Speaker #0Coucou, bienvenue sur le podcast grandiose, le podcast qui t'aide à grandir et oser prendre ta place. Je suis Vanessa, une femme en quête de croissance personnelle, explorant la puissance et la profondeur de l'amour de soi. En tant que coach holistique, j'accompagne les femmes qui manquent de confiance et d'estime. à se reconnecter à elles-mêmes en se réconciliant avec leur corps, leur mental et leurs émotions. Si toi aussi tu désires éveiller ta conscience, augmenter ton estime de toi et surtout vivre une vie plus sereine, tu es au bon endroit. Sur ce podcast, je te partage mes prises de conscience et mes expériences avec authenticité. Mon but est que tu aies des outils concrets pour booster ta confiance en toi, t'accepter tel que tu es pour redevenir ta propre meilleure amie et la chef de ta vie. Je me réjouis de partager ce nouvel épisode avec toi. Are you ready ? Mets-toi dans ta bulle et c'est parti ! Avant de plonger dans cet épisode passionnant, j'aimerais juste t'annoncer qu'il y a actuellement une offre exceptionnelle de moins 40% sur mon programme Renaissance. Le programme Renaissance, c'est une plateforme avec 7 modules profonds, hyper puissants, conçus pour te reconnecter à toi-même, pour retrouver confiance et estime de toi, te réconcilier avec ton corps et la nourriture, et enfin vivre une vie alignée et apaisée. à travers des outils de coaching, de constellation familiale et des conseils en nutrition que tu pourras appliquer à ton rythme avec mon soutien. C'est l'occasion idéale pour rejoindre ce voyage transformateur à un prix imbattable. Cette offre est limitée, alors ne laisse pas cette chance s'envoler. Pour en savoir plus, je t'invite à cliquer sur le lien qui se trouve au sommet de la description de cet épisode. Bienvenue dans l'épisode 106 du podcast Grandiose, où on va parler d'un de mes sujets préférés et qui, je sais, va résonner et va être utile pour beaucoup de personnes. On va parler de confiance en soi, et oui encore, mais avec un point de vue un peu différent de ce qu'on voit un peu partout. Dans l'épisode 68 d'ailleurs, je t'avais déjà dévoilé ce que personne ne dit, c'est cette différence entre l'estime et la confiance en soi que la plupart des gens confondent, mais qui est pourtant hyper importante à connaître. En gros, pour résumer un petit peu, la confiance en soi c'est souvent lié à ce qu'on fait ou à ce qu'on réussit. C'est la foi en nos capacités, c'est croire que... qu'on est capable de surmonter des défis, de réaliser des tâches, même quand ça paraît difficile ou nouveau. La confiance en soi, on peut dire que c'est une branche de l'estime de soi. L'estime de soi, quant à elle, c'est quelque chose qui est beaucoup plus général. C'est la manière dont tu te perçois dans ta globalité. Ça n'a rien à voir avec tes compétences ou tes réalisations. C'est l'amour que tu te portes, c'est la reconnaissance de ta propre valeur et à quel point tu te respectes. Ça touche profondément à ton sentiment de mérite, attaque. capacité à t'accepter tel que tu es avec tes forces et tes vulnérabilités. Donc c'est vraiment indépendant de tes réussites, de tes succès, etc. Quand tu as une forte estime de toi, qu'importe ce que tu as réussi, ce que tu n'as pas réussi, tu t'aimes et tu t'acceptes vraiment au-delà de tes accomplissements, au-delà de ce que tu as fait ou ce que tu n'as pas fait. Et en fait, plus tu as d'estime de toi, plus tu pourras évidemment augmenter ta confiance en toi. Et finalement, comme la confiance en soi c'est le fait de croire que tu es capable, de surmonter des défis, de réaliser des choses, ben tu peux pas dire que tu n'en as pas. Parce que dire que tu n'as pas du tout de confiance en toi, ça voudrait dire que tu sais absolument rien faire, que t'as absolument rien réalisé dans ta vie, ce qui en soi est totalement faux. La confiance en soi, bien que ce qu'on peut penser, c'est pas un état fixe qu'on peut généraliser. En fait, elle peut être très forte dans certains aspects de notre vie et plus faible dans d'autres. Et donc c'est faux de juste dire j'ai confiance en moi ou alors j'ai pas confiance en moi. Ça ne veut rien dire en réalité. La confiance n'est pas quelque chose de global. Elle est spécifique à ce que tu connais et à ce que tu maîtrises. Par exemple, si je te demande est-ce que tu as confiance en toi quand tu fais du vélo, tu vas sûrement répondre que oui. C'est quelque chose que tu gères, tu n'y penses même pas. Mais est-ce que tu as toujours eu cette confiance ? Eh bien probablement que non. À tel point que la première fois où tu as fait du vélo, tu avais peut-être des petits trous ou alors un adulte pour te soutenir. Tu n'avais pas cette confiance que tu as aujourd'hui. Ça veut dire quoi ? ça veut dire que ta confiance en toi, tu l'as développée par rapport à cette compétence-là au fil du temps. Donc la confiance en soi, c'est aussi une histoire de compétences, et les compétences s'acquièrent avec de la pratique. La confiance en soi ne tombe pas du ciel, elle se développe, elle se construit par l'action et par l'expérience. Et aujourd'hui, j'aimerais te partager un concept super intéressant qui explique pourquoi on ne peut pas devenir confiante du jour au lendemain, et pourquoi c'est normal de passer par des phases parfois inconfortables. La confiance en soi, c'est un processus et ce processus peut être décortiqué en 4 grandes étapes. On appelle ça les 4 niveaux de compétence. C'est comme une échelle qui va de l'inconfort total à l'aisance complète. Et on passe tous par ces 4 étapes sans même s'en rendre compte. Mais crois-moi que le fait de conscientiser ça, ça va vraiment te permettre de voir ton propre cheminement sous un nouvel angle, avec plus de compassion envers toi-même. Parce que je suis certaine qu'à... pas si longtemps que ça, que ce soit conscient ou non, mais tu t'es dit des choses comme je suis pas assez compétente je suis pas assez bonne dans ce que je fais je suis nulle j'y arriverai jamais Si c'est le cas, rassure-toi, t'es pas la seule. En réalité, cette phase fait partie du chemin. Alors, le premier niveau, justement, c'est ce qu'on appelle l'incompétence inconsciente. En gros, c'est quand on ne sait pas qu'on ne sait pas. On n'a même pas conscience qu'on manque de compétence dans un domaine. C'est un peu comme la première fois où tu as appris à conduire une voiture. Prenons cet exemple parce qu'il est quand même plus récent que l'histoire du vélo. Souviens-toi, avant même de mettre les pieds dans une voiture, tu ne savais pas à quel point ça pouvait être compliqué. Donc, tu n'étais même pas consciente de ton incompétence. En fait, c'est le truc de on ne sait pas ce qu'on ne sait pas. Puis vient le deuxième niveau qu'on appelle l'incompétence consciente. À ce niveau, en fait, on se rend compte qu'on ne sait pas. C'est un peu le moment où... t'es assise pour la première fois au volant d'une voiture et que là tu réalises réellement à quel point conduire c'est beaucoup plus difficile que ce que tu pensais. Tu prends conscience de toutes les choses que tu dois apprendre. Contrôler les pédales, vérifier les rétroviseurs, faire attention à la route, RTI. C'est la phase la plus frustrante et c'est souvent là qu'on a nos petits saboteurs qui débarquent et qu'on se dit mon dieu mais en fait j'y arriverai jamais, je suis trop nulle. Enfin voilà. On passe tous par cette phase là. Et on a l'impression d'être... hyper loin de nos attentes de la réalisation de cet objectif mais en réalité on est juste en train de prendre conscience de nos lacunes et là c'est déjà un immense pas c'est une des phases les plus importantes j'ai envie de dire à conscientiser parce que c'est à cette étape là que la plupart des gens abandonnent et quand on abandonne en fait on vit un échec et un échec ça nous amène à croire qu'on n'est pas capable et c'est là que la confiance en nous dégringole donc c'est vraiment là comme je le dis, qu'il est important d'observer nos mécanismes et quand il y a ces petites voix qui viennent nous saboter et mettre en place des outils pour pouvoir les stopper. Dans le module 6 d'ailleurs du programme Renaissance, j'apprends à mes clientes à dompter entre guillemets leurs petits saboteurs et à switcher leur état d'esprit pour gagner la partie et pouvoir passer au niveau suivant. Et en fait ce que j'ai remarqué c'est que c'est vraiment à ce niveau-là de compétence que très souvent on a besoin d'être accompagné. pour pouvoir s'engager, pour ne pas lâcher et continuer à développer nos compétences malgré la difficulté. Ensuite, si tout se passe bien, on arrive au troisième niveau qu'on appelle la compétence consciente. À ce stade, on commence à savoir comment faire, mais on doit encore y penser consciemment. Pour revenir à l'exemple de la voiture, c'est quand tu sais passer les vitesses, mais que tu dois encore réfléchir à chaque étape. Tu dois décortiquer tout ça dans ta tête. Tu dois te concentrer pour... pas caler au feu rouge, tu dois vraiment être hyper concentré pour bien suivre la route et mettre en pratique tout ce que tu as appris. Et dans le processus de construction de la confiance en soi, c'est un peu pareil. Tu commences à avoir des outils et à savoir comment réagir dans certaines situations, mais parfois il y a encore certains doutes. Tu te dis peut-être ok je sais que je peux gérer, mais je dois rester attentive. Et c'est totalement normal parce que comme tu l'as compris, on ne devient pas expert du jour au lendemain. À force de pratiquer, de répéter encore et encore, on arrive au dernier niveau, la compétence inconsciente. Et là ça devient magique parce que tu sais faire sans même y penser, sans même réfléchir, ça devient automatique. Et c'est exactement comme avec la conduite, après des années de pratique, bah en fait on n'y pense même plus, on ne pense plus aux gestes qu'on fait, c'est naturel, c'est fluide, on peut vraiment même tenir une conversation, écouter de la musique, insulter et klaxonner celui qui nous a coupé la route. Je rigole. Mais quoi qu'il en soit, c'est quelque chose qui est automatique à laquelle on ne pense plus. Et dans le cas de la confiance en soi, c'est ce moment où on agit en étant pleinement nous-mêmes, sans se demander est-ce qu'on fait assez, est-ce qu'on fait bien, est-ce qu'on est capable, est-ce qu'on n'est pas capable. On intègre nos capacités et nos forces et pour en arriver là, il faut passer par toutes ces étapes précédentes. Donc la confiance en soi, c'est vraiment un processus. Le plus important à retenir dans tout ça, c'est que chaque étape est nécessaire et fait partie de ce processus. On ne peut pas sauter des étapes. Et c'est en passant par ces moments d'inconfort, ces moments où parfois on doute de soi, qu'on finit par atteindre cette facilité, cette aisance. Alors je sais que beaucoup d'entre nous aimeraient se sentir confiants immédiatement, mais la confiance en soi, c'est comme apprendre à conduire, il faut passer par l'apprentissage conscient à travers l'action. Puis avec le temps... Ça devient de plus en plus naturel, entre guillemets. Et c'est en partant de tous ces accomplissements que tu peux construire plus de confiance dans d'autres domaines. Ça part de la reconnaissance de ce que tu es déjà capable de faire aujourd'hui. Plus tu vas valoriser tout ce que tu as déjà accompli, tout ce que tu es capable de faire, plus tu vas te dire, ah ouais ok, ça j'ai été capable de le faire, donc je peux faire ça aussi, je peux faire ça, ça, ça. Et là où l'estime de soi entre en jeu, c'est que plus tu t'aimes et plus tu t'acceptes et plus tu seras capable de dépasser cette zone de confort sans te mettre la pression. parce que même si ça marche pas du premier coup, tu sais que ta valeur ne dépend pas du résultat. Par exemple, une personne qui est consciente de tous ses accomplissements et qui cultive l'estime d'elle, elle arrive à ressentir de la fierté. Elle va pas laisser ses peurs la contrôler. Une personne qui a une forte d'estime d'elle, elle aura aussi un niveau de confiance en elle plus élevé même si elle démarre quelque chose de nouveau parce qu'elle aura un bon état d'esprit ou plutôt on appelle ça un état d'esprit de croissance. C'est-à-dire que son état d'esprit va voir les défis comme des opportunités d'amélioration. Elle aura conscience qu'elle doit faire des efforts pour développer ses compétences et son intelligence. Elle est capable de percevoir les erreurs comme des leçons pour grandir. Au contraire, quelqu'un qui a une faible estime de soi, il aura un état qu'on appelle fixe. Et cette personne aura plus tendance à être focalisée sur ses échecs. Elle sera enfermée dans des croyances limitantes. Elle aura tendance à penser qu'elle ne peut pas changer, que ses capacités sont limitées, qu'elle est vraiment nulle et qu'elle n'est pas intelligente et qu'elle peut... pas évoluer et du coup ce qu'elle va faire c'est qu'elle va éviter les défis par peur d'échouer et automatiquement cet état d'esprit ne favorise pas et ne facilite pas le passage à l'action. Bien au contraire ça enferme dans la zone de ce qu'on connaît déjà, de ce qu'on gère mais le problème c'est que ça nous limite vraiment et ça nous empêche de nous dépasser et de réaliser nos rêves. Donc en gros les personnes avec un état d'esprit fixe auront plus tendance à stagner et à être enfermées dans leur petite routine habituelle. Et pareil, l'état d'esprit, c'est aussi quelque chose sur lequel on a du pouvoir. C'est comme un muscle, on peut le développer. Et personnellement, avant, j'avais un état d'esprit fixe, mais à 100%. Je n'osais rien faire. On m'appelait d'ailleurs Vanesse la Peureuse. Je me disais que de toute façon, je ne suis pas capable, je ne sais pas faire ci, je ne sais pas faire ça, ce n'est pas pour moi. Et donc, résultat, je ne le faisais pas, même si au fond, je rêvais de pouvoir le faire. Et bien sûr, cet état d'esprit, c'est souvent lié à des étiquettes qu'on nous colle, ou plutôt qu'on se colle toute seule. à cause de ce qu'on a entendu ou ce qu'on a interprété. Mais bonne nouvelle, tout comme on a collé ces étiquettes, on peut aussi les décoller. Par exemple, ma première année d'école, on avait fait une sorte de concours de dessin ou de coloriage, je ne sais plus, et une camarade avait été complimentée parce qu'elle avait fait tout joli, et donc moi, automatiquement, ma pensée ça a été, moi je suis nulle en dessin. Et pendant des années, je me suis empêchée de dessiner. Je me suis toujours dit, en fait je suis nulle en dessin, je suis incapable de faire ça. Cette croyance, cette étiquette, elle m'a suivie mais pendant de très très longues années, jusqu'au jour où j'ai décidé de remettre tout ça en doute et de m'autoriser à explorer ma créativité. Et là je me suis rendu compte qu'en fait j'étais hyper créative. Enfin voilà, pareil, à l'école je me suis toujours sentie super nulle quand on avait des cours de musique, parce que je comprenais rien du tout aux notes, et donc d'office, les instruments c'était pas pour moi. Alors qu'on soit j'adore la musique, j'adore les instruments. Et d'ailleurs c'est vraiment un bon exemple qui m'a permis de prendre conscience de ce processus d'apprentissage. Parce qu'il y a deux ans quand j'étais au Mexique, j'ai senti une forte envie d'apprendre à jouer d'un instrument de musique. Et j'ai donc décidé de m'acheter un ukulélé. Donc au départ, niveau confiance, on peut dire que c'était pas très élevé. Mais comme j'ai travaillé sur moi, comme j'ai décollé toutes ces vieilles étiquettes, et que j'ai développé mon estime de moi... et qu'aujourd'hui, en plus de ça, j'ai un état d'esprit de croissance, finalement, j'ai pu passer à l'action et m'offrir ce ukulélé. À ce stade, évidemment, j'étais au niveau zéro, entre guillemets, de compétence. J'étais encore inconsciente de mon niveau d'incompétence. Imagine, c'est comme un escalier. J'étais donc au pied de cet escalier. Avant de commencer, on est souvent en bas de l'échelle de la confiance et de la compétence. Et comme je l'ai dit, si on a un état d'esprit de croissance et qu'on a une haute estime de soi, on est en bas. de l'échelle, certes, mais avec une haute estime, et donc la confiance va rapidement monter, car on va se valoriser, on va persévérer, on sait que même si on n'y arrive pas tout de suite, c'est ok, ça fait partie du jeu. Donc l'estime de soi soutient la confiance en soi. Plus on a de l'estime, plus c'est facile de développer sa confiance en soi et acquérir de nouvelles compétences. Pour les perfectionnistes comme moi, c'est encore plus challengeant, parce qu'il faut accepter qu'on ne peut pas être irréprochable dès le début. Faut accepter d'être une débutante. Mais la réalité, c'est que plus tu fais quelque chose, plus tu répètes une action, plus tu t'améliores. C'est un fait. Et à force, tu constates que tu es capable et cette répétition renforce ta confiance dans ce domaine. Et justement, avec le ukulélé, j'ai pratiqué tous les jours et déjà en un jour, je commençais à intégrer des compétences. Et j'ai continué encore et encore et c'est comme ça que je me suis améliorée de jour en jour. Alors aujourd'hui, je n'en suis pas encore à un niveau de compétence inconsciente, je ne suis pas une professionnelle parce que j'ai arrêté tout simplement de pratiquer de façon régulière. Mais c'est un choix délibéré que j'ai fait et ça n'a rien à voir avec le fait... d'être capable ou non, et aujourd'hui je le sais, je suis entièrement responsable du fait que c'est pas quelque chose que je gère, et je sais exactement ce que j'ai à faire si je veux m'améliorer, si tel est mon souhait. Aujourd'hui, dès que je vois un truc que j'ai envie de faire, bah franchement je le fais. J'ai commencé la peinture, récemment j'ai commencé le tricot, quand j'ai fait mon voyage au Mexique, j'ai fait tellement de trucs, qu'avant je me disais mais jamais je ferais ça, je suis incapable, c'est pas pour moi. J'étais tellement enfermée dans mes peurs que, ouais, j'osais rien faire. Et pourtant, bah je l'ai fait. J'ai fait un saut en parachute, un vol en montgolfière, j'ai nagé avec des requins-baleines, j'ai fait mon baptême de plongée. Et toutes ces choses que j'ai faites, aujourd'hui elles m'ont permis de développer encore plus cette estime et cette confiance en moi. En fait, du moment que tu te lances, il n'y a plus rien qui t'arrête. Tu te dis, j'ai fait ça, ça, ça, et je suis toujours vivante, donc je peux tout faire. Et si d'un coup, tu te surprends à t'auto-saboter avec les t'es nul t'es incapable en fait, il faut juste apprendre à switcher en te disant non, je suis débutante. Niveau 2 de compétence, je suis consciemment incompétente et je vais développer cette compétence parce que je sais qu'avec la pratique je peux m'améliorer, c'est un fait. Alors à partir de maintenant quand tu te dis ou quand tu penses je n'ai pas confiance en moi, désormais rappelle-toi que soit ça n'a rien à voir avec ta confiance en toi mais ton estime de toi, soit t'es juste en train de te concentrer sur une situation ou quelque chose que tu gères pas encore et que tu dois passer à l'action pour justement... développer cette confiance en toi. Une étape primordiale pour oser agir, c'est de te valoriser, de prendre conscience de cette confiance déjà existante dans certains domaines et faire monter ton estime et cette confiance en toi pour te donner l'élan de passer à l'action dans des domaines que tu ne gères pas encore. Comme je t'ai dit tout à l'heure, le fait aujourd'hui de me dire que j'ai réalisé déjà plein de choses, que j'ai osé sauter d'un avion... que j'ai osé démissionner, que j'ai osé faire, bref, plein de trucs, bah en fait aujourd'hui, ça me donne cette force d'oser faire encore plein de nouvelles choses. Parce que justement, je me reconnecte à tout ce que j'ai déjà réalisé. Alors je te rassure, il n'y a pas besoin de sauter d'un avion, de partir voyager à l'autre bout du monde, de démissionner, pour cultiver cette confiance déjà existante. Chacun son chemin, chacun a ses réalisations et ses accomplissements. Toi, tu as les tiens et c'est important que tu puisses t'en souvenir. les noter, les valoriser et te reconnecter à ça pour te prouver à toi-même que, en fait, oui, t'es capable de faire plein de choses puisque tu en as déjà fait énormément. Et c'est ça qui va te donner l'élan de continuer sur cette lancée. Sois fier de tout ce que t'as déjà accompli dans ta vie et de tous les défis que t'as déjà surmontés. Par pitié, ne sous-estime pas tes capacités. Si aujourd'hui, tu es dans une phase où tu te sens incompétente ou que t'as l'impression de pas y arriver, c'est ok. t'es simplement en train de traverser une étape nécessaire vers la maîtrise vers cette confiance en toi que tu recherches et tu y arriveras avec de la patience mais surtout avec de l'action, de la pratique, de la répétition voilà j'espère sincèrement que t'as apprécié cet épisode je te rappelle que si t'as besoin d'être guidé sur ton chemin avec des outils concrets avec mon soutien tu as la possibilité de rejoindre le programme Renaissance C'est un programme complet qui va t'aider à te réconcilier avec toi-même, déprogrammer tes schémas limitants, guérir tes blessures, apprivoiser tes peurs, comprendre tes émotions pour pouvoir oser et être pleinement toi-même et vivre la vie que tu mérites. Je te mets le lien vers le programme dans la description de cet épisode et rappelle-toi que la confiance en soi est un chemin, pas une destination. À la semaine prochaine pour un tout nouvel épisode ! Merci d'avoir écouté cet épisode. Pour encore plus de contenu ou pour interagir avec moi, rejoins-moi sur les réseaux sociaux. Au fond de la description de cet épisode, tu trouveras un arbre à lien qui te redirigera vers mes réseaux sociaux, des ressources gratuites ainsi que mes accompagnements si tu désires travailler avec moi. Et comme d'habitude, si tu as apprécié cet épisode et que tu sens qu'il pourrait aider d'autres personnes de ton entourage, je t'invite à le partager autour de toi et à lui donner la note qu'il mérite sur Spotify et sur Twitter. ou sur Apple Podcasts. Car je te rappelle que si le podcast évolue, c'est surtout grâce à toi. Je te remercie infiniment si tu prends quelques secondes pour le faire. Ta contribution a énormément de valeur pour moi. Je te souhaite une merveilleuse journée, soirée, nuit, où que tu sois et quelle que soit l'heure à laquelle tu m'écoutes. Bisous bisous !