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HORS DES CLOUS - By Romain & Hugo

Comment automatiser au maximum un business (avec Clément de Cinaria)

Comment automatiser au maximum un business (avec Clément de Cinaria)

59min |12/08/2024
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HORS DES CLOUS - By Romain & Hugo

Comment automatiser au maximum un business (avec Clément de Cinaria)

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59min |12/08/2024
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Description

Bienvenue sur le douzième épisode de notre chaîne de podcast orientée Business pour les entrepreneurs hors systèmes !
Aujourd'hui Clément, développeur talentueux, nous rejoint pour nous partager ses astuces et concepts pour automatiser un business et puis.. la discussion part dans tous les sens !
C'est parti !

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Bienvenue sur "Hors des clous", la chaîne de podcast de l'entrepreneuriat en roue libre ! Hors des clous est votre nouveau sanctuaire si vous êtes de ces entrepreneurs visionnaires, audacieux et ouverts d'esprit, qui refusent le chemin tout tracé vers la fameuse "sécurité de l'emploi" d'un emploi salarié, les 5 semaines de congés, les chèques restaurants, le modeste pavillon de banlieue, les déjeuners chez belle-maman le dimanche midi avant d'aller laver le Scenic et finir le week-end avec la boule au ventre en pensant à votre patron qui vous attend au bureau le lendemain matin...

Si vous ne vous reconnaissez pas dans ce portrait du français moyen, vous êtes les bienvenus sur cette chaîne ! À travers nos épisodes de podcasts sous forme de discussions ouverte avec ou sans invités, nous explorons les thèmes qui sont chers aux entrepreneurs aventureux en quête de liberté financière et géographique !

Alors installez-vous confortablement, abonnez-vous, et si notre contenu vous plaît merci de nous mettre 5 étoiles ⭐️ sur votre plateforme d'écoute préférée et n'hésitez pas à nous laisser un commentaire pour nous dire si vous souhaitez qu'on aborde des thèmes spécifiques ou si vous avez des questions précises !

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Vous avez des demandes précises sur un sourcing produit pour votre activité E-commerce ? Des besoins logistiques purs liés à de l'import / export par container en maritime, aérien, routier ou ferroviaire depuis la Chine ?Des besoins de création de marque ou de personnalisation poussée pour vos produits ? Besoin de services spécifiques ? (création de site Shopify poussés, graphisme, photos produits, UGC, référencement SEO etc) Vous voulez travailler avec le bureau d'agents de sourcing francophones de référence en Asie ?

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Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour à tous et surtout à vous les intrépides aventuriers de l'entrepreneuriat. Vous qui avez troqué votre badge de bon petit salarié contre un rêve de liberté et d'adrénaline, en vous lançant dans votre business à vous. Alors que vous en soyez à vos débuts d'entrepreneur ou que vous soyez plus avancé, et même si ce n'est encore qu'un projet, rejoignez-nous sur la chaîne hors des clous, l'entrepreneuriat en roue libre. Je suis Romain, entrepreneur dans différents domaines depuis plus de 15 ans et fondateur d'Inkubox. et je suis accompagné par Hugo, le maestro du media buying et expert en e-commerce. Nous serons là à chaque épisode pour booster votre esprit d'entreprise avec un cocktail d'étonnant, d'inspiration et de rêve. C'est parti !

  • Speaker #1

    Bonjour à tous et bienvenue dans ce nouvel épisode de Hors des Clous.

  • Speaker #0

    Alors vous l'avez remarqué peut-être, on a un invité un peu spécial aujourd'hui mais qui n'a pas vraiment le profil d'un invité normal puisqu'il n'a pas une caméra. pointé uniquement sur lui. Il partage l'écran aujourd'hui.

  • Speaker #1

    C'est parce que ça a vraiment été improvisé pendant le déjeuner, c'est-à-dire il y a une heure. C'était pas prévu, donc du coup on avait prévu que deux trépieds sur trois.

  • Speaker #0

    Exactement. Donc pour information, Clément fait partie de l'équipe, l'équipe d'Hugo. On va dire voilà, c'est un peu des choses comme ça. On a l'impression que vous êtes ensemble, dans la vie également. Donc c'était intéressant d'avoir votre ressenti, surtout dans cette période électorale.

  • Speaker #2

    Quand le piège est à fond.

  • Speaker #1

    J'ai lu les sujets, ça ne fait pas partie, je crois.

  • Speaker #2

    Non, ça ne fait pas partie des questions.

  • Speaker #1

    Je ne sais pas si on en a besoin pour les...

  • Speaker #0

    On va se calmer, parce que cet épisode, pour l'instant, c'est un gros bordel. Si vous nous écoutez, ne partez pas tout de suite. On va parler de choses intéressantes.

  • Speaker #2

    On a parlé des naines de soleil et tout. Il y a encore beaucoup d'anomalies qui ne sont pas encore résolues.

  • Speaker #0

    Ouais, bon, écoute, j'ai une conjonctivite. J'ai le droit de mettre des lunettes de soleil.

  • Speaker #2

    C'est par solidarité, figure-toi.

  • Speaker #0

    Exactement.

  • Speaker #1

    Le plan c'est les lunettes, on fait qu'on les garde, comment ça se passe ?

  • Speaker #2

    Bah on va laisser les gens répondre en commentaire et du coup tant qu'ils ont pas répondu on les garde Non,

  • Speaker #1

    moi je les garde maintenant Mais c'est bien,

  • Speaker #0

    c'est bien, garde un petit peu le sérieux 100% improvisé,

  • Speaker #1

    je me rends pas compte,

  • Speaker #0

    là on entend que tu signales que t'es un oeil au bord avec la boxe

  • Speaker #2

    C'est vrai que toi t'as un vrai,

  • Speaker #1

    t'es un mec si tu mets C'est vrai qu'on entend aussi bien ici qu'ici,

  • Speaker #2

    y'a pas de soucis Quand tu sors en arrière,

  • Speaker #0

    c'est beaucoup mieux quand t'es un peu plus près du micro Alors écoutez C'est parti Aujourd'hui on va essayer de parler quand même d'un thème, le but n'est pas non plus... Je vous avoue on a bu un petit verre, on est tous très gays, il fait assez chaud, on a bien mangé, des choses comme ça. Donc voilà, on est un petit peu énervés, mais on va essayer de se recentrer autour d'un sujet quand même qu'on va essayer de traiter ensemble. Et on va profiter de la venue totalement volontaire d'ailleurs de Clément sur ce podcast. Ça fait plusieurs fois qu'on lui demande, si vous avez écouté les podcasts depuis le début, lors du premier épisode il me semble, on avait présenté Clément. Et on avait demandé, on avait même demandé en commentaire, d'ailleurs personne n'a répondu, puisque peu de gens ont vu cet épisode. Est-ce que vous voulez que Clément vienne ? Déjà les gens n'ont pas vu l'épisode, ils ne savaient pas qu'il était Clément. Il était déchaîné. Donc aujourd'hui Clément est là, et ça nous fait plaisir d'avoir quelqu'un avec des réponses en général, un avis on va dire tranché, des réponses incisives. Ne pars pas dans l'insulte comme tu le fais habituellement, si c'est possible. Mais on va parler d'un thème qu'on a préparé quand même un minimum sur le papier.

  • Speaker #1

    Pour un problème, pour représenter le sérieux de l'émission, le thème était vraiment préparé depuis la semaine dernière avant même de savoir que j'allais faire faire ça un moment ou un autre. Donc le thème n'est pas du tout choisi par rapport à moi.

  • Speaker #0

    Absolument pas.

  • Speaker #2

    On te le dit. Ça tombe plutôt bien.

  • Speaker #1

    Quand tu m'as lu ça, je me suis dit j'ai eu le temps de préparer ça.

  • Speaker #2

    J'aurais pu faire semblant d'être quelqu'un de très intelligent qui a préparé ça en deux minutes, mais non, c'est juste qu'effectivement tu tombes plutôt bien parce que, oui, en fait, Clément a un rôle dans notre équipe et c'est notamment le geek. technique développeurs etc et en fait quand il ya des sujets d'automatisation dans notre business et ben c'est toujours sur lui que ça tombe et il s'avère que le sujet du jour c'est la méthode secrète pour automatiser un business à 100% et donc finalement ça tombe très très vite on peut bien parce que tu as toujours des bonnes recettes dans

  • Speaker #0

    notre business à nous je pense qu'il ya des conseils que tu pourrais donner également alors on parle de quoi d'abord Quel type de business ?

  • Speaker #2

    Finalement, on va parler de beaucoup de choses, surtout sur comment déléguer et comment mettre en place des outils IA, mais on peut parler de tous les sujets. Nous, forcément, on va avoir un prisme à savoir du coup le e-commerce, donc on va surtout parler d'automatisation et de comment on a délégué en e-commerce mais bien entendu, on peut traiter toute forme de... Typiquement sur comment automatiser avec l'IA, je pense qu'on peut en parler un petit peu au moins et que ça peut concerner des e-commerce mais également d'autres activités. Et puis tu as ton prisme à toi sur le côté e-commerce toujours mais côté logistique, côté agent qui du coup va aussi avoir des sujets d'automatisation. Parce que dans l'automatisation, on va parler d'outils, on va aussi parler de ressources humaines. L'idée, c'est de savoir comment est-ce qu'on peut, nous, entrepreneurs, créer une activité, mettre en place un business, puis se mettre à côté, ne plus rien foutre et encaisser de l'argent. C'est ça qu'on entend par automatiser un business. Donc, ce n'est pas forcément que des trucs techniques, ça peut être aussi de l'humain. Comment bien manager, comment bien processer une équipe, comment du coup recruter, comment virer également. Tous ces points-là finalement. Voilà, exactement. Et tu vas pouvoir du coup nous en parler. Et moi, ce que je vous propose, c'est qu'on commence directement sur la première question finalement. Donc on est là, on est entrepreneur, on a lancé notre business. Qu'est-ce qu'on délègue en premier selon vous ? Alors vous allez me dire, oui, mais ça dépend du business, oui d'accord. Mais du coup, quelle catégorie de choses est-ce qu'on peut déléguer en premier ?

  • Speaker #0

    Je l'ai déjà dit tout à l'heure dans un autre épisode que vous avez peut-être vu, moi je pense que c'est le service client, ce qui est vraiment plus toxique en fait. Le SAV, alors c'est en même temps très important d'avoir toujours le nez dedans, c'est-à-dire que si vous le déléguez à quelqu'un, déjà il faut le déléguer à quelqu'un de professionnel, quelqu'un dont c'est le métier, qui ne va pas s'énerver, parce qu'on va toujours répondre à des gens qui sont souvent de mauvaise foi, souvent agressifs, etc. Donc, il faut quelqu'un qui puisse répondre de manière calme en suivant les process. Il faut établir des process en amont, évidemment. Mais c'est très important d'avoir toujours le nez dedans aussi pour voir quelles sont les remontées. Alors, en dehors des où est mon colis si on parle de l'e-commerce, mais c'est simplement aussi les remontées d'informations sur le service ou le produit qu'on vend, quelles sont les remontées finalement des utilisateurs. Donc, c'est très important comme Paul, mais en même temps, c'est très chronophage et ça… engendre énormément de négativité au quotidien dont on peut se passer je pense quand on développe un business on n'a pas besoin de ça au contraire on a besoin d'avoir un mindset qui soit positif énergique dynamique et donc première chose à déléguer pour moi c'est ça et ça plus ou moins peu importe le business je pense que en fait le

  • Speaker #2

    savait c'est généralement effectivement un truc qui est trop toxique et qui n'a pas une grande valeur ajoutée à le faire toi même en fait c'est pas trop de clairement sur tous les process ou mais pardon clément de manière générale c'est surtout les tâches qui sont les plus les plus récurrentes les plus répétitives

  • Speaker #1

    Le SAV du coup c'est le meilleur exemple parce que ça fait partie de tous les business, il y a forcément du SAV. C'est une tâche qui est répétitive, donc c'est la tâche qui est la plus facile à processer et donc à déléguer. Mais en vrai, de manière générale, ça fait toutes les tâches qui vont être répétitives je pense.

  • Speaker #2

    Moi de tête, là je pense directement aux newsletters, l'animation de réseau, des choses comme ça qu'il faut faire en fait, encore une fois en e-commerce, mais aussi sur d'autres business, des récurrences pour animer ta communauté, c'est des choses qu'il faut que tu fasses, sinon ton business il peut mourir doucement mais sûrement. autant le déléguer parce que voilà c'est un truc que tu as toujours animé les réseaux si on met des stories mais des publications parler avec l'audience répondre aux commentaires etc il ya un moment donné où ça fait plus trop sens que ce soit le fondateur qui s'occupe de cinq ans évidemment cependant le bémol c'est qu'il faut ça suffisamment avoir une image de

  • Speaker #0

    marque quelque chose soit encore une fois le business qu'on fait suffisamment clair développer précise avec presque une charte tu vois une sorte de qu'on appelle ça de direction artistique Une direction artistique ou un white paper, quelque chose qui va vraiment expliquer qui on est, à qui on s'adresse, qu'est-ce qu'on fait pour que la personne qui prenne cette mission comprenne bien et puisse se mettre vraiment dans nos chaussons. Parce que on l'a vu d'ailleurs, on a déjà, moi j'ai déjà essayé de déléguer également, notamment mes réseaux, notamment Instagram, LinkedIn, etc. Et c'est vrai qu'une fois sur deux, je me dis j'aurais pas dit les choses comme ça, j'aurais pas parlé de ça comme ça, j'aurais pas exploité cette photo, cette vidéo comme ça.

  • Speaker #2

    C'est pas ça, tu déléguais...

  • Speaker #0

    carrément l'animation de tereso à toi en tant que romain quoi c'est pas une marque c'est vraiment ce qui est moi c'est c'est en fait c'est particulier parce que c'est vraiment sur du du personnel branding quelque part dans quelque part oui j'avais toujours à redire parce que quand c'est une marque à imite effectivement tu as swiped paper effectivement qui définit un petit peu voilà les

  • Speaker #2

    grands traits les messages les valeurs sauf que quand c'est toi dans tous les cas c'est pas juste toi tu interprèterais ta marque différemment et t'as délégué à quelqu'un qui va l'interpréter d'une autre manière là dans tous les cas on parle de quelqu'un qui doit interpréter toi est incarné Le challenge n'est pas le même aussi pour la personne que tu recrutes. En fait, il faut quelqu'un qui presque, d'une certaine manière, te suit un petit peu depuis un moment pour rentrer dans tes baskets et réussir à communiquer de la même manière que toi.

  • Speaker #0

    Je pense que ça prend du temps, déjà, première chose. Si quelqu'un débarque, admettons, tu recrutes quelqu'un dont c'est plus ou moins le métier, mais qui arrive là et qui ne connaît absolument rien de ce qu'on fait, il faut quand même du temps, il faut quand même être derrière elle un sacré bout de temps. Et surtout, c'est un poste clé, car la communication sur les réseaux, il suffit d'une mauvaise story, d'un mauvais poste. avec un message qui n'est pas du tout le message qu'on veut faire passer, et la personne a suffisamment d'autonomie, enfin pense avoir suffisamment d'autonomie pour d'elle-même délivrer un message, il faut qu'il y ait un contrôle, je pense absolu. D'ailleurs on l'avait fait aussi, même si ce n'était peut-être pas suffisant, moi je l'avais fait, notamment en utilisant Notion, avec une sorte de tableur finalement, et chaque poste était renseigné avec le texte, le design, soit la photo, soit la vidéo, peu importe, le message, etc. Et ça devait être... valider mais le problème c'est quand on n'a même pas assez de temps pour valider ou d'être en retard dans la visitation et des postes qui sortent bon bref après ça c'est une organisation interne mais je suis d'accord c'est très long ça prend beaucoup de beaucoup de temps mais c'est pas un métier en fait qui peut s'exercer tout seul dans son coin parce que bon faire quelques Comment dire ? Quelques posts, quelques stories, animer les réseaux, c'est bien, mais il faut quand même du contenu derrière. Oui,

  • Speaker #2

    tu dois. Il faut de la photo,

  • Speaker #0

    il faut de la vidéo, il faut du contenu des concours, il faut du texte. Est-ce que cette personne peut faire ça toute seule ? Je ne pense pas.

  • Speaker #2

    Ce n'est pas évident.

  • Speaker #0

    Ce n'est pas forcément évident, sinon elle n'a pas de matière. Elle tourne vite en rond, elle va trouver des astuces, mais au bout d'un moment, elle va tourner en rond. Donc, il faut aussi prévoir un poste. Est-ce que c'est vous qui vous occupez de ça ou est-ce qu'il faut déléguer également ?

  • Speaker #2

    justement la création de contenu quel que soit le business encore une fois j'ai vu que il y a beaucoup de créateurs de contenu notamment qui délèguent pas ça qui délèguent tout le reste mais qui vont déléguer le montage qui vont déléguer la réale et tout mais qui vont garder cette animation de réseau donc moi je pense que ça c'est vrai pour une marque par exemple donc une marque que si tu crées une marque de bijoux par exemple tu peux déléguer ton animation de réseau mais je pense qu'effectivement la personal brand c'est

  • Speaker #1

    très difficile à déléguer correctement tu veux dire que quand tu postes sur les réseaux du coup c'est pas toi qui parle j'avoue qu'on a pas tout dit ça

  • Speaker #2

    Là, l'audience est trahie.

  • Speaker #0

    Alors, honnêtement, depuis un moment, c'est moi qui parle. Et d'ailleurs, il n'y a plus de post. Je ne sais pas comment c'est. Je n'ai pas le temps de les faire. Mais oui, pendant un temps, ce n'était pas moi qui parlais. Tout à fait. Donc, ça m'a déjà fait marrer de me dire, oh, dis donc, tu as été fort dans ce que tu as dit hier.

  • Speaker #2

    Je ne sais pas ce que j'ai dit hier.

  • Speaker #0

    Ce n'est pas ce que j'ai dit, je l'allais voir. Mais oui, c'est vrai que c'est les limites quand même de ce principe-là. C'est que ça permet effectivement d'entretenir la publication. Maintenant. Je trouve aussi que malgré tout, la valeur ajoutée est quand même moindre que si on se casse la tête soi-même, parce qu'on connaît notre business, à publier nous-mêmes, à chercher des choses. Ou alors, il faut simplement tomber sur la bonne personne. Je ne suis peut-être pas tombé sur la bonne personne non plus. Je suis tombé sur une personne compétente, motivée, mais qui ne comprenait peut-être pas l'étonnant, les aboutissants vraiment de mon business et qui, du coup, faisait parfois des petites boulettes.

  • Speaker #2

    Je pense qu'on peut parler de ça, ce n'était pas forcément dans l'ordre qui avait été écrit, mais du coup, l'une des manières d'automatiser un business, finalement, c'est de recruter, donc c'est des ressources humaines, c'est tout simplement faire rentrer des gens dans son business pour faire en sorte que les gens prêtent ce qu'il y a à traiter pour que le business tourne. Est-ce que vous avez des points de vue sur la manière dont on peut recruter ? A quoi est-ce que vous faites attention ? Est-ce que vous avez des process ? Est-ce que c'est flou ?

  • Speaker #1

    Déjà, je pense que là, ce dont on parlait depuis tout à l'heure, ça nous a permis de mettre le point sur peut-être la deuxième règle importante pour déléguer correctement. c'est pas déléguer un truc que tu as jamais fait. Je pense que là, l'exemple que j'ai, c'est il y a peut-être deux mois, j'ai délégué à la personne qui fait le SAV la gestion du trust pilot, parce que ce n'était pas assez bien fait jusque-là. Donc du coup, j'ai été obligé de le reprendre en main pendant deux semaines. Et non seulement de le prendre en main, mais en plus, de le prendre en main de manière à faire attention à ce que je fais et toujours être en train de noter les étapes que je fais une par une pour que derrière, quand elle, elle puisse le reprendre, du coup, elle ait vraiment une liste à plus de trucs à suivre. Et je pense que ouais, tu... recruter sur un truc que t'as jamais fait toi que tu maîtrises pas du tout, en tout cas quelqu'un qui t'a confiance,

  • Speaker #0

    le maîtrise et peut surveiller correctement c'est un enfer tu peux pas savoir si le boulot est bien fait ou pas, t'en sais rien je connais rien le nombre d'heures il peut dire ce qu'il veut,

  • Speaker #1

    c'est un métier aussi bon moi je suis dev donc ça va mais par exemple le dev c'est tellement abstrait comme métier que pour un site je pourrais dire que j'ai besoin de 4h comme 50h que ce serait la même chose pour toi j'y verrais rien,

  • Speaker #0

    j'y verrais que du feu

  • Speaker #1

    designer même principe tu t'en rends pas compte faire un logo ça peut prendre entre 30 minutes et quatre jours tu es en train de nous faire comprendre que finalement quand tu dis que ça prend 50 heures par an si tu mets quatre heures c'est ça ici il ya 50 heures en fait il ya à peu près quatre heures de code et

  • Speaker #2

    46 heures de netflix à peu près à la commune et c'est important parce que dans les flics tu apprends beaucoup de choses mais puis tu regardes des films sur les codeurs j'ai pas d'exemple bien sûr bien sûr bien sûr mais la playlist la série sur spotify d'accord ok bon sachez le quand vous demanderez un de mes lieux clément

  • Speaker #0

    Les 50 heures, il y a beaucoup de temps.

  • Speaker #2

    Non, mais c'est pour ça que les gens passent par moi pour le devis. D'accord.

  • Speaker #1

    Parce que Hugo va doubler, il va dire qu'il y en a pour 100 heures. T'imagines pas ?

  • Speaker #0

    Bien évidemment,

  • Speaker #2

    c'est le vieux cours. C'est pas du tout du business.

  • Speaker #0

    Sinon, pour recruter, moi, c'est vrai qu'au début, je vais vraiment parler pour moi, pour Inkubox.com. Quand on a commencé, on recrutait des gens. En fait, moi j'ai recruté des gens qui étaient plus ou moins des gens proches de moi, donc des amis, des gens... J'ai recruté par exemple quelqu'un qui s'appelait Olivia. Olivia, si tu nous vois dans cette vidéo, je te fais la bise.

  • Speaker #2

    Tu peux te manifester en commentaire.

  • Speaker #0

    Tu peux te manifester en commentaire. Donc j'étais vraiment content parce que c'est quelqu'un avec qui j'avais travaillé dans un job plus ou moins alimentaire, on va dire, pendant quelques mois quand même, presque une petite année. Et bon, elle non plus, elle n'était pas faite pour ça du tout. Et donc c'est vrai que finalement, elle était... Au moment où j'ai créé Inkubox, quelques mois après, j'avais besoin de quelqu'un qui joue le rôle d'une assistante plus-plus, et qui joue aussi le rôle de semi-commercial, etc., qui travaille sur des dossiers. Et c'est vrai que c'était pratique pour moi de prendre quelqu'un qui était proche de moi, parce que j'avais vraiment confiance en elle. Je pense que c'est très important d'avoir confiance, plutôt que de prendre quelqu'un qu'on ne connaît pas du tout. Et qui peut aussi un peu mentir sur ses prestations. On a déjà eu l'expérience. Hugo, si tu vois de quoi je ne vais pas dire le nom, mais on sait très bien de qui on parle.

  • Speaker #2

    On va faire de l'inchage.

  • Speaker #0

    On va faire de l'inchage, mais il y a certaines personnes qui vont vous dire Oui, moi je sais faire ceci, je vais faire cela et après ils font de la merde totale. On aurait peut-être quand même dû leur faire passer un deuxième entretien. Ou leur demander un petit peu quand même qu'est-ce qu'ils font finalement. Donc c'est ça dans les conseils que j'ai.

  • Speaker #1

    Je veux savoir de qui vous parlez.

  • Speaker #0

    Je crois que tu sais.

  • Speaker #2

    Ah mais il y en a choqué plus d'un.

  • Speaker #0

    Donc pour revenir sur Olivia, en fait, c'est simplement que ça se passait vraiment très très bien le travail ensemble. Mais c'est vrai qu'après, elle a aspiré aussi, elle avait une vie de famille, elle avait déjà deux enfants, elle a eu un troisième enfant, etc. Elle a aspiré, elle voulait déménager, etc. Donc bon, c'est quitté comme ça. Mais ce que je veux dire, c'est que pour faire des recrutements vraiment sur le long terme, il faut vraiment connaître les gens aussi et connaître leurs aspirations sur un temps long. Parce que le temps de formation, il faut vraiment le prendre en compte. J'ai par exemple j'ai un client on va dire qui m'a qui me disait mais moi de toute façon quand je recruterai je prendrais que des stagiaires. Bah je dis c'est bien ça coûte moins cher et tout, des stagiaires sur la trois mois six mois à peu près bon bah ça permet vraiment c'est moins cher.

  • Speaker #1

    Oui mais ça dépend encore une fois du poste que tu recherches. Là on parlait tout à l'heure d'un poste de SAV, en vérité pour du SAV un stagiaire c'est très bien. Ouais c'est vrai. Par contre pour un poste qui a besoin, qui est un métier plus abstrait où tu as du mal effectivement à estimer le temps de travail. développeurs, designers ou beaucoup d'autres métiers. Ouais effectivement là c'est...

  • Speaker #0

    Mais c'est le temps de formation en fait, tu vois, qui me pose problème. C'est-à-dire que tu formes quelqu'un, c'est-à-dire que tu es derrière pendant peut-être deux semaines, un mois...

  • Speaker #1

    Ça dépend beaucoup de la qualité des process. Moi je passe beaucoup de temps à faire des process et vraiment un bon process tu te rends compte que tu gagnes beaucoup de temps. En fait tu gagnes pas juste deux semaines parce qu'en fait tu gagnes deux semaines à chaque fois que la personne est remplacée. Donc en fait si jamais tu allais remplacer quatre fois dans l'année, tu as gagné huit semaines.

  • Speaker #2

    Donc effectivement si tu as des stagiaires qui rentrent et qu'il y a un roulement tous les deux mois et que tu as déjà... Ouais voilà tu sais, tu fais des vidéos et tout. Et tu sais tu mets tout, bah là c'est le pack découverte. Et après tu dis bon bah pendant trois, quatre jours, celui qui te précède et qui n'est pas encore parti, surveille. Ça peut se processer.

  • Speaker #1

    Je le sais aussi pour les clients de l'accompagnement de Genesys aussi, c'est le même principe. Ça process qui est bien clair, qui est bien carré, qui est d'ailleurs que... qui mérite quelques ajustements maintenant ?

  • Speaker #0

    Non, mais c'est vrai que les process, c'est très important. Mais moi, j'entends selon les postes, effectivement, il y a des postes qui demandent quand même un accompagnement pour justement une compréhension de qui on est, qu'est-ce qu'on fait, précisément, quel message à apporter à nos clients, à nos prospects. C'est long en formation. Et puis, des stagiaires qui sont là pour deux, trois mois, le niveau de motivation peut être variable en fonction de la personne. Tu ne sais pas du tout. Elle est là, elle valide son stage. Bon, après, je ne sais pas. Tant mieux si ça se passe bien, mais c'est pas non plus un métier d'avenir pour elle. Il y en a des très très bons, j'ai déjà travaillé des stagiaires, excellent. Anthony, si tu me vois, pareil. Anthony, super. J'en ai eu d'autres, j'en ai rien à foutre.

  • Speaker #2

    Ça dépend de la difficulté de prise en main aussi, moi je me rappelle quand je suis devenu commercial pendant un temps, c'était pas qu'une question de process, mais on m'a donné un discours, on m'a donné tout un tas d'outils que je pouvais utiliser, mais il y avait aussi un bout d'un moment, moi, qui devais me faire au rôle, à la démarche, etc. Il a fallu un bon mois avant que j'arrive à être performant. Après ça a déroulé mais pareil quand j'ai cédé mon poste, effectivement il avait pareil fait ce truc de roulement où je devais donc former le prochain, en l'occurrence la prochaine, mais grave galère en fait, en l'occurrence pour ce poste là c'était pas tellement le process, c'était vraiment le fait de le faire, il faut se roder quoi, donc c'est vrai que ça dépend encore une fois, ça dépend les postes, il y a des postes qui sont plus faciles à déléguer que d'autres et à automatiser que d'autres.

  • Speaker #0

    Donc le recrutement pour revenir à la question finalement, comment recruter ? Si possible donc. Ne pas forcément recruter quelqu'un parce que c'est un proche ou parce que c'est un ami. Déjà, les amis, ça peut être compliqué.

  • Speaker #2

    Moi, je fais que ça.

  • Speaker #0

    Je sais, mais ça peut être une bonne idée, mais ça peut être compliqué.

  • Speaker #1

    J'y pense parce que tu en parles là. Est-ce qu'ils sont au courant de notre rencontre ? Comment elle s'est passée ? Tu l'as déjà ?

  • Speaker #2

    On pourra la raconter. Ça m'embête parce que j'ai une vidéo qui sort sur le sujet. Vraiment, c'est le titre.

  • Speaker #0

    C'est vrai.

  • Speaker #1

    On va rajouter la rencontre entre Clément et Hugo.

  • Speaker #2

    cette grande romance très romantique.

  • Speaker #1

    Tu la connais toi l'histoire ?

  • Speaker #0

    On me l'a déjà racontée mais je t'avoue que je l'ai oubliée.

  • Speaker #2

    Ils s'en foutent, ils s'en foutent. Bah tu sais quoi, on oublie ces histoires de recrutement. Comment est-ce que nous on s'est fait chez Scenaria ?

  • Speaker #1

    J'y pense parce que tu parles de ne pas recruter ses amis au début. Moi quand je suis entré dans l'équipe d'Hugo, effectivement, il cherchait que des copains à l'époque. Parce que bah en fait ça faisait partie de ton truc de dire qu'en gros la force d'une boîte au début, enfin la force d'une boîte, elle est directement égale à la force de ses premiers attaqués. T'as pas le choix. Et donc en fait quand tu prends un copain, effectivement il est tellement plus engagé dans le projet que si jamais tu recrutes quelqu'un pour un salaire, parce que déjà moi quand je suis rentré, je ne suis même pas rentré pour un salaire au début.

  • Speaker #2

    Heureusement,

  • Speaker #0

    il y a eu bien ce qu'il y a,

  • Speaker #2

    il n'y a pas de cas où tu n'aurais pas été content.

  • Speaker #1

    Attends, j'ai quand même fait 800 euros en trois mois.

  • Speaker #2

    C'était un début d'activité.

  • Speaker #1

    Bon, la rencontre avec Hugo.

  • Speaker #2

    Ouais, alors en fait, avec Clément, on se connaît des jeux de vidéo. On jouait ensemble, on devait avoir 14-15 ans dans ces eaux-là.

  • Speaker #0

    Avec Bardella, vous jouiez sur Call of Duty.

  • Speaker #1

    Toujours des glissades comme ça

  • Speaker #0

    Comment ça comme titre ?

  • Speaker #2

    Moi, ça ne me dérange pas. Ça ne me dérange pas. C'est le moment que je ne me mouille nulle part dans le podcast. Donc on se rencontre sur un jeu vidéo sur Call of Duty, non rien à voir, sur DOFUS pour ceux qui connaissent Et en fait on a joué sans se rencontrer peut-être 3 ans je pense, un truc de cet ordre là

  • Speaker #1

    Non moi t'as fait partie des premiers humains que j'ai rencontré sur le jeu là Ouais mais... Toi tu jouais beaucoup avant

  • Speaker #2

    On avait joué 3 ans avant de se connaître non ?

  • Speaker #1

    Toi, toi tu jouais depuis 3 ans,

  • Speaker #2

    moi ça faisait même pas 6 mois que je jouais Non moi je jouais depuis un bail mais on s'était rencontré vite

  • Speaker #1

    Ah rencontré en réel Oui rencontré en réel

  • Speaker #2

    Non parce qu'effectivement on a joué je pense 3 ans ensemble sans se connaître Et un jour on se dit, enfin on parle un peu plus de nos vies et puis on comprend qu'on n'a pas coûté, vraiment pas loin quoi.

  • Speaker #1

    Mais y'a plus du tout l'histoire dans les détails quoi,

  • Speaker #2

    c'est quoi ? Ah bah non, je passe le mic pour la clé moi.

  • Speaker #1

    Bon, avec Hugo on joue sur Dofus, faut savoir qu'à ce moment là c'est mon mentor sur le jeu parce que lui bah, ouais ça faisait peut-être 4 ans qu'il jouait, le mec c'était une machine, il avait un nom sur le serveur tu vois, c'était quelqu'un. Moi j'arrive, encore grenoube à l'époque, et puis moi j'étais du genre à demander de l'aide à tout le monde, j'envoyais des messages j'étais... Bon bah j'ai fini dans les DM d'Hugo, et je le saoule, je le saoule, je le saoule, et c'est le seul qui m'a pas envoyé chier au bout de 10 minutes.

  • Speaker #2

    Grand coeur.

  • Speaker #1

    Donc je joue avec le copain et tout, faut savoir que du coup j'allais pas sortir en zone, tant qu'il était pas là j'avais besoin de lui. Bref, on fait notre vie comme ça, on a plein d'anecdotes, on va peut-être pas en raconter tant que celle-ci. Comprons pas. Ouais c'est clair. Et donc ensuite vient nos 18 ans. enfin les miens plutôt un truc comme ça et donc avec un pote qui s'appelle Ilias on veut se lancer en dropshipping et donc c'est le moment où en fait il y avait toutes les formations qui venaient d'exploser nous la première qu'on a prise c'était celle de Cyriak je ne me souviens pas comment c'est s'appelé ?

  • Speaker #2

    on a le droit de le lyncher lui je crois ça y est il a pris ses sauces déjà dans la gueule c'est une formation de merde

  • Speaker #1

    Comment il s'appelait cet ennemi déjà ?

  • Speaker #0

    Je ne sais pas, je ne sais pas.

  • Speaker #2

    Non, il avait comme un succès nom. C'est exagéré. Il y a écom dedans et il y a succès dedans sans doute. Il avait le succès thème. Sucès thème. C'est possible que ce soit le même nom.

  • Speaker #0

    Xavier-Loup a peut-être repris le nom parce qu'il était hier. C'est un peu marrant.

  • Speaker #1

    J'avais suivi Hugo sur Insta entre temps et en fait sur une de ses publications il avait mis hashtag dropshipping parce qu'il jouait déjà à l'empruntier en lanceur.

  • Speaker #2

    Ouais, je montre déjà des chiffres de fou furieux.

  • Speaker #1

    Et donc, j'envoie un message à Ilias. Je dis Attends, j'ai un copain qui joue à Dofus, il a mis hashtag dropshipping. Je vais lui envoyer un message. Je vais même répondre, machin. Parce que nous, à l'époque, ça faisait peut-être deux ans qu'on ne s'était pas parlé. À côté, il me répond, machin. Bref, on organise des appels et tout. Et en fait, il nous accompagne sur tout le lancement. Donc, les deux premiers sites qu'on a lancés avec Ilias, c'est Hugo qui nous supervisait à l'époque. Bon, les deux ont foiré.

  • Speaker #0

    Bravo,

  • Speaker #2

    j'étais jeune dans le fiver, pour préciser. Moi, je ne faisais pas beaucoup de chiffres non plus encore.

  • Speaker #1

    Et surtout qu'en plus, pour le coup, il y en avait un, c'est parce qu'à l'époque, on n'avait pas assez de recul et surtout pas assez de moyens. Mais encore aujourd'hui, si jamais... En fait, je me souviens des chiffres. Le premier, c'était un fail total. Il n'y avait pas de green flag. Le deuxième, en revanche, déjà, on avait compris ce que c'était que le branding. En fait, c'était une marque un peu de bracelets comme cela, pas des bracelets encre, qui s'appelait Henry Miller. Et donc, en gros, c'était un...

  • Speaker #2

    C'est scripté, le mec a directement... Non, ce n'est pas scripté, c'est...

  • Speaker #1

    Donc en fait tout le branding était sur le fait qu'il y avait Henri Miller qui était du coup le créateur de ces bracelets, qui était un grand voyageur et en gros à chaque fois qu'il allait dans une nouvelle ville ou un nouveau pays, il était inspiré par la beauté des monuments, des paysages etc. et en fait il en créait un bracelet. Donc en fait on avait une page par bracelet qui était longue comme ça où on racontait le voyage d'Henri Miller. Et en fait, c'est vrai qu'au bout de deux semaines, on était en break-even. C'est-à-dire qu'on avait dépensé de l'argent en pub, on avait fait du chiffre d'affaires, mais on n'avait pas perdu d'argent. Sauf que juste à ce moment-là, avec le fonds de roulement, on a eu un problème, et puis on s'est dit Ah, c'est peut-être pas… Parce qu'effectivement, on n'était pas sur ce que nous promettaient les formateurs, à nous dire Vous dépensez 1000 euros en publicité, vous faites 15 000 euros au chiffre d'affaires. On n'était pas là-dessus, et donc forcément, on s'est dit Non, c'est de la merde, ça ne marchera jamais. Donc on a abandonné le projet. Mais en vérité, encore aujourd'hui, on verrait ça…

  • Speaker #2

    Mais oui, c'est ce qu'on a évoqué plein de fois, c'est qu'en fait c'est des green flags de fous et il n'y avait pas non plus suffisamment de ressources, on parle de jeunes de 18-19 ans qui ont 500€ de côté pour le projet en tout cas, et qui essayent de faire le truc, et en fait il y a des green flags mais t'as pas suffisamment de ressources pour te dire, on y va on explose tout, t'as besoin d'un green flag bien plus grand, dès que t'as une société, et bien en fait on se serait bagarré, là aujourd'hui on a ce genre de résultat, on se bagarre, on met plus d'argent sur la table, on fait bah ok c'est bon signe.

  • Speaker #1

    Après on sait que de ce méta-point on fait déjà du bénef.

  • Speaker #0

    Donc relancer Henri Miller, voilà, c'est une bonne idée.

  • Speaker #1

    Mais c'est qu'on y a pensé plusieurs fois, on y a pensé plusieurs fois, il faudrait qu'on se remette dedans.

  • Speaker #2

    Ouais ça peut être un projet honnêtement.

  • Speaker #1

    Après faut aussi considérer que c'était pas la même époque.

  • Speaker #0

    Ouais, ouais, c'est sûr. C'était en quelle année ?

  • Speaker #1

    2018 je crois, j'avais 19 ans. Ouais c'était quand même le début.

  • Speaker #0

    Création d'un Qbox.

  • Speaker #1

    Donc bon bref j'accélère pour la fin de notre histoire. Mais donc après on a fait... Enfin c'est moi qui suis rentré dans du MLM. Tu vois ce que c'est que du MLM ?

  • Speaker #0

    On y a pratiqué oui.

  • Speaker #1

    On a pratiqué c'est pas vrai ?

  • Speaker #2

    Non on a parlé dans un épisode. Si tu l'as regardé tu saurais.

  • Speaker #1

    Oui je me souviens bien sûr. Bah oui. Donc j'ai été recruté chez QVRA. Bon bah moi j'ai appelé mon meilleur copain.

  • Speaker #2

    C'est lui, il était toujours dans les magouilles.

  • Speaker #0

    Je me souviens pas que tu avais expliqué, tu avais dit que tu en avais fait mais je me souviens pas que tu avais fait.

  • Speaker #2

    Tu avais parlé de trading etc.

  • Speaker #0

    Oui mais je me souviens pas qu'il m'avait dit que c'est Clément qui m'a entraîné.

  • Speaker #2

    Ah je ne peux pas être dans le détail.

  • Speaker #1

    En fait pour l'anecdote, je suis rentré en MLM et tu sais là-bas c'était beaucoup le truc du copy trading. Donc en fait si tu étais sur un canal Telegram ou que ce soit encore beaucoup aujourd'hui, évidemment c'est une arnaque. Ne commencez pas à croire que quelqu'un va vous envoyer des signaux de trading et que ça va fonctionner. Et en fait moi ce qui s'est passé c'est que la première semaine bon j'étais un peu con j'ai pas fait tu sais t'as des comptes démo en trading qui sont hermé de trader avec du faux argent et moi j'ai pas fait ce truc là j'ai directement mis en fait tu dois mettre 500 euros minimum pour être accepté sur les sur les canaux de trading et je mets 500 euros et en fait en une semaine je passe à 1200 en suivant les canaux mais j'ai trouvé le truc et donc en fait naturellement moi je commence à en parler autour de tout le monde mais c'est même pas dans le but de les recruter non c'est juste tu dis bah c'est un bon plan à partager Bon bah évidemment tu te doutes bien que ça a duré une semaine, j'ai même fait rentrer mon bar Enfin je l'ai pas fait rentrer directement mais j'ai...

  • Speaker #2

    Il a payé 45 000 euros On l'évoquait de toute façon quand on parlait de MLM, le fait, je sens que la famille etc y'a un truc un peu mal signifiant en place A la base tu le fais pour eux mais c'est trop compliqué, y'a plein de trucs qui sont pourris quoi Oh touchy,

  • Speaker #1

    d'accord donc c'est comme ça Donc voilà je l'ai fait rentrer en MLM et puis euh... bon bah fin du MLM et puis euh...

  • Speaker #2

    Tu veux que je récupère ? On a fait deux ans de MLM ensemble. On a fait deux ans de MLM. On n'a même pas appris la première leçon parce qu'on a fait un premier MLM. Et on a fini par aller dans un deuxième MLM. On était bien dégoûté du premier. On a bien fait ouais.

  • Speaker #0

    On a vraiment fait un acteur. On va partir dans un deuxième.

  • Speaker #2

    Et le deuxième MLM, cette fois-ci, c'est moi qui suis très né Clément. C'est moi qui ai signé parce qu'on m'a reconvaincu. Et je suis arrivé par Clément. Je me suis dit non mais celui-ci, Clément, vraiment, c'est un MLM de qualité. Alors aucun regret pour ma part parce que j'ai investi sur des trucs grâce à ce MLM qui était très rentable. Mais on peut pas en dire autant pour Clément et pour les autres personnes que j'ai fait parrainer. Personne n'a pu venir en fait sur le cap. C'est pas du coup bien

  • Speaker #1

    Clément toi. Non c'est pas que j'ai perdu. Si.

  • Speaker #2

    Bah c'est que t'as acheté de l'Ether et t'as pas rendu finalement.

  • Speaker #0

    Ah ouais carrément. Donc c'est même pas genre j'ai acheté ça s'est gassé la gueule. J'ai acheté, on m'a piqué.

  • Speaker #1

    Pour le closing, bon là-bas j'avais dit non. Moi j'avais vraiment dit non pendant très longtemps. Et en fait ce qui s'est passé c'est qu'on est parti en vacances à Marseille avec un mec qui était pour le coup très très très haut dans le MLM. Il était pas tout le temps mais il était... dans la deuxième branche.

  • Speaker #2

    Ah Sébastien, on t'embrasse.

  • Speaker #0

    Donc lui, il avait vraiment conclu le système. Et puis lui, il est toujours très chaud là-dedans.

  • Speaker #1

    Il a fait un partenariat avec les fondateurs du Bitcoin non plus, mais de certains cryptos.

  • Speaker #2

    Ouais.

  • Speaker #1

    Donc bon, évidemment, il est très fort, donc il m'a convaincu pendant ses vacances.

  • Speaker #2

    Et en fait si tu veux le truc c'était tu mets de l'Ether et tu récupères du coup je crois que c'était 10% par mois En fait c'est à dire que là on était à 6% à Marseille mais en gros ils avaient des rendements passés qui étaient fous quoi 10% par mois et tout qui avait déjà été fait Après c'est le truc où plus t'as de monde plus le rendement baisse

  • Speaker #1

    Mais malgré tout le moment où on y était c'était 6% par mois T'imagines à l'année Et en plus t'ajoutes à ça le fait que l'Etheron augmente naturellement Donc en fait tu dis bah attends je pose 1000 balles tu fais des calculs parce que lui évidemment c'est Excel avec le... Comment ça s'appelle là le... J'ai pu. Ah, le truc... Exponentielle, c'est pas ça le terme. La courbe exponentielle ?

  • Speaker #0

    La pyramide ? Non,

  • Speaker #1

    putain, j'ai oublié, c'est pas grave. Il avait son tableau Excel qui nous montrait qu'en fait, en 20 ans, on était millionnaire, mais plus plus, tu vois. Ah bah si, c'est bon, je suis pas... Je suis plus con, j'avais mis, j'avais dû mettre 1500, puis j'ai remis 1500 pendant les vacances. Et donc en fait, ce qui s'est passé, c'est qu'à la fin, ils nous ont rendu nos éthers, enfin non, ils nous ont pas rendu nos éthers, parce que du coup, l'éther avait fait x5 entre temps, mais ils nous ont rendu l'équivalent de ce qu'on avait investi au jour 1. mais en euros. Sauf qu'en fait, en Ether, ça faisait au moins x5 vu qu'il avait x5.

  • Speaker #2

    Le deal, c'était pas ça. Le deal, il devait nous rendre les Ethers.

  • Speaker #0

    Et pourquoi ils l'ont pas fait,

  • Speaker #2

    finalement ? Il y a eu une couille. On est parti en cacahuètes. Il y a eu du juridique, ouais. Du coup, ils sont peut-être partis avec la caisse.

  • Speaker #0

    Je sais pas trop ce qu'ils ont fait. Donc, vous n'avez rien perdu de ce que vous avez mis, mais vous avez perdu la différence.

  • Speaker #2

    Pour un investissement, moi, j'avais du poste au total entre 2 et 5 000 à l'époque, dans ces eaux-là, en Ether. Et si on avait rendu l'Ethereum que ça représente, aujourd'hui, ça représente une somme qui est hyper importante. Parce que là, on parle d'un Ethereum qui était à 100 balles. Et on en avait, du coup, pour 5 000 balles. Il vaut 3 300 dollars.

  • Speaker #0

    2 000 dollars ou un truc comme ça.

  • Speaker #1

    C'est ça,

  • Speaker #2

    putain. T'imagines ? Donc, ouais, c'était finalement... On aurait juste dû investir sur l'Ether.

  • Speaker #0

    ça passe on nous invite à part que l'on gardait c'est le principe profiter aujourd'hui c'est ça qu'il ya dans la générosité mais pour essayer de conclure sur l'anecdote parce que sinon l'épisode en fait ça va être comment se rencontrer avec les mots et après du coup moi et moi enfin félix et moi on s'est mis en s'est mis en couple en couple ouais voilà en couple business et on s'est lancé on a quitté nos anciens partenaires et on s'est lancé à notre compte Et on est allé voir, moi je me suis approché directement de mes proches, et donc Clément faisait partie, on avait déjà fait une belle aventure en arrière ensemble, même s'il y avait eu pas mal d'échecs, et c'était en mode, bah voilà, Clément est-ce que tu veux en être ? Et donc j'avais rien à promettre niveau thunes, mais il y avait toute la vision finalement, c'était en mode, est-ce que tu veux être avec nous et tenter l'aventure avec nous ? Et c'est à quoi tu as répondu. C'est sûr,

  • Speaker #1

    à l'époque j'avais un taf qui ne me plaisait pas du tout, donc effectivement j'ai hésité quand même, d'ailleurs c'est mon collègue de l'époque. et qui j'étais en camion tout le temps parce qu'on allait installer des écrans, des espèces d'écrans tactiles qui faisaient 80 pouces de diagonale, c'était des trucs immenses. Donc lui j'étais tout le temps en camion avec lui, donc on discutait de nos vies, on se connaissait par cœur en fait finalement. Et c'est lui qui a réussi à me convaincre de dire, vas-y, t'avais quoi, t'avais 22, 21 à l'époque ? Si tu le fais pas maintenant, tu le feras jamais, et puis en vrai t'auras plus de regrets que d'autres choses. J'ai dit bah ouais, en vrai t'as raison, puis je suis allé, et puis bah pas de regrets.

  • Speaker #2

    Non mais c'est comme ça où t'es le connu, c'est comme ça qu'à... le scénario a vu le jour également. C'est pour ça qu'on est là aujourd'hui, d'ailleurs.

  • Speaker #0

    Et donc, le recrutement, c'est vrai que sur ma structure, on a tous les socles, les associés principaux, c'est que des proches. Et à l'époque, je ne me posais même pas la question de comment est-ce qu'il faut recruter, quels sont les process. Le but, et ça l'est toujours aujourd'hui, c'était de travailler avec les copains et réussir à construire un truc ensemble, réussir à bricoler, pouvoir en vivre. À l'époque, on voulait juste pouvoir en vivre. Aujourd'hui, les ambitions sont quand même un peu plus hautes. Mais à l'époque, il fallait imaginer qu'on bosse entre nous, on n'a pas de patron et on peut manger, voire se loger.

  • Speaker #2

    C'est le rêve, je suis d'accord avec toi. C'est tout à fait le rêve de bosser entre amis. C'est juste que dans la réalité, tu peux très bien être de très bons amis pour aller boire un coup en soirée, c'est génial. Et dans le boulot, tu en as un, tout d'un coup, qui veut prendre le leadership sur l'autre. Un caractère ou une personnalité que tu n'as pas soupçonné parce que ce n'est pas le même domaine. Tu n'es pas là pour rigoler, tu es là pour bosser. Tu en as un qui peut donc vouloir prendre l'ascendant. Et puis après, quand il y a des problèmes d'argent, ou même de temps, tu en as un qui s'implique beaucoup plus que l'autre. Et l'autre, tu es un peu à la cool. Quand tu es avec quelqu'un, tu as instauré distance, parce que ce n'est pas ton ami, c'est quelqu'un qui est ton employé, même si je n'aime pas trop ce terme. Tu peux recadrer, tu peux même à la limite t'en séparer en disant, mais tu te séparais d'un ami. Avec qui ça ne va pas, c'est bien, mais c'était vachement plus délicat. Je suis d'accord, Sylvain, mon associé, moi j'ai deux meilleurs amis, donc Sylvain, c'est mon meilleur ami, avec Jim, on vous embrasse tous les deux, et donc oui, ça se passe super bien. Et par contre, j'ai travaillé aussi avec un de mes très très très bons amis qui s'appelle Maxime, sur un autre projet en Thaïlande, ça ne s'est pas bien passé du tout, on ne s'est pas parlé pendant trois ans. Parce qu'en fait, j'ai découvert une personne, et je pense que lui aussi, différente, de la personne que je connaissais en amitié. Parce que les enjeux n'étaient pas les mêmes, il y avait beaucoup d'argent sur la table, on était dans une sorte de... On appelle ça dans un... Un cercle vicieux ? Non, on n'a pas... On était rentrés dans un... Bon, ça s'appelle comment, il y a des investisseurs qui m'aidaient l'argent, mais...

  • Speaker #0

    Un incubateur.

  • Speaker #2

    Un incubateur, merci.

  • Speaker #0

    Allez, let's go.

  • Speaker #2

    Gros ras qu'il est là. Ah là là. J'en perds toujours mes mots, des mots à la con comme ça lors des podcasts, je perds toujours les mots. Un incubateur pendant trois mois sur Bangkok et on avait la promesse, quasi promesse d'avoir un million de dollars pour nous développer. Donc c'était vraiment en mode start-up, etc. Très grosse pression, quand même des gros enjeux, quelque chose dans le tourisme qui était incroyable sur le papier, etc. Et puis finalement, ça a pété. Ça a pété le truc, on s'est séparés, on ne s'est plus parlé. Donc c'est vrai que j'en retiens quand même une expérience un peu amère. Alors aujourd'hui, on se reparle, on dirait de redevenu pote et tout va bien, mais il y a eu une période un peu longue comme ça, et j'en ai un peu gardé cette expérience amère de me dire, les amis c'est difficile parce qu'il y a des choses que tu ne peux pas dire, parce que c'est un ami, c'est délicat, et surtout il faut que chacun, et je pense que c'est le cas pour vous, c'est le cas pour moi avec Sylvain, il ne faut pas qu'il y ait quelqu'un qui veuille prendre l'ascendant sur les autres. C'est vraiment ça, il faut que chacun ait des compétences différentes. Si tu as les mêmes compétences, si tous les quatre avec Matisse, vous aviez les mêmes compétences, c'est compliqué.

  • Speaker #0

    Oui, en fait, c'est même une mise en compétition sur le même terrain de jeu. Il y a un regard très critique à chaque fois. Oui, mais toi, tu ne serais pas fait comme ça.

  • Speaker #2

    Et puis, tu en as toujours un qui sera meilleur que l'autre.

  • Speaker #0

    Des sujets subjectifs, tu imagines, sur du design. T'as 4 personnes qui font du design qui font non mais moi je mettrais plutôt ce dégradé là c'est des visions qui sont différentes.

  • Speaker #2

    C'est de la merde, c'est de la merde. C'est très compliqué. Je déconseille quand même, si c'est possible, c'est l'idéal, mais si c'est possible ne travaillez pas avec des amis, ne déléguez pas les tâches à des amis parce que c'est compliqué. C'est mon expérience à moi, maintenant c'est pas la vôtre.

  • Speaker #0

    C'est même pas une question d'expérience, c'est une question de le pourquoi. Ça dépend, le pourquoi, si le pourquoi par exemple c'est faire un max d'oseille, moi je te rejoins. pleinement genre c'est pas la bonne démarche c'est pas une démarche, c'est pas un bon plan nous notre pourquoi c'était de bosser entre amis donc de fait ça s'est fait comme ça par contre toutes les difficultés que tu soulignes c'est des choses qu'on a déjà pu traverser que ce soit entre nous avec ceux qui sont encore là ou ceux qui sont partis on a bossé avec beaucoup d'amis et on est 4 aujourd'hui bon et ben y'a pas tout le monde qui a pu rester donc y'a eu plein de sujets de ce type là plus ou moins graves en tout cas effectivement ce truc de l'amitié et le monde professionnel y'a quand même un écart

  • Speaker #2

    et je pense aussi qu'il faut que les personnes aient des compétences, c'est-à-dire tu ne vas pas prendre quelqu'un parce que c'est ton ami c'est parce que c'est mon ami mais surtout il a des compétences qui m'intéressent et qui répondent aux miennes parce que si tu prends juste quelqu'un parce que c'est ton ami mais bon, on verra bien, je le formerai non, ça ne pourra pas marcher et puis après surtout il faut que la personne démontre, on l'a vu aussi nous on a recruté aussi des gens, même toi et moi sur des postes on en a recruté aussi Un petit peu sur le papier, ça paraissait pas mal. Et puis, on a vraiment besoin de la manant, vite, vite. Et puis finalement, on ne demande pas à la personne de faire ses preuves. Et quelqu'un qui ne veut pas faire ses preuves, alors certains vont se dire, mais quel connard, tu vois. Mais gratuitement, c'est-à-dire que quelqu'un qui ne me montre pas son boulot ou qui ne veut pas faire, par exemple, je vais prendre l'exemple d'écrire un script pour une vidéo, quelqu'un qui ne veut pas écrire un script pour nous, gratuitement, pour qu'on voit ce que donne son travail, ça ne m'intéresse pas. Alors je sais que quelqu'un va peut-être se dire, mais attends... Et puis comme ça, après ils font le script, ils payent les personnes et puis ils se barrent. Non, je suis désolé, mais n'empêche qu'au jour d'aujourd'hui, quand c'est nous qui recrutons, c'est nous qui faisons les règles du jeu, tu fais quelque chose pour nous, tu nous montres ce que tu sais faire, et si ça nous plaît, let's go !

  • Speaker #0

    Les grosses structures s'offrent des fameuses périodes d'essais, mais c'est vrai que nous, notamment dans notre domaine, c'est quand même beaucoup des freelances. Rare sont les gens qui font du e-commerce et qui commencent à recruter des salariés. Il y en a un, mais la plupart du temps, c'est des freelances. Donc effectivement, quand tu fais un prêt d'influence, il faut que la personne fasse une démonstration. Mais ça fait une très bonne passerelle sur un autre sujet. Tu comptes dans la négativité, dans le ne bâche pas avec vos amis, les gens qu'on recrute sont des salauds

  • Speaker #2

    Il vous ment.

  • Speaker #1

    Ça va être comment virer quelqu'un.

  • Speaker #0

    Comment virer quelqu'un. Et pour cette question, on a Clément qui va nous répondre,

  • Speaker #2

    puisqu'il est viré en direct.

  • Speaker #1

    Je déteste, je déteste, allez, ne serait-ce que... Tu vas faire des reproches à quelqu'un, lui dire ton travail... Déjà je le dis jamais, ton travail il est mal fait, mais... Mais aller dire tu pourrais faire comme ça, comme ça, comme ça,

  • Speaker #2

    je déteste le faire. Je vais critiquer les gens.

  • Speaker #1

    Déjà je crois que j'ai jamais viré personne de ma vie en fait.

  • Speaker #2

    Bah alors pourquoi tu interroges Clément s'il n'a jamais eu...

  • Speaker #0

    C'est Clément parce que j'ai pas le sujet.

  • Speaker #2

    Ah d'accord.

  • Speaker #0

    Tu t'y prendrais comment alors ? Si demain tu devais virer quelqu'un ?

  • Speaker #1

    Je lui ferais un recommandé.

  • Speaker #0

    Un texto.

  • Speaker #1

    Mais écoute, ça va plus entre nous.

  • Speaker #2

    Vas-y,

  • Speaker #0

    fais un truc. C'est pas toi, c'est moi.

  • Speaker #1

    Je change les serrures.

  • Speaker #2

    C'est pas toi, c'est moi.

  • Speaker #0

    La fameuse stratégie. L'entreprise n'a plus les moyens pour ton poste.

  • Speaker #1

    Non, mais surtout que c'est horrible de dire ça, parce que derrière, même là, en fait, c'est comme une fin de relation amoureuse. Tu finis avec ta relation amoureuse comme ça et tu inventes un prétexte, mine de rien, pour la personne de s'en sortir.

  • Speaker #2

    Ne sortez pas des amis, ne sortez pas non plus avec la nana ou le mec avec qui vous couchez, parce que c'est... Ne sautez pas avec la nana avec qui vous couchez. Ne sautez pas. C'est comme quand on finit une relation amoureuse. Mais j'ai envie de dire, je rajoute aussi, n'intégrez pas parce que c'est votre nana. Tiens, je vais bosser avec elle, c'est ma meuf. Ça peut aussi faire, non seulement, ça peut casser le boulot, mais pire, c'est qu'à la maison, ça coule le bordel aussi. T'as plus de sujet,

  • Speaker #1

    en fait. T'es dans le lit le soir et finalement...

  • Speaker #2

    Ça, c'est un putain de red flag. Sauf si c'est encore une activité. Il y en a, moi j'ai connu un couple dans le MLM d'ailleurs, qui cartonnait.

  • Speaker #0

    Il y a des couples business. Et le truc c'est que, moi je trouve ça merveilleux à regarder, dès que je le vois je me dis oh là là ça a l'air génial. Il parle que de ça. Ouais, en fait c'est quand même, tu vois il y a un taux d'engagement, c'est qu'en fait si jamais tu commences à avoir des doutes, t'es au piège. Là c'est...

  • Speaker #1

    Tu sais c'est un peu comme la relation que nous on a, on n'a jamais pris d'engagement officiel avec comme un espèce de carnet de 10 règles à respecter. Mais malgré tout, on connaît les limites qu'il ne faut pas dépasser pour bâtir sur notre relation. Je pense qu'en fait, quand tu es en couple, c'est un peu la même chose, en plus poussé évidemment, mais en fait, tu sais qu'il faut être capable de faire la part des choses.

  • Speaker #0

    C'est vrai.

  • Speaker #1

    On discutait la dernière fois avec le...

  • Speaker #2

    Bon,

  • Speaker #1

    c'est beaucoup moins du business, mais le... le patron du bar où on allait la dernière fois.

  • Speaker #0

    Oui, tout à fait.

  • Speaker #1

    Enfin la patronne plutôt. Et qui en fait du coup le patron est un... Les patrons !

  • Speaker #2

    Oui, on s'est dit le patron est une patronne ! Je me suis dit où est-ce qu'il va en venir ?

  • Speaker #1

    Non le patron est un couple mais du coup ils ont bien...

  • Speaker #0

    C'est ça le sujet !

  • Speaker #1

    Ils ont bien instauré ce truc où le week-end en fait ils ne parlent pas de boulot, c'est ça que du perso et après 22h dans le lit ou quoi que ce soit c'est pas du boulot,

  • Speaker #2

    c'est que... Non mais il faut des règles.

  • Speaker #1

    Je pense qu'en fait quand t'as des règles comme ça c'est beaucoup moins un souci mais par contre ils font un niveau de maturité de communication

  • Speaker #2

    Maturité, complicité, puis faut vraiment que la relation soit très solide, qu'il n'y ait pas de doute ni d'un côté ni de l'autre en disant j'ai envie d'aller voir ailleurs, ou j'ai envie... Non, faut vraiment que le couple soit installé, tu fais pas ça au bout de 6 mois quoi. Donc en fait, il y a un moment où je t'ai coupé, puis on est parti sur un autre sujet, mais tu voulais dire quelque chose.

  • Speaker #0

    Comment tu vires quelqu'un bordel ? Comment tu vires quelqu'un Clément ?

  • Speaker #1

    Pour moi, faut qu'on parle. J'ai pas trop aimé la manière dont tu m'as parlé la dernière fois.

  • Speaker #0

    La manière dont t'as parlé de poétique au début de ce podcast, c'était scandaleux.

  • Speaker #1

    J'ai pas trop kiffé. On a pris une décision avec Hugo. Et je pense qu'on va continuer sans toi.

  • Speaker #2

    Bah écoute, c'est très bien pour virer quelqu'un.

  • Speaker #0

    En sachant que toutes les dettes qu'on vous doit, on les garde.

  • Speaker #2

    D'accord, ok.

  • Speaker #1

    Ah, ce sera un super motif pour tirer, ça, en fait.

  • Speaker #2

    De quoi ? D'avoir des dettes ? Bah ouais, c'est clair.

  • Speaker #0

    Pourquoi est-ce que vous voulez vous séparer de moi ? Parce qu'on te doit de l'argent et c'est pénible.

  • Speaker #2

    On préfère mettre un thème dans cette histoire.

  • Speaker #0

    C'est mieux qu'on se voit plus.

  • Speaker #2

    Non mais bon c'est vrai que se virer quelqu'un c'est jamais évident Moi j'en ai déjà viré quelques-uns quand même Pas plus tard qu'hier C'est dur à dire Je passe encore une fois pour le salopard Je fais des blagues Il n'y a pas passé on me dit ouais t'as fait une blague raciste c'est faux C'est officiel hein ? C'est officiel, Je veux dire tu n'as pas raconté ça et en fait tu dois le faire Non je l'ai fait hier C'est vrai qu'on ne prend jamais grand plaisir à le faire En fait je pense que c'est la responsabilité Et là tu te dis merde C'est ça être chef d'entreprise, c'est-à-dire que tu as un rôle, donc tu peux recruter, tu peux faire le bonheur, alors j'exagère un peu, je mets vraiment des guillemets, c'est-à-dire que tu peux sortir quelqu'un d'une situation. D'ailleurs la personne en question, elle était dans une situation en Thaïlande, donc elle avait démissionné de son précédent boulot, donc c'est vrai qu'il ne lui restait pas beaucoup de mois financièrement, elle avait pas pu, des ressources illimitées. Et puis en Thaïlande, il n'y a pas de chômage, il y a tout ça, donc c'est-à-dire que de la maman, tu rentres chez maman. Et malgré nous, on l'a remis dans cette situation-là hier, puisqu'il a occupé un poste pendant 7 mois, pas un petit 7 mois. Il avait une tâche sur la logistique importante, notamment pour un de nos gros clients qui finalement, en cours d'année, est devenu un client extrêmement secondaire en termes de chiffre d'affaires, pour tout un tas de raisons compliquées à expliquer ici. Et donc, cette personne qu'on avait recrutée a fait... c'est vrai un gros boulot pendant les premiers mois quand on était en Chine et les retourner en Chine etc il a fait un gros boulot sur la logistique mais malheureusement dans les prévisions là en fait on avait aussi potentiellement un encore plus gros client sur vraiment que la logistique avec des turnovers en fait de containers tous les deux jours arrivée départ reconditionnement départ etc pour les états unis pour une très grande marque textile qui fait 30 millions de dollars à l'année donc c'est quand même c'est pas rien Et donc, il y avait aussi, en fait, cette perspective qui était quasiment écrite et qui, finalement, au dernier moment, disparaît. On verra plus tard, là, parce qu'on change d'entrepôt à Los Angeles. Donc, on verra ça après, etc. Peut-être à la rentrée, mais bon, moi, peut-être, par expérience, je sais aussi que ça peut être déjà. Mais donc, il y a peut-être une autre solution. Alors, finalement, il s'est contenté de ce qu'il avait. Il a amélioré ses propres process. J'en sais rien. Du coup, malheureusement, en fait, la tâche qu'on avait donnée et les perspectives, en fait. de projections qu'on avait fait pour le travail de cette personne dont on a dû se séparer n'était plus là. C'est un salaire à payer qui n'est pas négligeable sur le niveau du poste. On ne parle pas de quelqu'un, on n'est pas sur un profil stagiaire, on est sur quelqu'un qui a des compétences précises dans la logistique, francophone, un français, donc évidemment avec un salaire quand même conséquent, donc il a fallu qu'on fasse un choix. Et malheureusement, on a dû s'en séparer, mais ce n'est jamais une tâche facile. Non, c'est sûr. c'est une réciprocité et donc là tu dis et en fait au moment où ça arrive tu sais très bien j'ai toujours l'image un peu de la guillotine c'est à dire que tu sais très bien que tu appelles la personne qui ne se doute pas forcément de ce qui va se passer et j'ai toujours cette sensation un peu de dire tiens allonge-toi là mets la tête là tiens mets la tête dans le truc attends bouge pas bouge pas ta coupe quoi c'est toujours cette sensation cette image là j'ai l'impression d'être Robespierre tu vois et c'est assez dur et en même temps tu te dis c'est la responsabilité d'un chef d'entreprise c'est en fait Peu importe l'humain, l'entreprise d'abord. L'entreprise, c'est... Enfin, on doit parfois se séparer de personne. pour l'entreprise et pour le bien de toutes les personnes qui sont dans l'entreprise.

  • Speaker #0

    C'est pour ça que ça s'appelle les ressources humaines. Exactement. C'est pas pour déshumaniser les personnes qui sont dedans, mais c'est vrai que c'est quand même des ressources au service de l'entreprise. L'entreprise peut changer de situation, changer de contexte, changer de santé économique, de vision, de trajectoire aussi. Et tu composes avec tes ressources. Tu composes autant avec tes ressources quand tu achètes du matériel ou quand tu revends du matériel, quand tu lances des budgets publicitaires ou quand tu coupes des budgets publicitaires. Et quand tu prends des gens et quand tu dois te séparer des gens,

  • Speaker #2

    il n'y a rien de personnel. Il n'y a pas faux débat, il y a des missions des fois qui doivent prendre fin, il y a des projections qui n'en sont plus. Et quand j'entends, là par exemple dans les programmes politiques, parce qu'en ce moment on est au moment où on fait cet épisode, il y a le vote des législatives après la dissolution, quand j'entendais le programme du NPA, le Nouveau Parti Anticapitalisme, sachez-le, je ne suis pas du tout porté sur l'extrême gauche. Voilà, c'est une chose qui est bizarre.

  • Speaker #0

    Non,

  • Speaker #2

    c'est bizarre pour un chef d'entreprise. Non, c'est vraiment un truc. Mais quand je voyais par exemple dans leur programme, ils ont martelé depuis des années. C'est, oui, interdire les licenciements. Mais quelle débilité, je veux dire. Tu licences les gens pour tout un tas de raisons, mais ce n'est pas forcément parce que tu veux, tu es un méchant patron carnassier, et tu veux te débarrasser, ou tu veux gagner encore plus. Non, c'est aussi que tu as des entreprises à faire tourner. Il y a des périodes où l'entreprise se porte très bien et par exemple, elle se porte moins bien. Et tu dois avoir cette flexibilité de ressources humaines, comme tu dis, puisque derrière l'humain, c'est aussi un poste qui apporte une ressource financière, une richesse à l'entreprise. Et si on interdit les licenciements, c'est totalement débile, puisque finalement, on met en danger toute l'entreprise au bout d'un moment. Une entreprise qui va mal, si tu ne peux pas licencier des gens, et même quelqu'un qui ne faut rien, qu'est-ce qui se passe ?

  • Speaker #0

    mais voilà tu peux vivre seul tu peux pas jouer on peut pas juste dire on a interdit les licenciements en fait ce qui est critiqué c'est tout un système tu peux pas dire dans le système actuel tel que ça fonctionne on interdit les licenciements ça ne fonctionnerait pas y'a pas un monde où on peut dans notre manière de créer de la valeur et de produire interdire les licenciements il faudrait tout remodeler on va voir donc recruter virer

  • Speaker #2

    malheureusement ça fait partie des responsables du champ d'entreprise donc sachez-le également quand vous prenez ce poste ben vous avez aussi cette responsabilité et pas rien sérieusement c'est vrai que c'est c'est moi je sais que personnellement avant d'annoncer ça c'est déjà arrivé quelques fois je passe pas mes journées à virer les jambes heureusement mais j'en ai déjà effectivement on a déjà séparé de quelques personnes sur cinq ans d'existence d'un cubox mal en général la nuit avant où je sais que tiens voilà je programme un rendez vous La nuit avant, je repars très bien. Et la nuit après, je repars très bien non plus. Parce que je sais, et je sais très bien, puisque j'ai une activité salariée, alors quelques temps finalement, je n'ai pas été salarié très très longtemps dans ma vie, mais ça m'est déjà arrivé de me faire lourder comme ça, d'être convoqué dans un bureau, quelqu'un en face qui dit, on est vraiment désolé, mais voilà, c'est pas toi, c'est moi.

  • Speaker #1

    Je me souviens que là, le personnage qu'on voit là,

  • Speaker #2

    c'est pas le vrai. Ah non, non, non.

  • Speaker #1

    C'est le personnage public, qui fait genre qu'il a des remises.

  • Speaker #0

    Bien sûr ! Non, non, parce que nous sinon on boit des coups, on boit des coups et on se fout de la gueule des gens en question.

  • Speaker #1

    T'as vu le coup de je dors mal la nuit d'avant et d'après

  • Speaker #0

    J'ai toujours vu Romain dormir, il dort très très bien. Je l'ai jamais vu souffrir d'ailleurs.

  • Speaker #2

    Je souffre du premier sommeil. C'est à chez lui. Alors en fait, le problème c'est ça,

  • Speaker #0

    c'est que comme vous êtes… Faut pas qu'il voyage en première classe, juste pour préciser certains sujets.

  • Speaker #2

    Je voyage pas en première classe, je voyage en business class.

  • Speaker #0

    Autant pour moi.

  • Speaker #2

    Excuse-moi, petite nuance. C'est un peu le souci de cet épisode, c'est que comme Clément qui est finalement le compère d'Hugo et qu'en plus ils sont côte à côte ils sont à deux contre moi et moi je fais ça. Bon, est-ce qu'on passerait pas au sujet suivant ?

  • Speaker #0

    Si, si, si, totalement. Bon bah du coup en synthèse, pour automatiser un business, vous avez forcément du côté humain, parce que du coup, l'une des manières d'automatiser un business, c'est de recruter, et donc il faut être ok avec les relations humaines, donc être ok pour recruter correctement, et être ok pour virer correctement aussi. Donc si vous êtes... pas à l'aise avec les humains et que vous les détestez, automatiser un business, c'est compliqué. Mais il vous reste malgré tout une solution parce qu'on peut automatiser un business aujourd'hui aussi sans prendre d'humains, notamment avec la technologie et les IA qui sont apparus. Est-ce que tu as des trucs qui te viennent à l'esprit que tu pourrais partager sur comment automatiser certaines actions ? C'est peut-être des exemples concrets.

  • Speaker #1

    Déjà, qu'on soit bien d'accord. Oui, tu peux automatiser un business à 100% si jamais tu es tout seul dessus et que tu ne peux pas travailler avec d'autres humains. Par contre ton business sera évidemment plus petit, tu ne peux pas commencer à aller taper un business à plusieurs dizaines de millions, il y a peut-être quelques contre-exemples, mais de manière générale tu ne pourras pas. Maintenant par contre, en étant tout seul, tu peux réussir à débrouiller, à automatiser à 100% ta petite boutique e-commerce avec ton SV qui est peut-être... Là justement j'ai un... D'ailleurs, il ne faudra pas trop tarder parce que j'ai un call avec Gorgias.

  • Speaker #2

    Le mec, il vient déjà, il s'incuse sur l'épisode et en plus, il va nous faire finir plus tôt pour faire son appel.

  • Speaker #1

    Par exemple, tu as des outils comme ça qui te permettent... Là, en fait, on n'aura quasiment plus besoin de personne dans le SAV. Si j'ai bien compris à quoi servait vraiment l'outil, il faudra que je le prenne en main, pour voir si ce n'est pas trop des paillettes qui m'ont vu dans les yeux.

  • Speaker #0

    Et ça se relie directement avec le sujet précédent. Si tu as besoin de quelqu'un pour le SAV, tu dois virer.

  • Speaker #2

    Voilà, tout simplement.

  • Speaker #1

    On n'aurait peut-être jamais dû passer par quelqu'un. On aurait peut-être déjà dû prendre le petit début. Non, mais c'est vrai qu'avec Lysia... Alors bon, après, moi, Lysia, attention, malgré que je sois dans la tech, j'ai quand même un avis... Bon, oui, il rejoint beaucoup de monde, je ne vais pas commencer à dire que j'ai un avis qui est tranché. Mais c'est l'avis de dire qu'il est trop tôt pour laisser encore les mains libres à Lysia. C'est un bon assistant pour l'instant, mais en vérité...

  • Speaker #2

    Je ne peux pas lui laisser les clés de la boutique.

  • Speaker #1

    Je suis partagé entre le fait de... À la fois, j'ai l'impression qu'il est trop tôt pour effectivement lui laisser les clés de la boutique, et ça fait juste un assistant pour l'instant. Et à la fois j'en entends certains parler qui disent Putain si je les écoute parler en fait l'IA c'est une IA surpuissante que moi je n'ai pas. Je n'ai pas cette IA là, je n'arrive pas à la trouver. Alors ils ont des petites techniques d'aller par exemple pour GPT ne pas le parler directement dans la chatbot mais sur le... comment il s'appelle l'interface... En gros c'est un espèce de truc comme si tu passais par l'API c'est pas exactement ça, j'ai oublié le terme. Je ne sais pas mais en fait ils... Je ne sais pas, moi pour moi le... Moi de mon point de vue l'IA n'est pas encore assez au point de toute manière pour vraiment...

  • Speaker #0

    Sur tous les supports en ce moment, les supports PayPal, Stripe, UPS, etc. Tous les supports des grosses boîtes sont passés avec des assistants virtuels. En tant que dans la position du consommateur, moi là, c'est en train de me faire péter des câbles. C'est parce que ce n'est pas au point.

  • Speaker #1

    Il ne faut pas tout confondre. Il ne faut pas confondre un support d'une boîte dont tu n'as pas le choix de te passer. Par exemple UPS, on s'en fout. Si tu ne fais pas UPS, PayPal c'est pareil. En tout cas du côté de notre côté à nous. Côté consommateur évidemment c'est important Par contre le SAV de ta boîte De ton e-commerce ou de ton SaaS Il a besoin d'être parfait On le voit de toute façon Le SAV des SaaS ou des trucs comme ça depuis 3 ans C'est une folie Ça te répand en 2 heures

  • Speaker #0

    C'est justement mon point De fait nous Il faut que ce soit parfait Et donc les IA pour avoir un sentiment Quand t'es consommateur bien C'est pas au point Moi en tant que consommateur Dès que je parle à une IA Peu importe le service, du coup, ça m'énerve. Surtout que c'est précisé comme tel. Tu dis, contactez-nous, contactez le support, bam, un chat où c'est écrit assistant virtuel. Je suis un putain. Je ne vous contacte pas.

  • Speaker #2

    Pour moi, ce n'est pas du support.

  • Speaker #0

    C'est une FAQ poussée, en fait.

  • Speaker #2

    C'est une FAQ poussée, exactement. Là aussi, tu as des process, tu as des questions qui sont déjà préécrites et des réponses préécrites. Mais est-ce que l'IA va vraiment t'aider ? Quand il y a quelqu'un... Alors, je fais vraiment mon vieux con, mais qu'est-ce que c'était bien quand il y avait des gens au bout du fil ? Tu appelais un support, il y avait quelqu'un, un humain... Le quinquagénaire. Le quinquagénaire, exactement. Je n'ai pas mes 50 ans, mais ce n'est pas grave.

  • Speaker #0

    Il y a eu Internet entre temps.

  • Speaker #2

    Non, mais c'est vrai. Et d'ailleurs, il y a des pays, par exemple, pour la Thaïlande, Sylvain me disait, lui, il appelle le support de n'importe quoi, ça banque tout ça. 24 heures sur 24, tu as un durée. Et le problème se règle tout de suite. Oui, je comprends, machin, tout, ça se règle. Alors que sinon...

  • Speaker #0

    PayPal, ça fait 6 mois.

  • Speaker #2

    Ouais, mais bon, Paypal, c'est Paypal, c'est un peu spécial, c'est des...

  • Speaker #0

    Voilà. Ça, on peut le dire, ça. Moi, j'ai plus peur de le dire. Honnêtement, là, je suis pas tant en guerre. Si jamais vous regardez ça et que vous êtes en train de faire des pétitions pour monter une équipe contre eux ou mettre des affaires de justice, j'en sais rien, j'en suis. Franchement, non, c'est trop. Ce qu'ils font, c'est trop.

  • Speaker #2

    Je dirais pareil, puisqu'il y a une grande partie de cet argent bloqué qui est le nôtre. Je dirais pareil.

  • Speaker #0

    On est déjà à 2, 3 avec Clément.

  • Speaker #2

    OK, bon, très bien. Y a-t-il encore des sujets sur cet épisode ?

  • Speaker #1

    Comment vous concluez d'habitude ?

  • Speaker #0

    On ne conclut jamais.

  • Speaker #2

    On ne conclut pas, on dit bon ben voilà c'est fini, merci, au revoir, à bientôt.

  • Speaker #0

    Non mais en tout cas on conclut, il nous reste encore 10 minutes, tu pars à 15 ?

  • Speaker #1

    Ouais, ouais.

  • Speaker #0

    Bon, une dernière question puis on conclut. Alors attends, laquelle on va prendre ? Comment déléguer correctement freelance, agence ou salarié ?

  • Speaker #2

    Pardon ?

  • Speaker #1

    Il y a tellement de sujets. freelance, agence ou salarié ouais ça dépend non mais déjà salarié media buying par exemple plutôt un freelance plutôt une agence plutôt un salarié freelance parce qu'il faut payer aux résultats ou agence mais pas salarié parce qu'il faut payer aux résultats pas un truc comme ça je pense ok pourquoi ? parce que t'as besoin c'est un métier qui est super important t'as besoin d'avoir un suivi qui est qui est parfait qui est pointilleux ouais en fait il y a certains métiers comme ça qui doivent être payés aux résultats je pense

  • Speaker #2

    Moi, je pense qu'en même en dehors du métier, personnellement, je préfère payer des freelances pour deux raisons. Première raison, c'est qu'il n'y a pas de charge.

  • Speaker #0

    Oui, forcément.

  • Speaker #2

    Déjà, donc évidemment, la personne... Et en fait, on travaille avec des gens qui ont un profil d'entrepreneur eux-mêmes. Ce sont des gens qui ont leur propre entreprise, en fait. Et donc, c'est simplement... Voilà, c'est une mission qui peut être plus ou moins longue, mais n'empêche que voilà, ils ont cette... capacité de travail et cette implication comme quelqu'un qui ferait le boulot comme toi quoi quelque part alors qu'un salarié malgré tout bon bah il fait ses horaires il a son petit salaire il a son tu vois ce que je veux dire c'est la mentalité salarié c'est vraiment une sorte de mentalité en fait je pense moi

  • Speaker #1

    dans mon exemple à moi en fait si jamais tu prends un freelance pendant plus de trois mois que tu peux venir dans tes bureaux et tout pour moi c'est un salarié alors effectivement fiscalement c'est pas la même chose ça va être un freelance demain si tu dis c'est fini c'est fini

  • Speaker #2

    il n'y a pas de plateau prud'homme sauf si il y a un droit qui dit que ça quand on ressentit c'est tout comme dans la merde dont on travaille alors est-ce que c'est faire c'est faire plé quelque part de dire la personne est là elle a ses horaires comme un salarié mais on lui refuse ce statut sauf

  • Speaker #1

    si les personnes sont d'accord je pense que ça n'a pas un vaste communicant dans le salaire déjà si jamais à deux temps dessus Tu payes 2000 la personne, si jamais tu débourses 4000 pour un salarié et 2005 globalement pour un freelance pour que lui touche 2000 net, bah du coup tu fais un espèce de base communicant où du coup tu la payes 3000, un truc comme ça.

  • Speaker #2

    Bah peut-être ouais.

  • Speaker #1

    Pour qu'elle du coup elle ait 2005 et pas 2000 en CDI.

  • Speaker #0

    Ouais, généralement les freelances s'y retrouvent et les entreprises aussi.

  • Speaker #1

    Ouais, naturellement un freelance est mieux payé qu'un...

  • Speaker #2

    Un freelance est mieux payé et moi j'ai tendance à vachement mieux payer d'ailleurs un freelance parce que justement je vois qui s'implique et quand je vois que l'application est réelle... tu te dis, on n'est pas sur un poste salarié, tu n'as pas tes congés payés, tu n'as pas ta prime. On a souvent des rémunérations. Moi, je n'aime pas payer des charges pour l'État, ça c'est clair. Par contre, la retraite, la sécu, tout ça, chacun a son problème. Mais par contre, si la personne fait du bon taf, il n'y a aucun souci pour très bien la payer.

  • Speaker #0

    Vraiment. C'est le plus fascinant. t'es à un poste important tu voudrais bien payer le contrat de travail salarié te bloque et en fait ça devient très risqué alors qu'effectivement en freelance tu peux très vite déjà bouger si jamais tu peux tu peux dire au début voilà on te paye 4000 balles c'est pas dangereux pour toi parce que tu peux te séparer de la personne quand tu veux tandis que si tu dis 4000 en fait c'est ce que vaut ce poste sauf que toi tu dois en sortir 8 et t'es engagé auprès de la personne et après du coup tu peux te trouver bloqué t'as envie de dire bah non moi je vous propose un contrat à l'ouest parce que faut surtout sécuriser et si tu paies quelqu'un de 4000

  • Speaker #2

    Alors d'accord, lui aussi a des charges en tant que freelance, mais c'est du service, c'est quoi, 22-23% ? Oui, c'est ça. Bon d'accord, ok, mais les 4 000, il les a. Alors que si tu as vraiment ce budget de 4 000 pour ce poste, ce n'est pas 8, c'est 4. Ça veut dire que bon, je t'embauche comme salarié, mais en fait, dans ta poche à la fin, ouais, mais tu cotises pour ta retraite, ne t'inquiète pas. Mais n'empêche que la personne à la fin du mois, elle a 1950 euros dans la poche. Elle a même un petit 2 000, quoi. donc là c'est pas la même motivation non plus de venir au boulot alors que toi par contre ça change rien tu donnes 4000 et en plus elle a droit à ses 5 semaines de congé elle a droit à ceci,

  • Speaker #0

    elle a droit à cela auquel que toi c'est normal les petites structures pour moi les petites structures qui sont pas enlevées de fonds peuvent pas très rarement recruter des salariés aujourd'hui avec l'ensemble des charges ou ce qui protège un salarié j'ai une structure où on est 4 moi demain il y a quelqu'un dans l'équipe qui dit qui tombe malade qui pose un arrêt maladie, nous la boîte, c'est pas qu'elle est finie mais c'est qu'on a, tu amputes un membre à part entière et du coup soit tu remplaces la personne du coup tu ressors le double, ça te coûte le double enfin voilà, une petite structure, on peut pas se permettre ça c'est pas possible ou alors en fait c'est une croissance incroyable c'est pour ça qu'il faudrait je pense différencier ces contrats là il pourrait y avoir le même CDI pour Toyota et pour un cabinet comme ici il y a, c'est pas possible ça ne peut pas être les mêmes règles du jeu ça ne peut pas fonctionner comme ça les enjeux ne sont pas les mêmes ok,

  • Speaker #2

    ben écoutez, en concluant sur cette je vais dire un second elle est un store une nouvelle conclusion non mais j'ai pas d'idée, mais on en débat c'est le pire non mais faut vraiment qu'on arrête avec ces petits boutons c'est tentant, vous savez, on a une console au mixage qui est là avec des boutons et des sons préenregistrés qui ne font rire que nous, malheureusement.

  • Speaker #0

    Il faut conclure, sinon tout le monde va partir et le watchtime sera mauvais. Là, on ne peut pas rester comme ça.

  • Speaker #1

    Clap de fin, merci d'avoir regardé.

  • Speaker #0

    Abonnez-vous, mettez un commentaire, activez la cloche. N'hésitez pas à aller nous suivre sur nos réseaux sociaux, sur nos autres chaînes YouTube. N'hésitez pas à nous contacter si vous avez besoin de nous. Sinon, on vous embrasse, on vous dit à la prochaine pour de nouvelles aventures.

  • Speaker #2

    Allez, refais ton clap.

Description

Bienvenue sur le douzième épisode de notre chaîne de podcast orientée Business pour les entrepreneurs hors systèmes !
Aujourd'hui Clément, développeur talentueux, nous rejoint pour nous partager ses astuces et concepts pour automatiser un business et puis.. la discussion part dans tous les sens !
C'est parti !

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Bienvenue sur "Hors des clous", la chaîne de podcast de l'entrepreneuriat en roue libre ! Hors des clous est votre nouveau sanctuaire si vous êtes de ces entrepreneurs visionnaires, audacieux et ouverts d'esprit, qui refusent le chemin tout tracé vers la fameuse "sécurité de l'emploi" d'un emploi salarié, les 5 semaines de congés, les chèques restaurants, le modeste pavillon de banlieue, les déjeuners chez belle-maman le dimanche midi avant d'aller laver le Scenic et finir le week-end avec la boule au ventre en pensant à votre patron qui vous attend au bureau le lendemain matin...

Si vous ne vous reconnaissez pas dans ce portrait du français moyen, vous êtes les bienvenus sur cette chaîne ! À travers nos épisodes de podcasts sous forme de discussions ouverte avec ou sans invités, nous explorons les thèmes qui sont chers aux entrepreneurs aventureux en quête de liberté financière et géographique !

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Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour à tous et surtout à vous les intrépides aventuriers de l'entrepreneuriat. Vous qui avez troqué votre badge de bon petit salarié contre un rêve de liberté et d'adrénaline, en vous lançant dans votre business à vous. Alors que vous en soyez à vos débuts d'entrepreneur ou que vous soyez plus avancé, et même si ce n'est encore qu'un projet, rejoignez-nous sur la chaîne hors des clous, l'entrepreneuriat en roue libre. Je suis Romain, entrepreneur dans différents domaines depuis plus de 15 ans et fondateur d'Inkubox. et je suis accompagné par Hugo, le maestro du media buying et expert en e-commerce. Nous serons là à chaque épisode pour booster votre esprit d'entreprise avec un cocktail d'étonnant, d'inspiration et de rêve. C'est parti !

  • Speaker #1

    Bonjour à tous et bienvenue dans ce nouvel épisode de Hors des Clous.

  • Speaker #0

    Alors vous l'avez remarqué peut-être, on a un invité un peu spécial aujourd'hui mais qui n'a pas vraiment le profil d'un invité normal puisqu'il n'a pas une caméra. pointé uniquement sur lui. Il partage l'écran aujourd'hui.

  • Speaker #1

    C'est parce que ça a vraiment été improvisé pendant le déjeuner, c'est-à-dire il y a une heure. C'était pas prévu, donc du coup on avait prévu que deux trépieds sur trois.

  • Speaker #0

    Exactement. Donc pour information, Clément fait partie de l'équipe, l'équipe d'Hugo. On va dire voilà, c'est un peu des choses comme ça. On a l'impression que vous êtes ensemble, dans la vie également. Donc c'était intéressant d'avoir votre ressenti, surtout dans cette période électorale.

  • Speaker #2

    Quand le piège est à fond.

  • Speaker #1

    J'ai lu les sujets, ça ne fait pas partie, je crois.

  • Speaker #2

    Non, ça ne fait pas partie des questions.

  • Speaker #1

    Je ne sais pas si on en a besoin pour les...

  • Speaker #0

    On va se calmer, parce que cet épisode, pour l'instant, c'est un gros bordel. Si vous nous écoutez, ne partez pas tout de suite. On va parler de choses intéressantes.

  • Speaker #2

    On a parlé des naines de soleil et tout. Il y a encore beaucoup d'anomalies qui ne sont pas encore résolues.

  • Speaker #0

    Ouais, bon, écoute, j'ai une conjonctivite. J'ai le droit de mettre des lunettes de soleil.

  • Speaker #2

    C'est par solidarité, figure-toi.

  • Speaker #0

    Exactement.

  • Speaker #1

    Le plan c'est les lunettes, on fait qu'on les garde, comment ça se passe ?

  • Speaker #2

    Bah on va laisser les gens répondre en commentaire et du coup tant qu'ils ont pas répondu on les garde Non,

  • Speaker #1

    moi je les garde maintenant Mais c'est bien,

  • Speaker #0

    c'est bien, garde un petit peu le sérieux 100% improvisé,

  • Speaker #1

    je me rends pas compte,

  • Speaker #0

    là on entend que tu signales que t'es un oeil au bord avec la boxe

  • Speaker #2

    C'est vrai que toi t'as un vrai,

  • Speaker #1

    t'es un mec si tu mets C'est vrai qu'on entend aussi bien ici qu'ici,

  • Speaker #2

    y'a pas de soucis Quand tu sors en arrière,

  • Speaker #0

    c'est beaucoup mieux quand t'es un peu plus près du micro Alors écoutez C'est parti Aujourd'hui on va essayer de parler quand même d'un thème, le but n'est pas non plus... Je vous avoue on a bu un petit verre, on est tous très gays, il fait assez chaud, on a bien mangé, des choses comme ça. Donc voilà, on est un petit peu énervés, mais on va essayer de se recentrer autour d'un sujet quand même qu'on va essayer de traiter ensemble. Et on va profiter de la venue totalement volontaire d'ailleurs de Clément sur ce podcast. Ça fait plusieurs fois qu'on lui demande, si vous avez écouté les podcasts depuis le début, lors du premier épisode il me semble, on avait présenté Clément. Et on avait demandé, on avait même demandé en commentaire, d'ailleurs personne n'a répondu, puisque peu de gens ont vu cet épisode. Est-ce que vous voulez que Clément vienne ? Déjà les gens n'ont pas vu l'épisode, ils ne savaient pas qu'il était Clément. Il était déchaîné. Donc aujourd'hui Clément est là, et ça nous fait plaisir d'avoir quelqu'un avec des réponses en général, un avis on va dire tranché, des réponses incisives. Ne pars pas dans l'insulte comme tu le fais habituellement, si c'est possible. Mais on va parler d'un thème qu'on a préparé quand même un minimum sur le papier.

  • Speaker #1

    Pour un problème, pour représenter le sérieux de l'émission, le thème était vraiment préparé depuis la semaine dernière avant même de savoir que j'allais faire faire ça un moment ou un autre. Donc le thème n'est pas du tout choisi par rapport à moi.

  • Speaker #0

    Absolument pas.

  • Speaker #2

    On te le dit. Ça tombe plutôt bien.

  • Speaker #1

    Quand tu m'as lu ça, je me suis dit j'ai eu le temps de préparer ça.

  • Speaker #2

    J'aurais pu faire semblant d'être quelqu'un de très intelligent qui a préparé ça en deux minutes, mais non, c'est juste qu'effectivement tu tombes plutôt bien parce que, oui, en fait, Clément a un rôle dans notre équipe et c'est notamment le geek. technique développeurs etc et en fait quand il ya des sujets d'automatisation dans notre business et ben c'est toujours sur lui que ça tombe et il s'avère que le sujet du jour c'est la méthode secrète pour automatiser un business à 100% et donc finalement ça tombe très très vite on peut bien parce que tu as toujours des bonnes recettes dans

  • Speaker #0

    notre business à nous je pense qu'il ya des conseils que tu pourrais donner également alors on parle de quoi d'abord Quel type de business ?

  • Speaker #2

    Finalement, on va parler de beaucoup de choses, surtout sur comment déléguer et comment mettre en place des outils IA, mais on peut parler de tous les sujets. Nous, forcément, on va avoir un prisme à savoir du coup le e-commerce, donc on va surtout parler d'automatisation et de comment on a délégué en e-commerce mais bien entendu, on peut traiter toute forme de... Typiquement sur comment automatiser avec l'IA, je pense qu'on peut en parler un petit peu au moins et que ça peut concerner des e-commerce mais également d'autres activités. Et puis tu as ton prisme à toi sur le côté e-commerce toujours mais côté logistique, côté agent qui du coup va aussi avoir des sujets d'automatisation. Parce que dans l'automatisation, on va parler d'outils, on va aussi parler de ressources humaines. L'idée, c'est de savoir comment est-ce qu'on peut, nous, entrepreneurs, créer une activité, mettre en place un business, puis se mettre à côté, ne plus rien foutre et encaisser de l'argent. C'est ça qu'on entend par automatiser un business. Donc, ce n'est pas forcément que des trucs techniques, ça peut être aussi de l'humain. Comment bien manager, comment bien processer une équipe, comment du coup recruter, comment virer également. Tous ces points-là finalement. Voilà, exactement. Et tu vas pouvoir du coup nous en parler. Et moi, ce que je vous propose, c'est qu'on commence directement sur la première question finalement. Donc on est là, on est entrepreneur, on a lancé notre business. Qu'est-ce qu'on délègue en premier selon vous ? Alors vous allez me dire, oui, mais ça dépend du business, oui d'accord. Mais du coup, quelle catégorie de choses est-ce qu'on peut déléguer en premier ?

  • Speaker #0

    Je l'ai déjà dit tout à l'heure dans un autre épisode que vous avez peut-être vu, moi je pense que c'est le service client, ce qui est vraiment plus toxique en fait. Le SAV, alors c'est en même temps très important d'avoir toujours le nez dedans, c'est-à-dire que si vous le déléguez à quelqu'un, déjà il faut le déléguer à quelqu'un de professionnel, quelqu'un dont c'est le métier, qui ne va pas s'énerver, parce qu'on va toujours répondre à des gens qui sont souvent de mauvaise foi, souvent agressifs, etc. Donc, il faut quelqu'un qui puisse répondre de manière calme en suivant les process. Il faut établir des process en amont, évidemment. Mais c'est très important d'avoir toujours le nez dedans aussi pour voir quelles sont les remontées. Alors, en dehors des où est mon colis si on parle de l'e-commerce, mais c'est simplement aussi les remontées d'informations sur le service ou le produit qu'on vend, quelles sont les remontées finalement des utilisateurs. Donc, c'est très important comme Paul, mais en même temps, c'est très chronophage et ça… engendre énormément de négativité au quotidien dont on peut se passer je pense quand on développe un business on n'a pas besoin de ça au contraire on a besoin d'avoir un mindset qui soit positif énergique dynamique et donc première chose à déléguer pour moi c'est ça et ça plus ou moins peu importe le business je pense que en fait le

  • Speaker #2

    savait c'est généralement effectivement un truc qui est trop toxique et qui n'a pas une grande valeur ajoutée à le faire toi même en fait c'est pas trop de clairement sur tous les process ou mais pardon clément de manière générale c'est surtout les tâches qui sont les plus les plus récurrentes les plus répétitives

  • Speaker #1

    Le SAV du coup c'est le meilleur exemple parce que ça fait partie de tous les business, il y a forcément du SAV. C'est une tâche qui est répétitive, donc c'est la tâche qui est la plus facile à processer et donc à déléguer. Mais en vrai, de manière générale, ça fait toutes les tâches qui vont être répétitives je pense.

  • Speaker #2

    Moi de tête, là je pense directement aux newsletters, l'animation de réseau, des choses comme ça qu'il faut faire en fait, encore une fois en e-commerce, mais aussi sur d'autres business, des récurrences pour animer ta communauté, c'est des choses qu'il faut que tu fasses, sinon ton business il peut mourir doucement mais sûrement. autant le déléguer parce que voilà c'est un truc que tu as toujours animé les réseaux si on met des stories mais des publications parler avec l'audience répondre aux commentaires etc il ya un moment donné où ça fait plus trop sens que ce soit le fondateur qui s'occupe de cinq ans évidemment cependant le bémol c'est qu'il faut ça suffisamment avoir une image de

  • Speaker #0

    marque quelque chose soit encore une fois le business qu'on fait suffisamment clair développer précise avec presque une charte tu vois une sorte de qu'on appelle ça de direction artistique Une direction artistique ou un white paper, quelque chose qui va vraiment expliquer qui on est, à qui on s'adresse, qu'est-ce qu'on fait pour que la personne qui prenne cette mission comprenne bien et puisse se mettre vraiment dans nos chaussons. Parce que on l'a vu d'ailleurs, on a déjà, moi j'ai déjà essayé de déléguer également, notamment mes réseaux, notamment Instagram, LinkedIn, etc. Et c'est vrai qu'une fois sur deux, je me dis j'aurais pas dit les choses comme ça, j'aurais pas parlé de ça comme ça, j'aurais pas exploité cette photo, cette vidéo comme ça.

  • Speaker #2

    C'est pas ça, tu déléguais...

  • Speaker #0

    carrément l'animation de tereso à toi en tant que romain quoi c'est pas une marque c'est vraiment ce qui est moi c'est c'est en fait c'est particulier parce que c'est vraiment sur du du personnel branding quelque part dans quelque part oui j'avais toujours à redire parce que quand c'est une marque à imite effectivement tu as swiped paper effectivement qui définit un petit peu voilà les

  • Speaker #2

    grands traits les messages les valeurs sauf que quand c'est toi dans tous les cas c'est pas juste toi tu interprèterais ta marque différemment et t'as délégué à quelqu'un qui va l'interpréter d'une autre manière là dans tous les cas on parle de quelqu'un qui doit interpréter toi est incarné Le challenge n'est pas le même aussi pour la personne que tu recrutes. En fait, il faut quelqu'un qui presque, d'une certaine manière, te suit un petit peu depuis un moment pour rentrer dans tes baskets et réussir à communiquer de la même manière que toi.

  • Speaker #0

    Je pense que ça prend du temps, déjà, première chose. Si quelqu'un débarque, admettons, tu recrutes quelqu'un dont c'est plus ou moins le métier, mais qui arrive là et qui ne connaît absolument rien de ce qu'on fait, il faut quand même du temps, il faut quand même être derrière elle un sacré bout de temps. Et surtout, c'est un poste clé, car la communication sur les réseaux, il suffit d'une mauvaise story, d'un mauvais poste. avec un message qui n'est pas du tout le message qu'on veut faire passer, et la personne a suffisamment d'autonomie, enfin pense avoir suffisamment d'autonomie pour d'elle-même délivrer un message, il faut qu'il y ait un contrôle, je pense absolu. D'ailleurs on l'avait fait aussi, même si ce n'était peut-être pas suffisant, moi je l'avais fait, notamment en utilisant Notion, avec une sorte de tableur finalement, et chaque poste était renseigné avec le texte, le design, soit la photo, soit la vidéo, peu importe, le message, etc. Et ça devait être... valider mais le problème c'est quand on n'a même pas assez de temps pour valider ou d'être en retard dans la visitation et des postes qui sortent bon bref après ça c'est une organisation interne mais je suis d'accord c'est très long ça prend beaucoup de beaucoup de temps mais c'est pas un métier en fait qui peut s'exercer tout seul dans son coin parce que bon faire quelques Comment dire ? Quelques posts, quelques stories, animer les réseaux, c'est bien, mais il faut quand même du contenu derrière. Oui,

  • Speaker #2

    tu dois. Il faut de la photo,

  • Speaker #0

    il faut de la vidéo, il faut du contenu des concours, il faut du texte. Est-ce que cette personne peut faire ça toute seule ? Je ne pense pas.

  • Speaker #2

    Ce n'est pas évident.

  • Speaker #0

    Ce n'est pas forcément évident, sinon elle n'a pas de matière. Elle tourne vite en rond, elle va trouver des astuces, mais au bout d'un moment, elle va tourner en rond. Donc, il faut aussi prévoir un poste. Est-ce que c'est vous qui vous occupez de ça ou est-ce qu'il faut déléguer également ?

  • Speaker #2

    justement la création de contenu quel que soit le business encore une fois j'ai vu que il y a beaucoup de créateurs de contenu notamment qui délèguent pas ça qui délèguent tout le reste mais qui vont déléguer le montage qui vont déléguer la réale et tout mais qui vont garder cette animation de réseau donc moi je pense que ça c'est vrai pour une marque par exemple donc une marque que si tu crées une marque de bijoux par exemple tu peux déléguer ton animation de réseau mais je pense qu'effectivement la personal brand c'est

  • Speaker #1

    très difficile à déléguer correctement tu veux dire que quand tu postes sur les réseaux du coup c'est pas toi qui parle j'avoue qu'on a pas tout dit ça

  • Speaker #2

    Là, l'audience est trahie.

  • Speaker #0

    Alors, honnêtement, depuis un moment, c'est moi qui parle. Et d'ailleurs, il n'y a plus de post. Je ne sais pas comment c'est. Je n'ai pas le temps de les faire. Mais oui, pendant un temps, ce n'était pas moi qui parlais. Tout à fait. Donc, ça m'a déjà fait marrer de me dire, oh, dis donc, tu as été fort dans ce que tu as dit hier.

  • Speaker #2

    Je ne sais pas ce que j'ai dit hier.

  • Speaker #0

    Ce n'est pas ce que j'ai dit, je l'allais voir. Mais oui, c'est vrai que c'est les limites quand même de ce principe-là. C'est que ça permet effectivement d'entretenir la publication. Maintenant. Je trouve aussi que malgré tout, la valeur ajoutée est quand même moindre que si on se casse la tête soi-même, parce qu'on connaît notre business, à publier nous-mêmes, à chercher des choses. Ou alors, il faut simplement tomber sur la bonne personne. Je ne suis peut-être pas tombé sur la bonne personne non plus. Je suis tombé sur une personne compétente, motivée, mais qui ne comprenait peut-être pas l'étonnant, les aboutissants vraiment de mon business et qui, du coup, faisait parfois des petites boulettes.

  • Speaker #2

    Je pense qu'on peut parler de ça, ce n'était pas forcément dans l'ordre qui avait été écrit, mais du coup, l'une des manières d'automatiser un business, finalement, c'est de recruter, donc c'est des ressources humaines, c'est tout simplement faire rentrer des gens dans son business pour faire en sorte que les gens prêtent ce qu'il y a à traiter pour que le business tourne. Est-ce que vous avez des points de vue sur la manière dont on peut recruter ? A quoi est-ce que vous faites attention ? Est-ce que vous avez des process ? Est-ce que c'est flou ?

  • Speaker #1

    Déjà, je pense que là, ce dont on parlait depuis tout à l'heure, ça nous a permis de mettre le point sur peut-être la deuxième règle importante pour déléguer correctement. c'est pas déléguer un truc que tu as jamais fait. Je pense que là, l'exemple que j'ai, c'est il y a peut-être deux mois, j'ai délégué à la personne qui fait le SAV la gestion du trust pilot, parce que ce n'était pas assez bien fait jusque-là. Donc du coup, j'ai été obligé de le reprendre en main pendant deux semaines. Et non seulement de le prendre en main, mais en plus, de le prendre en main de manière à faire attention à ce que je fais et toujours être en train de noter les étapes que je fais une par une pour que derrière, quand elle, elle puisse le reprendre, du coup, elle ait vraiment une liste à plus de trucs à suivre. Et je pense que ouais, tu... recruter sur un truc que t'as jamais fait toi que tu maîtrises pas du tout, en tout cas quelqu'un qui t'a confiance,

  • Speaker #0

    le maîtrise et peut surveiller correctement c'est un enfer tu peux pas savoir si le boulot est bien fait ou pas, t'en sais rien je connais rien le nombre d'heures il peut dire ce qu'il veut,

  • Speaker #1

    c'est un métier aussi bon moi je suis dev donc ça va mais par exemple le dev c'est tellement abstrait comme métier que pour un site je pourrais dire que j'ai besoin de 4h comme 50h que ce serait la même chose pour toi j'y verrais rien,

  • Speaker #0

    j'y verrais que du feu

  • Speaker #1

    designer même principe tu t'en rends pas compte faire un logo ça peut prendre entre 30 minutes et quatre jours tu es en train de nous faire comprendre que finalement quand tu dis que ça prend 50 heures par an si tu mets quatre heures c'est ça ici il ya 50 heures en fait il ya à peu près quatre heures de code et

  • Speaker #2

    46 heures de netflix à peu près à la commune et c'est important parce que dans les flics tu apprends beaucoup de choses mais puis tu regardes des films sur les codeurs j'ai pas d'exemple bien sûr bien sûr bien sûr mais la playlist la série sur spotify d'accord ok bon sachez le quand vous demanderez un de mes lieux clément

  • Speaker #0

    Les 50 heures, il y a beaucoup de temps.

  • Speaker #2

    Non, mais c'est pour ça que les gens passent par moi pour le devis. D'accord.

  • Speaker #1

    Parce que Hugo va doubler, il va dire qu'il y en a pour 100 heures. T'imagines pas ?

  • Speaker #0

    Bien évidemment,

  • Speaker #2

    c'est le vieux cours. C'est pas du tout du business.

  • Speaker #0

    Sinon, pour recruter, moi, c'est vrai qu'au début, je vais vraiment parler pour moi, pour Inkubox.com. Quand on a commencé, on recrutait des gens. En fait, moi j'ai recruté des gens qui étaient plus ou moins des gens proches de moi, donc des amis, des gens... J'ai recruté par exemple quelqu'un qui s'appelait Olivia. Olivia, si tu nous vois dans cette vidéo, je te fais la bise.

  • Speaker #2

    Tu peux te manifester en commentaire.

  • Speaker #0

    Tu peux te manifester en commentaire. Donc j'étais vraiment content parce que c'est quelqu'un avec qui j'avais travaillé dans un job plus ou moins alimentaire, on va dire, pendant quelques mois quand même, presque une petite année. Et bon, elle non plus, elle n'était pas faite pour ça du tout. Et donc c'est vrai que finalement, elle était... Au moment où j'ai créé Inkubox, quelques mois après, j'avais besoin de quelqu'un qui joue le rôle d'une assistante plus-plus, et qui joue aussi le rôle de semi-commercial, etc., qui travaille sur des dossiers. Et c'est vrai que c'était pratique pour moi de prendre quelqu'un qui était proche de moi, parce que j'avais vraiment confiance en elle. Je pense que c'est très important d'avoir confiance, plutôt que de prendre quelqu'un qu'on ne connaît pas du tout. Et qui peut aussi un peu mentir sur ses prestations. On a déjà eu l'expérience. Hugo, si tu vois de quoi je ne vais pas dire le nom, mais on sait très bien de qui on parle.

  • Speaker #2

    On va faire de l'inchage.

  • Speaker #0

    On va faire de l'inchage, mais il y a certaines personnes qui vont vous dire Oui, moi je sais faire ceci, je vais faire cela et après ils font de la merde totale. On aurait peut-être quand même dû leur faire passer un deuxième entretien. Ou leur demander un petit peu quand même qu'est-ce qu'ils font finalement. Donc c'est ça dans les conseils que j'ai.

  • Speaker #1

    Je veux savoir de qui vous parlez.

  • Speaker #0

    Je crois que tu sais.

  • Speaker #2

    Ah mais il y en a choqué plus d'un.

  • Speaker #0

    Donc pour revenir sur Olivia, en fait, c'est simplement que ça se passait vraiment très très bien le travail ensemble. Mais c'est vrai qu'après, elle a aspiré aussi, elle avait une vie de famille, elle avait déjà deux enfants, elle a eu un troisième enfant, etc. Elle a aspiré, elle voulait déménager, etc. Donc bon, c'est quitté comme ça. Mais ce que je veux dire, c'est que pour faire des recrutements vraiment sur le long terme, il faut vraiment connaître les gens aussi et connaître leurs aspirations sur un temps long. Parce que le temps de formation, il faut vraiment le prendre en compte. J'ai par exemple j'ai un client on va dire qui m'a qui me disait mais moi de toute façon quand je recruterai je prendrais que des stagiaires. Bah je dis c'est bien ça coûte moins cher et tout, des stagiaires sur la trois mois six mois à peu près bon bah ça permet vraiment c'est moins cher.

  • Speaker #1

    Oui mais ça dépend encore une fois du poste que tu recherches. Là on parlait tout à l'heure d'un poste de SAV, en vérité pour du SAV un stagiaire c'est très bien. Ouais c'est vrai. Par contre pour un poste qui a besoin, qui est un métier plus abstrait où tu as du mal effectivement à estimer le temps de travail. développeurs, designers ou beaucoup d'autres métiers. Ouais effectivement là c'est...

  • Speaker #0

    Mais c'est le temps de formation en fait, tu vois, qui me pose problème. C'est-à-dire que tu formes quelqu'un, c'est-à-dire que tu es derrière pendant peut-être deux semaines, un mois...

  • Speaker #1

    Ça dépend beaucoup de la qualité des process. Moi je passe beaucoup de temps à faire des process et vraiment un bon process tu te rends compte que tu gagnes beaucoup de temps. En fait tu gagnes pas juste deux semaines parce qu'en fait tu gagnes deux semaines à chaque fois que la personne est remplacée. Donc en fait si jamais tu allais remplacer quatre fois dans l'année, tu as gagné huit semaines.

  • Speaker #2

    Donc effectivement si tu as des stagiaires qui rentrent et qu'il y a un roulement tous les deux mois et que tu as déjà... Ouais voilà tu sais, tu fais des vidéos et tout. Et tu sais tu mets tout, bah là c'est le pack découverte. Et après tu dis bon bah pendant trois, quatre jours, celui qui te précède et qui n'est pas encore parti, surveille. Ça peut se processer.

  • Speaker #1

    Je le sais aussi pour les clients de l'accompagnement de Genesys aussi, c'est le même principe. Ça process qui est bien clair, qui est bien carré, qui est d'ailleurs que... qui mérite quelques ajustements maintenant ?

  • Speaker #0

    Non, mais c'est vrai que les process, c'est très important. Mais moi, j'entends selon les postes, effectivement, il y a des postes qui demandent quand même un accompagnement pour justement une compréhension de qui on est, qu'est-ce qu'on fait, précisément, quel message à apporter à nos clients, à nos prospects. C'est long en formation. Et puis, des stagiaires qui sont là pour deux, trois mois, le niveau de motivation peut être variable en fonction de la personne. Tu ne sais pas du tout. Elle est là, elle valide son stage. Bon, après, je ne sais pas. Tant mieux si ça se passe bien, mais c'est pas non plus un métier d'avenir pour elle. Il y en a des très très bons, j'ai déjà travaillé des stagiaires, excellent. Anthony, si tu me vois, pareil. Anthony, super. J'en ai eu d'autres, j'en ai rien à foutre.

  • Speaker #2

    Ça dépend de la difficulté de prise en main aussi, moi je me rappelle quand je suis devenu commercial pendant un temps, c'était pas qu'une question de process, mais on m'a donné un discours, on m'a donné tout un tas d'outils que je pouvais utiliser, mais il y avait aussi un bout d'un moment, moi, qui devais me faire au rôle, à la démarche, etc. Il a fallu un bon mois avant que j'arrive à être performant. Après ça a déroulé mais pareil quand j'ai cédé mon poste, effectivement il avait pareil fait ce truc de roulement où je devais donc former le prochain, en l'occurrence la prochaine, mais grave galère en fait, en l'occurrence pour ce poste là c'était pas tellement le process, c'était vraiment le fait de le faire, il faut se roder quoi, donc c'est vrai que ça dépend encore une fois, ça dépend les postes, il y a des postes qui sont plus faciles à déléguer que d'autres et à automatiser que d'autres.

  • Speaker #0

    Donc le recrutement pour revenir à la question finalement, comment recruter ? Si possible donc. Ne pas forcément recruter quelqu'un parce que c'est un proche ou parce que c'est un ami. Déjà, les amis, ça peut être compliqué.

  • Speaker #2

    Moi, je fais que ça.

  • Speaker #0

    Je sais, mais ça peut être une bonne idée, mais ça peut être compliqué.

  • Speaker #1

    J'y pense parce que tu en parles là. Est-ce qu'ils sont au courant de notre rencontre ? Comment elle s'est passée ? Tu l'as déjà ?

  • Speaker #2

    On pourra la raconter. Ça m'embête parce que j'ai une vidéo qui sort sur le sujet. Vraiment, c'est le titre.

  • Speaker #0

    C'est vrai.

  • Speaker #1

    On va rajouter la rencontre entre Clément et Hugo.

  • Speaker #2

    cette grande romance très romantique.

  • Speaker #1

    Tu la connais toi l'histoire ?

  • Speaker #0

    On me l'a déjà racontée mais je t'avoue que je l'ai oubliée.

  • Speaker #2

    Ils s'en foutent, ils s'en foutent. Bah tu sais quoi, on oublie ces histoires de recrutement. Comment est-ce que nous on s'est fait chez Scenaria ?

  • Speaker #1

    J'y pense parce que tu parles de ne pas recruter ses amis au début. Moi quand je suis entré dans l'équipe d'Hugo, effectivement, il cherchait que des copains à l'époque. Parce que bah en fait ça faisait partie de ton truc de dire qu'en gros la force d'une boîte au début, enfin la force d'une boîte, elle est directement égale à la force de ses premiers attaqués. T'as pas le choix. Et donc en fait quand tu prends un copain, effectivement il est tellement plus engagé dans le projet que si jamais tu recrutes quelqu'un pour un salaire, parce que déjà moi quand je suis rentré, je ne suis même pas rentré pour un salaire au début.

  • Speaker #2

    Heureusement,

  • Speaker #0

    il y a eu bien ce qu'il y a,

  • Speaker #2

    il n'y a pas de cas où tu n'aurais pas été content.

  • Speaker #1

    Attends, j'ai quand même fait 800 euros en trois mois.

  • Speaker #2

    C'était un début d'activité.

  • Speaker #1

    Bon, la rencontre avec Hugo.

  • Speaker #2

    Ouais, alors en fait, avec Clément, on se connaît des jeux de vidéo. On jouait ensemble, on devait avoir 14-15 ans dans ces eaux-là.

  • Speaker #0

    Avec Bardella, vous jouiez sur Call of Duty.

  • Speaker #1

    Toujours des glissades comme ça

  • Speaker #0

    Comment ça comme titre ?

  • Speaker #2

    Moi, ça ne me dérange pas. Ça ne me dérange pas. C'est le moment que je ne me mouille nulle part dans le podcast. Donc on se rencontre sur un jeu vidéo sur Call of Duty, non rien à voir, sur DOFUS pour ceux qui connaissent Et en fait on a joué sans se rencontrer peut-être 3 ans je pense, un truc de cet ordre là

  • Speaker #1

    Non moi t'as fait partie des premiers humains que j'ai rencontré sur le jeu là Ouais mais... Toi tu jouais beaucoup avant

  • Speaker #2

    On avait joué 3 ans avant de se connaître non ?

  • Speaker #1

    Toi, toi tu jouais depuis 3 ans,

  • Speaker #2

    moi ça faisait même pas 6 mois que je jouais Non moi je jouais depuis un bail mais on s'était rencontré vite

  • Speaker #1

    Ah rencontré en réel Oui rencontré en réel

  • Speaker #2

    Non parce qu'effectivement on a joué je pense 3 ans ensemble sans se connaître Et un jour on se dit, enfin on parle un peu plus de nos vies et puis on comprend qu'on n'a pas coûté, vraiment pas loin quoi.

  • Speaker #1

    Mais y'a plus du tout l'histoire dans les détails quoi,

  • Speaker #2

    c'est quoi ? Ah bah non, je passe le mic pour la clé moi.

  • Speaker #1

    Bon, avec Hugo on joue sur Dofus, faut savoir qu'à ce moment là c'est mon mentor sur le jeu parce que lui bah, ouais ça faisait peut-être 4 ans qu'il jouait, le mec c'était une machine, il avait un nom sur le serveur tu vois, c'était quelqu'un. Moi j'arrive, encore grenoube à l'époque, et puis moi j'étais du genre à demander de l'aide à tout le monde, j'envoyais des messages j'étais... Bon bah j'ai fini dans les DM d'Hugo, et je le saoule, je le saoule, je le saoule, et c'est le seul qui m'a pas envoyé chier au bout de 10 minutes.

  • Speaker #2

    Grand coeur.

  • Speaker #1

    Donc je joue avec le copain et tout, faut savoir que du coup j'allais pas sortir en zone, tant qu'il était pas là j'avais besoin de lui. Bref, on fait notre vie comme ça, on a plein d'anecdotes, on va peut-être pas en raconter tant que celle-ci. Comprons pas. Ouais c'est clair. Et donc ensuite vient nos 18 ans. enfin les miens plutôt un truc comme ça et donc avec un pote qui s'appelle Ilias on veut se lancer en dropshipping et donc c'est le moment où en fait il y avait toutes les formations qui venaient d'exploser nous la première qu'on a prise c'était celle de Cyriak je ne me souviens pas comment c'est s'appelé ?

  • Speaker #2

    on a le droit de le lyncher lui je crois ça y est il a pris ses sauces déjà dans la gueule c'est une formation de merde

  • Speaker #1

    Comment il s'appelait cet ennemi déjà ?

  • Speaker #0

    Je ne sais pas, je ne sais pas.

  • Speaker #2

    Non, il avait comme un succès nom. C'est exagéré. Il y a écom dedans et il y a succès dedans sans doute. Il avait le succès thème. Sucès thème. C'est possible que ce soit le même nom.

  • Speaker #0

    Xavier-Loup a peut-être repris le nom parce qu'il était hier. C'est un peu marrant.

  • Speaker #1

    J'avais suivi Hugo sur Insta entre temps et en fait sur une de ses publications il avait mis hashtag dropshipping parce qu'il jouait déjà à l'empruntier en lanceur.

  • Speaker #2

    Ouais, je montre déjà des chiffres de fou furieux.

  • Speaker #1

    Et donc, j'envoie un message à Ilias. Je dis Attends, j'ai un copain qui joue à Dofus, il a mis hashtag dropshipping. Je vais lui envoyer un message. Je vais même répondre, machin. Parce que nous, à l'époque, ça faisait peut-être deux ans qu'on ne s'était pas parlé. À côté, il me répond, machin. Bref, on organise des appels et tout. Et en fait, il nous accompagne sur tout le lancement. Donc, les deux premiers sites qu'on a lancés avec Ilias, c'est Hugo qui nous supervisait à l'époque. Bon, les deux ont foiré.

  • Speaker #0

    Bravo,

  • Speaker #2

    j'étais jeune dans le fiver, pour préciser. Moi, je ne faisais pas beaucoup de chiffres non plus encore.

  • Speaker #1

    Et surtout qu'en plus, pour le coup, il y en avait un, c'est parce qu'à l'époque, on n'avait pas assez de recul et surtout pas assez de moyens. Mais encore aujourd'hui, si jamais... En fait, je me souviens des chiffres. Le premier, c'était un fail total. Il n'y avait pas de green flag. Le deuxième, en revanche, déjà, on avait compris ce que c'était que le branding. En fait, c'était une marque un peu de bracelets comme cela, pas des bracelets encre, qui s'appelait Henry Miller. Et donc, en gros, c'était un...

  • Speaker #2

    C'est scripté, le mec a directement... Non, ce n'est pas scripté, c'est...

  • Speaker #1

    Donc en fait tout le branding était sur le fait qu'il y avait Henri Miller qui était du coup le créateur de ces bracelets, qui était un grand voyageur et en gros à chaque fois qu'il allait dans une nouvelle ville ou un nouveau pays, il était inspiré par la beauté des monuments, des paysages etc. et en fait il en créait un bracelet. Donc en fait on avait une page par bracelet qui était longue comme ça où on racontait le voyage d'Henri Miller. Et en fait, c'est vrai qu'au bout de deux semaines, on était en break-even. C'est-à-dire qu'on avait dépensé de l'argent en pub, on avait fait du chiffre d'affaires, mais on n'avait pas perdu d'argent. Sauf que juste à ce moment-là, avec le fonds de roulement, on a eu un problème, et puis on s'est dit Ah, c'est peut-être pas… Parce qu'effectivement, on n'était pas sur ce que nous promettaient les formateurs, à nous dire Vous dépensez 1000 euros en publicité, vous faites 15 000 euros au chiffre d'affaires. On n'était pas là-dessus, et donc forcément, on s'est dit Non, c'est de la merde, ça ne marchera jamais. Donc on a abandonné le projet. Mais en vérité, encore aujourd'hui, on verrait ça…

  • Speaker #2

    Mais oui, c'est ce qu'on a évoqué plein de fois, c'est qu'en fait c'est des green flags de fous et il n'y avait pas non plus suffisamment de ressources, on parle de jeunes de 18-19 ans qui ont 500€ de côté pour le projet en tout cas, et qui essayent de faire le truc, et en fait il y a des green flags mais t'as pas suffisamment de ressources pour te dire, on y va on explose tout, t'as besoin d'un green flag bien plus grand, dès que t'as une société, et bien en fait on se serait bagarré, là aujourd'hui on a ce genre de résultat, on se bagarre, on met plus d'argent sur la table, on fait bah ok c'est bon signe.

  • Speaker #1

    Après on sait que de ce méta-point on fait déjà du bénef.

  • Speaker #0

    Donc relancer Henri Miller, voilà, c'est une bonne idée.

  • Speaker #1

    Mais c'est qu'on y a pensé plusieurs fois, on y a pensé plusieurs fois, il faudrait qu'on se remette dedans.

  • Speaker #2

    Ouais ça peut être un projet honnêtement.

  • Speaker #1

    Après faut aussi considérer que c'était pas la même époque.

  • Speaker #0

    Ouais, ouais, c'est sûr. C'était en quelle année ?

  • Speaker #1

    2018 je crois, j'avais 19 ans. Ouais c'était quand même le début.

  • Speaker #0

    Création d'un Qbox.

  • Speaker #1

    Donc bon bref j'accélère pour la fin de notre histoire. Mais donc après on a fait... Enfin c'est moi qui suis rentré dans du MLM. Tu vois ce que c'est que du MLM ?

  • Speaker #0

    On y a pratiqué oui.

  • Speaker #1

    On a pratiqué c'est pas vrai ?

  • Speaker #2

    Non on a parlé dans un épisode. Si tu l'as regardé tu saurais.

  • Speaker #1

    Oui je me souviens bien sûr. Bah oui. Donc j'ai été recruté chez QVRA. Bon bah moi j'ai appelé mon meilleur copain.

  • Speaker #2

    C'est lui, il était toujours dans les magouilles.

  • Speaker #0

    Je me souviens pas que tu avais expliqué, tu avais dit que tu en avais fait mais je me souviens pas que tu avais fait.

  • Speaker #2

    Tu avais parlé de trading etc.

  • Speaker #0

    Oui mais je me souviens pas qu'il m'avait dit que c'est Clément qui m'a entraîné.

  • Speaker #2

    Ah je ne peux pas être dans le détail.

  • Speaker #1

    En fait pour l'anecdote, je suis rentré en MLM et tu sais là-bas c'était beaucoup le truc du copy trading. Donc en fait si tu étais sur un canal Telegram ou que ce soit encore beaucoup aujourd'hui, évidemment c'est une arnaque. Ne commencez pas à croire que quelqu'un va vous envoyer des signaux de trading et que ça va fonctionner. Et en fait moi ce qui s'est passé c'est que la première semaine bon j'étais un peu con j'ai pas fait tu sais t'as des comptes démo en trading qui sont hermé de trader avec du faux argent et moi j'ai pas fait ce truc là j'ai directement mis en fait tu dois mettre 500 euros minimum pour être accepté sur les sur les canaux de trading et je mets 500 euros et en fait en une semaine je passe à 1200 en suivant les canaux mais j'ai trouvé le truc et donc en fait naturellement moi je commence à en parler autour de tout le monde mais c'est même pas dans le but de les recruter non c'est juste tu dis bah c'est un bon plan à partager Bon bah évidemment tu te doutes bien que ça a duré une semaine, j'ai même fait rentrer mon bar Enfin je l'ai pas fait rentrer directement mais j'ai...

  • Speaker #2

    Il a payé 45 000 euros On l'évoquait de toute façon quand on parlait de MLM, le fait, je sens que la famille etc y'a un truc un peu mal signifiant en place A la base tu le fais pour eux mais c'est trop compliqué, y'a plein de trucs qui sont pourris quoi Oh touchy,

  • Speaker #1

    d'accord donc c'est comme ça Donc voilà je l'ai fait rentrer en MLM et puis euh... bon bah fin du MLM et puis euh...

  • Speaker #2

    Tu veux que je récupère ? On a fait deux ans de MLM ensemble. On a fait deux ans de MLM. On n'a même pas appris la première leçon parce qu'on a fait un premier MLM. Et on a fini par aller dans un deuxième MLM. On était bien dégoûté du premier. On a bien fait ouais.

  • Speaker #0

    On a vraiment fait un acteur. On va partir dans un deuxième.

  • Speaker #2

    Et le deuxième MLM, cette fois-ci, c'est moi qui suis très né Clément. C'est moi qui ai signé parce qu'on m'a reconvaincu. Et je suis arrivé par Clément. Je me suis dit non mais celui-ci, Clément, vraiment, c'est un MLM de qualité. Alors aucun regret pour ma part parce que j'ai investi sur des trucs grâce à ce MLM qui était très rentable. Mais on peut pas en dire autant pour Clément et pour les autres personnes que j'ai fait parrainer. Personne n'a pu venir en fait sur le cap. C'est pas du coup bien

  • Speaker #1

    Clément toi. Non c'est pas que j'ai perdu. Si.

  • Speaker #2

    Bah c'est que t'as acheté de l'Ether et t'as pas rendu finalement.

  • Speaker #0

    Ah ouais carrément. Donc c'est même pas genre j'ai acheté ça s'est gassé la gueule. J'ai acheté, on m'a piqué.

  • Speaker #1

    Pour le closing, bon là-bas j'avais dit non. Moi j'avais vraiment dit non pendant très longtemps. Et en fait ce qui s'est passé c'est qu'on est parti en vacances à Marseille avec un mec qui était pour le coup très très très haut dans le MLM. Il était pas tout le temps mais il était... dans la deuxième branche.

  • Speaker #2

    Ah Sébastien, on t'embrasse.

  • Speaker #0

    Donc lui, il avait vraiment conclu le système. Et puis lui, il est toujours très chaud là-dedans.

  • Speaker #1

    Il a fait un partenariat avec les fondateurs du Bitcoin non plus, mais de certains cryptos.

  • Speaker #2

    Ouais.

  • Speaker #1

    Donc bon, évidemment, il est très fort, donc il m'a convaincu pendant ses vacances.

  • Speaker #2

    Et en fait si tu veux le truc c'était tu mets de l'Ether et tu récupères du coup je crois que c'était 10% par mois En fait c'est à dire que là on était à 6% à Marseille mais en gros ils avaient des rendements passés qui étaient fous quoi 10% par mois et tout qui avait déjà été fait Après c'est le truc où plus t'as de monde plus le rendement baisse

  • Speaker #1

    Mais malgré tout le moment où on y était c'était 6% par mois T'imagines à l'année Et en plus t'ajoutes à ça le fait que l'Etheron augmente naturellement Donc en fait tu dis bah attends je pose 1000 balles tu fais des calculs parce que lui évidemment c'est Excel avec le... Comment ça s'appelle là le... J'ai pu. Ah, le truc... Exponentielle, c'est pas ça le terme. La courbe exponentielle ?

  • Speaker #0

    La pyramide ? Non,

  • Speaker #1

    putain, j'ai oublié, c'est pas grave. Il avait son tableau Excel qui nous montrait qu'en fait, en 20 ans, on était millionnaire, mais plus plus, tu vois. Ah bah si, c'est bon, je suis pas... Je suis plus con, j'avais mis, j'avais dû mettre 1500, puis j'ai remis 1500 pendant les vacances. Et donc en fait, ce qui s'est passé, c'est qu'à la fin, ils nous ont rendu nos éthers, enfin non, ils nous ont pas rendu nos éthers, parce que du coup, l'éther avait fait x5 entre temps, mais ils nous ont rendu l'équivalent de ce qu'on avait investi au jour 1. mais en euros. Sauf qu'en fait, en Ether, ça faisait au moins x5 vu qu'il avait x5.

  • Speaker #2

    Le deal, c'était pas ça. Le deal, il devait nous rendre les Ethers.

  • Speaker #0

    Et pourquoi ils l'ont pas fait,

  • Speaker #2

    finalement ? Il y a eu une couille. On est parti en cacahuètes. Il y a eu du juridique, ouais. Du coup, ils sont peut-être partis avec la caisse.

  • Speaker #0

    Je sais pas trop ce qu'ils ont fait. Donc, vous n'avez rien perdu de ce que vous avez mis, mais vous avez perdu la différence.

  • Speaker #2

    Pour un investissement, moi, j'avais du poste au total entre 2 et 5 000 à l'époque, dans ces eaux-là, en Ether. Et si on avait rendu l'Ethereum que ça représente, aujourd'hui, ça représente une somme qui est hyper importante. Parce que là, on parle d'un Ethereum qui était à 100 balles. Et on en avait, du coup, pour 5 000 balles. Il vaut 3 300 dollars.

  • Speaker #0

    2 000 dollars ou un truc comme ça.

  • Speaker #1

    C'est ça,

  • Speaker #2

    putain. T'imagines ? Donc, ouais, c'était finalement... On aurait juste dû investir sur l'Ether.

  • Speaker #0

    ça passe on nous invite à part que l'on gardait c'est le principe profiter aujourd'hui c'est ça qu'il ya dans la générosité mais pour essayer de conclure sur l'anecdote parce que sinon l'épisode en fait ça va être comment se rencontrer avec les mots et après du coup moi et moi enfin félix et moi on s'est mis en s'est mis en couple en couple ouais voilà en couple business et on s'est lancé on a quitté nos anciens partenaires et on s'est lancé à notre compte Et on est allé voir, moi je me suis approché directement de mes proches, et donc Clément faisait partie, on avait déjà fait une belle aventure en arrière ensemble, même s'il y avait eu pas mal d'échecs, et c'était en mode, bah voilà, Clément est-ce que tu veux en être ? Et donc j'avais rien à promettre niveau thunes, mais il y avait toute la vision finalement, c'était en mode, est-ce que tu veux être avec nous et tenter l'aventure avec nous ? Et c'est à quoi tu as répondu. C'est sûr,

  • Speaker #1

    à l'époque j'avais un taf qui ne me plaisait pas du tout, donc effectivement j'ai hésité quand même, d'ailleurs c'est mon collègue de l'époque. et qui j'étais en camion tout le temps parce qu'on allait installer des écrans, des espèces d'écrans tactiles qui faisaient 80 pouces de diagonale, c'était des trucs immenses. Donc lui j'étais tout le temps en camion avec lui, donc on discutait de nos vies, on se connaissait par cœur en fait finalement. Et c'est lui qui a réussi à me convaincre de dire, vas-y, t'avais quoi, t'avais 22, 21 à l'époque ? Si tu le fais pas maintenant, tu le feras jamais, et puis en vrai t'auras plus de regrets que d'autres choses. J'ai dit bah ouais, en vrai t'as raison, puis je suis allé, et puis bah pas de regrets.

  • Speaker #2

    Non mais c'est comme ça où t'es le connu, c'est comme ça qu'à... le scénario a vu le jour également. C'est pour ça qu'on est là aujourd'hui, d'ailleurs.

  • Speaker #0

    Et donc, le recrutement, c'est vrai que sur ma structure, on a tous les socles, les associés principaux, c'est que des proches. Et à l'époque, je ne me posais même pas la question de comment est-ce qu'il faut recruter, quels sont les process. Le but, et ça l'est toujours aujourd'hui, c'était de travailler avec les copains et réussir à construire un truc ensemble, réussir à bricoler, pouvoir en vivre. À l'époque, on voulait juste pouvoir en vivre. Aujourd'hui, les ambitions sont quand même un peu plus hautes. Mais à l'époque, il fallait imaginer qu'on bosse entre nous, on n'a pas de patron et on peut manger, voire se loger.

  • Speaker #2

    C'est le rêve, je suis d'accord avec toi. C'est tout à fait le rêve de bosser entre amis. C'est juste que dans la réalité, tu peux très bien être de très bons amis pour aller boire un coup en soirée, c'est génial. Et dans le boulot, tu en as un, tout d'un coup, qui veut prendre le leadership sur l'autre. Un caractère ou une personnalité que tu n'as pas soupçonné parce que ce n'est pas le même domaine. Tu n'es pas là pour rigoler, tu es là pour bosser. Tu en as un qui peut donc vouloir prendre l'ascendant. Et puis après, quand il y a des problèmes d'argent, ou même de temps, tu en as un qui s'implique beaucoup plus que l'autre. Et l'autre, tu es un peu à la cool. Quand tu es avec quelqu'un, tu as instauré distance, parce que ce n'est pas ton ami, c'est quelqu'un qui est ton employé, même si je n'aime pas trop ce terme. Tu peux recadrer, tu peux même à la limite t'en séparer en disant, mais tu te séparais d'un ami. Avec qui ça ne va pas, c'est bien, mais c'était vachement plus délicat. Je suis d'accord, Sylvain, mon associé, moi j'ai deux meilleurs amis, donc Sylvain, c'est mon meilleur ami, avec Jim, on vous embrasse tous les deux, et donc oui, ça se passe super bien. Et par contre, j'ai travaillé aussi avec un de mes très très très bons amis qui s'appelle Maxime, sur un autre projet en Thaïlande, ça ne s'est pas bien passé du tout, on ne s'est pas parlé pendant trois ans. Parce qu'en fait, j'ai découvert une personne, et je pense que lui aussi, différente, de la personne que je connaissais en amitié. Parce que les enjeux n'étaient pas les mêmes, il y avait beaucoup d'argent sur la table, on était dans une sorte de... On appelle ça dans un... Un cercle vicieux ? Non, on n'a pas... On était rentrés dans un... Bon, ça s'appelle comment, il y a des investisseurs qui m'aidaient l'argent, mais...

  • Speaker #0

    Un incubateur.

  • Speaker #2

    Un incubateur, merci.

  • Speaker #0

    Allez, let's go.

  • Speaker #2

    Gros ras qu'il est là. Ah là là. J'en perds toujours mes mots, des mots à la con comme ça lors des podcasts, je perds toujours les mots. Un incubateur pendant trois mois sur Bangkok et on avait la promesse, quasi promesse d'avoir un million de dollars pour nous développer. Donc c'était vraiment en mode start-up, etc. Très grosse pression, quand même des gros enjeux, quelque chose dans le tourisme qui était incroyable sur le papier, etc. Et puis finalement, ça a pété. Ça a pété le truc, on s'est séparés, on ne s'est plus parlé. Donc c'est vrai que j'en retiens quand même une expérience un peu amère. Alors aujourd'hui, on se reparle, on dirait de redevenu pote et tout va bien, mais il y a eu une période un peu longue comme ça, et j'en ai un peu gardé cette expérience amère de me dire, les amis c'est difficile parce qu'il y a des choses que tu ne peux pas dire, parce que c'est un ami, c'est délicat, et surtout il faut que chacun, et je pense que c'est le cas pour vous, c'est le cas pour moi avec Sylvain, il ne faut pas qu'il y ait quelqu'un qui veuille prendre l'ascendant sur les autres. C'est vraiment ça, il faut que chacun ait des compétences différentes. Si tu as les mêmes compétences, si tous les quatre avec Matisse, vous aviez les mêmes compétences, c'est compliqué.

  • Speaker #0

    Oui, en fait, c'est même une mise en compétition sur le même terrain de jeu. Il y a un regard très critique à chaque fois. Oui, mais toi, tu ne serais pas fait comme ça.

  • Speaker #2

    Et puis, tu en as toujours un qui sera meilleur que l'autre.

  • Speaker #0

    Des sujets subjectifs, tu imagines, sur du design. T'as 4 personnes qui font du design qui font non mais moi je mettrais plutôt ce dégradé là c'est des visions qui sont différentes.

  • Speaker #2

    C'est de la merde, c'est de la merde. C'est très compliqué. Je déconseille quand même, si c'est possible, c'est l'idéal, mais si c'est possible ne travaillez pas avec des amis, ne déléguez pas les tâches à des amis parce que c'est compliqué. C'est mon expérience à moi, maintenant c'est pas la vôtre.

  • Speaker #0

    C'est même pas une question d'expérience, c'est une question de le pourquoi. Ça dépend, le pourquoi, si le pourquoi par exemple c'est faire un max d'oseille, moi je te rejoins. pleinement genre c'est pas la bonne démarche c'est pas une démarche, c'est pas un bon plan nous notre pourquoi c'était de bosser entre amis donc de fait ça s'est fait comme ça par contre toutes les difficultés que tu soulignes c'est des choses qu'on a déjà pu traverser que ce soit entre nous avec ceux qui sont encore là ou ceux qui sont partis on a bossé avec beaucoup d'amis et on est 4 aujourd'hui bon et ben y'a pas tout le monde qui a pu rester donc y'a eu plein de sujets de ce type là plus ou moins graves en tout cas effectivement ce truc de l'amitié et le monde professionnel y'a quand même un écart

  • Speaker #2

    et je pense aussi qu'il faut que les personnes aient des compétences, c'est-à-dire tu ne vas pas prendre quelqu'un parce que c'est ton ami c'est parce que c'est mon ami mais surtout il a des compétences qui m'intéressent et qui répondent aux miennes parce que si tu prends juste quelqu'un parce que c'est ton ami mais bon, on verra bien, je le formerai non, ça ne pourra pas marcher et puis après surtout il faut que la personne démontre, on l'a vu aussi nous on a recruté aussi des gens, même toi et moi sur des postes on en a recruté aussi Un petit peu sur le papier, ça paraissait pas mal. Et puis, on a vraiment besoin de la manant, vite, vite. Et puis finalement, on ne demande pas à la personne de faire ses preuves. Et quelqu'un qui ne veut pas faire ses preuves, alors certains vont se dire, mais quel connard, tu vois. Mais gratuitement, c'est-à-dire que quelqu'un qui ne me montre pas son boulot ou qui ne veut pas faire, par exemple, je vais prendre l'exemple d'écrire un script pour une vidéo, quelqu'un qui ne veut pas écrire un script pour nous, gratuitement, pour qu'on voit ce que donne son travail, ça ne m'intéresse pas. Alors je sais que quelqu'un va peut-être se dire, mais attends... Et puis comme ça, après ils font le script, ils payent les personnes et puis ils se barrent. Non, je suis désolé, mais n'empêche qu'au jour d'aujourd'hui, quand c'est nous qui recrutons, c'est nous qui faisons les règles du jeu, tu fais quelque chose pour nous, tu nous montres ce que tu sais faire, et si ça nous plaît, let's go !

  • Speaker #0

    Les grosses structures s'offrent des fameuses périodes d'essais, mais c'est vrai que nous, notamment dans notre domaine, c'est quand même beaucoup des freelances. Rare sont les gens qui font du e-commerce et qui commencent à recruter des salariés. Il y en a un, mais la plupart du temps, c'est des freelances. Donc effectivement, quand tu fais un prêt d'influence, il faut que la personne fasse une démonstration. Mais ça fait une très bonne passerelle sur un autre sujet. Tu comptes dans la négativité, dans le ne bâche pas avec vos amis, les gens qu'on recrute sont des salauds

  • Speaker #2

    Il vous ment.

  • Speaker #1

    Ça va être comment virer quelqu'un.

  • Speaker #0

    Comment virer quelqu'un. Et pour cette question, on a Clément qui va nous répondre,

  • Speaker #2

    puisqu'il est viré en direct.

  • Speaker #1

    Je déteste, je déteste, allez, ne serait-ce que... Tu vas faire des reproches à quelqu'un, lui dire ton travail... Déjà je le dis jamais, ton travail il est mal fait, mais... Mais aller dire tu pourrais faire comme ça, comme ça, comme ça,

  • Speaker #2

    je déteste le faire. Je vais critiquer les gens.

  • Speaker #1

    Déjà je crois que j'ai jamais viré personne de ma vie en fait.

  • Speaker #2

    Bah alors pourquoi tu interroges Clément s'il n'a jamais eu...

  • Speaker #0

    C'est Clément parce que j'ai pas le sujet.

  • Speaker #2

    Ah d'accord.

  • Speaker #0

    Tu t'y prendrais comment alors ? Si demain tu devais virer quelqu'un ?

  • Speaker #1

    Je lui ferais un recommandé.

  • Speaker #0

    Un texto.

  • Speaker #1

    Mais écoute, ça va plus entre nous.

  • Speaker #2

    Vas-y,

  • Speaker #0

    fais un truc. C'est pas toi, c'est moi.

  • Speaker #1

    Je change les serrures.

  • Speaker #2

    C'est pas toi, c'est moi.

  • Speaker #0

    La fameuse stratégie. L'entreprise n'a plus les moyens pour ton poste.

  • Speaker #1

    Non, mais surtout que c'est horrible de dire ça, parce que derrière, même là, en fait, c'est comme une fin de relation amoureuse. Tu finis avec ta relation amoureuse comme ça et tu inventes un prétexte, mine de rien, pour la personne de s'en sortir.

  • Speaker #2

    Ne sortez pas des amis, ne sortez pas non plus avec la nana ou le mec avec qui vous couchez, parce que c'est... Ne sautez pas avec la nana avec qui vous couchez. Ne sautez pas. C'est comme quand on finit une relation amoureuse. Mais j'ai envie de dire, je rajoute aussi, n'intégrez pas parce que c'est votre nana. Tiens, je vais bosser avec elle, c'est ma meuf. Ça peut aussi faire, non seulement, ça peut casser le boulot, mais pire, c'est qu'à la maison, ça coule le bordel aussi. T'as plus de sujet,

  • Speaker #1

    en fait. T'es dans le lit le soir et finalement...

  • Speaker #2

    Ça, c'est un putain de red flag. Sauf si c'est encore une activité. Il y en a, moi j'ai connu un couple dans le MLM d'ailleurs, qui cartonnait.

  • Speaker #0

    Il y a des couples business. Et le truc c'est que, moi je trouve ça merveilleux à regarder, dès que je le vois je me dis oh là là ça a l'air génial. Il parle que de ça. Ouais, en fait c'est quand même, tu vois il y a un taux d'engagement, c'est qu'en fait si jamais tu commences à avoir des doutes, t'es au piège. Là c'est...

  • Speaker #1

    Tu sais c'est un peu comme la relation que nous on a, on n'a jamais pris d'engagement officiel avec comme un espèce de carnet de 10 règles à respecter. Mais malgré tout, on connaît les limites qu'il ne faut pas dépasser pour bâtir sur notre relation. Je pense qu'en fait, quand tu es en couple, c'est un peu la même chose, en plus poussé évidemment, mais en fait, tu sais qu'il faut être capable de faire la part des choses.

  • Speaker #0

    C'est vrai.

  • Speaker #1

    On discutait la dernière fois avec le...

  • Speaker #2

    Bon,

  • Speaker #1

    c'est beaucoup moins du business, mais le... le patron du bar où on allait la dernière fois.

  • Speaker #0

    Oui, tout à fait.

  • Speaker #1

    Enfin la patronne plutôt. Et qui en fait du coup le patron est un... Les patrons !

  • Speaker #2

    Oui, on s'est dit le patron est une patronne ! Je me suis dit où est-ce qu'il va en venir ?

  • Speaker #1

    Non le patron est un couple mais du coup ils ont bien...

  • Speaker #0

    C'est ça le sujet !

  • Speaker #1

    Ils ont bien instauré ce truc où le week-end en fait ils ne parlent pas de boulot, c'est ça que du perso et après 22h dans le lit ou quoi que ce soit c'est pas du boulot,

  • Speaker #2

    c'est que... Non mais il faut des règles.

  • Speaker #1

    Je pense qu'en fait quand t'as des règles comme ça c'est beaucoup moins un souci mais par contre ils font un niveau de maturité de communication

  • Speaker #2

    Maturité, complicité, puis faut vraiment que la relation soit très solide, qu'il n'y ait pas de doute ni d'un côté ni de l'autre en disant j'ai envie d'aller voir ailleurs, ou j'ai envie... Non, faut vraiment que le couple soit installé, tu fais pas ça au bout de 6 mois quoi. Donc en fait, il y a un moment où je t'ai coupé, puis on est parti sur un autre sujet, mais tu voulais dire quelque chose.

  • Speaker #0

    Comment tu vires quelqu'un bordel ? Comment tu vires quelqu'un Clément ?

  • Speaker #1

    Pour moi, faut qu'on parle. J'ai pas trop aimé la manière dont tu m'as parlé la dernière fois.

  • Speaker #0

    La manière dont t'as parlé de poétique au début de ce podcast, c'était scandaleux.

  • Speaker #1

    J'ai pas trop kiffé. On a pris une décision avec Hugo. Et je pense qu'on va continuer sans toi.

  • Speaker #2

    Bah écoute, c'est très bien pour virer quelqu'un.

  • Speaker #0

    En sachant que toutes les dettes qu'on vous doit, on les garde.

  • Speaker #2

    D'accord, ok.

  • Speaker #1

    Ah, ce sera un super motif pour tirer, ça, en fait.

  • Speaker #2

    De quoi ? D'avoir des dettes ? Bah ouais, c'est clair.

  • Speaker #0

    Pourquoi est-ce que vous voulez vous séparer de moi ? Parce qu'on te doit de l'argent et c'est pénible.

  • Speaker #2

    On préfère mettre un thème dans cette histoire.

  • Speaker #0

    C'est mieux qu'on se voit plus.

  • Speaker #2

    Non mais bon c'est vrai que se virer quelqu'un c'est jamais évident Moi j'en ai déjà viré quelques-uns quand même Pas plus tard qu'hier C'est dur à dire Je passe encore une fois pour le salopard Je fais des blagues Il n'y a pas passé on me dit ouais t'as fait une blague raciste c'est faux C'est officiel hein ? C'est officiel, Je veux dire tu n'as pas raconté ça et en fait tu dois le faire Non je l'ai fait hier C'est vrai qu'on ne prend jamais grand plaisir à le faire En fait je pense que c'est la responsabilité Et là tu te dis merde C'est ça être chef d'entreprise, c'est-à-dire que tu as un rôle, donc tu peux recruter, tu peux faire le bonheur, alors j'exagère un peu, je mets vraiment des guillemets, c'est-à-dire que tu peux sortir quelqu'un d'une situation. D'ailleurs la personne en question, elle était dans une situation en Thaïlande, donc elle avait démissionné de son précédent boulot, donc c'est vrai qu'il ne lui restait pas beaucoup de mois financièrement, elle avait pas pu, des ressources illimitées. Et puis en Thaïlande, il n'y a pas de chômage, il y a tout ça, donc c'est-à-dire que de la maman, tu rentres chez maman. Et malgré nous, on l'a remis dans cette situation-là hier, puisqu'il a occupé un poste pendant 7 mois, pas un petit 7 mois. Il avait une tâche sur la logistique importante, notamment pour un de nos gros clients qui finalement, en cours d'année, est devenu un client extrêmement secondaire en termes de chiffre d'affaires, pour tout un tas de raisons compliquées à expliquer ici. Et donc, cette personne qu'on avait recrutée a fait... c'est vrai un gros boulot pendant les premiers mois quand on était en Chine et les retourner en Chine etc il a fait un gros boulot sur la logistique mais malheureusement dans les prévisions là en fait on avait aussi potentiellement un encore plus gros client sur vraiment que la logistique avec des turnovers en fait de containers tous les deux jours arrivée départ reconditionnement départ etc pour les états unis pour une très grande marque textile qui fait 30 millions de dollars à l'année donc c'est quand même c'est pas rien Et donc, il y avait aussi, en fait, cette perspective qui était quasiment écrite et qui, finalement, au dernier moment, disparaît. On verra plus tard, là, parce qu'on change d'entrepôt à Los Angeles. Donc, on verra ça après, etc. Peut-être à la rentrée, mais bon, moi, peut-être, par expérience, je sais aussi que ça peut être déjà. Mais donc, il y a peut-être une autre solution. Alors, finalement, il s'est contenté de ce qu'il avait. Il a amélioré ses propres process. J'en sais rien. Du coup, malheureusement, en fait, la tâche qu'on avait donnée et les perspectives, en fait. de projections qu'on avait fait pour le travail de cette personne dont on a dû se séparer n'était plus là. C'est un salaire à payer qui n'est pas négligeable sur le niveau du poste. On ne parle pas de quelqu'un, on n'est pas sur un profil stagiaire, on est sur quelqu'un qui a des compétences précises dans la logistique, francophone, un français, donc évidemment avec un salaire quand même conséquent, donc il a fallu qu'on fasse un choix. Et malheureusement, on a dû s'en séparer, mais ce n'est jamais une tâche facile. Non, c'est sûr. c'est une réciprocité et donc là tu dis et en fait au moment où ça arrive tu sais très bien j'ai toujours l'image un peu de la guillotine c'est à dire que tu sais très bien que tu appelles la personne qui ne se doute pas forcément de ce qui va se passer et j'ai toujours cette sensation un peu de dire tiens allonge-toi là mets la tête là tiens mets la tête dans le truc attends bouge pas bouge pas ta coupe quoi c'est toujours cette sensation cette image là j'ai l'impression d'être Robespierre tu vois et c'est assez dur et en même temps tu te dis c'est la responsabilité d'un chef d'entreprise c'est en fait Peu importe l'humain, l'entreprise d'abord. L'entreprise, c'est... Enfin, on doit parfois se séparer de personne. pour l'entreprise et pour le bien de toutes les personnes qui sont dans l'entreprise.

  • Speaker #0

    C'est pour ça que ça s'appelle les ressources humaines. Exactement. C'est pas pour déshumaniser les personnes qui sont dedans, mais c'est vrai que c'est quand même des ressources au service de l'entreprise. L'entreprise peut changer de situation, changer de contexte, changer de santé économique, de vision, de trajectoire aussi. Et tu composes avec tes ressources. Tu composes autant avec tes ressources quand tu achètes du matériel ou quand tu revends du matériel, quand tu lances des budgets publicitaires ou quand tu coupes des budgets publicitaires. Et quand tu prends des gens et quand tu dois te séparer des gens,

  • Speaker #2

    il n'y a rien de personnel. Il n'y a pas faux débat, il y a des missions des fois qui doivent prendre fin, il y a des projections qui n'en sont plus. Et quand j'entends, là par exemple dans les programmes politiques, parce qu'en ce moment on est au moment où on fait cet épisode, il y a le vote des législatives après la dissolution, quand j'entendais le programme du NPA, le Nouveau Parti Anticapitalisme, sachez-le, je ne suis pas du tout porté sur l'extrême gauche. Voilà, c'est une chose qui est bizarre.

  • Speaker #0

    Non,

  • Speaker #2

    c'est bizarre pour un chef d'entreprise. Non, c'est vraiment un truc. Mais quand je voyais par exemple dans leur programme, ils ont martelé depuis des années. C'est, oui, interdire les licenciements. Mais quelle débilité, je veux dire. Tu licences les gens pour tout un tas de raisons, mais ce n'est pas forcément parce que tu veux, tu es un méchant patron carnassier, et tu veux te débarrasser, ou tu veux gagner encore plus. Non, c'est aussi que tu as des entreprises à faire tourner. Il y a des périodes où l'entreprise se porte très bien et par exemple, elle se porte moins bien. Et tu dois avoir cette flexibilité de ressources humaines, comme tu dis, puisque derrière l'humain, c'est aussi un poste qui apporte une ressource financière, une richesse à l'entreprise. Et si on interdit les licenciements, c'est totalement débile, puisque finalement, on met en danger toute l'entreprise au bout d'un moment. Une entreprise qui va mal, si tu ne peux pas licencier des gens, et même quelqu'un qui ne faut rien, qu'est-ce qui se passe ?

  • Speaker #0

    mais voilà tu peux vivre seul tu peux pas jouer on peut pas juste dire on a interdit les licenciements en fait ce qui est critiqué c'est tout un système tu peux pas dire dans le système actuel tel que ça fonctionne on interdit les licenciements ça ne fonctionnerait pas y'a pas un monde où on peut dans notre manière de créer de la valeur et de produire interdire les licenciements il faudrait tout remodeler on va voir donc recruter virer

  • Speaker #2

    malheureusement ça fait partie des responsables du champ d'entreprise donc sachez-le également quand vous prenez ce poste ben vous avez aussi cette responsabilité et pas rien sérieusement c'est vrai que c'est c'est moi je sais que personnellement avant d'annoncer ça c'est déjà arrivé quelques fois je passe pas mes journées à virer les jambes heureusement mais j'en ai déjà effectivement on a déjà séparé de quelques personnes sur cinq ans d'existence d'un cubox mal en général la nuit avant où je sais que tiens voilà je programme un rendez vous La nuit avant, je repars très bien. Et la nuit après, je repars très bien non plus. Parce que je sais, et je sais très bien, puisque j'ai une activité salariée, alors quelques temps finalement, je n'ai pas été salarié très très longtemps dans ma vie, mais ça m'est déjà arrivé de me faire lourder comme ça, d'être convoqué dans un bureau, quelqu'un en face qui dit, on est vraiment désolé, mais voilà, c'est pas toi, c'est moi.

  • Speaker #1

    Je me souviens que là, le personnage qu'on voit là,

  • Speaker #2

    c'est pas le vrai. Ah non, non, non.

  • Speaker #1

    C'est le personnage public, qui fait genre qu'il a des remises.

  • Speaker #0

    Bien sûr ! Non, non, parce que nous sinon on boit des coups, on boit des coups et on se fout de la gueule des gens en question.

  • Speaker #1

    T'as vu le coup de je dors mal la nuit d'avant et d'après

  • Speaker #0

    J'ai toujours vu Romain dormir, il dort très très bien. Je l'ai jamais vu souffrir d'ailleurs.

  • Speaker #2

    Je souffre du premier sommeil. C'est à chez lui. Alors en fait, le problème c'est ça,

  • Speaker #0

    c'est que comme vous êtes… Faut pas qu'il voyage en première classe, juste pour préciser certains sujets.

  • Speaker #2

    Je voyage pas en première classe, je voyage en business class.

  • Speaker #0

    Autant pour moi.

  • Speaker #2

    Excuse-moi, petite nuance. C'est un peu le souci de cet épisode, c'est que comme Clément qui est finalement le compère d'Hugo et qu'en plus ils sont côte à côte ils sont à deux contre moi et moi je fais ça. Bon, est-ce qu'on passerait pas au sujet suivant ?

  • Speaker #0

    Si, si, si, totalement. Bon bah du coup en synthèse, pour automatiser un business, vous avez forcément du côté humain, parce que du coup, l'une des manières d'automatiser un business, c'est de recruter, et donc il faut être ok avec les relations humaines, donc être ok pour recruter correctement, et être ok pour virer correctement aussi. Donc si vous êtes... pas à l'aise avec les humains et que vous les détestez, automatiser un business, c'est compliqué. Mais il vous reste malgré tout une solution parce qu'on peut automatiser un business aujourd'hui aussi sans prendre d'humains, notamment avec la technologie et les IA qui sont apparus. Est-ce que tu as des trucs qui te viennent à l'esprit que tu pourrais partager sur comment automatiser certaines actions ? C'est peut-être des exemples concrets.

  • Speaker #1

    Déjà, qu'on soit bien d'accord. Oui, tu peux automatiser un business à 100% si jamais tu es tout seul dessus et que tu ne peux pas travailler avec d'autres humains. Par contre ton business sera évidemment plus petit, tu ne peux pas commencer à aller taper un business à plusieurs dizaines de millions, il y a peut-être quelques contre-exemples, mais de manière générale tu ne pourras pas. Maintenant par contre, en étant tout seul, tu peux réussir à débrouiller, à automatiser à 100% ta petite boutique e-commerce avec ton SV qui est peut-être... Là justement j'ai un... D'ailleurs, il ne faudra pas trop tarder parce que j'ai un call avec Gorgias.

  • Speaker #2

    Le mec, il vient déjà, il s'incuse sur l'épisode et en plus, il va nous faire finir plus tôt pour faire son appel.

  • Speaker #1

    Par exemple, tu as des outils comme ça qui te permettent... Là, en fait, on n'aura quasiment plus besoin de personne dans le SAV. Si j'ai bien compris à quoi servait vraiment l'outil, il faudra que je le prenne en main, pour voir si ce n'est pas trop des paillettes qui m'ont vu dans les yeux.

  • Speaker #0

    Et ça se relie directement avec le sujet précédent. Si tu as besoin de quelqu'un pour le SAV, tu dois virer.

  • Speaker #2

    Voilà, tout simplement.

  • Speaker #1

    On n'aurait peut-être jamais dû passer par quelqu'un. On aurait peut-être déjà dû prendre le petit début. Non, mais c'est vrai qu'avec Lysia... Alors bon, après, moi, Lysia, attention, malgré que je sois dans la tech, j'ai quand même un avis... Bon, oui, il rejoint beaucoup de monde, je ne vais pas commencer à dire que j'ai un avis qui est tranché. Mais c'est l'avis de dire qu'il est trop tôt pour laisser encore les mains libres à Lysia. C'est un bon assistant pour l'instant, mais en vérité...

  • Speaker #2

    Je ne peux pas lui laisser les clés de la boutique.

  • Speaker #1

    Je suis partagé entre le fait de... À la fois, j'ai l'impression qu'il est trop tôt pour effectivement lui laisser les clés de la boutique, et ça fait juste un assistant pour l'instant. Et à la fois j'en entends certains parler qui disent Putain si je les écoute parler en fait l'IA c'est une IA surpuissante que moi je n'ai pas. Je n'ai pas cette IA là, je n'arrive pas à la trouver. Alors ils ont des petites techniques d'aller par exemple pour GPT ne pas le parler directement dans la chatbot mais sur le... comment il s'appelle l'interface... En gros c'est un espèce de truc comme si tu passais par l'API c'est pas exactement ça, j'ai oublié le terme. Je ne sais pas mais en fait ils... Je ne sais pas, moi pour moi le... Moi de mon point de vue l'IA n'est pas encore assez au point de toute manière pour vraiment...

  • Speaker #0

    Sur tous les supports en ce moment, les supports PayPal, Stripe, UPS, etc. Tous les supports des grosses boîtes sont passés avec des assistants virtuels. En tant que dans la position du consommateur, moi là, c'est en train de me faire péter des câbles. C'est parce que ce n'est pas au point.

  • Speaker #1

    Il ne faut pas tout confondre. Il ne faut pas confondre un support d'une boîte dont tu n'as pas le choix de te passer. Par exemple UPS, on s'en fout. Si tu ne fais pas UPS, PayPal c'est pareil. En tout cas du côté de notre côté à nous. Côté consommateur évidemment c'est important Par contre le SAV de ta boîte De ton e-commerce ou de ton SaaS Il a besoin d'être parfait On le voit de toute façon Le SAV des SaaS ou des trucs comme ça depuis 3 ans C'est une folie Ça te répand en 2 heures

  • Speaker #0

    C'est justement mon point De fait nous Il faut que ce soit parfait Et donc les IA pour avoir un sentiment Quand t'es consommateur bien C'est pas au point Moi en tant que consommateur Dès que je parle à une IA Peu importe le service, du coup, ça m'énerve. Surtout que c'est précisé comme tel. Tu dis, contactez-nous, contactez le support, bam, un chat où c'est écrit assistant virtuel. Je suis un putain. Je ne vous contacte pas.

  • Speaker #2

    Pour moi, ce n'est pas du support.

  • Speaker #0

    C'est une FAQ poussée, en fait.

  • Speaker #2

    C'est une FAQ poussée, exactement. Là aussi, tu as des process, tu as des questions qui sont déjà préécrites et des réponses préécrites. Mais est-ce que l'IA va vraiment t'aider ? Quand il y a quelqu'un... Alors, je fais vraiment mon vieux con, mais qu'est-ce que c'était bien quand il y avait des gens au bout du fil ? Tu appelais un support, il y avait quelqu'un, un humain... Le quinquagénaire. Le quinquagénaire, exactement. Je n'ai pas mes 50 ans, mais ce n'est pas grave.

  • Speaker #0

    Il y a eu Internet entre temps.

  • Speaker #2

    Non, mais c'est vrai. Et d'ailleurs, il y a des pays, par exemple, pour la Thaïlande, Sylvain me disait, lui, il appelle le support de n'importe quoi, ça banque tout ça. 24 heures sur 24, tu as un durée. Et le problème se règle tout de suite. Oui, je comprends, machin, tout, ça se règle. Alors que sinon...

  • Speaker #0

    PayPal, ça fait 6 mois.

  • Speaker #2

    Ouais, mais bon, Paypal, c'est Paypal, c'est un peu spécial, c'est des...

  • Speaker #0

    Voilà. Ça, on peut le dire, ça. Moi, j'ai plus peur de le dire. Honnêtement, là, je suis pas tant en guerre. Si jamais vous regardez ça et que vous êtes en train de faire des pétitions pour monter une équipe contre eux ou mettre des affaires de justice, j'en sais rien, j'en suis. Franchement, non, c'est trop. Ce qu'ils font, c'est trop.

  • Speaker #2

    Je dirais pareil, puisqu'il y a une grande partie de cet argent bloqué qui est le nôtre. Je dirais pareil.

  • Speaker #0

    On est déjà à 2, 3 avec Clément.

  • Speaker #2

    OK, bon, très bien. Y a-t-il encore des sujets sur cet épisode ?

  • Speaker #1

    Comment vous concluez d'habitude ?

  • Speaker #0

    On ne conclut jamais.

  • Speaker #2

    On ne conclut pas, on dit bon ben voilà c'est fini, merci, au revoir, à bientôt.

  • Speaker #0

    Non mais en tout cas on conclut, il nous reste encore 10 minutes, tu pars à 15 ?

  • Speaker #1

    Ouais, ouais.

  • Speaker #0

    Bon, une dernière question puis on conclut. Alors attends, laquelle on va prendre ? Comment déléguer correctement freelance, agence ou salarié ?

  • Speaker #2

    Pardon ?

  • Speaker #1

    Il y a tellement de sujets. freelance, agence ou salarié ouais ça dépend non mais déjà salarié media buying par exemple plutôt un freelance plutôt une agence plutôt un salarié freelance parce qu'il faut payer aux résultats ou agence mais pas salarié parce qu'il faut payer aux résultats pas un truc comme ça je pense ok pourquoi ? parce que t'as besoin c'est un métier qui est super important t'as besoin d'avoir un suivi qui est qui est parfait qui est pointilleux ouais en fait il y a certains métiers comme ça qui doivent être payés aux résultats je pense

  • Speaker #2

    Moi, je pense qu'en même en dehors du métier, personnellement, je préfère payer des freelances pour deux raisons. Première raison, c'est qu'il n'y a pas de charge.

  • Speaker #0

    Oui, forcément.

  • Speaker #2

    Déjà, donc évidemment, la personne... Et en fait, on travaille avec des gens qui ont un profil d'entrepreneur eux-mêmes. Ce sont des gens qui ont leur propre entreprise, en fait. Et donc, c'est simplement... Voilà, c'est une mission qui peut être plus ou moins longue, mais n'empêche que voilà, ils ont cette... capacité de travail et cette implication comme quelqu'un qui ferait le boulot comme toi quoi quelque part alors qu'un salarié malgré tout bon bah il fait ses horaires il a son petit salaire il a son tu vois ce que je veux dire c'est la mentalité salarié c'est vraiment une sorte de mentalité en fait je pense moi

  • Speaker #1

    dans mon exemple à moi en fait si jamais tu prends un freelance pendant plus de trois mois que tu peux venir dans tes bureaux et tout pour moi c'est un salarié alors effectivement fiscalement c'est pas la même chose ça va être un freelance demain si tu dis c'est fini c'est fini

  • Speaker #2

    il n'y a pas de plateau prud'homme sauf si il y a un droit qui dit que ça quand on ressentit c'est tout comme dans la merde dont on travaille alors est-ce que c'est faire c'est faire plé quelque part de dire la personne est là elle a ses horaires comme un salarié mais on lui refuse ce statut sauf

  • Speaker #1

    si les personnes sont d'accord je pense que ça n'a pas un vaste communicant dans le salaire déjà si jamais à deux temps dessus Tu payes 2000 la personne, si jamais tu débourses 4000 pour un salarié et 2005 globalement pour un freelance pour que lui touche 2000 net, bah du coup tu fais un espèce de base communicant où du coup tu la payes 3000, un truc comme ça.

  • Speaker #2

    Bah peut-être ouais.

  • Speaker #1

    Pour qu'elle du coup elle ait 2005 et pas 2000 en CDI.

  • Speaker #0

    Ouais, généralement les freelances s'y retrouvent et les entreprises aussi.

  • Speaker #1

    Ouais, naturellement un freelance est mieux payé qu'un...

  • Speaker #2

    Un freelance est mieux payé et moi j'ai tendance à vachement mieux payer d'ailleurs un freelance parce que justement je vois qui s'implique et quand je vois que l'application est réelle... tu te dis, on n'est pas sur un poste salarié, tu n'as pas tes congés payés, tu n'as pas ta prime. On a souvent des rémunérations. Moi, je n'aime pas payer des charges pour l'État, ça c'est clair. Par contre, la retraite, la sécu, tout ça, chacun a son problème. Mais par contre, si la personne fait du bon taf, il n'y a aucun souci pour très bien la payer.

  • Speaker #0

    Vraiment. C'est le plus fascinant. t'es à un poste important tu voudrais bien payer le contrat de travail salarié te bloque et en fait ça devient très risqué alors qu'effectivement en freelance tu peux très vite déjà bouger si jamais tu peux tu peux dire au début voilà on te paye 4000 balles c'est pas dangereux pour toi parce que tu peux te séparer de la personne quand tu veux tandis que si tu dis 4000 en fait c'est ce que vaut ce poste sauf que toi tu dois en sortir 8 et t'es engagé auprès de la personne et après du coup tu peux te trouver bloqué t'as envie de dire bah non moi je vous propose un contrat à l'ouest parce que faut surtout sécuriser et si tu paies quelqu'un de 4000

  • Speaker #2

    Alors d'accord, lui aussi a des charges en tant que freelance, mais c'est du service, c'est quoi, 22-23% ? Oui, c'est ça. Bon d'accord, ok, mais les 4 000, il les a. Alors que si tu as vraiment ce budget de 4 000 pour ce poste, ce n'est pas 8, c'est 4. Ça veut dire que bon, je t'embauche comme salarié, mais en fait, dans ta poche à la fin, ouais, mais tu cotises pour ta retraite, ne t'inquiète pas. Mais n'empêche que la personne à la fin du mois, elle a 1950 euros dans la poche. Elle a même un petit 2 000, quoi. donc là c'est pas la même motivation non plus de venir au boulot alors que toi par contre ça change rien tu donnes 4000 et en plus elle a droit à ses 5 semaines de congé elle a droit à ceci,

  • Speaker #0

    elle a droit à cela auquel que toi c'est normal les petites structures pour moi les petites structures qui sont pas enlevées de fonds peuvent pas très rarement recruter des salariés aujourd'hui avec l'ensemble des charges ou ce qui protège un salarié j'ai une structure où on est 4 moi demain il y a quelqu'un dans l'équipe qui dit qui tombe malade qui pose un arrêt maladie, nous la boîte, c'est pas qu'elle est finie mais c'est qu'on a, tu amputes un membre à part entière et du coup soit tu remplaces la personne du coup tu ressors le double, ça te coûte le double enfin voilà, une petite structure, on peut pas se permettre ça c'est pas possible ou alors en fait c'est une croissance incroyable c'est pour ça qu'il faudrait je pense différencier ces contrats là il pourrait y avoir le même CDI pour Toyota et pour un cabinet comme ici il y a, c'est pas possible ça ne peut pas être les mêmes règles du jeu ça ne peut pas fonctionner comme ça les enjeux ne sont pas les mêmes ok,

  • Speaker #2

    ben écoutez, en concluant sur cette je vais dire un second elle est un store une nouvelle conclusion non mais j'ai pas d'idée, mais on en débat c'est le pire non mais faut vraiment qu'on arrête avec ces petits boutons c'est tentant, vous savez, on a une console au mixage qui est là avec des boutons et des sons préenregistrés qui ne font rire que nous, malheureusement.

  • Speaker #0

    Il faut conclure, sinon tout le monde va partir et le watchtime sera mauvais. Là, on ne peut pas rester comme ça.

  • Speaker #1

    Clap de fin, merci d'avoir regardé.

  • Speaker #0

    Abonnez-vous, mettez un commentaire, activez la cloche. N'hésitez pas à aller nous suivre sur nos réseaux sociaux, sur nos autres chaînes YouTube. N'hésitez pas à nous contacter si vous avez besoin de nous. Sinon, on vous embrasse, on vous dit à la prochaine pour de nouvelles aventures.

  • Speaker #2

    Allez, refais ton clap.

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Description

Bienvenue sur le douzième épisode de notre chaîne de podcast orientée Business pour les entrepreneurs hors systèmes !
Aujourd'hui Clément, développeur talentueux, nous rejoint pour nous partager ses astuces et concepts pour automatiser un business et puis.. la discussion part dans tous les sens !
C'est parti !

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Bienvenue sur "Hors des clous", la chaîne de podcast de l'entrepreneuriat en roue libre ! Hors des clous est votre nouveau sanctuaire si vous êtes de ces entrepreneurs visionnaires, audacieux et ouverts d'esprit, qui refusent le chemin tout tracé vers la fameuse "sécurité de l'emploi" d'un emploi salarié, les 5 semaines de congés, les chèques restaurants, le modeste pavillon de banlieue, les déjeuners chez belle-maman le dimanche midi avant d'aller laver le Scenic et finir le week-end avec la boule au ventre en pensant à votre patron qui vous attend au bureau le lendemain matin...

Si vous ne vous reconnaissez pas dans ce portrait du français moyen, vous êtes les bienvenus sur cette chaîne ! À travers nos épisodes de podcasts sous forme de discussions ouverte avec ou sans invités, nous explorons les thèmes qui sont chers aux entrepreneurs aventureux en quête de liberté financière et géographique !

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Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour à tous et surtout à vous les intrépides aventuriers de l'entrepreneuriat. Vous qui avez troqué votre badge de bon petit salarié contre un rêve de liberté et d'adrénaline, en vous lançant dans votre business à vous. Alors que vous en soyez à vos débuts d'entrepreneur ou que vous soyez plus avancé, et même si ce n'est encore qu'un projet, rejoignez-nous sur la chaîne hors des clous, l'entrepreneuriat en roue libre. Je suis Romain, entrepreneur dans différents domaines depuis plus de 15 ans et fondateur d'Inkubox. et je suis accompagné par Hugo, le maestro du media buying et expert en e-commerce. Nous serons là à chaque épisode pour booster votre esprit d'entreprise avec un cocktail d'étonnant, d'inspiration et de rêve. C'est parti !

  • Speaker #1

    Bonjour à tous et bienvenue dans ce nouvel épisode de Hors des Clous.

  • Speaker #0

    Alors vous l'avez remarqué peut-être, on a un invité un peu spécial aujourd'hui mais qui n'a pas vraiment le profil d'un invité normal puisqu'il n'a pas une caméra. pointé uniquement sur lui. Il partage l'écran aujourd'hui.

  • Speaker #1

    C'est parce que ça a vraiment été improvisé pendant le déjeuner, c'est-à-dire il y a une heure. C'était pas prévu, donc du coup on avait prévu que deux trépieds sur trois.

  • Speaker #0

    Exactement. Donc pour information, Clément fait partie de l'équipe, l'équipe d'Hugo. On va dire voilà, c'est un peu des choses comme ça. On a l'impression que vous êtes ensemble, dans la vie également. Donc c'était intéressant d'avoir votre ressenti, surtout dans cette période électorale.

  • Speaker #2

    Quand le piège est à fond.

  • Speaker #1

    J'ai lu les sujets, ça ne fait pas partie, je crois.

  • Speaker #2

    Non, ça ne fait pas partie des questions.

  • Speaker #1

    Je ne sais pas si on en a besoin pour les...

  • Speaker #0

    On va se calmer, parce que cet épisode, pour l'instant, c'est un gros bordel. Si vous nous écoutez, ne partez pas tout de suite. On va parler de choses intéressantes.

  • Speaker #2

    On a parlé des naines de soleil et tout. Il y a encore beaucoup d'anomalies qui ne sont pas encore résolues.

  • Speaker #0

    Ouais, bon, écoute, j'ai une conjonctivite. J'ai le droit de mettre des lunettes de soleil.

  • Speaker #2

    C'est par solidarité, figure-toi.

  • Speaker #0

    Exactement.

  • Speaker #1

    Le plan c'est les lunettes, on fait qu'on les garde, comment ça se passe ?

  • Speaker #2

    Bah on va laisser les gens répondre en commentaire et du coup tant qu'ils ont pas répondu on les garde Non,

  • Speaker #1

    moi je les garde maintenant Mais c'est bien,

  • Speaker #0

    c'est bien, garde un petit peu le sérieux 100% improvisé,

  • Speaker #1

    je me rends pas compte,

  • Speaker #0

    là on entend que tu signales que t'es un oeil au bord avec la boxe

  • Speaker #2

    C'est vrai que toi t'as un vrai,

  • Speaker #1

    t'es un mec si tu mets C'est vrai qu'on entend aussi bien ici qu'ici,

  • Speaker #2

    y'a pas de soucis Quand tu sors en arrière,

  • Speaker #0

    c'est beaucoup mieux quand t'es un peu plus près du micro Alors écoutez C'est parti Aujourd'hui on va essayer de parler quand même d'un thème, le but n'est pas non plus... Je vous avoue on a bu un petit verre, on est tous très gays, il fait assez chaud, on a bien mangé, des choses comme ça. Donc voilà, on est un petit peu énervés, mais on va essayer de se recentrer autour d'un sujet quand même qu'on va essayer de traiter ensemble. Et on va profiter de la venue totalement volontaire d'ailleurs de Clément sur ce podcast. Ça fait plusieurs fois qu'on lui demande, si vous avez écouté les podcasts depuis le début, lors du premier épisode il me semble, on avait présenté Clément. Et on avait demandé, on avait même demandé en commentaire, d'ailleurs personne n'a répondu, puisque peu de gens ont vu cet épisode. Est-ce que vous voulez que Clément vienne ? Déjà les gens n'ont pas vu l'épisode, ils ne savaient pas qu'il était Clément. Il était déchaîné. Donc aujourd'hui Clément est là, et ça nous fait plaisir d'avoir quelqu'un avec des réponses en général, un avis on va dire tranché, des réponses incisives. Ne pars pas dans l'insulte comme tu le fais habituellement, si c'est possible. Mais on va parler d'un thème qu'on a préparé quand même un minimum sur le papier.

  • Speaker #1

    Pour un problème, pour représenter le sérieux de l'émission, le thème était vraiment préparé depuis la semaine dernière avant même de savoir que j'allais faire faire ça un moment ou un autre. Donc le thème n'est pas du tout choisi par rapport à moi.

  • Speaker #0

    Absolument pas.

  • Speaker #2

    On te le dit. Ça tombe plutôt bien.

  • Speaker #1

    Quand tu m'as lu ça, je me suis dit j'ai eu le temps de préparer ça.

  • Speaker #2

    J'aurais pu faire semblant d'être quelqu'un de très intelligent qui a préparé ça en deux minutes, mais non, c'est juste qu'effectivement tu tombes plutôt bien parce que, oui, en fait, Clément a un rôle dans notre équipe et c'est notamment le geek. technique développeurs etc et en fait quand il ya des sujets d'automatisation dans notre business et ben c'est toujours sur lui que ça tombe et il s'avère que le sujet du jour c'est la méthode secrète pour automatiser un business à 100% et donc finalement ça tombe très très vite on peut bien parce que tu as toujours des bonnes recettes dans

  • Speaker #0

    notre business à nous je pense qu'il ya des conseils que tu pourrais donner également alors on parle de quoi d'abord Quel type de business ?

  • Speaker #2

    Finalement, on va parler de beaucoup de choses, surtout sur comment déléguer et comment mettre en place des outils IA, mais on peut parler de tous les sujets. Nous, forcément, on va avoir un prisme à savoir du coup le e-commerce, donc on va surtout parler d'automatisation et de comment on a délégué en e-commerce mais bien entendu, on peut traiter toute forme de... Typiquement sur comment automatiser avec l'IA, je pense qu'on peut en parler un petit peu au moins et que ça peut concerner des e-commerce mais également d'autres activités. Et puis tu as ton prisme à toi sur le côté e-commerce toujours mais côté logistique, côté agent qui du coup va aussi avoir des sujets d'automatisation. Parce que dans l'automatisation, on va parler d'outils, on va aussi parler de ressources humaines. L'idée, c'est de savoir comment est-ce qu'on peut, nous, entrepreneurs, créer une activité, mettre en place un business, puis se mettre à côté, ne plus rien foutre et encaisser de l'argent. C'est ça qu'on entend par automatiser un business. Donc, ce n'est pas forcément que des trucs techniques, ça peut être aussi de l'humain. Comment bien manager, comment bien processer une équipe, comment du coup recruter, comment virer également. Tous ces points-là finalement. Voilà, exactement. Et tu vas pouvoir du coup nous en parler. Et moi, ce que je vous propose, c'est qu'on commence directement sur la première question finalement. Donc on est là, on est entrepreneur, on a lancé notre business. Qu'est-ce qu'on délègue en premier selon vous ? Alors vous allez me dire, oui, mais ça dépend du business, oui d'accord. Mais du coup, quelle catégorie de choses est-ce qu'on peut déléguer en premier ?

  • Speaker #0

    Je l'ai déjà dit tout à l'heure dans un autre épisode que vous avez peut-être vu, moi je pense que c'est le service client, ce qui est vraiment plus toxique en fait. Le SAV, alors c'est en même temps très important d'avoir toujours le nez dedans, c'est-à-dire que si vous le déléguez à quelqu'un, déjà il faut le déléguer à quelqu'un de professionnel, quelqu'un dont c'est le métier, qui ne va pas s'énerver, parce qu'on va toujours répondre à des gens qui sont souvent de mauvaise foi, souvent agressifs, etc. Donc, il faut quelqu'un qui puisse répondre de manière calme en suivant les process. Il faut établir des process en amont, évidemment. Mais c'est très important d'avoir toujours le nez dedans aussi pour voir quelles sont les remontées. Alors, en dehors des où est mon colis si on parle de l'e-commerce, mais c'est simplement aussi les remontées d'informations sur le service ou le produit qu'on vend, quelles sont les remontées finalement des utilisateurs. Donc, c'est très important comme Paul, mais en même temps, c'est très chronophage et ça… engendre énormément de négativité au quotidien dont on peut se passer je pense quand on développe un business on n'a pas besoin de ça au contraire on a besoin d'avoir un mindset qui soit positif énergique dynamique et donc première chose à déléguer pour moi c'est ça et ça plus ou moins peu importe le business je pense que en fait le

  • Speaker #2

    savait c'est généralement effectivement un truc qui est trop toxique et qui n'a pas une grande valeur ajoutée à le faire toi même en fait c'est pas trop de clairement sur tous les process ou mais pardon clément de manière générale c'est surtout les tâches qui sont les plus les plus récurrentes les plus répétitives

  • Speaker #1

    Le SAV du coup c'est le meilleur exemple parce que ça fait partie de tous les business, il y a forcément du SAV. C'est une tâche qui est répétitive, donc c'est la tâche qui est la plus facile à processer et donc à déléguer. Mais en vrai, de manière générale, ça fait toutes les tâches qui vont être répétitives je pense.

  • Speaker #2

    Moi de tête, là je pense directement aux newsletters, l'animation de réseau, des choses comme ça qu'il faut faire en fait, encore une fois en e-commerce, mais aussi sur d'autres business, des récurrences pour animer ta communauté, c'est des choses qu'il faut que tu fasses, sinon ton business il peut mourir doucement mais sûrement. autant le déléguer parce que voilà c'est un truc que tu as toujours animé les réseaux si on met des stories mais des publications parler avec l'audience répondre aux commentaires etc il ya un moment donné où ça fait plus trop sens que ce soit le fondateur qui s'occupe de cinq ans évidemment cependant le bémol c'est qu'il faut ça suffisamment avoir une image de

  • Speaker #0

    marque quelque chose soit encore une fois le business qu'on fait suffisamment clair développer précise avec presque une charte tu vois une sorte de qu'on appelle ça de direction artistique Une direction artistique ou un white paper, quelque chose qui va vraiment expliquer qui on est, à qui on s'adresse, qu'est-ce qu'on fait pour que la personne qui prenne cette mission comprenne bien et puisse se mettre vraiment dans nos chaussons. Parce que on l'a vu d'ailleurs, on a déjà, moi j'ai déjà essayé de déléguer également, notamment mes réseaux, notamment Instagram, LinkedIn, etc. Et c'est vrai qu'une fois sur deux, je me dis j'aurais pas dit les choses comme ça, j'aurais pas parlé de ça comme ça, j'aurais pas exploité cette photo, cette vidéo comme ça.

  • Speaker #2

    C'est pas ça, tu déléguais...

  • Speaker #0

    carrément l'animation de tereso à toi en tant que romain quoi c'est pas une marque c'est vraiment ce qui est moi c'est c'est en fait c'est particulier parce que c'est vraiment sur du du personnel branding quelque part dans quelque part oui j'avais toujours à redire parce que quand c'est une marque à imite effectivement tu as swiped paper effectivement qui définit un petit peu voilà les

  • Speaker #2

    grands traits les messages les valeurs sauf que quand c'est toi dans tous les cas c'est pas juste toi tu interprèterais ta marque différemment et t'as délégué à quelqu'un qui va l'interpréter d'une autre manière là dans tous les cas on parle de quelqu'un qui doit interpréter toi est incarné Le challenge n'est pas le même aussi pour la personne que tu recrutes. En fait, il faut quelqu'un qui presque, d'une certaine manière, te suit un petit peu depuis un moment pour rentrer dans tes baskets et réussir à communiquer de la même manière que toi.

  • Speaker #0

    Je pense que ça prend du temps, déjà, première chose. Si quelqu'un débarque, admettons, tu recrutes quelqu'un dont c'est plus ou moins le métier, mais qui arrive là et qui ne connaît absolument rien de ce qu'on fait, il faut quand même du temps, il faut quand même être derrière elle un sacré bout de temps. Et surtout, c'est un poste clé, car la communication sur les réseaux, il suffit d'une mauvaise story, d'un mauvais poste. avec un message qui n'est pas du tout le message qu'on veut faire passer, et la personne a suffisamment d'autonomie, enfin pense avoir suffisamment d'autonomie pour d'elle-même délivrer un message, il faut qu'il y ait un contrôle, je pense absolu. D'ailleurs on l'avait fait aussi, même si ce n'était peut-être pas suffisant, moi je l'avais fait, notamment en utilisant Notion, avec une sorte de tableur finalement, et chaque poste était renseigné avec le texte, le design, soit la photo, soit la vidéo, peu importe, le message, etc. Et ça devait être... valider mais le problème c'est quand on n'a même pas assez de temps pour valider ou d'être en retard dans la visitation et des postes qui sortent bon bref après ça c'est une organisation interne mais je suis d'accord c'est très long ça prend beaucoup de beaucoup de temps mais c'est pas un métier en fait qui peut s'exercer tout seul dans son coin parce que bon faire quelques Comment dire ? Quelques posts, quelques stories, animer les réseaux, c'est bien, mais il faut quand même du contenu derrière. Oui,

  • Speaker #2

    tu dois. Il faut de la photo,

  • Speaker #0

    il faut de la vidéo, il faut du contenu des concours, il faut du texte. Est-ce que cette personne peut faire ça toute seule ? Je ne pense pas.

  • Speaker #2

    Ce n'est pas évident.

  • Speaker #0

    Ce n'est pas forcément évident, sinon elle n'a pas de matière. Elle tourne vite en rond, elle va trouver des astuces, mais au bout d'un moment, elle va tourner en rond. Donc, il faut aussi prévoir un poste. Est-ce que c'est vous qui vous occupez de ça ou est-ce qu'il faut déléguer également ?

  • Speaker #2

    justement la création de contenu quel que soit le business encore une fois j'ai vu que il y a beaucoup de créateurs de contenu notamment qui délèguent pas ça qui délèguent tout le reste mais qui vont déléguer le montage qui vont déléguer la réale et tout mais qui vont garder cette animation de réseau donc moi je pense que ça c'est vrai pour une marque par exemple donc une marque que si tu crées une marque de bijoux par exemple tu peux déléguer ton animation de réseau mais je pense qu'effectivement la personal brand c'est

  • Speaker #1

    très difficile à déléguer correctement tu veux dire que quand tu postes sur les réseaux du coup c'est pas toi qui parle j'avoue qu'on a pas tout dit ça

  • Speaker #2

    Là, l'audience est trahie.

  • Speaker #0

    Alors, honnêtement, depuis un moment, c'est moi qui parle. Et d'ailleurs, il n'y a plus de post. Je ne sais pas comment c'est. Je n'ai pas le temps de les faire. Mais oui, pendant un temps, ce n'était pas moi qui parlais. Tout à fait. Donc, ça m'a déjà fait marrer de me dire, oh, dis donc, tu as été fort dans ce que tu as dit hier.

  • Speaker #2

    Je ne sais pas ce que j'ai dit hier.

  • Speaker #0

    Ce n'est pas ce que j'ai dit, je l'allais voir. Mais oui, c'est vrai que c'est les limites quand même de ce principe-là. C'est que ça permet effectivement d'entretenir la publication. Maintenant. Je trouve aussi que malgré tout, la valeur ajoutée est quand même moindre que si on se casse la tête soi-même, parce qu'on connaît notre business, à publier nous-mêmes, à chercher des choses. Ou alors, il faut simplement tomber sur la bonne personne. Je ne suis peut-être pas tombé sur la bonne personne non plus. Je suis tombé sur une personne compétente, motivée, mais qui ne comprenait peut-être pas l'étonnant, les aboutissants vraiment de mon business et qui, du coup, faisait parfois des petites boulettes.

  • Speaker #2

    Je pense qu'on peut parler de ça, ce n'était pas forcément dans l'ordre qui avait été écrit, mais du coup, l'une des manières d'automatiser un business, finalement, c'est de recruter, donc c'est des ressources humaines, c'est tout simplement faire rentrer des gens dans son business pour faire en sorte que les gens prêtent ce qu'il y a à traiter pour que le business tourne. Est-ce que vous avez des points de vue sur la manière dont on peut recruter ? A quoi est-ce que vous faites attention ? Est-ce que vous avez des process ? Est-ce que c'est flou ?

  • Speaker #1

    Déjà, je pense que là, ce dont on parlait depuis tout à l'heure, ça nous a permis de mettre le point sur peut-être la deuxième règle importante pour déléguer correctement. c'est pas déléguer un truc que tu as jamais fait. Je pense que là, l'exemple que j'ai, c'est il y a peut-être deux mois, j'ai délégué à la personne qui fait le SAV la gestion du trust pilot, parce que ce n'était pas assez bien fait jusque-là. Donc du coup, j'ai été obligé de le reprendre en main pendant deux semaines. Et non seulement de le prendre en main, mais en plus, de le prendre en main de manière à faire attention à ce que je fais et toujours être en train de noter les étapes que je fais une par une pour que derrière, quand elle, elle puisse le reprendre, du coup, elle ait vraiment une liste à plus de trucs à suivre. Et je pense que ouais, tu... recruter sur un truc que t'as jamais fait toi que tu maîtrises pas du tout, en tout cas quelqu'un qui t'a confiance,

  • Speaker #0

    le maîtrise et peut surveiller correctement c'est un enfer tu peux pas savoir si le boulot est bien fait ou pas, t'en sais rien je connais rien le nombre d'heures il peut dire ce qu'il veut,

  • Speaker #1

    c'est un métier aussi bon moi je suis dev donc ça va mais par exemple le dev c'est tellement abstrait comme métier que pour un site je pourrais dire que j'ai besoin de 4h comme 50h que ce serait la même chose pour toi j'y verrais rien,

  • Speaker #0

    j'y verrais que du feu

  • Speaker #1

    designer même principe tu t'en rends pas compte faire un logo ça peut prendre entre 30 minutes et quatre jours tu es en train de nous faire comprendre que finalement quand tu dis que ça prend 50 heures par an si tu mets quatre heures c'est ça ici il ya 50 heures en fait il ya à peu près quatre heures de code et

  • Speaker #2

    46 heures de netflix à peu près à la commune et c'est important parce que dans les flics tu apprends beaucoup de choses mais puis tu regardes des films sur les codeurs j'ai pas d'exemple bien sûr bien sûr bien sûr mais la playlist la série sur spotify d'accord ok bon sachez le quand vous demanderez un de mes lieux clément

  • Speaker #0

    Les 50 heures, il y a beaucoup de temps.

  • Speaker #2

    Non, mais c'est pour ça que les gens passent par moi pour le devis. D'accord.

  • Speaker #1

    Parce que Hugo va doubler, il va dire qu'il y en a pour 100 heures. T'imagines pas ?

  • Speaker #0

    Bien évidemment,

  • Speaker #2

    c'est le vieux cours. C'est pas du tout du business.

  • Speaker #0

    Sinon, pour recruter, moi, c'est vrai qu'au début, je vais vraiment parler pour moi, pour Inkubox.com. Quand on a commencé, on recrutait des gens. En fait, moi j'ai recruté des gens qui étaient plus ou moins des gens proches de moi, donc des amis, des gens... J'ai recruté par exemple quelqu'un qui s'appelait Olivia. Olivia, si tu nous vois dans cette vidéo, je te fais la bise.

  • Speaker #2

    Tu peux te manifester en commentaire.

  • Speaker #0

    Tu peux te manifester en commentaire. Donc j'étais vraiment content parce que c'est quelqu'un avec qui j'avais travaillé dans un job plus ou moins alimentaire, on va dire, pendant quelques mois quand même, presque une petite année. Et bon, elle non plus, elle n'était pas faite pour ça du tout. Et donc c'est vrai que finalement, elle était... Au moment où j'ai créé Inkubox, quelques mois après, j'avais besoin de quelqu'un qui joue le rôle d'une assistante plus-plus, et qui joue aussi le rôle de semi-commercial, etc., qui travaille sur des dossiers. Et c'est vrai que c'était pratique pour moi de prendre quelqu'un qui était proche de moi, parce que j'avais vraiment confiance en elle. Je pense que c'est très important d'avoir confiance, plutôt que de prendre quelqu'un qu'on ne connaît pas du tout. Et qui peut aussi un peu mentir sur ses prestations. On a déjà eu l'expérience. Hugo, si tu vois de quoi je ne vais pas dire le nom, mais on sait très bien de qui on parle.

  • Speaker #2

    On va faire de l'inchage.

  • Speaker #0

    On va faire de l'inchage, mais il y a certaines personnes qui vont vous dire Oui, moi je sais faire ceci, je vais faire cela et après ils font de la merde totale. On aurait peut-être quand même dû leur faire passer un deuxième entretien. Ou leur demander un petit peu quand même qu'est-ce qu'ils font finalement. Donc c'est ça dans les conseils que j'ai.

  • Speaker #1

    Je veux savoir de qui vous parlez.

  • Speaker #0

    Je crois que tu sais.

  • Speaker #2

    Ah mais il y en a choqué plus d'un.

  • Speaker #0

    Donc pour revenir sur Olivia, en fait, c'est simplement que ça se passait vraiment très très bien le travail ensemble. Mais c'est vrai qu'après, elle a aspiré aussi, elle avait une vie de famille, elle avait déjà deux enfants, elle a eu un troisième enfant, etc. Elle a aspiré, elle voulait déménager, etc. Donc bon, c'est quitté comme ça. Mais ce que je veux dire, c'est que pour faire des recrutements vraiment sur le long terme, il faut vraiment connaître les gens aussi et connaître leurs aspirations sur un temps long. Parce que le temps de formation, il faut vraiment le prendre en compte. J'ai par exemple j'ai un client on va dire qui m'a qui me disait mais moi de toute façon quand je recruterai je prendrais que des stagiaires. Bah je dis c'est bien ça coûte moins cher et tout, des stagiaires sur la trois mois six mois à peu près bon bah ça permet vraiment c'est moins cher.

  • Speaker #1

    Oui mais ça dépend encore une fois du poste que tu recherches. Là on parlait tout à l'heure d'un poste de SAV, en vérité pour du SAV un stagiaire c'est très bien. Ouais c'est vrai. Par contre pour un poste qui a besoin, qui est un métier plus abstrait où tu as du mal effectivement à estimer le temps de travail. développeurs, designers ou beaucoup d'autres métiers. Ouais effectivement là c'est...

  • Speaker #0

    Mais c'est le temps de formation en fait, tu vois, qui me pose problème. C'est-à-dire que tu formes quelqu'un, c'est-à-dire que tu es derrière pendant peut-être deux semaines, un mois...

  • Speaker #1

    Ça dépend beaucoup de la qualité des process. Moi je passe beaucoup de temps à faire des process et vraiment un bon process tu te rends compte que tu gagnes beaucoup de temps. En fait tu gagnes pas juste deux semaines parce qu'en fait tu gagnes deux semaines à chaque fois que la personne est remplacée. Donc en fait si jamais tu allais remplacer quatre fois dans l'année, tu as gagné huit semaines.

  • Speaker #2

    Donc effectivement si tu as des stagiaires qui rentrent et qu'il y a un roulement tous les deux mois et que tu as déjà... Ouais voilà tu sais, tu fais des vidéos et tout. Et tu sais tu mets tout, bah là c'est le pack découverte. Et après tu dis bon bah pendant trois, quatre jours, celui qui te précède et qui n'est pas encore parti, surveille. Ça peut se processer.

  • Speaker #1

    Je le sais aussi pour les clients de l'accompagnement de Genesys aussi, c'est le même principe. Ça process qui est bien clair, qui est bien carré, qui est d'ailleurs que... qui mérite quelques ajustements maintenant ?

  • Speaker #0

    Non, mais c'est vrai que les process, c'est très important. Mais moi, j'entends selon les postes, effectivement, il y a des postes qui demandent quand même un accompagnement pour justement une compréhension de qui on est, qu'est-ce qu'on fait, précisément, quel message à apporter à nos clients, à nos prospects. C'est long en formation. Et puis, des stagiaires qui sont là pour deux, trois mois, le niveau de motivation peut être variable en fonction de la personne. Tu ne sais pas du tout. Elle est là, elle valide son stage. Bon, après, je ne sais pas. Tant mieux si ça se passe bien, mais c'est pas non plus un métier d'avenir pour elle. Il y en a des très très bons, j'ai déjà travaillé des stagiaires, excellent. Anthony, si tu me vois, pareil. Anthony, super. J'en ai eu d'autres, j'en ai rien à foutre.

  • Speaker #2

    Ça dépend de la difficulté de prise en main aussi, moi je me rappelle quand je suis devenu commercial pendant un temps, c'était pas qu'une question de process, mais on m'a donné un discours, on m'a donné tout un tas d'outils que je pouvais utiliser, mais il y avait aussi un bout d'un moment, moi, qui devais me faire au rôle, à la démarche, etc. Il a fallu un bon mois avant que j'arrive à être performant. Après ça a déroulé mais pareil quand j'ai cédé mon poste, effectivement il avait pareil fait ce truc de roulement où je devais donc former le prochain, en l'occurrence la prochaine, mais grave galère en fait, en l'occurrence pour ce poste là c'était pas tellement le process, c'était vraiment le fait de le faire, il faut se roder quoi, donc c'est vrai que ça dépend encore une fois, ça dépend les postes, il y a des postes qui sont plus faciles à déléguer que d'autres et à automatiser que d'autres.

  • Speaker #0

    Donc le recrutement pour revenir à la question finalement, comment recruter ? Si possible donc. Ne pas forcément recruter quelqu'un parce que c'est un proche ou parce que c'est un ami. Déjà, les amis, ça peut être compliqué.

  • Speaker #2

    Moi, je fais que ça.

  • Speaker #0

    Je sais, mais ça peut être une bonne idée, mais ça peut être compliqué.

  • Speaker #1

    J'y pense parce que tu en parles là. Est-ce qu'ils sont au courant de notre rencontre ? Comment elle s'est passée ? Tu l'as déjà ?

  • Speaker #2

    On pourra la raconter. Ça m'embête parce que j'ai une vidéo qui sort sur le sujet. Vraiment, c'est le titre.

  • Speaker #0

    C'est vrai.

  • Speaker #1

    On va rajouter la rencontre entre Clément et Hugo.

  • Speaker #2

    cette grande romance très romantique.

  • Speaker #1

    Tu la connais toi l'histoire ?

  • Speaker #0

    On me l'a déjà racontée mais je t'avoue que je l'ai oubliée.

  • Speaker #2

    Ils s'en foutent, ils s'en foutent. Bah tu sais quoi, on oublie ces histoires de recrutement. Comment est-ce que nous on s'est fait chez Scenaria ?

  • Speaker #1

    J'y pense parce que tu parles de ne pas recruter ses amis au début. Moi quand je suis entré dans l'équipe d'Hugo, effectivement, il cherchait que des copains à l'époque. Parce que bah en fait ça faisait partie de ton truc de dire qu'en gros la force d'une boîte au début, enfin la force d'une boîte, elle est directement égale à la force de ses premiers attaqués. T'as pas le choix. Et donc en fait quand tu prends un copain, effectivement il est tellement plus engagé dans le projet que si jamais tu recrutes quelqu'un pour un salaire, parce que déjà moi quand je suis rentré, je ne suis même pas rentré pour un salaire au début.

  • Speaker #2

    Heureusement,

  • Speaker #0

    il y a eu bien ce qu'il y a,

  • Speaker #2

    il n'y a pas de cas où tu n'aurais pas été content.

  • Speaker #1

    Attends, j'ai quand même fait 800 euros en trois mois.

  • Speaker #2

    C'était un début d'activité.

  • Speaker #1

    Bon, la rencontre avec Hugo.

  • Speaker #2

    Ouais, alors en fait, avec Clément, on se connaît des jeux de vidéo. On jouait ensemble, on devait avoir 14-15 ans dans ces eaux-là.

  • Speaker #0

    Avec Bardella, vous jouiez sur Call of Duty.

  • Speaker #1

    Toujours des glissades comme ça

  • Speaker #0

    Comment ça comme titre ?

  • Speaker #2

    Moi, ça ne me dérange pas. Ça ne me dérange pas. C'est le moment que je ne me mouille nulle part dans le podcast. Donc on se rencontre sur un jeu vidéo sur Call of Duty, non rien à voir, sur DOFUS pour ceux qui connaissent Et en fait on a joué sans se rencontrer peut-être 3 ans je pense, un truc de cet ordre là

  • Speaker #1

    Non moi t'as fait partie des premiers humains que j'ai rencontré sur le jeu là Ouais mais... Toi tu jouais beaucoup avant

  • Speaker #2

    On avait joué 3 ans avant de se connaître non ?

  • Speaker #1

    Toi, toi tu jouais depuis 3 ans,

  • Speaker #2

    moi ça faisait même pas 6 mois que je jouais Non moi je jouais depuis un bail mais on s'était rencontré vite

  • Speaker #1

    Ah rencontré en réel Oui rencontré en réel

  • Speaker #2

    Non parce qu'effectivement on a joué je pense 3 ans ensemble sans se connaître Et un jour on se dit, enfin on parle un peu plus de nos vies et puis on comprend qu'on n'a pas coûté, vraiment pas loin quoi.

  • Speaker #1

    Mais y'a plus du tout l'histoire dans les détails quoi,

  • Speaker #2

    c'est quoi ? Ah bah non, je passe le mic pour la clé moi.

  • Speaker #1

    Bon, avec Hugo on joue sur Dofus, faut savoir qu'à ce moment là c'est mon mentor sur le jeu parce que lui bah, ouais ça faisait peut-être 4 ans qu'il jouait, le mec c'était une machine, il avait un nom sur le serveur tu vois, c'était quelqu'un. Moi j'arrive, encore grenoube à l'époque, et puis moi j'étais du genre à demander de l'aide à tout le monde, j'envoyais des messages j'étais... Bon bah j'ai fini dans les DM d'Hugo, et je le saoule, je le saoule, je le saoule, et c'est le seul qui m'a pas envoyé chier au bout de 10 minutes.

  • Speaker #2

    Grand coeur.

  • Speaker #1

    Donc je joue avec le copain et tout, faut savoir que du coup j'allais pas sortir en zone, tant qu'il était pas là j'avais besoin de lui. Bref, on fait notre vie comme ça, on a plein d'anecdotes, on va peut-être pas en raconter tant que celle-ci. Comprons pas. Ouais c'est clair. Et donc ensuite vient nos 18 ans. enfin les miens plutôt un truc comme ça et donc avec un pote qui s'appelle Ilias on veut se lancer en dropshipping et donc c'est le moment où en fait il y avait toutes les formations qui venaient d'exploser nous la première qu'on a prise c'était celle de Cyriak je ne me souviens pas comment c'est s'appelé ?

  • Speaker #2

    on a le droit de le lyncher lui je crois ça y est il a pris ses sauces déjà dans la gueule c'est une formation de merde

  • Speaker #1

    Comment il s'appelait cet ennemi déjà ?

  • Speaker #0

    Je ne sais pas, je ne sais pas.

  • Speaker #2

    Non, il avait comme un succès nom. C'est exagéré. Il y a écom dedans et il y a succès dedans sans doute. Il avait le succès thème. Sucès thème. C'est possible que ce soit le même nom.

  • Speaker #0

    Xavier-Loup a peut-être repris le nom parce qu'il était hier. C'est un peu marrant.

  • Speaker #1

    J'avais suivi Hugo sur Insta entre temps et en fait sur une de ses publications il avait mis hashtag dropshipping parce qu'il jouait déjà à l'empruntier en lanceur.

  • Speaker #2

    Ouais, je montre déjà des chiffres de fou furieux.

  • Speaker #1

    Et donc, j'envoie un message à Ilias. Je dis Attends, j'ai un copain qui joue à Dofus, il a mis hashtag dropshipping. Je vais lui envoyer un message. Je vais même répondre, machin. Parce que nous, à l'époque, ça faisait peut-être deux ans qu'on ne s'était pas parlé. À côté, il me répond, machin. Bref, on organise des appels et tout. Et en fait, il nous accompagne sur tout le lancement. Donc, les deux premiers sites qu'on a lancés avec Ilias, c'est Hugo qui nous supervisait à l'époque. Bon, les deux ont foiré.

  • Speaker #0

    Bravo,

  • Speaker #2

    j'étais jeune dans le fiver, pour préciser. Moi, je ne faisais pas beaucoup de chiffres non plus encore.

  • Speaker #1

    Et surtout qu'en plus, pour le coup, il y en avait un, c'est parce qu'à l'époque, on n'avait pas assez de recul et surtout pas assez de moyens. Mais encore aujourd'hui, si jamais... En fait, je me souviens des chiffres. Le premier, c'était un fail total. Il n'y avait pas de green flag. Le deuxième, en revanche, déjà, on avait compris ce que c'était que le branding. En fait, c'était une marque un peu de bracelets comme cela, pas des bracelets encre, qui s'appelait Henry Miller. Et donc, en gros, c'était un...

  • Speaker #2

    C'est scripté, le mec a directement... Non, ce n'est pas scripté, c'est...

  • Speaker #1

    Donc en fait tout le branding était sur le fait qu'il y avait Henri Miller qui était du coup le créateur de ces bracelets, qui était un grand voyageur et en gros à chaque fois qu'il allait dans une nouvelle ville ou un nouveau pays, il était inspiré par la beauté des monuments, des paysages etc. et en fait il en créait un bracelet. Donc en fait on avait une page par bracelet qui était longue comme ça où on racontait le voyage d'Henri Miller. Et en fait, c'est vrai qu'au bout de deux semaines, on était en break-even. C'est-à-dire qu'on avait dépensé de l'argent en pub, on avait fait du chiffre d'affaires, mais on n'avait pas perdu d'argent. Sauf que juste à ce moment-là, avec le fonds de roulement, on a eu un problème, et puis on s'est dit Ah, c'est peut-être pas… Parce qu'effectivement, on n'était pas sur ce que nous promettaient les formateurs, à nous dire Vous dépensez 1000 euros en publicité, vous faites 15 000 euros au chiffre d'affaires. On n'était pas là-dessus, et donc forcément, on s'est dit Non, c'est de la merde, ça ne marchera jamais. Donc on a abandonné le projet. Mais en vérité, encore aujourd'hui, on verrait ça…

  • Speaker #2

    Mais oui, c'est ce qu'on a évoqué plein de fois, c'est qu'en fait c'est des green flags de fous et il n'y avait pas non plus suffisamment de ressources, on parle de jeunes de 18-19 ans qui ont 500€ de côté pour le projet en tout cas, et qui essayent de faire le truc, et en fait il y a des green flags mais t'as pas suffisamment de ressources pour te dire, on y va on explose tout, t'as besoin d'un green flag bien plus grand, dès que t'as une société, et bien en fait on se serait bagarré, là aujourd'hui on a ce genre de résultat, on se bagarre, on met plus d'argent sur la table, on fait bah ok c'est bon signe.

  • Speaker #1

    Après on sait que de ce méta-point on fait déjà du bénef.

  • Speaker #0

    Donc relancer Henri Miller, voilà, c'est une bonne idée.

  • Speaker #1

    Mais c'est qu'on y a pensé plusieurs fois, on y a pensé plusieurs fois, il faudrait qu'on se remette dedans.

  • Speaker #2

    Ouais ça peut être un projet honnêtement.

  • Speaker #1

    Après faut aussi considérer que c'était pas la même époque.

  • Speaker #0

    Ouais, ouais, c'est sûr. C'était en quelle année ?

  • Speaker #1

    2018 je crois, j'avais 19 ans. Ouais c'était quand même le début.

  • Speaker #0

    Création d'un Qbox.

  • Speaker #1

    Donc bon bref j'accélère pour la fin de notre histoire. Mais donc après on a fait... Enfin c'est moi qui suis rentré dans du MLM. Tu vois ce que c'est que du MLM ?

  • Speaker #0

    On y a pratiqué oui.

  • Speaker #1

    On a pratiqué c'est pas vrai ?

  • Speaker #2

    Non on a parlé dans un épisode. Si tu l'as regardé tu saurais.

  • Speaker #1

    Oui je me souviens bien sûr. Bah oui. Donc j'ai été recruté chez QVRA. Bon bah moi j'ai appelé mon meilleur copain.

  • Speaker #2

    C'est lui, il était toujours dans les magouilles.

  • Speaker #0

    Je me souviens pas que tu avais expliqué, tu avais dit que tu en avais fait mais je me souviens pas que tu avais fait.

  • Speaker #2

    Tu avais parlé de trading etc.

  • Speaker #0

    Oui mais je me souviens pas qu'il m'avait dit que c'est Clément qui m'a entraîné.

  • Speaker #2

    Ah je ne peux pas être dans le détail.

  • Speaker #1

    En fait pour l'anecdote, je suis rentré en MLM et tu sais là-bas c'était beaucoup le truc du copy trading. Donc en fait si tu étais sur un canal Telegram ou que ce soit encore beaucoup aujourd'hui, évidemment c'est une arnaque. Ne commencez pas à croire que quelqu'un va vous envoyer des signaux de trading et que ça va fonctionner. Et en fait moi ce qui s'est passé c'est que la première semaine bon j'étais un peu con j'ai pas fait tu sais t'as des comptes démo en trading qui sont hermé de trader avec du faux argent et moi j'ai pas fait ce truc là j'ai directement mis en fait tu dois mettre 500 euros minimum pour être accepté sur les sur les canaux de trading et je mets 500 euros et en fait en une semaine je passe à 1200 en suivant les canaux mais j'ai trouvé le truc et donc en fait naturellement moi je commence à en parler autour de tout le monde mais c'est même pas dans le but de les recruter non c'est juste tu dis bah c'est un bon plan à partager Bon bah évidemment tu te doutes bien que ça a duré une semaine, j'ai même fait rentrer mon bar Enfin je l'ai pas fait rentrer directement mais j'ai...

  • Speaker #2

    Il a payé 45 000 euros On l'évoquait de toute façon quand on parlait de MLM, le fait, je sens que la famille etc y'a un truc un peu mal signifiant en place A la base tu le fais pour eux mais c'est trop compliqué, y'a plein de trucs qui sont pourris quoi Oh touchy,

  • Speaker #1

    d'accord donc c'est comme ça Donc voilà je l'ai fait rentrer en MLM et puis euh... bon bah fin du MLM et puis euh...

  • Speaker #2

    Tu veux que je récupère ? On a fait deux ans de MLM ensemble. On a fait deux ans de MLM. On n'a même pas appris la première leçon parce qu'on a fait un premier MLM. Et on a fini par aller dans un deuxième MLM. On était bien dégoûté du premier. On a bien fait ouais.

  • Speaker #0

    On a vraiment fait un acteur. On va partir dans un deuxième.

  • Speaker #2

    Et le deuxième MLM, cette fois-ci, c'est moi qui suis très né Clément. C'est moi qui ai signé parce qu'on m'a reconvaincu. Et je suis arrivé par Clément. Je me suis dit non mais celui-ci, Clément, vraiment, c'est un MLM de qualité. Alors aucun regret pour ma part parce que j'ai investi sur des trucs grâce à ce MLM qui était très rentable. Mais on peut pas en dire autant pour Clément et pour les autres personnes que j'ai fait parrainer. Personne n'a pu venir en fait sur le cap. C'est pas du coup bien

  • Speaker #1

    Clément toi. Non c'est pas que j'ai perdu. Si.

  • Speaker #2

    Bah c'est que t'as acheté de l'Ether et t'as pas rendu finalement.

  • Speaker #0

    Ah ouais carrément. Donc c'est même pas genre j'ai acheté ça s'est gassé la gueule. J'ai acheté, on m'a piqué.

  • Speaker #1

    Pour le closing, bon là-bas j'avais dit non. Moi j'avais vraiment dit non pendant très longtemps. Et en fait ce qui s'est passé c'est qu'on est parti en vacances à Marseille avec un mec qui était pour le coup très très très haut dans le MLM. Il était pas tout le temps mais il était... dans la deuxième branche.

  • Speaker #2

    Ah Sébastien, on t'embrasse.

  • Speaker #0

    Donc lui, il avait vraiment conclu le système. Et puis lui, il est toujours très chaud là-dedans.

  • Speaker #1

    Il a fait un partenariat avec les fondateurs du Bitcoin non plus, mais de certains cryptos.

  • Speaker #2

    Ouais.

  • Speaker #1

    Donc bon, évidemment, il est très fort, donc il m'a convaincu pendant ses vacances.

  • Speaker #2

    Et en fait si tu veux le truc c'était tu mets de l'Ether et tu récupères du coup je crois que c'était 10% par mois En fait c'est à dire que là on était à 6% à Marseille mais en gros ils avaient des rendements passés qui étaient fous quoi 10% par mois et tout qui avait déjà été fait Après c'est le truc où plus t'as de monde plus le rendement baisse

  • Speaker #1

    Mais malgré tout le moment où on y était c'était 6% par mois T'imagines à l'année Et en plus t'ajoutes à ça le fait que l'Etheron augmente naturellement Donc en fait tu dis bah attends je pose 1000 balles tu fais des calculs parce que lui évidemment c'est Excel avec le... Comment ça s'appelle là le... J'ai pu. Ah, le truc... Exponentielle, c'est pas ça le terme. La courbe exponentielle ?

  • Speaker #0

    La pyramide ? Non,

  • Speaker #1

    putain, j'ai oublié, c'est pas grave. Il avait son tableau Excel qui nous montrait qu'en fait, en 20 ans, on était millionnaire, mais plus plus, tu vois. Ah bah si, c'est bon, je suis pas... Je suis plus con, j'avais mis, j'avais dû mettre 1500, puis j'ai remis 1500 pendant les vacances. Et donc en fait, ce qui s'est passé, c'est qu'à la fin, ils nous ont rendu nos éthers, enfin non, ils nous ont pas rendu nos éthers, parce que du coup, l'éther avait fait x5 entre temps, mais ils nous ont rendu l'équivalent de ce qu'on avait investi au jour 1. mais en euros. Sauf qu'en fait, en Ether, ça faisait au moins x5 vu qu'il avait x5.

  • Speaker #2

    Le deal, c'était pas ça. Le deal, il devait nous rendre les Ethers.

  • Speaker #0

    Et pourquoi ils l'ont pas fait,

  • Speaker #2

    finalement ? Il y a eu une couille. On est parti en cacahuètes. Il y a eu du juridique, ouais. Du coup, ils sont peut-être partis avec la caisse.

  • Speaker #0

    Je sais pas trop ce qu'ils ont fait. Donc, vous n'avez rien perdu de ce que vous avez mis, mais vous avez perdu la différence.

  • Speaker #2

    Pour un investissement, moi, j'avais du poste au total entre 2 et 5 000 à l'époque, dans ces eaux-là, en Ether. Et si on avait rendu l'Ethereum que ça représente, aujourd'hui, ça représente une somme qui est hyper importante. Parce que là, on parle d'un Ethereum qui était à 100 balles. Et on en avait, du coup, pour 5 000 balles. Il vaut 3 300 dollars.

  • Speaker #0

    2 000 dollars ou un truc comme ça.

  • Speaker #1

    C'est ça,

  • Speaker #2

    putain. T'imagines ? Donc, ouais, c'était finalement... On aurait juste dû investir sur l'Ether.

  • Speaker #0

    ça passe on nous invite à part que l'on gardait c'est le principe profiter aujourd'hui c'est ça qu'il ya dans la générosité mais pour essayer de conclure sur l'anecdote parce que sinon l'épisode en fait ça va être comment se rencontrer avec les mots et après du coup moi et moi enfin félix et moi on s'est mis en s'est mis en couple en couple ouais voilà en couple business et on s'est lancé on a quitté nos anciens partenaires et on s'est lancé à notre compte Et on est allé voir, moi je me suis approché directement de mes proches, et donc Clément faisait partie, on avait déjà fait une belle aventure en arrière ensemble, même s'il y avait eu pas mal d'échecs, et c'était en mode, bah voilà, Clément est-ce que tu veux en être ? Et donc j'avais rien à promettre niveau thunes, mais il y avait toute la vision finalement, c'était en mode, est-ce que tu veux être avec nous et tenter l'aventure avec nous ? Et c'est à quoi tu as répondu. C'est sûr,

  • Speaker #1

    à l'époque j'avais un taf qui ne me plaisait pas du tout, donc effectivement j'ai hésité quand même, d'ailleurs c'est mon collègue de l'époque. et qui j'étais en camion tout le temps parce qu'on allait installer des écrans, des espèces d'écrans tactiles qui faisaient 80 pouces de diagonale, c'était des trucs immenses. Donc lui j'étais tout le temps en camion avec lui, donc on discutait de nos vies, on se connaissait par cœur en fait finalement. Et c'est lui qui a réussi à me convaincre de dire, vas-y, t'avais quoi, t'avais 22, 21 à l'époque ? Si tu le fais pas maintenant, tu le feras jamais, et puis en vrai t'auras plus de regrets que d'autres choses. J'ai dit bah ouais, en vrai t'as raison, puis je suis allé, et puis bah pas de regrets.

  • Speaker #2

    Non mais c'est comme ça où t'es le connu, c'est comme ça qu'à... le scénario a vu le jour également. C'est pour ça qu'on est là aujourd'hui, d'ailleurs.

  • Speaker #0

    Et donc, le recrutement, c'est vrai que sur ma structure, on a tous les socles, les associés principaux, c'est que des proches. Et à l'époque, je ne me posais même pas la question de comment est-ce qu'il faut recruter, quels sont les process. Le but, et ça l'est toujours aujourd'hui, c'était de travailler avec les copains et réussir à construire un truc ensemble, réussir à bricoler, pouvoir en vivre. À l'époque, on voulait juste pouvoir en vivre. Aujourd'hui, les ambitions sont quand même un peu plus hautes. Mais à l'époque, il fallait imaginer qu'on bosse entre nous, on n'a pas de patron et on peut manger, voire se loger.

  • Speaker #2

    C'est le rêve, je suis d'accord avec toi. C'est tout à fait le rêve de bosser entre amis. C'est juste que dans la réalité, tu peux très bien être de très bons amis pour aller boire un coup en soirée, c'est génial. Et dans le boulot, tu en as un, tout d'un coup, qui veut prendre le leadership sur l'autre. Un caractère ou une personnalité que tu n'as pas soupçonné parce que ce n'est pas le même domaine. Tu n'es pas là pour rigoler, tu es là pour bosser. Tu en as un qui peut donc vouloir prendre l'ascendant. Et puis après, quand il y a des problèmes d'argent, ou même de temps, tu en as un qui s'implique beaucoup plus que l'autre. Et l'autre, tu es un peu à la cool. Quand tu es avec quelqu'un, tu as instauré distance, parce que ce n'est pas ton ami, c'est quelqu'un qui est ton employé, même si je n'aime pas trop ce terme. Tu peux recadrer, tu peux même à la limite t'en séparer en disant, mais tu te séparais d'un ami. Avec qui ça ne va pas, c'est bien, mais c'était vachement plus délicat. Je suis d'accord, Sylvain, mon associé, moi j'ai deux meilleurs amis, donc Sylvain, c'est mon meilleur ami, avec Jim, on vous embrasse tous les deux, et donc oui, ça se passe super bien. Et par contre, j'ai travaillé aussi avec un de mes très très très bons amis qui s'appelle Maxime, sur un autre projet en Thaïlande, ça ne s'est pas bien passé du tout, on ne s'est pas parlé pendant trois ans. Parce qu'en fait, j'ai découvert une personne, et je pense que lui aussi, différente, de la personne que je connaissais en amitié. Parce que les enjeux n'étaient pas les mêmes, il y avait beaucoup d'argent sur la table, on était dans une sorte de... On appelle ça dans un... Un cercle vicieux ? Non, on n'a pas... On était rentrés dans un... Bon, ça s'appelle comment, il y a des investisseurs qui m'aidaient l'argent, mais...

  • Speaker #0

    Un incubateur.

  • Speaker #2

    Un incubateur, merci.

  • Speaker #0

    Allez, let's go.

  • Speaker #2

    Gros ras qu'il est là. Ah là là. J'en perds toujours mes mots, des mots à la con comme ça lors des podcasts, je perds toujours les mots. Un incubateur pendant trois mois sur Bangkok et on avait la promesse, quasi promesse d'avoir un million de dollars pour nous développer. Donc c'était vraiment en mode start-up, etc. Très grosse pression, quand même des gros enjeux, quelque chose dans le tourisme qui était incroyable sur le papier, etc. Et puis finalement, ça a pété. Ça a pété le truc, on s'est séparés, on ne s'est plus parlé. Donc c'est vrai que j'en retiens quand même une expérience un peu amère. Alors aujourd'hui, on se reparle, on dirait de redevenu pote et tout va bien, mais il y a eu une période un peu longue comme ça, et j'en ai un peu gardé cette expérience amère de me dire, les amis c'est difficile parce qu'il y a des choses que tu ne peux pas dire, parce que c'est un ami, c'est délicat, et surtout il faut que chacun, et je pense que c'est le cas pour vous, c'est le cas pour moi avec Sylvain, il ne faut pas qu'il y ait quelqu'un qui veuille prendre l'ascendant sur les autres. C'est vraiment ça, il faut que chacun ait des compétences différentes. Si tu as les mêmes compétences, si tous les quatre avec Matisse, vous aviez les mêmes compétences, c'est compliqué.

  • Speaker #0

    Oui, en fait, c'est même une mise en compétition sur le même terrain de jeu. Il y a un regard très critique à chaque fois. Oui, mais toi, tu ne serais pas fait comme ça.

  • Speaker #2

    Et puis, tu en as toujours un qui sera meilleur que l'autre.

  • Speaker #0

    Des sujets subjectifs, tu imagines, sur du design. T'as 4 personnes qui font du design qui font non mais moi je mettrais plutôt ce dégradé là c'est des visions qui sont différentes.

  • Speaker #2

    C'est de la merde, c'est de la merde. C'est très compliqué. Je déconseille quand même, si c'est possible, c'est l'idéal, mais si c'est possible ne travaillez pas avec des amis, ne déléguez pas les tâches à des amis parce que c'est compliqué. C'est mon expérience à moi, maintenant c'est pas la vôtre.

  • Speaker #0

    C'est même pas une question d'expérience, c'est une question de le pourquoi. Ça dépend, le pourquoi, si le pourquoi par exemple c'est faire un max d'oseille, moi je te rejoins. pleinement genre c'est pas la bonne démarche c'est pas une démarche, c'est pas un bon plan nous notre pourquoi c'était de bosser entre amis donc de fait ça s'est fait comme ça par contre toutes les difficultés que tu soulignes c'est des choses qu'on a déjà pu traverser que ce soit entre nous avec ceux qui sont encore là ou ceux qui sont partis on a bossé avec beaucoup d'amis et on est 4 aujourd'hui bon et ben y'a pas tout le monde qui a pu rester donc y'a eu plein de sujets de ce type là plus ou moins graves en tout cas effectivement ce truc de l'amitié et le monde professionnel y'a quand même un écart

  • Speaker #2

    et je pense aussi qu'il faut que les personnes aient des compétences, c'est-à-dire tu ne vas pas prendre quelqu'un parce que c'est ton ami c'est parce que c'est mon ami mais surtout il a des compétences qui m'intéressent et qui répondent aux miennes parce que si tu prends juste quelqu'un parce que c'est ton ami mais bon, on verra bien, je le formerai non, ça ne pourra pas marcher et puis après surtout il faut que la personne démontre, on l'a vu aussi nous on a recruté aussi des gens, même toi et moi sur des postes on en a recruté aussi Un petit peu sur le papier, ça paraissait pas mal. Et puis, on a vraiment besoin de la manant, vite, vite. Et puis finalement, on ne demande pas à la personne de faire ses preuves. Et quelqu'un qui ne veut pas faire ses preuves, alors certains vont se dire, mais quel connard, tu vois. Mais gratuitement, c'est-à-dire que quelqu'un qui ne me montre pas son boulot ou qui ne veut pas faire, par exemple, je vais prendre l'exemple d'écrire un script pour une vidéo, quelqu'un qui ne veut pas écrire un script pour nous, gratuitement, pour qu'on voit ce que donne son travail, ça ne m'intéresse pas. Alors je sais que quelqu'un va peut-être se dire, mais attends... Et puis comme ça, après ils font le script, ils payent les personnes et puis ils se barrent. Non, je suis désolé, mais n'empêche qu'au jour d'aujourd'hui, quand c'est nous qui recrutons, c'est nous qui faisons les règles du jeu, tu fais quelque chose pour nous, tu nous montres ce que tu sais faire, et si ça nous plaît, let's go !

  • Speaker #0

    Les grosses structures s'offrent des fameuses périodes d'essais, mais c'est vrai que nous, notamment dans notre domaine, c'est quand même beaucoup des freelances. Rare sont les gens qui font du e-commerce et qui commencent à recruter des salariés. Il y en a un, mais la plupart du temps, c'est des freelances. Donc effectivement, quand tu fais un prêt d'influence, il faut que la personne fasse une démonstration. Mais ça fait une très bonne passerelle sur un autre sujet. Tu comptes dans la négativité, dans le ne bâche pas avec vos amis, les gens qu'on recrute sont des salauds

  • Speaker #2

    Il vous ment.

  • Speaker #1

    Ça va être comment virer quelqu'un.

  • Speaker #0

    Comment virer quelqu'un. Et pour cette question, on a Clément qui va nous répondre,

  • Speaker #2

    puisqu'il est viré en direct.

  • Speaker #1

    Je déteste, je déteste, allez, ne serait-ce que... Tu vas faire des reproches à quelqu'un, lui dire ton travail... Déjà je le dis jamais, ton travail il est mal fait, mais... Mais aller dire tu pourrais faire comme ça, comme ça, comme ça,

  • Speaker #2

    je déteste le faire. Je vais critiquer les gens.

  • Speaker #1

    Déjà je crois que j'ai jamais viré personne de ma vie en fait.

  • Speaker #2

    Bah alors pourquoi tu interroges Clément s'il n'a jamais eu...

  • Speaker #0

    C'est Clément parce que j'ai pas le sujet.

  • Speaker #2

    Ah d'accord.

  • Speaker #0

    Tu t'y prendrais comment alors ? Si demain tu devais virer quelqu'un ?

  • Speaker #1

    Je lui ferais un recommandé.

  • Speaker #0

    Un texto.

  • Speaker #1

    Mais écoute, ça va plus entre nous.

  • Speaker #2

    Vas-y,

  • Speaker #0

    fais un truc. C'est pas toi, c'est moi.

  • Speaker #1

    Je change les serrures.

  • Speaker #2

    C'est pas toi, c'est moi.

  • Speaker #0

    La fameuse stratégie. L'entreprise n'a plus les moyens pour ton poste.

  • Speaker #1

    Non, mais surtout que c'est horrible de dire ça, parce que derrière, même là, en fait, c'est comme une fin de relation amoureuse. Tu finis avec ta relation amoureuse comme ça et tu inventes un prétexte, mine de rien, pour la personne de s'en sortir.

  • Speaker #2

    Ne sortez pas des amis, ne sortez pas non plus avec la nana ou le mec avec qui vous couchez, parce que c'est... Ne sautez pas avec la nana avec qui vous couchez. Ne sautez pas. C'est comme quand on finit une relation amoureuse. Mais j'ai envie de dire, je rajoute aussi, n'intégrez pas parce que c'est votre nana. Tiens, je vais bosser avec elle, c'est ma meuf. Ça peut aussi faire, non seulement, ça peut casser le boulot, mais pire, c'est qu'à la maison, ça coule le bordel aussi. T'as plus de sujet,

  • Speaker #1

    en fait. T'es dans le lit le soir et finalement...

  • Speaker #2

    Ça, c'est un putain de red flag. Sauf si c'est encore une activité. Il y en a, moi j'ai connu un couple dans le MLM d'ailleurs, qui cartonnait.

  • Speaker #0

    Il y a des couples business. Et le truc c'est que, moi je trouve ça merveilleux à regarder, dès que je le vois je me dis oh là là ça a l'air génial. Il parle que de ça. Ouais, en fait c'est quand même, tu vois il y a un taux d'engagement, c'est qu'en fait si jamais tu commences à avoir des doutes, t'es au piège. Là c'est...

  • Speaker #1

    Tu sais c'est un peu comme la relation que nous on a, on n'a jamais pris d'engagement officiel avec comme un espèce de carnet de 10 règles à respecter. Mais malgré tout, on connaît les limites qu'il ne faut pas dépasser pour bâtir sur notre relation. Je pense qu'en fait, quand tu es en couple, c'est un peu la même chose, en plus poussé évidemment, mais en fait, tu sais qu'il faut être capable de faire la part des choses.

  • Speaker #0

    C'est vrai.

  • Speaker #1

    On discutait la dernière fois avec le...

  • Speaker #2

    Bon,

  • Speaker #1

    c'est beaucoup moins du business, mais le... le patron du bar où on allait la dernière fois.

  • Speaker #0

    Oui, tout à fait.

  • Speaker #1

    Enfin la patronne plutôt. Et qui en fait du coup le patron est un... Les patrons !

  • Speaker #2

    Oui, on s'est dit le patron est une patronne ! Je me suis dit où est-ce qu'il va en venir ?

  • Speaker #1

    Non le patron est un couple mais du coup ils ont bien...

  • Speaker #0

    C'est ça le sujet !

  • Speaker #1

    Ils ont bien instauré ce truc où le week-end en fait ils ne parlent pas de boulot, c'est ça que du perso et après 22h dans le lit ou quoi que ce soit c'est pas du boulot,

  • Speaker #2

    c'est que... Non mais il faut des règles.

  • Speaker #1

    Je pense qu'en fait quand t'as des règles comme ça c'est beaucoup moins un souci mais par contre ils font un niveau de maturité de communication

  • Speaker #2

    Maturité, complicité, puis faut vraiment que la relation soit très solide, qu'il n'y ait pas de doute ni d'un côté ni de l'autre en disant j'ai envie d'aller voir ailleurs, ou j'ai envie... Non, faut vraiment que le couple soit installé, tu fais pas ça au bout de 6 mois quoi. Donc en fait, il y a un moment où je t'ai coupé, puis on est parti sur un autre sujet, mais tu voulais dire quelque chose.

  • Speaker #0

    Comment tu vires quelqu'un bordel ? Comment tu vires quelqu'un Clément ?

  • Speaker #1

    Pour moi, faut qu'on parle. J'ai pas trop aimé la manière dont tu m'as parlé la dernière fois.

  • Speaker #0

    La manière dont t'as parlé de poétique au début de ce podcast, c'était scandaleux.

  • Speaker #1

    J'ai pas trop kiffé. On a pris une décision avec Hugo. Et je pense qu'on va continuer sans toi.

  • Speaker #2

    Bah écoute, c'est très bien pour virer quelqu'un.

  • Speaker #0

    En sachant que toutes les dettes qu'on vous doit, on les garde.

  • Speaker #2

    D'accord, ok.

  • Speaker #1

    Ah, ce sera un super motif pour tirer, ça, en fait.

  • Speaker #2

    De quoi ? D'avoir des dettes ? Bah ouais, c'est clair.

  • Speaker #0

    Pourquoi est-ce que vous voulez vous séparer de moi ? Parce qu'on te doit de l'argent et c'est pénible.

  • Speaker #2

    On préfère mettre un thème dans cette histoire.

  • Speaker #0

    C'est mieux qu'on se voit plus.

  • Speaker #2

    Non mais bon c'est vrai que se virer quelqu'un c'est jamais évident Moi j'en ai déjà viré quelques-uns quand même Pas plus tard qu'hier C'est dur à dire Je passe encore une fois pour le salopard Je fais des blagues Il n'y a pas passé on me dit ouais t'as fait une blague raciste c'est faux C'est officiel hein ? C'est officiel, Je veux dire tu n'as pas raconté ça et en fait tu dois le faire Non je l'ai fait hier C'est vrai qu'on ne prend jamais grand plaisir à le faire En fait je pense que c'est la responsabilité Et là tu te dis merde C'est ça être chef d'entreprise, c'est-à-dire que tu as un rôle, donc tu peux recruter, tu peux faire le bonheur, alors j'exagère un peu, je mets vraiment des guillemets, c'est-à-dire que tu peux sortir quelqu'un d'une situation. D'ailleurs la personne en question, elle était dans une situation en Thaïlande, donc elle avait démissionné de son précédent boulot, donc c'est vrai qu'il ne lui restait pas beaucoup de mois financièrement, elle avait pas pu, des ressources illimitées. Et puis en Thaïlande, il n'y a pas de chômage, il y a tout ça, donc c'est-à-dire que de la maman, tu rentres chez maman. Et malgré nous, on l'a remis dans cette situation-là hier, puisqu'il a occupé un poste pendant 7 mois, pas un petit 7 mois. Il avait une tâche sur la logistique importante, notamment pour un de nos gros clients qui finalement, en cours d'année, est devenu un client extrêmement secondaire en termes de chiffre d'affaires, pour tout un tas de raisons compliquées à expliquer ici. Et donc, cette personne qu'on avait recrutée a fait... c'est vrai un gros boulot pendant les premiers mois quand on était en Chine et les retourner en Chine etc il a fait un gros boulot sur la logistique mais malheureusement dans les prévisions là en fait on avait aussi potentiellement un encore plus gros client sur vraiment que la logistique avec des turnovers en fait de containers tous les deux jours arrivée départ reconditionnement départ etc pour les états unis pour une très grande marque textile qui fait 30 millions de dollars à l'année donc c'est quand même c'est pas rien Et donc, il y avait aussi, en fait, cette perspective qui était quasiment écrite et qui, finalement, au dernier moment, disparaît. On verra plus tard, là, parce qu'on change d'entrepôt à Los Angeles. Donc, on verra ça après, etc. Peut-être à la rentrée, mais bon, moi, peut-être, par expérience, je sais aussi que ça peut être déjà. Mais donc, il y a peut-être une autre solution. Alors, finalement, il s'est contenté de ce qu'il avait. Il a amélioré ses propres process. J'en sais rien. Du coup, malheureusement, en fait, la tâche qu'on avait donnée et les perspectives, en fait. de projections qu'on avait fait pour le travail de cette personne dont on a dû se séparer n'était plus là. C'est un salaire à payer qui n'est pas négligeable sur le niveau du poste. On ne parle pas de quelqu'un, on n'est pas sur un profil stagiaire, on est sur quelqu'un qui a des compétences précises dans la logistique, francophone, un français, donc évidemment avec un salaire quand même conséquent, donc il a fallu qu'on fasse un choix. Et malheureusement, on a dû s'en séparer, mais ce n'est jamais une tâche facile. Non, c'est sûr. c'est une réciprocité et donc là tu dis et en fait au moment où ça arrive tu sais très bien j'ai toujours l'image un peu de la guillotine c'est à dire que tu sais très bien que tu appelles la personne qui ne se doute pas forcément de ce qui va se passer et j'ai toujours cette sensation un peu de dire tiens allonge-toi là mets la tête là tiens mets la tête dans le truc attends bouge pas bouge pas ta coupe quoi c'est toujours cette sensation cette image là j'ai l'impression d'être Robespierre tu vois et c'est assez dur et en même temps tu te dis c'est la responsabilité d'un chef d'entreprise c'est en fait Peu importe l'humain, l'entreprise d'abord. L'entreprise, c'est... Enfin, on doit parfois se séparer de personne. pour l'entreprise et pour le bien de toutes les personnes qui sont dans l'entreprise.

  • Speaker #0

    C'est pour ça que ça s'appelle les ressources humaines. Exactement. C'est pas pour déshumaniser les personnes qui sont dedans, mais c'est vrai que c'est quand même des ressources au service de l'entreprise. L'entreprise peut changer de situation, changer de contexte, changer de santé économique, de vision, de trajectoire aussi. Et tu composes avec tes ressources. Tu composes autant avec tes ressources quand tu achètes du matériel ou quand tu revends du matériel, quand tu lances des budgets publicitaires ou quand tu coupes des budgets publicitaires. Et quand tu prends des gens et quand tu dois te séparer des gens,

  • Speaker #2

    il n'y a rien de personnel. Il n'y a pas faux débat, il y a des missions des fois qui doivent prendre fin, il y a des projections qui n'en sont plus. Et quand j'entends, là par exemple dans les programmes politiques, parce qu'en ce moment on est au moment où on fait cet épisode, il y a le vote des législatives après la dissolution, quand j'entendais le programme du NPA, le Nouveau Parti Anticapitalisme, sachez-le, je ne suis pas du tout porté sur l'extrême gauche. Voilà, c'est une chose qui est bizarre.

  • Speaker #0

    Non,

  • Speaker #2

    c'est bizarre pour un chef d'entreprise. Non, c'est vraiment un truc. Mais quand je voyais par exemple dans leur programme, ils ont martelé depuis des années. C'est, oui, interdire les licenciements. Mais quelle débilité, je veux dire. Tu licences les gens pour tout un tas de raisons, mais ce n'est pas forcément parce que tu veux, tu es un méchant patron carnassier, et tu veux te débarrasser, ou tu veux gagner encore plus. Non, c'est aussi que tu as des entreprises à faire tourner. Il y a des périodes où l'entreprise se porte très bien et par exemple, elle se porte moins bien. Et tu dois avoir cette flexibilité de ressources humaines, comme tu dis, puisque derrière l'humain, c'est aussi un poste qui apporte une ressource financière, une richesse à l'entreprise. Et si on interdit les licenciements, c'est totalement débile, puisque finalement, on met en danger toute l'entreprise au bout d'un moment. Une entreprise qui va mal, si tu ne peux pas licencier des gens, et même quelqu'un qui ne faut rien, qu'est-ce qui se passe ?

  • Speaker #0

    mais voilà tu peux vivre seul tu peux pas jouer on peut pas juste dire on a interdit les licenciements en fait ce qui est critiqué c'est tout un système tu peux pas dire dans le système actuel tel que ça fonctionne on interdit les licenciements ça ne fonctionnerait pas y'a pas un monde où on peut dans notre manière de créer de la valeur et de produire interdire les licenciements il faudrait tout remodeler on va voir donc recruter virer

  • Speaker #2

    malheureusement ça fait partie des responsables du champ d'entreprise donc sachez-le également quand vous prenez ce poste ben vous avez aussi cette responsabilité et pas rien sérieusement c'est vrai que c'est c'est moi je sais que personnellement avant d'annoncer ça c'est déjà arrivé quelques fois je passe pas mes journées à virer les jambes heureusement mais j'en ai déjà effectivement on a déjà séparé de quelques personnes sur cinq ans d'existence d'un cubox mal en général la nuit avant où je sais que tiens voilà je programme un rendez vous La nuit avant, je repars très bien. Et la nuit après, je repars très bien non plus. Parce que je sais, et je sais très bien, puisque j'ai une activité salariée, alors quelques temps finalement, je n'ai pas été salarié très très longtemps dans ma vie, mais ça m'est déjà arrivé de me faire lourder comme ça, d'être convoqué dans un bureau, quelqu'un en face qui dit, on est vraiment désolé, mais voilà, c'est pas toi, c'est moi.

  • Speaker #1

    Je me souviens que là, le personnage qu'on voit là,

  • Speaker #2

    c'est pas le vrai. Ah non, non, non.

  • Speaker #1

    C'est le personnage public, qui fait genre qu'il a des remises.

  • Speaker #0

    Bien sûr ! Non, non, parce que nous sinon on boit des coups, on boit des coups et on se fout de la gueule des gens en question.

  • Speaker #1

    T'as vu le coup de je dors mal la nuit d'avant et d'après

  • Speaker #0

    J'ai toujours vu Romain dormir, il dort très très bien. Je l'ai jamais vu souffrir d'ailleurs.

  • Speaker #2

    Je souffre du premier sommeil. C'est à chez lui. Alors en fait, le problème c'est ça,

  • Speaker #0

    c'est que comme vous êtes… Faut pas qu'il voyage en première classe, juste pour préciser certains sujets.

  • Speaker #2

    Je voyage pas en première classe, je voyage en business class.

  • Speaker #0

    Autant pour moi.

  • Speaker #2

    Excuse-moi, petite nuance. C'est un peu le souci de cet épisode, c'est que comme Clément qui est finalement le compère d'Hugo et qu'en plus ils sont côte à côte ils sont à deux contre moi et moi je fais ça. Bon, est-ce qu'on passerait pas au sujet suivant ?

  • Speaker #0

    Si, si, si, totalement. Bon bah du coup en synthèse, pour automatiser un business, vous avez forcément du côté humain, parce que du coup, l'une des manières d'automatiser un business, c'est de recruter, et donc il faut être ok avec les relations humaines, donc être ok pour recruter correctement, et être ok pour virer correctement aussi. Donc si vous êtes... pas à l'aise avec les humains et que vous les détestez, automatiser un business, c'est compliqué. Mais il vous reste malgré tout une solution parce qu'on peut automatiser un business aujourd'hui aussi sans prendre d'humains, notamment avec la technologie et les IA qui sont apparus. Est-ce que tu as des trucs qui te viennent à l'esprit que tu pourrais partager sur comment automatiser certaines actions ? C'est peut-être des exemples concrets.

  • Speaker #1

    Déjà, qu'on soit bien d'accord. Oui, tu peux automatiser un business à 100% si jamais tu es tout seul dessus et que tu ne peux pas travailler avec d'autres humains. Par contre ton business sera évidemment plus petit, tu ne peux pas commencer à aller taper un business à plusieurs dizaines de millions, il y a peut-être quelques contre-exemples, mais de manière générale tu ne pourras pas. Maintenant par contre, en étant tout seul, tu peux réussir à débrouiller, à automatiser à 100% ta petite boutique e-commerce avec ton SV qui est peut-être... Là justement j'ai un... D'ailleurs, il ne faudra pas trop tarder parce que j'ai un call avec Gorgias.

  • Speaker #2

    Le mec, il vient déjà, il s'incuse sur l'épisode et en plus, il va nous faire finir plus tôt pour faire son appel.

  • Speaker #1

    Par exemple, tu as des outils comme ça qui te permettent... Là, en fait, on n'aura quasiment plus besoin de personne dans le SAV. Si j'ai bien compris à quoi servait vraiment l'outil, il faudra que je le prenne en main, pour voir si ce n'est pas trop des paillettes qui m'ont vu dans les yeux.

  • Speaker #0

    Et ça se relie directement avec le sujet précédent. Si tu as besoin de quelqu'un pour le SAV, tu dois virer.

  • Speaker #2

    Voilà, tout simplement.

  • Speaker #1

    On n'aurait peut-être jamais dû passer par quelqu'un. On aurait peut-être déjà dû prendre le petit début. Non, mais c'est vrai qu'avec Lysia... Alors bon, après, moi, Lysia, attention, malgré que je sois dans la tech, j'ai quand même un avis... Bon, oui, il rejoint beaucoup de monde, je ne vais pas commencer à dire que j'ai un avis qui est tranché. Mais c'est l'avis de dire qu'il est trop tôt pour laisser encore les mains libres à Lysia. C'est un bon assistant pour l'instant, mais en vérité...

  • Speaker #2

    Je ne peux pas lui laisser les clés de la boutique.

  • Speaker #1

    Je suis partagé entre le fait de... À la fois, j'ai l'impression qu'il est trop tôt pour effectivement lui laisser les clés de la boutique, et ça fait juste un assistant pour l'instant. Et à la fois j'en entends certains parler qui disent Putain si je les écoute parler en fait l'IA c'est une IA surpuissante que moi je n'ai pas. Je n'ai pas cette IA là, je n'arrive pas à la trouver. Alors ils ont des petites techniques d'aller par exemple pour GPT ne pas le parler directement dans la chatbot mais sur le... comment il s'appelle l'interface... En gros c'est un espèce de truc comme si tu passais par l'API c'est pas exactement ça, j'ai oublié le terme. Je ne sais pas mais en fait ils... Je ne sais pas, moi pour moi le... Moi de mon point de vue l'IA n'est pas encore assez au point de toute manière pour vraiment...

  • Speaker #0

    Sur tous les supports en ce moment, les supports PayPal, Stripe, UPS, etc. Tous les supports des grosses boîtes sont passés avec des assistants virtuels. En tant que dans la position du consommateur, moi là, c'est en train de me faire péter des câbles. C'est parce que ce n'est pas au point.

  • Speaker #1

    Il ne faut pas tout confondre. Il ne faut pas confondre un support d'une boîte dont tu n'as pas le choix de te passer. Par exemple UPS, on s'en fout. Si tu ne fais pas UPS, PayPal c'est pareil. En tout cas du côté de notre côté à nous. Côté consommateur évidemment c'est important Par contre le SAV de ta boîte De ton e-commerce ou de ton SaaS Il a besoin d'être parfait On le voit de toute façon Le SAV des SaaS ou des trucs comme ça depuis 3 ans C'est une folie Ça te répand en 2 heures

  • Speaker #0

    C'est justement mon point De fait nous Il faut que ce soit parfait Et donc les IA pour avoir un sentiment Quand t'es consommateur bien C'est pas au point Moi en tant que consommateur Dès que je parle à une IA Peu importe le service, du coup, ça m'énerve. Surtout que c'est précisé comme tel. Tu dis, contactez-nous, contactez le support, bam, un chat où c'est écrit assistant virtuel. Je suis un putain. Je ne vous contacte pas.

  • Speaker #2

    Pour moi, ce n'est pas du support.

  • Speaker #0

    C'est une FAQ poussée, en fait.

  • Speaker #2

    C'est une FAQ poussée, exactement. Là aussi, tu as des process, tu as des questions qui sont déjà préécrites et des réponses préécrites. Mais est-ce que l'IA va vraiment t'aider ? Quand il y a quelqu'un... Alors, je fais vraiment mon vieux con, mais qu'est-ce que c'était bien quand il y avait des gens au bout du fil ? Tu appelais un support, il y avait quelqu'un, un humain... Le quinquagénaire. Le quinquagénaire, exactement. Je n'ai pas mes 50 ans, mais ce n'est pas grave.

  • Speaker #0

    Il y a eu Internet entre temps.

  • Speaker #2

    Non, mais c'est vrai. Et d'ailleurs, il y a des pays, par exemple, pour la Thaïlande, Sylvain me disait, lui, il appelle le support de n'importe quoi, ça banque tout ça. 24 heures sur 24, tu as un durée. Et le problème se règle tout de suite. Oui, je comprends, machin, tout, ça se règle. Alors que sinon...

  • Speaker #0

    PayPal, ça fait 6 mois.

  • Speaker #2

    Ouais, mais bon, Paypal, c'est Paypal, c'est un peu spécial, c'est des...

  • Speaker #0

    Voilà. Ça, on peut le dire, ça. Moi, j'ai plus peur de le dire. Honnêtement, là, je suis pas tant en guerre. Si jamais vous regardez ça et que vous êtes en train de faire des pétitions pour monter une équipe contre eux ou mettre des affaires de justice, j'en sais rien, j'en suis. Franchement, non, c'est trop. Ce qu'ils font, c'est trop.

  • Speaker #2

    Je dirais pareil, puisqu'il y a une grande partie de cet argent bloqué qui est le nôtre. Je dirais pareil.

  • Speaker #0

    On est déjà à 2, 3 avec Clément.

  • Speaker #2

    OK, bon, très bien. Y a-t-il encore des sujets sur cet épisode ?

  • Speaker #1

    Comment vous concluez d'habitude ?

  • Speaker #0

    On ne conclut jamais.

  • Speaker #2

    On ne conclut pas, on dit bon ben voilà c'est fini, merci, au revoir, à bientôt.

  • Speaker #0

    Non mais en tout cas on conclut, il nous reste encore 10 minutes, tu pars à 15 ?

  • Speaker #1

    Ouais, ouais.

  • Speaker #0

    Bon, une dernière question puis on conclut. Alors attends, laquelle on va prendre ? Comment déléguer correctement freelance, agence ou salarié ?

  • Speaker #2

    Pardon ?

  • Speaker #1

    Il y a tellement de sujets. freelance, agence ou salarié ouais ça dépend non mais déjà salarié media buying par exemple plutôt un freelance plutôt une agence plutôt un salarié freelance parce qu'il faut payer aux résultats ou agence mais pas salarié parce qu'il faut payer aux résultats pas un truc comme ça je pense ok pourquoi ? parce que t'as besoin c'est un métier qui est super important t'as besoin d'avoir un suivi qui est qui est parfait qui est pointilleux ouais en fait il y a certains métiers comme ça qui doivent être payés aux résultats je pense

  • Speaker #2

    Moi, je pense qu'en même en dehors du métier, personnellement, je préfère payer des freelances pour deux raisons. Première raison, c'est qu'il n'y a pas de charge.

  • Speaker #0

    Oui, forcément.

  • Speaker #2

    Déjà, donc évidemment, la personne... Et en fait, on travaille avec des gens qui ont un profil d'entrepreneur eux-mêmes. Ce sont des gens qui ont leur propre entreprise, en fait. Et donc, c'est simplement... Voilà, c'est une mission qui peut être plus ou moins longue, mais n'empêche que voilà, ils ont cette... capacité de travail et cette implication comme quelqu'un qui ferait le boulot comme toi quoi quelque part alors qu'un salarié malgré tout bon bah il fait ses horaires il a son petit salaire il a son tu vois ce que je veux dire c'est la mentalité salarié c'est vraiment une sorte de mentalité en fait je pense moi

  • Speaker #1

    dans mon exemple à moi en fait si jamais tu prends un freelance pendant plus de trois mois que tu peux venir dans tes bureaux et tout pour moi c'est un salarié alors effectivement fiscalement c'est pas la même chose ça va être un freelance demain si tu dis c'est fini c'est fini

  • Speaker #2

    il n'y a pas de plateau prud'homme sauf si il y a un droit qui dit que ça quand on ressentit c'est tout comme dans la merde dont on travaille alors est-ce que c'est faire c'est faire plé quelque part de dire la personne est là elle a ses horaires comme un salarié mais on lui refuse ce statut sauf

  • Speaker #1

    si les personnes sont d'accord je pense que ça n'a pas un vaste communicant dans le salaire déjà si jamais à deux temps dessus Tu payes 2000 la personne, si jamais tu débourses 4000 pour un salarié et 2005 globalement pour un freelance pour que lui touche 2000 net, bah du coup tu fais un espèce de base communicant où du coup tu la payes 3000, un truc comme ça.

  • Speaker #2

    Bah peut-être ouais.

  • Speaker #1

    Pour qu'elle du coup elle ait 2005 et pas 2000 en CDI.

  • Speaker #0

    Ouais, généralement les freelances s'y retrouvent et les entreprises aussi.

  • Speaker #1

    Ouais, naturellement un freelance est mieux payé qu'un...

  • Speaker #2

    Un freelance est mieux payé et moi j'ai tendance à vachement mieux payer d'ailleurs un freelance parce que justement je vois qui s'implique et quand je vois que l'application est réelle... tu te dis, on n'est pas sur un poste salarié, tu n'as pas tes congés payés, tu n'as pas ta prime. On a souvent des rémunérations. Moi, je n'aime pas payer des charges pour l'État, ça c'est clair. Par contre, la retraite, la sécu, tout ça, chacun a son problème. Mais par contre, si la personne fait du bon taf, il n'y a aucun souci pour très bien la payer.

  • Speaker #0

    Vraiment. C'est le plus fascinant. t'es à un poste important tu voudrais bien payer le contrat de travail salarié te bloque et en fait ça devient très risqué alors qu'effectivement en freelance tu peux très vite déjà bouger si jamais tu peux tu peux dire au début voilà on te paye 4000 balles c'est pas dangereux pour toi parce que tu peux te séparer de la personne quand tu veux tandis que si tu dis 4000 en fait c'est ce que vaut ce poste sauf que toi tu dois en sortir 8 et t'es engagé auprès de la personne et après du coup tu peux te trouver bloqué t'as envie de dire bah non moi je vous propose un contrat à l'ouest parce que faut surtout sécuriser et si tu paies quelqu'un de 4000

  • Speaker #2

    Alors d'accord, lui aussi a des charges en tant que freelance, mais c'est du service, c'est quoi, 22-23% ? Oui, c'est ça. Bon d'accord, ok, mais les 4 000, il les a. Alors que si tu as vraiment ce budget de 4 000 pour ce poste, ce n'est pas 8, c'est 4. Ça veut dire que bon, je t'embauche comme salarié, mais en fait, dans ta poche à la fin, ouais, mais tu cotises pour ta retraite, ne t'inquiète pas. Mais n'empêche que la personne à la fin du mois, elle a 1950 euros dans la poche. Elle a même un petit 2 000, quoi. donc là c'est pas la même motivation non plus de venir au boulot alors que toi par contre ça change rien tu donnes 4000 et en plus elle a droit à ses 5 semaines de congé elle a droit à ceci,

  • Speaker #0

    elle a droit à cela auquel que toi c'est normal les petites structures pour moi les petites structures qui sont pas enlevées de fonds peuvent pas très rarement recruter des salariés aujourd'hui avec l'ensemble des charges ou ce qui protège un salarié j'ai une structure où on est 4 moi demain il y a quelqu'un dans l'équipe qui dit qui tombe malade qui pose un arrêt maladie, nous la boîte, c'est pas qu'elle est finie mais c'est qu'on a, tu amputes un membre à part entière et du coup soit tu remplaces la personne du coup tu ressors le double, ça te coûte le double enfin voilà, une petite structure, on peut pas se permettre ça c'est pas possible ou alors en fait c'est une croissance incroyable c'est pour ça qu'il faudrait je pense différencier ces contrats là il pourrait y avoir le même CDI pour Toyota et pour un cabinet comme ici il y a, c'est pas possible ça ne peut pas être les mêmes règles du jeu ça ne peut pas fonctionner comme ça les enjeux ne sont pas les mêmes ok,

  • Speaker #2

    ben écoutez, en concluant sur cette je vais dire un second elle est un store une nouvelle conclusion non mais j'ai pas d'idée, mais on en débat c'est le pire non mais faut vraiment qu'on arrête avec ces petits boutons c'est tentant, vous savez, on a une console au mixage qui est là avec des boutons et des sons préenregistrés qui ne font rire que nous, malheureusement.

  • Speaker #0

    Il faut conclure, sinon tout le monde va partir et le watchtime sera mauvais. Là, on ne peut pas rester comme ça.

  • Speaker #1

    Clap de fin, merci d'avoir regardé.

  • Speaker #0

    Abonnez-vous, mettez un commentaire, activez la cloche. N'hésitez pas à aller nous suivre sur nos réseaux sociaux, sur nos autres chaînes YouTube. N'hésitez pas à nous contacter si vous avez besoin de nous. Sinon, on vous embrasse, on vous dit à la prochaine pour de nouvelles aventures.

  • Speaker #2

    Allez, refais ton clap.

Description

Bienvenue sur le douzième épisode de notre chaîne de podcast orientée Business pour les entrepreneurs hors systèmes !
Aujourd'hui Clément, développeur talentueux, nous rejoint pour nous partager ses astuces et concepts pour automatiser un business et puis.. la discussion part dans tous les sens !
C'est parti !

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Bienvenue sur "Hors des clous", la chaîne de podcast de l'entrepreneuriat en roue libre ! Hors des clous est votre nouveau sanctuaire si vous êtes de ces entrepreneurs visionnaires, audacieux et ouverts d'esprit, qui refusent le chemin tout tracé vers la fameuse "sécurité de l'emploi" d'un emploi salarié, les 5 semaines de congés, les chèques restaurants, le modeste pavillon de banlieue, les déjeuners chez belle-maman le dimanche midi avant d'aller laver le Scenic et finir le week-end avec la boule au ventre en pensant à votre patron qui vous attend au bureau le lendemain matin...

Si vous ne vous reconnaissez pas dans ce portrait du français moyen, vous êtes les bienvenus sur cette chaîne ! À travers nos épisodes de podcasts sous forme de discussions ouverte avec ou sans invités, nous explorons les thèmes qui sont chers aux entrepreneurs aventureux en quête de liberté financière et géographique !

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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour à tous et surtout à vous les intrépides aventuriers de l'entrepreneuriat. Vous qui avez troqué votre badge de bon petit salarié contre un rêve de liberté et d'adrénaline, en vous lançant dans votre business à vous. Alors que vous en soyez à vos débuts d'entrepreneur ou que vous soyez plus avancé, et même si ce n'est encore qu'un projet, rejoignez-nous sur la chaîne hors des clous, l'entrepreneuriat en roue libre. Je suis Romain, entrepreneur dans différents domaines depuis plus de 15 ans et fondateur d'Inkubox. et je suis accompagné par Hugo, le maestro du media buying et expert en e-commerce. Nous serons là à chaque épisode pour booster votre esprit d'entreprise avec un cocktail d'étonnant, d'inspiration et de rêve. C'est parti !

  • Speaker #1

    Bonjour à tous et bienvenue dans ce nouvel épisode de Hors des Clous.

  • Speaker #0

    Alors vous l'avez remarqué peut-être, on a un invité un peu spécial aujourd'hui mais qui n'a pas vraiment le profil d'un invité normal puisqu'il n'a pas une caméra. pointé uniquement sur lui. Il partage l'écran aujourd'hui.

  • Speaker #1

    C'est parce que ça a vraiment été improvisé pendant le déjeuner, c'est-à-dire il y a une heure. C'était pas prévu, donc du coup on avait prévu que deux trépieds sur trois.

  • Speaker #0

    Exactement. Donc pour information, Clément fait partie de l'équipe, l'équipe d'Hugo. On va dire voilà, c'est un peu des choses comme ça. On a l'impression que vous êtes ensemble, dans la vie également. Donc c'était intéressant d'avoir votre ressenti, surtout dans cette période électorale.

  • Speaker #2

    Quand le piège est à fond.

  • Speaker #1

    J'ai lu les sujets, ça ne fait pas partie, je crois.

  • Speaker #2

    Non, ça ne fait pas partie des questions.

  • Speaker #1

    Je ne sais pas si on en a besoin pour les...

  • Speaker #0

    On va se calmer, parce que cet épisode, pour l'instant, c'est un gros bordel. Si vous nous écoutez, ne partez pas tout de suite. On va parler de choses intéressantes.

  • Speaker #2

    On a parlé des naines de soleil et tout. Il y a encore beaucoup d'anomalies qui ne sont pas encore résolues.

  • Speaker #0

    Ouais, bon, écoute, j'ai une conjonctivite. J'ai le droit de mettre des lunettes de soleil.

  • Speaker #2

    C'est par solidarité, figure-toi.

  • Speaker #0

    Exactement.

  • Speaker #1

    Le plan c'est les lunettes, on fait qu'on les garde, comment ça se passe ?

  • Speaker #2

    Bah on va laisser les gens répondre en commentaire et du coup tant qu'ils ont pas répondu on les garde Non,

  • Speaker #1

    moi je les garde maintenant Mais c'est bien,

  • Speaker #0

    c'est bien, garde un petit peu le sérieux 100% improvisé,

  • Speaker #1

    je me rends pas compte,

  • Speaker #0

    là on entend que tu signales que t'es un oeil au bord avec la boxe

  • Speaker #2

    C'est vrai que toi t'as un vrai,

  • Speaker #1

    t'es un mec si tu mets C'est vrai qu'on entend aussi bien ici qu'ici,

  • Speaker #2

    y'a pas de soucis Quand tu sors en arrière,

  • Speaker #0

    c'est beaucoup mieux quand t'es un peu plus près du micro Alors écoutez C'est parti Aujourd'hui on va essayer de parler quand même d'un thème, le but n'est pas non plus... Je vous avoue on a bu un petit verre, on est tous très gays, il fait assez chaud, on a bien mangé, des choses comme ça. Donc voilà, on est un petit peu énervés, mais on va essayer de se recentrer autour d'un sujet quand même qu'on va essayer de traiter ensemble. Et on va profiter de la venue totalement volontaire d'ailleurs de Clément sur ce podcast. Ça fait plusieurs fois qu'on lui demande, si vous avez écouté les podcasts depuis le début, lors du premier épisode il me semble, on avait présenté Clément. Et on avait demandé, on avait même demandé en commentaire, d'ailleurs personne n'a répondu, puisque peu de gens ont vu cet épisode. Est-ce que vous voulez que Clément vienne ? Déjà les gens n'ont pas vu l'épisode, ils ne savaient pas qu'il était Clément. Il était déchaîné. Donc aujourd'hui Clément est là, et ça nous fait plaisir d'avoir quelqu'un avec des réponses en général, un avis on va dire tranché, des réponses incisives. Ne pars pas dans l'insulte comme tu le fais habituellement, si c'est possible. Mais on va parler d'un thème qu'on a préparé quand même un minimum sur le papier.

  • Speaker #1

    Pour un problème, pour représenter le sérieux de l'émission, le thème était vraiment préparé depuis la semaine dernière avant même de savoir que j'allais faire faire ça un moment ou un autre. Donc le thème n'est pas du tout choisi par rapport à moi.

  • Speaker #0

    Absolument pas.

  • Speaker #2

    On te le dit. Ça tombe plutôt bien.

  • Speaker #1

    Quand tu m'as lu ça, je me suis dit j'ai eu le temps de préparer ça.

  • Speaker #2

    J'aurais pu faire semblant d'être quelqu'un de très intelligent qui a préparé ça en deux minutes, mais non, c'est juste qu'effectivement tu tombes plutôt bien parce que, oui, en fait, Clément a un rôle dans notre équipe et c'est notamment le geek. technique développeurs etc et en fait quand il ya des sujets d'automatisation dans notre business et ben c'est toujours sur lui que ça tombe et il s'avère que le sujet du jour c'est la méthode secrète pour automatiser un business à 100% et donc finalement ça tombe très très vite on peut bien parce que tu as toujours des bonnes recettes dans

  • Speaker #0

    notre business à nous je pense qu'il ya des conseils que tu pourrais donner également alors on parle de quoi d'abord Quel type de business ?

  • Speaker #2

    Finalement, on va parler de beaucoup de choses, surtout sur comment déléguer et comment mettre en place des outils IA, mais on peut parler de tous les sujets. Nous, forcément, on va avoir un prisme à savoir du coup le e-commerce, donc on va surtout parler d'automatisation et de comment on a délégué en e-commerce mais bien entendu, on peut traiter toute forme de... Typiquement sur comment automatiser avec l'IA, je pense qu'on peut en parler un petit peu au moins et que ça peut concerner des e-commerce mais également d'autres activités. Et puis tu as ton prisme à toi sur le côté e-commerce toujours mais côté logistique, côté agent qui du coup va aussi avoir des sujets d'automatisation. Parce que dans l'automatisation, on va parler d'outils, on va aussi parler de ressources humaines. L'idée, c'est de savoir comment est-ce qu'on peut, nous, entrepreneurs, créer une activité, mettre en place un business, puis se mettre à côté, ne plus rien foutre et encaisser de l'argent. C'est ça qu'on entend par automatiser un business. Donc, ce n'est pas forcément que des trucs techniques, ça peut être aussi de l'humain. Comment bien manager, comment bien processer une équipe, comment du coup recruter, comment virer également. Tous ces points-là finalement. Voilà, exactement. Et tu vas pouvoir du coup nous en parler. Et moi, ce que je vous propose, c'est qu'on commence directement sur la première question finalement. Donc on est là, on est entrepreneur, on a lancé notre business. Qu'est-ce qu'on délègue en premier selon vous ? Alors vous allez me dire, oui, mais ça dépend du business, oui d'accord. Mais du coup, quelle catégorie de choses est-ce qu'on peut déléguer en premier ?

  • Speaker #0

    Je l'ai déjà dit tout à l'heure dans un autre épisode que vous avez peut-être vu, moi je pense que c'est le service client, ce qui est vraiment plus toxique en fait. Le SAV, alors c'est en même temps très important d'avoir toujours le nez dedans, c'est-à-dire que si vous le déléguez à quelqu'un, déjà il faut le déléguer à quelqu'un de professionnel, quelqu'un dont c'est le métier, qui ne va pas s'énerver, parce qu'on va toujours répondre à des gens qui sont souvent de mauvaise foi, souvent agressifs, etc. Donc, il faut quelqu'un qui puisse répondre de manière calme en suivant les process. Il faut établir des process en amont, évidemment. Mais c'est très important d'avoir toujours le nez dedans aussi pour voir quelles sont les remontées. Alors, en dehors des où est mon colis si on parle de l'e-commerce, mais c'est simplement aussi les remontées d'informations sur le service ou le produit qu'on vend, quelles sont les remontées finalement des utilisateurs. Donc, c'est très important comme Paul, mais en même temps, c'est très chronophage et ça… engendre énormément de négativité au quotidien dont on peut se passer je pense quand on développe un business on n'a pas besoin de ça au contraire on a besoin d'avoir un mindset qui soit positif énergique dynamique et donc première chose à déléguer pour moi c'est ça et ça plus ou moins peu importe le business je pense que en fait le

  • Speaker #2

    savait c'est généralement effectivement un truc qui est trop toxique et qui n'a pas une grande valeur ajoutée à le faire toi même en fait c'est pas trop de clairement sur tous les process ou mais pardon clément de manière générale c'est surtout les tâches qui sont les plus les plus récurrentes les plus répétitives

  • Speaker #1

    Le SAV du coup c'est le meilleur exemple parce que ça fait partie de tous les business, il y a forcément du SAV. C'est une tâche qui est répétitive, donc c'est la tâche qui est la plus facile à processer et donc à déléguer. Mais en vrai, de manière générale, ça fait toutes les tâches qui vont être répétitives je pense.

  • Speaker #2

    Moi de tête, là je pense directement aux newsletters, l'animation de réseau, des choses comme ça qu'il faut faire en fait, encore une fois en e-commerce, mais aussi sur d'autres business, des récurrences pour animer ta communauté, c'est des choses qu'il faut que tu fasses, sinon ton business il peut mourir doucement mais sûrement. autant le déléguer parce que voilà c'est un truc que tu as toujours animé les réseaux si on met des stories mais des publications parler avec l'audience répondre aux commentaires etc il ya un moment donné où ça fait plus trop sens que ce soit le fondateur qui s'occupe de cinq ans évidemment cependant le bémol c'est qu'il faut ça suffisamment avoir une image de

  • Speaker #0

    marque quelque chose soit encore une fois le business qu'on fait suffisamment clair développer précise avec presque une charte tu vois une sorte de qu'on appelle ça de direction artistique Une direction artistique ou un white paper, quelque chose qui va vraiment expliquer qui on est, à qui on s'adresse, qu'est-ce qu'on fait pour que la personne qui prenne cette mission comprenne bien et puisse se mettre vraiment dans nos chaussons. Parce que on l'a vu d'ailleurs, on a déjà, moi j'ai déjà essayé de déléguer également, notamment mes réseaux, notamment Instagram, LinkedIn, etc. Et c'est vrai qu'une fois sur deux, je me dis j'aurais pas dit les choses comme ça, j'aurais pas parlé de ça comme ça, j'aurais pas exploité cette photo, cette vidéo comme ça.

  • Speaker #2

    C'est pas ça, tu déléguais...

  • Speaker #0

    carrément l'animation de tereso à toi en tant que romain quoi c'est pas une marque c'est vraiment ce qui est moi c'est c'est en fait c'est particulier parce que c'est vraiment sur du du personnel branding quelque part dans quelque part oui j'avais toujours à redire parce que quand c'est une marque à imite effectivement tu as swiped paper effectivement qui définit un petit peu voilà les

  • Speaker #2

    grands traits les messages les valeurs sauf que quand c'est toi dans tous les cas c'est pas juste toi tu interprèterais ta marque différemment et t'as délégué à quelqu'un qui va l'interpréter d'une autre manière là dans tous les cas on parle de quelqu'un qui doit interpréter toi est incarné Le challenge n'est pas le même aussi pour la personne que tu recrutes. En fait, il faut quelqu'un qui presque, d'une certaine manière, te suit un petit peu depuis un moment pour rentrer dans tes baskets et réussir à communiquer de la même manière que toi.

  • Speaker #0

    Je pense que ça prend du temps, déjà, première chose. Si quelqu'un débarque, admettons, tu recrutes quelqu'un dont c'est plus ou moins le métier, mais qui arrive là et qui ne connaît absolument rien de ce qu'on fait, il faut quand même du temps, il faut quand même être derrière elle un sacré bout de temps. Et surtout, c'est un poste clé, car la communication sur les réseaux, il suffit d'une mauvaise story, d'un mauvais poste. avec un message qui n'est pas du tout le message qu'on veut faire passer, et la personne a suffisamment d'autonomie, enfin pense avoir suffisamment d'autonomie pour d'elle-même délivrer un message, il faut qu'il y ait un contrôle, je pense absolu. D'ailleurs on l'avait fait aussi, même si ce n'était peut-être pas suffisant, moi je l'avais fait, notamment en utilisant Notion, avec une sorte de tableur finalement, et chaque poste était renseigné avec le texte, le design, soit la photo, soit la vidéo, peu importe, le message, etc. Et ça devait être... valider mais le problème c'est quand on n'a même pas assez de temps pour valider ou d'être en retard dans la visitation et des postes qui sortent bon bref après ça c'est une organisation interne mais je suis d'accord c'est très long ça prend beaucoup de beaucoup de temps mais c'est pas un métier en fait qui peut s'exercer tout seul dans son coin parce que bon faire quelques Comment dire ? Quelques posts, quelques stories, animer les réseaux, c'est bien, mais il faut quand même du contenu derrière. Oui,

  • Speaker #2

    tu dois. Il faut de la photo,

  • Speaker #0

    il faut de la vidéo, il faut du contenu des concours, il faut du texte. Est-ce que cette personne peut faire ça toute seule ? Je ne pense pas.

  • Speaker #2

    Ce n'est pas évident.

  • Speaker #0

    Ce n'est pas forcément évident, sinon elle n'a pas de matière. Elle tourne vite en rond, elle va trouver des astuces, mais au bout d'un moment, elle va tourner en rond. Donc, il faut aussi prévoir un poste. Est-ce que c'est vous qui vous occupez de ça ou est-ce qu'il faut déléguer également ?

  • Speaker #2

    justement la création de contenu quel que soit le business encore une fois j'ai vu que il y a beaucoup de créateurs de contenu notamment qui délèguent pas ça qui délèguent tout le reste mais qui vont déléguer le montage qui vont déléguer la réale et tout mais qui vont garder cette animation de réseau donc moi je pense que ça c'est vrai pour une marque par exemple donc une marque que si tu crées une marque de bijoux par exemple tu peux déléguer ton animation de réseau mais je pense qu'effectivement la personal brand c'est

  • Speaker #1

    très difficile à déléguer correctement tu veux dire que quand tu postes sur les réseaux du coup c'est pas toi qui parle j'avoue qu'on a pas tout dit ça

  • Speaker #2

    Là, l'audience est trahie.

  • Speaker #0

    Alors, honnêtement, depuis un moment, c'est moi qui parle. Et d'ailleurs, il n'y a plus de post. Je ne sais pas comment c'est. Je n'ai pas le temps de les faire. Mais oui, pendant un temps, ce n'était pas moi qui parlais. Tout à fait. Donc, ça m'a déjà fait marrer de me dire, oh, dis donc, tu as été fort dans ce que tu as dit hier.

  • Speaker #2

    Je ne sais pas ce que j'ai dit hier.

  • Speaker #0

    Ce n'est pas ce que j'ai dit, je l'allais voir. Mais oui, c'est vrai que c'est les limites quand même de ce principe-là. C'est que ça permet effectivement d'entretenir la publication. Maintenant. Je trouve aussi que malgré tout, la valeur ajoutée est quand même moindre que si on se casse la tête soi-même, parce qu'on connaît notre business, à publier nous-mêmes, à chercher des choses. Ou alors, il faut simplement tomber sur la bonne personne. Je ne suis peut-être pas tombé sur la bonne personne non plus. Je suis tombé sur une personne compétente, motivée, mais qui ne comprenait peut-être pas l'étonnant, les aboutissants vraiment de mon business et qui, du coup, faisait parfois des petites boulettes.

  • Speaker #2

    Je pense qu'on peut parler de ça, ce n'était pas forcément dans l'ordre qui avait été écrit, mais du coup, l'une des manières d'automatiser un business, finalement, c'est de recruter, donc c'est des ressources humaines, c'est tout simplement faire rentrer des gens dans son business pour faire en sorte que les gens prêtent ce qu'il y a à traiter pour que le business tourne. Est-ce que vous avez des points de vue sur la manière dont on peut recruter ? A quoi est-ce que vous faites attention ? Est-ce que vous avez des process ? Est-ce que c'est flou ?

  • Speaker #1

    Déjà, je pense que là, ce dont on parlait depuis tout à l'heure, ça nous a permis de mettre le point sur peut-être la deuxième règle importante pour déléguer correctement. c'est pas déléguer un truc que tu as jamais fait. Je pense que là, l'exemple que j'ai, c'est il y a peut-être deux mois, j'ai délégué à la personne qui fait le SAV la gestion du trust pilot, parce que ce n'était pas assez bien fait jusque-là. Donc du coup, j'ai été obligé de le reprendre en main pendant deux semaines. Et non seulement de le prendre en main, mais en plus, de le prendre en main de manière à faire attention à ce que je fais et toujours être en train de noter les étapes que je fais une par une pour que derrière, quand elle, elle puisse le reprendre, du coup, elle ait vraiment une liste à plus de trucs à suivre. Et je pense que ouais, tu... recruter sur un truc que t'as jamais fait toi que tu maîtrises pas du tout, en tout cas quelqu'un qui t'a confiance,

  • Speaker #0

    le maîtrise et peut surveiller correctement c'est un enfer tu peux pas savoir si le boulot est bien fait ou pas, t'en sais rien je connais rien le nombre d'heures il peut dire ce qu'il veut,

  • Speaker #1

    c'est un métier aussi bon moi je suis dev donc ça va mais par exemple le dev c'est tellement abstrait comme métier que pour un site je pourrais dire que j'ai besoin de 4h comme 50h que ce serait la même chose pour toi j'y verrais rien,

  • Speaker #0

    j'y verrais que du feu

  • Speaker #1

    designer même principe tu t'en rends pas compte faire un logo ça peut prendre entre 30 minutes et quatre jours tu es en train de nous faire comprendre que finalement quand tu dis que ça prend 50 heures par an si tu mets quatre heures c'est ça ici il ya 50 heures en fait il ya à peu près quatre heures de code et

  • Speaker #2

    46 heures de netflix à peu près à la commune et c'est important parce que dans les flics tu apprends beaucoup de choses mais puis tu regardes des films sur les codeurs j'ai pas d'exemple bien sûr bien sûr bien sûr mais la playlist la série sur spotify d'accord ok bon sachez le quand vous demanderez un de mes lieux clément

  • Speaker #0

    Les 50 heures, il y a beaucoup de temps.

  • Speaker #2

    Non, mais c'est pour ça que les gens passent par moi pour le devis. D'accord.

  • Speaker #1

    Parce que Hugo va doubler, il va dire qu'il y en a pour 100 heures. T'imagines pas ?

  • Speaker #0

    Bien évidemment,

  • Speaker #2

    c'est le vieux cours. C'est pas du tout du business.

  • Speaker #0

    Sinon, pour recruter, moi, c'est vrai qu'au début, je vais vraiment parler pour moi, pour Inkubox.com. Quand on a commencé, on recrutait des gens. En fait, moi j'ai recruté des gens qui étaient plus ou moins des gens proches de moi, donc des amis, des gens... J'ai recruté par exemple quelqu'un qui s'appelait Olivia. Olivia, si tu nous vois dans cette vidéo, je te fais la bise.

  • Speaker #2

    Tu peux te manifester en commentaire.

  • Speaker #0

    Tu peux te manifester en commentaire. Donc j'étais vraiment content parce que c'est quelqu'un avec qui j'avais travaillé dans un job plus ou moins alimentaire, on va dire, pendant quelques mois quand même, presque une petite année. Et bon, elle non plus, elle n'était pas faite pour ça du tout. Et donc c'est vrai que finalement, elle était... Au moment où j'ai créé Inkubox, quelques mois après, j'avais besoin de quelqu'un qui joue le rôle d'une assistante plus-plus, et qui joue aussi le rôle de semi-commercial, etc., qui travaille sur des dossiers. Et c'est vrai que c'était pratique pour moi de prendre quelqu'un qui était proche de moi, parce que j'avais vraiment confiance en elle. Je pense que c'est très important d'avoir confiance, plutôt que de prendre quelqu'un qu'on ne connaît pas du tout. Et qui peut aussi un peu mentir sur ses prestations. On a déjà eu l'expérience. Hugo, si tu vois de quoi je ne vais pas dire le nom, mais on sait très bien de qui on parle.

  • Speaker #2

    On va faire de l'inchage.

  • Speaker #0

    On va faire de l'inchage, mais il y a certaines personnes qui vont vous dire Oui, moi je sais faire ceci, je vais faire cela et après ils font de la merde totale. On aurait peut-être quand même dû leur faire passer un deuxième entretien. Ou leur demander un petit peu quand même qu'est-ce qu'ils font finalement. Donc c'est ça dans les conseils que j'ai.

  • Speaker #1

    Je veux savoir de qui vous parlez.

  • Speaker #0

    Je crois que tu sais.

  • Speaker #2

    Ah mais il y en a choqué plus d'un.

  • Speaker #0

    Donc pour revenir sur Olivia, en fait, c'est simplement que ça se passait vraiment très très bien le travail ensemble. Mais c'est vrai qu'après, elle a aspiré aussi, elle avait une vie de famille, elle avait déjà deux enfants, elle a eu un troisième enfant, etc. Elle a aspiré, elle voulait déménager, etc. Donc bon, c'est quitté comme ça. Mais ce que je veux dire, c'est que pour faire des recrutements vraiment sur le long terme, il faut vraiment connaître les gens aussi et connaître leurs aspirations sur un temps long. Parce que le temps de formation, il faut vraiment le prendre en compte. J'ai par exemple j'ai un client on va dire qui m'a qui me disait mais moi de toute façon quand je recruterai je prendrais que des stagiaires. Bah je dis c'est bien ça coûte moins cher et tout, des stagiaires sur la trois mois six mois à peu près bon bah ça permet vraiment c'est moins cher.

  • Speaker #1

    Oui mais ça dépend encore une fois du poste que tu recherches. Là on parlait tout à l'heure d'un poste de SAV, en vérité pour du SAV un stagiaire c'est très bien. Ouais c'est vrai. Par contre pour un poste qui a besoin, qui est un métier plus abstrait où tu as du mal effectivement à estimer le temps de travail. développeurs, designers ou beaucoup d'autres métiers. Ouais effectivement là c'est...

  • Speaker #0

    Mais c'est le temps de formation en fait, tu vois, qui me pose problème. C'est-à-dire que tu formes quelqu'un, c'est-à-dire que tu es derrière pendant peut-être deux semaines, un mois...

  • Speaker #1

    Ça dépend beaucoup de la qualité des process. Moi je passe beaucoup de temps à faire des process et vraiment un bon process tu te rends compte que tu gagnes beaucoup de temps. En fait tu gagnes pas juste deux semaines parce qu'en fait tu gagnes deux semaines à chaque fois que la personne est remplacée. Donc en fait si jamais tu allais remplacer quatre fois dans l'année, tu as gagné huit semaines.

  • Speaker #2

    Donc effectivement si tu as des stagiaires qui rentrent et qu'il y a un roulement tous les deux mois et que tu as déjà... Ouais voilà tu sais, tu fais des vidéos et tout. Et tu sais tu mets tout, bah là c'est le pack découverte. Et après tu dis bon bah pendant trois, quatre jours, celui qui te précède et qui n'est pas encore parti, surveille. Ça peut se processer.

  • Speaker #1

    Je le sais aussi pour les clients de l'accompagnement de Genesys aussi, c'est le même principe. Ça process qui est bien clair, qui est bien carré, qui est d'ailleurs que... qui mérite quelques ajustements maintenant ?

  • Speaker #0

    Non, mais c'est vrai que les process, c'est très important. Mais moi, j'entends selon les postes, effectivement, il y a des postes qui demandent quand même un accompagnement pour justement une compréhension de qui on est, qu'est-ce qu'on fait, précisément, quel message à apporter à nos clients, à nos prospects. C'est long en formation. Et puis, des stagiaires qui sont là pour deux, trois mois, le niveau de motivation peut être variable en fonction de la personne. Tu ne sais pas du tout. Elle est là, elle valide son stage. Bon, après, je ne sais pas. Tant mieux si ça se passe bien, mais c'est pas non plus un métier d'avenir pour elle. Il y en a des très très bons, j'ai déjà travaillé des stagiaires, excellent. Anthony, si tu me vois, pareil. Anthony, super. J'en ai eu d'autres, j'en ai rien à foutre.

  • Speaker #2

    Ça dépend de la difficulté de prise en main aussi, moi je me rappelle quand je suis devenu commercial pendant un temps, c'était pas qu'une question de process, mais on m'a donné un discours, on m'a donné tout un tas d'outils que je pouvais utiliser, mais il y avait aussi un bout d'un moment, moi, qui devais me faire au rôle, à la démarche, etc. Il a fallu un bon mois avant que j'arrive à être performant. Après ça a déroulé mais pareil quand j'ai cédé mon poste, effectivement il avait pareil fait ce truc de roulement où je devais donc former le prochain, en l'occurrence la prochaine, mais grave galère en fait, en l'occurrence pour ce poste là c'était pas tellement le process, c'était vraiment le fait de le faire, il faut se roder quoi, donc c'est vrai que ça dépend encore une fois, ça dépend les postes, il y a des postes qui sont plus faciles à déléguer que d'autres et à automatiser que d'autres.

  • Speaker #0

    Donc le recrutement pour revenir à la question finalement, comment recruter ? Si possible donc. Ne pas forcément recruter quelqu'un parce que c'est un proche ou parce que c'est un ami. Déjà, les amis, ça peut être compliqué.

  • Speaker #2

    Moi, je fais que ça.

  • Speaker #0

    Je sais, mais ça peut être une bonne idée, mais ça peut être compliqué.

  • Speaker #1

    J'y pense parce que tu en parles là. Est-ce qu'ils sont au courant de notre rencontre ? Comment elle s'est passée ? Tu l'as déjà ?

  • Speaker #2

    On pourra la raconter. Ça m'embête parce que j'ai une vidéo qui sort sur le sujet. Vraiment, c'est le titre.

  • Speaker #0

    C'est vrai.

  • Speaker #1

    On va rajouter la rencontre entre Clément et Hugo.

  • Speaker #2

    cette grande romance très romantique.

  • Speaker #1

    Tu la connais toi l'histoire ?

  • Speaker #0

    On me l'a déjà racontée mais je t'avoue que je l'ai oubliée.

  • Speaker #2

    Ils s'en foutent, ils s'en foutent. Bah tu sais quoi, on oublie ces histoires de recrutement. Comment est-ce que nous on s'est fait chez Scenaria ?

  • Speaker #1

    J'y pense parce que tu parles de ne pas recruter ses amis au début. Moi quand je suis entré dans l'équipe d'Hugo, effectivement, il cherchait que des copains à l'époque. Parce que bah en fait ça faisait partie de ton truc de dire qu'en gros la force d'une boîte au début, enfin la force d'une boîte, elle est directement égale à la force de ses premiers attaqués. T'as pas le choix. Et donc en fait quand tu prends un copain, effectivement il est tellement plus engagé dans le projet que si jamais tu recrutes quelqu'un pour un salaire, parce que déjà moi quand je suis rentré, je ne suis même pas rentré pour un salaire au début.

  • Speaker #2

    Heureusement,

  • Speaker #0

    il y a eu bien ce qu'il y a,

  • Speaker #2

    il n'y a pas de cas où tu n'aurais pas été content.

  • Speaker #1

    Attends, j'ai quand même fait 800 euros en trois mois.

  • Speaker #2

    C'était un début d'activité.

  • Speaker #1

    Bon, la rencontre avec Hugo.

  • Speaker #2

    Ouais, alors en fait, avec Clément, on se connaît des jeux de vidéo. On jouait ensemble, on devait avoir 14-15 ans dans ces eaux-là.

  • Speaker #0

    Avec Bardella, vous jouiez sur Call of Duty.

  • Speaker #1

    Toujours des glissades comme ça

  • Speaker #0

    Comment ça comme titre ?

  • Speaker #2

    Moi, ça ne me dérange pas. Ça ne me dérange pas. C'est le moment que je ne me mouille nulle part dans le podcast. Donc on se rencontre sur un jeu vidéo sur Call of Duty, non rien à voir, sur DOFUS pour ceux qui connaissent Et en fait on a joué sans se rencontrer peut-être 3 ans je pense, un truc de cet ordre là

  • Speaker #1

    Non moi t'as fait partie des premiers humains que j'ai rencontré sur le jeu là Ouais mais... Toi tu jouais beaucoup avant

  • Speaker #2

    On avait joué 3 ans avant de se connaître non ?

  • Speaker #1

    Toi, toi tu jouais depuis 3 ans,

  • Speaker #2

    moi ça faisait même pas 6 mois que je jouais Non moi je jouais depuis un bail mais on s'était rencontré vite

  • Speaker #1

    Ah rencontré en réel Oui rencontré en réel

  • Speaker #2

    Non parce qu'effectivement on a joué je pense 3 ans ensemble sans se connaître Et un jour on se dit, enfin on parle un peu plus de nos vies et puis on comprend qu'on n'a pas coûté, vraiment pas loin quoi.

  • Speaker #1

    Mais y'a plus du tout l'histoire dans les détails quoi,

  • Speaker #2

    c'est quoi ? Ah bah non, je passe le mic pour la clé moi.

  • Speaker #1

    Bon, avec Hugo on joue sur Dofus, faut savoir qu'à ce moment là c'est mon mentor sur le jeu parce que lui bah, ouais ça faisait peut-être 4 ans qu'il jouait, le mec c'était une machine, il avait un nom sur le serveur tu vois, c'était quelqu'un. Moi j'arrive, encore grenoube à l'époque, et puis moi j'étais du genre à demander de l'aide à tout le monde, j'envoyais des messages j'étais... Bon bah j'ai fini dans les DM d'Hugo, et je le saoule, je le saoule, je le saoule, et c'est le seul qui m'a pas envoyé chier au bout de 10 minutes.

  • Speaker #2

    Grand coeur.

  • Speaker #1

    Donc je joue avec le copain et tout, faut savoir que du coup j'allais pas sortir en zone, tant qu'il était pas là j'avais besoin de lui. Bref, on fait notre vie comme ça, on a plein d'anecdotes, on va peut-être pas en raconter tant que celle-ci. Comprons pas. Ouais c'est clair. Et donc ensuite vient nos 18 ans. enfin les miens plutôt un truc comme ça et donc avec un pote qui s'appelle Ilias on veut se lancer en dropshipping et donc c'est le moment où en fait il y avait toutes les formations qui venaient d'exploser nous la première qu'on a prise c'était celle de Cyriak je ne me souviens pas comment c'est s'appelé ?

  • Speaker #2

    on a le droit de le lyncher lui je crois ça y est il a pris ses sauces déjà dans la gueule c'est une formation de merde

  • Speaker #1

    Comment il s'appelait cet ennemi déjà ?

  • Speaker #0

    Je ne sais pas, je ne sais pas.

  • Speaker #2

    Non, il avait comme un succès nom. C'est exagéré. Il y a écom dedans et il y a succès dedans sans doute. Il avait le succès thème. Sucès thème. C'est possible que ce soit le même nom.

  • Speaker #0

    Xavier-Loup a peut-être repris le nom parce qu'il était hier. C'est un peu marrant.

  • Speaker #1

    J'avais suivi Hugo sur Insta entre temps et en fait sur une de ses publications il avait mis hashtag dropshipping parce qu'il jouait déjà à l'empruntier en lanceur.

  • Speaker #2

    Ouais, je montre déjà des chiffres de fou furieux.

  • Speaker #1

    Et donc, j'envoie un message à Ilias. Je dis Attends, j'ai un copain qui joue à Dofus, il a mis hashtag dropshipping. Je vais lui envoyer un message. Je vais même répondre, machin. Parce que nous, à l'époque, ça faisait peut-être deux ans qu'on ne s'était pas parlé. À côté, il me répond, machin. Bref, on organise des appels et tout. Et en fait, il nous accompagne sur tout le lancement. Donc, les deux premiers sites qu'on a lancés avec Ilias, c'est Hugo qui nous supervisait à l'époque. Bon, les deux ont foiré.

  • Speaker #0

    Bravo,

  • Speaker #2

    j'étais jeune dans le fiver, pour préciser. Moi, je ne faisais pas beaucoup de chiffres non plus encore.

  • Speaker #1

    Et surtout qu'en plus, pour le coup, il y en avait un, c'est parce qu'à l'époque, on n'avait pas assez de recul et surtout pas assez de moyens. Mais encore aujourd'hui, si jamais... En fait, je me souviens des chiffres. Le premier, c'était un fail total. Il n'y avait pas de green flag. Le deuxième, en revanche, déjà, on avait compris ce que c'était que le branding. En fait, c'était une marque un peu de bracelets comme cela, pas des bracelets encre, qui s'appelait Henry Miller. Et donc, en gros, c'était un...

  • Speaker #2

    C'est scripté, le mec a directement... Non, ce n'est pas scripté, c'est...

  • Speaker #1

    Donc en fait tout le branding était sur le fait qu'il y avait Henri Miller qui était du coup le créateur de ces bracelets, qui était un grand voyageur et en gros à chaque fois qu'il allait dans une nouvelle ville ou un nouveau pays, il était inspiré par la beauté des monuments, des paysages etc. et en fait il en créait un bracelet. Donc en fait on avait une page par bracelet qui était longue comme ça où on racontait le voyage d'Henri Miller. Et en fait, c'est vrai qu'au bout de deux semaines, on était en break-even. C'est-à-dire qu'on avait dépensé de l'argent en pub, on avait fait du chiffre d'affaires, mais on n'avait pas perdu d'argent. Sauf que juste à ce moment-là, avec le fonds de roulement, on a eu un problème, et puis on s'est dit Ah, c'est peut-être pas… Parce qu'effectivement, on n'était pas sur ce que nous promettaient les formateurs, à nous dire Vous dépensez 1000 euros en publicité, vous faites 15 000 euros au chiffre d'affaires. On n'était pas là-dessus, et donc forcément, on s'est dit Non, c'est de la merde, ça ne marchera jamais. Donc on a abandonné le projet. Mais en vérité, encore aujourd'hui, on verrait ça…

  • Speaker #2

    Mais oui, c'est ce qu'on a évoqué plein de fois, c'est qu'en fait c'est des green flags de fous et il n'y avait pas non plus suffisamment de ressources, on parle de jeunes de 18-19 ans qui ont 500€ de côté pour le projet en tout cas, et qui essayent de faire le truc, et en fait il y a des green flags mais t'as pas suffisamment de ressources pour te dire, on y va on explose tout, t'as besoin d'un green flag bien plus grand, dès que t'as une société, et bien en fait on se serait bagarré, là aujourd'hui on a ce genre de résultat, on se bagarre, on met plus d'argent sur la table, on fait bah ok c'est bon signe.

  • Speaker #1

    Après on sait que de ce méta-point on fait déjà du bénef.

  • Speaker #0

    Donc relancer Henri Miller, voilà, c'est une bonne idée.

  • Speaker #1

    Mais c'est qu'on y a pensé plusieurs fois, on y a pensé plusieurs fois, il faudrait qu'on se remette dedans.

  • Speaker #2

    Ouais ça peut être un projet honnêtement.

  • Speaker #1

    Après faut aussi considérer que c'était pas la même époque.

  • Speaker #0

    Ouais, ouais, c'est sûr. C'était en quelle année ?

  • Speaker #1

    2018 je crois, j'avais 19 ans. Ouais c'était quand même le début.

  • Speaker #0

    Création d'un Qbox.

  • Speaker #1

    Donc bon bref j'accélère pour la fin de notre histoire. Mais donc après on a fait... Enfin c'est moi qui suis rentré dans du MLM. Tu vois ce que c'est que du MLM ?

  • Speaker #0

    On y a pratiqué oui.

  • Speaker #1

    On a pratiqué c'est pas vrai ?

  • Speaker #2

    Non on a parlé dans un épisode. Si tu l'as regardé tu saurais.

  • Speaker #1

    Oui je me souviens bien sûr. Bah oui. Donc j'ai été recruté chez QVRA. Bon bah moi j'ai appelé mon meilleur copain.

  • Speaker #2

    C'est lui, il était toujours dans les magouilles.

  • Speaker #0

    Je me souviens pas que tu avais expliqué, tu avais dit que tu en avais fait mais je me souviens pas que tu avais fait.

  • Speaker #2

    Tu avais parlé de trading etc.

  • Speaker #0

    Oui mais je me souviens pas qu'il m'avait dit que c'est Clément qui m'a entraîné.

  • Speaker #2

    Ah je ne peux pas être dans le détail.

  • Speaker #1

    En fait pour l'anecdote, je suis rentré en MLM et tu sais là-bas c'était beaucoup le truc du copy trading. Donc en fait si tu étais sur un canal Telegram ou que ce soit encore beaucoup aujourd'hui, évidemment c'est une arnaque. Ne commencez pas à croire que quelqu'un va vous envoyer des signaux de trading et que ça va fonctionner. Et en fait moi ce qui s'est passé c'est que la première semaine bon j'étais un peu con j'ai pas fait tu sais t'as des comptes démo en trading qui sont hermé de trader avec du faux argent et moi j'ai pas fait ce truc là j'ai directement mis en fait tu dois mettre 500 euros minimum pour être accepté sur les sur les canaux de trading et je mets 500 euros et en fait en une semaine je passe à 1200 en suivant les canaux mais j'ai trouvé le truc et donc en fait naturellement moi je commence à en parler autour de tout le monde mais c'est même pas dans le but de les recruter non c'est juste tu dis bah c'est un bon plan à partager Bon bah évidemment tu te doutes bien que ça a duré une semaine, j'ai même fait rentrer mon bar Enfin je l'ai pas fait rentrer directement mais j'ai...

  • Speaker #2

    Il a payé 45 000 euros On l'évoquait de toute façon quand on parlait de MLM, le fait, je sens que la famille etc y'a un truc un peu mal signifiant en place A la base tu le fais pour eux mais c'est trop compliqué, y'a plein de trucs qui sont pourris quoi Oh touchy,

  • Speaker #1

    d'accord donc c'est comme ça Donc voilà je l'ai fait rentrer en MLM et puis euh... bon bah fin du MLM et puis euh...

  • Speaker #2

    Tu veux que je récupère ? On a fait deux ans de MLM ensemble. On a fait deux ans de MLM. On n'a même pas appris la première leçon parce qu'on a fait un premier MLM. Et on a fini par aller dans un deuxième MLM. On était bien dégoûté du premier. On a bien fait ouais.

  • Speaker #0

    On a vraiment fait un acteur. On va partir dans un deuxième.

  • Speaker #2

    Et le deuxième MLM, cette fois-ci, c'est moi qui suis très né Clément. C'est moi qui ai signé parce qu'on m'a reconvaincu. Et je suis arrivé par Clément. Je me suis dit non mais celui-ci, Clément, vraiment, c'est un MLM de qualité. Alors aucun regret pour ma part parce que j'ai investi sur des trucs grâce à ce MLM qui était très rentable. Mais on peut pas en dire autant pour Clément et pour les autres personnes que j'ai fait parrainer. Personne n'a pu venir en fait sur le cap. C'est pas du coup bien

  • Speaker #1

    Clément toi. Non c'est pas que j'ai perdu. Si.

  • Speaker #2

    Bah c'est que t'as acheté de l'Ether et t'as pas rendu finalement.

  • Speaker #0

    Ah ouais carrément. Donc c'est même pas genre j'ai acheté ça s'est gassé la gueule. J'ai acheté, on m'a piqué.

  • Speaker #1

    Pour le closing, bon là-bas j'avais dit non. Moi j'avais vraiment dit non pendant très longtemps. Et en fait ce qui s'est passé c'est qu'on est parti en vacances à Marseille avec un mec qui était pour le coup très très très haut dans le MLM. Il était pas tout le temps mais il était... dans la deuxième branche.

  • Speaker #2

    Ah Sébastien, on t'embrasse.

  • Speaker #0

    Donc lui, il avait vraiment conclu le système. Et puis lui, il est toujours très chaud là-dedans.

  • Speaker #1

    Il a fait un partenariat avec les fondateurs du Bitcoin non plus, mais de certains cryptos.

  • Speaker #2

    Ouais.

  • Speaker #1

    Donc bon, évidemment, il est très fort, donc il m'a convaincu pendant ses vacances.

  • Speaker #2

    Et en fait si tu veux le truc c'était tu mets de l'Ether et tu récupères du coup je crois que c'était 10% par mois En fait c'est à dire que là on était à 6% à Marseille mais en gros ils avaient des rendements passés qui étaient fous quoi 10% par mois et tout qui avait déjà été fait Après c'est le truc où plus t'as de monde plus le rendement baisse

  • Speaker #1

    Mais malgré tout le moment où on y était c'était 6% par mois T'imagines à l'année Et en plus t'ajoutes à ça le fait que l'Etheron augmente naturellement Donc en fait tu dis bah attends je pose 1000 balles tu fais des calculs parce que lui évidemment c'est Excel avec le... Comment ça s'appelle là le... J'ai pu. Ah, le truc... Exponentielle, c'est pas ça le terme. La courbe exponentielle ?

  • Speaker #0

    La pyramide ? Non,

  • Speaker #1

    putain, j'ai oublié, c'est pas grave. Il avait son tableau Excel qui nous montrait qu'en fait, en 20 ans, on était millionnaire, mais plus plus, tu vois. Ah bah si, c'est bon, je suis pas... Je suis plus con, j'avais mis, j'avais dû mettre 1500, puis j'ai remis 1500 pendant les vacances. Et donc en fait, ce qui s'est passé, c'est qu'à la fin, ils nous ont rendu nos éthers, enfin non, ils nous ont pas rendu nos éthers, parce que du coup, l'éther avait fait x5 entre temps, mais ils nous ont rendu l'équivalent de ce qu'on avait investi au jour 1. mais en euros. Sauf qu'en fait, en Ether, ça faisait au moins x5 vu qu'il avait x5.

  • Speaker #2

    Le deal, c'était pas ça. Le deal, il devait nous rendre les Ethers.

  • Speaker #0

    Et pourquoi ils l'ont pas fait,

  • Speaker #2

    finalement ? Il y a eu une couille. On est parti en cacahuètes. Il y a eu du juridique, ouais. Du coup, ils sont peut-être partis avec la caisse.

  • Speaker #0

    Je sais pas trop ce qu'ils ont fait. Donc, vous n'avez rien perdu de ce que vous avez mis, mais vous avez perdu la différence.

  • Speaker #2

    Pour un investissement, moi, j'avais du poste au total entre 2 et 5 000 à l'époque, dans ces eaux-là, en Ether. Et si on avait rendu l'Ethereum que ça représente, aujourd'hui, ça représente une somme qui est hyper importante. Parce que là, on parle d'un Ethereum qui était à 100 balles. Et on en avait, du coup, pour 5 000 balles. Il vaut 3 300 dollars.

  • Speaker #0

    2 000 dollars ou un truc comme ça.

  • Speaker #1

    C'est ça,

  • Speaker #2

    putain. T'imagines ? Donc, ouais, c'était finalement... On aurait juste dû investir sur l'Ether.

  • Speaker #0

    ça passe on nous invite à part que l'on gardait c'est le principe profiter aujourd'hui c'est ça qu'il ya dans la générosité mais pour essayer de conclure sur l'anecdote parce que sinon l'épisode en fait ça va être comment se rencontrer avec les mots et après du coup moi et moi enfin félix et moi on s'est mis en s'est mis en couple en couple ouais voilà en couple business et on s'est lancé on a quitté nos anciens partenaires et on s'est lancé à notre compte Et on est allé voir, moi je me suis approché directement de mes proches, et donc Clément faisait partie, on avait déjà fait une belle aventure en arrière ensemble, même s'il y avait eu pas mal d'échecs, et c'était en mode, bah voilà, Clément est-ce que tu veux en être ? Et donc j'avais rien à promettre niveau thunes, mais il y avait toute la vision finalement, c'était en mode, est-ce que tu veux être avec nous et tenter l'aventure avec nous ? Et c'est à quoi tu as répondu. C'est sûr,

  • Speaker #1

    à l'époque j'avais un taf qui ne me plaisait pas du tout, donc effectivement j'ai hésité quand même, d'ailleurs c'est mon collègue de l'époque. et qui j'étais en camion tout le temps parce qu'on allait installer des écrans, des espèces d'écrans tactiles qui faisaient 80 pouces de diagonale, c'était des trucs immenses. Donc lui j'étais tout le temps en camion avec lui, donc on discutait de nos vies, on se connaissait par cœur en fait finalement. Et c'est lui qui a réussi à me convaincre de dire, vas-y, t'avais quoi, t'avais 22, 21 à l'époque ? Si tu le fais pas maintenant, tu le feras jamais, et puis en vrai t'auras plus de regrets que d'autres choses. J'ai dit bah ouais, en vrai t'as raison, puis je suis allé, et puis bah pas de regrets.

  • Speaker #2

    Non mais c'est comme ça où t'es le connu, c'est comme ça qu'à... le scénario a vu le jour également. C'est pour ça qu'on est là aujourd'hui, d'ailleurs.

  • Speaker #0

    Et donc, le recrutement, c'est vrai que sur ma structure, on a tous les socles, les associés principaux, c'est que des proches. Et à l'époque, je ne me posais même pas la question de comment est-ce qu'il faut recruter, quels sont les process. Le but, et ça l'est toujours aujourd'hui, c'était de travailler avec les copains et réussir à construire un truc ensemble, réussir à bricoler, pouvoir en vivre. À l'époque, on voulait juste pouvoir en vivre. Aujourd'hui, les ambitions sont quand même un peu plus hautes. Mais à l'époque, il fallait imaginer qu'on bosse entre nous, on n'a pas de patron et on peut manger, voire se loger.

  • Speaker #2

    C'est le rêve, je suis d'accord avec toi. C'est tout à fait le rêve de bosser entre amis. C'est juste que dans la réalité, tu peux très bien être de très bons amis pour aller boire un coup en soirée, c'est génial. Et dans le boulot, tu en as un, tout d'un coup, qui veut prendre le leadership sur l'autre. Un caractère ou une personnalité que tu n'as pas soupçonné parce que ce n'est pas le même domaine. Tu n'es pas là pour rigoler, tu es là pour bosser. Tu en as un qui peut donc vouloir prendre l'ascendant. Et puis après, quand il y a des problèmes d'argent, ou même de temps, tu en as un qui s'implique beaucoup plus que l'autre. Et l'autre, tu es un peu à la cool. Quand tu es avec quelqu'un, tu as instauré distance, parce que ce n'est pas ton ami, c'est quelqu'un qui est ton employé, même si je n'aime pas trop ce terme. Tu peux recadrer, tu peux même à la limite t'en séparer en disant, mais tu te séparais d'un ami. Avec qui ça ne va pas, c'est bien, mais c'était vachement plus délicat. Je suis d'accord, Sylvain, mon associé, moi j'ai deux meilleurs amis, donc Sylvain, c'est mon meilleur ami, avec Jim, on vous embrasse tous les deux, et donc oui, ça se passe super bien. Et par contre, j'ai travaillé aussi avec un de mes très très très bons amis qui s'appelle Maxime, sur un autre projet en Thaïlande, ça ne s'est pas bien passé du tout, on ne s'est pas parlé pendant trois ans. Parce qu'en fait, j'ai découvert une personne, et je pense que lui aussi, différente, de la personne que je connaissais en amitié. Parce que les enjeux n'étaient pas les mêmes, il y avait beaucoup d'argent sur la table, on était dans une sorte de... On appelle ça dans un... Un cercle vicieux ? Non, on n'a pas... On était rentrés dans un... Bon, ça s'appelle comment, il y a des investisseurs qui m'aidaient l'argent, mais...

  • Speaker #0

    Un incubateur.

  • Speaker #2

    Un incubateur, merci.

  • Speaker #0

    Allez, let's go.

  • Speaker #2

    Gros ras qu'il est là. Ah là là. J'en perds toujours mes mots, des mots à la con comme ça lors des podcasts, je perds toujours les mots. Un incubateur pendant trois mois sur Bangkok et on avait la promesse, quasi promesse d'avoir un million de dollars pour nous développer. Donc c'était vraiment en mode start-up, etc. Très grosse pression, quand même des gros enjeux, quelque chose dans le tourisme qui était incroyable sur le papier, etc. Et puis finalement, ça a pété. Ça a pété le truc, on s'est séparés, on ne s'est plus parlé. Donc c'est vrai que j'en retiens quand même une expérience un peu amère. Alors aujourd'hui, on se reparle, on dirait de redevenu pote et tout va bien, mais il y a eu une période un peu longue comme ça, et j'en ai un peu gardé cette expérience amère de me dire, les amis c'est difficile parce qu'il y a des choses que tu ne peux pas dire, parce que c'est un ami, c'est délicat, et surtout il faut que chacun, et je pense que c'est le cas pour vous, c'est le cas pour moi avec Sylvain, il ne faut pas qu'il y ait quelqu'un qui veuille prendre l'ascendant sur les autres. C'est vraiment ça, il faut que chacun ait des compétences différentes. Si tu as les mêmes compétences, si tous les quatre avec Matisse, vous aviez les mêmes compétences, c'est compliqué.

  • Speaker #0

    Oui, en fait, c'est même une mise en compétition sur le même terrain de jeu. Il y a un regard très critique à chaque fois. Oui, mais toi, tu ne serais pas fait comme ça.

  • Speaker #2

    Et puis, tu en as toujours un qui sera meilleur que l'autre.

  • Speaker #0

    Des sujets subjectifs, tu imagines, sur du design. T'as 4 personnes qui font du design qui font non mais moi je mettrais plutôt ce dégradé là c'est des visions qui sont différentes.

  • Speaker #2

    C'est de la merde, c'est de la merde. C'est très compliqué. Je déconseille quand même, si c'est possible, c'est l'idéal, mais si c'est possible ne travaillez pas avec des amis, ne déléguez pas les tâches à des amis parce que c'est compliqué. C'est mon expérience à moi, maintenant c'est pas la vôtre.

  • Speaker #0

    C'est même pas une question d'expérience, c'est une question de le pourquoi. Ça dépend, le pourquoi, si le pourquoi par exemple c'est faire un max d'oseille, moi je te rejoins. pleinement genre c'est pas la bonne démarche c'est pas une démarche, c'est pas un bon plan nous notre pourquoi c'était de bosser entre amis donc de fait ça s'est fait comme ça par contre toutes les difficultés que tu soulignes c'est des choses qu'on a déjà pu traverser que ce soit entre nous avec ceux qui sont encore là ou ceux qui sont partis on a bossé avec beaucoup d'amis et on est 4 aujourd'hui bon et ben y'a pas tout le monde qui a pu rester donc y'a eu plein de sujets de ce type là plus ou moins graves en tout cas effectivement ce truc de l'amitié et le monde professionnel y'a quand même un écart

  • Speaker #2

    et je pense aussi qu'il faut que les personnes aient des compétences, c'est-à-dire tu ne vas pas prendre quelqu'un parce que c'est ton ami c'est parce que c'est mon ami mais surtout il a des compétences qui m'intéressent et qui répondent aux miennes parce que si tu prends juste quelqu'un parce que c'est ton ami mais bon, on verra bien, je le formerai non, ça ne pourra pas marcher et puis après surtout il faut que la personne démontre, on l'a vu aussi nous on a recruté aussi des gens, même toi et moi sur des postes on en a recruté aussi Un petit peu sur le papier, ça paraissait pas mal. Et puis, on a vraiment besoin de la manant, vite, vite. Et puis finalement, on ne demande pas à la personne de faire ses preuves. Et quelqu'un qui ne veut pas faire ses preuves, alors certains vont se dire, mais quel connard, tu vois. Mais gratuitement, c'est-à-dire que quelqu'un qui ne me montre pas son boulot ou qui ne veut pas faire, par exemple, je vais prendre l'exemple d'écrire un script pour une vidéo, quelqu'un qui ne veut pas écrire un script pour nous, gratuitement, pour qu'on voit ce que donne son travail, ça ne m'intéresse pas. Alors je sais que quelqu'un va peut-être se dire, mais attends... Et puis comme ça, après ils font le script, ils payent les personnes et puis ils se barrent. Non, je suis désolé, mais n'empêche qu'au jour d'aujourd'hui, quand c'est nous qui recrutons, c'est nous qui faisons les règles du jeu, tu fais quelque chose pour nous, tu nous montres ce que tu sais faire, et si ça nous plaît, let's go !

  • Speaker #0

    Les grosses structures s'offrent des fameuses périodes d'essais, mais c'est vrai que nous, notamment dans notre domaine, c'est quand même beaucoup des freelances. Rare sont les gens qui font du e-commerce et qui commencent à recruter des salariés. Il y en a un, mais la plupart du temps, c'est des freelances. Donc effectivement, quand tu fais un prêt d'influence, il faut que la personne fasse une démonstration. Mais ça fait une très bonne passerelle sur un autre sujet. Tu comptes dans la négativité, dans le ne bâche pas avec vos amis, les gens qu'on recrute sont des salauds

  • Speaker #2

    Il vous ment.

  • Speaker #1

    Ça va être comment virer quelqu'un.

  • Speaker #0

    Comment virer quelqu'un. Et pour cette question, on a Clément qui va nous répondre,

  • Speaker #2

    puisqu'il est viré en direct.

  • Speaker #1

    Je déteste, je déteste, allez, ne serait-ce que... Tu vas faire des reproches à quelqu'un, lui dire ton travail... Déjà je le dis jamais, ton travail il est mal fait, mais... Mais aller dire tu pourrais faire comme ça, comme ça, comme ça,

  • Speaker #2

    je déteste le faire. Je vais critiquer les gens.

  • Speaker #1

    Déjà je crois que j'ai jamais viré personne de ma vie en fait.

  • Speaker #2

    Bah alors pourquoi tu interroges Clément s'il n'a jamais eu...

  • Speaker #0

    C'est Clément parce que j'ai pas le sujet.

  • Speaker #2

    Ah d'accord.

  • Speaker #0

    Tu t'y prendrais comment alors ? Si demain tu devais virer quelqu'un ?

  • Speaker #1

    Je lui ferais un recommandé.

  • Speaker #0

    Un texto.

  • Speaker #1

    Mais écoute, ça va plus entre nous.

  • Speaker #2

    Vas-y,

  • Speaker #0

    fais un truc. C'est pas toi, c'est moi.

  • Speaker #1

    Je change les serrures.

  • Speaker #2

    C'est pas toi, c'est moi.

  • Speaker #0

    La fameuse stratégie. L'entreprise n'a plus les moyens pour ton poste.

  • Speaker #1

    Non, mais surtout que c'est horrible de dire ça, parce que derrière, même là, en fait, c'est comme une fin de relation amoureuse. Tu finis avec ta relation amoureuse comme ça et tu inventes un prétexte, mine de rien, pour la personne de s'en sortir.

  • Speaker #2

    Ne sortez pas des amis, ne sortez pas non plus avec la nana ou le mec avec qui vous couchez, parce que c'est... Ne sautez pas avec la nana avec qui vous couchez. Ne sautez pas. C'est comme quand on finit une relation amoureuse. Mais j'ai envie de dire, je rajoute aussi, n'intégrez pas parce que c'est votre nana. Tiens, je vais bosser avec elle, c'est ma meuf. Ça peut aussi faire, non seulement, ça peut casser le boulot, mais pire, c'est qu'à la maison, ça coule le bordel aussi. T'as plus de sujet,

  • Speaker #1

    en fait. T'es dans le lit le soir et finalement...

  • Speaker #2

    Ça, c'est un putain de red flag. Sauf si c'est encore une activité. Il y en a, moi j'ai connu un couple dans le MLM d'ailleurs, qui cartonnait.

  • Speaker #0

    Il y a des couples business. Et le truc c'est que, moi je trouve ça merveilleux à regarder, dès que je le vois je me dis oh là là ça a l'air génial. Il parle que de ça. Ouais, en fait c'est quand même, tu vois il y a un taux d'engagement, c'est qu'en fait si jamais tu commences à avoir des doutes, t'es au piège. Là c'est...

  • Speaker #1

    Tu sais c'est un peu comme la relation que nous on a, on n'a jamais pris d'engagement officiel avec comme un espèce de carnet de 10 règles à respecter. Mais malgré tout, on connaît les limites qu'il ne faut pas dépasser pour bâtir sur notre relation. Je pense qu'en fait, quand tu es en couple, c'est un peu la même chose, en plus poussé évidemment, mais en fait, tu sais qu'il faut être capable de faire la part des choses.

  • Speaker #0

    C'est vrai.

  • Speaker #1

    On discutait la dernière fois avec le...

  • Speaker #2

    Bon,

  • Speaker #1

    c'est beaucoup moins du business, mais le... le patron du bar où on allait la dernière fois.

  • Speaker #0

    Oui, tout à fait.

  • Speaker #1

    Enfin la patronne plutôt. Et qui en fait du coup le patron est un... Les patrons !

  • Speaker #2

    Oui, on s'est dit le patron est une patronne ! Je me suis dit où est-ce qu'il va en venir ?

  • Speaker #1

    Non le patron est un couple mais du coup ils ont bien...

  • Speaker #0

    C'est ça le sujet !

  • Speaker #1

    Ils ont bien instauré ce truc où le week-end en fait ils ne parlent pas de boulot, c'est ça que du perso et après 22h dans le lit ou quoi que ce soit c'est pas du boulot,

  • Speaker #2

    c'est que... Non mais il faut des règles.

  • Speaker #1

    Je pense qu'en fait quand t'as des règles comme ça c'est beaucoup moins un souci mais par contre ils font un niveau de maturité de communication

  • Speaker #2

    Maturité, complicité, puis faut vraiment que la relation soit très solide, qu'il n'y ait pas de doute ni d'un côté ni de l'autre en disant j'ai envie d'aller voir ailleurs, ou j'ai envie... Non, faut vraiment que le couple soit installé, tu fais pas ça au bout de 6 mois quoi. Donc en fait, il y a un moment où je t'ai coupé, puis on est parti sur un autre sujet, mais tu voulais dire quelque chose.

  • Speaker #0

    Comment tu vires quelqu'un bordel ? Comment tu vires quelqu'un Clément ?

  • Speaker #1

    Pour moi, faut qu'on parle. J'ai pas trop aimé la manière dont tu m'as parlé la dernière fois.

  • Speaker #0

    La manière dont t'as parlé de poétique au début de ce podcast, c'était scandaleux.

  • Speaker #1

    J'ai pas trop kiffé. On a pris une décision avec Hugo. Et je pense qu'on va continuer sans toi.

  • Speaker #2

    Bah écoute, c'est très bien pour virer quelqu'un.

  • Speaker #0

    En sachant que toutes les dettes qu'on vous doit, on les garde.

  • Speaker #2

    D'accord, ok.

  • Speaker #1

    Ah, ce sera un super motif pour tirer, ça, en fait.

  • Speaker #2

    De quoi ? D'avoir des dettes ? Bah ouais, c'est clair.

  • Speaker #0

    Pourquoi est-ce que vous voulez vous séparer de moi ? Parce qu'on te doit de l'argent et c'est pénible.

  • Speaker #2

    On préfère mettre un thème dans cette histoire.

  • Speaker #0

    C'est mieux qu'on se voit plus.

  • Speaker #2

    Non mais bon c'est vrai que se virer quelqu'un c'est jamais évident Moi j'en ai déjà viré quelques-uns quand même Pas plus tard qu'hier C'est dur à dire Je passe encore une fois pour le salopard Je fais des blagues Il n'y a pas passé on me dit ouais t'as fait une blague raciste c'est faux C'est officiel hein ? C'est officiel, Je veux dire tu n'as pas raconté ça et en fait tu dois le faire Non je l'ai fait hier C'est vrai qu'on ne prend jamais grand plaisir à le faire En fait je pense que c'est la responsabilité Et là tu te dis merde C'est ça être chef d'entreprise, c'est-à-dire que tu as un rôle, donc tu peux recruter, tu peux faire le bonheur, alors j'exagère un peu, je mets vraiment des guillemets, c'est-à-dire que tu peux sortir quelqu'un d'une situation. D'ailleurs la personne en question, elle était dans une situation en Thaïlande, donc elle avait démissionné de son précédent boulot, donc c'est vrai qu'il ne lui restait pas beaucoup de mois financièrement, elle avait pas pu, des ressources illimitées. Et puis en Thaïlande, il n'y a pas de chômage, il y a tout ça, donc c'est-à-dire que de la maman, tu rentres chez maman. Et malgré nous, on l'a remis dans cette situation-là hier, puisqu'il a occupé un poste pendant 7 mois, pas un petit 7 mois. Il avait une tâche sur la logistique importante, notamment pour un de nos gros clients qui finalement, en cours d'année, est devenu un client extrêmement secondaire en termes de chiffre d'affaires, pour tout un tas de raisons compliquées à expliquer ici. Et donc, cette personne qu'on avait recrutée a fait... c'est vrai un gros boulot pendant les premiers mois quand on était en Chine et les retourner en Chine etc il a fait un gros boulot sur la logistique mais malheureusement dans les prévisions là en fait on avait aussi potentiellement un encore plus gros client sur vraiment que la logistique avec des turnovers en fait de containers tous les deux jours arrivée départ reconditionnement départ etc pour les états unis pour une très grande marque textile qui fait 30 millions de dollars à l'année donc c'est quand même c'est pas rien Et donc, il y avait aussi, en fait, cette perspective qui était quasiment écrite et qui, finalement, au dernier moment, disparaît. On verra plus tard, là, parce qu'on change d'entrepôt à Los Angeles. Donc, on verra ça après, etc. Peut-être à la rentrée, mais bon, moi, peut-être, par expérience, je sais aussi que ça peut être déjà. Mais donc, il y a peut-être une autre solution. Alors, finalement, il s'est contenté de ce qu'il avait. Il a amélioré ses propres process. J'en sais rien. Du coup, malheureusement, en fait, la tâche qu'on avait donnée et les perspectives, en fait. de projections qu'on avait fait pour le travail de cette personne dont on a dû se séparer n'était plus là. C'est un salaire à payer qui n'est pas négligeable sur le niveau du poste. On ne parle pas de quelqu'un, on n'est pas sur un profil stagiaire, on est sur quelqu'un qui a des compétences précises dans la logistique, francophone, un français, donc évidemment avec un salaire quand même conséquent, donc il a fallu qu'on fasse un choix. Et malheureusement, on a dû s'en séparer, mais ce n'est jamais une tâche facile. Non, c'est sûr. c'est une réciprocité et donc là tu dis et en fait au moment où ça arrive tu sais très bien j'ai toujours l'image un peu de la guillotine c'est à dire que tu sais très bien que tu appelles la personne qui ne se doute pas forcément de ce qui va se passer et j'ai toujours cette sensation un peu de dire tiens allonge-toi là mets la tête là tiens mets la tête dans le truc attends bouge pas bouge pas ta coupe quoi c'est toujours cette sensation cette image là j'ai l'impression d'être Robespierre tu vois et c'est assez dur et en même temps tu te dis c'est la responsabilité d'un chef d'entreprise c'est en fait Peu importe l'humain, l'entreprise d'abord. L'entreprise, c'est... Enfin, on doit parfois se séparer de personne. pour l'entreprise et pour le bien de toutes les personnes qui sont dans l'entreprise.

  • Speaker #0

    C'est pour ça que ça s'appelle les ressources humaines. Exactement. C'est pas pour déshumaniser les personnes qui sont dedans, mais c'est vrai que c'est quand même des ressources au service de l'entreprise. L'entreprise peut changer de situation, changer de contexte, changer de santé économique, de vision, de trajectoire aussi. Et tu composes avec tes ressources. Tu composes autant avec tes ressources quand tu achètes du matériel ou quand tu revends du matériel, quand tu lances des budgets publicitaires ou quand tu coupes des budgets publicitaires. Et quand tu prends des gens et quand tu dois te séparer des gens,

  • Speaker #2

    il n'y a rien de personnel. Il n'y a pas faux débat, il y a des missions des fois qui doivent prendre fin, il y a des projections qui n'en sont plus. Et quand j'entends, là par exemple dans les programmes politiques, parce qu'en ce moment on est au moment où on fait cet épisode, il y a le vote des législatives après la dissolution, quand j'entendais le programme du NPA, le Nouveau Parti Anticapitalisme, sachez-le, je ne suis pas du tout porté sur l'extrême gauche. Voilà, c'est une chose qui est bizarre.

  • Speaker #0

    Non,

  • Speaker #2

    c'est bizarre pour un chef d'entreprise. Non, c'est vraiment un truc. Mais quand je voyais par exemple dans leur programme, ils ont martelé depuis des années. C'est, oui, interdire les licenciements. Mais quelle débilité, je veux dire. Tu licences les gens pour tout un tas de raisons, mais ce n'est pas forcément parce que tu veux, tu es un méchant patron carnassier, et tu veux te débarrasser, ou tu veux gagner encore plus. Non, c'est aussi que tu as des entreprises à faire tourner. Il y a des périodes où l'entreprise se porte très bien et par exemple, elle se porte moins bien. Et tu dois avoir cette flexibilité de ressources humaines, comme tu dis, puisque derrière l'humain, c'est aussi un poste qui apporte une ressource financière, une richesse à l'entreprise. Et si on interdit les licenciements, c'est totalement débile, puisque finalement, on met en danger toute l'entreprise au bout d'un moment. Une entreprise qui va mal, si tu ne peux pas licencier des gens, et même quelqu'un qui ne faut rien, qu'est-ce qui se passe ?

  • Speaker #0

    mais voilà tu peux vivre seul tu peux pas jouer on peut pas juste dire on a interdit les licenciements en fait ce qui est critiqué c'est tout un système tu peux pas dire dans le système actuel tel que ça fonctionne on interdit les licenciements ça ne fonctionnerait pas y'a pas un monde où on peut dans notre manière de créer de la valeur et de produire interdire les licenciements il faudrait tout remodeler on va voir donc recruter virer

  • Speaker #2

    malheureusement ça fait partie des responsables du champ d'entreprise donc sachez-le également quand vous prenez ce poste ben vous avez aussi cette responsabilité et pas rien sérieusement c'est vrai que c'est c'est moi je sais que personnellement avant d'annoncer ça c'est déjà arrivé quelques fois je passe pas mes journées à virer les jambes heureusement mais j'en ai déjà effectivement on a déjà séparé de quelques personnes sur cinq ans d'existence d'un cubox mal en général la nuit avant où je sais que tiens voilà je programme un rendez vous La nuit avant, je repars très bien. Et la nuit après, je repars très bien non plus. Parce que je sais, et je sais très bien, puisque j'ai une activité salariée, alors quelques temps finalement, je n'ai pas été salarié très très longtemps dans ma vie, mais ça m'est déjà arrivé de me faire lourder comme ça, d'être convoqué dans un bureau, quelqu'un en face qui dit, on est vraiment désolé, mais voilà, c'est pas toi, c'est moi.

  • Speaker #1

    Je me souviens que là, le personnage qu'on voit là,

  • Speaker #2

    c'est pas le vrai. Ah non, non, non.

  • Speaker #1

    C'est le personnage public, qui fait genre qu'il a des remises.

  • Speaker #0

    Bien sûr ! Non, non, parce que nous sinon on boit des coups, on boit des coups et on se fout de la gueule des gens en question.

  • Speaker #1

    T'as vu le coup de je dors mal la nuit d'avant et d'après

  • Speaker #0

    J'ai toujours vu Romain dormir, il dort très très bien. Je l'ai jamais vu souffrir d'ailleurs.

  • Speaker #2

    Je souffre du premier sommeil. C'est à chez lui. Alors en fait, le problème c'est ça,

  • Speaker #0

    c'est que comme vous êtes… Faut pas qu'il voyage en première classe, juste pour préciser certains sujets.

  • Speaker #2

    Je voyage pas en première classe, je voyage en business class.

  • Speaker #0

    Autant pour moi.

  • Speaker #2

    Excuse-moi, petite nuance. C'est un peu le souci de cet épisode, c'est que comme Clément qui est finalement le compère d'Hugo et qu'en plus ils sont côte à côte ils sont à deux contre moi et moi je fais ça. Bon, est-ce qu'on passerait pas au sujet suivant ?

  • Speaker #0

    Si, si, si, totalement. Bon bah du coup en synthèse, pour automatiser un business, vous avez forcément du côté humain, parce que du coup, l'une des manières d'automatiser un business, c'est de recruter, et donc il faut être ok avec les relations humaines, donc être ok pour recruter correctement, et être ok pour virer correctement aussi. Donc si vous êtes... pas à l'aise avec les humains et que vous les détestez, automatiser un business, c'est compliqué. Mais il vous reste malgré tout une solution parce qu'on peut automatiser un business aujourd'hui aussi sans prendre d'humains, notamment avec la technologie et les IA qui sont apparus. Est-ce que tu as des trucs qui te viennent à l'esprit que tu pourrais partager sur comment automatiser certaines actions ? C'est peut-être des exemples concrets.

  • Speaker #1

    Déjà, qu'on soit bien d'accord. Oui, tu peux automatiser un business à 100% si jamais tu es tout seul dessus et que tu ne peux pas travailler avec d'autres humains. Par contre ton business sera évidemment plus petit, tu ne peux pas commencer à aller taper un business à plusieurs dizaines de millions, il y a peut-être quelques contre-exemples, mais de manière générale tu ne pourras pas. Maintenant par contre, en étant tout seul, tu peux réussir à débrouiller, à automatiser à 100% ta petite boutique e-commerce avec ton SV qui est peut-être... Là justement j'ai un... D'ailleurs, il ne faudra pas trop tarder parce que j'ai un call avec Gorgias.

  • Speaker #2

    Le mec, il vient déjà, il s'incuse sur l'épisode et en plus, il va nous faire finir plus tôt pour faire son appel.

  • Speaker #1

    Par exemple, tu as des outils comme ça qui te permettent... Là, en fait, on n'aura quasiment plus besoin de personne dans le SAV. Si j'ai bien compris à quoi servait vraiment l'outil, il faudra que je le prenne en main, pour voir si ce n'est pas trop des paillettes qui m'ont vu dans les yeux.

  • Speaker #0

    Et ça se relie directement avec le sujet précédent. Si tu as besoin de quelqu'un pour le SAV, tu dois virer.

  • Speaker #2

    Voilà, tout simplement.

  • Speaker #1

    On n'aurait peut-être jamais dû passer par quelqu'un. On aurait peut-être déjà dû prendre le petit début. Non, mais c'est vrai qu'avec Lysia... Alors bon, après, moi, Lysia, attention, malgré que je sois dans la tech, j'ai quand même un avis... Bon, oui, il rejoint beaucoup de monde, je ne vais pas commencer à dire que j'ai un avis qui est tranché. Mais c'est l'avis de dire qu'il est trop tôt pour laisser encore les mains libres à Lysia. C'est un bon assistant pour l'instant, mais en vérité...

  • Speaker #2

    Je ne peux pas lui laisser les clés de la boutique.

  • Speaker #1

    Je suis partagé entre le fait de... À la fois, j'ai l'impression qu'il est trop tôt pour effectivement lui laisser les clés de la boutique, et ça fait juste un assistant pour l'instant. Et à la fois j'en entends certains parler qui disent Putain si je les écoute parler en fait l'IA c'est une IA surpuissante que moi je n'ai pas. Je n'ai pas cette IA là, je n'arrive pas à la trouver. Alors ils ont des petites techniques d'aller par exemple pour GPT ne pas le parler directement dans la chatbot mais sur le... comment il s'appelle l'interface... En gros c'est un espèce de truc comme si tu passais par l'API c'est pas exactement ça, j'ai oublié le terme. Je ne sais pas mais en fait ils... Je ne sais pas, moi pour moi le... Moi de mon point de vue l'IA n'est pas encore assez au point de toute manière pour vraiment...

  • Speaker #0

    Sur tous les supports en ce moment, les supports PayPal, Stripe, UPS, etc. Tous les supports des grosses boîtes sont passés avec des assistants virtuels. En tant que dans la position du consommateur, moi là, c'est en train de me faire péter des câbles. C'est parce que ce n'est pas au point.

  • Speaker #1

    Il ne faut pas tout confondre. Il ne faut pas confondre un support d'une boîte dont tu n'as pas le choix de te passer. Par exemple UPS, on s'en fout. Si tu ne fais pas UPS, PayPal c'est pareil. En tout cas du côté de notre côté à nous. Côté consommateur évidemment c'est important Par contre le SAV de ta boîte De ton e-commerce ou de ton SaaS Il a besoin d'être parfait On le voit de toute façon Le SAV des SaaS ou des trucs comme ça depuis 3 ans C'est une folie Ça te répand en 2 heures

  • Speaker #0

    C'est justement mon point De fait nous Il faut que ce soit parfait Et donc les IA pour avoir un sentiment Quand t'es consommateur bien C'est pas au point Moi en tant que consommateur Dès que je parle à une IA Peu importe le service, du coup, ça m'énerve. Surtout que c'est précisé comme tel. Tu dis, contactez-nous, contactez le support, bam, un chat où c'est écrit assistant virtuel. Je suis un putain. Je ne vous contacte pas.

  • Speaker #2

    Pour moi, ce n'est pas du support.

  • Speaker #0

    C'est une FAQ poussée, en fait.

  • Speaker #2

    C'est une FAQ poussée, exactement. Là aussi, tu as des process, tu as des questions qui sont déjà préécrites et des réponses préécrites. Mais est-ce que l'IA va vraiment t'aider ? Quand il y a quelqu'un... Alors, je fais vraiment mon vieux con, mais qu'est-ce que c'était bien quand il y avait des gens au bout du fil ? Tu appelais un support, il y avait quelqu'un, un humain... Le quinquagénaire. Le quinquagénaire, exactement. Je n'ai pas mes 50 ans, mais ce n'est pas grave.

  • Speaker #0

    Il y a eu Internet entre temps.

  • Speaker #2

    Non, mais c'est vrai. Et d'ailleurs, il y a des pays, par exemple, pour la Thaïlande, Sylvain me disait, lui, il appelle le support de n'importe quoi, ça banque tout ça. 24 heures sur 24, tu as un durée. Et le problème se règle tout de suite. Oui, je comprends, machin, tout, ça se règle. Alors que sinon...

  • Speaker #0

    PayPal, ça fait 6 mois.

  • Speaker #2

    Ouais, mais bon, Paypal, c'est Paypal, c'est un peu spécial, c'est des...

  • Speaker #0

    Voilà. Ça, on peut le dire, ça. Moi, j'ai plus peur de le dire. Honnêtement, là, je suis pas tant en guerre. Si jamais vous regardez ça et que vous êtes en train de faire des pétitions pour monter une équipe contre eux ou mettre des affaires de justice, j'en sais rien, j'en suis. Franchement, non, c'est trop. Ce qu'ils font, c'est trop.

  • Speaker #2

    Je dirais pareil, puisqu'il y a une grande partie de cet argent bloqué qui est le nôtre. Je dirais pareil.

  • Speaker #0

    On est déjà à 2, 3 avec Clément.

  • Speaker #2

    OK, bon, très bien. Y a-t-il encore des sujets sur cet épisode ?

  • Speaker #1

    Comment vous concluez d'habitude ?

  • Speaker #0

    On ne conclut jamais.

  • Speaker #2

    On ne conclut pas, on dit bon ben voilà c'est fini, merci, au revoir, à bientôt.

  • Speaker #0

    Non mais en tout cas on conclut, il nous reste encore 10 minutes, tu pars à 15 ?

  • Speaker #1

    Ouais, ouais.

  • Speaker #0

    Bon, une dernière question puis on conclut. Alors attends, laquelle on va prendre ? Comment déléguer correctement freelance, agence ou salarié ?

  • Speaker #2

    Pardon ?

  • Speaker #1

    Il y a tellement de sujets. freelance, agence ou salarié ouais ça dépend non mais déjà salarié media buying par exemple plutôt un freelance plutôt une agence plutôt un salarié freelance parce qu'il faut payer aux résultats ou agence mais pas salarié parce qu'il faut payer aux résultats pas un truc comme ça je pense ok pourquoi ? parce que t'as besoin c'est un métier qui est super important t'as besoin d'avoir un suivi qui est qui est parfait qui est pointilleux ouais en fait il y a certains métiers comme ça qui doivent être payés aux résultats je pense

  • Speaker #2

    Moi, je pense qu'en même en dehors du métier, personnellement, je préfère payer des freelances pour deux raisons. Première raison, c'est qu'il n'y a pas de charge.

  • Speaker #0

    Oui, forcément.

  • Speaker #2

    Déjà, donc évidemment, la personne... Et en fait, on travaille avec des gens qui ont un profil d'entrepreneur eux-mêmes. Ce sont des gens qui ont leur propre entreprise, en fait. Et donc, c'est simplement... Voilà, c'est une mission qui peut être plus ou moins longue, mais n'empêche que voilà, ils ont cette... capacité de travail et cette implication comme quelqu'un qui ferait le boulot comme toi quoi quelque part alors qu'un salarié malgré tout bon bah il fait ses horaires il a son petit salaire il a son tu vois ce que je veux dire c'est la mentalité salarié c'est vraiment une sorte de mentalité en fait je pense moi

  • Speaker #1

    dans mon exemple à moi en fait si jamais tu prends un freelance pendant plus de trois mois que tu peux venir dans tes bureaux et tout pour moi c'est un salarié alors effectivement fiscalement c'est pas la même chose ça va être un freelance demain si tu dis c'est fini c'est fini

  • Speaker #2

    il n'y a pas de plateau prud'homme sauf si il y a un droit qui dit que ça quand on ressentit c'est tout comme dans la merde dont on travaille alors est-ce que c'est faire c'est faire plé quelque part de dire la personne est là elle a ses horaires comme un salarié mais on lui refuse ce statut sauf

  • Speaker #1

    si les personnes sont d'accord je pense que ça n'a pas un vaste communicant dans le salaire déjà si jamais à deux temps dessus Tu payes 2000 la personne, si jamais tu débourses 4000 pour un salarié et 2005 globalement pour un freelance pour que lui touche 2000 net, bah du coup tu fais un espèce de base communicant où du coup tu la payes 3000, un truc comme ça.

  • Speaker #2

    Bah peut-être ouais.

  • Speaker #1

    Pour qu'elle du coup elle ait 2005 et pas 2000 en CDI.

  • Speaker #0

    Ouais, généralement les freelances s'y retrouvent et les entreprises aussi.

  • Speaker #1

    Ouais, naturellement un freelance est mieux payé qu'un...

  • Speaker #2

    Un freelance est mieux payé et moi j'ai tendance à vachement mieux payer d'ailleurs un freelance parce que justement je vois qui s'implique et quand je vois que l'application est réelle... tu te dis, on n'est pas sur un poste salarié, tu n'as pas tes congés payés, tu n'as pas ta prime. On a souvent des rémunérations. Moi, je n'aime pas payer des charges pour l'État, ça c'est clair. Par contre, la retraite, la sécu, tout ça, chacun a son problème. Mais par contre, si la personne fait du bon taf, il n'y a aucun souci pour très bien la payer.

  • Speaker #0

    Vraiment. C'est le plus fascinant. t'es à un poste important tu voudrais bien payer le contrat de travail salarié te bloque et en fait ça devient très risqué alors qu'effectivement en freelance tu peux très vite déjà bouger si jamais tu peux tu peux dire au début voilà on te paye 4000 balles c'est pas dangereux pour toi parce que tu peux te séparer de la personne quand tu veux tandis que si tu dis 4000 en fait c'est ce que vaut ce poste sauf que toi tu dois en sortir 8 et t'es engagé auprès de la personne et après du coup tu peux te trouver bloqué t'as envie de dire bah non moi je vous propose un contrat à l'ouest parce que faut surtout sécuriser et si tu paies quelqu'un de 4000

  • Speaker #2

    Alors d'accord, lui aussi a des charges en tant que freelance, mais c'est du service, c'est quoi, 22-23% ? Oui, c'est ça. Bon d'accord, ok, mais les 4 000, il les a. Alors que si tu as vraiment ce budget de 4 000 pour ce poste, ce n'est pas 8, c'est 4. Ça veut dire que bon, je t'embauche comme salarié, mais en fait, dans ta poche à la fin, ouais, mais tu cotises pour ta retraite, ne t'inquiète pas. Mais n'empêche que la personne à la fin du mois, elle a 1950 euros dans la poche. Elle a même un petit 2 000, quoi. donc là c'est pas la même motivation non plus de venir au boulot alors que toi par contre ça change rien tu donnes 4000 et en plus elle a droit à ses 5 semaines de congé elle a droit à ceci,

  • Speaker #0

    elle a droit à cela auquel que toi c'est normal les petites structures pour moi les petites structures qui sont pas enlevées de fonds peuvent pas très rarement recruter des salariés aujourd'hui avec l'ensemble des charges ou ce qui protège un salarié j'ai une structure où on est 4 moi demain il y a quelqu'un dans l'équipe qui dit qui tombe malade qui pose un arrêt maladie, nous la boîte, c'est pas qu'elle est finie mais c'est qu'on a, tu amputes un membre à part entière et du coup soit tu remplaces la personne du coup tu ressors le double, ça te coûte le double enfin voilà, une petite structure, on peut pas se permettre ça c'est pas possible ou alors en fait c'est une croissance incroyable c'est pour ça qu'il faudrait je pense différencier ces contrats là il pourrait y avoir le même CDI pour Toyota et pour un cabinet comme ici il y a, c'est pas possible ça ne peut pas être les mêmes règles du jeu ça ne peut pas fonctionner comme ça les enjeux ne sont pas les mêmes ok,

  • Speaker #2

    ben écoutez, en concluant sur cette je vais dire un second elle est un store une nouvelle conclusion non mais j'ai pas d'idée, mais on en débat c'est le pire non mais faut vraiment qu'on arrête avec ces petits boutons c'est tentant, vous savez, on a une console au mixage qui est là avec des boutons et des sons préenregistrés qui ne font rire que nous, malheureusement.

  • Speaker #0

    Il faut conclure, sinon tout le monde va partir et le watchtime sera mauvais. Là, on ne peut pas rester comme ça.

  • Speaker #1

    Clap de fin, merci d'avoir regardé.

  • Speaker #0

    Abonnez-vous, mettez un commentaire, activez la cloche. N'hésitez pas à aller nous suivre sur nos réseaux sociaux, sur nos autres chaînes YouTube. N'hésitez pas à nous contacter si vous avez besoin de nous. Sinon, on vous embrasse, on vous dit à la prochaine pour de nouvelles aventures.

  • Speaker #2

    Allez, refais ton clap.

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