Description
Chères auditrices, chers auditeurs, pour une fois, c’est en solo que je prends le micro. Pas pour me regarder le nombril, mais pour explorer les qualités du dircom. En effet, j'avais posté cette question sur Linkedin, et je vous rétribue ce que les correspondants m'ont écrit.
1. L’humour, l’arme de survie absolue
Merci à Coralie Bittan pour cette première qualité. Car oui, face aux clients qui « préfèrent le bleu mais aimeraient du rouge », il vaut mieux en rire qu’en pleurer. L’humour désamorce, détend et surtout… protège votre santé mentale.
2. Une vision à 360°
Un bon dircom doit voir large et loin. Comprendre la stratégie de l’entreprise, capter les attentes des parties prenantes et donner du sens à tout cela. Bref, être visionnaire sans se perdre dans les nuages.
3. L’esprit de synthèse
Quand tout le monde parle trop, le dircom doit savoir aller à l’essentiel. Trancher dans le gras, hiérarchiser et, surtout, rendre compréhensible l’incompréhensible. Un art qui se perd, hélas.
4. L’insensibilité… ou presque
Ne pas être susceptible, voilà un défi. Surtout quand le COMEX vous explique que « la finance, c’est quand même plus sérieux que la com ». Respirez… et souriez.
5. L’écoute, cette super-puissance oubliée
Deux oreilles, une bouche : la nature a bien fait les choses. Écouter vraiment, c’est souvent entendre les bonnes idées… et éviter les mauvais débats. À condition, bien sûr, de poser les bonnes questions.
6. La curiosité, moteur de l’intelligence
Un bon dircom s’intéresse à tout : à l’entreprise, à la société, à l’air du temps. Et surtout, il évite de tomber dans la facilité de l’IA ou des tendances prêtes à l’emploi. Soyez curieux, vraiment.
7. L’adaptabilité, votre deuxième prénom
Ce métier va vite. Trop vite parfois. Mais c’est aussi ce qui le rend exaltant. S’adapter, c’est survivre. Et c’est aussi garder une longueur d’avance.
8. Être stratège, toujours
Comprendre les enjeux, savoir traduire des messages complexes en idées simples et percutantes : voilà le vrai talent du dircom. Pas de jargon inutile, mais de l’impact.
9. La diplomatie, sans courber l’échine
Il faut parfois savoir dire non avec élégance. Résister aux lubies du moment, imposer une vision, tout en gardant le sourire. Un équilibre subtil.
10. Et surtout… le courage !
Parce que sans courage, rien de grand ne se fait. Oser dire non, prendre des risques calculés, sortir des sentiers battus. Bref, avoir des convictions et les défendre, même quand c’est inconfortable. Car au fond, la vraie mission du dircom, c’est de faire exister une différence. Pas de se fondre dans le paysage.
Le post Linkedin en question : https://www.linkedin.com/posts/laurentfe_en-allant-podcaster-hier-apr%C3%A8s-midi-je-me-activity-7325859330799394817-xFJ5?utm_source=share&utm_medium=member_desktop&rcm=ACoAAAJmLJUB_Xr6Pc1dyebfE8KCh6lUzQF3C-Y
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Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la com
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