- Speaker #0
Bienvenue sur Happy Body Land, aujourd'hui je suis heureuse de recevoir Jean Joyeux, donc je vais vous le présenter un petit peu et puis après on va le faire parler. Donc Jean Joyeux, tu es micronutritionniste, diététicien, enseignant en nutrition à l'école Nutrition Holistique à Genève depuis à peu près 10 ans. Alors pour les non-initiés, l'approche holistique ça signifie prendre en compte l'aspect physique, mais aussi l'aspect émotionnel, mental et social d'un individu. Elle met l'accent sur la prévention des maladies et l'importance des différentes méthodes, notamment celles qui favorisent le bien-être, au lieu de traiter uniquement les symptômes de manière isolée. Jean, tu es donc formateur dans cette école de nutrition, tu es aussi consultant et animateur de webinaires. Pour le côté anecdotique, tu es le fils du professeur Henri Joyeux. Je suis obligée d'en parler un petit peu pour situer en tout cas la référence. Pour ceux qui n'ont pas la connaissance, Jean Joyeux... Henri Joyeux, ton père, est un médecin professeur en chirurgie oncologique qui est reconnu dans le monde entier pour ses travaux en matière de nutrition et de prévention des cancers. Il a notamment travaillé sur le bien-être, l'alimentation déséquilibrée et le lien avec la santé. C'est ce qu'on appelle aussi la nutrithérapie. Et il prône notamment la suppression de pas mal de produits comme les produits industriels. Et on va dire qu'il invite à une consommation plus importante de produits naturels, non transformés et donc riches en fruits. légumes et donc en fibres de manière générale. Donc ton père il est connu pour ses nombreux ouvrages qui mettent en avant ses recherches et ses connaissances mais aussi ses prises de parole en public. En tout cas moi c'est comme ça que je l'ai connu sur une conférence youtube et sa position sur les produits animaux et notamment sur les produits laitiers, une position qui est assez tranchée en lien avec bien sûr toutes ses études. Donc voilà il nous parle de tous ces produits et de leur impact sur la santé. digestives notamment mais pas que, parce qu'il parle aussi de cancer, de maladies inflammatoires etc. Bref, j'ai envie de dire tu as de qui tenir et les chiens ne font pas des Ausha, parce que mine de rien tu as pris un petit peu la voie en tout cas avec une façon bien à toi de développer ensuite le sujet de la nutrition. Alors j'ai vraiment le plaisir en fait de t'accueillir sur ce live Happy Body, alors ce qui est rendu possible grâce à un ami, on lui fait un petit clin d'œil, donc notre ami commun Anthony qui nous a mis en relation et on le remercie pour ça vraiment. parce que nos premiers échanges ont été hyper riches. On a tous les deux, on est très animés, très passionnés par le sujet de la nutrition. Donc, c'est vraiment un plaisir d'échanger. Et je te remercie vraiment de prendre le temps de répondre à mes questions aujourd'hui. Donc, le but de ce live, c'est de te permettre de transmettre un maximum d'informations, de manière générale, bien sûr. On ne va pas faire du cas par cas, mais pour informer la communauté des Happy Borders, donc ma petite communauté qui cherche à mieux manger et qui se pose vraiment... beaucoup de questions parce qu'on entend beaucoup de choses, des infos et des intox. Donc, ce n'est pas facile de faire le point. On va essayer justement de faire un petit peu le point là-dessus, et de se mettre d'accord sur des grandes lignes. Donc, Jean, bien sûr, je te remercie d'être là, de prendre de ton temps, de ton précieux temps pour répondre à ces questions. Et avant de te poser tout un tas de questions, j'aimerais savoir si tu veux compléter ma présentation, peut-être en rajoutant des informations, ou en nous disant un petit peu. un petit peu plus sur toi, sur ton parcours, tout ça, tout ça.
- Speaker #1
C'est vrai que j'ai beaucoup été inspiré par les agrégations, il y a eu des agrégations, il y a eu des agrégations, dans les années 90, il y a eu des agrégations, et des souvenirs assez précis, j'étais haut comme bio, et puis des études, et puis des murs. Il parlait, j'étais vraiment gamin, où il expliquait que, par exemple, il y avait en épidémiologie, on repérait qu'il y avait plus de cancers, notamment du coudeur du rétrovirus, qui faisait partie du cancer très généraliste, mais beaucoup à bord du thorax. Et donc, en chirurgie générale, il y avait beaucoup de problèmes. La situation ne s'est pas vraiment arrangée. Mais on voyait que dans les pays du nord de l'Europe, dans le reste de l'Europe, il y avait une incidence qui était plus forte, il n'y avait plus de cas. Et il disait que les épidémologies sont liées à des défauts dans l'alimentation. Ça m'a marqué, c'est vraiment très ancien, et si la mémoire est bonne, ça doit repartir à 1985. Donc ce n'est pas que le jeune. Et ça a un peu mouliné après. J'ai fait un cours d'études en biologie, je vais dire, j'ai fait des études médicales. J'ai recommencé à m'y mettre. C'est difficile à passer avec des réels populaires. Donc j'ai fait 5 années de médecine en Italie. il se passait à autre chose et je suis revenu à la nutrition, ce que la médecine n'aurait probablement pas permis de faire dans la médecine. Donc je n'ai pas été un étudiant spécialement particulier, mais il y a eu un moment où j'ai un peu de passion, et j'ai produit ce livre en italien. Et ensuite, je rentrais dans le domaine de la micronutrition. Dans ces années, j'ai commencé à exercer comme indépendant. J'ai travaillé dans le domaine de la nutrition. J'ai fait des micronutrition, j'ai validé le BTS des éthiques. Et après, le fait de faire de l'information au grand public, ça nécessite d'être à jour sur ce qui se publie, ce qui se publie. et faire de la formation culture nutritionniste plus encore. Il faut être à jour, surtout quand on n'est pas dans les domaines reconnus officiellement. On fait de la diététique, on suit la formation diététique, la littérature diététique, les pratiques en jambes et cités, très peu dans les boutons de référence. Alors que quand je travaille pour produire une journée de course, c'est après une semaine de travail en amont. Tout de suite pour les mises à jour, on va voir un petit peu. d'apports de travail régulièrement pour mettre ça en place. Je l'amène, en fait, je l'amène, que la littérature scientifique s'amène avec des programmes qui sont plus importants. Il faut deux publications qui aillent dans le même centre pour créer un plus de monde scientifique et qu'une fois que le consensus scientifique est obtenu, ce qui est plutôt une évidence, ça peut être polémique, il va falloir en faire. 15 à 17 ans pour que le monde médical commence à l'appliquer, et peut-être plus encore pour que ça devienne un usage même recommandé par les autorités de santé. Donc ça peut être très bien. Il faut faire attention que il y a un peu de discours au niveau de la nutrition santé, mais il y a le discours très diététique axé sur les calculs de calories, de masse, de calories, etc. Et puis ensuite, il y a une vision beaucoup plus fonctionnelle de la chose qui n'exclut pas l'éponge avec la diététique, au contraire. mais qui s'attache beaucoup plus à l'importance de ce que cet aliment va avoir, les technologies, le type de réaction, la physiologie, la métabolique, la biochimie, etc., auxquelles ils vont participer, et c'est très complexe. Ça demande d'avoir des connaissances qui sont relativement pointues. Et cette approche fonctionnelle, en fait, c'est une approche qui, forcément, à un moment ou à un autre, va toucher à une vision plus... parce que, vous comprenez, on va rentrer sur l'approche fonctionnelle. et qu'on regarde les études épidémiologiques, on regardait une qui a été sortie il y a peu près un an, sur les effets par exemple de la consommation de la consommation de la consommation de la consommation de la consommation. Il y a 35 effets négatifs qui ont été répertoriés dans cette étude qui a été publiée dans le British Medical Journal, une très belle étude épidémiologique, et qui fait des liens avec des troubles de la santé mentale, de la santé métabolique, de la santé mentale. Et donc on se rend compte que quand on est dans un modèle alimentaire pauvré en nutriments, il y a des effets néfastes. d'un point de vue de l'état de l'éthique des personnes, et ça peut favoriser, pour les gens qui sont considérés comme une maladie, pas mal de pathologies neurologiques. Donc en fait, on se rend compte qu'il faut vraiment beaucoup plus se focaliser sur une approche fonctionnelle et culturelle de l'expression, avant même d'aller regarder une fonction énergétique, qui est une hypothèse maintenant qui est devenue clairement insuffisante.
- Speaker #0
Justement, tant qu'on est encore dans les sujets de métier diététicien, micronutritionniste, est-ce que tu peux nous expliquer un petit peu la différence et pourquoi tu as rajouté des cordes à ton arc ?
- Speaker #1
Un micronutritionniste, c'est quelqu'un qui, normalement, a suivi une formation en micronutrition. Il a fait un université en micronutrition et j'ai fait le délire. À l'époque, ce type de... On pouvait y accéder soit en médecin ou en ayant validé un bac. On a pu accéder à ce type d'enseignement. Dans la même période, j'enseignais pour les paramédicaux non médecins. Donc, il y avait aussi une proposition pour conseils en offre, qui n'ont pas été maintenus, parce que les machines ont pu pouvoir renouveler un peu leur technique en donnant des conseils à tous. C'est ce qui est fait. dans pas mal de situations même à l'échelle des lignes je dirais on regarde le nouveau donc le micro question permis de faisait encore ce que j'avais travaillé de mon côté les fonctions des différentes micro nutriments l'importance de l'équipe pour micronutritionnel ou de l'intervention de certains micro-nutrients prioritaire dans certains cas dans le but Donc la micronutrition, c'est vraiment cette nutrition, c'est un régime. La micronutrition, c'est une paire de lunettes, c'est-à-dire, c'est pas la lunette d'éclairerie, c'est la lunette fonctionnelle. Et c'est vraiment, résolument, et vous le savez, parce que le sujet m'intéressait, j'étais très branché sur le sport et j'étais mon mémoire de la préventoire, la plaisanteur de ce comportement en nutrition, à micronutrition. qui ont bien aidé à travailler aussi. Et puis ensuite, avant le Covid, j'étais en train de travailler sur la mise en place d'un projet avec un ami neurologue, et puis avec la collaboration diabétologue, et puis le groupe d'actifs du Partenariat. Mais pour... en milieu hospitalier, et aussi le podcast qui me tournait dans la tête depuis un bon moment, j'ai voulu compléter avec la formation de diététicien. Donc, j'ai pu faire valoir des équivalences, mais il a fallu bien évidemment faire le stage hospitalier, faire le stage de l'hôpital, tout ça, ce qui a été passionnant, parce que j'ai rencontré des personnes géniales, des personnes passionnées par leur métier, qui n'avaient pas forcément la même vision du poste que moi, mais qui en même temps, s'étaient retrouvées sur un point commun, c'est qu'ils n'avaient qu'une vie,
- Speaker #2
c'était une vie.
- Speaker #1
Et ça, je pense qu'on ne valorise pas suffisamment. On a plutôt un peu ce moment tendance à voir les polémiques. Alors qu'en fait, il y a des choses toutes simples pour aller se mettre d'accord. C'est qu'il faut relativiser, individualiser. J'aimerais bien suivre encore d'autres formations, mais comme j'ai plus un rôle de formateur que de formé, c'est pas évident. Mais je fais énormément de bibliographie et ça permet quand même de se mettre à propos de ces liens sur pas mal de thèmes.
- Speaker #0
Ça va vite. En ce moment, la recherche va très vite, donc il faut se tenir à jour. Alors justement, le fait d'avoir choisi cette voie, j'ai envie de dire la nutrition de manière générale, est-ce que ça correspond à une sorte de mission de vie pour toi ou est-ce que ça nourrit certaines de tes valeurs ? Pourquoi c'est important pour toi ?
- Speaker #1
Il y a une conviction, on allait dire que j'ai une mission. Je ne sais pas si je le vois véritablement comme ça, mais je me sens bien là-dedans. Je me détourne même avec la fatigue. C'est une vie à goûter aussi, une vie de famille, bien oublié. On a tous des soucis qui peuvent nous demander pas mal d'énergie. J'arrive toujours, il y a des fois, je m'arrive en début de journée, je me dis comment je vais faire pour donner mes 8 heures de cours. Et quand j'ai fini, j'ai toujours le point de l'air, je me dis comment je vais arrêter. C'est vraiment un truc, une vraie passion avec ça. Il a fallu que je développe pour que vraiment, je me détourne. Donc, j'ai une vraie passion pour ça, qui est surtout aussi bien dans l'objectif scientifique que dans l'expérience que j'ai pu avoir en consultation, en accompagnant les étudiants, en accompagnant des personnes en cadre pathologique, en micro-nutrition,
- Speaker #2
en sciences,
- Speaker #1
en autres. J'ai pu voir à quel point la capacité du modèle alimentaire a modulé. L'état de santé est très positif, d'une manière générale. C'est extraordinaire. Surtout quand on parle d'un modèle alimentaire, vraiment très fortement déséquilibré. Ce n'est pas possible de faire des résultats assez stupides.
- Speaker #0
Oui, oui, oui. Et c'est vrai que c'est très méconnu, en tout cas du grand public. Moi, je le vois sur les réseaux sociaux avec mon discours, parce que moi, j'ai soigné mes maladies justement grâce à l'alimentation. Et je vois la réaction des gens qui sont, pour certains, très étonnés de ce lien. entre alimentation et moi-même, il y a 10 ans, quand j'avais 25 ans, j'étais étonnée aussi de voir qu'effectivement, parce que tu ingères différentes choses, ça module ton état de santé. Donc ça, c'est quelque chose finalement qui est un peu nouveau dans l'histoire de la médecine, on peut dire.
- Speaker #1
Est-ce que ça l'est en fin de monde ? Je pense que l'inclusion existe depuis des millénaires. Il parle énormément de l'inclusion. C'est une vision de l'alimentation assez thérapeutique, mais il s'intéressait à tous les cas de figure. Je n'ai pas lu la totalité des contrats, mais je suis allé chercher pas mal de choses. Il en parle beaucoup. C'est une forme d'outil thérapeutique qui revient très régulièrement. On en parle dans la médecine médiévale. dans la médecine, alors, gréco-romaine, il y a des éléments aussi qui sont évoqués dans les papyrus physiquement, je ne sais pas si vous pouvez les appeler comme ça, mais il y a beaucoup de sévères papyrus, il y a beaucoup de choses dedans, et même, d'ailleurs, sur des tables très intérieures encore, sur les calcuniformes des Sumériens ou des Assyriens, je ne sais plus, il peut récaler, c'est pas de la histoire, mais ça revient régulièrement. Ce qui change, c'est les moyens d'études qui ont permis de décrypter ça. Les moyens d'études ont énormément évolué sur les dernières 90 années. C'est tellement bon. On est en train de changer de paradigme. C'est vraiment important.
- Speaker #2
Oui,
- Speaker #1
mais qui a déjà depuis longtemps atteint ses limites. On se rend compte qu'il y a des situations dans lesquelles le comptage de caloriques ne fait pas votre domaine. En fait, ce comptage des calories, c'est quelque chose qui a commencé à être mis en place avec Lavoisier, depuis 1760, quand on a fini sur la guillotine, le garçon, il avait fait des choses avec les moyens de l'époque. Donc, il a créé la calorimétrie, et ensuite, cette calorimétrie a évolué, et elle a été, je dirais, affinée et diffusée à l'époque de Water, donc sous du 9e, et ensuite, on a eu ses héritiers, donc, les bénéfices techniques. On travaillait beaucoup sur la calorimétrie. Mais à cette époque-là, on ne savait rien du tout. Donc, on a vu que le moyen chimique était très peu développé et on a commencé à comprendre qu'il y avait des toutes unités particulières qui, quand on les eut prémées, pouvaient provoquer l'hypertisme, l'infertilité, etc. Et progressivement, en commençant par séparer les principes actifs gras de ceux qui ne l'étaient pas, et de plus en plus, on a commencé à trouver des vitamines. Mais on a encore du boulot sur les vitamines. Il faut savoir que la vitamine K, la vitamine D, il y a encore énormément de découvertes qui ont été faites assez récemment. Et la vitamine D, vous avez beaucoup de gens qui aujourd'hui vont dire que la vitamine D, c'est pour la solidité osseuse. Ils contribuent de façon indirecte parce que, au vu de la population, c'est un petit, petit, petit pourcentage de la totalité de ces rôles. Elle a des rôles beaucoup focalisés sur la modulation des gènes. Ce qu'on ne dit pas suffisamment, c'est que la vitamine D est une dérive du cholestérol. et la vie sur la molécule et l'expression des gènes de l'immunité qui est très importante pour l'immunité et pour l'inflammation on a des découvertes d'une étude qui a été publiée notamment à Nîmes avec l'obligation médicale à temps pour ça des cas de maladies auto-immunes avec des effets assez intéressants donc ça évolue encore beaucoup et ça veut dire que la vision fonctionnelle est en pleine croissance. Et donc, il y a fortement un moment où elle va finir par dominer tuyau lorraine, mais c'est normal dans la nature où on est, où les premières vitamines ont dû être séquencées aux alentours des années 30. C'est l'objet de plusieurs prix Nobel, en Grèce, je crois, en Allemagne, pas mal, aux Etats-Unis. c'est normal que dans un bouleversement c'est justement par rapport au
- Speaker #0
aux formations, donc là j'entends, je ne sais pas, une formation de diététicien, nutritionniste, je mets un peu tout le monde dans le même panier, on va dire, est-ce qu'elles sont toutes mises à jour ? Est-ce que ces contenus de formation sont tous mis à jour ? Parce que toi, tu fais en tant que formateur le travail de recherche et vraiment de mise à jour, comme tu l'as dit, de bibliographie par rapport à ce qui se passe au fur et à mesure que ça se passe. Est-ce que c'est le cas pour toutes les formations à l'heure actuelle ?
- Speaker #1
Je ne pense pas. Je ne pense pas. Moi, je n'ai pas le choix, en fait. Je suis fondateur dans une société privée. Les sociétés privées sont très, très encadrées sur la société. Il y a des organismes créditeurs qui ne laissent pas ce qui est enseigné dans le programme. Ils imposent une partie du programme, c'est-à-dire qu'il y a un programme qui a fait le bon moment. d'autre part aussi parce que et et qui est repris de façon fiable par le programme. Je pense que ce que je raconte peut être un petit peu des réactions. d'étonnement, de surprise, voire d'incompréhension par rapport à ce qui est habituellement proclamé dans les formations en public. Voilà. Je ne sais pas vraiment le quoi. Il faut que je sois avec vous, il faut que je sois ici, il faut que j'ai des études, il faut que je sélectionne bien, il faut que je sois capable aussi d'accepter de lire des études. Moi, je voudrais aller. Peut-être que le projet d'avis, ça m'est déjà arrivé, c'est normal. d'études ont produit un point de vue mais c'est pour la nuit entre le le lecture sur la tic sont beaucoup moins évolué mais je pense que c'est une formation est reconnu il ya un cahier des Déjà, il y a, je ne sais plus comment on appelle ça... Il y a des attendus dans les différentes unités d'entraînement, et je pense qu'il y a toujours, dans un cursus qui est officiel, il y a une certaine inertie dans le projet. Je pense que ce n'est pas forcément aussi simple qu'on le pense, de le faire bouger. Je me garderais bien d'aller donner des leçons à qui que ce soit, sur les faits ou pas faits. Mais ce qu'il y a de certain, c'est qu'on a beaucoup, beaucoup, beaucoup, beaucoup de la vision de la nutrition plantée, et il y a beaucoup de diététiciens qui se sont... en tant que publication dépendante. Le problème, c'est que tout le monde ne sait pas forcément aller les chercher. Peut-être que l'intelligence artificielle, elle va justement à l'austérité, mais ça demande du temps. Tu dis, tout le monde n'a pas forcément besoin de se faire des publications. Moi, c'est mon métier.
- Speaker #0
Ça, parce que j'ai, par exemple, une diététicienne en ce moment qui m'a dit que le lien avec l'industrie, donc les produits industriels, n'est pas forcément prouvé. son impact sur la santé mentale, alors que tu viens d'en parler en plus de cette méta-analyse, il me semble, qui justement, qui prouve, je crois que ça regroupe 43 ou 53 études différentes, et qui prouve justement que les produits industriels ont un impact sur le côté neurotoxique, enfin sont neurotoxiques pour le cerveau, et je me demandais, je me disais, voilà, est-ce que les contenus sont mis à jour ? Donc la réponse, c'est pas forcément, en fait, c'est ça la réponse, et en plus, il faut chercher aussi, soit, une fois qu'on est formé, il faut continuer à s'informer.
- Speaker #1
C'est sûr, c'est sûr. Lire des publications scientifiques, ce n'est pas une évidence. Il faut avoir des notions métriques, des notions métriques, des notions métriques, des notions métriques. Il ne doit pas forcément être bon, c'est une évidence. Et il peut y avoir un petit peu de manipulation intellectuelle, parce qu'il y a des conflits d'intérêts, c'est comme ça, ça n'arrange pas l'industrie à l'heure alimentée. soit ils vont autoriser comme ils l'ont fait depuis il y a déjà bien longtemps, ça date de 2013, où donc la nucléie du sucre autorise des études qui ont fait recopier la faute du caractère de l'obésité et des maladies cardiovasculaires sur les personnes en situation de stress. Un truc qui est, voilà, c'est posé, c'est là. c'est un peu fait le bruit que ça aurait dû faire, mais c'est une réalité, et donc des conflits d'intérêts qui existent, qui sont là, et on a des études épidébiologiques, savoir lire entre les lignes, c'est-à-dire qu'on va faire des liens qui sont des liens de cause à crime, des liens d'association. Donc on ne dit pas, tel modèle alimentaire contient des trucs qui sont neurotoxiques ou autres, donc c'est un petit peu comme chez les géolites, il faut peser les mots, mais on voit que la consommation a une fréquence plus élevée... de ces produits-ci ultra transformés, et tous les spécialistes sont d'accord là-dessus, ça ne vaut rien de la manière générale. Mais on voit l'impact d'un point de vue cardiovasculaire, métabolique, psychologique, psychiatrique. Donc, on a des symptômes très différents, on peut avoir des augmentations de la symptomatologie de certaines pathologies psychiatriques, c'est-à-dire un petit peu, on voit ça notamment dans les troubles de l'attention, des déficits de l'attention et de l'hyperméctivité. on peut même l'observer chez des gamins, des gamins qui sont TDAH, on leur donne du sucre, ça les fait exploser. Ça les fait exploser. Donc, ça veut dire que le sucre n'est pas autoxique ? Non, ça ne veut pas dire ça. Ça veut dire qu'une mauvaise utilisation de sucre et une sensibilité individuelle particulière peuvent avoir ce genre d'effet-là. Voilà, donc on va toujours aborder les causes en faisant une vraie différence entre des liens de cause à effet et des liens d'association addictique. Donc là, on est de l'épidémiologie, et en épidémiologie, c'est pas le niveau de trêve le plus élevé pour réussir à avoir un niveau de trêve. il faudra des méthodologies contre placebo, etc. C'est du moins le sens dont les poses sont présentées. Donc on va avoir des liens d'association qui vont être évoqués avec une... ...plus ou moins forte. Il y a une étude sur le... Je ne vais pas la commenter parce que ça serait trop... ...et puis compliqué. Il faudrait que je prenne un peu de temps dessus. Mais il y a des niveaux de preuves qui peuvent être modérés, bas ou très bas. Et en épidémiologie... la plupart du temps, au mieux, ce qu'on obtiendra, c'est des niveaux de preuve considérés comme hauts, mais c'est déjà beaucoup. C'est déjà beaucoup. Voilà, ça, c'est sûr.
- Speaker #0
Merci pour ces éclaircissements. Alors, quand on parle de santé et d'alimentation en 2025, pour toi, si tu devais résumer, entre guillemets, dans le monde occidental, il est où le problème ? C'est une question terrible.
- Speaker #1
Il est où le problème ? C'est une question. Je pense qu'il y a un... de simplification de la question. On a tendance à nous faire des raccourcis et il y a des personnes qui ne veulent pas ça, le réductionnisme. On réduit beaucoup les choses. Il y en a qui aiment bien parce qu'on dit on simplifie pour que les gens accèdent mieux à la connaissance. Le problème, c'est que si c'est simplifié pour en plus raccourcir des choses qui sont comprécises et qui cultivent le flou, ça devient limite le simple. Par exemple, la glycémie, c'est le taux de glucose sanguin. Vous allez me dire que le glucose, c'est un truc... Non, non, non, c'est pas la même chose, parce que quand vous mangez du fructose, le fructose vous fait présenter votre glycémie, vous allez avoir une transformation, etc. Donc ça, c'est aussi des connaissances psychologiques qui permettent de se rendre compte à un moment qu'on donne des définitions. Il est trop fructose. C'est très fructose. C'est très fructose.
- Speaker #2
C'est très fructose.
- Speaker #1
C'est très fructose. C'est très fructose. de l'amidon. c'est des glucose accrochés les uns aux autres et très rapidement guérir et apporter surtout si on est libre avec c'est un des problèmes donc ce réductionnisme il est dangereux parce que il empêche de voir certaines choses il laisse planer un peu le groupe voilà donc on peut voir ça par exemple ayant une vision un peu coupier-collé de la nutrition, tellement tel aliment, qui contient tel aliment, telle série ou famille de nutriments, qui donc les absorbe. Non, ce n'est pas vrai. Pourquoi ce n'est pas vrai ? Parce que ça ne va pas à travers une passoire. La barrière intestinale, c'est un tissu hautement spécifique, ce sont des cellules trop spécialisées, et ces cellules ont été des fonctions d'une grande complexité. C'est un phénomène d'absorption. C'est étrayé, c'est régulé de façon active. Du coup, si on a une quantité de nucléaire supérieure à ce nombre de récepteurs, c'est là qu'il va y avoir une partie qui va briser dans l'estomac, dans le colon et qui va générer des pollulations. Qui peut générer des...
- Speaker #0
des syndromes si je comprends bien chaque nutriment quand on parle de sucre ou de fruits chaque type de nutriment n'est pas assimilé de la même manière dans le corps et encore moins chez tout le monde déjà il n'est pas digéré de la même façon et en plus il n'est pas absorbé de la même façon. Par exemple, digérer les graisses, on va avoir besoin d'une quantité de bile plus ou moins importante. Quand on mange des graisses saturées, on a besoin de moins de bile, c'est une caractéristique des produits laitiers, des graisses des animaux de terre, c'est une portée nécessaire. C'est une graisse qui nécessite peu de bile, alors que quand on mange du poisson, quand on prend du lait, Merci. on a besoin de plus de bile. Donc, le plus d'avoir besoin de la bile, c'est surtout de savon pour émulsionner les graisses et pour qu'il n'y passe du panthéâtre sur la digestion. Donc, même la lucidité des protéines, il est beaucoup trop imprédit pour qu'on puisse vraiment regarder sérieusement comment les choses vont être digérées et absorbées. Alors, d'une manière générale, on va tous être très absorbés, on a des gènes qui sont dans les grandes lignes, on va tous digérer les mêmes règles phytologiques. Et là où va se situer la diversité, c'est soit dans un défaut génétique, dans un cadre plus en pathologie, dans une sorte de déficit enzymatique ou autre, qui fait que c'est moins bien, parce qu'il y a des conditions externes, qui peuvent être alimentaires, qui peuvent être psychologiques, qui peuvent être... il y a de problèmes, parce que les déficits ont des effets sur le système digestif, et même sur le sang. C'est une question de l'utilité, et ça c'est du médical. On est bien content de pouvoir bénéficier des antibiotiques pour guérir d'une tuberculose ou d'une pathologie grave. Il ne s'agit pas de dire que ces médicaments ne sont pas forcément bons, c'est l'usage qu'on emprunte qui peut être mauvais, et qui peut avoir d'un côté l'intérêt de sauver la vie de quelqu'un, c'est bien évidemment, et puis de l'autre côté, ce qui a payé, ça peut être d'avoir des troubles digestifs pendant plusieurs années à moins. de façon définitive si on ne fait rien. Donc la mobilité peut être modulée pour beaucoup de choses. Le côté il y a de projet, médicaments, etc. Au ciné, c'est un peu le même. Et le côté psychologique, affectif, etc. Et ça, c'est un aspect qui est extrêmement important quand on travaille sur le modèle alimentaire d'une personne. On touche à son intimité. Et on touche à ses doudous alimentaires, on touche à l'affect, parce que l'alimentation ce n'est pas juste un geste. Je mange aussi pour me défouler, pour me rassurer, pour fêter quelque chose, passer un deuil. Donc c'est un geste qui a une importance qui va très au-delà de la situation nutritionnelle. C'est pour ça que je suis très attaché à une approche intégrative parce qu'on doit prendre ça en compte. C'est vital, ça peut même être ce qui fait tout marcher ou pas. Quand on a un patient qui a un modèle alimentaire gravement vibré. dégradé avec la politique avancée de 10 euros le bon parler tout à l'heure si cette perte de la vie seule et déprécieux au chômage réception l'énergie la disponibilité de d'adopter un modèle est fait je n'y arriverai pas je suis donc je suis dans la vie
- Speaker #1
Oui, et c'est là où c'est aussi pour ça que le coaching de vie, donc moi j'ai été coachée avant de devenir coach de vie, et j'ai été coachée dans une période avant de faire mon rééquilibrage alimentaire. Quand j'ai compris que je devrais supprimer le sucre, le gluten, etc., j'ai d'abord fait un travail de mindset, parce que forcément, je pense qu'on l'a tous fait, on a tous fait des régimes, on peut le faire pendant 3-4 semaines, enfin voilà, on arrête de manger un truc, ou on n'en mange plus, ou... C'était OK, mais moi, je reprenais à chaque fois. Donc, j'avais bien compris qu'il y avait une histoire émotionnelle, psychologique, bien sûr, derrière toute cette histoire d'alimentation. Et c'est vrai que toutes les approches, le coaching de vie en fait partie parce que c'est très holistique. On prend en compte tout ce qu'il y a chez la personne. Quand quelqu'un arrive avec un objectif de perte de poids, on ne va pas juste regarder ce qu'il y a dans son assiette. On va le regarder, mais on va se demander, se poser toutes les questions, comme tu disais, sur le côté mental, émotionnel, social, etc. Parce que c'est... interlié et souvent on mange nos émotions, on le dit, et puis on mange aussi en société avec nos proches, avec notre famille et c'est eux qui nous génèrent le plus d'émotions. Donc il y a aussi toute cette enclave sociale. Donc voilà, je suis bien d'accord avec toi. Tu as parlé de réductionnisme en termes de problèmes, par rapport à le problème un petit peu à l'heure actuelle, donc les gens qui font des parallèles finalement un peu trop accélérés sur certaines informations. Qu'est-ce que tu penses aussi des intox ? Parce que moi vraiment, quand j'ai commencé à chercher Merci. à essayer de me documenter, et je suis partie de zéro, parce que je précise, je reprécise, je ne suis pas du métier ni nutritionniste, ni médecin, ni rien du tout, j'ai halluciné un petit peu sur le nombre, même d'articles scientifiques, qui vont dire un truc, et puis l'autre va dire exactement l'inverse, et je ne te parle même pas des réseaux sociaux, parce que maintenant, c'est le florilège d'un pot divers et varié, qu'est-ce que tu penses de ça ?
- Speaker #0
C'est le jeu de... Il y a des spécialistes de la littérature.
- Speaker #2
Alors,
- Speaker #0
il y a une pourcentage qui disait, il y a quelques temps, en théorie,
- Speaker #2
80%
- Speaker #0
permettent la double. C'est fertile quand tu m'as dit ça. C'est vrai que ça, mais il faut être conscient. Pour faire de la recherche, il faut avoir des finances. Les finances de l'État, ce n'est pas le sujet qu'on peut compter. Donc, c'est finalement, en général, il va être... il y a peut-être des atouts qui permettent de pas croire qu'il y a tels et tels intérêts derrière. Mais parfois, ils ne se cachent pas tellement.
- Speaker #2
Donc,
- Speaker #0
ça fait partie des choses qu'il faut aller vérifier. On voit, par exemple, qu'on observe des études indépendantes sur les dépôts. Il n'y en a qu'une qui a des conclusions positives. Ce sont des études qui sont autorisées par le monde de l'industrie en voie alimentaire. Je ne sais pas si on peut appeler ça des lobbies, mais c'est un peu ça. qui est affiné à des structures d'édulcorants, aux propriétaires de l'échelle mondiale des édulcorants, on a toujours des effets positifs, mais parfois, il y a une interprétation des données un peu particulière, tout un des résultats qui vont dans ce sens, et vous êtes capable de lire effectivement tout ce qui est produit.
- Speaker #2
En fait,
- Speaker #0
quand on perd une étude qui vous dit « Mance les merveilles de telle ou telle famille d'aliments » la première chose à regarder c'est le nombre d'intérêts, s'il y en a ça veut pas dire qu'il faut être de la bonne, ça veut dire qu'il faut être attention, qu'il y a de la branle en paix, et ensuite pour décrypter ça, basse-t-elle une connaissance en physiologie, en biochimie, en biochimie, etc. qui vont vous permettre de faire le trip en fait. Donc quand on vous dit par exemple qu'une association directe entre le bouclier de nutriments et l'héthylutérant ils se retrouvent dans le tissu, voilà, bien simplement, voilà. Non,
- Speaker #2
c'est simple.
- Speaker #0
Il va falloir qu'il y ait quelque chose de la digestion, cette digestion sélective, donc c'est pas arrivé comme ça. 48 heures, le cœur des tissus, c'est très simpliste. Mais c'est vrai qu'on peut trouver tout le temps le contraire, selon les personnes qui parlent. Ça peut être très évident que c'est de la manipulation intellectuelle, si on connaît des sources de physiologie, biologie cellulaire,
- Speaker #2
etc.
- Speaker #0
Et d'un autre côté... ça peut avoir l'air d'être totalement honnête, scientifique, etc. pour une personne qui n'a pas ces notions-là. Et on n'est pas tous obligés de faire de la biologie, d'avoir ce que c'est que le type de grepse, la bioénergétique cellulaire, le mitochondrie, etc. Donc c'est ça qui est difficile, c'est-à-dire que la capacité de discernement est très hétérogène selon les personnes.
- Speaker #1
C'est vrai que moi, ça m'a poussé. Après, je fais partie des gens qui s'énervent quand ils ne savent pas. C'est pour ça que j'ai fait une prépa scientifique pour comprendre le mot mitochondrie. On l'entendait beaucoup dans les écrits, dans ce que je pouvais lire. Donc, ça m'a un petit peu énervée et j'ai voulu savoir un peu par fierté, par égo. Mais c'est que bénef dans ce sens-là.
- Speaker #0
Par curiosité aussi.
- Speaker #1
Oui, par curiosité aussi. L'envie de savoir et de maîtriser. Quand je dis maîtriser, je mets des guillemets. Mais un minimum, le sujet pour savoir. Même quand on me disait cellule. J'avais envie de savoir déjà qu'est-ce que c'est exactement une cellule, comment elle fonctionne, quoi ça ressemble. Mais bon, il y a plein de personnes, et je comprends aussi qu'elles n'ont pas le temps, l'énergie, voire même l'argent de se former comme ça. Est-ce que tu recommandes de vérifier, est-ce qu'on peut vérifier soi-même justement les sources des articles scientifiques, des choses comme ça ?
- Speaker #0
Ce n'est pas facile.
- Speaker #1
Ce n'est pas facile.
- Speaker #0
Ce n'est pas facile. On peut trouver des articles de grand public qui ont l'air d'être très bien écrits avec des systèmes scientifiques, mais ce qui n'est pas le cas. on peut faire une confirmation, on confirme ce qu'on pense, du coup le papier aura beaucoup moins d'heures. Après, peut-être que c'est un point de déclin, on va prendre la réalité scientifique et que le papier est bon, mais ça peut aller dans un temps où c'est tout évident. Et dans le grand public, réussir à décliner ça, c'est à la limite de l'imposté. C'est vraiment compliqué. Dans le cursus à l'école de nutrition éthique, je donne une journée de formation sur ce sujet-là, de la lecture critique d'articles comme ça enseigné en médecine, mais basé les données sur ce qui est reconnu officiellement dans la politique mondiale comme les références du niveau de preuve scientifique. Donc j'ai basé le cours là-dessus et donc plein de travail de méthodologie et c'est, je dirais, avoir un minimum de base pour faire la différence. de qualité et un article qui va dire, peut-être un peu complaisant avec un point de vue plutôt que d'un autre.
- Speaker #1
Alors, entre le réductionnisme, les infos, les intox, les conflits d'intérêts, etc., c'est une réalité quand même 2025. Qu'est-ce que tu essayes, toi, justement, de transmettre, on va dire de manière générale, c'est une question un peu générale, à tes clients, à tes étudiants, mais aussi à tes enfants face à cette réalité de 2025 ?
- Speaker #0
Très vaste question. Je réfléchis en pédagogue. C'est une personne qui est culte, et c'est vrai pour la plupart des médecins, même si malheureusement, ils ne travaillent pas dans des conditions spécifiques.
- Speaker #2
Il y a des patients qui sont en train de se faire enlever,
- Speaker #0
qui ne veulent pas être en train de se faire enlever, parce que c'est difficile d'avoir des rendez-vous, etc. Donc, ce que je garde toujours en tête, c'est la pédagogie. Mais pour être pédagogue,
- Speaker #2
il faut...
- Speaker #0
et les gens et c'est pour ça que j'ai fait ça ils ont certaines choses qui leur plaisent beaucoup et qui ne sont pas difficiles à suivre et à certains moments c'est bien une règle de base de l'alimentation et des cuillères de pieds crudées etc et je leur explique pourquoi je leur explique pourquoi et ça finira c'est toujours j'essaie d'être pédagogue et de leur expliquer que le matin les céréales qui deviennent étuprées qu'il faut aller manger pour avoir de l'énergie toute la journée et qu'on est tendance à vouloir le faire la cellule est capable de débrouiller la cellule, la cellule de remplacement métabolique qui s'appelle néo-glycogénèse qui s'appelle la lipolise toutes ces filières là
- Speaker #2
Merci.
- Speaker #0
parce qu'on aime bien vendre des féculents, du sucre, des produits ultra transformés qui en contiennent beaucoup et qui ne coûtent pas cher et qui sont très rentables. Donc pour se prévenir de ça, parfois il faut tolter du doigt la réalité, se rendre compte que le matin où vous aurez mangé un fruit, une poignée de noix et tous vos bains, vous n'aurez pas de mal à te faire un petit peu de mal à l'heure du matin et une heure et demie de l'après-midi, alors que quand vous mangez à calories équivalentes, le grand bol de café riche en calcium avec les céréales, et c'est avec vitamines voilà et deux heures alors que la qualité de calories et des centaines d'images alors que la dite sur youtube pour que de la cible de l'air et donc là il ya un truc qui est faux qui est dit il faut impérativement avoir dessus Ce n'est pas aussi simple que ça. On ne devrait pas dire du sucre, le sucre c'est le saccharone, on devrait dire des glucides, et encore c'est absolument vrai, heureusement d'ailleurs, parce que comment on aurait fait nos entraînements pour survivre à toutes les famines auxquelles ils ont survécu ? Donc on a des filières de secours métaboliques qui permettent de produire de l'énergie à partir d'autres substrates glucosides. Et on est même capable de refabriquer du glucose, c'est ce qu'on appelle la néoglucogénèse. Ce qui est important, c'est de maintenir un taux de glucose sanguin qui est très bas pour que le cerveau puisse avoir ce qu'il a besoin, mais le cerveau ne se tient pas au glucose. Il a besoin de... Mais il est capable de se nourrir de ce qui est important. Ce n'est pas des découvertes qui datent d'avant-hier.
- Speaker #2
C'est des choses qui sont plus à l'extérieur.
- Speaker #0
On ne peut pas exagérer l'importance du sucre. et même le PNL c'est revenu là-dessus, la version 2019 a beaucoup fait reculer le sucre et les féculents. Pour les féculents, ils disent que c'est selon le volume d'activité physique que vous avez, et si vous êtes sédentaire, le besoin est très réduit.
- Speaker #1
Il y a la dépense énergétique qui est hyper importante et à prendre en compte. Le cuisiner maison pour toi, c'est important, essentiel, faisable ?
- Speaker #0
C'est assez vital. Après, il faut regarder les niveaux. C'est-à-dire qu'on a des personnes qui n'aiment pas cuisiner. Elles peuvent peut-être faire un effort, il y en a d'autres pas du tout, elles devront avoir les trucs, les choses. En général, les gens qui demandent à être accompagnés en tutelle, c'est carrément un peu bien. Donc, cuisiner, il y a se faire manger, avoir une promotion de la composition, savoir... comment les bons assemblages pour la savane c'est déjà la base les déduire c'est la base je n'aurai jamais cette prétention là après il faut aussi C'est possible. Il y a, depuis le fond des années 90, début des années demi, avec l'étude de Lyon,
- Speaker #2
avec des pinotines,
- Speaker #0
on a des graisses. En ce moment, on a des graisses, comme ça, ça fait grossir, mais en fait, on sait que ce n'est pas aussi binaire que ça. Il y a des graisses qui favorisent la pétroloie, c'est plutôt les graisses saturées, et il y a des graisses qui favorisent la régulation métabolique, qui ne sont pas utilisées à des fins électroniques, qui ne sont pas touchées dans le tissu alimentaire. qui permettent de faire des membranes, de la connectique au niveau du cerveau, qui sont utilisées pour faire des messagers de régulation de l'implantation. Vous n'allez pas prendre un gramme, vous allez avoir une touche de poids, c'est mieux, et vous ne prendrez pas un gramme, vous allez peut-être même perdre du poids en mangeant plus de gras. En fait, on se rend compte qu'il ne faut pas manger moins gras, il faut manger mieux gras et peut-être plutôt plus gras. Parce que c'est des graisses à cétogène.
- Speaker #1
C'est vrai que ça revient souvent, parce que moi je travaille aussi forcément avec des gens qui veulent perdre du poids. Et c'est quelque chose, par exemple, quand je leur dis manger des oléagineux, manger des fruits à coque, etc., ou de l'avocat, ou de l'huile de noix, etc., souvent, ce qu'on me répond, c'est « oui, mais ça, ça va me faire grossir » . Oui, mais parce que le mot « gras » , on a mis tous les gras dans le même panier. En fait, c'est ce que tu disais tout à l'heure, le réductionnisme, c'est ça ?
- Speaker #0
C'est du coup décollé. C'est-à-dire, je mange du gras, je le pop dans du gras. Ce qu'il faut savoir, et ça, ça fait très longtemps qu'on le sait aussi, c'est que les membranes cellulaires de tout le monde... dont certains animaux sont fabriqués à partir de matières premières qui sont lipidiques, c'est des fossos lipides. Donc ces fossos lipides, c'est la base de construction de nos cellules et qu'il y a certains tissus qui, quand on enlève l'eau, c'est le cas du tissu nerveux qui contient des protéines, des fossants béton. Quand on enlève l'eau du tissu nerveux, ce qui reste, c'est beaucoup de matière grasse. Donc le gras a une importance structurelle monumentale. Absolument monumentale.
- Speaker #1
Si je te demande une liste un peu succincte des bons gras ?
- Speaker #0
Les bons gras, ça va être les acides gras polyinsaturés qui ne sont pas juste des bons gras, c'est plus que ça, c'est des gras essentiels. On en a besoin physiologiquement. Donc on a besoin d'avoir des oméga-3, on a besoin d'avoir des oméga-3 et des oméga-10. Après, il ne faut pas avoir non-oméga-10, on a besoin d'avoir un peu plus d'oméga-10 que d'oméga-3, on peut avoir
- Speaker #2
2, 3, 4,
- Speaker #0
5. en général, au-delà de cette type de temps, on commence à voir pendant plus d'années, mais vous savez que dans le modèle alimentaire, on a des rapports qui peuvent être plus d'oméga-3. Donc là, c'est très propre. Donc les oméga-3 et les oméga-6, il faut les deux, mais il faut, je vous le dis, augmenter les apports en oméga-3. pour le moment. Les respirations d'huile d'olive sont consommées. Et le PNNS le dit, le Parlement national de la santé 2019, ils disent qu'il faut manger plus d'olive. Il faut enlever au moins une à deux poignées tous les jours. Ensuite, les huiles d'olive sont très très bonnes pour la santé. Les publications, c'est tellement nombreuses que ça compte sur ce type de clinique. Et vous, vous allez forcément prendre du poids à cause de l'huile d'olive. Il faut enlever ce que vous mettez avec. Et ensuite, et des huiles comme l'huile de coca, d'oméga 3, avec un bon équilibre entre les cités des trois, donc on pourrait parler des huiles de bois, des huiles de cabine, des huiles de chambre aussi. Voilà, et il y a des griffes correspondantes évidemment, qui vont participer aux apports d'oméga 3 végétaux, et ensuite il y a les huiles de coca,
- Speaker #2
huile de pène, huile de chimique,
- Speaker #0
donc on trouvera davantage, soit dans les deux, c'est très intéressant de voir ce qui se passe,
- Speaker #2
c'est le premier du clip.
- Speaker #0
de façon à une consommation éventuellement rebondable dans la durée de la vie au sein de la portion de sa santé. Indépendamment du risque lié au mercure, etc. C'est deux fois par semaine. Ce qui est excellent dans le produit, c'est la cardiovasculaire, neurovasculaire, etc.
- Speaker #1
Et les oméga-9 ?
- Speaker #0
Les oméga-9, ce n'est pas les acides gras essentiels, mais ils ont un intérêt. Il faut être attentif à ne pas dire L'huile d'olive, c'est des oméga-9. L'huile de colza, c'est des oméga-3. La noix, c'est des oméga-3. En fait, on a toujours un cocktail très variable selon les huiles, selon les oléagineux. Donc, dans l'huile d'olive, on aura beaucoup d'oméga-9. On aura un peu d'oméga-3 et pas d'oméga-3. Dans l'huile de colza, on aura 8% d'oméga-3. On aura 2,5 fois plus d'oméga-3. Le reste, c'est des oméga-9. Et on a des polyphénols, on a de la vitamine E, donc des intégrales essentielles,
- Speaker #2
mais qui sont...
- Speaker #0
...de l'inflation. Les oméga-9, ils sont pas considérés comme essentiels parce qu'on a la capacité de... ...mêmes, mais les sources d'oméga-9, notamment les huiles végétales, sont... ...pas mal d'autres choses, comme notamment la vitamine E, qui est en polyphénol en certain rapport. Et il faut savoir que la vitamine... qui est un anti-oxydant gras et super hyper intéressant pour l'alimentation anti-inflammatoire, dans la prévention de pathologies pathologiques. Et puis même dans la plupart du monde, cette pathologie-là, c'est une très prévention qui ne se met absolument pas en concurrence avec les médicaments.
- Speaker #2
Enfin,
- Speaker #0
ça peut aider à améliorer la réduction.
- Speaker #1
Ok, merci déjà pour ces infos sur les gras.
- Speaker #0
On ne va pas parler des omégas-têtes, mais... physiologiques aussi, ils ne sont pas considérés comme essentiels non plus. Peut-être que ça évoluera dans les prochaines années, mais pour l'instant, il n'y a rien qui va dans ce sens-là. Mais en tout cas, ça rentre dans les graisses insaturées. Donc, oméga-3, 6, 7 et 9, c'est les graisses insaturées, et toutes sont considérées comme potes pour la santé. Celles qui sont considérées comme les plus nocives, c'est les graisses trans. Les graisses trans industrielles, parce qu'il y a un peu de trans dans les produits laitiers,
- Speaker #2
mais qui ne sont pas essentiels.
- Speaker #0
Et c'est les graisses saturées en provenance. C'est-à-dire qu'on a porté... un peu, ce n'est pas gênant, en apporter pour ne pas manquer d'un traturet, là, ça commence à faire orienter la balance dans le mauvais sens. Mais il faut bien clairement dire que pour prendre du poids, il faut une alimentation qui favorise la production d'insuline, donc nécessairement avant tout, c'est un truc.
- Speaker #1
C'est important à prendre en compte. OK. On a parlé du gras. On va parler, j'ai envie de t'emmener sur le sujet des végétaux. Et on va commencer avec les fruits parce que... C'est quelque chose, alors moi je prône le sans sucre industriel, le sans sucre raffiné, mais forcément cette question revient vraiment souvent chez les happy boulders. Donc les fruits, qu'est-ce que tu en penses ? Comment les manger ? Est-ce que tu peux faire un lien aussi avec cet argument qu'on me donne souvent ? C'est oui, mais bon, maintenant avec la loi du plomb et même avant qu'elle arrive, les pesticides, tout ça, etc., l'indice glycémique des fruits, le moment où les manger dans la journée, voilà, si tu peux développer sur ces sujets-là.
- Speaker #0
C'est un sujet qui est très vaste. Déjà, il faut en manger. Il faut en manger au moins 2 à 3 fois.
- Speaker #2
C'est une petite attention.
- Speaker #0
C'est plutôt de la lait de fin. Dans cette étude, on va avoir une... On va avoir une... Évidemment, il y a un bout de cette étude qui fait l'impression que le régulier de la santé qui est pour un mètre 90, il n'a pas le même... C'est une petite attention. et il faut que les portions soient correspondantes. Qu'est-ce que les fruits de saison j'insiste, entiers, pas la compote, pas le fruit, pas la... honnêtement, c'est un peu de manger, on aime bien, vous êtes honnête là-dessus. Le fruit entier, il nous apporte beaucoup d'eau, on est au général, on en a 6% d'eau, donc déjà, de l'eau. Deux, avec l'eau, on va avoir des fibres. Donc, c'est des contributeurs à cette initiative en fibres, et notamment en fibres solubles, qui sont très, très bonnes pour le microbiote intestinal. Donc, on va cultiver un microbiote qui va être en train de s'en tenir. C'est un microbiote qui favorise une bonne santé, de bonnes capacités, une bonne immunité, qui rendra encore plus beau, en ce qui concerne la mode et le contenu. Donc, ils ne vont pas contribuer à dégager la vitamine C. Le fruit, ça fait partie des quelques aliments végétaux qu'on consomme crus. Ça veut dire que c'est des piliers de notre corps en vitamine C et d'autres antioxydants, notamment si on conserve la peau. C'est là qu'on se rentre dans un truc un peu touchy. Parce que les nutriments, plus de 90% des micronutriments sont situés dans la peau. Donc, il faudrait idéalement les déplucher. c'est pas le plus intéressant ce qu'il est quand même mal féculents mais tout le monde naturel parce qu'on sait que l'exposition au soleil et étant agressive favoriser la production d'antioxydants et de vitamines C.
- Speaker #1
Vous mettez local au maximum les fruits qui sont en train de se produire.
- Speaker #0
Déjà, vous allez moins produire la pollution. C'est bien que ce n'est pas facile pour tout le monde. On habite dans des grandes villes, on va se fournir tout au bout. Mais il faut suivre au maximum le rythme des saisons. Ensuite, concernant les pesticides et les compagnies, je pense que c'est une décision qui a été influencée par des pesticides d'intérêt. qu'il faut savoir se prémunir contre ces critiques, des arbitres, etc. qui ont été démontrés par des étudiants. Voilà, c'est vrai. Maintenant, vous allez toujours avoir des personnes qui vont être payées, pour soutenir la polémique. On va dire, mais tel universitaire, il a eu des procès, ce type de choses. vous voulez tuer un chien, vous l'accuser de la rave. Mais quand on a des études indépendantes, on voit qu'elle est là, elle est claire. On sait par quel biais. Alors, non, on va jouer sur les mots pour essayer de minimiser le trouble. Non, mais nous, on a des études qui disent que non. Quand vous avez un produit à vendre,
- Speaker #2
c'est tout.
- Speaker #0
Vous ayez envie de ses qualités. ces histoires de conflit d'intérêt, je dirais que c'est quelque part une sorte d'évidence qu'il y a un problème.
- Speaker #1
Qu'est-ce qu'on fait de ça ? On nettoie ses fruits et légumes ? On se nettoie soi-même ?
- Speaker #0
Dès qu'on peut avoir du bio, ça restera de toute façon préférable, parce qu'il y a des études qui montrent bien qu'il y a moins de risques de cancer. Au niveau de la richesse en micro-mécanismes, il y avait un rapport de... Je crois qu'il semblait être... Mais quand on regarde la façon dont les études ont été... sélectionnés en pensant que peut-être qu'ils ont minimisé l'intérêt justement pour la qualité du bio, pour la qualité des micronutriments. Moi, je suis convaincu qu'il y a une vraie différence et il y a une vraie différence. Ensuite, quand on n'a pas accès à du bio, parce que c'est possible d'évidence, il y a des méthodes qui permettent de réduire notre exposition de cités en pages, d'endroits avec du bicarbonate. Normalement,
- Speaker #2
on est un peu critique.
- Speaker #0
avec du bicarbonate pendant 15 minutes, ensuite rincer du brottage. On arrive à enlever quand même beaucoup de choses. Par contre, les pesticides éthémiques comme les néonicotinoïdes, comme ils sont dedans, sont plus compliqués. Donc, c'est bien pour ce que je ne l'ai pas fait. Donc, au maximum, quand on peut construire du bio, c'est du bio qu'il faut aller chercher. Et après, il faut, comme tu le disais, être capable de prendre en compte la présence d'un environnement toxique qui demande donc de bien faire fonctionner les outils de détoxication qu'on a. Et là, le sujet de la détoxication, ce n'est pas une invention. les aficionados, les thérapeutiques naturelles, les mysticaux, les latinos, c'est une réalité qui s'appelle la toxicologie, la pharmacologie qui a surdisciplinement la toxicologie. Les médicaments sont utilisés sous toutes les cultures. On doit impérativement savoir comment ils vont être utilisés, comment ils vont être catabolisés, c'est-à-dire neutralisés, détruits et éliminés. et on sait à quel moment le foie va intervenir, quels sont les enzymes, qu'est-ce que le brin va être dans la voie d'expression, est-ce qu'il y aura une expression par exemple dans les floues, ou alors dans les matières fécales, donc c'est des choses qui sont connues, on peut trouver, si vous avez beaucoup de choses qui sont publiées en dernière période, on sait que les graisses brûlées contiennent des basopyrènes, des basopyrènes, donc des hydropropyls polycycliques, qui est et dont on sait que si on en consomme un peu c'est pas trop grave on est aux alentours du par semaine avec si vous en consommez tous les jours on va en rythme votre risque de développer un processus plus rapide et on sait quels sont les désirés donc stimuler le foie pour l'aider à détoxifier tout ça c'est la différence Et on va stimuler une fois, en position des aliments, les nutriments qu'ils utilisent pour faire fonctionner ces enzymes. Les oligo-éléments, les iômes, on va voir le système, on va voir le système, le type, le manganèse, il y a le selenium aussi qui intervient. Et puis ensuite, les substances présentes dans le monde végétal qui vont stimuler la deuxième grande famille de réactions. et des stimulants faveur des liens et très souvent c'est des plans sur lesquels on a Il faut en faire une bonne utilisation. dans lesquelles utiliser des toxifications, c'est pour l'oeuvre. En occupation psychothérapique, on ne toxifie pas. Il ne vaut mieux pas utiliser des compléments alimentaires si on ne sait pas ce qu'on fait dans ce genre de situation-là, parce que ça peut augmenter la toxicité des traitements, soit la réduire, mais on a moins la toxicité des traitements dans ce genre de situation-là.
- Speaker #1
Ça, il ne faut pas faire n'importe quoi, c'est sûr. Ok, pour rester sur le sujet des fruits, après on passe aux légumes. Certains disent... qu'ils ont muté, qu'ils ont été changés génétiquement, et que du coup, ils sont trop riches en glucides à l'heure actuelle. Qu'est-ce que tu réponds, toi, à ça ?
- Speaker #0
Je suis très terre-à-terre. C'est-à-dire que quand il y a la question qui se pose, je ne vais pas balancer mes comptes. Le problème, c'est qu'il y a des gens qui ont tendance à faire ça, qui emportent leur background de formation, ils ne me soutiennent pas, mais il ne faut pas donner son avis, il faut être factuel. Il faut les regarder. Est-ce que tous les fruits ont été croisés ? Et évidemment, le nectarine, je crois que c'est le... Il fait un étincellement, mais moi, quand je m'entends dans le Paris, j'adhère. Je veux dire, il n'y a pas qu'il y a eu du mauvais, tout ça. Maintenant, si on veut être factuel, on va regarder le contenu du sucre qu'il y a dans les fruits. Et on va se rendre compte que le contenu du sucre, c'est ce qu'il y a dans le doudou. Ensuite, on dit que le contenu du sucre, ce n'est pas du sucre, c'est des sucres. Il y a quoi ? Alors, il peut y avoir du glucose, il peut y avoir un peu de saccharose. Il va y avoir du fructose évidemment, mais il n'y a que du fructose. On peut avoir du sorbitol, on peut en avoir d'autres encore. On va avoir un comptage total de sucre qui va être très élevé. Et ensuite, pour une centaine de grammes de fructose, vous allez peut-être avoir 6 grammes de glucose. Vous n'avez même pas de quoi faire monter votre glycémie de façon significative parce que vous avez des fibres qui vont ralentir. Le gluten, c'est très longtemps que c'est démontré. C'est dans les années 2000, la capacité des fibres pour ralentir l'absorption de glucose et réguler la glycémie, c'est déjà démonté. C'est un concept qui a été inventé par des français. Donc c'est vraiment dur. Ça, il y a bien longtemps. Donc, quelle est la quantité de sucre dans les fruits ? Dans les fruits, c'est très, très, très long. Et dans une consommation des fruits, des fruits entiers, il faut garder suffisamment de fibres pour faire un peu de sucre présent, soit un peu lentement, pour ne pas avoir un impact négatif sur la glycémie. De toute façon, je n'ai jamais vu personne devenir diabétique de ce type de rendement. Des jus de fruits, oui, parce que là, on a des fibres, on ne consomme pas le sucre. Donc des jus de fruits, c'est vraiment le fruit cru entier. de saison et si vous voulez en avoir le cœur net, vous allez vérifier sur les sites de référence de l'ANZE, c'est un site un peu de site où on peut avoir l'analyse détaillée pour avoir le détail des micro-nutriments avec les choses que vous voulez, que les choses sont très très loin d'être aussi surprenantes. C'est un groupe de pâtes en pro-sexe, même qui est vécu en Italie, que j'aime bien, j'aime bien, c'est pas que tout le monde aime bien, généralement, les pâtes en pro-sexe, on peut avoir plus de 70% d'amidon dedans, plus de 70% de glucides. Ça veut dire que 70% du poids sec de ce que vous allez manger, ça va se transformer en 30%. Et ça, par contre, ça ne nous intéresse pas. Tous les sols ont sous-estimé très largement.
- Speaker #1
Ça, du coup, ça répond plus ou moins à ma question. Il n'y a pas de mauvais moment pour manger des fruits dans la journée.
- Speaker #0
Alors, on n'a pas de raison scientifique précise de dire ne les mangez jamais à tel moment, ne les mangez-les toujours à tel ou tel moment. Jamais, les toujours, je ne sais pas. C'est rarement pertinent. En fait, ça peut être des points de vue de personnes qui ont observé des choses autour d'eux, peut-être sur des échelles un peu plus... On a des naturopathes qui ont observé des visions de... Tu peux être du coup d'avis qu'il faille imposer aux gens le moment de manger des fruits, que le résultat, c'est qu'au final, ils ne vont plus les manger. C'est une source de dément de temps d'intérêt. Donc, un, manger des fruits quand vous voulez. Vous les mangez à la fin des repas, vous les mangez à la fin des repas. Vous vous rendez compte que vous ne les supportez pas bien. On va faire au début des repas, au milieu du repas, on va faire des étés. Mais on ne va pas tous réagir de la même façon. Personnellement, je les mange en fin de repas ou entre les repas. Ça se passe très bien, ça se passe très bien. Mais je ne peux pas appliquer ce qui se passe à moi, à toi ou à quelqu'un d'autre. Donc, il faut être très téréptique. Là encore, il n'y a pas de raison scientifique précise de dire qu'il ne faut jamais manger les fruits à tel moment et toujours les manger à tel moment. Manger les fruits, c'est bien le fait. Voilà, c'est ce que je dis. Jamais un jour sans un fruit. Je cite le docteur Poudron qui enseignait merveilleusement sur le sujet de la santé et de la nutrition à Dijon. Jamais un jour sans un fruit. Et puis, progressivement, il y a eu de la souffrance. Les études montrent bien qu'on devrait avoir un nombre de fruits frais, crus de saison.
- Speaker #1
C'est important cette question parce qu'il y a en ce moment le régime cétogène dont on parle beaucoup. Vraiment, ils interdisent le fruit complètement, ils le retirent de l'alimentation.
- Speaker #0
Il y a plusieurs versions dans le régime cétogène. Il peut y avoir des versions un peu extrêmes. c'est une manipulation du personnel qui peut avoir beaucoup d'intérêt pour la métabolisme, éventuellement au niveau immunitaire, éventuellement... en oncologie sur certains cancers et sur d'autres. Donc pour le papier, ça peut être super intéressant de donner là-dessus. Pour revenir à la question de la pétose, est-ce qu'il est possible d'être en pétose quand on se prend des fruits pourris ? On va plutôt privilégier des fruits pourris et ensuite, peut-être certains agrumes qui ne sont pas trop, mais tout à fait. et on fait culpant 0 sucre ajouté et d'arriver même en ayant pas mal de bruit si vous avez beaucoup d'activités physiques moins difficile à tenir on est vertueux mais forcément Merci. Oui, extrémistes, je dirais que c'est assez logique qu'il y ait des personnes qui le poussent le plus loin possible pour voir ce qui se passe. le terme de frites est extrêmement botanique. Moi ce midi j'avais des très très belles corvettes, je les ai mangées, râpées avec une petite sauce de citronnée, voilà, un peu d'acidité. Il y a de la vitamine C dedans, en fait, il y en a beaucoup. Il faut la manger crue, il y en a, et il y a très très peu de glucides. L'aubergine, c'est un peu plus galère à manger crue, mais c'est bon. Il y a beaucoup de légumes qui est un terme culinaire qui, botaniquement, sont des bons contribués. Du coup, de la tomate, par exemple, qui est très consommée en fluidité, qui vont contribuer aux apports en vitamine C, en antioxydants.
- Speaker #1
Le poivron, c'est vrai. Oui,
- Speaker #0
bien sûr.
- Speaker #1
Ok, merci pour les fruits. Alors, les légumes, qu'est-ce que tu en penses, de manière générale ?
- Speaker #0
Là, ça devrait être un pilier de notre alimentation. C'est le pilier absolu parce qu'il contribue à nos apports libres. Potassium, on a besoin de remettre plus de potassium. Peu de VL2 en manque de potassium. Ce qui peut, en déséquilibrant le rapport sodium-potassium, fabriquer le développement de l'hypertension. Donc, pour la répartition de l'eau dans les titules en matière extracellulaire, c'est pas possible. On a besoin de... il faut bien aussi faire le raisonnement qu'on est les descendants de dominidés qui se sont développés en consommant beaucoup de cuillettes. Donc il y en a qui disent, il faut manger des végétaux, les végétaux sont faits pour toi. Non, non, non, non. C'est nous qui avons un intestin adapté, en évolution, donc adapté à la consommation majoritaire de végétaux et d'un peu de produits animaux. Pourquoi ? Parce que quand on n'était pas les plus gros de la savane... plus facile d'aller manger des herbes, des fruits, des graines, des choses comme ça, que de récupérer à la place de je ne sais pas quel animal, ou d'aller la discuter à un prédateur plus agréable. Donc on est adapté à une alimentation riche en végétaux, c'est pour ça qu'on a à la fois un intestin grêle qui est long pour les opérateurs de traitement enzymatique, et un plomb qui est assez long au régime, qui est plus long que celui des végétaux. et donc qui a besoin d'un apport de fibres. On peut le dire, la matière pauvre en fibres est associée à pas mal de symptômes et de pathologies de la sphère digestible. Donc on serait même de plus en plus recommandé de ramener davantage de fibres au modèle alimentaire. Donc les légumes nous en font. Les légumes, frais, de saison, on peut en creuser. On ne les supporte pas, il faut les réintroduire de façon assez progressive pour que ce ne soit pas les dégâts. C'est un peu perdu. Et en plus, il ne faut pas trop les cuire parce qu'il faut savoir que les micro-éléments, les vitamines, les antioxydants sont molavés. Donc ça veut dire que si vous passez une certaine température, ils sont détruits. Donc il faut quand même avoir des cuisines plutôt courtes et garder du croquant. Ça veut dire que c'est un peu cru à l'intérieur. Donc, vous mettez vos légumes à la poêle, à la mélancolienne, vous mettez de l'huile, de l'aïe, de la pâte. Après, il y a les condampeurs qui sont des cuisines à une température plus basse. Ils fonctionnent pas mal aussi et qui ont l'avantage de réduire en plus le contenu en plastique. Mais mangez des légumes. Les jus de légumes, déjà quand on fait des jus, il est mieux d'utiliser un extracteur écrasé. qui va permettre de conserver, selon la finesse de la grille qu'on utilise, les fibres les moins dures. Donc on garde les fibres de volume qui sont très bonnes pour le micro-gouttes. Les jus de légumes peuvent être un outil, par exemple, si on veut mettre un peu le système digestif au repos, pour en faire un logotote total. Le jus de légumes permet d'apporter des nutriments, des vitamines. C'est une petite quantité, donc c'est sûr qu'il faut être équilibré d'avoir que ça. Ça peut être intéressant pour quelques jours. Mais ça amène des fibres qui vont nourrir le microbiote, ça amène du potassium, ça amène beaucoup d'eau, ça amène des antioxydants. Donc les jus de légumes, ça peut être un outil très intéressant. Dans la situation, ça peut être un grand outil, ça peut être une aide pour réintroduire les légumes de façon progressive sur les personnes qui les suivent. Donc, il est indéniable, bien sûr. Mais quand on fait des jus de légumes, il ne faut pas que ce soit tout le temps du jus de carotte et de betterave, parce que ça risque de faire en plein sucre. Voilà,
- Speaker #1
ok. Justement sur les... alors moi effectivement la dernière fois que je t'ai appelé j'avais mangé au restaurant, le lendemain j'avais mal à l'estomac, j'ai fait le soir une cure liquide, je me sers de ça, donc soupe et jus de légumes, soupe crue et ou cuite. et jus de légumes. Et c'est vrai qu'en 24 heures, ça repart. Après, ça calme pas mal de mots. Tant qu'on est à parler justement des cures et des jeûnes, on va dire, je précise, temporaire là-dessus, mais on peut parler aussi du jeûne intermittent qui est là et plus une pratique quotidienne. Qu'est-ce que toi, tu en penses ? Qu'est-ce que tu en sais ?
- Speaker #0
Le jeûne intermittent, c'est... On a remis, entre guillemets, au bout du jour un truc qui existe depuis très longtemps. parce que combien de fois ça nous arrivait et c'est dévoiler les cartes matinons vous avez mangé comme un coup en détenant vous le recommandez mais ça va mettre votre système au repos et vous n'allez pas avoir de carence pour autant, c'est pas vrai, on met du temps il faut du temps pour développer des des équilibres donc le fait de faire des jeunes intermittents c'est que c'est une façon de dire de retirer Il y a des études qui disent que c'est intéressant, mais il y a tellement de façons de pratiquer le jeûne intermittent que ce n'est pas homogène. C'est-à-dire qu'il y a des personnes qui vont vous dire « je vais sauter de côté, je me regarde bien, il prend des balses, il fait du café, ou alors il prend un café sucré, ils ont arrêté le café sucré, ils ont pris le café sans sucre, ils n'ont pas de changement de sang, c'est pas forcément quelque chose qui est très homogène. La façon de pratiquer le jeûne intermittent varie beaucoup. et c'est très soudain. La forme de jeûne intermittent qui, à mon avis, à mon humble avis, n'est plus une réalité publiée, je suis très honnête avec vous, je pense que le type de jeûne intermittent qui est le plus intéressant, c'est le jeûne intermittent du soir. C'est-à-dire, vous aurez un bon petit déjeuner, riche en protéines, etc. Notamment aux premières heures de la journée, beaucoup plus important d'avoir des protéines du gras que du sif le matin. Avoir un repas de midi, et ensuite le soir... soit faire quelques moments de jeûne, soit juste manger des légumes, soit manger une petite salade, une soupe d'un bouillon, soit rien du tout. Et ensuite, vous allez attendre que le repas que vous avez fait à la mi-séance et le repas que vous allez prendre à la maison, vous allez avoir le temps de jeûne qui va être suffisamment long pour que votre système digestif soit vraiment dans un repos. C'est-à-dire que vous ne demandez pas de travail à l'estomac, vous ne demandez pas de travail au foie. Quelque chose qui peut permettre de... de laisser le temps au système digestif de traiter certaines choses, de mettre en place aussi les systèmes de renouvellement. Parce que la muqueuse intestinale, qui est l'outil d'absorption numéro un, elle peut être fragilisée par nos pratiques alimentaires. Il faut lui donner le temps de s'en tenir. Donc parfois, le fait de sauter un pas, ça peut aider. Il y a des gens que ça améliore par rapport au symbole de la tullulation. dans l'intestin grêle. Il y a des gens que ça améliore dans les sommeils, il y a des gens que ça peut améliorer quand ils ont peut-être des maladies à faim. Ils sont... On peut avoir de multiples applications et dans la perte de poids, c'est pas très homogène. Il faut être conscient que c'est pas simplement le fait de sauter un repas qui peut être la solution. C'est ce qu'on dit dans les repas.
- Speaker #1
Merci à Jean pour cet échange passionnant. On se retrouve dans quelques semaines pour la deuxième partie de cette interview et je vous dis à très vite en vous souhaitant un happy vaudit.