en tout cas, je vous remercie pour votre écoute, pour votre fidélité. pour ceux qui écoutent tout le temps et je vous dis à tout bientôt
