Finta #Larzac épisode 3/3 : être paysan aujourd’hui, avec la lutte en héritage cover
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Finta! L'Aveyron par ses voix

Finta #Larzac épisode 3/3 : être paysan aujourd’hui, avec la lutte en héritage

Finta #Larzac épisode 3/3 : être paysan aujourd’hui, avec la lutte en héritage

37min |01/05/2021
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C’est chez les Parsy, que commence ce troisième et dernier épisode de la série #Larzac. La première génération de paysans à s’être installée grâce à la Société civile des terres du Larzac est désormais à la retraite. Ces paysans-là étaient, pour beaucoup, arrivés de loin pendant la lutte. En soutien aux locaux, ils avaient squatté des fermes sur les terres de l’Etat et participé à l’effervescence du Larzac pendant dix ans. Premiers à profiter du système inédit qu’est la SCTL, ils ont dû se plier aux règles et rendre leurs fermes pour permettre à des jeunes de s’y installer. Alors qui sont, aujourd’hui, les paysans du Larzac ? On les sait jeunes, autour de la trentaine, diplômés et forcément engagés. Mais qu’ont-ils à faire de l’héritage de la lutte ?

Rencontre avec Léa, Marion et Julien : trois jeunes agriculteurs installés sur le Larzac. Si Léa a repris la ferme de ses parents, installés au milieu des années 1970, Julien a bénéficié du système de la SCTL. Ses parents, membres de la communauté non-violente de l’Arche, arrivée en soutien pendant la lutte, ont régularisé leur présence sur une ferme qu’ils squattaient jusqu’alors. Quant à Marion, ingénieur agronome, elle est arrivée grâce à la SCTL en 2016 et incarne cette génération de paysans qui n’a pas connu la lutte mais qui contribue à faire vivre l’héritage de celle-ci. 


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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C’est chez les Parsy, que commence ce troisième et dernier épisode de la série #Larzac. La première génération de paysans à s’être installée grâce à la Société civile des terres du Larzac est désormais à la retraite. Ces paysans-là étaient, pour beaucoup, arrivés de loin pendant la lutte. En soutien aux locaux, ils avaient squatté des fermes sur les terres de l’Etat et participé à l’effervescence du Larzac pendant dix ans. Premiers à profiter du système inédit qu’est la SCTL, ils ont dû se plier aux règles et rendre leurs fermes pour permettre à des jeunes de s’y installer. Alors qui sont, aujourd’hui, les paysans du Larzac ? On les sait jeunes, autour de la trentaine, diplômés et forcément engagés. Mais qu’ont-ils à faire de l’héritage de la lutte ?

Rencontre avec Léa, Marion et Julien : trois jeunes agriculteurs installés sur le Larzac. Si Léa a repris la ferme de ses parents, installés au milieu des années 1970, Julien a bénéficié du système de la SCTL. Ses parents, membres de la communauté non-violente de l’Arche, arrivée en soutien pendant la lutte, ont régularisé leur présence sur une ferme qu’ils squattaient jusqu’alors. Quant à Marion, ingénieur agronome, elle est arrivée grâce à la SCTL en 2016 et incarne cette génération de paysans qui n’a pas connu la lutte mais qui contribue à faire vivre l’héritage de celle-ci. 


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Rencontre avec Léa, Marion et Julien : trois jeunes agriculteurs installés sur le Larzac. Si Léa a repris la ferme de ses parents, installés au milieu des années 1970, Julien a bénéficié du système de la SCTL. Ses parents, membres de la communauté non-violente de l’Arche, arrivée en soutien pendant la lutte, ont régularisé leur présence sur une ferme qu’ils squattaient jusqu’alors. Quant à Marion, ingénieur agronome, elle est arrivée grâce à la SCTL en 2016 et incarne cette génération de paysans qui n’a pas connu la lutte mais qui contribue à faire vivre l’héritage de celle-ci. 


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Rencontre avec Léa, Marion et Julien : trois jeunes agriculteurs installés sur le Larzac. Si Léa a repris la ferme de ses parents, installés au milieu des années 1970, Julien a bénéficié du système de la SCTL. Ses parents, membres de la communauté non-violente de l’Arche, arrivée en soutien pendant la lutte, ont régularisé leur présence sur une ferme qu’ils squattaient jusqu’alors. Quant à Marion, ingénieur agronome, elle est arrivée grâce à la SCTL en 2016 et incarne cette génération de paysans qui n’a pas connu la lutte mais qui contribue à faire vivre l’héritage de celle-ci. 


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