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Marketing Square : Les secrets Growth Marketing ⚡️

379. N'ayez plus jamais peur de perdre des abonnés !

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06min |22/04/2024
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🤓Autres épisodes
L'article d'Andreesen Horovitz "100 real fans"

Vous allez aimer :

Chapitre 1 - Comment créer du meilleur contenu ? #1. Le Positionnement 

Chapitre 2 - Comment créer du meilleur contenu ? #2. L'audit
Chapitre 3 - Comment créer du meilleur contenu ? #3. Définir son objectif
Chapitre 4 - Comment créer du meilleur contenu ? #4. Définir ses KPIs


   

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    Marketing Square Des vidéos verticales prêtes à poster. C'est spécialement pour te faire décoller sur LinkedIn, Instagram, TikTok, YouTube et consorts. Génère des leads en continu et deviens incontournable dans ton secteur. En un mois et demi, l'agence personnelle m'a fait gagner 50 000 followers sur mes réseaux sociaux. Alors viens t'asseoir et laisse les meilleurs s'occuper du reste. Rendez-vous dans la description pour postuler, mais ne tarde pas trop, chaque promo a des places limitées. Bonjour à tous et bienvenue dans ce nouvel épisode de Marketing Square. Aujourd'hui, je fais écho à un post que j'ai fait sur LinkedIn un peu par hasard, où je réagissais à chaud à une créatrice de mon réseau qui me disait Mais en fait, tu mets des trucs assez perso sur Insta qui sont pas du tout du marketing, du genre je fais la collection des chaussures abandonnées dans la rue. Et j'ai une rubrique sur mon Instagram qui s'appelle Sale soirée et dès que je vois une chaussure perdue dans la rue, je la prends en photo. c'est hyper bizarre mais c'est un truc que je trouve rigolo et que je fais depuis mon ancienne vie à New York et j'ai pas changé et elle me dit est-ce que t'as pas peur en fait en mettant des trucs comme ça que personne comprend est-ce que t'as pas peur de perdre des abonnés Et c'est pas la première fois que j'entends ce mythe comme quoi perdre des abonnés, en fait, c'est mal. Aujourd'hui, on en fait un synonyme d'échec parce que finalement, notre preuve sociale, notre crédibilité, on l'attribue beaucoup au nombre d'abonnés qu'on a sur les réseaux sociaux. Donc évidemment, il y a le nombre d'abonnés, il y a aussi le taux d'engagement qu'on a. Et puis, il y a aussi, est-ce qu'on a le fameux badge bleu ou pas ? Est-ce qu'on est top voice sur LinkedIn ? Est-ce qu'on est vérifié sur Instagram ? En gros, aujourd'hui, quand on perd un abonné, c'est un peu comme si on perdait du chiffre d'affaires ou des points de bonne conduite ou des points sur son permis. Pourquoi est-ce que vous auriez peur de perdre des gens qui, de toute façon, ne vous aiment pas vraiment ? La comparaison que je donne souvent, c'est est-ce que tu préfères un seul vrai ami ou cinq faux frères ? Et c'est un peu pareil que ces anniversaires qui, parfois, sont hyper tristes où on voit que les gens invitent une centaine de personnes et derrière, l'ambiance est bien moindre qu'une table avec cinq vrais amis. Dans un registre plus contemporain, Paul Graham disait aussi Mieux vaut 100 personnes qui t'aiment vraiment que 1000 qui t'aiment un petit peu Et d'ailleurs, il a été prouvé qu'on pouvait monétiser des toutes petites audiences. Je vous invite à vous renseigner sur la théorie des 100 vrais fans qui a été documentée par Andriy Senorovits. Cette théorie explique que les créateurs n'ont pas besoin d'une très large audience pour vivre, ils ont juste besoin d'une audience de vrais fans. Ceux qui seraient capables d'acheter tout ce qui vient de ce créateur parce qu'en fait, non seulement ça leur est utile et aussi potentiellement ils ont envie d'encourager ce créateur. Vous n'avez pas besoin d'aller chercher 1000 vrais fans parce que déjà avec 100 vrais fans, vous avez la possibilité, sur un panier moyen de 100 dollars par fan, d'arriver déjà à 100 000 euros par an. Je vous mettrai le lien de cette théorie géniale dans les ressources de l'épisode. La deuxième raison pour laquelle il ne faut pas courir bêtement après les followers, c'est le corps. Si vous voulez durer sur les réseaux, commencez par vous écouter. Selon une étude de Georgia Tech, les utilisateurs de médias sociaux qui posent sur des sujets qui les passionnent vraiment ont 1,5 fois plus de chances de rester actifs sur la plateforme après 6 mois. Le plaisir est contagieux, tout comme les énergies positives. Faites ce qui vous plaît, soyez alignés et la bobine est chéra. Et enfin, maintenant qu'on a parlé du cœur et du corps, parlons de la tête. Même au niveau business, ce qui fait la vraie valeur d'une audience, ce n'est pas la taille de celle-ci, c'est l'engagement. D'ailleurs, en vérité, personne ne regarde des abonnés à part toi, et deux, trois personnes qui font fausse route à aller chercher de la gloire pas chère. Aujourd'hui, le vrai indicateur de rockstar, c'est le taux d'engagement. Et si vous cherchez la définition de l'engagement, j'en ai fait un épisode du Glossaire, je vous le glisse dans les ressources de cet épisode. Une étude de 2020 de Mark Hurley a montré que les comptes Instagram avec moins de 1000 abonnés ont un taux d'engagement moyen de 8%, tandis que ceux de 1000 à 10 000 abonnés ont un taux d'engagement de 4% seulement, autrement dit moitié moins. Imaginez sur les comptes de 10 000 abonnés et plus. Vous l'avez compris, à la fois en termes de cœur, d'authenticité, de corps, de longévité et d'endurance, et de tête, avec le retour sur investissement et le revenu business, vous n'avez aucun intérêt à faire la course aux abonnés. En vérité, il faut combattre deux croyances qui nous bouffent la vie sur les réseaux sociaux. La première, c'est que plus on est nous-mêmes, moins on nous aime. Et ce sentiment-là, il nous gangrène. Ça fait qu'en entreprise, souvent, on porte un costume trop serré pour nous et on passe à côté de nos principales qualités. Le nombre de fois où j'ai dîné, déjeuné avec un collègue en me disant Mais en fait, il est hyper drôle ! ou En fait, il a vraiment du talent là-dedans ! Mais tout simplement parce que les gens n'osent pas montrer leur vraie couleur parce que souvent, ça dérange quand on colorie un peu en dehors des lignes ou quand, tout simplement, on n'est pas conforme et uniforme. Pourtant si on regarde ceux qui percent, ceux qui fonctionnent, c'est toujours ceux qui sont le plus alignés et surtout ceux qui n'ont pas peur. La deuxième croyance limitante, justement, c'est plus on se dévoile, plus on est fragile. Et ça, c'est encore une grosse bêtise, parce que c'est l'inverse. On est fort quand on est aligné, on est fort quand on se sent soi et qu'on sait qu'on a à rougir de rien. Un des trucs les plus vrais que j'entends sur les réseaux sociaux, c'est on s'en fiche des haters quand on poste que des choses qu'on pense vraiment. Si vous vous posez la question Dois-je publier ce post ? posez-vous juste la question Est-ce que je le pense vraiment ? Si vous le pensez vraiment, vous n'aurez aucun problème pour le défendre. Vous l'avez compris au terme de cet épisode, c'est tout l'inverse. Plus on est nous-mêmes, plus on attire les bonnes personnes. Être soi va créer un filtre extraordinaire. Et si vous voulez vraiment construire une marque personnelle, vous devez vous en foutre qu'on se désabonne. Le principe même de la marque personnelle, c'est qu'on vous apprécie pour qui vous êtes, avec vos maladresses, vos étourderies et même vos blagues nulles. Alors, qui voudra encore des followers après cet épisode ? Si vous connaissez quelqu'un qui a toujours peur de poster pour ne pas perdre d'abonnés, ou qui n'ose jamais dire ce qu'il pense vraiment pour ne pas décevoir les gens, envoyez-lui cet épisode. Comme on dit chez moi, il n'y a plus qu'à. Et à bientôt pour un nouvel épisode. Ciao ! Si cet épisode te plaît, tu peux le partager en me taguant ou lui laisser 5 étoiles sur Apple Podcasts.

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Et j'ai une rubrique sur mon Instagram qui s'appelle Sale soirée et dès que je vois une chaussure perdue dans la rue, je la prends en photo. c'est hyper bizarre mais c'est un truc que je trouve rigolo et que je fais depuis mon ancienne vie à New York et j'ai pas changé et elle me dit est-ce que t'as pas peur en fait en mettant des trucs comme ça que personne comprend est-ce que t'as pas peur de perdre des abonnés Et c'est pas la première fois que j'entends ce mythe comme quoi perdre des abonnés, en fait, c'est mal. Aujourd'hui, on en fait un synonyme d'échec parce que finalement, notre preuve sociale, notre crédibilité, on l'attribue beaucoup au nombre d'abonnés qu'on a sur les réseaux sociaux. Donc évidemment, il y a le nombre d'abonnés, il y a aussi le taux d'engagement qu'on a. Et puis, il y a aussi, est-ce qu'on a le fameux badge bleu ou pas ? Est-ce qu'on est top voice sur LinkedIn ? Est-ce qu'on est vérifié sur Instagram ? En gros, aujourd'hui, quand on perd un abonné, c'est un peu comme si on perdait du chiffre d'affaires ou des points de bonne conduite ou des points sur son permis. Pourquoi est-ce que vous auriez peur de perdre des gens qui, de toute façon, ne vous aiment pas vraiment ? La comparaison que je donne souvent, c'est est-ce que tu préfères un seul vrai ami ou cinq faux frères ? Et c'est un peu pareil que ces anniversaires qui, parfois, sont hyper tristes où on voit que les gens invitent une centaine de personnes et derrière, l'ambiance est bien moindre qu'une table avec cinq vrais amis. Dans un registre plus contemporain, Paul Graham disait aussi Mieux vaut 100 personnes qui t'aiment vraiment que 1000 qui t'aiment un petit peu Et d'ailleurs, il a été prouvé qu'on pouvait monétiser des toutes petites audiences. Je vous invite à vous renseigner sur la théorie des 100 vrais fans qui a été documentée par Andriy Senorovits. Cette théorie explique que les créateurs n'ont pas besoin d'une très large audience pour vivre, ils ont juste besoin d'une audience de vrais fans. Ceux qui seraient capables d'acheter tout ce qui vient de ce créateur parce qu'en fait, non seulement ça leur est utile et aussi potentiellement ils ont envie d'encourager ce créateur. Vous n'avez pas besoin d'aller chercher 1000 vrais fans parce que déjà avec 100 vrais fans, vous avez la possibilité, sur un panier moyen de 100 dollars par fan, d'arriver déjà à 100 000 euros par an. Je vous mettrai le lien de cette théorie géniale dans les ressources de l'épisode. La deuxième raison pour laquelle il ne faut pas courir bêtement après les followers, c'est le corps. Si vous voulez durer sur les réseaux, commencez par vous écouter. Selon une étude de Georgia Tech, les utilisateurs de médias sociaux qui posent sur des sujets qui les passionnent vraiment ont 1,5 fois plus de chances de rester actifs sur la plateforme après 6 mois. Le plaisir est contagieux, tout comme les énergies positives. Faites ce qui vous plaît, soyez alignés et la bobine est chéra. Et enfin, maintenant qu'on a parlé du cœur et du corps, parlons de la tête. Même au niveau business, ce qui fait la vraie valeur d'une audience, ce n'est pas la taille de celle-ci, c'est l'engagement. D'ailleurs, en vérité, personne ne regarde des abonnés à part toi, et deux, trois personnes qui font fausse route à aller chercher de la gloire pas chère. Aujourd'hui, le vrai indicateur de rockstar, c'est le taux d'engagement. Et si vous cherchez la définition de l'engagement, j'en ai fait un épisode du Glossaire, je vous le glisse dans les ressources de cet épisode. Une étude de 2020 de Mark Hurley a montré que les comptes Instagram avec moins de 1000 abonnés ont un taux d'engagement moyen de 8%, tandis que ceux de 1000 à 10 000 abonnés ont un taux d'engagement de 4% seulement, autrement dit moitié moins. Imaginez sur les comptes de 10 000 abonnés et plus. Vous l'avez compris, à la fois en termes de cœur, d'authenticité, de corps, de longévité et d'endurance, et de tête, avec le retour sur investissement et le revenu business, vous n'avez aucun intérêt à faire la course aux abonnés. En vérité, il faut combattre deux croyances qui nous bouffent la vie sur les réseaux sociaux. La première, c'est que plus on est nous-mêmes, moins on nous aime. Et ce sentiment-là, il nous gangrène. Ça fait qu'en entreprise, souvent, on porte un costume trop serré pour nous et on passe à côté de nos principales qualités. Le nombre de fois où j'ai dîné, déjeuné avec un collègue en me disant Mais en fait, il est hyper drôle ! ou En fait, il a vraiment du talent là-dedans ! Mais tout simplement parce que les gens n'osent pas montrer leur vraie couleur parce que souvent, ça dérange quand on colorie un peu en dehors des lignes ou quand, tout simplement, on n'est pas conforme et uniforme. Pourtant si on regarde ceux qui percent, ceux qui fonctionnent, c'est toujours ceux qui sont le plus alignés et surtout ceux qui n'ont pas peur. La deuxième croyance limitante, justement, c'est plus on se dévoile, plus on est fragile. Et ça, c'est encore une grosse bêtise, parce que c'est l'inverse. On est fort quand on est aligné, on est fort quand on se sent soi et qu'on sait qu'on a à rougir de rien. Un des trucs les plus vrais que j'entends sur les réseaux sociaux, c'est on s'en fiche des haters quand on poste que des choses qu'on pense vraiment. Si vous vous posez la question Dois-je publier ce post ? posez-vous juste la question Est-ce que je le pense vraiment ? Si vous le pensez vraiment, vous n'aurez aucun problème pour le défendre. Vous l'avez compris au terme de cet épisode, c'est tout l'inverse. Plus on est nous-mêmes, plus on attire les bonnes personnes. Être soi va créer un filtre extraordinaire. Et si vous voulez vraiment construire une marque personnelle, vous devez vous en foutre qu'on se désabonne. Le principe même de la marque personnelle, c'est qu'on vous apprécie pour qui vous êtes, avec vos maladresses, vos étourderies et même vos blagues nulles. Alors, qui voudra encore des followers après cet épisode ? Si vous connaissez quelqu'un qui a toujours peur de poster pour ne pas perdre d'abonnés, ou qui n'ose jamais dire ce qu'il pense vraiment pour ne pas décevoir les gens, envoyez-lui cet épisode. Comme on dit chez moi, il n'y a plus qu'à. Et à bientôt pour un nouvel épisode. Ciao ! Si cet épisode te plaît, tu peux le partager en me taguant ou lui laisser 5 étoiles sur Apple Podcasts.

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En gros, aujourd'hui, quand on perd un abonné, c'est un peu comme si on perdait du chiffre d'affaires ou des points de bonne conduite ou des points sur son permis. Pourquoi est-ce que vous auriez peur de perdre des gens qui, de toute façon, ne vous aiment pas vraiment ? La comparaison que je donne souvent, c'est est-ce que tu préfères un seul vrai ami ou cinq faux frères ? Et c'est un peu pareil que ces anniversaires qui, parfois, sont hyper tristes où on voit que les gens invitent une centaine de personnes et derrière, l'ambiance est bien moindre qu'une table avec cinq vrais amis. Dans un registre plus contemporain, Paul Graham disait aussi Mieux vaut 100 personnes qui t'aiment vraiment que 1000 qui t'aiment un petit peu Et d'ailleurs, il a été prouvé qu'on pouvait monétiser des toutes petites audiences. Je vous invite à vous renseigner sur la théorie des 100 vrais fans qui a été documentée par Andriy Senorovits. Cette théorie explique que les créateurs n'ont pas besoin d'une très large audience pour vivre, ils ont juste besoin d'une audience de vrais fans. Ceux qui seraient capables d'acheter tout ce qui vient de ce créateur parce qu'en fait, non seulement ça leur est utile et aussi potentiellement ils ont envie d'encourager ce créateur. Vous n'avez pas besoin d'aller chercher 1000 vrais fans parce que déjà avec 100 vrais fans, vous avez la possibilité, sur un panier moyen de 100 dollars par fan, d'arriver déjà à 100 000 euros par an. Je vous mettrai le lien de cette théorie géniale dans les ressources de l'épisode. La deuxième raison pour laquelle il ne faut pas courir bêtement après les followers, c'est le corps. Si vous voulez durer sur les réseaux, commencez par vous écouter. Selon une étude de Georgia Tech, les utilisateurs de médias sociaux qui posent sur des sujets qui les passionnent vraiment ont 1,5 fois plus de chances de rester actifs sur la plateforme après 6 mois. 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Et si vous voulez vraiment construire une marque personnelle, vous devez vous en foutre qu'on se désabonne. Le principe même de la marque personnelle, c'est qu'on vous apprécie pour qui vous êtes, avec vos maladresses, vos étourderies et même vos blagues nulles. Alors, qui voudra encore des followers après cet épisode ? Si vous connaissez quelqu'un qui a toujours peur de poster pour ne pas perdre d'abonnés, ou qui n'ose jamais dire ce qu'il pense vraiment pour ne pas décevoir les gens, envoyez-lui cet épisode. Comme on dit chez moi, il n'y a plus qu'à. Et à bientôt pour un nouvel épisode. Ciao ! Si cet épisode te plaît, tu peux le partager en me taguant ou lui laisser 5 étoiles sur Apple Podcasts.

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Cette théorie explique que les créateurs n'ont pas besoin d'une très large audience pour vivre, ils ont juste besoin d'une audience de vrais fans. Ceux qui seraient capables d'acheter tout ce qui vient de ce créateur parce qu'en fait, non seulement ça leur est utile et aussi potentiellement ils ont envie d'encourager ce créateur. Vous n'avez pas besoin d'aller chercher 1000 vrais fans parce que déjà avec 100 vrais fans, vous avez la possibilité, sur un panier moyen de 100 dollars par fan, d'arriver déjà à 100 000 euros par an. Je vous mettrai le lien de cette théorie géniale dans les ressources de l'épisode. La deuxième raison pour laquelle il ne faut pas courir bêtement après les followers, c'est le corps. Si vous voulez durer sur les réseaux, commencez par vous écouter. Selon une étude de Georgia Tech, les utilisateurs de médias sociaux qui posent sur des sujets qui les passionnent vraiment ont 1,5 fois plus de chances de rester actifs sur la plateforme après 6 mois. Le plaisir est contagieux, tout comme les énergies positives. Faites ce qui vous plaît, soyez alignés et la bobine est chéra. Et enfin, maintenant qu'on a parlé du cœur et du corps, parlons de la tête. Même au niveau business, ce qui fait la vraie valeur d'une audience, ce n'est pas la taille de celle-ci, c'est l'engagement. D'ailleurs, en vérité, personne ne regarde des abonnés à part toi, et deux, trois personnes qui font fausse route à aller chercher de la gloire pas chère. Aujourd'hui, le vrai indicateur de rockstar, c'est le taux d'engagement. Et si vous cherchez la définition de l'engagement, j'en ai fait un épisode du Glossaire, je vous le glisse dans les ressources de cet épisode. Une étude de 2020 de Mark Hurley a montré que les comptes Instagram avec moins de 1000 abonnés ont un taux d'engagement moyen de 8%, tandis que ceux de 1000 à 10 000 abonnés ont un taux d'engagement de 4% seulement, autrement dit moitié moins. Imaginez sur les comptes de 10 000 abonnés et plus. Vous l'avez compris, à la fois en termes de cœur, d'authenticité, de corps, de longévité et d'endurance, et de tête, avec le retour sur investissement et le revenu business, vous n'avez aucun intérêt à faire la course aux abonnés. En vérité, il faut combattre deux croyances qui nous bouffent la vie sur les réseaux sociaux. La première, c'est que plus on est nous-mêmes, moins on nous aime. Et ce sentiment-là, il nous gangrène. Ça fait qu'en entreprise, souvent, on porte un costume trop serré pour nous et on passe à côté de nos principales qualités. Le nombre de fois où j'ai dîné, déjeuné avec un collègue en me disant Mais en fait, il est hyper drôle ! ou En fait, il a vraiment du talent là-dedans ! Mais tout simplement parce que les gens n'osent pas montrer leur vraie couleur parce que souvent, ça dérange quand on colorie un peu en dehors des lignes ou quand, tout simplement, on n'est pas conforme et uniforme. Pourtant si on regarde ceux qui percent, ceux qui fonctionnent, c'est toujours ceux qui sont le plus alignés et surtout ceux qui n'ont pas peur. La deuxième croyance limitante, justement, c'est plus on se dévoile, plus on est fragile. Et ça, c'est encore une grosse bêtise, parce que c'est l'inverse. On est fort quand on est aligné, on est fort quand on se sent soi et qu'on sait qu'on a à rougir de rien. Un des trucs les plus vrais que j'entends sur les réseaux sociaux, c'est on s'en fiche des haters quand on poste que des choses qu'on pense vraiment. Si vous vous posez la question Dois-je publier ce post ? posez-vous juste la question Est-ce que je le pense vraiment ? Si vous le pensez vraiment, vous n'aurez aucun problème pour le défendre. Vous l'avez compris au terme de cet épisode, c'est tout l'inverse. Plus on est nous-mêmes, plus on attire les bonnes personnes. Être soi va créer un filtre extraordinaire. Et si vous voulez vraiment construire une marque personnelle, vous devez vous en foutre qu'on se désabonne. Le principe même de la marque personnelle, c'est qu'on vous apprécie pour qui vous êtes, avec vos maladresses, vos étourderies et même vos blagues nulles. Alors, qui voudra encore des followers après cet épisode ? Si vous connaissez quelqu'un qui a toujours peur de poster pour ne pas perdre d'abonnés, ou qui n'ose jamais dire ce qu'il pense vraiment pour ne pas décevoir les gens, envoyez-lui cet épisode. Comme on dit chez moi, il n'y a plus qu'à. Et à bientôt pour un nouvel épisode. Ciao ! Si cet épisode te plaît, tu peux le partager en me taguant ou lui laisser 5 étoiles sur Apple Podcasts.

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