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Corpus Riot

Relation toxique : mon soutien-gorge et moi

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07min |13/02/2025
Play
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Description

Avez-vous déjà ressenti que votre soutien-gorge était plus un poids qu’un soutien ? Que les douleurs et les marques rouges après une journée étaient la norme ? Dans cet épisode, on parle des relations toxiques... avec nos soutiens-gorges. Avec 80% des femmes qui portent la mauvaise taille, il est temps de repérer les red flags et de comprendre pourquoi ça ne va pas.
Spoiler : ce n’est pas vous le problème, c’est votre soutien-gorge !

Et si vous en avez marre, je vous invite à suivre mon projet MaaryTRZ qui va changer les choses ! inscrivez-vous pour être informé de l'avancement : www.maarytrz.com


Et si tu aimes les histoires de soutiens-gorge et de seins, tu es à la bonne place parce que moi aussi. Si ça n'est pas encore fait découvres les autres épisodes de Corpus Riot sur le sujet :

Je pose mes gros seins sur la table

La quête du Graal, ou comment trouver un soutien gorge à ma taille

Cancer : les seins de la peur

Rendez-vous sur instagram @corpusriot pour parler de différence, soutien-gorge et bien plus


Image : Le martyre de Sainte Irène de Carlo Francesco Nuvolone

Musique 'Into the red' par #Uppbeat License code: 79VIFZZ5B1UHGNOV


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Depuis le début, j'ai un doute sur lui et en fait j'aurais dû m'écouter. Mais il est si beau et je pense que j'ai volontairement fermé les yeux. Alors en fait, c'est de ma faute si j'en suis là. Au début, j'y ai cru, mais j'ai vite déchanté. Il ne me soutient pas et de plus en plus, il est devenu un vrai poids pour moi. Je ne me sens pas bien quand je suis avec lui. Je suis même stressée à l'idée d'être avec lui. Puis, il a commencé à me faire physiquement mal. Au point d'en garder des traces après passer une journée ensemble. Mais je me demande si c'est pas moi le problème. Parce que c'est pas le premier. C'est pas la première fois que ça m'arrive. Il y en a eu d'autres comme ça. Mais j'arrive pas à le quitter. Je repense des fois à comment il m'a fait me sentir belle et sexy au début. Mais je dois le reconnaître. Je suis dans une relation toxique. Avec mon soutien-gorge. Je suis Viviane. Et ça, c'est Corpus Riot. Le podcast. Or non. Oui, je sais, j'y suis allée un peu fort. Mon point n'est pas de minimiser les relations humaines toxiques. Mais si je vous avais parlé d'un homme, vous auriez déjà bondi sur vos chaises et crié « Mais quitte ce connard ! C'est pas toi le problème, c'est lui ! » Mais alors, pourquoi continue-t-on à tolérer ça de nos soutiens-gorges ? Pour ceux qui ne me connaissent pas, je suis passionnée de lingerie, et comme ma poitrine est forte, j'ai passé des années à étudier le sujet des seins et des soutiens-gorges dans tous les sens. Aujourd'hui, je vous partage donc mes tips pour vous aider à spotter les red flags qui prouvent que toi et ton soutien-gorge, c'est fini. Pour les non-utilisateurs de l'audience qui vous apprêtient à partir, dites-vous qu'avec 80% des femmes qui portent la mauvaise taille de soutien-gorge, vous connaissez très certainement quelqu'un qui est dans une relation toxique avec son soutien-gorge. Donc prenez soin d'eux, restez, écoutez, apprenez et partagez. Premier red flag, vous avez mal aux épaules. Vous voyez qu'en bout de quelques heures... vous avez vos bretelles qui commencent à cisailler vos épaules ou qu'à la fin de la journée, vous avez des énormes marques rouges. Là, il y a deux causes possibles. La moins courante, vos bretelles sont trop serrées. La plus probable, c'est que votre bande est trop grande. En effet, un soutien-gorge est censé soutenir les seins ou la gorge en vieux français. Waouh, je sais, c'est mind-blowing comme révélation qu'un soutien-gorge soutient les seins. Ça peut paraître con, mais quand on voit certains modèles, franchement, on en doute. Mais notez le choix des mots. Ici, on parle bien de soutien, pas de portée. Ou sinon, ça serait un porte-gorge. Et donc, si on fait un petit point lexical, soutenir, ça veut dire tenir par dessous. Donc logiquement, notre soutien-gorge porte nos seins par le dessous. C'est donc la bande qui est sous les seins qui doit faire son travail de soutenir nos seins. D'un point de vue purement technique, normalement la bande supporte 80% du volume de nos seins. Le reste, c'est le bretel. Le problème, c'est que si la bande est trop grande par rapport à votre cage thoracique, eh bien, elle ne peut rien supporter et vous vous retrouvez avec un porte-gorge. En gros, vous mettez votre sein dans un bonnet et le suspendez à votre épaule. Un peu comme un tote bag. Oui, ça va marcher 5 minutes. Mais ça peut être très lourd à porter toute une journée un sein. En particulier si vous avez du volume. Ok, mais alors comment vérifier si votre bande est trop grande ? Et bien c'est très simple. Vous allez essayer de soulever la bande de votre soutien-gorge dans le dos. Si ça marche et que vous arrivez à la décoller de plus de 2 cm, environ l'épaisseur de deux doigts, et bien oui, votre bande est trop grande et elle ne peut pas faire son boulot correctement. Donc vous n'êtes pas soutenu et c'est vos épaules qui font tout le boulot. Deuxième red flag. ça déborde. Là, il y a des tonnes de variantes. La plus classique, c'est le débordement central, qu'on nous vend depuis des décennies comme un joli décolleté. Mais en fait, si on fait bien gaffe souvent, c'est juste que le sein ne contient pas dans le bonnet. Ensuite, il y a le symptôme des quatre seins. C'est quand le bonnet coupe en deux votre sein, avec un bout dans le bonnet et quasiment le même volume en dehors. Si on regarde bien le profil, on voit vraiment que ça fait une bosse. Un creux, une bosse. En version extrême, ça devient même un monoboubs. C'est le plus souvent quand on porte un modèle brassière. En fait, notre sein, enfin nos seins, essayent d'occuper l'espace disponible et donc se collent les uns aux autres. Et ça fait une espèce de traversin. Puis, vous avez les débordements latéraux, où votre sein sort par le côté, faute de place. Pour faire simple, quel que soit votre débordement, le problème, c'est toujours le bonnet qui est trop petit. Attention, petite exception toutefois. Celle du débordement sous la bande. Oui, quand votre sein littéralement... passe par en dessous. Là, clairement, ça veut dire que la bande ne tient rien. Et donc, comme on l'a vu dans le red flag numéro 1, le problème est donc que la bande est trop grande. Troisième red flag, l'armature fait mal. Celui-là, il est très facile à détecter. Mais en fonction de là où ça fait mal, le problème est différent. Pour rappel, une armature n'est pas là pour soutenir un sein, mais elle sert à le positionner et à lui donner un galbe. Ce faire, l'armature doit normalement, parfaitement, suivre le dessous de la racine de votre sein. La racine, c'est là en fait où le sein s'accroche à votre cage thoracique. Quand ce n'est pas le cas et que l'armature ne suit pas la forme naturelle de votre sein, elle peut soit rentrer dans votre sein, là c'est signe que le bonnet est trop petit, ou alors elle va rentrer dans vos côtes, sur le côté ou au milieu entre les deux seins. Dans ce cas, c'est que la bande est trop grande. Si jamais vous avez un doute, croisez cette vérification avec les vérifications des red flags 1 et 2, pour vérifier si le problème vient bien du bonnet ou de la bande. Et si votre sein déborde ou votre bande est trop large, rappelez-vous que le problème, ce n'est pas que vous êtes trop grosse ou trop mince, c'est bien votre taille de soutien-gorge qui est le problème. Votre soutien-gorge est le problème. Et si vous ne portez pas la bonne taille de soutien-gorge, et bien ce n'est pas non plus votre faute, vous n'êtes pas stupide. C'est juste que le système de taille de soutien-gorge est une merde sans fin. Des fois, j'ai l'impression qu'il faut un doctorat en mathématiques pour comprendre la grille de correspondance des tailles. Et quand on arrive enfin à craquer le game pour une marque, on se rend compte qu'il faut recommencer de zéro pour une nouvelle marque parce que rien n'est standardisé d'une marque à une autre. Et même en fonction de la forme du soutien-gorge, des fois, il ne faut pas prendre la même taille. J'aimerais pouvoir finir cet épisode sur une note joyeuse. Parce que globalement, je viens de vous annoncer qu'on était quasiment toutes dans une relation toxique avec nos soutiens-gorges, et qu'en gros, c'était pas notre faute, mais on n'avait pas vraiment de solution pour nous en sortir. Mais j'ai pas de solution miracle à vous proposer. Enfin, pas pour le moment. Parce que je travaille sur le projet Marie-Thérèse, qui pourrait bien changer le game dans le soutien-gorges. Si vous êtes patiente et curieuse, je vous invite à vous inscrire à la newsletter pour être informée en priorité de l'avancement du projet. Je vous mets le lien juste en dessous dans la description. Voilà ! Si cet épisode vous a appris des trucs, ne soyez pas égoïste et partagez-le, ça peut servir à d'autres. En attendant la semaine prochaine, je vous donne rendez-vous sur Instagram, pour parler langue française, running et pastèque. Et d'ici là, je vous kiffe !

Description

Avez-vous déjà ressenti que votre soutien-gorge était plus un poids qu’un soutien ? Que les douleurs et les marques rouges après une journée étaient la norme ? Dans cet épisode, on parle des relations toxiques... avec nos soutiens-gorges. Avec 80% des femmes qui portent la mauvaise taille, il est temps de repérer les red flags et de comprendre pourquoi ça ne va pas.
Spoiler : ce n’est pas vous le problème, c’est votre soutien-gorge !

Et si vous en avez marre, je vous invite à suivre mon projet MaaryTRZ qui va changer les choses ! inscrivez-vous pour être informé de l'avancement : www.maarytrz.com


Et si tu aimes les histoires de soutiens-gorge et de seins, tu es à la bonne place parce que moi aussi. Si ça n'est pas encore fait découvres les autres épisodes de Corpus Riot sur le sujet :

Je pose mes gros seins sur la table

La quête du Graal, ou comment trouver un soutien gorge à ma taille

Cancer : les seins de la peur

Rendez-vous sur instagram @corpusriot pour parler de différence, soutien-gorge et bien plus


Image : Le martyre de Sainte Irène de Carlo Francesco Nuvolone

Musique 'Into the red' par #Uppbeat License code: 79VIFZZ5B1UHGNOV


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Depuis le début, j'ai un doute sur lui et en fait j'aurais dû m'écouter. Mais il est si beau et je pense que j'ai volontairement fermé les yeux. Alors en fait, c'est de ma faute si j'en suis là. Au début, j'y ai cru, mais j'ai vite déchanté. Il ne me soutient pas et de plus en plus, il est devenu un vrai poids pour moi. Je ne me sens pas bien quand je suis avec lui. Je suis même stressée à l'idée d'être avec lui. Puis, il a commencé à me faire physiquement mal. Au point d'en garder des traces après passer une journée ensemble. Mais je me demande si c'est pas moi le problème. Parce que c'est pas le premier. C'est pas la première fois que ça m'arrive. Il y en a eu d'autres comme ça. Mais j'arrive pas à le quitter. Je repense des fois à comment il m'a fait me sentir belle et sexy au début. Mais je dois le reconnaître. Je suis dans une relation toxique. Avec mon soutien-gorge. Je suis Viviane. Et ça, c'est Corpus Riot. Le podcast. Or non. Oui, je sais, j'y suis allée un peu fort. Mon point n'est pas de minimiser les relations humaines toxiques. Mais si je vous avais parlé d'un homme, vous auriez déjà bondi sur vos chaises et crié « Mais quitte ce connard ! C'est pas toi le problème, c'est lui ! » Mais alors, pourquoi continue-t-on à tolérer ça de nos soutiens-gorges ? Pour ceux qui ne me connaissent pas, je suis passionnée de lingerie, et comme ma poitrine est forte, j'ai passé des années à étudier le sujet des seins et des soutiens-gorges dans tous les sens. Aujourd'hui, je vous partage donc mes tips pour vous aider à spotter les red flags qui prouvent que toi et ton soutien-gorge, c'est fini. Pour les non-utilisateurs de l'audience qui vous apprêtient à partir, dites-vous qu'avec 80% des femmes qui portent la mauvaise taille de soutien-gorge, vous connaissez très certainement quelqu'un qui est dans une relation toxique avec son soutien-gorge. Donc prenez soin d'eux, restez, écoutez, apprenez et partagez. Premier red flag, vous avez mal aux épaules. Vous voyez qu'en bout de quelques heures... vous avez vos bretelles qui commencent à cisailler vos épaules ou qu'à la fin de la journée, vous avez des énormes marques rouges. Là, il y a deux causes possibles. La moins courante, vos bretelles sont trop serrées. La plus probable, c'est que votre bande est trop grande. En effet, un soutien-gorge est censé soutenir les seins ou la gorge en vieux français. Waouh, je sais, c'est mind-blowing comme révélation qu'un soutien-gorge soutient les seins. Ça peut paraître con, mais quand on voit certains modèles, franchement, on en doute. Mais notez le choix des mots. Ici, on parle bien de soutien, pas de portée. Ou sinon, ça serait un porte-gorge. Et donc, si on fait un petit point lexical, soutenir, ça veut dire tenir par dessous. Donc logiquement, notre soutien-gorge porte nos seins par le dessous. C'est donc la bande qui est sous les seins qui doit faire son travail de soutenir nos seins. D'un point de vue purement technique, normalement la bande supporte 80% du volume de nos seins. Le reste, c'est le bretel. Le problème, c'est que si la bande est trop grande par rapport à votre cage thoracique, eh bien, elle ne peut rien supporter et vous vous retrouvez avec un porte-gorge. En gros, vous mettez votre sein dans un bonnet et le suspendez à votre épaule. Un peu comme un tote bag. Oui, ça va marcher 5 minutes. Mais ça peut être très lourd à porter toute une journée un sein. En particulier si vous avez du volume. Ok, mais alors comment vérifier si votre bande est trop grande ? Et bien c'est très simple. Vous allez essayer de soulever la bande de votre soutien-gorge dans le dos. Si ça marche et que vous arrivez à la décoller de plus de 2 cm, environ l'épaisseur de deux doigts, et bien oui, votre bande est trop grande et elle ne peut pas faire son boulot correctement. Donc vous n'êtes pas soutenu et c'est vos épaules qui font tout le boulot. Deuxième red flag. ça déborde. Là, il y a des tonnes de variantes. La plus classique, c'est le débordement central, qu'on nous vend depuis des décennies comme un joli décolleté. Mais en fait, si on fait bien gaffe souvent, c'est juste que le sein ne contient pas dans le bonnet. Ensuite, il y a le symptôme des quatre seins. C'est quand le bonnet coupe en deux votre sein, avec un bout dans le bonnet et quasiment le même volume en dehors. Si on regarde bien le profil, on voit vraiment que ça fait une bosse. Un creux, une bosse. En version extrême, ça devient même un monoboubs. C'est le plus souvent quand on porte un modèle brassière. En fait, notre sein, enfin nos seins, essayent d'occuper l'espace disponible et donc se collent les uns aux autres. Et ça fait une espèce de traversin. Puis, vous avez les débordements latéraux, où votre sein sort par le côté, faute de place. Pour faire simple, quel que soit votre débordement, le problème, c'est toujours le bonnet qui est trop petit. Attention, petite exception toutefois. Celle du débordement sous la bande. Oui, quand votre sein littéralement... passe par en dessous. Là, clairement, ça veut dire que la bande ne tient rien. Et donc, comme on l'a vu dans le red flag numéro 1, le problème est donc que la bande est trop grande. Troisième red flag, l'armature fait mal. Celui-là, il est très facile à détecter. Mais en fonction de là où ça fait mal, le problème est différent. Pour rappel, une armature n'est pas là pour soutenir un sein, mais elle sert à le positionner et à lui donner un galbe. Ce faire, l'armature doit normalement, parfaitement, suivre le dessous de la racine de votre sein. La racine, c'est là en fait où le sein s'accroche à votre cage thoracique. Quand ce n'est pas le cas et que l'armature ne suit pas la forme naturelle de votre sein, elle peut soit rentrer dans votre sein, là c'est signe que le bonnet est trop petit, ou alors elle va rentrer dans vos côtes, sur le côté ou au milieu entre les deux seins. Dans ce cas, c'est que la bande est trop grande. Si jamais vous avez un doute, croisez cette vérification avec les vérifications des red flags 1 et 2, pour vérifier si le problème vient bien du bonnet ou de la bande. Et si votre sein déborde ou votre bande est trop large, rappelez-vous que le problème, ce n'est pas que vous êtes trop grosse ou trop mince, c'est bien votre taille de soutien-gorge qui est le problème. Votre soutien-gorge est le problème. Et si vous ne portez pas la bonne taille de soutien-gorge, et bien ce n'est pas non plus votre faute, vous n'êtes pas stupide. C'est juste que le système de taille de soutien-gorge est une merde sans fin. Des fois, j'ai l'impression qu'il faut un doctorat en mathématiques pour comprendre la grille de correspondance des tailles. Et quand on arrive enfin à craquer le game pour une marque, on se rend compte qu'il faut recommencer de zéro pour une nouvelle marque parce que rien n'est standardisé d'une marque à une autre. Et même en fonction de la forme du soutien-gorge, des fois, il ne faut pas prendre la même taille. J'aimerais pouvoir finir cet épisode sur une note joyeuse. Parce que globalement, je viens de vous annoncer qu'on était quasiment toutes dans une relation toxique avec nos soutiens-gorges, et qu'en gros, c'était pas notre faute, mais on n'avait pas vraiment de solution pour nous en sortir. Mais j'ai pas de solution miracle à vous proposer. Enfin, pas pour le moment. Parce que je travaille sur le projet Marie-Thérèse, qui pourrait bien changer le game dans le soutien-gorges. Si vous êtes patiente et curieuse, je vous invite à vous inscrire à la newsletter pour être informée en priorité de l'avancement du projet. Je vous mets le lien juste en dessous dans la description. Voilà ! Si cet épisode vous a appris des trucs, ne soyez pas égoïste et partagez-le, ça peut servir à d'autres. En attendant la semaine prochaine, je vous donne rendez-vous sur Instagram, pour parler langue française, running et pastèque. Et d'ici là, je vous kiffe !

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Avez-vous déjà ressenti que votre soutien-gorge était plus un poids qu’un soutien ? Que les douleurs et les marques rouges après une journée étaient la norme ? Dans cet épisode, on parle des relations toxiques... avec nos soutiens-gorges. Avec 80% des femmes qui portent la mauvaise taille, il est temps de repérer les red flags et de comprendre pourquoi ça ne va pas.
Spoiler : ce n’est pas vous le problème, c’est votre soutien-gorge !

Et si vous en avez marre, je vous invite à suivre mon projet MaaryTRZ qui va changer les choses ! inscrivez-vous pour être informé de l'avancement : www.maarytrz.com


Et si tu aimes les histoires de soutiens-gorge et de seins, tu es à la bonne place parce que moi aussi. Si ça n'est pas encore fait découvres les autres épisodes de Corpus Riot sur le sujet :

Je pose mes gros seins sur la table

La quête du Graal, ou comment trouver un soutien gorge à ma taille

Cancer : les seins de la peur

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Image : Le martyre de Sainte Irène de Carlo Francesco Nuvolone

Musique 'Into the red' par #Uppbeat License code: 79VIFZZ5B1UHGNOV


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Depuis le début, j'ai un doute sur lui et en fait j'aurais dû m'écouter. Mais il est si beau et je pense que j'ai volontairement fermé les yeux. Alors en fait, c'est de ma faute si j'en suis là. Au début, j'y ai cru, mais j'ai vite déchanté. Il ne me soutient pas et de plus en plus, il est devenu un vrai poids pour moi. Je ne me sens pas bien quand je suis avec lui. Je suis même stressée à l'idée d'être avec lui. Puis, il a commencé à me faire physiquement mal. Au point d'en garder des traces après passer une journée ensemble. Mais je me demande si c'est pas moi le problème. Parce que c'est pas le premier. C'est pas la première fois que ça m'arrive. Il y en a eu d'autres comme ça. Mais j'arrive pas à le quitter. Je repense des fois à comment il m'a fait me sentir belle et sexy au début. Mais je dois le reconnaître. Je suis dans une relation toxique. Avec mon soutien-gorge. Je suis Viviane. Et ça, c'est Corpus Riot. Le podcast. Or non. Oui, je sais, j'y suis allée un peu fort. Mon point n'est pas de minimiser les relations humaines toxiques. Mais si je vous avais parlé d'un homme, vous auriez déjà bondi sur vos chaises et crié « Mais quitte ce connard ! C'est pas toi le problème, c'est lui ! » Mais alors, pourquoi continue-t-on à tolérer ça de nos soutiens-gorges ? Pour ceux qui ne me connaissent pas, je suis passionnée de lingerie, et comme ma poitrine est forte, j'ai passé des années à étudier le sujet des seins et des soutiens-gorges dans tous les sens. Aujourd'hui, je vous partage donc mes tips pour vous aider à spotter les red flags qui prouvent que toi et ton soutien-gorge, c'est fini. Pour les non-utilisateurs de l'audience qui vous apprêtient à partir, dites-vous qu'avec 80% des femmes qui portent la mauvaise taille de soutien-gorge, vous connaissez très certainement quelqu'un qui est dans une relation toxique avec son soutien-gorge. Donc prenez soin d'eux, restez, écoutez, apprenez et partagez. Premier red flag, vous avez mal aux épaules. Vous voyez qu'en bout de quelques heures... vous avez vos bretelles qui commencent à cisailler vos épaules ou qu'à la fin de la journée, vous avez des énormes marques rouges. Là, il y a deux causes possibles. La moins courante, vos bretelles sont trop serrées. La plus probable, c'est que votre bande est trop grande. En effet, un soutien-gorge est censé soutenir les seins ou la gorge en vieux français. Waouh, je sais, c'est mind-blowing comme révélation qu'un soutien-gorge soutient les seins. Ça peut paraître con, mais quand on voit certains modèles, franchement, on en doute. Mais notez le choix des mots. Ici, on parle bien de soutien, pas de portée. Ou sinon, ça serait un porte-gorge. Et donc, si on fait un petit point lexical, soutenir, ça veut dire tenir par dessous. Donc logiquement, notre soutien-gorge porte nos seins par le dessous. C'est donc la bande qui est sous les seins qui doit faire son travail de soutenir nos seins. D'un point de vue purement technique, normalement la bande supporte 80% du volume de nos seins. Le reste, c'est le bretel. Le problème, c'est que si la bande est trop grande par rapport à votre cage thoracique, eh bien, elle ne peut rien supporter et vous vous retrouvez avec un porte-gorge. En gros, vous mettez votre sein dans un bonnet et le suspendez à votre épaule. Un peu comme un tote bag. Oui, ça va marcher 5 minutes. Mais ça peut être très lourd à porter toute une journée un sein. En particulier si vous avez du volume. Ok, mais alors comment vérifier si votre bande est trop grande ? Et bien c'est très simple. Vous allez essayer de soulever la bande de votre soutien-gorge dans le dos. Si ça marche et que vous arrivez à la décoller de plus de 2 cm, environ l'épaisseur de deux doigts, et bien oui, votre bande est trop grande et elle ne peut pas faire son boulot correctement. Donc vous n'êtes pas soutenu et c'est vos épaules qui font tout le boulot. Deuxième red flag. ça déborde. Là, il y a des tonnes de variantes. La plus classique, c'est le débordement central, qu'on nous vend depuis des décennies comme un joli décolleté. Mais en fait, si on fait bien gaffe souvent, c'est juste que le sein ne contient pas dans le bonnet. Ensuite, il y a le symptôme des quatre seins. C'est quand le bonnet coupe en deux votre sein, avec un bout dans le bonnet et quasiment le même volume en dehors. Si on regarde bien le profil, on voit vraiment que ça fait une bosse. Un creux, une bosse. En version extrême, ça devient même un monoboubs. C'est le plus souvent quand on porte un modèle brassière. En fait, notre sein, enfin nos seins, essayent d'occuper l'espace disponible et donc se collent les uns aux autres. Et ça fait une espèce de traversin. Puis, vous avez les débordements latéraux, où votre sein sort par le côté, faute de place. Pour faire simple, quel que soit votre débordement, le problème, c'est toujours le bonnet qui est trop petit. Attention, petite exception toutefois. Celle du débordement sous la bande. Oui, quand votre sein littéralement... passe par en dessous. Là, clairement, ça veut dire que la bande ne tient rien. Et donc, comme on l'a vu dans le red flag numéro 1, le problème est donc que la bande est trop grande. Troisième red flag, l'armature fait mal. Celui-là, il est très facile à détecter. Mais en fonction de là où ça fait mal, le problème est différent. Pour rappel, une armature n'est pas là pour soutenir un sein, mais elle sert à le positionner et à lui donner un galbe. Ce faire, l'armature doit normalement, parfaitement, suivre le dessous de la racine de votre sein. La racine, c'est là en fait où le sein s'accroche à votre cage thoracique. Quand ce n'est pas le cas et que l'armature ne suit pas la forme naturelle de votre sein, elle peut soit rentrer dans votre sein, là c'est signe que le bonnet est trop petit, ou alors elle va rentrer dans vos côtes, sur le côté ou au milieu entre les deux seins. Dans ce cas, c'est que la bande est trop grande. Si jamais vous avez un doute, croisez cette vérification avec les vérifications des red flags 1 et 2, pour vérifier si le problème vient bien du bonnet ou de la bande. Et si votre sein déborde ou votre bande est trop large, rappelez-vous que le problème, ce n'est pas que vous êtes trop grosse ou trop mince, c'est bien votre taille de soutien-gorge qui est le problème. Votre soutien-gorge est le problème. Et si vous ne portez pas la bonne taille de soutien-gorge, et bien ce n'est pas non plus votre faute, vous n'êtes pas stupide. C'est juste que le système de taille de soutien-gorge est une merde sans fin. Des fois, j'ai l'impression qu'il faut un doctorat en mathématiques pour comprendre la grille de correspondance des tailles. Et quand on arrive enfin à craquer le game pour une marque, on se rend compte qu'il faut recommencer de zéro pour une nouvelle marque parce que rien n'est standardisé d'une marque à une autre. Et même en fonction de la forme du soutien-gorge, des fois, il ne faut pas prendre la même taille. J'aimerais pouvoir finir cet épisode sur une note joyeuse. Parce que globalement, je viens de vous annoncer qu'on était quasiment toutes dans une relation toxique avec nos soutiens-gorges, et qu'en gros, c'était pas notre faute, mais on n'avait pas vraiment de solution pour nous en sortir. Mais j'ai pas de solution miracle à vous proposer. Enfin, pas pour le moment. Parce que je travaille sur le projet Marie-Thérèse, qui pourrait bien changer le game dans le soutien-gorges. Si vous êtes patiente et curieuse, je vous invite à vous inscrire à la newsletter pour être informée en priorité de l'avancement du projet. Je vous mets le lien juste en dessous dans la description. Voilà ! Si cet épisode vous a appris des trucs, ne soyez pas égoïste et partagez-le, ça peut servir à d'autres. En attendant la semaine prochaine, je vous donne rendez-vous sur Instagram, pour parler langue française, running et pastèque. Et d'ici là, je vous kiffe !

Description

Avez-vous déjà ressenti que votre soutien-gorge était plus un poids qu’un soutien ? Que les douleurs et les marques rouges après une journée étaient la norme ? Dans cet épisode, on parle des relations toxiques... avec nos soutiens-gorges. Avec 80% des femmes qui portent la mauvaise taille, il est temps de repérer les red flags et de comprendre pourquoi ça ne va pas.
Spoiler : ce n’est pas vous le problème, c’est votre soutien-gorge !

Et si vous en avez marre, je vous invite à suivre mon projet MaaryTRZ qui va changer les choses ! inscrivez-vous pour être informé de l'avancement : www.maarytrz.com


Et si tu aimes les histoires de soutiens-gorge et de seins, tu es à la bonne place parce que moi aussi. Si ça n'est pas encore fait découvres les autres épisodes de Corpus Riot sur le sujet :

Je pose mes gros seins sur la table

La quête du Graal, ou comment trouver un soutien gorge à ma taille

Cancer : les seins de la peur

Rendez-vous sur instagram @corpusriot pour parler de différence, soutien-gorge et bien plus


Image : Le martyre de Sainte Irène de Carlo Francesco Nuvolone

Musique 'Into the red' par #Uppbeat License code: 79VIFZZ5B1UHGNOV


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Depuis le début, j'ai un doute sur lui et en fait j'aurais dû m'écouter. Mais il est si beau et je pense que j'ai volontairement fermé les yeux. Alors en fait, c'est de ma faute si j'en suis là. Au début, j'y ai cru, mais j'ai vite déchanté. Il ne me soutient pas et de plus en plus, il est devenu un vrai poids pour moi. Je ne me sens pas bien quand je suis avec lui. Je suis même stressée à l'idée d'être avec lui. Puis, il a commencé à me faire physiquement mal. Au point d'en garder des traces après passer une journée ensemble. Mais je me demande si c'est pas moi le problème. Parce que c'est pas le premier. C'est pas la première fois que ça m'arrive. Il y en a eu d'autres comme ça. Mais j'arrive pas à le quitter. Je repense des fois à comment il m'a fait me sentir belle et sexy au début. Mais je dois le reconnaître. Je suis dans une relation toxique. Avec mon soutien-gorge. Je suis Viviane. Et ça, c'est Corpus Riot. Le podcast. Or non. Oui, je sais, j'y suis allée un peu fort. Mon point n'est pas de minimiser les relations humaines toxiques. Mais si je vous avais parlé d'un homme, vous auriez déjà bondi sur vos chaises et crié « Mais quitte ce connard ! C'est pas toi le problème, c'est lui ! » Mais alors, pourquoi continue-t-on à tolérer ça de nos soutiens-gorges ? Pour ceux qui ne me connaissent pas, je suis passionnée de lingerie, et comme ma poitrine est forte, j'ai passé des années à étudier le sujet des seins et des soutiens-gorges dans tous les sens. Aujourd'hui, je vous partage donc mes tips pour vous aider à spotter les red flags qui prouvent que toi et ton soutien-gorge, c'est fini. Pour les non-utilisateurs de l'audience qui vous apprêtient à partir, dites-vous qu'avec 80% des femmes qui portent la mauvaise taille de soutien-gorge, vous connaissez très certainement quelqu'un qui est dans une relation toxique avec son soutien-gorge. Donc prenez soin d'eux, restez, écoutez, apprenez et partagez. Premier red flag, vous avez mal aux épaules. Vous voyez qu'en bout de quelques heures... vous avez vos bretelles qui commencent à cisailler vos épaules ou qu'à la fin de la journée, vous avez des énormes marques rouges. Là, il y a deux causes possibles. La moins courante, vos bretelles sont trop serrées. La plus probable, c'est que votre bande est trop grande. En effet, un soutien-gorge est censé soutenir les seins ou la gorge en vieux français. Waouh, je sais, c'est mind-blowing comme révélation qu'un soutien-gorge soutient les seins. Ça peut paraître con, mais quand on voit certains modèles, franchement, on en doute. Mais notez le choix des mots. Ici, on parle bien de soutien, pas de portée. Ou sinon, ça serait un porte-gorge. Et donc, si on fait un petit point lexical, soutenir, ça veut dire tenir par dessous. Donc logiquement, notre soutien-gorge porte nos seins par le dessous. C'est donc la bande qui est sous les seins qui doit faire son travail de soutenir nos seins. D'un point de vue purement technique, normalement la bande supporte 80% du volume de nos seins. Le reste, c'est le bretel. Le problème, c'est que si la bande est trop grande par rapport à votre cage thoracique, eh bien, elle ne peut rien supporter et vous vous retrouvez avec un porte-gorge. En gros, vous mettez votre sein dans un bonnet et le suspendez à votre épaule. Un peu comme un tote bag. Oui, ça va marcher 5 minutes. Mais ça peut être très lourd à porter toute une journée un sein. En particulier si vous avez du volume. Ok, mais alors comment vérifier si votre bande est trop grande ? Et bien c'est très simple. Vous allez essayer de soulever la bande de votre soutien-gorge dans le dos. Si ça marche et que vous arrivez à la décoller de plus de 2 cm, environ l'épaisseur de deux doigts, et bien oui, votre bande est trop grande et elle ne peut pas faire son boulot correctement. Donc vous n'êtes pas soutenu et c'est vos épaules qui font tout le boulot. Deuxième red flag. ça déborde. Là, il y a des tonnes de variantes. La plus classique, c'est le débordement central, qu'on nous vend depuis des décennies comme un joli décolleté. Mais en fait, si on fait bien gaffe souvent, c'est juste que le sein ne contient pas dans le bonnet. Ensuite, il y a le symptôme des quatre seins. C'est quand le bonnet coupe en deux votre sein, avec un bout dans le bonnet et quasiment le même volume en dehors. Si on regarde bien le profil, on voit vraiment que ça fait une bosse. Un creux, une bosse. En version extrême, ça devient même un monoboubs. C'est le plus souvent quand on porte un modèle brassière. En fait, notre sein, enfin nos seins, essayent d'occuper l'espace disponible et donc se collent les uns aux autres. Et ça fait une espèce de traversin. Puis, vous avez les débordements latéraux, où votre sein sort par le côté, faute de place. Pour faire simple, quel que soit votre débordement, le problème, c'est toujours le bonnet qui est trop petit. Attention, petite exception toutefois. Celle du débordement sous la bande. Oui, quand votre sein littéralement... passe par en dessous. Là, clairement, ça veut dire que la bande ne tient rien. Et donc, comme on l'a vu dans le red flag numéro 1, le problème est donc que la bande est trop grande. Troisième red flag, l'armature fait mal. Celui-là, il est très facile à détecter. Mais en fonction de là où ça fait mal, le problème est différent. Pour rappel, une armature n'est pas là pour soutenir un sein, mais elle sert à le positionner et à lui donner un galbe. Ce faire, l'armature doit normalement, parfaitement, suivre le dessous de la racine de votre sein. La racine, c'est là en fait où le sein s'accroche à votre cage thoracique. Quand ce n'est pas le cas et que l'armature ne suit pas la forme naturelle de votre sein, elle peut soit rentrer dans votre sein, là c'est signe que le bonnet est trop petit, ou alors elle va rentrer dans vos côtes, sur le côté ou au milieu entre les deux seins. Dans ce cas, c'est que la bande est trop grande. Si jamais vous avez un doute, croisez cette vérification avec les vérifications des red flags 1 et 2, pour vérifier si le problème vient bien du bonnet ou de la bande. Et si votre sein déborde ou votre bande est trop large, rappelez-vous que le problème, ce n'est pas que vous êtes trop grosse ou trop mince, c'est bien votre taille de soutien-gorge qui est le problème. Votre soutien-gorge est le problème. Et si vous ne portez pas la bonne taille de soutien-gorge, et bien ce n'est pas non plus votre faute, vous n'êtes pas stupide. C'est juste que le système de taille de soutien-gorge est une merde sans fin. Des fois, j'ai l'impression qu'il faut un doctorat en mathématiques pour comprendre la grille de correspondance des tailles. Et quand on arrive enfin à craquer le game pour une marque, on se rend compte qu'il faut recommencer de zéro pour une nouvelle marque parce que rien n'est standardisé d'une marque à une autre. Et même en fonction de la forme du soutien-gorge, des fois, il ne faut pas prendre la même taille. J'aimerais pouvoir finir cet épisode sur une note joyeuse. Parce que globalement, je viens de vous annoncer qu'on était quasiment toutes dans une relation toxique avec nos soutiens-gorges, et qu'en gros, c'était pas notre faute, mais on n'avait pas vraiment de solution pour nous en sortir. Mais j'ai pas de solution miracle à vous proposer. Enfin, pas pour le moment. Parce que je travaille sur le projet Marie-Thérèse, qui pourrait bien changer le game dans le soutien-gorges. Si vous êtes patiente et curieuse, je vous invite à vous inscrire à la newsletter pour être informée en priorité de l'avancement du projet. Je vous mets le lien juste en dessous dans la description. Voilà ! Si cet épisode vous a appris des trucs, ne soyez pas égoïste et partagez-le, ça peut servir à d'autres. En attendant la semaine prochaine, je vous donne rendez-vous sur Instagram, pour parler langue française, running et pastèque. Et d'ici là, je vous kiffe !

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