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Radio Monaco - Feel Good

Démoder la fast fashion !

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02min |04/03/2024|

43

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Comme chaque lundi, la team de My Positive Impact nous invite à réfléchir à la transition écologique. Ce lundi, Florent Favier, zoome sur la fast fashion. Cette chronique est en lien avec une récente proposition de loi côté français.


Possible sanction pour les enseignes de fast fashion


En France, le député Les Républicains Antoine Vermorel-Marques a déposé une proposition de loi pour contrer les géants de la fast fashion. Elle vise à décourager les enseignes qui mettent en vente plus de 1000 nouveaux modèles par jour avec l'instauration d'un malus plafonné à cinq euros par article. Une mesure qui impacterait surtout les consommateurs, obligés de débourser plus pour s'offrir des produits issus de ces collections.


L'objectif est d'inciter financièrement les enseignes textiles à reconsidérer leur modèle économique axé sur la production et la consommation excessives.


La mode en quelques chiffres


A ce jour l'industrie textile est responsable de 10% des émissions mondiales de CO2. C'est plus que toutes les émissions combinées des vols internationaux et du transport maritime ! Par ailleurs, chaque année, des milliards de vêtements finissent dans des décharges. Un phénomène qui contribue à la pollution des sols et des eaux. Et à propos de l'or bleu, la production de vêtements nécessite une quantité astronomique d'eau. Par exemple, pour fabriquer un simple tee-shirt en coton il faut en moyenne 2 700 litres d'eau. Cela correspond à la quantité qu'une personne boit en deux ans. D'où l'importance de réfléchir à notre consommation de vêtements puisque leur production provoque un gaspillage colossal de ressources naturelles. Et c'est d'autant plus alarmant, quand on sait que leur durée de vie dans nos placards est de moins d'un an !


Cette proposition de loi française a le mérite de vouloir décourager le renouvellement constant des collections. C'est aussi l'occasion d'encourager une approche plus réfléchie de la production et de la consommation textile, tout en mettant en lumière les enseignes qui s'engagent !


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Comme chaque lundi, la team de My Positive Impact nous invite à réfléchir à la transition écologique. Ce lundi, Florent Favier, zoome sur la fast fashion. Cette chronique est en lien avec une récente proposition de loi côté français.


Possible sanction pour les enseignes de fast fashion


En France, le député Les Républicains Antoine Vermorel-Marques a déposé une proposition de loi pour contrer les géants de la fast fashion. Elle vise à décourager les enseignes qui mettent en vente plus de 1000 nouveaux modèles par jour avec l'instauration d'un malus plafonné à cinq euros par article. Une mesure qui impacterait surtout les consommateurs, obligés de débourser plus pour s'offrir des produits issus de ces collections.


L'objectif est d'inciter financièrement les enseignes textiles à reconsidérer leur modèle économique axé sur la production et la consommation excessives.


La mode en quelques chiffres


A ce jour l'industrie textile est responsable de 10% des émissions mondiales de CO2. C'est plus que toutes les émissions combinées des vols internationaux et du transport maritime ! Par ailleurs, chaque année, des milliards de vêtements finissent dans des décharges. Un phénomène qui contribue à la pollution des sols et des eaux. Et à propos de l'or bleu, la production de vêtements nécessite une quantité astronomique d'eau. Par exemple, pour fabriquer un simple tee-shirt en coton il faut en moyenne 2 700 litres d'eau. Cela correspond à la quantité qu'une personne boit en deux ans. D'où l'importance de réfléchir à notre consommation de vêtements puisque leur production provoque un gaspillage colossal de ressources naturelles. Et c'est d'autant plus alarmant, quand on sait que leur durée de vie dans nos placards est de moins d'un an !


Cette proposition de loi française a le mérite de vouloir décourager le renouvellement constant des collections. C'est aussi l'occasion d'encourager une approche plus réfléchie de la production et de la consommation textile, tout en mettant en lumière les enseignes qui s'engagent !


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Possible sanction pour les enseignes de fast fashion


En France, le député Les Républicains Antoine Vermorel-Marques a déposé une proposition de loi pour contrer les géants de la fast fashion. Elle vise à décourager les enseignes qui mettent en vente plus de 1000 nouveaux modèles par jour avec l'instauration d'un malus plafonné à cinq euros par article. Une mesure qui impacterait surtout les consommateurs, obligés de débourser plus pour s'offrir des produits issus de ces collections.


L'objectif est d'inciter financièrement les enseignes textiles à reconsidérer leur modèle économique axé sur la production et la consommation excessives.


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A ce jour l'industrie textile est responsable de 10% des émissions mondiales de CO2. C'est plus que toutes les émissions combinées des vols internationaux et du transport maritime ! Par ailleurs, chaque année, des milliards de vêtements finissent dans des décharges. Un phénomène qui contribue à la pollution des sols et des eaux. Et à propos de l'or bleu, la production de vêtements nécessite une quantité astronomique d'eau. Par exemple, pour fabriquer un simple tee-shirt en coton il faut en moyenne 2 700 litres d'eau. Cela correspond à la quantité qu'une personne boit en deux ans. D'où l'importance de réfléchir à notre consommation de vêtements puisque leur production provoque un gaspillage colossal de ressources naturelles. Et c'est d'autant plus alarmant, quand on sait que leur durée de vie dans nos placards est de moins d'un an !


Cette proposition de loi française a le mérite de vouloir décourager le renouvellement constant des collections. C'est aussi l'occasion d'encourager une approche plus réfléchie de la production et de la consommation textile, tout en mettant en lumière les enseignes qui s'engagent !


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Possible sanction pour les enseignes de fast fashion


En France, le député Les Républicains Antoine Vermorel-Marques a déposé une proposition de loi pour contrer les géants de la fast fashion. Elle vise à décourager les enseignes qui mettent en vente plus de 1000 nouveaux modèles par jour avec l'instauration d'un malus plafonné à cinq euros par article. Une mesure qui impacterait surtout les consommateurs, obligés de débourser plus pour s'offrir des produits issus de ces collections.


L'objectif est d'inciter financièrement les enseignes textiles à reconsidérer leur modèle économique axé sur la production et la consommation excessives.


La mode en quelques chiffres


A ce jour l'industrie textile est responsable de 10% des émissions mondiales de CO2. C'est plus que toutes les émissions combinées des vols internationaux et du transport maritime ! Par ailleurs, chaque année, des milliards de vêtements finissent dans des décharges. Un phénomène qui contribue à la pollution des sols et des eaux. Et à propos de l'or bleu, la production de vêtements nécessite une quantité astronomique d'eau. Par exemple, pour fabriquer un simple tee-shirt en coton il faut en moyenne 2 700 litres d'eau. Cela correspond à la quantité qu'une personne boit en deux ans. D'où l'importance de réfléchir à notre consommation de vêtements puisque leur production provoque un gaspillage colossal de ressources naturelles. Et c'est d'autant plus alarmant, quand on sait que leur durée de vie dans nos placards est de moins d'un an !


Cette proposition de loi française a le mérite de vouloir décourager le renouvellement constant des collections. C'est aussi l'occasion d'encourager une approche plus réfléchie de la production et de la consommation textile, tout en mettant en lumière les enseignes qui s'engagent !


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