Speaker #0Entreprendre hors des normes est le podcast dédié aux femmes entrepreneurs qui désirent faire la différence par leur différence. Je suis Anne-Valérie Rocourt. Depuis 2010, j'accompagne les femmes originales et ambitieuses qui veulent se créer une vie riche et libre par la voie de l'entrepreneuriat. Si tu désires casser les codes, créer ta propre recette du succès et développer un business florissant au service de ta vie et de la vie, tu es ici chez toi. Dans le podcast Entreprendre hors des normes, je te dévoile, avec authenticité, profondeur et humour, des stratégies audacieuses, des approches mindset décalées, et parfois même une vision perchée, pour que ton business soit ton espace d'expansion. Ici, on célèbre ensemble la puissance des femmes qui osent assumer leur singularité, exprimer leur plein potentiel et laisser leur empreinte. Bienvenue dans ce nouvel épisode du podcast Entreprendre hors des normes. Aujourd'hui, j'ai envie d'ouvrir une conversation sur le fameux million. Le fameux million d'euros de chiffre d'affaires. Et tu me connais, je vais ouvrir cette conversation sous un angle un peu particulier. Parmi toutes les entrepreneurs que je vois, celles que je côtoie, celles que j'accompagne, celles qui désirent de la croissance, Il y a deux familles. Celles qui ont de l'ambition, qui visent le million et au-delà, sans se poser tellement de questions sur est-ce que ça va être possible, est-ce que c'est pour moi, est-ce que je vais réussir. Et moi, je suis clairement dans cette famille-là. En tout cas, maintenant, je le suis. Et maintenant, surtout, je vise au-delà, puisque le million, je l'ai déjà amplement créé. Et je sais à quelles conditions ça va être possible. Autres familles d'entrepreneurs, celles qui vont viser haut et qui vont être pétries, remplies de doutes. Est-ce que c'est une illusion ? Est-ce que c'est vraiment possible ? Est-ce que j'ai ce qu'il faut pour réussir ? Est-ce que c'est pour moi ? Est-ce que je ne suis pas en plein délire ? Est-ce que je reste ancrée dans la réalité ? Est-ce que je le veux vraiment ? Alors, que tu sois dans la première ou la deuxième famille, cet épisode est pour toi. Je n'ai même pas évoqué la troisième famille, celle qui n'ose même pas rêver grand. Je prends le million comme symbole. Peut-être que pour toi c'est... 500 000, peut-être que c'est beaucoup plus comme pour moi aujourd'hui. Et si tu n'es pas à viser grand, à avoir une vision grandiose, reste dans cet épisode parce que peut-être que tu pourrais bien changer de perspective. Chez celles qui ne se fixent pas des grands objectifs ou se questionnent mille fois sur leurs ambitions. Il y a souvent deux problèmes. Bien sûr, la fameuse peur d'échouer. Et donc plutôt que d'aller risquer d'échouer, on va se créer l'échec par anticipation et la déception par anticipation de ne pas y aller, pour se protéger. Et puis la deuxième chose, que je connais bien, c'est le sentiment de ne pas maîtriser le chemin. Si tu es comme moi, et c'est tellement le cas de beaucoup d'entrepreneurs atypiques, on a envie de contrôler. On voudrait avoir des certitudes. Et cette conscience qu'il y a tout un champ où tu n'auras jamais de certitudes, où il y a tout un champ où tu n'as pas de pouvoir, ça peut te confronter à un sentiment d'impuissance. Et bien sûr qu'on n'a pas envie de ressentir l'impuissance. C'est un sentiment terrible. Et c'est intéressant de voir que s'il y a des choses qui ne sont pas en ton pouvoir, ça veut dire qu'il y en a qui sont en ton pouvoir. Et celles qui ont du succès, celles qui créent des résultats extrêmement élevés, celles qui génèrent beaucoup d'argent, elles se sont toutes frottées à un défi. Et toutes, elles continuent à se frotter à ce défi. Et je me... Je continue à me confronter à ça, qui est à la fois de voir grand, parce que tu es né pour ça, parce que c'est ta mission, parce que tu veux toucher, impacter, contribuer et recevoir en grand. Et à côté de cette vision, et ce et il est important, croire que tu as les capacités. Croire que c'est dans ton champ de possibilités. Seulement croire que tu as les capacités, c'est prendre un risque. C'est prendre le risque de peut-être réaliser que tu ne les as pas ces capacités. pas encore et que tu vas avoir à travailler, travailler vraiment pour les développer. Parce que si ton rêve, il n'est pas encore dans ta réalité, ça veut dire une seule chose, que tu n'as pas encore développé les capacités, que tu n'es pas encore devenu celle qui est en capacité de créer ce rêve. Et en même temps, Une autre chose très importante à considérer, c'est que si ce rêve est en toi, quel que soit ton rêve, ce n'est pas pour rien. Si ce rêve est vivant et vibrant en toi, c'est parce que tu as le potentiel. Ce potentiel est en toi. Je ne crois pas qu'on puisse vibrer au diapason d'un rêve et ne pas avoir ce qu'il faut pour le réaliser. Quand je me suis lancée en 2010, je savais que j'avais des très hautes capacités dans l'univers de la finance. Ça faisait 16 ans que je naviguais dans cet univers des postes à très haute responsabilité. Je voyageais beaucoup, j'avais toute une équipe. J'avais des capacités adaptées à cet univers. J'ai choisi de devenir entrepreneur. J'avais absolument pas les capacités pour ça. En plus, je n'ai pas du tout d'entrepreneur dans ma famille, aucun modèle, aucun exemple inspirant. Alors ça aurait été très facile de me raconter que ce n'était pas possible. Quand j'ai démissionné de la banque, j'ai fait une année d'études en architecture et décoration intérieure. Et c'est intéressant de voir que tous mes camarades de promotion voulaient devenir architecte d'intérieur ou décorateur en indépendant. J'étais l'exception. Moi, je ne voulais pas ça. Dès que je suis rentrée dans cette formation à l'école Boulle, je savais que je ne voulais pas ça. Je voulais une vraie entreprise. Je voulais quelque chose de grand, de grandiose. Je voulais un lieu, je voulais une équipe. Je voulais quelque chose d'original, de visionnaire. Je voulais retrouver rapidement le salaire que j'avais avant à la banque et qui était un salaire très élevé. Pour moi, c'était hors de question de vivoter. C'était hors de question de dépendre financièrement de mon mari. Mon indépendance financière est fondamentale pour moi. J'avais une féroce ambition. Je ne voulais pas réduire mon train de vie, je voulais l'accélérer ce train. Et je savais, je savais que ça nécessiterait d'investir. de me changer, de me transformer, de me méga challenger. Je parle de tout ce parcours dans mon livre « Femmes hors des normes » . Si tu ne l'as pas encore lu, va te l'offrir sur Amazon. Tu vas pouvoir aussi comprendre plus en détail encore tout ce cheminement, ce processus. Ça, ça demande une chose. Ça demande la confiance en ta capacité à développer tes capacités. Peut-être que les capacités, tu ne les as pas aujourd'hui et c'est normal. Et ce n'est pas ça qui est en jeu, ce n'est pas tes capacités de maintenant. C'est ta volonté de développer ton potentiel, de faire ce qu'il faut, de faire le travail, d'engager des efforts. Et pourquoi tu vas avoir cette volonté ? Parce qu'elle est sous-tendue par un désir intense. J'avais ce désir intense de faire quelque chose de grand, de grandiose dès le début, Là où tous mes camarades voulaient... simplement, être décorateur, décoratrice, je voulais quelque chose de grand déjà. J'avais terriblement peur, j'étais terrorisée. Et j'y suis allée. Et ça demande, tout ça, une autre qualité, l'humilité. L'humilité de dire, je ne sais rien, mais je vais apprendre à savoir. Je pars de zéro. Et je suis enthousiasmée, excitée, allumée par l'idée d'apprendre sur le chemin. Parce que j'ai tout à apprendre. Et je suis là pour apprendre. Nous avons à vraiment être humble sur ce chemin et pas seulement au début. L'humilité, elle est à chaque étape du chemin. Le million, c'est une illusion seulement quand tu ne crois pas que tu vas t'engager assez pour le créer. T'engager assez, vraiment beaucoup, intensément pour tes rêves, pour tes désirs, pour ta mission. Pour ton futur. Pour le futur. Il y a une chose qui me motive profondément. Depuis le début, ça fait 15 ans que je suis entrepreneur. Cette chose, c'est ne pas avoir de regrets. Ne jamais me dire, j'aurais pu, mais je n'ai pas osé. Et je suis passée à côté. Ne surtout pas mourir avec cette conscience que j'ai laissé un potentiel dormant, que j'ai refusé d'aller le rencontrer. Ça, jamais. Et c'est pour ça que dès le début, j'ai investi massivement. Même si je n'en avais absolument pas l'habitude, pendant tout mon parcours dans la finance, je n'ai vraiment pas investi. Sur moi, sur mes compétences, ça roulait. Mais là... Cette grande vision que j'avais, elle avait besoin d'être soutenue. C'est aussi une question de congruence. Tu veux des grands résultats, engage des grandes ressources. C'est aussi ça la congruence. Et si finalement, tu n'y arrives pas, tu auras essayé. Tu n'auras pas de regrets. Comment peut-on regretter d'avoir essayé ? de grandir, de se déployer, de se développer, de vivre plus pleinement, plus intensément, de plonger pleinement dans la vie. Comment est-ce qu'on pourrait regretter ça ? Je préfère mille fois avancer et rentrer dans les murs et là, déployer ma créativité pour trouver comment contourner, passer dessus, dessous, faire un souterrain, trouver un autre chemin. plutôt que de rester à stagner en sachant que oui il y a des murs il y aura toujours des murs que certains seront des vrais obstacles que ça fera mal et que dans d'autres murs il y aura exactement la porte vers mes rêves je préfère mille fois vivre de manière à pas avoir de regrets oui quitte à ressentir des déceptions quitte à vivre de la frustration je les connais ces émotions là Je préfère ça plutôt que vivre avec ce sentiment latent, toujours présent, comme un parfum amer, acre, que je passe à côté. À côté de mes rêves, à côté de ma vie, à côté de mon potentiel. Elle n'est franchement pas agréable l'amertume des regrets. Et tu le sais fondamentalement dans ce chemin de dépassement de soi. Il y a tellement, mais tellement de joie. J'aime dire que les entrepreneurs, on est comme des athlètes de haut niveau. Si tu prends des athlètes, il y en a très très très peu qui vont gagner les Jeux Olympiques ou d'autres médailles. Et pour autant, il y en a... Une quantité incroyable qui va s'entraîner pour ça, qui va viser ça, qui va vibrer pour aller au plus haut, au sommet de leur excellence. Tout le monde n'est pas appelé à monter sur un podium des Jeux Olympiques. Mais beaucoup sont appelés par le chemin. Et s'ils ne visaient pas les Jeux Olympiques, très certainement, ils n'atteindraient pas leur niveau d'excellence, de performance, qu'ils atteignent en visant cette... étoile là. Et tout ça, ça commence par des décisions. Décider de générer un million, cent mille ou cinq cent mille ou dix millions, ton étoile est là. Tu observes. Est-ce que j'ai les compétences ou est-ce que je n'ai pas les compétences ? Si je ne les ai pas, il est fort probable que tu ne les aies pas, autrement tu y serais déjà. Je ne les ai pas, ok. Puis là, tu décides. Est-ce que tu es prête à développer ces compétences ou tu n'es pas prête ? Les développer, évidemment que ça va signifier travailler, consacrer du temps, de l'énergie, investir de l'argent. Peut-être que tu n'auras pas un retour sur investissement immédiat. Peut-être que tu n'auras pas un retour sur investissement immédiat en termes d'argent. Es-tu prête à le faire quand même ? À louer du temps, à louer de l'énergie ? J'ai toujours investi massivement, dès le début. Au début... Comme j'avais un organisme de formation, une grosse, grosse machine, j'ai besoin de grands locaux qui étaient à Paris dans le 11e arrondissement. J'ai loué tout un magnifique ancien atelier d'artistes, du mobilier, des travaux, une équipe. J'avais une équipe de 15 personnes. J'ai fait faire un magnifique site web. J'ai payé pour du référencement, une agence de relations presse, du design. Et puis de plus en plus, j'ai compris que les investissements, où j'allais vraiment avoir du retour sur investissement. C'était des accompagnements, des formations, du mentorat. Investir sur ce fabuleux cerveau. Et oui, au début, j'avais peur. J'avais peur d'autant plus que pour la première entreprise, j'ai investi massivement. J'avais dû faire un business plan pour présenter à des banques pour avoir un emprunt, essayer d'obtenir des aides, etc. Et quand j'étais face à ce business plan et que je voyais ce que j'avais à générer chaque mois, oui, j'avais peur. C'était une charge énorme. Je ne me suis pas donné le choix. Et très tôt, j'ai pris une décision. Très, très tôt. c'est que chaque investissement dégagerait un retour sur investissement. Peut-être pas en euros directement, mais que j'aurais toujours un retour sur investissement. De l'argent, une relation nouvelle, un apprentissage, une prise de conscience, une décision, toujours. Et ça a évidemment toujours été le cas. Récemment, au moment où j'enregistre cet épisode, tout récemment, j'ai ouvert les portes de Sacré-Bise pendant quatre jours. J'ai eu quelques échanges avec des entrepreneurs qui hésitaient à rejoindre Sacré-Bise et qui me posaient des questions. J'en ai tiré un certain nombre de conclusions, dont une que j'ai envie de te partager là. C'est... Je vais te partager... Mon observation et mon émotion. Cette émotion, je vais la nommer perplexité. Même s'il y a d'autres émotions qui gravitent autour. Franchement, je suis perplexe quand je vois des entrepreneurs, quel que soit d'ailleurs leur niveau de maturité entrepreneuriale, qui ne sont pas prêtes à investir 2000 euros. C'est le prix pour rejoindre Sacré-Bise. qu'ils ne sont pas prêts à investir 2000 euros pour leur business, pour leur évolution, pour leur cerveau, pour leur avenir, pour leurs rêves. Parce que qu'est-ce que ça me dit ? Ça me dit une chose et cette chose elle me désole. Ça veut dire qu'elle ne croit pas en leur capacité à générer au moins 2000 euros. Et quand je vois une entrepreneur qui ne croit pas en sa capacité à générer 2000 euros, au moins, ce qui serait juste le rééquilibrage de son investissement, sans même compter tout le reste qu'elle aura appris, et transformé, et libéré, et transmuté, ça m'interroge vraiment. sur fondamentalement un état d'esprit entrepreneurial. Et pour revenir à ce que je te disais tout à l'heure, ça veut dire croire qu'elles ne croient pas qu'elles vont s'engager assez pour ça. Ça parle de leur propre relation à leur propre engagement. Et j'en vois donc qui renoncent. Pour moi, c'est un renoncement. Et quand tu renonces, tu vas très souvent te trouver des prétextes de bon aloi. Moi l'argent ça ne m'intéresse pas. Moi je me contente de peu. Mais ce que tu dis vraiment, c'est je ne crois pas en moi. Et je ne veux pas faire le travail pour croire. Quand tu te lances, tu n'as quasiment jamais les capacités pour devenir une entrepreneur qui réussit. Tu le serais déjà. Mais le sujet, il n'est pas seulement quand tu te lances. À chaque niveau, tu as des nouvelles compétences à acquérir. Quand j'ai atteint 100 000, 300 000, 500 000 euros, 1 million. À chaque niveau, j'ai été challengée. À chaque niveau, il y a des nouvelles compétences, capacités, talents à déployer. Et à chaque fois, tu as à prendre cette décision. Est-ce que je développe ou je ne développe pas ? Est-ce que c'est assez important pour moi ? Est-ce que mon rêve importe assez ? Est-ce que j'importe assez ? Est-ce que je suis assez importante pour ça ? J'ai toujours été de ces coachs ou mentors qui disent la vérité sur le chemin. Même si ce n'est pas très sexy, même si ça peut parfois même ne pas être très vendeur, je le dis toujours, c'est un sacré chemin de développement personnel que d'être entrepreneur. Tu le sais ! Tu as à développer des compétences, optimiser tes talents, rencontrer tes pires peurs. Et ça, ça se fait pas en restant affalé sur un canapé à lire des bouquins sur le business ou le def perso. Seulement il y a en même temps tout ce champ auquel tu es exposé aussi comme moi, et qui franchement m'agace, cet étalage sur les réseaux sociaux, je parle surtout d'Instagram et Facebook. Sur les succès ultra rapides par la seule grâce de l'énergie. La vérité, et je peux dire que j'observe, j'analyse, je décortique. La vérité, c'est que ces influenceuses ou entrepreneurs, ou peu importe comment on les nomme, que tu vois, que tu envies, qui te disent que tout est par le pouvoir de la manifestation et de l'énergie éthique. La vérité, c'est qu'elles manient avec un très grand talent. le marketing. Elles ont des tunnels ultra bien ficelés. Ce qui fait leur succès, ce n'est pas la manifestation. C'est juste un marketing subtilement orchestr�� qui ne dit pas son nom, mais qui est bien là pour soutenir tout le reste. Il y a tout le branding, il y a tout le visuel, il y a tout l'univers. On promet un chemin sans douleur, sans effort, mais non, ça n'existe pas. Toutes celles qui créent le fameux million sont celles qui vont là où les autres ne vont pas. Un rêve, c'est excitant, c'est lumineux, mais il y a aussi de l'ombre, des coûts, un prix à payer. Sinon, tout le monde réaliserait ses rêves, n'est-ce pas ? Combien de fois je suis allée là où j'avais peur, j'étais terrifiée. À mes débuts, c'était décrocher mon téléphone, faire de la prospection à froid. L'année dernière, c'était oser annoncer que j'allais monter sur une scène de TEDx alors que je n'avais absolument pas la scène, je ne savais absolument pas comment ça fonctionnait tout cet univers. Et j'ai remué terre et ciel pour ça. Tes plus grands rêves vont toujours avec un prix à payer. Est-ce que tu es prête à en payer le prix ? Mes clientes qui connaissent les plus grands succès, que ce soit dans Sacré-Bise, dans le Cercle Or des Normes, c'est vraiment celles qui vont danser, flirter avec les limites. de ce qu'elles croyaient possible. Celles qui vont engager le travail, celles qui vont prendre la peur sous leurs mains, sous leurs bras, jour après jour, et dire j'y vais, j'y vais avec la peur. Je marche en avant, je marche en avant le plus souvent possible. J'ouvre une voie, ce n'est pas le chemin le plus facile. Si c'était plus facile, tout le monde y serait. Et on n'est pas nombreux sur ce chemin-là. Ce n'est pas un hasard. Si tu veux que le million ne soit pas une illusion, tu as à faire ce travail. J'avais une discussion en mentorat avec une cliente sur tout ce qui se joue dans la vente. Et elle est en train de travailler sur la signature d'un gros contrat avec une de ses clientes. Et je lui parlais de ce concept qui se joue dans l'inconscient, dans la vente, c'est le transfert de certitude. Elle n'était pas certaine que sa cliente allait s'engager vraiment, que sa cliente ferait le travail. C'est un gros contrat sur un an. Et quand elle-même a ce doute, c'est une faille. Il y a une brèche dans la certitude. Quand il y a une brèche dans ta certitude, c'est ce que tu transfères. Alors je l'ai aidé à élever sa fréquence, sa certitude. On ne parle pas de conviction, on parle de certitude. Tu as à peindre une vision, à décrire les enjeux, à montrer la certitude. Ça vaut pour tes clients et ça vaut pour toi. Pour que le million ne soit pas une illusion. Tu vas être ancré et clair sur ta vision. Avoir la perception des enjeux pour toi. A travailler sur ta certitude. Quand j'investissais au début... Oui, comme je te l'ai dit, j'avais vraiment peur. Et en même temps, il y avait cette partie de moi qui croyait. Qui croyait que d'une manière ou de l'autre, j'allais dégager une rentabilité. Et cette petite partie, j'ai veillé à la faire grandir, grandir, grandir au fil du temps. À consolider cette croyance. Pourquoi ? Parce que je sais que c'est mon entière responsabilité. C'est moi qui fais le travail. Je compte sur personne d'autre pour faire le travail à ma place. Je le fais. Je pose les actions. Et la vraie question, c'est pas de savoir si le million, c'est une illusion. C'est de savoir si tu es prête à faire une action inconfortable. Et encore une autre. À persévérer. Sans écouter les autres. Poser encore une autre action. Sans écouter ton cerveau qui va te dire que c'est trop dur, que t'as plus d'énergie, que t'es trop fatigué. Écouter les histoires que tu te racontes. Être dans cette humilité de « ok, là » . Je n'ai pas la compétence, j'ai besoin d'élargir mes capacités, j'ai besoin de me faire aider. Et j'y vais. Et tu continues. Un échec, une victoire, un échec, une victoire, un échec, un échec, un échec, une victoire. Une tentative, une expérimentation, un essai, un échec, une victoire. Tu vas chercher l'or qui est caché dans chaque échec et créer tes victoires. Tu n'es pas en train de te mentir à toi-même là. Tu es justement dans ta vérité. Parce que c'est quoi l'alternative ? C'est le mensonge. C'est te raconter que t'es pas capable, que toi t'es trop limité, que t'as pas ce qu'il faut, que c'est trop pour toi, que t'es pas assez pour ça. Que la grandeur c'est pour les autres, mais pas toi, pas dans cette vie en tout cas. Moi je préfère continuer à avancer. Et ne jamais, jamais, jamais avoir de regrets. Parce que c'est ça. C'est une vie sans regret qui est en jeu, là. Si cet épisode t'a inspiré, je t'invite vraiment à le partager. Ça compte beaucoup pour moi que ce genre de message touche tellement d'autres femmes. Des femmes entrepreneurs qui ne voient pas leur grandeur. Pour qui le million, c'est pour quelques entrepreneurs perchés ? Et vont se trouver des tas d'excuses pour s'auto-justifier, de ne pas y aller. Alors merci de partager. Tu peux faire une story, un post, mettre un commentaire, des étoiles sur ta plateforme d'écoute, en parler à des amis, répondre dans tes réseaux. J'ai tellement envie que le podcast entreprendre hors des normes touche plus de femmes. Et ça passe par toi. Ça passe par nous. Merci, merci infiniment et je continuerai à venir là éclairer ton été jeudi après jeudi, semaine après semaine. Ça fait partie de mes actions sur mon chemin d'expansion, un chemin où on est ensemble. Alors merci. Ma mission c'est d'aider les femmes comme toi à se lâcher la bride pour lâcher les fauves. Si tu aimes ce podcast, tu vas adorer la formation que je t'offre. C'est le condensé de mon approche anticonformiste du business pour t'aider à accueillir tes prochains clients joyeusement. Reçois cette formation gratuitement en cliquant sur le lien dans les notes du podcast. Je jubile déjà en pensant à tout ce que tu vas réaliser.
