- Speaker #0
Elle se présente comme un être humain avec une passion. Cette passion, c'est les neurosciences. Une passion, en fait, qui est devenue aussi son métier. Elle est docteure en neurosciences et également l'heureuse maman, comme elle le dit si bien, d'une adolescente de 17 ans. J'ai le plaisir aujourd'hui de recevoir avec moi, dans un épisode de mon podcast Entre-temps, Stéphanie Bourgeon. Bonjour Stéphanie.
- Speaker #1
Bonjour Jean-Claude.
- Speaker #0
En tout cas, d'abord un très très grand merci d'avoir accepté l'invitation et de me permettre de te présenter... La main du temps, qui est une entrevue, je dirais, un peu guidée. C'est un petit peu guidé du podcast Entre-temps, qui est là pour essayer de retrouver du temps pour soi, du temps pour ce qui compte vraiment. Donc, on va parler du temps. On va parler surtout de ton temps et de comment, pourquoi tu vois la relation au temps. Et si on commençait avec le point, de faire le point. Pour toi, toi Stéphanie, c'est quoi le temps ? Qu'est-ce que ça représente le temps pour toi ?
- Speaker #1
Alors, je vais quand même te remercier pour l'invitation. avant de démarrer, quand même, je suis très contente de parler du temps avec toi. Pour moi, le temps, je pense que ça représente vraiment la vie. Il nous permet justement de savourer certains moments et je dirais ça. Pour moi, le temps, c'est la vie.
- Speaker #0
Mais j'adore ça parce qu'on oublie souvent, on oublie très souvent que notre vie, c'est le temps et le temps, c'est la vie. C'est-à-dire qu'il y a un moment où le temps commence pour nous, bien pour nous, parce que le temps était déjà là avant. Et il y a un moment où le temps s'arrête pour nous, dans cette vie ici, dans la vie que l'on a sur Terre. Et on ne prend pas assez conscience que quand on gaspille son temps, c'est un peu comme si on disait on gaspille sa vie Donc j'aime beaucoup ce que tu dis parce qu'on donne une nouvelle dimension au temps qui est la vie. C'est très bien tout ça, mais alors on va commencer quand même par essayer de mieux te connaître. Donc l'index, c'est celui qui pointe. Qui es-tu ? Comment aimerais-tu te présenter, Stéphanie, aux gens qui vont nous écouter ?
- Speaker #1
Alors, ce n'est pas forcément une question facile de se présenter parce qu'on a différentes facettes, différents domaines. Mais je dirais que là, maintenant, aujourd'hui, je préfère me présenter en tant qu'être humain avec toute ma globalité. Un être humain avec une passion et donc cette passion, elle est devenue aussi mon activité professionnelle. Donc, je vais... continuer avec mon activité professionnelle pour me présenter. Je suis formatrice et conférencière en neurosciences émotionnelles. À la base, je suis docteure en neurosciences, donc ça a été vraiment une passion. Et j'ai continué, on en parlera peut-être un peu plus tard sur le contenu, mais pour me présenter, c'est ça, j'essaie de mêler dans ma vie des choses qui me passionnent, de voir par rapport à qui je suis, de partager certaines connaissances. Et il y a une facette très importante aussi pour moi, c'est que... Je ne peux pas ne pas me présenter en disant aussi que je suis l'heureuse maman d'une adolescente de 17 ans. Donc voilà, c'est un peu tout ça et je me présenterai comme ça.
- Speaker #0
Ça va, parfait. Et en fait, sans le savoir de trop, tu as déjà introduit le projet, parce qu'on va parler de l'annulaire, qui est la passion. C'est quoi ton point de cœur ? Mais avant ça, j'aimerais dire, j'aime beaucoup ce que tu dis dans le sens où passion, quand on a une passion, on a presque aussi une mission. Et quand on a une mission, ça nous permet de mieux utiliser, à mon sens, le temps. Parce qu'on est un conduit dans nos objectifs, dans ce que l'on veut faire. Objectif, c'est un grand mot, mais moi, c'est la partie noble de l'objectif. Qu'est-ce que je veux vraiment donner, comme tu l'as dit très bien, à ma vie ? Et donc, quand on a une passion, ça aide énormément. Et bien justement, puisque tu parles de passion, on va passer à l'annulaire, qui est le doigt du cœur. Je pense qu'on commence à comprendre ce que c'est, mais maintenant, je pense que tu peux en parler peut-être un peu plus en détail. C'est le bon moment, en tout cas.
- Speaker #1
En fait, quand j'ai fait mes études, j'ai découvert les neurosciences. C'est tout ce qui va expliquer comment fonctionne le cerveau, en gros. Et j'ai trouvé ça extraordinaire. Et depuis, ça m'a suivie. Et j'ai trouvé extraordinaire comment fonctionnaient les capacités de notre cerveau, les capacités du système émotionnel. Et je trouvais quand même un peu dommage que chacun n'ait pas accès à ces informations-là parce que ça fait partie de qui on est, comment on fonctionne. Je pense que toute ma vie, quand même, j'ai essayé de regarder un peu comment on pouvait fonctionner, quel était l'être humain dans sa globalité. Et c'est vraiment ça, en fait, de pouvoir partager où qu'on est, comme ça, on fonctionne comme ça. Ce qui veut dire surtout pour moi, c'est qu'on a un cerveau tellement extraordinaire avec un système émotionnel tellement extraordinaire qui nous permet de toujours pouvoir changer les choses dans notre vie et de pouvoir aller vers qui on a envie, d'aller, de se débarrasser de certaines choses. Donc, ma passion, je vais dire que c'est quand même l'être humain avant tout. Mais on peut parler de ressources.
- Speaker #0
Avec la partie supérieure qui est vraiment le focus. Ah !
- Speaker #1
Oui, sauf que la partie supérieure, je l'associe encore plus maintenant avec le corps, parce que le corps envoie tellement d'informations au cerveau, et qu'on oublie et qu'on ne sait pas faire en fait. Mais écouter son corps, c'est aussi quelque chose d'extraordinaire.
- Speaker #0
Oui, absolument. On m'a dit que 80% de toute l'information qui était échangée dans le corps venait du corps vers le cerveau, et uniquement une vingtaine de pourcents du cerveau vers le corps. Je ne sais pas si c'est correct ou pas.
- Speaker #1
Je t'avoue que je ne me lance jamais trop sur les statistiques, enfin sur les pourcentages, pas les statistiques, sur les pourcentages, mais en tout cas pour moi c'est sûr qu'il y a beaucoup plus d'informations qui viennent du corps et qui vont au cerveau plutôt que l'inverse. Après dire 80%, je pense, mais je ne suis pas forcément… Pas pour les mathématiques,
- Speaker #0
le temps quand même a été repris énormément dans les mathématiques. Bien, écoute, voilà, merci beaucoup. Je pense qu'on va, je ne sais pas pourquoi, j'ai un sentiment qu'on va reparler de tout ça, peut-être en 2025, parce que ce sont tous des sujets qui m'intéressent énormément et qui font une relation, on a eu l'occasion un peu d'en parler, avec le temps, la manière dont on a notre relation au temps et la manière aussi dont on écoute son corps pour pouvoir dire, tiens, est-ce qu'aujourd'hui c'est le bon moment de faire telle et telle chose ? Parfois on se porte à faire des choses, c'est pas au bon moment, donc ça prend plus de temps et comment je suis un peu, je me suis nommé le coup. chronotier. Et ce n'est pas un gros mot, mais c'est vraiment dire comment on peut mieux utiliser son temps pour en consommer moins. Voilà. Merci beaucoup pour ça et tous les sujets qu'on va pouvoir aborder par la suite. On est déjà au majeur. Est-ce que tu as rencontré dans ta vie, dans la partie professionnelle de ce que tu viens de nous décrire ou autre, un défi majeur lié au temps ?
- Speaker #1
Oui. Je dirais qu'il y a 4 ans maintenant, Mon défi majeur a été que j'étais dans un travail où justement je n'aurais pas du tout répondu la même chose au point par rapport au temps. Pour moi, je t'aurais dit que c'est de la course, que c'est du non-temps justement, parce que j'étais vraiment dans un travail où je ne m'épanouissais pas, où j'avais mes valeurs qui commençaient à être… En fait, toute ma vie, même personnelle, il y avait quelque chose qui n'allait pas. Et donc mon défi majeur a été de quitter tout ça et de me recréer une vie. avec une jeune adolescente, à essayer d'épanouir au plus possible tout en allant vers l'inconnu. Et ça a été vraiment ce majeur-là, ce défi majeur, je veux dire, de quitter quelque chose et de récupérer mon temps, justement, on parle de temps, récupérer mon temps pour faire quelque chose qui me convienne vraiment et dans lequel je pouvais m'épanouir. Alors que les conditions n'étaient pas forcément les meilleures. À ce moment-là. Mais...
- Speaker #0
finalement oui. Et on aura peut-être sans doute l'occasion, on va en parler plus tard, de voir, pas dans cette entrevue, mais je pense qu'on va parler beaucoup plus de toutes ces choses, parce que ça résonne, c'est incroyable. Au fur et à mesure que tu avances, je te dis que ça me plaît, donc ce n'est pas simplement pour te faire plaisir, c'est surtout parce que ça résonne énormément. C'est tout ce qui est ce changement. Ce changement, parfois, où on est freiné, toi tu le sais, les neurosciences expliquent, et le cerveau, il n'y a pas trop de changement. Mais le changement, le manque de changement à un certain moment peut nous faire perdre du temps. Donc je vois des connexions là qui sont très intéressantes, notamment dans l'approche du changement. Comment peut-on réaliser un changement peut-être plus rapidement et par la suite que ce soit un peu moins frustrant et moins difficile à vivre ?
- Speaker #1
Oui, totalement.
- Speaker #0
À l'époque, je me demandais s'il fallait vraiment toujours une crise pour qu'on puisse faire un changement. Donc voilà une belle question pour un peu plus de temps.
- Speaker #1
Oui, complètement.
- Speaker #0
Donc voilà, ce n'est pas simplement pour faire du Windows dressing, comme on dit, quelque chose de bien. C'est vraiment une question que je me pose. Moi, je pense que non, mais on est très proche. Il faut bien définir ce que c'est, la crise. Donc voilà, un très beau sujet à noter.
- Speaker #1
À noter pour la prochaine.
- Speaker #0
Eh bien ! On est déjà au petit coup de pouce. Qu'est-ce qui t'a aidé ? Qu'est-ce qui t'a aidé à pouvoir passer à travers ce défi majeur que tu viens de nous conter ? Et quel a été l'élément qui, pour toi, a réellement aidé ou a été peut-être le déclencheur pour passer à ce changement que tu viens de nous décrire ?
- Speaker #1
Alors, ça rejoint juste ce dont tu viens de parler sur la crise. En fait, je pense que le petit coup de pouce... Ça a été une problématique au niveau de mon corps. Et là, je me suis dit, il va falloir changer quelque chose parce que je ne peux pas continuer comme ça. Mon corps vraiment est en train de me dire, tu ne peux pas continuer comme ça. Et après, je pense que j'ai pris le temps de me dire, ok, je pouvais m'accorder quelque chose d'autre dans ma vie. Et que si je fais le lien avec le temps, j'aime bien le dire aussi. Donc, c'est vraiment, il y a beaucoup de choses qui résonnent. Mais des fois, on se dit, si je pars là, je décide de changer, et dans trois mois, peut-être que cette période de trois mois, ça va être difficile parce que je vais vers l'inconnu, je change et tout ça, mais au bout de trois mois, je dis n'importe quoi, comme tant, c'est un exemple, mais au bout de trois mois, il y aura quelque chose de changé. Donc je peux m'attendre à avoir du mieux pour moi, dans ma vie et tout ça. Si je reste sur mes peurs de changement, trois mois après, je serai toujours dans le même état. Donc, des fois, effectivement, le délai, je me suis dit, je m'accorde du temps. En fait, oui. J'ai vraiment, le coup de pouce, ça a été, alors le coup de pouce, ça a été physique. Et donc, je suis d'accord avec toi. Je ne pense pas qu'il faille attendre ça. Donc, c'est vraiment important de se dire attention. Parce que pour moi, comme c'est tout relié, cerveau, émotion, corps, si on ne s'écoute pas trop, le corps, après, il prend et il nous envoie des messages. Mais s'accorder du temps pour aller vers ce que je veux. ce qu'on a vraiment envie d'être et d'avoir, c'est important.
- Speaker #0
Oui, et j'aime bien quand tu dis s'accorder du temps, et moi j'ajouterais s'accorder du temps pour pouvoir écouter justement son corps. Je pense qu'on a oublié comment on parlait corps. Voilà, je parle de ça, je l'utilise parfois, je ne parle plus corps, je ne comprends plus ce que le corps me dit, et j'ai dû faire moi personnellement des efforts assez impressionnants pour… Non pas réapprendre parce que je ne le connaissais pas, mais découvrir que le corps me disait des choses. C'était un moment de crise où j'avais vraiment un problème physique. Et je me suis rendu compte à ce moment-là, après que j'ai été consulter pas mal de la médecine traditionnelle, je me suis tourné vers quelqu'un d'autre qui m'a expliqué ce que tu as. Ça vient de tel et tel type d'émotion que tu as. Totalement. Et bien oui. Donc encore un beau sujet.
- Speaker #1
Oui, complètement.
- Speaker #0
Voilà, le corps est très lié à nos émotions et souvent il y a aussi un lien avec le cerveau. Super, voilà, ça avance bien, on va avoir des sujets à discuter. Et pour terminer, avec la main, il nous reste un doigt, le petit doigt, celui qui nous dit des choses. Qu'est-ce que tu aimerais dire aux personnes qui vont nous écouter ? soit un mantra, un conseil ou quelque chose qui t'a frappé et que tu pourrais transmettre à travers les ondes et l'image.
- Speaker #1
Je dirais l'amour de soi. C'est quelque chose de vraiment essentiel. Alors, je vais donner une définition parce que je sais, des fois, on entend un peu différentes définitions. Moi, ma définition de l'amour de soi, c'est de… de s'accueillir et de s'accepter avec nos qualités et nos défauts, c'est-à-dire ne pas être dans le jugement de soi-même et d'être vraiment dans le constat. Parce qu'en tant qu'être humain, on a des qualités et des défauts. Et quand on est dans le constat, il y a plein de choses qui changent parce qu'on n'augmente pas notre stress puisqu'on est en train de se juger et il y a des ouvertures qui se font. Par contre, l'amour de soi, je pense que c'est... Bon, il n'y a que nous qui pouvons se la cultiver soi-même. parce que ça fait beaucoup de soi, soi, soi, mais ce n'est pas du tout égoïste ou quoi que ce soit. C'est qu'on n'a pas appris. On peut avoir 10 000 personnes autour de soi qui nous disent Oh, tu es merveilleuse, on t'aime et tout ça. Si nous-mêmes, on ne cultive pas ça, en fait, il y aura toujours un manque ou un petit… Voilà. Par contre, je sais que moi, ça a vraiment changé ma vie quand j'ai commencé à me dire Ok, je vais commencer à cultiver ça et je le vois autour de moi, les personnes que j'accompagne ou à qui je dis ce message-là, il y a toujours un petit truc. Ah oui, mais pourquoi pas quoi ?
- Speaker #0
Oui, ça résonne aussi en moi. À un certain moment, j'ai dû faire la même chose et je me souviendrai toujours de la première fois où je me suis regardé dans la glace. et que j'ai osé me dire, tu sais que je t'aime toi, et là ça fait très bizarre, c'est très très bizarre, mais par la suite c'est quelque chose qui cultive, et notre corps est sensible à tout ça, il sait de quoi on parle, il dit ok, alors si tu aimes bien ça, je vais t'en remettre.
- Speaker #1
Je ne te dirai même plus que notre corps dit enfin !
- Speaker #0
Bien, écoute, merci beaucoup pour tous ces partages. Et je voudrais te faire un cadeau, puisque maintenant les doigts sont complètement dégagés et dans ma peau, c'est là qu'on offre un cadeau. Je voudrais t'offrir ceci. Et si le temps n'existait pas, qu'est-ce que ça changerait pour toi ?
- Speaker #1
Je dirais de l'illimité, des possibilités infinies de l'illimité. Et en même temps, je me demande comment on ferait pour savourer. le moment présent. Voilà. Je ne sais pas si c'est une réponse ouverte.
- Speaker #0
Oui, absolument. Beaucoup de personnes disent aussi et notamment, je ne sais pas si tu connais un peu Ed Cartol qui parle du moment présent. Il parlait de moi. Le moment présent est à la fois un moment éternel et tellement fugace parce que le moment présent, il passe à une rapidité. Si tu le mets au niveau chrono, c'est quoi ? Une seconde, une milliseconde, une nanoseconde, c'est quoi le moment présent ? Donc le moment présent est à la fois rien du tout et l'infini en même temps. Parce qu'il y a des moments d'éternité qui, à un certain moment, tu dégustes. Je n'appelle pas le déguster, mais tu appelles le déguster. Mais tu dégustes ce moment et il semble éternel. Donc, bien, merci beaucoup pour ça.
- Speaker #1
Merci à toi, Jean-Claude, vraiment.
- Speaker #0
Peut-être, avant de terminer complètement cette entrevue, et pour toi, quel est le mot qui te vient maintenant ? Quel est le mot qui représente que l'on vient de vivre ensemble ? Ou bien un mot que tu veux réellement partager avec l'Assemblée, les milliers de personnes qui nous écoutent ?
- Speaker #1
Oui, en fait, quand tu me poses cette question, le mot qui a… Pepe, je ne sais pas comment dire, qui est venu, qui a pétillé dans ma tête, c'est partage. Parce que c'est un moment de partage que tu m'as accordé aussi et c'est chouette. Et puis de pouvoir partager ce qu'on vit parce que ça peut faire écho. Non, non, voilà, partage. Je vais m'arrêter là.
- Speaker #0
Partage. Partage, c'est un très beau mot. J'aime beaucoup partager aussi. Je partage énormément. Et il y a un certain moment... avec l'espoir que même si ce que je partage ne touche qu'une seule personne, s'il y a peut-être des milliers de personnes qui nous écoutent, je n'en sais rien, on verra bien, il faut rêver de temps en temps, mais ne fût-ce qu'une personne, je crois énormément à l'effet papillon, c'est-à-dire qu'une personne va changer quelque chose et parce qu'elle change, elle va influencer son rencontre d'autres personnes qui elles-mêmes vont influencer et c'est surtout ça en quoi je crois. Voilà, merci beaucoup Stéphanie. Un très grand merci pour ton temps parce que tu viens de m'offrir quelque chose qui est le plus précieux. Pourquoi c'est le plus précieux ? Parce que tu ne sais pas le récupérer. Ce que tu m'as donné, tu l'as partagé avec moi, tu me l'as offert et je te remercie énormément.
- Speaker #1
C'est un grand plaisir, l'enclos. Merci encore à toi.
- Speaker #0
Voilà, et à très bientôt. Reste tuning parce que on va avoir d'autres conversations. Merci et à très bientôt Stéphanie. Au revoir.