Repenser la transition écologique : être ou avoir ? cover
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Radio Monaco - Feel Good

Repenser la transition écologique : être ou avoir ?

Repenser la transition écologique : être ou avoir ?

03min |08/04/2024|

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C'est un enjeu crucial pour notre avenir et pour envisager sous un angle nouveau la transition écologique. Pleins phares sur les notions être et avoir ce lundi en s'appuyant sur la célèbre Pyramide de Maslow qui hiérarchise nos besoins.


Repenser l'être et l'avoir


Si on se base sur cette pyramide constituée de plusieurs niveaux, au premier palier on retrouve nos besoins physiologiques indispensables. Se nourrir, s'hydrater ou encore respirer. Dès le deuxième niveau, on se positionne sur des besoins de sécurité. A savoir : disposer d'un abris et pouvoir se soigner.
Ces besoins sont plus difficiles à combler dans nos sociétés où on pense qu’il faut toujours plus d’argent pour se sentir en sécurité. C'est en partie ce qui explique notre quête incessante de l'avoir à tout prix ! Toutes nos acquisitions matérielles ne sont peut-être que le reflet de nos insécurités profondes ?
Il est donc important de travailler sur ce deuxième palier pour apprendre à ralentir notre surconsommation.


Reconnaissance et appartenance

Au niveau trois de la Pyramide de Maslow, place aux besoins de reconnaissance et d’appartenance à un groupe. A ce stade, si on envisage un traval sur soi, il est intéressant de sortir de notre rôle. Ce qui signifie ne plus être simplement le produit d'une construction sociale où l'on est aimé et respecté pour ce que l'on fait. Ici, il s'agit de recevoir de l'amour et de la gratification pour ce que l'on est réellement.
D'ailleurs, bien souvent, le regard des autres, les jugements sur notre profession ou notre confort matériel conditionnent nos quêtes d'avoir toujours plus. Être au monde est largement suffisant !


Puis, au niveau quatre on peut passer de la quête d’amour des autres à l’édification d’une estime de soi solide.


Enfin, au dernier palier on découvre les besoins d'accomplissement. Ils peuvent se traduire par le  résultat de notre travail pour « avoir » du matériel. Ou alors par le résultat de notre travail pour « être ».

Ainsi, on peut choisir de combler nos besoins en investissant en temps et en argent dans l’évolution de notre être. Et donc moins, dans l’« avoir » toujours plus.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

C'est un enjeu crucial pour notre avenir et pour envisager sous un angle nouveau la transition écologique. Pleins phares sur les notions être et avoir ce lundi en s'appuyant sur la célèbre Pyramide de Maslow qui hiérarchise nos besoins.


Repenser l'être et l'avoir


Si on se base sur cette pyramide constituée de plusieurs niveaux, au premier palier on retrouve nos besoins physiologiques indispensables. Se nourrir, s'hydrater ou encore respirer. Dès le deuxième niveau, on se positionne sur des besoins de sécurité. A savoir : disposer d'un abris et pouvoir se soigner.
Ces besoins sont plus difficiles à combler dans nos sociétés où on pense qu’il faut toujours plus d’argent pour se sentir en sécurité. C'est en partie ce qui explique notre quête incessante de l'avoir à tout prix ! Toutes nos acquisitions matérielles ne sont peut-être que le reflet de nos insécurités profondes ?
Il est donc important de travailler sur ce deuxième palier pour apprendre à ralentir notre surconsommation.


Reconnaissance et appartenance

Au niveau trois de la Pyramide de Maslow, place aux besoins de reconnaissance et d’appartenance à un groupe. A ce stade, si on envisage un traval sur soi, il est intéressant de sortir de notre rôle. Ce qui signifie ne plus être simplement le produit d'une construction sociale où l'on est aimé et respecté pour ce que l'on fait. Ici, il s'agit de recevoir de l'amour et de la gratification pour ce que l'on est réellement.
D'ailleurs, bien souvent, le regard des autres, les jugements sur notre profession ou notre confort matériel conditionnent nos quêtes d'avoir toujours plus. Être au monde est largement suffisant !


Puis, au niveau quatre on peut passer de la quête d’amour des autres à l’édification d’une estime de soi solide.


Enfin, au dernier palier on découvre les besoins d'accomplissement. Ils peuvent se traduire par le  résultat de notre travail pour « avoir » du matériel. Ou alors par le résultat de notre travail pour « être ».

Ainsi, on peut choisir de combler nos besoins en investissant en temps et en argent dans l’évolution de notre être. Et donc moins, dans l’« avoir » toujours plus.


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C'est un enjeu crucial pour notre avenir et pour envisager sous un angle nouveau la transition écologique. Pleins phares sur les notions être et avoir ce lundi en s'appuyant sur la célèbre Pyramide de Maslow qui hiérarchise nos besoins.


Repenser l'être et l'avoir


Si on se base sur cette pyramide constituée de plusieurs niveaux, au premier palier on retrouve nos besoins physiologiques indispensables. Se nourrir, s'hydrater ou encore respirer. Dès le deuxième niveau, on se positionne sur des besoins de sécurité. A savoir : disposer d'un abris et pouvoir se soigner.
Ces besoins sont plus difficiles à combler dans nos sociétés où on pense qu’il faut toujours plus d’argent pour se sentir en sécurité. C'est en partie ce qui explique notre quête incessante de l'avoir à tout prix ! Toutes nos acquisitions matérielles ne sont peut-être que le reflet de nos insécurités profondes ?
Il est donc important de travailler sur ce deuxième palier pour apprendre à ralentir notre surconsommation.


Reconnaissance et appartenance

Au niveau trois de la Pyramide de Maslow, place aux besoins de reconnaissance et d’appartenance à un groupe. A ce stade, si on envisage un traval sur soi, il est intéressant de sortir de notre rôle. Ce qui signifie ne plus être simplement le produit d'une construction sociale où l'on est aimé et respecté pour ce que l'on fait. Ici, il s'agit de recevoir de l'amour et de la gratification pour ce que l'on est réellement.
D'ailleurs, bien souvent, le regard des autres, les jugements sur notre profession ou notre confort matériel conditionnent nos quêtes d'avoir toujours plus. Être au monde est largement suffisant !


Puis, au niveau quatre on peut passer de la quête d’amour des autres à l’édification d’une estime de soi solide.


Enfin, au dernier palier on découvre les besoins d'accomplissement. Ils peuvent se traduire par le  résultat de notre travail pour « avoir » du matériel. Ou alors par le résultat de notre travail pour « être ».

Ainsi, on peut choisir de combler nos besoins en investissant en temps et en argent dans l’évolution de notre être. Et donc moins, dans l’« avoir » toujours plus.


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C'est un enjeu crucial pour notre avenir et pour envisager sous un angle nouveau la transition écologique. Pleins phares sur les notions être et avoir ce lundi en s'appuyant sur la célèbre Pyramide de Maslow qui hiérarchise nos besoins.


Repenser l'être et l'avoir


Si on se base sur cette pyramide constituée de plusieurs niveaux, au premier palier on retrouve nos besoins physiologiques indispensables. Se nourrir, s'hydrater ou encore respirer. Dès le deuxième niveau, on se positionne sur des besoins de sécurité. A savoir : disposer d'un abris et pouvoir se soigner.
Ces besoins sont plus difficiles à combler dans nos sociétés où on pense qu’il faut toujours plus d’argent pour se sentir en sécurité. C'est en partie ce qui explique notre quête incessante de l'avoir à tout prix ! Toutes nos acquisitions matérielles ne sont peut-être que le reflet de nos insécurités profondes ?
Il est donc important de travailler sur ce deuxième palier pour apprendre à ralentir notre surconsommation.


Reconnaissance et appartenance

Au niveau trois de la Pyramide de Maslow, place aux besoins de reconnaissance et d’appartenance à un groupe. A ce stade, si on envisage un traval sur soi, il est intéressant de sortir de notre rôle. Ce qui signifie ne plus être simplement le produit d'une construction sociale où l'on est aimé et respecté pour ce que l'on fait. Ici, il s'agit de recevoir de l'amour et de la gratification pour ce que l'on est réellement.
D'ailleurs, bien souvent, le regard des autres, les jugements sur notre profession ou notre confort matériel conditionnent nos quêtes d'avoir toujours plus. Être au monde est largement suffisant !


Puis, au niveau quatre on peut passer de la quête d’amour des autres à l’édification d’une estime de soi solide.


Enfin, au dernier palier on découvre les besoins d'accomplissement. Ils peuvent se traduire par le  résultat de notre travail pour « avoir » du matériel. Ou alors par le résultat de notre travail pour « être ».

Ainsi, on peut choisir de combler nos besoins en investissant en temps et en argent dans l’évolution de notre être. Et donc moins, dans l’« avoir » toujours plus.


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