- Speaker #0
Bonjour à tous et surtout à vous les intrépides aventuriers de l'entrepreneuriat. Vous qui avez troqué votre badge de bon petit salarié contre un rêve de liberté et d'adrénaline, en vous lançant dans votre business à vous. Alors que vous en soyez à vos débuts d'entrepreneur ou que vous soyez plus avancé, et même si ce n'est encore qu'un projet, rejoignez-nous sur la chaîne Hors des Clous. L'entrepreneuriat en roue libre. Je suis Romain, entrepreneur dans différents domaines depuis plus de 15 ans et fondateur d'Inkubox. Et je suis accompagné par Hugo, le maestro du media buying et expert en e-commerce. Nous serons là à chaque épisode pour booster votre esprit d'entreprise avec un cocktail d'étonnant, d'inspiration et de rêve. C'est parti ! C'est le début de cet épisode de podcast qui commence aujourd'hui où je suis encore une fois avec mon acolyte Hugo,
- Speaker #1
toujours ensemble, un peu des inséparables,
- Speaker #0
dans le bureau parisien. j'allais dire d'Inkubox si on veut, puisqu'en fait c'est en partie Inkubox, en partie votre activité tu peux dire Inkubox,
- Speaker #1
moi ça me dérange pas ça ce sont les bureaux par les uns d'Inkubox regardez ça, moi ça me va très bien et bien écoute,
- Speaker #0
mieux si ça te va alors, du coup on parle aujourd'hui Hugo alors,
- Speaker #1
il y a eu le podcast du mois dernier il y a eu quelques retours du coup, il y a une liste de questions qui ont été centralisées sur un doc donc le but c'est de répondre un petit peu à ces questions tout du moins ça vous va bien tu aurais quand même pu me les donner avant si tu me dis genre
- Speaker #0
t'as le doc,
- Speaker #1
t'as le doc tu peux le trouver, t'as le doc il est juste devant toi normalement Et il y a quelques questions, tu verras. Le but, c'est que tu puisses piocher dedans et les poser, on aura un petit peu envie. Au passage, l'idée, c'est pas non plus forcément de suivre tout ça, il faut aussi discuter tranquillement, si jamais il y a des sujets que tu veux aborder.
- Speaker #0
Vidarment, déjà, c'est un peu ce qu'on s'était dit, je regarde l'objectif simplement pour dire, c'est ce qu'on s'était dit sur ce format, on va sortir un petit peu l'activité purement e-commerce d'Inkubox, et on s'était dit qu'on avait envie de faire... je sens que quelques personnes pourraient dire ouais ils veulent faire un sans permission version Wish exactement ça on va faire un sans permission non pas du tout alors en fait aujourd'hui on est deux il y a d'autres personnes qui pourront nous rejoindre effectivement dans le podcast et on va avoir je pense une flopée d'invités dans les semaines et les mois qui viennent simplement il fallait qu'on mette un peu en place un setup ici dans les bureaux parisiens c'est pas encore tout à fait abouti mais on va faire un petit peu de matos on va dire les choses clairement oui le problème c'est qu'on est toujours l'année passée de toute façon ça fait des mois qu'on parle de ça et en vérité on est toujours pris dans l'opérationnel du boulot bah oui il y a du boulot donc quelque part c'est plutôt une bonne nouvelle mais on avait vraiment cette envie et cette frustration de dire allez on fait du contenu, on partage un peu ce qu'on pense enfin partager notre vie entrepreneuriale au quotidien les problèmes boulot, les problèmes perso qu'est-ce que ça engendre comme avantage d'être entrepreneur qu'est-ce que ça engendre comme... je ne veux pas dire comme inconvénient, mais comme expérience de vie simplement, les conséquences de vie sur la famille. On est là pour ça.
- Speaker #1
Effectivement, ça va s'améliorer sur le temps. Déjà, c'est un exercice qui est nouveau aussi pour nous. Le fait de créer du produit comme ça dans ce cadre-là, ça va se professionnaliser doucement et sûrement. Et effectivement, déjà, une flopée d'invités à l'esprit et qui seront sans doute là sur les prochains épisodes.
- Speaker #0
Ce ne sont pas que des invités e-commerce. Il y en aura, évidemment, parce que c'est quand même notre... Je vais dire ma compétence première, moi, c'est la partie logistique, on va dire sur site, etc. Et Hugo, qui travaille plutôt sur la partie média buying, création de sites web, création de vidéos, de vidéos UGC, etc. Donc, toute la partie plutôt créative. Et donc, c'est vraiment deux types de compétences qui se rencontrent, qui se sont rencontrés, qui se sont aimés, disons-le.
- Speaker #1
C'est intéressant, comment on comprend ce qu'effectivement, c'est ce que... Je trouve deux générations différentes.
- Speaker #0
Qu'est-ce que tu veux dire par là ? Je suis plus vieux que toi ça ?
- Speaker #1
Non, mais non, c'est pas...
- Speaker #0
Non,
- Speaker #1
c'est nos générations dans le sens de manière d'appréhender l'entrepreneuriat. Toi t'as directement fait un truc qui m'a fait un palpable. Un truc, j'allais dire business physique. Ah oui, on peut se refaire un business physique.
- Speaker #0
Ouais, enfin on surfe sur le digital, mais notre business à nous, les entrepôts, le sourcil en usine, la personnalisation des produits, les normes et certifications, tout ça c'est pur physique.
- Speaker #1
Et du coup ? à côté de ça cette rencontre avec Digital Business Learning purement en ligne, justement on a besoin des gens comme vous et où la collaboration permet d'avoir un business qui tient la route et où du coup on fait tout à la même on ne connait rien au business physique et bon vous je ne vais pas dire que vous ne connaissez rien au business digital mais en tout cas c'est pas par là que vous avez commencé c'est
- Speaker #0
pas notre zone de génie comme on dit souvent dans les podcasts
- Speaker #1
Il va falloir apprendre un petit peu tout ce vocabulaire et une ligne libériale.
- Speaker #0
Par contre, on commence, on se pose des questions. Tu me disais que tu avais une liste de questions qui avaient été posées par les personnes.
- Speaker #1
On commence par un truc très général ou un truc très précis.
- Speaker #0
Je te laisse décider.
- Speaker #1
Un truc qui est important pour toi, c'est quoi tes objectifs business sur cette année 2024 ?
- Speaker #0
Mes objectifs business, moi aussi, ils sont très clairs. On les a redéfinis de toute façon avec Sylvain. Sylvain qui est mon associé principal et cofondateur d'inkubox, que vous verrez sans doute d'ailleurs dans un épisode. Mais vu que nous, ici on est en France, lui en Thaïlande, on a beau y aller souvent, on a beau faire souvent des allers-retours, tout setup, tout ça, pas ici, donc je dirais, vous le verrez sans doute, mais de manière occasionnelle. Donc en fait, grosso modo, on a eu un, je ne vais pas dire une explosion du chiffre d'affaires, mais on a fait quand même, pourquoi, deux et demi sur l'année passée, presque fois trois, en vérité. Donc on est très content du chiffre d'affaires qu'on a fait, mais ça s'est aussi soldé par des problèmes, justement, de personnes, des problèmes de ressources humaines. On n'avait pas encore assez de personnes, il faut que je verrai. comme on l'aurait voulu en fait, la partie logistique, sourcing, etc. Ce qu'on fait d'habitude, ce qu'on fait depuis le début d'AQbox. Mais aussi, tu le sais, ça fait un an qu'on a lancé des accompagnements, un peu plus d'un an déjà, parce qu'un an et demi qu'on a lancé des accompagnements de A à Z. C'est ce qu'on va renforcer encore cette année d'ailleurs, avec toi et avec le reste de l'équipe. Mais on était un peu, c'était un petit peu difficile en fait de tout gérer, à la fois la flux de commandes, les problèmes évidemment liés. au SAV, aux problèmes avec les usines, les dégradations d'usines, les négociations de prix, etc., les allers-retours. Donc là, cette année, on se pose. Le chiffre d'affaires, ce n'est pas forcément… ce que j'ai en tête. Alors, évidemment, j'ai quand même fait un peu visionnel. J'espère une croissance entre 15 et 20 mais on n'est pas du tout sur deux fois et demi comme l'année passée. Le but cette année vraiment, c'est ce qu'on a commencé à faire en fin d'année passée et qu'on vient de faire en début d'année. On a recruté deux personnes sur la partie opérationnelle. Alexis, qui est un expert sur la logistique, puisqu'on a besoin vraiment. d'améliorer encore, de professionnaliser encore plus nos process logistiques internes à l'entrepôt en Chine. On est en train d'installer un WMS, c'est un système d'informatique de gestion des stocks, beaucoup plus précis que ce qu'on a au jour d'aujourd'hui, où on se réfère principalement à l'ERP, mais il y a des zones d'ombre, il y a des inconnus, etc., qui fait que ce n'est pas suffisant par rapport aux ambitions qu'on a. On a recruté également Manon, qui est une ingénieure textile et surtout c'est une designeuse. qui va travailler sur l'un de nos plus gros clients, donc exclusivement, qui va décharger beaucoup Sylvain, qui était vraiment, de par le passé de Sylvain, dans le plate-à-porter, il avait des compétences qui étaient dédiées quasiment à ce client-là, et seul lui pouvait travailler sur ce client-là qui demande énormément de temps. Donc, maintenant qu'il est là, et on est super contents de ce recrutement, elle vient de commencer il n'y a même pas trois semaines, et elle est déjà opérationnelle à 60% facile. On a d'autres personnes à recruter, notamment sur la partie sales, la partie vraiment vente.
- Speaker #1
C'est vraiment l'objectif,
- Speaker #0
c'est de consolider l'offre, c'est de consolider aussi les ventes de cette offre, et c'est de remettre au carré et de restructurer les accompagnements. Grosso modo, en fait, ce qui m'embête cette année, c'est vraiment la question, c'est comment scaler ce business sans perdre en qualité de service. Ça a toujours été, vous le faites, notre vrai avantage chez Inkubox, et on est reconnus comme ça. Et pour ça, c'est qu'on n'est pas des vendeurs de formation. Je répète toujours ça, mais c'est vrai, on n'est pas des vendeurs de formation vidéo où on vous vend l'information et puis après, il vous y retrouve tout ça. On accompagne les gens, tu le sais très bien. On est disponible et on fournit un service de qualité. Et ça, je n'ai pas envie de perdre parce que c'est vraiment cette valeur ajoutée qu'on a qui nous différencie aussi de la concurrence. Ce n'est pas avec un agent chinois que vous allez trouver un service tel qu'on peut l'avoir chez Inkubox Qbox. Donc comment se caler ? tout en gardant cette qualité de service, ça passe évidemment par du recrutement. Mais du recrutement de bonnes personnes. Des personnes qualifiées. Donc, c'est des salaires qui sont toujours moins élevés. C'est des commissions qui sont importantes. Et on n'a pas de souci avec ça. Mais simplement, c'est du recrutement. Tu sais que recruter, déléguer, trouver la bonne équipe, c'est difficile. Et c'est un challenge du quotidien. En plus, ces personnes, il faut les former. Il faut qu'elles comprennent justement qui on est, qu'est-ce qu'on propose, quelles sont nos valeurs. quelle est notre éthique par rapport aux clients et par rapport à ce métier. C'est un métier où il n'y a pas énormément d'éthique. On essaie de mettre un peu d'éthique là-dedans. Donc, voilà le challenge, scaler l'activité, mais surtout se restructurer. et garder le même niveau de qualité sur un volume de clients plus important. Voilà un petit peu mes objectifs business. J'ai que ça, après j'ai des investissements, etc. On pourra en parler, mais je ne vais pas non plus monopoliser.
- Speaker #1
Le plus important, c'est vraiment ce que tu viens de décrire, ce qui est laid, mais ce qui est laid correctement. Et tu sens que c'est bien parti ? C'est bien parti,
- Speaker #0
justement, sur ce début d'année, mais je dirais qu'on a pas mal de challenges. Encore, surtout sur la partie logistique, là on part en Chine dans deux semaines, on passait une semaine dans les entrepôts, donc c'est vrai qu'en Chine le problème aussi c'est qu'avec le Covid, jusqu'à l'année passée, on ne pouvait plus aller dans notre propre entrepôt.
- Speaker #1
Ça c'était une situation bien pourrie.
- Speaker #0
Tout se faisait à distance, donc évidemment, heureusement que les procès étaient suivis par les équipes qui ont été formées. je le dis pour ceux qui ne le savent pas mais dans les entrepôts en Chine on est à Ningbo et l'intégralité de notre personnel sur place est chinois les équipes de sourcing, les équipes de contrôle qualité les packing girls, les filles qui emballent les papiers de commande bien sûr tout le monde est chinois donc on avait déjà établi des process fixes et déjà bien travaillés mais dans 2 ans et demi quasiment 3 ans en fait on n'a pas pu mettre les pieds là-bas donc évidemment ça a vachement ralenti Merci en fait le niveau de développement qu'on voulait apporter à ce place quand t'as pas de visibilité directe comme ça les échanges ça reste beaucoup plus difficile quand tu peux vraiment pas y aller pour voir ce qui se passe j'imagine des petits éléments,
- Speaker #1
des petits détails que toi tu peux voir parce que t'as un peu de recul tu fais ça si vous l'optimisez comme ça vous allez gagner un temps fou et du coup tu peux optimiser tes coûts,
- Speaker #0
optimiser tes process il y a énormément d'optimisation prévue je vais pas forcément tout détailler là parce qu'il y a des points vraiment techniques Mais grosso modo maintenant on a vraiment des personnes qualifiées pour faire ça. Donc on part tous en groupe, on part en équipe début mars, une semaine et après je dirais tous les deux mois il y aura au moins deux personnes, voire trois personnes qui iront régulièrement là-bas voir si les process mis en place ça se suivent leurs cours, comment ça se passe etc. Quels sont les avantages concrets qu'on pourra en tirer nous que pourront en tirer les clients. On est en train de changer d'entrepôt, on a, mais on est en train de s'approprier, de monter les racks, etc. Donc, quand je dis on, c'est les équipes en Chine. On a un entrepôt maintenant qui fait 1650 m², donc c'est quand même relativement grand, en fait. Donc, c'est plutôt aussi un bon point puisqu'on a beaucoup plus de capacité de stockage. Mais du coup, ça veut dire aussi une logistique interne aussi, justement. Il faut être extrêmement carré pour gérer ça. Cette gestion des stocks passe forcément par un processus. informatique beaucoup plus poussée que ce qu'on avait aujourd'hui où on avait simplement un ordinateur à scan tac tac tac, c'était scanné mais il y avait des ratés là c'est plus possible ok, je comprends un petit peu les objectifs business
- Speaker #1
ça me vient pour moi c'est la clarté c'est très précis et je crois que c'est ce qui compte c'est de savoir vraiment où on va et donc le fait que ce soit bien défini comme ça il y a les opérations et les actions qui sont mises en place exactement pour cet objectif donc c'est top moi je ne peux qu'être content de ce genre de démarche étant donné que je suis client donc évidemment les packings vont plus vite si le service s'améliore moi dans tous les cas mon business s'améliore également donc je ne peux que te dire fonce continue comme ça merci J'imagine bien. C'est le meilleur.
- Speaker #0
J'imagine bien.
- Speaker #1
Ah, mais c'est bien. Franchement, c'est bien. bien du courage dans ces étapes-là, parce que c'est vrai que ce n'est pas évident de recruter. On a essayé en commun de recruter sur certains de nos business, c'est vrai qu'il y avait des recrutements qui avaient un petit peu foiré. Et on sent à quel point ça peut faire du mal à un business quand on a un mauvais recrutement, quand on est trop précipité, quand on se dit qu'on va gagner du temps, en n'étant pas très regardant finalement sur la nouvelle certaine qu'on va recruter. On commence à gagner du temps et en fait on en perd beaucoup, parce que non seulement on n'a pas bien recruté, donc il va falloir refaire le processus de recrutement, et en plus la personne peut potentiellement faire des dégâts. au sein de ton business et il faut que tu réparer ce truc là et c'est vrai que c'est pour ça un petit conseil comme ça prenez vraiment le temps de recruter parce que c'est super important et ça peut vraiment foutre le bordel si vous le faites pas correctement donc et puis le temps perdu aussi à former une personne parce
- Speaker #0
que bon évidemment une personne rentre ici c'est comme une page blanche quoi au second dos il faut vraiment la former elle a beau avoir des compétences sur un cv elle doit comprendre les activités de l'entreprise, les enjeux, les objectifs, etc. Donc tout ce temps perdu, entre guillemets, sur une formation où on ne fait pas notre propre taf sur le côté, on forme une personne pour espérer gagner du temps, et finalement cette personne ne fait pas l'affaire, et on doit malheureusement s'en séparer, et recruter à nouveau, donc c'est des tas de temps. C'est vraiment ce qui est le plus difficile de faire son entreprise. Autant, je serais le premier à dire, si vous voulez croître, croître. Oui, c'est un croître. La croissance. J'ai le croître. Tu l'as à doute, si vous voulez croître. Vous n'avez pas d'autre choix que de déléguer. C'est obligatoire. Et ça, beaucoup de personnes, je pense que tous les entrepreneurs ont du mal parce que sur sa boîte, c'est son bébé quand on travaille des dizaines et des dizaines d'heures, des centaines d'heures, le week-end, etc., tard le soir, sur son entreprise. On monte des process qu'on improvise finalement, en général. et qu'on prend petit à petit et qu'on met en place, quand quelqu'un arrive et comme tu dis, fait des dégâts et puis fait des choses pas du tout comme toi tu l'aurais fait,
- Speaker #1
surtout que plus t'es petit, le recrutement, il a une place importante. Parce que bon, à la limite, un recrutement quand t'as déjà une centaine de salariés, c'est amorti par l'ensemble, le collectif. Mais quand on est quatre, mauvais recrutement, c'est un cinquième des effectifs qui sont du coup dans le mauvais sens. Ça, c'est un effet de merde. tu vas dans le mauvais sens et alors là ça peut être dépassant. Et c'est pour ça qu'il y en a beaucoup qui ont peur. Parce qu'effectivement ça peut faire peur, parce que si tu ne fais pas ça correctement, ça peut faire des mégas dans ton business. Donc c'est ça que c'est plus dur quand tu es petit. Après voilà, tu commences à grandir. Il y a différents types de postes aussi. Là typiquement, chez incubox, les deux recrutements que vous avez faits, ce sont deux recrutements qui sont importants avec des postes très qualifiés. Au niveau des enjeux, c'est vrai que, si je me trompe, mais quand il est question de prendre vraiment des gens qui font du packing, c'est excellent.
- Speaker #0
Non, ça c'est pas... En fait, le problème du packing, vraiment sur notre pouls, alors nos équipes en Chine, pour information, tu le sais, on recrute malgré tout nous-mêmes, même si c'est à distance, on choisit et on sélectionne des candidats. Sauf le packing. Tout ce qu'on veut, c'est des filles. Pourquoi les filles ? Parce qu'on est en Chine, c'est une culture, la Chine c'est assez spécial pour ceux qui connaissent, pour ceux qui y sont allés. C'est même très spécial même en Asie. Par exemple, la Thaïlande, j'y vais tout le temps, on a affaire sur des gens qui sont très délicats, qui ont un sens créatif, artistique très poussé. C'est aussi sabaï, sabaï, ça veut dire qu'en ce moment, on est à la cool. Par contre, c'est des gens qui sont très, très délicats. C'est pour ça qu'ils sont très bons dans les massages, les machins, les soins. Ils adorent ça. En Chine, c'est un pays qui s'est construit, je pense, aussi dans la douleur sur le siècle qui vient de se passer. C'est un pays, ça rigole pas, c'est quand même très très très carré. Donc quelque part les gens sont assez, je veux dire, brutaux de nature, ils vont pas te mettre une tarte quand tu les vois, simplement, au contraire, ils sont très gentils mais simplement c'est pas des gens qui sont, c'est toujours assez brut, tu vois, par exemple. Mais direct même dans les gestes, je veux dire, tu vois, c'est assez brutal dans les gestes, dans la façon de parler aussi, d'agir. et tu vois par exemple il ya des choses qui me qui vendent toujours dingue c'est Quand on demande par exemple en usine, quand on demande par exemple une petite vidéo pour montrer un échantillon, on a fait un sample personnalisé d'une boîte, je dis n'importe quoi, d'ampoule, voilà la bonne ampoule etc. On a envie d'avoir une petite vidéo pour pouvoir montrer à notre client, le e-commerçant qui passe commande et qui veut savoir où ça en est, car voilà ton échantillon est là. C'est toujours torché. C'est-à-dire que grosso modo, ils filment mal, la personne va manipuler la boîte, on leur demande de manipuler la boîte, ils claquent comme ça, et puis c'est fait sur un fond, une bouteille de coca, une bouteille de soda en arrière-plan, la table est sale. Ce sont des gens qui ne sont pas du tout dans l'artistique, en se disant, ce n'est pas ce qu'on leur demande en usine, mais c'est juste un effort de présentation. mais ils n'y pensent même pas c'est pour ça qu'on va revenir sur je ne vais pas mettre tant de choses en dessus les femmes parce qu'elles sont un peu moins elles sont un peu plus douces et je peux dire que les nanas là-bas c'est quand même des nanas ça y va, j'en ai vu porter des cartons elles montent sur un échelle elles prennent des cartons qui font 25 kilos elles portent ça sur les épaules c'est des nanas costauds mais quand même dans les gestes c'est quand même plus de douceur entre guillemets, ce qui fait qu'on ne choisit que les filles
- Speaker #1
pour les packing ce qu'on appelle les packingers des polis cassés et puis même la façon de présenter,
- Speaker #0
d'emballer de coller les stickers là aussi il y a eu un travail monumental de process sur des choses qui nous paraissent tout bêtes à nous, c'est à dire le sticker on met le droit, on centre le au maximum discrimination à l'envers sur les hommes,
- Speaker #1
je vois
- Speaker #0
ça c'est un kibox ça c'est un kibox on distribue les hommes non mais par contre c'est vrai que du coup pour revenir à la question initiale c'est pas nous qui gérons l'embauche des packing girls ce qu'il faut c'est qu'elles soient bien managées parce qu'effectivement surtout quand tu sais il y a des clients d'ailleurs c'est Volca aussi il y a des clients qui ont des commandes avec des bundles Et c'est vrai que c'est embêtant parce que parfois c'est assez complexe en termes de SKU, on jongle avec les SKU, donc les références produits, il ne faut pas se tromper, etc. Donc il faut quand même avoir un million de gilottes et il faut surtout avoir un manager derrière qui veille au grain pour voir s'il n'y a pas d'erreur de préparation de colis, etc. Et que tout soit OK. Mais c'est le seul pôle qu'on ne maîtrise pas dans le recrutement, mais nos équipes gèrent ça très bien.
- Speaker #1
J'ai une anecdote sur ça. Peut-être que tu te rappelles une confusion qu'il y a eu avec un client d'un de mes e-commerce qui avait reçu, mais ça venait pas de vous, et qui avait reçu un God finalement à la place de son colis. Et je me suis dit, qu'est-ce que c'est que cette histoire ? Alors justement, nous au début, parce que le client nous contacte et nous donne le numéro de tracking, pas de vous, mais le numéro de tracking qui vient de, oui qui vient de Chine. Et le client envoie une photo et puis il dit dans son message, non, non, je suis sûr de ne pas avoir commandé ça. Et nous qu'on fut, je me rappelle, je me rappelle que c'était directement à l'équipe du service après-vente, j'ai mis la photo en piège-voix en plus, et j'ai dit alors non, on ne vend pas ces produits-là, il y a dû y avoir une erreur dans le packing, etc. Et puis en fait, trois jours après, le gars en question reçoit son vrai colis. Et bon, on ne sait toujours pas ce qui s'est passé avec ce soir, et ce qu'en fait le type... il avait commandé ça à côté et le colis avait été ouvert par un proche ou je ne sais pas trop quoi, ce qui fait qu'il avait dû dire c'est parce que j'ai fait une commande sur ce site, ils ont dû se tromper on n'a pas le fin mot de l'histoire mais le vrai colis est arrivé et c'est vrai que je me rappelle cette confusion vous avez un client qui vend des godes parce que là il y a eu une confusion, il y a eu une mauvaise connie pour le mauvais client je te dirais,
- Speaker #0
on n'en a pas et j'aimerais bien un petit souci avec l'inresponsable de l'équipe de sourcing qui s'appelle Mbob, tu connais bien le site qui est chinoise et les chinois sont aussi très prudes et je sais pas si tu te souviens je crois que c'était toi qui voulait sourcer un truc alors c'était moi alors vous,
- Speaker #1
vous êtes le seul au moment
- Speaker #0
Non mais tu voulais saucer un objet Je ne peux plus expliquer ce que c'était
- Speaker #1
Un objet non défini
- Speaker #0
Un objet non défini Mais ce n'était pas un objet en fait Je pense Qui avait un but sexuel à la base Mais tu voulais détourner En fait sur Des propriétés qui pouvaient être Pour le plaisir de Madame C'était une super idée Souviens-toi, tu nous as demandé de saucer ce produit On n'arrivait pas à avoir de réponse d'ambeur sur ce sourcil, alors qu'on a dit que Lambert fait super bien son taf. On n'a jamais rien à dire là-dessus. Mais là, elle était super gênée, en fait. Parce qu'on lui a expliqué en anglais, dans les descriptions, tu vois. Je me revois encore sur WeChat.
- Speaker #1
C'est Sylvain. On n'avait pas un sextoy, mais nous voudrions.
- Speaker #0
On avait expliqué un petit peu l'objectif du truc et le pourquoi du comment.
- Speaker #1
je te jure elle n'a pas répondu du tout et non je sais que c'est un peu plus on peut dire clairement on a un titre pour ce podcast je pense tu sais il faut toujours mettre les trois sujets forts on a un des sujets forts là c'est l'objet qui était à destination sexuelle qui ne devait pas l'être dans l'inverse en fait ben
- Speaker #0
sinon j'aimerais bien effectivement faire ça parce qu'effectivement ben c'est de toute façon tu sais c'est bien le J'ai entendu d'ailleurs un truc dans le podcast de Yomi Nenzel, j'ai écouté dans la voiture en venant, c'est pas pour faire de la publicité.
- Speaker #1
N'y allez pas.
- Speaker #0
N'y allez pas.
- Speaker #1
Vous restez ici, c'est bien mieux.
- Speaker #0
Non mais en fait, il y avait un intervenant qui disait, en France, les trois choses qui se vendent le plus, c'est le porno. Le deuxième, je ne sais plus, j'ai oublié. Je te cite un truc, j'ai oublié. Et le troisième, c'était les fenêtres. Ça, j'étais sur le but.
- Speaker #1
C'est la bouffe, le deuxième truc. C'est la bouffe. Le porno, la bouffe.
- Speaker #0
Peut-être, c'est la bouffe. Ce qui marchait mieux, c'était ça. Effectivement, le porno. Il y a des secteurs d'activité où on peut vraiment faire beaucoup d'avance. Le porno, peut-être la bouffe, effectivement. Et les fenêtres. Je trouvais ça marrant, effectivement. Les fenêtres, c'est un très bon marché. On ne va pas partir sur une discussion sur les fenêtres.
- Speaker #1
On va simplement... On va donner plein d'infos sur niche.
- Speaker #0
Le porno. Le sexe évidemment, ça aurait été... Moi je ne demande pas mieux d'avoir des clients qui sont dans ce secteur.
- Speaker #1
C'est plus fun.
- Speaker #0
Oui, mais même en histoire de fun, c'est super rentable.
- Speaker #1
Un sourcing qui est super intéressant.
- Speaker #0
Oui, déjà c'est rigolo, mais effectivement c'est très rentable comme secteur. Alors il y a des difficultés évidemment, c'est sûr.
- Speaker #1
C'est très sourci. C'est ce que j'allais évoquer pour ceux qui se posent la question, qui se disent Ah, c'est ça, je vais... J'ai trouvé un fournisseur de sextoys et puis je vais vendre ça. Le problème, ce n'est pas tellement de se fournir, encore connu.
- Speaker #0
On aurait assisté, on dirait il y a un nouveau business, bon alors, eh bien, finis.
- Speaker #1
Le vrai sujet, c'est l'acquisition. C'est qu'en fait, pour avoir du trafic sur son site, la pub sur Facebook, c'est difficile. La pub sur Google, c'est difficile. Leur référencement naturel sur Google est très concurrentiel, étant donné que c'est notamment l'un des seuls canaux qui est utilisable. Les influenceurs, ça peut. Il y en a qui le font, mais c'est souvent des marques déjà bien installées, Passage du désir, Dorcel, etc. Ces marques-là ont des collabs avec des influenceurs. Mais c'est difficile en acquisition parce qu'après trouver des bons produits, avoir un bon packaging, avoir un bon branding sur ce type de typologie de business, ça se fait. Avec un peu de créativité ça se fait mais le problème c'est vraiment l'acquisition, c'est pour les distribuer. Et il y a également quand même un regard particulièrement… pointilleux à avoir sur qualité produit c'est quand même des produits qui sont utilisés dans un cadre où il faut s'assurer, typiquement moi je ne ferais pas du dropshipping à l'express de ces produits là parce que c'est trop risqué Quelle horreur d'avoir un service appréhendant où tu reçois des messages d'une personne qui dit j'ai eu une infection,
- Speaker #0
ça ne peut pas être ça Et je vous envoie les photos.
- Speaker #1
On n'a pas tout d'un compris votre problème, est-ce que vous pouvez nous aiguiller un peu plus ? Non, ça serait... C'est pour ça qu'il faut... Avant d'aller à fond en direct, ils ont dit qu'il fallait faire un business dans le Parc. Non, attention,
- Speaker #0
c'est hyper rentable, mais effectivement, c'est un secteur qui a des codes, c'est très complexe, la fenêtre de tir est très étroite, il y a beaucoup de gens déjà, sinon c'est une fenêtre de tir. Donc effectivement il faut être... mais après pourquoi pas des boutiques... Après il y a toujours la stratégie des boutiques SEO, multiplication de boutiques SEO sans forcément faire de Google Ads. Est-ce qu'on peut, toi qui maîtrise bien le media planning, des questions que je me pose là maintenant par exemple, est-ce qu'on peut imaginer une boutique qui vend des sex toys, même très osée, très poussée, je ne parle pas de... purement érotique, mais des choses vraiment poussées, et avoir, par exemple, une chute de l'acquisition organique via TikTok en détournant totalement... Oui,
- Speaker #1
bien sûr. Parce que c'est la grande force de l'organique.
- Speaker #0
Mais est-ce que ce que je veux dire, c'est que, par exemple, même si tu fais des publicités... même non organique, si tu fais de l'ad, par exemple sur Meta, ça a l'air si net parce que Meta va analyser ton site, c'est ça en fait ?
- Speaker #1
C'est que je ne peux pas affirmer qu'il y a un blocage, parce qu'effectivement si tu fais de la pub, je ne sais pas, la pub sur une plante, sauf qu'il n'y a que la plante, et sur tout le reste du site, c'est des sextoys. Il existe un monde où Meta ne te bloque pas, mais dans la grande majorité des cas, il est censé analyser l'algorithme, l'ensemble du site, et s'il voit des mots clés ou des images qui sont... ...inanimateux, c'est libre. Voilà. Normalement, il y a un blocage, même si tu fais de la pub à côté. Alors après, tout dépend, encore une fois, des formulations. Il y a une marque, on l'avait déjà cité plus d'une fois, mais... ...Boolz, tu parles qu'ils avaient fait une tondeuse spéciale pour la Tiena Team.
- Speaker #0
C'est pas du pour-nom, du coup.
- Speaker #1
Non, non, mais sur Meta, ils sont très sensibles, ils sont un peu comme Under, tu vois, comme quand tu disais. Donc, c'est un truc pour les parties intimes, s'ils écrivent dans la description, pour les parties intimes, ça passe pas. Donc, ils avaient dû faire un truc un peu détourné, où justement, ils avaient des vidéos avec la teuse, qui en fait, c'est passé sur des balles de tennis, sur des noix de coco, sur des kiwis. Je me souviens, ça a toujours été comme ça. C'est super malin, parce que du coup, effectivement, ils ont pu faire de la publicité. via Facebook Ads sur un produit un peu tendancieux, tout en ayant, par exemple, une approche avec l'humour, etc. Et tout, voilà, c'était pas gagné d'avance, et beaucoup de gens essayent des fois de lancer des produits comme ça, mais n'ont pas cette créativité. et n'ayant pas cette créativité, les pubs ne passent pas, ils sont bloqués, et puis en fait, ils abandonnent le projet, parce qu'ils ont un projet qui est certes solide, mais ils n'arrivent pas à faire de l'acquisition. Donc voilà, sur des sujets un peu tendancieux, la drogue, les armes par exemple, il vaut mieux avoir une idée de chemin détourné pour pouvoir faire de l'acquisition correctement.
- Speaker #0
à la limite il vaut mieux partir sur de l'affiliation on sait que là il vaut mieux partir sur des business d'affiliation c'est un petit peu comme les casines en ligne c'est peut-être beaucoup plus rentable et tu t'explores beaucoup moins en fait il y a un client là actuellement je vais pas le citer parce que je ne sais pas si je le cite je poserai la question peut-être la prochaine fois qui
- Speaker #1
a du coup un business qui est en relation avec les paris mais qui n'est pas un signe de pronostic etc Et justement, il doit. galère à écrire ses scripts quand même parce qu'il veut faire de la culture méta et son acquisition passe par méta mais il a des difficultés à écrire un script où en fait il parle de son outil qui n'est pas un truc qui donne des pronoms mais qui aide en fait les utilisateurs à faire leur propre pronom c'est un outil qui centralise des informations finalement et donc super difficile parce qu'il y a déjà deux trois pubs à lui qui se sont fait refuser tout simplement parce qu'il y a ce vocabulaire là de trouver votre dernier gagnant ça rend la chose compliquée alors que son truc est totalement légitime. Enfin tu vois justement, c'est pas un truc de pronostic, c'est pas un site pour parier non plus, c'est juste un outil qui centralise des informations, qui aide les gens à faire leurs propres analyses. Bon ben voilà, lui typiquement il a du mal. Et ça il faut le prendre en compte quand on a une bonne idée dans sa stratégie d'acquisition, il faut...
- Speaker #0
il faut penser aux outils publicitaires qui ont leur propre politique, leur propre règlement, et qui sont des fois particulièrement casse-couilles. Donc il faut l'avoir à l'esprit.
- Speaker #1
D'ailleurs, est-ce que tu lancerais, c'est une question ouverte, parce que je viens de voir le document que tu m'as envoyé, et que je vois là maintenant que j'ai sous les yeux, est-ce que tu lancerais un e-commerce en 2024 ?
- Speaker #0
Si jamais je n'avais pas de e-commerce ?
- Speaker #1
Si tu n'avais pas de e-commerce, si tu découvrais ce secteur, est-ce que tu penses que c'est une bonne idée de business en ligne, encore en 2024, de lancer un e-commerce ? Comment tu verrais les choses ? C'est moi qui ai ma petite idée, évidemment.
- Speaker #0
Oui, c'est clairement une bonne idée. C'est clairement un truc qui a de l'avenir et tu peux clairement faire beaucoup d'argent en e-commerce en 2024. Par contre, il faut quand même le dire, c'est clairement plus difficile qu'avant et surtout, ça demande plus de ressources qu'avant. Quand je dis avant, c'est dans le monde de cinq ans en arrière déjà. En fait, plus ça va, plus il y a du monde quand même sur ce business-là, donc plus il faut considérer le fait qu'il faut des ressources et il faut du sérieux. Le fait d'entreprendre dans cette thématique. Par contre maintenant, je reste persuadé que c'est effectivement l'un des business qui peut le plus facilement te faire décoller, t'amener à une rentabilité, t'amener à pouvoir en vivre et puis plus qu'en vivre, pouvoir avoir une liberté financière et géographique. Je trouve que c'est le plus cohérent moi aussi parce qu'il y a plein de business à la con qui marchent bien en ce moment, que je pourrais aussi recommander pour ceux qui n'ont pas de capital, qui n'ont pas de ressources à investir, commencer par les business à la con. Les business à la con, ils sont basés sur un système. qui fonctionne actuellement. Et c'est vrai que c'est intéressant d'utiliser ces systèmes pour faire beaucoup de cash maintenant. Donc ça, c'est bien, mais je ne peux pas inviter les gens à dire tu vas entreprendre là-dedans sinon c'est à dire que sur les podcasts tu peux dire et arriver bonjour je suis entrepreneur dans les business à la con c'est pas très vendeur et surtout ton business il va mourir ces business là ils fonctionnent maintenant ils fonctionnent grâce à un algorithme, grâce à une trend grâce aux IA qui sont arrivés un petit peu aussi dans le game, donc il y a tout un tas de petits business qui peuvent te rapporter 10, 15, 20, 30 000 euros assez rapidement si tu les fais avec beaucoup de sérieux mais dans tous les cas c'est éphémère ce truc là Donc c'est très bien pour se former à certains outils, pour se faire un petit capital de départ, etc. Mais donc en vrai business sérieux et concret, je dirais que l'e-commerce après c'est super. Tu es directement récompensé à la hauteur de ce que tu fournis. Tu as beaucoup de patterns que tu peux identifier où tu te dis, en fait si ça tu le fais, si ça tu le fais, si ça tu le fais, si ça tu le fais, tu auras du résultat. Et donc quand on n'a pas, ça fait que tu as merdé sur l'une de ces étapes-là. Donc c'est assez concret, c'est un vrai business. Tu peux le skier, tu as de la rentabilité, tu peux déléguer à une équipe, etc. c'est sérieux quoi et ton truc il peut grandir et avoir une croissance pendant des années.
- Speaker #1
Et pour toi le billet parce que tout à l'heure tu disais, je suis d'accord avec toi, de toute façon je vois bien aussi avec les clients d'Aqbox, c'est beaucoup moins facile qu'avant c'est vrai. Quand tu dis tout à l'heure, oui il y a aussi beaucoup plus de monde. Oui et non. Il y a aussi beaucoup moins de touristes quand même, il faut qu'on le dise, il y a plus de gens sérieux. Donc oui, il y a plus de monde dans l'absolu parce que c'est un marché qui est en pleine expansion et qui reste un marché en pleine expansion, il y a de plus en plus d'acteurs importants aussi sur ce marché. Mais honnêtement, autant avant, tu pouvais commencer ce business avec 100 euros sur une poche, il y a quelques années. Aujourd'hui, évidemment, il faut plus de budget. Mais est-ce que, moi j'estime, pour commencer sérieusement, il faut au moins… entre 10 et 20 000 euros je dirais sur bloquer donc pour commencer sereinement mais est-ce que c'est beaucoup d'argent pour commencer un business qui peut toujours potentiellement si tu bosses, si tu es sérieux si tu traites tes clients comme il faut parce que ça c'est important aussi si tu mets un focus aussi sur ton produit sur ce que tu vends, bref c'est un vrai travail c'est pas une activité qu'on fait comme ça sur le côté comme un loisir tu peux toujours devenir on en connaît multimillionnaire qui a lancé 2, 3 ans, 5 ans, en partant de zéro avec 10 000, 20 000 balles en poche. Oui, d'abord, c'est un budget, tout le monde ne les a pas, mais… Il y a très peu de business qui peuvent permettre de se caler comme ça.
- Speaker #0
C'est ça. Et puis, en plus, 10 000, 20 000, quand tu veux commencer les choses directement, très bien. Donc, avec une marque, quand tu veux faire du branding, quand tu veux après avoir pas mal de budget pour l'acquisition. Ça, je te rejoins totalement. On est dans cette échelle-là. Malgré tout, il y a des moyens de se débrouiller avec moins de budget.
- Speaker #1
C'est vrai que j'avais déjà en tête... Tu sais que ma spécialité, c'est la création de marque. Vraiment, j'avais déjà en tête de s'approprier un produit, mais il le casse dans les yeux.
- Speaker #0
faire un peu de stock c'est bon cette étape là il n'y a pas de croissance sans l'étape sinon tu es encore une fois sur un business très éphémère etc mais justement tu peux faire du e-commerce sur des petits modèles typiquement l'organique Il y en a qui arrivent à faire du dropshipping à Galie Express en sélectionnant quand même bien le produit, pas vendre de la merde non plus, et faire du contenu organique à fond, et qui arrivent encore à générer des ventes, et en fait en générant ces ventes, après ils améliorent leur business, etc. Donc tu peux démarrer, tu peux te lancer avec moins de budget. Mais si tu veux te lancer bien et faire ça comme un pro, il faut ce que tu as dit, 10 et 20 000 pour pouvoir vraiment avoir un service de qualité, s'assurer qu'il y a un bon packaging, s'assurer que le budget photo, parce que tu pourrais passer par un professionnel pour faire les photos et les vidéos. En fait, tu as toujours moyen de faire avec moins, mais du coup, il te faut beaucoup plus de compétences, beaucoup plus de temps pour essayer de faire un truc qui soit suffisamment potable pour quand même générer des ventes. mais donc en tout cas près du relief et de prendre un peu de recul 10 à 1000 euros comme tu l'as dit ici pour lancer un business en fait ça reste que dalle c'est bien sûr énorme pour plein de gens en fait il y a un peu ce truc où quand on dit ces chiffres là ça heurte toute une génération parce qu'en fait il y a une génération qui est qui est dans l'esprit entrepreneurial et qui veut et qui voit l'e-commerce ou le dropshipping comme une super opportunité. Et en fait, tout un tas de personnes qui ont entre 18 et 25 ans, qui sont bercées par du contenu, qui parlent de ça, et où ils sont à fond, il faut que je fasse ça, il faut que je fasse ça. Et en fait, 10 000 euros pour ces profils-là, dans la plupart des cas, ça paraît énorme. Et donc, tout le monde, je comprends parfaitement, cherche des petites solutions. Non, non, mais je peux faire le dropshipping avec 500 euros, je peux me débrouiller. La vérité c'est que beaucoup de ces personnes là qui se lancent avec ce budget là, vont voler les et ne vont rien faire. Ça ne va pas performer, ils n'ont pas suffisamment d'éléments, ils n'ont pas de crédibilité sur leur site e-commerce etc. pour performer. Donc ça il faut l'avoir à l'esprit.
- Speaker #1
Ou alors, c'est plus encore pareil, petite aphètes du pied mais... On fait également des coachings.
- Speaker #0
Je dis pas ça parce que ça y est, 500 euros, les mieux investis de votre vie.
- Speaker #1
C'est vrai. En plus, on a ce qu'on appelle des micro-coachings, dans le sens où c'est des coachings qui se passent en général sur un groupe WhatsApp, où il y a plusieurs personnes de chez Inkubox qui vont vous répondre, avec une disponibilité quand même assez grande. On peut même dire ce qu'on veut. Mais on a beaucoup de personnes qu'on a vraiment aidées, parce que justement... elles commençaient, elles avaient peu de moyens et alors c'est un peu l'instant pub mais c'est vrai elles ont mis mais c'est les coachings tout bêtes qu'on fait parce qu'encore une fois, nous on est des agents de terrain vous, vous êtes des commerçants depuis déjà des années je vais dire, c'est successful mais c'est vrai, vous avez quand même des gros succès aussi je peux le dire, ça me va très bien des gros succès aussi dans votre historique, je dirais, d'entrepreneur e-commerçants. Donc, on a des petits coachings comme ça. Et c'est vrai qu'il vaut mieux parfois, quand on se promenade, plutôt que de cramer de l'argent bêtement en faisant des bêtises parce qu'on n'a pas l'expérience. Et surtout, ce n'est pas qu'on est bête, ce n'est pas qu'on ne sait pas faire, c'est qu'on n'a pas le recul. Je suis disant, en fait, autant bénéficier de l'expérience de gens qui savent et qui se sont déjà pris des gros coups de pelle dans la gueule, qui se sont déjà pris des gamelles à votre place et qui vont vous dire, non, non, surtout, ne fais pas ce type de produit, ne fais pas comme ça, fais ceci, fais cela, etc. Et des petits coachings comme ça à 550 euros. tels que nous on les propose, on n'est pas les seuls, il y en a d'autres qui font des coachings qui sont tout à fait honorables. C'est aussi pertinent. C'est toujours intéressant effectivement de se faire accompagner et coacher quand on débute et surtout je dirais, pour résumer, si je n'ai pas beaucoup de moyens, je n'ai pas envie de payer un coaching. C'est plus intéressant, je pense, de mettre de l'argent dans un coaching qui va vous apporter justement ce gain de temps, ce gain d'expérience et ce risque en moins d'avoir des grosses gamelles plutôt que de partir tout seul j'allais dire avec sa machin et son couteau voilà tu vois et donc voilà,
- Speaker #0
enfin bref je te rejoins Yannadou c'est peut-être un peu factuel moi je ne connais pas grand chose qui se lance en e-commerce sans se former en fait c'est ça un point il y a quand même le marché de l'e-commerce et de la vente de formation et de coaching il y a quand même beaucoup d'acteurs parmi ceux qui consomment tous ces trucs là malgré tout 90% des gens voient alors qu'ils concernent tout ça alors faut surtout pas commencer à se dire oui bah moi je vais arriver j'ai vu trois tik tok j'ai ni me former ni prendre un coaching ni rien du tout et je vais réussir à performer à devenir riche avec ce truc là alors que 90% de ceux qui prennent des formations etc échouent
- Speaker #1
ça marche pas.
- Speaker #0
En fait effectivement il faut du mentorat, il faut se faire accompagner, il faut comprendre plein de mécaniques et c'est indispensable. Et puis nous aussi on est dans l'exécution et bien sûr notre équipe vit de ça, pour autant on est complètement en veille tout le temps de ce qui se fait de nouveau sur les re-caming, ce qu'ils ont inventé comme nouvelles techniques marketing etc. On n'a pas le choix parce que... des fois on pense à des trucs, parce qu'on est en plein dans cet univers, donc on arrive à penser à des choses, et du coup on se dit putain, il est trop mal, on apprend ça Certes, mais on est obligé de copier aussi, de voir putain, il y a une bonne méthode, une bonne approche qui se fait là-bas On va essayer de faire une approche pour nos business, pour voir si ça s'y prête. et donc en fait on est constamment en train de se former aussi et je pense que c'est important c'est indispensable on revient un petit peu aux questions j'en ai une qui est pas mal j'ai hâte d'avoir un petit peu ton point de vue là dessus est-ce que c'est plus dur d'être entrepreneur ou est-ce que c'est plus dur d'être salarié c'est une question qui t'a été posée ça ? c'est une question qui m'a été posée bah écoute c'est
- Speaker #1
je dirais que quand tu es entrepreneur et le gros avantage que tu as c'est que c'est un petit peu comme si moi j'aime bien les images tu es sur ton bateau, tu es sur ton voile tu es le capitaine de ton bateau tu vas où tu veux sur un océan sans limite il peut y avoir des jours extraordinaires tu vas lever un grand voile le vent s'engouffre et tout c'est très politique comme image mais c'est vrai là tu es vraiment king of the world etc... mais par contre le problème c'est que t'es tout seul aussi à affronter les tempêtes et tout, et si ton bateau sombre t'as personne qui va venir te chercher en pleine mer, ça c'est clair donc c'est vrai que c'est un petit peu le problème quand t'es entrepreneur je pense que c'est quand même plus difficile parce que t'es tout seul face à tes doutes, à tes échecs faut savoir rebondir faut savoir tirer des leçons des échecs et tu vas forcément aussi avoir ton entourage proche qui va t'influencer de manière directe si tu as des échecs, on sait très bien la mentalité surtout un petit peu en France si tu as des échecs tu aurais dû m'écouter arrête de rêver, ça ne marchera jamais etc mais ça ce n'est pas évident donc après quand ton business grandit et que les choses se passent bien pour les entrepreneurs pour qui ça se passe bien parce qu'il y en a aussi pour qui malheureusement ça ne se passe pas bien c'est cool parce que les gens vont avoir un autre regard surtout, donc là c'est très valorisant parce que tu as Voilà, tu auras l'image de quelqu'un qui n'est parti de rien, qui a affronté les éléments et qui a réussi. Ça, c'est vraiment top. Tu es maître de tes propres décisions. Puis évidemment, tu n'as pas ce plafond de verre qu'un salarié. Un salarié, l'avantage qu'il a, c'est qu'il a des horaires. Un entrepreneur n'a pas d'horaire. Je sais très bien, on est toujours dans le boulot. Moi, je prends ma douche le matin, je suis dans le boulot. Je vais au parc Astérix avec mes enfants, je suis dans le boulot. Maintenant, le grand 8, je suis dans le boulot. Je suis toujours dans le boulot, en fait. On est toujours dans le boulot. On est en vacances ou quoi, on est dans le monde. ça c'est un peu c'est génial parce que quelque part c'est un métier passion on aime, on est toujours en train de cogiter c'est pas négatif mais par contre on n'est pas forcément focus sur la famille sur les proches, sur les enfants quand il faut, parce qu'on est trop dans le boulot un salarié lui là normalement du moins il y a des gens qui sont salariés mais qui sont cadres et qui ont des gros problèmes également et qui sont toujours dans le boulot et là c'est la pire place possible c'est qu'ils ont à la fois des désavantages les salariés c'est à dire qu'ils ont un plafond de verre ils ont une rémunération qui est peut-être haute pour un salarié quand tu as des responsabilités, mais au final, je sais très bien que par rapport à l'entrepreneur, ce que tu dis, en fait, c'est que tu as un plafond de verre que tu ne peux pas dépasser. Ça, c'est la situation d'une appart.