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Coach Ton Budget & Business

Mes secrets pour faire autant (et gagner autant d’argent)

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50min |26/11/2024
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Description

Il n’y a pas de bon moment pour lancer ton activité, ton business, ton SIDE BUSINESS (et c’est une bonne nouvelle)

Tu hésites à démarrer ton projet ou ton activité indépendante en Suisse ? Peut-être attends-tu le moment parfait ? Spoiler : il n’arrivera jamais.

Dans cet épisode, je partage les secrets pour dépasser tes blocages et enfin passer à l’action.

On parle des raisons qui te freinent (perfectionnisme, syndrome de l’imposteur, procrastination) et des petites étapes concrètes pour avancer dès maintenant.

Que tu veuilles lancer un side business ou devenir indépendant·e, cet épisode est un REEL boosteur de motivation :)

On abordera aussi :

  • Pourquoi le "bon moment" n’existe pas.

  • Comment élaborer ton idée et te lancer.

  • Mon expérience avec la formation 100% Indépendant et Rentable.


Pour télécharger le Vision Board 2025, clique ici 👉🏻 https://www.ctbconsulting.ch/visionboard

Pour t'inscrire à 100% Indépendant et Rentable, clique ici 👉🏻 https://www.ctbconsulting.ch/objectifindependant


À écouter, à partager, et à appliquer pour un impact réel sur ta vie et ton business!


Tous mes programmes : https://www.ctbconsulting.ch/


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Pour toute question ou suggestion, contacte-moi à : janice@ctbconsulting.ch


Mots-clés : entrepreneuriat, gestion financière, investissement, revenus passifs, stratégies de vente, marketing digital, formations en ligne, coaching d'affaires.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    L'autre jour, j'ai entendu fin d'année, fin du monde Et je ne peux pas m'empêcher de rire en le disant, parce que je trouve ça hyper drôle et assez caricatural de chaque fin d'année. Mais vous voyez ce que je veux dire. On voit partout sur les réseaux sociaux qu'il reste X jours avant 2025, qu'il faut se dépêcher de finir ci et ça. Et si c'est vrai au niveau des assurances à résilier ou des troisième piliers à souscrire, je ne comprends pas pourquoi on doit se mettre la pression à finir quoi que ce soit d'autre, parce que la fin d'année, ce n'est pas la fin du monde. Et souvent, ce rush de fin d'année, il va avec les bonnes résolutions du début d'année. Et dans cet épisode, j'aimerais un peu casser cette tendance pour vous parler du bon moment. Le bon moment pour commencer quelque chose de nouveau, mais aussi celui pour arrêter quelque chose, pour terminer une tâche, démarrer son business, mettre de l'ordre dans ses finances, etc. Donc l'objectif de cet épisode, c'est de vous montrer que le bon moment n'existe pas et que c'est grâce à cette philosophie-là que j'arrive à faire autant de choses et gagner maintenant. aussi bien ma vie. Alors let's go pour un petit mode d'emploi, Janice May. Bienvenue sur Coach ton budget et business, le podcast dédié à la thume et aussi au marketing et à l'entrepreneuriat en Suisse. Je suis Janice, formatrice en marketing et business digitaux, mais aussi mentor et créatrice de contenu dans la finance personnelle. Dans ce podcast, on parle argent pour s'éduquer, apprendre à le gérer et comment réaliser nos projets de vie avec. Important, très important, mettez une note à ce podcast si vous l'aimez. Et si vous l'aimez encore plus, vous pouvez vous abonner à l'amusateur et vous l'aurez dans votre boîte mail toutes les deux semaines. La note, ça m'aide à le faire connaître. Donc si vous avez envie de partager cet épisode à quelqu'un que vous pensez que ce sera monstre utile, partagez-lui cet épisode. C'est grâce à ça que j'arrive à développer cette envie d'éducation financière à travers la Suisse. Donc merci de le partager, merci de lui mettre une note. Merci beaucoup. Alors juste avant de déballer mes conseils, stratégies, tout ça, tout ça, j'avais commencé dans l'épisode dernier à vous reparler de ma formation Objectif 100% indépendant et rentable. Et j'ai eu... pas mal de questions concernant celle-ci, alors je vais vous dévoiler un petit peu plus à ce sujet-là. Concrètement, en septembre, j'ai organisé une première session de cette formation, c'était sur deux semaines, on a fait quatre lives, dont un surprise, on a abordé trois thèmes, se structurer, se rémunérer et se vendre sur un marché concurrentiel en tant qu'indépendant en Suisse. Il y avait 97 personnes qui ont participé, et en fait le but c'était aussi d'ouvrir les portes de Coach Ton Business derrière pour le mentorat privé. Là, les choses elles changent un tout petit peu, parce que dans le business, j'ai fait ce qu'on appelle une MVP. où j'ai proposé un produit à un prix cassé pour tester le marché et récolter des feedbacks. Ça a fonctionné. Là, je sors la vraie formation, 100% dépendant et rentable. C'est toujours les mêmes sujets, mais avec un objectif beaucoup plus précis que la première fois et surtout une formation bien plus aiguisée, mes chers amis. En gros, module 1, on structure ton activité pour bien démarrer. L'objectif, c'est d'avoir une bonne idée d'entreprise, définir sa niche, le public cible et la proposition de valeur unique. Si ce sont des termes un peu inconnus du bataillon, t'inquiète, il y aura tout qui sera expliqué dans la formation. Le module 2... c'est se vendre sur un marché concurrentiel. Donc l'objectif, c'est développer des compétences pour se rendre visible et attirer ses premiers clients, même dans un marché concurrentiel. Le module 3, c'est se rémunérer confortablement avec ton activité. Donc l'objectif, c'est poser les bases de la rentabilité en lançant une première offre et en proposant un service. Pour ceux qui veulent en rester là, c'est très très bien et je suis contente. Mais ceux qui veulent aller plus loin, vous avez deux mois pour activer un plan personnalisé. En fait, c'est un appel qu'on fait de 15 minutes qui est aussi une postulation à Coach Ton Business. C'est sans engagement, en fait, l'idée c'est qu'on travaille ensemble pour la suite. Donc le plan, il est personnalisé. Et si vous avez envie d'aller dans Coach ton business après, en fait, la formation 100% indépendant et rentable, elle est 100% remboursée. La question c'est à qui ça s'adresse ? La formation, en fait, elle est faite pour toutes les personnes qui rêvent de quitter le salariat pour se lancer à leur compte, mais qui ne savent pas forcément par où commencer ou comment s'assurer de vivre de leur activité. Donc en gros, c'est pour toi si tu veux devenir indépendant, mais que tu es perdu entre les démarches, les offres, la recherche de clients. C'est aussi pour toi si tu as une idée mais qu'elle n'est pas encore bien définie, que tu veux te lancer de manière structurée et efficace. Mais c'est aussi pour la personne qui est déjà en activité et qui fondamentalement a capté que ce n'est pas si facile que ça de se lancer. Donc c'est aussi pour toute personne qui rêve de cette liberté associée à l'entrepreneuriat et de pouvoir se rémunérer assez rapidement dès les premiers mois. Alors dès le 1er décembre, il va y avoir une pré-vente jusqu'au 14 janvier parce que la formation ouvre le 15 janvier. Donc ceux qui veulent profiter de la pré-vente aussi, elle sera. rembourser si vous voulez changer d'avis entre temps en mode en fait je veux plus de ta formation à la con ok c'est pas très grave il y aura un remboursement qui sera organisé jusqu'au 14 janvier et à partir du 15 janvier on rentre dans le vif du sujet. Bon assez parlé de ça de toute façon je en parlerai peut-être au cours de l'épisode parce que il y a toujours des liens entre ce que je raconte et ce que je enseigne et les gens que je m'entoure bien sûr dites moi juste si vous avez pas un peu ri quand j'ai dit fin d'année fin du monde non ? Ok y'a que moi que ça fait rire... Alors j'ai une petite question. Est-ce que vous vous arrêtez de respirer le 31 décembre à 23h59 ? Parce que moi pas. Alors je vais vous expliquer comment cet épisode il est né. En fait cette année avec Coach ton business, beaucoup de gens m'ont dit c'est pas encore le bon moment, je peux pas tout de suite, c'est pas pour moi maintenant. machin machin, il y en a qui étaient pire motivés et il y en a j'ai senti que en fait non c'était trop pour eux. Et si fondamentalement je suis la première à dire trust the timing of life et que j'ai saisi que dans le mentorat c'est hyper important, que la personne si elle n'est pas prête à se faire suivre, il n'y a pas de résultat, et bien j'ai observé que beaucoup de gens se cachent derrière la procrastination, la peur ou tout simplement le fait de ne pas savoir, ce qui les empêche aussi d'avancer. Donc cet épisode c'est un petit guide pour toute personne qui souhaiterait mettre en pratique ma philosophie de motivation. qui m'a permis d'avoir une certaine abondance dans mes résultats. Et quand je parle de résultats, je ne parle pas de succès, parce que j'estime qu'il est relatif aux attentes de chacun. En fait, pour certaines personnes, mes chiffres, ils sont OK. Et pour d'autres, ils sont Waouh, putain, meuf, t'as cartonné cette année ! Alors l'idée, ce n'est pas de juger, mais de se dire OK, si on se met au boulot maintenant, si on fait quelques petites actions maintenant, on a ça dans 3, 4, 5, 6 mois. Et pour ça, j'ai prévu d'aborder un petit peu de ma sphère privée, un petit peu de ma sphère pro. et les axes de développement à mettre en pratique. Parce que vous connaissez ce podcast, je vous donne toujours de quoi mettre en place les choses, de quoi vous mettre en action une fois que vous avez écouté les choses, et surtout de vous motiver à vivre votre vie pleinement au final. Alors au début, soyons un petit peu clairs. J'aimerais qu'on évoque les raisons pour lesquelles vous ne passez pas à l'action dans votre vie, et vous vous cachez derrière un certain c'est pas le bon moment Évidemment, c'est pas exhaustif, mais c'est assez réaliste. Le premier que je détecte, c'est... la peur de l'échec. En fait, vous avez peur de ne pas réussir, d'être jugé par les autres, ou par vous-même en fait, et l'échec c'est plutôt perçu comme une fin. Donc l'échec c'est la fin, ça s'arrête. Alors qu'en vrai, quand on est dans l'entrepreneuriat, l'échec ça arrive très souvent, et c'est pas une fin, c'est un apprentissage. Je sais pas comment vous le dire d'une manière différente pour pas que ça fasse cliché en mode, you don't fail, you learn. Je veux pas faire un petit peu la meuf comme ça, mais je veux vraiment vous montrer que... Dans l'entrepreneuriat, quand on a un échec, quand on n'arrive pas au bout de quelque chose, en fait ça nous permet de pivoter et de faire autre chose. Donc en fait, les gens qui ont peur de l'échec, souvent, ils préfèrent rester dans leur zone de confort, là où il n'y a pas de risque de perdre quoi que ce soit. D'ailleurs, j'avais déjà fait un épisode sur les risques. Est-ce que c'est risqué de gagner de l'argent ? Ou je ne sais plus comment je l'avais appelé, mais c'était à peu près ça l'épisode, vous pouvez aller voir, il est un petit peu plus bas. Ce que vous devez comprendre, c'est que l'échec, vraiment, il fait partie du processus du succès. Parce que chaque erreur va vous amener un peu plus proche de l'opportunité de réussir. La deuxième chose, c'est qu'on a le syndrome de l'imposteur. Souvent, on pense qu'on n'est pas légitime, qu'on n'a pas assez de compétences, qu'on ne mérite pas de réussir et on repousse les projets et on attend de se sentir prêt. La vérité avec le syndrome de l'imposteur, c'est que tant que vous ne pratiquez pas, vous ne gagnez pas de compétences. Et tant que vous n'avancez pas aussi, tant que vous ne vous positionnez pas en tant que telle et telle personne sur votre marché, forcément, vous ne pouvez pas sortir de cette sensation d'imposteur. Moi, je l'ai encore parfois. Mais plus j'avance, plus je vois des gens, plus je me rends compte que je les aide et que j'ai vraiment une plus-value, moi j'ai ce sentiment-là. Je pense que souvent les gens sont au courant qu'ils ont un syndrome de l'imposteur, qu'ils ont la peur de l'échec, qu'ils sont perfectionnistes, etc. Mais il y a un truc qu'ils ne réalisent pas, c'est que le manque de clarté, ça les empêche d'avancer. Souvent, si c'est votre cas, vous savez de quoi je parle, c'est que vous ne savez pas par où commencer, vous n'avez pas de vision claire, vous ne savez pas où vous allez. Et sans ça... vous êtes perdu et vous ne faites rien. Et ça, je comprends tout à fait. C'est pour ça que c'est bien de se faire accompagner dans ce genre de cas, parce qu'une personne qui vous accompagne, elle a un regard externe, elle peut vous dire, bah là, il faut faire ça, ça, ça, ça. Mais on en reparlera aussi plus tard. Ensuite, j'en ai parlé juste à l'instant, c'est le perfectionnisme. Ça, je comprends aussi, c'est que tout doit être parfait avant de se lancer. Le plan parfait, le timing parfait, les ressources parfaites. Et souvent... ben vous êtes tout autant paralysé parce que vous passez beaucoup beaucoup de temps à regarder qu'est ce qu'il faut faire, comment il faut faire pour que ce soit tout parfait à vous de vous lancer. J'aime que ce soit super bien pensé et réfléchi mais honnêtement parfois il y a un truc très connu c'est mieux vaut fait que parfait. Ensuite il y a la fameuse procrastination et la procrastination souvent c'est lié à la première raison que j'ai cité c'est que on remet tout à plus tard parce qu'on a peur, parce qu'on n'a pas de motivation et surtout parce qu'on est dans une zone de confort donc On se dit qu'on agira quand on aura un peu plus de temps, plus d'énergie, etc. Et finalement, en fait, on accumule souvent plus de stress qu'autre chose, et on finit par jamais, jamais le faire. Et ça, c'est un peu le titre de cet épisode, enfin, c'est un peu ce que je vais vous montrer, c'est que le moment parfait, il n'existe pas. Le but, c'est de commencer, même si c'est un petit pas, et on va en parler dans cet épisode. Ensuite, il y a bien évidemment le manque de confiance en soi, on a peur, on doute, voilà, ça on connaît, hein. Mais de nouveau, c'est un peu lié à ce que j'ai dit avant, le syndrome de l'imposteur, c'est que plus vous allez pratiquer, plus ça va partir. Je peux aussi parler de De l'environnement qui est limité, donc souvent c'est les gens qui vous découragent, qui vous soutiennent pas, on est bloqué parce qu'on doute de nos ambitions, c'est pas cool, mais c'est aussi un facteur. Et il y a aussi beaucoup de gens qui sont concernés par la peur du changement, mais je pense que quand on veut se lancer dans l'entrepreneuriat ou dans un projet d'investissement, ou on veut changer sa vie en général, c'est pas forcément ça le plus gros facteur. Mais il est là quand même. Ensuite, la dernière raison, je dirais que c'est l'absence de motivation. On a des objectifs qui sont pas vraiment, vraiment, je déteste ce mot mais je vais l'utiliser là, ils sont pas vraiment alignés avec nos valeurs et nos désirs. Alors je vais citer un exemple qui a rien à voir avec l'entrepreneuriat mais quand on est jeune, on se dit ouais je vais aller en banque parce que c'est simple, je vais gagner beaucoup d'argent etc. Ou je vais faire avocat, je vais faire des études de droit, c'est assez commun ça. Et en fait souvent on se lance dans ces études et puis on se dit mais en fait pas du tout pour moi quoi, c'est pas du tout ce que je veux faire dans ma vie, moi je suis une artiste machin etc. Bah ça arrive très souvent. En fait idéalement... toutes les raisons que j'ai citées au-dessus, vous devez savoir ce qui vous bloque. Vous devez un petit peu connaître, vous devez un peu mettre le doigt sur Ok, moi j'ai peur de ça, moi j'ai ci, moi j'ai ça. Vous devez connaître pour faire un travail d'introspection qui fait que vous savez ce qui vous bloque et qu'à chaque fois que vous devez avancer, vous savez quoi attaquer pour enlever une barrière. Et ça, honnêtement, je pense que c'est... Enfin, je ne suis pas coach en développement personnel, on s'entend, mais je pense que c'est 80% du job qui est déjà fait. Et ensuite, on peut passer à la partie... motivation. Et là, la première chose que j'ai à vous raconter, c'est que chaque année, en général, c'est vers la fin d'année parce que tout le monde est en mode rétrospective, machin, machin. Moi, je fais un vision board, vision board, tableau de visualisation, et je m'imagine ce qui va se passer. On reviendra à la fin sur l'histoire du vision board parce que je vais vous expliquer comment est-ce qu'on fait un bon vision board. Ce qu'il faut savoir, c'est que cette année, donc fin 2023, début 2024, on va dire, comme j'avais vécu... Quand même pas mal de choses au boulot, que j'avais été très stressée, que j'étais malade, etc. Moi j'avais envie que 2024 ce soit une année de paix, être confortable dans ma vie, être débarrassée de tout tracas. Alors certes quand on se lance dans l'entrepreneuriat c'est pas exactement ça qu'on a, mais j'ai opéré des changements, dont mon déménagement en Valais, qui ont vraiment fait que j'ai ressenti cette paix, j'ai ressenti ce confort, j'ai ressenti tout ça. Et ça m'a vraiment aidée derrière à développer mon entreprise et à développer mon activité entrepreneuriale. Donc l'un sans l'autre, ça n'aurait pas été possible, je pense. En tout cas, je ne me serais pas vue vivre tout ce que j'ai vécu cette année-là à Lausanne. Ça aurait été complètement différent. Donc pour ceux qui débarquent, avant j'habitais à Lausanne et je travaillais à Neuchâtel. En tout cas pendant à peu près trois ans. Non, deux ans, je ne sais plus. J'ai travaillé aussi sur Genève. En fait, je faisais tout le temps des trajets. J'avais des bons jobs, mais je faisais tout le temps des trajets. Et ça m'a vraiment épuisée, surtout que... Moi je me donne pas à moitié dans quelque chose, je me donne à fond, et du coup ça me puise beaucoup d'énergie quand je fais quelque chose, que ce soit en tant que salarié ou maintenant dans ma boîte. Et surtout, j'ai rencontré quelqu'un l'année dernière qui fait que ça faisait sens que moi je vienne en Valais plutôt que lui vienne sur Vaud. In fine, on s'est retrouvés en Valais, et franchement ça a été la meilleure décision de ma vie. En gros, le Valais ça m'a apporté, ben non seulement, j'en ai parlé beaucoup dans les épisodes, et d'ailleurs je vous ai un peu caché la raison pour laquelle j'étais venue en Valais, mais en fait ça m'a... amené beaucoup d'avantages, déjà au niveau financier, parce que le valet c'est quand même moins cher, le loyer, l'assurance maladie, j'ai aussi économisé beaucoup sur les trajets, vu que j'avais plus besoin d'un AG, bon, il y a la voiture, mais ça c'était une autre question, mais vraiment j'ai économisé beaucoup d'argent en venant en valet, et surtout, je sais que c'est débile, mais le fait de ne plus avoir à manger à midi dehors tout le temps, ou de devoir préparer tout ça, j'ai gagné beaucoup beaucoup de temps, et j'ai gagné de l'argent. Donc déménager en valet, ça m'a apporté un apaisement vraiment de ouf. Surtout quand tu as ton bureau qui est en dessous, donc tu n'as pas besoin de faire des trajets. Les autres trajets que je faisais, c'était parfois pour descendration ou c'est parfois pour descendration quand je travaille de puissance. Parce que ça m'arrive, en fait, ça me fait changer un peu d'endroit. Donc finalement, j'ai quoi ? J'ai 15 minutes de route. C'est rien du tout par rapport à avant. Alors, je ne dis pas que c'est une solution. Je vous explique juste, moi, ce que j'ai fait, en fait, cette année pour que ça arrive. Parce que je vous ai parlé de la sphère privée. Ça, c'est un des éléments qui a fait que vraiment, j'ai pu être focus sur mon activité entrepreneuriale et accomplir beaucoup, beaucoup de choses. Ensuite, la deuxième chose qui fait partie de ma vie depuis adolescente, c'est-à-dire que le sport chez moi, ce n'est pas une lubie. C'est-à-dire que le sport fait partie de ma vie intégrante depuis que j'ai 12-13 ans. Et même avant, je faisais de l'équitation, je faisais de la natation, etc. Donc vraiment, toute ma vie, j'ai fait du sport. Les sports que je pratique, principalement, c'est le trail. Maintenant, le trail exclusivement parce que vu là où j'habite, je n'ai plus trop la possibilité d'aller juste courir parce que dès que je fais 500 mètres, j'ai forcément 200-300 mètres de dénivelé positif à faire. Mais avant je faisais beaucoup beaucoup de courses à pied en ville et ça a toujours été mon sport principal. Ça m'arrive de faire de temps en temps encore du tennis et j'ai repris l'équitation aussi donc je fais pas mal d'équitation. Et après pour vraiment le soutien, l'entretien tout ça, finalement je vais faire du fitness. Moi j'appelle pas ça vraiment un sport que je fais parce que c'est pas mon truc principal mais je kiffe bien faire du fitness. Et en fait d'avoir le sport omniprésent dans ma vie... Ce qui fait que je passe à peu près, je dirais en moyenne, je passe... 30 à 1 heure par jour à faire du sport. Ça peut être aller faire de la marche, aller courir, aller monter à cheval, aller faire du fitness. Je passe vraiment beaucoup de temps à faire du sport et ça je dirais que ça m'aère énormément l'esprit et ça nourrit énormément les idées que j'ai. C'est à dire que parfois je vais marcher, parfois je vais courir et tout d'un coup, ça pop dans ma tête. Et je pense que vous avez déjà eu ça, vous êtes sous la douche, vous êtes en train de faire un peu une activité autre et tout d'un coup vous avez des idées de génie. Moi c'est ça qui m'aide à pondre autant d'idées et parfois je vais penser à un client, parfois je vais penser à quelqu'un et je vais dire putain non... ça c'est une bonne idée pour cette personne et genre je vais lui faire un vocal, je vais lui dire putain j'ai pensé à toi j'ai fait ci et ça, et je pense que mes clients ils doivent trouver ça drôle parfois parce qu'ils reçoivent un message random de moi en mode putain j'ai une idée pour toi mais j'adore ça, et ensuite la troisième chose c'est que je vous parle beaucoup de thunes dans ce podcast, ça aussi ça fait partie d'un de mes conforts de vie, c'est que j'ai toujours en place mon épargne mes investissements et c'est ce qui fait que j'ai toujours toujours un coussin de sécurité et ça quand vous êtes entrepreneur c'est super important... Parce que ça vous évite d'avoir peur, en fait, à chaque fois qu'il y a un truc qui se passe. C'est-à-dire que vous avez moins de clients, vous avez moins de revenus, vous avez un chômage, je ne sais pas quoi. Le coussin de sécurité financière, franchement, c'est la base, les gars. Et ça, ça m'a énormément aidée à être sereine cette année. C'est-à-dire que si un client, il ne signe pas. Si un client, il me dit, non, mais en fait, ce n'est pas pour moi là maintenant. Ce n'est pas grave, en fait. Je ne vais pas dépendre de ton argent, je ne dépends pas de toi. Ça, c'est super important pour l'apaisement. Et puis pour ne pas être dans la course, dans la rat race, bon la rat race c'est pas exactement ça la définition, mais vous n'êtes pas dans une course tout le temps à trouver des clients parce que financièrement, et ben c'est correct. Alors certes, moi j'ai une escalade des revenus qui est incroyable, donc finalement c'est plus trop ça, mais à toute personne qui galère financièrement, que ce qu'il soit salarié ou entrepreneur, le coussin de sécurité c'est le B à bas. Et ce que j'enseigne aussi beaucoup dans Coach ton business, et même dans tout ce que je dis en général, c'est qu'au début de votre activité, Vous devez être capable de constituer un coussin de sécurité, ou en tout cas de démarrer avec un coussin de sécurité qui va vous permettre de développer vos activités sereinement. C'est super important. Et si ce n'est pas le cas, il faut mettre en place des stratégies de rémunération et des stratégies aussi de paiement, de tout ça, qui font que finalement vous êtes armé face à des clients qui ne vont peut-être pas payer, qui vont peut-être refuser, qui ne vont pas venir avec vous, etc. Bref, tout ça c'est dans Coach ton business, je ne vais pas m'étaler là-dessus maintenant. Donc voilà, moi c'est un peu les trois trucs principaux, je vous ai pas parlé de mes relations personnelles avec mes amis, etc, ma famille, tout ça, parce que c'est aussi, ça fait partie aussi du deal, mais je dirais que les trois éléments principaux qui m'ont aidé à faire beaucoup de choses cette année et gagner de l'argent et avoir des bons résultats, c'est vraiment être en paix, être tranquille, faire du sport pour m'aérer la tête et toujours toujours bien faire en sorte que financièrement je sois confortable pour pouvoir prendre des décisions et pour aller de l'avant. Maintenant par rapport à la sphère... professionnelle. Donc vous savez, si vous écoutez mon podcast, vous connaissez ma... Vous connaissez mon bis, quoi. Vous connaissez tout ce que je fais. J'en parle de manière très transparente. Je suis extrêmement honnête avec tout ce que je dis. En fait, mon but cette année, c'était vraiment d'avoir la SARL. Et spoiler, ça a été dur de l'ouvrir, mais bon, ça y est, on arrive au bout. Alors, je vais vous raconter une petite histoire. En fait, toute cette année, c'était vraiment je veux ma SARL, je veux ma SARL, je veux être employée, je veux être employée. Et quand j'ai fait toutes les démarches, Ça coûte de l'argent d'ouvrir une SARL quand même. Vous avez le notaire, l'inscription au RRC. Puis après derrière, si vous voulez vous verser un salaire, donc être l'employé de votre société, il y a toutes les charges associées. Donc les assurances obligatoires, assurances sociales, mais il y a aussi tout ce qui est LPP, etc. Et derrière, il y a encore tout ce qui n'est pas obligatoire, mais que vous devez faire si vous voulez vous protéger. Et c'est toute la différence avec quelqu'un qui est en réseau individuel et quelqu'un qui est dans sa SARL employée. En réseau individuel, en général, vous devez souscrire quand même pas mal d'assurances également pour être protégé. Un indépendant, il est clairement moins protégé techniquement parlant que quelqu'un qui est en SARL. Et c'est toute la différence, c'est que souvent les indépendants, ils sont en mode économie d'argent parce que vous n'avez pas les revenus en général qu'on a dans une grosse société. Je dis bien en général, il y a des exceptions. L'indépendant, en fait, il doit bien comprendre qu'une bonne prévoyance, mais pas que la prévoyance, des bonnes assurances, c'est super important s'il lui arrive quoi que ce soit. Et en arrivant à ce bout, en étant dans toute la... des assurances et tout, tout d'un coup, ça m'a fait tilt, je me suis dit putain, c'est quand même beaucoup d'argent. C'est-à-dire qu'il faut s'assurer quand même un beau revenu, alors certes c'est proportionnel après au revenu qu'on se paye, etc. Mais ça m'a fait revenir à mon objectif de base, c'est-à-dire que l'année dernière, quand j'ai lancé mon side business, je voulais être plus confortable financièrement, mais ça ne voulait pas dire avoir plus de fric pour le claquer, ça voulait dire vraiment constituer mon coussin de sécurité, constituer ma prévoyance, constituer en fait ce qui allait me permettre de m'enrichir. Et en fait... Cette société, c'est ça. C'est utiliser ma société dans ma prévoyance, faire tout à ma sauce, mieux me rémunérer, être libre dans ma gestion pro, ne pas avoir d'heures, tout ça, tout ça. C'était ça. C'est pour ça que je voulais une société, entre autres. Donc effectivement, quand j'ai été, il faut payer ça, ça, ça, tel pourcentage, il faut prendre quand même des décisions de se dire, je me rémunère à tant et tant de pourcents, il faut réfléchir aussi si un jour j'ai des employés, comment est-ce que ça va se passer, machin, machin. Bref, on ne va pas parler de ça dans cet épisode, mais c'est quand même beaucoup, beaucoup de décisions à prendre qui impactent financièrement et les dépenses de l'entreprise et vos revenus à vous. Donc à toute personne qui se lance là-dedans. il y a des décisions à prendre au bout d'un moment qui sont assez importantes. Et moi, vraiment, arrivé à ce moment-là, j'ai eu ce truc de Ouf, c'est bon, elle est là, mais ouf, il y a toutes ces assurances. Il y a tous ces trucs à prendre, il y a tous ces trucs à réfléchir. Et là, je me suis dit Bah, tu voulais la SARL, mais en fait, tu la voulais pour toi, pour pouvoir prendre tes décisions à toi. Et ce qui est aussi très important, c'est qu'il ne faut pas se leurrer. Utiliser sa boîte pour sa prévoyance de la manière dont je vous le parle, il faut quand même générer des revenus. Vous ne pouvez pas vous dire Moi, je veux ma boîte juste pour ça. Vous devez quand même avoir un business model et un plan derrière qui est quand même... rodée ou qui va vous permettre d'avoir assez de ressources pour atteindre ces objectifs là et pas vous retrouver en fait avec moins qu'avant quand vous étiez salarié c'est parce qu'on veut moment challenge c'est qu'en tant que salarié j'avais quand même un très très bon salaire donc il faut fallait monter la barre haut pour se dire ben voilà faut certes taffer surtout la première année mais ça va être super intéressant après au niveau retour au niveau prévoyance etc après je ne vous cache pas que quand on est dans l'entrepreneuriat et quand on veut développer quelque chose comme ce dont je vous parle Eh ben, faut avoir des sacrées couilles et faut être bien motivée et faut avoir des bons outils, faut avoir des bonnes méthodes. Mais bon, on est on track. Ça c'est une partie de ce que je voulais au niveau professionnel, mais surtout, je voulais trouver ce que j'aime faire dans ma vie et l'utiliser comme moyen de rémunération. Et là je vous parle pas de l'ikigai parce que c'est un peu ça, mais voilà, c'était ça, c'était me dire, Janice, je veux que tous les jours de ta vie ce soit un gros kiff parce que tu kiffes tes clients, tu kiffes ce que tu fais, tu... Là on est quoi, on est en novembre quand j'enregistre cet épisode ? Novembre 2024 ? franchement je me suis jamais aussi sentie pleine d'énergie à l'idée de mentorer des gens dans leur projet de vie dans leur projet entrepreneurial et là je me dis vraiment putain je kiffe faire ça et je vois parfois je suis en séance avec des clients des élèves, souvent vous m'entendez parler clients élèves, un peu la même chose, j'aime bien dire élèves parce que ça les met au rang d'apprentis et de se dire on apprend pour se sortir les pouces du cul parfois je passe plus de temps, parfois on arrive à au lieu de faire 30 minutes, 40 minutes de séance, on arrive à une heure et je sens qu'ils sont un peu là genre punaise je suis en train de lui bouffer des temps... Mais non, en fait, moi, je kiffe. Tant qu'on n'a pas défini de stratégie claire, tant qu'on n'est pas arrivé au bout de l'objectif de la session, moi, je continue. Tant que je n'ai pas tous les éléments qu'il me faut pour répondre aux questions, pour faire le plan, je continue. Et après, pareil, il y a tout le soutien que je fais derrière, par WhatsApp, où je suis là, où j'essaye d'un maximum... Après, j'ai quand même beaucoup d'élèves, donc je ne peux pas faire ça à foison. Mais j'ai toujours une pensée, pour les élèves que je mentor, quand je vois qu'ils sont dans une situation où je me dis, tiens... Il a besoin d'un petit coup de pouce, un petit message, un petit audio, un petit truc. Ça, ça coûte rien. Et franchement, moi, je kiffe faire ça. Et je kiffe être cette personne-là pour se dire, ils ont un poteau là, au milieu de l'océan, sur lequel ils peuvent s'accrocher. Bon, pour revenir à cette histoire de se faire professionnel. Parce que je vous ai dit résultat, résultat, résultat. Moi, dans ce que je voulais faire cette année, il y avait quand même un objectif de croissance de l'entreprise. Et cette croissance, elle a eu lieu. C'est-à-dire qu'il y a une croissance des followers. Parce que je rappelle, il y a une année, c'est-à-dire en novembre... D'ailleurs, j'ai des captures d'écran encore. J'ai fait le tri dans mes captures d'écran. Il y a une année, j'avais 1100 abonnés sur Instagram. Aujourd'hui, on arrive sur 9000. Je sais que c'est du chichi, les followers, ça ne veut rien dire. Mais quand même, j'ai réussi à réunir 9000 personnes qui sont intéressées à mettre en place des stratégies pour leurs finances ou des stratégies pour leur business, pour leur projet entrepreneurial. En Suisse, je ne suis pas en train de taper sur le marché français. Je suis en train de taper sur un marché qui est restreint, c'est-à-dire... qu'on est peut-être 6 millions en Suisse, je ne sais plus. Les francophones, il n'y en a pas 6 millions, il y en a beaucoup moins. Donc je suis en train de taper sur un marché qui est beaucoup plus restreint que la France, qui est en train de naître, mais qui est quand même plus en retard par rapport à la France à ce niveau-là. Je parle vraiment entrepreneuriel indépendant. Je ne parle pas de tout ce qui est start-up, innovation, etc. parce que c'est différent. C'est un marché qui est totalement différent. Moi, je suis vraiment plus calée sur les indépendants en Suisse. C'est ça la différence. Donc je me dis, j'ai touché, j'ai mis le doigt sur vraiment une audience qui a besoin. de cette aide pour trouver des clients, pour se rémunérer, etc. Donc, dans mes objectifs cette année, il y avait la croissance de l'entreprise, tant au niveau prospect, client, etc. Et je ne vous cache pas que ça a pris vraiment de l'ampleur, et là, en cette fin d'année, je sens qu'il y a eu des paliers. Il y a vraiment des moments où ça faisait, hop, ding, boum. Après, petit plateau, hop, ding, boum. Ça remonte, petit plateau, hop, ça boume, petit plateau, etc. Cette année, il y a clairement eu ça. Et les moments un peu plateaux, c'était des moments où soit tu doutes, où tu te dis, putain, merde, pourquoi ça n'avance pas comme avant ? soit tu prends le temps de respirer parce que putain quand ça monte, ça monte et c'est fort. Donc aussi au niveau produit, j'ai développé vraiment deux produits cette année, c'était Coach ton business, donc le mentorat, mais derrière comme j'avais trop de demandes, j'ai dû développer un autre produit qui me permettait d'onboard plus de gens et surtout que les gens se rendent compte que c'est un produit qui est très bien, et Je me demande s'ils ont envie de bosser ou pas avec moi après, ou s'ils ont envie de passer à la suite. Et ça, c'était Objectif 100% Indépendant et Rentable que j'ai organisé en septembre. Ça, ça a été un gros succès. Franchement, 100%, je l'appelle 100% IER, ça a été un gros succès, c'était vraiment chouette. Mais derrière, j'ai senti qu'il n'y avait pas assez de passage à l'action. C'est-à-dire que je voulais vraiment que les gens sortent de ça et se disent, avec Janice, en formation, j'ai accompli Je connais mon public cible, je sais que mon idée elle est viable, j'ai un objectif financier, j'ai mis tout ça en place. Soit j'avance tout seul et je continue, soit j'avance avec elle et on passe en mentorat. Moi je voulais vraiment ça. Et c'est ce que j'ai développé maintenant avec 100% indépendant et rentable qui sortira du coup, enfin la pré-vente elle sera en décembre mais qui sortira vraiment le 15 janvier. Moi je voulais vraiment du passage à l'action. Qu'on se sorte les pouces du cul et qu'on se dise ok cette année j'ai un projet entrepreneurial. Ben cette formation là c'est vraiment the outil pour... sortir ce truc. Et c'est un petit investissement, je vous dis, c'est un petit investissement. Quand on a besoin, quand on ne sait pas comment avancer, vous avez la démarche claire, nette et précise sur ce que vous devez mettre en place pour commencer. C'est pas autre chose. J'ai vu assez de personnes cette année, j'ai fait assez d'études de cas dans mes études, j'ai vu assez d'entreprises, j'ai travaillé dans assez d'entreprises pour vous dire que quand on lance une entreprise, il n'y a pas mille manières de commencer. D'avoir une structure claire et établie, même quand on veut devenir indépendant, masseur, thérapeute, je sais pas quoi. Commencer par là, ça vous donne des bases hyper solides dans votre pratique. Et à ceux qui sont déjà lancés et qui galèrent, de repasser par là, c'est hyper puissant. Vraiment, je vous dis, parce que je suis aussi souvent des gens qui, ça fait 3-4 ans qu'ils sont dans leur business, et ils se rendent compte que c'est pas facile, ça stagne, ça stagne, j'arrive pas à avoir plus de clients, j'arrive pas à en vivre, etc. De repasser par là, ils sont là genre, en fait... méga puissants tes outils, méga puissants de se poser les bonnes questions de se repositionner de faire une vraie étude, de se dire ok méga puissant et en fait après ils prennent beaucoup beaucoup de valeur dans leur métier ils arrivent à être beaucoup plus puissants dans ce qu'ils font dans leur force de frappe et ils éclatent tout et moi c'est ce que je veux donc voilà il y avait deux produits et en fait à côté de ça moi je fais quand même beaucoup beaucoup de contenu sur les réseaux sociaux, le podcast tout ça tout ça donc finalement je passe beaucoup de temps à faire du contenu, ça c'est une grosse partie de mon temps mais je kiffe et il y a encore à côté mes consulting, donc vraiment entreprise, grosse entreprise, et il y a l'influence que je vais progressivement, je pense, quitter à partir de l'année prochaine parce que je me sens plus du tout alignée avec TikTok, j'ai du mal à faire du bon contenu sur TikTok. Même si je sais qu'il y a beaucoup de monde qui me suit, franchement, ça devient difficile pour moi d'avoir de la valeur. Donc je vais encore... tester je pense en 2025, je vais prendre une consultante spécialisée dans TikTok pour m'aider à faire du nouveau contenu et du contenu frais parce que j'ai quand même envie de donner un dernier shot mais honnêtement tout ce qui est influence partenariat franchement je vais pas continuer. Voilà alors une de mes stratégies cette année pour faire autant de choses c'est que il faut bien comprendre que dans le business si vous voulez survivre il faut lancer des nouveaux produits lancer des nouveaux services ou alors vous diversifier ou alors faire en sorte que vos clients rachètent ou alors enfin bref il y a mille et une techniques je vais pas les énoncer là... Mais en gros, j'ai à chaque fois lancé des nouveaux produits, j'ai relancé, puis surtout j'ai mis au goût du jour la formation Coach Ton Business pour qu'elle soit toujours attractive et qu'on se dise Putain, moi je veux aller bosser avec elle, c'est trop bien ! Et pour ça, ce que je vous conseille, c'est de toujours tester en MVP, c'est-à-dire Minimum Viable Product, avant d'investir massivement ou avant de vous lancer corpsième. Vous démarrez avec un produit minimum, vous démarrez, vous testez, vous regardez. On n'est pas sur de la recherche de volume, on n'est pas sur de la recherche de méga, méga maximisation du profit à la base. Vous démarrez petit et vous tentez comme ça. C'est ce que j'ai fait avec un 100% indépendant et rentable, ça a super bien marché. C'est ce que je vous conseille de faire et d'ailleurs c'est ce que vous allez pouvoir tester et pouvoir faire dans 100% indépendant et rentable, dans la nouvelle version. Ensuite, je vous parlais de trouver ce que j'aime faire. Le fait d'être dans une activité professionnelle que j'ai designée moi-même. Tout ce que je fais, c'est moi qui l'imagine, etc. Évidemment. Il y a de l'inspiration, il y a de la recherche, etc. Voilà, ça vient pas, ça poppe pas tout seul dans ma tête. Enfin, certains trucs. Tout ce que je fais, j'essaye un maximum d'être en lien avec moi ce que j'aime. C'est-à-dire que, je vous parlais d'influence là, il y a deux secondes. L'influence pour moi, c'est compliqué parce que parfois, je sais pas, j'ai ce truc où je me dis, j'ai peur de décevoir. Et ça m'arrive aussi avec mes clients, j'ai peur de décevoir, bien sûr. Mais plus j'ai ce gut feeling où je me dis, j'ai vraiment pas envie d'avancer avec eux, plus je me dis... that's not what you should do, c'est pas ce que tu devrais faire. Et du coup cette année j'ai beaucoup beaucoup réfléchi à chaque étape, d'ailleurs c'était aussi dans ce sens là que j'avais lancé Coach Ton Business c'est que Coach Ton Budget j'avais pas suivi les gens one to one et je voulais le faire d'un point de vue entrepreneurial. Donc c'est pour ça qu'il y a des séances de mentorat privé dans Coach Ton Business. Et ça, sans passer à l'action, sans faire, sans tester, sans être dans le doing, vous ne saurez pas. Vraiment. C'est quelque chose. Et moi c'était vraiment une recherche, une quête que j'ai fait cette année, c'était savoir ce que j'aime faire. Et c'est aussi C'est pour ça que j'ai fait autant de choses. Parce que je voulais voir, j'ai testé... Alors, je vous parlais du consulting, de l'influence, de coach ton business, de 100% dépendance et rentable. J'ai testé à chaque fois plein de choses. Mais aussi au niveau de création de contenu. Je veux dire, si j'ai fait des vidéos YouTube cette année, j'ai vite arrêté parce qu'en fait, ça prend trop de temps et c'est pas du tout ce que je veux faire. J'ai tenté des formes de reel, j'ai tenté des trucs sur TikTok, j'ai tenté... Ou en podcast, j'aurais ça assez safe, on va dire, mais j'ai tenté des trucs. J'ai tenté des trucs parce que je voulais voir ce que j'aimais faire et je voulais voir ce qui fonctionnait. parce que bien sûr ce que vous aimez faire ça doit aussi vous apporter une forme de résultat sinon vous pédalez dans le vide surtout au début de votre activité. Et ça c'était vraiment un gros challenge cette année et là j'arrive à la fin d'année 2024 et réellement non seulement je peux dire ce que j'aime vraiment faire dans mon activité professionnelle mais je peux aussi guider quelqu'un et lui poser les bonnes questions pour se dire ok ça en fait j'aime. Et d'ailleurs l'autre jour il y a une fille qui est venue m'aborder après un event et qui me dit bah moi en fait je peux tout faire. Du coup je sais pas quoi faire parce que je peux tout faire. Et là, je me suis rendu compte que c'était moi aussi, il y a quelques mois. Que j'étais aussi dans ce truc, mais moi, au niveau entrepreneurial, je peux tout faire avec toi. Et finalement, au fur et à mesure du temps, je me suis quand même spécifiée, je me suis quand même dit, non mais en fait, ça j'aime faire, ça j'aime moins faire. Et moi, c'est ce qui m'a aidée, c'est pratiquer. C'est faire, faire, faire, faire. Donc si vous êtes dans un cas où en mode, vous êtes là, je sais pas quoi faire, faire, ça vous aidera à vous déterminer. Et si vous n'êtes pas encore dans le faire, un gros tip que j'ai à vous donner, c'est de vous former, c'est d'apprendre. c'est d'écouter des podcasts comme le mien, de regarder des vidéos, d'apprendre des formations. Mais finalement, la formation, elle a un super bon marché devant elle parce que vous pouvez être sceptique avec la formation en ligne. Je comprends, il y a beaucoup de gens qui ont vendu de la merde et moi ça m'arrive, j'achète tout le temps des formations en ligne. Je vous dis, je suis une très bonne cliente des formations en ligne. Parfois, je paye pour des formations en ligne et je me dis, j'ai rien appris, fais chier. Mais c'est parce que si, j'en fais beaucoup. Mais ça c'est un mauvais côté. Mais un bon côté de la formation en ligne, de prendre des petites formations à droite à gauche, des trucs à 100 balles comme ça, vous allez apprendre beaucoup de choses et vous allez pouvoir déterminer ce que vous aimez faire et ce que vous n'aimez pas faire. Donc finalement si vous achetez une formation et que vous n'aimez pas ce que vous avez fait dedans, mais c'est pas grave, vous n'avez pas fait un cursus universitaire de 5 ans en vous disant putain j'ai pas aimé mes études. Au pire vous avez claqué 100 balles et c'est tout, c'est fini, point barre. Mais par contre, au mieux, vous avez trouvé un truc que vous avez dit, j'ai mis le doigt sur quelque chose, c'est ouf. Donc c'est ça ce que je vous invite à faire. Vraiment, d'un point de vue et personnel et professionnel, c'est de continuer de vous former, d'apprendre et de faire. Et moi, un truc aussi que j'ai vraiment appris cette année, c'est que j'adore former et j'adore faire apprendre. J'adore mentorer. J'adore... En fait, c'est pas un truc d'ego. C'est pas de dire Ouais, moi, je suis trop la best, je sais tout faire, je peux t'apprendre. C'est pas du tout ça ce que je veux dire. C'est vraiment de comprendre que j'ai les outils et d'analyser la situation avec les gens. Et de leur dire, ok, moi je vois ça, ça, ça, ça. J'ai pas toujours tout juste, hein. Parfois, je cible mal, parfois j'entends mal un besoin, j'entends mal une volonté, et du coup, je suis pas bien, voilà, ça arrive. Mais je demande toujours à la personne de m'indiquer si c'est correct ou pas. Et en général, ça l'est. Bon, ça c'était pour la partie professionnelle. Si je peux résumer, en fait, pour vous expliquer un petit peu la trame, pour continuer d'être dans la trame de cet épisode, parce que l'objectif, c'est quand même de vous montrer qu'il n'y a pas de bon moment, et que c'est le passage à l'action, les tests et les petits pas qui vont vous faire avancer. Pour vous résumer un petit peu ce que je vous ai dit jusqu'à maintenant et pour passer à la suite de cet épisode, c'est que dans l'aspect privé, j'ai aménagé, vraiment j'ai aménagé un environnement propice pour le passage à l'action. Je me suis apaisée, j'ai aménagé un environnement calme et serein, j'ai continué de faire des choses que j'aimais, j'ai continué de me mettre à l'abri et en sécurité pour pouvoir vraiment être dans un espace serein. Je sais que c'est pas toujours possible pour tout le monde de faire ça. Quand on a des enfants, quand on a une situation financière qui est délicate, je sais, je sais. Ne venez pas m'attaquer pour ça, je sais. En revanche, on peut tout faire pour faire en sorte que ce soit le cas. Et si ce n'est pas possible maintenant, faites en sorte d'adopter un autre mot bullshit tel qu'alignement, c'est la résilience. Adoptez de la résilience temporaire pour vous mettre bien et pour vous dire, ok, je fais ça maintenant, je fais ce petit truc maintenant, mais plus tard, je serai mieux. Et vous mettre des objectifs, vous mettre des deadlines, vous faire avancer chaque petit pas après petit pas pour que ce soit le cas. Et ensuite, au niveau professionnel, ce que j'ai essayé de vous dire, c'est que j'avais des gros objectifs, c'est-à-dire que j'avais un objectif de croissance, mais j'avais aussi un objectif de développement personnel et professionnel, c'est-à-dire que je voulais que ma boîte, elle grossisse et elle me permette d'être bien financièrement et de tendre vers mes objectifs de prévoyance, de sécurité financière, etc. Mais je voulais aussi trouver ce que j'aime faire dans la vie, je voulais aussi trouver mon truc qui me dit putain, Janice, t'es vraiment en train de vivre ta best life, même si tu dois aller bosser, quoi Je veux dire, je ne suis pas Elon Musk, je ne suis pas milliardaire encore, je ne peux pas me reposer sur mes acquis pour vivre une vie fire. Et puis, ce n'est pas ce que je veux. Moi, je voulais vraiment trouver un truc où je me dis que je suis utile à des gens et je donne mon savoir, je donne mon temps à des gens qui ont envie. de faire pareil en fait. Donc ça c'est vraiment les objectifs et l'espace que je me suis donné pour y arriver. Maintenant, qu'est-ce que je peux vous donner comme conseil pour passer à l'action et pour être pour tendre vers vos propres objectifs ? Ça c'était les miens, vous avez les vôtres, vous avez envie de vos propres choses dans la vie, c'est très important d'être au courant de tout ça. Qu'est-ce que vous pouvez mettre en place pour y arriver ? La première chose que j'ai à vous dire c'est que vous ne devez pas timer votre vie ou le marcher. Et ça, c'est pareil en bourse, c'est pareil quand vous voulez mettre de côté de l'argent. Il faut arrêter de vouloir timer sa vie, il faut arrêter de vouloir se dire que le moment parfait, il arrive. Parce qu'il n'y a pas de moment parfait. Je suis d'accord qu'il y a des moments qui sont meilleurs que d'autres, mais quand vous devez vous mettre en route vers un projet entrepreneurial, vers un investissement, etc., il n'y a pas mieux que les petits pas pour avancer. Même si c'est le pas le plus ridicule, le pas le plus ridicule, il a été fait. Et vous êtes en train de marcher. Parce que souvent, on fait ce premier petit pas et on se dit Ah oui, mais en fait, il y a tout qui avance plus vite que je pensais. Ah oui, parce que vous créez le moment parfait pour agir. C'est vous qui vous le créez. La vérité, c'est que le timing idéal, c'est celui que vous êtes en train de vous créer. Si vous passez votre temps à attendre que tout soit aligné, que la situation soit favorable, que la peur disparaisse, vous resterez tout le temps au même endroit. Le marché, les opportunités, la vie perso, ça bouge tout le temps. Et c'est vous qui faites en sorte que ça bouge, pardon. C'est vous qui faites en sorte que ça avance. Ceux qui réussissent, ce sont ceux qui prennent des décisions, même imparfaites, mais ils avancent. Et même si c'est bancal, même si ça fait peur, ils avancent. Parce que c'est l'action, c'est la clé qui ouvre les portes, des portes qu'on n'aurait jamais imaginées. Mais vraiment, moi, il y a une année, certes, je vais vous parler du vision board après. Il y a une année, jamais de la vie, je me serais dit que j'allais vraiment... dans un an, être si bien dans ma vie, être si bien alignée avec ce que je voulais faire professionnellement, de gagner ma vie avec ça, d'être vraiment bien et d'aider les gens à faire pareil. Jamais de la vie j'aurais pensé ça. Par contre, je me suis imaginée. Je ne me suis pas dit, je vais y arriver. C'est peut-être une erreur de visualisation de vous parler de ça, mais jamais de la vie je me suis vraiment... Je ne sais pas, je n'étais pas convaincue, mais dans ma tête, j'y allais. C'est vraiment bizarre à dire. Donc peut-être que finalement, j'étais convaincue intérieurement, mais j'y allais. j'allais vers ça, ou en tout cas je mettais toutes les briques pour y arriver, et je vous le dis, vraiment chaque petit pas aujourd'hui c'est un grand saut dans 6 mois, vraiment et c'est aussi pour ça que j'ai orienté 100% dépendant et rentable de cette manière là, c'était que vous donner des vidéos de marketing, d'entrepreneuriat c'est cool mais si vous passez pas à l'action moi ça change quoi à ma vie, moi ça change quoi de vous avoir vendu des vidéos à la con ou des trucs à la con, moi ça change rien et c'est, certes j'ai gagné un peu d'argent mais c'est pas ça que je veux pour vous, moi je veux que vous puissiez regarder ces trucs, vous sentir et inspirer... et aussi motivé parce que vous savez quoi faire de la suite, et puis surtout qu'à un moment donné, on bosse ensemble. Donc certes, vous pouvez peut-être aller dans 100% indépendant et rentable et pas avoir envie qu'on bosse ensemble derrière, c'est tout à fait ok, et c'est pour ça que j'ai designé cette formation pour que ce soit un cas ou dans l'autre ok, mais moi je veux qu'on se dise les deux, ok 2025, c'est mon année, je crée ce business, je crée ce projet, je me mets en route, ou alors je fais en sorte que ce business que j'ai déjà, il fonctionne, il tourne et je me rémunère avec ce truc. Un outil pour ça que je peux vous dire, et que j'avais utilisé beaucoup beaucoup à l'époque que j'utilise plus trop maintenant parce que je sais pas, je sais pas j'utilisais ça quand j'étais vraiment seule chez moi parce que je sais pas je prenais du temps pour le faire tout le temps mais c'était un outil incroyable et aujourd'hui quand je regarde ce que j'ai écrit à l'époque, je suis là genre waouh, tellement puissant de revenir en arrière sur mon état d'esprit, sur ce que j'ai amélioré et tout, c'est tellement puissant. Donc moi ce que je vous conseille de faire c'est que si vous pouvez, vous utilisez un journal et vous commencez à journaliser vous notez les petites actions quotidiennes vous notez votre état d'esprit vous notez ce que vous avez envie de faire... Et ça, ça va vous aider pour le prochain point que j'ai à vous donner comme astuce. Ça va vous aider à faire plein de choses, dont des micro-actions. Même si elles sont insignifiantes sur le moment, je vous jure que dans six mois, vous allez vous retourner et vous allez dire Mais heureusement que j'ai fait ça. Heureusement que j'ai fait ce petit truc-là. Heureusement. Alors le prochain truc dont je veux vous parler, c'est le pouvoir de la visualisation. Et d'ailleurs, ce que je vais faire, c'est que dans cet épisode, vous allez retrouver un lien pour télécharger votre propre tableau de visualisation. Donc vous cliquerez sur le lien. Ce lien il sera pas disponible ad vitam aeternam, il sera environ disponible 4 mois à partir du début de l'épisode. Donc si vous écoutez ça d'ici 12 mois il sera plus disponible malheureusement, mais j'en sortirai un chaque fois d'année, voilà. Mais le boulot de la visualisation je veux que vous le fassiez tout de suite maintenant à la fin de cet épisode, donc vous téléchargez votre tableau qui est sur Notion, qui va être trop cool vous verrez. La visualisation c'est bien plus qu'un simple exercice mental, c'est un processus qui vous permet de programmer votre cerveau pour qu'il travaille activement à la réalisation de vos objectifs. Et pour que ça marche, mes chers amis, il ne faut pas faire les choses à moitié. La première chose, c'est qu'il faut que vous ayez un objectif en tête. Vous ne pouvez pas visualiser sans savoir précisément ce que vous voulez. Et quand je vous parle d'objectif, ce n'est pas juste je veux être riche. Non, je veux mon petit chalet à Crans-Montana, être sur les pistes de ski avec mon mec un lundi, rentrer, avoir un chef privé qui nous cuisine le soir à manger. Bon, j'abuse, mais... Bisez haut les gars ! Rêvez, rêvez grand. Posez-vous la question, qu'est-ce que je veux accomplir ou obtenir dans ma vie ? Vous le définissez avec le plus de détails possible. Si c'est un business, imaginez le chiffre d'affaires, le nombre de clients, la satisfaction que vous ressentez. Si c'est un objectif personnel, voyez-le avec les détails sensoriels. Par exemple, si vous lancez votre business, imaginez votre site internet, vos produits, votre compte bancaire qui se remplit après chaque vente. Imaginez aussi, quand vous consultez, la sensation que vous avez avec un nouveau client. imaginez tout ça, ressentez les choses moi c'est vraiment un truc que je fais tout le temps donc la deuxième chose que je vous conseille par rapport à la visuation c'est trouver le moment pour le faire, moi je vais pas vous dire posez-vous 5 minutes et pensez parce que si vous êtes à la fin d'une grosse journée, que vous avez les enfants qui toquent à la porte, que voilà il y a du monde je sais pas quoi, c'est pas le bon moment pour le faire, idéalement vous êtes seul, bien sûr que vous êtes seul parce que vous devez avoir personne qui gravite autour de vous physiquement... et qui vous empêche en fait de réfléchir en toute liberté et de laisser votre cerveau vous évader. Donc vous allez vous balader, vous allez courir, vous êtes en train de nager, vous faites un sport où vous sortez et vous êtes seul. A la limite, il y a plein de podcasts à part ça, il y a plein de vidéos sur YouTube pour la visualisation. Vous mettez ça de prime abord, vous mettez ça dans vos oreilles, comme ça vous vous aidez à faire de la visualisation, vous vous accompagnez à faire de la visualisation. Ceux qui sont bien rodés au niveau de la visualisation, vous n'avez plus besoin de ça au bout d'un moment, je sais. Moi, je n'en ai pas besoin. Mais si vous avez besoin d'un coup de pouce, vous mettez ça dans les oreilles et puis vous imaginez ce que vous voulez. Et le prochain conseil par rapport à ça, c'est vous devez ressentir l'émotion comme si elle était là. Vous devez imaginer qu'une fois votre objectif atteint, vous avez une certaine émotion. Est-ce que c'est de la joie, de la fierté, de la gratitude ? Vous devez vraiment ressentir ce truc en mode, I did it, je l'ai fait, j'y suis, c'est comme ça que je veux me sentir. En fait, le truc c'est que plus vous êtes connecté émotionnellement, plus votre cerveau, il va enregistrer. Cette émotion comme une réalité. Et ça c'est aussi très puissant parce que je suis passée et je suis diagnostiquée anxio-dépressive. Pour ceux qui ne savent pas. Ils se disent mais quoi anxio-dépressive elle est tarée cette meuf elle fait que rigoler tout le temps. Mais c'est parce que justement je programme tout le temps ma tête ou mon esprit à penser positif. Je sais que pour ceux qui sont dans des esprits très négatifs ça peut paraître du charabia ce que je raconte. Mais je suis passée d'un esprit très négatif et très down à quelqu'un qui pense et qui voit positif. Parce que j'ai compris que plus on pense positif et plus on met en place des choses positives. plus c'est ouf pour le cerveau parce qu'il se programme de la telle sorte. Et franchement, je saurais toujours pas vous expliquer comment ça fait que c'est si fou à programmer et que ça marche, mais c'est le cas. Ensuite, la dernière chose que je pourrais vous dire, c'est que par rapport à la visualisation toujours, c'est pas de la magie passive. Elle prépare en fait votre cerveau à reconnaître les opportunités et à agir. C'est-à-dire que vous pouvez penser que ça se connecte à un truc, à un réseau interspatial qui fait que ça va se passer. Pas vraiment ça, c'est un peu plus concret que ça. Quand... La chose, elle va se présenter à vous. Donc ce dont vous avez rêvé, ou en tout cas les situations, ça se construit petit à petit. Et vous, naturellement, parce que vous l'avez imaginé, vous savez que vous devez saisir ça. C'est vraiment, c'est inconscient, vous savez que vous devez saisir telle et telle opportunité. Donc naturellement, vous allez vers de meilleurs choix. Et vous vous orientez vers ce que vous avez imaginé. Et une fois que vous avez visualisé, la première chose que vous devez vous demander, c'est quelles sont les petites actions que je peux faire aujourd'hui pour me rapprocher de ce que j'ai vu. Vous vous posez cette question-là, cette question-là, elle va devenir inconsciente au bout d'un moment. Par exemple, si vous vous êtes visualisé en tant qu'entrepreneur à succès, l'action du jour, c'est peut-être d'envoyer un email, de créer un poste, de faire une recherche. Toute première chose. De faire votre compte, d'acheter votre nom de domaine, de trouver le nom de votre boîte. C'est peut-être ça. Voilà. Et du coup, vous renforcez ça avec un tableau de visualisation que vous allez pouvoir télécharger dans le lien de cet épisode. On arrive sur la fin de l'épisode. Je vous rassure, c'était un long épisode, mais je pense que j'avais beaucoup à transmettre, beaucoup de choses à dire pour vous expliquer comment j'arrive à cartonner autant. Naturellement, ça, c'est tout un produit mindset de ma part. que vous allez retrouver chez beaucoup de personnes à succès. Et vous allez retrouver beaucoup, beaucoup, beaucoup de podcasts à ce sujet-là. Moi, je voulais vous partager comment je fonctionne réellement, vraiment ce que je mets en place, ou ce que j'ai mis en place au fur et à mesure des années. Et pour ceux qui seraient encore un peu sceptiques par rapport à la visualisation, je suis allée chercher sur Internet, en fait, exactement ce qui se passe au niveau du cerveau. C'est que, en fait, la visualisation, elle active une partie de votre cerveau qui est appelée le système réticulaire activateur. Et ça filtre les informations qui vous poussent à remarquer tout ce qui est pertinent pour vos objectifs. En gros, en fait, votre cerveau, il commence à travailler pour vous en mode automatique. Mais c'est génial ça ! Vous vous rendez compte ? C'est ouf ! C'est trop bien ! Donc ce que je veux que vous fassiez, c'est que vous vous mettiez en route pour vos objectifs, vos petits trucs comme ça. Je ne vous ai pas parlé de chiffres concrets. Je ne vous ai pas parlé, à part les nombres d'abonnés que j'ai, je ne vous ai pas parlé des prospects, du chiffre d'affaires, etc. Parce que je ne veux pas vous stresser avec des chiffres comme ça. Je les ai déjà beaucoup partagés, je vous ai déjà partagé ce que je voulais. Je vous ai déjà vraiment beaucoup beaucoup partagé au niveau chiffres, mais là ce que je veux que vous fassiez c'est que vous disiez ok, en fait c'est pas si compliqué que ça à mettre en place, et que plus je m'y mets tôt, et plus je fais des petites actions concrètes, plus j'arriverai à des grandes choses plus tard. Pour terminer l'épisode, j'aimerais vous parler un petit peu de ce que j'ambitionne de faire, parce que j'ai pas encore fait mon tableau. Le tableau de visualisation, j'ai pas encore travaillé sur ça pour mon année 2025. J'ai des idées, mais je me suis pas plongée dedans, j'ai pas encore fait vraiment le travail. Et je me suis dit que ce serait cool de commencer ce travail avec vous à l'oral là, comme ça. Comme ça vous pouvez aussi vous imaginer comment est-ce que je commence la partie visualisation, comment est-ce que je commence à mettre en place des choses que je vais faire l'année prochaine. Alors typiquement dans mes ambitions que j'avais cette année, mais qui se sont pas réalisées parce que j'ai pas mis les choses en place pour, parce que j'avais d'autres choses à faire, je vous avoue, c'est qu'il y a aussi un truc sur le tableau de visualisation, c'est que... Si vous êtes comme moi, avec beaucoup d'ambition, vous allez mettre beaucoup de choses. Il n'y a pas tout qu'on peut faire, parce qu'il y a un certain nombre d'heures dans la semaine quand même. Et il y a des priorités. Moi, je vais le remettre l'année prochaine, c'est que je rêverais d'enseigner ce que je sais à l'université. Je rêverais vraiment de pouvoir transmettre ça à des étudiants ou des jeunes qui veulent se lancer là-dedans. Je rêverais de faire ça. Dans mes autres ambitions, parce que vraiment enseigner, c'est un truc que j'adore. Sortir 100% dépendant et rentable, c'est clairement pas une ambition, parce que Ausha va se faire, je le sais. la formation elle est quasi prête, il faut juste terminer de monter et produire un petit peu tout le reste, j'aimerais que toutes les personnes qui sont coincées puissent sortir de 100% indépendants et rentables avec un projet et savoir comment avoir des clients ou se rémunérer. Et puis in fine qu'on bosse ensemble, voilà. Dans mes ambitions j'aimerais continuer à faire ça l'année prochaine et développer ce produit professionnel, j'aimerais continuer à développer ça. Une autre ambition que j'ai, mais ça c'est vraiment pas clair encore parce qu'il faut que j'aille voir mon mentor, il faut que j'aille voir un petit peu comment est-ce qu'on peut faire ça. C'est qu'effectivement, ce n'est pas une optique vraiment de scale, parce que finalement, 100% indépendant et rentable, c'est une autre manière de scale. Je vais continuer de scale cette entreprise, mais j'aimerais mettre en place plus d'outils, plus de spécialistes pour mes élèves. C'est-à-dire que j'ai envie de bosser avec plus de gens, j'ai envie d'avoir plus d'experts concrets dans cette formation, dans ce mentorat. Et pour ça, il faut que j'augmente la taille, la capacité de cette entreprise. Et pour ça, il faut qu'on m'aide, il faut que je puisse... commencer à savoir ce que j'ai besoin en bras droit, ce que j'ai besoin en associé, ce que j'ai besoin en employé, etc. Il faut que je mette tout ça en place. C'est encore très flou pour le moment, mais c'est des ambitions que j'ai pour l'année prochaine. Ensuite, évidemment, j'aimerais garder un petit peu ce mindset de c'est hyper accès mis en pratique et avec Coach en Business, j'avance vraiment, j'aimerais continuer là-dedans. Donc je veux pas que ça parte dans des formations à tout va, je veux vraiment qu'on reste dans le côté pratique et surtout que je veux que ce soit d'utilité publique, c'est-à-dire que on... Aujourd'hui, il y a beaucoup, beaucoup de gens qui créent des entreprises. D'ailleurs, sur le canton du Valais, en cette fin d'année, il y a 5% d'augmentation de la création d'entreprise par rapport à l'année passée. Mais il y a aussi 15%, ça je crois que c'est des chiffres de Genève et Vaud, c'est pas Valais, il y a 15% de faillite en plus. Donc comment est-ce qu'on fait pour anticiper une faillite quand ça concerne tout ce qui est mauvaise pratique, mauvaise méthodologie, mauvais marketing et mauvaise gestion financière ? Je veux que ce soit d'utilité publique, qu'on se dise il y a des ressources à disposition pour qu'on se forme, pour qu'on s'indépendantisse, pour faire du marketing correctement et juste et à la Suisse surtout. Et il va y avoir aussi plein de tests au niveau du volume, c'est-à-dire que je vous parlais de marché restreint, avec mes produits je suis sur un marché qui est restreint, j'ai choisi volontairement de me positionner en Suisse. Est-ce que j'ai pour ambition de partir sur la France ? Pas encore, mais ça pourrait être des axes de développement que je vais voir avec mon mentor. Mais voilà, ce sont un peu des ambitions professionnelles que j'ai pour... 2025. Ensuite au niveau personnel je vous avais parlé que j'aimerais devenir propriétaire mais c'est pas dans mon cadre privé c'est à dire que j'aimerais investir dans du locatif donc évidemment il va y avoir cette partie là. Aussi vraiment d'un point de vue personnel pur je trouve que j'ai atteint une stabilité avec mes amis, avec mon entourage avec mon cadre de vie que j'aime beaucoup donc pour l'instant je veux juste le maintenir ce sera pas dans le but d'avoir mon chalet à Cremontana avec mon chef privé on va dire mais j'ai envie par contre de partager beaucoup plus de moments. C'est à dire que... autant l'année prochaine je fête mes 30 ans, j'ai envie de célébrer ça avec mes amis, mais j'ai aussi envie d'inviter mes clients à se retrouver autour d'un bon repas, autour d'une bonne soirée où on se rencontre finalement en vrai et on partage tout ça. Donc ça, ça va vraiment être des axes l'année prochaine, c'est se rencontrer en vrai, faire des événements ensemble et c'est vraiment super super super important. Pour vous résumer un petit peu ce que j'ai envie de faire pour l'année prochaine, maintenant je vais le mettre dans un vision board, je vais l'accrocher au mur, je vais l'imprimer, je vais mettre tout ça en pratique. Et je vais avancer dans ce sens-là. Comme ça, vous savez tout. Merci beaucoup d'avoir écouté cet épisode. Si vous l'avez aimé, je le rappelle, mettez une note au podcast parce que ça m'aide à le faire connaître. Si vous pensez qu'il peut aider quelqu'un, partagez-le, partagez, envoyez le lien. Vous pouvez l'écouter sur toutes les plateformes avec Apple Podcast, avec Spotify, YouTube. Vous l'écoutez sur toutes les plateformes. N'hésitez pas à vous inscrire aussi sur pré-vente de 100% indépendant et rentable si ça vous intéresse. elle sera ouverte à partir du 1er décembre et elle sera valable jusqu'au 14 janvier alors si vous prenez après le 14 janvier, c'est-à-dire le 15 c'est juste qu'il n'y aura pas la pré-vente il y aura vraiment la vente en live et si vous avez des questions, vous pouvez me les poser par email je réponds toujours, en tout cas j'essaye de répondre le plus rapidement possible et aussi sur Instagram, vous pouvez aller me suivre, c'est coachetonbusiness et si vous voulez continuer de me suivre sur TikTok c'est coachetonbudget je vous remercie énormément pour votre soutien c'est vraiment de l'amour en barre quand je vois aussi vos commentaires dans les épisodes, j'adore ça Merci Je vous remercie infiniment et je vous souhaite une toute belle journée ou toute belle soirée, ça dépend à quel moment vous m'écoutez. Et à tout bientôt !

Description

Il n’y a pas de bon moment pour lancer ton activité, ton business, ton SIDE BUSINESS (et c’est une bonne nouvelle)

Tu hésites à démarrer ton projet ou ton activité indépendante en Suisse ? Peut-être attends-tu le moment parfait ? Spoiler : il n’arrivera jamais.

Dans cet épisode, je partage les secrets pour dépasser tes blocages et enfin passer à l’action.

On parle des raisons qui te freinent (perfectionnisme, syndrome de l’imposteur, procrastination) et des petites étapes concrètes pour avancer dès maintenant.

Que tu veuilles lancer un side business ou devenir indépendant·e, cet épisode est un REEL boosteur de motivation :)

On abordera aussi :

  • Pourquoi le "bon moment" n’existe pas.

  • Comment élaborer ton idée et te lancer.

  • Mon expérience avec la formation 100% Indépendant et Rentable.


Pour télécharger le Vision Board 2025, clique ici 👉🏻 https://www.ctbconsulting.ch/visionboard

Pour t'inscrire à 100% Indépendant et Rentable, clique ici 👉🏻 https://www.ctbconsulting.ch/objectifindependant


À écouter, à partager, et à appliquer pour un impact réel sur ta vie et ton business!


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Mots-clés : entrepreneuriat, gestion financière, investissement, revenus passifs, stratégies de vente, marketing digital, formations en ligne, coaching d'affaires.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    L'autre jour, j'ai entendu fin d'année, fin du monde Et je ne peux pas m'empêcher de rire en le disant, parce que je trouve ça hyper drôle et assez caricatural de chaque fin d'année. Mais vous voyez ce que je veux dire. On voit partout sur les réseaux sociaux qu'il reste X jours avant 2025, qu'il faut se dépêcher de finir ci et ça. Et si c'est vrai au niveau des assurances à résilier ou des troisième piliers à souscrire, je ne comprends pas pourquoi on doit se mettre la pression à finir quoi que ce soit d'autre, parce que la fin d'année, ce n'est pas la fin du monde. Et souvent, ce rush de fin d'année, il va avec les bonnes résolutions du début d'année. Et dans cet épisode, j'aimerais un peu casser cette tendance pour vous parler du bon moment. Le bon moment pour commencer quelque chose de nouveau, mais aussi celui pour arrêter quelque chose, pour terminer une tâche, démarrer son business, mettre de l'ordre dans ses finances, etc. Donc l'objectif de cet épisode, c'est de vous montrer que le bon moment n'existe pas et que c'est grâce à cette philosophie-là que j'arrive à faire autant de choses et gagner maintenant. aussi bien ma vie. Alors let's go pour un petit mode d'emploi, Janice May. Bienvenue sur Coach ton budget et business, le podcast dédié à la thume et aussi au marketing et à l'entrepreneuriat en Suisse. Je suis Janice, formatrice en marketing et business digitaux, mais aussi mentor et créatrice de contenu dans la finance personnelle. Dans ce podcast, on parle argent pour s'éduquer, apprendre à le gérer et comment réaliser nos projets de vie avec. Important, très important, mettez une note à ce podcast si vous l'aimez. Et si vous l'aimez encore plus, vous pouvez vous abonner à l'amusateur et vous l'aurez dans votre boîte mail toutes les deux semaines. La note, ça m'aide à le faire connaître. Donc si vous avez envie de partager cet épisode à quelqu'un que vous pensez que ce sera monstre utile, partagez-lui cet épisode. C'est grâce à ça que j'arrive à développer cette envie d'éducation financière à travers la Suisse. Donc merci de le partager, merci de lui mettre une note. Merci beaucoup. Alors juste avant de déballer mes conseils, stratégies, tout ça, tout ça, j'avais commencé dans l'épisode dernier à vous reparler de ma formation Objectif 100% indépendant et rentable. Et j'ai eu... pas mal de questions concernant celle-ci, alors je vais vous dévoiler un petit peu plus à ce sujet-là. Concrètement, en septembre, j'ai organisé une première session de cette formation, c'était sur deux semaines, on a fait quatre lives, dont un surprise, on a abordé trois thèmes, se structurer, se rémunérer et se vendre sur un marché concurrentiel en tant qu'indépendant en Suisse. Il y avait 97 personnes qui ont participé, et en fait le but c'était aussi d'ouvrir les portes de Coach Ton Business derrière pour le mentorat privé. Là, les choses elles changent un tout petit peu, parce que dans le business, j'ai fait ce qu'on appelle une MVP. où j'ai proposé un produit à un prix cassé pour tester le marché et récolter des feedbacks. Ça a fonctionné. Là, je sors la vraie formation, 100% dépendant et rentable. C'est toujours les mêmes sujets, mais avec un objectif beaucoup plus précis que la première fois et surtout une formation bien plus aiguisée, mes chers amis. En gros, module 1, on structure ton activité pour bien démarrer. L'objectif, c'est d'avoir une bonne idée d'entreprise, définir sa niche, le public cible et la proposition de valeur unique. Si ce sont des termes un peu inconnus du bataillon, t'inquiète, il y aura tout qui sera expliqué dans la formation. Le module 2... c'est se vendre sur un marché concurrentiel. Donc l'objectif, c'est développer des compétences pour se rendre visible et attirer ses premiers clients, même dans un marché concurrentiel. Le module 3, c'est se rémunérer confortablement avec ton activité. Donc l'objectif, c'est poser les bases de la rentabilité en lançant une première offre et en proposant un service. Pour ceux qui veulent en rester là, c'est très très bien et je suis contente. Mais ceux qui veulent aller plus loin, vous avez deux mois pour activer un plan personnalisé. En fait, c'est un appel qu'on fait de 15 minutes qui est aussi une postulation à Coach Ton Business. C'est sans engagement, en fait, l'idée c'est qu'on travaille ensemble pour la suite. Donc le plan, il est personnalisé. Et si vous avez envie d'aller dans Coach ton business après, en fait, la formation 100% indépendant et rentable, elle est 100% remboursée. La question c'est à qui ça s'adresse ? La formation, en fait, elle est faite pour toutes les personnes qui rêvent de quitter le salariat pour se lancer à leur compte, mais qui ne savent pas forcément par où commencer ou comment s'assurer de vivre de leur activité. Donc en gros, c'est pour toi si tu veux devenir indépendant, mais que tu es perdu entre les démarches, les offres, la recherche de clients. C'est aussi pour toi si tu as une idée mais qu'elle n'est pas encore bien définie, que tu veux te lancer de manière structurée et efficace. Mais c'est aussi pour la personne qui est déjà en activité et qui fondamentalement a capté que ce n'est pas si facile que ça de se lancer. Donc c'est aussi pour toute personne qui rêve de cette liberté associée à l'entrepreneuriat et de pouvoir se rémunérer assez rapidement dès les premiers mois. Alors dès le 1er décembre, il va y avoir une pré-vente jusqu'au 14 janvier parce que la formation ouvre le 15 janvier. Donc ceux qui veulent profiter de la pré-vente aussi, elle sera. rembourser si vous voulez changer d'avis entre temps en mode en fait je veux plus de ta formation à la con ok c'est pas très grave il y aura un remboursement qui sera organisé jusqu'au 14 janvier et à partir du 15 janvier on rentre dans le vif du sujet. Bon assez parlé de ça de toute façon je en parlerai peut-être au cours de l'épisode parce que il y a toujours des liens entre ce que je raconte et ce que je enseigne et les gens que je m'entoure bien sûr dites moi juste si vous avez pas un peu ri quand j'ai dit fin d'année fin du monde non ? Ok y'a que moi que ça fait rire... Alors j'ai une petite question. Est-ce que vous vous arrêtez de respirer le 31 décembre à 23h59 ? Parce que moi pas. Alors je vais vous expliquer comment cet épisode il est né. En fait cette année avec Coach ton business, beaucoup de gens m'ont dit c'est pas encore le bon moment, je peux pas tout de suite, c'est pas pour moi maintenant. machin machin, il y en a qui étaient pire motivés et il y en a j'ai senti que en fait non c'était trop pour eux. Et si fondamentalement je suis la première à dire trust the timing of life et que j'ai saisi que dans le mentorat c'est hyper important, que la personne si elle n'est pas prête à se faire suivre, il n'y a pas de résultat, et bien j'ai observé que beaucoup de gens se cachent derrière la procrastination, la peur ou tout simplement le fait de ne pas savoir, ce qui les empêche aussi d'avancer. Donc cet épisode c'est un petit guide pour toute personne qui souhaiterait mettre en pratique ma philosophie de motivation. qui m'a permis d'avoir une certaine abondance dans mes résultats. Et quand je parle de résultats, je ne parle pas de succès, parce que j'estime qu'il est relatif aux attentes de chacun. En fait, pour certaines personnes, mes chiffres, ils sont OK. Et pour d'autres, ils sont Waouh, putain, meuf, t'as cartonné cette année ! Alors l'idée, ce n'est pas de juger, mais de se dire OK, si on se met au boulot maintenant, si on fait quelques petites actions maintenant, on a ça dans 3, 4, 5, 6 mois. Et pour ça, j'ai prévu d'aborder un petit peu de ma sphère privée, un petit peu de ma sphère pro. et les axes de développement à mettre en pratique. Parce que vous connaissez ce podcast, je vous donne toujours de quoi mettre en place les choses, de quoi vous mettre en action une fois que vous avez écouté les choses, et surtout de vous motiver à vivre votre vie pleinement au final. Alors au début, soyons un petit peu clairs. J'aimerais qu'on évoque les raisons pour lesquelles vous ne passez pas à l'action dans votre vie, et vous vous cachez derrière un certain c'est pas le bon moment Évidemment, c'est pas exhaustif, mais c'est assez réaliste. Le premier que je détecte, c'est... la peur de l'échec. En fait, vous avez peur de ne pas réussir, d'être jugé par les autres, ou par vous-même en fait, et l'échec c'est plutôt perçu comme une fin. Donc l'échec c'est la fin, ça s'arrête. Alors qu'en vrai, quand on est dans l'entrepreneuriat, l'échec ça arrive très souvent, et c'est pas une fin, c'est un apprentissage. Je sais pas comment vous le dire d'une manière différente pour pas que ça fasse cliché en mode, you don't fail, you learn. Je veux pas faire un petit peu la meuf comme ça, mais je veux vraiment vous montrer que... Dans l'entrepreneuriat, quand on a un échec, quand on n'arrive pas au bout de quelque chose, en fait ça nous permet de pivoter et de faire autre chose. Donc en fait, les gens qui ont peur de l'échec, souvent, ils préfèrent rester dans leur zone de confort, là où il n'y a pas de risque de perdre quoi que ce soit. D'ailleurs, j'avais déjà fait un épisode sur les risques. Est-ce que c'est risqué de gagner de l'argent ? Ou je ne sais plus comment je l'avais appelé, mais c'était à peu près ça l'épisode, vous pouvez aller voir, il est un petit peu plus bas. Ce que vous devez comprendre, c'est que l'échec, vraiment, il fait partie du processus du succès. Parce que chaque erreur va vous amener un peu plus proche de l'opportunité de réussir. La deuxième chose, c'est qu'on a le syndrome de l'imposteur. Souvent, on pense qu'on n'est pas légitime, qu'on n'a pas assez de compétences, qu'on ne mérite pas de réussir et on repousse les projets et on attend de se sentir prêt. La vérité avec le syndrome de l'imposteur, c'est que tant que vous ne pratiquez pas, vous ne gagnez pas de compétences. Et tant que vous n'avancez pas aussi, tant que vous ne vous positionnez pas en tant que telle et telle personne sur votre marché, forcément, vous ne pouvez pas sortir de cette sensation d'imposteur. Moi, je l'ai encore parfois. Mais plus j'avance, plus je vois des gens, plus je me rends compte que je les aide et que j'ai vraiment une plus-value, moi j'ai ce sentiment-là. Je pense que souvent les gens sont au courant qu'ils ont un syndrome de l'imposteur, qu'ils ont la peur de l'échec, qu'ils sont perfectionnistes, etc. Mais il y a un truc qu'ils ne réalisent pas, c'est que le manque de clarté, ça les empêche d'avancer. Souvent, si c'est votre cas, vous savez de quoi je parle, c'est que vous ne savez pas par où commencer, vous n'avez pas de vision claire, vous ne savez pas où vous allez. Et sans ça... vous êtes perdu et vous ne faites rien. Et ça, je comprends tout à fait. C'est pour ça que c'est bien de se faire accompagner dans ce genre de cas, parce qu'une personne qui vous accompagne, elle a un regard externe, elle peut vous dire, bah là, il faut faire ça, ça, ça, ça. Mais on en reparlera aussi plus tard. Ensuite, j'en ai parlé juste à l'instant, c'est le perfectionnisme. Ça, je comprends aussi, c'est que tout doit être parfait avant de se lancer. Le plan parfait, le timing parfait, les ressources parfaites. Et souvent... ben vous êtes tout autant paralysé parce que vous passez beaucoup beaucoup de temps à regarder qu'est ce qu'il faut faire, comment il faut faire pour que ce soit tout parfait à vous de vous lancer. J'aime que ce soit super bien pensé et réfléchi mais honnêtement parfois il y a un truc très connu c'est mieux vaut fait que parfait. Ensuite il y a la fameuse procrastination et la procrastination souvent c'est lié à la première raison que j'ai cité c'est que on remet tout à plus tard parce qu'on a peur, parce qu'on n'a pas de motivation et surtout parce qu'on est dans une zone de confort donc On se dit qu'on agira quand on aura un peu plus de temps, plus d'énergie, etc. Et finalement, en fait, on accumule souvent plus de stress qu'autre chose, et on finit par jamais, jamais le faire. Et ça, c'est un peu le titre de cet épisode, enfin, c'est un peu ce que je vais vous montrer, c'est que le moment parfait, il n'existe pas. Le but, c'est de commencer, même si c'est un petit pas, et on va en parler dans cet épisode. Ensuite, il y a bien évidemment le manque de confiance en soi, on a peur, on doute, voilà, ça on connaît, hein. Mais de nouveau, c'est un peu lié à ce que j'ai dit avant, le syndrome de l'imposteur, c'est que plus vous allez pratiquer, plus ça va partir. Je peux aussi parler de De l'environnement qui est limité, donc souvent c'est les gens qui vous découragent, qui vous soutiennent pas, on est bloqué parce qu'on doute de nos ambitions, c'est pas cool, mais c'est aussi un facteur. Et il y a aussi beaucoup de gens qui sont concernés par la peur du changement, mais je pense que quand on veut se lancer dans l'entrepreneuriat ou dans un projet d'investissement, ou on veut changer sa vie en général, c'est pas forcément ça le plus gros facteur. Mais il est là quand même. Ensuite, la dernière raison, je dirais que c'est l'absence de motivation. On a des objectifs qui sont pas vraiment, vraiment, je déteste ce mot mais je vais l'utiliser là, ils sont pas vraiment alignés avec nos valeurs et nos désirs. Alors je vais citer un exemple qui a rien à voir avec l'entrepreneuriat mais quand on est jeune, on se dit ouais je vais aller en banque parce que c'est simple, je vais gagner beaucoup d'argent etc. Ou je vais faire avocat, je vais faire des études de droit, c'est assez commun ça. Et en fait souvent on se lance dans ces études et puis on se dit mais en fait pas du tout pour moi quoi, c'est pas du tout ce que je veux faire dans ma vie, moi je suis une artiste machin etc. Bah ça arrive très souvent. En fait idéalement... toutes les raisons que j'ai citées au-dessus, vous devez savoir ce qui vous bloque. Vous devez un petit peu connaître, vous devez un peu mettre le doigt sur Ok, moi j'ai peur de ça, moi j'ai ci, moi j'ai ça. Vous devez connaître pour faire un travail d'introspection qui fait que vous savez ce qui vous bloque et qu'à chaque fois que vous devez avancer, vous savez quoi attaquer pour enlever une barrière. Et ça, honnêtement, je pense que c'est... Enfin, je ne suis pas coach en développement personnel, on s'entend, mais je pense que c'est 80% du job qui est déjà fait. Et ensuite, on peut passer à la partie... motivation. Et là, la première chose que j'ai à vous raconter, c'est que chaque année, en général, c'est vers la fin d'année parce que tout le monde est en mode rétrospective, machin, machin. Moi, je fais un vision board, vision board, tableau de visualisation, et je m'imagine ce qui va se passer. On reviendra à la fin sur l'histoire du vision board parce que je vais vous expliquer comment est-ce qu'on fait un bon vision board. Ce qu'il faut savoir, c'est que cette année, donc fin 2023, début 2024, on va dire, comme j'avais vécu... Quand même pas mal de choses au boulot, que j'avais été très stressée, que j'étais malade, etc. Moi j'avais envie que 2024 ce soit une année de paix, être confortable dans ma vie, être débarrassée de tout tracas. Alors certes quand on se lance dans l'entrepreneuriat c'est pas exactement ça qu'on a, mais j'ai opéré des changements, dont mon déménagement en Valais, qui ont vraiment fait que j'ai ressenti cette paix, j'ai ressenti ce confort, j'ai ressenti tout ça. Et ça m'a vraiment aidée derrière à développer mon entreprise et à développer mon activité entrepreneuriale. Donc l'un sans l'autre, ça n'aurait pas été possible, je pense. En tout cas, je ne me serais pas vue vivre tout ce que j'ai vécu cette année-là à Lausanne. Ça aurait été complètement différent. Donc pour ceux qui débarquent, avant j'habitais à Lausanne et je travaillais à Neuchâtel. En tout cas pendant à peu près trois ans. Non, deux ans, je ne sais plus. J'ai travaillé aussi sur Genève. En fait, je faisais tout le temps des trajets. J'avais des bons jobs, mais je faisais tout le temps des trajets. Et ça m'a vraiment épuisée, surtout que... Moi je me donne pas à moitié dans quelque chose, je me donne à fond, et du coup ça me puise beaucoup d'énergie quand je fais quelque chose, que ce soit en tant que salarié ou maintenant dans ma boîte. Et surtout, j'ai rencontré quelqu'un l'année dernière qui fait que ça faisait sens que moi je vienne en Valais plutôt que lui vienne sur Vaud. In fine, on s'est retrouvés en Valais, et franchement ça a été la meilleure décision de ma vie. En gros, le Valais ça m'a apporté, ben non seulement, j'en ai parlé beaucoup dans les épisodes, et d'ailleurs je vous ai un peu caché la raison pour laquelle j'étais venue en Valais, mais en fait ça m'a... amené beaucoup d'avantages, déjà au niveau financier, parce que le valet c'est quand même moins cher, le loyer, l'assurance maladie, j'ai aussi économisé beaucoup sur les trajets, vu que j'avais plus besoin d'un AG, bon, il y a la voiture, mais ça c'était une autre question, mais vraiment j'ai économisé beaucoup d'argent en venant en valet, et surtout, je sais que c'est débile, mais le fait de ne plus avoir à manger à midi dehors tout le temps, ou de devoir préparer tout ça, j'ai gagné beaucoup beaucoup de temps, et j'ai gagné de l'argent. Donc déménager en valet, ça m'a apporté un apaisement vraiment de ouf. Surtout quand tu as ton bureau qui est en dessous, donc tu n'as pas besoin de faire des trajets. Les autres trajets que je faisais, c'était parfois pour descendration ou c'est parfois pour descendration quand je travaille de puissance. Parce que ça m'arrive, en fait, ça me fait changer un peu d'endroit. Donc finalement, j'ai quoi ? J'ai 15 minutes de route. C'est rien du tout par rapport à avant. Alors, je ne dis pas que c'est une solution. Je vous explique juste, moi, ce que j'ai fait, en fait, cette année pour que ça arrive. Parce que je vous ai parlé de la sphère privée. Ça, c'est un des éléments qui a fait que vraiment, j'ai pu être focus sur mon activité entrepreneuriale et accomplir beaucoup, beaucoup de choses. Ensuite, la deuxième chose qui fait partie de ma vie depuis adolescente, c'est-à-dire que le sport chez moi, ce n'est pas une lubie. C'est-à-dire que le sport fait partie de ma vie intégrante depuis que j'ai 12-13 ans. Et même avant, je faisais de l'équitation, je faisais de la natation, etc. Donc vraiment, toute ma vie, j'ai fait du sport. Les sports que je pratique, principalement, c'est le trail. Maintenant, le trail exclusivement parce que vu là où j'habite, je n'ai plus trop la possibilité d'aller juste courir parce que dès que je fais 500 mètres, j'ai forcément 200-300 mètres de dénivelé positif à faire. Mais avant je faisais beaucoup beaucoup de courses à pied en ville et ça a toujours été mon sport principal. Ça m'arrive de faire de temps en temps encore du tennis et j'ai repris l'équitation aussi donc je fais pas mal d'équitation. Et après pour vraiment le soutien, l'entretien tout ça, finalement je vais faire du fitness. Moi j'appelle pas ça vraiment un sport que je fais parce que c'est pas mon truc principal mais je kiffe bien faire du fitness. Et en fait d'avoir le sport omniprésent dans ma vie... Ce qui fait que je passe à peu près, je dirais en moyenne, je passe... 30 à 1 heure par jour à faire du sport. Ça peut être aller faire de la marche, aller courir, aller monter à cheval, aller faire du fitness. Je passe vraiment beaucoup de temps à faire du sport et ça je dirais que ça m'aère énormément l'esprit et ça nourrit énormément les idées que j'ai. C'est à dire que parfois je vais marcher, parfois je vais courir et tout d'un coup, ça pop dans ma tête. Et je pense que vous avez déjà eu ça, vous êtes sous la douche, vous êtes en train de faire un peu une activité autre et tout d'un coup vous avez des idées de génie. Moi c'est ça qui m'aide à pondre autant d'idées et parfois je vais penser à un client, parfois je vais penser à quelqu'un et je vais dire putain non... ça c'est une bonne idée pour cette personne et genre je vais lui faire un vocal, je vais lui dire putain j'ai pensé à toi j'ai fait ci et ça, et je pense que mes clients ils doivent trouver ça drôle parfois parce qu'ils reçoivent un message random de moi en mode putain j'ai une idée pour toi mais j'adore ça, et ensuite la troisième chose c'est que je vous parle beaucoup de thunes dans ce podcast, ça aussi ça fait partie d'un de mes conforts de vie, c'est que j'ai toujours en place mon épargne mes investissements et c'est ce qui fait que j'ai toujours toujours un coussin de sécurité et ça quand vous êtes entrepreneur c'est super important... Parce que ça vous évite d'avoir peur, en fait, à chaque fois qu'il y a un truc qui se passe. C'est-à-dire que vous avez moins de clients, vous avez moins de revenus, vous avez un chômage, je ne sais pas quoi. Le coussin de sécurité financière, franchement, c'est la base, les gars. Et ça, ça m'a énormément aidée à être sereine cette année. C'est-à-dire que si un client, il ne signe pas. Si un client, il me dit, non, mais en fait, ce n'est pas pour moi là maintenant. Ce n'est pas grave, en fait. Je ne vais pas dépendre de ton argent, je ne dépends pas de toi. Ça, c'est super important pour l'apaisement. Et puis pour ne pas être dans la course, dans la rat race, bon la rat race c'est pas exactement ça la définition, mais vous n'êtes pas dans une course tout le temps à trouver des clients parce que financièrement, et ben c'est correct. Alors certes, moi j'ai une escalade des revenus qui est incroyable, donc finalement c'est plus trop ça, mais à toute personne qui galère financièrement, que ce qu'il soit salarié ou entrepreneur, le coussin de sécurité c'est le B à bas. Et ce que j'enseigne aussi beaucoup dans Coach ton business, et même dans tout ce que je dis en général, c'est qu'au début de votre activité, Vous devez être capable de constituer un coussin de sécurité, ou en tout cas de démarrer avec un coussin de sécurité qui va vous permettre de développer vos activités sereinement. C'est super important. Et si ce n'est pas le cas, il faut mettre en place des stratégies de rémunération et des stratégies aussi de paiement, de tout ça, qui font que finalement vous êtes armé face à des clients qui ne vont peut-être pas payer, qui vont peut-être refuser, qui ne vont pas venir avec vous, etc. Bref, tout ça c'est dans Coach ton business, je ne vais pas m'étaler là-dessus maintenant. Donc voilà, moi c'est un peu les trois trucs principaux, je vous ai pas parlé de mes relations personnelles avec mes amis, etc, ma famille, tout ça, parce que c'est aussi, ça fait partie aussi du deal, mais je dirais que les trois éléments principaux qui m'ont aidé à faire beaucoup de choses cette année et gagner de l'argent et avoir des bons résultats, c'est vraiment être en paix, être tranquille, faire du sport pour m'aérer la tête et toujours toujours bien faire en sorte que financièrement je sois confortable pour pouvoir prendre des décisions et pour aller de l'avant. Maintenant par rapport à la sphère... professionnelle. Donc vous savez, si vous écoutez mon podcast, vous connaissez ma... Vous connaissez mon bis, quoi. Vous connaissez tout ce que je fais. J'en parle de manière très transparente. Je suis extrêmement honnête avec tout ce que je dis. En fait, mon but cette année, c'était vraiment d'avoir la SARL. Et spoiler, ça a été dur de l'ouvrir, mais bon, ça y est, on arrive au bout. Alors, je vais vous raconter une petite histoire. En fait, toute cette année, c'était vraiment je veux ma SARL, je veux ma SARL, je veux être employée, je veux être employée. Et quand j'ai fait toutes les démarches, Ça coûte de l'argent d'ouvrir une SARL quand même. Vous avez le notaire, l'inscription au RRC. Puis après derrière, si vous voulez vous verser un salaire, donc être l'employé de votre société, il y a toutes les charges associées. Donc les assurances obligatoires, assurances sociales, mais il y a aussi tout ce qui est LPP, etc. Et derrière, il y a encore tout ce qui n'est pas obligatoire, mais que vous devez faire si vous voulez vous protéger. Et c'est toute la différence avec quelqu'un qui est en réseau individuel et quelqu'un qui est dans sa SARL employée. En réseau individuel, en général, vous devez souscrire quand même pas mal d'assurances également pour être protégé. Un indépendant, il est clairement moins protégé techniquement parlant que quelqu'un qui est en SARL. Et c'est toute la différence, c'est que souvent les indépendants, ils sont en mode économie d'argent parce que vous n'avez pas les revenus en général qu'on a dans une grosse société. Je dis bien en général, il y a des exceptions. L'indépendant, en fait, il doit bien comprendre qu'une bonne prévoyance, mais pas que la prévoyance, des bonnes assurances, c'est super important s'il lui arrive quoi que ce soit. Et en arrivant à ce bout, en étant dans toute la... des assurances et tout, tout d'un coup, ça m'a fait tilt, je me suis dit putain, c'est quand même beaucoup d'argent. C'est-à-dire qu'il faut s'assurer quand même un beau revenu, alors certes c'est proportionnel après au revenu qu'on se paye, etc. Mais ça m'a fait revenir à mon objectif de base, c'est-à-dire que l'année dernière, quand j'ai lancé mon side business, je voulais être plus confortable financièrement, mais ça ne voulait pas dire avoir plus de fric pour le claquer, ça voulait dire vraiment constituer mon coussin de sécurité, constituer ma prévoyance, constituer en fait ce qui allait me permettre de m'enrichir. Et en fait... Cette société, c'est ça. C'est utiliser ma société dans ma prévoyance, faire tout à ma sauce, mieux me rémunérer, être libre dans ma gestion pro, ne pas avoir d'heures, tout ça, tout ça. C'était ça. C'est pour ça que je voulais une société, entre autres. Donc effectivement, quand j'ai été, il faut payer ça, ça, ça, tel pourcentage, il faut prendre quand même des décisions de se dire, je me rémunère à tant et tant de pourcents, il faut réfléchir aussi si un jour j'ai des employés, comment est-ce que ça va se passer, machin, machin. Bref, on ne va pas parler de ça dans cet épisode, mais c'est quand même beaucoup, beaucoup de décisions à prendre qui impactent financièrement et les dépenses de l'entreprise et vos revenus à vous. Donc à toute personne qui se lance là-dedans. il y a des décisions à prendre au bout d'un moment qui sont assez importantes. Et moi, vraiment, arrivé à ce moment-là, j'ai eu ce truc de Ouf, c'est bon, elle est là, mais ouf, il y a toutes ces assurances. Il y a tous ces trucs à prendre, il y a tous ces trucs à réfléchir. Et là, je me suis dit Bah, tu voulais la SARL, mais en fait, tu la voulais pour toi, pour pouvoir prendre tes décisions à toi. Et ce qui est aussi très important, c'est qu'il ne faut pas se leurrer. Utiliser sa boîte pour sa prévoyance de la manière dont je vous le parle, il faut quand même générer des revenus. Vous ne pouvez pas vous dire Moi, je veux ma boîte juste pour ça. Vous devez quand même avoir un business model et un plan derrière qui est quand même... rodée ou qui va vous permettre d'avoir assez de ressources pour atteindre ces objectifs là et pas vous retrouver en fait avec moins qu'avant quand vous étiez salarié c'est parce qu'on veut moment challenge c'est qu'en tant que salarié j'avais quand même un très très bon salaire donc il faut fallait monter la barre haut pour se dire ben voilà faut certes taffer surtout la première année mais ça va être super intéressant après au niveau retour au niveau prévoyance etc après je ne vous cache pas que quand on est dans l'entrepreneuriat et quand on veut développer quelque chose comme ce dont je vous parle Eh ben, faut avoir des sacrées couilles et faut être bien motivée et faut avoir des bons outils, faut avoir des bonnes méthodes. Mais bon, on est on track. Ça c'est une partie de ce que je voulais au niveau professionnel, mais surtout, je voulais trouver ce que j'aime faire dans ma vie et l'utiliser comme moyen de rémunération. Et là je vous parle pas de l'ikigai parce que c'est un peu ça, mais voilà, c'était ça, c'était me dire, Janice, je veux que tous les jours de ta vie ce soit un gros kiff parce que tu kiffes tes clients, tu kiffes ce que tu fais, tu... Là on est quoi, on est en novembre quand j'enregistre cet épisode ? Novembre 2024 ? franchement je me suis jamais aussi sentie pleine d'énergie à l'idée de mentorer des gens dans leur projet de vie dans leur projet entrepreneurial et là je me dis vraiment putain je kiffe faire ça et je vois parfois je suis en séance avec des clients des élèves, souvent vous m'entendez parler clients élèves, un peu la même chose, j'aime bien dire élèves parce que ça les met au rang d'apprentis et de se dire on apprend pour se sortir les pouces du cul parfois je passe plus de temps, parfois on arrive à au lieu de faire 30 minutes, 40 minutes de séance, on arrive à une heure et je sens qu'ils sont un peu là genre punaise je suis en train de lui bouffer des temps... Mais non, en fait, moi, je kiffe. Tant qu'on n'a pas défini de stratégie claire, tant qu'on n'est pas arrivé au bout de l'objectif de la session, moi, je continue. Tant que je n'ai pas tous les éléments qu'il me faut pour répondre aux questions, pour faire le plan, je continue. Et après, pareil, il y a tout le soutien que je fais derrière, par WhatsApp, où je suis là, où j'essaye d'un maximum... Après, j'ai quand même beaucoup d'élèves, donc je ne peux pas faire ça à foison. Mais j'ai toujours une pensée, pour les élèves que je mentor, quand je vois qu'ils sont dans une situation où je me dis, tiens... Il a besoin d'un petit coup de pouce, un petit message, un petit audio, un petit truc. Ça, ça coûte rien. Et franchement, moi, je kiffe faire ça. Et je kiffe être cette personne-là pour se dire, ils ont un poteau là, au milieu de l'océan, sur lequel ils peuvent s'accrocher. Bon, pour revenir à cette histoire de se faire professionnel. Parce que je vous ai dit résultat, résultat, résultat. Moi, dans ce que je voulais faire cette année, il y avait quand même un objectif de croissance de l'entreprise. Et cette croissance, elle a eu lieu. C'est-à-dire qu'il y a une croissance des followers. Parce que je rappelle, il y a une année, c'est-à-dire en novembre... D'ailleurs, j'ai des captures d'écran encore. J'ai fait le tri dans mes captures d'écran. Il y a une année, j'avais 1100 abonnés sur Instagram. Aujourd'hui, on arrive sur 9000. Je sais que c'est du chichi, les followers, ça ne veut rien dire. Mais quand même, j'ai réussi à réunir 9000 personnes qui sont intéressées à mettre en place des stratégies pour leurs finances ou des stratégies pour leur business, pour leur projet entrepreneurial. En Suisse, je ne suis pas en train de taper sur le marché français. Je suis en train de taper sur un marché qui est restreint, c'est-à-dire... qu'on est peut-être 6 millions en Suisse, je ne sais plus. Les francophones, il n'y en a pas 6 millions, il y en a beaucoup moins. Donc je suis en train de taper sur un marché qui est beaucoup plus restreint que la France, qui est en train de naître, mais qui est quand même plus en retard par rapport à la France à ce niveau-là. Je parle vraiment entrepreneuriel indépendant. Je ne parle pas de tout ce qui est start-up, innovation, etc. parce que c'est différent. C'est un marché qui est totalement différent. Moi, je suis vraiment plus calée sur les indépendants en Suisse. C'est ça la différence. Donc je me dis, j'ai touché, j'ai mis le doigt sur vraiment une audience qui a besoin. de cette aide pour trouver des clients, pour se rémunérer, etc. Donc, dans mes objectifs cette année, il y avait la croissance de l'entreprise, tant au niveau prospect, client, etc. Et je ne vous cache pas que ça a pris vraiment de l'ampleur, et là, en cette fin d'année, je sens qu'il y a eu des paliers. Il y a vraiment des moments où ça faisait, hop, ding, boum. Après, petit plateau, hop, ding, boum. Ça remonte, petit plateau, hop, ça boume, petit plateau, etc. Cette année, il y a clairement eu ça. Et les moments un peu plateaux, c'était des moments où soit tu doutes, où tu te dis, putain, merde, pourquoi ça n'avance pas comme avant ? soit tu prends le temps de respirer parce que putain quand ça monte, ça monte et c'est fort. Donc aussi au niveau produit, j'ai développé vraiment deux produits cette année, c'était Coach ton business, donc le mentorat, mais derrière comme j'avais trop de demandes, j'ai dû développer un autre produit qui me permettait d'onboard plus de gens et surtout que les gens se rendent compte que c'est un produit qui est très bien, et Je me demande s'ils ont envie de bosser ou pas avec moi après, ou s'ils ont envie de passer à la suite. Et ça, c'était Objectif 100% Indépendant et Rentable que j'ai organisé en septembre. Ça, ça a été un gros succès. Franchement, 100%, je l'appelle 100% IER, ça a été un gros succès, c'était vraiment chouette. Mais derrière, j'ai senti qu'il n'y avait pas assez de passage à l'action. C'est-à-dire que je voulais vraiment que les gens sortent de ça et se disent, avec Janice, en formation, j'ai accompli Je connais mon public cible, je sais que mon idée elle est viable, j'ai un objectif financier, j'ai mis tout ça en place. Soit j'avance tout seul et je continue, soit j'avance avec elle et on passe en mentorat. Moi je voulais vraiment ça. Et c'est ce que j'ai développé maintenant avec 100% indépendant et rentable qui sortira du coup, enfin la pré-vente elle sera en décembre mais qui sortira vraiment le 15 janvier. Moi je voulais vraiment du passage à l'action. Qu'on se sorte les pouces du cul et qu'on se dise ok cette année j'ai un projet entrepreneurial. Ben cette formation là c'est vraiment the outil pour... sortir ce truc. Et c'est un petit investissement, je vous dis, c'est un petit investissement. Quand on a besoin, quand on ne sait pas comment avancer, vous avez la démarche claire, nette et précise sur ce que vous devez mettre en place pour commencer. C'est pas autre chose. J'ai vu assez de personnes cette année, j'ai fait assez d'études de cas dans mes études, j'ai vu assez d'entreprises, j'ai travaillé dans assez d'entreprises pour vous dire que quand on lance une entreprise, il n'y a pas mille manières de commencer. D'avoir une structure claire et établie, même quand on veut devenir indépendant, masseur, thérapeute, je sais pas quoi. Commencer par là, ça vous donne des bases hyper solides dans votre pratique. Et à ceux qui sont déjà lancés et qui galèrent, de repasser par là, c'est hyper puissant. Vraiment, je vous dis, parce que je suis aussi souvent des gens qui, ça fait 3-4 ans qu'ils sont dans leur business, et ils se rendent compte que c'est pas facile, ça stagne, ça stagne, j'arrive pas à avoir plus de clients, j'arrive pas à en vivre, etc. De repasser par là, ils sont là genre, en fait... méga puissants tes outils, méga puissants de se poser les bonnes questions de se repositionner de faire une vraie étude, de se dire ok méga puissant et en fait après ils prennent beaucoup beaucoup de valeur dans leur métier ils arrivent à être beaucoup plus puissants dans ce qu'ils font dans leur force de frappe et ils éclatent tout et moi c'est ce que je veux donc voilà il y avait deux produits et en fait à côté de ça moi je fais quand même beaucoup beaucoup de contenu sur les réseaux sociaux, le podcast tout ça tout ça donc finalement je passe beaucoup de temps à faire du contenu, ça c'est une grosse partie de mon temps mais je kiffe et il y a encore à côté mes consulting, donc vraiment entreprise, grosse entreprise, et il y a l'influence que je vais progressivement, je pense, quitter à partir de l'année prochaine parce que je me sens plus du tout alignée avec TikTok, j'ai du mal à faire du bon contenu sur TikTok. Même si je sais qu'il y a beaucoup de monde qui me suit, franchement, ça devient difficile pour moi d'avoir de la valeur. Donc je vais encore... tester je pense en 2025, je vais prendre une consultante spécialisée dans TikTok pour m'aider à faire du nouveau contenu et du contenu frais parce que j'ai quand même envie de donner un dernier shot mais honnêtement tout ce qui est influence partenariat franchement je vais pas continuer. Voilà alors une de mes stratégies cette année pour faire autant de choses c'est que il faut bien comprendre que dans le business si vous voulez survivre il faut lancer des nouveaux produits lancer des nouveaux services ou alors vous diversifier ou alors faire en sorte que vos clients rachètent ou alors enfin bref il y a mille et une techniques je vais pas les énoncer là... Mais en gros, j'ai à chaque fois lancé des nouveaux produits, j'ai relancé, puis surtout j'ai mis au goût du jour la formation Coach Ton Business pour qu'elle soit toujours attractive et qu'on se dise Putain, moi je veux aller bosser avec elle, c'est trop bien ! Et pour ça, ce que je vous conseille, c'est de toujours tester en MVP, c'est-à-dire Minimum Viable Product, avant d'investir massivement ou avant de vous lancer corpsième. Vous démarrez avec un produit minimum, vous démarrez, vous testez, vous regardez. On n'est pas sur de la recherche de volume, on n'est pas sur de la recherche de méga, méga maximisation du profit à la base. Vous démarrez petit et vous tentez comme ça. C'est ce que j'ai fait avec un 100% indépendant et rentable, ça a super bien marché. C'est ce que je vous conseille de faire et d'ailleurs c'est ce que vous allez pouvoir tester et pouvoir faire dans 100% indépendant et rentable, dans la nouvelle version. Ensuite, je vous parlais de trouver ce que j'aime faire. Le fait d'être dans une activité professionnelle que j'ai designée moi-même. Tout ce que je fais, c'est moi qui l'imagine, etc. Évidemment. Il y a de l'inspiration, il y a de la recherche, etc. Voilà, ça vient pas, ça poppe pas tout seul dans ma tête. Enfin, certains trucs. Tout ce que je fais, j'essaye un maximum d'être en lien avec moi ce que j'aime. C'est-à-dire que, je vous parlais d'influence là, il y a deux secondes. L'influence pour moi, c'est compliqué parce que parfois, je sais pas, j'ai ce truc où je me dis, j'ai peur de décevoir. Et ça m'arrive aussi avec mes clients, j'ai peur de décevoir, bien sûr. Mais plus j'ai ce gut feeling où je me dis, j'ai vraiment pas envie d'avancer avec eux, plus je me dis... that's not what you should do, c'est pas ce que tu devrais faire. Et du coup cette année j'ai beaucoup beaucoup réfléchi à chaque étape, d'ailleurs c'était aussi dans ce sens là que j'avais lancé Coach Ton Business c'est que Coach Ton Budget j'avais pas suivi les gens one to one et je voulais le faire d'un point de vue entrepreneurial. Donc c'est pour ça qu'il y a des séances de mentorat privé dans Coach Ton Business. Et ça, sans passer à l'action, sans faire, sans tester, sans être dans le doing, vous ne saurez pas. Vraiment. C'est quelque chose. Et moi c'était vraiment une recherche, une quête que j'ai fait cette année, c'était savoir ce que j'aime faire. Et c'est aussi C'est pour ça que j'ai fait autant de choses. Parce que je voulais voir, j'ai testé... Alors, je vous parlais du consulting, de l'influence, de coach ton business, de 100% dépendance et rentable. J'ai testé à chaque fois plein de choses. Mais aussi au niveau de création de contenu. Je veux dire, si j'ai fait des vidéos YouTube cette année, j'ai vite arrêté parce qu'en fait, ça prend trop de temps et c'est pas du tout ce que je veux faire. J'ai tenté des formes de reel, j'ai tenté des trucs sur TikTok, j'ai tenté... Ou en podcast, j'aurais ça assez safe, on va dire, mais j'ai tenté des trucs. J'ai tenté des trucs parce que je voulais voir ce que j'aimais faire et je voulais voir ce qui fonctionnait. parce que bien sûr ce que vous aimez faire ça doit aussi vous apporter une forme de résultat sinon vous pédalez dans le vide surtout au début de votre activité. Et ça c'était vraiment un gros challenge cette année et là j'arrive à la fin d'année 2024 et réellement non seulement je peux dire ce que j'aime vraiment faire dans mon activité professionnelle mais je peux aussi guider quelqu'un et lui poser les bonnes questions pour se dire ok ça en fait j'aime. Et d'ailleurs l'autre jour il y a une fille qui est venue m'aborder après un event et qui me dit bah moi en fait je peux tout faire. Du coup je sais pas quoi faire parce que je peux tout faire. Et là, je me suis rendu compte que c'était moi aussi, il y a quelques mois. Que j'étais aussi dans ce truc, mais moi, au niveau entrepreneurial, je peux tout faire avec toi. Et finalement, au fur et à mesure du temps, je me suis quand même spécifiée, je me suis quand même dit, non mais en fait, ça j'aime faire, ça j'aime moins faire. Et moi, c'est ce qui m'a aidée, c'est pratiquer. C'est faire, faire, faire, faire. Donc si vous êtes dans un cas où en mode, vous êtes là, je sais pas quoi faire, faire, ça vous aidera à vous déterminer. Et si vous n'êtes pas encore dans le faire, un gros tip que j'ai à vous donner, c'est de vous former, c'est d'apprendre. c'est d'écouter des podcasts comme le mien, de regarder des vidéos, d'apprendre des formations. Mais finalement, la formation, elle a un super bon marché devant elle parce que vous pouvez être sceptique avec la formation en ligne. Je comprends, il y a beaucoup de gens qui ont vendu de la merde et moi ça m'arrive, j'achète tout le temps des formations en ligne. Je vous dis, je suis une très bonne cliente des formations en ligne. Parfois, je paye pour des formations en ligne et je me dis, j'ai rien appris, fais chier. Mais c'est parce que si, j'en fais beaucoup. Mais ça c'est un mauvais côté. Mais un bon côté de la formation en ligne, de prendre des petites formations à droite à gauche, des trucs à 100 balles comme ça, vous allez apprendre beaucoup de choses et vous allez pouvoir déterminer ce que vous aimez faire et ce que vous n'aimez pas faire. Donc finalement si vous achetez une formation et que vous n'aimez pas ce que vous avez fait dedans, mais c'est pas grave, vous n'avez pas fait un cursus universitaire de 5 ans en vous disant putain j'ai pas aimé mes études. Au pire vous avez claqué 100 balles et c'est tout, c'est fini, point barre. Mais par contre, au mieux, vous avez trouvé un truc que vous avez dit, j'ai mis le doigt sur quelque chose, c'est ouf. Donc c'est ça ce que je vous invite à faire. Vraiment, d'un point de vue et personnel et professionnel, c'est de continuer de vous former, d'apprendre et de faire. Et moi, un truc aussi que j'ai vraiment appris cette année, c'est que j'adore former et j'adore faire apprendre. J'adore mentorer. J'adore... En fait, c'est pas un truc d'ego. C'est pas de dire Ouais, moi, je suis trop la best, je sais tout faire, je peux t'apprendre. C'est pas du tout ça ce que je veux dire. C'est vraiment de comprendre que j'ai les outils et d'analyser la situation avec les gens. Et de leur dire, ok, moi je vois ça, ça, ça, ça. J'ai pas toujours tout juste, hein. Parfois, je cible mal, parfois j'entends mal un besoin, j'entends mal une volonté, et du coup, je suis pas bien, voilà, ça arrive. Mais je demande toujours à la personne de m'indiquer si c'est correct ou pas. Et en général, ça l'est. Bon, ça c'était pour la partie professionnelle. Si je peux résumer, en fait, pour vous expliquer un petit peu la trame, pour continuer d'être dans la trame de cet épisode, parce que l'objectif, c'est quand même de vous montrer qu'il n'y a pas de bon moment, et que c'est le passage à l'action, les tests et les petits pas qui vont vous faire avancer. Pour vous résumer un petit peu ce que je vous ai dit jusqu'à maintenant et pour passer à la suite de cet épisode, c'est que dans l'aspect privé, j'ai aménagé, vraiment j'ai aménagé un environnement propice pour le passage à l'action. Je me suis apaisée, j'ai aménagé un environnement calme et serein, j'ai continué de faire des choses que j'aimais, j'ai continué de me mettre à l'abri et en sécurité pour pouvoir vraiment être dans un espace serein. Je sais que c'est pas toujours possible pour tout le monde de faire ça. Quand on a des enfants, quand on a une situation financière qui est délicate, je sais, je sais. Ne venez pas m'attaquer pour ça, je sais. En revanche, on peut tout faire pour faire en sorte que ce soit le cas. Et si ce n'est pas possible maintenant, faites en sorte d'adopter un autre mot bullshit tel qu'alignement, c'est la résilience. Adoptez de la résilience temporaire pour vous mettre bien et pour vous dire, ok, je fais ça maintenant, je fais ce petit truc maintenant, mais plus tard, je serai mieux. Et vous mettre des objectifs, vous mettre des deadlines, vous faire avancer chaque petit pas après petit pas pour que ce soit le cas. Et ensuite, au niveau professionnel, ce que j'ai essayé de vous dire, c'est que j'avais des gros objectifs, c'est-à-dire que j'avais un objectif de croissance, mais j'avais aussi un objectif de développement personnel et professionnel, c'est-à-dire que je voulais que ma boîte, elle grossisse et elle me permette d'être bien financièrement et de tendre vers mes objectifs de prévoyance, de sécurité financière, etc. Mais je voulais aussi trouver ce que j'aime faire dans la vie, je voulais aussi trouver mon truc qui me dit putain, Janice, t'es vraiment en train de vivre ta best life, même si tu dois aller bosser, quoi Je veux dire, je ne suis pas Elon Musk, je ne suis pas milliardaire encore, je ne peux pas me reposer sur mes acquis pour vivre une vie fire. Et puis, ce n'est pas ce que je veux. Moi, je voulais vraiment trouver un truc où je me dis que je suis utile à des gens et je donne mon savoir, je donne mon temps à des gens qui ont envie. de faire pareil en fait. Donc ça c'est vraiment les objectifs et l'espace que je me suis donné pour y arriver. Maintenant, qu'est-ce que je peux vous donner comme conseil pour passer à l'action et pour être pour tendre vers vos propres objectifs ? Ça c'était les miens, vous avez les vôtres, vous avez envie de vos propres choses dans la vie, c'est très important d'être au courant de tout ça. Qu'est-ce que vous pouvez mettre en place pour y arriver ? La première chose que j'ai à vous dire c'est que vous ne devez pas timer votre vie ou le marcher. Et ça, c'est pareil en bourse, c'est pareil quand vous voulez mettre de côté de l'argent. Il faut arrêter de vouloir timer sa vie, il faut arrêter de vouloir se dire que le moment parfait, il arrive. Parce qu'il n'y a pas de moment parfait. Je suis d'accord qu'il y a des moments qui sont meilleurs que d'autres, mais quand vous devez vous mettre en route vers un projet entrepreneurial, vers un investissement, etc., il n'y a pas mieux que les petits pas pour avancer. Même si c'est le pas le plus ridicule, le pas le plus ridicule, il a été fait. Et vous êtes en train de marcher. Parce que souvent, on fait ce premier petit pas et on se dit Ah oui, mais en fait, il y a tout qui avance plus vite que je pensais. Ah oui, parce que vous créez le moment parfait pour agir. C'est vous qui vous le créez. La vérité, c'est que le timing idéal, c'est celui que vous êtes en train de vous créer. Si vous passez votre temps à attendre que tout soit aligné, que la situation soit favorable, que la peur disparaisse, vous resterez tout le temps au même endroit. Le marché, les opportunités, la vie perso, ça bouge tout le temps. Et c'est vous qui faites en sorte que ça bouge, pardon. C'est vous qui faites en sorte que ça avance. Ceux qui réussissent, ce sont ceux qui prennent des décisions, même imparfaites, mais ils avancent. Et même si c'est bancal, même si ça fait peur, ils avancent. Parce que c'est l'action, c'est la clé qui ouvre les portes, des portes qu'on n'aurait jamais imaginées. Mais vraiment, moi, il y a une année, certes, je vais vous parler du vision board après. Il y a une année, jamais de la vie, je me serais dit que j'allais vraiment... dans un an, être si bien dans ma vie, être si bien alignée avec ce que je voulais faire professionnellement, de gagner ma vie avec ça, d'être vraiment bien et d'aider les gens à faire pareil. Jamais de la vie j'aurais pensé ça. Par contre, je me suis imaginée. Je ne me suis pas dit, je vais y arriver. C'est peut-être une erreur de visualisation de vous parler de ça, mais jamais de la vie je me suis vraiment... Je ne sais pas, je n'étais pas convaincue, mais dans ma tête, j'y allais. C'est vraiment bizarre à dire. Donc peut-être que finalement, j'étais convaincue intérieurement, mais j'y allais. j'allais vers ça, ou en tout cas je mettais toutes les briques pour y arriver, et je vous le dis, vraiment chaque petit pas aujourd'hui c'est un grand saut dans 6 mois, vraiment et c'est aussi pour ça que j'ai orienté 100% dépendant et rentable de cette manière là, c'était que vous donner des vidéos de marketing, d'entrepreneuriat c'est cool mais si vous passez pas à l'action moi ça change quoi à ma vie, moi ça change quoi de vous avoir vendu des vidéos à la con ou des trucs à la con, moi ça change rien et c'est, certes j'ai gagné un peu d'argent mais c'est pas ça que je veux pour vous, moi je veux que vous puissiez regarder ces trucs, vous sentir et inspirer... et aussi motivé parce que vous savez quoi faire de la suite, et puis surtout qu'à un moment donné, on bosse ensemble. Donc certes, vous pouvez peut-être aller dans 100% indépendant et rentable et pas avoir envie qu'on bosse ensemble derrière, c'est tout à fait ok, et c'est pour ça que j'ai designé cette formation pour que ce soit un cas ou dans l'autre ok, mais moi je veux qu'on se dise les deux, ok 2025, c'est mon année, je crée ce business, je crée ce projet, je me mets en route, ou alors je fais en sorte que ce business que j'ai déjà, il fonctionne, il tourne et je me rémunère avec ce truc. Un outil pour ça que je peux vous dire, et que j'avais utilisé beaucoup beaucoup à l'époque que j'utilise plus trop maintenant parce que je sais pas, je sais pas j'utilisais ça quand j'étais vraiment seule chez moi parce que je sais pas je prenais du temps pour le faire tout le temps mais c'était un outil incroyable et aujourd'hui quand je regarde ce que j'ai écrit à l'époque, je suis là genre waouh, tellement puissant de revenir en arrière sur mon état d'esprit, sur ce que j'ai amélioré et tout, c'est tellement puissant. Donc moi ce que je vous conseille de faire c'est que si vous pouvez, vous utilisez un journal et vous commencez à journaliser vous notez les petites actions quotidiennes vous notez votre état d'esprit vous notez ce que vous avez envie de faire... Et ça, ça va vous aider pour le prochain point que j'ai à vous donner comme astuce. Ça va vous aider à faire plein de choses, dont des micro-actions. Même si elles sont insignifiantes sur le moment, je vous jure que dans six mois, vous allez vous retourner et vous allez dire Mais heureusement que j'ai fait ça. Heureusement que j'ai fait ce petit truc-là. Heureusement. Alors le prochain truc dont je veux vous parler, c'est le pouvoir de la visualisation. Et d'ailleurs, ce que je vais faire, c'est que dans cet épisode, vous allez retrouver un lien pour télécharger votre propre tableau de visualisation. Donc vous cliquerez sur le lien. Ce lien il sera pas disponible ad vitam aeternam, il sera environ disponible 4 mois à partir du début de l'épisode. Donc si vous écoutez ça d'ici 12 mois il sera plus disponible malheureusement, mais j'en sortirai un chaque fois d'année, voilà. Mais le boulot de la visualisation je veux que vous le fassiez tout de suite maintenant à la fin de cet épisode, donc vous téléchargez votre tableau qui est sur Notion, qui va être trop cool vous verrez. La visualisation c'est bien plus qu'un simple exercice mental, c'est un processus qui vous permet de programmer votre cerveau pour qu'il travaille activement à la réalisation de vos objectifs. Et pour que ça marche, mes chers amis, il ne faut pas faire les choses à moitié. La première chose, c'est qu'il faut que vous ayez un objectif en tête. Vous ne pouvez pas visualiser sans savoir précisément ce que vous voulez. Et quand je vous parle d'objectif, ce n'est pas juste je veux être riche. Non, je veux mon petit chalet à Crans-Montana, être sur les pistes de ski avec mon mec un lundi, rentrer, avoir un chef privé qui nous cuisine le soir à manger. Bon, j'abuse, mais... Bisez haut les gars ! Rêvez, rêvez grand. Posez-vous la question, qu'est-ce que je veux accomplir ou obtenir dans ma vie ? Vous le définissez avec le plus de détails possible. Si c'est un business, imaginez le chiffre d'affaires, le nombre de clients, la satisfaction que vous ressentez. Si c'est un objectif personnel, voyez-le avec les détails sensoriels. Par exemple, si vous lancez votre business, imaginez votre site internet, vos produits, votre compte bancaire qui se remplit après chaque vente. Imaginez aussi, quand vous consultez, la sensation que vous avez avec un nouveau client. imaginez tout ça, ressentez les choses moi c'est vraiment un truc que je fais tout le temps donc la deuxième chose que je vous conseille par rapport à la visuation c'est trouver le moment pour le faire, moi je vais pas vous dire posez-vous 5 minutes et pensez parce que si vous êtes à la fin d'une grosse journée, que vous avez les enfants qui toquent à la porte, que voilà il y a du monde je sais pas quoi, c'est pas le bon moment pour le faire, idéalement vous êtes seul, bien sûr que vous êtes seul parce que vous devez avoir personne qui gravite autour de vous physiquement... et qui vous empêche en fait de réfléchir en toute liberté et de laisser votre cerveau vous évader. Donc vous allez vous balader, vous allez courir, vous êtes en train de nager, vous faites un sport où vous sortez et vous êtes seul. A la limite, il y a plein de podcasts à part ça, il y a plein de vidéos sur YouTube pour la visualisation. Vous mettez ça de prime abord, vous mettez ça dans vos oreilles, comme ça vous vous aidez à faire de la visualisation, vous vous accompagnez à faire de la visualisation. Ceux qui sont bien rodés au niveau de la visualisation, vous n'avez plus besoin de ça au bout d'un moment, je sais. Moi, je n'en ai pas besoin. Mais si vous avez besoin d'un coup de pouce, vous mettez ça dans les oreilles et puis vous imaginez ce que vous voulez. Et le prochain conseil par rapport à ça, c'est vous devez ressentir l'émotion comme si elle était là. Vous devez imaginer qu'une fois votre objectif atteint, vous avez une certaine émotion. Est-ce que c'est de la joie, de la fierté, de la gratitude ? Vous devez vraiment ressentir ce truc en mode, I did it, je l'ai fait, j'y suis, c'est comme ça que je veux me sentir. En fait, le truc c'est que plus vous êtes connecté émotionnellement, plus votre cerveau, il va enregistrer. Cette émotion comme une réalité. Et ça c'est aussi très puissant parce que je suis passée et je suis diagnostiquée anxio-dépressive. Pour ceux qui ne savent pas. Ils se disent mais quoi anxio-dépressive elle est tarée cette meuf elle fait que rigoler tout le temps. Mais c'est parce que justement je programme tout le temps ma tête ou mon esprit à penser positif. Je sais que pour ceux qui sont dans des esprits très négatifs ça peut paraître du charabia ce que je raconte. Mais je suis passée d'un esprit très négatif et très down à quelqu'un qui pense et qui voit positif. Parce que j'ai compris que plus on pense positif et plus on met en place des choses positives. plus c'est ouf pour le cerveau parce qu'il se programme de la telle sorte. Et franchement, je saurais toujours pas vous expliquer comment ça fait que c'est si fou à programmer et que ça marche, mais c'est le cas. Ensuite, la dernière chose que je pourrais vous dire, c'est que par rapport à la visualisation toujours, c'est pas de la magie passive. Elle prépare en fait votre cerveau à reconnaître les opportunités et à agir. C'est-à-dire que vous pouvez penser que ça se connecte à un truc, à un réseau interspatial qui fait que ça va se passer. Pas vraiment ça, c'est un peu plus concret que ça. Quand... La chose, elle va se présenter à vous. Donc ce dont vous avez rêvé, ou en tout cas les situations, ça se construit petit à petit. Et vous, naturellement, parce que vous l'avez imaginé, vous savez que vous devez saisir ça. C'est vraiment, c'est inconscient, vous savez que vous devez saisir telle et telle opportunité. Donc naturellement, vous allez vers de meilleurs choix. Et vous vous orientez vers ce que vous avez imaginé. Et une fois que vous avez visualisé, la première chose que vous devez vous demander, c'est quelles sont les petites actions que je peux faire aujourd'hui pour me rapprocher de ce que j'ai vu. Vous vous posez cette question-là, cette question-là, elle va devenir inconsciente au bout d'un moment. Par exemple, si vous vous êtes visualisé en tant qu'entrepreneur à succès, l'action du jour, c'est peut-être d'envoyer un email, de créer un poste, de faire une recherche. Toute première chose. De faire votre compte, d'acheter votre nom de domaine, de trouver le nom de votre boîte. C'est peut-être ça. Voilà. Et du coup, vous renforcez ça avec un tableau de visualisation que vous allez pouvoir télécharger dans le lien de cet épisode. On arrive sur la fin de l'épisode. Je vous rassure, c'était un long épisode, mais je pense que j'avais beaucoup à transmettre, beaucoup de choses à dire pour vous expliquer comment j'arrive à cartonner autant. Naturellement, ça, c'est tout un produit mindset de ma part. que vous allez retrouver chez beaucoup de personnes à succès. Et vous allez retrouver beaucoup, beaucoup, beaucoup de podcasts à ce sujet-là. Moi, je voulais vous partager comment je fonctionne réellement, vraiment ce que je mets en place, ou ce que j'ai mis en place au fur et à mesure des années. Et pour ceux qui seraient encore un peu sceptiques par rapport à la visualisation, je suis allée chercher sur Internet, en fait, exactement ce qui se passe au niveau du cerveau. C'est que, en fait, la visualisation, elle active une partie de votre cerveau qui est appelée le système réticulaire activateur. Et ça filtre les informations qui vous poussent à remarquer tout ce qui est pertinent pour vos objectifs. En gros, en fait, votre cerveau, il commence à travailler pour vous en mode automatique. Mais c'est génial ça ! Vous vous rendez compte ? C'est ouf ! C'est trop bien ! Donc ce que je veux que vous fassiez, c'est que vous vous mettiez en route pour vos objectifs, vos petits trucs comme ça. Je ne vous ai pas parlé de chiffres concrets. Je ne vous ai pas parlé, à part les nombres d'abonnés que j'ai, je ne vous ai pas parlé des prospects, du chiffre d'affaires, etc. Parce que je ne veux pas vous stresser avec des chiffres comme ça. Je les ai déjà beaucoup partagés, je vous ai déjà partagé ce que je voulais. Je vous ai déjà vraiment beaucoup beaucoup partagé au niveau chiffres, mais là ce que je veux que vous fassiez c'est que vous disiez ok, en fait c'est pas si compliqué que ça à mettre en place, et que plus je m'y mets tôt, et plus je fais des petites actions concrètes, plus j'arriverai à des grandes choses plus tard. Pour terminer l'épisode, j'aimerais vous parler un petit peu de ce que j'ambitionne de faire, parce que j'ai pas encore fait mon tableau. Le tableau de visualisation, j'ai pas encore travaillé sur ça pour mon année 2025. J'ai des idées, mais je me suis pas plongée dedans, j'ai pas encore fait vraiment le travail. Et je me suis dit que ce serait cool de commencer ce travail avec vous à l'oral là, comme ça. Comme ça vous pouvez aussi vous imaginer comment est-ce que je commence la partie visualisation, comment est-ce que je commence à mettre en place des choses que je vais faire l'année prochaine. Alors typiquement dans mes ambitions que j'avais cette année, mais qui se sont pas réalisées parce que j'ai pas mis les choses en place pour, parce que j'avais d'autres choses à faire, je vous avoue, c'est qu'il y a aussi un truc sur le tableau de visualisation, c'est que... Si vous êtes comme moi, avec beaucoup d'ambition, vous allez mettre beaucoup de choses. Il n'y a pas tout qu'on peut faire, parce qu'il y a un certain nombre d'heures dans la semaine quand même. Et il y a des priorités. Moi, je vais le remettre l'année prochaine, c'est que je rêverais d'enseigner ce que je sais à l'université. Je rêverais vraiment de pouvoir transmettre ça à des étudiants ou des jeunes qui veulent se lancer là-dedans. Je rêverais de faire ça. Dans mes autres ambitions, parce que vraiment enseigner, c'est un truc que j'adore. Sortir 100% dépendant et rentable, c'est clairement pas une ambition, parce que Ausha va se faire, je le sais. la formation elle est quasi prête, il faut juste terminer de monter et produire un petit peu tout le reste, j'aimerais que toutes les personnes qui sont coincées puissent sortir de 100% indépendants et rentables avec un projet et savoir comment avoir des clients ou se rémunérer. Et puis in fine qu'on bosse ensemble, voilà. Dans mes ambitions j'aimerais continuer à faire ça l'année prochaine et développer ce produit professionnel, j'aimerais continuer à développer ça. Une autre ambition que j'ai, mais ça c'est vraiment pas clair encore parce qu'il faut que j'aille voir mon mentor, il faut que j'aille voir un petit peu comment est-ce qu'on peut faire ça. C'est qu'effectivement, ce n'est pas une optique vraiment de scale, parce que finalement, 100% indépendant et rentable, c'est une autre manière de scale. Je vais continuer de scale cette entreprise, mais j'aimerais mettre en place plus d'outils, plus de spécialistes pour mes élèves. C'est-à-dire que j'ai envie de bosser avec plus de gens, j'ai envie d'avoir plus d'experts concrets dans cette formation, dans ce mentorat. Et pour ça, il faut que j'augmente la taille, la capacité de cette entreprise. Et pour ça, il faut qu'on m'aide, il faut que je puisse... commencer à savoir ce que j'ai besoin en bras droit, ce que j'ai besoin en associé, ce que j'ai besoin en employé, etc. Il faut que je mette tout ça en place. C'est encore très flou pour le moment, mais c'est des ambitions que j'ai pour l'année prochaine. Ensuite, évidemment, j'aimerais garder un petit peu ce mindset de c'est hyper accès mis en pratique et avec Coach en Business, j'avance vraiment, j'aimerais continuer là-dedans. Donc je veux pas que ça parte dans des formations à tout va, je veux vraiment qu'on reste dans le côté pratique et surtout que je veux que ce soit d'utilité publique, c'est-à-dire que on... Aujourd'hui, il y a beaucoup, beaucoup de gens qui créent des entreprises. D'ailleurs, sur le canton du Valais, en cette fin d'année, il y a 5% d'augmentation de la création d'entreprise par rapport à l'année passée. Mais il y a aussi 15%, ça je crois que c'est des chiffres de Genève et Vaud, c'est pas Valais, il y a 15% de faillite en plus. Donc comment est-ce qu'on fait pour anticiper une faillite quand ça concerne tout ce qui est mauvaise pratique, mauvaise méthodologie, mauvais marketing et mauvaise gestion financière ? Je veux que ce soit d'utilité publique, qu'on se dise il y a des ressources à disposition pour qu'on se forme, pour qu'on s'indépendantisse, pour faire du marketing correctement et juste et à la Suisse surtout. Et il va y avoir aussi plein de tests au niveau du volume, c'est-à-dire que je vous parlais de marché restreint, avec mes produits je suis sur un marché qui est restreint, j'ai choisi volontairement de me positionner en Suisse. Est-ce que j'ai pour ambition de partir sur la France ? Pas encore, mais ça pourrait être des axes de développement que je vais voir avec mon mentor. Mais voilà, ce sont un peu des ambitions professionnelles que j'ai pour... 2025. Ensuite au niveau personnel je vous avais parlé que j'aimerais devenir propriétaire mais c'est pas dans mon cadre privé c'est à dire que j'aimerais investir dans du locatif donc évidemment il va y avoir cette partie là. Aussi vraiment d'un point de vue personnel pur je trouve que j'ai atteint une stabilité avec mes amis, avec mon entourage avec mon cadre de vie que j'aime beaucoup donc pour l'instant je veux juste le maintenir ce sera pas dans le but d'avoir mon chalet à Cremontana avec mon chef privé on va dire mais j'ai envie par contre de partager beaucoup plus de moments. C'est à dire que... autant l'année prochaine je fête mes 30 ans, j'ai envie de célébrer ça avec mes amis, mais j'ai aussi envie d'inviter mes clients à se retrouver autour d'un bon repas, autour d'une bonne soirée où on se rencontre finalement en vrai et on partage tout ça. Donc ça, ça va vraiment être des axes l'année prochaine, c'est se rencontrer en vrai, faire des événements ensemble et c'est vraiment super super super important. Pour vous résumer un petit peu ce que j'ai envie de faire pour l'année prochaine, maintenant je vais le mettre dans un vision board, je vais l'accrocher au mur, je vais l'imprimer, je vais mettre tout ça en pratique. Et je vais avancer dans ce sens-là. Comme ça, vous savez tout. Merci beaucoup d'avoir écouté cet épisode. Si vous l'avez aimé, je le rappelle, mettez une note au podcast parce que ça m'aide à le faire connaître. Si vous pensez qu'il peut aider quelqu'un, partagez-le, partagez, envoyez le lien. Vous pouvez l'écouter sur toutes les plateformes avec Apple Podcast, avec Spotify, YouTube. Vous l'écoutez sur toutes les plateformes. N'hésitez pas à vous inscrire aussi sur pré-vente de 100% indépendant et rentable si ça vous intéresse. elle sera ouverte à partir du 1er décembre et elle sera valable jusqu'au 14 janvier alors si vous prenez après le 14 janvier, c'est-à-dire le 15 c'est juste qu'il n'y aura pas la pré-vente il y aura vraiment la vente en live et si vous avez des questions, vous pouvez me les poser par email je réponds toujours, en tout cas j'essaye de répondre le plus rapidement possible et aussi sur Instagram, vous pouvez aller me suivre, c'est coachetonbusiness et si vous voulez continuer de me suivre sur TikTok c'est coachetonbudget je vous remercie énormément pour votre soutien c'est vraiment de l'amour en barre quand je vois aussi vos commentaires dans les épisodes, j'adore ça Merci Je vous remercie infiniment et je vous souhaite une toute belle journée ou toute belle soirée, ça dépend à quel moment vous m'écoutez. Et à tout bientôt !

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Il n’y a pas de bon moment pour lancer ton activité, ton business, ton SIDE BUSINESS (et c’est une bonne nouvelle)

Tu hésites à démarrer ton projet ou ton activité indépendante en Suisse ? Peut-être attends-tu le moment parfait ? Spoiler : il n’arrivera jamais.

Dans cet épisode, je partage les secrets pour dépasser tes blocages et enfin passer à l’action.

On parle des raisons qui te freinent (perfectionnisme, syndrome de l’imposteur, procrastination) et des petites étapes concrètes pour avancer dès maintenant.

Que tu veuilles lancer un side business ou devenir indépendant·e, cet épisode est un REEL boosteur de motivation :)

On abordera aussi :

  • Pourquoi le "bon moment" n’existe pas.

  • Comment élaborer ton idée et te lancer.

  • Mon expérience avec la formation 100% Indépendant et Rentable.


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Mots-clés : entrepreneuriat, gestion financière, investissement, revenus passifs, stratégies de vente, marketing digital, formations en ligne, coaching d'affaires.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    L'autre jour, j'ai entendu fin d'année, fin du monde Et je ne peux pas m'empêcher de rire en le disant, parce que je trouve ça hyper drôle et assez caricatural de chaque fin d'année. Mais vous voyez ce que je veux dire. On voit partout sur les réseaux sociaux qu'il reste X jours avant 2025, qu'il faut se dépêcher de finir ci et ça. Et si c'est vrai au niveau des assurances à résilier ou des troisième piliers à souscrire, je ne comprends pas pourquoi on doit se mettre la pression à finir quoi que ce soit d'autre, parce que la fin d'année, ce n'est pas la fin du monde. Et souvent, ce rush de fin d'année, il va avec les bonnes résolutions du début d'année. Et dans cet épisode, j'aimerais un peu casser cette tendance pour vous parler du bon moment. Le bon moment pour commencer quelque chose de nouveau, mais aussi celui pour arrêter quelque chose, pour terminer une tâche, démarrer son business, mettre de l'ordre dans ses finances, etc. Donc l'objectif de cet épisode, c'est de vous montrer que le bon moment n'existe pas et que c'est grâce à cette philosophie-là que j'arrive à faire autant de choses et gagner maintenant. aussi bien ma vie. Alors let's go pour un petit mode d'emploi, Janice May. Bienvenue sur Coach ton budget et business, le podcast dédié à la thume et aussi au marketing et à l'entrepreneuriat en Suisse. Je suis Janice, formatrice en marketing et business digitaux, mais aussi mentor et créatrice de contenu dans la finance personnelle. Dans ce podcast, on parle argent pour s'éduquer, apprendre à le gérer et comment réaliser nos projets de vie avec. Important, très important, mettez une note à ce podcast si vous l'aimez. 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Concrètement, en septembre, j'ai organisé une première session de cette formation, c'était sur deux semaines, on a fait quatre lives, dont un surprise, on a abordé trois thèmes, se structurer, se rémunérer et se vendre sur un marché concurrentiel en tant qu'indépendant en Suisse. Il y avait 97 personnes qui ont participé, et en fait le but c'était aussi d'ouvrir les portes de Coach Ton Business derrière pour le mentorat privé. Là, les choses elles changent un tout petit peu, parce que dans le business, j'ai fait ce qu'on appelle une MVP. où j'ai proposé un produit à un prix cassé pour tester le marché et récolter des feedbacks. Ça a fonctionné. Là, je sors la vraie formation, 100% dépendant et rentable. C'est toujours les mêmes sujets, mais avec un objectif beaucoup plus précis que la première fois et surtout une formation bien plus aiguisée, mes chers amis. En gros, module 1, on structure ton activité pour bien démarrer. L'objectif, c'est d'avoir une bonne idée d'entreprise, définir sa niche, le public cible et la proposition de valeur unique. Si ce sont des termes un peu inconnus du bataillon, t'inquiète, il y aura tout qui sera expliqué dans la formation. Le module 2... c'est se vendre sur un marché concurrentiel. Donc l'objectif, c'est développer des compétences pour se rendre visible et attirer ses premiers clients, même dans un marché concurrentiel. Le module 3, c'est se rémunérer confortablement avec ton activité. Donc l'objectif, c'est poser les bases de la rentabilité en lançant une première offre et en proposant un service. Pour ceux qui veulent en rester là, c'est très très bien et je suis contente. Mais ceux qui veulent aller plus loin, vous avez deux mois pour activer un plan personnalisé. En fait, c'est un appel qu'on fait de 15 minutes qui est aussi une postulation à Coach Ton Business. C'est sans engagement, en fait, l'idée c'est qu'on travaille ensemble pour la suite. Donc le plan, il est personnalisé. Et si vous avez envie d'aller dans Coach ton business après, en fait, la formation 100% indépendant et rentable, elle est 100% remboursée. La question c'est à qui ça s'adresse ? La formation, en fait, elle est faite pour toutes les personnes qui rêvent de quitter le salariat pour se lancer à leur compte, mais qui ne savent pas forcément par où commencer ou comment s'assurer de vivre de leur activité. Donc en gros, c'est pour toi si tu veux devenir indépendant, mais que tu es perdu entre les démarches, les offres, la recherche de clients. C'est aussi pour toi si tu as une idée mais qu'elle n'est pas encore bien définie, que tu veux te lancer de manière structurée et efficace. Mais c'est aussi pour la personne qui est déjà en activité et qui fondamentalement a capté que ce n'est pas si facile que ça de se lancer. Donc c'est aussi pour toute personne qui rêve de cette liberté associée à l'entrepreneuriat et de pouvoir se rémunérer assez rapidement dès les premiers mois. Alors dès le 1er décembre, il va y avoir une pré-vente jusqu'au 14 janvier parce que la formation ouvre le 15 janvier. Donc ceux qui veulent profiter de la pré-vente aussi, elle sera. rembourser si vous voulez changer d'avis entre temps en mode en fait je veux plus de ta formation à la con ok c'est pas très grave il y aura un remboursement qui sera organisé jusqu'au 14 janvier et à partir du 15 janvier on rentre dans le vif du sujet. Bon assez parlé de ça de toute façon je en parlerai peut-être au cours de l'épisode parce que il y a toujours des liens entre ce que je raconte et ce que je enseigne et les gens que je m'entoure bien sûr dites moi juste si vous avez pas un peu ri quand j'ai dit fin d'année fin du monde non ? Ok y'a que moi que ça fait rire... Alors j'ai une petite question. Est-ce que vous vous arrêtez de respirer le 31 décembre à 23h59 ? Parce que moi pas. Alors je vais vous expliquer comment cet épisode il est né. En fait cette année avec Coach ton business, beaucoup de gens m'ont dit c'est pas encore le bon moment, je peux pas tout de suite, c'est pas pour moi maintenant. machin machin, il y en a qui étaient pire motivés et il y en a j'ai senti que en fait non c'était trop pour eux. Et si fondamentalement je suis la première à dire trust the timing of life et que j'ai saisi que dans le mentorat c'est hyper important, que la personne si elle n'est pas prête à se faire suivre, il n'y a pas de résultat, et bien j'ai observé que beaucoup de gens se cachent derrière la procrastination, la peur ou tout simplement le fait de ne pas savoir, ce qui les empêche aussi d'avancer. Donc cet épisode c'est un petit guide pour toute personne qui souhaiterait mettre en pratique ma philosophie de motivation. qui m'a permis d'avoir une certaine abondance dans mes résultats. Et quand je parle de résultats, je ne parle pas de succès, parce que j'estime qu'il est relatif aux attentes de chacun. En fait, pour certaines personnes, mes chiffres, ils sont OK. Et pour d'autres, ils sont Waouh, putain, meuf, t'as cartonné cette année ! Alors l'idée, ce n'est pas de juger, mais de se dire OK, si on se met au boulot maintenant, si on fait quelques petites actions maintenant, on a ça dans 3, 4, 5, 6 mois. Et pour ça, j'ai prévu d'aborder un petit peu de ma sphère privée, un petit peu de ma sphère pro. et les axes de développement à mettre en pratique. Parce que vous connaissez ce podcast, je vous donne toujours de quoi mettre en place les choses, de quoi vous mettre en action une fois que vous avez écouté les choses, et surtout de vous motiver à vivre votre vie pleinement au final. Alors au début, soyons un petit peu clairs. J'aimerais qu'on évoque les raisons pour lesquelles vous ne passez pas à l'action dans votre vie, et vous vous cachez derrière un certain c'est pas le bon moment Évidemment, c'est pas exhaustif, mais c'est assez réaliste. Le premier que je détecte, c'est... la peur de l'échec. En fait, vous avez peur de ne pas réussir, d'être jugé par les autres, ou par vous-même en fait, et l'échec c'est plutôt perçu comme une fin. Donc l'échec c'est la fin, ça s'arrête. Alors qu'en vrai, quand on est dans l'entrepreneuriat, l'échec ça arrive très souvent, et c'est pas une fin, c'est un apprentissage. Je sais pas comment vous le dire d'une manière différente pour pas que ça fasse cliché en mode, you don't fail, you learn. Je veux pas faire un petit peu la meuf comme ça, mais je veux vraiment vous montrer que... Dans l'entrepreneuriat, quand on a un échec, quand on n'arrive pas au bout de quelque chose, en fait ça nous permet de pivoter et de faire autre chose. Donc en fait, les gens qui ont peur de l'échec, souvent, ils préfèrent rester dans leur zone de confort, là où il n'y a pas de risque de perdre quoi que ce soit. D'ailleurs, j'avais déjà fait un épisode sur les risques. Est-ce que c'est risqué de gagner de l'argent ? Ou je ne sais plus comment je l'avais appelé, mais c'était à peu près ça l'épisode, vous pouvez aller voir, il est un petit peu plus bas. Ce que vous devez comprendre, c'est que l'échec, vraiment, il fait partie du processus du succès. Parce que chaque erreur va vous amener un peu plus proche de l'opportunité de réussir. La deuxième chose, c'est qu'on a le syndrome de l'imposteur. Souvent, on pense qu'on n'est pas légitime, qu'on n'a pas assez de compétences, qu'on ne mérite pas de réussir et on repousse les projets et on attend de se sentir prêt. La vérité avec le syndrome de l'imposteur, c'est que tant que vous ne pratiquez pas, vous ne gagnez pas de compétences. Et tant que vous n'avancez pas aussi, tant que vous ne vous positionnez pas en tant que telle et telle personne sur votre marché, forcément, vous ne pouvez pas sortir de cette sensation d'imposteur. Moi, je l'ai encore parfois. Mais plus j'avance, plus je vois des gens, plus je me rends compte que je les aide et que j'ai vraiment une plus-value, moi j'ai ce sentiment-là. Je pense que souvent les gens sont au courant qu'ils ont un syndrome de l'imposteur, qu'ils ont la peur de l'échec, qu'ils sont perfectionnistes, etc. Mais il y a un truc qu'ils ne réalisent pas, c'est que le manque de clarté, ça les empêche d'avancer. Souvent, si c'est votre cas, vous savez de quoi je parle, c'est que vous ne savez pas par où commencer, vous n'avez pas de vision claire, vous ne savez pas où vous allez. Et sans ça... vous êtes perdu et vous ne faites rien. Et ça, je comprends tout à fait. C'est pour ça que c'est bien de se faire accompagner dans ce genre de cas, parce qu'une personne qui vous accompagne, elle a un regard externe, elle peut vous dire, bah là, il faut faire ça, ça, ça, ça. Mais on en reparlera aussi plus tard. Ensuite, j'en ai parlé juste à l'instant, c'est le perfectionnisme. Ça, je comprends aussi, c'est que tout doit être parfait avant de se lancer. Le plan parfait, le timing parfait, les ressources parfaites. Et souvent... ben vous êtes tout autant paralysé parce que vous passez beaucoup beaucoup de temps à regarder qu'est ce qu'il faut faire, comment il faut faire pour que ce soit tout parfait à vous de vous lancer. J'aime que ce soit super bien pensé et réfléchi mais honnêtement parfois il y a un truc très connu c'est mieux vaut fait que parfait. Ensuite il y a la fameuse procrastination et la procrastination souvent c'est lié à la première raison que j'ai cité c'est que on remet tout à plus tard parce qu'on a peur, parce qu'on n'a pas de motivation et surtout parce qu'on est dans une zone de confort donc On se dit qu'on agira quand on aura un peu plus de temps, plus d'énergie, etc. Et finalement, en fait, on accumule souvent plus de stress qu'autre chose, et on finit par jamais, jamais le faire. Et ça, c'est un peu le titre de cet épisode, enfin, c'est un peu ce que je vais vous montrer, c'est que le moment parfait, il n'existe pas. Le but, c'est de commencer, même si c'est un petit pas, et on va en parler dans cet épisode. Ensuite, il y a bien évidemment le manque de confiance en soi, on a peur, on doute, voilà, ça on connaît, hein. Mais de nouveau, c'est un peu lié à ce que j'ai dit avant, le syndrome de l'imposteur, c'est que plus vous allez pratiquer, plus ça va partir. Je peux aussi parler de De l'environnement qui est limité, donc souvent c'est les gens qui vous découragent, qui vous soutiennent pas, on est bloqué parce qu'on doute de nos ambitions, c'est pas cool, mais c'est aussi un facteur. Et il y a aussi beaucoup de gens qui sont concernés par la peur du changement, mais je pense que quand on veut se lancer dans l'entrepreneuriat ou dans un projet d'investissement, ou on veut changer sa vie en général, c'est pas forcément ça le plus gros facteur. Mais il est là quand même. Ensuite, la dernière raison, je dirais que c'est l'absence de motivation. On a des objectifs qui sont pas vraiment, vraiment, je déteste ce mot mais je vais l'utiliser là, ils sont pas vraiment alignés avec nos valeurs et nos désirs. Alors je vais citer un exemple qui a rien à voir avec l'entrepreneuriat mais quand on est jeune, on se dit ouais je vais aller en banque parce que c'est simple, je vais gagner beaucoup d'argent etc. Ou je vais faire avocat, je vais faire des études de droit, c'est assez commun ça. Et en fait souvent on se lance dans ces études et puis on se dit mais en fait pas du tout pour moi quoi, c'est pas du tout ce que je veux faire dans ma vie, moi je suis une artiste machin etc. Bah ça arrive très souvent. En fait idéalement... toutes les raisons que j'ai citées au-dessus, vous devez savoir ce qui vous bloque. Vous devez un petit peu connaître, vous devez un peu mettre le doigt sur Ok, moi j'ai peur de ça, moi j'ai ci, moi j'ai ça. Vous devez connaître pour faire un travail d'introspection qui fait que vous savez ce qui vous bloque et qu'à chaque fois que vous devez avancer, vous savez quoi attaquer pour enlever une barrière. Et ça, honnêtement, je pense que c'est... Enfin, je ne suis pas coach en développement personnel, on s'entend, mais je pense que c'est 80% du job qui est déjà fait. Et ensuite, on peut passer à la partie... motivation. Et là, la première chose que j'ai à vous raconter, c'est que chaque année, en général, c'est vers la fin d'année parce que tout le monde est en mode rétrospective, machin, machin. Moi, je fais un vision board, vision board, tableau de visualisation, et je m'imagine ce qui va se passer. On reviendra à la fin sur l'histoire du vision board parce que je vais vous expliquer comment est-ce qu'on fait un bon vision board. Ce qu'il faut savoir, c'est que cette année, donc fin 2023, début 2024, on va dire, comme j'avais vécu... Quand même pas mal de choses au boulot, que j'avais été très stressée, que j'étais malade, etc. Moi j'avais envie que 2024 ce soit une année de paix, être confortable dans ma vie, être débarrassée de tout tracas. Alors certes quand on se lance dans l'entrepreneuriat c'est pas exactement ça qu'on a, mais j'ai opéré des changements, dont mon déménagement en Valais, qui ont vraiment fait que j'ai ressenti cette paix, j'ai ressenti ce confort, j'ai ressenti tout ça. Et ça m'a vraiment aidée derrière à développer mon entreprise et à développer mon activité entrepreneuriale. Donc l'un sans l'autre, ça n'aurait pas été possible, je pense. En tout cas, je ne me serais pas vue vivre tout ce que j'ai vécu cette année-là à Lausanne. Ça aurait été complètement différent. Donc pour ceux qui débarquent, avant j'habitais à Lausanne et je travaillais à Neuchâtel. En tout cas pendant à peu près trois ans. Non, deux ans, je ne sais plus. J'ai travaillé aussi sur Genève. En fait, je faisais tout le temps des trajets. J'avais des bons jobs, mais je faisais tout le temps des trajets. Et ça m'a vraiment épuisée, surtout que... Moi je me donne pas à moitié dans quelque chose, je me donne à fond, et du coup ça me puise beaucoup d'énergie quand je fais quelque chose, que ce soit en tant que salarié ou maintenant dans ma boîte. Et surtout, j'ai rencontré quelqu'un l'année dernière qui fait que ça faisait sens que moi je vienne en Valais plutôt que lui vienne sur Vaud. In fine, on s'est retrouvés en Valais, et franchement ça a été la meilleure décision de ma vie. En gros, le Valais ça m'a apporté, ben non seulement, j'en ai parlé beaucoup dans les épisodes, et d'ailleurs je vous ai un peu caché la raison pour laquelle j'étais venue en Valais, mais en fait ça m'a... amené beaucoup d'avantages, déjà au niveau financier, parce que le valet c'est quand même moins cher, le loyer, l'assurance maladie, j'ai aussi économisé beaucoup sur les trajets, vu que j'avais plus besoin d'un AG, bon, il y a la voiture, mais ça c'était une autre question, mais vraiment j'ai économisé beaucoup d'argent en venant en valet, et surtout, je sais que c'est débile, mais le fait de ne plus avoir à manger à midi dehors tout le temps, ou de devoir préparer tout ça, j'ai gagné beaucoup beaucoup de temps, et j'ai gagné de l'argent. Donc déménager en valet, ça m'a apporté un apaisement vraiment de ouf. Surtout quand tu as ton bureau qui est en dessous, donc tu n'as pas besoin de faire des trajets. Les autres trajets que je faisais, c'était parfois pour descendration ou c'est parfois pour descendration quand je travaille de puissance. Parce que ça m'arrive, en fait, ça me fait changer un peu d'endroit. Donc finalement, j'ai quoi ? J'ai 15 minutes de route. C'est rien du tout par rapport à avant. Alors, je ne dis pas que c'est une solution. Je vous explique juste, moi, ce que j'ai fait, en fait, cette année pour que ça arrive. Parce que je vous ai parlé de la sphère privée. Ça, c'est un des éléments qui a fait que vraiment, j'ai pu être focus sur mon activité entrepreneuriale et accomplir beaucoup, beaucoup de choses. Ensuite, la deuxième chose qui fait partie de ma vie depuis adolescente, c'est-à-dire que le sport chez moi, ce n'est pas une lubie. C'est-à-dire que le sport fait partie de ma vie intégrante depuis que j'ai 12-13 ans. Et même avant, je faisais de l'équitation, je faisais de la natation, etc. Donc vraiment, toute ma vie, j'ai fait du sport. Les sports que je pratique, principalement, c'est le trail. Maintenant, le trail exclusivement parce que vu là où j'habite, je n'ai plus trop la possibilité d'aller juste courir parce que dès que je fais 500 mètres, j'ai forcément 200-300 mètres de dénivelé positif à faire. Mais avant je faisais beaucoup beaucoup de courses à pied en ville et ça a toujours été mon sport principal. Ça m'arrive de faire de temps en temps encore du tennis et j'ai repris l'équitation aussi donc je fais pas mal d'équitation. Et après pour vraiment le soutien, l'entretien tout ça, finalement je vais faire du fitness. Moi j'appelle pas ça vraiment un sport que je fais parce que c'est pas mon truc principal mais je kiffe bien faire du fitness. Et en fait d'avoir le sport omniprésent dans ma vie... Ce qui fait que je passe à peu près, je dirais en moyenne, je passe... 30 à 1 heure par jour à faire du sport. Ça peut être aller faire de la marche, aller courir, aller monter à cheval, aller faire du fitness. Je passe vraiment beaucoup de temps à faire du sport et ça je dirais que ça m'aère énormément l'esprit et ça nourrit énormément les idées que j'ai. C'est à dire que parfois je vais marcher, parfois je vais courir et tout d'un coup, ça pop dans ma tête. Et je pense que vous avez déjà eu ça, vous êtes sous la douche, vous êtes en train de faire un peu une activité autre et tout d'un coup vous avez des idées de génie. Moi c'est ça qui m'aide à pondre autant d'idées et parfois je vais penser à un client, parfois je vais penser à quelqu'un et je vais dire putain non... ça c'est une bonne idée pour cette personne et genre je vais lui faire un vocal, je vais lui dire putain j'ai pensé à toi j'ai fait ci et ça, et je pense que mes clients ils doivent trouver ça drôle parfois parce qu'ils reçoivent un message random de moi en mode putain j'ai une idée pour toi mais j'adore ça, et ensuite la troisième chose c'est que je vous parle beaucoup de thunes dans ce podcast, ça aussi ça fait partie d'un de mes conforts de vie, c'est que j'ai toujours en place mon épargne mes investissements et c'est ce qui fait que j'ai toujours toujours un coussin de sécurité et ça quand vous êtes entrepreneur c'est super important... Parce que ça vous évite d'avoir peur, en fait, à chaque fois qu'il y a un truc qui se passe. C'est-à-dire que vous avez moins de clients, vous avez moins de revenus, vous avez un chômage, je ne sais pas quoi. Le coussin de sécurité financière, franchement, c'est la base, les gars. Et ça, ça m'a énormément aidée à être sereine cette année. C'est-à-dire que si un client, il ne signe pas. Si un client, il me dit, non, mais en fait, ce n'est pas pour moi là maintenant. Ce n'est pas grave, en fait. Je ne vais pas dépendre de ton argent, je ne dépends pas de toi. Ça, c'est super important pour l'apaisement. Et puis pour ne pas être dans la course, dans la rat race, bon la rat race c'est pas exactement ça la définition, mais vous n'êtes pas dans une course tout le temps à trouver des clients parce que financièrement, et ben c'est correct. Alors certes, moi j'ai une escalade des revenus qui est incroyable, donc finalement c'est plus trop ça, mais à toute personne qui galère financièrement, que ce qu'il soit salarié ou entrepreneur, le coussin de sécurité c'est le B à bas. Et ce que j'enseigne aussi beaucoup dans Coach ton business, et même dans tout ce que je dis en général, c'est qu'au début de votre activité, Vous devez être capable de constituer un coussin de sécurité, ou en tout cas de démarrer avec un coussin de sécurité qui va vous permettre de développer vos activités sereinement. C'est super important. Et si ce n'est pas le cas, il faut mettre en place des stratégies de rémunération et des stratégies aussi de paiement, de tout ça, qui font que finalement vous êtes armé face à des clients qui ne vont peut-être pas payer, qui vont peut-être refuser, qui ne vont pas venir avec vous, etc. Bref, tout ça c'est dans Coach ton business, je ne vais pas m'étaler là-dessus maintenant. Donc voilà, moi c'est un peu les trois trucs principaux, je vous ai pas parlé de mes relations personnelles avec mes amis, etc, ma famille, tout ça, parce que c'est aussi, ça fait partie aussi du deal, mais je dirais que les trois éléments principaux qui m'ont aidé à faire beaucoup de choses cette année et gagner de l'argent et avoir des bons résultats, c'est vraiment être en paix, être tranquille, faire du sport pour m'aérer la tête et toujours toujours bien faire en sorte que financièrement je sois confortable pour pouvoir prendre des décisions et pour aller de l'avant. Maintenant par rapport à la sphère... professionnelle. Donc vous savez, si vous écoutez mon podcast, vous connaissez ma... Vous connaissez mon bis, quoi. Vous connaissez tout ce que je fais. J'en parle de manière très transparente. Je suis extrêmement honnête avec tout ce que je dis. En fait, mon but cette année, c'était vraiment d'avoir la SARL. Et spoiler, ça a été dur de l'ouvrir, mais bon, ça y est, on arrive au bout. Alors, je vais vous raconter une petite histoire. En fait, toute cette année, c'était vraiment je veux ma SARL, je veux ma SARL, je veux être employée, je veux être employée. Et quand j'ai fait toutes les démarches, Ça coûte de l'argent d'ouvrir une SARL quand même. Vous avez le notaire, l'inscription au RRC. Puis après derrière, si vous voulez vous verser un salaire, donc être l'employé de votre société, il y a toutes les charges associées. Donc les assurances obligatoires, assurances sociales, mais il y a aussi tout ce qui est LPP, etc. Et derrière, il y a encore tout ce qui n'est pas obligatoire, mais que vous devez faire si vous voulez vous protéger. Et c'est toute la différence avec quelqu'un qui est en réseau individuel et quelqu'un qui est dans sa SARL employée. En réseau individuel, en général, vous devez souscrire quand même pas mal d'assurances également pour être protégé. Un indépendant, il est clairement moins protégé techniquement parlant que quelqu'un qui est en SARL. Et c'est toute la différence, c'est que souvent les indépendants, ils sont en mode économie d'argent parce que vous n'avez pas les revenus en général qu'on a dans une grosse société. Je dis bien en général, il y a des exceptions. L'indépendant, en fait, il doit bien comprendre qu'une bonne prévoyance, mais pas que la prévoyance, des bonnes assurances, c'est super important s'il lui arrive quoi que ce soit. Et en arrivant à ce bout, en étant dans toute la... des assurances et tout, tout d'un coup, ça m'a fait tilt, je me suis dit putain, c'est quand même beaucoup d'argent. C'est-à-dire qu'il faut s'assurer quand même un beau revenu, alors certes c'est proportionnel après au revenu qu'on se paye, etc. Mais ça m'a fait revenir à mon objectif de base, c'est-à-dire que l'année dernière, quand j'ai lancé mon side business, je voulais être plus confortable financièrement, mais ça ne voulait pas dire avoir plus de fric pour le claquer, ça voulait dire vraiment constituer mon coussin de sécurité, constituer ma prévoyance, constituer en fait ce qui allait me permettre de m'enrichir. Et en fait... Cette société, c'est ça. C'est utiliser ma société dans ma prévoyance, faire tout à ma sauce, mieux me rémunérer, être libre dans ma gestion pro, ne pas avoir d'heures, tout ça, tout ça. C'était ça. C'est pour ça que je voulais une société, entre autres. Donc effectivement, quand j'ai été, il faut payer ça, ça, ça, tel pourcentage, il faut prendre quand même des décisions de se dire, je me rémunère à tant et tant de pourcents, il faut réfléchir aussi si un jour j'ai des employés, comment est-ce que ça va se passer, machin, machin. Bref, on ne va pas parler de ça dans cet épisode, mais c'est quand même beaucoup, beaucoup de décisions à prendre qui impactent financièrement et les dépenses de l'entreprise et vos revenus à vous. Donc à toute personne qui se lance là-dedans. il y a des décisions à prendre au bout d'un moment qui sont assez importantes. Et moi, vraiment, arrivé à ce moment-là, j'ai eu ce truc de Ouf, c'est bon, elle est là, mais ouf, il y a toutes ces assurances. Il y a tous ces trucs à prendre, il y a tous ces trucs à réfléchir. Et là, je me suis dit Bah, tu voulais la SARL, mais en fait, tu la voulais pour toi, pour pouvoir prendre tes décisions à toi. Et ce qui est aussi très important, c'est qu'il ne faut pas se leurrer. Utiliser sa boîte pour sa prévoyance de la manière dont je vous le parle, il faut quand même générer des revenus. Vous ne pouvez pas vous dire Moi, je veux ma boîte juste pour ça. Vous devez quand même avoir un business model et un plan derrière qui est quand même... rodée ou qui va vous permettre d'avoir assez de ressources pour atteindre ces objectifs là et pas vous retrouver en fait avec moins qu'avant quand vous étiez salarié c'est parce qu'on veut moment challenge c'est qu'en tant que salarié j'avais quand même un très très bon salaire donc il faut fallait monter la barre haut pour se dire ben voilà faut certes taffer surtout la première année mais ça va être super intéressant après au niveau retour au niveau prévoyance etc après je ne vous cache pas que quand on est dans l'entrepreneuriat et quand on veut développer quelque chose comme ce dont je vous parle Eh ben, faut avoir des sacrées couilles et faut être bien motivée et faut avoir des bons outils, faut avoir des bonnes méthodes. Mais bon, on est on track. Ça c'est une partie de ce que je voulais au niveau professionnel, mais surtout, je voulais trouver ce que j'aime faire dans ma vie et l'utiliser comme moyen de rémunération. Et là je vous parle pas de l'ikigai parce que c'est un peu ça, mais voilà, c'était ça, c'était me dire, Janice, je veux que tous les jours de ta vie ce soit un gros kiff parce que tu kiffes tes clients, tu kiffes ce que tu fais, tu... Là on est quoi, on est en novembre quand j'enregistre cet épisode ? Novembre 2024 ? franchement je me suis jamais aussi sentie pleine d'énergie à l'idée de mentorer des gens dans leur projet de vie dans leur projet entrepreneurial et là je me dis vraiment putain je kiffe faire ça et je vois parfois je suis en séance avec des clients des élèves, souvent vous m'entendez parler clients élèves, un peu la même chose, j'aime bien dire élèves parce que ça les met au rang d'apprentis et de se dire on apprend pour se sortir les pouces du cul parfois je passe plus de temps, parfois on arrive à au lieu de faire 30 minutes, 40 minutes de séance, on arrive à une heure et je sens qu'ils sont un peu là genre punaise je suis en train de lui bouffer des temps... Mais non, en fait, moi, je kiffe. Tant qu'on n'a pas défini de stratégie claire, tant qu'on n'est pas arrivé au bout de l'objectif de la session, moi, je continue. Tant que je n'ai pas tous les éléments qu'il me faut pour répondre aux questions, pour faire le plan, je continue. Et après, pareil, il y a tout le soutien que je fais derrière, par WhatsApp, où je suis là, où j'essaye d'un maximum... Après, j'ai quand même beaucoup d'élèves, donc je ne peux pas faire ça à foison. Mais j'ai toujours une pensée, pour les élèves que je mentor, quand je vois qu'ils sont dans une situation où je me dis, tiens... Il a besoin d'un petit coup de pouce, un petit message, un petit audio, un petit truc. Ça, ça coûte rien. Et franchement, moi, je kiffe faire ça. Et je kiffe être cette personne-là pour se dire, ils ont un poteau là, au milieu de l'océan, sur lequel ils peuvent s'accrocher. Bon, pour revenir à cette histoire de se faire professionnel. Parce que je vous ai dit résultat, résultat, résultat. Moi, dans ce que je voulais faire cette année, il y avait quand même un objectif de croissance de l'entreprise. Et cette croissance, elle a eu lieu. C'est-à-dire qu'il y a une croissance des followers. Parce que je rappelle, il y a une année, c'est-à-dire en novembre... D'ailleurs, j'ai des captures d'écran encore. J'ai fait le tri dans mes captures d'écran. Il y a une année, j'avais 1100 abonnés sur Instagram. Aujourd'hui, on arrive sur 9000. Je sais que c'est du chichi, les followers, ça ne veut rien dire. Mais quand même, j'ai réussi à réunir 9000 personnes qui sont intéressées à mettre en place des stratégies pour leurs finances ou des stratégies pour leur business, pour leur projet entrepreneurial. En Suisse, je ne suis pas en train de taper sur le marché français. Je suis en train de taper sur un marché qui est restreint, c'est-à-dire... qu'on est peut-être 6 millions en Suisse, je ne sais plus. Les francophones, il n'y en a pas 6 millions, il y en a beaucoup moins. Donc je suis en train de taper sur un marché qui est beaucoup plus restreint que la France, qui est en train de naître, mais qui est quand même plus en retard par rapport à la France à ce niveau-là. Je parle vraiment entrepreneuriel indépendant. Je ne parle pas de tout ce qui est start-up, innovation, etc. parce que c'est différent. C'est un marché qui est totalement différent. Moi, je suis vraiment plus calée sur les indépendants en Suisse. C'est ça la différence. Donc je me dis, j'ai touché, j'ai mis le doigt sur vraiment une audience qui a besoin. de cette aide pour trouver des clients, pour se rémunérer, etc. Donc, dans mes objectifs cette année, il y avait la croissance de l'entreprise, tant au niveau prospect, client, etc. Et je ne vous cache pas que ça a pris vraiment de l'ampleur, et là, en cette fin d'année, je sens qu'il y a eu des paliers. Il y a vraiment des moments où ça faisait, hop, ding, boum. Après, petit plateau, hop, ding, boum. Ça remonte, petit plateau, hop, ça boume, petit plateau, etc. Cette année, il y a clairement eu ça. Et les moments un peu plateaux, c'était des moments où soit tu doutes, où tu te dis, putain, merde, pourquoi ça n'avance pas comme avant ? soit tu prends le temps de respirer parce que putain quand ça monte, ça monte et c'est fort. Donc aussi au niveau produit, j'ai développé vraiment deux produits cette année, c'était Coach ton business, donc le mentorat, mais derrière comme j'avais trop de demandes, j'ai dû développer un autre produit qui me permettait d'onboard plus de gens et surtout que les gens se rendent compte que c'est un produit qui est très bien, et Je me demande s'ils ont envie de bosser ou pas avec moi après, ou s'ils ont envie de passer à la suite. Et ça, c'était Objectif 100% Indépendant et Rentable que j'ai organisé en septembre. Ça, ça a été un gros succès. Franchement, 100%, je l'appelle 100% IER, ça a été un gros succès, c'était vraiment chouette. Mais derrière, j'ai senti qu'il n'y avait pas assez de passage à l'action. C'est-à-dire que je voulais vraiment que les gens sortent de ça et se disent, avec Janice, en formation, j'ai accompli Je connais mon public cible, je sais que mon idée elle est viable, j'ai un objectif financier, j'ai mis tout ça en place. Soit j'avance tout seul et je continue, soit j'avance avec elle et on passe en mentorat. Moi je voulais vraiment ça. Et c'est ce que j'ai développé maintenant avec 100% indépendant et rentable qui sortira du coup, enfin la pré-vente elle sera en décembre mais qui sortira vraiment le 15 janvier. Moi je voulais vraiment du passage à l'action. Qu'on se sorte les pouces du cul et qu'on se dise ok cette année j'ai un projet entrepreneurial. Ben cette formation là c'est vraiment the outil pour... sortir ce truc. Et c'est un petit investissement, je vous dis, c'est un petit investissement. Quand on a besoin, quand on ne sait pas comment avancer, vous avez la démarche claire, nette et précise sur ce que vous devez mettre en place pour commencer. C'est pas autre chose. J'ai vu assez de personnes cette année, j'ai fait assez d'études de cas dans mes études, j'ai vu assez d'entreprises, j'ai travaillé dans assez d'entreprises pour vous dire que quand on lance une entreprise, il n'y a pas mille manières de commencer. D'avoir une structure claire et établie, même quand on veut devenir indépendant, masseur, thérapeute, je sais pas quoi. Commencer par là, ça vous donne des bases hyper solides dans votre pratique. Et à ceux qui sont déjà lancés et qui galèrent, de repasser par là, c'est hyper puissant. Vraiment, je vous dis, parce que je suis aussi souvent des gens qui, ça fait 3-4 ans qu'ils sont dans leur business, et ils se rendent compte que c'est pas facile, ça stagne, ça stagne, j'arrive pas à avoir plus de clients, j'arrive pas à en vivre, etc. De repasser par là, ils sont là genre, en fait... méga puissants tes outils, méga puissants de se poser les bonnes questions de se repositionner de faire une vraie étude, de se dire ok méga puissant et en fait après ils prennent beaucoup beaucoup de valeur dans leur métier ils arrivent à être beaucoup plus puissants dans ce qu'ils font dans leur force de frappe et ils éclatent tout et moi c'est ce que je veux donc voilà il y avait deux produits et en fait à côté de ça moi je fais quand même beaucoup beaucoup de contenu sur les réseaux sociaux, le podcast tout ça tout ça donc finalement je passe beaucoup de temps à faire du contenu, ça c'est une grosse partie de mon temps mais je kiffe et il y a encore à côté mes consulting, donc vraiment entreprise, grosse entreprise, et il y a l'influence que je vais progressivement, je pense, quitter à partir de l'année prochaine parce que je me sens plus du tout alignée avec TikTok, j'ai du mal à faire du bon contenu sur TikTok. Même si je sais qu'il y a beaucoup de monde qui me suit, franchement, ça devient difficile pour moi d'avoir de la valeur. Donc je vais encore... tester je pense en 2025, je vais prendre une consultante spécialisée dans TikTok pour m'aider à faire du nouveau contenu et du contenu frais parce que j'ai quand même envie de donner un dernier shot mais honnêtement tout ce qui est influence partenariat franchement je vais pas continuer. Voilà alors une de mes stratégies cette année pour faire autant de choses c'est que il faut bien comprendre que dans le business si vous voulez survivre il faut lancer des nouveaux produits lancer des nouveaux services ou alors vous diversifier ou alors faire en sorte que vos clients rachètent ou alors enfin bref il y a mille et une techniques je vais pas les énoncer là... Mais en gros, j'ai à chaque fois lancé des nouveaux produits, j'ai relancé, puis surtout j'ai mis au goût du jour la formation Coach Ton Business pour qu'elle soit toujours attractive et qu'on se dise Putain, moi je veux aller bosser avec elle, c'est trop bien ! Et pour ça, ce que je vous conseille, c'est de toujours tester en MVP, c'est-à-dire Minimum Viable Product, avant d'investir massivement ou avant de vous lancer corpsième. Vous démarrez avec un produit minimum, vous démarrez, vous testez, vous regardez. On n'est pas sur de la recherche de volume, on n'est pas sur de la recherche de méga, méga maximisation du profit à la base. Vous démarrez petit et vous tentez comme ça. C'est ce que j'ai fait avec un 100% indépendant et rentable, ça a super bien marché. C'est ce que je vous conseille de faire et d'ailleurs c'est ce que vous allez pouvoir tester et pouvoir faire dans 100% indépendant et rentable, dans la nouvelle version. Ensuite, je vous parlais de trouver ce que j'aime faire. Le fait d'être dans une activité professionnelle que j'ai designée moi-même. Tout ce que je fais, c'est moi qui l'imagine, etc. Évidemment. Il y a de l'inspiration, il y a de la recherche, etc. Voilà, ça vient pas, ça poppe pas tout seul dans ma tête. Enfin, certains trucs. Tout ce que je fais, j'essaye un maximum d'être en lien avec moi ce que j'aime. C'est-à-dire que, je vous parlais d'influence là, il y a deux secondes. L'influence pour moi, c'est compliqué parce que parfois, je sais pas, j'ai ce truc où je me dis, j'ai peur de décevoir. Et ça m'arrive aussi avec mes clients, j'ai peur de décevoir, bien sûr. Mais plus j'ai ce gut feeling où je me dis, j'ai vraiment pas envie d'avancer avec eux, plus je me dis... that's not what you should do, c'est pas ce que tu devrais faire. Et du coup cette année j'ai beaucoup beaucoup réfléchi à chaque étape, d'ailleurs c'était aussi dans ce sens là que j'avais lancé Coach Ton Business c'est que Coach Ton Budget j'avais pas suivi les gens one to one et je voulais le faire d'un point de vue entrepreneurial. Donc c'est pour ça qu'il y a des séances de mentorat privé dans Coach Ton Business. Et ça, sans passer à l'action, sans faire, sans tester, sans être dans le doing, vous ne saurez pas. Vraiment. C'est quelque chose. Et moi c'était vraiment une recherche, une quête que j'ai fait cette année, c'était savoir ce que j'aime faire. Et c'est aussi C'est pour ça que j'ai fait autant de choses. Parce que je voulais voir, j'ai testé... Alors, je vous parlais du consulting, de l'influence, de coach ton business, de 100% dépendance et rentable. J'ai testé à chaque fois plein de choses. Mais aussi au niveau de création de contenu. Je veux dire, si j'ai fait des vidéos YouTube cette année, j'ai vite arrêté parce qu'en fait, ça prend trop de temps et c'est pas du tout ce que je veux faire. J'ai tenté des formes de reel, j'ai tenté des trucs sur TikTok, j'ai tenté... Ou en podcast, j'aurais ça assez safe, on va dire, mais j'ai tenté des trucs. J'ai tenté des trucs parce que je voulais voir ce que j'aimais faire et je voulais voir ce qui fonctionnait. parce que bien sûr ce que vous aimez faire ça doit aussi vous apporter une forme de résultat sinon vous pédalez dans le vide surtout au début de votre activité. Et ça c'était vraiment un gros challenge cette année et là j'arrive à la fin d'année 2024 et réellement non seulement je peux dire ce que j'aime vraiment faire dans mon activité professionnelle mais je peux aussi guider quelqu'un et lui poser les bonnes questions pour se dire ok ça en fait j'aime. Et d'ailleurs l'autre jour il y a une fille qui est venue m'aborder après un event et qui me dit bah moi en fait je peux tout faire. Du coup je sais pas quoi faire parce que je peux tout faire. Et là, je me suis rendu compte que c'était moi aussi, il y a quelques mois. Que j'étais aussi dans ce truc, mais moi, au niveau entrepreneurial, je peux tout faire avec toi. Et finalement, au fur et à mesure du temps, je me suis quand même spécifiée, je me suis quand même dit, non mais en fait, ça j'aime faire, ça j'aime moins faire. Et moi, c'est ce qui m'a aidée, c'est pratiquer. C'est faire, faire, faire, faire. Donc si vous êtes dans un cas où en mode, vous êtes là, je sais pas quoi faire, faire, ça vous aidera à vous déterminer. Et si vous n'êtes pas encore dans le faire, un gros tip que j'ai à vous donner, c'est de vous former, c'est d'apprendre. c'est d'écouter des podcasts comme le mien, de regarder des vidéos, d'apprendre des formations. Mais finalement, la formation, elle a un super bon marché devant elle parce que vous pouvez être sceptique avec la formation en ligne. Je comprends, il y a beaucoup de gens qui ont vendu de la merde et moi ça m'arrive, j'achète tout le temps des formations en ligne. Je vous dis, je suis une très bonne cliente des formations en ligne. Parfois, je paye pour des formations en ligne et je me dis, j'ai rien appris, fais chier. Mais c'est parce que si, j'en fais beaucoup. Mais ça c'est un mauvais côté. Mais un bon côté de la formation en ligne, de prendre des petites formations à droite à gauche, des trucs à 100 balles comme ça, vous allez apprendre beaucoup de choses et vous allez pouvoir déterminer ce que vous aimez faire et ce que vous n'aimez pas faire. Donc finalement si vous achetez une formation et que vous n'aimez pas ce que vous avez fait dedans, mais c'est pas grave, vous n'avez pas fait un cursus universitaire de 5 ans en vous disant putain j'ai pas aimé mes études. Au pire vous avez claqué 100 balles et c'est tout, c'est fini, point barre. Mais par contre, au mieux, vous avez trouvé un truc que vous avez dit, j'ai mis le doigt sur quelque chose, c'est ouf. Donc c'est ça ce que je vous invite à faire. Vraiment, d'un point de vue et personnel et professionnel, c'est de continuer de vous former, d'apprendre et de faire. Et moi, un truc aussi que j'ai vraiment appris cette année, c'est que j'adore former et j'adore faire apprendre. J'adore mentorer. J'adore... En fait, c'est pas un truc d'ego. C'est pas de dire Ouais, moi, je suis trop la best, je sais tout faire, je peux t'apprendre. C'est pas du tout ça ce que je veux dire. C'est vraiment de comprendre que j'ai les outils et d'analyser la situation avec les gens. Et de leur dire, ok, moi je vois ça, ça, ça, ça. J'ai pas toujours tout juste, hein. Parfois, je cible mal, parfois j'entends mal un besoin, j'entends mal une volonté, et du coup, je suis pas bien, voilà, ça arrive. Mais je demande toujours à la personne de m'indiquer si c'est correct ou pas. Et en général, ça l'est. Bon, ça c'était pour la partie professionnelle. Si je peux résumer, en fait, pour vous expliquer un petit peu la trame, pour continuer d'être dans la trame de cet épisode, parce que l'objectif, c'est quand même de vous montrer qu'il n'y a pas de bon moment, et que c'est le passage à l'action, les tests et les petits pas qui vont vous faire avancer. Pour vous résumer un petit peu ce que je vous ai dit jusqu'à maintenant et pour passer à la suite de cet épisode, c'est que dans l'aspect privé, j'ai aménagé, vraiment j'ai aménagé un environnement propice pour le passage à l'action. Je me suis apaisée, j'ai aménagé un environnement calme et serein, j'ai continué de faire des choses que j'aimais, j'ai continué de me mettre à l'abri et en sécurité pour pouvoir vraiment être dans un espace serein. Je sais que c'est pas toujours possible pour tout le monde de faire ça. Quand on a des enfants, quand on a une situation financière qui est délicate, je sais, je sais. Ne venez pas m'attaquer pour ça, je sais. En revanche, on peut tout faire pour faire en sorte que ce soit le cas. Et si ce n'est pas possible maintenant, faites en sorte d'adopter un autre mot bullshit tel qu'alignement, c'est la résilience. Adoptez de la résilience temporaire pour vous mettre bien et pour vous dire, ok, je fais ça maintenant, je fais ce petit truc maintenant, mais plus tard, je serai mieux. Et vous mettre des objectifs, vous mettre des deadlines, vous faire avancer chaque petit pas après petit pas pour que ce soit le cas. Et ensuite, au niveau professionnel, ce que j'ai essayé de vous dire, c'est que j'avais des gros objectifs, c'est-à-dire que j'avais un objectif de croissance, mais j'avais aussi un objectif de développement personnel et professionnel, c'est-à-dire que je voulais que ma boîte, elle grossisse et elle me permette d'être bien financièrement et de tendre vers mes objectifs de prévoyance, de sécurité financière, etc. Mais je voulais aussi trouver ce que j'aime faire dans la vie, je voulais aussi trouver mon truc qui me dit putain, Janice, t'es vraiment en train de vivre ta best life, même si tu dois aller bosser, quoi Je veux dire, je ne suis pas Elon Musk, je ne suis pas milliardaire encore, je ne peux pas me reposer sur mes acquis pour vivre une vie fire. Et puis, ce n'est pas ce que je veux. Moi, je voulais vraiment trouver un truc où je me dis que je suis utile à des gens et je donne mon savoir, je donne mon temps à des gens qui ont envie. de faire pareil en fait. Donc ça c'est vraiment les objectifs et l'espace que je me suis donné pour y arriver. Maintenant, qu'est-ce que je peux vous donner comme conseil pour passer à l'action et pour être pour tendre vers vos propres objectifs ? Ça c'était les miens, vous avez les vôtres, vous avez envie de vos propres choses dans la vie, c'est très important d'être au courant de tout ça. Qu'est-ce que vous pouvez mettre en place pour y arriver ? La première chose que j'ai à vous dire c'est que vous ne devez pas timer votre vie ou le marcher. Et ça, c'est pareil en bourse, c'est pareil quand vous voulez mettre de côté de l'argent. Il faut arrêter de vouloir timer sa vie, il faut arrêter de vouloir se dire que le moment parfait, il arrive. Parce qu'il n'y a pas de moment parfait. Je suis d'accord qu'il y a des moments qui sont meilleurs que d'autres, mais quand vous devez vous mettre en route vers un projet entrepreneurial, vers un investissement, etc., il n'y a pas mieux que les petits pas pour avancer. Même si c'est le pas le plus ridicule, le pas le plus ridicule, il a été fait. Et vous êtes en train de marcher. Parce que souvent, on fait ce premier petit pas et on se dit Ah oui, mais en fait, il y a tout qui avance plus vite que je pensais. Ah oui, parce que vous créez le moment parfait pour agir. C'est vous qui vous le créez. La vérité, c'est que le timing idéal, c'est celui que vous êtes en train de vous créer. Si vous passez votre temps à attendre que tout soit aligné, que la situation soit favorable, que la peur disparaisse, vous resterez tout le temps au même endroit. Le marché, les opportunités, la vie perso, ça bouge tout le temps. Et c'est vous qui faites en sorte que ça bouge, pardon. C'est vous qui faites en sorte que ça avance. Ceux qui réussissent, ce sont ceux qui prennent des décisions, même imparfaites, mais ils avancent. Et même si c'est bancal, même si ça fait peur, ils avancent. Parce que c'est l'action, c'est la clé qui ouvre les portes, des portes qu'on n'aurait jamais imaginées. Mais vraiment, moi, il y a une année, certes, je vais vous parler du vision board après. Il y a une année, jamais de la vie, je me serais dit que j'allais vraiment... dans un an, être si bien dans ma vie, être si bien alignée avec ce que je voulais faire professionnellement, de gagner ma vie avec ça, d'être vraiment bien et d'aider les gens à faire pareil. Jamais de la vie j'aurais pensé ça. Par contre, je me suis imaginée. Je ne me suis pas dit, je vais y arriver. C'est peut-être une erreur de visualisation de vous parler de ça, mais jamais de la vie je me suis vraiment... Je ne sais pas, je n'étais pas convaincue, mais dans ma tête, j'y allais. C'est vraiment bizarre à dire. Donc peut-être que finalement, j'étais convaincue intérieurement, mais j'y allais. j'allais vers ça, ou en tout cas je mettais toutes les briques pour y arriver, et je vous le dis, vraiment chaque petit pas aujourd'hui c'est un grand saut dans 6 mois, vraiment et c'est aussi pour ça que j'ai orienté 100% dépendant et rentable de cette manière là, c'était que vous donner des vidéos de marketing, d'entrepreneuriat c'est cool mais si vous passez pas à l'action moi ça change quoi à ma vie, moi ça change quoi de vous avoir vendu des vidéos à la con ou des trucs à la con, moi ça change rien et c'est, certes j'ai gagné un peu d'argent mais c'est pas ça que je veux pour vous, moi je veux que vous puissiez regarder ces trucs, vous sentir et inspirer... et aussi motivé parce que vous savez quoi faire de la suite, et puis surtout qu'à un moment donné, on bosse ensemble. Donc certes, vous pouvez peut-être aller dans 100% indépendant et rentable et pas avoir envie qu'on bosse ensemble derrière, c'est tout à fait ok, et c'est pour ça que j'ai designé cette formation pour que ce soit un cas ou dans l'autre ok, mais moi je veux qu'on se dise les deux, ok 2025, c'est mon année, je crée ce business, je crée ce projet, je me mets en route, ou alors je fais en sorte que ce business que j'ai déjà, il fonctionne, il tourne et je me rémunère avec ce truc. Un outil pour ça que je peux vous dire, et que j'avais utilisé beaucoup beaucoup à l'époque que j'utilise plus trop maintenant parce que je sais pas, je sais pas j'utilisais ça quand j'étais vraiment seule chez moi parce que je sais pas je prenais du temps pour le faire tout le temps mais c'était un outil incroyable et aujourd'hui quand je regarde ce que j'ai écrit à l'époque, je suis là genre waouh, tellement puissant de revenir en arrière sur mon état d'esprit, sur ce que j'ai amélioré et tout, c'est tellement puissant. Donc moi ce que je vous conseille de faire c'est que si vous pouvez, vous utilisez un journal et vous commencez à journaliser vous notez les petites actions quotidiennes vous notez votre état d'esprit vous notez ce que vous avez envie de faire... Et ça, ça va vous aider pour le prochain point que j'ai à vous donner comme astuce. Ça va vous aider à faire plein de choses, dont des micro-actions. Même si elles sont insignifiantes sur le moment, je vous jure que dans six mois, vous allez vous retourner et vous allez dire Mais heureusement que j'ai fait ça. Heureusement que j'ai fait ce petit truc-là. Heureusement. Alors le prochain truc dont je veux vous parler, c'est le pouvoir de la visualisation. Et d'ailleurs, ce que je vais faire, c'est que dans cet épisode, vous allez retrouver un lien pour télécharger votre propre tableau de visualisation. Donc vous cliquerez sur le lien. Ce lien il sera pas disponible ad vitam aeternam, il sera environ disponible 4 mois à partir du début de l'épisode. Donc si vous écoutez ça d'ici 12 mois il sera plus disponible malheureusement, mais j'en sortirai un chaque fois d'année, voilà. Mais le boulot de la visualisation je veux que vous le fassiez tout de suite maintenant à la fin de cet épisode, donc vous téléchargez votre tableau qui est sur Notion, qui va être trop cool vous verrez. La visualisation c'est bien plus qu'un simple exercice mental, c'est un processus qui vous permet de programmer votre cerveau pour qu'il travaille activement à la réalisation de vos objectifs. Et pour que ça marche, mes chers amis, il ne faut pas faire les choses à moitié. La première chose, c'est qu'il faut que vous ayez un objectif en tête. Vous ne pouvez pas visualiser sans savoir précisément ce que vous voulez. Et quand je vous parle d'objectif, ce n'est pas juste je veux être riche. Non, je veux mon petit chalet à Crans-Montana, être sur les pistes de ski avec mon mec un lundi, rentrer, avoir un chef privé qui nous cuisine le soir à manger. Bon, j'abuse, mais... Bisez haut les gars ! Rêvez, rêvez grand. Posez-vous la question, qu'est-ce que je veux accomplir ou obtenir dans ma vie ? Vous le définissez avec le plus de détails possible. Si c'est un business, imaginez le chiffre d'affaires, le nombre de clients, la satisfaction que vous ressentez. Si c'est un objectif personnel, voyez-le avec les détails sensoriels. Par exemple, si vous lancez votre business, imaginez votre site internet, vos produits, votre compte bancaire qui se remplit après chaque vente. Imaginez aussi, quand vous consultez, la sensation que vous avez avec un nouveau client. imaginez tout ça, ressentez les choses moi c'est vraiment un truc que je fais tout le temps donc la deuxième chose que je vous conseille par rapport à la visuation c'est trouver le moment pour le faire, moi je vais pas vous dire posez-vous 5 minutes et pensez parce que si vous êtes à la fin d'une grosse journée, que vous avez les enfants qui toquent à la porte, que voilà il y a du monde je sais pas quoi, c'est pas le bon moment pour le faire, idéalement vous êtes seul, bien sûr que vous êtes seul parce que vous devez avoir personne qui gravite autour de vous physiquement... et qui vous empêche en fait de réfléchir en toute liberté et de laisser votre cerveau vous évader. Donc vous allez vous balader, vous allez courir, vous êtes en train de nager, vous faites un sport où vous sortez et vous êtes seul. A la limite, il y a plein de podcasts à part ça, il y a plein de vidéos sur YouTube pour la visualisation. Vous mettez ça de prime abord, vous mettez ça dans vos oreilles, comme ça vous vous aidez à faire de la visualisation, vous vous accompagnez à faire de la visualisation. Ceux qui sont bien rodés au niveau de la visualisation, vous n'avez plus besoin de ça au bout d'un moment, je sais. Moi, je n'en ai pas besoin. Mais si vous avez besoin d'un coup de pouce, vous mettez ça dans les oreilles et puis vous imaginez ce que vous voulez. Et le prochain conseil par rapport à ça, c'est vous devez ressentir l'émotion comme si elle était là. Vous devez imaginer qu'une fois votre objectif atteint, vous avez une certaine émotion. Est-ce que c'est de la joie, de la fierté, de la gratitude ? Vous devez vraiment ressentir ce truc en mode, I did it, je l'ai fait, j'y suis, c'est comme ça que je veux me sentir. En fait, le truc c'est que plus vous êtes connecté émotionnellement, plus votre cerveau, il va enregistrer. Cette émotion comme une réalité. Et ça c'est aussi très puissant parce que je suis passée et je suis diagnostiquée anxio-dépressive. Pour ceux qui ne savent pas. Ils se disent mais quoi anxio-dépressive elle est tarée cette meuf elle fait que rigoler tout le temps. Mais c'est parce que justement je programme tout le temps ma tête ou mon esprit à penser positif. Je sais que pour ceux qui sont dans des esprits très négatifs ça peut paraître du charabia ce que je raconte. Mais je suis passée d'un esprit très négatif et très down à quelqu'un qui pense et qui voit positif. Parce que j'ai compris que plus on pense positif et plus on met en place des choses positives. plus c'est ouf pour le cerveau parce qu'il se programme de la telle sorte. Et franchement, je saurais toujours pas vous expliquer comment ça fait que c'est si fou à programmer et que ça marche, mais c'est le cas. Ensuite, la dernière chose que je pourrais vous dire, c'est que par rapport à la visualisation toujours, c'est pas de la magie passive. Elle prépare en fait votre cerveau à reconnaître les opportunités et à agir. C'est-à-dire que vous pouvez penser que ça se connecte à un truc, à un réseau interspatial qui fait que ça va se passer. Pas vraiment ça, c'est un peu plus concret que ça. Quand... La chose, elle va se présenter à vous. Donc ce dont vous avez rêvé, ou en tout cas les situations, ça se construit petit à petit. Et vous, naturellement, parce que vous l'avez imaginé, vous savez que vous devez saisir ça. C'est vraiment, c'est inconscient, vous savez que vous devez saisir telle et telle opportunité. Donc naturellement, vous allez vers de meilleurs choix. Et vous vous orientez vers ce que vous avez imaginé. Et une fois que vous avez visualisé, la première chose que vous devez vous demander, c'est quelles sont les petites actions que je peux faire aujourd'hui pour me rapprocher de ce que j'ai vu. Vous vous posez cette question-là, cette question-là, elle va devenir inconsciente au bout d'un moment. Par exemple, si vous vous êtes visualisé en tant qu'entrepreneur à succès, l'action du jour, c'est peut-être d'envoyer un email, de créer un poste, de faire une recherche. Toute première chose. De faire votre compte, d'acheter votre nom de domaine, de trouver le nom de votre boîte. C'est peut-être ça. Voilà. Et du coup, vous renforcez ça avec un tableau de visualisation que vous allez pouvoir télécharger dans le lien de cet épisode. On arrive sur la fin de l'épisode. Je vous rassure, c'était un long épisode, mais je pense que j'avais beaucoup à transmettre, beaucoup de choses à dire pour vous expliquer comment j'arrive à cartonner autant. Naturellement, ça, c'est tout un produit mindset de ma part. que vous allez retrouver chez beaucoup de personnes à succès. Et vous allez retrouver beaucoup, beaucoup, beaucoup de podcasts à ce sujet-là. Moi, je voulais vous partager comment je fonctionne réellement, vraiment ce que je mets en place, ou ce que j'ai mis en place au fur et à mesure des années. Et pour ceux qui seraient encore un peu sceptiques par rapport à la visualisation, je suis allée chercher sur Internet, en fait, exactement ce qui se passe au niveau du cerveau. C'est que, en fait, la visualisation, elle active une partie de votre cerveau qui est appelée le système réticulaire activateur. Et ça filtre les informations qui vous poussent à remarquer tout ce qui est pertinent pour vos objectifs. En gros, en fait, votre cerveau, il commence à travailler pour vous en mode automatique. Mais c'est génial ça ! Vous vous rendez compte ? C'est ouf ! C'est trop bien ! Donc ce que je veux que vous fassiez, c'est que vous vous mettiez en route pour vos objectifs, vos petits trucs comme ça. Je ne vous ai pas parlé de chiffres concrets. Je ne vous ai pas parlé, à part les nombres d'abonnés que j'ai, je ne vous ai pas parlé des prospects, du chiffre d'affaires, etc. Parce que je ne veux pas vous stresser avec des chiffres comme ça. Je les ai déjà beaucoup partagés, je vous ai déjà partagé ce que je voulais. Je vous ai déjà vraiment beaucoup beaucoup partagé au niveau chiffres, mais là ce que je veux que vous fassiez c'est que vous disiez ok, en fait c'est pas si compliqué que ça à mettre en place, et que plus je m'y mets tôt, et plus je fais des petites actions concrètes, plus j'arriverai à des grandes choses plus tard. Pour terminer l'épisode, j'aimerais vous parler un petit peu de ce que j'ambitionne de faire, parce que j'ai pas encore fait mon tableau. Le tableau de visualisation, j'ai pas encore travaillé sur ça pour mon année 2025. J'ai des idées, mais je me suis pas plongée dedans, j'ai pas encore fait vraiment le travail. Et je me suis dit que ce serait cool de commencer ce travail avec vous à l'oral là, comme ça. Comme ça vous pouvez aussi vous imaginer comment est-ce que je commence la partie visualisation, comment est-ce que je commence à mettre en place des choses que je vais faire l'année prochaine. Alors typiquement dans mes ambitions que j'avais cette année, mais qui se sont pas réalisées parce que j'ai pas mis les choses en place pour, parce que j'avais d'autres choses à faire, je vous avoue, c'est qu'il y a aussi un truc sur le tableau de visualisation, c'est que... Si vous êtes comme moi, avec beaucoup d'ambition, vous allez mettre beaucoup de choses. Il n'y a pas tout qu'on peut faire, parce qu'il y a un certain nombre d'heures dans la semaine quand même. Et il y a des priorités. Moi, je vais le remettre l'année prochaine, c'est que je rêverais d'enseigner ce que je sais à l'université. Je rêverais vraiment de pouvoir transmettre ça à des étudiants ou des jeunes qui veulent se lancer là-dedans. Je rêverais de faire ça. Dans mes autres ambitions, parce que vraiment enseigner, c'est un truc que j'adore. Sortir 100% dépendant et rentable, c'est clairement pas une ambition, parce que Ausha va se faire, je le sais. la formation elle est quasi prête, il faut juste terminer de monter et produire un petit peu tout le reste, j'aimerais que toutes les personnes qui sont coincées puissent sortir de 100% indépendants et rentables avec un projet et savoir comment avoir des clients ou se rémunérer. Et puis in fine qu'on bosse ensemble, voilà. Dans mes ambitions j'aimerais continuer à faire ça l'année prochaine et développer ce produit professionnel, j'aimerais continuer à développer ça. Une autre ambition que j'ai, mais ça c'est vraiment pas clair encore parce qu'il faut que j'aille voir mon mentor, il faut que j'aille voir un petit peu comment est-ce qu'on peut faire ça. C'est qu'effectivement, ce n'est pas une optique vraiment de scale, parce que finalement, 100% indépendant et rentable, c'est une autre manière de scale. Je vais continuer de scale cette entreprise, mais j'aimerais mettre en place plus d'outils, plus de spécialistes pour mes élèves. C'est-à-dire que j'ai envie de bosser avec plus de gens, j'ai envie d'avoir plus d'experts concrets dans cette formation, dans ce mentorat. Et pour ça, il faut que j'augmente la taille, la capacité de cette entreprise. Et pour ça, il faut qu'on m'aide, il faut que je puisse... commencer à savoir ce que j'ai besoin en bras droit, ce que j'ai besoin en associé, ce que j'ai besoin en employé, etc. Il faut que je mette tout ça en place. C'est encore très flou pour le moment, mais c'est des ambitions que j'ai pour l'année prochaine. Ensuite, évidemment, j'aimerais garder un petit peu ce mindset de c'est hyper accès mis en pratique et avec Coach en Business, j'avance vraiment, j'aimerais continuer là-dedans. Donc je veux pas que ça parte dans des formations à tout va, je veux vraiment qu'on reste dans le côté pratique et surtout que je veux que ce soit d'utilité publique, c'est-à-dire que on... Aujourd'hui, il y a beaucoup, beaucoup de gens qui créent des entreprises. D'ailleurs, sur le canton du Valais, en cette fin d'année, il y a 5% d'augmentation de la création d'entreprise par rapport à l'année passée. Mais il y a aussi 15%, ça je crois que c'est des chiffres de Genève et Vaud, c'est pas Valais, il y a 15% de faillite en plus. Donc comment est-ce qu'on fait pour anticiper une faillite quand ça concerne tout ce qui est mauvaise pratique, mauvaise méthodologie, mauvais marketing et mauvaise gestion financière ? Je veux que ce soit d'utilité publique, qu'on se dise il y a des ressources à disposition pour qu'on se forme, pour qu'on s'indépendantisse, pour faire du marketing correctement et juste et à la Suisse surtout. Et il va y avoir aussi plein de tests au niveau du volume, c'est-à-dire que je vous parlais de marché restreint, avec mes produits je suis sur un marché qui est restreint, j'ai choisi volontairement de me positionner en Suisse. Est-ce que j'ai pour ambition de partir sur la France ? Pas encore, mais ça pourrait être des axes de développement que je vais voir avec mon mentor. Mais voilà, ce sont un peu des ambitions professionnelles que j'ai pour... 2025. Ensuite au niveau personnel je vous avais parlé que j'aimerais devenir propriétaire mais c'est pas dans mon cadre privé c'est à dire que j'aimerais investir dans du locatif donc évidemment il va y avoir cette partie là. Aussi vraiment d'un point de vue personnel pur je trouve que j'ai atteint une stabilité avec mes amis, avec mon entourage avec mon cadre de vie que j'aime beaucoup donc pour l'instant je veux juste le maintenir ce sera pas dans le but d'avoir mon chalet à Cremontana avec mon chef privé on va dire mais j'ai envie par contre de partager beaucoup plus de moments. C'est à dire que... autant l'année prochaine je fête mes 30 ans, j'ai envie de célébrer ça avec mes amis, mais j'ai aussi envie d'inviter mes clients à se retrouver autour d'un bon repas, autour d'une bonne soirée où on se rencontre finalement en vrai et on partage tout ça. Donc ça, ça va vraiment être des axes l'année prochaine, c'est se rencontrer en vrai, faire des événements ensemble et c'est vraiment super super super important. Pour vous résumer un petit peu ce que j'ai envie de faire pour l'année prochaine, maintenant je vais le mettre dans un vision board, je vais l'accrocher au mur, je vais l'imprimer, je vais mettre tout ça en pratique. Et je vais avancer dans ce sens-là. Comme ça, vous savez tout. Merci beaucoup d'avoir écouté cet épisode. Si vous l'avez aimé, je le rappelle, mettez une note au podcast parce que ça m'aide à le faire connaître. Si vous pensez qu'il peut aider quelqu'un, partagez-le, partagez, envoyez le lien. Vous pouvez l'écouter sur toutes les plateformes avec Apple Podcast, avec Spotify, YouTube. Vous l'écoutez sur toutes les plateformes. N'hésitez pas à vous inscrire aussi sur pré-vente de 100% indépendant et rentable si ça vous intéresse. elle sera ouverte à partir du 1er décembre et elle sera valable jusqu'au 14 janvier alors si vous prenez après le 14 janvier, c'est-à-dire le 15 c'est juste qu'il n'y aura pas la pré-vente il y aura vraiment la vente en live et si vous avez des questions, vous pouvez me les poser par email je réponds toujours, en tout cas j'essaye de répondre le plus rapidement possible et aussi sur Instagram, vous pouvez aller me suivre, c'est coachetonbusiness et si vous voulez continuer de me suivre sur TikTok c'est coachetonbudget je vous remercie énormément pour votre soutien c'est vraiment de l'amour en barre quand je vois aussi vos commentaires dans les épisodes, j'adore ça Merci Je vous remercie infiniment et je vous souhaite une toute belle journée ou toute belle soirée, ça dépend à quel moment vous m'écoutez. Et à tout bientôt !

Description

Il n’y a pas de bon moment pour lancer ton activité, ton business, ton SIDE BUSINESS (et c’est une bonne nouvelle)

Tu hésites à démarrer ton projet ou ton activité indépendante en Suisse ? Peut-être attends-tu le moment parfait ? Spoiler : il n’arrivera jamais.

Dans cet épisode, je partage les secrets pour dépasser tes blocages et enfin passer à l’action.

On parle des raisons qui te freinent (perfectionnisme, syndrome de l’imposteur, procrastination) et des petites étapes concrètes pour avancer dès maintenant.

Que tu veuilles lancer un side business ou devenir indépendant·e, cet épisode est un REEL boosteur de motivation :)

On abordera aussi :

  • Pourquoi le "bon moment" n’existe pas.

  • Comment élaborer ton idée et te lancer.

  • Mon expérience avec la formation 100% Indépendant et Rentable.


Pour télécharger le Vision Board 2025, clique ici 👉🏻 https://www.ctbconsulting.ch/visionboard

Pour t'inscrire à 100% Indépendant et Rentable, clique ici 👉🏻 https://www.ctbconsulting.ch/objectifindependant


À écouter, à partager, et à appliquer pour un impact réel sur ta vie et ton business!


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Mots-clés : entrepreneuriat, gestion financière, investissement, revenus passifs, stratégies de vente, marketing digital, formations en ligne, coaching d'affaires.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    L'autre jour, j'ai entendu fin d'année, fin du monde Et je ne peux pas m'empêcher de rire en le disant, parce que je trouve ça hyper drôle et assez caricatural de chaque fin d'année. Mais vous voyez ce que je veux dire. On voit partout sur les réseaux sociaux qu'il reste X jours avant 2025, qu'il faut se dépêcher de finir ci et ça. Et si c'est vrai au niveau des assurances à résilier ou des troisième piliers à souscrire, je ne comprends pas pourquoi on doit se mettre la pression à finir quoi que ce soit d'autre, parce que la fin d'année, ce n'est pas la fin du monde. Et souvent, ce rush de fin d'année, il va avec les bonnes résolutions du début d'année. Et dans cet épisode, j'aimerais un peu casser cette tendance pour vous parler du bon moment. Le bon moment pour commencer quelque chose de nouveau, mais aussi celui pour arrêter quelque chose, pour terminer une tâche, démarrer son business, mettre de l'ordre dans ses finances, etc. Donc l'objectif de cet épisode, c'est de vous montrer que le bon moment n'existe pas et que c'est grâce à cette philosophie-là que j'arrive à faire autant de choses et gagner maintenant. aussi bien ma vie. Alors let's go pour un petit mode d'emploi, Janice May. Bienvenue sur Coach ton budget et business, le podcast dédié à la thume et aussi au marketing et à l'entrepreneuriat en Suisse. Je suis Janice, formatrice en marketing et business digitaux, mais aussi mentor et créatrice de contenu dans la finance personnelle. Dans ce podcast, on parle argent pour s'éduquer, apprendre à le gérer et comment réaliser nos projets de vie avec. Important, très important, mettez une note à ce podcast si vous l'aimez. Et si vous l'aimez encore plus, vous pouvez vous abonner à l'amusateur et vous l'aurez dans votre boîte mail toutes les deux semaines. La note, ça m'aide à le faire connaître. Donc si vous avez envie de partager cet épisode à quelqu'un que vous pensez que ce sera monstre utile, partagez-lui cet épisode. C'est grâce à ça que j'arrive à développer cette envie d'éducation financière à travers la Suisse. Donc merci de le partager, merci de lui mettre une note. Merci beaucoup. Alors juste avant de déballer mes conseils, stratégies, tout ça, tout ça, j'avais commencé dans l'épisode dernier à vous reparler de ma formation Objectif 100% indépendant et rentable. Et j'ai eu... pas mal de questions concernant celle-ci, alors je vais vous dévoiler un petit peu plus à ce sujet-là. Concrètement, en septembre, j'ai organisé une première session de cette formation, c'était sur deux semaines, on a fait quatre lives, dont un surprise, on a abordé trois thèmes, se structurer, se rémunérer et se vendre sur un marché concurrentiel en tant qu'indépendant en Suisse. Il y avait 97 personnes qui ont participé, et en fait le but c'était aussi d'ouvrir les portes de Coach Ton Business derrière pour le mentorat privé. Là, les choses elles changent un tout petit peu, parce que dans le business, j'ai fait ce qu'on appelle une MVP. où j'ai proposé un produit à un prix cassé pour tester le marché et récolter des feedbacks. Ça a fonctionné. Là, je sors la vraie formation, 100% dépendant et rentable. C'est toujours les mêmes sujets, mais avec un objectif beaucoup plus précis que la première fois et surtout une formation bien plus aiguisée, mes chers amis. En gros, module 1, on structure ton activité pour bien démarrer. L'objectif, c'est d'avoir une bonne idée d'entreprise, définir sa niche, le public cible et la proposition de valeur unique. Si ce sont des termes un peu inconnus du bataillon, t'inquiète, il y aura tout qui sera expliqué dans la formation. Le module 2... c'est se vendre sur un marché concurrentiel. Donc l'objectif, c'est développer des compétences pour se rendre visible et attirer ses premiers clients, même dans un marché concurrentiel. Le module 3, c'est se rémunérer confortablement avec ton activité. Donc l'objectif, c'est poser les bases de la rentabilité en lançant une première offre et en proposant un service. Pour ceux qui veulent en rester là, c'est très très bien et je suis contente. Mais ceux qui veulent aller plus loin, vous avez deux mois pour activer un plan personnalisé. En fait, c'est un appel qu'on fait de 15 minutes qui est aussi une postulation à Coach Ton Business. C'est sans engagement, en fait, l'idée c'est qu'on travaille ensemble pour la suite. Donc le plan, il est personnalisé. Et si vous avez envie d'aller dans Coach ton business après, en fait, la formation 100% indépendant et rentable, elle est 100% remboursée. La question c'est à qui ça s'adresse ? La formation, en fait, elle est faite pour toutes les personnes qui rêvent de quitter le salariat pour se lancer à leur compte, mais qui ne savent pas forcément par où commencer ou comment s'assurer de vivre de leur activité. Donc en gros, c'est pour toi si tu veux devenir indépendant, mais que tu es perdu entre les démarches, les offres, la recherche de clients. C'est aussi pour toi si tu as une idée mais qu'elle n'est pas encore bien définie, que tu veux te lancer de manière structurée et efficace. Mais c'est aussi pour la personne qui est déjà en activité et qui fondamentalement a capté que ce n'est pas si facile que ça de se lancer. Donc c'est aussi pour toute personne qui rêve de cette liberté associée à l'entrepreneuriat et de pouvoir se rémunérer assez rapidement dès les premiers mois. Alors dès le 1er décembre, il va y avoir une pré-vente jusqu'au 14 janvier parce que la formation ouvre le 15 janvier. Donc ceux qui veulent profiter de la pré-vente aussi, elle sera. rembourser si vous voulez changer d'avis entre temps en mode en fait je veux plus de ta formation à la con ok c'est pas très grave il y aura un remboursement qui sera organisé jusqu'au 14 janvier et à partir du 15 janvier on rentre dans le vif du sujet. Bon assez parlé de ça de toute façon je en parlerai peut-être au cours de l'épisode parce que il y a toujours des liens entre ce que je raconte et ce que je enseigne et les gens que je m'entoure bien sûr dites moi juste si vous avez pas un peu ri quand j'ai dit fin d'année fin du monde non ? Ok y'a que moi que ça fait rire... Alors j'ai une petite question. Est-ce que vous vous arrêtez de respirer le 31 décembre à 23h59 ? Parce que moi pas. Alors je vais vous expliquer comment cet épisode il est né. En fait cette année avec Coach ton business, beaucoup de gens m'ont dit c'est pas encore le bon moment, je peux pas tout de suite, c'est pas pour moi maintenant. machin machin, il y en a qui étaient pire motivés et il y en a j'ai senti que en fait non c'était trop pour eux. Et si fondamentalement je suis la première à dire trust the timing of life et que j'ai saisi que dans le mentorat c'est hyper important, que la personne si elle n'est pas prête à se faire suivre, il n'y a pas de résultat, et bien j'ai observé que beaucoup de gens se cachent derrière la procrastination, la peur ou tout simplement le fait de ne pas savoir, ce qui les empêche aussi d'avancer. Donc cet épisode c'est un petit guide pour toute personne qui souhaiterait mettre en pratique ma philosophie de motivation. qui m'a permis d'avoir une certaine abondance dans mes résultats. Et quand je parle de résultats, je ne parle pas de succès, parce que j'estime qu'il est relatif aux attentes de chacun. En fait, pour certaines personnes, mes chiffres, ils sont OK. Et pour d'autres, ils sont Waouh, putain, meuf, t'as cartonné cette année ! Alors l'idée, ce n'est pas de juger, mais de se dire OK, si on se met au boulot maintenant, si on fait quelques petites actions maintenant, on a ça dans 3, 4, 5, 6 mois. Et pour ça, j'ai prévu d'aborder un petit peu de ma sphère privée, un petit peu de ma sphère pro. et les axes de développement à mettre en pratique. Parce que vous connaissez ce podcast, je vous donne toujours de quoi mettre en place les choses, de quoi vous mettre en action une fois que vous avez écouté les choses, et surtout de vous motiver à vivre votre vie pleinement au final. Alors au début, soyons un petit peu clairs. J'aimerais qu'on évoque les raisons pour lesquelles vous ne passez pas à l'action dans votre vie, et vous vous cachez derrière un certain c'est pas le bon moment Évidemment, c'est pas exhaustif, mais c'est assez réaliste. Le premier que je détecte, c'est... la peur de l'échec. En fait, vous avez peur de ne pas réussir, d'être jugé par les autres, ou par vous-même en fait, et l'échec c'est plutôt perçu comme une fin. Donc l'échec c'est la fin, ça s'arrête. Alors qu'en vrai, quand on est dans l'entrepreneuriat, l'échec ça arrive très souvent, et c'est pas une fin, c'est un apprentissage. Je sais pas comment vous le dire d'une manière différente pour pas que ça fasse cliché en mode, you don't fail, you learn. Je veux pas faire un petit peu la meuf comme ça, mais je veux vraiment vous montrer que... Dans l'entrepreneuriat, quand on a un échec, quand on n'arrive pas au bout de quelque chose, en fait ça nous permet de pivoter et de faire autre chose. Donc en fait, les gens qui ont peur de l'échec, souvent, ils préfèrent rester dans leur zone de confort, là où il n'y a pas de risque de perdre quoi que ce soit. D'ailleurs, j'avais déjà fait un épisode sur les risques. Est-ce que c'est risqué de gagner de l'argent ? Ou je ne sais plus comment je l'avais appelé, mais c'était à peu près ça l'épisode, vous pouvez aller voir, il est un petit peu plus bas. Ce que vous devez comprendre, c'est que l'échec, vraiment, il fait partie du processus du succès. Parce que chaque erreur va vous amener un peu plus proche de l'opportunité de réussir. La deuxième chose, c'est qu'on a le syndrome de l'imposteur. Souvent, on pense qu'on n'est pas légitime, qu'on n'a pas assez de compétences, qu'on ne mérite pas de réussir et on repousse les projets et on attend de se sentir prêt. La vérité avec le syndrome de l'imposteur, c'est que tant que vous ne pratiquez pas, vous ne gagnez pas de compétences. Et tant que vous n'avancez pas aussi, tant que vous ne vous positionnez pas en tant que telle et telle personne sur votre marché, forcément, vous ne pouvez pas sortir de cette sensation d'imposteur. Moi, je l'ai encore parfois. Mais plus j'avance, plus je vois des gens, plus je me rends compte que je les aide et que j'ai vraiment une plus-value, moi j'ai ce sentiment-là. Je pense que souvent les gens sont au courant qu'ils ont un syndrome de l'imposteur, qu'ils ont la peur de l'échec, qu'ils sont perfectionnistes, etc. Mais il y a un truc qu'ils ne réalisent pas, c'est que le manque de clarté, ça les empêche d'avancer. Souvent, si c'est votre cas, vous savez de quoi je parle, c'est que vous ne savez pas par où commencer, vous n'avez pas de vision claire, vous ne savez pas où vous allez. Et sans ça... vous êtes perdu et vous ne faites rien. Et ça, je comprends tout à fait. C'est pour ça que c'est bien de se faire accompagner dans ce genre de cas, parce qu'une personne qui vous accompagne, elle a un regard externe, elle peut vous dire, bah là, il faut faire ça, ça, ça, ça. Mais on en reparlera aussi plus tard. Ensuite, j'en ai parlé juste à l'instant, c'est le perfectionnisme. Ça, je comprends aussi, c'est que tout doit être parfait avant de se lancer. Le plan parfait, le timing parfait, les ressources parfaites. Et souvent... ben vous êtes tout autant paralysé parce que vous passez beaucoup beaucoup de temps à regarder qu'est ce qu'il faut faire, comment il faut faire pour que ce soit tout parfait à vous de vous lancer. J'aime que ce soit super bien pensé et réfléchi mais honnêtement parfois il y a un truc très connu c'est mieux vaut fait que parfait. Ensuite il y a la fameuse procrastination et la procrastination souvent c'est lié à la première raison que j'ai cité c'est que on remet tout à plus tard parce qu'on a peur, parce qu'on n'a pas de motivation et surtout parce qu'on est dans une zone de confort donc On se dit qu'on agira quand on aura un peu plus de temps, plus d'énergie, etc. Et finalement, en fait, on accumule souvent plus de stress qu'autre chose, et on finit par jamais, jamais le faire. Et ça, c'est un peu le titre de cet épisode, enfin, c'est un peu ce que je vais vous montrer, c'est que le moment parfait, il n'existe pas. Le but, c'est de commencer, même si c'est un petit pas, et on va en parler dans cet épisode. Ensuite, il y a bien évidemment le manque de confiance en soi, on a peur, on doute, voilà, ça on connaît, hein. Mais de nouveau, c'est un peu lié à ce que j'ai dit avant, le syndrome de l'imposteur, c'est que plus vous allez pratiquer, plus ça va partir. Je peux aussi parler de De l'environnement qui est limité, donc souvent c'est les gens qui vous découragent, qui vous soutiennent pas, on est bloqué parce qu'on doute de nos ambitions, c'est pas cool, mais c'est aussi un facteur. Et il y a aussi beaucoup de gens qui sont concernés par la peur du changement, mais je pense que quand on veut se lancer dans l'entrepreneuriat ou dans un projet d'investissement, ou on veut changer sa vie en général, c'est pas forcément ça le plus gros facteur. Mais il est là quand même. Ensuite, la dernière raison, je dirais que c'est l'absence de motivation. On a des objectifs qui sont pas vraiment, vraiment, je déteste ce mot mais je vais l'utiliser là, ils sont pas vraiment alignés avec nos valeurs et nos désirs. Alors je vais citer un exemple qui a rien à voir avec l'entrepreneuriat mais quand on est jeune, on se dit ouais je vais aller en banque parce que c'est simple, je vais gagner beaucoup d'argent etc. Ou je vais faire avocat, je vais faire des études de droit, c'est assez commun ça. Et en fait souvent on se lance dans ces études et puis on se dit mais en fait pas du tout pour moi quoi, c'est pas du tout ce que je veux faire dans ma vie, moi je suis une artiste machin etc. Bah ça arrive très souvent. En fait idéalement... toutes les raisons que j'ai citées au-dessus, vous devez savoir ce qui vous bloque. Vous devez un petit peu connaître, vous devez un peu mettre le doigt sur Ok, moi j'ai peur de ça, moi j'ai ci, moi j'ai ça. Vous devez connaître pour faire un travail d'introspection qui fait que vous savez ce qui vous bloque et qu'à chaque fois que vous devez avancer, vous savez quoi attaquer pour enlever une barrière. Et ça, honnêtement, je pense que c'est... Enfin, je ne suis pas coach en développement personnel, on s'entend, mais je pense que c'est 80% du job qui est déjà fait. Et ensuite, on peut passer à la partie... motivation. Et là, la première chose que j'ai à vous raconter, c'est que chaque année, en général, c'est vers la fin d'année parce que tout le monde est en mode rétrospective, machin, machin. Moi, je fais un vision board, vision board, tableau de visualisation, et je m'imagine ce qui va se passer. On reviendra à la fin sur l'histoire du vision board parce que je vais vous expliquer comment est-ce qu'on fait un bon vision board. Ce qu'il faut savoir, c'est que cette année, donc fin 2023, début 2024, on va dire, comme j'avais vécu... Quand même pas mal de choses au boulot, que j'avais été très stressée, que j'étais malade, etc. Moi j'avais envie que 2024 ce soit une année de paix, être confortable dans ma vie, être débarrassée de tout tracas. Alors certes quand on se lance dans l'entrepreneuriat c'est pas exactement ça qu'on a, mais j'ai opéré des changements, dont mon déménagement en Valais, qui ont vraiment fait que j'ai ressenti cette paix, j'ai ressenti ce confort, j'ai ressenti tout ça. Et ça m'a vraiment aidée derrière à développer mon entreprise et à développer mon activité entrepreneuriale. Donc l'un sans l'autre, ça n'aurait pas été possible, je pense. En tout cas, je ne me serais pas vue vivre tout ce que j'ai vécu cette année-là à Lausanne. Ça aurait été complètement différent. Donc pour ceux qui débarquent, avant j'habitais à Lausanne et je travaillais à Neuchâtel. En tout cas pendant à peu près trois ans. Non, deux ans, je ne sais plus. J'ai travaillé aussi sur Genève. En fait, je faisais tout le temps des trajets. J'avais des bons jobs, mais je faisais tout le temps des trajets. Et ça m'a vraiment épuisée, surtout que... Moi je me donne pas à moitié dans quelque chose, je me donne à fond, et du coup ça me puise beaucoup d'énergie quand je fais quelque chose, que ce soit en tant que salarié ou maintenant dans ma boîte. Et surtout, j'ai rencontré quelqu'un l'année dernière qui fait que ça faisait sens que moi je vienne en Valais plutôt que lui vienne sur Vaud. In fine, on s'est retrouvés en Valais, et franchement ça a été la meilleure décision de ma vie. En gros, le Valais ça m'a apporté, ben non seulement, j'en ai parlé beaucoup dans les épisodes, et d'ailleurs je vous ai un peu caché la raison pour laquelle j'étais venue en Valais, mais en fait ça m'a... amené beaucoup d'avantages, déjà au niveau financier, parce que le valet c'est quand même moins cher, le loyer, l'assurance maladie, j'ai aussi économisé beaucoup sur les trajets, vu que j'avais plus besoin d'un AG, bon, il y a la voiture, mais ça c'était une autre question, mais vraiment j'ai économisé beaucoup d'argent en venant en valet, et surtout, je sais que c'est débile, mais le fait de ne plus avoir à manger à midi dehors tout le temps, ou de devoir préparer tout ça, j'ai gagné beaucoup beaucoup de temps, et j'ai gagné de l'argent. Donc déménager en valet, ça m'a apporté un apaisement vraiment de ouf. Surtout quand tu as ton bureau qui est en dessous, donc tu n'as pas besoin de faire des trajets. Les autres trajets que je faisais, c'était parfois pour descendration ou c'est parfois pour descendration quand je travaille de puissance. Parce que ça m'arrive, en fait, ça me fait changer un peu d'endroit. Donc finalement, j'ai quoi ? J'ai 15 minutes de route. C'est rien du tout par rapport à avant. Alors, je ne dis pas que c'est une solution. Je vous explique juste, moi, ce que j'ai fait, en fait, cette année pour que ça arrive. Parce que je vous ai parlé de la sphère privée. Ça, c'est un des éléments qui a fait que vraiment, j'ai pu être focus sur mon activité entrepreneuriale et accomplir beaucoup, beaucoup de choses. Ensuite, la deuxième chose qui fait partie de ma vie depuis adolescente, c'est-à-dire que le sport chez moi, ce n'est pas une lubie. C'est-à-dire que le sport fait partie de ma vie intégrante depuis que j'ai 12-13 ans. Et même avant, je faisais de l'équitation, je faisais de la natation, etc. Donc vraiment, toute ma vie, j'ai fait du sport. Les sports que je pratique, principalement, c'est le trail. Maintenant, le trail exclusivement parce que vu là où j'habite, je n'ai plus trop la possibilité d'aller juste courir parce que dès que je fais 500 mètres, j'ai forcément 200-300 mètres de dénivelé positif à faire. Mais avant je faisais beaucoup beaucoup de courses à pied en ville et ça a toujours été mon sport principal. Ça m'arrive de faire de temps en temps encore du tennis et j'ai repris l'équitation aussi donc je fais pas mal d'équitation. Et après pour vraiment le soutien, l'entretien tout ça, finalement je vais faire du fitness. Moi j'appelle pas ça vraiment un sport que je fais parce que c'est pas mon truc principal mais je kiffe bien faire du fitness. Et en fait d'avoir le sport omniprésent dans ma vie... Ce qui fait que je passe à peu près, je dirais en moyenne, je passe... 30 à 1 heure par jour à faire du sport. Ça peut être aller faire de la marche, aller courir, aller monter à cheval, aller faire du fitness. Je passe vraiment beaucoup de temps à faire du sport et ça je dirais que ça m'aère énormément l'esprit et ça nourrit énormément les idées que j'ai. C'est à dire que parfois je vais marcher, parfois je vais courir et tout d'un coup, ça pop dans ma tête. Et je pense que vous avez déjà eu ça, vous êtes sous la douche, vous êtes en train de faire un peu une activité autre et tout d'un coup vous avez des idées de génie. Moi c'est ça qui m'aide à pondre autant d'idées et parfois je vais penser à un client, parfois je vais penser à quelqu'un et je vais dire putain non... ça c'est une bonne idée pour cette personne et genre je vais lui faire un vocal, je vais lui dire putain j'ai pensé à toi j'ai fait ci et ça, et je pense que mes clients ils doivent trouver ça drôle parfois parce qu'ils reçoivent un message random de moi en mode putain j'ai une idée pour toi mais j'adore ça, et ensuite la troisième chose c'est que je vous parle beaucoup de thunes dans ce podcast, ça aussi ça fait partie d'un de mes conforts de vie, c'est que j'ai toujours en place mon épargne mes investissements et c'est ce qui fait que j'ai toujours toujours un coussin de sécurité et ça quand vous êtes entrepreneur c'est super important... Parce que ça vous évite d'avoir peur, en fait, à chaque fois qu'il y a un truc qui se passe. C'est-à-dire que vous avez moins de clients, vous avez moins de revenus, vous avez un chômage, je ne sais pas quoi. Le coussin de sécurité financière, franchement, c'est la base, les gars. Et ça, ça m'a énormément aidée à être sereine cette année. C'est-à-dire que si un client, il ne signe pas. Si un client, il me dit, non, mais en fait, ce n'est pas pour moi là maintenant. Ce n'est pas grave, en fait. Je ne vais pas dépendre de ton argent, je ne dépends pas de toi. Ça, c'est super important pour l'apaisement. Et puis pour ne pas être dans la course, dans la rat race, bon la rat race c'est pas exactement ça la définition, mais vous n'êtes pas dans une course tout le temps à trouver des clients parce que financièrement, et ben c'est correct. Alors certes, moi j'ai une escalade des revenus qui est incroyable, donc finalement c'est plus trop ça, mais à toute personne qui galère financièrement, que ce qu'il soit salarié ou entrepreneur, le coussin de sécurité c'est le B à bas. Et ce que j'enseigne aussi beaucoup dans Coach ton business, et même dans tout ce que je dis en général, c'est qu'au début de votre activité, Vous devez être capable de constituer un coussin de sécurité, ou en tout cas de démarrer avec un coussin de sécurité qui va vous permettre de développer vos activités sereinement. C'est super important. Et si ce n'est pas le cas, il faut mettre en place des stratégies de rémunération et des stratégies aussi de paiement, de tout ça, qui font que finalement vous êtes armé face à des clients qui ne vont peut-être pas payer, qui vont peut-être refuser, qui ne vont pas venir avec vous, etc. Bref, tout ça c'est dans Coach ton business, je ne vais pas m'étaler là-dessus maintenant. Donc voilà, moi c'est un peu les trois trucs principaux, je vous ai pas parlé de mes relations personnelles avec mes amis, etc, ma famille, tout ça, parce que c'est aussi, ça fait partie aussi du deal, mais je dirais que les trois éléments principaux qui m'ont aidé à faire beaucoup de choses cette année et gagner de l'argent et avoir des bons résultats, c'est vraiment être en paix, être tranquille, faire du sport pour m'aérer la tête et toujours toujours bien faire en sorte que financièrement je sois confortable pour pouvoir prendre des décisions et pour aller de l'avant. Maintenant par rapport à la sphère... professionnelle. Donc vous savez, si vous écoutez mon podcast, vous connaissez ma... Vous connaissez mon bis, quoi. Vous connaissez tout ce que je fais. J'en parle de manière très transparente. Je suis extrêmement honnête avec tout ce que je dis. En fait, mon but cette année, c'était vraiment d'avoir la SARL. Et spoiler, ça a été dur de l'ouvrir, mais bon, ça y est, on arrive au bout. Alors, je vais vous raconter une petite histoire. En fait, toute cette année, c'était vraiment je veux ma SARL, je veux ma SARL, je veux être employée, je veux être employée. Et quand j'ai fait toutes les démarches, Ça coûte de l'argent d'ouvrir une SARL quand même. Vous avez le notaire, l'inscription au RRC. Puis après derrière, si vous voulez vous verser un salaire, donc être l'employé de votre société, il y a toutes les charges associées. Donc les assurances obligatoires, assurances sociales, mais il y a aussi tout ce qui est LPP, etc. Et derrière, il y a encore tout ce qui n'est pas obligatoire, mais que vous devez faire si vous voulez vous protéger. Et c'est toute la différence avec quelqu'un qui est en réseau individuel et quelqu'un qui est dans sa SARL employée. En réseau individuel, en général, vous devez souscrire quand même pas mal d'assurances également pour être protégé. Un indépendant, il est clairement moins protégé techniquement parlant que quelqu'un qui est en SARL. Et c'est toute la différence, c'est que souvent les indépendants, ils sont en mode économie d'argent parce que vous n'avez pas les revenus en général qu'on a dans une grosse société. Je dis bien en général, il y a des exceptions. L'indépendant, en fait, il doit bien comprendre qu'une bonne prévoyance, mais pas que la prévoyance, des bonnes assurances, c'est super important s'il lui arrive quoi que ce soit. Et en arrivant à ce bout, en étant dans toute la... des assurances et tout, tout d'un coup, ça m'a fait tilt, je me suis dit putain, c'est quand même beaucoup d'argent. C'est-à-dire qu'il faut s'assurer quand même un beau revenu, alors certes c'est proportionnel après au revenu qu'on se paye, etc. Mais ça m'a fait revenir à mon objectif de base, c'est-à-dire que l'année dernière, quand j'ai lancé mon side business, je voulais être plus confortable financièrement, mais ça ne voulait pas dire avoir plus de fric pour le claquer, ça voulait dire vraiment constituer mon coussin de sécurité, constituer ma prévoyance, constituer en fait ce qui allait me permettre de m'enrichir. Et en fait... Cette société, c'est ça. C'est utiliser ma société dans ma prévoyance, faire tout à ma sauce, mieux me rémunérer, être libre dans ma gestion pro, ne pas avoir d'heures, tout ça, tout ça. C'était ça. C'est pour ça que je voulais une société, entre autres. Donc effectivement, quand j'ai été, il faut payer ça, ça, ça, tel pourcentage, il faut prendre quand même des décisions de se dire, je me rémunère à tant et tant de pourcents, il faut réfléchir aussi si un jour j'ai des employés, comment est-ce que ça va se passer, machin, machin. Bref, on ne va pas parler de ça dans cet épisode, mais c'est quand même beaucoup, beaucoup de décisions à prendre qui impactent financièrement et les dépenses de l'entreprise et vos revenus à vous. Donc à toute personne qui se lance là-dedans. il y a des décisions à prendre au bout d'un moment qui sont assez importantes. Et moi, vraiment, arrivé à ce moment-là, j'ai eu ce truc de Ouf, c'est bon, elle est là, mais ouf, il y a toutes ces assurances. Il y a tous ces trucs à prendre, il y a tous ces trucs à réfléchir. Et là, je me suis dit Bah, tu voulais la SARL, mais en fait, tu la voulais pour toi, pour pouvoir prendre tes décisions à toi. Et ce qui est aussi très important, c'est qu'il ne faut pas se leurrer. Utiliser sa boîte pour sa prévoyance de la manière dont je vous le parle, il faut quand même générer des revenus. Vous ne pouvez pas vous dire Moi, je veux ma boîte juste pour ça. Vous devez quand même avoir un business model et un plan derrière qui est quand même... rodée ou qui va vous permettre d'avoir assez de ressources pour atteindre ces objectifs là et pas vous retrouver en fait avec moins qu'avant quand vous étiez salarié c'est parce qu'on veut moment challenge c'est qu'en tant que salarié j'avais quand même un très très bon salaire donc il faut fallait monter la barre haut pour se dire ben voilà faut certes taffer surtout la première année mais ça va être super intéressant après au niveau retour au niveau prévoyance etc après je ne vous cache pas que quand on est dans l'entrepreneuriat et quand on veut développer quelque chose comme ce dont je vous parle Eh ben, faut avoir des sacrées couilles et faut être bien motivée et faut avoir des bons outils, faut avoir des bonnes méthodes. Mais bon, on est on track. Ça c'est une partie de ce que je voulais au niveau professionnel, mais surtout, je voulais trouver ce que j'aime faire dans ma vie et l'utiliser comme moyen de rémunération. Et là je vous parle pas de l'ikigai parce que c'est un peu ça, mais voilà, c'était ça, c'était me dire, Janice, je veux que tous les jours de ta vie ce soit un gros kiff parce que tu kiffes tes clients, tu kiffes ce que tu fais, tu... Là on est quoi, on est en novembre quand j'enregistre cet épisode ? Novembre 2024 ? franchement je me suis jamais aussi sentie pleine d'énergie à l'idée de mentorer des gens dans leur projet de vie dans leur projet entrepreneurial et là je me dis vraiment putain je kiffe faire ça et je vois parfois je suis en séance avec des clients des élèves, souvent vous m'entendez parler clients élèves, un peu la même chose, j'aime bien dire élèves parce que ça les met au rang d'apprentis et de se dire on apprend pour se sortir les pouces du cul parfois je passe plus de temps, parfois on arrive à au lieu de faire 30 minutes, 40 minutes de séance, on arrive à une heure et je sens qu'ils sont un peu là genre punaise je suis en train de lui bouffer des temps... Mais non, en fait, moi, je kiffe. Tant qu'on n'a pas défini de stratégie claire, tant qu'on n'est pas arrivé au bout de l'objectif de la session, moi, je continue. Tant que je n'ai pas tous les éléments qu'il me faut pour répondre aux questions, pour faire le plan, je continue. Et après, pareil, il y a tout le soutien que je fais derrière, par WhatsApp, où je suis là, où j'essaye d'un maximum... Après, j'ai quand même beaucoup d'élèves, donc je ne peux pas faire ça à foison. Mais j'ai toujours une pensée, pour les élèves que je mentor, quand je vois qu'ils sont dans une situation où je me dis, tiens... Il a besoin d'un petit coup de pouce, un petit message, un petit audio, un petit truc. Ça, ça coûte rien. Et franchement, moi, je kiffe faire ça. Et je kiffe être cette personne-là pour se dire, ils ont un poteau là, au milieu de l'océan, sur lequel ils peuvent s'accrocher. Bon, pour revenir à cette histoire de se faire professionnel. Parce que je vous ai dit résultat, résultat, résultat. Moi, dans ce que je voulais faire cette année, il y avait quand même un objectif de croissance de l'entreprise. Et cette croissance, elle a eu lieu. C'est-à-dire qu'il y a une croissance des followers. Parce que je rappelle, il y a une année, c'est-à-dire en novembre... D'ailleurs, j'ai des captures d'écran encore. J'ai fait le tri dans mes captures d'écran. Il y a une année, j'avais 1100 abonnés sur Instagram. Aujourd'hui, on arrive sur 9000. Je sais que c'est du chichi, les followers, ça ne veut rien dire. Mais quand même, j'ai réussi à réunir 9000 personnes qui sont intéressées à mettre en place des stratégies pour leurs finances ou des stratégies pour leur business, pour leur projet entrepreneurial. En Suisse, je ne suis pas en train de taper sur le marché français. Je suis en train de taper sur un marché qui est restreint, c'est-à-dire... qu'on est peut-être 6 millions en Suisse, je ne sais plus. Les francophones, il n'y en a pas 6 millions, il y en a beaucoup moins. Donc je suis en train de taper sur un marché qui est beaucoup plus restreint que la France, qui est en train de naître, mais qui est quand même plus en retard par rapport à la France à ce niveau-là. Je parle vraiment entrepreneuriel indépendant. Je ne parle pas de tout ce qui est start-up, innovation, etc. parce que c'est différent. C'est un marché qui est totalement différent. Moi, je suis vraiment plus calée sur les indépendants en Suisse. C'est ça la différence. Donc je me dis, j'ai touché, j'ai mis le doigt sur vraiment une audience qui a besoin. de cette aide pour trouver des clients, pour se rémunérer, etc. Donc, dans mes objectifs cette année, il y avait la croissance de l'entreprise, tant au niveau prospect, client, etc. Et je ne vous cache pas que ça a pris vraiment de l'ampleur, et là, en cette fin d'année, je sens qu'il y a eu des paliers. Il y a vraiment des moments où ça faisait, hop, ding, boum. Après, petit plateau, hop, ding, boum. Ça remonte, petit plateau, hop, ça boume, petit plateau, etc. Cette année, il y a clairement eu ça. Et les moments un peu plateaux, c'était des moments où soit tu doutes, où tu te dis, putain, merde, pourquoi ça n'avance pas comme avant ? soit tu prends le temps de respirer parce que putain quand ça monte, ça monte et c'est fort. Donc aussi au niveau produit, j'ai développé vraiment deux produits cette année, c'était Coach ton business, donc le mentorat, mais derrière comme j'avais trop de demandes, j'ai dû développer un autre produit qui me permettait d'onboard plus de gens et surtout que les gens se rendent compte que c'est un produit qui est très bien, et Je me demande s'ils ont envie de bosser ou pas avec moi après, ou s'ils ont envie de passer à la suite. Et ça, c'était Objectif 100% Indépendant et Rentable que j'ai organisé en septembre. Ça, ça a été un gros succès. Franchement, 100%, je l'appelle 100% IER, ça a été un gros succès, c'était vraiment chouette. Mais derrière, j'ai senti qu'il n'y avait pas assez de passage à l'action. C'est-à-dire que je voulais vraiment que les gens sortent de ça et se disent, avec Janice, en formation, j'ai accompli Je connais mon public cible, je sais que mon idée elle est viable, j'ai un objectif financier, j'ai mis tout ça en place. Soit j'avance tout seul et je continue, soit j'avance avec elle et on passe en mentorat. Moi je voulais vraiment ça. Et c'est ce que j'ai développé maintenant avec 100% indépendant et rentable qui sortira du coup, enfin la pré-vente elle sera en décembre mais qui sortira vraiment le 15 janvier. Moi je voulais vraiment du passage à l'action. Qu'on se sorte les pouces du cul et qu'on se dise ok cette année j'ai un projet entrepreneurial. Ben cette formation là c'est vraiment the outil pour... sortir ce truc. Et c'est un petit investissement, je vous dis, c'est un petit investissement. Quand on a besoin, quand on ne sait pas comment avancer, vous avez la démarche claire, nette et précise sur ce que vous devez mettre en place pour commencer. C'est pas autre chose. J'ai vu assez de personnes cette année, j'ai fait assez d'études de cas dans mes études, j'ai vu assez d'entreprises, j'ai travaillé dans assez d'entreprises pour vous dire que quand on lance une entreprise, il n'y a pas mille manières de commencer. D'avoir une structure claire et établie, même quand on veut devenir indépendant, masseur, thérapeute, je sais pas quoi. Commencer par là, ça vous donne des bases hyper solides dans votre pratique. Et à ceux qui sont déjà lancés et qui galèrent, de repasser par là, c'est hyper puissant. Vraiment, je vous dis, parce que je suis aussi souvent des gens qui, ça fait 3-4 ans qu'ils sont dans leur business, et ils se rendent compte que c'est pas facile, ça stagne, ça stagne, j'arrive pas à avoir plus de clients, j'arrive pas à en vivre, etc. De repasser par là, ils sont là genre, en fait... méga puissants tes outils, méga puissants de se poser les bonnes questions de se repositionner de faire une vraie étude, de se dire ok méga puissant et en fait après ils prennent beaucoup beaucoup de valeur dans leur métier ils arrivent à être beaucoup plus puissants dans ce qu'ils font dans leur force de frappe et ils éclatent tout et moi c'est ce que je veux donc voilà il y avait deux produits et en fait à côté de ça moi je fais quand même beaucoup beaucoup de contenu sur les réseaux sociaux, le podcast tout ça tout ça donc finalement je passe beaucoup de temps à faire du contenu, ça c'est une grosse partie de mon temps mais je kiffe et il y a encore à côté mes consulting, donc vraiment entreprise, grosse entreprise, et il y a l'influence que je vais progressivement, je pense, quitter à partir de l'année prochaine parce que je me sens plus du tout alignée avec TikTok, j'ai du mal à faire du bon contenu sur TikTok. Même si je sais qu'il y a beaucoup de monde qui me suit, franchement, ça devient difficile pour moi d'avoir de la valeur. Donc je vais encore... tester je pense en 2025, je vais prendre une consultante spécialisée dans TikTok pour m'aider à faire du nouveau contenu et du contenu frais parce que j'ai quand même envie de donner un dernier shot mais honnêtement tout ce qui est influence partenariat franchement je vais pas continuer. Voilà alors une de mes stratégies cette année pour faire autant de choses c'est que il faut bien comprendre que dans le business si vous voulez survivre il faut lancer des nouveaux produits lancer des nouveaux services ou alors vous diversifier ou alors faire en sorte que vos clients rachètent ou alors enfin bref il y a mille et une techniques je vais pas les énoncer là... Mais en gros, j'ai à chaque fois lancé des nouveaux produits, j'ai relancé, puis surtout j'ai mis au goût du jour la formation Coach Ton Business pour qu'elle soit toujours attractive et qu'on se dise Putain, moi je veux aller bosser avec elle, c'est trop bien ! Et pour ça, ce que je vous conseille, c'est de toujours tester en MVP, c'est-à-dire Minimum Viable Product, avant d'investir massivement ou avant de vous lancer corpsième. Vous démarrez avec un produit minimum, vous démarrez, vous testez, vous regardez. On n'est pas sur de la recherche de volume, on n'est pas sur de la recherche de méga, méga maximisation du profit à la base. Vous démarrez petit et vous tentez comme ça. C'est ce que j'ai fait avec un 100% indépendant et rentable, ça a super bien marché. C'est ce que je vous conseille de faire et d'ailleurs c'est ce que vous allez pouvoir tester et pouvoir faire dans 100% indépendant et rentable, dans la nouvelle version. Ensuite, je vous parlais de trouver ce que j'aime faire. Le fait d'être dans une activité professionnelle que j'ai designée moi-même. Tout ce que je fais, c'est moi qui l'imagine, etc. Évidemment. Il y a de l'inspiration, il y a de la recherche, etc. Voilà, ça vient pas, ça poppe pas tout seul dans ma tête. Enfin, certains trucs. Tout ce que je fais, j'essaye un maximum d'être en lien avec moi ce que j'aime. C'est-à-dire que, je vous parlais d'influence là, il y a deux secondes. L'influence pour moi, c'est compliqué parce que parfois, je sais pas, j'ai ce truc où je me dis, j'ai peur de décevoir. Et ça m'arrive aussi avec mes clients, j'ai peur de décevoir, bien sûr. Mais plus j'ai ce gut feeling où je me dis, j'ai vraiment pas envie d'avancer avec eux, plus je me dis... that's not what you should do, c'est pas ce que tu devrais faire. Et du coup cette année j'ai beaucoup beaucoup réfléchi à chaque étape, d'ailleurs c'était aussi dans ce sens là que j'avais lancé Coach Ton Business c'est que Coach Ton Budget j'avais pas suivi les gens one to one et je voulais le faire d'un point de vue entrepreneurial. Donc c'est pour ça qu'il y a des séances de mentorat privé dans Coach Ton Business. Et ça, sans passer à l'action, sans faire, sans tester, sans être dans le doing, vous ne saurez pas. Vraiment. C'est quelque chose. Et moi c'était vraiment une recherche, une quête que j'ai fait cette année, c'était savoir ce que j'aime faire. Et c'est aussi C'est pour ça que j'ai fait autant de choses. Parce que je voulais voir, j'ai testé... Alors, je vous parlais du consulting, de l'influence, de coach ton business, de 100% dépendance et rentable. J'ai testé à chaque fois plein de choses. Mais aussi au niveau de création de contenu. Je veux dire, si j'ai fait des vidéos YouTube cette année, j'ai vite arrêté parce qu'en fait, ça prend trop de temps et c'est pas du tout ce que je veux faire. J'ai tenté des formes de reel, j'ai tenté des trucs sur TikTok, j'ai tenté... Ou en podcast, j'aurais ça assez safe, on va dire, mais j'ai tenté des trucs. J'ai tenté des trucs parce que je voulais voir ce que j'aimais faire et je voulais voir ce qui fonctionnait. parce que bien sûr ce que vous aimez faire ça doit aussi vous apporter une forme de résultat sinon vous pédalez dans le vide surtout au début de votre activité. Et ça c'était vraiment un gros challenge cette année et là j'arrive à la fin d'année 2024 et réellement non seulement je peux dire ce que j'aime vraiment faire dans mon activité professionnelle mais je peux aussi guider quelqu'un et lui poser les bonnes questions pour se dire ok ça en fait j'aime. Et d'ailleurs l'autre jour il y a une fille qui est venue m'aborder après un event et qui me dit bah moi en fait je peux tout faire. Du coup je sais pas quoi faire parce que je peux tout faire. Et là, je me suis rendu compte que c'était moi aussi, il y a quelques mois. Que j'étais aussi dans ce truc, mais moi, au niveau entrepreneurial, je peux tout faire avec toi. Et finalement, au fur et à mesure du temps, je me suis quand même spécifiée, je me suis quand même dit, non mais en fait, ça j'aime faire, ça j'aime moins faire. Et moi, c'est ce qui m'a aidée, c'est pratiquer. C'est faire, faire, faire, faire. Donc si vous êtes dans un cas où en mode, vous êtes là, je sais pas quoi faire, faire, ça vous aidera à vous déterminer. Et si vous n'êtes pas encore dans le faire, un gros tip que j'ai à vous donner, c'est de vous former, c'est d'apprendre. c'est d'écouter des podcasts comme le mien, de regarder des vidéos, d'apprendre des formations. Mais finalement, la formation, elle a un super bon marché devant elle parce que vous pouvez être sceptique avec la formation en ligne. Je comprends, il y a beaucoup de gens qui ont vendu de la merde et moi ça m'arrive, j'achète tout le temps des formations en ligne. Je vous dis, je suis une très bonne cliente des formations en ligne. Parfois, je paye pour des formations en ligne et je me dis, j'ai rien appris, fais chier. Mais c'est parce que si, j'en fais beaucoup. Mais ça c'est un mauvais côté. Mais un bon côté de la formation en ligne, de prendre des petites formations à droite à gauche, des trucs à 100 balles comme ça, vous allez apprendre beaucoup de choses et vous allez pouvoir déterminer ce que vous aimez faire et ce que vous n'aimez pas faire. Donc finalement si vous achetez une formation et que vous n'aimez pas ce que vous avez fait dedans, mais c'est pas grave, vous n'avez pas fait un cursus universitaire de 5 ans en vous disant putain j'ai pas aimé mes études. Au pire vous avez claqué 100 balles et c'est tout, c'est fini, point barre. Mais par contre, au mieux, vous avez trouvé un truc que vous avez dit, j'ai mis le doigt sur quelque chose, c'est ouf. Donc c'est ça ce que je vous invite à faire. Vraiment, d'un point de vue et personnel et professionnel, c'est de continuer de vous former, d'apprendre et de faire. Et moi, un truc aussi que j'ai vraiment appris cette année, c'est que j'adore former et j'adore faire apprendre. J'adore mentorer. J'adore... En fait, c'est pas un truc d'ego. C'est pas de dire Ouais, moi, je suis trop la best, je sais tout faire, je peux t'apprendre. C'est pas du tout ça ce que je veux dire. C'est vraiment de comprendre que j'ai les outils et d'analyser la situation avec les gens. Et de leur dire, ok, moi je vois ça, ça, ça, ça. J'ai pas toujours tout juste, hein. Parfois, je cible mal, parfois j'entends mal un besoin, j'entends mal une volonté, et du coup, je suis pas bien, voilà, ça arrive. Mais je demande toujours à la personne de m'indiquer si c'est correct ou pas. Et en général, ça l'est. Bon, ça c'était pour la partie professionnelle. Si je peux résumer, en fait, pour vous expliquer un petit peu la trame, pour continuer d'être dans la trame de cet épisode, parce que l'objectif, c'est quand même de vous montrer qu'il n'y a pas de bon moment, et que c'est le passage à l'action, les tests et les petits pas qui vont vous faire avancer. Pour vous résumer un petit peu ce que je vous ai dit jusqu'à maintenant et pour passer à la suite de cet épisode, c'est que dans l'aspect privé, j'ai aménagé, vraiment j'ai aménagé un environnement propice pour le passage à l'action. Je me suis apaisée, j'ai aménagé un environnement calme et serein, j'ai continué de faire des choses que j'aimais, j'ai continué de me mettre à l'abri et en sécurité pour pouvoir vraiment être dans un espace serein. Je sais que c'est pas toujours possible pour tout le monde de faire ça. Quand on a des enfants, quand on a une situation financière qui est délicate, je sais, je sais. Ne venez pas m'attaquer pour ça, je sais. En revanche, on peut tout faire pour faire en sorte que ce soit le cas. Et si ce n'est pas possible maintenant, faites en sorte d'adopter un autre mot bullshit tel qu'alignement, c'est la résilience. Adoptez de la résilience temporaire pour vous mettre bien et pour vous dire, ok, je fais ça maintenant, je fais ce petit truc maintenant, mais plus tard, je serai mieux. Et vous mettre des objectifs, vous mettre des deadlines, vous faire avancer chaque petit pas après petit pas pour que ce soit le cas. Et ensuite, au niveau professionnel, ce que j'ai essayé de vous dire, c'est que j'avais des gros objectifs, c'est-à-dire que j'avais un objectif de croissance, mais j'avais aussi un objectif de développement personnel et professionnel, c'est-à-dire que je voulais que ma boîte, elle grossisse et elle me permette d'être bien financièrement et de tendre vers mes objectifs de prévoyance, de sécurité financière, etc. Mais je voulais aussi trouver ce que j'aime faire dans la vie, je voulais aussi trouver mon truc qui me dit putain, Janice, t'es vraiment en train de vivre ta best life, même si tu dois aller bosser, quoi Je veux dire, je ne suis pas Elon Musk, je ne suis pas milliardaire encore, je ne peux pas me reposer sur mes acquis pour vivre une vie fire. Et puis, ce n'est pas ce que je veux. Moi, je voulais vraiment trouver un truc où je me dis que je suis utile à des gens et je donne mon savoir, je donne mon temps à des gens qui ont envie. de faire pareil en fait. Donc ça c'est vraiment les objectifs et l'espace que je me suis donné pour y arriver. Maintenant, qu'est-ce que je peux vous donner comme conseil pour passer à l'action et pour être pour tendre vers vos propres objectifs ? Ça c'était les miens, vous avez les vôtres, vous avez envie de vos propres choses dans la vie, c'est très important d'être au courant de tout ça. Qu'est-ce que vous pouvez mettre en place pour y arriver ? La première chose que j'ai à vous dire c'est que vous ne devez pas timer votre vie ou le marcher. Et ça, c'est pareil en bourse, c'est pareil quand vous voulez mettre de côté de l'argent. Il faut arrêter de vouloir timer sa vie, il faut arrêter de vouloir se dire que le moment parfait, il arrive. Parce qu'il n'y a pas de moment parfait. Je suis d'accord qu'il y a des moments qui sont meilleurs que d'autres, mais quand vous devez vous mettre en route vers un projet entrepreneurial, vers un investissement, etc., il n'y a pas mieux que les petits pas pour avancer. Même si c'est le pas le plus ridicule, le pas le plus ridicule, il a été fait. Et vous êtes en train de marcher. Parce que souvent, on fait ce premier petit pas et on se dit Ah oui, mais en fait, il y a tout qui avance plus vite que je pensais. Ah oui, parce que vous créez le moment parfait pour agir. C'est vous qui vous le créez. La vérité, c'est que le timing idéal, c'est celui que vous êtes en train de vous créer. Si vous passez votre temps à attendre que tout soit aligné, que la situation soit favorable, que la peur disparaisse, vous resterez tout le temps au même endroit. Le marché, les opportunités, la vie perso, ça bouge tout le temps. Et c'est vous qui faites en sorte que ça bouge, pardon. C'est vous qui faites en sorte que ça avance. Ceux qui réussissent, ce sont ceux qui prennent des décisions, même imparfaites, mais ils avancent. Et même si c'est bancal, même si ça fait peur, ils avancent. Parce que c'est l'action, c'est la clé qui ouvre les portes, des portes qu'on n'aurait jamais imaginées. Mais vraiment, moi, il y a une année, certes, je vais vous parler du vision board après. Il y a une année, jamais de la vie, je me serais dit que j'allais vraiment... dans un an, être si bien dans ma vie, être si bien alignée avec ce que je voulais faire professionnellement, de gagner ma vie avec ça, d'être vraiment bien et d'aider les gens à faire pareil. Jamais de la vie j'aurais pensé ça. Par contre, je me suis imaginée. Je ne me suis pas dit, je vais y arriver. C'est peut-être une erreur de visualisation de vous parler de ça, mais jamais de la vie je me suis vraiment... Je ne sais pas, je n'étais pas convaincue, mais dans ma tête, j'y allais. C'est vraiment bizarre à dire. Donc peut-être que finalement, j'étais convaincue intérieurement, mais j'y allais. j'allais vers ça, ou en tout cas je mettais toutes les briques pour y arriver, et je vous le dis, vraiment chaque petit pas aujourd'hui c'est un grand saut dans 6 mois, vraiment et c'est aussi pour ça que j'ai orienté 100% dépendant et rentable de cette manière là, c'était que vous donner des vidéos de marketing, d'entrepreneuriat c'est cool mais si vous passez pas à l'action moi ça change quoi à ma vie, moi ça change quoi de vous avoir vendu des vidéos à la con ou des trucs à la con, moi ça change rien et c'est, certes j'ai gagné un peu d'argent mais c'est pas ça que je veux pour vous, moi je veux que vous puissiez regarder ces trucs, vous sentir et inspirer... et aussi motivé parce que vous savez quoi faire de la suite, et puis surtout qu'à un moment donné, on bosse ensemble. Donc certes, vous pouvez peut-être aller dans 100% indépendant et rentable et pas avoir envie qu'on bosse ensemble derrière, c'est tout à fait ok, et c'est pour ça que j'ai designé cette formation pour que ce soit un cas ou dans l'autre ok, mais moi je veux qu'on se dise les deux, ok 2025, c'est mon année, je crée ce business, je crée ce projet, je me mets en route, ou alors je fais en sorte que ce business que j'ai déjà, il fonctionne, il tourne et je me rémunère avec ce truc. Un outil pour ça que je peux vous dire, et que j'avais utilisé beaucoup beaucoup à l'époque que j'utilise plus trop maintenant parce que je sais pas, je sais pas j'utilisais ça quand j'étais vraiment seule chez moi parce que je sais pas je prenais du temps pour le faire tout le temps mais c'était un outil incroyable et aujourd'hui quand je regarde ce que j'ai écrit à l'époque, je suis là genre waouh, tellement puissant de revenir en arrière sur mon état d'esprit, sur ce que j'ai amélioré et tout, c'est tellement puissant. Donc moi ce que je vous conseille de faire c'est que si vous pouvez, vous utilisez un journal et vous commencez à journaliser vous notez les petites actions quotidiennes vous notez votre état d'esprit vous notez ce que vous avez envie de faire... Et ça, ça va vous aider pour le prochain point que j'ai à vous donner comme astuce. Ça va vous aider à faire plein de choses, dont des micro-actions. Même si elles sont insignifiantes sur le moment, je vous jure que dans six mois, vous allez vous retourner et vous allez dire Mais heureusement que j'ai fait ça. Heureusement que j'ai fait ce petit truc-là. Heureusement. Alors le prochain truc dont je veux vous parler, c'est le pouvoir de la visualisation. Et d'ailleurs, ce que je vais faire, c'est que dans cet épisode, vous allez retrouver un lien pour télécharger votre propre tableau de visualisation. Donc vous cliquerez sur le lien. Ce lien il sera pas disponible ad vitam aeternam, il sera environ disponible 4 mois à partir du début de l'épisode. Donc si vous écoutez ça d'ici 12 mois il sera plus disponible malheureusement, mais j'en sortirai un chaque fois d'année, voilà. Mais le boulot de la visualisation je veux que vous le fassiez tout de suite maintenant à la fin de cet épisode, donc vous téléchargez votre tableau qui est sur Notion, qui va être trop cool vous verrez. La visualisation c'est bien plus qu'un simple exercice mental, c'est un processus qui vous permet de programmer votre cerveau pour qu'il travaille activement à la réalisation de vos objectifs. Et pour que ça marche, mes chers amis, il ne faut pas faire les choses à moitié. La première chose, c'est qu'il faut que vous ayez un objectif en tête. Vous ne pouvez pas visualiser sans savoir précisément ce que vous voulez. Et quand je vous parle d'objectif, ce n'est pas juste je veux être riche. Non, je veux mon petit chalet à Crans-Montana, être sur les pistes de ski avec mon mec un lundi, rentrer, avoir un chef privé qui nous cuisine le soir à manger. Bon, j'abuse, mais... Bisez haut les gars ! Rêvez, rêvez grand. Posez-vous la question, qu'est-ce que je veux accomplir ou obtenir dans ma vie ? Vous le définissez avec le plus de détails possible. Si c'est un business, imaginez le chiffre d'affaires, le nombre de clients, la satisfaction que vous ressentez. Si c'est un objectif personnel, voyez-le avec les détails sensoriels. Par exemple, si vous lancez votre business, imaginez votre site internet, vos produits, votre compte bancaire qui se remplit après chaque vente. Imaginez aussi, quand vous consultez, la sensation que vous avez avec un nouveau client. imaginez tout ça, ressentez les choses moi c'est vraiment un truc que je fais tout le temps donc la deuxième chose que je vous conseille par rapport à la visuation c'est trouver le moment pour le faire, moi je vais pas vous dire posez-vous 5 minutes et pensez parce que si vous êtes à la fin d'une grosse journée, que vous avez les enfants qui toquent à la porte, que voilà il y a du monde je sais pas quoi, c'est pas le bon moment pour le faire, idéalement vous êtes seul, bien sûr que vous êtes seul parce que vous devez avoir personne qui gravite autour de vous physiquement... et qui vous empêche en fait de réfléchir en toute liberté et de laisser votre cerveau vous évader. Donc vous allez vous balader, vous allez courir, vous êtes en train de nager, vous faites un sport où vous sortez et vous êtes seul. A la limite, il y a plein de podcasts à part ça, il y a plein de vidéos sur YouTube pour la visualisation. Vous mettez ça de prime abord, vous mettez ça dans vos oreilles, comme ça vous vous aidez à faire de la visualisation, vous vous accompagnez à faire de la visualisation. Ceux qui sont bien rodés au niveau de la visualisation, vous n'avez plus besoin de ça au bout d'un moment, je sais. Moi, je n'en ai pas besoin. Mais si vous avez besoin d'un coup de pouce, vous mettez ça dans les oreilles et puis vous imaginez ce que vous voulez. Et le prochain conseil par rapport à ça, c'est vous devez ressentir l'émotion comme si elle était là. Vous devez imaginer qu'une fois votre objectif atteint, vous avez une certaine émotion. Est-ce que c'est de la joie, de la fierté, de la gratitude ? Vous devez vraiment ressentir ce truc en mode, I did it, je l'ai fait, j'y suis, c'est comme ça que je veux me sentir. En fait, le truc c'est que plus vous êtes connecté émotionnellement, plus votre cerveau, il va enregistrer. Cette émotion comme une réalité. Et ça c'est aussi très puissant parce que je suis passée et je suis diagnostiquée anxio-dépressive. Pour ceux qui ne savent pas. Ils se disent mais quoi anxio-dépressive elle est tarée cette meuf elle fait que rigoler tout le temps. Mais c'est parce que justement je programme tout le temps ma tête ou mon esprit à penser positif. Je sais que pour ceux qui sont dans des esprits très négatifs ça peut paraître du charabia ce que je raconte. Mais je suis passée d'un esprit très négatif et très down à quelqu'un qui pense et qui voit positif. Parce que j'ai compris que plus on pense positif et plus on met en place des choses positives. plus c'est ouf pour le cerveau parce qu'il se programme de la telle sorte. Et franchement, je saurais toujours pas vous expliquer comment ça fait que c'est si fou à programmer et que ça marche, mais c'est le cas. Ensuite, la dernière chose que je pourrais vous dire, c'est que par rapport à la visualisation toujours, c'est pas de la magie passive. Elle prépare en fait votre cerveau à reconnaître les opportunités et à agir. C'est-à-dire que vous pouvez penser que ça se connecte à un truc, à un réseau interspatial qui fait que ça va se passer. Pas vraiment ça, c'est un peu plus concret que ça. Quand... La chose, elle va se présenter à vous. Donc ce dont vous avez rêvé, ou en tout cas les situations, ça se construit petit à petit. Et vous, naturellement, parce que vous l'avez imaginé, vous savez que vous devez saisir ça. C'est vraiment, c'est inconscient, vous savez que vous devez saisir telle et telle opportunité. Donc naturellement, vous allez vers de meilleurs choix. Et vous vous orientez vers ce que vous avez imaginé. Et une fois que vous avez visualisé, la première chose que vous devez vous demander, c'est quelles sont les petites actions que je peux faire aujourd'hui pour me rapprocher de ce que j'ai vu. Vous vous posez cette question-là, cette question-là, elle va devenir inconsciente au bout d'un moment. Par exemple, si vous vous êtes visualisé en tant qu'entrepreneur à succès, l'action du jour, c'est peut-être d'envoyer un email, de créer un poste, de faire une recherche. Toute première chose. De faire votre compte, d'acheter votre nom de domaine, de trouver le nom de votre boîte. C'est peut-être ça. Voilà. Et du coup, vous renforcez ça avec un tableau de visualisation que vous allez pouvoir télécharger dans le lien de cet épisode. On arrive sur la fin de l'épisode. Je vous rassure, c'était un long épisode, mais je pense que j'avais beaucoup à transmettre, beaucoup de choses à dire pour vous expliquer comment j'arrive à cartonner autant. Naturellement, ça, c'est tout un produit mindset de ma part. que vous allez retrouver chez beaucoup de personnes à succès. Et vous allez retrouver beaucoup, beaucoup, beaucoup de podcasts à ce sujet-là. Moi, je voulais vous partager comment je fonctionne réellement, vraiment ce que je mets en place, ou ce que j'ai mis en place au fur et à mesure des années. Et pour ceux qui seraient encore un peu sceptiques par rapport à la visualisation, je suis allée chercher sur Internet, en fait, exactement ce qui se passe au niveau du cerveau. C'est que, en fait, la visualisation, elle active une partie de votre cerveau qui est appelée le système réticulaire activateur. Et ça filtre les informations qui vous poussent à remarquer tout ce qui est pertinent pour vos objectifs. En gros, en fait, votre cerveau, il commence à travailler pour vous en mode automatique. Mais c'est génial ça ! Vous vous rendez compte ? C'est ouf ! C'est trop bien ! Donc ce que je veux que vous fassiez, c'est que vous vous mettiez en route pour vos objectifs, vos petits trucs comme ça. Je ne vous ai pas parlé de chiffres concrets. Je ne vous ai pas parlé, à part les nombres d'abonnés que j'ai, je ne vous ai pas parlé des prospects, du chiffre d'affaires, etc. Parce que je ne veux pas vous stresser avec des chiffres comme ça. Je les ai déjà beaucoup partagés, je vous ai déjà partagé ce que je voulais. Je vous ai déjà vraiment beaucoup beaucoup partagé au niveau chiffres, mais là ce que je veux que vous fassiez c'est que vous disiez ok, en fait c'est pas si compliqué que ça à mettre en place, et que plus je m'y mets tôt, et plus je fais des petites actions concrètes, plus j'arriverai à des grandes choses plus tard. Pour terminer l'épisode, j'aimerais vous parler un petit peu de ce que j'ambitionne de faire, parce que j'ai pas encore fait mon tableau. Le tableau de visualisation, j'ai pas encore travaillé sur ça pour mon année 2025. J'ai des idées, mais je me suis pas plongée dedans, j'ai pas encore fait vraiment le travail. Et je me suis dit que ce serait cool de commencer ce travail avec vous à l'oral là, comme ça. Comme ça vous pouvez aussi vous imaginer comment est-ce que je commence la partie visualisation, comment est-ce que je commence à mettre en place des choses que je vais faire l'année prochaine. Alors typiquement dans mes ambitions que j'avais cette année, mais qui se sont pas réalisées parce que j'ai pas mis les choses en place pour, parce que j'avais d'autres choses à faire, je vous avoue, c'est qu'il y a aussi un truc sur le tableau de visualisation, c'est que... Si vous êtes comme moi, avec beaucoup d'ambition, vous allez mettre beaucoup de choses. Il n'y a pas tout qu'on peut faire, parce qu'il y a un certain nombre d'heures dans la semaine quand même. Et il y a des priorités. Moi, je vais le remettre l'année prochaine, c'est que je rêverais d'enseigner ce que je sais à l'université. Je rêverais vraiment de pouvoir transmettre ça à des étudiants ou des jeunes qui veulent se lancer là-dedans. Je rêverais de faire ça. Dans mes autres ambitions, parce que vraiment enseigner, c'est un truc que j'adore. Sortir 100% dépendant et rentable, c'est clairement pas une ambition, parce que Ausha va se faire, je le sais. la formation elle est quasi prête, il faut juste terminer de monter et produire un petit peu tout le reste, j'aimerais que toutes les personnes qui sont coincées puissent sortir de 100% indépendants et rentables avec un projet et savoir comment avoir des clients ou se rémunérer. Et puis in fine qu'on bosse ensemble, voilà. Dans mes ambitions j'aimerais continuer à faire ça l'année prochaine et développer ce produit professionnel, j'aimerais continuer à développer ça. Une autre ambition que j'ai, mais ça c'est vraiment pas clair encore parce qu'il faut que j'aille voir mon mentor, il faut que j'aille voir un petit peu comment est-ce qu'on peut faire ça. C'est qu'effectivement, ce n'est pas une optique vraiment de scale, parce que finalement, 100% indépendant et rentable, c'est une autre manière de scale. Je vais continuer de scale cette entreprise, mais j'aimerais mettre en place plus d'outils, plus de spécialistes pour mes élèves. C'est-à-dire que j'ai envie de bosser avec plus de gens, j'ai envie d'avoir plus d'experts concrets dans cette formation, dans ce mentorat. Et pour ça, il faut que j'augmente la taille, la capacité de cette entreprise. Et pour ça, il faut qu'on m'aide, il faut que je puisse... commencer à savoir ce que j'ai besoin en bras droit, ce que j'ai besoin en associé, ce que j'ai besoin en employé, etc. Il faut que je mette tout ça en place. C'est encore très flou pour le moment, mais c'est des ambitions que j'ai pour l'année prochaine. Ensuite, évidemment, j'aimerais garder un petit peu ce mindset de c'est hyper accès mis en pratique et avec Coach en Business, j'avance vraiment, j'aimerais continuer là-dedans. Donc je veux pas que ça parte dans des formations à tout va, je veux vraiment qu'on reste dans le côté pratique et surtout que je veux que ce soit d'utilité publique, c'est-à-dire que on... Aujourd'hui, il y a beaucoup, beaucoup de gens qui créent des entreprises. D'ailleurs, sur le canton du Valais, en cette fin d'année, il y a 5% d'augmentation de la création d'entreprise par rapport à l'année passée. Mais il y a aussi 15%, ça je crois que c'est des chiffres de Genève et Vaud, c'est pas Valais, il y a 15% de faillite en plus. Donc comment est-ce qu'on fait pour anticiper une faillite quand ça concerne tout ce qui est mauvaise pratique, mauvaise méthodologie, mauvais marketing et mauvaise gestion financière ? Je veux que ce soit d'utilité publique, qu'on se dise il y a des ressources à disposition pour qu'on se forme, pour qu'on s'indépendantisse, pour faire du marketing correctement et juste et à la Suisse surtout. Et il va y avoir aussi plein de tests au niveau du volume, c'est-à-dire que je vous parlais de marché restreint, avec mes produits je suis sur un marché qui est restreint, j'ai choisi volontairement de me positionner en Suisse. Est-ce que j'ai pour ambition de partir sur la France ? Pas encore, mais ça pourrait être des axes de développement que je vais voir avec mon mentor. Mais voilà, ce sont un peu des ambitions professionnelles que j'ai pour... 2025. Ensuite au niveau personnel je vous avais parlé que j'aimerais devenir propriétaire mais c'est pas dans mon cadre privé c'est à dire que j'aimerais investir dans du locatif donc évidemment il va y avoir cette partie là. Aussi vraiment d'un point de vue personnel pur je trouve que j'ai atteint une stabilité avec mes amis, avec mon entourage avec mon cadre de vie que j'aime beaucoup donc pour l'instant je veux juste le maintenir ce sera pas dans le but d'avoir mon chalet à Cremontana avec mon chef privé on va dire mais j'ai envie par contre de partager beaucoup plus de moments. C'est à dire que... autant l'année prochaine je fête mes 30 ans, j'ai envie de célébrer ça avec mes amis, mais j'ai aussi envie d'inviter mes clients à se retrouver autour d'un bon repas, autour d'une bonne soirée où on se rencontre finalement en vrai et on partage tout ça. Donc ça, ça va vraiment être des axes l'année prochaine, c'est se rencontrer en vrai, faire des événements ensemble et c'est vraiment super super super important. Pour vous résumer un petit peu ce que j'ai envie de faire pour l'année prochaine, maintenant je vais le mettre dans un vision board, je vais l'accrocher au mur, je vais l'imprimer, je vais mettre tout ça en pratique. Et je vais avancer dans ce sens-là. Comme ça, vous savez tout. Merci beaucoup d'avoir écouté cet épisode. Si vous l'avez aimé, je le rappelle, mettez une note au podcast parce que ça m'aide à le faire connaître. Si vous pensez qu'il peut aider quelqu'un, partagez-le, partagez, envoyez le lien. Vous pouvez l'écouter sur toutes les plateformes avec Apple Podcast, avec Spotify, YouTube. Vous l'écoutez sur toutes les plateformes. 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