Speaker #0Salutations et bienvenue dans Élan de vie, le podcast qui t'accompagne dans ta quête de sens, de résilience, de force intérieure et de patience. Je suis Fanta Diani, consultante en projet de vie pour femmes actives et réflexionnelles. Et ici, je partage mes prises de conscience face aux épreuves de la vie, aux transitions, aux réflexions, et donne la parole à celles et ceux que la vie me met sur mon chemin. et qui m'inspirent par leur parcours de transformation, par leur patience, par leur force intérieure. Et oui, chaque filet d'eau a son chemin. Donc si tu cherches à trouver de l'énergie dans les moments difficiles et à grandir, à t'élever à travers tes expériences, tes vécus, alors tu es au bon endroit. Et si ton corps était ton plus fidèle messager, qu'est-ce qu'il te dit ? Que tu dis-t-il quand tu l'ignores ? Quand ton corps te dit stop, qu'est-ce qui se passe ? Salutations à toi. Nouvel épisode ? Nouveau épisode ? Salutations à toi dans cet épisode. à un autre format. Mais avant de commencer, j'aimerais te poser une question. Comment te sens-tu là, ici et maintenant ? Oui, à toi qui m'écoutes, comment te sens-tu ici et maintenant ? Prends quelques minutes, reste attentif à ce que tu ressens, ce qui est en train de se passer en toi, juste. lorsque tu entends ces mots que je viens de te dire. Dans cet épisode, je te raconte comment moi aussi, j'ai ignoré les différents signaux, les signaux que mon corps m'envoyait. Oui, les signaux que mon corps m'envoyait. Oui, parce que le corps nous envoie toujours des signaux, petit à petit, jusqu'au jour où... En fait, il commençait à hurler. Il crie. Il crie. Doucement, au début. On se dit, oh, c'est pas grave. Oh, c'est juste comme ça, une petite fatigue. Oh, un petit coup de mou. Oh, c'est une petite tension. Oh, un petit mal au dos. Oh, j'ai mal aux jambes. J'ai mal au bras. Oh, j'ai mal à la tête. Et en fait, il continue à crier, à hurler. Et à un moment, il devient ferme. Et quand il ferme, c'est là où on n'arrive plus à bouger. On n'arrive plus à faire les mouvements qu'on veut. On n'arrive plus à aller vers ce qu'on veut. Les mouvements sont peut-être saccagés ou lents. Les réflexions aussi. Un ras-le-bol, l'humeur qui pâtit. On est là. On se demande qu'est-ce qui se passe. Et pourtant, au fond de nous, on sait. Si on écoutait vraiment notre corps, on le saurait. Et c'est là qu'on parle de burn-out, de mal-être, de douleur, qui après peut engendrer encore plus de douleur, voire même aller vers quelque chose de plus chronique, la charge mentale. Oh là là, c'est la période, la charge mentale. Quand ça commence, en fait aujourd'hui, on en parle à toutes les sauces. Cette charge mentale, que ce soit par rapport aux enfants, que ce soit par rapport au travail, que ce soit dans sa vie de couple, dans sa vie de famille, entre amis, peu importe. Et lorsqu'on commence à avoir cette prise de conscience, on se dit « Ah, je ne peux plus continuer comme ça » . C'est bien déjà d'en avoir conscience. Parce que certaines personnes ne se posent pas la question. Ils restent avec, ils soutiennent. Ça va passer, ça va passer. Non, ça ne va pas passer. À partir du moment où le corps commence à crier, c'est que ça ne va pas. Quelque chose ne va pas dans l'environnement ou bien quelque chose ne va pas dans ce qu'on est en train de vivre. En fait, il y a un écosystème à prendre en considération. Il y a tout un ensemble à considérer. Les relations, soi-même. l'environnement, la situation et aussi nos modes de pensée, notre perception de cette vie, de cette réalité. Et c'est là que tu découvriras, aujourd'hui tu vas découvrir, tu découvriras les clés pour écouter ton corps, sans culpabilité, même quand la vie ne te laisse pas une pause. alors est-ce que les mots que je viens de te dire résonnent en toi j'aimerais t'inviter à te poser oui encore une fois tu vas me dire juste ferme les yeux si tu peux ressens ton souffle inspire expire Qu'est-ce qui se passe ? Comment est ton corps ? Comment est ta posture ? Tu es là, ici et maintenant. C'est un exercice que je t'invite à faire pour pouvoir être à l'écoute de tes ressentis. Parce que c'est très important. Surtout lorsque ton corps te parle. Et donc je vais te raconter mon vécu par rapport à ça. Le moment où mon corps a dit stop. Le moment où mon corps a dit stop, c'était quand j'étais en entreprise. cadres dans un grand groupe avec un poste intéressant. Beaucoup de synchronicité, d'échanges, plusieurs interlocuteurs. Je courais partout. Ah, parce qu'il fallait tenir les délais lorsqu'on fait en mode gestion de projet. Il y a un planning, il y a d'autres interlocuteurs, il y a les prestataires, il y a les chefs, le 1 plus 1, 1 plus 2, on doit rendre des comptes à tout le monde, il y a les autres départements. En fait, on n'est pas tout seul. Et il y a beaucoup de nos choix et de nos décisions qui dépendent d'autres personnes aussi. En fait, on est tous les maillots d'une chaîne. Et lorsqu'on est dans une équipe où la chef est toujours... en mode tension, et toujours sur les starting blocks, en fait, tout doit aller vite. Le rendement, le rendement. Les projets, les rendus, les comptes rendus, les rétro-planning. Oui, il y a plein de mots que je parle. Il y a plein de mots que je dis qui ne vont pas parler à beaucoup de personnes. Si vous n'avez pas de travail en entreprise, ça ne vous parlera pas. Et si vous n'avez pas travaillé en entreprise, c'est aussi pour vous dire que quand on est dans une équipe, en fait, il y a une synergie qui se fait entre les équipes et il y a aussi un travail qui doit se faire qui fait que le rendu ne dépend pas que de nous. Même si parfois, on a l'impression que si on n'est pas là, il n'y a rien qui se passe. Mais j'ai une prise de conscience lorsqu'on m'a dit une fois que même si on n'est pas là, l'entreprise continue à tourner. Oui, je suis d'accord. Mais en même temps, lorsqu'on nous recrute à un certain poste, c'est parce qu'on a besoin de nos compétences. Et puis, moi, le fait d'avoir été à ce poste-là, je me suis dit, on est venu me chercher parce qu'on cherchait mes compétences. On est venu me débaucher. On m'a recrutée parce qu'on avait besoin de moi. Mais ce n'était pas moi qui avais fait la démarche. Alors pourquoi autant de pression ? Je tenais le délai. J'avais un bon échange avec... les différents interlocuteurs. Mais je n'écoutais pas mon corps. J'étais fatiguée parce que je faisais des horaires à rallonge. Je rêvais à 6h, couchais à 23h minuit. Pendant la nuit, je me réveillais parce que j'avais trouvé une solution à un problème que j'avais. J'avais un carnet à côté de mon lit où je notais les solutions. À un moment, je me réveillais en sursaut parce qu'en fait, la journée... était encore en train de m'agiter ou j'étais en train de penser à ce que je vais faire le lendemain, en fait, mon cerveau ne se reposait pas. C'est exactement comme le cas des... Je prends les étudiants, parce qu'en fait, on est toujours en train de... Le cerveau est toujours en ébullition. Mais en fait, à un moment, il faut se demander quand est-ce qu'on s'arrête. On est toujours en mode tension. Et qui dit mode tension, dit toujours en excès. Et moi, je peux vous dire, j'étais en mode tension parce que je prenais beaucoup de café. J'étais pratiquement à neuf. Je suis descendue à un, parce qu'à un moment, il fallait que je m'arrête. En fait, je me suis arrêtée quand le médecin, le cardiologue m'a dit, « Mais écoutez, madame, soit vous diminuez le café, soit vous passez sur billard. » Alors là, je vais vous dire, quand on nous dit ça, on s'arrête. D'office, il n'y a pas 50 solutions. Et le sommeil ? Mon sommet était perturbé, comme je vous l'ai dit. Mon sommeil était perturbé parce que j'étais toujours en mode réflexion. En fait, la nuit, c'est indispensable de pouvoir se reposer. C'est primordial. Pourquoi ? Parce qu'en fait, c'est pendant la nuit que le corps se régénère, les organes, et aussi le cerveau. Et c'est là, en fait, ok, on rêve, on se ressasse des choses de la journée, mais en même temps, on reprend de l'énergie. Donc si pendant cette période qui est faite pour se reposer, on est en train de... fatiguer les organes, soit en train de manger, soit en train de réfléchir à quel moment le corps se repose. Je pose ces questions-là maintenant, mais avant je ne me suis pas posé ces questions. Je ne me suis pas posé ces questions parce que j'étais tellement dans le jus que je ne me rendais pas compte de ce qui se passait. Mais en fin de compte, ces différents signaux, mon corps les enregistrait comme un disque. Continue, continue ! Et à un moment, c'est là que je n'arrivais plus à rien faire. J'ai pris 15 kilos, comme. 15 kilos ! Mes pieds gonflaient, j'étais tout le temps essoufflée, j'étais fatiguée, j'avais mal partout. Quand je me levais, j'ai mal au dos, j'ai mal à la jambe, j'ai mal à la tête, des céphalées, tout va. Non, mais j'étais là, il faut que je finisse mes projets, il faut que j'avance. Et puis, il y a le conflit entre l'équipe, les collaborateurs, Tout le monde qui veut bien sûr voir. Les chefs qui sont toujours sur les certaines blocs, le N plus 1 qu'il faut donner compte, le N plus 2. Et puis derrière, on se dit, maintenant je suis en train de travailler parce qu'il faut que je paie mon loyer ou sinon mon crédit. Il faut que je me nourrisse, que je paie tout ce que j'ai à payer en fait. Mais OK, à quel prix ? Et aujourd'hui, je vous parle parce que je connais beaucoup de personnes qui sont dans cette situation. Le corps leur envoie des signaux en leur disant « arrête-toi, respire » . « Non, je dois, je dois, il faut, il faut, il n'y a qu'à, il n'y a qu'à » . « Non, non, non, il n'y a rien, il faut, il n'y a rien, il n'y a rien d'obligatoire » . En fait, à partir du moment où on commence à avoir des signaux dans son corps, c'est qu'on commence à franchir la ligne de non-retour. Et pourquoi je dis cette ligne de non-retour ? Parce que cette ligne de non-retour, et là, ça précède la maladie, ça précède… En fait, le blocage du corps. Et en fait, pourquoi on dit ça, la maladie ? Parce que c'est le mal-addit. Qu'est-ce qu'il dit ? Qu'est-ce qu'il dit de la situation qu'on est en train de vivre ? Mais qu'est-ce qu'il dit aussi de ce qu'on est en train de comprendre, d'assimiler ? Quelles sont toutes les informations qu'on est en train de redonner au corps sans l'écouter ? Et en fait, quand le corps nous parle, les signaux sont explicites. Et parfois, on les ignore jusqu'au jour où on apprend par un examen de routine, ou parce qu'on est bloqué, ou parce qu'on a tiré à l'hôpital, ou parce qu'on s'évanouit. En fait, il y a toujours une situation qui va faire que le corps va dire, allez, c'est bon, je l'arrête parce que sinon, là, c'était trop. Là, c'était la goutte qui débordait. Je ne le conseille et je ne le souhaite à personne. Donc j'ai fait cet épisode pour que vous puissiez vous rendre compte qu'en fait, on est très très peu attentif à ce que le corps nous parle. à ce que le corps nous dit. Et aujourd'hui, si je vous dis ça, c'est parce que je suis passée par là et je suis à même de bien comprendre les personnes qui passent par là. Oui. Et quand ça nous arrive, en fait, on se dit « Ah, si j'avais su ! » Mais oui, mais parfois il est trop tard. Et donc, en fait, il vaut mieux être averti que de subir derrière. Mais si je peux vous partager des informations pour écouter votre corps, déjà, c'est dès qu'il y a une douleur ou une tension. Non pas en rentrant dans un côté hypochondriaque ou paranoïaque, en se disant « Ah, mais qu'est-ce qui est en train de se passer ? » Non, c'est déjà se poser la question « Qu'est-ce qui fait que ce que je suis en train de vivre me convient ? Est-ce que je suis bien là ? Est-ce que je suis bien ? Est-ce que ce que je fais me convient ? » Ce que je suis en train de faire, je me fais du bien ou je suis en train de faire du mal à mon corps ? Et en fait, juste en se posant ces questions-là et de s'arrêter quelques secondes. En s'arrêtant quelques secondes, c'est quoi ? Je vais marcher, non pas avec mon baladant dans les oreilles ou en train de faire des chants, de la danse chorégraphique. Non, je m'arrête, je me pose. Je respire, je contemple quelque chose, je me pose. Et je me dis, voilà, je regarde ma vie en fait comme un film. Qu'est-ce qui est en train de se passer dans ma vie ? Est-ce que ça me convient ? Que ce soit dans ma famille, dans ma relation, dans mon couple, au travail, au quotidien. Oui, on me dit souvent, oui mais je ne peux rien y faire. Mais si, tu peux. En fait, on a toujours le choix. En fait, on a quelque chose de très précieux. On a quelque chose de très précieux qui s'appelle le discernement. Ça veut dire qu'on a le choix. J'ai le choix de rester ou j'ai le choix de partir. Mais ce qu'il faut savoir, c'est que chaque choix a des conséquences. Maintenant, si je reste, à quel prix ? Si je pars, à quel prix ? Mais ce qu'il faut savoir, c'est que le bien le plus précieux que nous avons depuis notre naissance, c'est notre santé. Et celle-là, en fait, on n'est pas dans un jeu vidéo, on ne revient pas en arrière. Dès qu'on commence... à ne plus l'écouter, ça ne peut pas aller en s'arrangeant. Mais par contre, si on est attentif et qu'on dialogue avec, les choses peuvent s'estomper. Donc ce que j'aimerais, c'est que, ce que je vous pose comme question, c'est que en écoutant cet épisode, prenez un moment. Après, posez-vous, mettez juste votre main sur votre cœur, vos deux mains, vous inspirez, les pieds bien au sol, fermez les yeux, inspirez profondément et demandez à votre corps « qu'est-ce que tu as à me dire ? » Et là, attendez. S'il n'y a rien qui monte, ce n'est pas grave. Mais s'il y a quelque chose qui remonte, prenez-le en considération. Ne pas se faire soi-même de film ou de réponse. En fait, au niveau de notre intuition, on n'a rien à faire. Donc, tout ça pour vous dire que ton corps ne t'en veut pas. En fait, lorsqu'il te donne des signaux, c'est pour te préserver. Et aussi pour te dire qu'il t'aime et qu'il est là. et qu'il faut que tu prennes soin de lui, et que c'est lui qui te porte. En fait, si tu l'écoutes, et si tu le bichonnes, il te remerciera. Notre corps, nos organes, ils vivent tous. En fait, le mouvement, c'est la vie. Si on s'arrête à rien faire, c'est la mort. On a bien vu les morts, ils ne bougent pas. Mais si, tant qu'on est vivant, on bouge, on oxygène son corps, on marche. Mais surtout, on vit avec une philosophie de vie qui fait qu'on va être bien. On va être bien dans son corps, dans son âme et dans son esprit. En fait, lorsqu'on est bien, les choses peuvent se passer. En fait, il n'y a rien qui se passe. Ça ne nous perturbe pas. Je ne vous dis pas de devenir comme un moine ou un sage, même si plus tard, on peut espérer l'être. Aujourd'hui, j'aimerais juste que vous vous posez et que vous vous dites « Est-ce que j'écoute mon corps sur tous les signaux qui m'envoient Quand je suis en tension avec les enfants, quand je suis en tension au travail, quand je suis en tension dans mon couple, quand je suis en tension avec mes amis, quand je suis en tension avec moi-même. À quel moment ? Oui, on dit qu'on est dans le jus, on est dans le quotidien, on court partout, on court partout, on court partout. Non, en fait, on se donne un rythme. Mais en fait, il faut apprendre à ralentir. En ralentissant, c'est là qu'on écoute son corps. En ralentissant, c'est là qu'on voit que... En fait, la vie, elle se déroule tranquillement. Nous, pourquoi on veut l'accélérer ? Non, on se pose, on se pose, on se pose. Et puis moi, le meilleur moyen pour moi, quand je me pose, je m'assois dans un parc et je regarde. Je peux regarder une fleur, un arbre. Juste, je regarde la magie de la vie et je remercie. Et puis chaque matin, quand je me lève... je remercie. Je remercie ce corps qui me tient. Je remercie ces organes qui sont là. Parce que si je ne respire pas, je ne suis pas en vie. Ok, je peux avoir plusieurs problèmes. Mais déjà, le fait d'en avoir confiance, ça m'aide. Le fait de comprendre que ce que je suis en train de vivre me convient ou ne me convient pas, c'est déjà un premier pas. Mais maintenant, qu'est-ce que je fais avec tout ça ? Eh bien, je me fais aider. Soit je cherche de l'aide de quelqu'un, soit j'apprends à le faire moi-même. Mais sachez quelque chose, c'est que tout seul, on ne réussit pas. En fait, tout seul, on peut identifier un problème, mais on a toujours besoin de soutien. Et je pars du principe que même si on pense être fort et qu'on pense qu'on peut tout gérer, on ne peut pas. En fait, pourquoi ? Parce qu'on est fait pour être des êtres de lien, de reliance. En reliance. en reliance. On est là pour vivre tous en harmonie. Et cette harmonie est là, comme le ying et le yang en matin chinoise. En fait, les deux opposés qui sont complémentaires. Et donc voilà. Lorsqu'on vit un déséquilibre, c'est ce qui se passe. Lorsqu'on vit un déséquilibre, il fallait chercher où est ce déséquilibre et comment je... peux l'améliorer. Et surtout, comment je peux retrouver cet équilibre pour pouvoir aller mieux. J'espère que tous mes mots vous ont parlé. Si vous avez besoin que j'affronte un sujet, n'hésitez pas à m'en faire part. Je serai heureuse de le partager avec vous. Mais si je résume, j'aimerais que vous preniez conscience du lien qu'il y a entre votre corps, vos émotions. Sachez que tout ce que vous êtes en train de vivre s'imprime sur votre corps. Et c'est pour ça qu'on dit que ce qui n'est sur une base s'imprime. Parce que tout ce qu'on dit, tout ce qu'on vit, en fait, le corps l'enregistre. Et en fait, il n'oublie pas. Il peut réveiller une douleur quelques temps après par rapport à une situation. Il peut nous donner des informations. Mais tout le temps, il nous envoie des signaux. mais c'est à nous d'être attentifs à ça. Et je ne le dirai jamais assez. Prends soin de toi, prends soin de ton corps, occupe-toi de toi, parce que si tu ne le fais pas, c'est quelqu'un d'autre qui le fera. Et ça, je ne te le souhaite pas. Parce que généralement, c'est ça. C'est que c'est bien, bien, bien tard. Donc voilà. Si tu as des questions, je me ferai un plaisir d'y répondre. Mais j'espère que cet épisode servira à chaque personne qui écoutera. Si tu penses que ça peut aider une personne, n'hésite pas à le partager. Et si ça peut créer un déclic, même à une seule personne, alors mon objectif aura été atteint. Je vous remercie d'avoir écouté cet épisode. Si tu connais quelqu'un... qui court trop, qui pense trop, qui agit trop. Alors partage-lui cet épisode. Et si tu veux qu'on en parle ensemble, écris-moi. Je suis à ton écoute. Voilà, cet épisode touche à sa fin. Et je te remercie de l'avoir écouté jusqu'au bout. Si tu ressens le besoin d'être accompagné dans ton parcours, je serai ravie de te guider dans ton chemin. qui est dans la résilience, dans ta quête de sens, ou simplement te soutenir pour traverser les épreuves ou tes expériences avec plus de sérénité. Pour cela, tu peux consulter mon site internet fantadian.fr ou mon compte Instagram fanta__diane ou en m'envoyant un message ou simplement prendre rendez-vous en ligne. Pour moi, chaque filet d'eau a son chemin. Rendez-vous dans deux semaines pour le prochain épisode. Et si ce n'est pas déjà fait, abonne-toi. Salutations, c'était Fantagène.