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Dirigeants et Communication de Crise : les cas Body Minute et Ebra | Olivier Cimelière et Jean-François Granat | Ep 134 cover
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Décodeur de la Communication

Dirigeants et Communication de Crise : les cas Body Minute et Ebra | Olivier Cimelière et Jean-François Granat | Ep 134

Dirigeants et Communication de Crise : les cas Body Minute et Ebra | Olivier Cimelière et Jean-François Granat | Ep 134

50min |05/02/2025
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Description

Les dirigeants et la communication de crise : vaste sujet que nous abordons avec Olivier Cimelière et Jean-François Granat.

Pour ce faire, nous prenons l'exemple de Body Minute et d'Ebra, qui ont dernièrement défrayé la chronique.


Body Minute : une crise amplifiée par la sur-réaction
Tout commence par une vidéo humoristique sur TikTok, postée par l'influenceuse Lorraine Lévy, relatant une mauvaise expérience chez Body Minute. Un hashtag anodin, quelques dizaines de milliers de vues… l'affaire aurait pu s'arrêter là. Mais la réaction de M. Jean-Christophe David, PDG de Body Minute, va transformer cet incident en véritable tempête médiatique. Une histoire qui va durer près de 2 ans.


Au lieu de relativiser, le dirigeant choisit la confrontation : demandes de retrait de la vidéo, menaces juridiques, etc. Cette stratégie défensive s'amplifie contre l'influenceuse, exacerbant l'indignation publique. Le résultat ? Une crise de réputation amplifiée, des retombées presse négatives et une baisse de la fréquentation de certains salons franchisés.


Ebra : quand les opinions personnelles déstabilisent une entreprise
Philippe Carli, président du groupe de presse Ebra - DNA, Dauphiné libéré, le progrès, etc. - se retrouve au cœur d'une controverse après avoir liké des publications d'extrême droite. Si ces actes relèvent de la sphère privée, leur impact est public, surtout pour un dirigeant de média censé garantir la neutralité de l'information.


La défense de M. Carli, alternant déni et excuses confuses, n'a pas convaincu. Rapidement, le Crédit Mutuel, actionnaire principal, prend ses distances, et la pression interne des rédactions rend sa position intenable. Il démissionne quelques jours plus tard, illustrant l'impossibilité de dissocier image personnelle et rôle professionnel dans un contexte médiatique sensible.


Les conseils de Jean-François et Olivier pour gérer la crise
Mes invités s'accordent sur des principes clés et livrent leurs conseils pour gérer la crise.


  • Ne pas sur-réagir : une crise mineure peut devenir un incendie si l'on alimente la controverse.

  • Garder le recul nécessaire : l'implication émotionnelle des dirigeants est souvent un facteur aggravant.

  • Privilégier l'humilité et la transparence : reconnaître ses erreurs et adopter une posture d'apaisement est souvent plus efficace.

  • Former les dirigeants à la communication de crise : anticiper, préparer des scénarios et déléguer la parole à des experts internes ou externes en fonction de la gravité de la situation.

En somme, la gestion de crise ne s'improvise pas. Elle repose sur un mélange d'anticipation, de sang-froid et d'une bonne dose de discernement. Et puis, chers dirigeants, investissez dans un bon dircom. Ca peut servir et pas qu'en situation de crise !


Pour vous abonner à la newsletter : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1 


Très bonne écoute et abonnez-vous au Décodeur de la com !


Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la com


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Les dirigeants et la communication de crise : vaste sujet que nous abordons avec Olivier Cimelière et Jean-François Granat.

Pour ce faire, nous prenons l'exemple de Body Minute et d'Ebra, qui ont dernièrement défrayé la chronique.


Body Minute : une crise amplifiée par la sur-réaction
Tout commence par une vidéo humoristique sur TikTok, postée par l'influenceuse Lorraine Lévy, relatant une mauvaise expérience chez Body Minute. Un hashtag anodin, quelques dizaines de milliers de vues… l'affaire aurait pu s'arrêter là. Mais la réaction de M. Jean-Christophe David, PDG de Body Minute, va transformer cet incident en véritable tempête médiatique. Une histoire qui va durer près de 2 ans.


Au lieu de relativiser, le dirigeant choisit la confrontation : demandes de retrait de la vidéo, menaces juridiques, etc. Cette stratégie défensive s'amplifie contre l'influenceuse, exacerbant l'indignation publique. Le résultat ? Une crise de réputation amplifiée, des retombées presse négatives et une baisse de la fréquentation de certains salons franchisés.


Ebra : quand les opinions personnelles déstabilisent une entreprise
Philippe Carli, président du groupe de presse Ebra - DNA, Dauphiné libéré, le progrès, etc. - se retrouve au cœur d'une controverse après avoir liké des publications d'extrême droite. Si ces actes relèvent de la sphère privée, leur impact est public, surtout pour un dirigeant de média censé garantir la neutralité de l'information.


La défense de M. Carli, alternant déni et excuses confuses, n'a pas convaincu. Rapidement, le Crédit Mutuel, actionnaire principal, prend ses distances, et la pression interne des rédactions rend sa position intenable. Il démissionne quelques jours plus tard, illustrant l'impossibilité de dissocier image personnelle et rôle professionnel dans un contexte médiatique sensible.


Les conseils de Jean-François et Olivier pour gérer la crise
Mes invités s'accordent sur des principes clés et livrent leurs conseils pour gérer la crise.


  • Ne pas sur-réagir : une crise mineure peut devenir un incendie si l'on alimente la controverse.

  • Garder le recul nécessaire : l'implication émotionnelle des dirigeants est souvent un facteur aggravant.

  • Privilégier l'humilité et la transparence : reconnaître ses erreurs et adopter une posture d'apaisement est souvent plus efficace.

  • Former les dirigeants à la communication de crise : anticiper, préparer des scénarios et déléguer la parole à des experts internes ou externes en fonction de la gravité de la situation.

En somme, la gestion de crise ne s'improvise pas. Elle repose sur un mélange d'anticipation, de sang-froid et d'une bonne dose de discernement. Et puis, chers dirigeants, investissez dans un bon dircom. Ca peut servir et pas qu'en situation de crise !


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Pour ce faire, nous prenons l'exemple de Body Minute et d'Ebra, qui ont dernièrement défrayé la chronique.


Body Minute : une crise amplifiée par la sur-réaction
Tout commence par une vidéo humoristique sur TikTok, postée par l'influenceuse Lorraine Lévy, relatant une mauvaise expérience chez Body Minute. Un hashtag anodin, quelques dizaines de milliers de vues… l'affaire aurait pu s'arrêter là. Mais la réaction de M. Jean-Christophe David, PDG de Body Minute, va transformer cet incident en véritable tempête médiatique. Une histoire qui va durer près de 2 ans.


Au lieu de relativiser, le dirigeant choisit la confrontation : demandes de retrait de la vidéo, menaces juridiques, etc. Cette stratégie défensive s'amplifie contre l'influenceuse, exacerbant l'indignation publique. Le résultat ? Une crise de réputation amplifiée, des retombées presse négatives et une baisse de la fréquentation de certains salons franchisés.


Ebra : quand les opinions personnelles déstabilisent une entreprise
Philippe Carli, président du groupe de presse Ebra - DNA, Dauphiné libéré, le progrès, etc. - se retrouve au cœur d'une controverse après avoir liké des publications d'extrême droite. Si ces actes relèvent de la sphère privée, leur impact est public, surtout pour un dirigeant de média censé garantir la neutralité de l'information.


La défense de M. Carli, alternant déni et excuses confuses, n'a pas convaincu. Rapidement, le Crédit Mutuel, actionnaire principal, prend ses distances, et la pression interne des rédactions rend sa position intenable. Il démissionne quelques jours plus tard, illustrant l'impossibilité de dissocier image personnelle et rôle professionnel dans un contexte médiatique sensible.


Les conseils de Jean-François et Olivier pour gérer la crise
Mes invités s'accordent sur des principes clés et livrent leurs conseils pour gérer la crise.


  • Ne pas sur-réagir : une crise mineure peut devenir un incendie si l'on alimente la controverse.

  • Garder le recul nécessaire : l'implication émotionnelle des dirigeants est souvent un facteur aggravant.

  • Privilégier l'humilité et la transparence : reconnaître ses erreurs et adopter une posture d'apaisement est souvent plus efficace.

  • Former les dirigeants à la communication de crise : anticiper, préparer des scénarios et déléguer la parole à des experts internes ou externes en fonction de la gravité de la situation.

En somme, la gestion de crise ne s'improvise pas. Elle repose sur un mélange d'anticipation, de sang-froid et d'une bonne dose de discernement. Et puis, chers dirigeants, investissez dans un bon dircom. Ca peut servir et pas qu'en situation de crise !


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Pour ce faire, nous prenons l'exemple de Body Minute et d'Ebra, qui ont dernièrement défrayé la chronique.


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Tout commence par une vidéo humoristique sur TikTok, postée par l'influenceuse Lorraine Lévy, relatant une mauvaise expérience chez Body Minute. Un hashtag anodin, quelques dizaines de milliers de vues… l'affaire aurait pu s'arrêter là. Mais la réaction de M. Jean-Christophe David, PDG de Body Minute, va transformer cet incident en véritable tempête médiatique. Une histoire qui va durer près de 2 ans.


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La défense de M. Carli, alternant déni et excuses confuses, n'a pas convaincu. Rapidement, le Crédit Mutuel, actionnaire principal, prend ses distances, et la pression interne des rédactions rend sa position intenable. Il démissionne quelques jours plus tard, illustrant l'impossibilité de dissocier image personnelle et rôle professionnel dans un contexte médiatique sensible.


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  • Ne pas sur-réagir : une crise mineure peut devenir un incendie si l'on alimente la controverse.

  • Garder le recul nécessaire : l'implication émotionnelle des dirigeants est souvent un facteur aggravant.

  • Privilégier l'humilité et la transparence : reconnaître ses erreurs et adopter une posture d'apaisement est souvent plus efficace.

  • Former les dirigeants à la communication de crise : anticiper, préparer des scénarios et déléguer la parole à des experts internes ou externes en fonction de la gravité de la situation.

En somme, la gestion de crise ne s'improvise pas. Elle repose sur un mélange d'anticipation, de sang-froid et d'une bonne dose de discernement. Et puis, chers dirigeants, investissez dans un bon dircom. Ca peut servir et pas qu'en situation de crise !


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