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111 - Bilan : la dévalorisation, plus qu'un sabotage, un appel à l'émancipation - Build in public #6 cover
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Décide

111 - Bilan : la dévalorisation, plus qu'un sabotage, un appel à l'émancipation - Build in public #6

111 - Bilan : la dévalorisation, plus qu'un sabotage, un appel à l'émancipation - Build in public #6

17min |02/12/2024|

128

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17min |02/12/2024|

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Description

Dans ce nouvel épisode de DECIDE au format "Build in public", je termine (ou plutôt commence) mon aventure sur la dévalorisation, un sujet qui a touché beaucoup d'entre vous, et aussi moi-même.


Voici ce que vous allez découvrir dans cet épisode :


  • Pourquoi la dévalorisation est sous-estimée : Un sujet rarement abordé dans le développement personnel, mais pourtant omniprésent dans nos vies.

  • La dévalorisation n’est pas un échec : Elle fait partie de notre humanité, et elle peut même nous aider à grandir, si on l’accepte.

  • Les injonctions sociales et la dévalorisation : Pourquoi nous avons tendance à dévaloriser certains aspects de nous-mêmes, surtout chez les femmes, et l’impact de l’âge sur cette dynamique.

  • L’émancipation derrière la dévalorisation : Comment dépasser ces pensées limitantes pour se donner le droit de briller, d’être vulnérable et de sortir du rôle imposé par la société.

  • La dévalorisation comme invitation à l'exploration : Ce qu’elle nous apprend sur nos parts d’ombre et comment l’explorer pour grandir.


Je vous invite à écouter cet épisode pour mieux comprendre la dévalorisation, l’accepter et surtout, ne pas la laisser nous contrôler. C’est un voyage vers la vulnérabilité, le courage, et la véritable émancipation.

Et si tu veux aller plus loin, prends un temps avec moi : juste ici


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Tu n'as pas le choix. On ne peut pas tout avoir. Ne cherche pas. Fais comme tout le monde. Stop. Décide. Ce podcast, c'est le repère des esprits libres, de ceux qui veulent bousculer les normes, remettre en question les limites, les modèles, qui en ont marre qu'on leur dise quoi faire ou que ce n'est pas possible. Je m'appelle Joy et je serai votre hôte. Ici, on va parler sans tabou de tout ce qui peut brider ou pimper notre vie. Dans ce podcast... on va booster ton courage et ta sincérité pour oser ne pas plaire à tout le monde, assumer tes choix et cesser de chercher la normalité, la conformité ou le sans-erreur. Parce qu'être libre, ça se décide. Décide. Bonjour et bienvenue dans ce nouvel épisode au format Vild in Public où j'ai le plaisir de vous partager la fin de mon aventure concernant la dévalorisation. Alors... Je dis la fin, mais pour être très honnête, c'est un commencement. Et oui, parce qu'en fait, ce sujet est venu toucher énormément de choses chez vous, en moi. Et du coup, aujourd'hui, j'ai envie de vous transmettre tout ça. Parce qu'en fait, la dévalorisation, c'est un sujet sous-côté. Déjà, c'est un mot qu'on entend très peu dans le développement personnel parce qu'on aime bien utiliser la notion d'autosabotage, de manque d'estime de soi, de manque de courage. Alors qu'en fait... Pour moi, la dévalorisation, c'est ce qui englobe tous nos comportements, tous nos mécanismes, toutes nos émotions, tous nos doutes qui viendraient entraver ce qui nous fait vraiment du bien, ce qui nous tient vraiment à cœur. Et donc du coup, la dévalorisation, elle s'immisce partout. Alors aujourd'hui, je vais essayer de vous faire un état des lieux de ce mois passé à observer la dévalorisation chez moi, mais aussi chez certaines de mes clientes. que j'ai pu interviewer sur le coin d'une table pour savoir comment elles vivaient les choses, et aussi parce que j'ai proposé des ateliers qui s'appelaient Goodbye Dévalorisation, comme vous l'avez entendu dans les épisodes précédents, qui m'ont permis de me confronter aussi à une réalité qui n'est pas la mienne, la vôtre. Et j'ai à cœur de mettre en avant vos process, pour qu'ensemble, en fait, on puisse vraiment aller au plus profond de ce que la dévalorisation nous permet. de faire émerger. Parce qu'encore une fois, comme pour tous les sujets que je vous propose, j'ai pas envie de tomber dans un mode dramatique. C'est pas parce que la dévalorisation c'est quelque chose qui vient nous titiller, nous chercher au plus profond de nos tripes parfois, qu'on est obligé de tomber dans le mélodrame de oh là là c'est vraiment horrible, moi je ressens ça, je suis une mauvaise personne, je ne devrais pas fonctionner comme ça et là on tombe dans cette espèce d'autoflagellation alors qu'en fait nous sommes tous humains. Il faut arrêter de croire, et oui j'utilise le il faut parce qu'à un moment donné c'est il faut que les humains sont des gens parfaits et que du coup on est tout le temps stable, binaire dans je vais bien, tout va bien, les oiseaux chantent, le ciel est beau Non ! Il y a des moments où le ciel est sombre, la pluie coule, les orages sont là. Et c'est ok. Ça veut pas dire que nous sommes des mauvaises personnes, ça veut pas dire que nous sommes foutus à jamais, ça veut simplement dire qu'on est vivants. Donc déjà la première chose que j'avais envie de rappeler c'est super, bonne nouvelle, on est en vie ! C'est ce que je relisais dans le livre de Tal Ben-Sahar, L'apprentissage de l'imperfection, qui dit que toute personne qui ne ressent pas d'émotions désagréables, inconfortables, est une personne soit psychopathe, soit morte. Pensez-y quand vous entendrez quelqu'un vous dire moi je ne ressens pas d'émotion désagréable Cette personne est soit psychopathe, soit morte de l'intérieur. Donc c'est inquiétant. Mais trêve de plaisanterie, je vais revenir sur le sujet de la dévalorisation et surtout je vais commencer par vous dire pourquoi ça compte tant que ça. Et bien pour moi, derrière cette notion de dévalorisation, il y a vraiment cette notion d'émancipation. d'ouverture, de laisser nos ailes se déployer. Alors dit comme ça, ça fait très gourou, mais en fait il y a un truc bien plus profond. C'est à dire que homme comme femme, là attention je parle pas de genre, je parle d'humanité, mais je vais utiliser la notion d'homme et de femme pour que vous compreniez plus précisément. Homme comme femme, on a grandi avec l'idée qu'il fallait être fort. Avec l'idée qu'une femme pouvait montrer sa sensibilité, mais ça faisait quand même d'elle une pleure nicheuse si elle la montrait trop. Si un homme montrait sa vulnérabilité, sa tristesse, ça fait de lui un faible. Du coup, j'ai envie de regrouper tout ce concept derrière la notion de virilité. C'est-à-dire que nous devons faire face à un monde qui est complexe. Et donc, on doit presque avoir des armures pour pouvoir faire ça. Je vous invite à lire le livre Le mythe de la virilité, qui justement nous explique en quoi ce mythe a un impact sur les hommes et les femmes. En fait, le concept, c'est de comprendre que nous avons tous baigné, et nous baignons tous encore, dans des injonctions. Et ces injonctions, elles nous conduisent à des comportements comme la dévalorisation. Et du coup, ce que je constate, c'est que 99% des femmes que je rencontre se dévalorisent. Et j'ai envie d'ajouter un autre sondage, qui bien évidemment n'est pas reconnu par les organismes de sondage, vous l'avez bien compris, c'est un truc aux doigts mouillés. Les hommes sont 80% à... avoir l'impression qu'ils ne se dévalorisent pas. Autre phénomène que j'ai pu observer, c'est la notion d'âge. C'est-à-dire que j'ai des clientes qui sont plus âgées que moi et qui ont tendance à se remettre en question par rapport à leur âge. Est-ce que ça vaut le coup ? Est-ce que ça vaut le coup, par exemple, de faire une reconversion, de sortir de ce couple, de déménager ? En fait, d'engager un inconfort par rapport à leur âge. Et ce dont je me rends compte, c'est que ça marche aussi pour ma génération. On va avoir tendance à se dire, est-ce qu'à mon âge, ça serait pas mieux que je sois plus stable, que je me range un peu ? Et donc en fait, je vois qu'il y a une vraie dévalorisation par rapport à l'âge. Comme si on était soit trop vieux, soit trop jeune, toujours trop ou pas assez quelque chose en fait. Et je vous en ai déjà parlé dans le premier épisode sur ce sujet-là. sur la dévalorisation en vue de l'inpublic, c'est que les défis qu'on rencontre tous et toutes, c'est d'avoir l'impression qu'on est bridé par nous-mêmes, par des pensées intérieures. Et ce que j'avais envie de ramener sur la table, c'est que la dévalorisation, elle englobe tout ça. Elle englobe la notion d'autosabotage, que je n'aime pas et je vais vous expliquer pourquoi. Elle englobe aussi le fait de se sous-estimer. C'est même sa définition. Se dévaloriser, c'est sous-estimer une part de nous, soit sa valeur, Donc qui l'on est, soit des compétences, soit des succès, soit un schéma de vie, soit un potentiel. En fait, peu importe, j'ai envie de dire, c'est dévaloriser un aspect de sa vie ou une sous-personnalité que nous avons. Et je vais revenir dessus. Quand je me suis confrontée à cette dévalorisation, je me suis rendue compte qu'on était nombreux à se dire Ah ouais, mais moi j'ai les outils pour pouvoir faire face à ça, donc du coup je suis pas concernée. Et j'ai une bonne et une mauvaise nouvelle. c'est que la mauvaise, c'est pas parce qu'on a les outils qu'on est à l'abri de cette dévalorisation. Et la bonne, c'est que ça veut dire encore une fois que nous sommes humains. Et ça veut dire que ça compte. Parce que les endroits où, selon moi, on ne met pas d'affect, on ne met pas d'émotionnel, où il n'y a pas de charge émotionnelle, ce sont des endroits où, potentiellement, on ne va pas se dévaloriser. Par contre, quand ça compte, quand on y met du cœur, quand on y met de l'énergie, quand on y met des attentes aussi, qu'on le veuille ou non, eh bien, il va y avoir cette petite voix qui va s'immiscer et qui va nous dire Oh, attends, est-ce qu'on est assez ? Est-ce qu'on est à la hauteur ? Est-ce que c'est le bon moment ? Est-ce qu'on ne va pas se planter ? Est-ce qu'on ne choisirait pas la sécurité ? L'idée d'aller explorer sa dévalorisation, c'est pour moi aller explorer sa vulnérabilité. Et vous le savez, les vertus qui me portent sont le courage et la sincérité, que ce soit dans mon quotidien mais aussi dans ce podcast. Et j'ai aussi envie de nous rappeler que ce pan de nos vies, où on va avoir l'impression de se limiter, ce sont des espaces en fait qui nous permettent de conscientiser les parts de nous qu'on a mis de côté. Je vais vous donner des exemples. Pendant ce processus, je me suis rendu compte qu'il y avait une part de moi qui était totalement flémarde. Elle a envie de ne rien faire. Est-ce que ça me définit ? Absolument pas. Sauf que j'accepte que j'ai en moi cette part flémarde. Beaucoup d'entre vous diraient peut-être c'est pas bien, on peut pas fonctionner avec une part comme ça Mais encore une fois, on choisit pas les parts qu'on a à l'intérieur de nous. Alors je rappelle, parce que je l'évoque souvent mais c'est peut-être pas clair pour vous, une part c'est comme une sous-personnalité, comme un petit personnage que l'on a à l'intérieur et qui se manifeste de temps en temps ou de façon très régulière. Et cette part flemmarde, parfois, elle m'invite à faire des choix qui sont beaucoup plus confortables. Je m'étais engagée, par exemple, à publier tous les jours, pendant plus de 40 jours, sur les réseaux sociaux. Est-ce que cette part flemmarde, elle s'est manifestée ? Bien évidemment ! Parce qu'il y a, encore une fois, quelque chose à intégrer. et que l'on a du mal à ancrer dans nos quotidiens, c'est que la motivation et la volonté ne sont pas constantes. C'est-à-dire que quand je me suis engagée auprès des gens, j'étais motivée, j'avais une volonté de faire, mais je savais dans mon processus qu'il y allait avoir un moment où je n'aurais plus de motivation et de volonté et que ma part flémarde allait se manifester. Qu'est-ce qui prend le relais à ce moment-là ? Eh bien, c'est la discipline. C'est l'engagement que je me suis donné parce que justement j'y ai mis du cœur, j'y ai mis de l'émotionnel dessus. Si je m'engage sur des trucs dont j'en ai rien à cirer, je peux vous assurer qu'en fait la part flemmarde elle prend le dessus et elle prend le volant surtout de mes prises de décision. Donc ce que j'ai pu découvrir aussi derrière la notion de dévalorisation, c'est que ce sont des parts à écouter. Cette part flemmarde qu'est ce qu'elle veut ? Elle veut que je protège ! mes réserves en énergie. Quand je commençais à être un petit peu plus impactée par justement cette publication et à me dire Oh, aujourd'hui, ça me saoule c'est tout simplement parce que j'avais envie de protéger mon énergie. Parce que c'est beaucoup plus simple de se dire Non, aujourd'hui, je ne veux pas publier, puis tout le monde s'en fout. Sauf que la confiance en soi passe par un engagement envers soi. Qu'est-ce que vous attendez des gens en qui vous avez confiance ? Vous attendez de la fiabilité. Et moi, j'ai appris à mes dépens que si j'étais incapable de respecter ma propre parole quand je m'engageais, eh bien, je perdais en confiance en moi. Et donc, je me dévalorisais. Alors, évidemment, ça ne veut pas dire qu'on ne peut pas changer d'avis. Évidemment, ça ne veut pas dire qu'on ne peut pas se désengager. Mais par contre... Pour moi, il y a une vraie prise de conscience à avoir sur est-ce que les parts que j'ai à l'intérieur de moi, la flemmarde, celle qui veut être dans le contrôle, celle qui veut tout réussir, elles vont prendre le pas, les commandes de ma vie, tout le temps ? Parce qu'elles veulent remplir leur mission, et c'est tant mieux pour elles. Ou est-ce que je décide aussi de les comprendre et de les rassurer ? Parce que ce qui se joue derrière la dévalorisation, c'est très souvent qu'on a l'impression de se sentir faible. Et c'est même les mots qui sont associés à la dévalorisation. Sous-estime, manque de confiance, faiblesse, le fait de se juger, le fait de se critiquer, c'est franchement pas des trucs sexy. Et en fait, j'ai envie de rappeler que plus on va se déployer, plus on va ouvrir nos ailes, plus on va augmenter le potentiel de dévalorisation. J'insiste sur le potentiel. Parce qu'en fait, Ce sont des espaces où on va y mettre du cœur, où on va y mettre de l'audace, où on va y mettre aussi beaucoup plus de sincérité. Et donc forcément, on va aller à la rencontre de choses qui nous tiraillent, de croyances que l'on a en nous. Et moi, ce que j'en comprends de ce sujet, c'est que ça nous demande vraiment de lâcher nos conditionnements. de lâcher notre vision binaire et surtout de lâcher les associations, les interprétations et j'ai même envie de dire les stéréotypes que l'on met derrière certains mots, certains concepts. Parce que ce que j'entends le plus de fois, c'est que si on accepte que l'on se dévalorise, que ce soit sur sa valeur, que ce soit sur ses compétences, que ce soit sur sa vie de façon générale ou ses succès, eh bien, on accepte aussi d'être faible. Et je vous ai parlé, au début de cet épisode, du schéma en lien avec la virilité. Comme quoi, nous devons tous être forts. Et en fait, j'ai envie de vous rappeler, à vous, à moi, que nous soyons un homme, une femme. On n'a pas à prouver qu'on est fort. On est ce que l'on est, point barre. Et il y a des moments où en fait, non, on n'est pas fort. On est faible. Mais c'est pas cette faiblesse qui va faire qu'on va venir nous piétiner. C'est cette faiblesse qui va nous permettre d'aller chercher dans nos ressources pour créer un esprit de résilience. Parce que derrière la dévalorisation, il y a une beauté. que j'ai envie qu'on touche du doigt là ensemble, juste espace de deux minutes, c'est que si on accepte cette polarité en nous qui est moins glorieuse que les autres, que ce soit la honte, la culpabilité, la notion de faiblesse, la sensibilité, et bien on accepte aussi l'autre côté, l'autre face de la même pièce. C'est-à-dire le courage, l'audace, la force, la puissance, l'inspiration, toutes ces choses qui contribuent à rendre le monde plus beau, meilleur et surtout qui nous permet de nous sentir bien dans nos pompes. Donc si j'avais une conclusion concernant mon exploration qui... je pense, vous l'avez entendu, n'est clairement pas terminée. C'est que la dévalorisation, c'est quelque chose à intégrer, accepter, vivre, ressentir. Parce qu'elle nous permet aussi d'aller chercher nos pépites à l'intérieur de nous. De voir qu'en nous, on a quelque chose de bien plus profond, bien plus riche, et que pour pouvoir accéder à ça, il est nécessaire de traverser des tunnels un peu sombres, des moments où on va avoir envie de tout abandonner. Des moments où on va se remettre en question et on va avoir 100 000 questions à la minute. Des moments où on va se sentir tellement nul qu'on ne saura même pas dans quelle direction aller. Je vous invite vraiment à mettre de la douceur sur ces parts de vous. Non pas pour, comme d'habitude, les auto-flageller et dire je ne veux plus te voir, je ne veux plus que tu fasses partie de ma vie, tu es en train de m'auto-saboter, de me limiter Tout ce qui se passe en vous, toutes ces émotions, toutes ces... parts qui s'expriment. Elles ont un rôle. Et notre job à nous, c'est de les accueillir. Si vous avez envie d'aller plus loin, je vous accueille jusqu'au 8 décembre dans mon programme Dévoile ton jeu, où l'objectif c'est justement d'arrêter de se dévaloriser pour enfin s'affirmer et faire briller son activité. Évidemment, c'est pas forcément pour tout le monde. C'est pour des gens qui sont prêts à s'engager. À s'engager pour eux-mêmes mais aussi pour ce qui compte. Donc du coup, j'ai décidé de faire des appels de candidatures. Je vous mets dans la description de cet épisode le lien pour pouvoir prendre rendez-vous avec moi, qu'on puisse décortiquer ce qui se passe pour vous en ce moment et voir s'il dévoile ton jeu et adapter à ce que vous vivez. Je vous remercie d'avoir écouté cet épisode. J'espère qu'il vous aura fait réfléchir. Ce que je vous propose, c'est à la fois de le partager de le noter si ça vous a inspiré, si ça vous a permis de déculpabiliser, parce qu'on est tous et toutes dans le même bateau, quel que soit notre job, quels que soient les outils qu'on a à disposition. Dans la vie, tout est cyclique. Il y aura des hauts et des bas. Et je nous invite à vivre ces hauts et ces bas avec le plus de sérénité et de résilience possible. Je vous donne rendez-vous très vite pour la suite. Je vous embrasse. Merci.

Description

Dans ce nouvel épisode de DECIDE au format "Build in public", je termine (ou plutôt commence) mon aventure sur la dévalorisation, un sujet qui a touché beaucoup d'entre vous, et aussi moi-même.


Voici ce que vous allez découvrir dans cet épisode :


  • Pourquoi la dévalorisation est sous-estimée : Un sujet rarement abordé dans le développement personnel, mais pourtant omniprésent dans nos vies.

  • La dévalorisation n’est pas un échec : Elle fait partie de notre humanité, et elle peut même nous aider à grandir, si on l’accepte.

  • Les injonctions sociales et la dévalorisation : Pourquoi nous avons tendance à dévaloriser certains aspects de nous-mêmes, surtout chez les femmes, et l’impact de l’âge sur cette dynamique.

  • L’émancipation derrière la dévalorisation : Comment dépasser ces pensées limitantes pour se donner le droit de briller, d’être vulnérable et de sortir du rôle imposé par la société.

  • La dévalorisation comme invitation à l'exploration : Ce qu’elle nous apprend sur nos parts d’ombre et comment l’explorer pour grandir.


Je vous invite à écouter cet épisode pour mieux comprendre la dévalorisation, l’accepter et surtout, ne pas la laisser nous contrôler. C’est un voyage vers la vulnérabilité, le courage, et la véritable émancipation.

Et si tu veux aller plus loin, prends un temps avec moi : juste ici


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Tu n'as pas le choix. On ne peut pas tout avoir. Ne cherche pas. Fais comme tout le monde. Stop. Décide. Ce podcast, c'est le repère des esprits libres, de ceux qui veulent bousculer les normes, remettre en question les limites, les modèles, qui en ont marre qu'on leur dise quoi faire ou que ce n'est pas possible. Je m'appelle Joy et je serai votre hôte. Ici, on va parler sans tabou de tout ce qui peut brider ou pimper notre vie. Dans ce podcast... on va booster ton courage et ta sincérité pour oser ne pas plaire à tout le monde, assumer tes choix et cesser de chercher la normalité, la conformité ou le sans-erreur. Parce qu'être libre, ça se décide. Décide. Bonjour et bienvenue dans ce nouvel épisode au format Vild in Public où j'ai le plaisir de vous partager la fin de mon aventure concernant la dévalorisation. Alors... Je dis la fin, mais pour être très honnête, c'est un commencement. Et oui, parce qu'en fait, ce sujet est venu toucher énormément de choses chez vous, en moi. Et du coup, aujourd'hui, j'ai envie de vous transmettre tout ça. Parce qu'en fait, la dévalorisation, c'est un sujet sous-côté. Déjà, c'est un mot qu'on entend très peu dans le développement personnel parce qu'on aime bien utiliser la notion d'autosabotage, de manque d'estime de soi, de manque de courage. Alors qu'en fait... Pour moi, la dévalorisation, c'est ce qui englobe tous nos comportements, tous nos mécanismes, toutes nos émotions, tous nos doutes qui viendraient entraver ce qui nous fait vraiment du bien, ce qui nous tient vraiment à cœur. Et donc du coup, la dévalorisation, elle s'immisce partout. Alors aujourd'hui, je vais essayer de vous faire un état des lieux de ce mois passé à observer la dévalorisation chez moi, mais aussi chez certaines de mes clientes. que j'ai pu interviewer sur le coin d'une table pour savoir comment elles vivaient les choses, et aussi parce que j'ai proposé des ateliers qui s'appelaient Goodbye Dévalorisation, comme vous l'avez entendu dans les épisodes précédents, qui m'ont permis de me confronter aussi à une réalité qui n'est pas la mienne, la vôtre. Et j'ai à cœur de mettre en avant vos process, pour qu'ensemble, en fait, on puisse vraiment aller au plus profond de ce que la dévalorisation nous permet. de faire émerger. Parce qu'encore une fois, comme pour tous les sujets que je vous propose, j'ai pas envie de tomber dans un mode dramatique. C'est pas parce que la dévalorisation c'est quelque chose qui vient nous titiller, nous chercher au plus profond de nos tripes parfois, qu'on est obligé de tomber dans le mélodrame de oh là là c'est vraiment horrible, moi je ressens ça, je suis une mauvaise personne, je ne devrais pas fonctionner comme ça et là on tombe dans cette espèce d'autoflagellation alors qu'en fait nous sommes tous humains. Il faut arrêter de croire, et oui j'utilise le il faut parce qu'à un moment donné c'est il faut que les humains sont des gens parfaits et que du coup on est tout le temps stable, binaire dans je vais bien, tout va bien, les oiseaux chantent, le ciel est beau Non ! Il y a des moments où le ciel est sombre, la pluie coule, les orages sont là. Et c'est ok. Ça veut pas dire que nous sommes des mauvaises personnes, ça veut pas dire que nous sommes foutus à jamais, ça veut simplement dire qu'on est vivants. Donc déjà la première chose que j'avais envie de rappeler c'est super, bonne nouvelle, on est en vie ! C'est ce que je relisais dans le livre de Tal Ben-Sahar, L'apprentissage de l'imperfection, qui dit que toute personne qui ne ressent pas d'émotions désagréables, inconfortables, est une personne soit psychopathe, soit morte. Pensez-y quand vous entendrez quelqu'un vous dire moi je ne ressens pas d'émotion désagréable Cette personne est soit psychopathe, soit morte de l'intérieur. Donc c'est inquiétant. Mais trêve de plaisanterie, je vais revenir sur le sujet de la dévalorisation et surtout je vais commencer par vous dire pourquoi ça compte tant que ça. Et bien pour moi, derrière cette notion de dévalorisation, il y a vraiment cette notion d'émancipation. d'ouverture, de laisser nos ailes se déployer. Alors dit comme ça, ça fait très gourou, mais en fait il y a un truc bien plus profond. C'est à dire que homme comme femme, là attention je parle pas de genre, je parle d'humanité, mais je vais utiliser la notion d'homme et de femme pour que vous compreniez plus précisément. Homme comme femme, on a grandi avec l'idée qu'il fallait être fort. Avec l'idée qu'une femme pouvait montrer sa sensibilité, mais ça faisait quand même d'elle une pleure nicheuse si elle la montrait trop. Si un homme montrait sa vulnérabilité, sa tristesse, ça fait de lui un faible. Du coup, j'ai envie de regrouper tout ce concept derrière la notion de virilité. C'est-à-dire que nous devons faire face à un monde qui est complexe. Et donc, on doit presque avoir des armures pour pouvoir faire ça. Je vous invite à lire le livre Le mythe de la virilité, qui justement nous explique en quoi ce mythe a un impact sur les hommes et les femmes. En fait, le concept, c'est de comprendre que nous avons tous baigné, et nous baignons tous encore, dans des injonctions. Et ces injonctions, elles nous conduisent à des comportements comme la dévalorisation. Et du coup, ce que je constate, c'est que 99% des femmes que je rencontre se dévalorisent. Et j'ai envie d'ajouter un autre sondage, qui bien évidemment n'est pas reconnu par les organismes de sondage, vous l'avez bien compris, c'est un truc aux doigts mouillés. Les hommes sont 80% à... avoir l'impression qu'ils ne se dévalorisent pas. Autre phénomène que j'ai pu observer, c'est la notion d'âge. C'est-à-dire que j'ai des clientes qui sont plus âgées que moi et qui ont tendance à se remettre en question par rapport à leur âge. Est-ce que ça vaut le coup ? Est-ce que ça vaut le coup, par exemple, de faire une reconversion, de sortir de ce couple, de déménager ? En fait, d'engager un inconfort par rapport à leur âge. Et ce dont je me rends compte, c'est que ça marche aussi pour ma génération. On va avoir tendance à se dire, est-ce qu'à mon âge, ça serait pas mieux que je sois plus stable, que je me range un peu ? Et donc en fait, je vois qu'il y a une vraie dévalorisation par rapport à l'âge. Comme si on était soit trop vieux, soit trop jeune, toujours trop ou pas assez quelque chose en fait. Et je vous en ai déjà parlé dans le premier épisode sur ce sujet-là. sur la dévalorisation en vue de l'inpublic, c'est que les défis qu'on rencontre tous et toutes, c'est d'avoir l'impression qu'on est bridé par nous-mêmes, par des pensées intérieures. Et ce que j'avais envie de ramener sur la table, c'est que la dévalorisation, elle englobe tout ça. Elle englobe la notion d'autosabotage, que je n'aime pas et je vais vous expliquer pourquoi. Elle englobe aussi le fait de se sous-estimer. C'est même sa définition. Se dévaloriser, c'est sous-estimer une part de nous, soit sa valeur, Donc qui l'on est, soit des compétences, soit des succès, soit un schéma de vie, soit un potentiel. En fait, peu importe, j'ai envie de dire, c'est dévaloriser un aspect de sa vie ou une sous-personnalité que nous avons. Et je vais revenir dessus. Quand je me suis confrontée à cette dévalorisation, je me suis rendue compte qu'on était nombreux à se dire Ah ouais, mais moi j'ai les outils pour pouvoir faire face à ça, donc du coup je suis pas concernée. Et j'ai une bonne et une mauvaise nouvelle. c'est que la mauvaise, c'est pas parce qu'on a les outils qu'on est à l'abri de cette dévalorisation. Et la bonne, c'est que ça veut dire encore une fois que nous sommes humains. Et ça veut dire que ça compte. Parce que les endroits où, selon moi, on ne met pas d'affect, on ne met pas d'émotionnel, où il n'y a pas de charge émotionnelle, ce sont des endroits où, potentiellement, on ne va pas se dévaloriser. Par contre, quand ça compte, quand on y met du cœur, quand on y met de l'énergie, quand on y met des attentes aussi, qu'on le veuille ou non, eh bien, il va y avoir cette petite voix qui va s'immiscer et qui va nous dire Oh, attends, est-ce qu'on est assez ? Est-ce qu'on est à la hauteur ? Est-ce que c'est le bon moment ? Est-ce qu'on ne va pas se planter ? Est-ce qu'on ne choisirait pas la sécurité ? L'idée d'aller explorer sa dévalorisation, c'est pour moi aller explorer sa vulnérabilité. Et vous le savez, les vertus qui me portent sont le courage et la sincérité, que ce soit dans mon quotidien mais aussi dans ce podcast. Et j'ai aussi envie de nous rappeler que ce pan de nos vies, où on va avoir l'impression de se limiter, ce sont des espaces en fait qui nous permettent de conscientiser les parts de nous qu'on a mis de côté. Je vais vous donner des exemples. Pendant ce processus, je me suis rendu compte qu'il y avait une part de moi qui était totalement flémarde. Elle a envie de ne rien faire. Est-ce que ça me définit ? Absolument pas. Sauf que j'accepte que j'ai en moi cette part flémarde. Beaucoup d'entre vous diraient peut-être c'est pas bien, on peut pas fonctionner avec une part comme ça Mais encore une fois, on choisit pas les parts qu'on a à l'intérieur de nous. Alors je rappelle, parce que je l'évoque souvent mais c'est peut-être pas clair pour vous, une part c'est comme une sous-personnalité, comme un petit personnage que l'on a à l'intérieur et qui se manifeste de temps en temps ou de façon très régulière. Et cette part flemmarde, parfois, elle m'invite à faire des choix qui sont beaucoup plus confortables. Je m'étais engagée, par exemple, à publier tous les jours, pendant plus de 40 jours, sur les réseaux sociaux. Est-ce que cette part flemmarde, elle s'est manifestée ? Bien évidemment ! Parce qu'il y a, encore une fois, quelque chose à intégrer. et que l'on a du mal à ancrer dans nos quotidiens, c'est que la motivation et la volonté ne sont pas constantes. C'est-à-dire que quand je me suis engagée auprès des gens, j'étais motivée, j'avais une volonté de faire, mais je savais dans mon processus qu'il y allait avoir un moment où je n'aurais plus de motivation et de volonté et que ma part flémarde allait se manifester. Qu'est-ce qui prend le relais à ce moment-là ? Eh bien, c'est la discipline. C'est l'engagement que je me suis donné parce que justement j'y ai mis du cœur, j'y ai mis de l'émotionnel dessus. Si je m'engage sur des trucs dont j'en ai rien à cirer, je peux vous assurer qu'en fait la part flemmarde elle prend le dessus et elle prend le volant surtout de mes prises de décision. Donc ce que j'ai pu découvrir aussi derrière la notion de dévalorisation, c'est que ce sont des parts à écouter. Cette part flemmarde qu'est ce qu'elle veut ? Elle veut que je protège ! mes réserves en énergie. Quand je commençais à être un petit peu plus impactée par justement cette publication et à me dire Oh, aujourd'hui, ça me saoule c'est tout simplement parce que j'avais envie de protéger mon énergie. Parce que c'est beaucoup plus simple de se dire Non, aujourd'hui, je ne veux pas publier, puis tout le monde s'en fout. Sauf que la confiance en soi passe par un engagement envers soi. Qu'est-ce que vous attendez des gens en qui vous avez confiance ? Vous attendez de la fiabilité. Et moi, j'ai appris à mes dépens que si j'étais incapable de respecter ma propre parole quand je m'engageais, eh bien, je perdais en confiance en moi. Et donc, je me dévalorisais. Alors, évidemment, ça ne veut pas dire qu'on ne peut pas changer d'avis. Évidemment, ça ne veut pas dire qu'on ne peut pas se désengager. Mais par contre... Pour moi, il y a une vraie prise de conscience à avoir sur est-ce que les parts que j'ai à l'intérieur de moi, la flemmarde, celle qui veut être dans le contrôle, celle qui veut tout réussir, elles vont prendre le pas, les commandes de ma vie, tout le temps ? Parce qu'elles veulent remplir leur mission, et c'est tant mieux pour elles. Ou est-ce que je décide aussi de les comprendre et de les rassurer ? Parce que ce qui se joue derrière la dévalorisation, c'est très souvent qu'on a l'impression de se sentir faible. Et c'est même les mots qui sont associés à la dévalorisation. Sous-estime, manque de confiance, faiblesse, le fait de se juger, le fait de se critiquer, c'est franchement pas des trucs sexy. Et en fait, j'ai envie de rappeler que plus on va se déployer, plus on va ouvrir nos ailes, plus on va augmenter le potentiel de dévalorisation. J'insiste sur le potentiel. Parce qu'en fait, Ce sont des espaces où on va y mettre du cœur, où on va y mettre de l'audace, où on va y mettre aussi beaucoup plus de sincérité. Et donc forcément, on va aller à la rencontre de choses qui nous tiraillent, de croyances que l'on a en nous. Et moi, ce que j'en comprends de ce sujet, c'est que ça nous demande vraiment de lâcher nos conditionnements. de lâcher notre vision binaire et surtout de lâcher les associations, les interprétations et j'ai même envie de dire les stéréotypes que l'on met derrière certains mots, certains concepts. Parce que ce que j'entends le plus de fois, c'est que si on accepte que l'on se dévalorise, que ce soit sur sa valeur, que ce soit sur ses compétences, que ce soit sur sa vie de façon générale ou ses succès, eh bien, on accepte aussi d'être faible. Et je vous ai parlé, au début de cet épisode, du schéma en lien avec la virilité. Comme quoi, nous devons tous être forts. Et en fait, j'ai envie de vous rappeler, à vous, à moi, que nous soyons un homme, une femme. On n'a pas à prouver qu'on est fort. On est ce que l'on est, point barre. Et il y a des moments où en fait, non, on n'est pas fort. On est faible. Mais c'est pas cette faiblesse qui va faire qu'on va venir nous piétiner. C'est cette faiblesse qui va nous permettre d'aller chercher dans nos ressources pour créer un esprit de résilience. Parce que derrière la dévalorisation, il y a une beauté. que j'ai envie qu'on touche du doigt là ensemble, juste espace de deux minutes, c'est que si on accepte cette polarité en nous qui est moins glorieuse que les autres, que ce soit la honte, la culpabilité, la notion de faiblesse, la sensibilité, et bien on accepte aussi l'autre côté, l'autre face de la même pièce. C'est-à-dire le courage, l'audace, la force, la puissance, l'inspiration, toutes ces choses qui contribuent à rendre le monde plus beau, meilleur et surtout qui nous permet de nous sentir bien dans nos pompes. Donc si j'avais une conclusion concernant mon exploration qui... je pense, vous l'avez entendu, n'est clairement pas terminée. C'est que la dévalorisation, c'est quelque chose à intégrer, accepter, vivre, ressentir. Parce qu'elle nous permet aussi d'aller chercher nos pépites à l'intérieur de nous. De voir qu'en nous, on a quelque chose de bien plus profond, bien plus riche, et que pour pouvoir accéder à ça, il est nécessaire de traverser des tunnels un peu sombres, des moments où on va avoir envie de tout abandonner. Des moments où on va se remettre en question et on va avoir 100 000 questions à la minute. Des moments où on va se sentir tellement nul qu'on ne saura même pas dans quelle direction aller. Je vous invite vraiment à mettre de la douceur sur ces parts de vous. Non pas pour, comme d'habitude, les auto-flageller et dire je ne veux plus te voir, je ne veux plus que tu fasses partie de ma vie, tu es en train de m'auto-saboter, de me limiter Tout ce qui se passe en vous, toutes ces émotions, toutes ces... parts qui s'expriment. Elles ont un rôle. Et notre job à nous, c'est de les accueillir. Si vous avez envie d'aller plus loin, je vous accueille jusqu'au 8 décembre dans mon programme Dévoile ton jeu, où l'objectif c'est justement d'arrêter de se dévaloriser pour enfin s'affirmer et faire briller son activité. Évidemment, c'est pas forcément pour tout le monde. C'est pour des gens qui sont prêts à s'engager. À s'engager pour eux-mêmes mais aussi pour ce qui compte. Donc du coup, j'ai décidé de faire des appels de candidatures. Je vous mets dans la description de cet épisode le lien pour pouvoir prendre rendez-vous avec moi, qu'on puisse décortiquer ce qui se passe pour vous en ce moment et voir s'il dévoile ton jeu et adapter à ce que vous vivez. Je vous remercie d'avoir écouté cet épisode. J'espère qu'il vous aura fait réfléchir. Ce que je vous propose, c'est à la fois de le partager de le noter si ça vous a inspiré, si ça vous a permis de déculpabiliser, parce qu'on est tous et toutes dans le même bateau, quel que soit notre job, quels que soient les outils qu'on a à disposition. Dans la vie, tout est cyclique. Il y aura des hauts et des bas. Et je nous invite à vivre ces hauts et ces bas avec le plus de sérénité et de résilience possible. Je vous donne rendez-vous très vite pour la suite. Je vous embrasse. Merci.

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Description

Dans ce nouvel épisode de DECIDE au format "Build in public", je termine (ou plutôt commence) mon aventure sur la dévalorisation, un sujet qui a touché beaucoup d'entre vous, et aussi moi-même.


Voici ce que vous allez découvrir dans cet épisode :


  • Pourquoi la dévalorisation est sous-estimée : Un sujet rarement abordé dans le développement personnel, mais pourtant omniprésent dans nos vies.

  • La dévalorisation n’est pas un échec : Elle fait partie de notre humanité, et elle peut même nous aider à grandir, si on l’accepte.

  • Les injonctions sociales et la dévalorisation : Pourquoi nous avons tendance à dévaloriser certains aspects de nous-mêmes, surtout chez les femmes, et l’impact de l’âge sur cette dynamique.

  • L’émancipation derrière la dévalorisation : Comment dépasser ces pensées limitantes pour se donner le droit de briller, d’être vulnérable et de sortir du rôle imposé par la société.

  • La dévalorisation comme invitation à l'exploration : Ce qu’elle nous apprend sur nos parts d’ombre et comment l’explorer pour grandir.


Je vous invite à écouter cet épisode pour mieux comprendre la dévalorisation, l’accepter et surtout, ne pas la laisser nous contrôler. C’est un voyage vers la vulnérabilité, le courage, et la véritable émancipation.

Et si tu veux aller plus loin, prends un temps avec moi : juste ici


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Tu n'as pas le choix. On ne peut pas tout avoir. Ne cherche pas. Fais comme tout le monde. Stop. Décide. Ce podcast, c'est le repère des esprits libres, de ceux qui veulent bousculer les normes, remettre en question les limites, les modèles, qui en ont marre qu'on leur dise quoi faire ou que ce n'est pas possible. Je m'appelle Joy et je serai votre hôte. Ici, on va parler sans tabou de tout ce qui peut brider ou pimper notre vie. Dans ce podcast... on va booster ton courage et ta sincérité pour oser ne pas plaire à tout le monde, assumer tes choix et cesser de chercher la normalité, la conformité ou le sans-erreur. Parce qu'être libre, ça se décide. Décide. Bonjour et bienvenue dans ce nouvel épisode au format Vild in Public où j'ai le plaisir de vous partager la fin de mon aventure concernant la dévalorisation. Alors... Je dis la fin, mais pour être très honnête, c'est un commencement. Et oui, parce qu'en fait, ce sujet est venu toucher énormément de choses chez vous, en moi. Et du coup, aujourd'hui, j'ai envie de vous transmettre tout ça. Parce qu'en fait, la dévalorisation, c'est un sujet sous-côté. Déjà, c'est un mot qu'on entend très peu dans le développement personnel parce qu'on aime bien utiliser la notion d'autosabotage, de manque d'estime de soi, de manque de courage. Alors qu'en fait... Pour moi, la dévalorisation, c'est ce qui englobe tous nos comportements, tous nos mécanismes, toutes nos émotions, tous nos doutes qui viendraient entraver ce qui nous fait vraiment du bien, ce qui nous tient vraiment à cœur. Et donc du coup, la dévalorisation, elle s'immisce partout. Alors aujourd'hui, je vais essayer de vous faire un état des lieux de ce mois passé à observer la dévalorisation chez moi, mais aussi chez certaines de mes clientes. que j'ai pu interviewer sur le coin d'une table pour savoir comment elles vivaient les choses, et aussi parce que j'ai proposé des ateliers qui s'appelaient Goodbye Dévalorisation, comme vous l'avez entendu dans les épisodes précédents, qui m'ont permis de me confronter aussi à une réalité qui n'est pas la mienne, la vôtre. Et j'ai à cœur de mettre en avant vos process, pour qu'ensemble, en fait, on puisse vraiment aller au plus profond de ce que la dévalorisation nous permet. de faire émerger. Parce qu'encore une fois, comme pour tous les sujets que je vous propose, j'ai pas envie de tomber dans un mode dramatique. C'est pas parce que la dévalorisation c'est quelque chose qui vient nous titiller, nous chercher au plus profond de nos tripes parfois, qu'on est obligé de tomber dans le mélodrame de oh là là c'est vraiment horrible, moi je ressens ça, je suis une mauvaise personne, je ne devrais pas fonctionner comme ça et là on tombe dans cette espèce d'autoflagellation alors qu'en fait nous sommes tous humains. Il faut arrêter de croire, et oui j'utilise le il faut parce qu'à un moment donné c'est il faut que les humains sont des gens parfaits et que du coup on est tout le temps stable, binaire dans je vais bien, tout va bien, les oiseaux chantent, le ciel est beau Non ! Il y a des moments où le ciel est sombre, la pluie coule, les orages sont là. Et c'est ok. Ça veut pas dire que nous sommes des mauvaises personnes, ça veut pas dire que nous sommes foutus à jamais, ça veut simplement dire qu'on est vivants. Donc déjà la première chose que j'avais envie de rappeler c'est super, bonne nouvelle, on est en vie ! C'est ce que je relisais dans le livre de Tal Ben-Sahar, L'apprentissage de l'imperfection, qui dit que toute personne qui ne ressent pas d'émotions désagréables, inconfortables, est une personne soit psychopathe, soit morte. Pensez-y quand vous entendrez quelqu'un vous dire moi je ne ressens pas d'émotion désagréable Cette personne est soit psychopathe, soit morte de l'intérieur. Donc c'est inquiétant. Mais trêve de plaisanterie, je vais revenir sur le sujet de la dévalorisation et surtout je vais commencer par vous dire pourquoi ça compte tant que ça. Et bien pour moi, derrière cette notion de dévalorisation, il y a vraiment cette notion d'émancipation. d'ouverture, de laisser nos ailes se déployer. Alors dit comme ça, ça fait très gourou, mais en fait il y a un truc bien plus profond. C'est à dire que homme comme femme, là attention je parle pas de genre, je parle d'humanité, mais je vais utiliser la notion d'homme et de femme pour que vous compreniez plus précisément. Homme comme femme, on a grandi avec l'idée qu'il fallait être fort. Avec l'idée qu'une femme pouvait montrer sa sensibilité, mais ça faisait quand même d'elle une pleure nicheuse si elle la montrait trop. Si un homme montrait sa vulnérabilité, sa tristesse, ça fait de lui un faible. Du coup, j'ai envie de regrouper tout ce concept derrière la notion de virilité. C'est-à-dire que nous devons faire face à un monde qui est complexe. Et donc, on doit presque avoir des armures pour pouvoir faire ça. Je vous invite à lire le livre Le mythe de la virilité, qui justement nous explique en quoi ce mythe a un impact sur les hommes et les femmes. En fait, le concept, c'est de comprendre que nous avons tous baigné, et nous baignons tous encore, dans des injonctions. Et ces injonctions, elles nous conduisent à des comportements comme la dévalorisation. Et du coup, ce que je constate, c'est que 99% des femmes que je rencontre se dévalorisent. Et j'ai envie d'ajouter un autre sondage, qui bien évidemment n'est pas reconnu par les organismes de sondage, vous l'avez bien compris, c'est un truc aux doigts mouillés. Les hommes sont 80% à... avoir l'impression qu'ils ne se dévalorisent pas. Autre phénomène que j'ai pu observer, c'est la notion d'âge. C'est-à-dire que j'ai des clientes qui sont plus âgées que moi et qui ont tendance à se remettre en question par rapport à leur âge. Est-ce que ça vaut le coup ? Est-ce que ça vaut le coup, par exemple, de faire une reconversion, de sortir de ce couple, de déménager ? En fait, d'engager un inconfort par rapport à leur âge. Et ce dont je me rends compte, c'est que ça marche aussi pour ma génération. On va avoir tendance à se dire, est-ce qu'à mon âge, ça serait pas mieux que je sois plus stable, que je me range un peu ? Et donc en fait, je vois qu'il y a une vraie dévalorisation par rapport à l'âge. Comme si on était soit trop vieux, soit trop jeune, toujours trop ou pas assez quelque chose en fait. Et je vous en ai déjà parlé dans le premier épisode sur ce sujet-là. sur la dévalorisation en vue de l'inpublic, c'est que les défis qu'on rencontre tous et toutes, c'est d'avoir l'impression qu'on est bridé par nous-mêmes, par des pensées intérieures. Et ce que j'avais envie de ramener sur la table, c'est que la dévalorisation, elle englobe tout ça. Elle englobe la notion d'autosabotage, que je n'aime pas et je vais vous expliquer pourquoi. Elle englobe aussi le fait de se sous-estimer. C'est même sa définition. Se dévaloriser, c'est sous-estimer une part de nous, soit sa valeur, Donc qui l'on est, soit des compétences, soit des succès, soit un schéma de vie, soit un potentiel. En fait, peu importe, j'ai envie de dire, c'est dévaloriser un aspect de sa vie ou une sous-personnalité que nous avons. Et je vais revenir dessus. Quand je me suis confrontée à cette dévalorisation, je me suis rendue compte qu'on était nombreux à se dire Ah ouais, mais moi j'ai les outils pour pouvoir faire face à ça, donc du coup je suis pas concernée. Et j'ai une bonne et une mauvaise nouvelle. c'est que la mauvaise, c'est pas parce qu'on a les outils qu'on est à l'abri de cette dévalorisation. Et la bonne, c'est que ça veut dire encore une fois que nous sommes humains. Et ça veut dire que ça compte. Parce que les endroits où, selon moi, on ne met pas d'affect, on ne met pas d'émotionnel, où il n'y a pas de charge émotionnelle, ce sont des endroits où, potentiellement, on ne va pas se dévaloriser. Par contre, quand ça compte, quand on y met du cœur, quand on y met de l'énergie, quand on y met des attentes aussi, qu'on le veuille ou non, eh bien, il va y avoir cette petite voix qui va s'immiscer et qui va nous dire Oh, attends, est-ce qu'on est assez ? Est-ce qu'on est à la hauteur ? Est-ce que c'est le bon moment ? Est-ce qu'on ne va pas se planter ? Est-ce qu'on ne choisirait pas la sécurité ? L'idée d'aller explorer sa dévalorisation, c'est pour moi aller explorer sa vulnérabilité. Et vous le savez, les vertus qui me portent sont le courage et la sincérité, que ce soit dans mon quotidien mais aussi dans ce podcast. Et j'ai aussi envie de nous rappeler que ce pan de nos vies, où on va avoir l'impression de se limiter, ce sont des espaces en fait qui nous permettent de conscientiser les parts de nous qu'on a mis de côté. Je vais vous donner des exemples. Pendant ce processus, je me suis rendu compte qu'il y avait une part de moi qui était totalement flémarde. Elle a envie de ne rien faire. Est-ce que ça me définit ? Absolument pas. Sauf que j'accepte que j'ai en moi cette part flémarde. Beaucoup d'entre vous diraient peut-être c'est pas bien, on peut pas fonctionner avec une part comme ça Mais encore une fois, on choisit pas les parts qu'on a à l'intérieur de nous. Alors je rappelle, parce que je l'évoque souvent mais c'est peut-être pas clair pour vous, une part c'est comme une sous-personnalité, comme un petit personnage que l'on a à l'intérieur et qui se manifeste de temps en temps ou de façon très régulière. Et cette part flemmarde, parfois, elle m'invite à faire des choix qui sont beaucoup plus confortables. Je m'étais engagée, par exemple, à publier tous les jours, pendant plus de 40 jours, sur les réseaux sociaux. Est-ce que cette part flemmarde, elle s'est manifestée ? Bien évidemment ! Parce qu'il y a, encore une fois, quelque chose à intégrer. et que l'on a du mal à ancrer dans nos quotidiens, c'est que la motivation et la volonté ne sont pas constantes. C'est-à-dire que quand je me suis engagée auprès des gens, j'étais motivée, j'avais une volonté de faire, mais je savais dans mon processus qu'il y allait avoir un moment où je n'aurais plus de motivation et de volonté et que ma part flémarde allait se manifester. Qu'est-ce qui prend le relais à ce moment-là ? Eh bien, c'est la discipline. C'est l'engagement que je me suis donné parce que justement j'y ai mis du cœur, j'y ai mis de l'émotionnel dessus. Si je m'engage sur des trucs dont j'en ai rien à cirer, je peux vous assurer qu'en fait la part flemmarde elle prend le dessus et elle prend le volant surtout de mes prises de décision. Donc ce que j'ai pu découvrir aussi derrière la notion de dévalorisation, c'est que ce sont des parts à écouter. Cette part flemmarde qu'est ce qu'elle veut ? Elle veut que je protège ! mes réserves en énergie. Quand je commençais à être un petit peu plus impactée par justement cette publication et à me dire Oh, aujourd'hui, ça me saoule c'est tout simplement parce que j'avais envie de protéger mon énergie. Parce que c'est beaucoup plus simple de se dire Non, aujourd'hui, je ne veux pas publier, puis tout le monde s'en fout. Sauf que la confiance en soi passe par un engagement envers soi. Qu'est-ce que vous attendez des gens en qui vous avez confiance ? Vous attendez de la fiabilité. Et moi, j'ai appris à mes dépens que si j'étais incapable de respecter ma propre parole quand je m'engageais, eh bien, je perdais en confiance en moi. Et donc, je me dévalorisais. Alors, évidemment, ça ne veut pas dire qu'on ne peut pas changer d'avis. Évidemment, ça ne veut pas dire qu'on ne peut pas se désengager. Mais par contre... Pour moi, il y a une vraie prise de conscience à avoir sur est-ce que les parts que j'ai à l'intérieur de moi, la flemmarde, celle qui veut être dans le contrôle, celle qui veut tout réussir, elles vont prendre le pas, les commandes de ma vie, tout le temps ? Parce qu'elles veulent remplir leur mission, et c'est tant mieux pour elles. Ou est-ce que je décide aussi de les comprendre et de les rassurer ? Parce que ce qui se joue derrière la dévalorisation, c'est très souvent qu'on a l'impression de se sentir faible. Et c'est même les mots qui sont associés à la dévalorisation. Sous-estime, manque de confiance, faiblesse, le fait de se juger, le fait de se critiquer, c'est franchement pas des trucs sexy. Et en fait, j'ai envie de rappeler que plus on va se déployer, plus on va ouvrir nos ailes, plus on va augmenter le potentiel de dévalorisation. J'insiste sur le potentiel. Parce qu'en fait, Ce sont des espaces où on va y mettre du cœur, où on va y mettre de l'audace, où on va y mettre aussi beaucoup plus de sincérité. Et donc forcément, on va aller à la rencontre de choses qui nous tiraillent, de croyances que l'on a en nous. Et moi, ce que j'en comprends de ce sujet, c'est que ça nous demande vraiment de lâcher nos conditionnements. de lâcher notre vision binaire et surtout de lâcher les associations, les interprétations et j'ai même envie de dire les stéréotypes que l'on met derrière certains mots, certains concepts. Parce que ce que j'entends le plus de fois, c'est que si on accepte que l'on se dévalorise, que ce soit sur sa valeur, que ce soit sur ses compétences, que ce soit sur sa vie de façon générale ou ses succès, eh bien, on accepte aussi d'être faible. Et je vous ai parlé, au début de cet épisode, du schéma en lien avec la virilité. Comme quoi, nous devons tous être forts. Et en fait, j'ai envie de vous rappeler, à vous, à moi, que nous soyons un homme, une femme. On n'a pas à prouver qu'on est fort. On est ce que l'on est, point barre. Et il y a des moments où en fait, non, on n'est pas fort. On est faible. Mais c'est pas cette faiblesse qui va faire qu'on va venir nous piétiner. C'est cette faiblesse qui va nous permettre d'aller chercher dans nos ressources pour créer un esprit de résilience. Parce que derrière la dévalorisation, il y a une beauté. que j'ai envie qu'on touche du doigt là ensemble, juste espace de deux minutes, c'est que si on accepte cette polarité en nous qui est moins glorieuse que les autres, que ce soit la honte, la culpabilité, la notion de faiblesse, la sensibilité, et bien on accepte aussi l'autre côté, l'autre face de la même pièce. C'est-à-dire le courage, l'audace, la force, la puissance, l'inspiration, toutes ces choses qui contribuent à rendre le monde plus beau, meilleur et surtout qui nous permet de nous sentir bien dans nos pompes. Donc si j'avais une conclusion concernant mon exploration qui... je pense, vous l'avez entendu, n'est clairement pas terminée. C'est que la dévalorisation, c'est quelque chose à intégrer, accepter, vivre, ressentir. Parce qu'elle nous permet aussi d'aller chercher nos pépites à l'intérieur de nous. De voir qu'en nous, on a quelque chose de bien plus profond, bien plus riche, et que pour pouvoir accéder à ça, il est nécessaire de traverser des tunnels un peu sombres, des moments où on va avoir envie de tout abandonner. Des moments où on va se remettre en question et on va avoir 100 000 questions à la minute. Des moments où on va se sentir tellement nul qu'on ne saura même pas dans quelle direction aller. Je vous invite vraiment à mettre de la douceur sur ces parts de vous. Non pas pour, comme d'habitude, les auto-flageller et dire je ne veux plus te voir, je ne veux plus que tu fasses partie de ma vie, tu es en train de m'auto-saboter, de me limiter Tout ce qui se passe en vous, toutes ces émotions, toutes ces... parts qui s'expriment. Elles ont un rôle. Et notre job à nous, c'est de les accueillir. Si vous avez envie d'aller plus loin, je vous accueille jusqu'au 8 décembre dans mon programme Dévoile ton jeu, où l'objectif c'est justement d'arrêter de se dévaloriser pour enfin s'affirmer et faire briller son activité. Évidemment, c'est pas forcément pour tout le monde. C'est pour des gens qui sont prêts à s'engager. À s'engager pour eux-mêmes mais aussi pour ce qui compte. Donc du coup, j'ai décidé de faire des appels de candidatures. Je vous mets dans la description de cet épisode le lien pour pouvoir prendre rendez-vous avec moi, qu'on puisse décortiquer ce qui se passe pour vous en ce moment et voir s'il dévoile ton jeu et adapter à ce que vous vivez. Je vous remercie d'avoir écouté cet épisode. J'espère qu'il vous aura fait réfléchir. Ce que je vous propose, c'est à la fois de le partager de le noter si ça vous a inspiré, si ça vous a permis de déculpabiliser, parce qu'on est tous et toutes dans le même bateau, quel que soit notre job, quels que soient les outils qu'on a à disposition. Dans la vie, tout est cyclique. Il y aura des hauts et des bas. Et je nous invite à vivre ces hauts et ces bas avec le plus de sérénité et de résilience possible. Je vous donne rendez-vous très vite pour la suite. Je vous embrasse. Merci.

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Dans ce nouvel épisode de DECIDE au format "Build in public", je termine (ou plutôt commence) mon aventure sur la dévalorisation, un sujet qui a touché beaucoup d'entre vous, et aussi moi-même.


Voici ce que vous allez découvrir dans cet épisode :


  • Pourquoi la dévalorisation est sous-estimée : Un sujet rarement abordé dans le développement personnel, mais pourtant omniprésent dans nos vies.

  • La dévalorisation n’est pas un échec : Elle fait partie de notre humanité, et elle peut même nous aider à grandir, si on l’accepte.

  • Les injonctions sociales et la dévalorisation : Pourquoi nous avons tendance à dévaloriser certains aspects de nous-mêmes, surtout chez les femmes, et l’impact de l’âge sur cette dynamique.

  • L’émancipation derrière la dévalorisation : Comment dépasser ces pensées limitantes pour se donner le droit de briller, d’être vulnérable et de sortir du rôle imposé par la société.

  • La dévalorisation comme invitation à l'exploration : Ce qu’elle nous apprend sur nos parts d’ombre et comment l’explorer pour grandir.


Je vous invite à écouter cet épisode pour mieux comprendre la dévalorisation, l’accepter et surtout, ne pas la laisser nous contrôler. C’est un voyage vers la vulnérabilité, le courage, et la véritable émancipation.

Et si tu veux aller plus loin, prends un temps avec moi : juste ici


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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  • Speaker #0

    Tu n'as pas le choix. On ne peut pas tout avoir. Ne cherche pas. Fais comme tout le monde. Stop. Décide. Ce podcast, c'est le repère des esprits libres, de ceux qui veulent bousculer les normes, remettre en question les limites, les modèles, qui en ont marre qu'on leur dise quoi faire ou que ce n'est pas possible. Je m'appelle Joy et je serai votre hôte. Ici, on va parler sans tabou de tout ce qui peut brider ou pimper notre vie. Dans ce podcast... on va booster ton courage et ta sincérité pour oser ne pas plaire à tout le monde, assumer tes choix et cesser de chercher la normalité, la conformité ou le sans-erreur. Parce qu'être libre, ça se décide. Décide. Bonjour et bienvenue dans ce nouvel épisode au format Vild in Public où j'ai le plaisir de vous partager la fin de mon aventure concernant la dévalorisation. Alors... Je dis la fin, mais pour être très honnête, c'est un commencement. Et oui, parce qu'en fait, ce sujet est venu toucher énormément de choses chez vous, en moi. Et du coup, aujourd'hui, j'ai envie de vous transmettre tout ça. Parce qu'en fait, la dévalorisation, c'est un sujet sous-côté. Déjà, c'est un mot qu'on entend très peu dans le développement personnel parce qu'on aime bien utiliser la notion d'autosabotage, de manque d'estime de soi, de manque de courage. Alors qu'en fait... Pour moi, la dévalorisation, c'est ce qui englobe tous nos comportements, tous nos mécanismes, toutes nos émotions, tous nos doutes qui viendraient entraver ce qui nous fait vraiment du bien, ce qui nous tient vraiment à cœur. Et donc du coup, la dévalorisation, elle s'immisce partout. Alors aujourd'hui, je vais essayer de vous faire un état des lieux de ce mois passé à observer la dévalorisation chez moi, mais aussi chez certaines de mes clientes. que j'ai pu interviewer sur le coin d'une table pour savoir comment elles vivaient les choses, et aussi parce que j'ai proposé des ateliers qui s'appelaient Goodbye Dévalorisation, comme vous l'avez entendu dans les épisodes précédents, qui m'ont permis de me confronter aussi à une réalité qui n'est pas la mienne, la vôtre. Et j'ai à cœur de mettre en avant vos process, pour qu'ensemble, en fait, on puisse vraiment aller au plus profond de ce que la dévalorisation nous permet. de faire émerger. Parce qu'encore une fois, comme pour tous les sujets que je vous propose, j'ai pas envie de tomber dans un mode dramatique. C'est pas parce que la dévalorisation c'est quelque chose qui vient nous titiller, nous chercher au plus profond de nos tripes parfois, qu'on est obligé de tomber dans le mélodrame de oh là là c'est vraiment horrible, moi je ressens ça, je suis une mauvaise personne, je ne devrais pas fonctionner comme ça et là on tombe dans cette espèce d'autoflagellation alors qu'en fait nous sommes tous humains. Il faut arrêter de croire, et oui j'utilise le il faut parce qu'à un moment donné c'est il faut que les humains sont des gens parfaits et que du coup on est tout le temps stable, binaire dans je vais bien, tout va bien, les oiseaux chantent, le ciel est beau Non ! Il y a des moments où le ciel est sombre, la pluie coule, les orages sont là. Et c'est ok. Ça veut pas dire que nous sommes des mauvaises personnes, ça veut pas dire que nous sommes foutus à jamais, ça veut simplement dire qu'on est vivants. Donc déjà la première chose que j'avais envie de rappeler c'est super, bonne nouvelle, on est en vie ! C'est ce que je relisais dans le livre de Tal Ben-Sahar, L'apprentissage de l'imperfection, qui dit que toute personne qui ne ressent pas d'émotions désagréables, inconfortables, est une personne soit psychopathe, soit morte. Pensez-y quand vous entendrez quelqu'un vous dire moi je ne ressens pas d'émotion désagréable Cette personne est soit psychopathe, soit morte de l'intérieur. Donc c'est inquiétant. Mais trêve de plaisanterie, je vais revenir sur le sujet de la dévalorisation et surtout je vais commencer par vous dire pourquoi ça compte tant que ça. Et bien pour moi, derrière cette notion de dévalorisation, il y a vraiment cette notion d'émancipation. d'ouverture, de laisser nos ailes se déployer. Alors dit comme ça, ça fait très gourou, mais en fait il y a un truc bien plus profond. C'est à dire que homme comme femme, là attention je parle pas de genre, je parle d'humanité, mais je vais utiliser la notion d'homme et de femme pour que vous compreniez plus précisément. Homme comme femme, on a grandi avec l'idée qu'il fallait être fort. Avec l'idée qu'une femme pouvait montrer sa sensibilité, mais ça faisait quand même d'elle une pleure nicheuse si elle la montrait trop. Si un homme montrait sa vulnérabilité, sa tristesse, ça fait de lui un faible. Du coup, j'ai envie de regrouper tout ce concept derrière la notion de virilité. C'est-à-dire que nous devons faire face à un monde qui est complexe. Et donc, on doit presque avoir des armures pour pouvoir faire ça. Je vous invite à lire le livre Le mythe de la virilité, qui justement nous explique en quoi ce mythe a un impact sur les hommes et les femmes. En fait, le concept, c'est de comprendre que nous avons tous baigné, et nous baignons tous encore, dans des injonctions. Et ces injonctions, elles nous conduisent à des comportements comme la dévalorisation. Et du coup, ce que je constate, c'est que 99% des femmes que je rencontre se dévalorisent. Et j'ai envie d'ajouter un autre sondage, qui bien évidemment n'est pas reconnu par les organismes de sondage, vous l'avez bien compris, c'est un truc aux doigts mouillés. Les hommes sont 80% à... avoir l'impression qu'ils ne se dévalorisent pas. Autre phénomène que j'ai pu observer, c'est la notion d'âge. C'est-à-dire que j'ai des clientes qui sont plus âgées que moi et qui ont tendance à se remettre en question par rapport à leur âge. Est-ce que ça vaut le coup ? Est-ce que ça vaut le coup, par exemple, de faire une reconversion, de sortir de ce couple, de déménager ? En fait, d'engager un inconfort par rapport à leur âge. Et ce dont je me rends compte, c'est que ça marche aussi pour ma génération. On va avoir tendance à se dire, est-ce qu'à mon âge, ça serait pas mieux que je sois plus stable, que je me range un peu ? Et donc en fait, je vois qu'il y a une vraie dévalorisation par rapport à l'âge. Comme si on était soit trop vieux, soit trop jeune, toujours trop ou pas assez quelque chose en fait. Et je vous en ai déjà parlé dans le premier épisode sur ce sujet-là. sur la dévalorisation en vue de l'inpublic, c'est que les défis qu'on rencontre tous et toutes, c'est d'avoir l'impression qu'on est bridé par nous-mêmes, par des pensées intérieures. Et ce que j'avais envie de ramener sur la table, c'est que la dévalorisation, elle englobe tout ça. Elle englobe la notion d'autosabotage, que je n'aime pas et je vais vous expliquer pourquoi. Elle englobe aussi le fait de se sous-estimer. C'est même sa définition. Se dévaloriser, c'est sous-estimer une part de nous, soit sa valeur, Donc qui l'on est, soit des compétences, soit des succès, soit un schéma de vie, soit un potentiel. En fait, peu importe, j'ai envie de dire, c'est dévaloriser un aspect de sa vie ou une sous-personnalité que nous avons. Et je vais revenir dessus. Quand je me suis confrontée à cette dévalorisation, je me suis rendue compte qu'on était nombreux à se dire Ah ouais, mais moi j'ai les outils pour pouvoir faire face à ça, donc du coup je suis pas concernée. Et j'ai une bonne et une mauvaise nouvelle. c'est que la mauvaise, c'est pas parce qu'on a les outils qu'on est à l'abri de cette dévalorisation. Et la bonne, c'est que ça veut dire encore une fois que nous sommes humains. Et ça veut dire que ça compte. Parce que les endroits où, selon moi, on ne met pas d'affect, on ne met pas d'émotionnel, où il n'y a pas de charge émotionnelle, ce sont des endroits où, potentiellement, on ne va pas se dévaloriser. Par contre, quand ça compte, quand on y met du cœur, quand on y met de l'énergie, quand on y met des attentes aussi, qu'on le veuille ou non, eh bien, il va y avoir cette petite voix qui va s'immiscer et qui va nous dire Oh, attends, est-ce qu'on est assez ? Est-ce qu'on est à la hauteur ? Est-ce que c'est le bon moment ? Est-ce qu'on ne va pas se planter ? Est-ce qu'on ne choisirait pas la sécurité ? L'idée d'aller explorer sa dévalorisation, c'est pour moi aller explorer sa vulnérabilité. Et vous le savez, les vertus qui me portent sont le courage et la sincérité, que ce soit dans mon quotidien mais aussi dans ce podcast. Et j'ai aussi envie de nous rappeler que ce pan de nos vies, où on va avoir l'impression de se limiter, ce sont des espaces en fait qui nous permettent de conscientiser les parts de nous qu'on a mis de côté. Je vais vous donner des exemples. Pendant ce processus, je me suis rendu compte qu'il y avait une part de moi qui était totalement flémarde. Elle a envie de ne rien faire. Est-ce que ça me définit ? Absolument pas. Sauf que j'accepte que j'ai en moi cette part flémarde. Beaucoup d'entre vous diraient peut-être c'est pas bien, on peut pas fonctionner avec une part comme ça Mais encore une fois, on choisit pas les parts qu'on a à l'intérieur de nous. Alors je rappelle, parce que je l'évoque souvent mais c'est peut-être pas clair pour vous, une part c'est comme une sous-personnalité, comme un petit personnage que l'on a à l'intérieur et qui se manifeste de temps en temps ou de façon très régulière. Et cette part flemmarde, parfois, elle m'invite à faire des choix qui sont beaucoup plus confortables. Je m'étais engagée, par exemple, à publier tous les jours, pendant plus de 40 jours, sur les réseaux sociaux. Est-ce que cette part flemmarde, elle s'est manifestée ? Bien évidemment ! Parce qu'il y a, encore une fois, quelque chose à intégrer. et que l'on a du mal à ancrer dans nos quotidiens, c'est que la motivation et la volonté ne sont pas constantes. C'est-à-dire que quand je me suis engagée auprès des gens, j'étais motivée, j'avais une volonté de faire, mais je savais dans mon processus qu'il y allait avoir un moment où je n'aurais plus de motivation et de volonté et que ma part flémarde allait se manifester. Qu'est-ce qui prend le relais à ce moment-là ? Eh bien, c'est la discipline. C'est l'engagement que je me suis donné parce que justement j'y ai mis du cœur, j'y ai mis de l'émotionnel dessus. Si je m'engage sur des trucs dont j'en ai rien à cirer, je peux vous assurer qu'en fait la part flemmarde elle prend le dessus et elle prend le volant surtout de mes prises de décision. Donc ce que j'ai pu découvrir aussi derrière la notion de dévalorisation, c'est que ce sont des parts à écouter. Cette part flemmarde qu'est ce qu'elle veut ? Elle veut que je protège ! mes réserves en énergie. Quand je commençais à être un petit peu plus impactée par justement cette publication et à me dire Oh, aujourd'hui, ça me saoule c'est tout simplement parce que j'avais envie de protéger mon énergie. Parce que c'est beaucoup plus simple de se dire Non, aujourd'hui, je ne veux pas publier, puis tout le monde s'en fout. Sauf que la confiance en soi passe par un engagement envers soi. Qu'est-ce que vous attendez des gens en qui vous avez confiance ? Vous attendez de la fiabilité. Et moi, j'ai appris à mes dépens que si j'étais incapable de respecter ma propre parole quand je m'engageais, eh bien, je perdais en confiance en moi. Et donc, je me dévalorisais. Alors, évidemment, ça ne veut pas dire qu'on ne peut pas changer d'avis. Évidemment, ça ne veut pas dire qu'on ne peut pas se désengager. Mais par contre... Pour moi, il y a une vraie prise de conscience à avoir sur est-ce que les parts que j'ai à l'intérieur de moi, la flemmarde, celle qui veut être dans le contrôle, celle qui veut tout réussir, elles vont prendre le pas, les commandes de ma vie, tout le temps ? Parce qu'elles veulent remplir leur mission, et c'est tant mieux pour elles. Ou est-ce que je décide aussi de les comprendre et de les rassurer ? Parce que ce qui se joue derrière la dévalorisation, c'est très souvent qu'on a l'impression de se sentir faible. Et c'est même les mots qui sont associés à la dévalorisation. Sous-estime, manque de confiance, faiblesse, le fait de se juger, le fait de se critiquer, c'est franchement pas des trucs sexy. Et en fait, j'ai envie de rappeler que plus on va se déployer, plus on va ouvrir nos ailes, plus on va augmenter le potentiel de dévalorisation. J'insiste sur le potentiel. Parce qu'en fait, Ce sont des espaces où on va y mettre du cœur, où on va y mettre de l'audace, où on va y mettre aussi beaucoup plus de sincérité. Et donc forcément, on va aller à la rencontre de choses qui nous tiraillent, de croyances que l'on a en nous. Et moi, ce que j'en comprends de ce sujet, c'est que ça nous demande vraiment de lâcher nos conditionnements. de lâcher notre vision binaire et surtout de lâcher les associations, les interprétations et j'ai même envie de dire les stéréotypes que l'on met derrière certains mots, certains concepts. Parce que ce que j'entends le plus de fois, c'est que si on accepte que l'on se dévalorise, que ce soit sur sa valeur, que ce soit sur ses compétences, que ce soit sur sa vie de façon générale ou ses succès, eh bien, on accepte aussi d'être faible. Et je vous ai parlé, au début de cet épisode, du schéma en lien avec la virilité. Comme quoi, nous devons tous être forts. Et en fait, j'ai envie de vous rappeler, à vous, à moi, que nous soyons un homme, une femme. On n'a pas à prouver qu'on est fort. On est ce que l'on est, point barre. Et il y a des moments où en fait, non, on n'est pas fort. On est faible. Mais c'est pas cette faiblesse qui va faire qu'on va venir nous piétiner. C'est cette faiblesse qui va nous permettre d'aller chercher dans nos ressources pour créer un esprit de résilience. Parce que derrière la dévalorisation, il y a une beauté. que j'ai envie qu'on touche du doigt là ensemble, juste espace de deux minutes, c'est que si on accepte cette polarité en nous qui est moins glorieuse que les autres, que ce soit la honte, la culpabilité, la notion de faiblesse, la sensibilité, et bien on accepte aussi l'autre côté, l'autre face de la même pièce. C'est-à-dire le courage, l'audace, la force, la puissance, l'inspiration, toutes ces choses qui contribuent à rendre le monde plus beau, meilleur et surtout qui nous permet de nous sentir bien dans nos pompes. Donc si j'avais une conclusion concernant mon exploration qui... je pense, vous l'avez entendu, n'est clairement pas terminée. C'est que la dévalorisation, c'est quelque chose à intégrer, accepter, vivre, ressentir. Parce qu'elle nous permet aussi d'aller chercher nos pépites à l'intérieur de nous. De voir qu'en nous, on a quelque chose de bien plus profond, bien plus riche, et que pour pouvoir accéder à ça, il est nécessaire de traverser des tunnels un peu sombres, des moments où on va avoir envie de tout abandonner. Des moments où on va se remettre en question et on va avoir 100 000 questions à la minute. Des moments où on va se sentir tellement nul qu'on ne saura même pas dans quelle direction aller. Je vous invite vraiment à mettre de la douceur sur ces parts de vous. Non pas pour, comme d'habitude, les auto-flageller et dire je ne veux plus te voir, je ne veux plus que tu fasses partie de ma vie, tu es en train de m'auto-saboter, de me limiter Tout ce qui se passe en vous, toutes ces émotions, toutes ces... parts qui s'expriment. Elles ont un rôle. Et notre job à nous, c'est de les accueillir. Si vous avez envie d'aller plus loin, je vous accueille jusqu'au 8 décembre dans mon programme Dévoile ton jeu, où l'objectif c'est justement d'arrêter de se dévaloriser pour enfin s'affirmer et faire briller son activité. Évidemment, c'est pas forcément pour tout le monde. C'est pour des gens qui sont prêts à s'engager. À s'engager pour eux-mêmes mais aussi pour ce qui compte. Donc du coup, j'ai décidé de faire des appels de candidatures. Je vous mets dans la description de cet épisode le lien pour pouvoir prendre rendez-vous avec moi, qu'on puisse décortiquer ce qui se passe pour vous en ce moment et voir s'il dévoile ton jeu et adapter à ce que vous vivez. Je vous remercie d'avoir écouté cet épisode. J'espère qu'il vous aura fait réfléchir. Ce que je vous propose, c'est à la fois de le partager de le noter si ça vous a inspiré, si ça vous a permis de déculpabiliser, parce qu'on est tous et toutes dans le même bateau, quel que soit notre job, quels que soient les outils qu'on a à disposition. Dans la vie, tout est cyclique. Il y aura des hauts et des bas. Et je nous invite à vivre ces hauts et ces bas avec le plus de sérénité et de résilience possible. Je vous donne rendez-vous très vite pour la suite. Je vous embrasse. Merci.

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