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Coach Ton Budget & Business

Je vis à 100% du digital en Suisse : mes sources de revenus

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37min |11/12/2024
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Description

Dans cet épisode, je vous raconte pourquoi j’ai choisi de vivre et développer mon activité digitale depuis la Suisse, sans céder à la tendance du digital nomadisme. J’ai eu la chance de goûter brièvement à ce mode de vie lors de séjours en Grèce, au Vietnam et à Tenerife. Mais j’ai vite réalisé que la liberté que je cherchais ne se trouvait pas dans le fait de voyager en permanence, mais dans la manière dont j’organise mon emploi du temps et structure mon business.

Mes valeurs jouent un rôle clé dans cette décision : l’écologie, mon attachement à la Suisse et l’envie de bâtir une entreprise durable et rentable. En travaillant ici, je profite d’un cadre légal clair, d’un réseau professionnel efficace et d’une clientèle de qualité, tout en conservant la flexibilité qui est si importante pour moi.

Je vous parle aussi de mon organisation actuelle : comment je combine création de contenu, formations digitales, consulting et partenariats, tout en respectant mes priorités personnelles comme le sport et mes loisirs. On aborde aussi des sujets financiers essentiels comme la gestion du budget, l’épargne et l’investissement, avec des conseils pratiques pour sécuriser vos projets à long terme.

Enfin, je partage mes conseils pour les entrepreneurs qui veulent se lancer : l’importance de démarrer petit, de trouver un problème concret à résoudre et de construire une communauté solide avant de tout miser sur une activité en ligne. Mon objectif est de vous montrer qu’on peut trouver la liberté dans une structure bien pensée, sans suivre les tendances à tout prix.


À écouter, à partager, et à appliquer pour un impact réel sur ta vie et ton business!


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Mots-clés : entrepreneuriat, gestion financière, investissement, revenus passifs, stratégies de vente, marketing digital, formations en ligne, coaching d'affaires.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Vous avez tous vu passer sur les réseaux sociaux ces digital nomades qui vivent de leur business à l'autre bout de la planète. Parmi eux, il y a des Suisses qui sont partis ou qui partent de manière saisonnière vivre à l'étranger tout en vivant du digital. Alors, petit spoiler, je respecte les choix de vie de tout un chacun, et je vous avoue que j'en ai rêvé de cette vie de digital nomade que j'ai brièvement goûté, je vais vous raconter, et aujourd'hui, je n'ai absolument plus. envie de l'être. Et d'ailleurs c'est un des objectifs que j'ai eu, que j'ai dans mon business, c'est de vivre pour et depuis la Suisse du digital. Ça veut pas dire que je fais plus de vacances, que je pars pas, etc. Mais ça veut dire que j'ai une toute autre approche de mon business, toujours associée à la liberté. Je vais vous expliquer. Donc comme d'hab, je vais vous parler une partie de mon parcours qui me pousse à me poser ce genre d'objectifs, que ce soit mes valeurs, mon éthique, mes envies, etc. Je vais vous détailler aujourd'hui comment j'en vis à 100% et je vais aussi vous donner des conseils si vous avez envie de démarrer et de faire la même chose. Bienvenue sur Coach ton budget et business, le podcast dédié à la thune mais aussi et parfois au marketing et à l'entrepreneuriat en Suisse particulièrement. Je suis Janice, formatrice en marketing et mentor en business digitaux mais aussi créatrice de contenu dans la finance personnelle. Dans ce podcast, on parle argent pour s'éduquer, apprendre à gérer, comment réaliser nos projets de vie avec. Et si tu es nouvelle ou nouveau, bienvenue et pour les auditeurs fidèles, merci de continuer à me soutenir. C'est très important, si vous mettez une note à ce podcast, déjà ça veut dire que vous l'aimez et moi je vous aime aussi. Mais si vous l'aimez encore plus, vous pouvez vous abonner à l'annuisateur. et vous l'aurez dans votre boîte mail toutes les deux semaines. Moi, ça m'aide à le faire connaître et ça a vraiment une grosse portée parce que grâce à vous, j'ai la presse qui me contacte, j'ai des grosses institutions publiques aussi qui me contactent pour faire de l'éducation financière. Donc, je développe vraiment mon projet de faire de l'éducation financière un gros truc en Suisse et c'est grâce à ça que vous m'aidez à le faire. Tout d'abord, avant de vous rentrer dans le vif du sujet, ce que je vais vous raconter dans cet épisode, c'est d'abord je vais faire un petit rappel sur mon parcours, on va parler de définition aussi parce que j'ai parlé de mots, peut-être que vous savez pas ce que c'est. Je vais vous parler d'où ça m'est venu cette envie de vivre à 100% du digital en Suisse. Je vais vous parler aussi un peu de thunes, de... qu'est-ce que vous pouvez attendre ou comment est-ce qu'on met en place une activité comme ça pour avoir de l'argent supplémentaire ou en tout cas à terme peut-être comme moi avoir votre business à 100%. Je vais vous donner du coup des astuces pour ceux qui veulent démarrer. Juste avant de commencer, je voulais juste vous dire que j'ai ouvert la pré-vente pour Objectif 100% indépendant et rentable. Donc c'est une offre à 50% qui est en place jusqu'au 14 janvier. Au 14 janvier, c'est le prix plein qui commence pour cette formation. Je vous explique à la fin de quoi il s'agit, mais vous allez en entendre parler dans l'épisode de toute façon. Et si vous voulez encore plus de détails, vous écoutez les autres épisodes, vous verrez, j'en parle énormément. Alors déjà, petit rappel, petite update sur qui je suis, mon parcours, tout ça, bref, très très brèvement. Je m'appelle Janine, je l'ai dit à l'instant dans l'intro, et j'ai de grosses communautés sur les réseaux sociaux qui sont principalement suisses, c'est-à-dire que j'ai quasiment 10 000 personnes qui me suivent sur Instagram à l'heure où je vous parle, j'ai 90 000 abonnés sur TikTok, j'en ai un peu plus de 5 000 sur LinkedIn, donc j'ai vraiment des grosses communautés, et souvent quand on voit vos grosses communautés, on se dit bah la meuf couille à 100 or, elle est payée par les réseaux sociaux, elle vit sa best life, etc. C'est pas exactement ça, même si effectivement mes audiences me permettent de me rémunérer et je vais vous en parler dans cet épisode, mais c'est pas exactement ça et je travaille beaucoup. En tout cas, ça me permet de vivre la vie que j'ai rêvé d'avoir il y a longtemps. En fait, mes amis souvent me disent mais pourquoi tu te barres pas ? Pourquoi t'en profites pas de cette liberté ? etc. Ils me disaient que c'était cool de vous expliquer pourquoi est-ce que j'ai choisi de vivre du digital en Suisse, comment est-ce que c'est faisable et surtout, pour ceux qui veulent pas partir comme moi, je pense que c'est un super tremplin pour se dire c'est faisable en fait, c'est faisable de vivre de son business en tant que solo-preneur en Suisse quoi Je ne suis pas la seule. On va commencer par une petite définition. Qu'est-ce que c'est déjà un digital nomade ? Parce que je l'ai parlé là juste avant dans l'intro, je ne suis pas digital nomade fondamentalement, c'est juste que pour vous expliquer, l'introduire, le sujet du digital, j'ai parlé de digital nomade. Un digital nomade ou une digital nomade, c'est une personne qui utilise les technologies numériques pour travailler tout en voyageant ou en vivant où elle le souhaite. Il y a les freelancers en marketing digital, les développeurs web, les consultants, les créateurs de contenu, les formateurs en ligne, voilà, il y a un panel de gens qui font ça, du digital et qui vivent à l'étranger. En général, les gens qui veulent devenir digital nomade, c'est pour avoir la liberté géographique, ils veulent la flexibilité de l'emploi du temps, ils veulent voyager, découvrir, et j'ai l'impression que c'est très de ma génération, c'est-à-dire les millenials, ils sont un peu désillusionnés par le salariat traditionnel, ils sont en quête de sens, ils veulent devenir leur propre boss, donc voilà, ils lancent leur business, et puis pour certains, ça marche extrêmement bien, et puis pour d'autres, c'est un peu plus compliqué. Et c'est là où je veux en venir, c'est que... en fait beaucoup pensent que le devenir digital nomade c'est facile et ça résout tous les problèmes parce qu'on a plus de boss etc mais en fait il y a quand même d'autres problèmes, il y a toujours le stress, le manque de temps l'insatisfaction au travail et puis surtout ça peut apporter des nouvelles contraintes c'est à dire l'isolement, l'instabilité financière, les difficultés administratives selon le pays où on est. Bref ça peut devenir vraiment complexe et tout au long de cet épisode j'ai décidé de vous mettre un témoignage de Aude qui est la co-fondatrice de Oralima. Aude est partie il y a quelques années de ça en Thaïlande pour justement vivre un petit peu sa best life en tant que digital nomade vu qu'elle a un business digital... qui fonctionne extrêmement bien. Et elle est revenue en Suisse et aujourd'hui, elle habite à 100% en Suisse. Elle est là, elle vit sa best life en Suisse comme moi. Et j'ai trouvé intéressant qu'elle vous rajoute un petit peu son parcours et son expérience par-dessus pour vous expliquer un peu quoi, comment. Oui,

  • Speaker #1

    c'est vrai que devenir Digital Nomad, ça a été mon rêve depuis toujours. Quand je suis partie en Indonésie en 2014, c'était pour les vacances, j'étais encore employée à ce moment-là. Je me suis dit, mais c'est exactement ça que je vais faire et je vais tout faire pour justement créer un business ou en tout cas me créer une vie pour réussir à devenir Digital Nomad. et une année après mes rêves se sont réalisés j'ai tout quitté, pacté mes affaires et je suis partie en Thaïlande. Disons que la réalité m'a vite rattrapée là-bas, on est sur une île paradisiaque et on a un business à faire tourner. Sauf qu'un business ça demande de l'énergie, ça demande du temps. L'argent gratuit d'internet c'est aussi une légende, il faut travailler pour justement réussir à maintenir quelque chose qui soit viable. Et c'est vrai que moi je suis construite sur le long terme, je vais pas chercher le gain immédiat. C'est vrai qu'on le voit notamment avec le dropshipping etc c'est possible mais moi c'était vraiment pas ça que j'avais envie donc c'est vrai que... Une légende de travail 4 heures par jour, en tout cas pour moi sur le départ c'était compliqué. Donc j'ai passé des journées entières enfermées dans ma villa de rêve, avec la piscine qui m'attendait où je n'avais même pas le temps d'aller. C'est vrai que les journées ont passé très vite et c'est à ce moment-là que je me suis dit, mais à quoi bon être... en vacances et être dans des endroits magnifiques sans pouvoir profiter du moment et de l'instant. Donc c'est vrai qu'à ce moment-là, ça a été assez une désillusion.

  • Speaker #0

    De nouveau, l'idée, c'est pas de vous dégoûter du digital nomade parce que fondamentalement, c'est une super chose. Je pense que quand on est jeune ou quand on a vraiment envie et soif de découvrir, ça peut être fabuleux. C'est fabuleux, en fait, d'être payé de son business, d'avoir une activité et de pouvoir la faire de où on veut. C'est vraiment génial. Et ça, je soutiens cette idée à fond. Mais en fait, vraiment, on n'est pas obligé de partir à l'étranger et on peut rester en Suisse. Ça peut fonctionner. Ça peut être génial, en fait. Je pense que vivre en Valais et être 100% digital, c'est génial parce que ça me permet de faire plein de choses quand j'en ai envie et de ne pas être contraint par une location, un endroit où je dois aller ou de devoir exercer mon métier de manière physique, etc. Et aussi, de nouveau, un autre spoiler, c'est que je ne dénigre pas les métiers qui sont en présentiel et qui ont besoin du présentiel parce que je vais vous expliquer aussi dans quelques minutes que le présentiel est quand même important dans le développement de son business. Et du coup, c'est important. Quand je dis vivre du digital, c'est-à-dire que je voulais vous expliquer... la liberté associée grâce au digital et c'est en partie grâce à ça. Alors en fait, moi comme beaucoup, je me suis dit, trop cool, si je vis du digital, c'est ce que je vais avoir. Donc la liberté, tout ça, voyager, machin machin. Je vais vous raconter, ça a beaucoup changé entre temps et c'est super intéressant de voir le changement de mon état d'esprit avant, plus jeune, et maintenant. Et tout a commencé en fait en 2019, j'étais en Grèce. Donc en Grèce, j'avais lancé un... je finissais mes études en fait et j'avais lancé un blog de voyage. Et en fait, long story short, je renvoyais pas de trafic vers ce blog, donc personne ne consultait ce blog. Et je faisais des articles sur ma vie en Grèce. Par exemple, je faisais des articles où je débattais avec les philosophes. Je parlais de liberté d'expression, tout ça, tout ça. Enfin bref, je faisais un peu la grecque, quoi. Et je faisais des vidéos aussi, parce que j'étais bénévole pour une association. Donc je faisais pas mal de bénévolat. Bref, je kiffais ma vie en Grèce. J'avais aussi recensé plein de restaurants véganes, végétariens, bio, etc. Donc j'avais vraiment... Je suis une exploratrice. Moi, j'adore développer ou découvrir des choses. J'adore aller tester des trucs et tout. Donc j'avais essayé de mettre tout ça sur un blog. Et en fait, c'était un peu le farfouille. Il y avait plein de choses, mais voilà, c'était la première chose. Donc si vous connaissez un petit peu mon parcours, vous savez qu'après la Grèce, je suis partie en Angleterre. J'avais prévu de faire ma vie là-bas. Spoiler, je suis rentrée en Suisse. Et quand je suis arrivée en Angleterre, en fait, cette envie m'est très vite passée de faire un blog. C'est-à-dire que c'était beaucoup plus facile de gagner ma vie avec tout simplement un salariat qu'avec un blog. Voilà. Et du coup, cette expérience, elle a été courte. C'était quelques mois, mais... En fait, aujourd'hui, je vois que ça m'a appris beaucoup de choses. J'ai vraiment appris beaucoup de choses. J'étais en contact avec des digital nomades, j'étais dans les co-working. J'ai fait trop de trucs comme une digital nomade alors que je ne gagnais absolument pas ma vie avec cette activité-là. Mais j'avais mis beaucoup d'argent de côté pour me permettre cette expérience-là. Bref, tout s'est arrêté, j'ai commencé à travailler, le travail prend du temps, on n'a plus le temps de développer un blog, on n'a plus envie, bref, voilà. Donc, je vous bouge en fast track à 2022. où j'ai commencé de nouveau à avoir ce truc qui me titille de ah j'aimerais bien quand même avoir mon truc à moi. Il faut savoir que j'avais quand même lancé une association avec mon meilleur ami de fan de plantes, je le répète souvent dans les épisodes, ça impressionne les gens mais c'est vrai. Et en fait pareil, on se fait pas de la thune avec ça, enfin on fait pas d'une association, enfin en tout cas cette association elle est pas du tout de venir m'en gagner pas, c'était impossible, c'était absolument pas rentable. Donc je commence à réfléchir sur une idée de business, machin qu'est-ce que je pourrais faire pour... commencer vraiment à avoir de l'argent en plus, etc. Puis être plus libre, machin. En fait, il y avait d'abord se faire de l'argent en plus, c'était mon premier objectif, mais derrière, il y avait quand même l'objectif d'être libre. La liberté, c'était quand même... Enfin, argent égale liberté, finalement, parce que quand on a de l'argent, on peut choisir de faire un peu ce qu'on veut. Parce qu'on peut choisir... Enfin, j'ai pas besoin de vous expliquer, je pense. Bref, du coup, je réalise aujourd'hui quelque chose, c'est que je ne cherchais pas juste à être digital nomade, je cherchais la liberté de mouvement. Je cherchais la liberté de mes horaires, de ne pas devoir aller au travail ou d'avoir envie de rester à la maison. Je voulais avoir le choix parce que j'en avais ras le cul de demander pour prendre des congés. J'en avais marre d'être limitée à cinq semaines. J'en avais marre de devoir pointer quand j'arrivais au travail. J'en avais marre, je me sentais complètement bridée et ça n'allait pas du tout. Alors juste un petit spoiler, c'est que ce n'est pas parce que vous vivez ce genre de choses au travail que vous n'êtes pas fait pour le salariat et qu'il faut devenir entrepreneur. Quand vous devenez entrepreneur, il y a d'autres problèmes. Et je vous dis, il y a des trucs, il faut avoir de sacrées épaules, c'est souvent plus problématique que d'être salarié. Donc je pense qu'il faut d'abord regarder un petit peu si changer de travail, ce serait pas la solution dans un premier temps, et après vraiment commencer à se dire, ok, en fait, j'ai vraiment envie de développer quelque chose et de me lancer dans une activité entrepreneuriale. Mais c'est aussi quelque chose qui va devoir vous combler, c'est-à-dire qu'il ne faut pas se lancer là-dedans juste pour les thunes. Moi, je vous ai parlé, je vous ai dit, je voulais faire de l'argent supplémentaire. Au fond de moi, j'ai quand même une petite flamme qui avait une passion dans quelque chose, qui avait envie de transmettre quelque chose. Et cette passion, elle m'a permis de développer. Parce que sans la passion, vous ne pouvez pas développer. En fait, ça ne vous intéresse pas. Donc, vous n'allez jamais, jamais réussir à faire une tâche après l'autre. Si ce que vous faites, ça ne vient pas du fin fond de vos entrailles, vous n'allez pas vous motiver à le faire. Donc, ça ne sert à rien de vouloir se lancer là-dedans juste pour les thunes. En fait, il faut avoir des vraies raisons. Voilà, c'est ce que j'essaie de dire, il faut avoir des vraies raisons. Bref, je pars au Vietnam, je rentre du Vietnam, j'ai l'idée de Coach Ton Budget, donc je fais cette formation, je l'explique dans beaucoup d'épisodes, donc si vous avez envie d'écouter, n'hésitez pas à aller écouter les autres épisodes. Et en fait, pour vous expliquer, en début d'année 2023, quand j'ai lancé Coach Ton Budget, pour marquer le coup, je suis partie à Ténérife. Et ça, c'était un peu, pas ma revanche, mais me dire, ben voilà, c'est bon, je lance mon business en ligne, je vais partir à Ténérife pour fêter cet lancement avec moi et moi toute seule. Alors qu'en vrai, ce n'était pas du tout ce business-là qui avait financé Ténérife, c'était mes thunes de mon salariat. Et j'étais partie à Ténérife, j'avais lancé. Et déjà là, le constat, c'est qu'on est à l'étranger, on a envie d'aller visiter. Donc j'avais ma petite voiture et puis le matin, je faisais des trucs pour la formation et l'après-midi, j'allais visiter. Et là, ça a été un peu le premier truc où je me dis, mais en fait, quand je suis en vacances, j'ai envie d'être en vacances. Je n'ai pas envie de faire autre chose. Ça a été un peu le premier constat, mais je ne me le suis pas tout de suite accordé. Donc voilà.

  • Speaker #1

    Ensuite, je suis partie en Europe après les six mois d'Asie. Et je me suis dit, c'est génial, je vais pouvoir faire un tour d'Europe tout l'été, profiter de cette Dolce Vita Summer européenne. Et je me suis retrouvée chaque semaine dans un avion avec mon ordinateur à paquer, à dépaquer, à rentrer dans un Airbnb, à ressortir. Et en fait, c'était une catastrophe parce que du coup, difficile de tout le temps changer de lieu. Et c'est ça que j'ai compris aussi, c'est que si on a envie d'être digital nomade, on a besoin de se poser. Moi, j'avais besoin de faire un minimum de séjour de trois semaines parce que le temps que tu arrives, que tu mettes tes affaires, que tu commences à travailler, à t'habituer. Et parfois, il faut aussi... Hors des vacances, il faut aussi savoir où tu vas manger, retrouver tes petites habitudes. Et c'est vrai que tout ça, ça a beaucoup de temps. Et finalement, je n'avançais pas dans mon business. C'est vrai que ça a aussi demandé une rigueur de dingue. Quand tu es dans un petit café au bord de la plage en Indonésie, avec une plage magnifique, tu as juste envie de profiter du soleil. Et tu ne peux pas, tu as des obligations. Et aussi, ce qui n'est pas évident, c'est que j'ai beaucoup de clientèle européenne. Donc, il faut aussi se mettre à l'heure européenne. Donc, le soir, tu travailles avec ça. Alors, c'est toute une organisation. Et c'est vrai qu'à long terme, je me suis dit que ça ne va pas me convenir. Et que j'avais rêvé. disons, notamment à Bali etc. c'était pas possible. Et c'est vrai que si tu es influenceur et que toi tu vis aussi de toi création de contenu, je trouve que c'est différent. Mais en tant qu'entrepreneur vraiment et digital nomade en tout cas, en ligne comme ça c'était très compliqué. Et puis finalement j'ai décidé de rentrer en Suisse, de prendre un appartement, un tout petit appartement avec un loyer pas forcément très onéreux. Comme ça si j'ai envie de partir trois mois pour de vrai, je peux le faire et c'était important pour moi vraiment d'avoir ce pied-à-terre. Voilà comme une structure finalement aussi pour moi. Alors c'est vrai que je suis toujours libre géographiquement, notamment je fais pas mal d'allers-retours à Dubaï, et ça c'est agréable, mais c'est vrai que j'organise mon temps tout le temps en fonction, et même quand je dois travailler en voyageant, c'est jamais très très facile.

  • Speaker #0

    Et du coup, comme Aude, non seulement j'avais pas envie de faire Digital Nomad à l'étranger, et j'en avais pas besoin. J'ai beau être une exploratrice, j'adore explorer, ben justement j'adore explorer, donc être à l'étranger pour rester quelque part, ben moi ça m'intéressait pas. Je pense que ça se fait quand on reste à un endroit pendant longtemps, par exemple là je suis en Valais, j'ai plus besoin d'explorer, enfin... J'y vais le week-end, mais c'est plutôt du plaisir. Et surtout, en fait, c'est aujourd'hui. Ce sont des constats que je fais aujourd'hui. Ce n'est pas des constats que j'ai faits sur le moment même.

  • Speaker #1

    C'est vrai que ça a même été un moment d'une désillusion. Parce que tu sais, quand tu rêves de quelque chose et que tu mets tout en place pour y arriver, que tu arrives et que tu te dis, oups, ce n'est pas ça du tout. En tout cas, moi, je sais qu'il m'a fallu bien une année pour admettre ça et me dire, voilà, ce que tu avais rêvé, finalement, ce n'est pas ça.

  • Speaker #0

    Et en fait, j'avais la volonté d'avoir une vraie entreprise, pas juste une petite activité de freelance en Thaïlande. Et de nouveau, je ne critique pas, c'est juste pas ce que je voulais. Je voulais plus que ça, je voulais avoir un impact.

  • Speaker #1

    Mais c'est bien parce que grâce à ça, finalement, ça a été mon leitmotiv pour tout péter, j'ai envie de dire, pour avancer. Et c'est ça qui m'a permis justement de concrétiser et de vivre cette passion-là et ce rêve-là. Et c'est génial parce qu'aujourd'hui aussi, avec cette idée de Digital Nomad, finalement, j'ai... aucune obligation, j'ai pas de local, je peux travailler quand je veux, d'où je veux, donc ça c'est aussi génial et ça me laisse une liberté que finalement moi c'est la liberté que je cherchais et je les retrouve aujourd'hui et peut-être que c'était pas cette liberté géographique.

  • Speaker #0

    Et aussi je vous ai parlé, j'avais des valeurs en fait, j'avais une éthique. Déjà il y avait tout ce qui était écologique, c'est que je me voyais pas prendre l'avion plusieurs fois dans l'année, genre plein de fois dans l'année juste pour me déplacer d'un endroit à l'autre, je voulais pas ça, je voulais rester proche de ma famille parce que quand j'étais en Angleterre j'étais assez loin d'eux et ça me saoulait de devoir prendre l'avion pour aller les voir. Bon ça va je suis pas restée trop longtemps donc j'ai pas dû le faire mais... Et surtout en fait c'est que j'aime la Suisse. J'aime les avantages de travailler en Suisse, dans un environnement structuré, flexible, l'accès aux clients, le cadre légal clair. Et je le dis tout le temps mais j'ai réalisé qu'en Suisse vous avez quand même des opportunités de malade. La Suisse c'est un environnement qui est fait pour les entrepreneurs. J'ai un pied en Suisse, j'ai un permis de séjour en Suisse. Pourquoi pas en profiter quoi ? Pourquoi j'irais à l'étranger alors que j'ai le passeport royal pour vivre dans un pays ultra privilégié ? Et puis surtout j'ai réalisé qu'on peut tout à fait développer son activité à l'étranger, certes, mais quand même être en Suisse et montrer qu'on est en Suisse c'est un gros coup de bouche à son propre business, surtout quand on vend du Swiss made. Enfin du Swiss made c'est du Swiss digital made mais vous voyez ce que je veux dire. Il y a un autre truc aussi que j'ai réalisé, mais ça j'ai réalisé cette année, j'ai pas réalisé à l'époque, c'est que quand on est à l'étranger on néglige le networking. Et en Suisse c'est... enfin... Le networking, je dis, ça dépend de son business. Moi, je parle d'un business qui est basé en Suisse. En fait, en Suisse, si vous avez une clientèle suisse, serrer des pinces, c'est vachement important encore. Montrer qui vous êtes, montrer ce que vous faites, juste vous montrer en public, c'est vachement important. Ça, je l'ai réalisé, c'est qu'à chaque fois que je faisais, entre guillemets, je ne suis pas bénoncée, dès que je fais une apparition publique, dès que je fais une conférence, dès que je donne un podcast, dès que je montre que je suis une personne physique, vraie, morale, qui existe, les gens, en fait, ils sont là, genre, ah, mais cette meuf, elle existe vraiment, elle est là, et voilà. Et ça, ça me donnait à chaque fois, cette année, ça m'a donné des gros coups de boost dans mon business. De montrer qu'on passe à la RTS, de montrer qu'on a un article dans le bilan, dans le temps, etc. Mais ça, les gens, ils sont là genre Ah ouais, en fait, c'est vrai, c'est pas du bullshit Bah oui, c'est pas du bullshit, je suis une vraie personne, j'ai des vraies valeurs à transmettre. Mais pour revenir au sujet du digital nomade, c'est qu'il faut vraiment savoir que moi, je ne suis pas digital nomade. J'ai un appartement en Suisse, je ne vadrouille pas, j'ai un bureau. Donc, je ne suis pas digital nomade. Je vis du digital, mais je ne suis pas digital nomade. Parce qu'un digital nomad, en fait, en général, il va dans les cafés, il va faire son petit match à la thé. Non, c'est un peu cliché ce que je raconte, mais il va louer une jolie villa à Bali pour la saison. Il va faire toutes ses activités un peu d'expat en Asie. En général, c'est en Asie ou alors c'est en Amérique du Sud. C'est un peu les deux endroits où les digital nomads vont. Et en fait, en Suisse, ça, c'est pas trop possible. Louer une jolie villa, ben merci, vous devez bien gagner votre vie. Les cafés... pareil, encore quoique j'ai vu des prix à Bali ou dans des zones là c'est abusé c'est aussi cher qu'en Suisse, mais voilà c'est pas du tout la même vibe en fait ensuite en Suisse ça n'existe quasiment pas en fait c'est pas comme ça que ça se passe ici la limite dans un café si vous acceptez avec votre ordinateur c'est bien parce que généralement ils sont là genre en fait je me suis fait virer d'un café à Genève parce que j'ai sorti mon ordinateur, genre non ici on n'accepte pas les ordinateurs, tranquille j'attends un pote, j'ai envie juste de travailler sur un truc non ok d'accord je vais pas revenir ici Bref, c'est pas du tout pareil. Si vous voulez vraiment, il faut louer un espace coworking. En général, ça coûte cher. Si vous voulez en tout cas être avec d'autres personnes, si vous voulez être seul, vous pouvez avoir un bureau. C'est aussi de l'argent. Bien que vraiment, je pense qu'à l'étranger, il y a aussi des coûts. Je pense bien, mais c'est vraiment pas la même vibe. On va dire qu'en Suisse, on vient pas en Suisse pour être digital nomade. Et de toute façon, en fait, je vous dis, je ne voulais pas être un digital, être une digital nomade. Moi, j'aime la stabilité. J'aime avoir mon appartement, mon chez moi. J'aime faire les mêmes trajets tous les jours s'il faut faire les mêmes trajets, c'est-à-dire de temps en temps aller au fitness ou aller à l'équitation, etc. Moi, j'aime quand c'est régulier, quand c'est la même chose. Donc, partir à l'étranger, devoir tout reconstruire, etc., c'est bien cinq minutes, mais je l'ai fait un peu toute ma vingtaine. J'ai plus trop envie de le faire pendant les années qui suivent. Voilà. On va passer à la suite de l'épisode. Je vous ai promis de vous expliquer comment est-ce que je vis de mon digital, de mon business digital et qu'est-ce que j'ai fait pour y arriver. Alors, évidemment, c'est pas dans un épisode que vous allez avoir... toute ma stratégie. Je ne vais pas tout vous donner, mais je vais vous expliquer la structure de mon business et ce qui me permet d'en vivre. Alors, déjà, il faut savoir qu'un consultant classique, en général, il va être payé à l'heure parce qu'il fait des consultings sur ci et ça et ci et ça. Donc, si on peut assimiler mon métier à quelque chose de traditionnel, ce serait au consultant, ok ? Au consultant ou au formateur. Le formateur, en général, il est salarié, c'est-à-dire qu'il est salarié de l'État avec l'école ou dans un truc privé, je ne sais pas. Bref, il est payé à donner des formations. Moi j'ai un mix entre les deux, c'est-à-dire que je forme et je suis mentor. Donc je suis à la fois consultante où je vais aller voir et consulter, regarder ce qui se passe, mais je vais aussi former parce que j'ai une méthodologie et je fonctionne d'une certaine manière. Comme ça vous voyez un petit peu ce que je fais. De base, c'est pas mon métier. C'est-à-dire que de base je suis Digital Marketing Manager, je suis économiste d'entreprise, j'ai fait une formation pour International Business Management, je me suis spécialisée dans le marketing au fur et à mesure des années, mais j'ai constaté que j'avais des choses à transmettre. Et du coup, j'ai créé une formation qui s'appelle Coach ton budget et qui m'a permis de me lancer l'année dernière. Coach ton budget, c'est environ 6 mois de travail pour tout faire. Quand je vais vous donner des conseils pour voir comment faire, n'allez pas tout de suite tout feu tout flamme en se disant je vais faire une formation en ligne, ça va me faire des pépettes. Ce n'est pas vrai. Une formation en ligne, ça va vous demander beaucoup de compétences à travailler. Ça va vous demander de savoir comment la construire, ça va vous demander d'être pédagogue, d'avoir quelque chose à transmettre. Ça va aussi vous demander de devoir développer des outils marketing parce que les clients ne viennent pas tout seuls, ça je vous le dis. Et ça va pas vous demander du boulot sur du long terme. Moi, j'ai eu de la chance, c'est que tout ce qui est business et tout ce qui est... Enfin, de la chance, c'est mon métier en même temps. Tout ce qui est business et tout ce qui est marketing, je sais. Je sais comment faire. Mais tout ce qui était budget, ça, j'ai appris. Ça, je me suis développée moi-même dans mon éducation financière. Donc, j'avais une pédagogie à transmettre. Je Ausha les cases du business et du marketing. Donc, j'ai lancé Coach ton budget. Plus tard dans l'année, j'ai lancé Coach ta bourse. Coach ta bourse est une version... pour la même coach ton budget. Donc c'est une formation qu'on appelle Evergreen. Je n'interviens pas, je l'ai créée, je l'ai montée, je l'ai fabriquée de mes propres mains, mais je n'interviens pas. Donc les gens suivent ces formations-là sans que j'intervienne. Et très récemment, la dernière formation Evergreen que j'ai sortie, et que là j'en ai parlé tout avant, c'est... 100% indépendant et rentable. 100% indépendant et rentable est venu d'un souci personnel que j'avais parce que je n'arrive pas à prendre tout le monde dans Coach ton business et qu'il y a énormément de débutants, de gens qui ne savent pas par où démarrer pour démarrer un business. En fait 100% indépendant et rentable c'est un peu le début de Coach ton business, c'est que je vais renvoyer toute personne qui ne sait pas comment on construit les bases d'un business en Suisse. Souvent en fait on pense qu'on va aller en SARL, on va aller en réseau individuel, hop on a la structure administrative et maintenant c'est bon je vais devenir entrepreneur. C'est pas du tout ça en fait. Pour devenir entrepreneur, la marche à suivre c'est la suivante. C'est que vous devez avoir trouvé un problème à résoudre sur le marché. Donc vous avez vu qu'il y avait un problème chez une certaine audience, vous avez trouvé une solution à ce problème. Vous comprenez la solution et vous savez comment la porter à votre client. C'est comme ça qu'on démarre. Ensuite il faut rédiger une offre, il faut rédiger un business plan, il faut rédiger un petit peu toutes ces choses-là qui vont former, structurer votre business. Ça c'est la base. Et ensuite après ça il faut commencer à chercher comment est-ce qu'on va trouver des clients. selon la structure du business, selon votre business model, vous ne cherchez pas les mêmes clients que, enfin quelqu'un qui est par exemple coach en sport, il ne va pas chercher ses clients de la même manière que le gars qui vend des promotions immobilières. Tout ça c'est différents business, différentes manières d'acquérir des clients et ça il faut comprendre. Et en fait 100% dépendant et rentable c'est ça, c'est le début, c'est comment est-ce que je crée un business de zéro avec une petite marche à suivre pour y arriver. Donc c'est vraiment une formation rapide dans le sens où ça va vous mettre le pied à l'étrier. Alors l'objectif, ce n'est pas de devenir 100% indépendant et rentable, mais c'est de vous mettre sur cette voie-là. Parce que beaucoup de gens vont avoir des idées business. Par exemple, moi, je veux vendre des balades en forêt. Mais le problème, c'est qu'il faut que vous compreniez que ce business-là, il doit vous rémunérer. Il doit avoir un business model derrière. Il doit avoir un moyen de vous générer des revenus. Et si vous n'avez pas réfléchi à ça ou à votre structure de coût, c'est bien. Mais imaginez, vous avez un business qui est très coûteux. Vous allez vous sortir comment un salaire si votre business est coûteux de base ? Toutes ces choses-là, il faut y penser. Et ça intervient de base. Et ça, personne ne va vous le dire, en fait. Personne ne va vous expliquer dans n'importe quelle formation comment est-ce qu'on monte un business. On va vous dire, quand vous allez dans des structures comme IFJ, par exemple, qui est génial si vous avez besoin de comprendre qu'est-ce qu'il faut mettre en place pour devenir indépendant, au niveau administratif, ils vont être fabuleux pour ça. Ils vont vous conseiller pour tout ce qui est administratif. Mais par contre, au niveau marketing, comment acquérir des clients, comment faire en sorte que vous deveniez rentable avec vos offres, etc. Il n'y a personne qui va vous expliquer ça. Donc moi, j'ai trouvé ce problème-là sur le marché suisse. J'en ai fait une formation, j'en ai fait une formation 100% digitale et c'est en partie Coach Ton Business que je vous explique dans deux minutes, mais du coup j'ai fait une version plus condensée, plus courte pour les gens qui veulent vraiment mettre le pied à l'étrier mais qui n'ont pas non plus des masses de budget pour rentrer dans Coach Ton Business. Et du coup le troisième plus gros produit que j'ai, c'est le quatrième du coup maintenant, c'est Coach Ton Business. Coach Ton Business c'est vraiment une formation mentorat et cette formation elle est 100% digitale. Elle n'est pas evergreen, c'est-à-dire que j'interviens, mais elle est 100% digitale. En fait il y a un mix entre formation et mentorat. C'est-à-dire que j'indépendantise mes élèves dans la partie formation, je leur montre toute ma pédagogie, toutes mes méthodes, et ça c'est vraiment issu de mon expérience entrepreneuriale, ce que j'ai réussi à faire, mais c'est aussi issu de tous les entrepreneurs que j'ai suivis cette année. Donc ça veut dire que je ne vous dis pas juste, moi j'ai fait comme ça, faites pareil, ça va marcher, parce que c'est absolument pas vrai. Je vous explique comment est-ce qu'on monte un business, je vous explique les choses à regarder, comment devenir rentable, comment vous financer, comment trouver des clients, je vous montre tout ça. Et après, en one-to-one, on regarde... ensemble les spécificités de votre business, de vos envies, etc. Coach ton business, effectivement, c'est un programme qui est rendable pour moi, mais qui me demande de donner des heures de travail. En fait, coach ton business, qui est bien aussi par rapport aux formations Evergreen, c'est que, comme c'est 100% digital, il y a une prise de rendez-vous qui est basée selon mon agenda, et j'ai plein de jours de libre, c'est-à-dire que j'ai des jours où les élèves ne peuvent pas me réserver des séances de consulting. J'ai des jours où je peux parler, où je peux penser 100% stratégie, 100% de création de contenu, 100% administratif, 100% réponse aux emails et tout. J'ai vraiment plein, plein, plein de jours pour moi et dédiés à mon business. Et ça, ça m'aide à me... J'ai développé beaucoup. Et le fait que j'ai plusieurs sources de revenus, donc je vais avoir coach ton business, coach ton budget, coach ta bourse, 100% indépendant et rentable. Comme j'ai plein, plein, plein de sources de revenus diverses et variées, que du coup, c'est pas tout seul, c'est pas j'ai mis sur le site et ça se vend tout seul, c'est absolument pas ça. Il faut nourrir une audience, il faut avoir une stratégie d'acquisition, il faut avoir une stratégie de vente, il faut avoir tout ça. Et comme j'ai tout ça mis en place bout à bout, j'ai des revenus qui tombent tout le temps, en fait. Et parfois, je pense que je pourrais m'arrêter pendant 2-3 semaines, j'aurais encore des revenus qui tomberaient. Pourquoi ? Parce que j'ai des stratégies qui tournent quand je ne suis pas là. Voilà. La seule stratégie qui ne tourne pas quand je ne suis pas là, c'est mes élèves avec Coach Ton Business, parce qu'ils ont besoin de moi pour avancer. Et en fait, j'ai construit tout ça pour pouvoir me focaliser sur Coach Ton Business. C'est-à-dire que moi, je ne voulais pas avoir l'accord de coût et juste une source de revenus avec Coach Ton Business. Je voulais avoir un univers qui permet aux gens de naviguer en fonction de leurs problématiques dans la vie, c'est-à-dire que ce soit budget, que ce soit bourse, que ce soit justement comment démarrer une activité entrepreneuriale, comment est-ce que... on scale son activité en Suisse, etc., comment on vide son activité en Suisse, tout simplement. Je voulais pouvoir me concentrer sur les gens, mes élèves one-to-one dans Coach Ton Business et quand même derrière avoir les revenus qui tombent. Aussi, comme je fais beaucoup de création de contenu, parce que j'ai vraiment des grosses communautés, j'adore créer du contenu, j'ai besoin de temps pour ça. Et ça, immédiatement, faire un reel ou faire un TikTok, ça ne me rapporte pas d'argent. Mais derrière, ça me rapporte une communauté, ça nourrit cette communauté, ça nourrit la confiance. Et du coup, ça va me faire vendre derrière si la personne, elle veut travailler avec moi. Donc in fine, oui, ça va me rémunérer à un certain moment. Mais dans l'immédiat, faire du contenu, c'est du bénévolat. C'est mon kiff. Et c'est pour ça que j'avais besoin d'une structure qui me permet de faire toutes ces choses-là et de ne pas m'embêter avec l'argent. L'argent vient parce que j'ai des produits vendables et intéressants et bons qui se vendent sur le marché. Et comme je vous ai déjà parlé, je fais aussi beaucoup de loisirs, de sport, j'ai beaucoup de choses à côté et bref, j'avais besoin d'un emploi du temps qui respecte ce que je veux dans ma vie. Et tout ça, j'ai réussi à le construire. Donc quand je dis que je vis du digital, c'est qu'aujourd'hui, je n'ai aucune aide financière, mon business me rémunère et j'ai même envie d'embaucher des gens à l'année prochaine, mais ça je vais vous en parler juste après, pour continuer de me développer. À côté, les cherry on the cake, les cerises sur le gâteau, je les appelle comme ça, c'est mes revenus qui viennent de l'influence ou du consulting projet B2B. Donc ça, c'est vraiment quand il y a une grosse entreprise qui vient vers moi pour avoir telle ou telle information, pour avoir tel ou tel projet de consulting. Je vous avoue que ces derniers temps, je les ai refusés parce que je n'ai plus envie de faire ça. Je préfère bosser en fait avec des indépendants. J'ai beaucoup plus de plaisir à bosser comme ça, à bosser en one-to-one qu'à bosser avec des grosses entreprises. Souvent, j'ai l'impression que les grosses entreprises, en fait, elles veulent juste avoir l'aide d'un prestataire de service et puis hop, basta, cosy. Alors qu'un indépendant, j'ai vraiment l'impression que je l'aide dans son projet de vie, je l'aide dans son avenir. Et pour moi, ça a beaucoup plus d'impact. Et l'influence, je refuse aussi beaucoup de projets parce qu'en fait, il y a beaucoup de marques de merde qui me contactent. Je ne vais pas les citer, mais franchement, il y a des marques impensables que je bosse avec. Donc, je refuse ce genre de partenariat-là. Et en fait, ça me va très bien parce que je n'ai pas besoin de l'influence pour vivre. Donc, ça fait que si je fais un partenariat, il est très intéressant pour moi. Maintenant, pour ceux qui veulent démarrer, pour ceux qui écoutent cet épisode et qui se disent Putain, trop stylé, je veux faire comme elle, je veux avoir mon business qui me rémunère, je veux être digitale, machin, tout ça, tout ça. Déjà, il faut vraiment comprendre que... là spécifiquement par rapport au métier de la formation en ligne, ce que je fais, c'est ce qui me permet de vivre il faut quand même avoir quelque chose que vous allez apprendre aux gens, il faut être pédagogue, il faut avoir envie aussi de comprendre comment est-ce qu'une pédagogie est structurée, comment est-ce qu'on la met en place et comment est-ce qu'on la transmet ensuite il va falloir que vous développiez vraiment vos compétences marketing et puis surtout il va falloir que votre formation elle se base pas sur quelque chose qui existe déjà sur le marché, il faut que vous puissiez trouver un endroit où on n'a pas résolu... le problème avec une certaine formation. Donc se dire je vais faire une formation en ligne pour gagner de la thune c'est plus complexe que ça, ça demande vraiment une palette de compétences à apprendre, une communauté à construire, parce que sinon vous allez vendre à qui ? À Sunpair. Voilà. Moi ce que je vous conseille vraiment c'est de démarrer petit. Vous vous trouvez un problème sur le marché, parce que c'est exactement ce que vous allez apprendre dans 100% indépendant et rentable, vous trouvez un problème sur le marché, vous faites quelque chose de petit au début, vous n'avez pas besoin de partir dans une méga formation à 2000 balles là où on vous a vendu des high tickets, machin, non. Non en fait. Déjà, le marché a changé, donc il y a beaucoup de sceptisme sur le marché par rapport à ces formations-là. Ce que je veux vous expliquer, c'est que c'est largement possible, mais c'est juste qu'il faut y aller step by step. Ça se construit petit à petit. Je vous parle aujourd'hui, ça fait deux ans quasiment que j'ai... Oui, ça fait deux ans. En janvier, ça va faire deux ans que j'ai commencé Coach Ton Budget. Ça fait deux ans. Voilà. En deux ans, il y a tout ça. Et effectivement, avec les résultats que j'ai, je ne sais pas si vous connaissez beaucoup de meufs, dans mon cas, qui ont réussi à faire plus de 100 000 francs la première année de leur activité indépendante, qui ont réussi à... à avoir une communauté comme ça en Suisse, pour la Suisse. Honnêtement, je pense que j'ai taffé très très dur pour ce que j'ai. Vous connaissez aussi ce que je dis tout le temps, c'est pas parce que c'est difficile que c'est pénible. Moi je pense que parfois il y a des moments très difficiles, mais il faut les affronter avec un bon état d'esprit, avec aussi se dire tout le temps, en permanence, vous allez échouer, c'est sûr et certain, mais l'échec vous apprendra tellement de choses que ça va vous apporter beaucoup d'aide à définir... vraiment le juste produit, la bonne idée d'entrepreneuriat que vous voulez faire, etc. Moi aujourd'hui, avec Coach ton business, je n'aide pas, je n'accompagne pas des gens qui n'ont pas d'idée de business. Parce que je ne peux pas trouver l'idée de business à votre place. Vous devez comprendre vos compétences, vous devez comprendre ce qui vous anime dans votre vie, vous devez voir, vous devez aller chercher un petit peu cette graine d'entrepreneur en vous, et vous devez la former. Et d'ailleurs, n'allez pas quitter votre emploi ou votre activité si vous n'avez rien. Vous ne pouvez pas comme ça vous lancer de but en blanc et puis ça va venir tout seul. Nourrissez-vous, écoutez des podcasts, regardez ce que les autres y font pour se faire de l'argent, regardez les idées de business, demandez à ChatGPT. Il y a tellement de manières de vous informer sur quelle idée de business on peut faire. Justement, j'ai créé 100% indépendant et rentable dans cette optique-là parce que je sais qu'il y a beaucoup de gens qui viennent vers moi et qui me disent j'ai envie de me lancer et de devenir indépendant mais je ne sais pas quoi faire. Sauf qu'en fait, la réalité est telle que... il n'y a personne qui va vous trouver une idée de business. Il n'y a personne qui va vous dire, fais ça, c'est bien, c'est rentable. Si vous trouvez des articles de blog qui vous disent la bonne idée 2025 pour lancer un business rentable et efficace, franchement, ne cliquez même pas, ça ne sert à rien. Vous pouvez vous inspirer, vous pouvez vous dire, il y a ça, ça, ça qui se fait, vous faites un benchmark, mais ça ne va pas vous donner l'idée de business. Et puis pour ceux qui ont déjà cette idée de business et ceux qui sont déjà en route vers l'idée de business, moi, ce que je vous dirais, c'est qu'il faut vous former au niveau marketing et au niveau business. Je comprends que ce n'est pas votre casquette première. Je comprends que vous avez une activité de coach, de thérapeute, graphiste, designer, ce que vous voulez. Vous n'êtes pas dans le business de base. Mais si vous voulez devenir indépendant, il n'y a pas le choix. Vous allez devoir endosser une casquette d'entrepreneur et de chef d'entreprise. Ça veut dire que vous allez devoir comprendre comment vous acquérissez des clients. Vous allez devoir comprendre comment vous structurez votre mini-entreprise même si vous êtes seul. Comment vous structurez vos offres, comment vous avez des revenus, comment est-ce que ça marche au niveau administratif. Vous n'avez pas le choix en fait parce qu'il n'y a pas un employeur qui le fait pour vous. Quand vous êtes salarié, c'est ça. Il y a un employeur qui gère et qui a une équipe pour tout. Il y a une équipe en marketing, il y a une équipe dans les ressources humaines, il y a une équipe dans la vente, il y a une équipe dans l'IT, il y a une équipe pour tout. Ça, c'est l'avantage d'être salarié. C'est qu'il y a des gens spécialisés dans tous les domaines qui vont le faire à votre place. Quand vous êtes à votre compte, vous êtes seul. Donc, vous devez être l'IT guy pour réparer votre site internet. Vous devez être le SAV pour répondre à la demande client. Vous devez être le marketer pour mettre en ligne vos postes Instagram et tout. Et ça fait partie du deal en fait. Vous devez endosser plein de casquettes et vous devez assumer ces casquettes-là. Maintenant, le meilleur moyen pour réussir, c'est de se former, c'est d'apprendre comment est-ce qu'on fait les choses. Et ça, on peut l'apprendre tout seul, voilà, 100% indépendant, mais vous le faites tout seul. Vous pouvez aussi vous faire accompagner à un certain stade de votre activité pour que ça aille plus facile. Parce que moi, j'ai réalisé que les meilleurs gens que je suis, ce sont les gens qui sont en activité, qui ont envie de défoncer leur business pour y arriver. Parce qu'ils savent, ils ont compris ce qu'ils ont sous la main, ils ont compris. la pépite qu'ils ont dans les mains. Ils ont des clients, ils arrivent à faire de l'argent, ils arrivent, mais ils n'arrivent pas encore à dépasser ce level supérieur de se dire je suis 100% indépendant, je suis 100% rentable, je vis ma best life en Suisse. Ils n'ont pas tout ça parce qu'ils n'ont pas développé encore assez de connaissances business et marketing pour y arriver. Et ça, c'est ce qu'on fait dans Coach ton business. En fait, si on peut résumer un petit peu mes sources de revenus, c'est vraiment, il n'y a pas... En fait, quand vous êtes dans un business, Quand vous voulez faire votre business, il faut bien comprendre que vous ne pouvez pas vivre d'une seule source de revenus. Vous devez avoir, pas 10 sources de revenus différentes, mais vous devez avoir une offre qui vient compléter d'autres activités. Donc quand je dis une offre, ce n'est pas une offre promotionnelle, on s'entend de même. Vous devez avoir plusieurs choses en fait. Vous ne pouvez pas vous fixer sur un seul et unique truc et vous dire c'est bon, je vais faire des massages et puis je vais faire 140 000 francs à l'année. Ça ne marche pas comme ça en fait. Parce que vous faites comment quand vous êtes malade ou que votre client il annule ou comme ça ? Vous ne récupérez pas l'argent, donc vous n'avez pas d'entrée d'argent. Il faut vous construire une activité indépendante qui va vous permettre de renflouer les mois où il n'y a rien, les mois où vous n'êtes pas là, les mois où vous êtes en vacances, les mois où vous voulez juste faire pause parce qu'il y en a marre. Et ça, vous devez construire. Mais sans connaissance, c'est difficile. Faites-vous accompagner. Vraiment de constituer une équipe digitale qui va s'occuper de mon business et qui va justement amplifier un petit peu toutes les offres que j'ai. Donc j'aimerais vraiment bien avoir une équipe derrière et continuer de faire progresser cette entreprise. Pour ça, en début d'année, je vais me faire suivre, je vais avoir quelqu'un qui va m'aider à structurer tout ça, à m'aider à embaucher aussi l'équipe qui va aller derrière. Donc à chaque fois que je parle d'embauche, je reçois des candidatures derrière. Ne vous inquiétez pas, vous serez avertis quand ce sera le cas, si vous voulez participer à ça. Mais pour l'instant, on en est là. Ce qui se passe, c'est que soit... je refais le même chiffre d'affaires que j'ai fait cette année et finalement quelque part je stagne c'est pas un mauvais chiffre d'affaires, c'est un très bon chiffre d'affaires d'ailleurs mais soit je stagne et je me dis je suis bien comme ça et puis je reste à ce palier là et puis je continue coach ton business soit j'augmente et en fait j'ai cette ambition là, j'ai envie d'augmenter pas parce que j'ai la rage de vivre et puis parce que je suis une forcenée etc mais juste parce que j'ai envie de tenter l'expérience en fait j'ai envie d'aller plus loin, j'ai envie de développer, j'ai envie de faire des nouvelles Et ça passe par le développement de mon business et je trouve que c'est fabuleux à faire et ça apporte tellement de connaissances, d'enrichissement, etc. que j'ai envie de tenter cette expérience-là et je vous emmènerai de toute façon avec moi au fur et à mesure. Bref, voilà. Ce qu'il faut bien comprendre, c'est que c'est possible de vivre du digital en Suisse à 100%. C'est même une fabuleuse expérience, je vous le dis, parce qu'on a droit à une qualité de vie qui est vraiment très bonne en Suisse. Un cadre aussi au niveau entrepreneurial qui est génial.

  • Speaker #1

    Encore une anecdote qui est vraiment drôle. C'est vrai que nous, on faisait des lancements à plusieurs... Je ne sais pas, parfois on avait 700 voire 1200 personnes qui étaient en live sur nos lancements. Donc toi, tu dois tenir la connexion, tu dois être là, tu dois faire que tout fonctionne bien. Et on s'est retrouvés sur une petite île en Thaïlande. Et malheureusement, le jour du lancement, nous, on avait mis plusieurs milliers, donc c'est des dizaines de milliers de francs qui avaient été lancés pour cette campagne-là. Donc c'est une campagne que tu as prévue depuis presque deux mois. En fait, tu ne peux juste pas merder ce moment-là. Évidemment, qu'est-ce qui s'est passé ? Une tempête sur l'île, un orage, on va dire. Et dès qu'il y avait de l'orage, plus de connexion. Du coup, ça a été assez stressant et c'était un peu l'enfer. On s'est retrouvés bloqués en plein live, avec la connexion qui était complètement instable. Il n'y avait pas forcément de lumière. hyper dur et même pour te dire on a été bloqué 3 jours sans manger à cause de ces intempéries où la route était détruite et on pouvait pas descendre donc voilà, c'est pas toujours évident il faut vraiment bien choisir cet endroit je sais qu'il y a aussi plein de blogs qui proposent ça mais il faut penser à tout et voilà le paradis peut vite se transformer en enfer. Bref,

  • Speaker #0

    je vous remercie infiniment pour votre soutien, je vous remercie énormément aussi de m'écouter chaque deux semaines parce que je les poste tous les deux semaines Maintenant si vous voulez qu'on travaille ensemble dans Coach ton business, il va y avoir un formulaire pour postuler. Ce formulaire il ne vous engage pas, c'est-à-dire que c'est moi, je veux connaître un petit peu votre situation, je veux voir où est-ce que vous en êtes, ce que vous avez mis en place. Et en fait à la fin si vous rentrez dans le profil pour aller dans Coach ton business, on se fait un petit appel ou alors vous vous êtes convaincu, vous voulez vraiment qu'on bosse ensemble, vous prenez votre place et puis vous démarrez à la date que vous voulez démarrer. C'est un peu comme ça que j'ai fait mon process parce qu'en fait j'ai trop de demandes, j'ai vraiment envie d'avoir des gens qui démarrent, qui sont motivés, avec qui on va. On va tout dégommer en 2025. Maintenant, je vais juste vous annoncer encore un dernier petit truc, c'est que cette semaine, je vais aller tourner une nouvelle émission de podcast que je vais sortir en janvier, qui sera très, très, très entrepreneuriale, vous allez voir. Je ne vous le spoil pas trop. On est toujours dans l'authenticité, on est toujours dans ce qu'on veut parler de manière entrepreneuriale, on veut toujours être dans l'authenticité. Et je me suis associée avec quelqu'un qui m'est très chère, que je vais vous présenter, du coup, dans cette émission. Vous allez la retrouver toujours dans vos mails chaque semaine. particulièrement ceux qui sont tagués sous business, dans ceux qui ont mis je veux recevoir les news business vous recevrez cet email-là. Ce sera une émission, mais en fait, je ne vais pas trop vous spoiler, je vais juste vous dire qu'il y aura une nouvelle émission qui va sortir. Bref, sur ce, je vous dis à dans deux semaines, et je vous souhaite une toute belle journée ou toute belle soirée, ça dépend à quel heure vous m'écoutez, et je vous dis à tout bientôt !

Description

Dans cet épisode, je vous raconte pourquoi j’ai choisi de vivre et développer mon activité digitale depuis la Suisse, sans céder à la tendance du digital nomadisme. J’ai eu la chance de goûter brièvement à ce mode de vie lors de séjours en Grèce, au Vietnam et à Tenerife. Mais j’ai vite réalisé que la liberté que je cherchais ne se trouvait pas dans le fait de voyager en permanence, mais dans la manière dont j’organise mon emploi du temps et structure mon business.

Mes valeurs jouent un rôle clé dans cette décision : l’écologie, mon attachement à la Suisse et l’envie de bâtir une entreprise durable et rentable. En travaillant ici, je profite d’un cadre légal clair, d’un réseau professionnel efficace et d’une clientèle de qualité, tout en conservant la flexibilité qui est si importante pour moi.

Je vous parle aussi de mon organisation actuelle : comment je combine création de contenu, formations digitales, consulting et partenariats, tout en respectant mes priorités personnelles comme le sport et mes loisirs. On aborde aussi des sujets financiers essentiels comme la gestion du budget, l’épargne et l’investissement, avec des conseils pratiques pour sécuriser vos projets à long terme.

Enfin, je partage mes conseils pour les entrepreneurs qui veulent se lancer : l’importance de démarrer petit, de trouver un problème concret à résoudre et de construire une communauté solide avant de tout miser sur une activité en ligne. Mon objectif est de vous montrer qu’on peut trouver la liberté dans une structure bien pensée, sans suivre les tendances à tout prix.


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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Vous avez tous vu passer sur les réseaux sociaux ces digital nomades qui vivent de leur business à l'autre bout de la planète. Parmi eux, il y a des Suisses qui sont partis ou qui partent de manière saisonnière vivre à l'étranger tout en vivant du digital. Alors, petit spoiler, je respecte les choix de vie de tout un chacun, et je vous avoue que j'en ai rêvé de cette vie de digital nomade que j'ai brièvement goûté, je vais vous raconter, et aujourd'hui, je n'ai absolument plus. envie de l'être. Et d'ailleurs c'est un des objectifs que j'ai eu, que j'ai dans mon business, c'est de vivre pour et depuis la Suisse du digital. Ça veut pas dire que je fais plus de vacances, que je pars pas, etc. Mais ça veut dire que j'ai une toute autre approche de mon business, toujours associée à la liberté. Je vais vous expliquer. Donc comme d'hab, je vais vous parler une partie de mon parcours qui me pousse à me poser ce genre d'objectifs, que ce soit mes valeurs, mon éthique, mes envies, etc. Je vais vous détailler aujourd'hui comment j'en vis à 100% et je vais aussi vous donner des conseils si vous avez envie de démarrer et de faire la même chose. Bienvenue sur Coach ton budget et business, le podcast dédié à la thune mais aussi et parfois au marketing et à l'entrepreneuriat en Suisse particulièrement. Je suis Janice, formatrice en marketing et mentor en business digitaux mais aussi créatrice de contenu dans la finance personnelle. Dans ce podcast, on parle argent pour s'éduquer, apprendre à gérer, comment réaliser nos projets de vie avec. Et si tu es nouvelle ou nouveau, bienvenue et pour les auditeurs fidèles, merci de continuer à me soutenir. C'est très important, si vous mettez une note à ce podcast, déjà ça veut dire que vous l'aimez et moi je vous aime aussi. Mais si vous l'aimez encore plus, vous pouvez vous abonner à l'annuisateur. et vous l'aurez dans votre boîte mail toutes les deux semaines. Moi, ça m'aide à le faire connaître et ça a vraiment une grosse portée parce que grâce à vous, j'ai la presse qui me contacte, j'ai des grosses institutions publiques aussi qui me contactent pour faire de l'éducation financière. Donc, je développe vraiment mon projet de faire de l'éducation financière un gros truc en Suisse et c'est grâce à ça que vous m'aidez à le faire. Tout d'abord, avant de vous rentrer dans le vif du sujet, ce que je vais vous raconter dans cet épisode, c'est d'abord je vais faire un petit rappel sur mon parcours, on va parler de définition aussi parce que j'ai parlé de mots, peut-être que vous savez pas ce que c'est. Je vais vous parler d'où ça m'est venu cette envie de vivre à 100% du digital en Suisse. Je vais vous parler aussi un peu de thunes, de... qu'est-ce que vous pouvez attendre ou comment est-ce qu'on met en place une activité comme ça pour avoir de l'argent supplémentaire ou en tout cas à terme peut-être comme moi avoir votre business à 100%. Je vais vous donner du coup des astuces pour ceux qui veulent démarrer. Juste avant de commencer, je voulais juste vous dire que j'ai ouvert la pré-vente pour Objectif 100% indépendant et rentable. Donc c'est une offre à 50% qui est en place jusqu'au 14 janvier. Au 14 janvier, c'est le prix plein qui commence pour cette formation. Je vous explique à la fin de quoi il s'agit, mais vous allez en entendre parler dans l'épisode de toute façon. Et si vous voulez encore plus de détails, vous écoutez les autres épisodes, vous verrez, j'en parle énormément. Alors déjà, petit rappel, petite update sur qui je suis, mon parcours, tout ça, bref, très très brèvement. Je m'appelle Janine, je l'ai dit à l'instant dans l'intro, et j'ai de grosses communautés sur les réseaux sociaux qui sont principalement suisses, c'est-à-dire que j'ai quasiment 10 000 personnes qui me suivent sur Instagram à l'heure où je vous parle, j'ai 90 000 abonnés sur TikTok, j'en ai un peu plus de 5 000 sur LinkedIn, donc j'ai vraiment des grosses communautés, et souvent quand on voit vos grosses communautés, on se dit bah la meuf couille à 100 or, elle est payée par les réseaux sociaux, elle vit sa best life, etc. C'est pas exactement ça, même si effectivement mes audiences me permettent de me rémunérer et je vais vous en parler dans cet épisode, mais c'est pas exactement ça et je travaille beaucoup. En tout cas, ça me permet de vivre la vie que j'ai rêvé d'avoir il y a longtemps. En fait, mes amis souvent me disent mais pourquoi tu te barres pas ? Pourquoi t'en profites pas de cette liberté ? etc. Ils me disaient que c'était cool de vous expliquer pourquoi est-ce que j'ai choisi de vivre du digital en Suisse, comment est-ce que c'est faisable et surtout, pour ceux qui veulent pas partir comme moi, je pense que c'est un super tremplin pour se dire c'est faisable en fait, c'est faisable de vivre de son business en tant que solo-preneur en Suisse quoi Je ne suis pas la seule. On va commencer par une petite définition. Qu'est-ce que c'est déjà un digital nomade ? Parce que je l'ai parlé là juste avant dans l'intro, je ne suis pas digital nomade fondamentalement, c'est juste que pour vous expliquer, l'introduire, le sujet du digital, j'ai parlé de digital nomade. Un digital nomade ou une digital nomade, c'est une personne qui utilise les technologies numériques pour travailler tout en voyageant ou en vivant où elle le souhaite. Il y a les freelancers en marketing digital, les développeurs web, les consultants, les créateurs de contenu, les formateurs en ligne, voilà, il y a un panel de gens qui font ça, du digital et qui vivent à l'étranger. En général, les gens qui veulent devenir digital nomade, c'est pour avoir la liberté géographique, ils veulent la flexibilité de l'emploi du temps, ils veulent voyager, découvrir, et j'ai l'impression que c'est très de ma génération, c'est-à-dire les millenials, ils sont un peu désillusionnés par le salariat traditionnel, ils sont en quête de sens, ils veulent devenir leur propre boss, donc voilà, ils lancent leur business, et puis pour certains, ça marche extrêmement bien, et puis pour d'autres, c'est un peu plus compliqué. Et c'est là où je veux en venir, c'est que... en fait beaucoup pensent que le devenir digital nomade c'est facile et ça résout tous les problèmes parce qu'on a plus de boss etc mais en fait il y a quand même d'autres problèmes, il y a toujours le stress, le manque de temps l'insatisfaction au travail et puis surtout ça peut apporter des nouvelles contraintes c'est à dire l'isolement, l'instabilité financière, les difficultés administratives selon le pays où on est. Bref ça peut devenir vraiment complexe et tout au long de cet épisode j'ai décidé de vous mettre un témoignage de Aude qui est la co-fondatrice de Oralima. Aude est partie il y a quelques années de ça en Thaïlande pour justement vivre un petit peu sa best life en tant que digital nomade vu qu'elle a un business digital... qui fonctionne extrêmement bien. Et elle est revenue en Suisse et aujourd'hui, elle habite à 100% en Suisse. Elle est là, elle vit sa best life en Suisse comme moi. Et j'ai trouvé intéressant qu'elle vous rajoute un petit peu son parcours et son expérience par-dessus pour vous expliquer un peu quoi, comment. Oui,

  • Speaker #1

    c'est vrai que devenir Digital Nomad, ça a été mon rêve depuis toujours. Quand je suis partie en Indonésie en 2014, c'était pour les vacances, j'étais encore employée à ce moment-là. Je me suis dit, mais c'est exactement ça que je vais faire et je vais tout faire pour justement créer un business ou en tout cas me créer une vie pour réussir à devenir Digital Nomad. et une année après mes rêves se sont réalisés j'ai tout quitté, pacté mes affaires et je suis partie en Thaïlande. Disons que la réalité m'a vite rattrapée là-bas, on est sur une île paradisiaque et on a un business à faire tourner. Sauf qu'un business ça demande de l'énergie, ça demande du temps. L'argent gratuit d'internet c'est aussi une légende, il faut travailler pour justement réussir à maintenir quelque chose qui soit viable. Et c'est vrai que moi je suis construite sur le long terme, je vais pas chercher le gain immédiat. C'est vrai qu'on le voit notamment avec le dropshipping etc c'est possible mais moi c'était vraiment pas ça que j'avais envie donc c'est vrai que... Une légende de travail 4 heures par jour, en tout cas pour moi sur le départ c'était compliqué. Donc j'ai passé des journées entières enfermées dans ma villa de rêve, avec la piscine qui m'attendait où je n'avais même pas le temps d'aller. C'est vrai que les journées ont passé très vite et c'est à ce moment-là que je me suis dit, mais à quoi bon être... en vacances et être dans des endroits magnifiques sans pouvoir profiter du moment et de l'instant. Donc c'est vrai qu'à ce moment-là, ça a été assez une désillusion.

  • Speaker #0

    De nouveau, l'idée, c'est pas de vous dégoûter du digital nomade parce que fondamentalement, c'est une super chose. Je pense que quand on est jeune ou quand on a vraiment envie et soif de découvrir, ça peut être fabuleux. C'est fabuleux, en fait, d'être payé de son business, d'avoir une activité et de pouvoir la faire de où on veut. C'est vraiment génial. Et ça, je soutiens cette idée à fond. Mais en fait, vraiment, on n'est pas obligé de partir à l'étranger et on peut rester en Suisse. Ça peut fonctionner. Ça peut être génial, en fait. Je pense que vivre en Valais et être 100% digital, c'est génial parce que ça me permet de faire plein de choses quand j'en ai envie et de ne pas être contraint par une location, un endroit où je dois aller ou de devoir exercer mon métier de manière physique, etc. Et aussi, de nouveau, un autre spoiler, c'est que je ne dénigre pas les métiers qui sont en présentiel et qui ont besoin du présentiel parce que je vais vous expliquer aussi dans quelques minutes que le présentiel est quand même important dans le développement de son business. Et du coup, c'est important. Quand je dis vivre du digital, c'est-à-dire que je voulais vous expliquer... la liberté associée grâce au digital et c'est en partie grâce à ça. Alors en fait, moi comme beaucoup, je me suis dit, trop cool, si je vis du digital, c'est ce que je vais avoir. Donc la liberté, tout ça, voyager, machin machin. Je vais vous raconter, ça a beaucoup changé entre temps et c'est super intéressant de voir le changement de mon état d'esprit avant, plus jeune, et maintenant. Et tout a commencé en fait en 2019, j'étais en Grèce. Donc en Grèce, j'avais lancé un... je finissais mes études en fait et j'avais lancé un blog de voyage. Et en fait, long story short, je renvoyais pas de trafic vers ce blog, donc personne ne consultait ce blog. Et je faisais des articles sur ma vie en Grèce. Par exemple, je faisais des articles où je débattais avec les philosophes. Je parlais de liberté d'expression, tout ça, tout ça. Enfin bref, je faisais un peu la grecque, quoi. Et je faisais des vidéos aussi, parce que j'étais bénévole pour une association. Donc je faisais pas mal de bénévolat. Bref, je kiffais ma vie en Grèce. J'avais aussi recensé plein de restaurants véganes, végétariens, bio, etc. Donc j'avais vraiment... Je suis une exploratrice. Moi, j'adore développer ou découvrir des choses. J'adore aller tester des trucs et tout. Donc j'avais essayé de mettre tout ça sur un blog. Et en fait, c'était un peu le farfouille. Il y avait plein de choses, mais voilà, c'était la première chose. Donc si vous connaissez un petit peu mon parcours, vous savez qu'après la Grèce, je suis partie en Angleterre. J'avais prévu de faire ma vie là-bas. Spoiler, je suis rentrée en Suisse. Et quand je suis arrivée en Angleterre, en fait, cette envie m'est très vite passée de faire un blog. C'est-à-dire que c'était beaucoup plus facile de gagner ma vie avec tout simplement un salariat qu'avec un blog. Voilà. Et du coup, cette expérience, elle a été courte. C'était quelques mois, mais... En fait, aujourd'hui, je vois que ça m'a appris beaucoup de choses. J'ai vraiment appris beaucoup de choses. J'étais en contact avec des digital nomades, j'étais dans les co-working. J'ai fait trop de trucs comme une digital nomade alors que je ne gagnais absolument pas ma vie avec cette activité-là. Mais j'avais mis beaucoup d'argent de côté pour me permettre cette expérience-là. Bref, tout s'est arrêté, j'ai commencé à travailler, le travail prend du temps, on n'a plus le temps de développer un blog, on n'a plus envie, bref, voilà. Donc, je vous bouge en fast track à 2022. où j'ai commencé de nouveau à avoir ce truc qui me titille de ah j'aimerais bien quand même avoir mon truc à moi. Il faut savoir que j'avais quand même lancé une association avec mon meilleur ami de fan de plantes, je le répète souvent dans les épisodes, ça impressionne les gens mais c'est vrai. Et en fait pareil, on se fait pas de la thune avec ça, enfin on fait pas d'une association, enfin en tout cas cette association elle est pas du tout de venir m'en gagner pas, c'était impossible, c'était absolument pas rentable. Donc je commence à réfléchir sur une idée de business, machin qu'est-ce que je pourrais faire pour... commencer vraiment à avoir de l'argent en plus, etc. Puis être plus libre, machin. En fait, il y avait d'abord se faire de l'argent en plus, c'était mon premier objectif, mais derrière, il y avait quand même l'objectif d'être libre. La liberté, c'était quand même... Enfin, argent égale liberté, finalement, parce que quand on a de l'argent, on peut choisir de faire un peu ce qu'on veut. Parce qu'on peut choisir... Enfin, j'ai pas besoin de vous expliquer, je pense. Bref, du coup, je réalise aujourd'hui quelque chose, c'est que je ne cherchais pas juste à être digital nomade, je cherchais la liberté de mouvement. Je cherchais la liberté de mes horaires, de ne pas devoir aller au travail ou d'avoir envie de rester à la maison. Je voulais avoir le choix parce que j'en avais ras le cul de demander pour prendre des congés. J'en avais marre d'être limitée à cinq semaines. J'en avais marre de devoir pointer quand j'arrivais au travail. J'en avais marre, je me sentais complètement bridée et ça n'allait pas du tout. Alors juste un petit spoiler, c'est que ce n'est pas parce que vous vivez ce genre de choses au travail que vous n'êtes pas fait pour le salariat et qu'il faut devenir entrepreneur. Quand vous devenez entrepreneur, il y a d'autres problèmes. Et je vous dis, il y a des trucs, il faut avoir de sacrées épaules, c'est souvent plus problématique que d'être salarié. Donc je pense qu'il faut d'abord regarder un petit peu si changer de travail, ce serait pas la solution dans un premier temps, et après vraiment commencer à se dire, ok, en fait, j'ai vraiment envie de développer quelque chose et de me lancer dans une activité entrepreneuriale. Mais c'est aussi quelque chose qui va devoir vous combler, c'est-à-dire qu'il ne faut pas se lancer là-dedans juste pour les thunes. Moi, je vous ai parlé, je vous ai dit, je voulais faire de l'argent supplémentaire. Au fond de moi, j'ai quand même une petite flamme qui avait une passion dans quelque chose, qui avait envie de transmettre quelque chose. Et cette passion, elle m'a permis de développer. Parce que sans la passion, vous ne pouvez pas développer. En fait, ça ne vous intéresse pas. Donc, vous n'allez jamais, jamais réussir à faire une tâche après l'autre. Si ce que vous faites, ça ne vient pas du fin fond de vos entrailles, vous n'allez pas vous motiver à le faire. Donc, ça ne sert à rien de vouloir se lancer là-dedans juste pour les thunes. En fait, il faut avoir des vraies raisons. Voilà, c'est ce que j'essaie de dire, il faut avoir des vraies raisons. Bref, je pars au Vietnam, je rentre du Vietnam, j'ai l'idée de Coach Ton Budget, donc je fais cette formation, je l'explique dans beaucoup d'épisodes, donc si vous avez envie d'écouter, n'hésitez pas à aller écouter les autres épisodes. Et en fait, pour vous expliquer, en début d'année 2023, quand j'ai lancé Coach Ton Budget, pour marquer le coup, je suis partie à Ténérife. Et ça, c'était un peu, pas ma revanche, mais me dire, ben voilà, c'est bon, je lance mon business en ligne, je vais partir à Ténérife pour fêter cet lancement avec moi et moi toute seule. Alors qu'en vrai, ce n'était pas du tout ce business-là qui avait financé Ténérife, c'était mes thunes de mon salariat. Et j'étais partie à Ténérife, j'avais lancé. Et déjà là, le constat, c'est qu'on est à l'étranger, on a envie d'aller visiter. Donc j'avais ma petite voiture et puis le matin, je faisais des trucs pour la formation et l'après-midi, j'allais visiter. Et là, ça a été un peu le premier truc où je me dis, mais en fait, quand je suis en vacances, j'ai envie d'être en vacances. Je n'ai pas envie de faire autre chose. Ça a été un peu le premier constat, mais je ne me le suis pas tout de suite accordé. Donc voilà.

  • Speaker #1

    Ensuite, je suis partie en Europe après les six mois d'Asie. Et je me suis dit, c'est génial, je vais pouvoir faire un tour d'Europe tout l'été, profiter de cette Dolce Vita Summer européenne. Et je me suis retrouvée chaque semaine dans un avion avec mon ordinateur à paquer, à dépaquer, à rentrer dans un Airbnb, à ressortir. Et en fait, c'était une catastrophe parce que du coup, difficile de tout le temps changer de lieu. Et c'est ça que j'ai compris aussi, c'est que si on a envie d'être digital nomade, on a besoin de se poser. Moi, j'avais besoin de faire un minimum de séjour de trois semaines parce que le temps que tu arrives, que tu mettes tes affaires, que tu commences à travailler, à t'habituer. Et parfois, il faut aussi... Hors des vacances, il faut aussi savoir où tu vas manger, retrouver tes petites habitudes. Et c'est vrai que tout ça, ça a beaucoup de temps. Et finalement, je n'avançais pas dans mon business. C'est vrai que ça a aussi demandé une rigueur de dingue. Quand tu es dans un petit café au bord de la plage en Indonésie, avec une plage magnifique, tu as juste envie de profiter du soleil. Et tu ne peux pas, tu as des obligations. Et aussi, ce qui n'est pas évident, c'est que j'ai beaucoup de clientèle européenne. Donc, il faut aussi se mettre à l'heure européenne. Donc, le soir, tu travailles avec ça. Alors, c'est toute une organisation. Et c'est vrai qu'à long terme, je me suis dit que ça ne va pas me convenir. Et que j'avais rêvé. disons, notamment à Bali etc. c'était pas possible. Et c'est vrai que si tu es influenceur et que toi tu vis aussi de toi création de contenu, je trouve que c'est différent. Mais en tant qu'entrepreneur vraiment et digital nomade en tout cas, en ligne comme ça c'était très compliqué. Et puis finalement j'ai décidé de rentrer en Suisse, de prendre un appartement, un tout petit appartement avec un loyer pas forcément très onéreux. Comme ça si j'ai envie de partir trois mois pour de vrai, je peux le faire et c'était important pour moi vraiment d'avoir ce pied-à-terre. Voilà comme une structure finalement aussi pour moi. Alors c'est vrai que je suis toujours libre géographiquement, notamment je fais pas mal d'allers-retours à Dubaï, et ça c'est agréable, mais c'est vrai que j'organise mon temps tout le temps en fonction, et même quand je dois travailler en voyageant, c'est jamais très très facile.

  • Speaker #0

    Et du coup, comme Aude, non seulement j'avais pas envie de faire Digital Nomad à l'étranger, et j'en avais pas besoin. J'ai beau être une exploratrice, j'adore explorer, ben justement j'adore explorer, donc être à l'étranger pour rester quelque part, ben moi ça m'intéressait pas. Je pense que ça se fait quand on reste à un endroit pendant longtemps, par exemple là je suis en Valais, j'ai plus besoin d'explorer, enfin... J'y vais le week-end, mais c'est plutôt du plaisir. Et surtout, en fait, c'est aujourd'hui. Ce sont des constats que je fais aujourd'hui. Ce n'est pas des constats que j'ai faits sur le moment même.

  • Speaker #1

    C'est vrai que ça a même été un moment d'une désillusion. Parce que tu sais, quand tu rêves de quelque chose et que tu mets tout en place pour y arriver, que tu arrives et que tu te dis, oups, ce n'est pas ça du tout. En tout cas, moi, je sais qu'il m'a fallu bien une année pour admettre ça et me dire, voilà, ce que tu avais rêvé, finalement, ce n'est pas ça.

  • Speaker #0

    Et en fait, j'avais la volonté d'avoir une vraie entreprise, pas juste une petite activité de freelance en Thaïlande. Et de nouveau, je ne critique pas, c'est juste pas ce que je voulais. Je voulais plus que ça, je voulais avoir un impact.

  • Speaker #1

    Mais c'est bien parce que grâce à ça, finalement, ça a été mon leitmotiv pour tout péter, j'ai envie de dire, pour avancer. Et c'est ça qui m'a permis justement de concrétiser et de vivre cette passion-là et ce rêve-là. Et c'est génial parce qu'aujourd'hui aussi, avec cette idée de Digital Nomad, finalement, j'ai... aucune obligation, j'ai pas de local, je peux travailler quand je veux, d'où je veux, donc ça c'est aussi génial et ça me laisse une liberté que finalement moi c'est la liberté que je cherchais et je les retrouve aujourd'hui et peut-être que c'était pas cette liberté géographique.

  • Speaker #0

    Et aussi je vous ai parlé, j'avais des valeurs en fait, j'avais une éthique. Déjà il y avait tout ce qui était écologique, c'est que je me voyais pas prendre l'avion plusieurs fois dans l'année, genre plein de fois dans l'année juste pour me déplacer d'un endroit à l'autre, je voulais pas ça, je voulais rester proche de ma famille parce que quand j'étais en Angleterre j'étais assez loin d'eux et ça me saoulait de devoir prendre l'avion pour aller les voir. Bon ça va je suis pas restée trop longtemps donc j'ai pas dû le faire mais... Et surtout en fait c'est que j'aime la Suisse. J'aime les avantages de travailler en Suisse, dans un environnement structuré, flexible, l'accès aux clients, le cadre légal clair. Et je le dis tout le temps mais j'ai réalisé qu'en Suisse vous avez quand même des opportunités de malade. La Suisse c'est un environnement qui est fait pour les entrepreneurs. J'ai un pied en Suisse, j'ai un permis de séjour en Suisse. Pourquoi pas en profiter quoi ? Pourquoi j'irais à l'étranger alors que j'ai le passeport royal pour vivre dans un pays ultra privilégié ? Et puis surtout j'ai réalisé qu'on peut tout à fait développer son activité à l'étranger, certes, mais quand même être en Suisse et montrer qu'on est en Suisse c'est un gros coup de bouche à son propre business, surtout quand on vend du Swiss made. Enfin du Swiss made c'est du Swiss digital made mais vous voyez ce que je veux dire. Il y a un autre truc aussi que j'ai réalisé, mais ça j'ai réalisé cette année, j'ai pas réalisé à l'époque, c'est que quand on est à l'étranger on néglige le networking. Et en Suisse c'est... enfin... Le networking, je dis, ça dépend de son business. Moi, je parle d'un business qui est basé en Suisse. En fait, en Suisse, si vous avez une clientèle suisse, serrer des pinces, c'est vachement important encore. Montrer qui vous êtes, montrer ce que vous faites, juste vous montrer en public, c'est vachement important. Ça, je l'ai réalisé, c'est qu'à chaque fois que je faisais, entre guillemets, je ne suis pas bénoncée, dès que je fais une apparition publique, dès que je fais une conférence, dès que je donne un podcast, dès que je montre que je suis une personne physique, vraie, morale, qui existe, les gens, en fait, ils sont là, genre, ah, mais cette meuf, elle existe vraiment, elle est là, et voilà. Et ça, ça me donnait à chaque fois, cette année, ça m'a donné des gros coups de boost dans mon business. De montrer qu'on passe à la RTS, de montrer qu'on a un article dans le bilan, dans le temps, etc. Mais ça, les gens, ils sont là genre Ah ouais, en fait, c'est vrai, c'est pas du bullshit Bah oui, c'est pas du bullshit, je suis une vraie personne, j'ai des vraies valeurs à transmettre. Mais pour revenir au sujet du digital nomade, c'est qu'il faut vraiment savoir que moi, je ne suis pas digital nomade. J'ai un appartement en Suisse, je ne vadrouille pas, j'ai un bureau. Donc, je ne suis pas digital nomade. Je vis du digital, mais je ne suis pas digital nomade. Parce qu'un digital nomad, en fait, en général, il va dans les cafés, il va faire son petit match à la thé. Non, c'est un peu cliché ce que je raconte, mais il va louer une jolie villa à Bali pour la saison. Il va faire toutes ses activités un peu d'expat en Asie. En général, c'est en Asie ou alors c'est en Amérique du Sud. C'est un peu les deux endroits où les digital nomads vont. Et en fait, en Suisse, ça, c'est pas trop possible. Louer une jolie villa, ben merci, vous devez bien gagner votre vie. Les cafés... pareil, encore quoique j'ai vu des prix à Bali ou dans des zones là c'est abusé c'est aussi cher qu'en Suisse, mais voilà c'est pas du tout la même vibe en fait ensuite en Suisse ça n'existe quasiment pas en fait c'est pas comme ça que ça se passe ici la limite dans un café si vous acceptez avec votre ordinateur c'est bien parce que généralement ils sont là genre en fait je me suis fait virer d'un café à Genève parce que j'ai sorti mon ordinateur, genre non ici on n'accepte pas les ordinateurs, tranquille j'attends un pote, j'ai envie juste de travailler sur un truc non ok d'accord je vais pas revenir ici Bref, c'est pas du tout pareil. Si vous voulez vraiment, il faut louer un espace coworking. En général, ça coûte cher. Si vous voulez en tout cas être avec d'autres personnes, si vous voulez être seul, vous pouvez avoir un bureau. C'est aussi de l'argent. Bien que vraiment, je pense qu'à l'étranger, il y a aussi des coûts. Je pense bien, mais c'est vraiment pas la même vibe. On va dire qu'en Suisse, on vient pas en Suisse pour être digital nomade. Et de toute façon, en fait, je vous dis, je ne voulais pas être un digital, être une digital nomade. Moi, j'aime la stabilité. J'aime avoir mon appartement, mon chez moi. J'aime faire les mêmes trajets tous les jours s'il faut faire les mêmes trajets, c'est-à-dire de temps en temps aller au fitness ou aller à l'équitation, etc. Moi, j'aime quand c'est régulier, quand c'est la même chose. Donc, partir à l'étranger, devoir tout reconstruire, etc., c'est bien cinq minutes, mais je l'ai fait un peu toute ma vingtaine. J'ai plus trop envie de le faire pendant les années qui suivent. Voilà. On va passer à la suite de l'épisode. Je vous ai promis de vous expliquer comment est-ce que je vis de mon digital, de mon business digital et qu'est-ce que j'ai fait pour y arriver. Alors, évidemment, c'est pas dans un épisode que vous allez avoir... toute ma stratégie. Je ne vais pas tout vous donner, mais je vais vous expliquer la structure de mon business et ce qui me permet d'en vivre. Alors, déjà, il faut savoir qu'un consultant classique, en général, il va être payé à l'heure parce qu'il fait des consultings sur ci et ça et ci et ça. Donc, si on peut assimiler mon métier à quelque chose de traditionnel, ce serait au consultant, ok ? Au consultant ou au formateur. Le formateur, en général, il est salarié, c'est-à-dire qu'il est salarié de l'État avec l'école ou dans un truc privé, je ne sais pas. Bref, il est payé à donner des formations. Moi j'ai un mix entre les deux, c'est-à-dire que je forme et je suis mentor. Donc je suis à la fois consultante où je vais aller voir et consulter, regarder ce qui se passe, mais je vais aussi former parce que j'ai une méthodologie et je fonctionne d'une certaine manière. Comme ça vous voyez un petit peu ce que je fais. De base, c'est pas mon métier. C'est-à-dire que de base je suis Digital Marketing Manager, je suis économiste d'entreprise, j'ai fait une formation pour International Business Management, je me suis spécialisée dans le marketing au fur et à mesure des années, mais j'ai constaté que j'avais des choses à transmettre. Et du coup, j'ai créé une formation qui s'appelle Coach ton budget et qui m'a permis de me lancer l'année dernière. Coach ton budget, c'est environ 6 mois de travail pour tout faire. Quand je vais vous donner des conseils pour voir comment faire, n'allez pas tout de suite tout feu tout flamme en se disant je vais faire une formation en ligne, ça va me faire des pépettes. Ce n'est pas vrai. Une formation en ligne, ça va vous demander beaucoup de compétences à travailler. Ça va vous demander de savoir comment la construire, ça va vous demander d'être pédagogue, d'avoir quelque chose à transmettre. Ça va aussi vous demander de devoir développer des outils marketing parce que les clients ne viennent pas tout seuls, ça je vous le dis. Et ça va pas vous demander du boulot sur du long terme. Moi, j'ai eu de la chance, c'est que tout ce qui est business et tout ce qui est... Enfin, de la chance, c'est mon métier en même temps. Tout ce qui est business et tout ce qui est marketing, je sais. Je sais comment faire. Mais tout ce qui était budget, ça, j'ai appris. Ça, je me suis développée moi-même dans mon éducation financière. Donc, j'avais une pédagogie à transmettre. Je Ausha les cases du business et du marketing. Donc, j'ai lancé Coach ton budget. Plus tard dans l'année, j'ai lancé Coach ta bourse. Coach ta bourse est une version... pour la même coach ton budget. Donc c'est une formation qu'on appelle Evergreen. Je n'interviens pas, je l'ai créée, je l'ai montée, je l'ai fabriquée de mes propres mains, mais je n'interviens pas. Donc les gens suivent ces formations-là sans que j'intervienne. Et très récemment, la dernière formation Evergreen que j'ai sortie, et que là j'en ai parlé tout avant, c'est... 100% indépendant et rentable. 100% indépendant et rentable est venu d'un souci personnel que j'avais parce que je n'arrive pas à prendre tout le monde dans Coach ton business et qu'il y a énormément de débutants, de gens qui ne savent pas par où démarrer pour démarrer un business. En fait 100% indépendant et rentable c'est un peu le début de Coach ton business, c'est que je vais renvoyer toute personne qui ne sait pas comment on construit les bases d'un business en Suisse. Souvent en fait on pense qu'on va aller en SARL, on va aller en réseau individuel, hop on a la structure administrative et maintenant c'est bon je vais devenir entrepreneur. C'est pas du tout ça en fait. Pour devenir entrepreneur, la marche à suivre c'est la suivante. C'est que vous devez avoir trouvé un problème à résoudre sur le marché. Donc vous avez vu qu'il y avait un problème chez une certaine audience, vous avez trouvé une solution à ce problème. Vous comprenez la solution et vous savez comment la porter à votre client. C'est comme ça qu'on démarre. Ensuite il faut rédiger une offre, il faut rédiger un business plan, il faut rédiger un petit peu toutes ces choses-là qui vont former, structurer votre business. Ça c'est la base. Et ensuite après ça il faut commencer à chercher comment est-ce qu'on va trouver des clients. selon la structure du business, selon votre business model, vous ne cherchez pas les mêmes clients que, enfin quelqu'un qui est par exemple coach en sport, il ne va pas chercher ses clients de la même manière que le gars qui vend des promotions immobilières. Tout ça c'est différents business, différentes manières d'acquérir des clients et ça il faut comprendre. Et en fait 100% dépendant et rentable c'est ça, c'est le début, c'est comment est-ce que je crée un business de zéro avec une petite marche à suivre pour y arriver. Donc c'est vraiment une formation rapide dans le sens où ça va vous mettre le pied à l'étrier. Alors l'objectif, ce n'est pas de devenir 100% indépendant et rentable, mais c'est de vous mettre sur cette voie-là. Parce que beaucoup de gens vont avoir des idées business. Par exemple, moi, je veux vendre des balades en forêt. Mais le problème, c'est qu'il faut que vous compreniez que ce business-là, il doit vous rémunérer. Il doit avoir un business model derrière. Il doit avoir un moyen de vous générer des revenus. Et si vous n'avez pas réfléchi à ça ou à votre structure de coût, c'est bien. Mais imaginez, vous avez un business qui est très coûteux. Vous allez vous sortir comment un salaire si votre business est coûteux de base ? Toutes ces choses-là, il faut y penser. Et ça intervient de base. Et ça, personne ne va vous le dire, en fait. Personne ne va vous expliquer dans n'importe quelle formation comment est-ce qu'on monte un business. On va vous dire, quand vous allez dans des structures comme IFJ, par exemple, qui est génial si vous avez besoin de comprendre qu'est-ce qu'il faut mettre en place pour devenir indépendant, au niveau administratif, ils vont être fabuleux pour ça. Ils vont vous conseiller pour tout ce qui est administratif. Mais par contre, au niveau marketing, comment acquérir des clients, comment faire en sorte que vous deveniez rentable avec vos offres, etc. Il n'y a personne qui va vous expliquer ça. Donc moi, j'ai trouvé ce problème-là sur le marché suisse. J'en ai fait une formation, j'en ai fait une formation 100% digitale et c'est en partie Coach Ton Business que je vous explique dans deux minutes, mais du coup j'ai fait une version plus condensée, plus courte pour les gens qui veulent vraiment mettre le pied à l'étrier mais qui n'ont pas non plus des masses de budget pour rentrer dans Coach Ton Business. Et du coup le troisième plus gros produit que j'ai, c'est le quatrième du coup maintenant, c'est Coach Ton Business. Coach Ton Business c'est vraiment une formation mentorat et cette formation elle est 100% digitale. Elle n'est pas evergreen, c'est-à-dire que j'interviens, mais elle est 100% digitale. En fait il y a un mix entre formation et mentorat. C'est-à-dire que j'indépendantise mes élèves dans la partie formation, je leur montre toute ma pédagogie, toutes mes méthodes, et ça c'est vraiment issu de mon expérience entrepreneuriale, ce que j'ai réussi à faire, mais c'est aussi issu de tous les entrepreneurs que j'ai suivis cette année. Donc ça veut dire que je ne vous dis pas juste, moi j'ai fait comme ça, faites pareil, ça va marcher, parce que c'est absolument pas vrai. Je vous explique comment est-ce qu'on monte un business, je vous explique les choses à regarder, comment devenir rentable, comment vous financer, comment trouver des clients, je vous montre tout ça. Et après, en one-to-one, on regarde... ensemble les spécificités de votre business, de vos envies, etc. Coach ton business, effectivement, c'est un programme qui est rendable pour moi, mais qui me demande de donner des heures de travail. En fait, coach ton business, qui est bien aussi par rapport aux formations Evergreen, c'est que, comme c'est 100% digital, il y a une prise de rendez-vous qui est basée selon mon agenda, et j'ai plein de jours de libre, c'est-à-dire que j'ai des jours où les élèves ne peuvent pas me réserver des séances de consulting. J'ai des jours où je peux parler, où je peux penser 100% stratégie, 100% de création de contenu, 100% administratif, 100% réponse aux emails et tout. J'ai vraiment plein, plein, plein de jours pour moi et dédiés à mon business. Et ça, ça m'aide à me... J'ai développé beaucoup. Et le fait que j'ai plusieurs sources de revenus, donc je vais avoir coach ton business, coach ton budget, coach ta bourse, 100% indépendant et rentable. Comme j'ai plein, plein, plein de sources de revenus diverses et variées, que du coup, c'est pas tout seul, c'est pas j'ai mis sur le site et ça se vend tout seul, c'est absolument pas ça. Il faut nourrir une audience, il faut avoir une stratégie d'acquisition, il faut avoir une stratégie de vente, il faut avoir tout ça. Et comme j'ai tout ça mis en place bout à bout, j'ai des revenus qui tombent tout le temps, en fait. Et parfois, je pense que je pourrais m'arrêter pendant 2-3 semaines, j'aurais encore des revenus qui tomberaient. Pourquoi ? Parce que j'ai des stratégies qui tournent quand je ne suis pas là. Voilà. La seule stratégie qui ne tourne pas quand je ne suis pas là, c'est mes élèves avec Coach Ton Business, parce qu'ils ont besoin de moi pour avancer. Et en fait, j'ai construit tout ça pour pouvoir me focaliser sur Coach Ton Business. C'est-à-dire que moi, je ne voulais pas avoir l'accord de coût et juste une source de revenus avec Coach Ton Business. Je voulais avoir un univers qui permet aux gens de naviguer en fonction de leurs problématiques dans la vie, c'est-à-dire que ce soit budget, que ce soit bourse, que ce soit justement comment démarrer une activité entrepreneuriale, comment est-ce que... on scale son activité en Suisse, etc., comment on vide son activité en Suisse, tout simplement. Je voulais pouvoir me concentrer sur les gens, mes élèves one-to-one dans Coach Ton Business et quand même derrière avoir les revenus qui tombent. Aussi, comme je fais beaucoup de création de contenu, parce que j'ai vraiment des grosses communautés, j'adore créer du contenu, j'ai besoin de temps pour ça. Et ça, immédiatement, faire un reel ou faire un TikTok, ça ne me rapporte pas d'argent. Mais derrière, ça me rapporte une communauté, ça nourrit cette communauté, ça nourrit la confiance. Et du coup, ça va me faire vendre derrière si la personne, elle veut travailler avec moi. Donc in fine, oui, ça va me rémunérer à un certain moment. Mais dans l'immédiat, faire du contenu, c'est du bénévolat. C'est mon kiff. Et c'est pour ça que j'avais besoin d'une structure qui me permet de faire toutes ces choses-là et de ne pas m'embêter avec l'argent. L'argent vient parce que j'ai des produits vendables et intéressants et bons qui se vendent sur le marché. Et comme je vous ai déjà parlé, je fais aussi beaucoup de loisirs, de sport, j'ai beaucoup de choses à côté et bref, j'avais besoin d'un emploi du temps qui respecte ce que je veux dans ma vie. Et tout ça, j'ai réussi à le construire. Donc quand je dis que je vis du digital, c'est qu'aujourd'hui, je n'ai aucune aide financière, mon business me rémunère et j'ai même envie d'embaucher des gens à l'année prochaine, mais ça je vais vous en parler juste après, pour continuer de me développer. À côté, les cherry on the cake, les cerises sur le gâteau, je les appelle comme ça, c'est mes revenus qui viennent de l'influence ou du consulting projet B2B. Donc ça, c'est vraiment quand il y a une grosse entreprise qui vient vers moi pour avoir telle ou telle information, pour avoir tel ou tel projet de consulting. Je vous avoue que ces derniers temps, je les ai refusés parce que je n'ai plus envie de faire ça. Je préfère bosser en fait avec des indépendants. J'ai beaucoup plus de plaisir à bosser comme ça, à bosser en one-to-one qu'à bosser avec des grosses entreprises. Souvent, j'ai l'impression que les grosses entreprises, en fait, elles veulent juste avoir l'aide d'un prestataire de service et puis hop, basta, cosy. Alors qu'un indépendant, j'ai vraiment l'impression que je l'aide dans son projet de vie, je l'aide dans son avenir. Et pour moi, ça a beaucoup plus d'impact. Et l'influence, je refuse aussi beaucoup de projets parce qu'en fait, il y a beaucoup de marques de merde qui me contactent. Je ne vais pas les citer, mais franchement, il y a des marques impensables que je bosse avec. Donc, je refuse ce genre de partenariat-là. Et en fait, ça me va très bien parce que je n'ai pas besoin de l'influence pour vivre. Donc, ça fait que si je fais un partenariat, il est très intéressant pour moi. Maintenant, pour ceux qui veulent démarrer, pour ceux qui écoutent cet épisode et qui se disent Putain, trop stylé, je veux faire comme elle, je veux avoir mon business qui me rémunère, je veux être digitale, machin, tout ça, tout ça. Déjà, il faut vraiment comprendre que... là spécifiquement par rapport au métier de la formation en ligne, ce que je fais, c'est ce qui me permet de vivre il faut quand même avoir quelque chose que vous allez apprendre aux gens, il faut être pédagogue, il faut avoir envie aussi de comprendre comment est-ce qu'une pédagogie est structurée, comment est-ce qu'on la met en place et comment est-ce qu'on la transmet ensuite il va falloir que vous développiez vraiment vos compétences marketing et puis surtout il va falloir que votre formation elle se base pas sur quelque chose qui existe déjà sur le marché, il faut que vous puissiez trouver un endroit où on n'a pas résolu... le problème avec une certaine formation. Donc se dire je vais faire une formation en ligne pour gagner de la thune c'est plus complexe que ça, ça demande vraiment une palette de compétences à apprendre, une communauté à construire, parce que sinon vous allez vendre à qui ? À Sunpair. Voilà. Moi ce que je vous conseille vraiment c'est de démarrer petit. Vous vous trouvez un problème sur le marché, parce que c'est exactement ce que vous allez apprendre dans 100% indépendant et rentable, vous trouvez un problème sur le marché, vous faites quelque chose de petit au début, vous n'avez pas besoin de partir dans une méga formation à 2000 balles là où on vous a vendu des high tickets, machin, non. Non en fait. Déjà, le marché a changé, donc il y a beaucoup de sceptisme sur le marché par rapport à ces formations-là. Ce que je veux vous expliquer, c'est que c'est largement possible, mais c'est juste qu'il faut y aller step by step. Ça se construit petit à petit. Je vous parle aujourd'hui, ça fait deux ans quasiment que j'ai... Oui, ça fait deux ans. En janvier, ça va faire deux ans que j'ai commencé Coach Ton Budget. Ça fait deux ans. Voilà. En deux ans, il y a tout ça. Et effectivement, avec les résultats que j'ai, je ne sais pas si vous connaissez beaucoup de meufs, dans mon cas, qui ont réussi à faire plus de 100 000 francs la première année de leur activité indépendante, qui ont réussi à... à avoir une communauté comme ça en Suisse, pour la Suisse. Honnêtement, je pense que j'ai taffé très très dur pour ce que j'ai. Vous connaissez aussi ce que je dis tout le temps, c'est pas parce que c'est difficile que c'est pénible. Moi je pense que parfois il y a des moments très difficiles, mais il faut les affronter avec un bon état d'esprit, avec aussi se dire tout le temps, en permanence, vous allez échouer, c'est sûr et certain, mais l'échec vous apprendra tellement de choses que ça va vous apporter beaucoup d'aide à définir... vraiment le juste produit, la bonne idée d'entrepreneuriat que vous voulez faire, etc. Moi aujourd'hui, avec Coach ton business, je n'aide pas, je n'accompagne pas des gens qui n'ont pas d'idée de business. Parce que je ne peux pas trouver l'idée de business à votre place. Vous devez comprendre vos compétences, vous devez comprendre ce qui vous anime dans votre vie, vous devez voir, vous devez aller chercher un petit peu cette graine d'entrepreneur en vous, et vous devez la former. Et d'ailleurs, n'allez pas quitter votre emploi ou votre activité si vous n'avez rien. Vous ne pouvez pas comme ça vous lancer de but en blanc et puis ça va venir tout seul. Nourrissez-vous, écoutez des podcasts, regardez ce que les autres y font pour se faire de l'argent, regardez les idées de business, demandez à ChatGPT. Il y a tellement de manières de vous informer sur quelle idée de business on peut faire. Justement, j'ai créé 100% indépendant et rentable dans cette optique-là parce que je sais qu'il y a beaucoup de gens qui viennent vers moi et qui me disent j'ai envie de me lancer et de devenir indépendant mais je ne sais pas quoi faire. Sauf qu'en fait, la réalité est telle que... il n'y a personne qui va vous trouver une idée de business. Il n'y a personne qui va vous dire, fais ça, c'est bien, c'est rentable. Si vous trouvez des articles de blog qui vous disent la bonne idée 2025 pour lancer un business rentable et efficace, franchement, ne cliquez même pas, ça ne sert à rien. Vous pouvez vous inspirer, vous pouvez vous dire, il y a ça, ça, ça qui se fait, vous faites un benchmark, mais ça ne va pas vous donner l'idée de business. Et puis pour ceux qui ont déjà cette idée de business et ceux qui sont déjà en route vers l'idée de business, moi, ce que je vous dirais, c'est qu'il faut vous former au niveau marketing et au niveau business. Je comprends que ce n'est pas votre casquette première. Je comprends que vous avez une activité de coach, de thérapeute, graphiste, designer, ce que vous voulez. Vous n'êtes pas dans le business de base. Mais si vous voulez devenir indépendant, il n'y a pas le choix. Vous allez devoir endosser une casquette d'entrepreneur et de chef d'entreprise. Ça veut dire que vous allez devoir comprendre comment vous acquérissez des clients. Vous allez devoir comprendre comment vous structurez votre mini-entreprise même si vous êtes seul. Comment vous structurez vos offres, comment vous avez des revenus, comment est-ce que ça marche au niveau administratif. Vous n'avez pas le choix en fait parce qu'il n'y a pas un employeur qui le fait pour vous. Quand vous êtes salarié, c'est ça. Il y a un employeur qui gère et qui a une équipe pour tout. Il y a une équipe en marketing, il y a une équipe dans les ressources humaines, il y a une équipe dans la vente, il y a une équipe dans l'IT, il y a une équipe pour tout. Ça, c'est l'avantage d'être salarié. C'est qu'il y a des gens spécialisés dans tous les domaines qui vont le faire à votre place. Quand vous êtes à votre compte, vous êtes seul. Donc, vous devez être l'IT guy pour réparer votre site internet. Vous devez être le SAV pour répondre à la demande client. Vous devez être le marketer pour mettre en ligne vos postes Instagram et tout. Et ça fait partie du deal en fait. Vous devez endosser plein de casquettes et vous devez assumer ces casquettes-là. Maintenant, le meilleur moyen pour réussir, c'est de se former, c'est d'apprendre comment est-ce qu'on fait les choses. Et ça, on peut l'apprendre tout seul, voilà, 100% indépendant, mais vous le faites tout seul. Vous pouvez aussi vous faire accompagner à un certain stade de votre activité pour que ça aille plus facile. Parce que moi, j'ai réalisé que les meilleurs gens que je suis, ce sont les gens qui sont en activité, qui ont envie de défoncer leur business pour y arriver. Parce qu'ils savent, ils ont compris ce qu'ils ont sous la main, ils ont compris. la pépite qu'ils ont dans les mains. Ils ont des clients, ils arrivent à faire de l'argent, ils arrivent, mais ils n'arrivent pas encore à dépasser ce level supérieur de se dire je suis 100% indépendant, je suis 100% rentable, je vis ma best life en Suisse. Ils n'ont pas tout ça parce qu'ils n'ont pas développé encore assez de connaissances business et marketing pour y arriver. Et ça, c'est ce qu'on fait dans Coach ton business. En fait, si on peut résumer un petit peu mes sources de revenus, c'est vraiment, il n'y a pas... En fait, quand vous êtes dans un business, Quand vous voulez faire votre business, il faut bien comprendre que vous ne pouvez pas vivre d'une seule source de revenus. Vous devez avoir, pas 10 sources de revenus différentes, mais vous devez avoir une offre qui vient compléter d'autres activités. Donc quand je dis une offre, ce n'est pas une offre promotionnelle, on s'entend de même. Vous devez avoir plusieurs choses en fait. Vous ne pouvez pas vous fixer sur un seul et unique truc et vous dire c'est bon, je vais faire des massages et puis je vais faire 140 000 francs à l'année. Ça ne marche pas comme ça en fait. Parce que vous faites comment quand vous êtes malade ou que votre client il annule ou comme ça ? Vous ne récupérez pas l'argent, donc vous n'avez pas d'entrée d'argent. Il faut vous construire une activité indépendante qui va vous permettre de renflouer les mois où il n'y a rien, les mois où vous n'êtes pas là, les mois où vous êtes en vacances, les mois où vous voulez juste faire pause parce qu'il y en a marre. Et ça, vous devez construire. Mais sans connaissance, c'est difficile. Faites-vous accompagner. Vraiment de constituer une équipe digitale qui va s'occuper de mon business et qui va justement amplifier un petit peu toutes les offres que j'ai. Donc j'aimerais vraiment bien avoir une équipe derrière et continuer de faire progresser cette entreprise. Pour ça, en début d'année, je vais me faire suivre, je vais avoir quelqu'un qui va m'aider à structurer tout ça, à m'aider à embaucher aussi l'équipe qui va aller derrière. Donc à chaque fois que je parle d'embauche, je reçois des candidatures derrière. Ne vous inquiétez pas, vous serez avertis quand ce sera le cas, si vous voulez participer à ça. Mais pour l'instant, on en est là. Ce qui se passe, c'est que soit... je refais le même chiffre d'affaires que j'ai fait cette année et finalement quelque part je stagne c'est pas un mauvais chiffre d'affaires, c'est un très bon chiffre d'affaires d'ailleurs mais soit je stagne et je me dis je suis bien comme ça et puis je reste à ce palier là et puis je continue coach ton business soit j'augmente et en fait j'ai cette ambition là, j'ai envie d'augmenter pas parce que j'ai la rage de vivre et puis parce que je suis une forcenée etc mais juste parce que j'ai envie de tenter l'expérience en fait j'ai envie d'aller plus loin, j'ai envie de développer, j'ai envie de faire des nouvelles Et ça passe par le développement de mon business et je trouve que c'est fabuleux à faire et ça apporte tellement de connaissances, d'enrichissement, etc. que j'ai envie de tenter cette expérience-là et je vous emmènerai de toute façon avec moi au fur et à mesure. Bref, voilà. Ce qu'il faut bien comprendre, c'est que c'est possible de vivre du digital en Suisse à 100%. C'est même une fabuleuse expérience, je vous le dis, parce qu'on a droit à une qualité de vie qui est vraiment très bonne en Suisse. Un cadre aussi au niveau entrepreneurial qui est génial.

  • Speaker #1

    Encore une anecdote qui est vraiment drôle. C'est vrai que nous, on faisait des lancements à plusieurs... Je ne sais pas, parfois on avait 700 voire 1200 personnes qui étaient en live sur nos lancements. Donc toi, tu dois tenir la connexion, tu dois être là, tu dois faire que tout fonctionne bien. Et on s'est retrouvés sur une petite île en Thaïlande. Et malheureusement, le jour du lancement, nous, on avait mis plusieurs milliers, donc c'est des dizaines de milliers de francs qui avaient été lancés pour cette campagne-là. Donc c'est une campagne que tu as prévue depuis presque deux mois. En fait, tu ne peux juste pas merder ce moment-là. Évidemment, qu'est-ce qui s'est passé ? Une tempête sur l'île, un orage, on va dire. Et dès qu'il y avait de l'orage, plus de connexion. Du coup, ça a été assez stressant et c'était un peu l'enfer. On s'est retrouvés bloqués en plein live, avec la connexion qui était complètement instable. Il n'y avait pas forcément de lumière. hyper dur et même pour te dire on a été bloqué 3 jours sans manger à cause de ces intempéries où la route était détruite et on pouvait pas descendre donc voilà, c'est pas toujours évident il faut vraiment bien choisir cet endroit je sais qu'il y a aussi plein de blogs qui proposent ça mais il faut penser à tout et voilà le paradis peut vite se transformer en enfer. Bref,

  • Speaker #0

    je vous remercie infiniment pour votre soutien, je vous remercie énormément aussi de m'écouter chaque deux semaines parce que je les poste tous les deux semaines Maintenant si vous voulez qu'on travaille ensemble dans Coach ton business, il va y avoir un formulaire pour postuler. Ce formulaire il ne vous engage pas, c'est-à-dire que c'est moi, je veux connaître un petit peu votre situation, je veux voir où est-ce que vous en êtes, ce que vous avez mis en place. Et en fait à la fin si vous rentrez dans le profil pour aller dans Coach ton business, on se fait un petit appel ou alors vous vous êtes convaincu, vous voulez vraiment qu'on bosse ensemble, vous prenez votre place et puis vous démarrez à la date que vous voulez démarrer. C'est un peu comme ça que j'ai fait mon process parce qu'en fait j'ai trop de demandes, j'ai vraiment envie d'avoir des gens qui démarrent, qui sont motivés, avec qui on va. On va tout dégommer en 2025. Maintenant, je vais juste vous annoncer encore un dernier petit truc, c'est que cette semaine, je vais aller tourner une nouvelle émission de podcast que je vais sortir en janvier, qui sera très, très, très entrepreneuriale, vous allez voir. Je ne vous le spoil pas trop. On est toujours dans l'authenticité, on est toujours dans ce qu'on veut parler de manière entrepreneuriale, on veut toujours être dans l'authenticité. Et je me suis associée avec quelqu'un qui m'est très chère, que je vais vous présenter, du coup, dans cette émission. Vous allez la retrouver toujours dans vos mails chaque semaine. particulièrement ceux qui sont tagués sous business, dans ceux qui ont mis je veux recevoir les news business vous recevrez cet email-là. Ce sera une émission, mais en fait, je ne vais pas trop vous spoiler, je vais juste vous dire qu'il y aura une nouvelle émission qui va sortir. Bref, sur ce, je vous dis à dans deux semaines, et je vous souhaite une toute belle journée ou toute belle soirée, ça dépend à quel heure vous m'écoutez, et je vous dis à tout bientôt !

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Dans cet épisode, je vous raconte pourquoi j’ai choisi de vivre et développer mon activité digitale depuis la Suisse, sans céder à la tendance du digital nomadisme. J’ai eu la chance de goûter brièvement à ce mode de vie lors de séjours en Grèce, au Vietnam et à Tenerife. Mais j’ai vite réalisé que la liberté que je cherchais ne se trouvait pas dans le fait de voyager en permanence, mais dans la manière dont j’organise mon emploi du temps et structure mon business.

Mes valeurs jouent un rôle clé dans cette décision : l’écologie, mon attachement à la Suisse et l’envie de bâtir une entreprise durable et rentable. En travaillant ici, je profite d’un cadre légal clair, d’un réseau professionnel efficace et d’une clientèle de qualité, tout en conservant la flexibilité qui est si importante pour moi.

Je vous parle aussi de mon organisation actuelle : comment je combine création de contenu, formations digitales, consulting et partenariats, tout en respectant mes priorités personnelles comme le sport et mes loisirs. On aborde aussi des sujets financiers essentiels comme la gestion du budget, l’épargne et l’investissement, avec des conseils pratiques pour sécuriser vos projets à long terme.

Enfin, je partage mes conseils pour les entrepreneurs qui veulent se lancer : l’importance de démarrer petit, de trouver un problème concret à résoudre et de construire une communauté solide avant de tout miser sur une activité en ligne. Mon objectif est de vous montrer qu’on peut trouver la liberté dans une structure bien pensée, sans suivre les tendances à tout prix.


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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Vous avez tous vu passer sur les réseaux sociaux ces digital nomades qui vivent de leur business à l'autre bout de la planète. Parmi eux, il y a des Suisses qui sont partis ou qui partent de manière saisonnière vivre à l'étranger tout en vivant du digital. Alors, petit spoiler, je respecte les choix de vie de tout un chacun, et je vous avoue que j'en ai rêvé de cette vie de digital nomade que j'ai brièvement goûté, je vais vous raconter, et aujourd'hui, je n'ai absolument plus. envie de l'être. Et d'ailleurs c'est un des objectifs que j'ai eu, que j'ai dans mon business, c'est de vivre pour et depuis la Suisse du digital. Ça veut pas dire que je fais plus de vacances, que je pars pas, etc. Mais ça veut dire que j'ai une toute autre approche de mon business, toujours associée à la liberté. Je vais vous expliquer. Donc comme d'hab, je vais vous parler une partie de mon parcours qui me pousse à me poser ce genre d'objectifs, que ce soit mes valeurs, mon éthique, mes envies, etc. Je vais vous détailler aujourd'hui comment j'en vis à 100% et je vais aussi vous donner des conseils si vous avez envie de démarrer et de faire la même chose. Bienvenue sur Coach ton budget et business, le podcast dédié à la thune mais aussi et parfois au marketing et à l'entrepreneuriat en Suisse particulièrement. Je suis Janice, formatrice en marketing et mentor en business digitaux mais aussi créatrice de contenu dans la finance personnelle. Dans ce podcast, on parle argent pour s'éduquer, apprendre à gérer, comment réaliser nos projets de vie avec. Et si tu es nouvelle ou nouveau, bienvenue et pour les auditeurs fidèles, merci de continuer à me soutenir. C'est très important, si vous mettez une note à ce podcast, déjà ça veut dire que vous l'aimez et moi je vous aime aussi. Mais si vous l'aimez encore plus, vous pouvez vous abonner à l'annuisateur. et vous l'aurez dans votre boîte mail toutes les deux semaines. Moi, ça m'aide à le faire connaître et ça a vraiment une grosse portée parce que grâce à vous, j'ai la presse qui me contacte, j'ai des grosses institutions publiques aussi qui me contactent pour faire de l'éducation financière. Donc, je développe vraiment mon projet de faire de l'éducation financière un gros truc en Suisse et c'est grâce à ça que vous m'aidez à le faire. Tout d'abord, avant de vous rentrer dans le vif du sujet, ce que je vais vous raconter dans cet épisode, c'est d'abord je vais faire un petit rappel sur mon parcours, on va parler de définition aussi parce que j'ai parlé de mots, peut-être que vous savez pas ce que c'est. Je vais vous parler d'où ça m'est venu cette envie de vivre à 100% du digital en Suisse. Je vais vous parler aussi un peu de thunes, de... qu'est-ce que vous pouvez attendre ou comment est-ce qu'on met en place une activité comme ça pour avoir de l'argent supplémentaire ou en tout cas à terme peut-être comme moi avoir votre business à 100%. Je vais vous donner du coup des astuces pour ceux qui veulent démarrer. Juste avant de commencer, je voulais juste vous dire que j'ai ouvert la pré-vente pour Objectif 100% indépendant et rentable. Donc c'est une offre à 50% qui est en place jusqu'au 14 janvier. Au 14 janvier, c'est le prix plein qui commence pour cette formation. Je vous explique à la fin de quoi il s'agit, mais vous allez en entendre parler dans l'épisode de toute façon. Et si vous voulez encore plus de détails, vous écoutez les autres épisodes, vous verrez, j'en parle énormément. Alors déjà, petit rappel, petite update sur qui je suis, mon parcours, tout ça, bref, très très brèvement. Je m'appelle Janine, je l'ai dit à l'instant dans l'intro, et j'ai de grosses communautés sur les réseaux sociaux qui sont principalement suisses, c'est-à-dire que j'ai quasiment 10 000 personnes qui me suivent sur Instagram à l'heure où je vous parle, j'ai 90 000 abonnés sur TikTok, j'en ai un peu plus de 5 000 sur LinkedIn, donc j'ai vraiment des grosses communautés, et souvent quand on voit vos grosses communautés, on se dit bah la meuf couille à 100 or, elle est payée par les réseaux sociaux, elle vit sa best life, etc. C'est pas exactement ça, même si effectivement mes audiences me permettent de me rémunérer et je vais vous en parler dans cet épisode, mais c'est pas exactement ça et je travaille beaucoup. En tout cas, ça me permet de vivre la vie que j'ai rêvé d'avoir il y a longtemps. En fait, mes amis souvent me disent mais pourquoi tu te barres pas ? Pourquoi t'en profites pas de cette liberté ? etc. Ils me disaient que c'était cool de vous expliquer pourquoi est-ce que j'ai choisi de vivre du digital en Suisse, comment est-ce que c'est faisable et surtout, pour ceux qui veulent pas partir comme moi, je pense que c'est un super tremplin pour se dire c'est faisable en fait, c'est faisable de vivre de son business en tant que solo-preneur en Suisse quoi Je ne suis pas la seule. On va commencer par une petite définition. Qu'est-ce que c'est déjà un digital nomade ? Parce que je l'ai parlé là juste avant dans l'intro, je ne suis pas digital nomade fondamentalement, c'est juste que pour vous expliquer, l'introduire, le sujet du digital, j'ai parlé de digital nomade. Un digital nomade ou une digital nomade, c'est une personne qui utilise les technologies numériques pour travailler tout en voyageant ou en vivant où elle le souhaite. Il y a les freelancers en marketing digital, les développeurs web, les consultants, les créateurs de contenu, les formateurs en ligne, voilà, il y a un panel de gens qui font ça, du digital et qui vivent à l'étranger. En général, les gens qui veulent devenir digital nomade, c'est pour avoir la liberté géographique, ils veulent la flexibilité de l'emploi du temps, ils veulent voyager, découvrir, et j'ai l'impression que c'est très de ma génération, c'est-à-dire les millenials, ils sont un peu désillusionnés par le salariat traditionnel, ils sont en quête de sens, ils veulent devenir leur propre boss, donc voilà, ils lancent leur business, et puis pour certains, ça marche extrêmement bien, et puis pour d'autres, c'est un peu plus compliqué. Et c'est là où je veux en venir, c'est que... en fait beaucoup pensent que le devenir digital nomade c'est facile et ça résout tous les problèmes parce qu'on a plus de boss etc mais en fait il y a quand même d'autres problèmes, il y a toujours le stress, le manque de temps l'insatisfaction au travail et puis surtout ça peut apporter des nouvelles contraintes c'est à dire l'isolement, l'instabilité financière, les difficultés administratives selon le pays où on est. Bref ça peut devenir vraiment complexe et tout au long de cet épisode j'ai décidé de vous mettre un témoignage de Aude qui est la co-fondatrice de Oralima. Aude est partie il y a quelques années de ça en Thaïlande pour justement vivre un petit peu sa best life en tant que digital nomade vu qu'elle a un business digital... qui fonctionne extrêmement bien. Et elle est revenue en Suisse et aujourd'hui, elle habite à 100% en Suisse. Elle est là, elle vit sa best life en Suisse comme moi. Et j'ai trouvé intéressant qu'elle vous rajoute un petit peu son parcours et son expérience par-dessus pour vous expliquer un peu quoi, comment. Oui,

  • Speaker #1

    c'est vrai que devenir Digital Nomad, ça a été mon rêve depuis toujours. Quand je suis partie en Indonésie en 2014, c'était pour les vacances, j'étais encore employée à ce moment-là. Je me suis dit, mais c'est exactement ça que je vais faire et je vais tout faire pour justement créer un business ou en tout cas me créer une vie pour réussir à devenir Digital Nomad. et une année après mes rêves se sont réalisés j'ai tout quitté, pacté mes affaires et je suis partie en Thaïlande. Disons que la réalité m'a vite rattrapée là-bas, on est sur une île paradisiaque et on a un business à faire tourner. Sauf qu'un business ça demande de l'énergie, ça demande du temps. L'argent gratuit d'internet c'est aussi une légende, il faut travailler pour justement réussir à maintenir quelque chose qui soit viable. Et c'est vrai que moi je suis construite sur le long terme, je vais pas chercher le gain immédiat. C'est vrai qu'on le voit notamment avec le dropshipping etc c'est possible mais moi c'était vraiment pas ça que j'avais envie donc c'est vrai que... Une légende de travail 4 heures par jour, en tout cas pour moi sur le départ c'était compliqué. Donc j'ai passé des journées entières enfermées dans ma villa de rêve, avec la piscine qui m'attendait où je n'avais même pas le temps d'aller. C'est vrai que les journées ont passé très vite et c'est à ce moment-là que je me suis dit, mais à quoi bon être... en vacances et être dans des endroits magnifiques sans pouvoir profiter du moment et de l'instant. Donc c'est vrai qu'à ce moment-là, ça a été assez une désillusion.

  • Speaker #0

    De nouveau, l'idée, c'est pas de vous dégoûter du digital nomade parce que fondamentalement, c'est une super chose. Je pense que quand on est jeune ou quand on a vraiment envie et soif de découvrir, ça peut être fabuleux. C'est fabuleux, en fait, d'être payé de son business, d'avoir une activité et de pouvoir la faire de où on veut. C'est vraiment génial. Et ça, je soutiens cette idée à fond. Mais en fait, vraiment, on n'est pas obligé de partir à l'étranger et on peut rester en Suisse. Ça peut fonctionner. Ça peut être génial, en fait. Je pense que vivre en Valais et être 100% digital, c'est génial parce que ça me permet de faire plein de choses quand j'en ai envie et de ne pas être contraint par une location, un endroit où je dois aller ou de devoir exercer mon métier de manière physique, etc. Et aussi, de nouveau, un autre spoiler, c'est que je ne dénigre pas les métiers qui sont en présentiel et qui ont besoin du présentiel parce que je vais vous expliquer aussi dans quelques minutes que le présentiel est quand même important dans le développement de son business. Et du coup, c'est important. Quand je dis vivre du digital, c'est-à-dire que je voulais vous expliquer... la liberté associée grâce au digital et c'est en partie grâce à ça. Alors en fait, moi comme beaucoup, je me suis dit, trop cool, si je vis du digital, c'est ce que je vais avoir. Donc la liberté, tout ça, voyager, machin machin. Je vais vous raconter, ça a beaucoup changé entre temps et c'est super intéressant de voir le changement de mon état d'esprit avant, plus jeune, et maintenant. Et tout a commencé en fait en 2019, j'étais en Grèce. Donc en Grèce, j'avais lancé un... je finissais mes études en fait et j'avais lancé un blog de voyage. Et en fait, long story short, je renvoyais pas de trafic vers ce blog, donc personne ne consultait ce blog. Et je faisais des articles sur ma vie en Grèce. Par exemple, je faisais des articles où je débattais avec les philosophes. Je parlais de liberté d'expression, tout ça, tout ça. Enfin bref, je faisais un peu la grecque, quoi. Et je faisais des vidéos aussi, parce que j'étais bénévole pour une association. Donc je faisais pas mal de bénévolat. Bref, je kiffais ma vie en Grèce. J'avais aussi recensé plein de restaurants véganes, végétariens, bio, etc. Donc j'avais vraiment... Je suis une exploratrice. Moi, j'adore développer ou découvrir des choses. J'adore aller tester des trucs et tout. Donc j'avais essayé de mettre tout ça sur un blog. Et en fait, c'était un peu le farfouille. Il y avait plein de choses, mais voilà, c'était la première chose. Donc si vous connaissez un petit peu mon parcours, vous savez qu'après la Grèce, je suis partie en Angleterre. J'avais prévu de faire ma vie là-bas. Spoiler, je suis rentrée en Suisse. Et quand je suis arrivée en Angleterre, en fait, cette envie m'est très vite passée de faire un blog. C'est-à-dire que c'était beaucoup plus facile de gagner ma vie avec tout simplement un salariat qu'avec un blog. Voilà. Et du coup, cette expérience, elle a été courte. C'était quelques mois, mais... En fait, aujourd'hui, je vois que ça m'a appris beaucoup de choses. J'ai vraiment appris beaucoup de choses. J'étais en contact avec des digital nomades, j'étais dans les co-working. J'ai fait trop de trucs comme une digital nomade alors que je ne gagnais absolument pas ma vie avec cette activité-là. Mais j'avais mis beaucoup d'argent de côté pour me permettre cette expérience-là. Bref, tout s'est arrêté, j'ai commencé à travailler, le travail prend du temps, on n'a plus le temps de développer un blog, on n'a plus envie, bref, voilà. Donc, je vous bouge en fast track à 2022. où j'ai commencé de nouveau à avoir ce truc qui me titille de ah j'aimerais bien quand même avoir mon truc à moi. Il faut savoir que j'avais quand même lancé une association avec mon meilleur ami de fan de plantes, je le répète souvent dans les épisodes, ça impressionne les gens mais c'est vrai. Et en fait pareil, on se fait pas de la thune avec ça, enfin on fait pas d'une association, enfin en tout cas cette association elle est pas du tout de venir m'en gagner pas, c'était impossible, c'était absolument pas rentable. Donc je commence à réfléchir sur une idée de business, machin qu'est-ce que je pourrais faire pour... commencer vraiment à avoir de l'argent en plus, etc. Puis être plus libre, machin. En fait, il y avait d'abord se faire de l'argent en plus, c'était mon premier objectif, mais derrière, il y avait quand même l'objectif d'être libre. La liberté, c'était quand même... Enfin, argent égale liberté, finalement, parce que quand on a de l'argent, on peut choisir de faire un peu ce qu'on veut. Parce qu'on peut choisir... Enfin, j'ai pas besoin de vous expliquer, je pense. Bref, du coup, je réalise aujourd'hui quelque chose, c'est que je ne cherchais pas juste à être digital nomade, je cherchais la liberté de mouvement. Je cherchais la liberté de mes horaires, de ne pas devoir aller au travail ou d'avoir envie de rester à la maison. Je voulais avoir le choix parce que j'en avais ras le cul de demander pour prendre des congés. J'en avais marre d'être limitée à cinq semaines. J'en avais marre de devoir pointer quand j'arrivais au travail. J'en avais marre, je me sentais complètement bridée et ça n'allait pas du tout. Alors juste un petit spoiler, c'est que ce n'est pas parce que vous vivez ce genre de choses au travail que vous n'êtes pas fait pour le salariat et qu'il faut devenir entrepreneur. Quand vous devenez entrepreneur, il y a d'autres problèmes. Et je vous dis, il y a des trucs, il faut avoir de sacrées épaules, c'est souvent plus problématique que d'être salarié. Donc je pense qu'il faut d'abord regarder un petit peu si changer de travail, ce serait pas la solution dans un premier temps, et après vraiment commencer à se dire, ok, en fait, j'ai vraiment envie de développer quelque chose et de me lancer dans une activité entrepreneuriale. Mais c'est aussi quelque chose qui va devoir vous combler, c'est-à-dire qu'il ne faut pas se lancer là-dedans juste pour les thunes. Moi, je vous ai parlé, je vous ai dit, je voulais faire de l'argent supplémentaire. Au fond de moi, j'ai quand même une petite flamme qui avait une passion dans quelque chose, qui avait envie de transmettre quelque chose. Et cette passion, elle m'a permis de développer. Parce que sans la passion, vous ne pouvez pas développer. En fait, ça ne vous intéresse pas. Donc, vous n'allez jamais, jamais réussir à faire une tâche après l'autre. Si ce que vous faites, ça ne vient pas du fin fond de vos entrailles, vous n'allez pas vous motiver à le faire. Donc, ça ne sert à rien de vouloir se lancer là-dedans juste pour les thunes. En fait, il faut avoir des vraies raisons. Voilà, c'est ce que j'essaie de dire, il faut avoir des vraies raisons. Bref, je pars au Vietnam, je rentre du Vietnam, j'ai l'idée de Coach Ton Budget, donc je fais cette formation, je l'explique dans beaucoup d'épisodes, donc si vous avez envie d'écouter, n'hésitez pas à aller écouter les autres épisodes. Et en fait, pour vous expliquer, en début d'année 2023, quand j'ai lancé Coach Ton Budget, pour marquer le coup, je suis partie à Ténérife. Et ça, c'était un peu, pas ma revanche, mais me dire, ben voilà, c'est bon, je lance mon business en ligne, je vais partir à Ténérife pour fêter cet lancement avec moi et moi toute seule. Alors qu'en vrai, ce n'était pas du tout ce business-là qui avait financé Ténérife, c'était mes thunes de mon salariat. Et j'étais partie à Ténérife, j'avais lancé. Et déjà là, le constat, c'est qu'on est à l'étranger, on a envie d'aller visiter. Donc j'avais ma petite voiture et puis le matin, je faisais des trucs pour la formation et l'après-midi, j'allais visiter. Et là, ça a été un peu le premier truc où je me dis, mais en fait, quand je suis en vacances, j'ai envie d'être en vacances. Je n'ai pas envie de faire autre chose. Ça a été un peu le premier constat, mais je ne me le suis pas tout de suite accordé. Donc voilà.

  • Speaker #1

    Ensuite, je suis partie en Europe après les six mois d'Asie. Et je me suis dit, c'est génial, je vais pouvoir faire un tour d'Europe tout l'été, profiter de cette Dolce Vita Summer européenne. Et je me suis retrouvée chaque semaine dans un avion avec mon ordinateur à paquer, à dépaquer, à rentrer dans un Airbnb, à ressortir. Et en fait, c'était une catastrophe parce que du coup, difficile de tout le temps changer de lieu. Et c'est ça que j'ai compris aussi, c'est que si on a envie d'être digital nomade, on a besoin de se poser. Moi, j'avais besoin de faire un minimum de séjour de trois semaines parce que le temps que tu arrives, que tu mettes tes affaires, que tu commences à travailler, à t'habituer. Et parfois, il faut aussi... Hors des vacances, il faut aussi savoir où tu vas manger, retrouver tes petites habitudes. Et c'est vrai que tout ça, ça a beaucoup de temps. Et finalement, je n'avançais pas dans mon business. C'est vrai que ça a aussi demandé une rigueur de dingue. Quand tu es dans un petit café au bord de la plage en Indonésie, avec une plage magnifique, tu as juste envie de profiter du soleil. Et tu ne peux pas, tu as des obligations. Et aussi, ce qui n'est pas évident, c'est que j'ai beaucoup de clientèle européenne. Donc, il faut aussi se mettre à l'heure européenne. Donc, le soir, tu travailles avec ça. Alors, c'est toute une organisation. Et c'est vrai qu'à long terme, je me suis dit que ça ne va pas me convenir. Et que j'avais rêvé. disons, notamment à Bali etc. c'était pas possible. Et c'est vrai que si tu es influenceur et que toi tu vis aussi de toi création de contenu, je trouve que c'est différent. Mais en tant qu'entrepreneur vraiment et digital nomade en tout cas, en ligne comme ça c'était très compliqué. Et puis finalement j'ai décidé de rentrer en Suisse, de prendre un appartement, un tout petit appartement avec un loyer pas forcément très onéreux. Comme ça si j'ai envie de partir trois mois pour de vrai, je peux le faire et c'était important pour moi vraiment d'avoir ce pied-à-terre. Voilà comme une structure finalement aussi pour moi. Alors c'est vrai que je suis toujours libre géographiquement, notamment je fais pas mal d'allers-retours à Dubaï, et ça c'est agréable, mais c'est vrai que j'organise mon temps tout le temps en fonction, et même quand je dois travailler en voyageant, c'est jamais très très facile.

  • Speaker #0

    Et du coup, comme Aude, non seulement j'avais pas envie de faire Digital Nomad à l'étranger, et j'en avais pas besoin. J'ai beau être une exploratrice, j'adore explorer, ben justement j'adore explorer, donc être à l'étranger pour rester quelque part, ben moi ça m'intéressait pas. Je pense que ça se fait quand on reste à un endroit pendant longtemps, par exemple là je suis en Valais, j'ai plus besoin d'explorer, enfin... J'y vais le week-end, mais c'est plutôt du plaisir. Et surtout, en fait, c'est aujourd'hui. Ce sont des constats que je fais aujourd'hui. Ce n'est pas des constats que j'ai faits sur le moment même.

  • Speaker #1

    C'est vrai que ça a même été un moment d'une désillusion. Parce que tu sais, quand tu rêves de quelque chose et que tu mets tout en place pour y arriver, que tu arrives et que tu te dis, oups, ce n'est pas ça du tout. En tout cas, moi, je sais qu'il m'a fallu bien une année pour admettre ça et me dire, voilà, ce que tu avais rêvé, finalement, ce n'est pas ça.

  • Speaker #0

    Et en fait, j'avais la volonté d'avoir une vraie entreprise, pas juste une petite activité de freelance en Thaïlande. Et de nouveau, je ne critique pas, c'est juste pas ce que je voulais. Je voulais plus que ça, je voulais avoir un impact.

  • Speaker #1

    Mais c'est bien parce que grâce à ça, finalement, ça a été mon leitmotiv pour tout péter, j'ai envie de dire, pour avancer. Et c'est ça qui m'a permis justement de concrétiser et de vivre cette passion-là et ce rêve-là. Et c'est génial parce qu'aujourd'hui aussi, avec cette idée de Digital Nomad, finalement, j'ai... aucune obligation, j'ai pas de local, je peux travailler quand je veux, d'où je veux, donc ça c'est aussi génial et ça me laisse une liberté que finalement moi c'est la liberté que je cherchais et je les retrouve aujourd'hui et peut-être que c'était pas cette liberté géographique.

  • Speaker #0

    Et aussi je vous ai parlé, j'avais des valeurs en fait, j'avais une éthique. Déjà il y avait tout ce qui était écologique, c'est que je me voyais pas prendre l'avion plusieurs fois dans l'année, genre plein de fois dans l'année juste pour me déplacer d'un endroit à l'autre, je voulais pas ça, je voulais rester proche de ma famille parce que quand j'étais en Angleterre j'étais assez loin d'eux et ça me saoulait de devoir prendre l'avion pour aller les voir. Bon ça va je suis pas restée trop longtemps donc j'ai pas dû le faire mais... Et surtout en fait c'est que j'aime la Suisse. J'aime les avantages de travailler en Suisse, dans un environnement structuré, flexible, l'accès aux clients, le cadre légal clair. Et je le dis tout le temps mais j'ai réalisé qu'en Suisse vous avez quand même des opportunités de malade. La Suisse c'est un environnement qui est fait pour les entrepreneurs. J'ai un pied en Suisse, j'ai un permis de séjour en Suisse. Pourquoi pas en profiter quoi ? Pourquoi j'irais à l'étranger alors que j'ai le passeport royal pour vivre dans un pays ultra privilégié ? Et puis surtout j'ai réalisé qu'on peut tout à fait développer son activité à l'étranger, certes, mais quand même être en Suisse et montrer qu'on est en Suisse c'est un gros coup de bouche à son propre business, surtout quand on vend du Swiss made. Enfin du Swiss made c'est du Swiss digital made mais vous voyez ce que je veux dire. Il y a un autre truc aussi que j'ai réalisé, mais ça j'ai réalisé cette année, j'ai pas réalisé à l'époque, c'est que quand on est à l'étranger on néglige le networking. Et en Suisse c'est... enfin... Le networking, je dis, ça dépend de son business. Moi, je parle d'un business qui est basé en Suisse. En fait, en Suisse, si vous avez une clientèle suisse, serrer des pinces, c'est vachement important encore. Montrer qui vous êtes, montrer ce que vous faites, juste vous montrer en public, c'est vachement important. Ça, je l'ai réalisé, c'est qu'à chaque fois que je faisais, entre guillemets, je ne suis pas bénoncée, dès que je fais une apparition publique, dès que je fais une conférence, dès que je donne un podcast, dès que je montre que je suis une personne physique, vraie, morale, qui existe, les gens, en fait, ils sont là, genre, ah, mais cette meuf, elle existe vraiment, elle est là, et voilà. Et ça, ça me donnait à chaque fois, cette année, ça m'a donné des gros coups de boost dans mon business. De montrer qu'on passe à la RTS, de montrer qu'on a un article dans le bilan, dans le temps, etc. Mais ça, les gens, ils sont là genre Ah ouais, en fait, c'est vrai, c'est pas du bullshit Bah oui, c'est pas du bullshit, je suis une vraie personne, j'ai des vraies valeurs à transmettre. Mais pour revenir au sujet du digital nomade, c'est qu'il faut vraiment savoir que moi, je ne suis pas digital nomade. J'ai un appartement en Suisse, je ne vadrouille pas, j'ai un bureau. Donc, je ne suis pas digital nomade. Je vis du digital, mais je ne suis pas digital nomade. Parce qu'un digital nomad, en fait, en général, il va dans les cafés, il va faire son petit match à la thé. Non, c'est un peu cliché ce que je raconte, mais il va louer une jolie villa à Bali pour la saison. Il va faire toutes ses activités un peu d'expat en Asie. En général, c'est en Asie ou alors c'est en Amérique du Sud. C'est un peu les deux endroits où les digital nomads vont. Et en fait, en Suisse, ça, c'est pas trop possible. Louer une jolie villa, ben merci, vous devez bien gagner votre vie. Les cafés... pareil, encore quoique j'ai vu des prix à Bali ou dans des zones là c'est abusé c'est aussi cher qu'en Suisse, mais voilà c'est pas du tout la même vibe en fait ensuite en Suisse ça n'existe quasiment pas en fait c'est pas comme ça que ça se passe ici la limite dans un café si vous acceptez avec votre ordinateur c'est bien parce que généralement ils sont là genre en fait je me suis fait virer d'un café à Genève parce que j'ai sorti mon ordinateur, genre non ici on n'accepte pas les ordinateurs, tranquille j'attends un pote, j'ai envie juste de travailler sur un truc non ok d'accord je vais pas revenir ici Bref, c'est pas du tout pareil. Si vous voulez vraiment, il faut louer un espace coworking. En général, ça coûte cher. Si vous voulez en tout cas être avec d'autres personnes, si vous voulez être seul, vous pouvez avoir un bureau. C'est aussi de l'argent. Bien que vraiment, je pense qu'à l'étranger, il y a aussi des coûts. Je pense bien, mais c'est vraiment pas la même vibe. On va dire qu'en Suisse, on vient pas en Suisse pour être digital nomade. Et de toute façon, en fait, je vous dis, je ne voulais pas être un digital, être une digital nomade. Moi, j'aime la stabilité. J'aime avoir mon appartement, mon chez moi. J'aime faire les mêmes trajets tous les jours s'il faut faire les mêmes trajets, c'est-à-dire de temps en temps aller au fitness ou aller à l'équitation, etc. Moi, j'aime quand c'est régulier, quand c'est la même chose. Donc, partir à l'étranger, devoir tout reconstruire, etc., c'est bien cinq minutes, mais je l'ai fait un peu toute ma vingtaine. J'ai plus trop envie de le faire pendant les années qui suivent. Voilà. On va passer à la suite de l'épisode. Je vous ai promis de vous expliquer comment est-ce que je vis de mon digital, de mon business digital et qu'est-ce que j'ai fait pour y arriver. Alors, évidemment, c'est pas dans un épisode que vous allez avoir... toute ma stratégie. Je ne vais pas tout vous donner, mais je vais vous expliquer la structure de mon business et ce qui me permet d'en vivre. Alors, déjà, il faut savoir qu'un consultant classique, en général, il va être payé à l'heure parce qu'il fait des consultings sur ci et ça et ci et ça. Donc, si on peut assimiler mon métier à quelque chose de traditionnel, ce serait au consultant, ok ? Au consultant ou au formateur. Le formateur, en général, il est salarié, c'est-à-dire qu'il est salarié de l'État avec l'école ou dans un truc privé, je ne sais pas. Bref, il est payé à donner des formations. Moi j'ai un mix entre les deux, c'est-à-dire que je forme et je suis mentor. Donc je suis à la fois consultante où je vais aller voir et consulter, regarder ce qui se passe, mais je vais aussi former parce que j'ai une méthodologie et je fonctionne d'une certaine manière. Comme ça vous voyez un petit peu ce que je fais. De base, c'est pas mon métier. C'est-à-dire que de base je suis Digital Marketing Manager, je suis économiste d'entreprise, j'ai fait une formation pour International Business Management, je me suis spécialisée dans le marketing au fur et à mesure des années, mais j'ai constaté que j'avais des choses à transmettre. Et du coup, j'ai créé une formation qui s'appelle Coach ton budget et qui m'a permis de me lancer l'année dernière. Coach ton budget, c'est environ 6 mois de travail pour tout faire. Quand je vais vous donner des conseils pour voir comment faire, n'allez pas tout de suite tout feu tout flamme en se disant je vais faire une formation en ligne, ça va me faire des pépettes. Ce n'est pas vrai. Une formation en ligne, ça va vous demander beaucoup de compétences à travailler. Ça va vous demander de savoir comment la construire, ça va vous demander d'être pédagogue, d'avoir quelque chose à transmettre. Ça va aussi vous demander de devoir développer des outils marketing parce que les clients ne viennent pas tout seuls, ça je vous le dis. Et ça va pas vous demander du boulot sur du long terme. Moi, j'ai eu de la chance, c'est que tout ce qui est business et tout ce qui est... Enfin, de la chance, c'est mon métier en même temps. Tout ce qui est business et tout ce qui est marketing, je sais. Je sais comment faire. Mais tout ce qui était budget, ça, j'ai appris. Ça, je me suis développée moi-même dans mon éducation financière. Donc, j'avais une pédagogie à transmettre. Je Ausha les cases du business et du marketing. Donc, j'ai lancé Coach ton budget. Plus tard dans l'année, j'ai lancé Coach ta bourse. Coach ta bourse est une version... pour la même coach ton budget. Donc c'est une formation qu'on appelle Evergreen. Je n'interviens pas, je l'ai créée, je l'ai montée, je l'ai fabriquée de mes propres mains, mais je n'interviens pas. Donc les gens suivent ces formations-là sans que j'intervienne. Et très récemment, la dernière formation Evergreen que j'ai sortie, et que là j'en ai parlé tout avant, c'est... 100% indépendant et rentable. 100% indépendant et rentable est venu d'un souci personnel que j'avais parce que je n'arrive pas à prendre tout le monde dans Coach ton business et qu'il y a énormément de débutants, de gens qui ne savent pas par où démarrer pour démarrer un business. En fait 100% indépendant et rentable c'est un peu le début de Coach ton business, c'est que je vais renvoyer toute personne qui ne sait pas comment on construit les bases d'un business en Suisse. Souvent en fait on pense qu'on va aller en SARL, on va aller en réseau individuel, hop on a la structure administrative et maintenant c'est bon je vais devenir entrepreneur. C'est pas du tout ça en fait. Pour devenir entrepreneur, la marche à suivre c'est la suivante. C'est que vous devez avoir trouvé un problème à résoudre sur le marché. Donc vous avez vu qu'il y avait un problème chez une certaine audience, vous avez trouvé une solution à ce problème. Vous comprenez la solution et vous savez comment la porter à votre client. C'est comme ça qu'on démarre. Ensuite il faut rédiger une offre, il faut rédiger un business plan, il faut rédiger un petit peu toutes ces choses-là qui vont former, structurer votre business. Ça c'est la base. Et ensuite après ça il faut commencer à chercher comment est-ce qu'on va trouver des clients. selon la structure du business, selon votre business model, vous ne cherchez pas les mêmes clients que, enfin quelqu'un qui est par exemple coach en sport, il ne va pas chercher ses clients de la même manière que le gars qui vend des promotions immobilières. Tout ça c'est différents business, différentes manières d'acquérir des clients et ça il faut comprendre. Et en fait 100% dépendant et rentable c'est ça, c'est le début, c'est comment est-ce que je crée un business de zéro avec une petite marche à suivre pour y arriver. Donc c'est vraiment une formation rapide dans le sens où ça va vous mettre le pied à l'étrier. Alors l'objectif, ce n'est pas de devenir 100% indépendant et rentable, mais c'est de vous mettre sur cette voie-là. Parce que beaucoup de gens vont avoir des idées business. Par exemple, moi, je veux vendre des balades en forêt. Mais le problème, c'est qu'il faut que vous compreniez que ce business-là, il doit vous rémunérer. Il doit avoir un business model derrière. Il doit avoir un moyen de vous générer des revenus. Et si vous n'avez pas réfléchi à ça ou à votre structure de coût, c'est bien. Mais imaginez, vous avez un business qui est très coûteux. Vous allez vous sortir comment un salaire si votre business est coûteux de base ? Toutes ces choses-là, il faut y penser. Et ça intervient de base. Et ça, personne ne va vous le dire, en fait. Personne ne va vous expliquer dans n'importe quelle formation comment est-ce qu'on monte un business. On va vous dire, quand vous allez dans des structures comme IFJ, par exemple, qui est génial si vous avez besoin de comprendre qu'est-ce qu'il faut mettre en place pour devenir indépendant, au niveau administratif, ils vont être fabuleux pour ça. Ils vont vous conseiller pour tout ce qui est administratif. Mais par contre, au niveau marketing, comment acquérir des clients, comment faire en sorte que vous deveniez rentable avec vos offres, etc. Il n'y a personne qui va vous expliquer ça. Donc moi, j'ai trouvé ce problème-là sur le marché suisse. J'en ai fait une formation, j'en ai fait une formation 100% digitale et c'est en partie Coach Ton Business que je vous explique dans deux minutes, mais du coup j'ai fait une version plus condensée, plus courte pour les gens qui veulent vraiment mettre le pied à l'étrier mais qui n'ont pas non plus des masses de budget pour rentrer dans Coach Ton Business. Et du coup le troisième plus gros produit que j'ai, c'est le quatrième du coup maintenant, c'est Coach Ton Business. Coach Ton Business c'est vraiment une formation mentorat et cette formation elle est 100% digitale. Elle n'est pas evergreen, c'est-à-dire que j'interviens, mais elle est 100% digitale. En fait il y a un mix entre formation et mentorat. C'est-à-dire que j'indépendantise mes élèves dans la partie formation, je leur montre toute ma pédagogie, toutes mes méthodes, et ça c'est vraiment issu de mon expérience entrepreneuriale, ce que j'ai réussi à faire, mais c'est aussi issu de tous les entrepreneurs que j'ai suivis cette année. Donc ça veut dire que je ne vous dis pas juste, moi j'ai fait comme ça, faites pareil, ça va marcher, parce que c'est absolument pas vrai. Je vous explique comment est-ce qu'on monte un business, je vous explique les choses à regarder, comment devenir rentable, comment vous financer, comment trouver des clients, je vous montre tout ça. Et après, en one-to-one, on regarde... ensemble les spécificités de votre business, de vos envies, etc. Coach ton business, effectivement, c'est un programme qui est rendable pour moi, mais qui me demande de donner des heures de travail. En fait, coach ton business, qui est bien aussi par rapport aux formations Evergreen, c'est que, comme c'est 100% digital, il y a une prise de rendez-vous qui est basée selon mon agenda, et j'ai plein de jours de libre, c'est-à-dire que j'ai des jours où les élèves ne peuvent pas me réserver des séances de consulting. J'ai des jours où je peux parler, où je peux penser 100% stratégie, 100% de création de contenu, 100% administratif, 100% réponse aux emails et tout. J'ai vraiment plein, plein, plein de jours pour moi et dédiés à mon business. Et ça, ça m'aide à me... J'ai développé beaucoup. Et le fait que j'ai plusieurs sources de revenus, donc je vais avoir coach ton business, coach ton budget, coach ta bourse, 100% indépendant et rentable. Comme j'ai plein, plein, plein de sources de revenus diverses et variées, que du coup, c'est pas tout seul, c'est pas j'ai mis sur le site et ça se vend tout seul, c'est absolument pas ça. Il faut nourrir une audience, il faut avoir une stratégie d'acquisition, il faut avoir une stratégie de vente, il faut avoir tout ça. Et comme j'ai tout ça mis en place bout à bout, j'ai des revenus qui tombent tout le temps, en fait. Et parfois, je pense que je pourrais m'arrêter pendant 2-3 semaines, j'aurais encore des revenus qui tomberaient. Pourquoi ? Parce que j'ai des stratégies qui tournent quand je ne suis pas là. Voilà. La seule stratégie qui ne tourne pas quand je ne suis pas là, c'est mes élèves avec Coach Ton Business, parce qu'ils ont besoin de moi pour avancer. Et en fait, j'ai construit tout ça pour pouvoir me focaliser sur Coach Ton Business. C'est-à-dire que moi, je ne voulais pas avoir l'accord de coût et juste une source de revenus avec Coach Ton Business. Je voulais avoir un univers qui permet aux gens de naviguer en fonction de leurs problématiques dans la vie, c'est-à-dire que ce soit budget, que ce soit bourse, que ce soit justement comment démarrer une activité entrepreneuriale, comment est-ce que... on scale son activité en Suisse, etc., comment on vide son activité en Suisse, tout simplement. Je voulais pouvoir me concentrer sur les gens, mes élèves one-to-one dans Coach Ton Business et quand même derrière avoir les revenus qui tombent. Aussi, comme je fais beaucoup de création de contenu, parce que j'ai vraiment des grosses communautés, j'adore créer du contenu, j'ai besoin de temps pour ça. Et ça, immédiatement, faire un reel ou faire un TikTok, ça ne me rapporte pas d'argent. Mais derrière, ça me rapporte une communauté, ça nourrit cette communauté, ça nourrit la confiance. Et du coup, ça va me faire vendre derrière si la personne, elle veut travailler avec moi. Donc in fine, oui, ça va me rémunérer à un certain moment. Mais dans l'immédiat, faire du contenu, c'est du bénévolat. C'est mon kiff. Et c'est pour ça que j'avais besoin d'une structure qui me permet de faire toutes ces choses-là et de ne pas m'embêter avec l'argent. L'argent vient parce que j'ai des produits vendables et intéressants et bons qui se vendent sur le marché. Et comme je vous ai déjà parlé, je fais aussi beaucoup de loisirs, de sport, j'ai beaucoup de choses à côté et bref, j'avais besoin d'un emploi du temps qui respecte ce que je veux dans ma vie. Et tout ça, j'ai réussi à le construire. Donc quand je dis que je vis du digital, c'est qu'aujourd'hui, je n'ai aucune aide financière, mon business me rémunère et j'ai même envie d'embaucher des gens à l'année prochaine, mais ça je vais vous en parler juste après, pour continuer de me développer. À côté, les cherry on the cake, les cerises sur le gâteau, je les appelle comme ça, c'est mes revenus qui viennent de l'influence ou du consulting projet B2B. Donc ça, c'est vraiment quand il y a une grosse entreprise qui vient vers moi pour avoir telle ou telle information, pour avoir tel ou tel projet de consulting. Je vous avoue que ces derniers temps, je les ai refusés parce que je n'ai plus envie de faire ça. Je préfère bosser en fait avec des indépendants. J'ai beaucoup plus de plaisir à bosser comme ça, à bosser en one-to-one qu'à bosser avec des grosses entreprises. Souvent, j'ai l'impression que les grosses entreprises, en fait, elles veulent juste avoir l'aide d'un prestataire de service et puis hop, basta, cosy. Alors qu'un indépendant, j'ai vraiment l'impression que je l'aide dans son projet de vie, je l'aide dans son avenir. Et pour moi, ça a beaucoup plus d'impact. Et l'influence, je refuse aussi beaucoup de projets parce qu'en fait, il y a beaucoup de marques de merde qui me contactent. Je ne vais pas les citer, mais franchement, il y a des marques impensables que je bosse avec. Donc, je refuse ce genre de partenariat-là. Et en fait, ça me va très bien parce que je n'ai pas besoin de l'influence pour vivre. Donc, ça fait que si je fais un partenariat, il est très intéressant pour moi. Maintenant, pour ceux qui veulent démarrer, pour ceux qui écoutent cet épisode et qui se disent Putain, trop stylé, je veux faire comme elle, je veux avoir mon business qui me rémunère, je veux être digitale, machin, tout ça, tout ça. Déjà, il faut vraiment comprendre que... là spécifiquement par rapport au métier de la formation en ligne, ce que je fais, c'est ce qui me permet de vivre il faut quand même avoir quelque chose que vous allez apprendre aux gens, il faut être pédagogue, il faut avoir envie aussi de comprendre comment est-ce qu'une pédagogie est structurée, comment est-ce qu'on la met en place et comment est-ce qu'on la transmet ensuite il va falloir que vous développiez vraiment vos compétences marketing et puis surtout il va falloir que votre formation elle se base pas sur quelque chose qui existe déjà sur le marché, il faut que vous puissiez trouver un endroit où on n'a pas résolu... le problème avec une certaine formation. Donc se dire je vais faire une formation en ligne pour gagner de la thune c'est plus complexe que ça, ça demande vraiment une palette de compétences à apprendre, une communauté à construire, parce que sinon vous allez vendre à qui ? À Sunpair. Voilà. Moi ce que je vous conseille vraiment c'est de démarrer petit. Vous vous trouvez un problème sur le marché, parce que c'est exactement ce que vous allez apprendre dans 100% indépendant et rentable, vous trouvez un problème sur le marché, vous faites quelque chose de petit au début, vous n'avez pas besoin de partir dans une méga formation à 2000 balles là où on vous a vendu des high tickets, machin, non. Non en fait. Déjà, le marché a changé, donc il y a beaucoup de sceptisme sur le marché par rapport à ces formations-là. Ce que je veux vous expliquer, c'est que c'est largement possible, mais c'est juste qu'il faut y aller step by step. Ça se construit petit à petit. Je vous parle aujourd'hui, ça fait deux ans quasiment que j'ai... Oui, ça fait deux ans. En janvier, ça va faire deux ans que j'ai commencé Coach Ton Budget. Ça fait deux ans. Voilà. En deux ans, il y a tout ça. Et effectivement, avec les résultats que j'ai, je ne sais pas si vous connaissez beaucoup de meufs, dans mon cas, qui ont réussi à faire plus de 100 000 francs la première année de leur activité indépendante, qui ont réussi à... à avoir une communauté comme ça en Suisse, pour la Suisse. Honnêtement, je pense que j'ai taffé très très dur pour ce que j'ai. Vous connaissez aussi ce que je dis tout le temps, c'est pas parce que c'est difficile que c'est pénible. Moi je pense que parfois il y a des moments très difficiles, mais il faut les affronter avec un bon état d'esprit, avec aussi se dire tout le temps, en permanence, vous allez échouer, c'est sûr et certain, mais l'échec vous apprendra tellement de choses que ça va vous apporter beaucoup d'aide à définir... vraiment le juste produit, la bonne idée d'entrepreneuriat que vous voulez faire, etc. Moi aujourd'hui, avec Coach ton business, je n'aide pas, je n'accompagne pas des gens qui n'ont pas d'idée de business. Parce que je ne peux pas trouver l'idée de business à votre place. Vous devez comprendre vos compétences, vous devez comprendre ce qui vous anime dans votre vie, vous devez voir, vous devez aller chercher un petit peu cette graine d'entrepreneur en vous, et vous devez la former. Et d'ailleurs, n'allez pas quitter votre emploi ou votre activité si vous n'avez rien. Vous ne pouvez pas comme ça vous lancer de but en blanc et puis ça va venir tout seul. Nourrissez-vous, écoutez des podcasts, regardez ce que les autres y font pour se faire de l'argent, regardez les idées de business, demandez à ChatGPT. Il y a tellement de manières de vous informer sur quelle idée de business on peut faire. Justement, j'ai créé 100% indépendant et rentable dans cette optique-là parce que je sais qu'il y a beaucoup de gens qui viennent vers moi et qui me disent j'ai envie de me lancer et de devenir indépendant mais je ne sais pas quoi faire. Sauf qu'en fait, la réalité est telle que... il n'y a personne qui va vous trouver une idée de business. Il n'y a personne qui va vous dire, fais ça, c'est bien, c'est rentable. Si vous trouvez des articles de blog qui vous disent la bonne idée 2025 pour lancer un business rentable et efficace, franchement, ne cliquez même pas, ça ne sert à rien. Vous pouvez vous inspirer, vous pouvez vous dire, il y a ça, ça, ça qui se fait, vous faites un benchmark, mais ça ne va pas vous donner l'idée de business. Et puis pour ceux qui ont déjà cette idée de business et ceux qui sont déjà en route vers l'idée de business, moi, ce que je vous dirais, c'est qu'il faut vous former au niveau marketing et au niveau business. Je comprends que ce n'est pas votre casquette première. Je comprends que vous avez une activité de coach, de thérapeute, graphiste, designer, ce que vous voulez. Vous n'êtes pas dans le business de base. Mais si vous voulez devenir indépendant, il n'y a pas le choix. Vous allez devoir endosser une casquette d'entrepreneur et de chef d'entreprise. Ça veut dire que vous allez devoir comprendre comment vous acquérissez des clients. Vous allez devoir comprendre comment vous structurez votre mini-entreprise même si vous êtes seul. Comment vous structurez vos offres, comment vous avez des revenus, comment est-ce que ça marche au niveau administratif. Vous n'avez pas le choix en fait parce qu'il n'y a pas un employeur qui le fait pour vous. Quand vous êtes salarié, c'est ça. Il y a un employeur qui gère et qui a une équipe pour tout. Il y a une équipe en marketing, il y a une équipe dans les ressources humaines, il y a une équipe dans la vente, il y a une équipe dans l'IT, il y a une équipe pour tout. Ça, c'est l'avantage d'être salarié. C'est qu'il y a des gens spécialisés dans tous les domaines qui vont le faire à votre place. Quand vous êtes à votre compte, vous êtes seul. Donc, vous devez être l'IT guy pour réparer votre site internet. Vous devez être le SAV pour répondre à la demande client. Vous devez être le marketer pour mettre en ligne vos postes Instagram et tout. Et ça fait partie du deal en fait. Vous devez endosser plein de casquettes et vous devez assumer ces casquettes-là. Maintenant, le meilleur moyen pour réussir, c'est de se former, c'est d'apprendre comment est-ce qu'on fait les choses. Et ça, on peut l'apprendre tout seul, voilà, 100% indépendant, mais vous le faites tout seul. Vous pouvez aussi vous faire accompagner à un certain stade de votre activité pour que ça aille plus facile. Parce que moi, j'ai réalisé que les meilleurs gens que je suis, ce sont les gens qui sont en activité, qui ont envie de défoncer leur business pour y arriver. Parce qu'ils savent, ils ont compris ce qu'ils ont sous la main, ils ont compris. la pépite qu'ils ont dans les mains. Ils ont des clients, ils arrivent à faire de l'argent, ils arrivent, mais ils n'arrivent pas encore à dépasser ce level supérieur de se dire je suis 100% indépendant, je suis 100% rentable, je vis ma best life en Suisse. Ils n'ont pas tout ça parce qu'ils n'ont pas développé encore assez de connaissances business et marketing pour y arriver. Et ça, c'est ce qu'on fait dans Coach ton business. En fait, si on peut résumer un petit peu mes sources de revenus, c'est vraiment, il n'y a pas... En fait, quand vous êtes dans un business, Quand vous voulez faire votre business, il faut bien comprendre que vous ne pouvez pas vivre d'une seule source de revenus. Vous devez avoir, pas 10 sources de revenus différentes, mais vous devez avoir une offre qui vient compléter d'autres activités. Donc quand je dis une offre, ce n'est pas une offre promotionnelle, on s'entend de même. Vous devez avoir plusieurs choses en fait. Vous ne pouvez pas vous fixer sur un seul et unique truc et vous dire c'est bon, je vais faire des massages et puis je vais faire 140 000 francs à l'année. Ça ne marche pas comme ça en fait. Parce que vous faites comment quand vous êtes malade ou que votre client il annule ou comme ça ? Vous ne récupérez pas l'argent, donc vous n'avez pas d'entrée d'argent. Il faut vous construire une activité indépendante qui va vous permettre de renflouer les mois où il n'y a rien, les mois où vous n'êtes pas là, les mois où vous êtes en vacances, les mois où vous voulez juste faire pause parce qu'il y en a marre. Et ça, vous devez construire. Mais sans connaissance, c'est difficile. Faites-vous accompagner. Vraiment de constituer une équipe digitale qui va s'occuper de mon business et qui va justement amplifier un petit peu toutes les offres que j'ai. Donc j'aimerais vraiment bien avoir une équipe derrière et continuer de faire progresser cette entreprise. Pour ça, en début d'année, je vais me faire suivre, je vais avoir quelqu'un qui va m'aider à structurer tout ça, à m'aider à embaucher aussi l'équipe qui va aller derrière. Donc à chaque fois que je parle d'embauche, je reçois des candidatures derrière. Ne vous inquiétez pas, vous serez avertis quand ce sera le cas, si vous voulez participer à ça. Mais pour l'instant, on en est là. Ce qui se passe, c'est que soit... je refais le même chiffre d'affaires que j'ai fait cette année et finalement quelque part je stagne c'est pas un mauvais chiffre d'affaires, c'est un très bon chiffre d'affaires d'ailleurs mais soit je stagne et je me dis je suis bien comme ça et puis je reste à ce palier là et puis je continue coach ton business soit j'augmente et en fait j'ai cette ambition là, j'ai envie d'augmenter pas parce que j'ai la rage de vivre et puis parce que je suis une forcenée etc mais juste parce que j'ai envie de tenter l'expérience en fait j'ai envie d'aller plus loin, j'ai envie de développer, j'ai envie de faire des nouvelles Et ça passe par le développement de mon business et je trouve que c'est fabuleux à faire et ça apporte tellement de connaissances, d'enrichissement, etc. que j'ai envie de tenter cette expérience-là et je vous emmènerai de toute façon avec moi au fur et à mesure. Bref, voilà. Ce qu'il faut bien comprendre, c'est que c'est possible de vivre du digital en Suisse à 100%. C'est même une fabuleuse expérience, je vous le dis, parce qu'on a droit à une qualité de vie qui est vraiment très bonne en Suisse. Un cadre aussi au niveau entrepreneurial qui est génial.

  • Speaker #1

    Encore une anecdote qui est vraiment drôle. C'est vrai que nous, on faisait des lancements à plusieurs... Je ne sais pas, parfois on avait 700 voire 1200 personnes qui étaient en live sur nos lancements. Donc toi, tu dois tenir la connexion, tu dois être là, tu dois faire que tout fonctionne bien. Et on s'est retrouvés sur une petite île en Thaïlande. Et malheureusement, le jour du lancement, nous, on avait mis plusieurs milliers, donc c'est des dizaines de milliers de francs qui avaient été lancés pour cette campagne-là. Donc c'est une campagne que tu as prévue depuis presque deux mois. En fait, tu ne peux juste pas merder ce moment-là. Évidemment, qu'est-ce qui s'est passé ? Une tempête sur l'île, un orage, on va dire. Et dès qu'il y avait de l'orage, plus de connexion. Du coup, ça a été assez stressant et c'était un peu l'enfer. On s'est retrouvés bloqués en plein live, avec la connexion qui était complètement instable. Il n'y avait pas forcément de lumière. hyper dur et même pour te dire on a été bloqué 3 jours sans manger à cause de ces intempéries où la route était détruite et on pouvait pas descendre donc voilà, c'est pas toujours évident il faut vraiment bien choisir cet endroit je sais qu'il y a aussi plein de blogs qui proposent ça mais il faut penser à tout et voilà le paradis peut vite se transformer en enfer. Bref,

  • Speaker #0

    je vous remercie infiniment pour votre soutien, je vous remercie énormément aussi de m'écouter chaque deux semaines parce que je les poste tous les deux semaines Maintenant si vous voulez qu'on travaille ensemble dans Coach ton business, il va y avoir un formulaire pour postuler. Ce formulaire il ne vous engage pas, c'est-à-dire que c'est moi, je veux connaître un petit peu votre situation, je veux voir où est-ce que vous en êtes, ce que vous avez mis en place. Et en fait à la fin si vous rentrez dans le profil pour aller dans Coach ton business, on se fait un petit appel ou alors vous vous êtes convaincu, vous voulez vraiment qu'on bosse ensemble, vous prenez votre place et puis vous démarrez à la date que vous voulez démarrer. C'est un peu comme ça que j'ai fait mon process parce qu'en fait j'ai trop de demandes, j'ai vraiment envie d'avoir des gens qui démarrent, qui sont motivés, avec qui on va. On va tout dégommer en 2025. Maintenant, je vais juste vous annoncer encore un dernier petit truc, c'est que cette semaine, je vais aller tourner une nouvelle émission de podcast que je vais sortir en janvier, qui sera très, très, très entrepreneuriale, vous allez voir. Je ne vous le spoil pas trop. On est toujours dans l'authenticité, on est toujours dans ce qu'on veut parler de manière entrepreneuriale, on veut toujours être dans l'authenticité. Et je me suis associée avec quelqu'un qui m'est très chère, que je vais vous présenter, du coup, dans cette émission. Vous allez la retrouver toujours dans vos mails chaque semaine. particulièrement ceux qui sont tagués sous business, dans ceux qui ont mis je veux recevoir les news business vous recevrez cet email-là. Ce sera une émission, mais en fait, je ne vais pas trop vous spoiler, je vais juste vous dire qu'il y aura une nouvelle émission qui va sortir. Bref, sur ce, je vous dis à dans deux semaines, et je vous souhaite une toute belle journée ou toute belle soirée, ça dépend à quel heure vous m'écoutez, et je vous dis à tout bientôt !

Description

Dans cet épisode, je vous raconte pourquoi j’ai choisi de vivre et développer mon activité digitale depuis la Suisse, sans céder à la tendance du digital nomadisme. J’ai eu la chance de goûter brièvement à ce mode de vie lors de séjours en Grèce, au Vietnam et à Tenerife. Mais j’ai vite réalisé que la liberté que je cherchais ne se trouvait pas dans le fait de voyager en permanence, mais dans la manière dont j’organise mon emploi du temps et structure mon business.

Mes valeurs jouent un rôle clé dans cette décision : l’écologie, mon attachement à la Suisse et l’envie de bâtir une entreprise durable et rentable. En travaillant ici, je profite d’un cadre légal clair, d’un réseau professionnel efficace et d’une clientèle de qualité, tout en conservant la flexibilité qui est si importante pour moi.

Je vous parle aussi de mon organisation actuelle : comment je combine création de contenu, formations digitales, consulting et partenariats, tout en respectant mes priorités personnelles comme le sport et mes loisirs. On aborde aussi des sujets financiers essentiels comme la gestion du budget, l’épargne et l’investissement, avec des conseils pratiques pour sécuriser vos projets à long terme.

Enfin, je partage mes conseils pour les entrepreneurs qui veulent se lancer : l’importance de démarrer petit, de trouver un problème concret à résoudre et de construire une communauté solide avant de tout miser sur une activité en ligne. Mon objectif est de vous montrer qu’on peut trouver la liberté dans une structure bien pensée, sans suivre les tendances à tout prix.


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Transcription

  • Speaker #0

    Vous avez tous vu passer sur les réseaux sociaux ces digital nomades qui vivent de leur business à l'autre bout de la planète. Parmi eux, il y a des Suisses qui sont partis ou qui partent de manière saisonnière vivre à l'étranger tout en vivant du digital. Alors, petit spoiler, je respecte les choix de vie de tout un chacun, et je vous avoue que j'en ai rêvé de cette vie de digital nomade que j'ai brièvement goûté, je vais vous raconter, et aujourd'hui, je n'ai absolument plus. envie de l'être. Et d'ailleurs c'est un des objectifs que j'ai eu, que j'ai dans mon business, c'est de vivre pour et depuis la Suisse du digital. Ça veut pas dire que je fais plus de vacances, que je pars pas, etc. Mais ça veut dire que j'ai une toute autre approche de mon business, toujours associée à la liberté. Je vais vous expliquer. Donc comme d'hab, je vais vous parler une partie de mon parcours qui me pousse à me poser ce genre d'objectifs, que ce soit mes valeurs, mon éthique, mes envies, etc. Je vais vous détailler aujourd'hui comment j'en vis à 100% et je vais aussi vous donner des conseils si vous avez envie de démarrer et de faire la même chose. Bienvenue sur Coach ton budget et business, le podcast dédié à la thune mais aussi et parfois au marketing et à l'entrepreneuriat en Suisse particulièrement. Je suis Janice, formatrice en marketing et mentor en business digitaux mais aussi créatrice de contenu dans la finance personnelle. Dans ce podcast, on parle argent pour s'éduquer, apprendre à gérer, comment réaliser nos projets de vie avec. Et si tu es nouvelle ou nouveau, bienvenue et pour les auditeurs fidèles, merci de continuer à me soutenir. C'est très important, si vous mettez une note à ce podcast, déjà ça veut dire que vous l'aimez et moi je vous aime aussi. Mais si vous l'aimez encore plus, vous pouvez vous abonner à l'annuisateur. et vous l'aurez dans votre boîte mail toutes les deux semaines. Moi, ça m'aide à le faire connaître et ça a vraiment une grosse portée parce que grâce à vous, j'ai la presse qui me contacte, j'ai des grosses institutions publiques aussi qui me contactent pour faire de l'éducation financière. Donc, je développe vraiment mon projet de faire de l'éducation financière un gros truc en Suisse et c'est grâce à ça que vous m'aidez à le faire. Tout d'abord, avant de vous rentrer dans le vif du sujet, ce que je vais vous raconter dans cet épisode, c'est d'abord je vais faire un petit rappel sur mon parcours, on va parler de définition aussi parce que j'ai parlé de mots, peut-être que vous savez pas ce que c'est. Je vais vous parler d'où ça m'est venu cette envie de vivre à 100% du digital en Suisse. Je vais vous parler aussi un peu de thunes, de... qu'est-ce que vous pouvez attendre ou comment est-ce qu'on met en place une activité comme ça pour avoir de l'argent supplémentaire ou en tout cas à terme peut-être comme moi avoir votre business à 100%. Je vais vous donner du coup des astuces pour ceux qui veulent démarrer. Juste avant de commencer, je voulais juste vous dire que j'ai ouvert la pré-vente pour Objectif 100% indépendant et rentable. Donc c'est une offre à 50% qui est en place jusqu'au 14 janvier. Au 14 janvier, c'est le prix plein qui commence pour cette formation. Je vous explique à la fin de quoi il s'agit, mais vous allez en entendre parler dans l'épisode de toute façon. Et si vous voulez encore plus de détails, vous écoutez les autres épisodes, vous verrez, j'en parle énormément. Alors déjà, petit rappel, petite update sur qui je suis, mon parcours, tout ça, bref, très très brèvement. Je m'appelle Janine, je l'ai dit à l'instant dans l'intro, et j'ai de grosses communautés sur les réseaux sociaux qui sont principalement suisses, c'est-à-dire que j'ai quasiment 10 000 personnes qui me suivent sur Instagram à l'heure où je vous parle, j'ai 90 000 abonnés sur TikTok, j'en ai un peu plus de 5 000 sur LinkedIn, donc j'ai vraiment des grosses communautés, et souvent quand on voit vos grosses communautés, on se dit bah la meuf couille à 100 or, elle est payée par les réseaux sociaux, elle vit sa best life, etc. C'est pas exactement ça, même si effectivement mes audiences me permettent de me rémunérer et je vais vous en parler dans cet épisode, mais c'est pas exactement ça et je travaille beaucoup. En tout cas, ça me permet de vivre la vie que j'ai rêvé d'avoir il y a longtemps. En fait, mes amis souvent me disent mais pourquoi tu te barres pas ? Pourquoi t'en profites pas de cette liberté ? etc. Ils me disaient que c'était cool de vous expliquer pourquoi est-ce que j'ai choisi de vivre du digital en Suisse, comment est-ce que c'est faisable et surtout, pour ceux qui veulent pas partir comme moi, je pense que c'est un super tremplin pour se dire c'est faisable en fait, c'est faisable de vivre de son business en tant que solo-preneur en Suisse quoi Je ne suis pas la seule. On va commencer par une petite définition. Qu'est-ce que c'est déjà un digital nomade ? Parce que je l'ai parlé là juste avant dans l'intro, je ne suis pas digital nomade fondamentalement, c'est juste que pour vous expliquer, l'introduire, le sujet du digital, j'ai parlé de digital nomade. Un digital nomade ou une digital nomade, c'est une personne qui utilise les technologies numériques pour travailler tout en voyageant ou en vivant où elle le souhaite. Il y a les freelancers en marketing digital, les développeurs web, les consultants, les créateurs de contenu, les formateurs en ligne, voilà, il y a un panel de gens qui font ça, du digital et qui vivent à l'étranger. En général, les gens qui veulent devenir digital nomade, c'est pour avoir la liberté géographique, ils veulent la flexibilité de l'emploi du temps, ils veulent voyager, découvrir, et j'ai l'impression que c'est très de ma génération, c'est-à-dire les millenials, ils sont un peu désillusionnés par le salariat traditionnel, ils sont en quête de sens, ils veulent devenir leur propre boss, donc voilà, ils lancent leur business, et puis pour certains, ça marche extrêmement bien, et puis pour d'autres, c'est un peu plus compliqué. Et c'est là où je veux en venir, c'est que... en fait beaucoup pensent que le devenir digital nomade c'est facile et ça résout tous les problèmes parce qu'on a plus de boss etc mais en fait il y a quand même d'autres problèmes, il y a toujours le stress, le manque de temps l'insatisfaction au travail et puis surtout ça peut apporter des nouvelles contraintes c'est à dire l'isolement, l'instabilité financière, les difficultés administratives selon le pays où on est. Bref ça peut devenir vraiment complexe et tout au long de cet épisode j'ai décidé de vous mettre un témoignage de Aude qui est la co-fondatrice de Oralima. Aude est partie il y a quelques années de ça en Thaïlande pour justement vivre un petit peu sa best life en tant que digital nomade vu qu'elle a un business digital... qui fonctionne extrêmement bien. Et elle est revenue en Suisse et aujourd'hui, elle habite à 100% en Suisse. Elle est là, elle vit sa best life en Suisse comme moi. Et j'ai trouvé intéressant qu'elle vous rajoute un petit peu son parcours et son expérience par-dessus pour vous expliquer un peu quoi, comment. Oui,

  • Speaker #1

    c'est vrai que devenir Digital Nomad, ça a été mon rêve depuis toujours. Quand je suis partie en Indonésie en 2014, c'était pour les vacances, j'étais encore employée à ce moment-là. Je me suis dit, mais c'est exactement ça que je vais faire et je vais tout faire pour justement créer un business ou en tout cas me créer une vie pour réussir à devenir Digital Nomad. et une année après mes rêves se sont réalisés j'ai tout quitté, pacté mes affaires et je suis partie en Thaïlande. Disons que la réalité m'a vite rattrapée là-bas, on est sur une île paradisiaque et on a un business à faire tourner. Sauf qu'un business ça demande de l'énergie, ça demande du temps. L'argent gratuit d'internet c'est aussi une légende, il faut travailler pour justement réussir à maintenir quelque chose qui soit viable. Et c'est vrai que moi je suis construite sur le long terme, je vais pas chercher le gain immédiat. C'est vrai qu'on le voit notamment avec le dropshipping etc c'est possible mais moi c'était vraiment pas ça que j'avais envie donc c'est vrai que... Une légende de travail 4 heures par jour, en tout cas pour moi sur le départ c'était compliqué. Donc j'ai passé des journées entières enfermées dans ma villa de rêve, avec la piscine qui m'attendait où je n'avais même pas le temps d'aller. C'est vrai que les journées ont passé très vite et c'est à ce moment-là que je me suis dit, mais à quoi bon être... en vacances et être dans des endroits magnifiques sans pouvoir profiter du moment et de l'instant. Donc c'est vrai qu'à ce moment-là, ça a été assez une désillusion.

  • Speaker #0

    De nouveau, l'idée, c'est pas de vous dégoûter du digital nomade parce que fondamentalement, c'est une super chose. Je pense que quand on est jeune ou quand on a vraiment envie et soif de découvrir, ça peut être fabuleux. C'est fabuleux, en fait, d'être payé de son business, d'avoir une activité et de pouvoir la faire de où on veut. C'est vraiment génial. Et ça, je soutiens cette idée à fond. Mais en fait, vraiment, on n'est pas obligé de partir à l'étranger et on peut rester en Suisse. Ça peut fonctionner. Ça peut être génial, en fait. Je pense que vivre en Valais et être 100% digital, c'est génial parce que ça me permet de faire plein de choses quand j'en ai envie et de ne pas être contraint par une location, un endroit où je dois aller ou de devoir exercer mon métier de manière physique, etc. Et aussi, de nouveau, un autre spoiler, c'est que je ne dénigre pas les métiers qui sont en présentiel et qui ont besoin du présentiel parce que je vais vous expliquer aussi dans quelques minutes que le présentiel est quand même important dans le développement de son business. Et du coup, c'est important. Quand je dis vivre du digital, c'est-à-dire que je voulais vous expliquer... la liberté associée grâce au digital et c'est en partie grâce à ça. Alors en fait, moi comme beaucoup, je me suis dit, trop cool, si je vis du digital, c'est ce que je vais avoir. Donc la liberté, tout ça, voyager, machin machin. Je vais vous raconter, ça a beaucoup changé entre temps et c'est super intéressant de voir le changement de mon état d'esprit avant, plus jeune, et maintenant. Et tout a commencé en fait en 2019, j'étais en Grèce. Donc en Grèce, j'avais lancé un... je finissais mes études en fait et j'avais lancé un blog de voyage. Et en fait, long story short, je renvoyais pas de trafic vers ce blog, donc personne ne consultait ce blog. Et je faisais des articles sur ma vie en Grèce. Par exemple, je faisais des articles où je débattais avec les philosophes. Je parlais de liberté d'expression, tout ça, tout ça. Enfin bref, je faisais un peu la grecque, quoi. Et je faisais des vidéos aussi, parce que j'étais bénévole pour une association. Donc je faisais pas mal de bénévolat. Bref, je kiffais ma vie en Grèce. J'avais aussi recensé plein de restaurants véganes, végétariens, bio, etc. Donc j'avais vraiment... Je suis une exploratrice. Moi, j'adore développer ou découvrir des choses. J'adore aller tester des trucs et tout. Donc j'avais essayé de mettre tout ça sur un blog. Et en fait, c'était un peu le farfouille. Il y avait plein de choses, mais voilà, c'était la première chose. Donc si vous connaissez un petit peu mon parcours, vous savez qu'après la Grèce, je suis partie en Angleterre. J'avais prévu de faire ma vie là-bas. Spoiler, je suis rentrée en Suisse. Et quand je suis arrivée en Angleterre, en fait, cette envie m'est très vite passée de faire un blog. C'est-à-dire que c'était beaucoup plus facile de gagner ma vie avec tout simplement un salariat qu'avec un blog. Voilà. Et du coup, cette expérience, elle a été courte. C'était quelques mois, mais... En fait, aujourd'hui, je vois que ça m'a appris beaucoup de choses. J'ai vraiment appris beaucoup de choses. J'étais en contact avec des digital nomades, j'étais dans les co-working. J'ai fait trop de trucs comme une digital nomade alors que je ne gagnais absolument pas ma vie avec cette activité-là. Mais j'avais mis beaucoup d'argent de côté pour me permettre cette expérience-là. Bref, tout s'est arrêté, j'ai commencé à travailler, le travail prend du temps, on n'a plus le temps de développer un blog, on n'a plus envie, bref, voilà. Donc, je vous bouge en fast track à 2022. où j'ai commencé de nouveau à avoir ce truc qui me titille de ah j'aimerais bien quand même avoir mon truc à moi. Il faut savoir que j'avais quand même lancé une association avec mon meilleur ami de fan de plantes, je le répète souvent dans les épisodes, ça impressionne les gens mais c'est vrai. Et en fait pareil, on se fait pas de la thune avec ça, enfin on fait pas d'une association, enfin en tout cas cette association elle est pas du tout de venir m'en gagner pas, c'était impossible, c'était absolument pas rentable. Donc je commence à réfléchir sur une idée de business, machin qu'est-ce que je pourrais faire pour... commencer vraiment à avoir de l'argent en plus, etc. Puis être plus libre, machin. En fait, il y avait d'abord se faire de l'argent en plus, c'était mon premier objectif, mais derrière, il y avait quand même l'objectif d'être libre. La liberté, c'était quand même... Enfin, argent égale liberté, finalement, parce que quand on a de l'argent, on peut choisir de faire un peu ce qu'on veut. Parce qu'on peut choisir... Enfin, j'ai pas besoin de vous expliquer, je pense. Bref, du coup, je réalise aujourd'hui quelque chose, c'est que je ne cherchais pas juste à être digital nomade, je cherchais la liberté de mouvement. Je cherchais la liberté de mes horaires, de ne pas devoir aller au travail ou d'avoir envie de rester à la maison. Je voulais avoir le choix parce que j'en avais ras le cul de demander pour prendre des congés. J'en avais marre d'être limitée à cinq semaines. J'en avais marre de devoir pointer quand j'arrivais au travail. J'en avais marre, je me sentais complètement bridée et ça n'allait pas du tout. Alors juste un petit spoiler, c'est que ce n'est pas parce que vous vivez ce genre de choses au travail que vous n'êtes pas fait pour le salariat et qu'il faut devenir entrepreneur. Quand vous devenez entrepreneur, il y a d'autres problèmes. Et je vous dis, il y a des trucs, il faut avoir de sacrées épaules, c'est souvent plus problématique que d'être salarié. Donc je pense qu'il faut d'abord regarder un petit peu si changer de travail, ce serait pas la solution dans un premier temps, et après vraiment commencer à se dire, ok, en fait, j'ai vraiment envie de développer quelque chose et de me lancer dans une activité entrepreneuriale. Mais c'est aussi quelque chose qui va devoir vous combler, c'est-à-dire qu'il ne faut pas se lancer là-dedans juste pour les thunes. Moi, je vous ai parlé, je vous ai dit, je voulais faire de l'argent supplémentaire. Au fond de moi, j'ai quand même une petite flamme qui avait une passion dans quelque chose, qui avait envie de transmettre quelque chose. Et cette passion, elle m'a permis de développer. Parce que sans la passion, vous ne pouvez pas développer. En fait, ça ne vous intéresse pas. Donc, vous n'allez jamais, jamais réussir à faire une tâche après l'autre. Si ce que vous faites, ça ne vient pas du fin fond de vos entrailles, vous n'allez pas vous motiver à le faire. Donc, ça ne sert à rien de vouloir se lancer là-dedans juste pour les thunes. En fait, il faut avoir des vraies raisons. Voilà, c'est ce que j'essaie de dire, il faut avoir des vraies raisons. Bref, je pars au Vietnam, je rentre du Vietnam, j'ai l'idée de Coach Ton Budget, donc je fais cette formation, je l'explique dans beaucoup d'épisodes, donc si vous avez envie d'écouter, n'hésitez pas à aller écouter les autres épisodes. Et en fait, pour vous expliquer, en début d'année 2023, quand j'ai lancé Coach Ton Budget, pour marquer le coup, je suis partie à Ténérife. Et ça, c'était un peu, pas ma revanche, mais me dire, ben voilà, c'est bon, je lance mon business en ligne, je vais partir à Ténérife pour fêter cet lancement avec moi et moi toute seule. Alors qu'en vrai, ce n'était pas du tout ce business-là qui avait financé Ténérife, c'était mes thunes de mon salariat. Et j'étais partie à Ténérife, j'avais lancé. Et déjà là, le constat, c'est qu'on est à l'étranger, on a envie d'aller visiter. Donc j'avais ma petite voiture et puis le matin, je faisais des trucs pour la formation et l'après-midi, j'allais visiter. Et là, ça a été un peu le premier truc où je me dis, mais en fait, quand je suis en vacances, j'ai envie d'être en vacances. Je n'ai pas envie de faire autre chose. Ça a été un peu le premier constat, mais je ne me le suis pas tout de suite accordé. Donc voilà.

  • Speaker #1

    Ensuite, je suis partie en Europe après les six mois d'Asie. Et je me suis dit, c'est génial, je vais pouvoir faire un tour d'Europe tout l'été, profiter de cette Dolce Vita Summer européenne. Et je me suis retrouvée chaque semaine dans un avion avec mon ordinateur à paquer, à dépaquer, à rentrer dans un Airbnb, à ressortir. Et en fait, c'était une catastrophe parce que du coup, difficile de tout le temps changer de lieu. Et c'est ça que j'ai compris aussi, c'est que si on a envie d'être digital nomade, on a besoin de se poser. Moi, j'avais besoin de faire un minimum de séjour de trois semaines parce que le temps que tu arrives, que tu mettes tes affaires, que tu commences à travailler, à t'habituer. Et parfois, il faut aussi... Hors des vacances, il faut aussi savoir où tu vas manger, retrouver tes petites habitudes. Et c'est vrai que tout ça, ça a beaucoup de temps. Et finalement, je n'avançais pas dans mon business. C'est vrai que ça a aussi demandé une rigueur de dingue. Quand tu es dans un petit café au bord de la plage en Indonésie, avec une plage magnifique, tu as juste envie de profiter du soleil. Et tu ne peux pas, tu as des obligations. Et aussi, ce qui n'est pas évident, c'est que j'ai beaucoup de clientèle européenne. Donc, il faut aussi se mettre à l'heure européenne. Donc, le soir, tu travailles avec ça. Alors, c'est toute une organisation. Et c'est vrai qu'à long terme, je me suis dit que ça ne va pas me convenir. Et que j'avais rêvé. disons, notamment à Bali etc. c'était pas possible. Et c'est vrai que si tu es influenceur et que toi tu vis aussi de toi création de contenu, je trouve que c'est différent. Mais en tant qu'entrepreneur vraiment et digital nomade en tout cas, en ligne comme ça c'était très compliqué. Et puis finalement j'ai décidé de rentrer en Suisse, de prendre un appartement, un tout petit appartement avec un loyer pas forcément très onéreux. Comme ça si j'ai envie de partir trois mois pour de vrai, je peux le faire et c'était important pour moi vraiment d'avoir ce pied-à-terre. Voilà comme une structure finalement aussi pour moi. Alors c'est vrai que je suis toujours libre géographiquement, notamment je fais pas mal d'allers-retours à Dubaï, et ça c'est agréable, mais c'est vrai que j'organise mon temps tout le temps en fonction, et même quand je dois travailler en voyageant, c'est jamais très très facile.

  • Speaker #0

    Et du coup, comme Aude, non seulement j'avais pas envie de faire Digital Nomad à l'étranger, et j'en avais pas besoin. J'ai beau être une exploratrice, j'adore explorer, ben justement j'adore explorer, donc être à l'étranger pour rester quelque part, ben moi ça m'intéressait pas. Je pense que ça se fait quand on reste à un endroit pendant longtemps, par exemple là je suis en Valais, j'ai plus besoin d'explorer, enfin... J'y vais le week-end, mais c'est plutôt du plaisir. Et surtout, en fait, c'est aujourd'hui. Ce sont des constats que je fais aujourd'hui. Ce n'est pas des constats que j'ai faits sur le moment même.

  • Speaker #1

    C'est vrai que ça a même été un moment d'une désillusion. Parce que tu sais, quand tu rêves de quelque chose et que tu mets tout en place pour y arriver, que tu arrives et que tu te dis, oups, ce n'est pas ça du tout. En tout cas, moi, je sais qu'il m'a fallu bien une année pour admettre ça et me dire, voilà, ce que tu avais rêvé, finalement, ce n'est pas ça.

  • Speaker #0

    Et en fait, j'avais la volonté d'avoir une vraie entreprise, pas juste une petite activité de freelance en Thaïlande. Et de nouveau, je ne critique pas, c'est juste pas ce que je voulais. Je voulais plus que ça, je voulais avoir un impact.

  • Speaker #1

    Mais c'est bien parce que grâce à ça, finalement, ça a été mon leitmotiv pour tout péter, j'ai envie de dire, pour avancer. Et c'est ça qui m'a permis justement de concrétiser et de vivre cette passion-là et ce rêve-là. Et c'est génial parce qu'aujourd'hui aussi, avec cette idée de Digital Nomad, finalement, j'ai... aucune obligation, j'ai pas de local, je peux travailler quand je veux, d'où je veux, donc ça c'est aussi génial et ça me laisse une liberté que finalement moi c'est la liberté que je cherchais et je les retrouve aujourd'hui et peut-être que c'était pas cette liberté géographique.

  • Speaker #0

    Et aussi je vous ai parlé, j'avais des valeurs en fait, j'avais une éthique. Déjà il y avait tout ce qui était écologique, c'est que je me voyais pas prendre l'avion plusieurs fois dans l'année, genre plein de fois dans l'année juste pour me déplacer d'un endroit à l'autre, je voulais pas ça, je voulais rester proche de ma famille parce que quand j'étais en Angleterre j'étais assez loin d'eux et ça me saoulait de devoir prendre l'avion pour aller les voir. Bon ça va je suis pas restée trop longtemps donc j'ai pas dû le faire mais... Et surtout en fait c'est que j'aime la Suisse. J'aime les avantages de travailler en Suisse, dans un environnement structuré, flexible, l'accès aux clients, le cadre légal clair. Et je le dis tout le temps mais j'ai réalisé qu'en Suisse vous avez quand même des opportunités de malade. La Suisse c'est un environnement qui est fait pour les entrepreneurs. J'ai un pied en Suisse, j'ai un permis de séjour en Suisse. Pourquoi pas en profiter quoi ? Pourquoi j'irais à l'étranger alors que j'ai le passeport royal pour vivre dans un pays ultra privilégié ? Et puis surtout j'ai réalisé qu'on peut tout à fait développer son activité à l'étranger, certes, mais quand même être en Suisse et montrer qu'on est en Suisse c'est un gros coup de bouche à son propre business, surtout quand on vend du Swiss made. Enfin du Swiss made c'est du Swiss digital made mais vous voyez ce que je veux dire. Il y a un autre truc aussi que j'ai réalisé, mais ça j'ai réalisé cette année, j'ai pas réalisé à l'époque, c'est que quand on est à l'étranger on néglige le networking. Et en Suisse c'est... enfin... Le networking, je dis, ça dépend de son business. Moi, je parle d'un business qui est basé en Suisse. En fait, en Suisse, si vous avez une clientèle suisse, serrer des pinces, c'est vachement important encore. Montrer qui vous êtes, montrer ce que vous faites, juste vous montrer en public, c'est vachement important. Ça, je l'ai réalisé, c'est qu'à chaque fois que je faisais, entre guillemets, je ne suis pas bénoncée, dès que je fais une apparition publique, dès que je fais une conférence, dès que je donne un podcast, dès que je montre que je suis une personne physique, vraie, morale, qui existe, les gens, en fait, ils sont là, genre, ah, mais cette meuf, elle existe vraiment, elle est là, et voilà. Et ça, ça me donnait à chaque fois, cette année, ça m'a donné des gros coups de boost dans mon business. De montrer qu'on passe à la RTS, de montrer qu'on a un article dans le bilan, dans le temps, etc. Mais ça, les gens, ils sont là genre Ah ouais, en fait, c'est vrai, c'est pas du bullshit Bah oui, c'est pas du bullshit, je suis une vraie personne, j'ai des vraies valeurs à transmettre. Mais pour revenir au sujet du digital nomade, c'est qu'il faut vraiment savoir que moi, je ne suis pas digital nomade. J'ai un appartement en Suisse, je ne vadrouille pas, j'ai un bureau. Donc, je ne suis pas digital nomade. Je vis du digital, mais je ne suis pas digital nomade. Parce qu'un digital nomad, en fait, en général, il va dans les cafés, il va faire son petit match à la thé. Non, c'est un peu cliché ce que je raconte, mais il va louer une jolie villa à Bali pour la saison. Il va faire toutes ses activités un peu d'expat en Asie. En général, c'est en Asie ou alors c'est en Amérique du Sud. C'est un peu les deux endroits où les digital nomads vont. Et en fait, en Suisse, ça, c'est pas trop possible. Louer une jolie villa, ben merci, vous devez bien gagner votre vie. Les cafés... pareil, encore quoique j'ai vu des prix à Bali ou dans des zones là c'est abusé c'est aussi cher qu'en Suisse, mais voilà c'est pas du tout la même vibe en fait ensuite en Suisse ça n'existe quasiment pas en fait c'est pas comme ça que ça se passe ici la limite dans un café si vous acceptez avec votre ordinateur c'est bien parce que généralement ils sont là genre en fait je me suis fait virer d'un café à Genève parce que j'ai sorti mon ordinateur, genre non ici on n'accepte pas les ordinateurs, tranquille j'attends un pote, j'ai envie juste de travailler sur un truc non ok d'accord je vais pas revenir ici Bref, c'est pas du tout pareil. Si vous voulez vraiment, il faut louer un espace coworking. En général, ça coûte cher. Si vous voulez en tout cas être avec d'autres personnes, si vous voulez être seul, vous pouvez avoir un bureau. C'est aussi de l'argent. Bien que vraiment, je pense qu'à l'étranger, il y a aussi des coûts. Je pense bien, mais c'est vraiment pas la même vibe. On va dire qu'en Suisse, on vient pas en Suisse pour être digital nomade. Et de toute façon, en fait, je vous dis, je ne voulais pas être un digital, être une digital nomade. Moi, j'aime la stabilité. J'aime avoir mon appartement, mon chez moi. J'aime faire les mêmes trajets tous les jours s'il faut faire les mêmes trajets, c'est-à-dire de temps en temps aller au fitness ou aller à l'équitation, etc. Moi, j'aime quand c'est régulier, quand c'est la même chose. Donc, partir à l'étranger, devoir tout reconstruire, etc., c'est bien cinq minutes, mais je l'ai fait un peu toute ma vingtaine. J'ai plus trop envie de le faire pendant les années qui suivent. Voilà. On va passer à la suite de l'épisode. Je vous ai promis de vous expliquer comment est-ce que je vis de mon digital, de mon business digital et qu'est-ce que j'ai fait pour y arriver. Alors, évidemment, c'est pas dans un épisode que vous allez avoir... toute ma stratégie. Je ne vais pas tout vous donner, mais je vais vous expliquer la structure de mon business et ce qui me permet d'en vivre. Alors, déjà, il faut savoir qu'un consultant classique, en général, il va être payé à l'heure parce qu'il fait des consultings sur ci et ça et ci et ça. Donc, si on peut assimiler mon métier à quelque chose de traditionnel, ce serait au consultant, ok ? Au consultant ou au formateur. Le formateur, en général, il est salarié, c'est-à-dire qu'il est salarié de l'État avec l'école ou dans un truc privé, je ne sais pas. Bref, il est payé à donner des formations. Moi j'ai un mix entre les deux, c'est-à-dire que je forme et je suis mentor. Donc je suis à la fois consultante où je vais aller voir et consulter, regarder ce qui se passe, mais je vais aussi former parce que j'ai une méthodologie et je fonctionne d'une certaine manière. Comme ça vous voyez un petit peu ce que je fais. De base, c'est pas mon métier. C'est-à-dire que de base je suis Digital Marketing Manager, je suis économiste d'entreprise, j'ai fait une formation pour International Business Management, je me suis spécialisée dans le marketing au fur et à mesure des années, mais j'ai constaté que j'avais des choses à transmettre. Et du coup, j'ai créé une formation qui s'appelle Coach ton budget et qui m'a permis de me lancer l'année dernière. Coach ton budget, c'est environ 6 mois de travail pour tout faire. Quand je vais vous donner des conseils pour voir comment faire, n'allez pas tout de suite tout feu tout flamme en se disant je vais faire une formation en ligne, ça va me faire des pépettes. Ce n'est pas vrai. Une formation en ligne, ça va vous demander beaucoup de compétences à travailler. Ça va vous demander de savoir comment la construire, ça va vous demander d'être pédagogue, d'avoir quelque chose à transmettre. Ça va aussi vous demander de devoir développer des outils marketing parce que les clients ne viennent pas tout seuls, ça je vous le dis. Et ça va pas vous demander du boulot sur du long terme. Moi, j'ai eu de la chance, c'est que tout ce qui est business et tout ce qui est... Enfin, de la chance, c'est mon métier en même temps. Tout ce qui est business et tout ce qui est marketing, je sais. Je sais comment faire. Mais tout ce qui était budget, ça, j'ai appris. Ça, je me suis développée moi-même dans mon éducation financière. Donc, j'avais une pédagogie à transmettre. Je Ausha les cases du business et du marketing. Donc, j'ai lancé Coach ton budget. Plus tard dans l'année, j'ai lancé Coach ta bourse. Coach ta bourse est une version... pour la même coach ton budget. Donc c'est une formation qu'on appelle Evergreen. Je n'interviens pas, je l'ai créée, je l'ai montée, je l'ai fabriquée de mes propres mains, mais je n'interviens pas. Donc les gens suivent ces formations-là sans que j'intervienne. Et très récemment, la dernière formation Evergreen que j'ai sortie, et que là j'en ai parlé tout avant, c'est... 100% indépendant et rentable. 100% indépendant et rentable est venu d'un souci personnel que j'avais parce que je n'arrive pas à prendre tout le monde dans Coach ton business et qu'il y a énormément de débutants, de gens qui ne savent pas par où démarrer pour démarrer un business. En fait 100% indépendant et rentable c'est un peu le début de Coach ton business, c'est que je vais renvoyer toute personne qui ne sait pas comment on construit les bases d'un business en Suisse. Souvent en fait on pense qu'on va aller en SARL, on va aller en réseau individuel, hop on a la structure administrative et maintenant c'est bon je vais devenir entrepreneur. C'est pas du tout ça en fait. Pour devenir entrepreneur, la marche à suivre c'est la suivante. C'est que vous devez avoir trouvé un problème à résoudre sur le marché. Donc vous avez vu qu'il y avait un problème chez une certaine audience, vous avez trouvé une solution à ce problème. Vous comprenez la solution et vous savez comment la porter à votre client. C'est comme ça qu'on démarre. Ensuite il faut rédiger une offre, il faut rédiger un business plan, il faut rédiger un petit peu toutes ces choses-là qui vont former, structurer votre business. Ça c'est la base. Et ensuite après ça il faut commencer à chercher comment est-ce qu'on va trouver des clients. selon la structure du business, selon votre business model, vous ne cherchez pas les mêmes clients que, enfin quelqu'un qui est par exemple coach en sport, il ne va pas chercher ses clients de la même manière que le gars qui vend des promotions immobilières. Tout ça c'est différents business, différentes manières d'acquérir des clients et ça il faut comprendre. Et en fait 100% dépendant et rentable c'est ça, c'est le début, c'est comment est-ce que je crée un business de zéro avec une petite marche à suivre pour y arriver. Donc c'est vraiment une formation rapide dans le sens où ça va vous mettre le pied à l'étrier. Alors l'objectif, ce n'est pas de devenir 100% indépendant et rentable, mais c'est de vous mettre sur cette voie-là. Parce que beaucoup de gens vont avoir des idées business. Par exemple, moi, je veux vendre des balades en forêt. Mais le problème, c'est qu'il faut que vous compreniez que ce business-là, il doit vous rémunérer. Il doit avoir un business model derrière. Il doit avoir un moyen de vous générer des revenus. Et si vous n'avez pas réfléchi à ça ou à votre structure de coût, c'est bien. Mais imaginez, vous avez un business qui est très coûteux. Vous allez vous sortir comment un salaire si votre business est coûteux de base ? Toutes ces choses-là, il faut y penser. Et ça intervient de base. Et ça, personne ne va vous le dire, en fait. Personne ne va vous expliquer dans n'importe quelle formation comment est-ce qu'on monte un business. On va vous dire, quand vous allez dans des structures comme IFJ, par exemple, qui est génial si vous avez besoin de comprendre qu'est-ce qu'il faut mettre en place pour devenir indépendant, au niveau administratif, ils vont être fabuleux pour ça. Ils vont vous conseiller pour tout ce qui est administratif. Mais par contre, au niveau marketing, comment acquérir des clients, comment faire en sorte que vous deveniez rentable avec vos offres, etc. Il n'y a personne qui va vous expliquer ça. Donc moi, j'ai trouvé ce problème-là sur le marché suisse. J'en ai fait une formation, j'en ai fait une formation 100% digitale et c'est en partie Coach Ton Business que je vous explique dans deux minutes, mais du coup j'ai fait une version plus condensée, plus courte pour les gens qui veulent vraiment mettre le pied à l'étrier mais qui n'ont pas non plus des masses de budget pour rentrer dans Coach Ton Business. Et du coup le troisième plus gros produit que j'ai, c'est le quatrième du coup maintenant, c'est Coach Ton Business. Coach Ton Business c'est vraiment une formation mentorat et cette formation elle est 100% digitale. Elle n'est pas evergreen, c'est-à-dire que j'interviens, mais elle est 100% digitale. En fait il y a un mix entre formation et mentorat. C'est-à-dire que j'indépendantise mes élèves dans la partie formation, je leur montre toute ma pédagogie, toutes mes méthodes, et ça c'est vraiment issu de mon expérience entrepreneuriale, ce que j'ai réussi à faire, mais c'est aussi issu de tous les entrepreneurs que j'ai suivis cette année. Donc ça veut dire que je ne vous dis pas juste, moi j'ai fait comme ça, faites pareil, ça va marcher, parce que c'est absolument pas vrai. Je vous explique comment est-ce qu'on monte un business, je vous explique les choses à regarder, comment devenir rentable, comment vous financer, comment trouver des clients, je vous montre tout ça. Et après, en one-to-one, on regarde... ensemble les spécificités de votre business, de vos envies, etc. Coach ton business, effectivement, c'est un programme qui est rendable pour moi, mais qui me demande de donner des heures de travail. En fait, coach ton business, qui est bien aussi par rapport aux formations Evergreen, c'est que, comme c'est 100% digital, il y a une prise de rendez-vous qui est basée selon mon agenda, et j'ai plein de jours de libre, c'est-à-dire que j'ai des jours où les élèves ne peuvent pas me réserver des séances de consulting. J'ai des jours où je peux parler, où je peux penser 100% stratégie, 100% de création de contenu, 100% administratif, 100% réponse aux emails et tout. J'ai vraiment plein, plein, plein de jours pour moi et dédiés à mon business. Et ça, ça m'aide à me... J'ai développé beaucoup. Et le fait que j'ai plusieurs sources de revenus, donc je vais avoir coach ton business, coach ton budget, coach ta bourse, 100% indépendant et rentable. Comme j'ai plein, plein, plein de sources de revenus diverses et variées, que du coup, c'est pas tout seul, c'est pas j'ai mis sur le site et ça se vend tout seul, c'est absolument pas ça. Il faut nourrir une audience, il faut avoir une stratégie d'acquisition, il faut avoir une stratégie de vente, il faut avoir tout ça. Et comme j'ai tout ça mis en place bout à bout, j'ai des revenus qui tombent tout le temps, en fait. Et parfois, je pense que je pourrais m'arrêter pendant 2-3 semaines, j'aurais encore des revenus qui tomberaient. Pourquoi ? Parce que j'ai des stratégies qui tournent quand je ne suis pas là. Voilà. La seule stratégie qui ne tourne pas quand je ne suis pas là, c'est mes élèves avec Coach Ton Business, parce qu'ils ont besoin de moi pour avancer. Et en fait, j'ai construit tout ça pour pouvoir me focaliser sur Coach Ton Business. C'est-à-dire que moi, je ne voulais pas avoir l'accord de coût et juste une source de revenus avec Coach Ton Business. Je voulais avoir un univers qui permet aux gens de naviguer en fonction de leurs problématiques dans la vie, c'est-à-dire que ce soit budget, que ce soit bourse, que ce soit justement comment démarrer une activité entrepreneuriale, comment est-ce que... on scale son activité en Suisse, etc., comment on vide son activité en Suisse, tout simplement. Je voulais pouvoir me concentrer sur les gens, mes élèves one-to-one dans Coach Ton Business et quand même derrière avoir les revenus qui tombent. Aussi, comme je fais beaucoup de création de contenu, parce que j'ai vraiment des grosses communautés, j'adore créer du contenu, j'ai besoin de temps pour ça. Et ça, immédiatement, faire un reel ou faire un TikTok, ça ne me rapporte pas d'argent. Mais derrière, ça me rapporte une communauté, ça nourrit cette communauté, ça nourrit la confiance. Et du coup, ça va me faire vendre derrière si la personne, elle veut travailler avec moi. Donc in fine, oui, ça va me rémunérer à un certain moment. Mais dans l'immédiat, faire du contenu, c'est du bénévolat. C'est mon kiff. Et c'est pour ça que j'avais besoin d'une structure qui me permet de faire toutes ces choses-là et de ne pas m'embêter avec l'argent. L'argent vient parce que j'ai des produits vendables et intéressants et bons qui se vendent sur le marché. Et comme je vous ai déjà parlé, je fais aussi beaucoup de loisirs, de sport, j'ai beaucoup de choses à côté et bref, j'avais besoin d'un emploi du temps qui respecte ce que je veux dans ma vie. Et tout ça, j'ai réussi à le construire. Donc quand je dis que je vis du digital, c'est qu'aujourd'hui, je n'ai aucune aide financière, mon business me rémunère et j'ai même envie d'embaucher des gens à l'année prochaine, mais ça je vais vous en parler juste après, pour continuer de me développer. À côté, les cherry on the cake, les cerises sur le gâteau, je les appelle comme ça, c'est mes revenus qui viennent de l'influence ou du consulting projet B2B. Donc ça, c'est vraiment quand il y a une grosse entreprise qui vient vers moi pour avoir telle ou telle information, pour avoir tel ou tel projet de consulting. Je vous avoue que ces derniers temps, je les ai refusés parce que je n'ai plus envie de faire ça. Je préfère bosser en fait avec des indépendants. J'ai beaucoup plus de plaisir à bosser comme ça, à bosser en one-to-one qu'à bosser avec des grosses entreprises. Souvent, j'ai l'impression que les grosses entreprises, en fait, elles veulent juste avoir l'aide d'un prestataire de service et puis hop, basta, cosy. Alors qu'un indépendant, j'ai vraiment l'impression que je l'aide dans son projet de vie, je l'aide dans son avenir. Et pour moi, ça a beaucoup plus d'impact. Et l'influence, je refuse aussi beaucoup de projets parce qu'en fait, il y a beaucoup de marques de merde qui me contactent. Je ne vais pas les citer, mais franchement, il y a des marques impensables que je bosse avec. Donc, je refuse ce genre de partenariat-là. Et en fait, ça me va très bien parce que je n'ai pas besoin de l'influence pour vivre. Donc, ça fait que si je fais un partenariat, il est très intéressant pour moi. Maintenant, pour ceux qui veulent démarrer, pour ceux qui écoutent cet épisode et qui se disent Putain, trop stylé, je veux faire comme elle, je veux avoir mon business qui me rémunère, je veux être digitale, machin, tout ça, tout ça. Déjà, il faut vraiment comprendre que... là spécifiquement par rapport au métier de la formation en ligne, ce que je fais, c'est ce qui me permet de vivre il faut quand même avoir quelque chose que vous allez apprendre aux gens, il faut être pédagogue, il faut avoir envie aussi de comprendre comment est-ce qu'une pédagogie est structurée, comment est-ce qu'on la met en place et comment est-ce qu'on la transmet ensuite il va falloir que vous développiez vraiment vos compétences marketing et puis surtout il va falloir que votre formation elle se base pas sur quelque chose qui existe déjà sur le marché, il faut que vous puissiez trouver un endroit où on n'a pas résolu... le problème avec une certaine formation. Donc se dire je vais faire une formation en ligne pour gagner de la thune c'est plus complexe que ça, ça demande vraiment une palette de compétences à apprendre, une communauté à construire, parce que sinon vous allez vendre à qui ? À Sunpair. Voilà. Moi ce que je vous conseille vraiment c'est de démarrer petit. Vous vous trouvez un problème sur le marché, parce que c'est exactement ce que vous allez apprendre dans 100% indépendant et rentable, vous trouvez un problème sur le marché, vous faites quelque chose de petit au début, vous n'avez pas besoin de partir dans une méga formation à 2000 balles là où on vous a vendu des high tickets, machin, non. Non en fait. Déjà, le marché a changé, donc il y a beaucoup de sceptisme sur le marché par rapport à ces formations-là. Ce que je veux vous expliquer, c'est que c'est largement possible, mais c'est juste qu'il faut y aller step by step. Ça se construit petit à petit. Je vous parle aujourd'hui, ça fait deux ans quasiment que j'ai... Oui, ça fait deux ans. En janvier, ça va faire deux ans que j'ai commencé Coach Ton Budget. Ça fait deux ans. Voilà. En deux ans, il y a tout ça. Et effectivement, avec les résultats que j'ai, je ne sais pas si vous connaissez beaucoup de meufs, dans mon cas, qui ont réussi à faire plus de 100 000 francs la première année de leur activité indépendante, qui ont réussi à... à avoir une communauté comme ça en Suisse, pour la Suisse. Honnêtement, je pense que j'ai taffé très très dur pour ce que j'ai. Vous connaissez aussi ce que je dis tout le temps, c'est pas parce que c'est difficile que c'est pénible. Moi je pense que parfois il y a des moments très difficiles, mais il faut les affronter avec un bon état d'esprit, avec aussi se dire tout le temps, en permanence, vous allez échouer, c'est sûr et certain, mais l'échec vous apprendra tellement de choses que ça va vous apporter beaucoup d'aide à définir... vraiment le juste produit, la bonne idée d'entrepreneuriat que vous voulez faire, etc. Moi aujourd'hui, avec Coach ton business, je n'aide pas, je n'accompagne pas des gens qui n'ont pas d'idée de business. Parce que je ne peux pas trouver l'idée de business à votre place. Vous devez comprendre vos compétences, vous devez comprendre ce qui vous anime dans votre vie, vous devez voir, vous devez aller chercher un petit peu cette graine d'entrepreneur en vous, et vous devez la former. Et d'ailleurs, n'allez pas quitter votre emploi ou votre activité si vous n'avez rien. Vous ne pouvez pas comme ça vous lancer de but en blanc et puis ça va venir tout seul. Nourrissez-vous, écoutez des podcasts, regardez ce que les autres y font pour se faire de l'argent, regardez les idées de business, demandez à ChatGPT. Il y a tellement de manières de vous informer sur quelle idée de business on peut faire. Justement, j'ai créé 100% indépendant et rentable dans cette optique-là parce que je sais qu'il y a beaucoup de gens qui viennent vers moi et qui me disent j'ai envie de me lancer et de devenir indépendant mais je ne sais pas quoi faire. Sauf qu'en fait, la réalité est telle que... il n'y a personne qui va vous trouver une idée de business. Il n'y a personne qui va vous dire, fais ça, c'est bien, c'est rentable. Si vous trouvez des articles de blog qui vous disent la bonne idée 2025 pour lancer un business rentable et efficace, franchement, ne cliquez même pas, ça ne sert à rien. Vous pouvez vous inspirer, vous pouvez vous dire, il y a ça, ça, ça qui se fait, vous faites un benchmark, mais ça ne va pas vous donner l'idée de business. Et puis pour ceux qui ont déjà cette idée de business et ceux qui sont déjà en route vers l'idée de business, moi, ce que je vous dirais, c'est qu'il faut vous former au niveau marketing et au niveau business. Je comprends que ce n'est pas votre casquette première. Je comprends que vous avez une activité de coach, de thérapeute, graphiste, designer, ce que vous voulez. Vous n'êtes pas dans le business de base. Mais si vous voulez devenir indépendant, il n'y a pas le choix. Vous allez devoir endosser une casquette d'entrepreneur et de chef d'entreprise. Ça veut dire que vous allez devoir comprendre comment vous acquérissez des clients. Vous allez devoir comprendre comment vous structurez votre mini-entreprise même si vous êtes seul. Comment vous structurez vos offres, comment vous avez des revenus, comment est-ce que ça marche au niveau administratif. Vous n'avez pas le choix en fait parce qu'il n'y a pas un employeur qui le fait pour vous. Quand vous êtes salarié, c'est ça. Il y a un employeur qui gère et qui a une équipe pour tout. Il y a une équipe en marketing, il y a une équipe dans les ressources humaines, il y a une équipe dans la vente, il y a une équipe dans l'IT, il y a une équipe pour tout. Ça, c'est l'avantage d'être salarié. C'est qu'il y a des gens spécialisés dans tous les domaines qui vont le faire à votre place. Quand vous êtes à votre compte, vous êtes seul. Donc, vous devez être l'IT guy pour réparer votre site internet. Vous devez être le SAV pour répondre à la demande client. Vous devez être le marketer pour mettre en ligne vos postes Instagram et tout. Et ça fait partie du deal en fait. Vous devez endosser plein de casquettes et vous devez assumer ces casquettes-là. Maintenant, le meilleur moyen pour réussir, c'est de se former, c'est d'apprendre comment est-ce qu'on fait les choses. Et ça, on peut l'apprendre tout seul, voilà, 100% indépendant, mais vous le faites tout seul. Vous pouvez aussi vous faire accompagner à un certain stade de votre activité pour que ça aille plus facile. Parce que moi, j'ai réalisé que les meilleurs gens que je suis, ce sont les gens qui sont en activité, qui ont envie de défoncer leur business pour y arriver. Parce qu'ils savent, ils ont compris ce qu'ils ont sous la main, ils ont compris. la pépite qu'ils ont dans les mains. Ils ont des clients, ils arrivent à faire de l'argent, ils arrivent, mais ils n'arrivent pas encore à dépasser ce level supérieur de se dire je suis 100% indépendant, je suis 100% rentable, je vis ma best life en Suisse. Ils n'ont pas tout ça parce qu'ils n'ont pas développé encore assez de connaissances business et marketing pour y arriver. Et ça, c'est ce qu'on fait dans Coach ton business. En fait, si on peut résumer un petit peu mes sources de revenus, c'est vraiment, il n'y a pas... En fait, quand vous êtes dans un business, Quand vous voulez faire votre business, il faut bien comprendre que vous ne pouvez pas vivre d'une seule source de revenus. Vous devez avoir, pas 10 sources de revenus différentes, mais vous devez avoir une offre qui vient compléter d'autres activités. Donc quand je dis une offre, ce n'est pas une offre promotionnelle, on s'entend de même. Vous devez avoir plusieurs choses en fait. Vous ne pouvez pas vous fixer sur un seul et unique truc et vous dire c'est bon, je vais faire des massages et puis je vais faire 140 000 francs à l'année. Ça ne marche pas comme ça en fait. Parce que vous faites comment quand vous êtes malade ou que votre client il annule ou comme ça ? Vous ne récupérez pas l'argent, donc vous n'avez pas d'entrée d'argent. Il faut vous construire une activité indépendante qui va vous permettre de renflouer les mois où il n'y a rien, les mois où vous n'êtes pas là, les mois où vous êtes en vacances, les mois où vous voulez juste faire pause parce qu'il y en a marre. Et ça, vous devez construire. Mais sans connaissance, c'est difficile. Faites-vous accompagner. Vraiment de constituer une équipe digitale qui va s'occuper de mon business et qui va justement amplifier un petit peu toutes les offres que j'ai. Donc j'aimerais vraiment bien avoir une équipe derrière et continuer de faire progresser cette entreprise. Pour ça, en début d'année, je vais me faire suivre, je vais avoir quelqu'un qui va m'aider à structurer tout ça, à m'aider à embaucher aussi l'équipe qui va aller derrière. Donc à chaque fois que je parle d'embauche, je reçois des candidatures derrière. Ne vous inquiétez pas, vous serez avertis quand ce sera le cas, si vous voulez participer à ça. Mais pour l'instant, on en est là. Ce qui se passe, c'est que soit... je refais le même chiffre d'affaires que j'ai fait cette année et finalement quelque part je stagne c'est pas un mauvais chiffre d'affaires, c'est un très bon chiffre d'affaires d'ailleurs mais soit je stagne et je me dis je suis bien comme ça et puis je reste à ce palier là et puis je continue coach ton business soit j'augmente et en fait j'ai cette ambition là, j'ai envie d'augmenter pas parce que j'ai la rage de vivre et puis parce que je suis une forcenée etc mais juste parce que j'ai envie de tenter l'expérience en fait j'ai envie d'aller plus loin, j'ai envie de développer, j'ai envie de faire des nouvelles Et ça passe par le développement de mon business et je trouve que c'est fabuleux à faire et ça apporte tellement de connaissances, d'enrichissement, etc. que j'ai envie de tenter cette expérience-là et je vous emmènerai de toute façon avec moi au fur et à mesure. Bref, voilà. Ce qu'il faut bien comprendre, c'est que c'est possible de vivre du digital en Suisse à 100%. C'est même une fabuleuse expérience, je vous le dis, parce qu'on a droit à une qualité de vie qui est vraiment très bonne en Suisse. Un cadre aussi au niveau entrepreneurial qui est génial.

  • Speaker #1

    Encore une anecdote qui est vraiment drôle. C'est vrai que nous, on faisait des lancements à plusieurs... Je ne sais pas, parfois on avait 700 voire 1200 personnes qui étaient en live sur nos lancements. Donc toi, tu dois tenir la connexion, tu dois être là, tu dois faire que tout fonctionne bien. Et on s'est retrouvés sur une petite île en Thaïlande. Et malheureusement, le jour du lancement, nous, on avait mis plusieurs milliers, donc c'est des dizaines de milliers de francs qui avaient été lancés pour cette campagne-là. Donc c'est une campagne que tu as prévue depuis presque deux mois. En fait, tu ne peux juste pas merder ce moment-là. Évidemment, qu'est-ce qui s'est passé ? Une tempête sur l'île, un orage, on va dire. Et dès qu'il y avait de l'orage, plus de connexion. Du coup, ça a été assez stressant et c'était un peu l'enfer. On s'est retrouvés bloqués en plein live, avec la connexion qui était complètement instable. Il n'y avait pas forcément de lumière. hyper dur et même pour te dire on a été bloqué 3 jours sans manger à cause de ces intempéries où la route était détruite et on pouvait pas descendre donc voilà, c'est pas toujours évident il faut vraiment bien choisir cet endroit je sais qu'il y a aussi plein de blogs qui proposent ça mais il faut penser à tout et voilà le paradis peut vite se transformer en enfer. Bref,

  • Speaker #0

    je vous remercie infiniment pour votre soutien, je vous remercie énormément aussi de m'écouter chaque deux semaines parce que je les poste tous les deux semaines Maintenant si vous voulez qu'on travaille ensemble dans Coach ton business, il va y avoir un formulaire pour postuler. Ce formulaire il ne vous engage pas, c'est-à-dire que c'est moi, je veux connaître un petit peu votre situation, je veux voir où est-ce que vous en êtes, ce que vous avez mis en place. Et en fait à la fin si vous rentrez dans le profil pour aller dans Coach ton business, on se fait un petit appel ou alors vous vous êtes convaincu, vous voulez vraiment qu'on bosse ensemble, vous prenez votre place et puis vous démarrez à la date que vous voulez démarrer. C'est un peu comme ça que j'ai fait mon process parce qu'en fait j'ai trop de demandes, j'ai vraiment envie d'avoir des gens qui démarrent, qui sont motivés, avec qui on va. On va tout dégommer en 2025. Maintenant, je vais juste vous annoncer encore un dernier petit truc, c'est que cette semaine, je vais aller tourner une nouvelle émission de podcast que je vais sortir en janvier, qui sera très, très, très entrepreneuriale, vous allez voir. Je ne vous le spoil pas trop. On est toujours dans l'authenticité, on est toujours dans ce qu'on veut parler de manière entrepreneuriale, on veut toujours être dans l'authenticité. Et je me suis associée avec quelqu'un qui m'est très chère, que je vais vous présenter, du coup, dans cette émission. Vous allez la retrouver toujours dans vos mails chaque semaine. particulièrement ceux qui sont tagués sous business, dans ceux qui ont mis je veux recevoir les news business vous recevrez cet email-là. Ce sera une émission, mais en fait, je ne vais pas trop vous spoiler, je vais juste vous dire qu'il y aura une nouvelle émission qui va sortir. Bref, sur ce, je vous dis à dans deux semaines, et je vous souhaite une toute belle journée ou toute belle soirée, ça dépend à quel heure vous m'écoutez, et je vous dis à tout bientôt !

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