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Greenence Attitude - Conseils écolo beauté bien-être cosmétique vegan

1: Les habitudes et la résistance au changement - (développement personnel, écolo)

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06min |01/07/2023
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Description

Dans cet épisode on touche un peu au développement personnel, en réfléchissant sur ce qui nous bloque pour avancer vers une société plus proche de la réalité et de la nature.


Nous pouvons nous retrouver sur instagram: https://www.instagram.com/greenence_cosmetic


Bonne écoute!


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue sur le podcast The Green Attitude.

  • Speaker #1

    Je suis Delphine, fondatrice de la marque cosmétique Greenence. Bienvenue sur mon podcast qui aide à rendre le monde meilleur et où ensemble nous abordons comment améliorer au quotidien notre impact sur notre planète. Si vous ne savez pas comment vous y prendre ou par où commencer, alors vous êtes au bon endroit. Si cela vous plaît et afin de soutenir le podcast, N'hésitez pas à vous abonner sur votre plateforme d'écoute préférée, à le noter, le commenter, et je vous lirai avec plaisir, et le partager sur le réseau social de votre choix. Bonne écoute !

  • Speaker #2

    Dans ce premier épisode, je vais parler de nos habitudes et la résistance que nous avons à les changer. Avant d'échanger des astuces et d'aller vers notre premier pas, il est important de comprendre ce qui peut être un des freins de ce premier pas justement. Une habitude c'est quoi ? C'est une façon régulière, usuelle de se comporter, d'être, d'agir, etc. Et le changement, c'est une modification de quelque chose. Et qu'on le veuille ou non, nous sommes routiniers et avec des habitudes. Même ceux qui détestent la routine comme moi par exemple. Un exemple d'habitude, celle du petit déjeuner. On a l'habitude. d'en prendre ou pas, de manger tel aliment ou tel autre, de boire du café ou de ne pas en boire, au risque d'être dans le pâté toute la journée. C'est normal, les habitudes ça a un côté rassurant. Ce sont des repères qui rassurent et notamment face au mouvement incessant de la vie et à son instabilité. Nous savons tous très bien que rien n'est acquis dans la vie, tout est mouvement. Alors on s'accroche à ce qui nous apaise, nous fait croire qu'on a du contrôle. La bonne nouvelle c'est qu'avec un peu de patience, toute nouvelle façon de vivre, ou d'agir peut rentrer dans notre routine après quelques jours. Certains disent 21 jours, d'autres quelques mois, peu importe. C'est possible, c'est juste possible. Mais nous résistons au changement, ce qui le rend difficile. Le changement n'est pas douloureux ou difficile, mais c'est la résistance au changement qui l'est. Il n'y a qu'à voir le temps qu'il faut pour que les mentalités changent sur un sujet ou un autre. Et pourtant ce changement se fait dans un processus plus ou moins long, avec plus ou moins de conflits et de douleurs. Alors, quel est le rapport avec l'écologie, notre impact, etc. etc. Ça saute aux yeux. Tout est possible. Tout. Mais nous refusons de changer nos habitudes. Je ne vais peut-être pas vous plaire en disant ça, mais pour beaucoup d'entre nous, nous ne parvenons pas à changer nos habitudes de vie et de consommation pour un tas de raisons, mais surtout des excuses. On ne veut pas sortir de sa zone de confort, on a la flemme. On est pris dans des vies à 100 à l'heure et ça nous semble trop compliqué. On rejette la faute sur les autres, ça, ça arrive souvent. Et il n'y a pas que dans le changement d'habitude. Pourquoi je le ferais alors que les autres ne le font pas ? Est-ce que cela servira vraiment à quelque chose ? Si tout le monde pense comme ça, c'est sûr que rien n'avancera, parce que personne ne veut bouger, avancer, se mouiller, comme on dit, et attend un peu lâchement que ce soit le voisin qui débroussaille le chemin, qui fasse les efforts. Voilà, il est plus facile de remettre en question ce qui est extérieur à soi, plutôt que de prendre du recul sur notre propre attitude. Alors oui, le jet privé du footballeur pro et du président de la République, c'est abusé. Et on me demande à moi de faire des efforts. Eh bien non. J'en ferai pas. Or si, il serait bon d'en faire. C'est totalement juste de remettre en question la façon de vivre des plus riches que soi, mais n'oublions pas que dans ce monde, nous sommes aussi plus riches que certains. Si nous nous comparons aux pays en développement ou pauvres, peu importe comment nous voulons bien les appeler, nous noterons que leur mode de vie du quotidien est beaucoup moins polluant que le nôtre. A chacun sa responsabilité, et le fait qu'ils soient plus pauvres ne les dédouane pas des leurs, mais remettons les choses dans leur contexte et assumons ce qui est vrai. qui nous revient d'assumer. Et pour d'autres humains, dans le monde, nous sommes riches et nous agissons comme des riches. Ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit. Je ne remets pas en question la pauvreté et la précarité de certaines personnes en France, ce qui est réel. Je dis simplement qu'il y a beaucoup plus pauvres dans le monde et que pour eux, nous avons des privilèges de riches. Alors sûrement que s'ils avaient le même niveau de vie que nous, ils agiraient de la même manière. Car la pauvreté limite en quelque sorte. On ne peut pas se payer de billets d'avion, on ne peut pas manger de la viande tous les jours, on ne peut pas se payer des vacances, un toit sur la tête etc. Mais si nous étions aussi riches qu'un joueur de foot, par exemple, peut-être utiliserions-nous un jet privé pour faciliter nos déplacements. La vérité, c'est que le problème n'est pas là. Il est dans l'idée de se poser deux minutes et de se demander Est-ce que j'ai réellement besoin de ça dans ma vie ? Est-ce que me payer une première classe et m'organiser pour avoir un vol qui corresponde à mon planning n'est pas mieux que de choisir un jet privé ? Et sans parler du joueur de foot, Est-ce que je peux éliminer ce déplacement en avion par l'utilisation du train ou une visioconférence, etc. ? Ce que je veux dire, c'est que si chacun se rejette la balle, nous n'avancerons pas. Pour impulser ce changement, la solution est de comprendre ce que l'on fait, notre façon d'agir, puis se fixer un ou des objectifs et passer à l'action. L'action, pour moi, détruit toutes les peurs, les excuses, les prises de tête, etc. Et puis finalement, nos grands-parents n'avaient pas de mode de vie aussi destructif que ce que nous avons aujourd'hui. Alors peut-être qu'ils n'avaient pas les mêmes moyens financiers. Vu qu'on a vu que la pauvreté limite. On nous a inculqué cette façon de vivre dans l'enfance. Les industriels et leur marketing qui crée un besoin. Et c'est aussi pour cela que c'est difficile de le modifier, parce que cela fait partie de notre éducation. Je ne dis pas qu'il faut revenir en arrière et que c'était mieux avant, mais certaines façons de faire des générations passées peuvent être remises au goût du jour. Pour résumer simplement, il est important de comprendre ce qui peut être un frein pour franchir notre premier pas. Nous avons du mal à changer nos habitudes de consommation actuelles car nous nous trouvons des excuses, nous manquons d'organisation, d'objectifs pour passer à l'action. Nous attendons que cela vienne d'ailleurs. Pourtant, en tant que consommateur, nous avons le pouvoir de faire évoluer les choses. Si tout le monde fait un effort, cela fonctionnera. Alors la réflexion du jour, c'est êtes-vous prêt à cela ? Êtes-vous prêt ? à remettre en question votre fonctionnement et de passer à l'action. Je vous laisse réfléchir sur la question, vous pouvez m'écrire un commentaire. A bientôt pour le prochain épisode.

Description

Dans cet épisode on touche un peu au développement personnel, en réfléchissant sur ce qui nous bloque pour avancer vers une société plus proche de la réalité et de la nature.


Nous pouvons nous retrouver sur instagram: https://www.instagram.com/greenence_cosmetic


Bonne écoute!


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue sur le podcast The Green Attitude.

  • Speaker #1

    Je suis Delphine, fondatrice de la marque cosmétique Greenence. Bienvenue sur mon podcast qui aide à rendre le monde meilleur et où ensemble nous abordons comment améliorer au quotidien notre impact sur notre planète. Si vous ne savez pas comment vous y prendre ou par où commencer, alors vous êtes au bon endroit. Si cela vous plaît et afin de soutenir le podcast, N'hésitez pas à vous abonner sur votre plateforme d'écoute préférée, à le noter, le commenter, et je vous lirai avec plaisir, et le partager sur le réseau social de votre choix. Bonne écoute !

  • Speaker #2

    Dans ce premier épisode, je vais parler de nos habitudes et la résistance que nous avons à les changer. Avant d'échanger des astuces et d'aller vers notre premier pas, il est important de comprendre ce qui peut être un des freins de ce premier pas justement. Une habitude c'est quoi ? C'est une façon régulière, usuelle de se comporter, d'être, d'agir, etc. Et le changement, c'est une modification de quelque chose. Et qu'on le veuille ou non, nous sommes routiniers et avec des habitudes. Même ceux qui détestent la routine comme moi par exemple. Un exemple d'habitude, celle du petit déjeuner. On a l'habitude. d'en prendre ou pas, de manger tel aliment ou tel autre, de boire du café ou de ne pas en boire, au risque d'être dans le pâté toute la journée. C'est normal, les habitudes ça a un côté rassurant. Ce sont des repères qui rassurent et notamment face au mouvement incessant de la vie et à son instabilité. Nous savons tous très bien que rien n'est acquis dans la vie, tout est mouvement. Alors on s'accroche à ce qui nous apaise, nous fait croire qu'on a du contrôle. La bonne nouvelle c'est qu'avec un peu de patience, toute nouvelle façon de vivre, ou d'agir peut rentrer dans notre routine après quelques jours. Certains disent 21 jours, d'autres quelques mois, peu importe. C'est possible, c'est juste possible. Mais nous résistons au changement, ce qui le rend difficile. Le changement n'est pas douloureux ou difficile, mais c'est la résistance au changement qui l'est. Il n'y a qu'à voir le temps qu'il faut pour que les mentalités changent sur un sujet ou un autre. Et pourtant ce changement se fait dans un processus plus ou moins long, avec plus ou moins de conflits et de douleurs. Alors, quel est le rapport avec l'écologie, notre impact, etc. etc. Ça saute aux yeux. Tout est possible. Tout. Mais nous refusons de changer nos habitudes. Je ne vais peut-être pas vous plaire en disant ça, mais pour beaucoup d'entre nous, nous ne parvenons pas à changer nos habitudes de vie et de consommation pour un tas de raisons, mais surtout des excuses. On ne veut pas sortir de sa zone de confort, on a la flemme. On est pris dans des vies à 100 à l'heure et ça nous semble trop compliqué. On rejette la faute sur les autres, ça, ça arrive souvent. Et il n'y a pas que dans le changement d'habitude. Pourquoi je le ferais alors que les autres ne le font pas ? Est-ce que cela servira vraiment à quelque chose ? Si tout le monde pense comme ça, c'est sûr que rien n'avancera, parce que personne ne veut bouger, avancer, se mouiller, comme on dit, et attend un peu lâchement que ce soit le voisin qui débroussaille le chemin, qui fasse les efforts. Voilà, il est plus facile de remettre en question ce qui est extérieur à soi, plutôt que de prendre du recul sur notre propre attitude. Alors oui, le jet privé du footballeur pro et du président de la République, c'est abusé. Et on me demande à moi de faire des efforts. Eh bien non. J'en ferai pas. Or si, il serait bon d'en faire. C'est totalement juste de remettre en question la façon de vivre des plus riches que soi, mais n'oublions pas que dans ce monde, nous sommes aussi plus riches que certains. Si nous nous comparons aux pays en développement ou pauvres, peu importe comment nous voulons bien les appeler, nous noterons que leur mode de vie du quotidien est beaucoup moins polluant que le nôtre. A chacun sa responsabilité, et le fait qu'ils soient plus pauvres ne les dédouane pas des leurs, mais remettons les choses dans leur contexte et assumons ce qui est vrai. qui nous revient d'assumer. Et pour d'autres humains, dans le monde, nous sommes riches et nous agissons comme des riches. Ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit. Je ne remets pas en question la pauvreté et la précarité de certaines personnes en France, ce qui est réel. Je dis simplement qu'il y a beaucoup plus pauvres dans le monde et que pour eux, nous avons des privilèges de riches. Alors sûrement que s'ils avaient le même niveau de vie que nous, ils agiraient de la même manière. Car la pauvreté limite en quelque sorte. On ne peut pas se payer de billets d'avion, on ne peut pas manger de la viande tous les jours, on ne peut pas se payer des vacances, un toit sur la tête etc. Mais si nous étions aussi riches qu'un joueur de foot, par exemple, peut-être utiliserions-nous un jet privé pour faciliter nos déplacements. La vérité, c'est que le problème n'est pas là. Il est dans l'idée de se poser deux minutes et de se demander Est-ce que j'ai réellement besoin de ça dans ma vie ? Est-ce que me payer une première classe et m'organiser pour avoir un vol qui corresponde à mon planning n'est pas mieux que de choisir un jet privé ? Et sans parler du joueur de foot, Est-ce que je peux éliminer ce déplacement en avion par l'utilisation du train ou une visioconférence, etc. ? Ce que je veux dire, c'est que si chacun se rejette la balle, nous n'avancerons pas. Pour impulser ce changement, la solution est de comprendre ce que l'on fait, notre façon d'agir, puis se fixer un ou des objectifs et passer à l'action. L'action, pour moi, détruit toutes les peurs, les excuses, les prises de tête, etc. Et puis finalement, nos grands-parents n'avaient pas de mode de vie aussi destructif que ce que nous avons aujourd'hui. Alors peut-être qu'ils n'avaient pas les mêmes moyens financiers. Vu qu'on a vu que la pauvreté limite. On nous a inculqué cette façon de vivre dans l'enfance. Les industriels et leur marketing qui crée un besoin. Et c'est aussi pour cela que c'est difficile de le modifier, parce que cela fait partie de notre éducation. Je ne dis pas qu'il faut revenir en arrière et que c'était mieux avant, mais certaines façons de faire des générations passées peuvent être remises au goût du jour. Pour résumer simplement, il est important de comprendre ce qui peut être un frein pour franchir notre premier pas. Nous avons du mal à changer nos habitudes de consommation actuelles car nous nous trouvons des excuses, nous manquons d'organisation, d'objectifs pour passer à l'action. Nous attendons que cela vienne d'ailleurs. Pourtant, en tant que consommateur, nous avons le pouvoir de faire évoluer les choses. Si tout le monde fait un effort, cela fonctionnera. Alors la réflexion du jour, c'est êtes-vous prêt à cela ? Êtes-vous prêt ? à remettre en question votre fonctionnement et de passer à l'action. Je vous laisse réfléchir sur la question, vous pouvez m'écrire un commentaire. A bientôt pour le prochain épisode.

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    Je suis Delphine, fondatrice de la marque cosmétique Greenence. Bienvenue sur mon podcast qui aide à rendre le monde meilleur et où ensemble nous abordons comment améliorer au quotidien notre impact sur notre planète. Si vous ne savez pas comment vous y prendre ou par où commencer, alors vous êtes au bon endroit. Si cela vous plaît et afin de soutenir le podcast, N'hésitez pas à vous abonner sur votre plateforme d'écoute préférée, à le noter, le commenter, et je vous lirai avec plaisir, et le partager sur le réseau social de votre choix. Bonne écoute !

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    Dans ce premier épisode, je vais parler de nos habitudes et la résistance que nous avons à les changer. Avant d'échanger des astuces et d'aller vers notre premier pas, il est important de comprendre ce qui peut être un des freins de ce premier pas justement. Une habitude c'est quoi ? C'est une façon régulière, usuelle de se comporter, d'être, d'agir, etc. Et le changement, c'est une modification de quelque chose. Et qu'on le veuille ou non, nous sommes routiniers et avec des habitudes. Même ceux qui détestent la routine comme moi par exemple. Un exemple d'habitude, celle du petit déjeuner. On a l'habitude. d'en prendre ou pas, de manger tel aliment ou tel autre, de boire du café ou de ne pas en boire, au risque d'être dans le pâté toute la journée. C'est normal, les habitudes ça a un côté rassurant. Ce sont des repères qui rassurent et notamment face au mouvement incessant de la vie et à son instabilité. Nous savons tous très bien que rien n'est acquis dans la vie, tout est mouvement. Alors on s'accroche à ce qui nous apaise, nous fait croire qu'on a du contrôle. La bonne nouvelle c'est qu'avec un peu de patience, toute nouvelle façon de vivre, ou d'agir peut rentrer dans notre routine après quelques jours. Certains disent 21 jours, d'autres quelques mois, peu importe. C'est possible, c'est juste possible. Mais nous résistons au changement, ce qui le rend difficile. Le changement n'est pas douloureux ou difficile, mais c'est la résistance au changement qui l'est. Il n'y a qu'à voir le temps qu'il faut pour que les mentalités changent sur un sujet ou un autre. Et pourtant ce changement se fait dans un processus plus ou moins long, avec plus ou moins de conflits et de douleurs. Alors, quel est le rapport avec l'écologie, notre impact, etc. etc. Ça saute aux yeux. Tout est possible. Tout. Mais nous refusons de changer nos habitudes. Je ne vais peut-être pas vous plaire en disant ça, mais pour beaucoup d'entre nous, nous ne parvenons pas à changer nos habitudes de vie et de consommation pour un tas de raisons, mais surtout des excuses. On ne veut pas sortir de sa zone de confort, on a la flemme. On est pris dans des vies à 100 à l'heure et ça nous semble trop compliqué. On rejette la faute sur les autres, ça, ça arrive souvent. Et il n'y a pas que dans le changement d'habitude. Pourquoi je le ferais alors que les autres ne le font pas ? Est-ce que cela servira vraiment à quelque chose ? Si tout le monde pense comme ça, c'est sûr que rien n'avancera, parce que personne ne veut bouger, avancer, se mouiller, comme on dit, et attend un peu lâchement que ce soit le voisin qui débroussaille le chemin, qui fasse les efforts. Voilà, il est plus facile de remettre en question ce qui est extérieur à soi, plutôt que de prendre du recul sur notre propre attitude. Alors oui, le jet privé du footballeur pro et du président de la République, c'est abusé. Et on me demande à moi de faire des efforts. Eh bien non. J'en ferai pas. Or si, il serait bon d'en faire. C'est totalement juste de remettre en question la façon de vivre des plus riches que soi, mais n'oublions pas que dans ce monde, nous sommes aussi plus riches que certains. Si nous nous comparons aux pays en développement ou pauvres, peu importe comment nous voulons bien les appeler, nous noterons que leur mode de vie du quotidien est beaucoup moins polluant que le nôtre. A chacun sa responsabilité, et le fait qu'ils soient plus pauvres ne les dédouane pas des leurs, mais remettons les choses dans leur contexte et assumons ce qui est vrai. qui nous revient d'assumer. Et pour d'autres humains, dans le monde, nous sommes riches et nous agissons comme des riches. Ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit. Je ne remets pas en question la pauvreté et la précarité de certaines personnes en France, ce qui est réel. Je dis simplement qu'il y a beaucoup plus pauvres dans le monde et que pour eux, nous avons des privilèges de riches. Alors sûrement que s'ils avaient le même niveau de vie que nous, ils agiraient de la même manière. Car la pauvreté limite en quelque sorte. On ne peut pas se payer de billets d'avion, on ne peut pas manger de la viande tous les jours, on ne peut pas se payer des vacances, un toit sur la tête etc. Mais si nous étions aussi riches qu'un joueur de foot, par exemple, peut-être utiliserions-nous un jet privé pour faciliter nos déplacements. La vérité, c'est que le problème n'est pas là. Il est dans l'idée de se poser deux minutes et de se demander Est-ce que j'ai réellement besoin de ça dans ma vie ? Est-ce que me payer une première classe et m'organiser pour avoir un vol qui corresponde à mon planning n'est pas mieux que de choisir un jet privé ? Et sans parler du joueur de foot, Est-ce que je peux éliminer ce déplacement en avion par l'utilisation du train ou une visioconférence, etc. ? Ce que je veux dire, c'est que si chacun se rejette la balle, nous n'avancerons pas. Pour impulser ce changement, la solution est de comprendre ce que l'on fait, notre façon d'agir, puis se fixer un ou des objectifs et passer à l'action. L'action, pour moi, détruit toutes les peurs, les excuses, les prises de tête, etc. Et puis finalement, nos grands-parents n'avaient pas de mode de vie aussi destructif que ce que nous avons aujourd'hui. Alors peut-être qu'ils n'avaient pas les mêmes moyens financiers. Vu qu'on a vu que la pauvreté limite. On nous a inculqué cette façon de vivre dans l'enfance. Les industriels et leur marketing qui crée un besoin. Et c'est aussi pour cela que c'est difficile de le modifier, parce que cela fait partie de notre éducation. Je ne dis pas qu'il faut revenir en arrière et que c'était mieux avant, mais certaines façons de faire des générations passées peuvent être remises au goût du jour. Pour résumer simplement, il est important de comprendre ce qui peut être un frein pour franchir notre premier pas. Nous avons du mal à changer nos habitudes de consommation actuelles car nous nous trouvons des excuses, nous manquons d'organisation, d'objectifs pour passer à l'action. Nous attendons que cela vienne d'ailleurs. Pourtant, en tant que consommateur, nous avons le pouvoir de faire évoluer les choses. Si tout le monde fait un effort, cela fonctionnera. Alors la réflexion du jour, c'est êtes-vous prêt à cela ? Êtes-vous prêt ? à remettre en question votre fonctionnement et de passer à l'action. Je vous laisse réfléchir sur la question, vous pouvez m'écrire un commentaire. A bientôt pour le prochain épisode.

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Dans cet épisode on touche un peu au développement personnel, en réfléchissant sur ce qui nous bloque pour avancer vers une société plus proche de la réalité et de la nature.


Nous pouvons nous retrouver sur instagram: https://www.instagram.com/greenence_cosmetic


Bonne écoute!


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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  • Speaker #0

    Bienvenue sur le podcast The Green Attitude.

  • Speaker #1

    Je suis Delphine, fondatrice de la marque cosmétique Greenence. Bienvenue sur mon podcast qui aide à rendre le monde meilleur et où ensemble nous abordons comment améliorer au quotidien notre impact sur notre planète. Si vous ne savez pas comment vous y prendre ou par où commencer, alors vous êtes au bon endroit. Si cela vous plaît et afin de soutenir le podcast, N'hésitez pas à vous abonner sur votre plateforme d'écoute préférée, à le noter, le commenter, et je vous lirai avec plaisir, et le partager sur le réseau social de votre choix. Bonne écoute !

  • Speaker #2

    Dans ce premier épisode, je vais parler de nos habitudes et la résistance que nous avons à les changer. Avant d'échanger des astuces et d'aller vers notre premier pas, il est important de comprendre ce qui peut être un des freins de ce premier pas justement. Une habitude c'est quoi ? C'est une façon régulière, usuelle de se comporter, d'être, d'agir, etc. Et le changement, c'est une modification de quelque chose. Et qu'on le veuille ou non, nous sommes routiniers et avec des habitudes. Même ceux qui détestent la routine comme moi par exemple. Un exemple d'habitude, celle du petit déjeuner. On a l'habitude. d'en prendre ou pas, de manger tel aliment ou tel autre, de boire du café ou de ne pas en boire, au risque d'être dans le pâté toute la journée. C'est normal, les habitudes ça a un côté rassurant. Ce sont des repères qui rassurent et notamment face au mouvement incessant de la vie et à son instabilité. Nous savons tous très bien que rien n'est acquis dans la vie, tout est mouvement. Alors on s'accroche à ce qui nous apaise, nous fait croire qu'on a du contrôle. La bonne nouvelle c'est qu'avec un peu de patience, toute nouvelle façon de vivre, ou d'agir peut rentrer dans notre routine après quelques jours. Certains disent 21 jours, d'autres quelques mois, peu importe. C'est possible, c'est juste possible. Mais nous résistons au changement, ce qui le rend difficile. Le changement n'est pas douloureux ou difficile, mais c'est la résistance au changement qui l'est. Il n'y a qu'à voir le temps qu'il faut pour que les mentalités changent sur un sujet ou un autre. Et pourtant ce changement se fait dans un processus plus ou moins long, avec plus ou moins de conflits et de douleurs. Alors, quel est le rapport avec l'écologie, notre impact, etc. etc. Ça saute aux yeux. Tout est possible. Tout. Mais nous refusons de changer nos habitudes. Je ne vais peut-être pas vous plaire en disant ça, mais pour beaucoup d'entre nous, nous ne parvenons pas à changer nos habitudes de vie et de consommation pour un tas de raisons, mais surtout des excuses. On ne veut pas sortir de sa zone de confort, on a la flemme. On est pris dans des vies à 100 à l'heure et ça nous semble trop compliqué. On rejette la faute sur les autres, ça, ça arrive souvent. Et il n'y a pas que dans le changement d'habitude. Pourquoi je le ferais alors que les autres ne le font pas ? Est-ce que cela servira vraiment à quelque chose ? Si tout le monde pense comme ça, c'est sûr que rien n'avancera, parce que personne ne veut bouger, avancer, se mouiller, comme on dit, et attend un peu lâchement que ce soit le voisin qui débroussaille le chemin, qui fasse les efforts. Voilà, il est plus facile de remettre en question ce qui est extérieur à soi, plutôt que de prendre du recul sur notre propre attitude. Alors oui, le jet privé du footballeur pro et du président de la République, c'est abusé. Et on me demande à moi de faire des efforts. Eh bien non. J'en ferai pas. Or si, il serait bon d'en faire. C'est totalement juste de remettre en question la façon de vivre des plus riches que soi, mais n'oublions pas que dans ce monde, nous sommes aussi plus riches que certains. Si nous nous comparons aux pays en développement ou pauvres, peu importe comment nous voulons bien les appeler, nous noterons que leur mode de vie du quotidien est beaucoup moins polluant que le nôtre. A chacun sa responsabilité, et le fait qu'ils soient plus pauvres ne les dédouane pas des leurs, mais remettons les choses dans leur contexte et assumons ce qui est vrai. qui nous revient d'assumer. Et pour d'autres humains, dans le monde, nous sommes riches et nous agissons comme des riches. Ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit. Je ne remets pas en question la pauvreté et la précarité de certaines personnes en France, ce qui est réel. Je dis simplement qu'il y a beaucoup plus pauvres dans le monde et que pour eux, nous avons des privilèges de riches. Alors sûrement que s'ils avaient le même niveau de vie que nous, ils agiraient de la même manière. Car la pauvreté limite en quelque sorte. On ne peut pas se payer de billets d'avion, on ne peut pas manger de la viande tous les jours, on ne peut pas se payer des vacances, un toit sur la tête etc. Mais si nous étions aussi riches qu'un joueur de foot, par exemple, peut-être utiliserions-nous un jet privé pour faciliter nos déplacements. La vérité, c'est que le problème n'est pas là. Il est dans l'idée de se poser deux minutes et de se demander Est-ce que j'ai réellement besoin de ça dans ma vie ? Est-ce que me payer une première classe et m'organiser pour avoir un vol qui corresponde à mon planning n'est pas mieux que de choisir un jet privé ? Et sans parler du joueur de foot, Est-ce que je peux éliminer ce déplacement en avion par l'utilisation du train ou une visioconférence, etc. ? Ce que je veux dire, c'est que si chacun se rejette la balle, nous n'avancerons pas. Pour impulser ce changement, la solution est de comprendre ce que l'on fait, notre façon d'agir, puis se fixer un ou des objectifs et passer à l'action. L'action, pour moi, détruit toutes les peurs, les excuses, les prises de tête, etc. Et puis finalement, nos grands-parents n'avaient pas de mode de vie aussi destructif que ce que nous avons aujourd'hui. Alors peut-être qu'ils n'avaient pas les mêmes moyens financiers. Vu qu'on a vu que la pauvreté limite. On nous a inculqué cette façon de vivre dans l'enfance. Les industriels et leur marketing qui crée un besoin. Et c'est aussi pour cela que c'est difficile de le modifier, parce que cela fait partie de notre éducation. Je ne dis pas qu'il faut revenir en arrière et que c'était mieux avant, mais certaines façons de faire des générations passées peuvent être remises au goût du jour. Pour résumer simplement, il est important de comprendre ce qui peut être un frein pour franchir notre premier pas. Nous avons du mal à changer nos habitudes de consommation actuelles car nous nous trouvons des excuses, nous manquons d'organisation, d'objectifs pour passer à l'action. Nous attendons que cela vienne d'ailleurs. Pourtant, en tant que consommateur, nous avons le pouvoir de faire évoluer les choses. Si tout le monde fait un effort, cela fonctionnera. Alors la réflexion du jour, c'est êtes-vous prêt à cela ? Êtes-vous prêt ? à remettre en question votre fonctionnement et de passer à l'action. Je vous laisse réfléchir sur la question, vous pouvez m'écrire un commentaire. A bientôt pour le prochain épisode.

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