- Speaker #0
Flow & Cash Flow, c'est ce moment capsule où tu vas pouvoir prendre un shot d'énergie, te recharger et apprendre des tips et des insights pour entreprendre ta vie. Parce que nous ne sommes pas juste des employés ou des entrepreneurs, nous pouvons tous cultiver l'art de conjuguer toutes nos facettes. Alors que tu sois entrepreneur, salarié avec un side project, artisan ou juste un humain, reste à l'écoute. Ma vision, c'est qu'il est temps que tout un chacun puisse se révéler, sublimer ses talents tout en ayant du succès, avec sa propre définition du succès. Merci. accomplir et s'accomplir. Ici, je te parlerai de rayonner, de compter, d'optimiser, d'organiser, de sublimer et de kiffer. Alors, si tu te sens concerné, abonne-toi, tu risques d'adorer ce moment.
- Speaker #1
Et vraiment, l'essentiel, c'est nous d'aller tester et de voir ce qui va fonctionner pour nous, ce qui va nous plaire.
- Speaker #0
Alors, dans ce podcast Flow & Cashflow pour cette seconde partie avec toi, Elisa, j'ai envie de creuser ce que tu viens de dire un petit peu plus parce que ça me paraît un petit peu atypique. par rapport à ce qu'on peut entendre, ce qui peut être véhiculé aussi comme tout en un, les petits packages qu'on peut entendre sur les réseaux sociaux, pour les canaux d'acquisition notamment. Et du coup, ça m'a fait écho ce que tu viens de dire sur la manière de communiquer, la manière d'être présente sur les réseaux, le fait que ce soit par des médiums qui, toi, te correspondent, qui, toi, te font du bien et pour lesquels, toi, tu es à l'aise. Alors, est-ce que ça a toujours été le cas ? Est-ce que tu as pratiqué ? plusieurs fois plusieurs méthodes pour trouver maintenant la tienne et tes canaux d'acquisition signature. Comment est-ce que ça s'est passé ?
- Speaker #1
Ça n'a carrément pas du tout été toujours le cas. D'ailleurs, quand j'ai démarré mon entreprise, je n'étais pas experte en marketing. J'étais experte dans mes compétences d'accompagnement, mais marketing, non. Donc ça, c'était une grande nouveauté. Donc en fait, qu'est-ce que j'ai fait ? J'ai testé. J'ai testé plein de choses. J'ai testé plein de réseaux. Pour moi, je suis de la génération Facebook. Donc, c'est naturellement sur celui-ci que je suis allée au démarrage. Et puis, après, je me suis dit, OK, il y a Instagram qui existe. Visiblement, ça a l'air assez simple de connecter les deux. Donc, je suis allée sur Insta, mais ça me semblait tellement compliqué d'utiliser Insta. Je suis restée quelque temps sur Facebook. Facebook, c'était sympa, ça marchait un petit peu. Je n'avais pas trop exploité LinkedIn, alors que LinkedIn... étrangement quand j'étais dans le salariat je l'utilisais et là en fait je m'étais tellement laissée influencer par le fait que j'entendais que LinkedIn c'était pas drôle, que c'était pas sympa etc et en fait j'étais en friction avec LinkedIn alors qu'à la base j'aimais ça tout ça pour dire que il y a beaucoup de choses qu'on entend, beaucoup de choses qu'on pense être vraies et que vraiment l'essentiel c'est nous d'aller tester et de voir ce qui va fonctionner pour nous ce qui va nous plaire. Aujourd'hui Ce que je peux te dire, c'est que moi, ce qui me plaît, c'est LinkedIn. C'est clair que j'adore LinkedIn. Et je m'y sens très bien. Et on peut partager énormément de choses sur LinkedIn. Insta, je trouve ça très amusant. Donc, je vais sur Insta maintenant que je l'ai pris en main quelque part et que je me suis rabibochée avec Instagram. Ça n'a pas toujours été le cas. Et j'ai laissé tomber Facebook. Voilà. Tu vois, quelque chose qui était simple pour moi, enfin, en tout cas, ou qui semblait être assez évident, je l'ai complètement laissé tomber. Je ne m'amuse pas du tout sur Facebook. Donc, je ne suis pas sur Facebook. Et puis, je commence à redévelopper tranquille mon compte YouTube. Puisque, en fait, dessus, quand je fais un live hebdo, je le publie, je laisse le replay accessible sur YouTube.
- Speaker #0
Oui, c'est super intéressant. Et du coup, tout ça bouge, évidemment, parce qu'en début de podcast, tu disais aussi que tu étais multi. Et que du coup tu avais multi-créativité florissante. Alors comment tu fais aussi pour t'organiser et puis pour développer ce qui sort et ce qui émane de ton feu intérieur au fur et à mesure que les envies naissent ?
- Speaker #1
Je le cadre, je le dompte. J'ai fait le test aussi. J'ai fait le test vraiment de créer avec ce flot, avec ces pics de créativité, etc. Tout ça je me le suis autorisé. Et c'était un vrai chaos, vraiment un beau chaos. Et donc en fait, ça ne faisait pas sens pour moi parce qu'il y a deux choses qui sont évidentes pour moi, c'est l'efficacité et l'envie. Et en fait, s'il n'y a que l'envie, que ce fameux flot créatif, etc., mais qui ne rend absolument rien d'efficace, ça n'a pas de sens pour moi, ça n'a pas d'utilité. Donc, j'associe les deux. Et donc, je le canalise, je le gère. Je sais par exemple aujourd'hui que si j'ai une idée qui pulse dans la nuit, Ok, je peux me lever la noter ou j'ai mon téléphone pas très loin de moi, je vais vite fait la noter ou je me fais confiance, je me dis que le lendemain matin je m'en souviendrai. Mais je ne vais pas aller la mettre en place tout de suite. Je vais laisser un temps en fait de digestion à cette idée. Et ça, c'est génial parce qu'en fait ça permet de pouvoir voir si dans 15 jours, 3 semaines, ça passe relativement vite en fait. 15 jours, 3 semaines quand on est multi, quand on a toujours des trucs à faire et qu'on a toujours envie de faire de nouvelles choses. pouvoir les voir, la retrouver en fait cette idée, et se demander si vraiment on a toujours cette même vibration, cette même envie. Je dirais que deux fois sur trois, elle reste dans son coin, rangée avec les autres idées, et puis un jour, si toutefois c'était grand vide créatif, j'irais taper dans cette liste-là.
- Speaker #0
Et cette créativité et ce feu intérieur multifacette ? Tu l'as toujours eu dans ta précédente carrière, par exemple, de DRH ? C'était déjà le cas ou c'est quelque chose qui s'est révélé et que tu as autorisé à laisser être au fur et à mesure ?
- Speaker #1
Alors en fait, c'était déjà le cas, sauf que j'avais peu de temps en dehors de mon métier pour pouvoir l'exercer, pour pouvoir me l'autoriser. C'était vraiment une question de temps. Moi, j'étais passionnée par mon métier, mais je lui donnais beaucoup, beaucoup de temps. Donc par exemple, ce qui concernait le cinéma, le chant, le théâtre, tout ça j'ai attendu quelques années avant de m'y renaître. Et l'immobilier, moi c'est quelque chose qui m'intéressait aussi beaucoup, c'est ce que j'avais mis en place dans l'acquisition de ma résidence principale, c'était ma première acquisition immobilière. Mon objectif c'était qu'à 40 ans je ne paye plus ma résidence principale. Donc ça, c'était un bel objectif que je m'étais donné. J'étais hyper fière finalement à 39 ans d'avoir soldé ma résidence principale. Et en fait, j'ai eu envie d'aller au-delà. J'ai eu envie d'acquérir un nouveau bien immobilier. Mais ça, ça prend du temps. Enfin, en tous les cas, la façon dont j'ai envisagé, ça prenait du temps. Et donc ça, je l'ai fait une fois que je lançais mes entreprises et que je quittais le salariat.
- Speaker #0
Et pour cette partie immobilière, justement, est-ce que tu t'es entourée, formée ? ou alors tu y es allée comme ça, à l'instinct et au feeling ?
- Speaker #1
J'y suis allée comme ça, à l'instinct. Et en fait, j'ai fait mes premières armes avec ma résidence principale, avec ma villa. J'ai choisi des artisans par recommandation. Mais il faut savoir aussi que les chiens ne font pas toujours des Ausha et que mes parents avait aussi ce profil-là. Donc, bon, je sors quand même d'une famille où mon père, qui était médecin, qui avait bossé toute l'année de ses études pour se les payer, a aussi acquis des biens immobiliers, les a construits alors qu'il ne les connaissait rien, a développé ses investissements en bourse alors qu'il ne les connaissait rien, et il s'est formé, en fait, lui tout seul là-dessus. Et moi, je suis un petit peu cette trace, en fait. Mais elle me plait bien, donc c'est un vrai choix.
- Speaker #0
Ok, super. Dans le cadre de tes activités actuelles, donc d'accompagnement des CEOs, quelle est ta signature à toi en propre ? Qu'est-ce que tu as synthétisé de toutes tes précédentes carrières et de tout ce que tu as essayé et qui n'a pas fonctionné ? et qui fait que c'est vraiment ton essence unique et ta singularité dans les accompagnements que tu fais ? Ok,
- Speaker #1
je vais en donner deux, on la résumera, mais il y en a deux, c'est-à-dire qu'il y a un élément qui est essentiel, et que j'amène à chaque fois, c'est la gestion de l'émotionnel. Quand j'accompagne les CEOs, moi je te l'ai dit, c'est efficacité, ce sont des choses qui sont très concrètes, et en fait, l'espace émotionnel a vraiment un impact hyper... hyper important dans la posture, dans les prises de décision, et dans le fait de se sentir bien dans son ambition et dans ce qu'on construit. Donc ça, c'est un sujet, en fait, que je vais saupoudrer et qui vont intégrer petit à petit dans leur démarche d'évolution. Ça, c'est la première chose. C'était pas forcément quelque chose, je t'en parle aujourd'hui, mais c'était pas forcément quelque chose que je mettais en avant, que je mettais en lumière avant. C'est eux qui me l'ont partagé, en fait. Ils m'ont dit que vraiment ils découvraient ces éléments-là. Et la deuxième chose, c'est qu'on se marre. Il faut que je puisse rire avec mes clients. Il faut qu'en sortant d'un rendez-vous, ils aient ri. Je ne vivais pas avec cette obligation. En fait, c'est quelque chose qui va être naturel. C'est-à-dire que l'autre chose, c'est de dédramatiser, en fait, toutes les situations qu'ils vivent. Et ça, ça fait en fait le lien direct avec l'émotionnel. C'est-à-dire qu'à partir du moment où j'ai réussi à sortir mon client d'une intensité émotionnelle par rapport à une situation, par rapport à une décision, par rapport à une vision, alors je sais que là, il va être à 100% de ses capacités pour pouvoir prendre la décision qui sera la meilleure pour lui. Je ne sais pas si je suis claire.
- Speaker #0
Tu es très claire. Ok. Et du coup, rapport au profil que tu peux accompagner, Est-ce qu'il y en a qui sont complètement novices dans l'accompagnement ? Par exemple, je pense à certains dirigeants d'entreprise qui ont pu mettre une carapace, pour le coup, émotionnelle toute leur vie, qui ont un problème, qui ne sont même peut-être pas trop sûrs que ce soit toi qui puisses le régler, mais il y a quelque chose qui fait qu'il y a eu une petite ouverture, une faille. Est-ce que tu as déjà ce type de profil ? Est-ce que ça t'est déjà arrivé ?
- Speaker #1
Carrément. Oui, oui, carrément. En fait, je vais y aller à le rythme. Je ne vais pas leur balancer tout dès le départ. Je vais y aller à un rythme. Et oui, j'en ai des profils comme ça. Mais à partir du moment où ils ont cette curiosité, ou finalement, comment dire, leur curiosité ou leur envie à dépasser leur frustration et leur peur, et qui a fait que ça les a amenés à me contacter, moi, je saisis la balle au bon parce que c'est tellement génial. de savoir que là, cette personne-là va pouvoir en repartir en étant boostée, motivée, au clair avec ses envies, et va encore avoir envie d'assumer son ambition.
- Speaker #0
Super. Et du coup, pendant que tu étais DRH, ou peut-être après, j'imagine que tu dois être dans un processus de formation un peu continu, que ce soit sous forme de coaching, ou même toi, je sens une soif d'apprentissage un petit peu permanente quand même. Oui,
- Speaker #1
ça c'est pareil, c'est comme les idées, je canalise, sinon je pourrais effectivement passer ma vie en formation, mais l'idée aussi c'est de se dire ok, mais j'en fais quoi après ? Moi je vois plein de gens aussi qui se forment, et puis après quand il faut passer réellement au concret, le faire avec des clients, ben là il n'y a plus grand monde. donc ça j'ai canalisé et oui je me suis formée à énormément de choses tout d'abord au coaching c'est à dire que quand j'étais DRH j'ai décidé de me former, d'être certifiée coach parce que je voulais comprendre et intégrer quelle était vraiment la différence de posture. Elle existe, elle n'est pas non plus hyper grande, mais elle existe quand même. Donc ça m'intéressait d'aller travailler ça. Donc ça, ça a été la première formation que j'ai réalisée. Puis ensuite, quand j'étais DRH, j'utilisais des outils. J'ai testé en fait en entreprise des outils que j'utilise aujourd'hui auprès de mes clients. Je sais que ça a marché, je sais comment les utiliser et j'avais envie d'aller plus loin. Donc ça a été par exemple le cas avec le fait d'animer du co-développement. C'était un truc passionné que je faisais déjà, mais j'avais envie juste de confirmer mes connaissances. Je me suis formée aussi à un outil qui s'appelle le DISC et qui permet d'identifier son profil de leadership et de communicant assez simplement. Et puis, j'ai eu envie d'aller exploiter aussi d'autres voies parce que quand on accompagne quelqu'un, et je l'ai fait moi, c'est à dire que tous ceux que je transmets à mes clients, évidemment, moi, je me le suis mangé. Je me le suis mangé, je me le suis digéré et j'ai regardé si ça fonctionnait pour moi. Quand ça ne fonctionnait pas, je le mettais de côté. Quand ça fonctionnait, je le gardais. Donc, notamment, j'ai eu envie d'aller au-delà de la connaissance humaine et je suis allée aussi me former dans des pratiques énergétiques, des pratiques dans le développement personnel qui me permettent de pouvoir travailler sur d'autres plans aussi avec les clients que j'ai et qui le souhaitent.
- Speaker #0
C'était un peu le sens de la question suivante qui sera la dernière question. C'était justement la place du corporel. Je me demandais si tu avais intégré des outils de sophrologie, vu que toi c'est le théâtre et c'est aussi une relation au corps. On peut faire le lien encore avec l'émotionnel où tout se cristallise dans le corps. Quelle place tu fais justement à ces pratiques-là ? Quels sont tes outils et ta palette de couleurs dans ce domaine-là ?
- Speaker #1
Elle est très large. Maintenant, moi, ce que je fais, c'est que je m'adapte à mon client. C'est-à-dire que quand je sens qu'il est prêt, il a une ouverture là-dessus, il a envie d'en savoir plus, alors je vais utiliser ces outils tels que je vais faire plus appel aussi à mon intuition, à ma connexion. Je vais pouvoir aller utiliser des outils qui vont me permettre de me connecter directement à lui d'un point de vue énergétique. Et ça, vraiment, je vais le faire si c'est son envie. Voilà, je force personne parce que je sais aussi que quand on est déjà pas à l'aise avec son émotionnel, on est en général peu à l'aise avec la partie, sa propre partie intuitive en fait. Donc je vais plutôt d'abord les aider à développer cette partie-là et ensuite, s'ils ont envie, on ira exploiter ces autres outils. On a tous, d'ailleurs. On n'a pas forcément besoin d'être formé pendant un an pour les utiliser.
- Speaker #0
Oui, mais c'est vrai que des fois, on plante juste une petite graine, ne serait-ce que par une parole, par une phrase, et puis hop, après, ça fait son chemin et ce n'est pas le temps de tout révolutionner forcément.
- Speaker #1
C'est ça. Donc à l'intérieur de tout ça, il peut y avoir de l'EFT, il peut y avoir... de l'hypnose, il peut y avoir bref, j'en passe mais différents outils ok,
- Speaker #0
bon bah c'est très clair, merci Elisa pour toutes ces informations qui étaient très très riches, merci beaucoup Chloé, on te suit sur LinkedIn sur Instagram et je mettrai aussi ton site internet dans les commentaires, est-ce que tu voudrais nous partager un petit mot de la fin d'optimisme ?
- Speaker #1
ben ouais carrément, un petit mot de la fin d'optimisme alors comment vous dire ? je vous dirais que oser oser ce que vous avez envie de vivre et si vous voyez arriver la première pensée qui est mais qu'est-ce que un tel va penser de qui de ce que je fais ou de ce que j'ai envie de faire, dites-vous qu'en fait c'est la réponse au fait que vous devez oser,
- Speaker #0
allez-y super, et bien merci beaucoup merci Chloé, à bientôt si tu as aimé cet épisode Tu peux laisser 5 étoiles sur Apple Podcasts ou Spotify. Et bien sûr, partage-le à quelqu'un qui pourrait en avoir besoin. Tu peux me taguer et laisser un commentaire. J'adore avoir ton feedback. Ça m'aide à grandir et à proposer des épisodes qui te ressemblent. Belle journée !