Finta #10 Olivier Fabre, le cuir dans la peau et le gant en héritage cover
Finta #10 Olivier Fabre, le cuir dans la peau et le gant en héritage cover
Finta! L'Aveyron par ses voix

Finta #10 Olivier Fabre, le cuir dans la peau et le gant en héritage

Finta #10 Olivier Fabre, le cuir dans la peau et le gant en héritage

32min |12/06/2021
Play
Finta #10 Olivier Fabre, le cuir dans la peau et le gant en héritage cover
Finta #10 Olivier Fabre, le cuir dans la peau et le gant en héritage cover
Finta! L'Aveyron par ses voix

Finta #10 Olivier Fabre, le cuir dans la peau et le gant en héritage

Finta #10 Olivier Fabre, le cuir dans la peau et le gant en héritage

32min |12/06/2021
Play

Description

 A 48 ans, Olivier Fabre incarne la quatrième génération de la ganterie familiale, Maison Fabre à Millau. Engagé dans la démarche d’inscription de la filière cuir du pays de Millau au patrimoine immatériel de l’Unesco, qui pourrait aboutir d’ici trois à quatre ans, Olivier Fabre partage son temps entre Millau et Paris. 

Mais il accepte volontiers d’être le boute-en-train d’une filière qui a durablement marqué le Sud-Aveyron, laissant à Millau le surnom de Cité du gant, et qui ne demande qu’à être en ébullition à nouveau.

Avec Olivier Fabre, on s’est un peu tutoyé, un peu vouvoyé, mais on a surtout parlé de sauvegarde du savoir-faire ancestral qu’est le travail du cuir à partir de l’élevage de brebis pour Roquefort. On a aussi parlé de ses souvenirs d’enfant dans les ateliers jusqu’à la reprise de l’entreprise avec son frère, à l’aube des années 2000, après une fermeture administrative qui aurait pu mettre un coup d’arrêt définitif à la saga familiale. 

Description

 A 48 ans, Olivier Fabre incarne la quatrième génération de la ganterie familiale, Maison Fabre à Millau. Engagé dans la démarche d’inscription de la filière cuir du pays de Millau au patrimoine immatériel de l’Unesco, qui pourrait aboutir d’ici trois à quatre ans, Olivier Fabre partage son temps entre Millau et Paris. 

Mais il accepte volontiers d’être le boute-en-train d’une filière qui a durablement marqué le Sud-Aveyron, laissant à Millau le surnom de Cité du gant, et qui ne demande qu’à être en ébullition à nouveau.

Avec Olivier Fabre, on s’est un peu tutoyé, un peu vouvoyé, mais on a surtout parlé de sauvegarde du savoir-faire ancestral qu’est le travail du cuir à partir de l’élevage de brebis pour Roquefort. On a aussi parlé de ses souvenirs d’enfant dans les ateliers jusqu’à la reprise de l’entreprise avec son frère, à l’aube des années 2000, après une fermeture administrative qui aurait pu mettre un coup d’arrêt définitif à la saga familiale. 

Share

Embed

You may also like

Description

 A 48 ans, Olivier Fabre incarne la quatrième génération de la ganterie familiale, Maison Fabre à Millau. Engagé dans la démarche d’inscription de la filière cuir du pays de Millau au patrimoine immatériel de l’Unesco, qui pourrait aboutir d’ici trois à quatre ans, Olivier Fabre partage son temps entre Millau et Paris. 

Mais il accepte volontiers d’être le boute-en-train d’une filière qui a durablement marqué le Sud-Aveyron, laissant à Millau le surnom de Cité du gant, et qui ne demande qu’à être en ébullition à nouveau.

Avec Olivier Fabre, on s’est un peu tutoyé, un peu vouvoyé, mais on a surtout parlé de sauvegarde du savoir-faire ancestral qu’est le travail du cuir à partir de l’élevage de brebis pour Roquefort. On a aussi parlé de ses souvenirs d’enfant dans les ateliers jusqu’à la reprise de l’entreprise avec son frère, à l’aube des années 2000, après une fermeture administrative qui aurait pu mettre un coup d’arrêt définitif à la saga familiale. 

Description

 A 48 ans, Olivier Fabre incarne la quatrième génération de la ganterie familiale, Maison Fabre à Millau. Engagé dans la démarche d’inscription de la filière cuir du pays de Millau au patrimoine immatériel de l’Unesco, qui pourrait aboutir d’ici trois à quatre ans, Olivier Fabre partage son temps entre Millau et Paris. 

Mais il accepte volontiers d’être le boute-en-train d’une filière qui a durablement marqué le Sud-Aveyron, laissant à Millau le surnom de Cité du gant, et qui ne demande qu’à être en ébullition à nouveau.

Avec Olivier Fabre, on s’est un peu tutoyé, un peu vouvoyé, mais on a surtout parlé de sauvegarde du savoir-faire ancestral qu’est le travail du cuir à partir de l’élevage de brebis pour Roquefort. On a aussi parlé de ses souvenirs d’enfant dans les ateliers jusqu’à la reprise de l’entreprise avec son frère, à l’aube des années 2000, après une fermeture administrative qui aurait pu mettre un coup d’arrêt définitif à la saga familiale. 

Share

Embed

You may also like