- Speaker #0
Bonjour à tous et surtout à vous les intrépides aventuriers de l'entrepreneuriat. Vous qui avez troqué votre badge de bon petit salarié contre un rêve de liberté et d'adrénaline, en vous lançant dans votre business à vous. Alors que vous en soyez à vos débuts d'entrepreneur ou que vous soyez plus avancé, et même si ce n'est encore qu'un projet, rejoignez-nous sur la chaîne hors des clous, l'entrepreneuriat en roue libre. Je suis Romain, entrepreneur dans différents domaines depuis plus de 15 ans et fondateur d'Inkubox. Et je suis accompagné par Hugo, le maestro du media buying et expert en e-commerce. Nous serons là à chaque épisode pour booster votre esprit d'entreprise avec un cocktail d'étonnant, d'inspiration et de rêve. C'est parti ! et bienvenue sur l'émission toujours le podcast numéro 5 avec un ex-excusé c'est qu'il va nous avons tout au délire Un peu sérieux.
- Speaker #1
C'est l'intro, c'est vrai, d'accord ? On la garde, on la garde. C'est un hook, mesdames et messieurs. Vous vous êtes fait piquer. Le verbe hooker, tu sais qu'il est bientôt dans le dictionnaire.
- Speaker #0
C'est vrai, j'imagine que oui. Bon, alors voici. Bonjour, mesdames et messieurs. Nous nous retrouvons aujourd'hui pour un nouvel épisode de podcast où je vais jouer un peu plus la personne qui pose des questions puisqu'on va parler d'un sujet un peu plus précis. qui est ta principale compétence de base.
- Speaker #1
Ta zone de génie.
- Speaker #0
Ta zone de génie, disons, puisque bon, Monsieur Hugo est un expert e-commerce au sens large, c'est vrai, mais ta principale compétence et ta valeur ajoutée première, c'est le média buying. Donc, on va parler de ça aujourd'hui. Donc, encore une fois, c'est un blog dans lequel on va essayer de parler d'un petit peu de tout, mais on va centraliser quand même. On va se mettre un focus, on va dire, sur un sujet précis. On ne va pas partir trop dans tous les sens. Et je vais mettre mon portable en silence parce que j'ai oublié de le faire et que j'ai envie de me déranger par de nombreuses notifications comme d'habitude, ce qui n'est pas pratique. Ce qui n'est pas pratique,
- Speaker #1
on est d'accord.
- Speaker #0
Alors, pour commencer, j'ai même fait ma petite liste de questions, j'ai quand même travaillé un petit peu, j'ai bossé un petit peu.
- Speaker #1
Tu es à l'ancienne, je vois des fiches de papier.
- Speaker #0
Ouais, j'ai un certain âge, comme tu sais, je préfère le papier, le toucher du papier. Voilà, on va commencer par une première question qui concerne finalement, on va parler de Meta, mais on va parler de Facebook Ads principalement, et on dit... J'entends dire que, même parmi nos clients, évidemment, parmi les gens qu'on accompagne, on nous dit Oui, Facebook Ads n'est plus aussi efficace qu'avant, c'est beaucoup plus difficile qu'avant. Alors, est-ce que c'est vrai ou est-ce que c'est simplement une excuse de paresseux ou alors de quelqu'un qui est un petit peu comme moi, un boomer, qui ne maîtrise pas l'outil, on va dire. Donc là, c'est vraiment une question au sens large. Qu'est-ce que tu penses d'aujourd'hui, de Facebook Ads dans 2024 ? ton business, il commerce.
- Speaker #1
Déjà, effectivement, tu disais Facebook Ads, mais en fait, c'est Meta Ads maintenant. On doit s'habituer un petit peu à le dire, parce qu'en fait, effectivement, ce sont les placements Meta. Avant, on disait Facebook Ads, alors qu'on faisait des placements sur Instagram également, mais parce qu'en fait, l'entreprise s'appelait Facebook. Aujourd'hui, l'entreprise s'appelle Meta, donc c'est bien Meta Ads. Bon, pour répondre à la question, oui, déjà, oui, c'est quand même plus difficile qu'avant de faire de la publicité sur Meta. En tout cas, d'être rentable sur Meta. C'est un outil qui, maintenant, est quand même bien connu par les annonceurs, par les entreprises, alors qu'avant, c'était quelque chose de nouveau. Donc, quand tu allais sur Meta avant... tu avais moins de concurrence actuellement, donc beaucoup moins de gens dessus. Dans le même temps, l'outil s'est perfectionné aussi, il s'est amélioré, l'algorithme est plus précis, etc. Il a beaucoup évolué parce que Facebook, Meta a été soumis à des règles, RGPD, etc. Tout ça pour dire que le ressenti global des gens qui font de la publicité sur Meta font quand même le même constat, c'est que c'est un peu plus difficile aujourd'hui qu'avant, pour plein de raisons. Maintenant, je sais que la question est plus large que ça, c'est que des gens pensent qu'on ne peut plus performer sur Meta, ça par contre c'est pas vrai du tout, il y a vraiment tout un tas de stratégies, les impératifs sont juste plus les mêmes qu'avant, pour en citer ne serait-ce qu'un seul, il y a quelques années en arrière, le plus important c'était un peu le paramétrage des campagnes, donc le ciblage, si vous voulez vendre du shampoing, vous devez faire en sorte de cibler les gens qui ont des cheveux par exemple, si vous prenez une compétence les chauves, vous vous en doutez bien, ça ne fonctionnera pas, enfin ça ne fonctionnait pas. Aujourd'hui, on est beaucoup moins sur du paramétrage technique, on est beaucoup plus sur du métier de vidéaste, où en fait ce qui va faire la différence c'est les créatifs publicitaires, ce qui laisse place du coup à des nouveaux métiers, des métiers qui sont dans l'équipe Media Buying, où en fait on va avoir celui qui fait le paramétrage, mais également celui qui fait les créatives. créatif et stratégiste, je crois que c'est ça le terme qui est utilisé maintenant pour définir ce poste. Et où en fait, du coup, on est sur un métier où on va plutôt se poser la question de comment est-ce qu'on va faire une bonne pub qui va vraiment avoir un ciblage très précis. C'est ça maintenant qui fait beaucoup la différence dans les comptes méta qui vont performer ou non. Il y a tout un tas d'autres impératifs qu'on pourra citer, sans rater des questions sur ces sujets-là, mais notamment le site web qu'on va utiliser, les produits qu'on va mettre en avant, il faut essayer d'être un peu au goût du jour sur tous ces points-là. mais donc pour répondre plus factuellement à ta question oui performer sur Meta encore aujourd'hui c'est bien évidemment faisable il y a différents objectifs aussi il faut savoir sur Meta on peut chercher la renta comme on peut chercher la croissance aujourd'hui Meta pour aller chercher de la croissance moi je continue de dire que c'est facile d'avoir de la croissance sur Meta d'aller chercher de la renta en revanche c'est là qu'il y a plus de challenge en vérité donc pour un peu définir la différence chercher de la rentabilité c'est se dire ok je dépense 10 euros sur Meta je veux que ça me rapporte 30 40 euros enfin vous avez un objectif bien précis par rapport à vos autres coûts ou produits frais de transaction coûts de salade de masse salariale etc Alors que chercher de la croissance, c'est juste dire qu'on veut que Meta nous apporte beaucoup plus de chiffre d'affaires pour prendre des parts de marché, pour être de plus en plus crédible, pour pouvoir peut-être lever des fonds à côté, en bref, avoir de la croissance. Et donc ces deux objectifs sont différents. Je trouve qu'aller chercher de la croissance sur Meta, je trouve que c'est particulièrement facile encore aujourd'hui. Chercher de trouver de la renta sur Meta, c'est un peu plus difficile. Et ça demande de mettre plus de choses en place, un bon tunnel de conversion, des bonnes séquences mail, un site web très efficace, beaucoup de preuves sociales sur le site, etc. Là, c'est tout ça qui va vraiment amener de la rentabilité.
- Speaker #0
D'autant que on est quand même sur un système d'enchères donc les prix je veux dire les budgets publicitaires à mettre sur la table sont de plus en plus élevés est-ce que tu penses que cette croissance justement de prix à la hausse va continuer d'augmenter dans les années à venir ?
- Speaker #1
Je pense que oui mais ça ne m'inquiète pas plus que ça, en fait Facebook est quand même assez bien fait à ce niveau-là le prix que tu vas payer en fait pour être diffusé va pas dépendre que du nombre d'annonceurs, il va aussi dépendre de la qualité de ce que tu mets en diffusion. Et c'est-à-dire que si t'as un contenu qui est plus pertinent que les autres annonceurs, tu vas avoir, enfin Facebook va te valoriser et te mettre des coûts moins élevés de diffusion. Ce n'est pas le seul truc qui fait descendre tes coûts de diffusion. Tu vas avoir également la qualité de ton service, ce que tu délivres. Facebook va avoir des informations là-dessus en envoyant des petits questionnaires à tes utilisateurs, à tes clients. Et selon les réponses de ces clients, il va te catégoriser comme étant un annonceur d'une entreprise de qualité ou au contraire un annonceur d'une entreprise de mauvaise qualité. Et ça, typiquement, si tu es jugé comme très pertinent par Facebook, tu vas encore une fois avoir des coûts optimisés. Tu vas également avoir la confiance que Facebook t'accorde sur le temps. C'est-à-dire que si jamais effectivement tu diffuses avec Facebook depuis deux mois, tu n'auras pas les mêmes coûts que si tu diffuses depuis un an et demi.
- Speaker #0
On l'a vu aussi dans les accompagnements qu'on a pu faire.
- Speaker #1
Plein de fois, plein de mois. Donc c'est ça qu'il faut prendre en considération, c'est qu'en tout cas les coûts n'augmentent pas forcément pour les annonceurs qualitatifs. Honnêtement, c'est même plutôt l'inverse. Par contre, ça a cet effet pervers que c'est peut-être une des questions aussi que tu aurais, mais c'est beaucoup plus difficile de commencer sur Facebook. Quand tu es un nouvel annonceur, donc avec un nouvel environnement publicitaire professionnel, Ils appellent ça maintenant le portefeuille business. enfin le wallet business, avant c'était le business manager pour que les gens puissent relier donc cet environnement publicitaire quand il est tout neuf quand tu crées un compte publicitaire nouveau, une nouvelle page un nouveau pixel etc dans cet écosystème tu vas avoir aucune confiance de la part de Facebook et en fait tu vas devoir dépenser du budget au début avec des coûts qui sont pas du tout à ton avantage et en fait tu es en train d'acheter la confiance avec l'outil, tu es en train de payer pour avoir le droit d'être là et ça c'est aussi quelque chose que les gens ont du mal à voir c'est qu'effectivement, quand tu vas démarrer ta publicité sur Facebook, il ne faut pas espérer de la rentabilité directe. Mais vraiment, il ne faut pas espérer. Ça arrive, il y a toujours des contre-exemples, mais globalement, quand tu es un nouvel annonceur, peu importe la qualité de tes créatifs, peu importe la qualité de ton produit, peu importe la qualité de ton site, tu es un nouvel annonceur, donc dans tous les cas, tu n'es pas dans les bonnes races de Facebook.
- Speaker #0
J'avais entendu un intervenant américain, d'ailleurs, sur YouTube, dans une vidéo, qui disait même que... Alors, il parlait de méta, il parlait aussi de Google, il disait, à partir du moment où vous commencez, Google et Facebook, en méta, vont parier contre vous, grosso modo. Ils envisagent déjà le fait que vous allez de toute façon abandonner, arrêter, et ils vont parier contre vous. Donc effectivement, il y a une question de temps, il y a une question de budget à mettre sur la table pour réussir à faire ses preuves, montrer pas de blanche, et montrer qu'on est un annonceur sérieux et digne de confiance, etc. C'est de plus en plus compliqué. Pour aller un peu plus loin sur cette question, parce que c'est pareil, il y a aussi des gens, parmi nos clients, parmi des personnes à qui on parle, des e-commerceurs à qui on parle, qui ont des fois, comment dire, qui se posent la question de se dire, est-ce que je vais... aller que sur Meta ou que sur Google ou alors est-ce que je fais les deux ? Parce que c'est deux choses qui sont finalement relativement différentes puisque sur Meta, on va plutôt être sur de l'acquisition, je ne vais pas dire hasardeuse puisqu'il y a quand même un ciblage de l'urgence qui est très très costaud avec la data accumulée depuis des années par Meta. Mais on va être dans la suggestion alors que dans Google, on va être dans la recherche en général de produits. Est-ce que toi, tu conseilles de faire les deux d'entrée du jeu ? Est-ce que ça dépend de la thématique ? Est-ce que tu peux nous expliquer un peu quelle serait ta vision là-dessus ? Avec un budget un peu limité, est-ce qu'il faut faire un choix ? Est-ce qu'il faut arbitrer ?
- Speaker #1
Il y a beaucoup d'écoles différentes sur ça. Moi, selon moi, il faut stabiliser un canal avant d'en envoyer un deuxième. Typiquement, Google va avoir quand même les mêmes problématiques que Meta. C'est qu'au début, quand tu lances tes campagnes, tu n'as pas de résultat. les deux en fait faut les voir comme des outils qui sous-toulant de l'inertie en fait ce qui fait que sur les trois premières semaines tu es en train de tester beaucoup de choses tester des stratégies et d'acheter mon droit de diffuser auprès de ses auprès de ces entités et est donc le problème si tu lances les deux en même temps c'est que typiquement tu peux vite paniquer tu fais que tu dépenses du budget sur meta tu lui dépenses du budget sur google il est aucun des données rentables et tu vois ton enveloppe budgétaire qui font comme neige au soleil tu fais ou là là qu'est ce qui est en train de m'arriver donc moi je préconise vraiment de d'abord relancer un canal d'acquisition, de le stabiliser d'avoir un break-even, donc en fait être dans une situation où tu respires un petit peu et ensuite du coup se dire ok maintenant il faut se diversifier au niveau des canaux, c'est important pour faire croître mon business etc et parce que les deux canaux qui vont vivre en même temps vont s'auto-alimenter donc pour être plus clair plus précis, moi je préconise de lancer du Facebook a priori il n'y aura pas de break-even quotidien avant 1500 euros de dépenses, pour dire des chiffres très précis, ça dépend encore de plein de choses, le prix de votre produit, etc. Est-ce que vous avez trouvé des bonnes créatives ? Est-ce que vous avez identifié des créatives ? Bref, en gros, 1500 euros sur Facebook, et là, d'un coup, vous commencez à arriver sur des scénarios où vous dépensez, mettons, 100 euros dans la journée de pub, et vous avez 100 euros de chiffre d'affaires. Vous allez me dire, oui, mais il y a le coût produit, etc. Oui, mais vous êtes à la première étape, première étape de vous dépenser autant que ce que vous rentrez en termes de dépenses directes. Et donc là, vous êtes en train de stabiliser, vous êtes au point de bascule où vous êtes en train de stabiliser votre acquisition avec Meta. Si vous avez ce type de résultat pendant deux jours, trois jours, quatre jours, vous êtes en train de stabiliser. Maintenant, il n'y a plus qu'à aller chercher de la vraie renta. Donc, c'est une question de temps, parce qu'après, vous devez identifier les créatives performantes et avoir de plus en plus d'événements à achat pour que vos campagnes soient de plus en plus précises. Et dans le même temps, vous êtes rassuré, vous pouvez lancer un deuxième canal d'acquisition qui, lui, du coup, sera soumis au même truc de trois semaines avant de trouver cet équilibre. donc c'est plus rassurant que de lancer les deux en même temps donc si vous avez gros budget et que vous êtes conscient de ça, vous pouvez lancer les deux en même temps vous gagnez du temps mais quand on est pas hyper serein moi je préconise toujours de on lance du Meta, dès que Meta c'est ok on lance du Google Et par contre, un truc qui est très important de comprendre, c'est que les deux vont s'alimenter réellement. Le fait d'être présent sur Facebook et sur Google, ça fait que des gens vont vous voir sur Facebook, vont vous chercher sur Google, ils vont vous voir sur Google. Idem pour dans l'autre sens, c'est moins le cas parce que sur Google, c'est des intentions de recherche, mais on peut très bien vous voir sur Google, puis après vous voir sur Facebook. Et donc, c'est ce truc d'être présent partout, créer de la crédibilité, créer du retargeting dans tous les sens. un autre truc qui viendra bien plus tard c'est les problèmes d'attribution quand il fait du multi canaux c'est que tu peux avoir quand il est bien installé du coup cette problématique de quelqu'un qui clique sur la pub facebook qui n'achète pas mais qui voilà qui t'a vu qui après va demain elle est sur google et chercher le nom de ta marque cliquez sur ta pub google et acheter depuis ton lien google est là en fait tu vas avoir la vente une seule vente qui va être qui remontait dans les deux outils Donc là, c'est d'autres problématiques, des problèmes d'attribution. Tu te dis, putain, j'ai des ROI très bons partout, sur toutes mes campagnes Google et Meta. Pour autant, pourquoi est-ce que je ne suis pas rentable ? Parce qu'en fait, là, tu es sur un sujet d'attribution, c'est que tous tes canaux s'attribuent la même vente. Et donc, ils ne traduisent pas dans les KPI la vérité de ton business. Bon, là, je me l'envoie un peu du sujet de base. Donc, effectivement. Moi, je stabilise un canal d'acquisition, puis j'en lance un deuxième. Et donc, pour donner un ordre même précis, pour donner de la valeur, moi, je fais Meta, Google, TikTok, Snapchat.
- Speaker #0
D'accord, dans l'ordre.
- Speaker #1
Dans cet ordre-là.
- Speaker #0
Oui,
- Speaker #1
dans cet ordre-là.
- Speaker #0
Alors c'est quoi pour toi les plus grosses erreurs qu'on peut faire ? Alors je sais qu'on est sur des canaux d'acquisition qui sont différents entre Google, on ne va pas forcément parler de TikTok et de Snap tout de suite, je ne sais même pas d'ailleurs si on va en parler beaucoup, parce que c'est pour moi encore secondaire, on va dire aujourd'hui bien que. Mais c'est un sujet qui est déjà suffisamment large comme ça, on va essayer de recentrer sur plutôt les plateformes classiques d'acquisition que sont Meta et Google. Quelles sont les principales erreurs qu'on peut faire justement ? Quand on lance des campagnes sur ces canaux d'acquisition,
- Speaker #1
parmi les erreurs qu'on voit souvent déjà sur sur mes tâches voit beaucoup trop de personnes qui dépensent du budget dans leur publicité 20 ans et dans leur campagne sans avoir de créative cohérente quoi des créatifs tout pourri pis dit oui non mais ça va finir par marché où faut que je teste que je teste faut que je teste en fait quand on veut déployer de la publicité sur meta il faut être organisé et assez précis dans ce que tu fais typiquement mettons tu as un produit qui est je sais pas un complément alimentaire qui fait qu'il fait plusieurs choses il t'aide à mieux dormir à côté de ça il est plus productif et plus concentré et ben là tant que tu as un produit à multi avec des multi effets et donc le but c'est typiquement quand tu vas commencer à faire de la pub sur meta c'est que tu veux tester ces trois angles on veut parler du sommeil tu veux parler de la concentration et de la créativité du coup tu vas avoir une pub en face de chacun des angles. Et idéalement, il faudrait aussi que pour chacun des angles, tu aies une pub image. Tu as une vidéo, tu as une image. Ta vidéo, il faut que tu aies un format vertical et un format carré. Et il faut que pour chacune de ces vidéos, tu aies des variantes. Tu as donc trois vidéos pour trois angles différents. Et sur chacune des vidéos, tu as deux hooks différents. Donc le hook, c'est les trois premières secondes de la vidéo. Donc pour chacune de ces vidéos, tu as deux hooks différents pour voir à quelle accroche fonctionne le mieux. En bref, tu vois, tout ça, c'est une organisation. C'est faire un petit arbre. une roadmap, on va dire, plutôt, avec, du coup, toute ta bibliothèque publicitaire, de pourquoi et quel est l'objet, quelle est l'intention de chacune de tes publicités, et du coup, de déployer ça, après, efficacement et avec intelligence, pour tester les choses et vraiment pouvoir tirer des conclusions. Il y a trop de gens qui naviguent à vue, qui envoient des pubs, si tu leur poses la question, du coup, cette pub, c'est quoi le sujet ? Dire, oui, j'ai un peu fait ci, un peu fait ça. C'est absolument que tu comprennes ce que tu es en train de tester. Sinon, tu dépenses du budget dans le vide.
- Speaker #0
C'est une bouteille à la mer, quoi. Non, non, non, ok.
- Speaker #1
Et ça peut marcher des fois. Des fois, tu as une pub gagnante comme ça, sur un malentendu.
- Speaker #0
Sur un coup de chat.
- Speaker #1
Voilà. Mais l'idée, c'est d'être organisé, de se dire, ok, non, là, je dépense du budget dans un truc bien précis. Ce qui fait que tu n'as pas l'impression de perdre quand tu n'es pas rentable. Tu es en train d'acheter des informations. Tu dépenses du budget tous les jours, mais tu tires des conclusions. Tu dis, ouais, alors j'ai essayé l'angle du sommeil. Ça ne prend pas. J'essaie l'angle de la concentration, ça prend un petit peu. J'essaie l'angle de la créativité, ça prend moins que la concentration. Bon, on va se concentrer peut être au début sur la concentration et se dire OK, maintenant, qu'est ce qu'on peut dupliquer dans les créatifs qu'on a essayé ? Qu'est ce qu'on peut améliorer ? Et doucement et sûrement comme ça, tu tires des conclusions, tu fais des croisements et tu commences à définir et identifier les créatifs les plus performantes, les angles marketing les plus performants. Du coup, tu es en train d'avancer dans ta stratégie. Facebook n'est pas en train de dire j'envoie ça, j'envoie ça.
- Speaker #0
Et puis on verra ce qu'on verra. OK, c'est toujours pareil. Faut un plan, c'est comme tout aujourd'hui. Il faut des process, il faut un plan. C'est vrai que quand on voit l'augmentation des budgets, c'est vrai que c'est aussi des choses qu'on nous remonte pour des e-commerçants qui sont parmi nos clients chez un Qbox ou pas, des gens avec qui je peux parler de temps en temps, qui me disent aussi, oui, mais le problème, c'est qu'aujourd'hui, les budgets sont tels que c'est vraiment, le média banique aujourd'hui réserve vraiment aux grosses entreprises ou alors aux sites qui ont énormément d'ancienneté et énormément de budget, on ne s'en sort plus, etc. Alors, est-ce que c'est vrai ? Est-ce qu'on peut aujourd'hui... Alors... Je vais plutôt reformuler, c'est quel conseil tu donnerais ? quelqu'un qui a très peu de budget, admettons, il suit ton conseil, il va d'abord essayer Meta avant de passer sur Google, il va faire les choses dans l'ordre, mais il a vraiment très très peu de budget à mettre, et il se dit, est-ce que je vais réussir finalement ? Peut-être pas à viser tout de suite la rentabilité, mais déjà, à avancer, pas à pas, à améliorer un peu ses KPI, et puis, ça veut dire, je vais tout doucement vers la rentabilité quand même, j'ai envie d'avancer.
- Speaker #1
Si ça ne va pas de budget, moi, je... Je ne préconise pas Meta. Meta est très exigeant en termes de pub, donc il faut pouvoir produire les pubs.
- Speaker #0
C'est quoi ton budget minimal par jour, par exemple ? Parce qu'on n'est plus en émission.
- Speaker #1
Si on parle de budget par jour, moi j'ai aucune stratégie de lancement qui démarre en dessous de 40 euros par jour.
- Speaker #0
Mais voilà, c'est intéressant de mettre un chiffre, parce que pour certaines personnes, c'est mince. 40 euros par jour, je n'arriverai pas à tenir plus d'un mois, un mois et demi.
- Speaker #1
C'est-à-dire qu'effectivement, on n'a pas de retour sur investissement direct chaque journée avant 1 000, 1 500 euros, sauf exception encore une fois. Mais il faut prévoir le fait que ça va durer, que tu vas dépenser au moins 1 000, 1 500 euros avant de commencer à avoir des journées où tu dépenses 40 et tu gagnes plus que 40. Donc, il faut avoir ça à l'esprit. Et donc, ça, c'est juste le budget pour stabiliser le compte. Si jamais tu comptes trouver des rentrées d'argent qui devraient financer, du coup, tes dépenses, t'es en train de faire un gros risque parce que si par contre à 1500 t'as plein de green flag, t'as identifié plein de trucs qui fonctionnent, t'es sur la bonne voie mais que là t'es à sec fin du jeu parce qu'en fait si tu es campagne tu les coupes tu défonce l'inertie est en train de créer du coup fort que tu refasses un processus où tu relances un peu la machine et ça peut te recouter du budget de relancer de restabiliser la machine donc meta c'est réservé au budget au budget voilà faut avoir 3000 euros de côté pour le budget publicitaire et faut avoir suffisamment de matières premières dont depuis l'a utilisé donc soit tu produis toi même donc c'est pas un budget Mais si tu délègues, c'est pareil, il faut un budget pour déléguer ça. Alors après, attention. Généralement, ce que je préconise comme stratégie de lancement, c'est de se dire on fait de l'orga, donc une marque qui va investir de l'argent pour créer des vidéos UGC, pour créer des vidéos, etc. directement sur ses réseaux, TikTok, Instagram et tout. Essayer d'aller chercher une portée organique, donc un peu de viralité, etc. sur les vidéos, pour réussir à identifier des vidéos qui performent et avoir peut-être quelques ventes pour faire grandir un peu le capital. Typiquement, c'est mieux après d'appréhender Meta. avec tout ça, parce que non seulement tu as plein de vidéos et d'images que tu as déjà utilisées en organique, donc tu peux en recycler certaines dans tes pubs, ensuite tu as de la crédibilité, parce qu'il ne faut pas oublier que quand tu diffuses de la pub sur Meta, tu diffuses avec ta page Facebook et ta page Instagram, et il y a toute une partie des gens qui vont voir vos pubs, qui vont aller visiter ces deux pages, et donc le fait d'avoir une stratégie organique avant fait que tu es crédible, tu as de la social proof, etc. sur ton compte Insta. et je sais plus où je voulais revenir du tout mais en tout cas il tu peux commencer comme ça ouais si voilà tu peux commencer comme ça quand tu sais quand t'as pas le budget pour meta fait de l'organe fait de l'organe et pas de solutions non plus pas 36 non plus effectivement il ya un moment donné mais tu as effectivement est exigeant et c'est vrai que c'est là où on peut dire que c'est plus difficile qu'avant c'est qu'effectivement avant tu pouvais arriver avec 500 euros 300 euros même si c'était un peu des brouillards et lancer de la pub sur meta espérer être suffisamment vite rentable pour que ça vienne alimenter tes dépenses, et que du coup ça vienne alimenter ton compte et que tu puisses dépenser en continu. Ce type de scénario... Il y en a qui le vendent encore, moi je n'y crois plus du tout, je ne vois pas de gens qui réussissent comme ça. Sauf quand tu as, encore une fois, un grand coup de chance, que tu lances 20 monoproduits par mois, et que tu as dépensé 15 000 euros dans les 19 échecs, et oh là tu as un produit qui est incroyable, qui se démarque, mais qui dans tous les cas ne fonctionnera qu'à un mois, parce qu'après tout le monde doit te le voler. Vu qu'a priori si tu as pu lancer 20 monoproduits en un mois, c'est que tu n'as pas brandé, etc. Donc ton produit peut être volé.
- Speaker #0
Dans ces cas-là, puisque c'est vrai que tu disais dans l'ordre, Meta puis Google, Google. Les budgets sont quand même plus faibles. Enfin, Google est moins exigeant en termes de budget, non ? Est-ce que finalement, si t'as pas beaucoup de budget, est-ce que c'est pas mieux ? C'est-à-dire, bon, on va peut-être faire l'inverse par nécessité de budget.
- Speaker #1
Si, ça peut être une stratégie. C'est vrai que moi, je parlais tout à l'heure de ce que moi je fais, parce que moi je suis plus un expert Facebook qu'un expert Google. Google, c'est traité par Félix, que tu connais, qui est dans mon équipe. Donc forcément, moi sur les lancements, j'invite à faire d'abord du Facebook, stabiliser Facebook, puis après lancer du Google. Par contre, selon l'expertise de chacun, selon les ressources que vous avez, vous pouvez faire dans l'autre sens, stabiliser Google, puis lancer du Facebook. Je pense que le plus important dans ce que je dis à ce moment-là... c'est stabiliser un canal avant d'en lancer un deuxième. Même si les deux vont s'alimenter et vont créer quelque chose de plus puissant, quand on n'a pas beaucoup, beaucoup, beaucoup de budget, c'est plus facile d'avancer quand tu as stabilisé un canal et que tu es en train de galérer sur un nouveau, en train d'essayer d'identifier la stratégie et ce qui va fonctionner. Quand tu es en train de galérer sur les deux en même temps, c'est juste anxiogène, tu pètes les plombs. Tu fais putain, il y a rien qui marche et tout. Du coup, tu vas prendre plus facilement des décisions émotionnelles qui ne vont pas aller dans ton sens. Il faut être méthodique, suivre la méthodologie. Ces outils-là sont exigeants, ces outils-là fonctionnent, on le sait. Donc si jamais ça ne fonctionne pas, c'est qu'il y a un pattern, il y a des patterns que tu fais mal. Dans les cinq éléments qui vont faire que tu peux être rentable sur Facebook, il y en a un des cinq où tu es en train de merder, et c'est ce qui fait que ça ne fonctionne pas. Tu ne peux pas remettre en question par contre le fait de est-ce que ça marche ou pas méta ? Ah bah ça ne marche pas pour mon business, donc ça ne marche pas. Non, c'est un truc que tu fais mal. Et souvent, dans la plupart des cas, c'est la stratégie de créative. Il y a souvent un temps où ça a les bonnes créatures.
- Speaker #0
C'est le nom de la guerre aujourd'hui, la créative. Qu'est-ce qui fait aujourd'hui qu'on risque de se prendre à ban direct ? Notamment sur le bêta.
- Speaker #1
Il y a beaucoup de traumas sur les bannissements méta. Déjà, ça arrive moins qu'avant.
- Speaker #0
C'est vrai que ça arrive moins qu'avant, on en parle beaucoup moins.
- Speaker #1
Surtout que je touche du bois. En fait, déjà, il faut lire les poétiques. Il faut lire les règles de méta, qui sont quand même assez précis. Donc il y a les trucs, bon, armes, drogue, tout ça.
- Speaker #0
Ça tombe un peu sous le sens, on va dire.
- Speaker #1
Ensuite, il y a les promesses. Les promesses... marketing trop trop agressif tu dis ce produit vous aidera à mieux dormir ou qui te chie ce cours qui te prends tu es lire sa fin d'étude a tu pour prouver sa le robot là ça va pas te dire ça donc attention promesse attention également aux questions formulées un peu bizarrement du type c'est quand tu veux quand tu poses une question pour que l'utilisateur le lecteur se situe c'est pas un truc du genre vous êtes souvent endormi dans le métro tu fais une supposition. Ça, c'est un marketing que Facebook n'aime pas non plus. Parce que je ne pourrais même pas expliquer trop pourquoi, mais il n'aime pas la manière dont tu es en train de mettre les gens dans une sphère. Tu es en train de poser des fausses questions. Donc ça, il n'aime pas. La nudité. Et quand je dis nudité, c'est même la nudité bien placée. Tu fais de la pub pour un shampoing et tu as un humain de dos. en train de shampooiner, et elle a son dos nu. Ça peut être un problème pour mettre un... C'est un algorithme, c'est un robot, il peut d'un coup dire, OK, ban.
- Speaker #0
On a eu, d'ailleurs, je te coupe, un client il y a 3-4 ans, très très bon client d'ailleurs, deux associés. Et on les a perdus d'ailleurs, parce qu'ils ont eu un ban définitif, ils n'ont jamais réussi à... Alors ils vendaient en fait une sorte d'huile essentielle, et ils avaient fait une publicité eux-mêmes d'ailleurs, avec des gens de leur famille, et c'était la maman qui massait son genou en gros plan, mais en fait juste un genou, elle massait qu'un... Ban, nullité. Jamais réussi à récupérer leur compte, et ça a coulé leur business. En tout cas, c'était un con comme ça.
- Speaker #1
Bien sûr. Il y a plein de trucs comme ça qui peuvent être sujets à des bannes directes, pareil pour tout ce qui touche à la santé, etc. Maintenant, il faut savoir que tu peux faire la même pub que celle qui a été envoyée. Là, tu fais la même pub, mais avec un compte plus vieux, avec une confiance qui est déjà installée et ça passe. C'est aussi ça, c'est que du coup, il y a des stratégies où tu chauffes les comptes, tu dépenses sur des pubs qui ne sont pas du tout tendancieuses, des pubs où le marketing est même mauvais presque. C'est ça. dans l'unique but de chauffer le compte et de gagner de la confiance et de faire en sorte que ça fonctionne bien. Moi, je ne suis plus sujet au ban parce que mon compte est super ancien. Et je gère tout un tas de business managers. Et donc, c'est sûr que pour avoir un ban, il faut vraiment que je dépasse les bandes. Et pourtant, j'ai des clients qui veulent pas... Enfin, des clients, des prospects qui décident après, oui, je vais lancer ça de mon côté, etc. Ils lancent ça de leur côté sur leur environnement publicitaire. Ban direct. après du coup ils sont dépourvus ils se font qu'est-ce qu'on peut faire je leur dis montrez-moi vos pubs, je vois leurs pubs je fais moi sur mon BM ça passe parce que c'est ok, c'est pas sorcier du coup ils viennent sur mon environnement publicitaire et ils profitent du fait que mon environnement publicitaire est très très très installé et donc petite solution pour ceux qui se font bannir effectivement ce qu'il faut faire en fait c'est recommencer de A à Z un environnement publicitaire ou alors aller sur un compte d'un proche mais en gros il faut un nouveau compte perso idéalement qui a de l'ancienneté, ça marche mieux, donc effectivement approche. Et depuis ce compte perso, crée un nouvel espace professionnel. Et dans cet espace professionnel, crée une nouvelle page Facebook, une nouvelle page Insta, un nouveau compte publicitaire, idéalement une nouvelle carte de paiement, pas celle qui était sur la mission.
- Speaker #0
C'est important aussi.
- Speaker #1
Un nouvel écosystème pour que Facebook ne puisse pas détecter qu'en fait c'était vous. Parce que si vous avez une pièce du puzzle qui était dans le compte banni, qui se retrouve dans le nouvel environnement publicitaire, vous allez avoir un ban avant même de lancer la pub. C'est en mode, ah non, je vous ai. tu as essayé de me dire que nous voilà je vous connais donc ouais les bannes les bannes pour des trucs qui sont qu'il faut éviter après il ya de la justice faut le dire l'injustice les bannes et les bannes qui sont pas mérités des gens qui ont des pubs qui sont très legit qui hop là le bannent donc il faut vous Il faut aussi faire avec et quand ça vous tombe dessus, il faut parler avec le support aussi. Déjà, dans un premier temps, des fois, ça se débloque. Surtout maintenant. Il y a eu une époque où c'était horrible. Aujourd'hui, quand même, avec Facebook, je trouve qu'on communique plus facilement. S'il y a un ban qui n'est pas legit, il faut parler avec eux.
- Speaker #0
Et comment ça s'explique que ça s'améliore ? Parce que c'est vrai que j'avais entendu des gens dire oui, mais bon, c'est parce qu'en France, Facebook, ils ont perte de vitesse, etc. Donc, ils sont un petit peu plus light, on va dire. Mais Facebook reste quand même quelque part le… le réseau social numéro un au monde. C'est-à-dire que même si en France, on l'utilise moins qu'avant, c'est vrai, il y a quand même énormément de pays où on l'utilise énormément. Est-ce qu'ils ont cette perte de puissance ? On va annoncer ? Non,
- Speaker #1
pas pour moi. Moi, à mes yeux, c'est juste qu'ils ont eu un problème de dropshipping. Ils ont eu un problème de service de merde. Pendant longtemps, ils ont voulu se débarrasser des dropshippers. Ça a été le premier point. Du coup, ils ont dit qu'il fallait qu'on banne tous ceux qui sont un peu chelous. En faisant ça, ils ont banni même des grands annonceurs. En fait, ils ont fait de la merde à ce niveau-là. Et ça a posé pas mal de problèmes. Et je pense qu'aujourd'hui, ils ont juste mis leur ticket d'entrée plus élevé, c'est ce qu'on disait tout à et que c'est beaucoup plus exigeant de pouvoir se lancer. Ce qui fait qu'on ne peut plus se lancer et être rentable sur Meta avec 500 euros. Et donc en fait ça fait le tri. Tous les annonceurs pas sérieux qui n'ont pas de budget, qui du coup, s'ils n'ont pas 1500 euros à mettre sur la c'est qu'ils un business solide. S'ils n'ont pas un business solide, du coup, c'est que c'est du dropshipping ou un truc de cet ordre-là. Et donc, je pense qu'ils font le tri comme ça. La barrière à l'entrée est plus élevée. Et si jamais tu as un service de merde, ça va se voir dans les questionnaires qu'ils envoient à leurs clients. Et donc si ça se voit que tu as un service de merde, tu vas avoir des coûts qui vont monter. Si tes coûts montent, tu seras plus rentable. tu finis par arrêter de diffuser. Donc ça fait le tri sans bannir. et ils prennent ton poignon en plus.
- Speaker #0
Et qu'est-ce que tu penses des comptes d'agence ? Puisque c'est vrai qu'il y a beaucoup de gens également, d'ailleurs des gens, des agences qui sont basées la plupart du temps à Bali, je ne sais pas pourquoi, précisément à Bali, proposent également des solutions pour les comptes qui sont bannes, donc soit des solutions pour débannir le compte, et en général, ils proposent également des comptes d'agence, qui serait donc le secret. infaillible pour ne plus avoir de ban ?
- Speaker #1
Alors ça dépend comment est fait le service en fait, je pense qu'il y a déjà beaucoup d'arnaques, donc déjà gros warning là-dessus, il y a beaucoup de gens qui proposent un service comme ça, qui est un peu bidon, donc il faut faire attention, ce serait le premier point je pense. Ensuite il y a quand même forcément des gens sérieux, qui sont vraiment là pour répondre à cette problématique, je pense que du coup ils t'hébergent. A priori, tu vas créer ton environnement publicitaire dans un environnement qui est ancien, qui est le leur. Typiquement, c'est ce que j'expliquais sur mon environnement. Mon environnement à moi, il est tellement solide.
- Speaker #0
A priori, je pourrais proposer ça, dire faites votre business chez moi. Ce n'est pas déconnant. Après, il faut comprendre ce que ça veut dire aussi. Ça veut dire qu'il y a certaines entités de votre business qui appartiennent. alors business manager votre page facebook ou votre page insta parce que c'est dissocié mais votre page facebook appartient leur appartient vos comptes publicitaires avec votre data votre pixel et tout et ça c'est comment dire c'est pas chiant quand tu performes comme tout va bien avec eux si un jour tu dis plus avec eux ils ont un moyen de pression si tu veux revendre ton business ben t'as pas t'es pas propriétaire en fait de ces ressources là donc il faut que tu passes par eux pour qu'ils fassent les transmissions de propriété Donc ça a des éléments chiants. Maintenant, ça peut débloquer des situations. Mais je pense qu'avant de passer par ce type de solution, il faut d'abord essayer de passer par le compte Facebook de sa maman, de son papa, de son frère, d'un ami, pour que ça reste dans ton réseau et que la propriété reste accessible à ton niveau.
- Speaker #1
D'autant que pour atteindre la fameuse rentabilité qui est déjà difficile à aller chercher, si en plus on passe par un service de compte d'agence, l'agence prend également sa commission qui se rajoute au budget publicitaire et donc ça peut aussi être encore plus complexe, grave, pour être rentable.
- Speaker #0
Oui, tout à fait. En plus, encore une fois, si vous êtes légitime, si vous avez un business de merde, on va passer par des chemins détournés, mais si vous êtes légitime, avant toute chose, parlez au support. S'il n'y a vraiment aucune raison que vous soyez banni, démerdez-vous pour avoir quelqu'un au téléphone si vous n'avez pas quelqu'un au téléphone allez sur LinkedIn, trouvez des gens qui bochent chez Facebook France, allez dans les bureaux en fait si vous êtes légitime vous n'avez rien à perdre si vous êtes un dropshipper et que ça a été cramé par Facebook que vous êtes en train de vendre un truc et tout pourri bon bah... et si vous avez fait une levée de fonds, vous avez une startup vous avez un produit novateur et vous avez respecté les règles publicitaires et vous avez pris un ban Non mais parlez à un humain. C'est des merdes à vous, parlez à un humain et ça va bien se passer. C'est surtout ça. Le problème, c'est les bannes légitimes. Les gens qui se mangent des bannes légitimes mais qui veulent quand même faire du business. Du coup, il faut passer par des chemins détournés. Mais du coup, comme tous les chemins détournés, ça peut être risqué.
- Speaker #1
Est-ce qu'il y a des secrets que seules l'expérience peut donner que les gourous du marketing tels que toi, les gourous du media buying plutôt, ne veulent pas dévoiler et que tu pourrais dévoiler aujourd'hui en disant j'ai quand même deux ou trois trucs qui font qu'une campagne va vachement plus performer qu'une autre parce que j'applique ceci ou cela Ou alors non, il n'y a pas de secret. C'est juste une compétence technique, plus, comme tu disais tout à l'heure, des créatifs de qualité, c'est tout.
- Speaker #0
Je pense que la plus grande force qu'ont les médias bailleurs, c'est d'être en capacité de comprendre ce qui est en train de se passer à un moment T. En fait... La puissance du média payeur, c'est la compréhension du scénario qui se dessine. Donc, quand tu lances des pubs, quand tu lances tes campagnes, derrière, toi, tu fais du paramétrage, ton expertise, tu essaies de faire un truc que tu connais, une stratégie qui a déjà apporté des résultats. C'est ça que tu fais. Donc déjà, un bon média payeur, c'est parce qu'il a de l'XP. Donc, il se dit, cette stratégie-là, je l'ai essayée pour un projet un peu similaire. Ça a apporté des résultats, donc je vais déployer la même stratégie. Et vu que tu as de l'XP aussi, tu te dis, si cette stratégie ne fonctionne pas, je vais faire une autre stratégie, etc. Donc, toujours ce recul qui fait un bon média payeur. Et en fait... C'est ce truc-là où en fait tu lances un truc. Tu vois comment réagissent tes chiffres, tes KPI, et t'arrives à te projeter dans un scénar. Il y a OK, je sais ce qui est en train de se passer, et ça te permet de dire, on continue comme ça, parce que ça se passe bien. Ou alors, on ne va pas parler parce que c'est en train de mal se passer. Car un mauvais média bailleur, il va juste se fier à deux métriques, c'est coût par achat et ROI. Ce sont des métriques qui sont importantes. Mais tes CPM, tes CTR disent beaucoup de choses aussi, surtout au début. Et du coup, au début, quand tu n'es pas rentable, quand tu ne génères pas encore suffisamment de ventes, etc., il faut que tu sois en capacité d'identifier si tu es dans un bon scénario, genre si tu es dans la bonne direction, ou si jamais tes CPM sont trop élevés. Il n'y a pas si longtemps, enfin, il n'y a pas si six mois maintenant, on a un client. qu'on a accompagné, il se reconnaîtra, Meta faisait des grosses mises à jour à ce moment-là, dans son algorithme, je lance les publicités, et il y a un scénario qui se dessine que je n'ai jamais vu. Je lance les pubs, les CPM sont super élevés, je ne comprends pas pourquoi, il n'y a pas de raison apparente, les créatifs correspondent à des choses que j'ai déjà lancées sur d'autres marques, etc. Le site est bon, et typiquement, c'est là, dans ces moments-là, où moi je suis dépourvu en tant que médiabayer. et où je suis,
- Speaker #1
waouh,
- Speaker #0
je sais pas quoi faire. J'essaye des trucs malgré tout et tout, qui correspondent à des scénarios un peu similaires, mais j'avais jamais vu ce scénario-là, un truc où ça réagissait comme ça. On a arrêté le lancement quand même. Et moi, j'étais un petit peu confus, parce qu'effectivement, j'avais jamais vu ce scénario-là. On a relancé la même marque six mois plus tard, avec une stratégie similaire. Là, aujourd'hui, ça en a un peu plus de moi. Hier, on a fait 500 euros. Et bien, typiquement, Mettons que dans 3-4 mois, il y a à nouveau des mises à jour méta, je lance de la pub pour un client et il y a ce scénario-là qui se dessine. Je ne serais pas confus comme j'étais aujourd'hui, écoutez, je ne sais même pas quoi vous dire. Je pourrais vous dire, ok, non, c'est bon, c'est clair. Il y a l'algorithme qui est en train de faire des... ils sont en train de mettre à jour l'algorithme, ils sont en train de mettre à jour le back-office. Lancer des nouvelles pubs maintenant, ce n'est pas risqué, c'est risqué, ce n'est pas bon, l'outil est broken. Je ne pouvais pas affirmer ça avant. Je n'avais jamais lancé de nouvelles pubs dans une période comme ça. Donc, je ne pouvais pas aider à conclure ce qui se passait. Et en fait, le bon média buyer, c'est celui qui reconnaît les scénarios. Si tu reconnais les scénarios, tu sais ce qu'il faut réparer, tu sais ce qu'il faut arranger. Si tu vois dans les KPI que le problème, c'est la créative, tu dis à ton client, il faut faire des nouvelles créatives, comme si, comme ça, on va tester ça. Si jamais tu vois que tout va bien, tu es créatif, ça clique, tu as des bons CPM, etc., mais il n'y a pas de vente, C'est le problème, c'est sans doute le prix ou le site. Les photos, la preuve sociale sur le site, etc. Et donc, le but du boom à Yabeyer, c'est de réussir à identifier ce qui est en train de se passer devant nous, et du coup, savoir où concentrer l'énergie et les efforts. C'est ça le seul grand secret, c'est de comprendre ce qui est en train de se passer, pour prendre des décisions cohérentes par rapport à ce qui est en train de se passer. Si tu ne comprends pas... Tu paniques. Je suis juste pas rentable. Si jamais ta synthèse, c'est je suis pas rentable, qu'est-ce que tu fais ? Là, ça va être émotionnel. Il y en a plein qui font n'importe quoi à ce moment-là. Non, mais je pense que notre prix, il est pas bon, etc. Ça se trouve, ils n'ont même pas de clics. Moi, je me rappelle de 5 clients, effectivement, le problème, c'était les pubs, ça cliquait pas. Et ils commencent à tout refaire, le site et tout.
- Speaker #1
Je change ça,
- Speaker #0
je change ça, je change ça. Vous n'avez pas de trafic, factuellement. Si vous n'avez pas de trafic, vos campagnes ne s'optimisent pas. Si elles ne s'optimisent pas, elles ne ciblent pas correctement. Si elles ne ciblent pas correctement, vous avez du trafic même pas qualifié. Avant d'aller tout surbouler le site, il faut savoir si le chemin qui... On avait fait une métaphore de la maison. Avant d'aller démolir la maison pour tout reconstruire, peut-être juste mets des panneaux sur le chemin. Parce qu'en fait, si les gens ne viennent pas dans ta maison, dans ta boutique et tout, c'est parce que tu n'as pas les panneaux sur le chemin. Enfin, en gros, c'est pas... Là, c'est exactement pareil. Si jamais tu penses que tu n'es pas rentable parce que ton site est mauvais, alors qu'en fait, c'est juste tes pubs qui ne font pas cliquer... Bon bah tu peux refaire ton site autant de fois que tu veux, ça changera rien. Ça changera rien.
- Speaker #1
Et alors le fait que justement les algorithmes aussi de Meta, les algorithmes même de Google également, sont de plus en plus complexes malgré tout, est-ce que tu n'as pas peur aussi que prochainement l'IA, simplement, devienne un bien meilleur expert en Media Buying que les experts tels que toi par exemple ?
- Speaker #0
Bah moi ça ne me fait pas peur, on en a parlé dans un autre podcast, il y a ce côté consultant. Ce côté consultant, c'est que l'IA, s'il y a peu... automatiser mon métier, mais tant mieux. Si jamais, effectivement, j'ai plus à faire tout manuellement, tant mieux. Par contre, je pense qu'il faudra toujours quelqu'un pour avoir un oeil sur ce qui se passe et dire, OK, l'IA, elle fait ci, elle fait ça, elle fait ci, elle fait ça, pour telle raison et telle raison. Est-ce qu'elle a raison ou pas ? tu vois, ok, je vais te donner un feedback et tout. Encore une fois, identifier les scénarios qui fonctionnent et tout. Et si ce n'est pas le cas, en fait, si l'IA est très performante au côté technique, déploiement, derrière, moi, je me reconcentrerais uniquement sur la partie créa. Bon, les créas qui fonctionnent, c'est ça, c'est plutôt ça, du coup, tu peux aussi accompagner tes clients, enfin, les gens qui font du media buying avec tes services, sur la partie créative.
- Speaker #1
Et ça, c'est difficile à remplacer par une IA malgré tout. L'analyse des créatives, les conseils à donner pour des meilleurs créatifs, qu'est-ce qui va attirer plus l'attention, etc. C'est quand même un peu plus difficile, je pense, aujourd'hui pour une IA, de reconnaître et de conseiller.
- Speaker #0
Ouais.
- Speaker #1
En dehors de cet exemple, avec cette campagne qui a totalement échoué, parce qu'elle a été produite, lancée plutôt à un moment où on était dans une refonte chez Google des algorithmes. Est-ce que tu as une campagne en tête ? Alors ça peut être une campagne pour tes propres sites ou des sites de personnes qu'on a accompagnées, qui s'est totalement foirée, et pour une raison que tu as identifiée, et justement tu en as tiré, je dirais, une conclusion après, ou alors justement ça a changé ta manière de faire, mais un truc qui s'est totalement foiré.
- Speaker #0
Ouais, il y a quand même beaucoup de fois où... En fait c'est souvent par manque de... de taf ! Moi, j'ai des gens que j'accompagne en media buying. Sur le lancement, ils me disent Oui, on a préparé ça, on a préparé ça, on a préparé ça. Ils veulent lancer de la pub. Ils ont une bibliothèque de créatives. Et en fait, c'est assez pour un point de départ. Je dis On va lancer ça et tout. Mais le problème des créatifs, c'est qu'il en faut toujours plus. Il faut alimenter. Et des fois, le client arrête de produire. Parce qu'il n'a plus le temps, parce qu'il n'a pas compris les enjeux. Il pensait qu'avec cinq vidéos et trois photos, ça irait pour l'année.
- Speaker #1
C'est toujours un problème de compréhension des clients par rapport à ce niveau-là.
- Speaker #0
Pourtant,
- Speaker #1
on le répète constamment, c'est vraiment le nerf de la guerre, le nom de créative à lancer. Il faut vraiment que vous ayez un budget équivalent, à mon sens, entre la... Pardon, j'interviens aussi dans ta discussion, mais je pense qu'on sera d'accord là-dessus. Il doit y avoir un budget équivalent, en fait, entre le budget à déployer dans l'acquisition et le budget dans la création de créative, que ce soit vous. qu'il le fassiez vous-même ou que vous déléguez effectivement ce service à une agence, etc. continuellement des nouvelles créatives. Tester, tester, tester, c'est vraiment aujourd'hui. Et c'est vrai qu'on a beaucoup de gens encore, on a beau leur dire, ben voilà, ils vont faire une vidéo ou deux, deux, trois créatives, bon c'est bon les trois, tranquille, quelques mois. Ils ne comprennent pas après qu'effectivement, ben non, mais ça diminue. Et il faut toujours les pousser au cul pour en refaire des nouvelles. Ça emmerde tout le monde, j'ai l'impression, ils ne comprennent pas. Ils mettent du budget là-dedans.
- Speaker #0
Un peu, c'est un peu ce truc où, comment dire, ils sont... Toi, tu peux faire six créatives bien réalisées, factuellement, et aucune des six ne prend rien. Si ton média bailleur, s'il est doué, qu'il arrive à te dire qu'en fait il y a du green flag, en gros, on est sur la bonne voie, mais juste il n'y a aucune des créatives qui apportent de la renta, et bien des fois, tu as des clients qui vont être bah non, mais moi je ne vais pas remettre un budget dans les créatives alors que là vous n'avez pas réussi à en faire marcher une. Là cette phrase, vous n'avez pas réussi à en faire marcher une. C'est vraiment qui décide si une créative elle marche ou pas. Moi ma méthodologie, elle fonctionne. Pas peur de le dire. Ma méthodologie, elle fonctionne. Sinon je n'aurais pas des gros clients, sinon je n'aurais pas moi des gros résultats sur mes sites. Donc ma méthode, elle fonctionne. et le problème c'est que justement moi même sur mes sites j'ai la production continue de créative et des fois alors que c'est mon métier je peux avoir dit créatif de suite qui sont créés qui sont publiés qui sont envoyés qui performe pas mais quand on a une qui se démarque tu tires beaucoup de conclusions et elle va tourner pendant un temps et en fait c'est ça donc des fois j'ai cette phrase là oui vous avez envoyé six pub n'a pas une clé qui a pris oui c'est un beau constat maintenant si vous voulez qu'on continue il ya des très bons indicateurs qui laisse entendre qu'effectivement sur ce business pas en fait c'est du potentiel maintenant on n'a toujours pas trouvé la recette au niveau de vos créa et en fait il ya que en testant qu'on finira par trouver le truc et moi ma plus grosse boutique en perso qui faisait qui fait pardon 5000 euros par jour cette boutique-là, les quatre premiers mois, c'était du déficit. Et ça, les gens ont du mal à le capter. Quatre mois de déficit, maintenant ça fait quatre ans qu'elle tourne. Mais bien sûr que sur les quatre premiers mois, j'aurais pu dire oui, bon, ça ne marche pas, ça ne marche pas. J'arrête. Mais par contre, on a fini par identifier les produits gagnants et les axes marketing créatifs gagnants. Et maintenant, on duplique, on crée des choses similaires. On dit ok, ça, ce format-là fonctionne, faisons ce format-là, je ne sais pas, un format micro-trottoir, faisons ce format micro-trottoir. Et donc, bah oui, des fois, il faut quatre mois pour trouver la recette, des fois, il faut six mois, des fois, il faut deux jours. Ta première pub, ça peut être ta pub gagnante.
- Speaker #1
On l'a vu avec deux personnes qui sont sur des produits relativement similaires, dont les sites ont été lancés plus ou moins en même temps, et dont l'un, ça a finalement très bien fonctionné d'entrée de jeu, alors que pourtant, c'est pas forcément quelqu'un qui se tue à la tâche, non plus dans la production de créatifs, mais il a eu cette chance d'avoir un créatif qui a très bien marché.
- Speaker #0
Dans la première livraison, directement, deux créatifs gagnants.
- Speaker #1
Alors que l'autre, objectivement, ses créatifs, quand je les regarde, elles en sont pas moins bonnes. Mais, il n'y a pas eu cette... Cette magie, il y a quand même encore un côté mystérieux, c'est à dire je pense qu'on peut analyser quels sont les créatifs qui marchent mieux. Celle ci marchera mieux. Il y a des patterns, effectivement, mais après, il y a quand même un peu de magie. Grave chose qui va s'exercer, je ne sais pas.
- Speaker #0
Mais le mannequin,
- Speaker #1
la personne,
- Speaker #0
simplement l'interprétation du mannequin, le rythme et tout. Il y a plein de petites choses qu'on peut les dire, on peut les mettre sur un cahier des charges, on peut les lister. Et souvent, quand tu passes, quand tu passes par une agence, on les liste. Les impératifs maintenant, entre ce qui est listé et ce qui va être délivré, c'est subjectif comme taf. Donc oui, tu peux avoir des créatifs qui performent factuellement mieux que d'autres, alors que tu ne comprends pas pourquoi parce qu'ils ont été… En termes de rendu, tu te dis que c'est la même chose. C'est comme ça.
- Speaker #1
Ok, on va clôturer cette question-là. Petite question encore. Qu'est-ce que je m'étais noté ? Je vais te poser quelques questions. Oui, si, si, parce que c'est vrai qu'on avait parlé de ça il y a quelques temps par rapport à Google Ads, notamment. Justement, est-ce que les nouvelles préoccupations en termes de vie privée, et surtout les régulations qu'on nous impose en termes de vie privée, RGPD, etc., c'est un impact forcément négatif, je dirais, pour les annonceurs et pour les médias d'ailleurs ? Et est-ce que tu peux nous parler un petit peu de ce qui se passe sur Google, justement, depuis quelques semaines, et qui ralentit un peu le taux de conversion ?
- Speaker #0
Je pourrais difficilement en parler aussi bien que Félix, mais pour faire un résumé, du coup... l'Union Européenne met des pressions à Google sur trucs RGPD. Notamment les cookies à accepter. C'était déjà le cas, les sites étaient obligés.
- Speaker #1
Ça nous emmerde bien. D'accord, d'ailleurs, qu'on va sur un site, d'accepter les cookies, c'est emmerdant au possible.
- Speaker #0
Je suis bien d'accord avec toi. Et donc à ce truc là, où du coup, pour dire les cookies, peut-être qu'est-ce que c'est, finalement c'est les événements en fait. Si tu acceptes les cookies et que tu es venu en cliquant sur une pub Google, Google va pouvoir savoir que tu as acheté, et donc faire remonter ta vente dans les campagnes, et donc la campagne va comprendre. ton pattern justement, le pattern des acheteurs, etc. Donc en gros, le fait de pouvoir traquer les événements de nos clients nous permet d'être de plus en plus performants et de plus en plus précis avec nos outils publicitaires, Google Meta, etc. Le fait maintenant que les utilisateurs du coup peuvent dire Bon non, je ne veux pas être traqué ça fait qu'en fait on a une perte de data et de compréhension de qui est l'avatar client et donc nos outils sont moins précis. Donc, il y avait beaucoup de nos clients, soit parce qu'ils ne sont pas en Europe, soit parce qu'ils le fraudent tout simplement. Ils ne mettaient pas à se bandouiller RGPD. La grande majorité des e-commerceurs qui ne sont pas sur des grosses marques ne le mettent pas. parce que personne ne vient te faire chier en vérité. Sauf effectivement dès que tu fais du volume. Mais dès que tu fais du volume, dès que ton business est bien installé, bon bah tu mets ton bandeau, voilà, c'est comme ça. Là effectivement du coup maintenant c'est obligatoire, non pas au niveau de la loi, ça c'est déjà le cas depuis longtemps, mais maintenant Google s'est mangé une pression et impose à ceux qui veulent utiliser Google d'utiliser les bandeaux RGPD. Donc accepter les cookies, etc. Donc pour ceux qui étaient déjà en règle, ça ne change rien. c'était très bien, c'est ok, ils avaient déjà ça. C'est même mieux, parce que du coup, si Google est obligé de l'imposer, ils vont le faire mieux, ils vont mettre en place des choses pour mieux remonter la data malgré le fait que des gens disent non. Leur algorithme va s'optimiser en conséquence parce que maintenant, ils savent que tout le monde est obligé. Par contre, du coup, pour les business qui, jusqu'à maintenant, traquaient 100% des événements parce qu'ils ne demandaient pas aux gens si oui ou non, il fallait accepter les cookies, et que là, du coup, ces business-là doivent se mettre à jour. Donc c'est le cas de certains clients, c'est le cas de certaines personnes de certains e-commercements qu'on connaît. Là, c'est un problème parce que d'un coup, les campagnes remontent que la moitié des ventes. Du coup, tu as un problème d'attribution parce que tu ne comprends pas d'où viennent tes ventes et tes campagnes s'optimisent moins bien parce qu'elles ont moins de data. Et puis ça vient parasiter aussi, au passage, du coup, comme tu disais, l'expérience utilisateur avec une notification, un bandeau, accepter les coups qui apparaissent. Donc ça, même ça, ça peut faire baisser le taux de conversion juste de manière factuelle parce que tu parasites. Il y a tous ceux qui savent ce que c'est. Tandis que ça va rassurer même. savent ce que c'est, ils ont un souvenir et tout. Mais tu en as aussi plein qui savent même pas ce que c'est, qui sont juste en train de voir, il y a des pop up qui s'ouvrent, qui partent. C'est un engagement. Parce que c'est vrai que c'est agressif. Ça peut être fait de manière huide sur le site, mais malgré tout, c'est un pop up qui apparaît et qui te pose des questions.
- Speaker #1
Puis il y a ceux aussi également qui vont cliquer sur non, je veux pas être suivi. Je veux pas. Voilà, parce qu'après tout, ils savent pas ce que c'est. Même la plupart des gens savent pas ce que c'est. Mais autorisez vous. Tu te dis mais qu'est ce que ça cache ? Je n'ai rien autorisé du tout. Moi, je n'autorise rien. Donc tu perds également. De toute façon, c'est bien que l'Europe ne va pas de toute façon dans le sens de l'entrepreneuriat, des entrepreneurs du commerce en général. Par contre, à côté de ça, ce qui m'agace, c'est que on ne régule absolument pas les coups de téléphone incessants qui arrivent tous les jours. Et là, franchement, l'Europe est où ? Pourtant, c'est bien plus intrusif dans la vie des gens d'avoir des coups de fil. Moi, j'en ai, je peux en avoir 10 par jour. Des 0,4, des 0,5, des machins, des trucs.
- Speaker #0
Tu réponds à personne en plus.
- Speaker #1
Voilà, tu réponds à personne. personne, c'est un répondeur d'ailleurs je n'en réponds plus en général quand je vois un numéro comme ça d'un département qui est autre que le mien et je bloque, et plus tu bloques et plus il y a des numéros qui apparaissent et c'est un supporteur mais là pareil, c'est vrai que c'est pas un combat pour l'Europe et je trouve ça pourtant bien plus intrusiste, bien plus emmerdant pour l'envie des gens que la RGPD mais enfin bon, ça c'est un autre débat moi je suis particulier,
- Speaker #0
chacun a son opinion là-dessus Et moi, typiquement, je préfère avoir des pubs ciblées. Tu vois,
- Speaker #1
je le répète, mais moi aussi,
- Speaker #0
je suis bien content d'avoir des pubs que pour des outils. Tu vois, j'ai que des pubs pour des outils publics, pour des outils soit publicitaires, soit des outils de gestion, soit des outils qui me concernent, tu vois, des trucs d'entrepreneurs. Et je suis content d'avoir ces pubs-là. Parce que c'est de la pub, de trucs, de services, de produits qui m'intéressent. Donc, effectivement, moi, les cookies, je les accepte. Je dis oui, mais bien sûr, ciblez-moi avec des trucs qui me correspondent. Ne me ciblez surtout pas parce que vous ne commencez pas à essayer de me vendre des trucs de golf. J'aime pas le golf. Là, c'est à un moment donné...
- Speaker #1
d'un client autant dans le goût montre de ça c'est quoi c'est quoi les tendances actuelles en termes de créatifs seulement qui performe toi qui t'ont qui c'est tout pas tout à l'heure je parlais du micro-totoir c'est
- Speaker #0
ça ça par forme pas mal c'est donc des micro-tropoirs bien sûr orientés et montés pour faire une pub un truc un peu un peu transactionnel et tout mais ouais tu as tu as tu as les micro-tropoirs qui fonctionne pas mal tu as toujours les vidéos UGC vidéo je sais du coup c'est des gens facecam qui s'exprime et qui vont témoigner d'une utilisation etc ça ça performe beaucoup nous on a on a quand même, là je caricature, le témoignage c'est la vidéo UGC de base, mais tu peux faire plein de vidéos UGC, mieux tournées, qui ont des scénarios, qui en tout cas mettent en scène souvent une personne, qui va avoir une relation avec l'entreprise, avec le produit, avec le service, tout ça est mis en scène, et le but c'est de suivre des choses on va dire un peu standards, il y a un hook au début, trois premières secondes, qui est hook visuel et hook sonore, donc c'est choquant visuellement, et c'est choquant au niveau du son qu'il y a. surprenant, apte en attention. Tu vas avoir de l'éducation, souvent, autour du produit. On va bien le mettre en scène, voir ce que c'est, pourquoi lui. Derrière, tu vas avoir un call to action. Tu vas aussi avoir des inserts de social proof. Donc, typiquement, des témoignages, des captures d'écran, de gens qui en parlent, etc. Voilà, tout ça, c'est des constructions qui fonctionnent bien. Maintenant, typiquement, c'est pareil, c'est juste une image carrée. peut avoir des gros résultats aussi. Je pense que plus qu'un format qui fonctionne bien, il faut avoir une méthodologie, autant de créatifs publicitaires, à savoir du coup, de la diversité dans tes pubs. Il faut de la diversité pour pouvoir tester beaucoup de choses. Une stratégie d'espionnage des gens de ton marché. Les gens qui performent sur ton audience, sur ton marché, qui font déjà de la créa. faut que tu fasses des créations similaires, faut que tu testes. Si ça fonctionne pour eux, il y a de grandes chances que ça marche pour toi. Donc c'est plutôt ça la méthodologie. Parce que les formats là aujourd'hui, par exemple, aujourd'hui, là, si on parle maintenant, le micro trottoir est un format qui fonctionne bien. Mais dans deux mois, ça ne sera peut être pas ça. Mais ça ne sera peut être pas si. Donc il faut rester ouvert, toujours avoir de la créativité et toujours produire plus et regarder ce qui se fait. Rester en veille et et produire et donc mettre en place une un process de production soit en interne, soit après après d'un prestataire. Mais il faut un process de construction, de production de créatifs publicitaires. Si vous n'en avez pas, le media buying sur Facebook, c'est mort.
- Speaker #1
Et est-ce qu'on peut quand même avoir des campagnes qui tournent, sans être, sans risque de ban, en étant rentable, avec des pratiques un petit peu touchy, un peu borderline, quelque chose qui soit, qui accroche comme ça, c'est tu joues un peu, mais bon, ça passe quand même. Est-ce que ça peut être un exemple de ça ?
- Speaker #0
Tu peux, on a un client qui... qui a fait un format média. Bon, pour ne pas citer le média, je vais plutôt en citer plein. Si on prend la direction artistique, des vidéos combini, brutes, qu'est-ce qu'on a d'autre ? Tu as des idées de médias comme ça, qui font des trucs sur les réseaux sociaux ?
- Speaker #1
Tu as cité... Combini, brutes,
- Speaker #0
aussi. Ils ont un format très singulier d'entités, on les reconnaît. Tu peux avoir d'autres entités comme ça, qui ont une DA très identifiable, et en fait tu crées des pubs pour ta marque qui ont la même des a typiquement pour prendre l'exemple de brut ça serait donc la manière de filmer de brut avec le logo en bas quoi qu'on est seul donc c'est un truc reconnaissable identifiable et donc si tu envoies ce type de choses face et border mais facebook le verra pas ces borders et les pratiques un peu voilà facebook le verra pas enfin priori peu de chance donc tu peux tu peux avoir des pratiques un peu bizarre qui sont très performants qui peuvent performer en termes de résultats et ne pas te faire bannir pour autant un autre truc mais qui est de moins en moins accepté par google c'est ce qu'on appelle les campagnes agressives c'est envoyer une annonce ta marque sur le mot clé du nom de marque de tes concurrents Tu vends des cosmétiques pour hommes.
- Speaker #1
C'est bien connu, ça.
- Speaker #0
Et quand les gens écrivent Horace, ils tombent sur ta marque. En premier, sponsorisé. Alors qu'ils ont écrit Horace. En fait, tu as tout un tas de personnes qui cliquent sur le premier lien, parce qu'en plus, tu peux écrire même dans ton copie ad Google, même limite le nom de la marque. Je ne suis pas sûr que ça passe très longtemps, mais tu peux être très border pour vraiment laisser entendre que le premier lien est le bon lien. Et en fait, du coup, tu capitalises sur le trafic et la notoriété de tes concurrents avec des coûts par clic. pour ces pubs là qui sont très bas parce qu'en fait c'est pas une requête tu vois très recherché fin si mais la personne qui diffuse dessus tu diffuses sur une requête voilà sur oras sur sur la coste j'en sais rien tu diffuses sur sur des concurrents directs en fait du coup effectivement tu as des trafics est qualifié quoi si quelqu'un va sur oras pour acheter
- Speaker #1
une crème de visage et que tu te positionnes et que tu vends des crèmes de visage c'est plutôt bien pensé c'est limite mais effectivement c'est des choses qu'on voit déjà qu'on voit régulièrement malgré tout je ne veux
- Speaker #0
pas dire que je le pratique ou que je l'ai pratiqué mais voilà
- Speaker #1
On va passer, je pense, à une conclusion. Je pense que c'est pas mal, on a déjà fait le tour. La question m'est déjà bannie. Alors si vous avez des questions peut-être plus précises que vous aimeriez qu'on aborde, c'est vrai, là encore une fois, c'est vraiment un tour d'horizon un petit peu de ton métier, des spécificités de ton métier. Mais je pense qu'il y a des points qui pourraient être beaucoup plus approfondis. N'hésitez pas à nous le dire en commentaire si vous avez des questions plus précises. que vous voudriez qu'on aborde. Mais finalement, pour conclure, tout simplement, alors je pense que tu vas plus ou moins paraphraser ce que tu as peut-être pu dire dans le contenu de ce podcast, mais quels sont les conseils que tu aurais à donner à quelqu'un qui débute et qui n'a pas forcément un budget énorme en media buying et qui, du moins, ne peut pas encore passer par les services de quelqu'un comme toi, d'une agence comme la tienne, qui veut aussi apprendre, justement, à se débrouiller avec un outil, qui voit pas tout, c'est une compétence technique avant tout, et après c'est une compétence C'est plutôt le résultat d'une expérience, je pense, de compréhension justement du media buying, mais surtout des créatives. Qu'est-ce qui va fonctionner auprès de l'audience par rapport à la thématique de produits, etc. Quels sont les conseils que tu peux donner pour conclure à quelqu'un qui se lance avec un budget limité ?
- Speaker #0
Déjà, il faut se former sur l'outil quand même. Il y a des formations, il y a des accompagnements, il y a des coachings. Moi, j'ai des gens que je coache. Le code ? Le code, oui. En compétence.
- Speaker #1
On n'évitait pas d'ailleurs à... Et pareil, à nous contacter, enfin à contacter du moins notre ami Hugo, qui fait des coachings à prix très abordable. Je sais qu'il y a des gens qui sont très très contents de tes coachings où je sais que tu défonces pas les gens avec des...
- Speaker #0
Si je les défonce ?
- Speaker #1
Non, pour être honnête, non, réellement. Et surtout, ce qui est bien avec toi, c'est qu'il y a un vrai suivi. Ça, c'est super appréciable. Je te laisse finir par là.
- Speaker #0
Ouais, merci, ça fait plaisir. Ça fait plaisir. Tous les liens sont dans la description, bien sûr. Mais ouais, donc déjà, monter en compétence. Monter en compétence sur le sujet, je pense que c'est important. Donc, il y a plein de manières pour le faire. Mais donc, monter en compétence. Ensuite, il faut mettre en pratique. Moi, ce que je préconise avec des élèves, c'est qu'on va faire des petits business et on va lancer du méta. Idéalement, ce sont des business typiques infoproduits. On va lancer, je ne sais pas, peut-être pas un e-book parce que ça ne marche vraiment plus. J'ai plein d'idées, mais des idées que je donne en coaching, et je n'ai pas envie de balancer leurs idées comme ça. Donne-en une,
- Speaker #1
allez. Une idée, quand même.
- Speaker #0
On a un truc, c'est pas un coaching, c'est un ami, du coup, qui fonctionne bien et il vend des promptes. Typiquement. Et donc, il se fait la main dessus. Tu n'as pas de coût produit. Il délivre un truc d'information, des promptes et tout. Et ça marche très bien pour lui, mais justement, au début, pas forcément. Parce qu'il devait lancer ses pubs, il ne maîtrisait pas très bien le truc. Mais du coup, l'expérience sur ce type de business, tu peux avoir des petits budgets et essayer de te faire la main. Au pire, tu casses un peu le prix, puisque de toute façon, tu as donné ton temps pour créer le produit. Donc, tu n'as pas besoin de marge absolument. Tu dois juste trouver le break-even avec ta pub Facebook. Donc, tu peux... Avec ce type de business, tu peux t'amuser et trouver des conclusions, etc. Et te familiariser avec l'outil. Moi, c'est ce que je préconise avant de lancer un truc très sérieux. Familiarise-vous. Enfin, il faut absolument utiliser l'outil. Créer ses premières campagnes. Paramétrer le tout. Pixel, catalogue, compte publicitaire, page Facebook, page Instagram. Tout connecter ensemble. Le moyen de paiement, on envoie les campagnes. On choisit ses colonnes, on analyse un petit peu tout ça. Il faut absolument avoir un très beau pratique avant de se lancer dans sa marque. Sinon, ça ne se passe pas. ça va être compliqué mais derrière c'est pareil ça c'est quand tu veux débuter et ensuite une fois que tu te sens à l'aise et que tu as eu des résultats avec un premier business tu peux commencer à te dire ok là je vais lancer ma vraie marque, mon vrai projet et essayer d'être media buyer moi-même même si moi je préconise quand il n'y a aucune expérience effectivement de se faire accompagner au minimum j'ai pas pas forcément de délégués parce que je suis aussi contre le fait de déléguer sans avoir touché ce moment sans comprendre sans comprendre ce qui va être fait mais ça fait à se faire accompagner faire ça à deux déployés avec voilà quelqu'un qui peut faire un feedback et tout moi je fais beaucoup d'audit aussi c'est pour ça que je dis ça et autant des fois ça sert à rien parce que je sais déjà en fait qu'on a déjà fait ça très bien je vous confirme juste que vous avez fait du bon boulot et tant mieux tu vas ça ça rassure mais des fois j'arrive et je fais là vous pouvez dépenser 15000 euros si vous voulez un ça ne marchera pas. Votre stratégie n'est pas bonne. Vos créatifs sont mauvais. Il y a des fois, il y a des audits où vraiment, au prix de mon audit, je vous ai fait économiser beaucoup de pognon. Parce que si là, le but était de diffuser pendant trois mois, vous alliez perdre un pognon monstre. C'est déjà arrivé. Je me pointe sur un truc que vous avez dépensé 15 000 balles déjà. Il n'y a pas de pixel. Juste, il n'y a pas de pixel. Et donc, ça faisait... Ils étaient à 15 000 euros dépensés. Ils ont eu des ventes quand même. Et ils disaient, ouais, je ne comprends pas trop. On en est là. On n'a toujours pas plus de ventes qu'avant et tout. Et je fais le truc et tout. Et au début, je ne comprends pas. Je fais, mais vous me dites que vous avez eu des ventes et je n'en vois pas. Ils disent, si, on a déjà vendu, je crois, 40 exemplaires, etc. je suis mais il n'y a pas d'achat et tout le biais bas voilà c'était mon père pas que j'ai mis tout à l'autre je vais voir dans les trucs et en fait oui je vois pourquoi j'ai pas d'informations vous avez pas de pixels là vous avez lancé vos pubs avec une page de destination qui est votre site aucune passerelle donc quand vous avez donc sur le site facebook le sait pas ouais
- Speaker #1
bon voilà effectivement donc la nécessité de se former avant tout avant de commencer à se lancer à mettre de l'argent un petit peu comme un trader on va dire on parlait de ça ce matin d'ailleurs le trading qui n'a absolument rien à voir évidemment, mais simplement dans la pratique. Formez-vous, formez-vous avant de mettre sur votre vrai argent. Surtout que ça va très très vite. On le sait, les budgets à mettre sont beaucoup plus importants. Tu disais tout à l'heure à peu près 40 euros au grand minimum par jour. Donc c'est quand même une certaine somme pour les personnes qui débutent. Donc formez-vous avant, faites-vous conseiller, faites-vous coacher, ça peut vous épargner. Sur le coup, ça fait mal parce qu'on se dit, mince, on va devoir payer quelqu'un pour nous apprendre le truc. Oui, mais bon. vous allez justement éviter de faire toutes ces erreurs qui vont vous coûter beaucoup plus cher que le prix d'un coaching donc c'est un conseil voilà, écoutez on va terminer ici je pense pour ce podcast,
- Speaker #0
donc bah on se dit à la prochaine fois Hugo prochain podcast, on n'oublie pas tout ce qui est pouces bleus, commentaires
- Speaker #1
commentaires, encouragez-nous s'il vous plaît nous sommes encore dans notre début sur ce podcast hors des clous mais on a des ambitions d'aller beaucoup plus loin, de faire beaucoup plus d'épisodes d'avoir beaucoup plus d'invités, puisque pour ça on en a pas eu donc beaucoup plus C'est facile d'avoir déjà des invités, on a déjà des gens qui sont intéressés, mais on a envie d'y aller aussi étape par étape.
- Speaker #0
Moi, j'ai vraiment envie, on en parlait en off, mais d'inviter des gens, alors que pour l'instant, on n'a pas encore la visibilité qu'on voudrait. Idéalement, il faut quand même que ça fasse sens pour eux, parce que les gens se déplacent, etc. Le but aussi, c'est de mettre en lumière des business, mettre en lumière des personnalités. Et c'est vrai qu'il faut forcément déjà avoir... Un intérêt.
- Speaker #1
Clairement. Donc aujourd'hui, si vous pouvez nous encourager en partageant cette vidéo, en vous abonnant, en mettant le pouce bleu, la petite cloche, etc. S'il vous plaît. Merci. C'est gentil.
- Speaker #0
Le prochain épisode, sera sur la création de contenu où on parlera justement de ce qu'on fait autour de ces podcasts avec de notre volonté. Parce qu'effectivement, on donne beaucoup, beaucoup, beaucoup de valeurs gratuitement. On partage des choses. Moi, je partage beaucoup de choses ici qui sont des choses que je parle en coaching. et donc pourquoi est-ce qu'on le fait d'où est-ce qu'on veut aller avec ça de la tournure que ça va prendre et je pense que ça peut créer de l'engouement aussi parce qu'en vérité on vous prépare de belles surprises il y a vraiment des choses qu'on a prévues qui sont vraiment pas mal pour les prochaines semaines prochains mois bon
- Speaker #1
on se dit à très vite et voilà prochain épisode bye bye tout le monde